Les enfants ! Les victimes de la « culture transgenre »
Partout et de plus en plus souvent, les enfants sont confrontés à la culture transgenre et sont sans défense face à ce dangereux endoctrinement. Se pourrait-il que la confusion des genres, telle que nous la trouvons aujourd'hui chez de nombreux enfants et adolescents, soit générée de manière très ciblée et systématique ? [lire la suite]
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Le témoignage d'une jeune femme qui a vécu l'accueil suivant lors d'un séminaire montre à quel point le mouvement transgenre s'est infiltré dans tous les domaines de la vie : « Bienvenue à tous les genres, bienvenue à tous les binaires et non-binaires, bienvenue à tous les Genderfluids et bienvenue à tous ceux qui ne veulent pas se voir attribuer un genre. Bienvenue à tous les bisexuels et hétérosexuels. Bienvenue à tous les homosexuels, pansexuels et asexuels. Bienvenue aussi à tous ceux qui ne se sont peut-être pas encore trouvés dans ces énumérations. »
Chers téléspectateurs, comment un tel accueil vous affecte-t-il ? Ne vous semble-t-il pas extrêmement étrange, voire déroutant ? C'est du moins ce qu'a rapporté cette jeune femme. Et cette confusion semble être l'objectif de l'agenda transgenre. Ses victimes sont avant tout des enfants et des adolescents facilement influençables. Confrontés partout à la culture trans, ils sont sans défense face à ce dangereux endoctrinement. [www.kla.tv/27281] Outre le fait que la culture trans est désormais propagée dans les écoles allemandes, il existe un autre moyen efficace de faire prendre conscience aux enfants de la culture trans : l’apparition de plus en plus fréquente et ciblée de transsexuels dans les livres pour enfants, les films et la télévision.
L'entreprise de médias américaine Disney veut même s'assurer qu'à l'avenir chaque film contiendra « des personnes asexuées, bisexuelles et transgenres conformes à la réglementation ». En Allemagne aussi, la femme transgenre "Monsieur Ingeborg" conquiert les chambres des plus jeunes enfants dans l'émission « Unser Sandmännchen » (Notre marchand de sable). Les livres pour enfants qui font la promotion de l'opération du sexe poussent comme des champignons et les drag queens [les drag queens sont des hommes qui s'habillent et se comportent comme des femmes] lisent aux enfants des histoires dans lesquelles les enfants solitaires se sentent aimés et compris dès qu'ils expliquent qu'ils sont transsexuels.
Ces développements montrent l'influence qu'exercent désormais les idéologues transgenres et que la confusion des genres, telle que nous la trouvons aujourd'hui chez de nombreux enfants et adolescents, est générée de manière très ciblée et systématique. Les conséquences en sont souvent tragiques, comme on peut le constater dans l'histoire de la vie de Chloe Cole, 19 ans.
Au nom de beaucoup d'autres, Chloe Cole parle devant une commission judiciaire américaine de son calvaire en tant qu'ancienne personne transgenre et demande un changement de mentalité de la part des politiques. Elle accuse les médecins d'avoir rendu réel le cauchemar dont ils prétendaient vouloir la préserver. A l'âge de 13 ans, elle ne se sentait pas bien dans sa peau et aurait préféré être un garçon. Les médecins ont diagnostiqué une dysphorie de genre [terme utilisé pour désigner les personnes qui se sentent du « mauvais » sexe] et ont fait pression sur ses parents. Ils devaient choisir entre une fille morte et un fils transgenre vivant. Les parents ont cédé à la pression et Chloé a reçu des bloqueurs de puberté et une thérapie avec de la testostérone [administration d'hormones masculines].
À l'âge de 15 ans, elle a été amputée des seins. Mais au lieu du soulagement promis par les médecins transgenres, cette intervention a déclenché en elle des pensées suicidaires. Son enfance, sa jeunesse et surtout son corps auraient été littéralement détruits par les thérapies et les interventions médicales. Elle regrette d'avoir essayé d'être un garçon. Elle aurait été une enfant au développement tout à fait normal, qui ne voulait tout simplement pas s'adapter. Chloé met en garde contre le fait que chez des adolescents pubertaires, dont les crises sont souvent dues aux changements hormonaux, le récit du « mauvais sexe » éveille des idées dangereuses. Elle-même se considère aujourd'hui comme la victime d'un des plus grands scandales médicaux et réclame l'interdiction des opérations de changement de sexe pour les mineurs !
La question se pose alors inévitablement de savoir pourquoi le thème de la transsexualité a pu s'imposer si rapidement dans la société ? Y a-t-il des profiteurs qui favorisent cette évolution ?
Une analyse financière de « Global Market Insights » décrit le marché de la réassignation sexuelle comme un très bon investissement. Des taux de croissance annuels allant jusqu'à 25 % sont attendus jusqu'en 2026. En conséquence, selon la journaliste d'investigation Jennifer Bilek, le lobby pharmaceutique, bien connecté politiquement, et l'élite financière sous-jacente, font tout leur possible pour exploiter ce marché. Des stratèges mondiaux super riches, comme George Soros et Warren Buffett, financent le lobby transgenre ainsi que ses organisations. De même, les entreprises pharmaceutiques font des dons de plusieurs millions au mouvement LGBT*Q. C'est ainsi qu'il a été possible pour ce dernier d'acheter, par des dons de plusieurs millions, des universités, des hôpitaux ou des facultés de médecine, afin de créer par exemple des chaires d'études transgenres. Parallèlement, la famille de milliardaires américains Pritzker, en particulier, est l'un des principaux investisseurs dans les « cliniques LGBT*Q ». L'objectif de ce lobby transgenre est de définir les droits transgenres comme un droit humain, de sorte que tous les coûts liés au changement de sexe soient supportés par la collectivité - et ce, afin de gagner encore des milliards !
Chers téléspectateurs ! Ne plus savoir si on est un homme ou une femme exprime à quel point l'influence de l'idéologie transgenre crée un sentiment d'insécurité et de confusion, surtout chez les enfants. Pourtant, c'est bien là l'objectif de cet agenda, qui a déjà un impact destructeur sur nos enfants et sur la société dans son ensemble. Les profiteurs sont une fois de plus quelques super-riches qui, dans leur soif de profit sans limite, ruinent littéralement la vie des enfants et des adolescents tellement escroqués. Il est donc essentiel de dévoiler le masque de piété et d’humanisme derrière lequel cette idéologie dangereuse imprègne les peuples. C'est possible si tous les effets nocifs, les témoignages bouleversants des victimes et surtout ceux qui tirent les ficelles avec leur soif de profit criminelle sont connus de tous ! Aidez-nous et diffusez cette émission.
DERNIÈRES NOUVELLES On rapporte désormais que les USA pourraient disposer de 100 millions de doses de vaccins contre la grippe aviaire prêtes et expédiées d’ici 3 à 4 mois Ils étudient à la fois les vaccins traditionnels et des ARNm contre la grippe aviaire Vous en voulez ?
Tous les poisons viennent de l'alimentation des volailles et, quand c'est décider de faire crever: çà crève ! Effectivement, comme pour le 'corona' appelé plus tard 'cocovide19' puis Deltaplane-Tango-Charlie-Omicron' le virus ne se trouve PAS DANS L'AIR ! HAHAHAHA ! (Il y a au monde des milliers de laboratoires qui examinent chaque jour la 'qualité de l'air' et... n'ont JAMAIS trouvé ces virus ! HAHAHAHA !
Maizalors ??? où est-ce qu'il est-il ?
Il est dans la seringue ! LALALA ! Il est dans la seringue ! LALALA ! Il est dans la seringue ! LALALA ! Idem pour les 'vaches folles', 'tremblante du mouton', 'diarrhées porcines', etc.
Le CDC *savait* que les vaccins COVID tuaient des gens. Mais malgré cela, ils ont carrément menti au public et déclaré qu’ils n’avaient « aucune preuve » que les vaccins anti-Covid tuaient des gens.
STEVE KIRSCH 01 MAI 2024
Résumé exécutif
Un article d’Epoch Times publié aujourd’hui a révélé que le CDC a délibérément menti au public sur la sécurité des vaccins contre la COVID. Interrogé sur les décès, le CDC a menti au public et a faussement affirmé qu’il n’avait aucune preuve que les vaccins COVID avaient tué quelqu’un.
Le CDC a menti. Des personnes sont mortes.
Les preuves sont on ne peut plus claires : les vaccins contre la COVID causent des dommages considérables au cœur et au cerveau des gens.
Dans cet article, je vais vous montrer les preuves des anévrismes fib et aortique, qui sont deux effets secondaires importants qui sont évidemment causés par le vaccin COVID et, tout comme la mort, sont ignorés par le CDC.
La partie clé de l'histoire
"NOUS. Les responsables des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont trouvé des preuves selon lesquelles les vaccins Pfizer-BioNTech et Moderna contre le COVID-19 ont causé plusieurs décès avant d’affirmer qu’il n’y avait aucune preuve liant les vaccins à des décès, a appris Epoch Times.
Les employés du CDC ont travaillé pour retrouver les informations sur les décès signalés après la vaccination et ont appris que la myocardite – ou inflammation cardiaque, un effet secondaire confirmé des vaccins – était répertoriée sur les certificats de décès et dans les autopsies pour certains des décès, selon un dossier interne obtenu. par Epoch Times.
…
Malgré les conclusions, dont la plupart ont été faites fin 2021, le CDC a affirmé n’avoir vu aucun signe reliant les vaccins à ARN messager (ARNm) Moderna et Pfizer à des décès signalés au Système de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS). »
Ouah. "Je n'ai vu aucun signe."
Sont-ils aveugles ?
En d’autres termes… s’ils ne sont pas d’accord avec les preuves, ils prétendent simplement qu’elles n’existent pas. Le CDC avait la preuve que les vaccins tuaient des gens, mais ils se sont eux-mêmes convaincus qu’il ne s’agissait que de coïncidences et n’avaient aucun rapport avec le vaccin.
Voyez-vous un modèle ici ? Tir -> afib, Tir -> afib.
Le CDC ne voit pas de lien. Ils pensent que ce n'est qu'une coïncidence.
En résumé : ce décès a été causé par le vaccin contre la COVID, mais le père et la mère n’en parleront pas publiquement.
Ce que dit le VAERS 100 % des cas d'anévrisme de l'aorte signalés après un vaccin au cours des 30 ans d'histoire du VAERS ont été signalés après le vaccin contre la COVID. 100% !!!!!
Mais le CDC affirme que les vaccins COVID ne provoquent pas d’anévrismes de l’aorte ; ils ne provoquent une myocardite que dans des cas très rares et elle est bénigne.
Êtes-vous d’accord avec le CDC ? Voici les données pour tous les vaccins du VAERS sur toute la période :
- voir graph sur site -
En ce qui concerne l'afib, voici les chiffres. Encore une fois, 100 % des rapports d’afib dans le VAERS sont associés au vaccin COVID. Plus de 10 000 cas.
Mais le CDC affirme que les vaccins COVID ne provoquent pas d’anévrismes de l’aorte ; ils ne provoquent une myocardite que dans des cas très rares et elle est bénigne.
Êtes-vous d’accord avec le CDC ? Voici les données pour tous les vaccins du VAERS sur toute la période :
- voir graph sur site -
En ce qui concerne l'afib, voici les chiffres. Encore une fois, 100 % des rapports d’afib dans le VAERS sont associés au vaccin COVID. Plus de 10 000 cas.
Mais le CDC dit que les vaccins COVID ne provoquent pas de fibrillation !!!!
J'adorerais leur demander comment ils expliquent les données VAERS, mais ils ne me répondent jamais.
100 % de tous les cas d’afib au cours des 30 ans d’histoire du VAERS sont associés au vaccin COVID, mais le CDC affirme que les vaccins COVID ne provoquent pas d’afib. C’est dans la littérature évaluée par les pairs que les vaccins contre la COVID tuent des gens Mais le CDC ne croit que ce qu’il veut croire. Peu importe si c’est si évident que cela figure même dans la littérature évaluée par les pairs ?
Cet article souligne que la constriction des vaisseaux sanguins cérébraux est un effet secondaire bien connu provoqué par le vaccin COVID. Dans ce cas, la constriction était si grave qu’elle a tué cette personne.
Il ne fait donc aucun doute que le vaccin contre la COVID tue. Mais le CDC ignorera les preuves et fera semblant d’ignorer l’existence de ce document.
Le CDC dispose de nombreuses preuves selon lesquelles les vaccins COVID tuent des personnes et provoquent divers effets secondaires, notamment des anévrismes afib et aortiques.
Ils ne veulent rien croire parce que leur mission principale est de promouvoir les vaccins et de ne pas donner une mauvaise image de l’agence en admettant qu’ils ont commis une erreur qui a tué des centaines de milliers d’Américains et handicapé des millions d’autres.
Leur mission n’est pas de protéger la santé du peuple américain.
Mentir au peuple américain sur la sécurité du vaccin est donc conforme à sa mission.
Ne vous attendez pas à ce que le Congrès les tienne un jour pour responsables.
(...) Le CDC *savait* que les vaccins COVID tuaient des gens. Mais malgré cela, ils ont carrément menti au public et déclaré qu’ils n’avaient « aucune preuve » que les vaccins anti-Covid tuaient des gens. (...)
Dès le lacement de l'expérimentation génique d'essais (FRAUDULEUSEMENT et CRIMINELLEMENT appelée 'vaccin' !) des scientifiques (Dr Astrid Stuckelberger et Dr Carrie Madej) ont analysé le contenu des flacons injectables !!
Ceux-ci contenaient entre 95 et 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène qui N'ONT RIEN A FAIRE LA DEDANS !! + des hydres !! + des spikes !! + diverses maladies animales et (source naturalnews:) une quarantaine de venins différents de serpents !!
Lorsqu'est appliqué un Plan Génocide sur la planète, chacun des criminels (comme tous ceux en prisons) diront "Nous sommes innocents !"
Mais, la Science est là. Le rapport de l'examen des piqûres létales a été publié !!
COVID-19 lié à une « augmentation alarmante » d’infections fongiques rares et hautement mortelles
PAR TYLER DURDEN JEUDI 02 MAI 2024 - 19H35 Rédigé par Megan Redshaw, J.D. via The Epoch Times
La pandémie de COVID-19 a provoqué une augmentation alarmante d’infections fongiques secondaires agressives et hautement mortelles parmi les personnes atteintes du COVID-19 actif ou guéri.
La recherche suggère que le virus SARS-CoV-2, la surutilisation de traitements immunosuppresseurs contre la COVID-19, tels que les corticostéroïdes et les antibiotiques, et la réponse à la pandémie mondiale ont rendu les personnes plus sensibles aux co-infections telles que la mucormycose associée au COVID-19 (CAM).
La mucormycose, également connue sous le nom de champignon noir, est une infection fongique opportuniste qui affecte généralement les sinus, les poumons et le cerveau. Elle est causée par un groupe de moisissures que l’on trouve couramment dans l’environnement. Avant le COVID-19, ces champignons provoquaient rarement des infections en raison de leur faible virulence, mais la deuxième vague de COVID-19 a entraîné des dizaines de milliers de cas signalés. Même la variante Omicron, généralement attribuée à un COVID-19 léger, a été associée à des infections mortelles à mucormycose aux États-Unis et en Asie.
Selon les Centers for Disease Control and Prevention, il existe plusieurs types de mucormycose :
La mucormycose rhinocérébrale est une infection des sinus qui peut se propager au cerveau et est le plus souvent diagnostiquée chez les personnes atteintes de diabète ou chez celles qui ont subi une greffe de rein.
La mucormycose pulmonaire est le type de mucormycose le plus courant, affectant principalement les personnes atteintes de cancer ou celles ayant subi une greffe d'organe ou de cellules souches. La mucormycose gastro-intestinale affecte le tube digestif et est plus fréquente chez les enfants et les jeunes adultes.
La mucormycose cutanée est la forme d’infection la plus courante chez les personnes dont le système immunitaire n’est pas affaibli. Cela se produit lorsque les champignons pénètrent par une coupure, une éraflure ou une incision chirurgicale dans la peau. La mucormycose disséminée est l'endroit où l'infection pénètre dans la circulation sanguine et se propage au cerveau et à d'autres organes. Le taux de mortalité avec ce type de mucormycose est de 96 %.
Selon un article de 2022 publié dans Vaccines, les spores de moisissures responsables de la mucormycose se trouvent dans le sol, les feuilles ou les matières en décomposition. Ces spores peuvent être dispersées dans les particules de poussière et pénétrer dans le corps humain par les voies respiratoires, la peau ou une faiblesse de la barrière muqueuse. Une fois à l’intérieur du corps, les spores fongiques peuvent germer et se multiplier, entraînant des infections telles qu’une fasciite nécrosante cutanée et une mucormycose disséminée.
Les symptômes de la mucormycose varient en fonction du patient, de ses problèmes de santé sous-jacents et des organes touchés par l'infection. Les premiers symptômes peuvent inclure des douleurs nasales, une perte de vision, des maux de tête, de la fièvre, un écoulement nasal noirâtre, une douleur faciale d'un côté et un gonflement de la bouche. L'infection affecte principalement le nez, les sinus, les poumons, les yeux et le cerveau, mais peut se propager par le sang à d'autres parties du corps.
Selon un article de 2023 publié dans Travel Medicine and Infectious Disease, la mucormycose frappe les patients dans les 12 à 18 jours suivant la guérison du COVID-19, et près de 80 % nécessitent une intervention chirurgicale. Un diagnostic retardé ou non traité peut entraîner un taux de mortalité pouvant atteindre 94 pour cent.
La mucormycose associée au COVID-19 est un « phénomène mondial »
Dans une revue de 2022 publiée dans The Lancet, les chercheurs ont analysé 80 cas de mucormycose associée au COVID-19 dans 18 pays, dont huit cas aux États-Unis, et ont découvert que l'infection par mucormycose peut être une complication grave d'un COVID-19 grave, en particulier pour ceux souffrant de diabète et d'hyperglycémie ou d'hyperglycémie.
De plus, les auteurs ont noté que le traitement systémique aux corticostéroïdes peut réduire la mortalité chez les personnes atteintes d’une forme grave de COVID-19, mais que le traitement, combiné à des facteurs immunologiques et cliniques, peut également prédisposer les patients à des maladies fongiques secondaires comme la mucormycose. Cette infection particulière est associée à une morbidité et une mortalité élevées, même chez les personnes présentant des cas bénins de COVID-19. Il en va de même pour les patients atteints du COVID-19 qui ont reçu un traitement antibiotique intensif.
Sur les 80 cas analysés par les chercheurs, 74 patients ont été hospitalisés pour COVID-19 après avoir reçu un diagnostic de mucormycose. Dans six cas, les patients avaient le COVID-19 avant leur hospitalisation pour des symptômes associés à la mucormycose, dont quatre ont été hospitalisés pour le COVID-19 dans un délai d’un à trois mois avant un diagnostic de mucormycose.
Les chercheurs ont identifié 59 patients atteints d'une maladie cérébrale rhino-orbitaire, 20 d'une maladie pulmonaire et un d'une mucormycose gastro-intestinale. Dans la mucormycose cérébrale, le champignon envahit initialement la cavité nasale et les sinus paranasaux, se présentant de la même manière qu'une sinusite aiguë. Cela peut alors conduire à une angioinvasion, où les cellules tumorales traversent les parois des vaisseaux sanguins et provoquent des caillots sanguins. L’infection se propage rapidement aux sites orbitaires et cérébraux et est associée à une morbidité et une mortalité élevées.
Près de 50 % (39 patients) sont décédés. La durée médiane de survie à partir du jour du diagnostic de mucormycose était de 106 jours pour la maladie cérébrale rhino-orbitaire et de seulement neuf jours pour les patients atteints de mucormycose pulmonaire. Parmi les survivants, 46 % (19 patients) ont perdu la vue.
Les chercheurs ont noté plusieurs problèmes de santé sous-jacents chez les patients atteints de mucormycose en plus du COVID-19, notamment un diabète incontrôlé ou mal contrôlé, une hypertension ou une pression artérielle élevée, une maladie rénale chronique et un cancer. Les personnes atteintes de diabète étaient plus susceptibles de souffrir de mucormycose rhino-orbitaire et de cas légers à modérés de COVID-19. Les personnes non diabétiques étaient plus susceptibles de présenter d’autres manifestations de l’infection et une forme grave du COVID-19. Les chercheurs ont découvert que la mucormycose pulmonaire survenait presque exclusivement en soins intensifs.
L'auteur correspondant de l'article du Lancet, le Dr Martin Hoenigl, est professeur agrégé de mycologie translationnelle à la Division des maladies infectieuses de l'Université médicale de Graz, en Autriche, et l'actuel président de la Confédération européenne de mycologie médicale.
« Notre étude souligne que la mucormycose associée au COVID-19, bien que plus répandue dans les régions du monde qui ont traditionnellement des taux de mucormycose plus élevés en raison de niveaux plus élevés d'exposition environnementale (par exemple, Inde, Pakistan, Iran, Égypte, Chine), est un problème mondial. phénomène », a déclaré le Dr Hoenigl à Epoch Times dans un e-mail.
« Notre étude a été réalisée au début de la pandémie de COVID, avant que l’ampleur de la crise de la mucormycose associée au COVID-19 en Inde ne soit reconnue/se révèle au public, et attire l’attention sur cette complication grave, souvent mortelle, qui peut être très difficile à diagnostiquer. et nécessite un traitement agressif pour avoir une chance d’aboutir », a-t-il déclaré.
De nombreux pays ont observé une augmentation soudaine des cas de CAM en 2021 lors de la deuxième vague de la pandémie. L’Inde, un « point chaud » pour l’infection mortelle, diagnostique généralement 50 cas de mucormycose chaque année, mais avait déjà observé 28 252 cas en juin 2021. Le nombre de cas de mucormycose a augmenté depuis.
Les infections fongiques mortelles sont plus courantes avec le COVID-19
Le Dr Hoenigl a déclaré à Epoch Times que la mucormycose est plus fréquente avec le COVID-19 que d'autres maladies infectieuses en raison de facteurs de risque spécifiques apparus avec la pandémie et sa gestion, ainsi que de mécanismes immunologiques spécifiques qui prédisposent les patients atteints d'une forme grave du COVID-19 à développer. la condition.
« En termes de facteurs de risque cliniques, l’augmentation de la population de diabète non diagnostiqué ou non contrôlé (entraînée par la réduction des services de santé de routine au début de la pandémie de COVID) était un facteur important de mucormycose associée au COVID-19, tout comme la surutilisation de corticostéroïdes systémiques pour le traitement du COVID-19. 19 traitements qui ont eu lieu dans certains pays où les stéroïdes étaient disponibles à l'achat sans ordonnance, et en même temps, il y avait un manque de disponibilité d'oxygène supplémentaire », a déclaré le Dr Hoenigl.
« En termes de mécanismes immunologiques, des conditions telles que l’hyperglycémie, la surutilisation de stéroïdes et des niveaux élevés de corps cétoniques et de fer, mais aussi le COVID-19 lui-même via la cascade de stress du réticulum endoplasmique induite par le virus régulent positivement l’expression de la protéine régulée par le glucose 78 ( GRP78), qui, en plus d’agir comme cofacteur dans l’entrée virale, se lie à l’invasine CotH3 recouvrant les spores à la surface du champignon et favorise l’invasion des cellules épithéliales nasales par les mucorales, entraînant une mucormycose cérébrale rhino-orbitale », a-t-il expliqué.
Le réticulum endoplasmique (RE) est une grande structure au sein d'une cellule qui remplit de nombreuses fonctions, notamment le stockage du calcium, la synthèse des protéines et le métabolisme des lipides. GRP78 joue un rôle important dans la régulation du RE. Il est souvent régulé positivement chez les patients atteints de COVID-19, ce qui prédispose les gens à contracter une mucormycose.
GRP78 aide à réguler la réponse au stress du RE, peut former un complexe avec la protéine de pointe et l'enzyme de conversion de l'angiotensine 2 (ACE2) pour favoriser l'entrée et l'infection du SRAS-CoV-2, et agit comme un récepteur hôte qui permet aux moisissures responsables de la mucormycose pénétrer dans les cellules et provoquer des maladies.
« Il existe également d’autres mécanismes immunologiques importants qui expliquent à quel point une forme grave du COVID-19 peut prédisposer les patients à développer une mucormycose », a ajouté le Dr Hoenigl.
D'autres études identifient les facteurs de risque de mucormycose
Dans une revue de 2021 publiée dans le Journal of Infection and Public Health, les chercheurs ont découvert que l'hyperglycémie, une immunité altérée, une acidose, une augmentation de la ferritine, qui indique souvent des taux de fer plus élevés, une inflammation ou une infection, une corticothérapie et une corticothérapie spécifique au COVID-19. facteurs ont été impliqués dans la pathogenèse de CAM.
Dans une étude de 2022 publiée dans Cureus, les chercheurs ont suivi 62 patients atteints de mucormycose cérébrale pendant jusqu'à 12 semaines pour évaluer les facteurs de risque, les symptômes et l'impact de diverses interventions sur l'évolution de la maladie. Tous les participants ont déclaré avoir présenté des symptômes d’un syndrome pseudo-grippal au cours des deux mois précédant leur diagnostic, 58 des 62 sujets ayant été testés positifs au COVID-19 et 54 des 58 patients recevant un traitement.
« Les patients atteints du COVID-19 sont plus sensibles aux infections fongiques opportunistes en raison d’une dérégulation immunitaire causée par une immunosuppression iatrogène (via des corticostéroïdes ou un traitement antibiotique non défini), un diabète sucré incontrôlé, l’utilisation d’une ventilation invasive ou non invasive et d’autres conditions préexistantes. » » ont écrit les auteurs du journal.
Les chercheurs ont découvert que le COVID-19 et le diabète sucré étaient des facteurs de risque importants de développer une mucormycose. Les signes et symptômes courants de la mucormycose sont souvent apparus quelques semaines après le COVID-19, bien que les symptômes neurologiques soient absents ou soient apparus plus tard. Les premiers symptômes les plus courants comprenaient un ptosis (une paupière tombante) ou un mal de tête sévère.
Le délai médian entre l’infection au COVID-19 et le premier symptôme visible de mucormycose était de 16 jours. Le délai moyen entre le premier symptôme de mucormycose et le premier symptôme neurologique était de 19 jours. Le symptôme neurologique initial le plus courant était l’hémiparésie, une faiblesse ou une incapacité à bouger un côté du corps.
L’étude a révélé que 18 (29 %) patients présentaient des symptômes de mucormycose avant même la résolution de leur COVID-19. Au bout de 12 semaines, seuls 18 patients s’étaient complètement rétablis sans aucun symptôme résiduel, tandis que 19 présentaient des symptômes persistants.
Sur les 62 sujets, 53 ont nécessité une intervention chirurgicale, huit patients ont eu besoin d'une extraction oculaire, 21 patients sont décédés, 37 ont survécu et quatre ont été perdus au suivi. Le taux de survie plus élevé que prévu a été attribué à l’étude réalisée dans un établissement hospitalier ayant accès à des traitements antifongiques rapides.
Dans une revue de janvier de 20 articles sur la mucormycose et le COVID-19, les chercheurs ont découvert de nombreuses co-infections fongiques chez les patients atteints du COVID-19, dont 0,3 % étaient liées à la mucormycose.
Les chercheurs ont attribué la CAM à l’hyperglycémie due à un diabète préexistant ou à une utilisation excessive de stéroïdes, à une augmentation des taux de ferritine due à la « cascade inflammatoire » initiée par le COVID-19, aux phénomènes immunologiques et inflammatoires qui se produisent avec l’infection par le SRAS-CoV-2, à l’immunosuppression due à l’utilisation de stéroïdes. ou d'autres thérapies, la germination de spores fongiques en raison d'une réduction du nombre de globules blancs chez les personnes atteintes du COVID-19 et de l'hypoxie – ou des niveaux d'oxygène insuffisants qui favorisent la croissance du champignon.
Les chercheurs ont également découvert que les infections fongiques étaient plus importantes chez les patients gravement malades du COVID-19, ceux nécessitant une ventilation mécanique et ceux hospitalisés pendant plus de 50 jours.
Selon l'article, la prise en charge médicale de la maladie comprend des traitements antifongiques et un débridement chirurgical des lésions associées. Cela constitue un défi pour les patients atteints du COVID-19, car nombre d’entre eux reçoivent des traitements immunosuppresseurs, tels que des stéroïdes, et l’arrêt des médicaments immunosuppresseurs utilisés pour traiter le COVID-19 fait partie du traitement de la mucormycose. Ils suggèrent en outre d’utiliser l’oxygénothérapie hyperbare pour l’hypoxie et l’acidose.
Pour prévenir la mucormycose chez les personnes atteintes du COVID-19, les chercheurs suggèrent de recueillir des antécédents médicaux détaillés pour évaluer les facteurs de risque, en utilisant un régime contrôlé de stéroïdes, en stérilisant l'eau dans des humidificateurs, en arrêtant les antibiotiques excessifs et en contrôlant la glycémie.
(...) La pandémie de COVID-19 a provoqué une augmentation alarmante d’infections fongiques secondaires agressives et hautement mortelles parmi les personnes atteintes du COVID-19 actif ou guéri. (...)
La pandémie de COVID-19 a provoqué une augmentation alarmante d’infections fongiques secondaires agressives et hautement mortelles parmi les personnes piquées atteintes donc du COVID-19 actif ou guéri.
