mercredi 2 juin 2021

PASSE SANITAIRE POUR JUILLET - Alexandra Henrion-Caude

 https://odysee.com/@coronarnaque:f/PASSE-SANITAIRE-POUR-JUILLET🤔🤪🆘%EF%B8%8F🤢🤮Alexandra-Henrion-Caude❤-(360p):1

40 commentaires:

  1. EGAREMENTS ÉCONOMIQUES : LE DIAGNOSTIC DE JACQUES DE LAROSIÈRE


    par JACQUES BICHOT
    28/05/2021


    Un retraité en France perçoit en moyenne 447 000 euros de pensions

    Ce grand banquier, qui fut notamment gouverneur de la Banque de France puis de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement, vient de publier un livre au titre sévère : 40 ans d’égarements économiques. Cet ouvrage comporte également Quelques idées pour en sortir, comme le précise le sous-titre. La lecture de ces 200 pages, écrites dans un langage simple, et illustrées par des graphiques qui, souvent, nous en disent plus qu’un long discours, n’est pas du temps perdu.

    Une croissance de moins en moins vigoureuse

    Durant les « Trente Glorieuses », de la Libération à 1974, la croissance française a été forte : 5 % par an. Mais ensuite le rythme se ralentit, et depuis le début du troisième millénaire nous en sommes réduits à 1% par an. Notre excédent commercial est remplacé, à partir de 2005, par un déficit chronique et les dépenses de fonctionnement des administrations s’accroissent, financées de plus en plus par l’endettement. Résultat : aux « trente glorieuses » ont succédé les « trente piteuses ». La France a cessé d’être championne :

    « En 1975 la France figurait au 5e rang mondial pour le niveau de vie par habitant ; aujourd’hui, elle est au 26 e rang. »

    Et, depuis 2006, la balance commerciale française s’enfonce dans le déficit, tandis que la dette publique augmente, et dépasse le PIB en 2019 – avant l’arrivée de la pandémie Covid. Les marges bénéficiaires des entreprises françaises, en moyenne nettement inférieures à celles des entreprises de la zone euro, ne sont pas suffisantes pour financer correctement leurs investissements.

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  2. Un gros problème : les retraites

    Au tournant du siècle, il y avait en France trois actifs pour entretenir un retraité. C’était déjà très lourd. Mais aujourd’hui la proportion est de deux actifs pour un retraité : « le système actuel n’est plus viable », constate logiquement J. de Larosière. D’autant, pourrait-on ajouter, que les retraités âgés qui terminent leur vie en EHPAD sont de plus en plus nombreux : 496 000 en 2009, et 595 000 en 2018, soit 2 % de plus chaque année. Quant au coût de cette formule, il a explosé : de 4,9 Md€ en 2008 il est passé à 8,6 Md€ en 2018, ce qui signifie un gros accroissement du coût par personne.

    Il ne s’agit évidemment pas de « radiner » sur la façon de traiter les personnes âgées dépendantes, mais pour supporter cette dépense, il faut des cotisations ou des impôts, et comme ces prélèvements sont déjà bien trop lourds, il faudrait logiquement plus de cotisants, c’est-à-dire plus de personnes au travail. Or l’âge de la retraite, en France, démagogiquement abaissé de 65 ans à 60 ans en 1983, est très inférieur à celui de la plupart des pays développés, malgré son relèvement à 62 ans. Aux Etats-Unis l’âge « normal » de la retraite est 66 ans, en Italie 67 ans, et surtout de nombreux pays ont eu l’intelligence de programmer une augmentation progressive. Ainsi nos voisins allemands, qui en sont à 65 ans et 8 mois, monteront-ils à 67 ans en 2029 ; la Belgique, actuellement à 65 ans, a programmé une augmentation jusqu’à 67 ans également, en 2030 ; Le Danemark passera de 66 ans aujourd’hui à 68 ans en 2030. La France fait partie des « mauvais élèves » qui n’ont pas l’intelligence de prévoir « à froid », longtemps à l’avance, les mesures dont on sait pourtant bien qu’elles seront un jour absolument nécessaires.

    Des salaires qui augmentent trop relativement à la productivité

    La France est un cas paradoxal : l’augmentation des salaires dans les branches marchandes de l’économie a longtemps été supérieure à celle de la productivité. Ce mouvement semble avoir été stoppé, mais il n’a pas été inversé, si bien que les entreprises françaises se battent dans la concurrence internationale avec un handicap : ce n’est pas seulement vis-à-vis de la Chine que le travail y est trop cher, c’est aussi vis-à-vis de nos voisins allemands et de bien d’autres pays qui ont compris que la concurrence mondiale impose une certaine discipline salariale.

    Les lois de 1998 et 2000 instaurant une réduction du temps de travail hebdomadaire de 39 heures à 35 heures constituent une autre forme d’augmentation des salaires, réalisée de façon politicienne dans une logique de partage du travail : Ses partisans s’imaginaient que cela permettrait de créer de nombreux emplois, conformément au slogan « travailler moins pour travailler tous ». En fait, l’entreprise France perdit en compétitivité. Et les finances publiques en pâtirent, car pour faire passer la pilule, effroyable pour les responsables d’entreprises – payer le même prix pour 35 heures de travail qu’auparavant pour 39 heures – les pouvoirs publics réduisirent les cotisations sociales dites « patronales », mettant ainsi la sécurité sociale en déficit.

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  3. Comment s’en sortir ?

    La pandémie n’a évidemment pas arrangé les choses. Raison de plus pour engager des réformes, estime l’ancien Gouverneur de la Banque de France. Premièrement, il faudrait faire une place plus importante au principe de subsidiarité. Selon ce principe, il ne faut pas prendre toutes les décisions au sommet : « l’échelon supérieur est seulement responsable des missions que les autres collectivités ne peuvent pas remplir ». Autrement dit, abandonnons la manie française de légiférer pour quantité de problèmes qui peuvent être résolus au niveau de l’entreprise, ou de l’établissement scolaire, ou de l’hôpital. Les gouvernants veulent trop en faire, et trop donner une forme législative à leur action.

    Le cas de l’hôpital a bien été traité par le professeur de médecine Michaël Peyromaure dans son ouvrage Hôpital, ce qu’on ne vous a jamais dit : « Progressivement, afin d’acquérir la maîtrise totale de l’organisation hospitalière, nos pouvoirs publics ont tout mis en œuvre pour abolir le pouvoir des chefs de service. (…) Ils ont fait appel à une armée de technocrates pour concevoir des normes et des règlements en tous genres. Puis, pour les faire respecter, en deux décennies ils ont installé à l’hôpital une administration pléthorique et puissante. (…) Chaque décision, aussi insignifiante soit-elle, doit remonter en haut de la pyramide pour être validée. »

    Cet état d’esprit bureaucratique plombe bien d’autres organismes que les hôpitaux. La France a besoin que ses gouvernants en fassent beaucoup moins, laissent davantage de liberté aux responsables de terrain. Le principe de subsidiarité n’est certes pas, à lui seul, la solution à tous nos problèmes, mais l’excès de centralisation est un frein considérable au progrès et à la résolution des inévitables problèmes qui se posent à tous niveaux.

    http://www.economiematin.fr/news-egarements-economiques-analyse-deficit-budget-etat-bichot

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  4. Encore une loi sur l'étiquetage des aliments ?


    2 Juin 2021
    par Seppi
    André Heitz*


    Une proposition de loi vise à imposer la mention du glyphosate si celui-ci entre dans les aliments de base ayant servi à fabriquer le produit transformé.

    Qu'il est dur d'exister en tant que député à l'Assemblée Nationale (ou au Parlement Européen) sans déposer une proposition de loi (ou de texte européen) !

    Imaginez le prestige acquis par l'apposition de son patronyme au mot loi... tenez... la « loi Labbé » qui encadre l'utilisation des produits phytosanitaires sur l'ensemble du territoire national par les établissements publics et alourdit les budgets et donc nos impôts (ou contribue à la dégradation du patrimoine public par des mauvaises herbes du fait d'un défaut d'entretien, ce qui, à terme, alourdit aussi les budgets).

    M. Michel Vialay est ainsi le chef de file d'un groupe de Républicains auteurs d'une « Proposition de loi visant à la transparence et au renforcement de l’information au consommateur via l’étiquetage de l’origine des aliments ainsi que de la présence de la substance active "glyphosate" ». Elle a été déposé(e) le 4 mai 2021

    Elle est constituée d'un article unique, que nous pouvons donc citer dans son intégralité :

    « Après l’article L. 412 3 du code de la consommation, il est inséré un article L. 412 3 1 ainsi rédigé :

    "Art. L. 412 3 1. – I. – L’origine géographique des produits, qu’il s’agisse d’aliments à l’état naturel ou des ingrédients qui entrent dans la composition du produit transformé, sont clairement et visiblement indiqués sur l’emballage dudit produit.

    "II. – Un dispositif d’affichage visant à indiquer la présence de glyphosate dans les aliments de base ayant servi à la fabrication de produit transformé est institué. Il prend la forme d’un pictogramme clair et visible inscrit sur l’emballage dudit produit.

    "III. – Les modalités de mise en œuvre du présent article sont déterminées par décret en Conseil d’État." »

    On peut légitimement se demander si les auteurs de la proposition ont bien saisi sa portée et ses conséquences. Mais l'essentiel en cette ère du paraître n'est-il pas de se profiler, ici, comme un grand défenseur des consommateurs et des agriculteurs ?

    Le glyphosate ? Selon l'exposé des motifs :

    « En effet, le glyphosate n’est pas un produit anodin. Le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), agence de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), l’a qualifié de "cancérogène probable" en mars 2015, et les études montrent ses effets de perturbateurs endocriniens. »

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  5. Et ce n'est que le début de l'argumentation... Il en est dans des entreprises incorporées sous forme d'associations qui ont dû mouiller leur slip ou leur culotte de joie et de contentement à la lecture de la description des malfaisances alléguées...

    « Par exemple, en Suisse, l’Office fédéral de la sécurité alimentaire (OSAV) a testé 170 produits en 2017. Le résultat est sans appel : des traces de glyphosate sont trouvées dans presque toutes les catégories de denrées alimentaires et se retrouvent sur nos tables dans les aliments courants que l’on peut manger plusieurs fois par semaine. Pâtes, spaghettis, biscuits, biscottes, céréales du petit déjeuner, chips… en contiennent. [...] »

    Oulah ! On dirait du Générations Futures...

    Nous avons évoqué ce test dans «" Du glyphosate dans vos aliments" : le test d'À Bon entendeur », en citant les propos de M. Vincent Dudler, responsable de l'évaluation des risques :

    « Actuellement, des mesures urgentes concernant la contamination des denrées alimentaires par le glyphosate, il n'y en a aucune à prendre parce que les traces sont tellement faibles, le risque est tellement négligeable, que des mesures ou des recommandations pour les consommatrices et les consommateurs seraient totalement inutiles. Jusqu'à présent, tous les organismes qui évaluent des risques [ma note : le CIRC évalue un danger, enfin quand il fait proprement son travail] ont considéré que le glyphosate était une substance qui ne posait aucun problème de santé. »

    Notre ami Albert Amgar a relayé la fiche de l'Office Fédéral de la Sécurité Alimentaire et des Affaires Vétérinaires (OSAV) dans « Glyphosate : Sans risque pour la santé humaine, selon l’Office fédéral de la sécurité alimentaire et des affaires vétérinaires de Suisse » en reproduisant un tableau.

    Qu'écrit l'OSAV en intertitre ?

    « Sans risque pour la santé humaine ».

