Un film qui vous plonge dans l’univers des éoliennes, décortiqué par d’éminents experts de l’énergie. À voir absolument.
Par Michel Gay.
3 JUIN 2021
Le film gratuit de Charles Thimon diffusé sur internet Éoliennes : du rêve aux réalités est plus que remarquable : il est exceptionnel !
Il représente une bouffée d’air frais pour tous ceux qui ne veulent plus entendre la bouillie de faux arguments sur les énergies, voire de mensonges, servis généralement par les grands médias, et même par certaines agences officielles.
Enfin, un talentueux réalisateur met les pieds dans le plat !
De cette plongée dans le mercantilisme le plus vil et l’idéologie la plus obtuse, il ressort au final une sensation d’écœurement devant cette montagne d’hypocrisie politicienne et de lâcheté de l’administration française à Bruxelles devant les Allemands qui savent défendre leurs intérêts, eux…
« ÉOLIENNES : DU RÊVE AUX RÉALITÉS » : INCOMPÉTENCES, LÂCHETÉ, CYNISME ET IDIOTIES
J’ai failli (à tort) ne pas regarder ce film (encore un film sur les éoliennes) car je connais le sujet depuis plus de 10 ans et il dure presque 2 heures (1 h 58 mn).
Mais j’ai commencé… et j’ai été happé par cette excellente synthèse. Et j’ai regardé jusqu’au bout.
Ce n’est pas du temps perdu : c’est une très bonne compilation des idioties racontées depuis 20 ans (et plus) par des écologistes haineux de la société, des politiciens incompétents en technique voulant plaire en vendant cher du rêve pour se faire élire, et des affairistes cyniques mais compétents (eux…) en maniement des foules.
C’est une occasion rare d’en apprendre beaucoup plus que ce que les grands médias racoleurs racontent depuis tant d’années.
Je recommande chaudement de regarder et de diffuser ces deux heures de film pour comprendre l’invraisemblable tromperie qui coûte 7 milliards d’euros par an aux Français !
INTERVENANTS
Cette plongée dans l’univers des éoliennes a été l’occasion de réunir quelques-uns des plus éminents experts de l’énergie, parmi lesquels :
Jean-Marc Jancovici : ingénieur et directeur du Shift Project
Hervé Machenaud : ancien directeur de la production d’EDF
Jacques Percebois : directeur du centre de recherche en économie et droit de l’énergie
D’autres personnalités, comme Henri Proglio (ancien président directeur général d’EDF), Dominique Finon (directeur de Recherche honoraire au CNRS), ou bien encore Antoine Waechter (candidat des Verts à l’élection présidentielle de 1988) apportent leur éclairage aux Français.
L’ASSOCIATION
Le projet est porté par une association loi 1901 « Documentaire et Vérité » dont l’objectif est le financement participatif de documentaires basés sur des faits vérifiables et des experts reconnus, accessibles gratuitement et diffusés en ligne.
Destiné à être diffusé gratuitement au plus grand nombre, ce projet a été exclusivement financé par des citoyens par le biais d’un financement participatif (crowdfunding) qui a récolté plus de 100 000 euros auprès de 1000 contributeurs, révélant une fois de plus l’importance du sujet éolien en France.
Pour en savoir plus : https://eoliennes-lefilm.com
SOMMAIRE
Ceux qui manquent de temps peuvent aller directement aux chapitres qui les intéressent plus particulièrement :
00:00 Introduction
09:30 Stockage et intermittence
18:15 Le modèle allemand
22:45 Système européen
31:09 Toujours du vent quelque part ?
33:19 Du vent dans le gaz
39:28 Oil, GAFA & black-out
45:12 Pour une sortie du nucléaire ?
52:00 Quand le vent se transforme en or
58:58 L’installation d’un parc
1:05:43 Une chance pour l’emploi ?
1:11:41 Une énergie bon marché ?