Le plus grand oncologue japonais dénonce les vaccins géniques responsables des turbos cancers chez les jeunes et les réactivations mais les journalistes parlent de fake news
le 3 Mai 2024 par pgibertie
Le plus grand oncologue japonais dénonce les vaccins géniques comme responsables des turbos cancers chez les jeunes Les réactivations de cancers en rémission et les multicancers jamais observés auparavant
- voir cadre sur site -
Le professeur Fukushima, l’oncologue le plus expérimenté du Japon, condamne les vaccins à ARNm comme des « mauvaises pratiques scientifiques »
Points forts Je suis l’oncologue médical le plus expérimenté du Japon. J’ai été le premier à ouvrir une clinique externe de cancérologie à l’Université de Kyoto, et avant cela, à l’Université de Kyoto, en 2020, j’étais chef d’une section au Aichi Cancer Center, tous les postes étaient à l’hôpital Aichi Cancer Center.
J’ai créé le premier cours de pharmacoépidémiologie à l’Université de Kyoto au Japon. … On parle de ce qu’on appelle le « turbo-cancer », un type jusqu’alors inconnu des médecins, caractérisé par une vitesse incroyablement rapide. Au moment où il est découvert, il est déjà au stade quatre, un cancer avancé , et de tels cas commencent à apparaître sporadiquement dans les consultations.
Ainsi, les médecins ont commencé à partager des informations sur ces cas extraordinaires, différents des précédents. C’est donc progressivement devenu la situation depuis l’année dernière ou l’année précédente.
En effet, les médecins ont senti sur le terrain que quelque chose d’inhabituel lié au cancer pourrait se produire. Ils le ressentaient sur le terrain. …
Par ailleurs, les résultats de notre analyse montrent de manière surprenante que certains types de cancer, par rapport à la vaccination, semblent connaître une surmortalité.
Tout d’abord, les cancers comme le cancer du sein, le cancer des ovaires, le cancer de la thyroïde, puis statistiquement, le cancer de l’œsophage et du poumon. Il s’agit notamment du cancer de la prostate chez les hommes.
De tels cancers connaissent spécifiquement une surmortalité. Ce phénomène ne peut pas s’expliquer simplement par des perturbations telles que l’indisponibilité des dépistages précoces en raison de la pandémie ou la perte d’opportunités de traitement. ..
. C’est comme si nous avions ouvert la boîte de Pandore et que nous étions désormais confrontés à toutes sortes de maladies .
Nous leur faisons face. Maladies auto-immunes, maladies neurodégénératives, cancer et infections . Tout cela, y compris les maladies rares et difficiles, même ces conditions rares, surviennent.
Même des maladies inouïes sont rencontrées par les médecins ordinaires. … Ce n’est pas de la science ; cela s’apparente davantage à de la foi, de l’hystérie ou même à un comportement sectaire, à mon avis.
S’opposer aux vaccins ne fait pas de quelqu’un un hérétique comme Galilée ; c’est devenu comme être traité comme un paria complet. Voilà la situation. C’est de la folie.
… Nous devons vraiment prendre ces dégâts au sérieux et y remédier avec sérieux. Toute tentative visant à minimiser ces dommages comme s’ils n’avaient pas eu lieu est, franchement, l’œuvre du mal. Il s’agit d’un exemple typique de la mauvaise pratique de la science. …µ
Donc ceci Le vaccin était depuis le début basé sur des idées fausses, des fautes et des mauvaises pratiques scientifiques, totalement défectueux, fondé sur des idées fausses, conduisant à une production totalement fausse, un faux produit , je crois. …
µ Nous devons à nouveau y faire face directement et mettre en lumière la science. C’est pourquoi l’OMS devrait mener pour la première fois une recherche globale sur ce vaccin génétique utilisé à grande échelle sur l’humanité, et tous les pays devraient coopérer avec elle. .
Nous ne devrions plus jamais utiliser de tels vaccins. C’est une honte pour l’humanité. C’est une honte !
99,96 % des mensonges sortent de la bouche des journalistes mais seulement 20% des études scientifiques attribuent à l’homme l’origine du réchauffement climatique
le 3 Mai 2024 par pgibertie
Encore une émission caricaturale de désinformation et Gérondeau qui se fait piéger. Une fois de plus Tristan Walecks joue au Savonarole . Sait il lire les études scientifiques ? Non mais il est journaliste donc IL SAIT;
La fabrique de la grande mystification des « 99 % des scientifiques pour l’origine humaine du réchauffement climatique », entre 10 et 30 % dans la réalité ! Publié le 3 décembre 2023 par pgibertie
Le fameux « concensus sur l’origine humaine du réchauffement climatique repose sur une publication de 2021 dite étude Lynas 1)Il faut la relire pour comprendre comment on fabrique un mensonge . 3000 articles sur le climat mais ils ont eu la … Lire la suite →
Le fameux « concensus sur l’origine humaine du réchauffement climatique repose sur une publication de 2021 dite étude Lynas
1) Il faut la relire pour comprendre comment on fabrique un mensonge . 3000 articles sur le climat mais ils ont eu la flemme de les lire! Ils se sont contentés d’une approche via des mots clefs ou encore une lecture orienté du résumé . Lynas, M. ; Houlton, BZ ; Perry, S. Consensus supérieur à 99 % sur le changement climatique d’origine humaine dans la littérature scientifique évaluée par des pairs. Environ. Rés. Lett. 2021 , 16 , 114005. [ Google Scholar ] [ CrossRef ]
Cette méthodologie de truands sait parfaitement que les articles sceptiques ne renvoient pas à des mots clefs sceptiques dans le résumé et que le scepticisme se trouve en conclusion , pas dans le résumé. Les vrais scientifiques font part de leur doute et refusent de prendre une position de certitude absolue . Vous reprendrez à titre d’exemples les articles en contradiction
ENTRE 70 ET80 % DES ARTICLES SCIENTIFIQUES SUR LE CLIMAT NE PRENNENT PAS POSITION SUR LA RESPONSABILITÉ HUMAINE DU RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE.
Mais ils sont allés bien plus loin
Les truands de l’étude LYNAS ont mis dans le consensus en faveur de l’origine humaine du réchauffement climatique ces 70 à 80 % d’articles qui pourtant ne parlaient pas d’une origine humaine du réchauffement climatique ou qui ne parlaient même pas de réchauffement climatique APPROCHE PAR LES MOTS CLEFS POUR IDENTIFIER LA POSITION DES ARTICLES APPROBATION plus ou moins claire de la respnsabilité humaine 207 /1000 donc 20,7 %
REJETTENT LA RESPONSABILITE 28/1000 2,87
ne se prononcent pas refusent de decider 77% Notation/catégorisation # de résumés
1—Approbation explicite avec quantification 7 Impacts 4 Méthodes 3 2—Approbation explicite sans quantification 69 Impacts 24 Méthodes 35 Atténuation 7 Pas lié au climat 1 Paléoclimat 2 3—Approbation implicite 134 Impacts 32 Méthodes 55 Atténuation 33 Pas lié au climat 9 Paléoclimat 5 4a—Pas de position 760 Impacts 156 Méthodes 276 Atténuation 61 Pas lié au climat 70 Paléoclimat 197 4b—Incertain 2 Méthodes 2 5—Rejet implicite 18 Méthodes 17 Paléoclimat 1 6—Rejet explicite sans quantification 6 Méthodes 5 Paléoclimat 1 7—Rejet explicite avec quantification 4 Méthodes 4 Total 1000
APPROCHE PAR LA NOTATION DE 3000 resumes D’ARTICLES /
Tableau 3. Résultats de l’évaluation et de la catégorisation de 3 000 résumés.
La catégorie 3 attribue au co2 le réchauffement climatique mais pas à l’homme: lire l’exemple donné ci dessous
(3) Approbation implicite Cela implique que les humains sont à l’origine du réchauffement climatique. par exemple, la recherche suppose que les émissions de gaz à effet de serre provoquent le réchauffement sans déclarer explicitement que les humains en sont la cause « …la séquestration du carbone dans le sol est importante pour atténuer le changement climatique mondi
Notation/catégorisation # de résumés
1—Approbation explicite avec quantification 19 Impacts 7 Méthodes 9 Atténuation 3 2—Approbation explicite sans quantification 413 Impacts 204 Méthodes 78 Atténuation 124 Pas lié au climat 4 Avis 1 Paléoclimat 2 3—Approbation implicite 460 Impacts 95 Méthodes 119 Atténuation 199 Pas lié au climat 43 Paléoclimat 4 4a—Pas de position 2104 Impacts 915 Méthodes 790 Atténuation 60 Pas lié au climat 235 Avis 3 Paléoclimat 101 5—Rejet implicite 2 Méthodes 2 6—Rejet explicite sans quantification 1 Paléoclimat 1 7—Rejet explicite avec quantification 1 Méthodes 1 Total 3000
2) Une nouvelle étude publiée et acceptée par les pairs démonte la méthodologie qui a conduit à proclamer que 99% des scientifiques attribuaient à l’homme la responsabilité du réchauffement climatique. Premièrement, sur un total de 3 000 articles, ils ont soustrait 282 articles classés comme « articles non liés au climat », laissant 2 718 articles « liés au climat ». Comme seuls quatre articles ont rejeté l’hypothèse AGW, ils ont défini c = 1–4/2718 = 99,85 %. Cela démontre un biais direct dans la définition du consensus, que l’on peut décrire comme « si vous n’êtes pas contre, vous êtes pour ». En termes simples : en comptant le consensus de cette façon, tous les articles qui n’avaient pas d’opinion concernant l’hypothèse AGW (par exemple, les articles neutres) sont considérés comme favorables.
De manière équivalente, on pourrait effectuer un calcul similaire, en comptant « combien d’articles soutiennent l’hypothèse AGW ». Dans ce cas, la réponse serait 892/2718 = 32 %, ce qui conduit au résultat (quelque peu irréaliste) que 1–892/2718 = 67 % rejettent l’hypothèse AGW. Une telle conclusion serait parfaitement cohérente avec la méthodologie présentée dans Lynas et al., même s’il est clair qu’il s’agit d’un résultat biaisé. Une déclaration méthodologiquement correcte de leur analyse aurait dû être que le consensus concernant la thèse AGW est de 32 %
L’activité anthropique est considérée comme l’un des principaux moteurs du changement climatique actuel. Un article récent, étudiant le consensus concernant l’hypothèse selon laquelle l’augmentation récente de la température mondiale est principalement causée par l’homme via l’émission de gaz à effet de serre (voir le texte pour référence), a soutenu que le consensus scientifique dans la littérature scientifique évaluée par les pairs concernant ce sujet l’hypothèse dépasse 99%.
Cette conclusion a été tirée après que les auteurs ont analysé les résumés et les titres de quelque 3 000 articles et les ont cartographiés en fonction de leurs déclarations (abstraites) concernant l’hypothèse ci-dessus. Nous soulignons ici quelques défauts majeurs dans la méthodologie, l’analyse et les conclusions de l’étude.
En utilisant les données fournies dans l’étude, nous montrons que le consensus de 99 %, tel que défini par les auteurs, est en fait une évaluation limite supérieure en raison du grand nombre d’articles « neutres » qui ont été considérés comme pro-consensuels dans l’article et probablement ne reflète pas la situation réelle. Nous analysons plus en détail ces résultats en évaluant dans quelle mesure les articles dits « sceptiques » s’adaptent au consensus et constatons que les biais de la littérature, qui n’ont pas été pris en compte dans l’étude susmentionnée, peuvent placer le consensus plutôt bas.
Enfin, nous montrons que la méthode de notation utilisée dans l’étude souffre d’un biais subjectif qui se reflète dans de grandes variations entre les notations d’un même article par différents évaluateurs. Tout cela conduit à la conclusion que les conclusions de l’étude ne découlent pas des données
3) REPRENDRE tous les résumés des études mises en lien dans ce blog, elles infirment l’origine humaine mais relisez les « abstracts » et vous comprendrez que Lynas les aurait mis dans le « consensus » Le faussaire Michael Mann a reçu un coup de crosse de hockey sur le crane, depuis il délire: ceux qui doutent de l’apocalypse climatique seraient payés par les Russes Publié le 6 juillet 2023 par pgibertie
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L’ espèce humaine a besoin pour prospérer d’un climat chaud et humide, elle a été menacée de disparition à chaque refroidissement cyclique qui génère toujours de la sècheresse Publié le 10 septembre 2023 par pgibertie
Le refroidissement, c’est le pire et il s’accompagne de SECHERESSE. Le réchauffement cyclique lui s’accompagne d’humidité (le Sahara vert) La chaleur est suivie d’orages et d’humidité, c ‘est comme çà! Edouard Lartet découvre en 1864 lors de ses fouilles de … Lire la suite →
De nouvelles études prouvent que les variations climatiques sont naturelles, cycliques et totalement explicables par le soleil , petite leçon d’histoire geo pour ces incultes de journalistes Publié le 7 septembre 2023 par pgibertie
Nos journalistes ont inventé un thermometre vieux de…120000 ans!La Une de Libération me perturbe sur le niveau intellectuel des journalistes Selon les observations du CERES, l’anomalie de rayonnement à ondes courtes (SW) a augmenté de +1,75 W/m² de 2001 à … Lire la suite →
Le REFROIDISSEMENT climatique entraine la SÉCHERESSE et la crise des civilisations :celles des hittites et des mayas ont disparu pour ces raisons (-2°en un siècle ) mais les journalistes expliquent le contraire Publié le 24 août 2023 par pgibertie
Les sous doués de la presse sont contents, une étude démontre que la civilisation hittite est morte dans un contexte de sècheresse et de manière un peu rapide ils en déduisent que le réchauffement est très dangereux . Hélas, ils … Lire la suite →
Le discours sur le changement climatique ;une dangereuse corruption de la science qui menace le bien-être de milliards de personnes et s’est métastasée en une pseudoscience journalistique . Publié le 27 juillet 2023 par pgibertie
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COURT-CIRCUIT : l’unité de véhicules électriques de Ford a perdu 1,3 MILLIARD de dollars au premier trimestre 2024
30/04/2024 Laura Harris
Ford Motor Company a déclaré des pertes de 1,3 milliard de dollars sur son secteur Model E, soit une perte stupéfiante de 132 000 dollars pour chacun des 10 000 véhicules vendus au cours du premier trimestre 2024.
L'unité de véhicules électriques (VE), connue sous le nom de Modèle E, a vu ses ventes diminuer de 20 % par rapport à 2023, avec seulement 10 000 véhicules électriques vendus au premier trimestre de cette année. En 2023, la Model E a enregistré une perte de bénéfice avant intérêts et impôts (EBIT) de 4,7 milliards de dollars sur la vente de 116 000 véhicules électriques, soit une moyenne d'environ 40 525 dollars par véhicule. La perte totale représente un peu plus d’un tiers de la perte du premier trimestre. Dans le même temps, les revenus de cette année ont également été durement touchés, chutant de 84 % à environ 100 millions de dollars en raison des baisses de prix des véhicules électriques dans l’ensemble de l’industrie automobile.
En conséquence, l'unité a enregistré une perte de 1,3 milliard de dollars en EBIT.
Ces pertes ne se limitent pas à la production et à la vente des 10 000 voitures. Ford a précisé qu'ils incluent également des dépenses substantielles en recherche et développement pour les futurs véhicules électriques, qui ne rapporteront pas de bénéfices dans les prochaines années. Par conséquent, Ford prévoit que le modèle E subira des pertes EBIT de 5 milliards de dollars pour l’ensemble de l’année. (Connexe : Ford réduit considérablement les effectifs des usines de véhicules électriques alors que les ventes de voitures électriques chutent.)
En réponse, Ford cherche à aligner les prix des véhicules électriques sur les coûts réels de construction de chaque véhicule, plutôt que de couvrir toutes les dépenses de recherche et développement au cours des 12 prochains mois.
Cependant, John Lawler, directeur financier de Ford, a souligné le défi de parvenir à la rentabilité dans un contexte de guerre des prix prolongée sur le marché des véhicules électriques. Malgré les réductions de coûts, comme une diminution de 5 000 $ des dépenses par Mustang Mach-E, les revenus diminuent plus rapidement que les coûts ne peuvent être réduits.
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Le PDG de Ford reste dans le déni quant aux performances décevantes de ses véhicules électriques Le modèle E n’a pas réussi à monopoliser les ventes de véhicules électriques de l’entreprise. Au lieu de cela, une partie de ces ventes relève de la compétence de Ford Pro, une unité chargée de la vente de flottes pour les entreprises et les agences gouvernementales.
Contrairement au modèle E, Ford Pro a constaté une hausse de la demande pour les véhicules électriques de la division, notamment une commande massive du service postal des États-Unis pour des fourgons E-Transit et une commande de véhicules électriques F-150 Lightning et de SUV électriques Mustang Mach-E du Société Ecolab basée au Minnesota.
Le service postal a passé une commande de 9 250 fourgons E-Transit, dont la livraison est prévue pour la fin de l'année. Ecolab, une importante entreprise mondiale de développement durable, a passé une commande de plus de 1 000 unités chacune du F-150 Lightning EV et du SUV Mach-E.
Les performances contrastées du Model E et du Ford Pro ont affecté le bénéfice net global de l'entreprise, qui a diminué de 20 % par rapport au premier trimestre 2023. Mais le PDG de Ford, Jim Farley, nie toujours les performances décevantes de leurs véhicules électriques.
Farley a même déclaré aux investisseurs que la société s'efforçait déjà de rétablir ses revenus. Il a ajouté qu’il s’attend à ce que l’entreprise gagne bientôt des revenus grâce aux véhicules électriques.
Visitez RoboCars.news pour plus d’histoires liées à la volonté constante de passer aux voitures électriques.
Regardez ce clip de « Barron's Roundtable » sur Fox Business alors que l'animateur Jack Otter interviewe le PDG de Ford, Jim Farley, sur les risques associés à un passage à grande échelle aux véhicules électriques.
Cette vidéo provient de la chaîne News Clips sur Brighteon.com.
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La valeur de revente des voitures électriques est une bombe à retardement
2 mai 2024 par le Dr. Peter F. Mayer
Les batteries ont une durée de vie limitée, comme chacun le sait grâce à ses smartphones. La capacité diminue et après un certain nombre de cycles de charge elle chute fortement. Cependant, les batteries de remplacement ne sont pas bon marché et sont souvent plus chères que le prix neuf de la voiture. Cela signifie que la valeur de revente d’une voiture électrique tend très vite vers zéro.
Le Money Mail du Royaume-Uni a souligné hier l'existence d'une bombe à retardement imminente sur le marché des véhicules électriques d'occasion. Selon l’article, de nombreuses voitures électriques seraient presque impossibles à revendre en raison de la durée de vie limitée de leur batterie.
Selon une étude de l'ADAC, la garantie d'une batterie de voiture électrique n'est en moyenne que de huit ans ou 160,00 km. Passé ce délai, la batterie peut perdre de la puissance plus rapidement, ce qui réduit le kilométrage entre les charges.
Alors que faire si la batterie n’a plus assez de puissance et que l’autonomie est devenue trop courte, notamment à basse température. Selon Money Mail, une Renault Zoe de cinq ans coûte 9 100 £ au Royaume-Uni, mais une nouvelle batterie coûte 24 124 £. [1 £ = 1,17 €]
Pour les batteries de capacités plus élevées, le coût d’une batterie de remplacement s’élèverait jusqu’à 40 000 £. Pour certains véhicules électriques, le coût de remplacement de la batterie peut atteindre dix fois la valeur du véhicule sur le marché de l'occasion.
On ne sait pas encore exactement quel impact cela aura sur les prix des voitures électriques. Le marché des voitures électriques d’occasion est encore nouveau, puisque les premières voitures électriques populaires ne sont sorties des chaînes de montage qu’en 2009.
L'expert automobile Shahzad Sheikh, qui dirige la chaîne YouTube Brown Car Guy, a déclaré : "Avec une batterie faible, l'autonomie est limitée et il peut devenir de plus en plus difficile de revendre le véhicule après huit ans."
L'article compare le coût d'une nouvelle Renault Clio essence à environ 20 000 £ et près de 30 000 £ pour la Renault Zoe tout électrique. Une voiture essence ou diesel conventionnelle peut parcourir environ 350 000 km sur une période de 14 ans avant que le moteur ne doive être réparé ou remplacé.
Le remplacement d'un nouveau moteur à essence est estimé à environ 5 000 £, tandis qu'une batterie de voiture électrique hors garantie coûte entre 13 000 £ et 40 000 £, selon la marque de la voiture.
Le coût élevé des batteries de voitures électriques est dû à la difficulté d’extraire les métaux tels que le nickel, le cobalt, le lithium et le manganèse utilisés dans les batteries lithium-ion. Ils sont également nécessaires à la production d’autres appareils électroniques tels que les téléphones portables et les ordinateurs portables.
L'article évalue les coûts d'installation à environ 2 000 £ pour une Nissan Leaf avec une nouvelle batterie de 40 kWh à 12 780 £. Cela concerne la manipulation des batteries, ce qui n’est pas vraiment facile. Par exemple, tous les ateliers Tesla disposent également de leurs propres bassins d’eau hermétiques dans lesquels ils stockent les batteries retirées.
Et récemment, j'ai vu dans une caserne de pompiers une caisse rouge destinée au transport de voitures électriques endommagées, comme celle-ci montrée dans la vidéo :
Le problème de prix survient probablement bien avant la fin de la garantie. Si vous achetez une voiture âgée de 5 ans, votre valeur de revente risque de disparaître, ce qui fera baisser considérablement le prix. Un véhicule essence ou diesel âgé de 8 ou 10 ans présente une perte de valeur bien moindre, en particulier dans la catégorie de prix plus élevée dans laquelle on trouve également des voitures électriques.
« Guerre de l’Energie ou troisième guerre mondiale ». Il faut revenir à un plan nucléaire européen pour assurer notre indépendance.
Entretien avec Fabien Bouglé France-Soir le 02 mai 2024 - 19:30
Fabien Bouglé, expert en politique énergétique, essayiste et auteur d’une trilogie de bestsellers dont le dernier « Guerre de l’énergie »
ENTRETIEN ESSENTIEL - Fabien Bouglé est expert en politique énergétique, essayiste et auteur d’une trilogie de bestsellers dont le dernier "Guerre de l’énergie" se révèle être une lecture essentielle pour tous ceux qui désirent comprendre les enjeux de la stratégie énergétique en France et en Europe.
Dans cet entretien essentiel, nous évoquons tour à tour, l'échec des candidats aux élections européennes à se poser les questions essentielles et critiques pour nos populations. "Guerre de l’énergie" retrace le rôle de l’énergie dans l’histoire et comment l’Europe se retrouve aujourd’hui au sein d’un conflit énergétique géopolitique aux enjeux majeurs pour son avenir. La construction de l’Europe de 1957, et ses prémices, reposait sur une construction d’indépendance énergétique commune. Depuis, la technocratie ainsi que l'influence de puissances étrangères ont modifié notre dépendance du gaz russe au gaz américain débarqué par bateau afin de soutenir l’économie allemande.
Fabien Bouglé remet l’énergie et son contrôle au centre des préoccupations.
- voir clip sur site -
Il apporte quelques réponses après une critique sévère des politiques gouvernementales des 40 dernières années, qui ont négligé l'indépendance énergétique cruciale pour renforcer l'autonomie de l'Europe. Cela concerne également la France qui, grâce à son programme nucléaire, bénéficiait d'un avantage concurrentiel en Europe et jouait un rôle clé dans son développement. Des chiffres analysés en toute simplicité qui démontrent le degré de déconnexion des politiques à l’approche des européennes.
Voiture électrique : un marché tiré par les subventions
Scapin le 3 mai 2024
Lorsque les États retirent les subventions à l’achat de voitures électriques, la demande ne baisse pas, elle disparait. Telle est l’observation de Carlos Tavares lors de son audition au Sénat.
Après Vincent Bolloré à l’Assemblée nationale, ces auditions de grands chefs d’entreprise que sont Patrick Pouyanné et Carlos Tavares montrent le fossé qui existe entre eux et les parlementaires qui votent les normes qui nous dirigent.
Émissions de rayonnements énergétiques dirigées de cinquième génération (5G) dans le contexte de vaccins nanométalliques contaminés contre le Covid-19 avec des antennes en oxyde de fer en graphite
Rapport d'expertise Par Mark Steele Recherche mondiale, 2 mai 2024
Introduction
J'écris ce rapport d'expert en tant qu'ingénieur, inventeur, rédacteur de brevets et chercheur britannique en matière d'armes ; un ingénieur avec une formation en science des matériaux et inventeur des premiers guides d'ondes optiques binoculaires au monde, des systèmes de visée pour armes, des affichages tête haute d'imagerie thermique infrarouge, des réacteurs moléculaires, du traitement du signal et de la conception de transducteurs, pour n'en nommer que quelques-uns.
En tant que directeur technologique (CTO) de l'entreprise qui a conçu et mis sur le marché le premier produit d'affichage tête haute (HUD) au monde approuvé au niveau international, accrédité par un certain nombre de prix d'innovation, mais plus important encore, réglementé selon un certain nombre de normes internationalement reconnues, notamment (DOT) Department of Transport ECE 22.05, ainsi qu'ANSI et d'autres, on m'a fait confiance pour l'établissement de normes internationales pour les systèmes HUD de réalité augmentée (AR) et de réalité virtuelle (VR).
Reportez-vous à la pièce 2a, du conseil en brevets, Ex. 2b de Recorder Nolan, Ex. 2c Cyber-Commandement, Ex. Normes 2d pour les systèmes HUD, Ex. Annexe 2di.
Cyber Command USA a été informé de mon expertise et m'a spécifiquement demandé conseil concernant une conception d'antenne 5G inhabituelle déployée à travers les États-Unis. J'ai été extrêmement chanceux que la plupart (mais pas la totalité) de mes travaux de recherche et de développement de produits aient été effectués en dehors de la législation sur les secrets officiels (OSA).
J'ai agi en tant que témoin et fait des déclarations dans plusieurs affaires judiciaires, révélant l'absence de toute preuve crédible que le réseau de diodes électroluminescentes (DEL) 5G et la connexion neuronale prévue au réseau 5G sont sûrs.
Cela inclut les technologies de nanométamatériaux qui contaminent les vaccins, qui ne sont ni légales ni licites et qui enfreignent un certain nombre de lois internationales et nationales.
Le juge Nolan de la Crown Court de Newcastle a déclaré que « le risque 5G doit être débattu » et que « c'est une démocratie et le public a le droit de savoir ».
Les preuves que j’ai présentées au tribunal ont mis en échec la tentative des autorités locales et des acteurs de l’establishment britannique de m’empêcher de fournir les preuves scientifiques publiées sur les risques que représente pour le public et l’environnement le réseau de radars urbains 5G et son objectif ultime.
L’échec de l’action en justice intentée par l’autorité locale a créé une tempête publicitaire qui a contribué à mettre en évidence les risques réels liés au déploiement de la 5G à travers le monde, ainsi que le manque total de soin apporté par les régulateurs autorisant ce déploiement de la 5G.
Mon implication dans plusieurs projets de recherche et développement s'étend sur l'ensemble de ma carrière professionnelle et inclut certains de nature sensible en raison des restrictions de la Loi sur les secrets officiels de 1911 et je ne suis donc pas libre de les divulguer dans le domaine public ; il suffit de dire que ces travaux ont conduit à une compréhension des contrats du ministère de la Défense (DOD), au compartimentage des projets de conception de produits d'armes et aux armes à énergie dirigée (DEW), dont l'existence a été jusqu'à récemment obscurcie et parfois niée. I.1.
L’utilisation d’armes directionnelles à rayonnement micro-ondes par des acteurs inconnus dans les ambassades américaines à Cuba, en Chine et en Russie, connue sous le nom de syndrome de La Havane, n’est toujours pas pleinement reconnue par les autorités. Le syndrome de La Havane porte toutes les caractéristiques des émissions de rayonnements micro-ondes, qui ont causé aux victimes des dommages neurologiques importants et irréparables, entre autres blessures. Le gouvernement américain n'a pas réussi à garder ces armes secrètes et a récemment adopté un projet de loi visant à indemniser les victimes du personnel de l'ambassade. I.2
Les agences de renseignement américaines, dans leurs communications avec le gouvernement russe, confirment qu’elles connaissaient déjà l’existence et la capacité des armes à rayonnement micro-ondes et qu’elles appelaient leurs supposés adversaires russes à cesser l’utilisation de ces armes contre leurs ambassades. I.3
Mon domaine de recherche couvre également d'autres systèmes d'interrogation et d'armes sur le champ de bataille, notamment les systèmes d'armes autonomes létales (LAWS), I.4, les véhicules sous-marins autonomes (AUV), la détection et la télémétrie par lumière (LIDAR), les technologies de radar à réseau phasé, dont la 5G pour le suivi des armes. plates-formes, ainsi que des actifs biologiques sur et hors du champ de bataille qui sont de plus en plus utilisés dans un cadre civil pour inclure les technologies de reconnaissance faciale, les véhicules électriques autonomes, les drones, dont aucun n'a été pleinement évalué sur le plan environnemental pour les dommages causés par leurs émissions de rayonnements au grand public. ou la faune. I.5
Radar urbain 5G, rayonnements ionisants et risques liés aux infrastructures critiques La 5G, contrairement à toutes les autres générations (G) de télécommunications, est techniquement identifiée comme une émission d'énergie dans l'air dirigée par un radar urbain, ce qui nécessite que l'antenne soit conçue pour que l'énergie concentrée dans l'air nécessaire à la compression à grande vitesse des données soit transmise. et d' antennes conçues pour envoyer et recevoir de l'énergie focalisée à travers un signal théorique collimaté et cohérent. II.1
L'onde de formation de faisceau dans l'émission du lobe principal enfreint la directive de la Commission internationale sur la protection contre les rayonnements non ionisants (ICNIRP) de 61 V pour une exposition maximale de 6 minutes. II.2
Cette ligne directrice de l'ICNIRP est contraire à la résolution 1815 du Conseil de l'Europe (COE) et à la ligne directrice européenne de 2016, qui confirment la publication scientifique évaluée par des pairs selon laquelle tout ce qui dépasse 600 mV/m doit être limité à une exposition à court terme et à une exposition à long terme. l'exposition ne doit pas dépasser 200 mV/m. C'est un ordre de grandeur inférieur à la directive ICNIRP de 6 minutes, 61 000 mV, qui est une valeur de cuisson biologique. L'ICNIRP est largement reconnue comme une « agence capturée », comme l'ont confirmé les tribunaux italiens. II.3
Le mouvement de balayage de l'onde du faisceau à plus de 13,6 V provoque une charge positive de l'air, qui est nocive pour toute vie biologique à des distances significatives entre l'émission de l'antenne et la zone d'acquisition cible, telle est la capacité du matériel et des logiciels 5G. C'est la raison même pour laquelle cet équipement est et a été largement utilisé sur le champ de bataille comme radar de balayage de l'environnement et armes à énergie dirigée (DEW) dans le but de perturber et de désactiver le matériel ennemi, ainsi que les actifs biologiques, c'est-à-dire les humains. II.4
En règle générale, la conception de l'antenne 5G utilise une puissance d'entrée et une sortie dirigée plus importantes pour fournir des signaux de compression de données ciblés et de haute puissance mesurés en watts ou en électrons-volts.