    Et pour cause ! Les valeurs mesurées sont très inférieures aux limites de sécurité, elles-mêmes établies de façon très sécuritaire.

    Mais pour les auteurs de la proposition de loi, « [l]e résultat est sans appel »...

    Le tableau plus récent et plus complet

    Les agriculteurs ?

    « Or les Canadiens appliquent des normes de production moins exigeantes que les nôtres.

    Ainsi, depuis de nombreuses années, les Canadiens épandent du glyphosate quelques jours avant la moisson pour combattre les mauvaises herbes dans les champs de blé, mais aussi pour faire murir les plantes artificiellement (dessication) et dessécher ainsi le blé avant la récolte car cela est plus profitable économiquement.

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  6. Cet exemple montre que, comme l’équivalence des normes n’est pas assurée, notre agriculture est donc menacée au nom des échanges commerciaux par cette distorsion de concurrence, cela contribue à détériorer la qualité de nos produits alimentaires et, surtout, cela pose un réel problème sanitaire. »

    Un examen rationnel de la situation – pas forcément réalisable par un urbain détaché des réalités agricoles – montre que la dessication a pour objectif de pallier la brièveté de la saison de production (et de contribuer à la qualité et à l'état sanitaire de la récolte) et ne poursuit pas un objectif économique.

    Un examen rationnel de la situation – réalisable même (et surtout) par quiconque n'a pas fait l'ENA – montre que les Canadiens (enfin certains...) procèdent à une opération supplémentaire par rapport aux Français. Toutes autres choses étant égales par ailleurs, la distorsion de concurrence joue en leur défaveur.

    Mais que ne ferait-on pas pour faire étalage de sa vertu...

    Poursuivons dans la vertu :

    « Dans le même temps, le traité établi entre le Canada et l’Union Européenne (et ses 28 États membres), dit accord CETA, permet l’importation de produits qui ne sont pas soumis aux mêmes exigences que ceux produits en France et, même si les règles de l’Union européenne ne changeront pas, elles ne s’imposeront pas à l’OMC ! »

    Peut-être y a-t-il des règles de l'OMC qui s'appliqueront à la France, surtout en relation avec une disposition législative qui est clairement hostile à un État ami – à supposer qu'elle soit adoptée et résiste, le cas échéant, à la censure du Conseil Constitutionnel.

    On imagine les Canadiens (et d'autres) mettre en place un système de collecte des récoltes et d'acheminement séparant les filières pour pouvoir accéder au marché français...


    On imagine les producteurs de denrées alimentaires – « de produit transformé » (pourquoi ces produits seulement ?) – monter des laboratoires d'analyse pour apposer ou non le pictogramme répulsif, selon les caractéristiques du lot d'« aliments de base ayant servi à [leur] fabrication » (c'est quoi les « aliments de base ») ?

    Et dans notre supermarché, on imagine le gérant mettre en rayon – et le consommateur acheter – des pâtes ou une pizza arborant un effrayant « pictogramme clair et visible inscrit sur l’emballage dudit produit »...

    Arrêtons là. M. Gil Rivière-Wekstein a bien raison.
    (Source)

    Et encore, Twitter oblige, il est fort modeste. Car la logique commanderait d'étiqueter tous les produits phytosanitaires utilisés – ne serait-ce que parce que les initiants se réfèrent à l'« effet cocktail » – et tous les produits de consommation, d'entretien, etc. classés « cancérogènes probables » ou « cancérogènes certains » par le CIRC. Les services aussi... coiffeurs, cafetiers qui servez des boissons chaudes, apposez un pictogramme sur votre devanture...
    _____________

    * André Heitz est ingénieur agronome et fonctionnaire international du système des Nations Unies à la retraite. Il a servi l’Union internationale pour la protection des obtentions végétales (UPOV) et l’Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle (OMPI). Dans son dernier poste, il a été le directeur du Bureau de coordination de l’OMPI à Bruxelles.

    https://seppi.over-blog.com/2021/06/encore-une-loi-sur-l-etiquetage-des-aliments.html

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    1. #14 HOLD-UP, ITW Grand Format : Serge Rader

      1:04:00

      Le glyphosate EST dans les vaccins !

      https://odysee.com/@holdup_ledoc:9/Serge-Rader-V1:8

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  7. Ruiner la France avec des éoliennes – MM. Jean-Paul Oury et Charles Thimon sur Atlantico


    1 Juin 2021
    par Seppi
    Glané sur la toile 670


    (Source)

    Ces temps-ci, la Ministre de la Transition Écologique Barbara Pompili est une invitée de choix pour les chaînes de télévision et les émissions où l'on cause.

    Calendrier politique avec le plan du gouvernement d'installer des éoliennes en mer au large de Dunkerque ? Calendrier électoral ? Ou recherche du buzz par les médias, la dame ayant une fâcheuse propension à produire des déclarations politiquement et techniquement approximatives et sulfureuses par cynisme ou bêtise et méconnaissance des dossiers ? Ou encore les trois ?

    Une de ses sottises – récente à l'heure où j'écris, qui sera profondément enfouie sous un amoncellement d'autres quand je publierai – a consisté à insinuer que l’opposition à l’éolien était infiltrée par l’extrême droite, qui « y voit une opportunité pour attiser le ressentiment ». Technique particulièrement bien rodée par la maire de Paris, Anne Hidalgo, et son équipe en « réponse » au #SaccageParis sur Twitter.

    (Source et source)

    Nul besoin de détailler la pauvreté intellectuelle et politique de cet « argument ».

    C'est dans ce contexte qu'Atlantico a interrogé M. Jean-Paul Oury, auteur notamment de « Greta a tué Einstein » (VA Éditions) et directeur de publication de The European Scientist, et M. Charles Thimon, réalisateur du documentaire « Éoliennes : du rêve aux réalités », disponible gratuitement sur Internet.

    Cela a donné « Idéologue, sectaire… ou les deux ? » en sur-titre et « Éolien : les "petits" arrangements de Barbara Pompili avec la réalité ».

    En chapô :

    « En campagne pour la poursuite des installations d’éoliennes, la ministre de la transition écologique préfère ignorer la réalité de la très faible efficacité énergétique des éoliennes comme la réticence des Français concernés pour mieux noyer ses opposants sous l’accusation infamante d’extrême-droite. »

    Voici la première réponse, fort argumentée, de M. Jean-Paul Oury sur l'enthousiasme allégué des Français pour les éoliennes :

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  8. « Il me semble que c’est une affirmation gratuite. Si elle a sans doute été vraie il y a quelques années, je n’ai pas l’impression que ce soit toujours le cas. Personnellement mes observations me feraient croire l’inverse. Au fur et à mesure que les Français sont confrontés à la réalité des éoliennes, ils s’opposent au développement de cette solution. J’en veux pour preuve les sujets que l’on trouve sur Youtube, par exemple, qui est un excellent indicateur de la réputation d’une stratégie. Sur 10 premières vidéos qui sortent à la requête "éolienne", je trouve trois vidéos pédagogiques, et 7 vidéos critiques, dont certaines sont des brulots anti-éoliens, tels que l’émission Envoyé spécial, ou un court exposé à l’Assemblée Nationale de Jean-Marc Jancovici qui détruit la technologie. Quand j’ai écrit mon ouvrage Greta a tué Einstein, je me suis aperçu qu’il y avait une prédominance de contenus critiques à l’égard de l’éolien et il m’a fallu chercher profond pour retrouver d’anciennes vidéos de propagandes faites par des ONG environnementalistes. Cela m’a surpris et même dérangé par rapport à l’a priori que j’avais : je voulais démontrer dans mon ouvrage que toutes les technologies de la transition énergétiques jouissent d’un aura positif dans l’opinion. Si c’est le cas du bio qui gagne des parts de marché chez les consommateur et jouit d’un sauve-conduit dans l’opinion qui ne se préoccupe pas encore du fait que les produits bio peuvent être nocifs, pour l’éolien les récriminations pleuvent de toutes part et on a vraiment l’impression que l’opinion se révolte. On voit proliférer les associations anti-éoliennes au quatre coins de la France, un peu comme ce fut le cas dans les années 2000 avec les antennes relais, et je ne parle pas des ouvrages qui dénoncent l’escroquerie qui sont désormais pléthore : Eolien un vent de Folie, mensonge et arnaque de Bernard Durand, Eoliennes : la face noire de la transition écologique de Fabien Bouglé, Alerte la peste éolienne de Patrice Cahart, Eoliennes : chronique d’un naufrage annoncé de Pierre Dumont et Denis de Kergolay, le scandale éolien de Antoine Waechter, Eolienne une catastrophe silencieuse de Jean-Louis Butré … et on peut aussi ajouter les chapitres destructeurs que lui consacrent d’autres ouvrages plus généralistes tels que Les écolos nous mentent, ou encore mon ouvrage cité plus haut, dans lequel j’ai écrit un chapitre "Eoliennes : l’hélice qui cache la centrale à charbon". "J’imagine que tous ces contenus ont un public et si les Français soutenaient en majorité l’éolien et bien ce dernier n’aurait" pas la réputation qu’il a. »

    S'il n'y avait que Mme Barbara Pompili...

    Le vendredi 28 mai 2021, le Ministère de la Transition Écologique a publié « Pour y voir plus clair : Vrai/Faux sur l'éolien terrestre », qui renvoie à un document PDF, et « Pour y voir + clair sur l'éolien terrestre », qui présente une « information » similaire, mais sous forme de menus déroulants. Quelle efficacité !

    Sur le fond, ce sont des monuments de mauvaise foi et de langue de bois.

    Juste un exemple du PDF : à l'objection : « Développer de l’éolien en France ne sert à rien car nous avons du nucléaire », il est répondu péremptoirement : « Faux » et :

    « La production électrique française repose aujourd’hui à plus de 70 % sur le nucléaire et la France a fait le choix de diversifier ses sources d’approvisionnement. […] De plus, le développement des énergies renouvelables permet de réduire nos émissions de gaz à effet de serre. »

    Ça s'appelle un non sequitur pour le premier argument et c'est grossièrement faux pour le second.

    En allant sur le site d'origine, on peut aussi visionner une séquence de 2:40 censée nous éclairer sur le faux et le vrai.

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  9. (Source)

    Là, on touche au sublime ! Au brassage de vent s'ajoute l'enfumage. L'entrée en matière :

    Objection : « Les éoliennes sont souvent à l'arrêt, ce n'est pas efficace. »

    Réponse : « Non c'est faux. Une éolienne terrestre tourne en moyenne entre 75 % et 90 % du temps. »

    Que ça « tourne » est une chose, qu'elle produise de l'électricité en est une autre. Le facteur de charge (ratio entre l'énergie produite et l'énergie que les éoliennes auraient pu produire à leur maximum) est en France de 22 à 24 %.

    (Source)

    Pour conclure, citons M. Charles Thimon :

    « Plutôt que de reconnaître les insuffisances énergétiques, les surcoûts financiers et les dégâts écologiques de cette énergie supposément propre et compétitive, la ministre use de l’invective pour évacuer toute discussion de fond. Après avoir courageusement taxé les opposants de châtelains, et de climatos-sceptiques, elle les rhabille en fascistes. Seulement la stratégie s'est un peu éventée, et en l’occurrence elle s'avère d'autant plus douteuse que l'on sait que 44% des électeurs d’Europe-Écologie Les Verts ne souhaitent pas voir d’éoliennes à coté de chez eux…! »

    Mais ce gouvernement, imperturbablement...

    https://seppi.over-blog.com/2021/06/ruiner-la-france-avec-des-eoliennes-mm.jean-paul-oury-et-charles-thimon-sur-atlantico.html

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    1. (...) Réponse : « Non c'est faux. Une éolienne terrestre tourne en moyenne entre 75 % et 90 % du temps. » (...)