1:19:37 Une fabrication verte ?
1:26:40 Éoliennes mon amour ?
1:37:01 Dénis démocratiques
1:47:29 Le salut par l’offshore ?
https://www.youtube.com/channel/UCgfx84tH3__0hkLUh05n3aQ
https://www.contrepoints.org/2021/06/03/398838-eoliennes-du-reve-aux-realites-a-voir-absolument
Dans le sillage de Stéphane Bern, la colère monte contre les éoliennes: «C’est une énergie totalement immorale» !
RépondreSupprimer22:01 02.06.2021
Ruineuses, nocives et peu efficaces… Une tribune de Stéphane Bern ainsi qu’un documentaire braquent les projecteurs sur les éoliennes. L’ex-député LR Bernard Carayon et Andréa Kotarac, candidat RN aux régionales, plaident pour un moratoire sur l’éolien afin de faire cesser une «escroquerie» qui n’a selon eux que trop duré.
Un palier dans la contestation aux éoliennes vient d’être franchi. Après la longue montée en puissance des mouvements de protestations dans les campagnes et sur les côtes françaises, le très médiatique Stéphane Bern reprend le flambeau.
Qui sème le vent récolte la tempête ? Le gouvernement veut des éoliennes, mais pourrait les payer aux élections
Dans une tribune publiée le 31 mai dans le Figaro, le chargé de la mission Patrimoine en péril mène une charge implacable contre une «supercherie» qui défigure autant les paysages qu’elle détruit la faune et la flore. Sans détour, le présentateur télé accuse Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, «d’écocide».
Face aux campagnes qui rugissent, Paris fait la sourde oreille
Au micro de Sputnik, le maire LR de Lavaur (Tarn), Bernard Carayon, n’y va pas de main morte lui non plus contre les aéromoteurs.
«Sur le principe, l’éolien terrestre, c’est le pire du capitalisme. C’est la concentration des bénéfices pour quelques exploitants et promoteurs. Et ce sont des nuisances pour tout le monde. C’est une énergie totalement immorale sur le plan de l’économie politique !»
Orgie de subventions, groupes de pression industriels et financiers, destruction d’emplois… le tout pour imposer un moyen de production électrique «opérationnel 21 % du temps en moyenne», en partie importé de Chine, non recyclable et qui nécessite des milliers de mètres cubes de béton armé pour être implanté jusqu’au cœur de zones naturelles protégées. «Un cadeau empoisonné laissé aux générations futures», ajoute celui qu’Emmanuel Macron a mandaté pour sauver le patrimoine tricolore.
L’animateur met le pouvoir en garde: les Français «ne pourront accepter longtemps ce diktat éolien qui brasse du vent et ancre dans nos sols un véritable mensonge», évoquant au passage Éoliennes: du rêve aux réalités (Documentaire et Vérité). Sorti le 1er juin, ce documentaire fait le tour de la question.
«L’immense majorité des ruraux refuse de voir leur environnement pollué par cette énergie inutile, coûteuse, non recyclable, dont les nuisances sont visuelles et sonores, qui ruine la valeur de leur maison, sans qu’ils ne puissent jamais rien dire», insiste Stéphane Bern.
En effet, la marge de manœuvre des autorités locales et les possibilités de recours des habitants ont été ratiboisées par décret (n° 2018-1054 du 29 novembre 2018) afin d’accélérer la couverture du territoire.
Hausse de la facture d’électricité: le poids des énergies renouvelables
RépondreSupprimerBarbara Pompili, ministre de la Transition écologique, défend bec et ongles la prolifération des éoliennes. L’objectif consiste à passer de 8.000 à près de 20.000 d’ici à 2028. Résultat: une invasion anarchique de «champs» d’éoliennes terrestres à travers tout l’Hexagone. La colère gronde dans les campagnes. Stéphane Bern voit dans cette «véritable calamité» le signe d’une fracture entre les mondes rural et urbain.