L'industrie aéronautique, notamment Boeing et Airbus, a récemment fait part de ses inquiétudes concernant la 5G en raison de sa capacité à mettre en danger les avions de passagers qui ne disposent pas des technologies militaires d'atténuation dans un environnement civil pour protéger leurs pilotes ou les systèmes de commande de vol des avions contre les émissions d'énergie dirigées. II.5
L’industrie des télécommunications et d’autres organismes de réglementation n’ont cessé de nier l’objectif réel et l’existence des dangers radiologiques posés par le déploiement des technologies 5G ; ils ont activement induit le public en erreur en publiant des communiqués de presse manifestement faux dans les médias locaux et nationaux, ainsi qu'en faisant de fausses déclarations devant les tribunaux dans des tentatives infructueuses de discréditer des experts, y compris moi-même, même s'ils avaient été informés par leurs propres agences de renseignement que le Les technologies expérimentales et non assurables étaient et restent extrêmement dangereuses pour la sécurité de l’État. II.6
« Backhaul » dans le contexte de la 5G est le terme utilisé pour désigner l'avancée technologique qui permet d'interroger et de récupérer simultanément des données à partir de plusieurs appareils et environnements ; en d’autres termes, espionner toute la zone, ne laissant aucune chance d’intimité.
La capacité d’interroger et de numériser les renseignements recueillis enfreint un certain nombre de lois relatives aux droits de l’homme. Ce brevet (II.7), l'un des nombreux brevets qui confirment la capacité d'interroger les émissions sonores et vocales à travers les bâtiments afin de recueillir des données sur une population sans méfiance à l'aide de systèmes matériels et logiciels électromagnétiques, fait tous partie de la vaste boîte à outils 5G.
La domination du spectre du réseau 5G de moins de 3 GHz à 300 GHz pose un risque réel de blessures corporelles dues à des fréquences de valeur énergétique photonique plus élevée qui sont des émissions de rayonnement cohérentes, dont l'impact est actuellement inconnu car elles n'ont pas été testées et leur sécurité n'a pas été prouvée, et non assurables, avec des niveaux d'émissions de rayonnements dépassant tout ce qu'imaginaient les technologues antérieurs. Les valeurs de rayonnement indicatives de l'ICNIRP s'appliquent uniquement aux émetteurs de dispositifs à antenne unique et ne prennent pas en compte l'augmentation et la multiplication massives des dispositifs d'émission de rayonnement proposés dans toutes les villes et villages pour le réseau 5G, qui est destiné à tout interconnecter simultanément à l'aide de dispositifs biologiques très complexes. toxiques, et en particulier le rayonnement micro-ondes modulé. II.8
Le déploiement de la 5G est en cours par les gouvernements du monde entier dans toutes les villes et villages sans aucune analyse d'impact environnemental préalable obligatoire ni assurance publique contre les instruments de préjudice (II.9), faisant de l'ensemble du déploiement du réseau un acte illégal et illicite de la part des autorités agissant ultra vires en permettant aux émissions de rayonnements ionisants et non ionisants biologiquement toxiques d'avoir un accès sans entrave à l'environnement. Les entreprises de télécommunications s'auto-certifient généralement avoir respecté les directives (obsolètes) de l'ICNIRP, ce qui leur permet d'enfreindre ces directives sans sanction, car aucun organisme de réglementation ne procède à des évaluations indépendantes du respect des directives de l'ICNIRP. II.10.
Ce sont les mêmes directives de l'ICNIRP qui ont démontré qu'elles provoquent des problèmes de santé et des cancers dans la population générale à proximité des réseaux 4G existants. II.11
Un autre facteur troublant est que l'industrie des télécommunications responsable du déploiement a confirmé qu'elle n'avait mené aucune recherche scientifique et ne disposait donc d' aucune donnée de recherche scientifique publiée à ce jour sur l'impact réel des réseaux 5G sur l'environnement.
Des études indépendantes sur le sujet réfutent la propagande de l’industrie et du gouvernement sur la sécurité du réseau 5G. I I.12
Les agences gouvernementales chargées de protéger la population contre les propriétés cancérigènes confirmées des rayonnements non ionisants et ionisants n'ont pas réussi à fournir un cadre réglementaire de normes de sécurité ou de lignes directrices pour protéger l'environnement, exposant ainsi un public sans méfiance à des niveaux de rayonnement qui sont nocifs et mettent la vie en danger. II.13
De graves risques liés aux infrastructures critiques ont été ignorés dans la ruée non réglementée vers le déploiement du réseau 5G. Les régulateurs industriels et gouvernementaux du monde entier ont ignoré un certain nombre de risques sérieux scientifiquement établis découlant de la densification massive de la 5G, de l'Internet des objets (IOT) et des avions SMART, des communications Internet sur les réseaux électriques, des systèmes d'antennes urbaines, qui nécessitent des milliards de quadrature à large spectre. émetteurs de rayonnement micro-ondes à modulation d'amplitude (QAM).
En 2018, le réseau cellulaire du Canada était soutenu par environ 33 000 grandes tours mesurant jusqu'à 200 pieds de hauteur. Le nouveau protocole 5G nécessitera des émissions d'ondes de rayonnement beaucoup plus nombreuses et plus élevées en utilisant des tours précisément situées dans les villes du Canada (environ 273 000) à une hauteur beaucoup plus courte et avec des demandes d'énergie beaucoup plus importantes sur le réseau électrique. II.14
Le récit de propagande de l’industrie et des agences affirmant que ces réseaux 5G consomment moins d’énergie est manifestement faux. L'augmentation massive du nombre d'antennes provenant des antennes massives à entrées et sorties multiples (MIMO) pour la 5G, ainsi que les réseaux mini et micro relais, ainsi que l'utilisation accrue des données des appareils nécessitent tous une consommation d'énergie supplémentaire en watts. Le radar à balayage continu et non sur demande, conçu pour détecter la zone cible, est continuellement opérationnel, avec la superposition supplémentaire de multiples ondes de faisceaux focalisées à plus haute énergie, créées par les antennes d'émission déphasées. Ces ondes de faisceaux focalisées à haute énergie, opérant sur une plus grande partie du spectre, utilisent des valeurs de photons d'énergie plus élevées dans le spectre d'ondes millimétriques compressées pour fournir des faisceaux de compression de données de haute puissance dans les zones urbaines. C'est la raison pour laquelle l'industrie aéronautique est très préoccupée par les risques. posés à leurs systèmes de communication, essentiels à la sécurité des avions en vol.
Les installations d’antennes de masse 5G prévues et actuellement déployées s’ajoutent toutes à un besoin toujours croissant d’énergie supplémentaire pour produire le transfert accru de données via les émissions de rayonnements entre les villes et les villages. On sait que les émissions de rayonnements micro-ondes augmentent les températures thermiques, contribuant ainsi aux défis du changement climatique et aux effets potentiellement mortels de l’augmentation des températures dans les villes. Les impacts des îlots de chaleur sont définis comme de grandes zones urbaines affectées par des augmentations des températures urbaines reconnues par l'Environmental Protection Agency (EPA) comme entraînant des effets néfastes sur la santé et une augmentation de la consommation d'énergie. II.15
La consommation d’énergie dans les îlots de chaleur augmente la demande de climatisation pour refroidir les bâtiments. Dans une évaluation d'études de cas couvrant plusieurs pays, la demande d'électricité pour la climatisation a augmenté d'environ 1 à 9 % pour chaque augmentation de température de 2 °F. Les pays où la plupart des bâtiments sont climatisés, comme les États-Unis, ont connu la plus forte augmentation de la demande d’électricité. Les îlots de chaleur contribuent à des températures diurnes plus élevées, à une réduction du refroidissement nocturne et à des niveaux de pollution atmosphérique plus élevés. Ceux-ci, à leur tour, contribuent aux décès et aux maladies liés à la chaleur, tels que l'inconfort général, les difficultés respiratoires, les crampes de chaleur, l'épuisement dû à la chaleur et les coups de chaleur non mortels.
Le rayonnement micro-ondes affectera également un grand nombre de structures moléculaires dans les matériaux, ce qui augmente le risque d'incendie dans les bâtiments. Cela est dû à la dégradation des éléments hydrocarbures présents dans les bâtiments en raison du rayonnement micro-ondes modulé, qui provoque un échauffement localisé et la dégradation des matériaux. Le rayonnement micro-ondes à certaines fréquences excitera les molécules d'eau et s'il n'y a pas d'humidité disponible, d'autres molécules moins volatiles absorberont le rayonnement et commenceront à chauffer. Par conséquent, tout matériau séché peut surchauffer et s’enflammer plus facilement dans un champ micro-ondes, une sorte d’amorçage. Les risques particuliers aux émissions de rayonnements 5G sont dus à la densification de masse proposée et à la domination spectrale des émissions de rayonnements. De plus, tout objet métallique à l'intérieur d'un champ micro-ondes peut présenter des propriétés diélectriques susceptibles de provoquer des étincelles, susceptibles de provoquer un incendie ; ceci est dû à une accumulation de particules chargées, une énergie qui produit un champ électrique concentré au bord du métal. II.16
Ce sont tous des phénomènes scientifiques qui ont été ignorés par les régulateurs et l’industrie, mais le problème le plus alarmant, non reconnu et non réglementé est la fatigue des matériaux causée par le bombardement continu de la compression de données 5G et des champs d’énergie micro-ondes modulés focalisés (QAM). La 5G nécessite une compression d’énergie de paquets de données beaucoup plus complexe et ciblée.
Le potentiel d'une fréquence spécifique provoquant la dissociation des structures moléculaires des matériaux de construction solides, des œuvres d'art inestimables et des collections de vins, entre autres choses, ne peut être surestimé en raison des impacts d'ondes croisées actuellement non étudiés de niveaux d'énergie aussi élevés. émissions de rayonnement modulées dans l’air. Cette cacophonie de pollution par les rayonnements micro-ondes pourrait entraîner de graves pannes dans les équipements les plus importants, y compris le réseau électrique. L'infrastructure critique actuelle n'a jamais été évaluée ou conçue avec cette valeur de vibration pulsée et d'énergie dans l'air ajoutée au calcul de fatigue des matériaux et à la durée de vie ultime de l'infrastructure établie, y compris le réseau électrique. II.17
Ce qui a également été découvert, c'est une capacité de puissance latente inutile intégrée au réseau matériel 5G SMART IOT. Cette grande capacité pourrait facilement être utilisée pour une éventuelle attaque par impulsion électromagnétique (EMP) contre les villes et les populations II.18
Cela dépendrait de l’interconnectivité connue et de l’accès à distance d’un réseau facilement piratable à tous les dispositifs d’émission du réseau de rayonnement 5G construit. II.19
Les systèmes d'exploitation 5G ont déjà été compromis et pourraient présenter un risque de sécurité important, car les EMP peuvent provoquer une perturbation majeure des systèmes de communication électromagnétiques, du réseau électrique et du matériel électronique ; Les émissions d'IEM proviennent généralement de sources telles que le Soleil et un certain nombre d'armes développées. II.20
Il a été démontré que l’onde d’impulsion électromagnétique issue des essais de bombes nucléaires provoquait d’importantes perturbations du réseau électrique à de grandes distances. Quelque chose de similaire s'est produit lorsque la 5G a été activée en Corée du Sud en avril 2019 : elle a provoqué de nombreux incendies dans la ville en raison de la panne documentée des transformateurs du réseau électrique. Le gouvernement sud-coréen et les médias ont fait croire que cela avait été causé par des incendies de forêt dans cinq villes distinctes simultanément dans tout le pays lorsque la 5G a été activée, mais cette cause présumée n'explique pas la perturbation du réseau électrique et la destruction du matériel critique du réseau électrique. Les risques EMP identifiés aux États-Unis démontrent que ce type de technologie 5G mal réglementée présente un risque potentiel partout dans le monde. II.21
Le récit des télécommunications pour la 5G n’est qu’une couverture pour sa capacité et son objectif futurs réels, comme le confirme l’absence totale de recherche sur les risques environnementaux et de couverture d’assurance en cas de préjudice . Le futur domaine de l’espace de combat et le déploiement en cours des avancées technologiques de la 5G incluent les armes 5G pour la guerre dans les villes, les villages et les campagnes. Ce domaine inclut les technologies de guerre psychologique, notamment le contrôle et la diffusion d’informations via les réseaux sociaux afin de masquer le véritable objectif de la 5G en tant que système de guerre.
« L’espace de mission de cinquième génération représente un nouvel environnement dans lequel les futures opérations se dérouleront. La complexité du domaine est exacerbée par des acteurs incontrôlés et indéfinis qui dirigent ou influencent le récit. Le plus grand défi du nouvel espace de mission est l’érosion totale des concepts d’ennemi et de guerre elle-même. L’adversaire sera beaucoup plus ambigu et la guerre deviendra un phénomène insidieux conçu pour se dégrader de l’intérieur plutôt que d’attaquer de l’extérieur ». (c'est nous qui soulignons) II.22
Les forces d’opérations spéciales débattent déjà des opportunités et des risques liés aux réseaux IOT 5G, avec des assassinats via les LOIS qui peuvent être utilisées pour éliminer les individus ciblés.
« L'adoption des métamatériaux a été la plus importante dans les communications, les antennes et les systèmes radar, avec les applications d'identification par radiofréquence (RFID) associées pour le marquage, le suivi et la localisation. Le passage aux communications 5G et aux capacités radar extraordinaires accélérera encore les développements, avec des ventes commerciales qui devraient dépasser 10 milliards de dollars par an d'ici 2030. Les métamatériaux font partie intégrante des futures antennes hautes performances, haute impédance, discrètes, conformes et fractales pour systèmes de communication et radar. Il existe un immense potentiel pour des changements révolutionnaires dans les communications militaires et les systèmes radar grâce aux métamatériaux. En effet, à mesure que les métamatériaux seront davantage intégrés dans les technologies d’antenne, ils réduiront les coûts des systèmes, permettront de fabriquer des dispositifs plus petits avec des besoins énergétiques réduits, faciliteront de nouvelles formes et facteurs de forme et offriront des capacités de formation et de mise en forme de faisceaux plus agiles. II.23
Le complexe militaro-industriel du monde entier ne connaît que trop bien les avantages de l’utilisation de systèmes d’armes électromagnétiques pour les interrogatoires sur le champ de bataille, à savoir la 5G, et ce depuis l’émergence de cette technologie pendant la Seconde Guerre mondiale. Ce qui est également bien compris, c'est le vaste corpus de données scientifiques publiées montrant les effets néfastes des réseaux de télécommunications actuels sur la santé et l'environnement. La 5G ajoute toute une série de risques supplémentaires pour l’environnement et pour la santé de la population. II.24
Ce n’est pas un argument qui peut désormais être contesté ; La dérive des missions et la planification de guerres asymétriques et non conventionnelles à travers les villes devraient être une préoccupation majeure, en particulier pour la population civile au cas où elle deviendrait la cible d’un régime technocratique et fasciste orwellien. Qui contrôlerait le radar d’interrogatoire urbain d’espionnage et dirigerait l’énergie dans les systèmes d’armes aériennes ? II.25
De nombreuses opportunités sont actuellement en discussion dans l’industrie de la défense, en se concentrant sur la capacité des réseaux urbains 5G à capter la population avec des antennes métamatérielles, tandis que de sérieuses préoccupations et risques semblent être ignorés. II.26
Ces programmes et projets futurs présentent un risque important pour les libertés civiles, les infrastructures critiques et l’État de droit.
Métamatériaux de vaccination, champs magnétiques de contamination par nanoparticules Il a été démontré dans un certain nombre d’études que les vaccins contiennent des contaminants métalliques toxiques, y compris des niveaux « inexplicables » de contamination nanométallique. III.1
Ce phénomène est loin d’être inexplicable si les chercheurs qui ont mené cette étude avaient eu connaissance des objectifs de l’industrie de défense et des ingrédients métamatériaux pouvant être utilisés pour améliorer les technologies d’interrogation urbaines 5G, ainsi que de divers autres projets de développement de nanomatériaux. III.2
Les métaux sont presque universellement réfléchissants aux radars et sont donc visibles pour être utilisés comme moyen de détection d'objets. « Wetware » est le nom donné aux structures biologiques opérant dans l’espace du champ de bataille qui sont beaucoup plus difficiles à suivre, à tracer ou à attaquer à l’aide de LIDAR, RADAR ou DEW. Les métaux sont de puissants réflecteurs d’ondes électromagnétiques et permettent une détection et une résolution accrues des technologies d’interrogation sur le champ de bataille. Des formes métalliques spécifiques en polymères peuvent être utilisées pour leurs propriétés diélectriques afin de dévier et d'absorber la capacité de réflexion et d'interrogation des systèmes radar actuels. III.3
Cependant, sans utiliser cette forme précise et cette encapsulation polymère, la contamination métallique sous forme de métamatériaux permet une résolution plus élevée de la cible. Une fois la technologie du vaccin Covid-19 injectée dans le corps, l’acquisition cible du logiciel humide est beaucoup plus précise et le domaine technologique peut être utilisé pour collecter des données biométriques. Il est envisagé que les appareils électroniques portables et portables actuellement utilisés pour connecter la personne au Cloud deviendront redondants en raison de ces avancées technologiques et d'autres avancées technologiques. Le réseau de contrôle Neuralink utilise des antennes nanotechnologiques implantées qui peuvent collecter ces données et les télécharger sur le Cloud ; ces innovations dépassent largement la phase de planification et font toutes partie du futur espace du champ de bataille. III.4
Les recherches du Dr Robert O. Young confirment que les injections du Covid-19 ont été entièrement chargées de métamatériaux, à savoir du graphite et des nanoparticules d'oxyde ferreux. III.5
Cette découverte choquante est confirmée par nos propres recherches menées sur les victimes, ainsi que par des milliers de vidéos anecdotiques montrant des émissions de rayonnements électromagnétiques ; ainsi que des aimants et des objets métalliques réagissant aux sites d’injection des personnes vaccinées avec le sérum Covid-19. Les autres biomarqueurs utilisés incluent le SM-102, qui est un phospholipide toxique présent dans les vaccins Moderna Covid-19, une luciférine synthétique qui améliore la luciférase d’imagerie par bioluminescence. III.6
Les luciférines peuvent être activées à l'aide d'un rayonnement électromagnétique pour créer une bioluminescence du sujet. Les technologies de reconnaissance faciale, qui font partie de la boîte à outils technologique 5G, peuvent ensuite être utilisées pour suivre et retracer le sujet contaminé dans l’espace environnemental.
Les décès et les dommages biologiques importants dans la population causés par l’intervention médicale du vaccin expérimental à ARNm contre le Covid-19 ont désormais été documentés dans près d’un millier d’articles scientifiques publiés. III.7.
Les injections de Covid-19 sont désormais liées à la coagulation sanguine, à la myocardite, à la péricardite, à la thrombose, à la thrombocytopénie, à l'anaphylaxie, à la paralysie de Bell, au syndrome de Guillain-Barré et au cancer, entre autres. Ceci est confirmé par des données scientifiques irréfutables et par les données recueillies par le gouvernement auprès de l’Agence britannique de santé et de sécurité, qui montrent que les vaccins contre le Covid-19 sont dangereux et inefficaces.
Symptômes du coronavirus radio-induit COVID-19 La grande majorité des populations occidentales, en particulier celles de la communauté Five Eyes, l'alliance de renseignement Anglosphere comprenant l'Australie, le Canada, la Nouvelle-Zélande, le Royaume-Uni et les États-Unis, se sont vu injecter à leur insu des antennes nano-métamatériaux. et vont malheureusement souffrir d’une augmentation des taux de mortalité en raison des émissions localisées de rayonnements réfléchissants du radar urbain 5G. Tous les symptômes connus du coronavirus peuvent être attribués à la pollution par les rayonnements ionisants et non ionisants. IV.1, IV.2
La 5G a été identifiée dans un certain nombre d’articles publiés comme la véritable cause de la pandémie, dont le début a coïncidé avec la mise en service du réseau 5G dans la province de Wuhan, dont la population venait d’être vaccinée obligatoirement contre la grippe. La 5G a le potentiel de fournir des niveaux d’énergie ionisants qui entraîneraient une suppression du système immunitaire, exposant ainsi le corps à un risque de maladie. IV.3
L'agent pathogène Covid-19 n'a pas été isolé ni purifié et aucune agence gouvernementale ne peut actuellement fournir l'isolat ou la preuve de son existence réelle , à l'exception de la modélisation in-silice créée par l'Institut de Wuhan, officiellement reconnu comme le virus le plus avancé de Chine. complexe de laboratoires de recherche. La Chine est signataire de la Convention sur les armes biologiques (CAB) depuis 1985 et a déclaré en 1993 l'Institut des produits biologiques de Wuhan comme l'un des huit centres de recherche sur la guerre biologique couverts par la CIAB. Toute personne travaillant sur ou sur ce site serait légalement tenue de ne divulguer aucun secret découlant de son emploi dans cette installation et n'est donc pas libre de s'exprimer. Le laboratoire national de biosécurité de niveau 4 (BSL-4) de Wuhan est dédié à la recherche sur les maladies infectieuses graves. Il a le plus haut niveau de sécurité biologique et couvre de nombreuses biotoxines et gains illégaux de fonction des développements d'armes biologiques du SRAS-Cov-2, et a été la source des données initiales sur les agents pathogènes pour l'existence de Covid-19 et le commerce pharmaceutique international qui en a résulté. réponse du programme de vaccination. Par coïncidence, le test PCR n'a jamais permis d'identifier un virus ou un agent pathogène vivant et constitue la base fondamentale des confinements à travers le monde, qui ont été utilisés avec beaucoup d'effet pour terroriser la population mondiale en lui faisant croire que le Covid-19 existe sous la forme d'un virus vivant. et que la seule stratégie de survie consiste à utiliser une technologie d’arme biologique se faisant passer pour un vaccin. IV.4
Les Centers for Disease Control (CDC) ont désormais supprimé le test PCR comme outil de diagnostic, après qu'il ait été utilisé à mauvais escient, ce qui témoigne de son utilisation délibérée pour susciter la peur et la détresse au sein d'une population mal informée. IV.5
Des chercheurs et des médecins du monde entier ont été bâillonnés, menacés et vilipendés dans les médias et discrédités en tant que théoriciens du complot par les gouvernements et leurs agents lorsqu'ils se sont prononcés pour s'opposer à ce programme transmondialiste. La Déclaration de Great Barrington, qui compte plus de 800 000 signataires, a été ignorée et vilipendée par ceux qui prônent leur discours terrorisant. Il a été ignoré de manière inconcevable afin que les populations occidentales puissent être terrorisées et les inciter à participer à la plus grande expérience médicale illégale et illicite de l’histoire du monde. IV.6
Les humains augmentés augmentent la mortalité dans les champs de rayonnement 5G Les humains augmentés et leur soi-disant amélioration biologique font déjà partie de l’agenda mondial connecté numériquement des gouvernements et des industries de défense. V.1.
Étonnamment, dans les démocraties représentatives du monde entier, cela se produit sans aucune consultation publique, sans aucun débat public de la part des participants proposés à cet agenda idéologique, technologique et politique. V.2
On peut postuler que la seule raison que l’élite technocratique, y compris les forces motrices du Forum économique mondial (FEM) et de l’Organisation des Nations Unies (ONU) avec son Agenda 2030, pourrait avoir pour garder cet agenda mondial connecté numériquement hors du public est que ils le condamneraient et refuseraient d'y participer. Même si ce programme comporte des implications juridiques sérieuses et évidentes, l’accent devrait être mis sur les implications juridiques de l’autorisation de l’utilisation de technologies biologiquement nocives qui auront un impact néfaste sur la santé, l’environnement et la mortalité. Il n’existe actuellement aucune donnée ou recherche crédible sur la sécurité démontrant que le déploiement de cette technologie est sûr. Un autre exemple choquant de produit mis sur le marché sans normes de sécurité optique ni protocoles de test est celui des casques de réalité virtuelle (VR). Malgré le fait que le rayonnement optique artificiel constitue un danger connu pour l'environnement et l'homme, ces casques nécessitent un grossissement du rayonnement optique comme affichage rétinien et confirment le mépris total de la sécurité et de la loi. Autre exemple, la technologie de liaison montante neuronale nécessite l’insertion ou l’injection de nanométamatériaux dotés d’une capacité d’antenne dans le cerveau et le corps des humains à travers la planète. V.3
Il a déjà été démontré dans la littérature publiée que les nanomatériaux produisent des effets biologiques néfastes provoquant la mort cellulaire et des problèmes potentiels de fertilité. V.4, V.5
Il est suggéré que les nano-antennes soient utilisées pour recevoir et répondre en utilisant une compression cohérente des données QAM dans le corps, sans aucune donnée de sécurité correspondante, créant ainsi une population d'entités émettrices de rayonnements qui, selon certaines définitions légales, deviendraient des appareils électriques et ne seraient donc pas classées. comme humain. Les niveaux d'énergie de ces signaux cohérents proposés depuis et vers des antennes positionnées dans le corps et le cerveau augmenteront les dommages cellulaires dus aux impacts des rayonnements provenant de l'extérieur du corps, dont il a déjà été démontré qu'ils sont génotoxiques. V.6
Dans la plus grande étude indépendante menée, l'étude du National Toxicology Program (NTP), le dont les résultats sont soutenus par l’ensemble des publications scientifiques indépendantes. Ces études confirment l'effet génotoxique sur les animaux résultant d'expositions subchroniques au niveau des lignes directrices de l'ICNIRP. Les émissions urbaines de la 5G sont conçues pour provoquer une exposition chronique aux rayonnements qui augmentera sans aucun doute les effets génotoxiques sur toute la vie biologique avec laquelle les rayonnements entrent en contact. Ces émissions de rayonnements dépassent largement le niveau de contamination de 6 minutes recommandé par l'ICNIRP sur certains spectres. Les preuves provenant de zones couvertes par les émissions de rayonnements moins puissantes et moins densifiées des réseaux 4G ont déjà montré des effets néfastes importants sur la faune. V.7.
Les organismes biologiques plus petits qui composent l’ensemble de l’écosystème sont moins protégés contre les émissions de rayonnements d’origine humaine et peuvent donc montrer leurs effets de manière plus visible et incontestable. Il a été démontré que la pénurie aiguë de petits insectes est principalement causée par de nouvelles émissions expérimentales de rayonnements artificiels, notamment les diodes électroluminescentes (DEL), qui ont été peu étudiées en raison de leurs effets néfastes sur l'environnement. V.8
L’ajout de nano métamatériaux par implant, injection et contamination environnementale créera un environnement cytotoxique préjudiciable à toute vie biologique. La réflexion localisée des antennes métamatérielles ou des entités vaccinées contaminées par des nanométaux contribuera à une augmentation substantielle des expositions aux rayonnements, en particulier dans les villes. La technologie de liaison 5G peut désormais capturer et interroger plusieurs points de données, conversations, ainsi que des données biométriques et des mouvements corporels 24 heures sur 24, tous les jours, au détriment des personnes vaccinées contre le Covid-19 pour le reste de ce qui sera probablement limité. l'espérance de vie, ainsi que de ceux qui ne peuvent pas s'éloigner de ces réseaux de rayonnement 5G et de ces environnements pollués par des nanoparticules.
Les champs magnétiques artificiels accompagnent l’onde du faisceau numérisé (QAM), ce qui augmente les émissions et crée une perturbation énergétique et vibratoire des particules de nano-métamatériaux dans le corps vacciné contaminé ; cela augmentera considérablement la cytotoxicité des technologies sur une population massive de personnes vaccinées sans méfiance.
Rendre obligatoire cette expérience technologique sous la forme d’un vaccin qui augmente la stérilité et provoque des décès prématurés est une entreprise criminelle menée par des organisations et des individus qui n’ont pas reconnu le développement compartimenté des systèmes d’armes nécessaires au programme de contrôle et de dépopulation planifiée. Les renseignements sur le dépeuplement massif ont été confirmés dans les cercles de la défense dès 2017 par le groupe de renseignement sur le matériel d’armement Deagel, qui prévoyait plusieurs millions de victimes dans les pays occidentaux d’ici 2025.
L’ignorance ne devrait pas servir de défense à ces criminels, qui participent à une guerre asymétrique contre une population ignorante et terrorisée.
Les criminels peuvent être identifiés par leur mépris total des évaluations obligatoires des risques environnementaux et des normes de sécurité concernant les technologies expérimentales et des principes de précaution qui devraient leur être appliqués.