      A savoir qu'AVEC ou SANS vent une éolienne tourne. Pourquoi ? Pour éviter le grippage, une éolienne est obligée de tourner. Elle fait donc appel à de l'énergie électrique pour mouvoir des pales de 60 tonnes chacune !!
      Ce qui fait qu'une éolienne consomme plus d'électricité qu'elle ne peut en produire !
      C'est vous qui payez.

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  10. Sans vérité, il n'y a ni liberté ni sécurité


    Par Paul Craig Roberts
    PaulCraigRoberts.org
    2 juin 2021


    Les États-Unis sont mieux compris aujourd'hui comme les États désunis. Il y a moins d'unité qu'en 1860. La civilité n'est plus dans le débat ; en effet, le débat lui-même a disparu. L'intégrité et le respect de la vérité ont cédé le pas au culte de l'argent et au règne du pouvoir. L'idéologie a bousculé les faits.

    L'argent et le pouvoir sont tout. Nous l'avons vu dans l'exagération intentionnelle de la menace de Covid pour les profits des Big Pharma et l'institutionnalisation du pouvoir arbitraire du gouvernement sur les libertés civiles. Aujourd'hui, à l'exception de certains États rouges libres, comme la Floride, dans les États désunis, notre exercice de notre liberté civile nécessite l'autorisation du gouvernement. Vous n'êtes libre que sur autorisation du gouvernement. En d'autres termes, la Constitution américaine a perdu son autorité. Nous vivons maintenant sous l'autorité des chercheurs de pouvoir.

    L'espionnage du gouvernement et des entreprises a détruit la vie privée, un autre droit protégé par la Constitution.

    L'éducation a été remplacée par l'endoctrinement sectaire. Dans les États bleus et dans certains districts scolaires locaux des États rouges, les étudiants américains blancs apprennent qu'ils sont de nature raciste. Ils sont imprégnés de culpabilité personnelle pour l'esclavage qui a pris fin il y a 156 ans. Des codes de parole sont imposés qui empêchent toute remise en cause de la propagande déguisée en éducation. Le lavage de cerveau des Américains blancs est imposé par la loi dans les États bleus comme la Californie, Washington, l'Oregon et New York. Les parents qui se plaignent sont licenciés par leurs employeurs qui ont absorbé le kool-aid de la théorie de la race critique. Aucun Américain qui travaille pour une entreprise américaine n'a la liberté d'expression.

    Il est aujourd'hui ordinaire pour les libéraux blancs de parler d'« extermination de la blancheur ». Qu'ils le réalisent ou non, cela s'inclut eux-mêmes. Qu'entend-on par exterminer la blancheur ? Le plus radical le signifie littéralement : le génocide des Blancs. Les Blancs étant des racistes systémiques sont incompatibles avec la « justice sociale ». La plupart des libéraux blancs, comme ceux des commissions scolaires bleues, entendent par extermination de la blancheur l'extermination des « valeurs blanches », telles que la méritocratie et le daltonisme.

    Le daltonisme signifiait que la meilleure personne obtenait le poste quelle que soit sa race. Cela était considéré comme un moyen de garantir qu'une personne noire méritoire ne serait pas ignorée en raison de sa race. Mais les libéraux blancs disent maintenant que le daltonisme est une valeur blanche qui soutient la méritocratie, alors que «l'équité» exige que les Noirs avancent en raison de la race, pas en raison du mérite.

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  11. Exterminer la blancheur signifie également abattre des monuments blancs, brûler ou retirer des livres blancs, réécrire l'histoire blanche comme un vaste crime en cours. Ce qui nous est essentiellement demandé, c'est que nous rejetions et dénoncions la civilisation occidentale. Si vous ne dénoncez pas votre civilisation, c'est la preuve que vous êtes raciste.

    Cela a commencé il y a des années : « Western Civ doit partir. » Les libéraux blancs pensaient que c'était génial – dénoncez votre propre civilisation.

    Une autre façon d'éliminer la blancheur consiste à ouvrir les frontières aux peuples de couleur qui finissent par être plus nombreux et plus nombreux que les blancs minoritaires. Le Camp des Saints explique à quoi s'attendre. Déjà, nous voyons dans le monde occidental des gouvernements plus sensibles aux envahisseurs immigrés qu'aux citoyens ethniques.

    De nombreux Américains patriotes plus âgés rejettent les agressions contre la blancheur comme un non-sens stupide. C'est idiot et c'est un non-sens, mais c'est néanmoins très efficace pour détruire le système de croyances qui composent la civilisation occidentale. En effet, la destruction des croyances – la colle – qui maintiennent notre civilisation ensemble est presque complète. Des gens comme Martyanov, le Saker, Dimetri Orlov et moi-même nous voyons s'effondrer en face. Nous espérons tous que nous ne survivrons pas à son apparition.

    En Occident, tout est dénonciateur. Rien n'est affirmatif. Tant de décennies de dénonciation des crimes de l'Occident ont fait s'effondrer la croyance. L'Occident est désarmé et impuissant.

    Il est étrange qu'un Occident désarmé et impuissant soit si bien défendu par le budget annuel de mille milliards de dollars du complexe militaro-sécuritaire et les quelque 700 bases militaires à l'étranger des États désunis. Mais ce n'est pas une défense de la civilisation occidentale. C'est une défense du pouvoir et des budgets des sous-traitants de la défense, de la CIA et d'autres « agences de renseignement », des chaînes d'approvisionnement des industries de la défense, des facultés de physique et de chimie des universités sur les subventions du ministère de la Défense, des contributions aux campagnes politiques qui reviennent des industries militaires. aux candidats à la Chambre, au Sénat et au Bureau ovale.

    Le budget annuel de « défense » de mille milliards de dollars nécessite un ennemi, et cette exigence annule toute sécurité par rapport à la vaste somme dépensée. Malgré le budget de la Défense, il est bien plus dangereux d'avoir un ennemi que de ne pas en avoir. Avoir la Russie comme ennemi augmente le budget de la défense et réduit notre sécurité. Au nom du pouvoir et du profit du complexe militaire/sécuritaire américain, Washington a besoin de la menace russe pour que l'argent continue de couler.

    Mais quel pays sain d'esprit voudrait comme ennemi un pays doté de l'arme nucléaire dont les systèmes d'armes seraient de loin supérieurs aux siens ?

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  12. Pendant la guerre froide du 20e siècle, les dirigeants américains et soviétiques ont travaillé pour réduire les tensions. Des traités sur le contrôle des armements ont été conclus et la communication a été maintenue ouverte. Cela a sauvé le monde de nombreuses fausses alarmes d'ICBM entrants. Aujourd'hui, les tensions, grâce à Clinton, Bush, Obama et Biden, sont si fortes qu'on croira à de fausses alarmes. Le monde peut finir simplement à cause d'une fausse alerte.

    Pour avoir exprimé, avec Stephen Cohn, aujourd'hui décédé à notre grande perte, qu'une guerre nucléaire pourrait être la conséquence d'un manque de confiance entre Washington et Moscou, j'ai été accusé de « culte de Poutine » par Michael C. Moynihan, une personne de aucune réalisation connue sur un site Web appelé "The Daily Beast".

    La révolution numérique a doté le journalisme d'une intelligence et d'une intégrité minimales. Comme Udo Ulfkotte l'a écrit dans son livre de 2014, ce sont des journalistes achetés.

    Ces journalistes achetés respectent l'argent plus que la vie. Si le monde connaît l'Armageddon nucléaire, ce sera la faute des Prestitutes occidentaux qui ont aidé le complexe militaro-sécuritaire à ressusciter la guerre froide.

    https://www.lewrockwell.com/2021/06/paul-craig-roberts/without-truth-there-is-no-freedom-or-security/

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  13. Edward Snowden prévient que Joe Biden espionne illégalement les dirigeants européens
    Un lanceur d'alerte révèle que Biden est «profondément impliqué» dans l'opération de surveillance de la NSA


    Par : Jay Greenberg |@NeonNettle
    le 1er juin 2021 à 13h00


    Edward Snowden dit que Joe Biden est «profondément impliqué» dans l'espionnage des dirigeants étrangers
    Bruit de nouvelles

    L'ancien sous-traitant de la CIA devenu lanceur d'alerte, Edward Snowden, a averti que le démocrate Joe Biden était "profondément impliqué" dans une opération de la National Security Agency (NSA) visant à espionner illégalement les dirigeants européens. Selon Snowden, qui vit maintenant en exil en Russie après avoir fui le Les États-Unis, affirment que Biden a travaillé avec des responsables du renseignement au Danemark pour espionner les dirigeants étrangers dans le cadre d'un programme de la NSA. Les cibles les plus notables de l'opération présumée sont les dirigeants allemands, la chancelière Angela Merkel et le président Frank Walter-Steinmeier. Snowden revendique Merkel et Walter -Steinmeier fait partie de plusieurs hauts responsables qui ont été illégalement espionnés par la NSA. La NSA aurait agi avec la coopération et l'aide du Service danois de renseignement de la défense (FE), selon une enquête des médias européens. Les allégations d'espionnage ont été révélées pour la première fois en 2013, grâce aux documents de la NSA divulgués par Snowden.

    Les dirigeants allemands, la chancelière Angela Merkel et le président Frank Walter-Steinmeier ont été ciblés par l'opération

    Les fuites de Snowden ont spécifiquement révélé que le téléphone portable privé de Merkel avait été surveillé par l'administration Obama. Les nouvelles révélations sont le résultat de plusieurs organes d'information européens, notamment la chaîne de télévision d'État danoise DR, allemande NDR, suédoise SVT, norvégienne NRK et française Le Monde, entre autres. – obtenir l'accès à des rapports internes et à des informations provenant de sources des services secrets danois. TENDANCE : CNN admet que la vague de criminalité dans les villes démocrates verra les républicains reprendre le pouvoir Selon l'enquête, des politiciens en Allemagne, en Suède, en Norvège, aux Pays-Bas, en France et même dans les industries financières danoises ont également été ciblés par la NSA avec l'aide d'espions danois. Le gouvernement danois aurait été au courant de la coopération depuis des années et aurait forcé la direction de FE à démissionner en 2020 après avoir découvert toute l'étendue de la relation à la suite d'une enquête interne. Ils ne l'ont pas fait, cependant, signalez les résultats à tous les alliés de l'Union européenne.

    L'espionnage a été principalement effectué en détournant les systèmes de communications électroniques danois, car le pays dispose de stations d'atterrissage pour les câbles Internet sous-marins entre de nombreux pays, tels que l'Allemagne et la Suède. En utilisant les numéros de téléphone des politiciens et des fonctionnaires, les autorités ont pu récupérer des SMS et des appels téléphoniques. , tandis que ceux qui étaient espionnés n'en étaient pas plus avisés.

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  14. "Biden est bien préparé à répondre de cela lorsqu'il visitera bientôt l'Europe", a déclaré Snowden
    Snowden, qui a fait ses premières révélations sur la NSA alors que Biden était vice-président, a déclaré que le président actuel était "bien préparé" pour répondre aux accusations et qu'il devrait y avoir une exigence de "divulgation complète" du Danemark et des États-Unis. " Biden est bien préparé à répondre de cela lorsqu'il se rendra bientôt en Europe car, bien sûr, il a été profondément impliqué dans ce scandale la première fois », a-t-il tweeté. « Il devrait y avoir une exigence explicite de divulgation publique complète non seulement du Danemark mais aussi leur partenaire principal."