Tête de liste du Rassemblement national en Auvergne-Rhône-Alpes pour les régionales, Andréa Kotarac abonde dans ce sens.
«Vous avez ceux qui défendent l’environnement, qui sont localistes, qui sont patriotes, qui défendent leur patrimoine commun. Et puis vous avez les gagnants de la mondialisation, qui pensent écologie en pensant à leur trottinette pour se rendre à leur travail en open space», assène l’homme politique au micro de Sputnik,.
Pour lui, il faut «définitivement acter que l’éolien est une escroquerie». Le candidat RN n’omet pas de dénoncer l’impact sanitaire sur les humains et les animaux.
De qui raviver la fronde des Gilets jaunes, ce mouvement de révolte né après l’annonce de la hausse des taxes sur les carburants? Ces prélèvements affectent bien plus les foyers modestes habitant hors des agglomérations. Cerise sur le gâteau, ils financent le développement de turbines qui leur gâchent la vie.
Superprofits pour les promoteurs, flambée de la facture pour les Français
Bernard Carayon, aujourd’hui maire de Lavaur, dénonçait déjà il y a dix ans, à l’Assemblée nationale, le développement ruineux d’une «étrange filière énergétique qui fait peser sur les consommateurs les plus modestes les superprofits de riches promoteurs», sous couvert d’un «habile marketing». Une crainte depuis confortée par la Cour des comptes. L’élu LR rappelle ainsi les «errements» dénoncés par les sages de la rue Cambron. Sa comparaison avec la rentabilité du nucléaire est sans appel.
«90 milliards pour une filiale qui couvrira en 2028 à peu près 15% de la production électrique. Mais, pour le nucléaire, qui couvre 72% de notre production électrique, on a investi moins de 80 milliards.»
Nucléaire: l’échec allemand a-t-il enterré les illusions du Président de la République ?
Dans un rapport de mars 2018, le soutien public aux énergies renouvelables (éolien, photovoltaïque, biométhane) représentait 121 milliards d’euros au bénéfice des producteurs, rien que pour les contrats signés avant fin 2017 (ces contrats courant de 2018 à 2046).
L’annonce fin décembre, par RTE et Enedis, de l’investissement sur quinze ans de 100 milliards d’euros afin de renforcer le réseau face à l’essor des énergies renouvelables viendra plomber la facture d’électricité moyenne via la TURPE qui répercute les investissements des gestionnaires de réseaux sur le consommateur final. Une note qui a déjà augmenté de 50% ces dix dernières années! Voilà qui réduit un avantage compétitif historique de la France sur l’Allemagne, souligne Bernard Carayon.
«C’est une abomination, sans garantie d’une amélioration de notre compétitivité économique ou sociale. Les éoliennes ont une efficacité de l’ordre de 21 à 23%», s’emporte-t-il avant de rappeler que le nucléaire a fait de la production électrique française l’une des plus décarbonées d’Europe.
RépondreSupprimerL’ex-ministre de la Transition écologique, Élisabeth Borne, avait conscience de ce problème. Début 2020, elle dénonçait le «développement anarchique» des éoliennes, leur «covisibilité avec des monuments historiques» et des «situations d’encerclement» de bourgs. Celle qui lui a succédé rue de Grenelle n’a cure de ces arguments.
Tant à l’Assemblée que sur les plateaux télé, Barbara Pompili affirme, sondages à l’appui, que les Français plébiscitent les éoliennes. «Des proportions importantes de la population sont favorables à l’éolien», serinait-elle encore le 28 mai sur les ondes de BFM Business.
Pour Pompili, l’éolien est «une chance pour la France»
D’ailleurs, la sémillante écolo vient d’adresser un ultimatum aux préfets. Dans une circulaire publiée le 28 mai, le ministère leur donne six mois pour cartographier des «zones favorables» afin d’atteindre les objectifs de la Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE). L’ex-députée EELV fait profession de prôner un développement «plus harmonieux et mieux réparti» sur l’ensemble du pays.