Les données du gouvernement britannique montrent clairement que les vaccins expérimentaux ne fonctionnent pas comme un vaccin et présentent un risque important pour la population en raison de millions de réactions indésirables graves, voire mortelles. Bien que l’injection de ce poison ne procure aucun bénéfice aux enfants, les acteurs derrière cet événement meurtrier planifié ignorent la science et les données irréfutables alors qu’ils poursuivent leur programme de guerre secrète contre les plus vulnérables de nos sociétés. V.9
Le CDC admet les dangers mortels que représente actuellement cette technologie expérimentale pour les jeunes, sans données à long terme sur les dangers posés par ce déploiement d’armes biochimiques. À l’origine du mépris flagrant de toutes les obligations éthiques et juridiques se trouve le programme militaire global du champ de bataille, qui dicte que la guerre doit désormais être menée contre les populations civiles.
Conclusion Pour citer Martin L Pall, PhD, professeur émérite de biochimie et de sciences médicales à l'Université de l'État de Washington : « Installer des dizaines de millions d'antennes 5G, sans un seul test biologique de sécurité, doit être l'idée la plus stupide que quiconque ait eu dans l'histoire. du monde". Le professeur Pall a cependant tort : ce n’est pas une idée stupide mais un crime odieux si l’on comprend le motif de ce déploiement. La 5G est un déploiement d’armes compartimenté se faisant passer pour une avancée technologique inoffensive permettant des communications améliorées et des téléchargements plus rapides. La fausse propagande mondialiste s’effondre sur un simple fait incontesté : leur brevet de test PCR pour le Covid-19, déposé en 2015, n’a jamais permis d’identifier un virus vivant, de sorte qu’il a pu être utilisé pour terroriser les populations ignorantes et sans méfiance à travers le monde. monde à prendre un vaccin Covid-19 pollué par une technologie de nano-antenne pour connecter les victimes au réseau 5G.
Les technologies émergentes de réalité augmentée, autonomes et 5G, souvent qualifiées par les fabricants de « technologies tueuses », s’avéreront être exactement cela. L’approche de laissez-faire adoptée par les organismes de réglementation et l’industrie des télécommunications a encouragé le mépris total des dommages biologiques connus liés à l’augmentation des niveaux de rayonnements ionisants et non ionisants résultant du déploiement massif de ces technologies, développées pour être utilisées sur le champ de bataille. Des organisations non gouvernementales, des individus et des groupes ont dû engager des poursuites judiciaires contre les organismes gouvernementaux de réglementation de la sécurité, car ils ont ignoré le principe de précaution et ignoré l'exigence de normes indispensables en droit pour le développement de produits nouveaux et expérimentaux.
Toute la base de l'existence des organismes de réglementation a été corrompue par des criminels au sein de ces organisations qui ont détruit la confiance du public instruit en elles.
\Les exigences de base en matière de sécurité ont été délibérément ignorées par l'industrie des télécommunications et les directives de l'ICNIRP ont été délibérément conçues pour semer la confusion chez ceux qui manquent de connaissances techniques.
Les données sur les effets indésirables du vaccin Covid-19 se lisent comme une destruction de l’humanité alors que des millions de citoyens nord-américains meurent et sont blessés dans cette expérience médicale qui viole le Code de Nuremberg et le Statut de Rome de la Cour pénale internationale.
Les niveaux d'émissions de rayonnements du réseau 5G dépassent empiriquement la résolution COE 1815 et confirment l'attaque, causant de réels dommages corporels aux populations du monde entier. Le fait que les données vectorielles des vaccins Covid-19 aient été développées dans des laboratoires d’armes chimiques biologiques prouve qu’ils ne font que se faire passer pour des vaccins, les données émergentes sur la stérilisation, la mauvaise santé et les décès à travers l’Occident révélant leur véritable objectif. Le dépeuplement de ceux qui ignorent l’agenda meurtrier se poursuivra jusqu’à ce que les criminels impliqués dans ce meurtre de masse soient traduits en justice. Le réseau 5G a la capacité de cibler l’acquisition et l’attaque des vaccinés grâce à son antenne nano-métamatériau du vaccin Covid-19.
Les systèmes d’armes létales autonomes (LAWS) nécessitent que les réseaux 5G maintiennent leur géoposition et naviguent dans leur environnement jusqu’à la cible ; ces armes ne peuvent pas s'appuyer sur les communications par satellite en raison du risque que des événements météorologiques défavorables et de la latence des signaux perturbent leurs signaux. Elles doivent donc disposer de réseaux 5G localisés pour l'environnement du champ de bataille urbain à venir, pour leur capacité d'assassinat et pour leur domination sur le champ de bataille dans les guerres futures planifiées. Des acteurs voyous mettent en œuvre la Solution Finale, un concept du Troisième Reich désormais actualisé par le WEF Build Back Better, Quatrième Révolution Industrielle contre les populations civiles, tel que proposé par l'industrie de la défense en violation des Conventions de Genève, ainsi que des lois et traités nationaux et internationaux. .
Pour éviter tout doute, la définition d'une arme est un dispositif, un outil ou une action qui a été conçu pour causer un préjudice physique ou psychologique en violation de la législation primaire.
Le cloisonnement du développement des systèmes d’armes a joué un rôle crucial en n’alertant pas les autorités de régulation et le secteur des télécommunications sur le but et les intentions réels de ceux qui, en fin de compte, conduisent et financent le déploiement de la 5G et d’armes chimiques biologiques se faisant passer pour des vaccins contre le Covid-19 pendant un certain temps. grille de contrôle et de commandement planifiée.
Le monde suit aveuglément les plans de l’élite technocratique et du complexe militaro-industriel-pharmaceutique visant à éliminer un grand nombre de populations à travers le monde, sans égard à la législation primaire.
Les droits donnés par Dieu et les lois consacrées pour la protection des hommes et des femmes ont été ignorés par ces forces sectaires dans leur programme de dépopulation, de stérilisation et de meurtres de masse.
La 5G est un système d’armes, un crime contre l’humanité si monstrueux que même une personne instruite trouverait cela incroyable au premier examen des faits.
Les preuves prima facie de ce programme mondialiste de dépopulation sont sans équivoque et devraient être testées devant les tribunaux afin que les conspirateurs impliqués dans ce plan meurtrier puissent être traduits en justice. Il s’agit du plus grand crime jamais perpétré contre l’humanité et contre toute la création de Dieu.
Déclaration de vérité
Je crois que les faits énoncés dans cette déclaration de témoin sont vrais. Je comprends que des poursuites pour outrage au tribunal peuvent être intentées contre toute personne qui fait ou fait faire une fausse déclaration dans un document vérifié par une déclaration de vérité sans une croyance honnête en sa véracité.
***
Mark Steele est directeur de la technologie chez www.saveusnow.org.uk, un parti de résistance à cette attaque criminelle contre l'humanité.
Il est l'inventeur et l'auteur de brevets de systèmes d'affichage tête haute et de viseurs d'armes. Il est ingénieur en développement de produits et expert en systèmes d’armes à énergie directe. *
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Cet article a été initialement publié sur Pour la vie sur Terre .
Vous pensiez que LIA va s'occuper de votre trou de cul ? et bêh non ! il ou elle s'occupera de votre cerveau ! (c'est pareil !).
Grâce à toutes les piqûouzes que vous vous êtes fait inoculer (profond) et que chacune d'elles contient pas moins de 40 000 milliards de nano-particules d'oxyde de graphène votre corps est devenu une antenne relais entre votre putain de portable et votre p... de cerveau ! WHÔAW ! Et là, LIA arrive comme une fleur et vous conseillera de vous lever à 4 h du matin et de prendre votre bicyclette pour aller travailler à 20 ou 30 km jusqu'à 20 h 7/7 jours et vous direz que c'est bien ! Et... le pire c'est que très bientôt, même sans votre putain de portable sur vous et grâce à la 6G les ondes iront direct de l'antenne-relais à votre boite crânienne ! WHÔAW !
Des expériences sauvages ? Le réseau de combustibles fossiles d'Alice Springs devient trop instable avec plus de 13 % d'énergie solaire
Par Jo Nova May 3rd, 2024
Réfléchissez à quel point l’énergie solaire est destructrice : il suffit de 13 % d’énergie solaire pour pousser un petit réseau à la limite. Un peu d’énergie solaire provoque le chaos sur un réseau parfaitement bon.
- voir carte sur site -
Carte du réseau électrique du NT
Carte du réseau électrique du NT (Cliquez pour agrandir) Darwin se trouve à 1 300 km ou 800 miles en ligne droite d'Alice Springs.
Le Renewable Crash Test Dummy Country vise à utiliser 82 % d'électricité renouvelable d'ici 2030, mais au lieu de nous assurer que cela fonctionne à petite échelle sur l'un de nos micro-réseaux éloignés, où l'électricité est chère au départ, nous avons pensé que nous ' Je ferais plutôt l’expérience sur l’ensemble de la nation.
Il est donc « qui donne à réfléchir » de voir à quel point cela échoue à Alice Springs. S’il existe un endroit sur Terre bien adapté à l’énergie éolienne et solaire, c’est bien Alice Springs, située à 1 200 kilomètres du principal réseau électrique du Territoire du Nord. Entouré d’un million de kilomètres carrés de terres arides en grande partie inhabitées, si nous ne pouvons pas installer ici suffisamment de panneaux solaires et d’éoliennes pour faire vivre une ville de 25 000 habitants sans industrie lourde, où pouvons-nous ?
Pourtant, la pure vérité est que l’énergie solaire ne fournit que 13 % de l’électricité annuelle d’Alice Springs, et que la production à partir de combustibles fossiles, admettent-ils discrètement au bas d’une page FAQ, représente, chut, 87 %. Seule une maison sur quatre est équipée de l'énergie solaire, et pourtant le réseau est déjà surchargé lorsqu'il atteint son maximum, et instable lorsqu'un nuage passe et que l'énergie solaire de toute la ville tombe en panne. (Comme ce fut le cas en 2019, laissant de nombreuses maisons dans le noir, comme les ingénieurs l'avaient prédit).
Ainsi, la « nouvelle » rapportée par l'ABC est que quelqu'un a un plan pour faire passer Alice Springs de 13 % à 50 % d'énergie renouvelable d'ici 2030. Malgré cette tâche ardue, réfléchissez au fait que l'ABC est enthousiasmée aujourd'hui par le fait qu'un petit endroit isolé extrêmement ensoleillé Nous pourrions, dans nos rêves les plus fous, parvenir à atteindre un peu plus de la moitié de l’objectif que nous nous sommes fixé pour l’ensemble du pays d’ici 2030, mais seulement si nous dépensons 150 millions de dollars (et sur 20 ans ?).
C’est ce qu’on appelle « diriger le pays » – lorsqu’ils ne parviennent pas à atteindre les objectifs avant tout le monde…
Lorsque Victoria Ellis dit « énergie » ci-dessous, elle veut dire électricité.*
Alice Springs pourra être alimentée à 50 % par des énergies renouvelables d'ici six ans, selon un rapport Par Victoria Ellis, ABC « Actualités »
Selon le site Web Alice Springs Future Grid, environ un quart des foyers d'Alice Springs sont équipés de panneaux solaires et, sur un an, environ 13 % de l'énergie de la ville provient de l'énergie solaire. le réseau pourrait devenir instable.
Le site Web d'Alice Springs Future Grid indique que si les panneaux solaires de la ville génèrent beaucoup d'énergie au milieu de la journée et qu'un banc de nuages les assombrit soudainement, leur production d'électricité peut chuter plus rapidement qu'une source d'énergie alternative ne peut être utilisée. conduisant à une panne d'électricité.
Lyndon Freason, directeur d'Alice Springs Future Grid, a déclaré que dans le système actuel, il y a parfois beaucoup d'énergie solaire produite qui n'est pas utilisée par le réseau.
« Il devient de plus en plus difficile d’absorber efficacement davantage d’énergies renouvelables en pleine journée lorsque le soleil brille, sans provoquer d’instabilité dans la production existante », a-t-il déclaré.
Donc le seul problème avec l’énergie solaire est qu’il y a trop ou pas assez d’électricité, ou qu’elle disparaît lorsque les nuages se dissipent, nécessite une sauvegarde constante et ne parvient pas à stabiliser la fréquence, n’est-ce pas ? Et puis il y a la courbe du canard. Regardez le rythme de rampe requis de 16h à 18h :
Courbe de canard à énergie solaire, Alice Springs. Graphique.
Le ventre du canard, c'est la baisse des besoins en électricité à midi au moment des pics solaires. Il ne faut pas laisser le ventre s’enfoncer trop profondément, car la centrale électrique au gaz/diesel doit continuer à fonctionner pour maintenir la fréquence stable.
La « feuille de route » telle qu’elle est, est composée de quatre scénarios avec un peu plus ou moins de ceci et de cela :
- voir graph sur site -
Plan quadrillé Alice Springs
- voir cadre sur site -
Les frais, les frais :
Je ne sais pas si quelqu’un a mentionné que 2030 n’est pas dans 20 ans :
M. Cocking [PDG de Desert Knowledge Australia] a estimé que la mise en œuvre de l'un des scénarios coûterait environ 150 millions de dollars sur 20 ans.
"Idéalement, cela proviendrait du gouvernement, mais très probablement aussi d'investissements privés", a-t-il déclaré.
Des estimations plus détaillées (page 63) suggèrent que les coûts pourraient atteindre 216 millions de dollars, mais il y aurait théoriquement environ 50 millions de dollars d'économies de carburant.
Cela équivaut toujours à 6 000 dollars par homme, femme et enfant – que personne n’a à dépenser du tout – parce qu’ils viennent de construire là-bas la centrale électrique diesel-gaz actuelle en 2011 et de la moderniser en 2018 pour un coût de 75 millions de dollars. Devrions-nous demander aux habitants d’Alice Springs s’ils préfèrent avoir de l’argent ? Pour une famille de quatre personnes, cela représente 24 000 $. Ça pourrait être sympa ?
Mais en tant que microcosme d’une transition nationale, le mini-réseau d’Alice Springs en dit long sur l’absurdité de toute cette croisade.
Actuellement, lorsque le vent et le soleil dorment, la ville reçoit de l'électricité de la centrale électrique d'Owen Springs, une centrale gaz/diesel qui peut fournir 80 mégawatts chaque fois qu'elle en a besoin. Il y a aussi une ancienne centrale électrique construite en 1973 qui est toujours opérationnelle et un système de stockage d'énergie par batterie (BESS) de 5 MW. Proportionnelle à la taille du réseau d'Alice Springs, elle est (ou était) effectivement la « plus grande batterie » d'Australie lorsqu'elle a été installée en 2018. Elle est principalement utilisée pour la stabilité et l'alimentation de secours lorsque les nuages se retournent afin que l'usine à gaz puisse montée en puissance. Si elle devait être utilisée principalement pour le stockage, la batterie de 8 millions de dollars ne durerait qu'environ 20 minutes, voire 40 minutes maximum. Cela ne s’adapte pas bien à une nation de 27 millions d’habitants.
Pour mémoire, un projet mini-Snowy 2.0 n'est pas possible à Alice Springs. Il y a bien sûr quelques zones vallonnées intéressantes, mais les précipitations annuelles totales sont à peine de 280 mm ou 11 pouces, et sont assez aléatoires.
Ne lavez pas ces panneaux solaires ?
Curieusement, l’eau du robinet à Alice Springs est pire pour les panneaux solaires que la poussière :
Des études détaillées ont été menées sur ce sujet, concluant que les poussières n'ont pas d'impact significatif sur les systèmes photovoltaïques. C'est peut-être surprenant, mais laver les panneaux avec de l'eau du robinet dans des endroits où il y a une forte concentration de calcium (comme Alice Springs) peut en réalité avoir un effet plus négatif que la poussière. Les panneaux du Centre Solaire DKA sont lavés une fois par an par une entreprise spécialisée qui utilise un système de filtration par osmose inverse pour traiter son eau avant de l'utiliser pour laver les modules solaires. (de la FAQ.)
Ces statistiques clés de la FAQ du « Alice Springs Future Grid » (qui est la grille actuelle)
Au cours de la période de référence 2021-2022, la capacité totale de production conventionnelle était de 122,6 MW et la demande opérationnelle maximale était de 48,6 MW, sans compter les exigences de redondance du système. Il convient toutefois de noter que, même si la centrale électrique de Ron Goodin est vieillissante, elle reste disponible pour la redondance du système. Aucune date définitive de retraite n'a été annoncée.
Ces dernières années, plus de 25 % des quelque 9 000 foyers d'Alice Springs ont installé un DPV sur le toit de leur propriété.
La capacité de production maximale de tous les systèmes DPV résidentiels à Alice Springs est estimée à 23 MW, et les données de production historiques suggèrent une contribution de l'ordre de 9 % à la consommation globale. La production à base de combustibles fossiles a produit 87 % du volume annuel et la production centralisée d’énergies renouvelables en a produit 4 %.
Consultez la FAQ pour en savoir plus.
*De toute évidence, l’énergie solaire ne fournit pas 13 % de l’énergie des villes – qui comprend également le pétrole, le pétrole et le gaz.
Le Sénat de l’Arizona approuve l’abrogation de l’interdiction quasi totale de l’avortement
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 03 MAI 2024 - 13H20 Rédigé par Samantha Flom via The Epoch Times
L’interdiction quasi totale de l’avortement en Arizona sera abrogée ( "Abroger" signifie "annuler".) quelques semaines seulement après que la Cour suprême de l’État l’aura jugée exécutoire.
L'Arizona House a adopté de justesse l'abrogation le 24 avril, alors que trois républicains se sont joints aux démocrates pour approuver la mesure.
Le 1er mai, le Sénat de l'État a emboîté le pas par 16 voix contre 14, mais pas avant que plusieurs sénateurs déçus aient eu l'occasion d'exprimer leurs doléances.
"Ce sur quoi nous votons, c'est la mort", a déclaré le sénateur Anthony Kern, réprimandant les membres de son parti républicain qui ont voté avec les démocrates en faveur de l'abrogation.
« Le Parti démocrate reste debout et se présente sur la mort. Le Parti républicain est debout et est censé fonctionner sur la vie.»
Le sénateur d'État Sonny Borrelli, quant à lui, s'est opposé au fait que le projet de loi n'a jamais été envoyé à un comité et qu'aucun temps n'a été alloué pour le débat ou les amendements. Et au cours d'un moment particulièrement émouvant, la sénatrice Justine Wadsack a raconté sa propre perte tragique d'un enfant par fausse couche.
"Dieu a choisi le moment où ce battement de cœur allait s'arrêter", a déclaré Mme Wadsack, les larmes coulant sur son visage. "Ce n'est pas à moi, en tant que sénateur, de déterminer quand le cœur d'un enfant s'arrête de battre."
L’interdiction de l’avortement interdit tous les avortements en Arizona, à l’exception de ceux pratiqués pour sauver la vie de la mère.
Il a été initialement promulgué en 1864, avant que l'Arizona ne devienne un État, bien qu'il ait ensuite été recodifié par l'Assemblée législative à la fin des années 1970.
La gouverneure de l'Arizona, Katie Hobbs, démocrate, a promis de signer l'abrogation une fois qu'elle parviendra à son bureau, même si elle ne prendra effet que 90 jours après l'ajournement de l'Assemblée législative. À ce stade, une loi de 2022 limitant les avortements à 15 semaines de grossesse deviendra la loi en vigueur dans l’État.
En attendant, l’interdiction de l’avortement devrait entrer en vigueur le 27 juin.
Les partisans de l’abrogation, soulignant les origines de l’interdiction avant la création de l’État, avaient fait valoir qu’elle était dépassée et incompatible avec les lois les plus récentes de l’État.
« Je ne veux pas que nous honorions les lois sur les femmes, rédigées à une époque où il était interdit aux femmes de voter parce que leur voix était considérée comme inférieure à celle des hommes », a déclaré la sénatrice Eva Burch le 1er mai.
Pendant des décennies, la loi a été bloquée par une injonction permanente. Mais une bataille judiciaire de deux ans, provoquée par l’annulation de l’affaire Roe contre Wade, a abouti à la décision explosive de la Cour suprême de l’Arizona le 9 avril.
Bien que le tribunal ait initialement suspendu l’application de la loi pendant deux semaines, un accord dans une affaire connexe a repoussé sa date d’entrée en vigueur.
Le vote en Arizona a eu lieu le jour même où la limite de six semaines à l’avortement en Floride est entrée en vigueur.
Cette loi prévoit des exceptions limitées pour les situations impliquant un viol, un inceste, un trafic d’êtres humains ou une menace grave pour la santé physique de la mère. Mais comme pour l’interdiction en Arizona, la loi a fait l’objet de nombreuses controverses.
Lorsque la loi de Floride est entrée en vigueur, les défenseurs de l’avortement se sont tournés vers les réseaux sociaux pour dénoncer ce qu’ils percevaient comme une érosion des droits des femmes dans le Sunshine State.
"Aujourd'hui, la Floride met en danger la santé de millions de femmes", a déclaré la gouverneure de New York, Kathy Hochul, sur les réseaux sociaux. « C’est clair : les extrémistes anti-choix ne reculeront devant rien pour priver les femmes de leur droit de prendre leurs propres décisions en matière de soins de santé. »
Nikki Fried, présidente du Parti démocrate de Floride, a également accusé la loi de faire reculer les droits des femmes « de 50 ans », et le président Joe Biden a qualifié la situation de « cauchemar ».
La Floride et l'Arizona devraient jouer un rôle clé dans le choix du prochain président, et l'avortement sera sur le bulletin de vote dans les deux États en novembre.
Alors que le président Biden s’est aligné sur les partisans de l’avortement, l’ancien président Donald Trump, le candidat républicain présumé, a évité ce qu’il considère comme une question perdante pour le Parti républicain.
L’ancien président, qui se dit pro-vie, a déclaré qu’il pensait que l’avortement était une question de droits des États, par opposition à une question fédérale. En adoptant cette position, il a dénoncé les lois de l'Arizona et de la Floride comme étant trop restrictives.
« C’est la volonté du peuple, c’est ce que je dis. C’est un système parfait », a-t-il déclaré le 10 avril.
« Depuis 52 ans, les gens veulent mettre fin à Roe v. Wade et le ramener aux États-Unis. Nous l’avons fait – c’était une chose incroyable, une réussite incroyable. Nous l’avons fait, et maintenant les États l’ont, et ils publient ce qu’ils veulent. C’est la volonté du peuple.
Pourquoi la Journée mondiale du mot de passe devrait être la dernière
Le 2 mai 2024 sera marqué par la journée mondiale du mot de passe, l’occasion de rappeler que s’ils ont vocation à sécuriser les accès aux comptes en ligne, ils n’en restent pas moins vecteurs de vulnérabilités. La dernière étude de NordPass sur le classement des mots de passe les plus utilisés indique – avec « 123456 » et « admin » respectivement en première et deuxième positions – que la grande majorité des utilisateurs manquent toujours de vigilance et de connaissance sur les risques encourus à cause des mots de passe, les laissant en proie aux cyberattaques.
le 2 mai 2024 à 4h00
24% des internautes ont utilisé le mot "password", "Qwerty" ou "123456" comme mot de passe.
Pourquoi les mots de passe sont plus que jamais une sécurité faillible, et explique comment les utilisateurs peuvent se protéger contre les attaques de phishing ?
Alors que la croissance d’Internet se poursuit mondialement, et les nouvelles technologies émergentes comme l'IA prenant de plus en plus d’importance, la portée et la sophistication des cyberattaques progressent de pair. En conséquence, les traditionnels noms d'utilisateur et mots de passe ne sont plus suffisants pour garantir la sécurité - cependant, ils demeurent l'une des formes d'authentification les plus largement utilisées à l'échelle mondiale. Ce qui rend leur utilisation persistante étonnante, c'est qu'ils sont pourtant largement décriés, tant par les utilisateurs que par les professionnels de la cybersécurité.
Dans certains cas, les utilisateurs ont tendance à choisir des mots de passe faibles ou à les réutiliser sur plusieurs comptes, ce qui augmente le risque de compromission des données en cas de cyberattaque réussie. A l’inverse, ils sont complexes et plus régulièrement mis à jour comme recommandés dans le cadre des bonnes pratiques, mais dans ces cas-là, ils sollicitent davantage la mémoire des utilisateurs et ont de fait un impact direct et négatif sur leur expérience, voire amènent à de mauvaises pratiques de sécurité, comme le fait de les noter sur un post-it.
Les attaques par phishing, au cours desquelles les cybercriminels tentent de voler les identifiants en piégeant leur cible ou par le biais d’ingénierie sociale, sont le point de départ de nombreuses cyberattaques. Une fois qu'un mot de passe est compromis, les acteurs malveillants peuvent contourner avec succès de nombreuses formes d'authentification multi-facteurs (MFA) comme les codes à usage unique (OTP) envoyés par SMS. Une protection fiable contre les cyberattaques modernes nécessite donc une authentification multi-facteurs moderne, résistante au phishing. Les clés de sécurité matérielles font aujourd’hui partie des moyens de lutter efficacement contre les cybermenaces, car elles procurent aux utilisateurs une couche supplémentaire de sécurité en nécessitant la possession physique de l'appareil pour accéder aux comptes en ligne, ce qui rend la tâche des cybercriminels considérablement plus difficile.
La transition que doivent opérer les utilisateurs pour moderniser leurs solutions d’authentification et tendre vers un monde sans mot de passe est aujourd’hui possible, facilitée par des dispositifs compatibles avec les protocoles modernes et aboutis, tels que FIDO2 ou WebAuthn. Ces deux standards permettent en effet une authentification sans mots de passe via la biométrie, un terminal mobile ou encore des clés de sécurité, assurant un niveau de sécurité maximal. Alors que des milliards d'identifiants volés sont aujourd’hui disponibles sur le Dark Web et que les cybercriminels lancent des tentatives de connexion automatisées à l’aide de mots de passe compromis, il est temps de tirer définitivement un trait sur ces derniers, véritables vecteurs de vulnérabilités, et de faire évoluer les pratiques de sécurité.
Les enfants ! Les victimes de la « culture transgenre »
RépondreSupprimerPartout et de plus en plus souvent, les enfants sont confrontés à la culture transgenre et sont sans défense face à ce dangereux endoctrinement. Se pourrait-il que la confusion des genres, telle que nous la trouvons aujourd'hui chez de nombreux enfants et adolescents, soit générée de manière très ciblée et systématique ? [lire la suite]
D'autres émissions sur ce thème :
« Changer de sexe une fois par an »
Qui se cache derrière cette nouvelle loi sur l'autodétermination ?
www.kla.tv/23469
Une fois trans, pas de retour en arrière ! !
La réalité derrière l'engouement pour les transgenres
www.kla.tv/28450
Les souffrances des transgenres gardées secrètes
www.kla.tv/14865
Les enfants ! Les victimes de la « culture transgenre »
02.05.2024
www.kla.tv/28943
Le témoignage d'une jeune femme qui a vécu l'accueil suivant lors d'un séminaire montre à quel point le mouvement transgenre s'est infiltré dans tous les domaines de la vie :
« Bienvenue à tous les genres, bienvenue à tous les binaires et non-binaires, bienvenue à tous les Genderfluids et bienvenue à tous ceux qui ne veulent pas se voir attribuer un genre. Bienvenue à tous les bisexuels et hétérosexuels. Bienvenue à tous les homosexuels, pansexuels et asexuels. Bienvenue aussi à tous ceux qui ne se sont peut-être pas encore trouvés dans ces énumérations. »
Chers téléspectateurs, comment un tel accueil vous affecte-t-il ? Ne vous semble-t-il pas extrêmement étrange, voire déroutant ? C'est du moins ce qu'a rapporté cette jeune femme. Et cette confusion semble être l'objectif de l'agenda transgenre. Ses victimes sont avant tout des enfants et des adolescents facilement influençables. Confrontés partout à la culture trans, ils sont sans défense face à ce dangereux endoctrinement. [www.kla.tv/27281] Outre le fait que la culture trans est désormais propagée dans les écoles allemandes, il existe un autre moyen efficace de faire prendre conscience aux enfants de la culture trans : l’apparition de plus en plus fréquente et ciblée de transsexuels dans les livres pour enfants, les films et la télévision.
L'entreprise de médias américaine Disney veut même s'assurer qu'à l'avenir chaque film contiendra « des personnes asexuées, bisexuelles et transgenres conformes à la réglementation ». En Allemagne aussi, la femme transgenre "Monsieur Ingeborg" conquiert les chambres des plus jeunes enfants dans l'émission « Unser Sandmännchen » (Notre marchand de sable). Les livres pour enfants qui font la promotion de l'opération du sexe poussent comme des champignons et les drag queens [les drag queens sont des hommes qui s'habillent et se comportent comme des femmes] lisent aux enfants des histoires dans lesquelles les enfants solitaires se sentent aimés et compris dès qu'ils expliquent qu'ils sont transsexuels.
Ces développements montrent l'influence qu'exercent désormais les idéologues transgenres et que la confusion des genres, telle que nous la trouvons aujourd'hui chez de nombreux enfants et adolescents, est générée de manière très ciblée et systématique.
RépondreSupprimerLes conséquences en sont souvent tragiques, comme on peut le constater dans l'histoire de la vie de Chloe Cole, 19 ans.
Au nom de beaucoup d'autres, Chloe Cole parle devant une commission judiciaire américaine de son calvaire en tant qu'ancienne personne transgenre et demande un changement de mentalité de la part des politiques. Elle accuse les médecins d'avoir rendu réel le cauchemar dont ils prétendaient vouloir la préserver. A l'âge de 13 ans, elle ne se sentait pas bien dans sa peau et aurait préféré être un garçon. Les médecins ont diagnostiqué une dysphorie de genre [terme utilisé pour désigner les personnes qui se sentent du « mauvais » sexe] et ont fait pression sur ses parents. Ils devaient choisir entre une fille morte et un fils transgenre vivant. Les parents ont cédé à la pression et Chloé a reçu des bloqueurs de puberté et une thérapie avec de la testostérone [administration d'hormones masculines].