    En réponse à des rapports explosifs, le ministre norvégien de la Défense Frank Bakke-Jensen a déclaré qu'ils "prenaient les allégations au sérieux", tandis que le ministre suédois de la Défense Peter Hultqvist a déclaré qu'il "exigeait des informations complètes sur ces choses". Ni la NSA ni le service danois de renseignement de la défense n'ont encore publié de commentaire. L'ancien chef de l'opposition allemande et rival de Merkel, Peer Steinbrück, qui aurait également fait surveiller ses communications, a déclaré à la chaîne de télévision allemande ARD qu'il considérait la situation comme un "scandale". « Il est grotesque que des services de renseignement amicaux interceptent et espionnent en effet les principaux représentants d'autres pays », a-t-il déclaré.

    https://neonnettle.com/news/15437-edward-snowden-warns-joe-biden-is-illegally-spying-on-european-leaders

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  15. Un e-mail montre qu'un chercheur qui a financé le laboratoire de Wuhan, admet avoir manipulé des coronavirus et a remercié Fauci d'avoir rejeté la théorie des fuites de laboratoire


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 02 JUIN 2021 - 08:16
    Rédigé par Steve Watson via Summit News,


    Les e-mails du Dr Fauci ont été publiés via une demande en vertu de la Freedom of Information Act, et ils contiennent des éléments assez intéressants, en particulier un e-mail dans lequel un chercheur qui a financé l'Institut de virologie de Wuhan remercie Fauci d'avoir rejeté publiquement la théorie des fuites de laboratoire au début de la pandémie.

    L'e-mail du Dr Peter Daszak, président de l'EcoHealth Alliance, un groupe qui entretient des liens étroits avec le laboratoire de Wuhan en recherche fonctionnelle, a envoyé l'e-mail à Fauci le 18 avril 2020, environ six semaines après le début de l'épidémie.

    L'e-mail indique :

    « En tant que subvention Pl of the ROl publiquement ciblée par les journalistes de Fox News lors de la conférence de presse présidentielle hier soir, je voulais juste dire un merci personnel au nom de notre personnel et de nos collaborateurs, pour avoir publiquement pris position et déclaré que les preuves scientifiques soutenaient une origine naturelle pour COVID-19 d'un débordement de chauve-souris à l'homme, pas une libération de laboratoire de l'Institut de virologie de Wuhan.

    De mon point de vue, vos commentaires sont courageux et, venant de votre voix de confiance, aideront à dissiper les mythes véhiculés sur les origines du virus. Une fois cette pandémie terminée, j'ai hâte de vous remercier en personne et de vous faire savoir à quel point vos commentaires sont importants pour nous tous. »

    Fauci a répondu à l'e-mail le lendemain, écrivant

    « Pierre :

    Merci beaucoup pour votre aimable note.

    Meilleures salutations,

    Tony"

    Daszak, qui travaille également pour l'Organisation mondiale de la santé, a officiellement admis qu'il était impliqué dans la manipulation de coronavirus. Voici une vidéo de lui parlant en DÉCEMBRE 2019 à quel point les virus sont « bons » pour déconner dans un laboratoire :

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  16. Daszak note que «les coronavirus sont plutôt bons… vous pouvez les manipuler assez facilement en laboratoire… les protéines enrichies déterminent beaucoup ce qui se passe. Vous pouvez obtenir la séquence que vous pouvez construire la protéine, nous travaillons avec Ralph Baric à l'UNC pour le faire, l'insérer dans l'épine dorsale d'un autre virus et faire du travail dans un laboratoire.

    Ailleurs, les e-mails montrent que Fauci a également su très tôt, avant même que l'OMS ne déclare une pandémie, que les chercheurs soupçonnaient que le virus avait été "potentiellement conçu" dans un laboratoire, comme cet échange avec Kristian G. Andersen du Scripps Research Institute de Spectacles de janvier 2020 :

    Les e-mails avec Fauci montrent que Daszak avait déjà rejeté la notion de fuite de laboratoire près d'un an avant le début de cette "enquête", et bien que d'autres chercheurs aient déclaré qu'elle semblait potentiellement conçue.

    L'aspect peut-être le plus troublant de cela est que Daszak était l'un des principaux «enquêteurs» du groupe d'experts de l'OMS chargé d'examiner les origines de la pandémie.

    Est-il surprenant que ce type, dont l'organisation a versé au moins 600 000 $ à l'Institut de virologie de Wuhan au cours des dernières années pour jouer avec les coronavirus à l'intérieur du laboratoire, a déterminé dans les 3 heures suivant la visite du laboratoire en février 2021 qu'il y avait ' rien à voir ici' ?

    Daszak, comme Fauci, a également nié depuis qu'il y avait eu un gain de recherche de fonction menée au laboratoire de Wuhan, et qu'il n'était pas financé par EcoHealth Alliance ou via le NIH avec l'argent des contribuables américains.

    Ce sont des mensonges flagrants, car il existe des montagnes de preuves qui confirment que c'était exactement le cas.

    Pourquoi le nieraient-ils alors qu'il peut être si facilement prouvé que la recherche a été menée ?

    Un autre fait intéressant à propos de Daszak est qu'il a été employé comme « vérificateur de faits expert » par Facebook lorsqu'il surveillait et supprimait la « désinformation » sur les origines de COVID sur sa plate-forme.

    Si tout cela ne crie pas à la dissimulation, alors qu'est-ce qui le fait ?

    https://www.zerohedge.com/covid-19/email-shows-researcher-who-funded-wuhan-lab-admits-manipulating-coronaviruses-thanked

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  17. "Pas vraiment efficace": Fauci Panned Masks pour prévenir l'infection au COVID-19 par e-mail


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 02 JUIN 2021 - 10:50


    Dans un e-mail de février 2020 entre le Dr Anthony Fauci et l'ancienne secrétaire d'Obama à la santé et aux services sociaux (HHS), Sylvia Burwell, la plus grande experte en maladies infectieuses du pays a déclaré que les masques faciaux achetés en magasin n'étaient pas très efficaces pour se protéger contre le COVID-19 - une opinion qu'il a maintenue au moins jusqu'en mars de l'année dernière.

    Contenu dans des centaines de pages d'e-mails obtenus par le Washington Post et BuzzFeed via la Freedom of Information Act (FOIA), Fauci est interrogé sur les masques par l'ancienne secrétaire d'Obama à la Santé et aux Services sociaux, Sylvia Burwell.

    "Je voyage à [expurgé]. Les gens suggèrent que je prenne un masque pour l'aéroport. Est-ce quelque chose que je devrais faire", demande Burwell.

    À quoi Fauci répond: "Les masques sont vraiment destinés aux personnes infectées pour les empêcher de propager l'infection à des personnes non infectées plutôt que de protéger les personnes non infectées contre l'infection. Le masque typique que vous achetez en pharmacie n'est pas vraiment efficace pour empêcher le virus , qui est assez petit pour traverser le matériau. Il peut cependant offrir un léger avantage en empêchant les grosses gouttelettes d'entrer si quelqu'un tousse ou éternue sur vous. "

    "Je ne vous recommande pas de porter un masque, d'autant plus que vous vous rendez dans un endroit à très faible risque."

    L'opinion initiale de Fauci sur les masques s'est avérée correcte, car plusieurs analyses – y compris les propres données du CDC – ont montré que les mandats de masque (et le double masquage) n'avaient pratiquement aucun effet sur la propagation du virus, sentiment partagé par les meilleurs épidémiologistes.

    De plus, le gouvernement américain savait que les masques ne fonctionnaient pas, comme en témoigne cet e-mail du 31 mars 2020 du médecin-chef des NIH Andrea Lerner :

    En avril, cependant, l'Organisation mondiale de la santé et le NIH se sont prononcés en faveur du masquage – auquel cas Fauci a changé d'avis. Comme le notent les journalistes John Ziegler et Kyle Becker, cette décision pourrait bien avoir donné aux gens un faux sentiment de sécurité.

    Donc tout n'était qu'un acte...

    https://www.zerohedge.com/political/not-really-effective-fauci-panned-masks-preventing-covid-19-infection-email

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    Réponses
    1. (...) Le masque typique que vous achetez en pharmacie n'est pas vraiment efficace pour empêcher le virus , qui est assez petit pour traverser le matériau. (...)

      Un peu large ! Hahaha !
      Les masques dits 'médicaux' (bleu.blanc) ont entre 50 et 150 microns.
      Les FFP2 ou N95 (bec de canard) font 3 microns.
      Mais... le corona lui... fait 0,1 à 0,5 µ !
      Donc il passe laaaaaaargement !

      😎 Visualisation de la taille relative des particules (comme COVID-19)

      mardi 20 octobre 2020

      https://huemaurice5.blogspot.com/2020/10/visualisation-de-la-taille-relative-des.html

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  18. Le Royaume-Uni ne voit aucun décès quotidien de COVID pour la première fois alors que les appels à la fin du verrouillage augmentent


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 02 JUIN 2021 - 04:15


    Les demandes pour que le Royaume-Uni mette fin à toutes les restrictions de verrouillage restantes se multiplient après que les responsables de la santé publique pour la première fois depuis le début de la pandémie n'aient enregistré aucun décès au cours de la dernière journée.

    C'est la première fois depuis le 7 mars de l'année dernière que personne n'est mort au Royaume-Uni de COVID-19 sur une période de 24 heures.

    Les groupes d'entreprises ont mené la charge en poussant pour une réouverture plus tôt, mais le Premier ministre britannique Boris Johnson dit qu'il ne prendra pas de décision sur la fin du verrouillage tant qu'il n'aura pas été pleinement informé des risques de la variante indienne du COVID-19 qui se propage rapidement en la Grande-Bretagne.

    UK Hospitality, qui représente environ 85 000 lieux, a déclaré que des emplois seraient perdus s'il y avait un retard à la fin des mesures de verrouillage, tandis que les données d'enquête de la Night Time Industries Association suggèrent que l'avenir de neuf entreprises de vie nocturne sur 10 est menacée après plus d'un an de fermetures forcées.

    La prévalence de la souche Delta nouvellement renommée est le seul obstacle qui pourrait retarder les plans de déverrouillage du Royaume-Uni. Il s'est propagé à travers le Royaume-Uni et le nombre de cas quotidiens de COVID a augmenté au cours des deux dernières semaines, soulevant des inquiétudes quant à savoir si un deuxième été pourrait être perdu pour l'industrie du tourisme britannique.

    Déjà, la décision du Premier ministre écossais Nicola Sturgeon de reporter l'assouplissement de ses restrictions par l'Écosse le 7 juin dans une partie de la région, y compris Édimbourg, a ajouté à la pression sur le Premier ministre Johnson. Sturgeon a cité une augmentation du nombre de cas de la variante détectée pour la première fois en Inde comme raison de l'extension.

    Le secrétaire à la Santé, Matt Hancock, a exhorté à la prudence en réponse à la baisse des décès quotidiens.

    "Malgré ces bonnes nouvelles sans aucun doute, nous savons que nous n'avons pas encore vaincu ce virus", a-t-il déclaré dans un communiqué envoyé par courrier électronique. "Et avec les cas qui continuent d'augmenter, rappelez-vous les mains, le visage, l'espace et laissez entrer l'air frais à l'intérieur, et bien sûr, assurez-vous que lorsque vous le pouvez, vous obtenez les deux coups."