«Madame Pompili est dans l’orthodoxie écologique. Je ne peux même pas dire qu’elle est sous la pression des lobbys tant elle est imprégnée de cette exigence d’affaiblir le nucléaire au profit des énergies alternatives», regrette Bernard Carayon.
Probables Black-out en France cet hiver, le résultat d’une «politique d’apprentis sorciers»
Et les choses s’accélèrent. Après l’annonce d’un huitième parc éolien sur le littoral français, fin avril, Barbara Pompili a annoncé le 25 mai la décision du gouvernement de créer un neuvième champ marin. «Une chance pour la France», plaide-t-elle dans une vidéo.
Pour Bernard Carayon et Andréa Kotarac, l’avenir énergétique doit se faire sans les éoliennes. «Il faut un moratoire sur l’éolien terrestre», affirme l’ancien député, et «développer l’éolien maritime hors de la ligne d’horizon». L’élu local et candidat aux régionales du Rassemblement national se montre quant à lui plus catégorique, «il faut l’interdire, sur le territoire national et à l’échelon européen.»
«EELV et Barbara Pompili font détester la défense de l’environnement, c’est ce qu’il y a de plus grave aujourd’hui», fulmine Andréa Kotarac.
La presse souligne le positionnement de Xavier Bertrand et de Marine Le Pen, en faveur de la tribune de Stéphane Bern. D’ailleurs, les deux candidats à la présidence de la République avaient déjà fait part de leur hostilité à l’encontre des éoliennes. Un enjeu sans doute appelé à prendre plus d’importance dans la perspective des prochaines échéances électorales…
https://www.titrespresse.com/20918942102/lr-stephane-bern-ruineuses-ex-depute-sillage-colere-eoliennes-energie-totalement-immorale-nocives
La Russie parie gros sur le charbon, le gaz, les combustibles fossiles et non sur les énergies renouvelables
RépondreSupprimerGarde nationale de Russie
June 3rd, 2021
L'Occident passe à une énergie peu fiable à la mode tandis que la Russie augmente sa production de charbon et de gaz.
La Russie construit un chemin de fer de dix milliards de dollars pour vendre du charbon à l'Asie, mais l'Australie construit une « batterie » de pansements hydroélectriques de dix milliards de dollars juste pour rendre l'énergie peu fiable un peu moins inutile.
La Russie est laissée pour compte sur les énergies renouvelables, et ils sont probablement ravis. Plus l'Occident se paralysera dans sa quête pour fabriquer des électrons verts scintillants qui arrêteront les tempêtes, plus les Russes s'enrichiront.
Avec les deuxièmes plus grandes réserves de charbon au monde, ils sont bien placés pour répondre à la demande croissante de l'Inde et de la Chine. En effet, si la Russie pouvait juste penser à un moyen d'empêcher les États-Unis et l'Australie de produire du charbon, ils pourraient accaparer le marché.
Si l'Intel russe ne verse pas d'honoraires aux militants du climat et aux enfants qui se plaignent, ils doivent avoir des pierres pour la cervelle. Mais comme ils paient apparemment des blogueurs français et allemands pour discréditer le vaccin Pfizer, ils font peut-être déjà partie des grands esprits derrière Greenpeace ?
Et s'ils finançaient des campagnes de désinformation climatique, quel média nous le dirait ?
h.t GWPF
- voir graphique sur site -
Réserves de charbon, graphique, EIA, pays, Australie, Russie, Inde, Chine, Allemagne, Pologne, Nouvelle-Zélande, Royaume-Uni, États-Unis.