À l'âge de 15 ans, elle a été amputée des seins. Mais au lieu du soulagement promis par les médecins transgenres, cette intervention a déclenché en elle des pensées suicidaires. Son enfance, sa jeunesse et surtout son corps auraient été littéralement détruits par les thérapies et les interventions médicales. Elle regrette d'avoir essayé d'être un garçon. Elle aurait été une enfant au développement tout à fait normal, qui ne voulait tout simplement pas s'adapter. Chloé met en garde contre le fait que chez des adolescents pubertaires, dont les crises sont souvent dues aux changements hormonaux, le récit du « mauvais sexe » éveille des idées dangereuses. Elle-même se considère aujourd'hui comme la victime d'un des plus grands scandales médicaux et réclame l'interdiction des opérations de changement de sexe pour les mineurs !
La question se pose alors inévitablement de savoir pourquoi le thème de la transsexualité a pu s'imposer si rapidement dans la société ? Y a-t-il des profiteurs qui favorisent cette évolution ?
Une analyse financière de « Global Market Insights » décrit le marché de la réassignation sexuelle comme un très bon investissement. Des taux de croissance annuels allant jusqu'à 25 % sont attendus jusqu'en 2026. En conséquence, selon la journaliste d'investigation Jennifer Bilek, le lobby pharmaceutique, bien connecté politiquement, et l'élite financière sous-jacente, font tout leur possible pour exploiter ce marché. Des stratèges mondiaux super riches, comme George Soros et Warren Buffett, financent le lobby transgenre ainsi que ses organisations. De même, les entreprises pharmaceutiques font des dons de plusieurs millions au mouvement LGBT*Q. C'est ainsi qu'il a été possible pour ce dernier d'acheter, par des dons de plusieurs millions, des universités, des hôpitaux ou des facultés de médecine, afin de créer par exemple des chaires d'études transgenres. Parallèlement, la famille de milliardaires américains Pritzker, en particulier, est l'un des principaux investisseurs dans les « cliniques LGBT*Q ». L'objectif de ce lobby transgenre est de définir les droits transgenres comme un droit humain, de sorte que tous les coûts liés au changement de sexe soient supportés par la collectivité - et ce, afin de gagner encore des milliards !
RépondreSupprimerChers téléspectateurs ! Ne plus savoir si on est un homme ou une femme exprime à quel point l'influence de l'idéologie transgenre crée un sentiment d'insécurité et de confusion, surtout chez les enfants. Pourtant, c'est bien là l'objectif de cet agenda, qui a déjà un impact destructeur sur nos enfants et sur la société dans son ensemble. Les profiteurs sont une fois de plus quelques super-riches qui, dans leur soif de profit sans limite, ruinent littéralement la vie des enfants et des adolescents tellement escroqués. Il est donc essentiel de dévoiler le masque de piété et d’humanisme derrière lequel cette idéologie dangereuse imprègne les peuples. C'est possible si tous les effets nocifs, les témoignages bouleversants des victimes et surtout ceux qui tirent les ficelles avec leur soif de profit criminelle sont connus de tous ! Aidez-nous et diffusez cette émission.
de rh/nm/hag
Sources / Liens :
Culture transgenre :
https://www.nius.de/Leben/transmann-lieber-transmann-kika-baut-figur-herr-ingeborg-beim-sandmaennchen-ein/8c108247-2e1d-4f17-80c8-829134c852ab
https://journalistenwatch.com/2022/04/08/disney-faengen-woke/
https://www.nzz.ch/meinung/der-andere-blick/drag-lesung-fuer-kinder-in-muenchen-die-grenzueberschreitung-ld.1737042
https://www.nius.de/Leben/pubertaetsblocker-operationen-hormone-irre-trans-buecher-fuer-kinder-mitten-in-der-bibliothek/a56a6c08-4746-45e3-802c-6463cc1f0aad
Chloe Cole:
https://demofueralle.de/2023/08/09/meine-brueste-wurden-amputiert-lange-bevor-ich-autofahren-durfte/
https://auf1.tv/menschen-geschichten-schicksale-auf1/lgbtq-propaganda-nach-trans-op-leben-mit-verstuemmeltem-koerperhttps://demofueralle.de/2023/08/09/meine-brueste-wurden-amputiert-lan
Industrie financière :
https://demofueralle.de/2023/09/20/pharma-politik-propaganda-trans-ist-eine-top-down-ideologie/
www.emma.de/artikel/trans-das-geschaeft-der-pharma-branche-340493
www.guidograndt.de/2023/06/09/was-sie-nicht-wissen-duerfen-wer-finanziert-die-transgender-bewegung/
https://www.kla.tv/fr
Patience…. il arrive
RépondreSupprimerle 2 Mai 2024
par pgibertie
DERNIÈRES NOUVELLES On rapporte désormais que les USA pourraient disposer de 100 millions de doses de vaccins contre la grippe aviaire prêtes et expédiées d’ici 3 à 4 mois Ils étudient à la fois les vaccins traditionnels et des ARNm contre la grippe aviaire Vous en voulez ?
- voir doc sur site -
https://pgibertie.com/2024/05/02/patience-il-arrive/
Tous les poisons viennent de l'alimentation des volailles et, quand c'est décider de faire crever: çà crève !
SupprimerEffectivement, comme pour le 'corona' appelé plus tard 'cocovide19' puis Deltaplane-Tango-Charlie-Omicron' le virus ne se trouve PAS DANS L'AIR ! HAHAHAHA ! (Il y a au monde des milliers de laboratoires qui examinent chaque jour la 'qualité de l'air' et... n'ont JAMAIS trouvé ces virus ! HAHAHAHA !
Maizalors ??? où est-ce qu'il est-il ?
Il est dans la seringue ! LALALA ! Il est dans la seringue ! LALALA ! Il est dans la seringue ! LALALA !
Idem pour les 'vaches folles', 'tremblante du mouton', 'diarrhées porcines', etc.
Le CDC a menti ; des personnes sont mortes
RépondreSupprimerLe CDC *savait* que les vaccins COVID tuaient des gens. Mais malgré cela, ils ont carrément menti au public et déclaré qu’ils n’avaient « aucune preuve » que les vaccins anti-Covid tuaient des gens.
STEVE KIRSCH
01 MAI 2024
Résumé exécutif
Un article d’Epoch Times publié aujourd’hui a révélé que le CDC a délibérément menti au public sur la sécurité des vaccins contre la COVID. Interrogé sur les décès, le CDC a menti au public et a faussement affirmé qu’il n’avait aucune preuve que les vaccins COVID avaient tué quelqu’un.
Le CDC a menti. Des personnes sont mortes.
Les preuves sont on ne peut plus claires : les vaccins contre la COVID causent des dommages considérables au cœur et au cerveau des gens.
Dans cet article, je vais vous montrer les preuves des anévrismes fib et aortique, qui sont deux effets secondaires importants qui sont évidemment causés par le vaccin COVID et, tout comme la mort, sont ignorés par le CDC.
La partie clé de l'histoire
"NOUS. Les responsables des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont trouvé des preuves selon lesquelles les vaccins Pfizer-BioNTech et Moderna contre le COVID-19 ont causé plusieurs décès avant d’affirmer qu’il n’y avait aucune preuve liant les vaccins à des décès, a appris Epoch Times.
Les employés du CDC ont travaillé pour retrouver les informations sur les décès signalés après la vaccination et ont appris que la myocardite – ou inflammation cardiaque, un effet secondaire confirmé des vaccins – était répertoriée sur les certificats de décès et dans les autopsies pour certains des décès, selon un dossier interne obtenu. par Epoch Times.
…
Malgré les conclusions, dont la plupart ont été faites fin 2021, le CDC a affirmé n’avoir vu aucun signe reliant les vaccins à ARN messager (ARNm) Moderna et Pfizer à des décès signalés au Système de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS). »
Ouah. "Je n'ai vu aucun signe."
Sont-ils aveugles ?
En d’autres termes… s’ils ne sont pas d’accord avec les preuves, ils prétendent simplement qu’elles n’existent pas.
Le CDC avait la preuve que les vaccins tuaient des gens, mais ils se sont eux-mêmes convaincus qu’il ne s’agissait que de coïncidences et n’avaient aucun rapport avec le vaccin.
immédiatement après la deuxième injection.
RépondreSupprimerVoyez-vous un modèle ici ? Tir -> afib, Tir -> afib.
Le CDC ne voit pas de lien. Ils pensent que ce n'est qu'une coïncidence.
En résumé : ce décès a été causé par le vaccin contre la COVID, mais le père et la mère n’en parleront pas publiquement.
Ce que dit le VAERS
100 % des cas d'anévrisme de l'aorte signalés après un vaccin au cours des 30 ans d'histoire du VAERS ont été signalés après le vaccin contre la COVID. 100% !!!!!
Mais le CDC affirme que les vaccins COVID ne provoquent pas d’anévrismes de l’aorte ; ils ne provoquent une myocardite que dans des cas très rares et elle est bénigne.
Êtes-vous d’accord avec le CDC ? Voici les données pour tous les vaccins du VAERS sur toute la période :
- voir graph sur site -
En ce qui concerne l'afib, voici les chiffres. Encore une fois, 100 % des rapports d’afib dans le VAERS sont associés au vaccin COVID. Plus de 10 000 cas.
Mais le CDC affirme que les vaccins COVID ne provoquent pas d’anévrismes de l’aorte ; ils ne provoquent une myocardite que dans des cas très rares et elle est bénigne.
Êtes-vous d’accord avec le CDC ? Voici les données pour tous les vaccins du VAERS sur toute la période :
- voir graph sur site -
En ce qui concerne l'afib, voici les chiffres. Encore une fois, 100 % des rapports d’afib dans le VAERS sont associés au vaccin COVID. Plus de 10 000 cas.
Mais le CDC dit que les vaccins COVID ne provoquent pas de fibrillation !!!!
J'adorerais leur demander comment ils expliquent les données VAERS, mais ils ne me répondent jamais.
100 % de tous les cas d’afib au cours des 30 ans d’histoire du VAERS sont associés au vaccin COVID, mais le CDC affirme que les vaccins COVID ne provoquent pas d’afib.
C’est dans la littérature évaluée par les pairs que les vaccins contre la COVID tuent des gens
Mais le CDC ne croit que ce qu’il veut croire. Peu importe si c’est si évident que cela figure même dans la littérature évaluée par les pairs ?
Cet article souligne que la constriction des vaisseaux sanguins cérébraux est un effet secondaire bien connu provoqué par le vaccin COVID. Dans ce cas, la constriction était si grave qu’elle a tué cette personne.
Il ne fait donc aucun doute que le vaccin contre la COVID tue. Mais le CDC ignorera les preuves et fera semblant d’ignorer l’existence de ce document.
- voir cadre sur site -
Résumé
RépondreSupprimerLe CDC dispose de nombreuses preuves selon lesquelles les vaccins COVID tuent des personnes et provoquent divers effets secondaires, notamment des anévrismes afib et aortiques.
Ils ne veulent rien croire parce que leur mission principale est de promouvoir les vaccins et de ne pas donner une mauvaise image de l’agence en admettant qu’ils ont commis une erreur qui a tué des centaines de milliers d’Américains et handicapé des millions d’autres.
Leur mission n’est pas de protéger la santé du peuple américain.
Mentir au peuple américain sur la sécurité du vaccin est donc conforme à sa mission.
Ne vous attendez pas à ce que le Congrès les tienne un jour pour responsables.
https://kirschsubstack.com/p/the-cdc-lied-people-died?utm_source=post-email-title&publication_id=548354&post_id=144148681&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=9atnc&triedRedirect=true&utm_medium=email
(...) Le CDC *savait* que les vaccins COVID tuaient des gens. Mais malgré cela, ils ont carrément menti au public et déclaré qu’ils n’avaient « aucune preuve » que les vaccins anti-Covid tuaient des gens. (...)
SupprimerDès le lacement de l'expérimentation génique d'essais (FRAUDULEUSEMENT et CRIMINELLEMENT appelée 'vaccin' !) des scientifiques (Dr Astrid Stuckelberger et Dr Carrie Madej) ont analysé le contenu des flacons injectables !!
Ceux-ci contenaient entre 95 et 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène qui N'ONT RIEN A FAIRE LA DEDANS !!
+ des hydres !! + des spikes !! + diverses maladies animales et (source naturalnews:) une quarantaine de venins différents de serpents !!
Lorsqu'est appliqué un Plan Génocide sur la planète, chacun des criminels (comme tous ceux en prisons) diront "Nous sommes innocents !"
Mais, la Science est là. Le rapport de l'examen des piqûres létales a été publié !!
COVID-19 lié à une « augmentation alarmante » d’infections fongiques rares et hautement mortelles
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 02 MAI 2024 - 19H35
Rédigé par Megan Redshaw, J.D. via The Epoch Times
La pandémie de COVID-19 a provoqué une augmentation alarmante d’infections fongiques secondaires agressives et hautement mortelles parmi les personnes atteintes du COVID-19 actif ou guéri.
La recherche suggère que le virus SARS-CoV-2, la surutilisation de traitements immunosuppresseurs contre la COVID-19, tels que les corticostéroïdes et les antibiotiques, et la réponse à la pandémie mondiale ont rendu les personnes plus sensibles aux co-infections telles que la mucormycose associée au COVID-19 (CAM).
La mucormycose, également connue sous le nom de champignon noir, est une infection fongique opportuniste qui affecte généralement les sinus, les poumons et le cerveau. Elle est causée par un groupe de moisissures que l’on trouve couramment dans l’environnement. Avant le COVID-19, ces champignons provoquaient rarement des infections en raison de leur faible virulence, mais la deuxième vague de COVID-19 a entraîné des dizaines de milliers de cas signalés. Même la variante Omicron, généralement attribuée à un COVID-19 léger, a été associée à des infections mortelles à mucormycose aux États-Unis et en Asie.
Selon les Centers for Disease Control and Prevention, il existe plusieurs types de mucormycose :
La mucormycose rhinocérébrale est une infection des sinus qui peut se propager au cerveau et est le plus souvent diagnostiquée chez les personnes atteintes de diabète ou chez celles qui ont subi une greffe de rein.
La mucormycose pulmonaire est le type de mucormycose le plus courant, affectant principalement les personnes atteintes de cancer ou celles ayant subi une greffe d'organe ou de cellules souches.
La mucormycose gastro-intestinale affecte le tube digestif et est plus fréquente chez les enfants et les jeunes adultes.
La mucormycose cutanée est la forme d’infection la plus courante chez les personnes dont le système immunitaire n’est pas affaibli. Cela se produit lorsque les champignons pénètrent par une coupure, une éraflure ou une incision chirurgicale dans la peau.
RépondreSupprimerLa mucormycose disséminée est l'endroit où l'infection pénètre dans la circulation sanguine et se propage au cerveau et à d'autres organes. Le taux de mortalité avec ce type de mucormycose est de 96 %.
Selon un article de 2022 publié dans Vaccines, les spores de moisissures responsables de la mucormycose se trouvent dans le sol, les feuilles ou les matières en décomposition. Ces spores peuvent être dispersées dans les particules de poussière et pénétrer dans le corps humain par les voies respiratoires, la peau ou une faiblesse de la barrière muqueuse. Une fois à l’intérieur du corps, les spores fongiques peuvent germer et se multiplier, entraînant des infections telles qu’une fasciite nécrosante cutanée et une mucormycose disséminée.
Les symptômes de la mucormycose varient en fonction du patient, de ses problèmes de santé sous-jacents et des organes touchés par l'infection. Les premiers symptômes peuvent inclure des douleurs nasales, une perte de vision, des maux de tête, de la fièvre, un écoulement nasal noirâtre, une douleur faciale d'un côté et un gonflement de la bouche. L'infection affecte principalement le nez, les sinus, les poumons, les yeux et le cerveau, mais peut se propager par le sang à d'autres parties du corps.
Selon un article de 2023 publié dans Travel Medicine and Infectious Disease, la mucormycose frappe les patients dans les 12 à 18 jours suivant la guérison du COVID-19, et près de 80 % nécessitent une intervention chirurgicale. Un diagnostic retardé ou non traité peut entraîner un taux de mortalité pouvant atteindre 94 pour cent.
La mucormycose associée au COVID-19 est un « phénomène mondial »
Dans une revue de 2022 publiée dans The Lancet, les chercheurs ont analysé 80 cas de mucormycose associée au COVID-19 dans 18 pays, dont huit cas aux États-Unis, et ont découvert que l'infection par mucormycose peut être une complication grave d'un COVID-19 grave, en particulier pour ceux souffrant de diabète et d'hyperglycémie ou d'hyperglycémie.
De plus, les auteurs ont noté que le traitement systémique aux corticostéroïdes peut réduire la mortalité chez les personnes atteintes d’une forme grave de COVID-19, mais que le traitement, combiné à des facteurs immunologiques et cliniques, peut également prédisposer les patients à des maladies fongiques secondaires comme la mucormycose. Cette infection particulière est associée à une morbidité et une mortalité élevées, même chez les personnes présentant des cas bénins de COVID-19. Il en va de même pour les patients atteints du COVID-19 qui ont reçu un traitement antibiotique intensif.
Sur les 80 cas analysés par les chercheurs, 74 patients ont été hospitalisés pour COVID-19 après avoir reçu un diagnostic de mucormycose. Dans six cas, les patients avaient le COVID-19 avant leur hospitalisation pour des symptômes associés à la mucormycose, dont quatre ont été hospitalisés pour le COVID-19 dans un délai d’un à trois mois avant un diagnostic de mucormycose.
RépondreSupprimerLes chercheurs ont identifié 59 patients atteints d'une maladie cérébrale rhino-orbitaire, 20 d'une maladie pulmonaire et un d'une mucormycose gastro-intestinale. Dans la mucormycose cérébrale, le champignon envahit initialement la cavité nasale et les sinus paranasaux, se présentant de la même manière qu'une sinusite aiguë. Cela peut alors conduire à une angioinvasion, où les cellules tumorales traversent les parois des vaisseaux sanguins et provoquent des caillots sanguins. L’infection se propage rapidement aux sites orbitaires et cérébraux et est associée à une morbidité et une mortalité élevées.
Près de 50 % (39 patients) sont décédés. La durée médiane de survie à partir du jour du diagnostic de mucormycose était de 106 jours pour la maladie cérébrale rhino-orbitaire et de seulement neuf jours pour les patients atteints de mucormycose pulmonaire. Parmi les survivants, 46 % (19 patients) ont perdu la vue.
Les chercheurs ont noté plusieurs problèmes de santé sous-jacents chez les patients atteints de mucormycose en plus du COVID-19, notamment un diabète incontrôlé ou mal contrôlé, une hypertension ou une pression artérielle élevée, une maladie rénale chronique et un cancer. Les personnes atteintes de diabète étaient plus susceptibles de souffrir de mucormycose rhino-orbitaire et de cas légers à modérés de COVID-19. Les personnes non diabétiques étaient plus susceptibles de présenter d’autres manifestations de l’infection et une forme grave du COVID-19. Les chercheurs ont découvert que la mucormycose pulmonaire survenait presque exclusivement en soins intensifs.
L'auteur correspondant de l'article du Lancet, le Dr Martin Hoenigl, est professeur agrégé de mycologie translationnelle à la Division des maladies infectieuses de l'Université médicale de Graz, en Autriche, et l'actuel président de la Confédération européenne de mycologie médicale.
« Notre étude souligne que la mucormycose associée au COVID-19, bien que plus répandue dans les régions du monde qui ont traditionnellement des taux de mucormycose plus élevés en raison de niveaux plus élevés d'exposition environnementale (par exemple, Inde, Pakistan, Iran, Égypte, Chine), est un problème mondial. phénomène », a déclaré le Dr Hoenigl à Epoch Times dans un e-mail.
« Notre étude a été réalisée au début de la pandémie de COVID, avant que l’ampleur de la crise de la mucormycose associée au COVID-19 en Inde ne soit reconnue/se révèle au public, et attire l’attention sur cette complication grave, souvent mortelle, qui peut être très difficile à diagnostiquer. et nécessite un traitement agressif pour avoir une chance d’aboutir », a-t-il déclaré.
De nombreux pays ont observé une augmentation soudaine des cas de CAM en 2021 lors de la deuxième vague de la pandémie. L’Inde, un « point chaud » pour l’infection mortelle, diagnostique généralement 50 cas de mucormycose chaque année, mais avait déjà observé 28 252 cas en juin 2021. Le nombre de cas de mucormycose a augmenté depuis.
RépondreSupprimerLes infections fongiques mortelles sont plus courantes avec le COVID-19
Le Dr Hoenigl a déclaré à Epoch Times que la mucormycose est plus fréquente avec le COVID-19 que d'autres maladies infectieuses en raison de facteurs de risque spécifiques apparus avec la pandémie et sa gestion, ainsi que de mécanismes immunologiques spécifiques qui prédisposent les patients atteints d'une forme grave du COVID-19 à développer. la condition.
« En termes de facteurs de risque cliniques, l’augmentation de la population de diabète non diagnostiqué ou non contrôlé (entraînée par la réduction des services de santé de routine au début de la pandémie de COVID) était un facteur important de mucormycose associée au COVID-19, tout comme la surutilisation de corticostéroïdes systémiques pour le traitement du COVID-19. 19 traitements qui ont eu lieu dans certains pays où les stéroïdes étaient disponibles à l'achat sans ordonnance, et en même temps, il y avait un manque de disponibilité d'oxygène supplémentaire », a déclaré le Dr Hoenigl.
« En termes de mécanismes immunologiques, des conditions telles que l’hyperglycémie, la surutilisation de stéroïdes et des niveaux élevés de corps cétoniques et de fer, mais aussi le COVID-19 lui-même via la cascade de stress du réticulum endoplasmique induite par le virus régulent positivement l’expression de la protéine régulée par le glucose 78 ( GRP78), qui, en plus d’agir comme cofacteur dans l’entrée virale, se lie à l’invasine CotH3 recouvrant les spores à la surface du champignon et favorise l’invasion des cellules épithéliales nasales par les mucorales, entraînant une mucormycose cérébrale rhino-orbitale », a-t-il expliqué.
Le réticulum endoplasmique (RE) est une grande structure au sein d'une cellule qui remplit de nombreuses fonctions, notamment le stockage du calcium, la synthèse des protéines et le métabolisme des lipides. GRP78 joue un rôle important dans la régulation du RE. Il est souvent régulé positivement chez les patients atteints de COVID-19, ce qui prédispose les gens à contracter une mucormycose.
GRP78 aide à réguler la réponse au stress du RE, peut former un complexe avec la protéine de pointe et l'enzyme de conversion de l'angiotensine 2 (ACE2) pour favoriser l'entrée et l'infection du SRAS-CoV-2, et agit comme un récepteur hôte qui permet aux moisissures responsables de la mucormycose pénétrer dans les cellules et provoquer des maladies.
RépondreSupprimer« Il existe également d’autres mécanismes immunologiques importants qui expliquent à quel point une forme grave du COVID-19 peut prédisposer les patients à développer une mucormycose », a ajouté le Dr Hoenigl.
D'autres études identifient les facteurs de risque de mucormycose
Dans une revue de 2021 publiée dans le Journal of Infection and Public Health, les chercheurs ont découvert que l'hyperglycémie, une immunité altérée, une acidose, une augmentation de la ferritine, qui indique souvent des taux de fer plus élevés, une inflammation ou une infection, une corticothérapie et une corticothérapie spécifique au COVID-19. facteurs ont été impliqués dans la pathogenèse de CAM.
Dans une étude de 2022 publiée dans Cureus, les chercheurs ont suivi 62 patients atteints de mucormycose cérébrale pendant jusqu'à 12 semaines pour évaluer les facteurs de risque, les symptômes et l'impact de diverses interventions sur l'évolution de la maladie. Tous les participants ont déclaré avoir présenté des symptômes d’un syndrome pseudo-grippal au cours des deux mois précédant leur diagnostic, 58 des 62 sujets ayant été testés positifs au COVID-19 et 54 des 58 patients recevant un traitement.
« Les patients atteints du COVID-19 sont plus sensibles aux infections fongiques opportunistes en raison d’une dérégulation immunitaire causée par une immunosuppression iatrogène (via des corticostéroïdes ou un traitement antibiotique non défini), un diabète sucré incontrôlé, l’utilisation d’une ventilation invasive ou non invasive et d’autres conditions préexistantes. » » ont écrit les auteurs du journal.
Les chercheurs ont découvert que le COVID-19 et le diabète sucré étaient des facteurs de risque importants de développer une mucormycose. Les signes et symptômes courants de la mucormycose sont souvent apparus quelques semaines après le COVID-19, bien que les symptômes neurologiques soient absents ou soient apparus plus tard. Les premiers symptômes les plus courants comprenaient un ptosis (une paupière tombante) ou un mal de tête sévère.
Le délai médian entre l’infection au COVID-19 et le premier symptôme visible de mucormycose était de 16 jours. Le délai moyen entre le premier symptôme de mucormycose et le premier symptôme neurologique était de 19 jours. Le symptôme neurologique initial le plus courant était l’hémiparésie, une faiblesse ou une incapacité à bouger un côté du corps.
L’étude a révélé que 18 (29 %) patients présentaient des symptômes de mucormycose avant même la résolution de leur COVID-19. Au bout de 12 semaines, seuls 18 patients s’étaient complètement rétablis sans aucun symptôme résiduel, tandis que 19 présentaient des symptômes persistants.
RépondreSupprimerSur les 62 sujets, 53 ont nécessité une intervention chirurgicale, huit patients ont eu besoin d'une extraction oculaire, 21 patients sont décédés, 37 ont survécu et quatre ont été perdus au suivi. Le taux de survie plus élevé que prévu a été attribué à l’étude réalisée dans un établissement hospitalier ayant accès à des traitements antifongiques rapides.
Dans une revue de janvier de 20 articles sur la mucormycose et le COVID-19, les chercheurs ont découvert de nombreuses co-infections fongiques chez les patients atteints du COVID-19, dont 0,3 % étaient liées à la mucormycose.
Les chercheurs ont attribué la CAM à l’hyperglycémie due à un diabète préexistant ou à une utilisation excessive de stéroïdes, à une augmentation des taux de ferritine due à la « cascade inflammatoire » initiée par le COVID-19, aux phénomènes immunologiques et inflammatoires qui se produisent avec l’infection par le SRAS-CoV-2, à l’immunosuppression due à l’utilisation de stéroïdes. ou d'autres thérapies, la germination de spores fongiques en raison d'une réduction du nombre de globules blancs chez les personnes atteintes du COVID-19 et de l'hypoxie – ou des niveaux d'oxygène insuffisants qui favorisent la croissance du champignon.
Les chercheurs ont également découvert que les infections fongiques étaient plus importantes chez les patients gravement malades du COVID-19, ceux nécessitant une ventilation mécanique et ceux hospitalisés pendant plus de 50 jours.
Selon l'article, la prise en charge médicale de la maladie comprend des traitements antifongiques et un débridement chirurgical des lésions associées. Cela constitue un défi pour les patients atteints du COVID-19, car nombre d’entre eux reçoivent des traitements immunosuppresseurs, tels que des stéroïdes, et l’arrêt des médicaments immunosuppresseurs utilisés pour traiter le COVID-19 fait partie du traitement de la mucormycose. Ils suggèrent en outre d’utiliser l’oxygénothérapie hyperbare pour l’hypoxie et l’acidose.
Pour prévenir la mucormycose chez les personnes atteintes du COVID-19, les chercheurs suggèrent de recueillir des antécédents médicaux détaillés pour évaluer les facteurs de risque, en utilisant un régime contrôlé de stéroïdes, en stérilisant l'eau dans des humidificateurs, en arrêtant les antibiotiques excessifs et en contrôlant la glycémie.
https://www.zerohedge.com/medical/covid-19-linked-alarming-rise-rare-and-highly-lethal-fungal-infection
(...) La pandémie de COVID-19 a provoqué une augmentation alarmante d’infections fongiques secondaires agressives et hautement mortelles parmi les personnes atteintes du COVID-19 actif ou guéri. (...)
SupprimerLa pandémie de COVID-19 a provoqué une augmentation alarmante d’infections fongiques secondaires agressives et hautement mortelles parmi les personnes piquées atteintes donc
du COVID-19 actif ou guéri.
Le plus grand oncologue japonais dénonce les vaccins géniques responsables des turbos cancers chez les jeunes et les réactivations mais les journalistes parlent de fake news
RépondreSupprimerle 3 Mai 2024
par pgibertie
Le plus grand oncologue japonais dénonce les vaccins géniques comme responsables des turbos cancers chez les jeunes Les réactivations de cancers en rémission et les multicancers jamais observés auparavant
- voir cadre sur site -
Le professeur Fukushima, l’oncologue le plus expérimenté du Japon, condamne les vaccins à ARNm comme des « mauvaises pratiques scientifiques »
Points forts Je suis l’oncologue médical le plus expérimenté du Japon. J’ai été le premier à ouvrir une clinique externe de cancérologie à l’Université de Kyoto, et avant cela, à l’Université de Kyoto, en 2020, j’étais chef d’une section au Aichi Cancer Center, tous les postes étaient à l’hôpital Aichi Cancer Center.
J’ai créé le premier cours de pharmacoépidémiologie à l’Université de Kyoto au Japon. … On parle de ce qu’on appelle le « turbo-cancer », un type jusqu’alors inconnu des médecins, caractérisé par une vitesse incroyablement rapide. Au moment où il est découvert, il est déjà au stade quatre, un cancer avancé , et de tels cas commencent à apparaître sporadiquement dans les consultations.
Ainsi, les médecins ont commencé à partager des informations sur ces cas extraordinaires, différents des précédents. C’est donc progressivement devenu la situation depuis l’année dernière ou l’année précédente.
En effet, les médecins ont senti sur le terrain que quelque chose d’inhabituel lié au cancer pourrait se produire. Ils le ressentaient sur le terrain. …
Par ailleurs, les résultats de notre analyse montrent de manière surprenante que certains types de cancer, par rapport à la vaccination, semblent connaître une surmortalité.