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  19. Cependant, malgré le nombre important de décès, certains des "experts" lancent une nouvelle campagne alarmiste. Ils soulignent la propagation d'une variante indienne, ainsi qu'une augmentation récente des hospitalisations, comme des signes que le verrouillage britannique, qui a déjà été levé dans une large mesure et est sur le point d'être complètement abandonné. Ils soutiennent que ce sont des signes qu'une autre vague vicieuse pourrait s'emparer de l'Angleterre et du Royaume-Uni si le public ne fait pas attention.

    L'un des principaux conseillers du gouvernement britannique, le professeur Adam Finn, du Comité mixte sur la vaccination et la vaccination, se dit préoccupé par le déverrouillage de l'Angleterre trop tôt (le gouvernement devrait mettre fin aux restrictions le 21 juin, lorsque toutes les limites légales seront supprimées). Cependant, le public ne veut clairement pas entendre cela, car il se plaint déjà d'avoir été répété à plusieurs reprises de "la fermer". Le scientifique du gouvernement a déclaré que des personnes qui ne voulaient pas entendre ses avertissements lui avaient dit à plusieurs reprises de se taire.

    Pour le meilleur ou pour le pire, les promoteurs du maintien des restrictions en place par mesure de précaution contre les variantes viennent de recevoir un coup de pouce de l'OMS, qui modifie la façon dont elle nomme les variantes pour supprimer une partie de la stigmatisation associée à leur découverte (puisqu'elles sont souvent nommés d'après l'endroit où ils ont été découverts) mais aussi pour permettre aux médias d'en discuter plus facilement.

    Mais avec les États-Unis et le Royaume-Uni en tête du classement mondial des vaccinations, il convient de se demander : est-ce que quelqu'un croit vraiment à ces avertissements ?

    https://www.zerohedge.com/covid-19/uk-sees-zero-daily-covid-deaths-first-time-calls-end-lockdown-grow

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  20. Covid-19 — La mortalité moyenne quotidienne a été multipliée par deux dans le monde depuis le début de la vaccination


    F. Gobert & G. Faugloire — Agoravox
    Sott.net
    mer., 02 juin 2021 13:33 UTC


    Parmi 13 nouveaux pays étudiés, 11 d'entre eux présentent une mortalité moyenne quotidienne attribuée au Covid-19 plus importante depuis que la vaccination a commencé : Chili, Qatar, Allemagne, Espagne, Italie, Portugal, Suède, France, Danemark et Japon. Et dans le monde la mortalité a même doublé !

    Par exemple, à la date du 25/05/21, en Allemagne (40 % de la population ayant reçu au moins une dose), la mortalité moyenne quotidienne est multipliée par 3,8 ; au Portugal par 3,2 (35 % de la population ayant reçu au moins une dose) ; au Danemark par 2,3 (32 % de la population ayant reçu au moins une dose).

    Le graphe ci-dessous représente les moyennes de décès/jour/million d'habitants avant (bâtonnet bleu) et après vaccination (bâtonnet orange), trié de gauche à droite du pays qui a le % de population vaccinée le plus fort (le Chili) au moins fort (le Japon). Le % de population vaccinée (courbe grise) se lit sur l'échelle de droite ; la moyenne de décès quotidienne (bâtonnets bleu et orange) sur l'échelle de gauche.

    Décès Covid par jour et par million d'habitants après vaccination

    - voir cadre sur site -

    https://ourworldindata.org/covid-vaccinations
    https://ourworldindata.org/covid-deaths
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_pays_par_population

    Lecture du tableau avec l'exemple du Chili : du 1er mars 2020 au 25/12/2020 (début de la campagne de vaccination), soit durant 299 jours, la mortalité moyenne quotidienne est de 2,85 décès par million d'habitants. Du 25/12/2020 au 25/05/2021, soit 151 jours, la mortalité moyenne quotidienne est de 4,2 décès par million d'habitant, soit près de 1,5 fois supérieure.

    - voir cadre sur site -

    Sources :
    https://ourworldindata.org/covid-vaccinations
    https://ourworldindata.org/covid-deaths
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_pays_par_population

    Comment les chiffres ci-dessus ont-ils été calculés ?

    Les données sont principalement issues du site www.ourworldindata.org et arrêtées à la date du 25/05/21 ; les 13 pays ont été choisis de telle sorte qu'il y ait un maximum d'hétérogénéité, à la fois au niveau des caractéristiques intrinsèques mais aussi du taux de vaccination de chaque pays. Ils confirment les chiffres présentés dans 14 autres pays le 22 mai 2021 (cf. https://www.agoravox.fr/actualites/sante/article/depuis-qu-on-vaccine-anticovid-la-233252) et montrent même que la mortalité moyenne quotidienne Covid-19 a doublé dans le monde entier depuis le début des campagnes de vaccination ; dans nos calculs, seuls la République Dominicaine et le Maroc font exception.

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  21. Pour être sûr du lien direct avec la « vaccination » (Il conviendrait d'ailleurs d'arrêter définitivement de parler de « vaccination » quand il s'agit de thérapies géniques ― qui reste expérimentale jusqu'en 2023 ― dans le cas de Pfizer/BioNTech et Moderna, et d'adénovirus génétiquement modifiés, dans le cas d'AstraZeneca ― cf. : https://lead.alternatif-bien-etre.info), il faudrait connaître le nombre de personnes décédées du Covid ayant été injectées avec au moins une dose. Néanmoins, le doute est plus qu'important puisque nous devrions nous attendre à une baisse significative depuis plus de 5 mois de thérapie génique expérimentale. Ce doute devrait justifier l'arrêt complet et immédiat de cette campagne massive comme l'ont « crié » dernièrement 57 scientifiques dont Alexandra Henrion-Caude (cf. https://www.francesoir.fr/societe-sante/57-scientifiques-et-medecins-demandent-larret-immediat-de-toutes-les-vaccinations). Un cri dans un désert d'indifférence...

    La largeur de la page ne permettant pas de proposer un tableau comprenant de nombreuses colonnes, il a été scindé en deux. Voici les autres données permettant de comprendre les chiffres proposés dans le premier tableau, situé au début de l'article.

    - voir cadre sur site -

    Sources :
    https://ourworldindata.org/covid-vaccinations
    https://ourworldindata.org/covid-deaths
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_pays_par_population
    Source de l'article publié le 31 mai 2021 : Agoravox

    https://fr.sott.net/article/37350-Covid-19-La-mortalite-moyenne-quotidienne-a-ete-multipliee-par-deux-dans-le-monde-depuis-le-debut-de-la-vaccination

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  22. 57 scientifiques et médecins demandent l'arrêt immédiat de toutes les "vaccinations" Covid-19


    le 10/05/2021 à 16:48


    57 scientifiques et médecins demandent l'arrêt immédiat de toutes les vaccinations suite à la publication d’une étude très inquiétante.

    Un groupe de 57 scientifiques, médecins et experts politiques de premier plan a publié un rapport appelant à remettre en question la sécurité et l'efficacité des « vaccins » COVID-19 actuels, et réclame maintenant la fin immédiate de tous les programmes de vaccination. Parmi eux se trouve la généticienne Alexandra Henrion-Caude.

    Les thérapies utilisées appelés « vaccins » ne répondent pas à la définition du mot vaccin et il serait plus approprié de les nommer thérapies géniques ou thérapies à vecteurs vaccinaux.

    Il existe deux certitudes concernant la distribution mondiale de ces thérapies Covid-19 :

    La première est que les gouvernements et la grande majorité des médias grand public mettent toutes leurs forces pour que ces médicaments expérimentaux s'adressent au plus grand nombre de personnes possible.
    La deuxième est que ceux qui sont prêts à affronter le mépris qui accompagne le fait de poser des questions sérieuses sur les vaccins sont des acteurs essentiels dans nos efforts continus pour répandre la vérité.
    Vous pouvez lire ce manuscrit en pré-impression ci-dessous. Il a été préparé par près de soixante médecins, scientifiques et experts en politiques publiques du monde entier pour être envoyé de toute urgence aux dirigeants mondiaux, ainsi qu'à tous ceux qui sont associés à la production et à la distribution des différents vaccins Covid-19 en circulation.

    Il y a encore beaucoup trop de questions sans réponse concernant l'innocuité, l'efficacité et la nécessité de ces thérapies Covid-19.

    Cette étude est une bombe qui devrait être lue par tout le monde, quel que soit son point de vue sur les thérapies géniques ou vaccins. Il n'y a pas assez de citoyens qui posent des questions. La plupart des gens suivent simplement les ordres des gouvernements mondiaux, comme s'ils avaient gagné notre entière confiance. Ce n’est pas le cas. Ce manuscrit est un pas en avant en termes de responsabilité et de libre circulation de l'information sur ce sujet crucial. Veuillez prendre le temps de le lire et de le partager largement.

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  23. Vaccination de masse contre le SARS-CoV-2 : questions urgentes sur la sécurité des vaccins qui exigent des réponses des agences internationales de santé, des autorités réglementaires, des gouvernements et des développeurs de vaccins

    Auteurs : Roxana Bruno (1) , Peter McCullough (2) , Teresa Forcades i Vila (3) , Alexandra Henrion-Caude (4) , Teresa García-Gasca (5) , Galina P. Zaitzeva (6) , Sally Priester (7) , María J.Martínez Albarracín (8) , Alejandro Sousa-Escandon (9) , Fernando López Mirones (10) , Bartomeu Payeras Cifre (11) , Almudena Zaragoza Velilla (10) , Leopoldo M. Borini ()1 , Mario Mas (1) , Ramiro Salazar (1) , Edgardo Schinder (1) , Eduardo A Yahbes (1) , Marcela Witt (1), Mariana Salmeron (1) , Patricia Fernández (1) , Miriam M. Marchesini (1) , Alberto J. Kajihara (1) , Marisol V. de la Riva (1) , Patricia J. Chimeno (1) , Paola A. Grellet (1) , Matelda Lisdero (1) , Pamela Mas (1) , Abelardo J. Gatica Baudo (12) , Elisabeth Retamoza (12) , Oscar Botta (13) , Chinda C. Brandolino (13) , Javier Sciuto (14) , Mario Cabrera Avivar (14) , Mauricio Castillo (15) , Patricio Villarroel (15) , Emilia P. Poblete Rojas (15), Bárbara Aguayo (15) , Dan I. Macías Flores (15) , Jose V. Rossell (16) , Julio C. Sarmiento (17) , Victor Andrade-Sotomayor (17) , Wilfredo R. Stokes Baltazar (18) , Virna Cedeño Escobar (19) , Ulises Arrúa (20) , Atilio Farina del Río (21) , Tatiana Campos Esquivel (22) , Patricia Callisperis (23) , María Eugenia Barrientos (24) , Karina Acevedo-Whitehouse (5),

    Résumé

    Depuis le début de l'épidémie de COVID-19, la course au test de nouvelles plateformes conçues pour conférer une immunité contre le SARS-CoV-2 a été endémique et sans précédent, conduisant à l'autorisation d'urgence de divers vaccins. Malgré les progrès de la polychimiothérapie précoce pour les patients atteints de COVID-19, le mandat actuel est de vacciner la population mondiale le plus rapidement possible. Le manque de tests approfondis sur les animaux avant les essais cliniques et l'autorisation basée sur les données de sécurité générées lors des essais qui ont duré moins de 3,5 mois, soulèvent des questions concernant la sécurité de ces vaccins. Le rôle récemment identifié du pic de glycoprotéine du SARS-CoV-2 qui peut induire des lésions endothéliales caractéristiques du COVID-19, même en l'absence d'infection, est extrêmement pertinent étant donné que la plupart des vaccins autorisés induisent la production de glycoprotéine Spike chez les receveurs. Compte tenu du taux élevé d'occurrence des effets indésirables et du large éventail de types d'effets indésirables signalés à ce jour, ainsi que du potentiel d'amélioration de la maladie due au vaccin, de l'immunopathologie Th2, de l'auto-immunité et de l'évasion immunitaire, une meilleure compréhension des bénéfices et des risques de la vaccination de masse est nécessaire, en particulier dans les groupes exclus des essais cliniques. Malgré les appels à la prudence, les risques de vaccination contre le SARS-CoV-2 ont été minimisés ou ignorés par les organisations de santé et les autorités gouvernementales. Nous appelons à la nécessité d'un dialogue pluraliste dans le cadre des politiques de santé.