Source EIE 2021
Donnez-moi une raison pour laquelle la Russie ne voudrait pas que l'Occident croit au « changement climatique » :
Comment battre l'Occident ? Poutine parie que l'Asie dépendra du charbon russe bon marché pour les décennies à venir
Bloomberg
Le gouvernement du président Vladimir Poutine dépense plus de 10 milliards de dollars pour la modernisation des chemins de fer qui contribueront à stimuler les exportations de ce produit. Les autorités utiliseront des prisonniers pour accélérer les travaux, ravivant ainsi une tradition vilipendée de l'ère soviétique.
Le projet de modernisation et d'extension des chemins de fer qui desservent les ports russes d'Extrême-Orient s'inscrit dans un effort plus large visant à faire du pays l'un des derniers pays en matière d'exportation de combustibles fossiles alors que d'autres pays passent à des alternatives plus vertes. Le gouvernement parie que la consommation de charbon continuera d'augmenter sur les grands marchés asiatiques comme la Chine alors même qu'elle se tarit ailleurs.
RépondreSupprimerLe dernier projet de 720 milliards de roubles (9,8 milliards de dollars) visant à étendre les deux plus longs chemins de fer de Russie - le Transsibérien de l'ère tsariste et la ligne principale soviétique Baïkal-Amour qui relient l'ouest de la Russie à l'océan Pacifique - visera à augmenter la capacité de chargement du charbon et d'autres marchandises. à 182 millions de tonnes par an d'ici 2024. La capacité a déjà plus que doublé pour atteindre 144 millions de tonnes dans le cadre d'un plan de modernisation de 520 milliards de roubles qui a débuté en 2013. Poutine a appelé à des progrès plus rapides pour la prochaine étape lors d'une réunion avec des mineurs de charbon en mars.
"La Russie essaie de monétiser ses réserves de charbon assez rapidement pour que le charbon contribue au PIB plutôt que de rester coincé dans le sol", a déclaré Madina Khrustaleva, analyste spécialisée dans la région pour TS Lombard à Londres.
La Russie produit plus de charbon que jamais. Bientôt, il dépassera l'Australie.
- voir graphique sur site -
Production de charbon russe, EIA, graphique, 2021
Regardez à quelle vitesse la part du gaz russe sur le marché mondial augmente :
La Russie est laissée pour compte dans la course mondiale aux énergies propres
Ces dernières années, le Kremlin a parié l'avenir économique et géopolitique du pays sur le gaz naturel, construisant de nouveaux gazoducs vers la Chine, la Turquie et l'Allemagne, tout en visant à prendre un quart du marché mondial du GNL, contre zéro en 2008 et environ 8% aujourd'hui. .
La Russie, la Chine et l'Inde savent que le charbon est l'avenir. Cela représente près de 120 personnes pour chaque Australien qui ne réduira pas sa consommation de charbon.
https://joannenova.com.au/2021/06/russia-bets-big-on-coal-gas-fossil-fuels-and-not-on-renewables/
Le "soleil artificiel" chinois établit un record du monde à 120 millions de degrés pendant 101 secondes
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 02 JUIN 2021 - 22:05
Rédigé par Elias Marat via TheMindUnleashed.com,
L'objectif de la Chine est de développer des sources d'énergie propres grâce à la technologie de fusion nucléaire de nouvelle génération.
Des chercheurs chinois ont atteint un nouveau record du monde après que des scientifiques ayant développé un « soleil artificiel » aient fait fonctionner l'appareil vendredi à une température record de 120 millions de degrés Celsius pendant plus de 100 secondes.
L'expérience a eu lieu à l'Institut de physique des plasmas de l'Académie chinoise des sciences (ASIPP) à Hefei, en Chine.
L'exercice fait partie des efforts de la Chine pour développer de nouvelles sources d'énergie propre grâce au développement de la technologie des réacteurs à fusion nucléaire de nouvelle génération.
Connu sous le nom de tokamak supraconducteur expérimental avancé (EAST), le « soleil artificiel chinois » a réussi à générer des températures de plasma de 120 millions de degrés Celsius pendant 101 secondes avant que les scientifiques ne réalisent également une température de 160 millions de degrés Celsius pendant 20 secondes supplémentaires.