Tout d’abord, les cancers comme le cancer du sein, le cancer des ovaires, le cancer de la thyroïde, puis statistiquement, le cancer de l’œsophage et du poumon. Il s’agit notamment du cancer de la prostate chez les hommes.
De tels cancers connaissent spécifiquement une surmortalité. Ce phénomène ne peut pas s’expliquer simplement par des perturbations telles que l’indisponibilité des dépistages précoces en raison de la pandémie ou la perte d’opportunités de traitement. ..
. C’est comme si nous avions ouvert la boîte de Pandore et que nous étions désormais confrontés à toutes sortes de maladies .
RépondreSupprimerNous leur faisons face. Maladies auto-immunes, maladies neurodégénératives, cancer et infections . Tout cela, y compris les maladies rares et difficiles, même ces conditions rares, surviennent.
Même des maladies inouïes sont rencontrées par les médecins ordinaires. … Ce n’est pas de la science ; cela s’apparente davantage à de la foi, de l’hystérie ou même à un comportement sectaire, à mon avis.
S’opposer aux vaccins ne fait pas de quelqu’un un hérétique comme Galilée ; c’est devenu comme être traité comme un paria complet. Voilà la situation. C’est de la folie.
… Nous devons vraiment prendre ces dégâts au sérieux et y remédier avec sérieux. Toute tentative visant à minimiser ces dommages comme s’ils n’avaient pas eu lieu est, franchement, l’œuvre du mal. Il s’agit d’un exemple typique de la mauvaise pratique de la science. …µ
Donc ceci Le vaccin était depuis le début basé sur des idées fausses, des fautes et des mauvaises pratiques scientifiques, totalement défectueux, fondé sur des idées fausses, conduisant à une production totalement fausse, un faux produit , je crois. …
µ Nous devons à nouveau y faire face directement et mettre en lumière la science. C’est pourquoi l’OMS devrait mener pour la première fois une recherche globale sur ce vaccin génétique utilisé à grande échelle sur l’humanité, et tous les pays devraient coopérer avec elle. .
Nous ne devrions plus jamais utiliser de tels vaccins. C’est une honte pour l’humanité. C’est une honte !
https://pgibertie.com/2024/05/03/le-plus-grand-oncologue-japonais-denonce-les-vaccins-geniques-responsables-des-turbos-cancers-chez-les-jeunes-et-les-reactivations-mais-les-journalistes-parlent-de-fake-news/
99,96 % des mensonges sortent de la bouche des journalistes mais seulement 20% des études scientifiques attribuent à l’homme l’origine du réchauffement climatique
RépondreSupprimerle 3 Mai 2024
par pgibertie
Encore une émission caricaturale de désinformation et Gérondeau qui se fait piéger. Une fois de plus Tristan Walecks joue au Savonarole . Sait il lire les études scientifiques ? Non mais il est journaliste donc IL SAIT;
La fabrique de la grande mystification des « 99 % des scientifiques pour l’origine humaine du réchauffement climatique », entre 10 et 30 % dans la réalité !
Publié le 3 décembre 2023 par pgibertie
Le fameux « concensus sur l’origine humaine du réchauffement climatique repose sur une publication de 2021 dite étude Lynas 1)Il faut la relire pour comprendre comment on fabrique un mensonge . 3000 articles sur le climat mais ils ont eu la … Lire la suite →
Le fameux « concensus sur l’origine humaine du réchauffement climatique repose sur une publication de 2021 dite étude Lynas
1) Il faut la relire pour comprendre comment on fabrique un mensonge . 3000 articles sur le climat mais ils ont eu la flemme de les lire! Ils se sont contentés d’une approche via des mots clefs ou encore une lecture orienté du résumé .
Lynas, M. ; Houlton, BZ ; Perry, S. Consensus supérieur à 99 % sur le changement climatique d’origine humaine dans la littérature scientifique évaluée par des pairs. Environ. Rés. Lett. 2021 , 16 , 114005. [ Google Scholar ] [ CrossRef ]
Cette méthodologie de truands sait parfaitement que les articles sceptiques ne renvoient pas à des mots clefs sceptiques dans le résumé et que le scepticisme se trouve en conclusion , pas dans le résumé. Les vrais scientifiques font part de leur doute et refusent de prendre une position de certitude absolue . Vous reprendrez à titre d’exemples les articles en contradiction
ENTRE 70 ET80 % DES ARTICLES SCIENTIFIQUES SUR LE CLIMAT NE PRENNENT PAS POSITION SUR LA RESPONSABILITÉ HUMAINE DU RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE.
RépondreSupprimerMais ils sont allés bien plus loin
Les truands de l’étude LYNAS ont mis dans le consensus en faveur de l’origine humaine du réchauffement climatique ces 70 à 80 % d’articles qui pourtant ne parlaient pas d’une origine humaine du réchauffement climatique ou qui ne parlaient même pas de réchauffement climatique
APPROCHE PAR LES MOTS CLEFS POUR IDENTIFIER LA POSITION DES ARTICLES
APPROBATION plus ou moins claire de la respnsabilité humaine 207 /1000 donc 20,7 %
REJETTENT LA RESPONSABILITE 28/1000 2,87
ne se prononcent pas refusent de decider 77%
Notation/catégorisation # de résumés
1—Approbation explicite avec quantification 7
Impacts 4
Méthodes 3
2—Approbation explicite sans quantification 69
Impacts 24
Méthodes 35
Atténuation 7
Pas lié au climat 1
Paléoclimat 2
3—Approbation implicite 134
Impacts 32
Méthodes 55
Atténuation 33
Pas lié au climat 9
Paléoclimat 5
4a—Pas de position 760
Impacts 156
Méthodes 276
Atténuation 61
Pas lié au climat 70
Paléoclimat 197
4b—Incertain 2
Méthodes 2
5—Rejet implicite 18
Méthodes 17
Paléoclimat 1
6—Rejet explicite sans quantification 6
Méthodes 5
Paléoclimat 1
7—Rejet explicite avec quantification 4
Méthodes 4
Total 1000
APPROCHE PAR LA NOTATION DE 3000 resumes D’ARTICLES /
RépondreSupprimerTableau 3. Résultats de l’évaluation et de la catégorisation de 3 000 résumés.
La catégorie 3 attribue au co2 le réchauffement climatique mais pas à l’homme: lire l’exemple donné ci dessous
(3) Approbation implicite Cela implique que les humains sont à l’origine du réchauffement climatique. par exemple, la recherche suppose que les émissions de gaz à effet de serre provoquent le réchauffement sans déclarer explicitement que les humains en sont la cause « …la séquestration du carbone dans le sol est importante pour atténuer le changement climatique mondi
Notation/catégorisation # de résumés
1—Approbation explicite avec quantification 19
Impacts 7
Méthodes 9
Atténuation 3
2—Approbation explicite sans quantification 413
Impacts 204
Méthodes 78
Atténuation 124
Pas lié au climat 4
Avis 1
Paléoclimat 2
3—Approbation implicite 460
Impacts 95
Méthodes 119
Atténuation 199
Pas lié au climat 43
Paléoclimat 4
4a—Pas de position 2104
Impacts 915
Méthodes 790
Atténuation 60
Pas lié au climat 235
Avis 3
Paléoclimat 101
5—Rejet implicite 2
Méthodes 2
6—Rejet explicite sans quantification 1
Paléoclimat 1
7—Rejet explicite avec quantification 1
Méthodes 1
Total 3000
2) Une nouvelle étude publiée et acceptée par les pairs démonte la méthodologie qui a conduit à proclamer que 99% des scientifiques attribuaient à l’homme la responsabilité du réchauffement climatique.
RépondreSupprimerPremièrement, sur un total de 3 000 articles, ils ont soustrait 282 articles classés comme « articles non liés au climat », laissant 2 718 articles « liés au climat ». Comme seuls quatre articles ont rejeté l’hypothèse AGW, ils ont défini c = 1–4/2718 = 99,85 %. Cela démontre un biais direct dans la définition du consensus, que l’on peut décrire comme « si vous n’êtes pas contre, vous êtes pour ». En termes simples : en comptant le consensus de cette façon, tous les articles qui n’avaient pas d’opinion concernant l’hypothèse AGW (par exemple, les articles neutres) sont considérés comme favorables.
De manière équivalente, on pourrait effectuer un calcul similaire, en comptant « combien d’articles soutiennent l’hypothèse AGW ». Dans ce cas, la réponse serait 892/2718 = 32 %, ce qui conduit au résultat (quelque peu irréaliste) que 1–892/2718 = 67 % rejettent l’hypothèse AGW. Une telle conclusion serait parfaitement cohérente avec la méthodologie présentée dans Lynas et al., même s’il est clair qu’il s’agit d’un résultat biaisé. Une déclaration méthodologiquement correcte de leur analyse aurait dû être que le consensus concernant la thèse AGW est de 32 %
L’activité anthropique est considérée comme l’un des principaux moteurs du changement climatique actuel. Un article récent, étudiant le consensus concernant l’hypothèse selon laquelle l’augmentation récente de la température mondiale est principalement causée par l’homme via l’émission de gaz à effet de serre (voir le texte pour référence), a soutenu que le consensus scientifique dans la littérature scientifique évaluée par les pairs concernant ce sujet l’hypothèse dépasse 99%.
Cette conclusion a été tirée après que les auteurs ont analysé les résumés et les titres de quelque 3 000 articles et les ont cartographiés en fonction de leurs déclarations (abstraites) concernant l’hypothèse ci-dessus. Nous soulignons ici quelques défauts majeurs dans la méthodologie, l’analyse et les conclusions de l’étude.
En utilisant les données fournies dans l’étude, nous montrons que le consensus de 99 %, tel que défini par les auteurs, est en fait une évaluation limite supérieure en raison du grand nombre d’articles « neutres » qui ont été considérés comme pro-consensuels dans l’article et probablement ne reflète pas la situation réelle. Nous analysons plus en détail ces résultats en évaluant dans quelle mesure les articles dits « sceptiques » s’adaptent au consensus et constatons que les biais de la littérature, qui n’ont pas été pris en compte dans l’étude susmentionnée, peuvent placer le consensus plutôt bas.
Enfin, nous montrons que la méthode de notation utilisée dans l’étude souffre d’un biais subjectif qui se reflète dans de grandes variations entre les notations d’un même article par différents évaluateurs. Tout cela conduit à la conclusion que les conclusions de l’étude ne découlent pas des données
RépondreSupprimer3) REPRENDRE tous les résumés des études mises en lien dans ce blog, elles infirment l’origine humaine mais relisez les « abstracts » et vous comprendrez que Lynas les aurait mis dans le « consensus »
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COURT-CIRCUIT : l’unité de véhicules électriques de Ford a perdu 1,3 MILLIARD de dollars au premier trimestre 2024
RépondreSupprimer30/04/2024
Laura Harris
Ford Motor Company a déclaré des pertes de 1,3 milliard de dollars sur son secteur Model E, soit une perte stupéfiante de 132 000 dollars pour chacun des 10 000 véhicules vendus au cours du premier trimestre 2024.
L'unité de véhicules électriques (VE), connue sous le nom de Modèle E, a vu ses ventes diminuer de 20 % par rapport à 2023, avec seulement 10 000 véhicules électriques vendus au premier trimestre de cette année. En 2023, la Model E a enregistré une perte de bénéfice avant intérêts et impôts (EBIT) de 4,7 milliards de dollars sur la vente de 116 000 véhicules électriques, soit une moyenne d'environ 40 525 dollars par véhicule. La perte totale représente un peu plus d’un tiers de la perte du premier trimestre. Dans le même temps, les revenus de cette année ont également été durement touchés, chutant de 84 % à environ 100 millions de dollars en raison des baisses de prix des véhicules électriques dans l’ensemble de l’industrie automobile.
En conséquence, l'unité a enregistré une perte de 1,3 milliard de dollars en EBIT.
Ces pertes ne se limitent pas à la production et à la vente des 10 000 voitures. Ford a précisé qu'ils incluent également des dépenses substantielles en recherche et développement pour les futurs véhicules électriques, qui ne rapporteront pas de bénéfices dans les prochaines années. Par conséquent, Ford prévoit que le modèle E subira des pertes EBIT de 5 milliards de dollars pour l’ensemble de l’année. (Connexe : Ford réduit considérablement les effectifs des usines de véhicules électriques alors que les ventes de voitures électriques chutent.)
En réponse, Ford cherche à aligner les prix des véhicules électriques sur les coûts réels de construction de chaque véhicule, plutôt que de couvrir toutes les dépenses de recherche et développement au cours des 12 prochains mois.
Cependant, John Lawler, directeur financier de Ford, a souligné le défi de parvenir à la rentabilité dans un contexte de guerre des prix prolongée sur le marché des véhicules électriques. Malgré les réductions de coûts, comme une diminution de 5 000 $ des dépenses par Mustang Mach-E, les revenus diminuent plus rapidement que les coûts ne peuvent être réduits.
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RépondreSupprimerLe PDG de Ford reste dans le déni quant aux performances décevantes de ses véhicules électriques
Le modèle E n’a pas réussi à monopoliser les ventes de véhicules électriques de l’entreprise. Au lieu de cela, une partie de ces ventes relève de la compétence de Ford Pro, une unité chargée de la vente de flottes pour les entreprises et les agences gouvernementales.
Contrairement au modèle E, Ford Pro a constaté une hausse de la demande pour les véhicules électriques de la division, notamment une commande massive du service postal des États-Unis pour des fourgons E-Transit et une commande de véhicules électriques F-150 Lightning et de SUV électriques Mustang Mach-E du Société Ecolab basée au Minnesota.
Le service postal a passé une commande de 9 250 fourgons E-Transit, dont la livraison est prévue pour la fin de l'année. Ecolab, une importante entreprise mondiale de développement durable, a passé une commande de plus de 1 000 unités chacune du F-150 Lightning EV et du SUV Mach-E.
Les performances contrastées du Model E et du Ford Pro ont affecté le bénéfice net global de l'entreprise, qui a diminué de 20 % par rapport au premier trimestre 2023. Mais le PDG de Ford, Jim Farley, nie toujours les performances décevantes de leurs véhicules électriques.
Farley a même déclaré aux investisseurs que la société s'efforçait déjà de rétablir ses revenus. Il a ajouté qu’il s’attend à ce que l’entreprise gagne bientôt des revenus grâce aux véhicules électriques.
Visitez RoboCars.news pour plus d’histoires liées à la volonté constante de passer aux voitures électriques.
Regardez ce clip de « Barron's Roundtable » sur Fox Business alors que l'animateur Jack Otter interviewe le PDG de Ford, Jim Farley, sur les risques associés à un passage à grande échelle aux véhicules électriques.
RépondreSupprimerCette vidéo provient de la chaîne News Clips sur Brighteon.com.
Plus d'histoires connexes:
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Les sources incluent :
JusttheNews.com
MSN.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2024-04-30-ford-ev-unit-lost-billion-q1-2024.html
La valeur de revente des voitures électriques est une bombe à retardement
RépondreSupprimer2 mai 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
Les batteries ont une durée de vie limitée, comme chacun le sait grâce à ses smartphones. La capacité diminue et après un certain nombre de cycles de charge elle chute fortement. Cependant, les batteries de remplacement ne sont pas bon marché et sont souvent plus chères que le prix neuf de la voiture. Cela signifie que la valeur de revente d’une voiture électrique tend très vite vers zéro.
Le Money Mail du Royaume-Uni a souligné hier l'existence d'une bombe à retardement imminente sur le marché des véhicules électriques d'occasion. Selon l’article, de nombreuses voitures électriques seraient presque impossibles à revendre en raison de la durée de vie limitée de leur batterie.
Selon une étude de l'ADAC, la garantie d'une batterie de voiture électrique n'est en moyenne que de huit ans ou 160,00 km. Passé ce délai, la batterie peut perdre de la puissance plus rapidement, ce qui réduit le kilométrage entre les charges.
Alors que faire si la batterie n’a plus assez de puissance et que l’autonomie est devenue trop courte, notamment à basse température. Selon Money Mail, une Renault Zoe de cinq ans coûte 9 100 £ au Royaume-Uni, mais une nouvelle batterie coûte 24 124 £. [1 £ = 1,17 €]
Pour les batteries de capacités plus élevées, le coût d’une batterie de remplacement s’élèverait jusqu’à 40 000 £. Pour certains véhicules électriques, le coût de remplacement de la batterie peut atteindre dix fois la valeur du véhicule sur le marché de l'occasion.
On ne sait pas encore exactement quel impact cela aura sur les prix des voitures électriques. Le marché des voitures électriques d’occasion est encore nouveau, puisque les premières voitures électriques populaires ne sont sorties des chaînes de montage qu’en 2009.
L'expert automobile Shahzad Sheikh, qui dirige la chaîne YouTube Brown Car Guy, a déclaré : "Avec une batterie faible, l'autonomie est limitée et il peut devenir de plus en plus difficile de revendre le véhicule après huit ans."
L'article compare le coût d'une nouvelle Renault Clio essence à environ 20 000 £ et près de 30 000 £ pour la Renault Zoe tout électrique. Une voiture essence ou diesel conventionnelle peut parcourir environ 350 000 km sur une période de 14 ans avant que le moteur ne doive être réparé ou remplacé.
Le remplacement d'un nouveau moteur à essence est estimé à environ 5 000 £, tandis qu'une batterie de voiture électrique hors garantie coûte entre 13 000 £ et 40 000 £, selon la marque de la voiture.
Le coût élevé des batteries de voitures électriques est dû à la difficulté d’extraire les métaux tels que le nickel, le cobalt, le lithium et le manganèse utilisés dans les batteries lithium-ion. Ils sont également nécessaires à la production d’autres appareils électroniques tels que les téléphones portables et les ordinateurs portables.
RépondreSupprimerL'article évalue les coûts d'installation à environ 2 000 £ pour une Nissan Leaf avec une nouvelle batterie de 40 kWh à 12 780 £. Cela concerne la manipulation des batteries, ce qui n’est pas vraiment facile. Par exemple, tous les ateliers Tesla disposent également de leurs propres bassins d’eau hermétiques dans lesquels ils stockent les batteries retirées.
Et récemment, j'ai vu dans une caserne de pompiers une caisse rouge destinée au transport de voitures électriques endommagées, comme celle-ci montrée dans la vidéo :
Le problème de prix survient probablement bien avant la fin de la garantie. Si vous achetez une voiture âgée de 5 ans, votre valeur de revente risque de disparaître, ce qui fera baisser considérablement le prix. Un véhicule essence ou diesel âgé de 8 ou 10 ans présente une perte de valeur bien moindre, en particulier dans la catégorie de prix plus élevée dans laquelle on trouve également des voitures électriques.
https://tkp.at/2024/05/02/zeitbombe-wiederverkaufswert-von-e-autos/
« Guerre de l’Energie ou troisième guerre mondiale ». Il faut revenir à un plan nucléaire européen pour assurer notre indépendance.
RépondreSupprimerEntretien avec Fabien Bouglé
France-Soir
le 02 mai 2024 - 19:30
Fabien Bouglé, expert en politique énergétique, essayiste et auteur d’une trilogie de bestsellers dont le dernier « Guerre de l’énergie »
ENTRETIEN ESSENTIEL - Fabien Bouglé est expert en politique énergétique, essayiste et auteur d’une trilogie de bestsellers dont le dernier "Guerre de l’énergie" se révèle être une lecture essentielle pour tous ceux qui désirent comprendre les enjeux de la stratégie énergétique en France et en Europe.
Dans cet entretien essentiel, nous évoquons tour à tour, l'échec des candidats aux élections européennes à se poser les questions essentielles et critiques pour nos populations. "Guerre de l’énergie" retrace le rôle de l’énergie dans l’histoire et comment l’Europe se retrouve aujourd’hui au sein d’un conflit énergétique géopolitique aux enjeux majeurs pour son avenir. La construction de l’Europe de 1957, et ses prémices, reposait sur une construction d’indépendance énergétique commune. Depuis, la technocratie ainsi que l'influence de puissances étrangères ont modifié notre dépendance du gaz russe au gaz américain débarqué par bateau afin de soutenir l’économie allemande.
Fabien Bouglé remet l’énergie et son contrôle au centre des préoccupations.
- voir clip sur site -
Il apporte quelques réponses après une critique sévère des politiques gouvernementales des 40 dernières années, qui ont négligé l'indépendance énergétique cruciale pour renforcer l'autonomie de l'Europe. Cela concerne également la France qui, grâce à son programme nucléaire, bénéficiait d'un avantage concurrentiel en Europe et jouait un rôle clé dans son développement. Des chiffres analysés en toute simplicité qui démontrent le degré de déconnexion des politiques à l’approche des européennes.
« Guerre de l’Energie » aux éditions du Rocher
https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/guerre-de-l-energie-ou-troisieme-guerre-mondiale-il-faut-revenir-un
Voiture électrique : un marché tiré par les subventions
RépondreSupprimerScapin
le 3 mai 2024
Lorsque les États retirent les subventions à l’achat de voitures électriques, la demande ne baisse pas, elle disparait. Telle est l’observation de Carlos Tavares lors de son audition au Sénat.
Après Vincent Bolloré à l’Assemblée nationale, ces auditions de grands chefs d’entreprise que sont Patrick Pouyanné et Carlos Tavares montrent le fossé qui existe entre eux et les parlementaires qui votent les normes qui nous dirigent.
https://www.contrepoints.org/2024/05/03/473973-voiture-electrique-un-marche-tire-par-les-subventions
Émissions de rayonnements énergétiques dirigées de cinquième génération (5G) dans le contexte de vaccins nanométalliques contaminés contre le Covid-19 avec des antennes en oxyde de fer en graphite
RépondreSupprimerRapport d'expertise
Par Mark Steele
Recherche mondiale,
2 mai 2024
Introduction
J'écris ce rapport d'expert en tant qu'ingénieur, inventeur, rédacteur de brevets et chercheur britannique en matière d'armes ; un ingénieur avec une formation en science des matériaux et inventeur des premiers guides d'ondes optiques binoculaires au monde, des systèmes de visée pour armes, des affichages tête haute d'imagerie thermique infrarouge, des réacteurs moléculaires, du traitement du signal et de la conception de transducteurs, pour n'en nommer que quelques-uns.
En tant que directeur technologique (CTO) de l'entreprise qui a conçu et mis sur le marché le premier produit d'affichage tête haute (HUD) au monde approuvé au niveau international, accrédité par un certain nombre de prix d'innovation, mais plus important encore, réglementé selon un certain nombre de normes internationalement reconnues, notamment (DOT) Department of Transport ECE 22.05, ainsi qu'ANSI et d'autres, on m'a fait confiance pour l'établissement de normes internationales pour les systèmes HUD de réalité augmentée (AR) et de réalité virtuelle (VR).
Reportez-vous à la pièce 2a, du conseil en brevets, Ex. 2b de Recorder Nolan, Ex. 2c Cyber-Commandement, Ex. Normes 2d pour les systèmes HUD, Ex. Annexe 2di.
Cyber Command USA a été informé de mon expertise et m'a spécifiquement demandé conseil concernant une conception d'antenne 5G inhabituelle déployée à travers les États-Unis. J'ai été extrêmement chanceux que la plupart (mais pas la totalité) de mes travaux de recherche et de développement de produits aient été effectués en dehors de la législation sur les secrets officiels (OSA).
J'ai agi en tant que témoin et fait des déclarations dans plusieurs affaires judiciaires, révélant l'absence de toute preuve crédible que le réseau de diodes électroluminescentes (DEL) 5G et la connexion neuronale prévue au réseau 5G sont sûrs.
Cela inclut les technologies de nanométamatériaux qui contaminent les vaccins, qui ne sont ni légales ni licites et qui enfreignent un certain nombre de lois internationales et nationales.
Le juge Nolan de la Crown Court de Newcastle a déclaré que « le risque 5G doit être débattu » et que « c'est une démocratie et le public a le droit de savoir ».
RépondreSupprimerLes preuves que j’ai présentées au tribunal ont mis en échec la tentative des autorités locales et des acteurs de l’establishment britannique de m’empêcher de fournir les preuves scientifiques publiées sur les risques que représente pour le public et l’environnement le réseau de radars urbains 5G et son objectif ultime.
L’échec de l’action en justice intentée par l’autorité locale a créé une tempête publicitaire qui a contribué à mettre en évidence les risques réels liés au déploiement de la 5G à travers le monde, ainsi que le manque total de soin apporté par les régulateurs autorisant ce déploiement de la 5G.
Mon implication dans plusieurs projets de recherche et développement s'étend sur l'ensemble de ma carrière professionnelle et inclut certains de nature sensible en raison des restrictions de la Loi sur les secrets officiels de 1911 et je ne suis donc pas libre de les divulguer dans le domaine public ; il suffit de dire que ces travaux ont conduit à une compréhension des contrats du ministère de la Défense (DOD), au compartimentage des projets de conception de produits d'armes et aux armes à énergie dirigée (DEW), dont l'existence a été jusqu'à récemment obscurcie et parfois niée. I.1.
L’utilisation d’armes directionnelles à rayonnement micro-ondes par des acteurs inconnus dans les ambassades américaines à Cuba, en Chine et en Russie, connue sous le nom de syndrome de La Havane, n’est toujours pas pleinement reconnue par les autorités. Le syndrome de La Havane porte toutes les caractéristiques des émissions de rayonnements micro-ondes, qui ont causé aux victimes des dommages neurologiques importants et irréparables, entre autres blessures. Le gouvernement américain n'a pas réussi à garder ces armes secrètes et a récemment adopté un projet de loi visant à indemniser les victimes du personnel de l'ambassade. I.2
Les agences de renseignement américaines, dans leurs communications avec le gouvernement russe, confirment qu’elles connaissaient déjà l’existence et la capacité des armes à rayonnement micro-ondes et qu’elles appelaient leurs supposés adversaires russes à cesser l’utilisation de ces armes contre leurs ambassades. I.3
Mon domaine de recherche couvre également d'autres systèmes d'interrogation et d'armes sur le champ de bataille, notamment les systèmes d'armes autonomes létales (LAWS), I.4, les véhicules sous-marins autonomes (AUV), la détection et la télémétrie par lumière (LIDAR), les technologies de radar à réseau phasé, dont la 5G pour le suivi des armes. plates-formes, ainsi que des actifs biologiques sur et hors du champ de bataille qui sont de plus en plus utilisés dans un cadre civil pour inclure les technologies de reconnaissance faciale, les véhicules électriques autonomes, les drones, dont aucun n'a été pleinement évalué sur le plan environnemental pour les dommages causés par leurs émissions de rayonnements au grand public. ou la faune. I.5
RépondreSupprimerRadar urbain 5G, rayonnements ionisants et risques liés aux infrastructures critiques
La 5G, contrairement à toutes les autres générations (G) de télécommunications, est techniquement identifiée comme une émission d'énergie dans l'air dirigée par un radar urbain, ce qui nécessite que l'antenne soit conçue pour que l'énergie concentrée dans l'air nécessaire à la compression à grande vitesse des données soit transmise. et d' antennes conçues pour envoyer et recevoir de l'énergie focalisée à travers un signal théorique collimaté et cohérent. II.1
L'onde de formation de faisceau dans l'émission du lobe principal enfreint la directive de la Commission internationale sur la protection contre les rayonnements non ionisants (ICNIRP) de 61 V pour une exposition maximale de 6 minutes. II.2
Cette ligne directrice de l'ICNIRP est contraire à la résolution 1815 du Conseil de l'Europe (COE) et à la ligne directrice européenne de 2016, qui confirment la publication scientifique évaluée par des pairs selon laquelle tout ce qui dépasse 600 mV/m doit être limité à une exposition à court terme et à une exposition à long terme. l'exposition ne doit pas dépasser 200 mV/m. C'est un ordre de grandeur inférieur à la directive ICNIRP de 6 minutes, 61 000 mV, qui est une valeur de cuisson biologique. L'ICNIRP est largement reconnue comme une « agence capturée », comme l'ont confirmé les tribunaux italiens. II.3
Le mouvement de balayage de l'onde du faisceau à plus de 13,6 V provoque une charge positive de l'air, qui est nocive pour toute vie biologique à des distances significatives entre l'émission de l'antenne et la zone d'acquisition cible, telle est la capacité du matériel et des logiciels 5G. C'est la raison même pour laquelle cet équipement est et a été largement utilisé sur le champ de bataille comme radar de balayage de l'environnement et armes à énergie dirigée (DEW) dans le but de perturber et de désactiver le matériel ennemi, ainsi que les actifs biologiques, c'est-à-dire les humains. II.4
En règle générale, la conception de l'antenne 5G utilise une puissance d'entrée et une sortie dirigée plus importantes pour fournir des signaux de compression de données ciblés et de haute puissance mesurés en watts ou en électrons-volts.
RépondreSupprimerL'industrie aéronautique, notamment Boeing et Airbus, a récemment fait part de ses inquiétudes concernant la 5G en raison de sa capacité à mettre en danger les avions de passagers qui ne disposent pas des technologies militaires d'atténuation dans un environnement civil pour protéger leurs pilotes ou les systèmes de commande de vol des avions contre les émissions d'énergie dirigées. II.5
L’industrie des télécommunications et d’autres organismes de réglementation n’ont cessé de nier l’objectif réel et l’existence des dangers radiologiques posés par le déploiement des technologies 5G ; ils ont activement induit le public en erreur en publiant des communiqués de presse manifestement faux dans les médias locaux et nationaux, ainsi qu'en faisant de fausses déclarations devant les tribunaux dans des tentatives infructueuses de discréditer des experts, y compris moi-même, même s'ils avaient été informés par leurs propres agences de renseignement que le Les technologies expérimentales et non assurables étaient et restent extrêmement dangereuses pour la sécurité de l’État. II.6
« Backhaul » dans le contexte de la 5G est le terme utilisé pour désigner l'avancée technologique qui permet d'interroger et de récupérer simultanément des données à partir de plusieurs appareils et environnements ; en d’autres termes, espionner toute la zone, ne laissant aucune chance d’intimité.