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  24. Introduction

    Depuis la déclaration de la pandémie Covid-19 en mars 2020, plus de 150 millions de cas et 3 millions de décès ont été rapportés dans le monde. Malgré les progrès de la polychimiothérapie ambulatoire précoce pour les patients à haut risque, entraînant une réduction de 85% des hospitalisations et des décès liés au COVID-19 [1], le paradigme actuel de contrôle est la vaccination de masse. Bien que nous reconnaissions l'effort impliqué dans le développement, la production et l'autorisation d'urgence des vaccins contre le SARS-CoV-2, nous sommes préoccupés par le fait que les risques ont été minimisés ou ignorés par les organisations de santé et les autorités gouvernementales, malgré les appels à la prudence [2-8].

    Les vaccins contre d'autres coronavirus n'ont jamais été approuvés pour l'homme, et les données générées dans le développement de vaccins contre les coronavirus conçus pour susciter des anticorps neutralisants montrent qu'ils peuvent aggraver la maladie COVID-19 via une amélioration dépendante des anticorps (ADE) et l'immunopathologie Th2, quel que soit le vaccin. Plateforme et méthode de livraison [9-11]. On sait que l'augmentation de la maladie d'origine vaccinale chez les animaux vaccinés contre le SARS-CoV et le MERS-CoV se produit à la suite d'une provocation virale et a été attribuée à des complexes immuns et à la capture virale médiée par Fc par les macrophages, qui augmentent l'activation et l'inflammation des lymphocytes T [11 -13].

    En mars 2020, des immunologistes vaccinaux et des experts en coronavirus ont évalué les risques du vaccin contre le SARS-CoV-2, sur la base d'essais de vaccins contre le SARS-CoV sur des modèles animaux. Le groupe d'experts a conclu que l'EIM (événement indésirable médicamenteux) et l'immunopathologie constituaient une réelle préoccupation, mais a déclaré que leur risque était insuffisant pour retarder les essais cliniques, même si une surveillance continue serait nécessaire [14]. Bien qu'il n'y ait aucune preuve claire de la survenue d'EIM et d'immunopathologie liée au vaccin chez des volontaires immunisés avec des vaccins contre le SARS-CoV-2 [15], les essais de sécurité à ce jour n'ont pas spécifiquement abordé ces effets indésirables graves (EIG). Étant donné que le suivi des volontaires n'a pas dépassé 2-3,5 mois après la deuxième dose [16-19], il est peu probable qu'un tel EIG ait été observé. Malgré 92 erreurs de déclaration, on ne peut ignorer que même en tenant compte du nombre de vaccins administrés, selon le système américain de notification des effets indésirables des vaccins (VAERS), le nombre de décès par million de doses de vaccin administrées a été multiplié par plus de 10. Nous pensons qu'il y a un besoin urgent d'un dialogue scientifique ouvert sur la sécurité des vaccins dans le contexte de la vaccination à grande échelle.

    Dans cet article, nous décrivons certains des risques de la vaccination de masse dans le contexte des critères d'exclusion des essais de phase 3 et discutons de l'ESG rapporté dans les systèmes nationaux et régionaux d'enregistrement des effets indésirables. Nous soulignons les questions sans réponse et attirons l'attention sur la nécessité d'une approche plus prudente de la vaccination de masse. Nous pensons qu'il y a un besoin urgent d'un dialogue scientifique ouvert sur la sécurité des vaccins, dans le contexte de la vaccination à grande échelle. Dans cet article, nous décrivons certains des risques de la vaccination de masse dans le contexte des critères d'exclusion des essais de phase 3 et discutons de l'ESG rapporté dans les systèmes nationaux et régionaux d'enregistrement des effets indésirables.

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  25. Critères d'exclusion de l'essai de phase 3 du SARS-CoV-2

    À quelques exceptions près, les essais vaccinaux contre le SARS-CoV-2 ont exclu les personnes âgées [16-19], ce qui a rendu impossible l'identification de la survenue d'une éosinophilie post-vaccination et d'une inflammation accrue chez les personnes âgées. Des études sur les vaccins contre le SARS-CoV ont montré que les souris âgées immunisées couraient un risque particulièrement élevé d'immunopathologie Th2 potentiellement mortelle [9,20]. Malgré ces preuves et les données extrêmement limitées sur l'innocuité et l'efficacité des vaccins contre le SARS-CoV-2 chez les personnes âgées, les campagnes de vaccination de masse se sont concentrées dès le début sur cette tranche d'âge. La plupart des essais ont également exclu les volontaires enceintes et allaitantes, ainsi que celles souffrant d'affections chroniques et graves telles que la tuberculose, l'hépatite C, l'auto-immunité, les coagulopathies, le cancer et l'immunosuppression [16-29], bien que ces receveurs se voient désormais proposer le vaccin au nom du principe de sécurité.

    Un autre critère d'exclusion de presque tous les essais était l'exposition antérieure au SARS-CoV-2. C'est regrettable, car cela a supprimé la possibilité d'obtenir des informations extrêmement pertinentes concernant les effets indésirables post-vaccinaux chez les personnes ayant déjà des anticorps anti-SARS-Cov-2. Au meilleur de nos connaissances, les EAD ne sont pas systématiquement surveillées pour tout âge ou groupe de conditions médicales actuellement administré par le vaccin. De plus, malgré une proportion substantielle de la population ayant déjà des anticorps [21], des tests pour déterminer le statut des anticorps anti-SARS-CoV-2 avant l'administration du vaccin ne sont pas effectués en routine.

    Les effets indésirables graves des vaccins contre le SARS-CoV-2 passeront-ils inaperçus?

    Le COVID-19 englobe un large spectre clinique, allant de la pathologie pulmonaire très légère ou sévère, à une maladie multi-organique mortelle avec dérégulation inflammatoire, cardiovasculaire et ou encore de la coagulation sanguine [22-24]. En ce sens, les cas d'EIM ou d'immunopathologie liés au vaccin seraient cliniquement indiscernables d'un COVID-19 sévère [25]. De plus, même en l'absence de virus SARS-CoV-2, la glycoprotéine de Spike seule provoque des lésions endothéliales et une hypertension in vitro et in vivo chez les hamsters Syrian (ndlr : hamster doré) en régulant à la baisse l'enzyme de conversion de l'angiotensine 2 (ACE2) et en altérant la fonction mitochondriale [26]. Bien que ces résultats doivent être confirmés chez l'homme, les implications de cette découverte sont stupéfiantes, car tous les vaccins autorisés pour une utilisation d'urgence sont basés sur l'administration ou l'induction de la synthèse de glycoprotéines Spike. Dans le cas des vaccins à ARNm et des vaccins vectorisés par adénovirus, aucune étude n'a examiné la durée de la production de Spike chez l'homme après la vaccination.

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  26. Selon le principe de précaution, il est parcimonieux de considérer que la synthèse de Spike induite par le vaccin pourrait provoquer des signes cliniques de COVID-19 sévère et être à tort comptée comme de nouveaux cas d'infections par le SARS-CoV-2. Si tel est le cas, les véritables effets indésirables de la stratégie de vaccination mondiale actuelle pourraient ne jamais être reconnus à moins que des études n'examinent spécifiquement cette question. Il existe déjà des preuves non causales d'augmentation temporaire ou soutenue des décès dus au COVID-19, suite à la vaccination dans certains pays (Fig.1). À la lumière de la pathogénicité de Spike, ces décès doivent être étudiés en profondeur pour déterminer s'ils sont liés à la vaccination. Aucune étude n'a examiné la durée de la production de Spike chez l'homme après la vaccination.

    Réactions indésirables imprévues aux vaccins contre le SARS-CoV-2

    L'auto-immunité est un autre problème critique à prendre en compte compte tenu de l'échelle mondiale de la vaccination contre le SARS-CoV-2. Le SARS-CoV-2 possède de nombreuses protéines immunogènes, et tous sauf un ont des similitudes avec les protéines humaines [27]. Ceux-ci peuvent agir comme une source d'antigènes, conduisant à une auto-immunité [28]. S'il est vrai que les mêmes effets pourraient être observés lors d'une infection naturelle par le SARS-CoV-2, la vaccination est destinée à la plupart de la population mondiale, alors que l'on estime que seulement 10% de la population mondiale a été infectée par le SARS-CoV -2, selon le Dr Michael Ryan, responsable des urgences à l'Organisation mondiale de la santé. Nous n'avons pas pu trouver de preuve qu'un quelconque vaccin actuellement autorisé a criblé et exclu les épitopes immunogènes homologues pour éviter une auto-immunité potentielle due à un amorçage pathogène.

    Certains effets indésirables, notamment des troubles de la coagulation sanguine, ont déjà été rapportés chez des personnes vaccinées en bonne santé et jeunes. Ces cas ont conduit à la suspension ou à l'annulation de l'utilisation des vaccins adénoviraux vectorisés ChAdOx1-nCov-19 et Janssen dans certains pays. Il a maintenant été proposé que la vaccination avec ChAdOx1-nCov-19 puisse entraîner une thrombopénie thrombotique immunitaire (VITT) médiée par des anticorps activant les plaquettes contre le facteur plaquettaire-4, qui imite cliniquement la thrombocytopénie auto-immune induite par l'héparine [29]. Malheureusement, le risque a été négligé lors de l’autorisation de ces vaccins, bien que la thrombocytopénie induite par les adénovirus soit connue depuis plus d’une décennie et ait été un événement constant avec les vecteurs adénoviraux [30]. Le risque de VITT serait vraisemblablement plus élevé chez les personnes déjà à risque de caillots sanguins.

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  27. Au niveau de la population, il pourrait également y avoir des impacts liés aux vaccins. Le SARS-CoV-2 est un virus à ARN à évolution rapide, qui a jusqu'à présent produit plus de 40 000 variants [32,33] dont certains affectent le domaine antigénique de la glycoprotéine de Spike [34,35]. Compte tenu des taux de mutation élevés, la synthèse induite par le vaccin de niveaux élevés d'anticorps anti-SARS-CoV-2-Spike pourrait théoriquement conduire à des réponses sous-optimales contre les infections ultérieures par d'autres variants chez les individus vaccinés [36], un phénomène connu sous le nom de « sin »[37] ou amorçage antigénique [38]. On ne sait pas dans quelle mesure les mutations qui affectent l'antigénicité du SARS-CoV-2 se fixeront au cours de l'évolution virale [39], mais les vaccins pourraient vraisemblablement agir comme des forces sélectives entraînant des variants avec une infectivité ou une transmissibilité plus élevée. Compte tenu de la forte similitude entre les variants connues du SARS-CoV-2, ce scénario est peu probable [32,34] mais si les variants futures devaient différer davantage dans les épitopes clés, la stratégie de vaccination mondiale aurait pu contribuer à façonner un virus encore plus dangereux. Ce risque a été récemment porté à l'attention de l'OMS sous forme de lettre ouverte [40].