L'objectif d'EAST est de créer une énergie semblable au Soleil à l'aide de deutérium, un isotope de l'hydrogène abondant dans l'océan et pouvant fournir un flux constant d'énergie propre. Selon les estimations, un litre d'eau de mer contient suffisamment de deutérium pour produire une énergie équivalente à 300 litres d'essence.
- voir clip sur site -
La Chine espère pouvoir remplacer les combustibles fossiles tels que le charbon, le pétrole et le gaz naturel par l'énergie de fusion afin d'atteindre la neutralité carbone et une société plus écologique.
« C’est une énorme réussite dans les domaines de la physique et de l’ingénierie en Chine. Le succès de l'expérience jette les bases de la construction par la Chine de sa propre centrale nucléaire de fusion », a déclaré le directeur de l'ASIPP, Song Yuntao, selon le Quotidien du Peuple.
Le soleil artificiel EAST fait également partie du réacteur expérimental thermonucléaire international, un effort conjoint de scientifiques mondiaux qui comprend la contribution de scientifiques de Chine, de l'Union européenne, d'Inde, du Japon, de Corée du Sud, de Russie et des États-Unis.
Les experts espèrent que si le développement se poursuit au rythme actuel, une fusion nucléaire réussie pourrait être réalisée d'ici trois décennies.
https://www.zerohedge.com/technology/chinas-artificial-sun-sets-world-record-running-120-million-degrees-101-seconds
Le réacteur de fusion nucléaire « Soleil artificiel » de la Chine établit un nouveau record du monde après avoir fonctionné à 216 MILLIONS °F pendant 100 secondes - alors que la nation se rapproche de son objectif de « puissance propre illimitée »
RépondreSupprimerPar Sam Tonkin
Courrier quotidien
3 juin 2021
Le réacteur à fusion nucléaire «soleil artificiel» de la Chine a établi un nouveau record du monde après avoir fonctionné à 216 millions de degrés Fahrenheit (120 millions de degrés Celsius) pendant 100 secondes, selon les médias officiels.
Il a également atteint un pic de température de 288 millions de °F (160 millions de °C) – plus de dix fois plus chaud que le soleil.
Les scientifiques chinois espèrent que le tokamak supraconducteur expérimental avancé (EAST) débloquera une puissante source d'énergie verte dans la quête de Pékin d'une "énergie propre illimitée".
L'appareil de pointe, qui a été allumé pour la première fois en décembre dernier, a battu son précédent record de maintien d'une température de plasma de 180 millions de °F (100 millions de °C) pendant 100 secondes.
Son prochain objectif pourrait être de fonctionner à une température constante pendant une semaine, selon Li Miao, directeur du département de physique de l'Université des sciences et technologies du Sud de Shenzhen.
"La percée est un progrès significatif, et l'objectif ultime devrait être de maintenir la température à un niveau stable pendant longtemps", a-t-il déclaré au journal d'État chinois Global Times.
La machine, le dispositif de recherche expérimentale sur la fusion nucléaire le plus grand et le plus avancé de Chine, utilise un puissant champ magnétique pour fusionner le plasma chaud.
Il est conçu pour reproduire le processus de fusion nucléaire qui se produit naturellement dans le soleil et les étoiles pour fournir une énergie propre presque infinie.
Situé dans la province chinoise de l'Anhui, dans l'est de la Chine, et achevé à la fin de l'année dernière, le réacteur est souvent appelé « soleil artificiel » en raison de l'énorme chaleur et de l'électricité qu'il produit.