La capacité d’interroger et de numériser les renseignements recueillis enfreint un certain nombre de lois relatives aux droits de l’homme. Ce brevet (II.7), l'un des nombreux brevets qui confirment la capacité d'interroger les émissions sonores et vocales à travers les bâtiments afin de recueillir des données sur une population sans méfiance à l'aide de systèmes matériels et logiciels électromagnétiques, fait tous partie de la vaste boîte à outils 5G.
La domination du spectre du réseau 5G de moins de 3 GHz à 300 GHz pose un risque réel de blessures corporelles dues à des fréquences de valeur énergétique photonique plus élevée qui sont des émissions de rayonnement cohérentes, dont l'impact est actuellement inconnu car elles n'ont pas été testées et leur sécurité n'a pas été prouvée, et non assurables, avec des niveaux d'émissions de rayonnements dépassant tout ce qu'imaginaient les technologues antérieurs. Les valeurs de rayonnement indicatives de l'ICNIRP s'appliquent uniquement aux émetteurs de dispositifs à antenne unique et ne prennent pas en compte l'augmentation et la multiplication massives des dispositifs d'émission de rayonnement proposés dans toutes les villes et villages pour le réseau 5G, qui est destiné à tout interconnecter simultanément à l'aide de dispositifs biologiques très complexes. toxiques, et en particulier le rayonnement micro-ondes modulé. II.8
Le déploiement de la 5G est en cours par les gouvernements du monde entier dans toutes les villes et villages sans aucune analyse d'impact environnemental préalable obligatoire ni assurance publique contre les instruments de préjudice (II.9), faisant de l'ensemble du déploiement du réseau un acte illégal et illicite de la part des autorités agissant ultra vires en permettant aux émissions de rayonnements ionisants et non ionisants biologiquement toxiques d'avoir un accès sans entrave à l'environnement. Les entreprises de télécommunications s'auto-certifient généralement avoir respecté les directives (obsolètes) de l'ICNIRP, ce qui leur permet d'enfreindre ces directives sans sanction, car aucun organisme de réglementation ne procède à des évaluations indépendantes du respect des directives de l'ICNIRP. II.10.
RépondreSupprimerCe sont les mêmes directives de l'ICNIRP qui ont démontré qu'elles provoquent des problèmes de santé et des cancers dans la population générale à proximité des réseaux 4G existants. II.11
Un autre facteur troublant est que l'industrie des télécommunications responsable du déploiement a confirmé qu'elle n'avait mené aucune recherche scientifique et ne disposait donc d' aucune donnée de recherche scientifique publiée à ce jour sur l'impact réel des réseaux 5G sur l'environnement.
Des études indépendantes sur le sujet réfutent la propagande de l’industrie et du gouvernement sur la sécurité du réseau 5G. I I.12
Les agences gouvernementales chargées de protéger la population contre les propriétés cancérigènes confirmées des rayonnements non ionisants et ionisants n'ont pas réussi à fournir un cadre réglementaire de normes de sécurité ou de lignes directrices pour protéger l'environnement, exposant ainsi un public sans méfiance à des niveaux de rayonnement qui sont nocifs et mettent la vie en danger. II.13
De graves risques liés aux infrastructures critiques ont été ignorés dans la ruée non réglementée vers le déploiement du réseau 5G. Les régulateurs industriels et gouvernementaux du monde entier ont ignoré un certain nombre de risques sérieux scientifiquement établis découlant de la densification massive de la 5G, de l'Internet des objets (IOT) et des avions SMART, des communications Internet sur les réseaux électriques, des systèmes d'antennes urbaines, qui nécessitent des milliards de quadrature à large spectre. émetteurs de rayonnement micro-ondes à modulation d'amplitude (QAM).
En 2018, le réseau cellulaire du Canada était soutenu par environ 33 000 grandes tours mesurant jusqu'à 200 pieds de hauteur. Le nouveau protocole 5G nécessitera des émissions d'ondes de rayonnement beaucoup plus nombreuses et plus élevées en utilisant des tours précisément situées dans les villes du Canada (environ 273 000) à une hauteur beaucoup plus courte et avec des demandes d'énergie beaucoup plus importantes sur le réseau électrique. II.14
Le récit de propagande de l’industrie et des agences affirmant que ces réseaux 5G consomment moins d’énergie est manifestement faux. L'augmentation massive du nombre d'antennes provenant des antennes massives à entrées et sorties multiples (MIMO) pour la 5G, ainsi que les réseaux mini et micro relais, ainsi que l'utilisation accrue des données des appareils nécessitent tous une consommation d'énergie supplémentaire en watts. Le radar à balayage continu et non sur demande, conçu pour détecter la zone cible, est continuellement opérationnel, avec la superposition supplémentaire de multiples ondes de faisceaux focalisées à plus haute énergie, créées par les antennes d'émission déphasées. Ces ondes de faisceaux focalisées à haute énergie, opérant sur une plus grande partie du spectre, utilisent des valeurs de photons d'énergie plus élevées dans le spectre d'ondes millimétriques compressées pour fournir des faisceaux de compression de données de haute puissance dans les zones urbaines. C'est la raison pour laquelle l'industrie aéronautique est très préoccupée par les risques. posés à leurs systèmes de communication, essentiels à la sécurité des avions en vol.
RépondreSupprimerLes installations d’antennes de masse 5G prévues et actuellement déployées s’ajoutent toutes à un besoin toujours croissant d’énergie supplémentaire pour produire le transfert accru de données via les émissions de rayonnements entre les villes et les villages. On sait que les émissions de rayonnements micro-ondes augmentent les températures thermiques, contribuant ainsi aux défis du changement climatique et aux effets potentiellement mortels de l’augmentation des températures dans les villes. Les impacts des îlots de chaleur sont définis comme de grandes zones urbaines affectées par des augmentations des températures urbaines reconnues par l'Environmental Protection Agency (EPA) comme entraînant des effets néfastes sur la santé et une augmentation de la consommation d'énergie. II.15
La consommation d’énergie dans les îlots de chaleur augmente la demande de climatisation pour refroidir les bâtiments. Dans une évaluation d'études de cas couvrant plusieurs pays, la demande d'électricité pour la climatisation a augmenté d'environ 1 à 9 % pour chaque augmentation de température de 2 °F. Les pays où la plupart des bâtiments sont climatisés, comme les États-Unis, ont connu la plus forte augmentation de la demande d’électricité. Les îlots de chaleur contribuent à des températures diurnes plus élevées, à une réduction du refroidissement nocturne et à des niveaux de pollution atmosphérique plus élevés. Ceux-ci, à leur tour, contribuent aux décès et aux maladies liés à la chaleur, tels que l'inconfort général, les difficultés respiratoires, les crampes de chaleur, l'épuisement dû à la chaleur et les coups de chaleur non mortels.
Le rayonnement micro-ondes affectera également un grand nombre de structures moléculaires dans les matériaux, ce qui augmente le risque d'incendie dans les bâtiments. Cela est dû à la dégradation des éléments hydrocarbures présents dans les bâtiments en raison du rayonnement micro-ondes modulé, qui provoque un échauffement localisé et la dégradation des matériaux. Le rayonnement micro-ondes à certaines fréquences excitera les molécules d'eau et s'il n'y a pas d'humidité disponible, d'autres molécules moins volatiles absorberont le rayonnement et commenceront à chauffer. Par conséquent, tout matériau séché peut surchauffer et s’enflammer plus facilement dans un champ micro-ondes, une sorte d’amorçage. Les risques particuliers aux émissions de rayonnements 5G sont dus à la densification de masse proposée et à la domination spectrale des émissions de rayonnements. De plus, tout objet métallique à l'intérieur d'un champ micro-ondes peut présenter des propriétés diélectriques susceptibles de provoquer des étincelles, susceptibles de provoquer un incendie ; ceci est dû à une accumulation de particules chargées, une énergie qui produit un champ électrique concentré au bord du métal. II.16
RépondreSupprimerCe sont tous des phénomènes scientifiques qui ont été ignorés par les régulateurs et l’industrie, mais le problème le plus alarmant, non reconnu et non réglementé est la fatigue des matériaux causée par le bombardement continu de la compression de données 5G et des champs d’énergie micro-ondes modulés focalisés (QAM). La 5G nécessite une compression d’énergie de paquets de données beaucoup plus complexe et ciblée.
Le potentiel d'une fréquence spécifique provoquant la dissociation des structures moléculaires des matériaux de construction solides, des œuvres d'art inestimables et des collections de vins, entre autres choses, ne peut être surestimé en raison des impacts d'ondes croisées actuellement non étudiés de niveaux d'énergie aussi élevés. émissions de rayonnement modulées dans l’air. Cette cacophonie de pollution par les rayonnements micro-ondes pourrait entraîner de graves pannes dans les équipements les plus importants, y compris le réseau électrique. L'infrastructure critique actuelle n'a jamais été évaluée ou conçue avec cette valeur de vibration pulsée et d'énergie dans l'air ajoutée au calcul de fatigue des matériaux et à la durée de vie ultime de l'infrastructure établie, y compris le réseau électrique. II.17
Ce qui a également été découvert, c'est une capacité de puissance latente inutile intégrée au réseau matériel 5G SMART IOT. Cette grande capacité pourrait facilement être utilisée pour une éventuelle attaque par impulsion électromagnétique (EMP) contre les villes et les populations II.18
Cela dépendrait de l’interconnectivité connue et de l’accès à distance d’un réseau facilement piratable à tous les dispositifs d’émission du réseau de rayonnement 5G construit. II.19
Les systèmes d'exploitation 5G ont déjà été compromis et pourraient présenter un risque de sécurité important, car les EMP peuvent provoquer une perturbation majeure des systèmes de communication électromagnétiques, du réseau électrique et du matériel électronique ; Les émissions d'IEM proviennent généralement de sources telles que le Soleil et un certain nombre d'armes développées. II.20
RépondreSupprimerIl a été démontré que l’onde d’impulsion électromagnétique issue des essais de bombes nucléaires provoquait d’importantes perturbations du réseau électrique à de grandes distances. Quelque chose de similaire s'est produit lorsque la 5G a été activée en Corée du Sud en avril 2019 : elle a provoqué de nombreux incendies dans la ville en raison de la panne documentée des transformateurs du réseau électrique. Le gouvernement sud-coréen et les médias ont fait croire que cela avait été causé par des incendies de forêt dans cinq villes distinctes simultanément dans tout le pays lorsque la 5G a été activée, mais cette cause présumée n'explique pas la perturbation du réseau électrique et la destruction du matériel critique du réseau électrique. Les risques EMP identifiés aux États-Unis démontrent que ce type de technologie 5G mal réglementée présente un risque potentiel partout dans le monde. II.21
Le récit des télécommunications pour la 5G n’est qu’une couverture pour sa capacité et son objectif futurs réels, comme le confirme l’absence totale de recherche sur les risques environnementaux et de couverture d’assurance en cas de préjudice . Le futur domaine de l’espace de combat et le déploiement en cours des avancées technologiques de la 5G incluent les armes 5G pour la guerre dans les villes, les villages et les campagnes. Ce domaine inclut les technologies de guerre psychologique, notamment le contrôle et la diffusion d’informations via les réseaux sociaux afin de masquer le véritable objectif de la 5G en tant que système de guerre.
« L’espace de mission de cinquième génération représente un nouvel environnement dans lequel les futures opérations se dérouleront. La complexité du domaine est exacerbée par des acteurs incontrôlés et indéfinis qui dirigent ou influencent le récit. Le plus grand défi du nouvel espace de mission est l’érosion totale des concepts d’ennemi et de guerre elle-même. L’adversaire sera beaucoup plus ambigu et la guerre deviendra un phénomène insidieux conçu pour se dégrader de l’intérieur plutôt que d’attaquer de l’extérieur ». (c'est nous qui soulignons) II.22
Les forces d’opérations spéciales débattent déjà des opportunités et des risques liés aux réseaux IOT 5G, avec des assassinats via les LOIS qui peuvent être utilisées pour éliminer les individus ciblés.
« L'adoption des métamatériaux a été la plus importante dans les communications, les antennes et les systèmes radar, avec les applications d'identification par radiofréquence (RFID) associées pour le marquage, le suivi et la localisation. Le passage aux communications 5G et aux capacités radar extraordinaires accélérera encore les développements, avec des ventes commerciales qui devraient dépasser 10 milliards de dollars par an d'ici 2030. Les métamatériaux font partie intégrante des futures antennes hautes performances, haute impédance, discrètes, conformes et fractales pour systèmes de communication et radar. Il existe un immense potentiel pour des changements révolutionnaires dans les communications militaires et les systèmes radar grâce aux métamatériaux. En effet, à mesure que les métamatériaux seront davantage intégrés dans les technologies d’antenne, ils réduiront les coûts des systèmes, permettront de fabriquer des dispositifs plus petits avec des besoins énergétiques réduits, faciliteront de nouvelles formes et facteurs de forme et offriront des capacités de formation et de mise en forme de faisceaux plus agiles. II.23
RépondreSupprimerLe complexe militaro-industriel du monde entier ne connaît que trop bien les avantages de l’utilisation de systèmes d’armes électromagnétiques pour les interrogatoires sur le champ de bataille, à savoir la 5G, et ce depuis l’émergence de cette technologie pendant la Seconde Guerre mondiale. Ce qui est également bien compris, c'est le vaste corpus de données scientifiques publiées montrant les effets néfastes des réseaux de télécommunications actuels sur la santé et l'environnement. La 5G ajoute toute une série de risques supplémentaires pour l’environnement et pour la santé de la population. II.24
Ce n’est pas un argument qui peut désormais être contesté ; La dérive des missions et la planification de guerres asymétriques et non conventionnelles à travers les villes devraient être une préoccupation majeure, en particulier pour la population civile au cas où elle deviendrait la cible d’un régime technocratique et fasciste orwellien. Qui contrôlerait le radar d’interrogatoire urbain d’espionnage et dirigerait l’énergie dans les systèmes d’armes aériennes ? II.25
De nombreuses opportunités sont actuellement en discussion dans l’industrie de la défense, en se concentrant sur la capacité des réseaux urbains 5G à capter la population avec des antennes métamatérielles, tandis que de sérieuses préoccupations et risques semblent être ignorés. II.26
Ces programmes et projets futurs présentent un risque important pour les libertés civiles, les infrastructures critiques et l’État de droit.
Métamatériaux de vaccination, champs magnétiques de contamination par nanoparticules
Il a été démontré dans un certain nombre d’études que les vaccins contiennent des contaminants métalliques toxiques, y compris des niveaux « inexplicables » de contamination nanométallique. III.1
Ce phénomène est loin d’être inexplicable si les chercheurs qui ont mené cette étude avaient eu connaissance des objectifs de l’industrie de défense et des ingrédients métamatériaux pouvant être utilisés pour améliorer les technologies d’interrogation urbaines 5G, ainsi que de divers autres projets de développement de nanomatériaux. III.2
RépondreSupprimerLes métaux sont presque universellement réfléchissants aux radars et sont donc visibles pour être utilisés comme moyen de détection d'objets. « Wetware » est le nom donné aux structures biologiques opérant dans l’espace du champ de bataille qui sont beaucoup plus difficiles à suivre, à tracer ou à attaquer à l’aide de LIDAR, RADAR ou DEW. Les métaux sont de puissants réflecteurs d’ondes électromagnétiques et permettent une détection et une résolution accrues des technologies d’interrogation sur le champ de bataille. Des formes métalliques spécifiques en polymères peuvent être utilisées pour leurs propriétés diélectriques afin de dévier et d'absorber la capacité de réflexion et d'interrogation des systèmes radar actuels. III.3
Cependant, sans utiliser cette forme précise et cette encapsulation polymère, la contamination métallique sous forme de métamatériaux permet une résolution plus élevée de la cible. Une fois la technologie du vaccin Covid-19 injectée dans le corps, l’acquisition cible du logiciel humide est beaucoup plus précise et le domaine technologique peut être utilisé pour collecter des données biométriques. Il est envisagé que les appareils électroniques portables et portables actuellement utilisés pour connecter la personne au Cloud deviendront redondants en raison de ces avancées technologiques et d'autres avancées technologiques. Le réseau de contrôle Neuralink utilise des antennes nanotechnologiques implantées qui peuvent collecter ces données et les télécharger sur le Cloud ; ces innovations dépassent largement la phase de planification et font toutes partie du futur espace du champ de bataille. III.4
Les recherches du Dr Robert O. Young confirment que les injections du Covid-19 ont été entièrement chargées de métamatériaux, à savoir du graphite et des nanoparticules d'oxyde ferreux. III.5
Cette découverte choquante est confirmée par nos propres recherches menées sur les victimes, ainsi que par des milliers de vidéos anecdotiques montrant des émissions de rayonnements électromagnétiques ; ainsi que des aimants et des objets métalliques réagissant aux sites d’injection des personnes vaccinées avec le sérum Covid-19. Les autres biomarqueurs utilisés incluent le SM-102, qui est un phospholipide toxique présent dans les vaccins Moderna Covid-19, une luciférine synthétique qui améliore la luciférase d’imagerie par bioluminescence. III.6
RépondreSupprimerLes luciférines peuvent être activées à l'aide d'un rayonnement électromagnétique pour créer une bioluminescence du sujet. Les technologies de reconnaissance faciale, qui font partie de la boîte à outils technologique 5G, peuvent ensuite être utilisées pour suivre et retracer le sujet contaminé dans l’espace environnemental.
Les décès et les dommages biologiques importants dans la population causés par l’intervention médicale du vaccin expérimental à ARNm contre le Covid-19 ont désormais été documentés dans près d’un millier d’articles scientifiques publiés. III.7.
Les injections de Covid-19 sont désormais liées à la coagulation sanguine, à la myocardite, à la péricardite, à la thrombose, à la thrombocytopénie, à l'anaphylaxie, à la paralysie de Bell, au syndrome de Guillain-Barré et au cancer, entre autres. Ceci est confirmé par des données scientifiques irréfutables et par les données recueillies par le gouvernement auprès de l’Agence britannique de santé et de sécurité, qui montrent que les vaccins contre le Covid-19 sont dangereux et inefficaces.
Symptômes du coronavirus radio-induit COVID-19
La grande majorité des populations occidentales, en particulier celles de la communauté Five Eyes, l'alliance de renseignement Anglosphere comprenant l'Australie, le Canada, la Nouvelle-Zélande, le Royaume-Uni et les États-Unis, se sont vu injecter à leur insu des antennes nano-métamatériaux. et vont malheureusement souffrir d’une augmentation des taux de mortalité en raison des émissions localisées de rayonnements réfléchissants du radar urbain 5G. Tous les symptômes connus du coronavirus peuvent être attribués à la pollution par les rayonnements ionisants et non ionisants. IV.1, IV.2
La 5G a été identifiée dans un certain nombre d’articles publiés comme la véritable cause de la pandémie, dont le début a coïncidé avec la mise en service du réseau 5G dans la province de Wuhan, dont la population venait d’être vaccinée obligatoirement contre la grippe. La 5G a le potentiel de fournir des niveaux d’énergie ionisants qui entraîneraient une suppression du système immunitaire, exposant ainsi le corps à un risque de maladie. IV.3
L'agent pathogène Covid-19 n'a pas été isolé ni purifié et aucune agence gouvernementale ne peut actuellement fournir l'isolat ou la preuve de son existence réelle , à l'exception de la modélisation in-silice créée par l'Institut de Wuhan, officiellement reconnu comme le virus le plus avancé de Chine. complexe de laboratoires de recherche. La Chine est signataire de la Convention sur les armes biologiques (CAB) depuis 1985 et a déclaré en 1993 l'Institut des produits biologiques de Wuhan comme l'un des huit centres de recherche sur la guerre biologique couverts par la CIAB. Toute personne travaillant sur ou sur ce site serait légalement tenue de ne divulguer aucun secret découlant de son emploi dans cette installation et n'est donc pas libre de s'exprimer. Le laboratoire national de biosécurité de niveau 4 (BSL-4) de Wuhan est dédié à la recherche sur les maladies infectieuses graves. Il a le plus haut niveau de sécurité biologique et couvre de nombreuses biotoxines et gains illégaux de fonction des développements d'armes biologiques du SRAS-Cov-2, et a été la source des données initiales sur les agents pathogènes pour l'existence de Covid-19 et le commerce pharmaceutique international qui en a résulté. réponse du programme de vaccination. Par coïncidence, le test PCR n'a jamais permis d'identifier un virus ou un agent pathogène vivant et constitue la base fondamentale des confinements à travers le monde, qui ont été utilisés avec beaucoup d'effet pour terroriser la population mondiale en lui faisant croire que le Covid-19 existe sous la forme d'un virus vivant. et que la seule stratégie de survie consiste à utiliser une technologie d’arme biologique se faisant passer pour un vaccin. IV.4
RépondreSupprimerLes Centers for Disease Control (CDC) ont désormais supprimé le test PCR comme outil de diagnostic, après qu'il ait été utilisé à mauvais escient, ce qui témoigne de son utilisation délibérée pour susciter la peur et la détresse au sein d'une population mal informée. IV.5
Des chercheurs et des médecins du monde entier ont été bâillonnés, menacés et vilipendés dans les médias et discrédités en tant que théoriciens du complot par les gouvernements et leurs agents lorsqu'ils se sont prononcés pour s'opposer à ce programme transmondialiste. La Déclaration de Great Barrington, qui compte plus de 800 000 signataires, a été ignorée et vilipendée par ceux qui prônent leur discours terrorisant. Il a été ignoré de manière inconcevable afin que les populations occidentales puissent être terrorisées et les inciter à participer à la plus grande expérience médicale illégale et illicite de l’histoire du monde. IV.6
Les humains augmentés augmentent la mortalité dans les champs de rayonnement 5G
Les humains augmentés et leur soi-disant amélioration biologique font déjà partie de l’agenda mondial connecté numériquement des gouvernements et des industries de défense. V.1.
Étonnamment, dans les démocraties représentatives du monde entier, cela se produit sans aucune consultation publique, sans aucun débat public de la part des participants proposés à cet agenda idéologique, technologique et politique. V.2
On peut postuler que la seule raison que l’élite technocratique, y compris les forces motrices du Forum économique mondial (FEM) et de l’Organisation des Nations Unies (ONU) avec son Agenda 2030, pourrait avoir pour garder cet agenda mondial connecté numériquement hors du public est que ils le condamneraient et refuseraient d'y participer. Même si ce programme comporte des implications juridiques sérieuses et évidentes, l’accent devrait être mis sur les implications juridiques de l’autorisation de l’utilisation de technologies biologiquement nocives qui auront un impact néfaste sur la santé, l’environnement et la mortalité. Il n’existe actuellement aucune donnée ou recherche crédible sur la sécurité démontrant que le déploiement de cette technologie est sûr. Un autre exemple choquant de produit mis sur le marché sans normes de sécurité optique ni protocoles de test est celui des casques de réalité virtuelle (VR). Malgré le fait que le rayonnement optique artificiel constitue un danger connu pour l'environnement et l'homme, ces casques nécessitent un grossissement du rayonnement optique comme affichage rétinien et confirment le mépris total de la sécurité et de la loi. Autre exemple, la technologie de liaison montante neuronale nécessite l’insertion ou l’injection de nanométamatériaux dotés d’une capacité d’antenne dans le cerveau et le corps des humains à travers la planète. V.3
RépondreSupprimerIl a déjà été démontré dans la littérature publiée que les nanomatériaux produisent des effets biologiques néfastes provoquant la mort cellulaire et des problèmes potentiels de fertilité. V.4, V.5
Il est suggéré que les nano-antennes soient utilisées pour recevoir et répondre en utilisant une compression cohérente des données QAM dans le corps, sans aucune donnée de sécurité correspondante, créant ainsi une population d'entités émettrices de rayonnements qui, selon certaines définitions légales, deviendraient des appareils électriques et ne seraient donc pas classées. comme humain. Les niveaux d'énergie de ces signaux cohérents proposés depuis et vers des antennes positionnées dans le corps et le cerveau augmenteront les dommages cellulaires dus aux impacts des rayonnements provenant de l'extérieur du corps, dont il a déjà été démontré qu'ils sont génotoxiques. V.6
Dans la plus grande étude indépendante menée, l'étude du National Toxicology Program (NTP), le dont les résultats sont soutenus par l’ensemble des publications scientifiques indépendantes. Ces études confirment l'effet génotoxique sur les animaux résultant d'expositions subchroniques au niveau des lignes directrices de l'ICNIRP. Les émissions urbaines de la 5G sont conçues pour provoquer une exposition chronique aux rayonnements qui augmentera sans aucun doute les effets génotoxiques sur toute la vie biologique avec laquelle les rayonnements entrent en contact. Ces émissions de rayonnements dépassent largement le niveau de contamination de 6 minutes recommandé par l'ICNIRP sur certains spectres. Les preuves provenant de zones couvertes par les émissions de rayonnements moins puissantes et moins densifiées des réseaux 4G ont déjà montré des effets néfastes importants sur la faune. V.7.
Les organismes biologiques plus petits qui composent l’ensemble de l’écosystème sont moins protégés contre les émissions de rayonnements d’origine humaine et peuvent donc montrer leurs effets de manière plus visible et incontestable. Il a été démontré que la pénurie aiguë de petits insectes est principalement causée par de nouvelles émissions expérimentales de rayonnements artificiels, notamment les diodes électroluminescentes (DEL), qui ont été peu étudiées en raison de leurs effets néfastes sur l'environnement. V.8
RépondreSupprimerL’ajout de nano métamatériaux par implant, injection et contamination environnementale créera un environnement cytotoxique préjudiciable à toute vie biologique. La réflexion localisée des antennes métamatérielles ou des entités vaccinées contaminées par des nanométaux contribuera à une augmentation substantielle des expositions aux rayonnements, en particulier dans les villes. La technologie de liaison 5G peut désormais capturer et interroger plusieurs points de données, conversations, ainsi que des données biométriques et des mouvements corporels 24 heures sur 24, tous les jours, au détriment des personnes vaccinées contre le Covid-19 pour le reste de ce qui sera probablement limité. l'espérance de vie, ainsi que de ceux qui ne peuvent pas s'éloigner de ces réseaux de rayonnement 5G et de ces environnements pollués par des nanoparticules.
Les champs magnétiques artificiels accompagnent l’onde du faisceau numérisé (QAM), ce qui augmente les émissions et crée une perturbation énergétique et vibratoire des particules de nano-métamatériaux dans le corps vacciné contaminé ; cela augmentera considérablement la cytotoxicité des technologies sur une population massive de personnes vaccinées sans méfiance.
Rendre obligatoire cette expérience technologique sous la forme d’un vaccin qui augmente la stérilité et provoque des décès prématurés est une entreprise criminelle menée par des organisations et des individus qui n’ont pas reconnu le développement compartimenté des systèmes d’armes nécessaires au programme de contrôle et de dépopulation planifiée. Les renseignements sur le dépeuplement massif ont été confirmés dans les cercles de la défense dès 2017 par le groupe de renseignement sur le matériel d’armement Deagel, qui prévoyait plusieurs millions de victimes dans les pays occidentaux d’ici 2025.
L’ignorance ne devrait pas servir de défense à ces criminels, qui participent à une guerre asymétrique contre une population ignorante et terrorisée.
Les criminels peuvent être identifiés par leur mépris total des évaluations obligatoires des risques environnementaux et des normes de sécurité concernant les technologies expérimentales et des principes de précaution qui devraient leur être appliqués.
Les données du gouvernement britannique montrent clairement que les vaccins expérimentaux ne fonctionnent pas comme un vaccin et présentent un risque important pour la population en raison de millions de réactions indésirables graves, voire mortelles. Bien que l’injection de ce poison ne procure aucun bénéfice aux enfants, les acteurs derrière cet événement meurtrier planifié ignorent la science et les données irréfutables alors qu’ils poursuivent leur programme de guerre secrète contre les plus vulnérables de nos sociétés. V.9
RépondreSupprimerLe CDC admet les dangers mortels que représente actuellement cette technologie expérimentale pour les jeunes, sans données à long terme sur les dangers posés par ce déploiement d’armes biochimiques. À l’origine du mépris flagrant de toutes les obligations éthiques et juridiques se trouve le programme militaire global du champ de bataille, qui dicte que la guerre doit désormais être menée contre les populations civiles.
Conclusion
Pour citer Martin L Pall, PhD, professeur émérite de biochimie et de sciences médicales à l'Université de l'État de Washington : « Installer des dizaines de millions d'antennes 5G, sans un seul test biologique de sécurité, doit être l'idée la plus stupide que quiconque ait eu dans l'histoire. du monde". Le professeur Pall a cependant tort : ce n’est pas une idée stupide mais un crime odieux si l’on comprend le motif de ce déploiement. La 5G est un déploiement d’armes compartimenté se faisant passer pour une avancée technologique inoffensive permettant des communications améliorées et des téléchargements plus rapides. La fausse propagande mondialiste s’effondre sur un simple fait incontesté : leur brevet de test PCR pour le Covid-19, déposé en 2015, n’a jamais permis d’identifier un virus vivant, de sorte qu’il a pu être utilisé pour terroriser les populations ignorantes et sans méfiance à travers le monde. monde à prendre un vaccin Covid-19 pollué par une technologie de nano-antenne pour connecter les victimes au réseau 5G.