    Discussion

    Les risques décrits ici constituent un obstacle majeur à la poursuite de la vaccination mondiale contre le SARS-CoV-2. Des preuves de l'innocuité de tous les vaccins contre le SARS-CoV-2 sont nécessaires avant d'exposer davantage de personnes au risque de ces expériences, car la libération d'un vaccin candidat sans le temps de bien comprendre l'impact qui en résulterait sur la santé, pourrait conduire à une exacerbation de la crise mondiale actuelle. [41]. La stratification des risques des vaccinés est essentielle. Selon le gouvernement britannique, les personnes de moins de 60 ans ont un risque extrêmement faible de mourir du COVID-19. Cependant, selon Eudravigillance, la plupart des effets indésirables graves consécutifs à la vaccination contre le SARS-CoV-2 surviennent chez des personnes âgées de 18 à 64 ans. Le calendrier de vaccination prévu pour les enfants âgés de 6 ans et plus aux États-Unis et au Royaume-Uni est particulièrement préoccupant. Le Dr Anthony Fauci a récemment prévu que les adolescents de tout le pays seront vaccinés à l'automne et les plus jeunes au début de 2022. Le Royaume-Uni attend les résultats des essais pour commencer la vaccination de 11 millions d'enfants de moins de 18 ans aux vaccins expérimentaux, étant donné que les Centers for Disease Control and Prevention estime qu'ils ont un taux de survie de 99,997% s'ils sont infectés par le SARS-CoV-2. Non seulement le COVID-19 n'est pas pertinent en tant que menace pour ce groupe d'âge, mais il n'existe aucune preuve fiable pour étayer l'efficacité ou l'efficacité du vaccin dans cette population, ou pour écarter les effets secondaires nocifs de ces vaccins expérimentaux. En ce sens, lorsque les médecins conseillent aux patients l'administration élective de la vaccination COVID-19, il y a un grand besoin de mieux comprendre les avantages et les risques de l'administration, en particulier dans les groupes peu étudiés.

    En conclusion, dans le contexte de l'autorisation d'urgence d'une utilisation des vaccins contre le SARS-CoV-2, et des lacunes actuelles dans notre compréhension de leur innocuité, les questions suivantes doivent être soulevées :

    - Est-ce que l'on sait si les anticorps à réaction croisée provenant d'infections antérieures à coronavirus ou les anticorps induits par le vaccin peuvent influencer le risque de pathogenèse involontaire après la vaccination avec COVID-19 ?

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  28. - Le risque spécifique d'EIM (événement indésirable médicamenteux), d'immunopathologie, d'auto-immunité et de réactions indésirables graves a-t-il été clairement divulgué aux receveurs de vaccins afin de répondre à la norme d'éthique médicale de compréhension du patient pour le consentement éclairé ? Sinon, quelles en sont les raisons et comment pourrait-il être mis en œuvre ?

    - Quelle est la justification de l'administration du vaccin à chaque individu lorsque le risque de mourir du COVID-19 n'est pas égal entre les groupes d'âge et les conditions cliniques, et lorsque les essais de phase 3 ont exclu les personnes âgées, les enfants et les affections spécifiques fréquentes ?

    - Quels sont les droits légaux des patients s'ils sont lésés par un vaccin contre le SARS-CoV-2 ? Qui couvrira les frais de traitement médical ? Si les réclamations devaient être réglées avec des fonds publics, le public a-t-il été informé que les fabricants de vaccins ont obtenu l'immunité et que leur responsabilité d'indemniser les personnes lésées par le vaccin a été transférée aux contribuables ?

    Dans le contexte de ces préoccupations, nous proposons de mettre un terme à la vaccination de masse et d'ouvrir un dialogue urgent pluraliste, critique et scientifiquement fondé sur la vaccination contre le SARS-CoV-2 entre les scientifiques, les médecins, les agences internationales de santé, les autorités réglementaires, les gouvernements et les développeurs de vaccins. C'est le seul moyen de combler le fossé actuel entre les preuves scientifiques et la politique de santé publique concernant les vaccins contre le SARS-CoV-2. Nous sommes convaincus que l'humanité mérite une compréhension plus profonde des risques que ce qui est actuellement présenté comme la position officielle. Un dialogue scientifique ouvert est urgent et indispensable pour éviter l'érosion de la confiance du public dans la science et la santé publique et pour garantir que l'OMS et les autorités sanitaires nationales protègent les intérêts de l'humanité pendant la pandémie actuelle. Il est urgent de ramener la politique de santé publique à la médecine factuelle, en s'appuyant sur une évaluation minutieuse de la recherche scientifique pertinente. Il est impératif de suivre la science.

    1 https://www.gov.uk/government/publications/covid-19-reported-sars-cov-2-deaths-in-england/covid-19-confirmed-deaths-in-england-report

    L'article en anglais : 57 Top Scientists And Doctors Release Shocking Study On COVID Vaccines And Demand Immediate Stop to ALL Vaccinations

    Déclaration de conflit d'intérêts

    Les auteurs déclarent que la recherche a été menée en l'absence de toute relation commerciale ou financière pouvant être interprétée comme un conflit d'intérêts potentiel.

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  29. Les références

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  32. Légendes de la figure

    Figure 1. Nombre de nouveaux décès dus au COVID-19 par rapport au nombre de personnes ayant reçu au moins une dose de vaccin pour certains pays. Le graphique montre les données du début de la vaccination au 3 mai 365, 2021. A) Inde (9,25% de la population vaccinée), B) Thaïlande (1,58% de la population vaccinée), C) Colombie (6,79% de la population vaccinée), D) Mongolie (31,65% de la population vaccinée), E) Israël (62,47% de la population vaccinée), F) Monde entier (7,81% de la population vaccinée). Les graphiques ont été construits à l'aide des données de Our World in Data (consulté le 4 mai 2021) https : // github . com / owid / covid - 19 - données / arbre / maître /public / données / vaccinations

    Affiliations

    *

    1 Epidemiólogos Argentinos Metadisciplinarios. República Argentina.
    2 Centre médical de l'Université Baylor. Dallas, Texas, États-Unis.
    3 Monestir de Sant Benet de Montserrat, Montserrat, Espagne
    4 INSERM U781 Hôpital Necker-Enfants Malades, Université Paris Descartes-Sorbonne Cité, Institut Imagine, Paris, France.
    5 École des sciences naturelles. Université autonome de Querétaro, Querétaro, Mexique.
    6 Professeur retraité d'immunologie médicale. Universidad de Guadalajara, Jalisco, Mexique.
    7 Médicos por la Verdad Puerto Rico. Centre médical d'Ashford. San Juan, Porto Rico.
    8 Professeur retraité de processus de diagnostic clinique. Université de Murcie, Murcie, Espagne
    9Urologue Hôpital Comarcal de Monforte, Université de Saint-Jacques-de-Compostelle, Espagne.
    10 Biólogos por la Verdad, Espagne.
    11 Biologiste à la retraite. Université de Barcelone. Spécialisé en microbiologie. Barcelone, Espagne.
    12 Centre de médecine intégrative MICAEL (Medicina Integrativa Centro Antroposófico Educando en Libertad). Mendoza, République argentine.
    13 Médicos por la Verdad Argentina. República Argentina. ´
    14 Médicos por la Verdad Uruguay. República Oriental del Uruguay.
    15 Médicos por la Libertad Chili. República de Chile.
    16 Médecin, orthopédiste. República de Chile.
    17 Médicos por la Verdad Perú. República del Perú.
    18Médicos por la Verdad Guatemala. República de Guatemala.
    19 Concepto Azul SA Équateur.
    20 Médicos por la Verdad Brasil. Brésil.
    21 Médicos por la Verdad Paraguay.
    22 Médicos par Costa Rica.
    23 Médicos por la Verdad Bolivie.
    24 Médicos por la Verdad El Salvador.

    * Correspondance: Karina Acevedo-Whitehouse, karina.acevedo.whitehouse@uaq.mx

    https://www.francesoir.fr/societe-sante/57-scientifiques-et-medecins-demandent-larret-immediat-de-toutes-les-vaccinations

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  33. L'horrible vérité sur le COVID


    Dr.Mercola
    mer., 02 juin 2021 16:46 UTC


    Nick Hudson, actuaire et investisseur en capital-investissement, a co-fondé Pandemics ~ Data & Analytics (PANDA) en réponse aux nombreuses menaces pesant sur les droits et libertés civiques qui se sont produites au cours de la réponse à la pandémie de COVID-19. Alors que les médias et les institutions de santé publique se sont engagés dans une campagne de poudre aux yeux (qui perpétue une peur paralysante, inutilement, à ce jour), les données et les faits ne mentent pas.

    Nick Hudson et son équipe chez PANDA, qui comprend un analyste de données, un économiste, des médecins, et des experts en santé publique, utilisent les données en direct et la science ouverte pour permettre au public d'exercer sa liberté de choix et de préserver les sociétés libres.

    Nick Hudson a pris la parole lors de la conférence inaugurale BizNews Investment Conference en mars 2021, et son discours d'ouverture est présenté ci-dessous. Il explique l'horrible vérité sur le COVID-19, à savoir que le monde est paralysé par la peur en raison d'un faux récit. Toute personne qui conteste ce récit est étiquetée comme un fou, une menace ou un danger pour la société, ce qui renforce la répression et la peur injustifiée.


    Commentaire : Voir la vidéo en anglais ici


    Mise en lumière de la vérité sur le COVID-19

    George Washington a dit : « La vérité finira par s'imposer là où l'on s'efforce de la mettre en lumière ». C'est dans cet esprit que Nick Hudson a vu les « graines d'une grande tragédie » plantées dans le faux récit du COVID-19 et il s'est donné pour mission de faire éclater la vérité. Alors, quelle est la réalité de la pandémie ?

    Selon Nick Hudson :
    Un virus qui présente un risque élevé pour peu de personnes et un risque négligeable pour la plupart frappe certaines régions
    Il existe plusieurs traitements disponibles
    Les personnes asymptomatiques ne sont pas les principaux vecteurs de la maladie
    Les confinements et l'obligation de port du masque n'ont pas fonctionné et ont plutôt causé de grands dommages
    Les personnes vulnérables ont été atteintes et blessées au lieu d'être aidées
    Des informations erronées sont diffusées depuis le début, y compris par le directeur général de l'Organisation mondiale de la santé, Tedros Adhanom Ghebreyesus. Dans un point de presse du 3 mars 2020, il a déclaré :
    « Dans le monde, environ 3,4 % des cas de COVID-19 signalés sont morts. En comparaison, la grippe saisonnière tue généralement beaucoup moins de 1 % des personnes infectées ».
    Mais selon Nick Hudson, les 3,4 % représentent le taux de létalité, soit le nombre de décès dus au COVID-19 divisé par le nombre de cas de COVID-19, tandis que le 1 % représente le taux de létalité de l'infection, soit le nombre de décès divisé par l'ensemble des individus infectés.

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  34. « En confondant ces deux points distincts (le taux de létalité et le taux de létalité de l'infection) », explique Nick Hudson, « Tedros Adhanom Ghebreyesus a effectivement menti ». Le chercheur quantitatif John Loannidis, professeur de médecine au Stanford Prevention Research Center, a calculé le taux de létalité de l'infection pour le COVID-19 dans une revue de 61 études de séroprévalence, avec une médiane de 0,23 % et de 0,05 % chez les personnes de moins de 70 ans.