Il est basé aux instituts de sciences physiques Hefei de l'Académie chinoise des sciences.
https://www.lewrockwell.com/2021/06/no_author/chinas-artificial-sun-nuclear-fusion-reactor-sets-a-new-world-record-after-running-at-216millionf-for-100-seconds-as-the-nation-inches-closer-to-its-goal-of-limitless-clean-power/#google_vignette
La fermeture de la centrale nucléaire de Diablo Canyon aggravera la pauvreté énergétique
RépondreSupprimerPar Ronald Stein
2 juin 2021
Le grand défi de la Californie n'est pas un moyen environnemental de remplacer sa dernière centrale nucléaire de Diablo Canyon, vouée à la fermeture en 2024, mais comment arrêter d'alimenter la croissance de la pauvreté et du sans-abrisme. Le plus gros problème qui prospérera à perpétuité est l'itinérance croissante causée par l'augmentation continue du coût de l'électricité pour les moins fortunés.
La Californie ayant déjà le coût de l'électricité et des carburants le plus élevé du pays, les classes aisées et moyennes ont plus de tolérance pour une énergie chère, mais la pauvreté tue et le fait que les législatures adoptent une législation rendant l'énergie plus chère pour les moins fortunés, entraînant une dépense régressive sur les moins fortunés qui aggraveront la pauvreté.
La Californie continue de faire des pas de géant vers la poursuite des objectifs climatiques ratés de l'Allemagne, ce qui devrait être un signal d'alarme pour les gouvernements du monde entier. L'Allemagne prévoit de fermer les six centrales nucléaires restantes d'ici la fin de 2022 et d'éliminer progressivement la production d'électricité au charbon d'ici 2038. L'énorme déficit d'électricité qui se pose de cette manière doit être comblé par une production d'électricité solaire et éolienne dépendante des conditions météorologiques. Puissance. c'est-à-dire, au mieux, de l'électricité intermittente. L'impact du coût élevé de l'électricité en Allemagne est tel que près de cinq millions d'Allemands n'ont pas pu payer leurs factures d'électricité en 2019.
Pour compléter les moyens de générer de l'électricité intermittente coûteuse, les politiciens américains recherchent désormais les moyens les plus coûteux de produire de l'électricité avec des éoliennes offshore sur les côtes est et ouest. Ce nouveau mouvement défie l'Energy Information Administration (EIA) des États-Unis qui a déjà documenté que l'éolien offshore continue d'être l'une des formes les plus chères de production d'électricité.
En plus de son coût élevé, la production en mer n'est peut-être pas dans le meilleur intérêt de la vie océanique, car le bruit et les vibrations des éoliennes en mer ont causé un certain nombre de décès de cétacés, gênant les systèmes de guidage et de communication du sonar des baleines : Wind Turbine Noise Terrorizing Whales
La fermeture de la seule centrale nucléaire à zéro émission de Californie à Diablo Canyon en 2024 sera un catalyseur pour accélérer la croissance des sans-abri, car les coûts élevés de l'électricité affectent le coût de tout dans notre vie quotidienne.
RépondreSupprimerÀ seulement trois ans de la mise hors tension de la centrale de Diablo, la Californie n'a pas l'intention de remplacer directement la plus grande source d'énergie de Californie, générant près de 6 % de l'électricité de l'État en 2019, le tout sans émissions.
À l'échelle nationale, l'Amérique compte 93 réacteurs nucléaires dans 28 États. Ils génèrent un cinquième, soit 20 % de l'électricité du pays, sans émission. La Californie a cependant choisi de fermer sa dernière centrale électrique à zéro émission malgré une décision du 25 avril 2019 de la Public Utility Commission (PUC) de l'État de Californie, approuvée à une écrasante majorité par la législature et signée par Brown, ordonnant aux régulateurs d'« éviter tout augmentation des émissions de gaz à effet de serre » à la suite de la fermeture de Diablo.
Dans le monde, en raison de la sécurité et de leur capacité à fournir de l'électricité sans interruption et sans émission, il y a aujourd'hui environ 440 réacteurs nucléaires en exploitation dans 32 pays à travers le monde et 50 autres en construction. Une capacité supplémentaire considérable est en train d'être créée par la modernisation de l'usine des réacteurs existants.