Les technologies émergentes de réalité augmentée, autonomes et 5G, souvent qualifiées par les fabricants de « technologies tueuses », s’avéreront être exactement cela. L’approche de laissez-faire adoptée par les organismes de réglementation et l’industrie des télécommunications a encouragé le mépris total des dommages biologiques connus liés à l’augmentation des niveaux de rayonnements ionisants et non ionisants résultant du déploiement massif de ces technologies, développées pour être utilisées sur le champ de bataille. Des organisations non gouvernementales, des individus et des groupes ont dû engager des poursuites judiciaires contre les organismes gouvernementaux de réglementation de la sécurité, car ils ont ignoré le principe de précaution et ignoré l'exigence de normes indispensables en droit pour le développement de produits nouveaux et expérimentaux.
Toute la base de l'existence des organismes de réglementation a été corrompue par des criminels au sein de ces organisations qui ont détruit la confiance du public instruit en elles.
\Les exigences de base en matière de sécurité ont été délibérément ignorées par l'industrie des télécommunications et les directives de l'ICNIRP ont été délibérément conçues pour semer la confusion chez ceux qui manquent de connaissances techniques.
Les données sur les effets indésirables du vaccin Covid-19 se lisent comme une destruction de l’humanité alors que des millions de citoyens nord-américains meurent et sont blessés dans cette expérience médicale qui viole le Code de Nuremberg et le Statut de Rome de la Cour pénale internationale.
RépondreSupprimerLes niveaux d'émissions de rayonnements du réseau 5G dépassent empiriquement la résolution COE 1815 et confirment l'attaque, causant de réels dommages corporels aux populations du monde entier. Le fait que les données vectorielles des vaccins Covid-19 aient été développées dans des laboratoires d’armes chimiques biologiques prouve qu’ils ne font que se faire passer pour des vaccins, les données émergentes sur la stérilisation, la mauvaise santé et les décès à travers l’Occident révélant leur véritable objectif. Le dépeuplement de ceux qui ignorent l’agenda meurtrier se poursuivra jusqu’à ce que les criminels impliqués dans ce meurtre de masse soient traduits en justice. Le réseau 5G a la capacité de cibler l’acquisition et l’attaque des vaccinés grâce à son antenne nano-métamatériau du vaccin Covid-19.
Les systèmes d’armes létales autonomes (LAWS) nécessitent que les réseaux 5G maintiennent leur géoposition et naviguent dans leur environnement jusqu’à la cible ; ces armes ne peuvent pas s'appuyer sur les communications par satellite en raison du risque que des événements météorologiques défavorables et de la latence des signaux perturbent leurs signaux. Elles doivent donc disposer de réseaux 5G localisés pour l'environnement du champ de bataille urbain à venir, pour leur capacité d'assassinat et pour leur domination sur le champ de bataille dans les guerres futures planifiées. Des acteurs voyous mettent en œuvre la Solution Finale, un concept du Troisième Reich désormais actualisé par le WEF Build Back Better, Quatrième Révolution Industrielle contre les populations civiles, tel que proposé par l'industrie de la défense en violation des Conventions de Genève, ainsi que des lois et traités nationaux et internationaux. .
Pour éviter tout doute, la définition d'une arme est un dispositif, un outil ou une action qui a été conçu pour causer un préjudice physique ou psychologique en violation de la législation primaire.
Le cloisonnement du développement des systèmes d’armes a joué un rôle crucial en n’alertant pas les autorités de régulation et le secteur des télécommunications sur le but et les intentions réels de ceux qui, en fin de compte, conduisent et financent le déploiement de la 5G et d’armes chimiques biologiques se faisant passer pour des vaccins contre le Covid-19 pendant un certain temps. grille de contrôle et de commandement planifiée.
Le monde suit aveuglément les plans de l’élite technocratique et du complexe militaro-industriel-pharmaceutique visant à éliminer un grand nombre de populations à travers le monde, sans égard à la législation primaire.
Les droits donnés par Dieu et les lois consacrées pour la protection des hommes et des femmes ont été ignorés par ces forces sectaires dans leur programme de dépopulation, de stérilisation et de meurtres de masse.
RépondreSupprimerLa 5G est un système d’armes, un crime contre l’humanité si monstrueux que même une personne instruite trouverait cela incroyable au premier examen des faits.
Les preuves prima facie de ce programme mondialiste de dépopulation sont sans équivoque et devraient être testées devant les tribunaux afin que les conspirateurs impliqués dans ce plan meurtrier puissent être traduits en justice. Il s’agit du plus grand crime jamais perpétré contre l’humanité et contre toute la création de Dieu.
Déclaration de vérité
Je crois que les faits énoncés dans cette déclaration de témoin sont vrais. Je comprends que des poursuites pour outrage au tribunal peuvent être intentées contre toute personne qui fait ou fait faire une fausse déclaration dans un document vérifié par une déclaration de vérité sans une croyance honnête en sa véracité.
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Mark Steele est directeur de la technologie chez www.saveusnow.org.uk, un parti de résistance à cette attaque criminelle contre l'humanité.
Il est l'inventeur et l'auteur de brevets de systèmes d'affichage tête haute et de viseurs d'armes. Il est ingénieur en développement de produits et expert en systèmes d’armes à énergie directe.
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Cet article a été initialement publié sur Pour la vie sur Terre .
Remarques
RépondreSupprimerI.1 https://info.publicintelligence.net/USAF-DEW.pdf
I.2 https://thehill.com/homenews/house/573302-house-passes-bill-to-compensate-havana-syndrome-victims
I.3 https://usareally.com/11737-cia-director-tells-russia-not-to-use-microwave-radiation-against-american-spies
I.4 https://css.ethz.ch/content/dam/ethz/special-interest/gess/cis/center-for-securities-studies/pdfs/CSSAnalyse164-FR.pdf
I.5 https://idstch.com/technology/photonics/critical-technologies-lidar-developed/
II.1 https://www.sbir.gov/node/2005877
II.2 https://www.icnirp.org/cms/upload/publications/ICNIRPrfgdl2020.pdf
II.3 https://www.radiationresearch.org/wp-content/uploads/2020/01/Turin-Verdict-ICNIRP_Judgment-SUMMARY-of-the-Turin-Court-of-Appeal-9042019_EN-min.pdf
II.4 https://crsreports.congress.gov/product/pdf/IF/IF11882
II.5 https://www.theguardian.com/science/2021/dec/21/airbus-and-boeing-express-concerns-over-5g-interference-in-us
II.6 https://o5g.cz/2021/11/30/mi6-chief-warns-that-a-tech-revolution-over-next-ten-years-could-pose-major-threat-to-world -commande/?nowprocket=1
II.7 https://patents.google.com/patent/US20050220310A1/e
II.8 https://www.ceragon.com/what-you-need-to-know-about-5g-wireless-backhaul
II.9 https://principia-scientific.com/lloyds-insurers-refuse-to-cover-5g-wi-fi-illnesses/
II.10 https://www.caav.org.uk/news/beware-dangers-of-telecoms-masts
II.11 https://ecfsapi.fcc.gov/file/107222548308131/Cell%20Tower%20Transmitter%20Studies-28%20Summary%20Findings.pdf
II.12 https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0013935118300161?via%3Dihub
II.13 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1469943/
II.14 https://canada.constructconnect.com/dcn/news/associations/2018/07/constructing-5g-wireless-network-will-require-plenty-skilled-tradespeople
II.15 https://www.epa.gov/heatislands/heat-island-impacts
II.16 https://engineering.mit.edu/engage/ask-an-engineer/why-cant-we-put-metal-objects-in-a-microwave/
II.17 https://user.eng.umd.edu/~vlg/MSIC%20lectures.pdf
II.18 https://www.dhs.gov/news/2020/09/03/dhs-combats-potential-electromagnétique-pulse-emp-attack
II.19 https://www.itpro.co.uk/mobile-security/34807/5g-networks-are-vulnerable-to-hacking
II.20 https://energsustainsoc.biomedcentral.com/articles/10.1186/s13705-019-0199-y
II.21 https://www.doh.wa.gov/Portals/1/Documents/Pubs/320-090_elecpuls_fs.pdf
RépondreSupprimerII.22 https://irp-cdn.multiscreensite.com/26db15ee/files/uploaded/5GW%20Section1.pdf
II.23 https://cgsr.llnl.gov/content/assets/docs/StratLatUnONLINE.pdf
II.24 https://apps.dtic.mil/dtic/tr/fulltext/u2/a282886.pdf
II.25 https://media.defense.gov/2019/Apr/03/2002109302/-1/-1/0/DIB_5G_STUDY_04.03.19.PDF
II.26 https://www.airuniversity.af.edu/Portals/10/AUPress/Papers/LP_0004_ELECTROMAGNETIC_DEFENSE_TASK_FORCE_2_2019.PDF
III.1 https://medcraveonline.com/IJVV/IJVV-04-00072.pdf
III.2 https://link.springer.com/article/10.1007/s42452-019-0592-3
III.3 https://www.sciencedirect.com/topics/materials-science/radar-absorber-material
III.4 https://www.sciencealert.com/scientists-say-a-human-brain-cloud-interface-is-coming-this-is-what-it-could-be-like
III.5 https://www.drrobertyoung.com/post/transmission-electron-microscopy-reveals-graphene-oxid-in-cov-19-vaccines
III.6 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4026177/
III.7 https://www.saveusnow.org.uk/covid-vaccine-scientific-proof-lethal/
IV.1 https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/30998908/
IV.2 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3426842/
IV.3 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8580522/#
IV.4 https://telegra.ph/The-scam-has-been-confirmed-PCR-does-not-detect-SARS-CoV-2-02-08
IV.5 https://www.cdc.gov/csels/dls/locs/2021/07-21-2021-lab-alert-Changes_CDC_RT-PCR_SARS-CoV-2_Testing_1.html
IV.6 https://gbdeclaration.org/
V.1 https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/986301/Human_Augmentation_SIP_access2.pdf
V.2 https://augmented-humans.org/
V.3 https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33431878/
V.4 https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/30587973/
V.5 https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19652459/
V.6 https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1002/em.22343
V.7. https://ehtrust.org/wp-content/uploads/Mt-Nardi-Wildlife-Report-to-UNESCO-FINAL.pdf
V.8 https://esajournals.onlinelibrary.wiley.com/doi/full/10.1890/14-0468.1
V.9 https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2021-06/04-COVID-Lee-508.pdf
https://www.globalresearch.ca/expert-report-fifth-generation-5g-directed-energy-radiation-emissions-context-nanometal-contaminated-vaccines-include-covid-19-graphite-ferrous-oxide-antennas/5786727
Vous pensiez que LIA va s'occuper de votre trou de cul ? et bêh non ! il ou elle s'occupera de votre cerveau ! (c'est pareil !).
SupprimerGrâce à toutes les piqûouzes que vous vous êtes fait inoculer (profond) et que chacune d'elles contient pas moins de 40 000 milliards de nano-particules d'oxyde de graphène votre corps est devenu une antenne relais entre votre putain de portable et votre p... de cerveau ! WHÔAW ! Et là, LIA arrive comme une fleur et vous conseillera de vous lever à 4 h du matin et de prendre votre bicyclette pour aller travailler à 20 ou 30 km jusqu'à 20 h 7/7 jours et vous direz que c'est bien !
Et... le pire c'est que très bientôt, même sans votre putain de portable sur vous et grâce à la 6G les ondes iront direct de l'antenne-relais à votre boite crânienne ! WHÔAW !
Des expériences sauvages ? Le réseau de combustibles fossiles d'Alice Springs devient trop instable avec plus de 13 % d'énergie solaire
RépondreSupprimerPar Jo Nova
May 3rd, 2024
Réfléchissez à quel point l’énergie solaire est destructrice : il suffit de 13 % d’énergie solaire pour pousser un petit réseau à la limite.
Un peu d’énergie solaire provoque le chaos sur un réseau parfaitement bon.
- voir carte sur site -
Carte du réseau électrique du NT
Carte du réseau électrique du NT (Cliquez pour agrandir) Darwin se trouve à 1 300 km ou 800 miles en ligne droite d'Alice Springs.
Le Renewable Crash Test Dummy Country vise à utiliser 82 % d'électricité renouvelable d'ici 2030, mais au lieu de nous assurer que cela fonctionne à petite échelle sur l'un de nos micro-réseaux éloignés, où l'électricité est chère au départ, nous avons pensé que nous ' Je ferais plutôt l’expérience sur l’ensemble de la nation.
Il est donc « qui donne à réfléchir » de voir à quel point cela échoue à Alice Springs. S’il existe un endroit sur Terre bien adapté à l’énergie éolienne et solaire, c’est bien Alice Springs, située à 1 200 kilomètres du principal réseau électrique du Territoire du Nord. Entouré d’un million de kilomètres carrés de terres arides en grande partie inhabitées, si nous ne pouvons pas installer ici suffisamment de panneaux solaires et d’éoliennes pour faire vivre une ville de 25 000 habitants sans industrie lourde, où pouvons-nous ?
Pourtant, la pure vérité est que l’énergie solaire ne fournit que 13 % de l’électricité annuelle d’Alice Springs, et que la production à partir de combustibles fossiles, admettent-ils discrètement au bas d’une page FAQ, représente, chut, 87 %. Seule une maison sur quatre est équipée de l'énergie solaire, et pourtant le réseau est déjà surchargé lorsqu'il atteint son maximum, et instable lorsqu'un nuage passe et que l'énergie solaire de toute la ville tombe en panne. (Comme ce fut le cas en 2019, laissant de nombreuses maisons dans le noir, comme les ingénieurs l'avaient prédit).
Ainsi, la « nouvelle » rapportée par l'ABC est que quelqu'un a un plan pour faire passer Alice Springs de 13 % à 50 % d'énergie renouvelable d'ici 2030. Malgré cette tâche ardue, réfléchissez au fait que l'ABC est enthousiasmée aujourd'hui par le fait qu'un petit endroit isolé extrêmement ensoleillé Nous pourrions, dans nos rêves les plus fous, parvenir à atteindre un peu plus de la moitié de l’objectif que nous nous sommes fixé pour l’ensemble du pays d’ici 2030, mais seulement si nous dépensons 150 millions de dollars (et sur 20 ans ?).
C’est ce qu’on appelle « diriger le pays » – lorsqu’ils ne parviennent pas à atteindre les objectifs avant tout le monde…
Lorsque Victoria Ellis dit « énergie » ci-dessous, elle veut dire électricité.*
Alice Springs pourra être alimentée à 50 % par des énergies renouvelables d'ici six ans, selon un rapport
Par Victoria Ellis, ABC « Actualités »
Selon le site Web Alice Springs Future Grid, environ un quart des foyers d'Alice Springs sont équipés de panneaux solaires et, sur un an, environ 13 % de l'énergie de la ville provient de l'énergie solaire. le réseau pourrait devenir instable.
RépondreSupprimerLe site Web d'Alice Springs Future Grid indique que si les panneaux solaires de la ville génèrent beaucoup d'énergie au milieu de la journée et qu'un banc de nuages les assombrit soudainement, leur production d'électricité peut chuter plus rapidement qu'une source d'énergie alternative ne peut être utilisée. conduisant à une panne d'électricité.
Lyndon Freason, directeur d'Alice Springs Future Grid, a déclaré que dans le système actuel, il y a parfois beaucoup d'énergie solaire produite qui n'est pas utilisée par le réseau.
« Il devient de plus en plus difficile d’absorber efficacement davantage d’énergies renouvelables en pleine journée lorsque le soleil brille, sans provoquer d’instabilité dans la production existante », a-t-il déclaré.
Donc le seul problème avec l’énergie solaire est qu’il y a trop ou pas assez d’électricité, ou qu’elle disparaît lorsque les nuages se dissipent, nécessite une sauvegarde constante et ne parvient pas à stabiliser la fréquence, n’est-ce pas ? Et puis il y a la courbe du canard. Regardez le rythme de rampe requis de 16h à 18h :
Courbe de canard à énergie solaire, Alice Springs. Graphique.
Le ventre du canard, c'est la baisse des besoins en électricité à midi au moment des pics solaires. Il ne faut pas laisser le ventre s’enfoncer trop profondément, car la centrale électrique au gaz/diesel doit continuer à fonctionner pour maintenir la fréquence stable.
La « feuille de route » telle qu’elle est, est composée de quatre scénarios avec un peu plus ou moins de ceci et de cela :
- voir graph sur site -
Plan quadrillé Alice Springs
- voir cadre sur site -
Les frais, les frais :
Je ne sais pas si quelqu’un a mentionné que 2030 n’est pas dans 20 ans :
M. Cocking [PDG de Desert Knowledge Australia] a estimé que la mise en œuvre de l'un des scénarios coûterait environ 150 millions de dollars sur 20 ans.
"Idéalement, cela proviendrait du gouvernement, mais très probablement aussi d'investissements privés", a-t-il déclaré.
Des estimations plus détaillées (page 63) suggèrent que les coûts pourraient atteindre 216 millions de dollars, mais il y aurait théoriquement environ 50 millions de dollars d'économies de carburant.
Cela équivaut toujours à 6 000 dollars par homme, femme et enfant – que personne n’a à dépenser du tout – parce qu’ils viennent de construire là-bas la centrale électrique diesel-gaz actuelle en 2011 et de la moderniser en 2018 pour un coût de 75 millions de dollars. Devrions-nous demander aux habitants d’Alice Springs s’ils préfèrent avoir de l’argent ? Pour une famille de quatre personnes, cela représente 24 000 $. Ça pourrait être sympa ?
Mais en tant que microcosme d’une transition nationale, le mini-réseau d’Alice Springs en dit long sur l’absurdité de toute cette croisade.
Actuellement, lorsque le vent et le soleil dorment, la ville reçoit de l'électricité de la centrale électrique d'Owen Springs, une centrale gaz/diesel qui peut fournir 80 mégawatts chaque fois qu'elle en a besoin. Il y a aussi une ancienne centrale électrique construite en 1973 qui est toujours opérationnelle et un système de stockage d'énergie par batterie (BESS) de 5 MW. Proportionnelle à la taille du réseau d'Alice Springs, elle est (ou était) effectivement la « plus grande batterie » d'Australie lorsqu'elle a été installée en 2018. Elle est principalement utilisée pour la stabilité et l'alimentation de secours lorsque les nuages se retournent afin que l'usine à gaz puisse montée en puissance. Si elle devait être utilisée principalement pour le stockage, la batterie de 8 millions de dollars ne durerait qu'environ 20 minutes, voire 40 minutes maximum. Cela ne s’adapte pas bien à une nation de 27 millions d’habitants.
RépondreSupprimerPour mémoire, un projet mini-Snowy 2.0 n'est pas possible à Alice Springs. Il y a bien sûr quelques zones vallonnées intéressantes, mais les précipitations annuelles totales sont à peine de 280 mm ou 11 pouces, et sont assez aléatoires.
Ne lavez pas ces panneaux solaires ?
Curieusement, l’eau du robinet à Alice Springs est pire pour les panneaux solaires que la poussière :
Des études détaillées ont été menées sur ce sujet, concluant que les poussières n'ont pas d'impact significatif sur les systèmes photovoltaïques. C'est peut-être surprenant, mais laver les panneaux avec de l'eau du robinet dans des endroits où il y a une forte concentration de calcium (comme Alice Springs) peut en réalité avoir un effet plus négatif que la poussière. Les panneaux du Centre Solaire DKA sont lavés une fois par an par une entreprise spécialisée qui utilise un système de filtration par osmose inverse pour traiter son eau avant de l'utiliser pour laver les modules solaires. (de la FAQ.)
Ces statistiques clés de la FAQ du « Alice Springs Future Grid » (qui est la grille actuelle)
Au cours de la période de référence 2021-2022, la capacité totale de production conventionnelle était de 122,6 MW et la demande opérationnelle maximale était de 48,6 MW, sans compter les exigences de redondance du système. Il convient toutefois de noter que, même si la centrale électrique de Ron Goodin est vieillissante, elle reste disponible pour la redondance du système. Aucune date définitive de retraite n'a été annoncée.
Ces dernières années, plus de 25 % des quelque 9 000 foyers d'Alice Springs ont installé un DPV sur le toit de leur propriété.
La capacité de production maximale de tous les systèmes DPV résidentiels à Alice Springs est estimée à 23 MW, et les données de production historiques suggèrent une contribution de l'ordre de 9 % à la consommation globale. La production à base de combustibles fossiles a produit 87 % du volume annuel et la production centralisée d’énergies renouvelables en a produit 4 %.
Consultez la FAQ pour en savoir plus.
*De toute évidence, l’énergie solaire ne fournit pas 13 % de l’énergie des villes – qui comprend également le pétrole, le pétrole et le gaz.
https://joannenova.com.au/2024/05/wild-experiments-alice-springs-fossil-fuel-grid-becomes-too-unstable-with-more-than-13-solar-power/
Le Sénat de l’Arizona approuve l’abrogation de l’interdiction quasi totale de l’avortement
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 03 MAI 2024 - 13H20
Rédigé par Samantha Flom via The Epoch Times
L’interdiction quasi totale de l’avortement en Arizona sera abrogée ( "Abroger" signifie "annuler".) quelques semaines seulement après que la Cour suprême de l’État l’aura jugée exécutoire.
L'Arizona House a adopté de justesse l'abrogation le 24 avril, alors que trois républicains se sont joints aux démocrates pour approuver la mesure.
Le 1er mai, le Sénat de l'État a emboîté le pas par 16 voix contre 14, mais pas avant que plusieurs sénateurs déçus aient eu l'occasion d'exprimer leurs doléances.
"Ce sur quoi nous votons, c'est la mort", a déclaré le sénateur Anthony Kern, réprimandant les membres de son parti républicain qui ont voté avec les démocrates en faveur de l'abrogation.
« Le Parti démocrate reste debout et se présente sur la mort. Le Parti républicain est debout et est censé fonctionner sur la vie.»
Le sénateur d'État Sonny Borrelli, quant à lui, s'est opposé au fait que le projet de loi n'a jamais été envoyé à un comité et qu'aucun temps n'a été alloué pour le débat ou les amendements. Et au cours d'un moment particulièrement émouvant, la sénatrice Justine Wadsack a raconté sa propre perte tragique d'un enfant par fausse couche.
"Dieu a choisi le moment où ce battement de cœur allait s'arrêter", a déclaré Mme Wadsack, les larmes coulant sur son visage. "Ce n'est pas à moi, en tant que sénateur, de déterminer quand le cœur d'un enfant s'arrête de battre."
L’interdiction de l’avortement interdit tous les avortements en Arizona, à l’exception de ceux pratiqués pour sauver la vie de la mère.
Il a été initialement promulgué en 1864, avant que l'Arizona ne devienne un État, bien qu'il ait ensuite été recodifié par l'Assemblée législative à la fin des années 1970.
La gouverneure de l'Arizona, Katie Hobbs, démocrate, a promis de signer l'abrogation une fois qu'elle parviendra à son bureau, même si elle ne prendra effet que 90 jours après l'ajournement de l'Assemblée législative. À ce stade, une loi de 2022 limitant les avortements à 15 semaines de grossesse deviendra la loi en vigueur dans l’État.
En attendant, l’interdiction de l’avortement devrait entrer en vigueur le 27 juin.
Les partisans de l’abrogation, soulignant les origines de l’interdiction avant la création de l’État, avaient fait valoir qu’elle était dépassée et incompatible avec les lois les plus récentes de l’État.
« Je ne veux pas que nous honorions les lois sur les femmes, rédigées à une époque où il était interdit aux femmes de voter parce que leur voix était considérée comme inférieure à celle des hommes », a déclaré la sénatrice Eva Burch le 1er mai.
Pendant des décennies, la loi a été bloquée par une injonction permanente. Mais une bataille judiciaire de deux ans, provoquée par l’annulation de l’affaire Roe contre Wade, a abouti à la décision explosive de la Cour suprême de l’Arizona le 9 avril.
Bien que le tribunal ait initialement suspendu l’application de la loi pendant deux semaines, un accord dans une affaire connexe a repoussé sa date d’entrée en vigueur.
RépondreSupprimerLe vote en Arizona a eu lieu le jour même où la limite de six semaines à l’avortement en Floride est entrée en vigueur.
Cette loi prévoit des exceptions limitées pour les situations impliquant un viol, un inceste, un trafic d’êtres humains ou une menace grave pour la santé physique de la mère. Mais comme pour l’interdiction en Arizona, la loi a fait l’objet de nombreuses controverses.
Lorsque la loi de Floride est entrée en vigueur, les défenseurs de l’avortement se sont tournés vers les réseaux sociaux pour dénoncer ce qu’ils percevaient comme une érosion des droits des femmes dans le Sunshine State.
"Aujourd'hui, la Floride met en danger la santé de millions de femmes", a déclaré la gouverneure de New York, Kathy Hochul, sur les réseaux sociaux. « C’est clair : les extrémistes anti-choix ne reculeront devant rien pour priver les femmes de leur droit de prendre leurs propres décisions en matière de soins de santé. »
Nikki Fried, présidente du Parti démocrate de Floride, a également accusé la loi de faire reculer les droits des femmes « de 50 ans », et le président Joe Biden a qualifié la situation de « cauchemar ».
La Floride et l'Arizona devraient jouer un rôle clé dans le choix du prochain président, et l'avortement sera sur le bulletin de vote dans les deux États en novembre.
Alors que le président Biden s’est aligné sur les partisans de l’avortement, l’ancien président Donald Trump, le candidat républicain présumé, a évité ce qu’il considère comme une question perdante pour le Parti républicain.
L’ancien président, qui se dit pro-vie, a déclaré qu’il pensait que l’avortement était une question de droits des États, par opposition à une question fédérale. En adoptant cette position, il a dénoncé les lois de l'Arizona et de la Floride comme étant trop restrictives.
« C’est la volonté du peuple, c’est ce que je dis. C’est un système parfait », a-t-il déclaré le 10 avril.
« Depuis 52 ans, les gens veulent mettre fin à Roe v. Wade et le ramener aux États-Unis. Nous l’avons fait – c’était une chose incroyable, une réussite incroyable. Nous l’avons fait, et maintenant les États l’ont, et ils publient ce qu’ils veulent. C’est la volonté du peuple.
L'Associated Press a contribué à ce rapport.
https://www.zerohedge.com/political/arizona-senate-approves-repeal-near-total-abortion-ban
Pourquoi la Journée mondiale du mot de passe devrait être la dernière
RépondreSupprimerLe 2 mai 2024 sera marqué par la journée mondiale du mot de passe, l’occasion de rappeler que s’ils ont vocation à sécuriser les accès aux comptes en ligne, ils n’en restent pas moins vecteurs de vulnérabilités. La dernière étude de NordPass sur le classement des mots de passe les plus utilisés indique – avec « 123456 » et « admin » respectivement en première et deuxième positions – que la grande majorité des utilisateurs manquent toujours de vigilance et de connaissance sur les risques encourus à cause des mots de passe, les laissant en proie aux cyberattaques.
le 2 mai 2024 à 4h00
24% des internautes ont utilisé le mot "password", "Qwerty" ou "123456" comme mot de passe.
Pourquoi les mots de passe sont plus que jamais une sécurité faillible, et explique comment les utilisateurs peuvent se protéger contre les attaques de phishing ?
Alors que la croissance d’Internet se poursuit mondialement, et les nouvelles technologies émergentes comme l'IA prenant de plus en plus d’importance, la portée et la sophistication des cyberattaques progressent de pair. En conséquence, les traditionnels noms d'utilisateur et mots de passe ne sont plus suffisants pour garantir la sécurité - cependant, ils demeurent l'une des formes d'authentification les plus largement utilisées à l'échelle mondiale. Ce qui rend leur utilisation persistante étonnante, c'est qu'ils sont pourtant largement décriés, tant par les utilisateurs que par les professionnels de la cybersécurité.
Dans certains cas, les utilisateurs ont tendance à choisir des mots de passe faibles ou à les réutiliser sur plusieurs comptes, ce qui augmente le risque de compromission des données en cas de cyberattaque réussie. A l’inverse, ils sont complexes et plus régulièrement mis à jour comme recommandés dans le cadre des bonnes pratiques, mais dans ces cas-là, ils sollicitent davantage la mémoire des utilisateurs et ont de fait un impact direct et négatif sur leur expérience, voire amènent à de mauvaises pratiques de sécurité, comme le fait de les noter sur un post-it.
Les attaques par phishing, au cours desquelles les cybercriminels tentent de voler les identifiants en piégeant leur cible ou par le biais d’ingénierie sociale, sont le point de départ de nombreuses cyberattaques. Une fois qu'un mot de passe est compromis, les acteurs malveillants peuvent contourner avec succès de nombreuses formes d'authentification multi-facteurs (MFA) comme les codes à usage unique (OTP) envoyés par SMS. Une protection fiable contre les cyberattaques modernes nécessite donc une authentification multi-facteurs moderne, résistante au phishing. Les clés de sécurité matérielles font aujourd’hui partie des moyens de lutter efficacement contre les cybermenaces, car elles procurent aux utilisateurs une couche supplémentaire de sécurité en nécessitant la possession physique de l'appareil pour accéder aux comptes en ligne, ce qui rend la tâche des cybercriminels considérablement plus difficile.
La transition que doivent opérer les utilisateurs pour moderniser leurs solutions d’authentification et tendre vers un monde sans mot de passe est aujourd’hui possible, facilitée par des dispositifs compatibles avec les protocoles modernes et aboutis, tels que FIDO2 ou WebAuthn. Ces deux standards permettent en effet une authentification sans mots de passe via la biométrie, un terminal mobile ou encore des clés de sécurité, assurant un niveau de sécurité maximal. Alors que des milliards d'identifiants volés sont aujourd’hui disponibles sur le Dark Web et que les cybercriminels lancent des tentatives de connexion automatisées à l’aide de mots de passe compromis, il est temps de tirer définitivement un trait sur ces derniers, véritables vecteurs de vulnérabilités, et de faire évoluer les pratiques de sécurité.
1je2MO2moi, 5Q20Q, 6tuviensCsoir, LMT20a2,
SupprimerENCORE 1 ARTICLE CENSURÉ ! (60 - 1 = 59)
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