    Sur cette base, le taux de létalité de l'infection au COVID-19 est inférieur à celui de la grippe. Dans un éditorial du New England Journal of Medicine publié le 26 mars 2020, le Dr Anthony Fauci, directeur du National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID), et ses collègues ont écrit que « les conséquences cliniques globales du Covid-19 pourraient en fin de compte être plus proches de celles d'une grippe saisonnière sévère ».

    Les médias ont occulté ce fait, a fait remarquer Nick Hudson, ainsi que le fait que la mortalité est 1 000 fois plus faible chez les jeunes de moins de 19 ans que chez les personnes âgées de plus de 70 ans, un élément qui aurait dû être pris en compte dans la réponse à la pandémie.

    La propagation asymptomatique suscite des craintes

    Le deuxième élément qui permet à la théorie du « tout le monde est un danger » de perdurer est l'idée d'une propagation asymptomatique conduisant à la maladie. « J'ai été absolument stupéfait de découvrir la piètre qualité de la science » qui sous-tend cela, indique Nick Hudson.

    L'un des articles fondateurs concerne une femme qui aurait infecté 16 collègues alors qu'elle était asymptomatique. L'étude a été largement utilisée pour suggérer qu'il y avait une propagation asymptomatique. Mais une controverse a ensuite éclaté pour savoir si la femme était réellement asymptomatique lorsque les autres ont été infectés ou si elle était symptomatique et traitée pour des symptômes grippaux à ce moment-là.

    En juin 2020, Van Kerkhove a également précisé que les personnes atteintes du COVID-19 sans aucun symptôme transmettent « rarement » la maladie aux autres. Mais dans un volte-face spectaculaire, l'OMS est revenue sur cette déclaration un jour plus tard. Le 9 juin 2020, le Dr Mike Ryan, directeur exécutif du programme des urgences de l'OMS, a rapidement fait marche arrière par rapport à la déclaration de Van Kerkhove, déclarant que les remarques avaient été « mal interprétées ou que nous n'avions peut-être pas utilisé les mots les plus élégants pour expliquer cela ».

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  35. « C'est un non-sens total », poursuit Nick Hudson, en ajoutant que le Dr Anthony Fauci a également déclaré en janvier 2020 que « la transmission asymptomatique n'a jamais été le moteur des épidémies. Le moteur des épidémies est toujours une personne symptomatique ».

    Une étude dans JAMA Network Open a par la suite constaté, en décembre 2020, que la transmission asymptomatique n'est pas le principal moteur de l'infection au sein des foyers. Une étude parue dans Nature Communications a également constaté « qu'il n'y avait aucune preuve de transmission de personnes positives asymptomatiques à des contacts proches tracés ».

    La folie du confinement

    Le mythe de la propagation asymptomatique généralisée est ce qui a été utilisé pour justifier le confinement mondial des personnes en bonne santé. « Bruce Aylward restera dans l'histoire comme un criminel d'une immense stature », indique Nick Hudson, faisant référence au rôle de Bruce Aylward en tant que chef d'une équipe de l'OMS qui s'est rendue à Wuhan, en Chine, et qui a conclu que les mesures de confinement permettaient de stopper la propagation du COVID-19.

    « Il a emmené une délégation en Chine, y a passé quelques jours, puis est revenu en disant que tout le monde devrait suivre la réponse de la Chine, la doctrine de la susceptibilité universelle », indique Nick Hudson. Pourtant, avant la pandémie de COVID-19, les directives officielles relatives aux plans de réponse aux pandémies recommandaient de ne pas mettre en quarantaine à grande échelle les personnes en bonne santé.

    En fait, l'OMS a écrit que pendant une pandémie de grippe, la mise en quarantaine des personnes exposées, le contrôle des entrées et des sorties et la fermeture des frontières ne sont « en aucun cas recommandés ».

    De même, en 2021, une étude publiée dans l'European Journal of Clinical Investigation n'a trouvé aucun avantage significatif sur la croissance des cas de COVID-19 dans les régions utilisant des interventions non pharmaceutiques (INP) plus restrictives, telles que l'obligation de rester chez soi et les ordres de fermeture d'entreprise (autrement dit, le confinement).

    Les données compilées par PANDA n'ont pas non plus trouvé de relation entre le confinement et le nombre de décès dus au COVID-19 par million de personnes. La maladie a suivi une trajectoire de déclin linéaire, que des mesures de confinement aient été imposées ou non.

    Ce qui n'est pas un mensonge, cependant, c'est que les confinements causent beaucoup de tort. La mortalité infantile, la pauvreté, la famine et le chômage sont en hausse, tout comme les retards dans les traitements et les diagnostics médicaux, les troubles psychologiques chez les jeunes, le suicide et les morts de désespoir.

    L'enseignement a été interrompu pour environ 1,6 milliard d'enfants, souligne Nick Hudson, et une enquête menée auprès de 2 000 adultes américains a révélé qu'un Américain sur six a commencé une thérapie pour la première fois en 2020. Près de la moitié (45 %) des personnes interrogées ont confirmé que la pandémie de COVID-19 était la raison principale qui les avait poussées à demander l'aide d'un thérapeute. Selon Nick Hudson :

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  36. « Ce qui est peut-être le plus difficile à avaler pour moi dans tout cela, c'est qu'en épidémiologie de premier cycle, il est bien connu que lorsqu'on est confronté à une maladie dont la graduation est très pointue, comme c'est le cas avec le coronavirus, les mesures visant à supprimer la propagation de la maladie ont pour effet, de manière fiable, de déplacer le fardeau de la maladie sur les personnes vulnérables, que nous devrions protéger. Elles aggravent la mortalité due au coronavirus. »
    La rhétorique sur les masques est trompeuse

    Il a été dit que les masques faciaux sont essentiels pour arrêter la propagation du COVID-19 et qu'ils pourraient sauver 130 000 vies rien qu'aux États-Unis. Mais en 2019, l'Organisation mondiale de la santé a analysé 10 essais contrôlés randomisés et a conclu que
    « rien ne prouve que les masques faciaux soient efficaces pour réduire la transmission de la grippe confirmée en laboratoire ».
    Un seul essai contrôlé randomisé a été mené sur l'utilisation du masque et la transmission du COVID-19 et il a révélé que les masques ne réduisaient pas de manière statistiquement significative l'incidence de l'infection.

    Vous vous souvenez peut-être qu'au début de la pandémie, les masques faciaux n'étaient pas recommandés pour le grand public. En février 2020, Christine Francis, consultante pour la prévention et le contrôle des infections au siège de l'OMS, apparaissait dans une vidéo, brandissant un masque facial jetable.

    Elle a dit « les masques médicaux tels que celui-ci ne peuvent pas protéger contre le nouveau coronavirus lorsqu'ils sont utilisés seuls... L'OMS ne recommande l'utilisation de masques que dans des cas spécifiques ». Au 31 mars 2020, l'OMS déconseillait toujours l'utilisation de masques faciaux pour les personnes ne présentant pas de symptômes, déclarant qu'il n'y a « aucune preuve » que l'utilisation de tels masques empêche la transmission du COVID-19.

    Mais en juin 2020, la rhétorique a changé. Invoquant des « preuves en évolution », l'OMS est revenue sur sa recommandation et a commencé à conseiller aux gouvernements d'encourager le grand public à porter des masques là où la transmission est généralisée et où il est difficile de s'éloigner physiquement. Pourtant, le même jour, le 5 juin 2020, l'OMS a publié un communiqué indiquant que :
    « À l'heure actuelle, il n'existe aucune preuve directe (provenant d'études sur le COVID-19 et sur des personnes en bonne santé dans la communauté) de l'efficacité du port universel du masque par des personnes en bonne santé dans la communauté pour prévenir l'infection par des virus respiratoires, y compris le COVID-19. »
    Le Centre américain de contrôle et de prévention des maladies (CDC) a fait un volte-face similaire sur l'utilisation des masques, en citant une étude sur deux coiffeurs du Missouri, qui auraient été symptomatiques au COVID-19 et auraient coiffé 139 clients.

    Aucune des clients n'a été testé positif au COVID-19, ce qui, selon le CDC, s'explique par le fait qu'eux et les stylistes portaient des masques. Nick Hudson estime toutefois que les clients étaient probablement jeunes et non sensibles au virus en premier lieu.

    Dans une autre étude publiée dans la revue Emerging Infectious Diseases du CDC, il a été déclaré : « Nous n'avons pas trouvé de preuves que les masques de type chirurgical sont efficaces pour réduire la transmission de la grippe confirmée en laboratoire, que ce soit lorsqu'ils sont portés par des personnes infectées (contrôle de la source) ou par des personnes de la communauté en général pour réduire leur susceptibilité ».

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  37. Les données de PANDA n'ont pas non plus montré de différences de transmission dans les États où le masque est obligatoire et dans ceux où il ne l'est pas. Néanmoins, les autorités sanitaires conseillent désormais de doubler ou tripler les masques pour qu'ils soient plus efficaces.

    Les vaccins sont vendus comme un ticket pour la liberté

    Les personnes qui s'apprêtent à gagner d'innombrables milliards avec les vaccins contre le COVID-19 les vendent maintenant comme un ticket pour la liberté, déclare Nick Hudson :
    « Comme c'est pratique que nous ayons maintenant une logique qui nous dit que nous devons vacciner 7,8 milliards de personnes contre une maladie qui a un taux de survie moyen de 99,95 % pour les personnes de moins de 70 ans. Le profit ici est évident. Il est transparent. »
    Il est triste de voir des adolescents, qui ne présentent pas de risque élevé, faire la queue pour se faire vacciner simplement pour retrouver leur liberté, ajoute-t-il. Quand vous ajoutez toutes les autres incohérences et mensonges (les tests PCR qui ne sont pas capables de diagnostiquer l'infectiosité, le gonflement du nombre de décès, les restrictions de voyage, la propagande médiatique et les règles arbitraires, comme la récente modification par le CDC de la distance physique dans les salles de classe, qui est passée de 2 mètres à 1 mètre), c'est comme si nous vivions dans une réalité orwellienne.

    Avec les passeports vaccinaux qui se profilent, la perte des libertés individuelles atteint un niveau sans précédent, tandis que les gens vivent généralement « asservis par la peur », peur de l'infection ou de la réinfection, du « COVID long », de la résurgence et des variants mutants. « Les fondements de notre civilisation sont menacés », note Nick Hudson, et nous avons le choix. « Nous avons été poussés vers un précipice. Allons-nous être poussés pour tomber ou faire marche arrière ? »

    Il exhorte les individus à soutenir la déclaration de Great Barrington, qui appelle à une « protection ciblée » et à trouver un juste milieu entre le verrouillage de toute une économie et le « laisser-faire ». Au 4 avril 2021, la déclaration avait recueilli 41 890 signatures de praticiens et plus de 13 796 signatures de médecins et de spécialistes de la santé publique.

    En outre, la déclaration est ouverte aux signatures du public et a recueilli 764 089 signatures de citoyens concernés dans le monde entier. Le site Web vous permet de lire et de signer la déclaration, répond à de nombreuses questions fréquemment posées, partage les informations scientifiques qui sous-tendent les recommandations et explique comment la déclaration a été rédigée.

    PANDA a également publié un protocole de réouverture de la société « afin de fournir une feuille de route pour sortir du cycle néfaste des confinements ». Nick Hudson a cité Nelson Mandela, qui a déclaré que le courage n'est pas l'absence de peur, mais le triomphe sur celle-ci. Nous devons tous faire preuve de courage et soutenir les campagnes de sensibilisation visant à mettre un terme à ce récit néfaste, à apaiser la peur et à protéger la liberté future.

    https://fr.sott.net/article/37352-L-horrible-verite-sur-le-COVID

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