De plus, il y a 160 navires à propulsion nucléaire qui ont accumulé 12 000 années-réacteurs d'exploitation marine « sûre ».
La Californie a atteint le record douteux d'avoir le système d'alimentation électrique le moins fiable du pays. Entre 2008 et 2017, la Californie était le principal État américain pour les pannes de courant individuelles avec près de 4 297 pannes d'électricité au cours de la période de dix ans, soit plus de 2,5 fois plus que son rival le plus proche, le Texas. Les pannes de courant sont désormais monnaie courante en Californie.
L'État de Californie n'a pas été en mesure de générer suffisamment d'électricité dans l'État et doit importer de l'électricité coûteuse des États voisins. Le gouverneur est fier que la Californie, grâce à ses politiques énergétiques dysfonctionnelles, importe plus d'électricité (32 %) que tout autre État du nord-ouest et du sud-ouest, car l'État est incapable de produire suffisamment d'électricité dans l'État. Combien d'électricité est-elle en plus importable des États voisins ?
À ce jour, les énergies renouvelables se sont avérées un échec dans le remplacement des centrales nucléaires et au gaz naturel fiables qui ont été et sont continuellement fermées.
Les coûts énergétiques exorbitants rendent la reprise économique de la Californie après la pandémie encore plus difficile pour les 18 millions (45 % des 40 millions de Californiens) qui représentent les populations hispaniques et afro-américaines de l'État, et les plus de deux millions d'immigrants sans papiers.
Les coûts de l'électricité ont monté en flèche, infligeant plus de coûts énergétiques aux moins fortunés en tant que dépense régressive indésirable. Le revenu médian des ménages latinos en 2016 était de 56 200 $, 55 200 $ pour les ménages afro-américains et 96 400 $ pour les ménages blancs. Selon plusieurs études, jusqu'à 40 pour cent de tous les Californiens ne peuvent pas régulièrement faire face aux dépenses mensuelles de base.
Le rapport de l'Energy Information Agency (EIA) montre que les politiques californiennes en matière d'électricité ont contribué à ce que les utilisateurs domestiques paient 50 % de plus, et les utilisateurs industriels paient plus de 100 % de plus que la moyenne nationale pour l'électricité. Seul Hawaï a des taux plus élevés. Que fait-on pour renverser le coût de l'électricité?
RépondreSupprimerL'électricité « propre » d'ici 2035 fait face à deux obstacles majeurs : 1) le coût de milliers de milliards de dollars pour dynamiser l'économie de l'énergie propre afin qu'elle repose uniquement sur de l'électricité « propre » d'ici 2035, et 2) la résistance des NIMBY qui réussissent à stopper ceux qui sont bruyants et esthétiques. parcs éoliens odieux de produire leur électricité intermittente. Combien de terrain faut-il pour l'électricité intermittente ?
Le gouverneur Newsom continue de perpétuer les politiques énergétiques dysfonctionnelles de l'État et continue de faire tout son possible pour AUGMENTER encore les coûts de l'électricité pour ses 40 millions d'habitants, ce qui n'augure rien de bon pour la moitié inférieure qui gagne moins de 20 $ l'heure.
Alors que le gouverneur Newsom fait face à une élection de rappel, il continue de ne rien faire pour RÉDUIRE les coûts d'électricité pour les résidents de l'État qui peuvent le moins se permettre une énergie plus chère. Pour guérir la « blessure » qui cause l'augmentation du sans-abrisme et de la pauvreté, Newsom doit DIMINUER le coût de l'électricité qui profitera à la société à perpétuité, et non l'augmenter continuellement.
Featured image Tracey Adams, Creative Commons 2.0
https://www.cfact.org/2021/06/02/diablo-canyon-nuclear-plant-closure-will-escalate-energy-poverty/
L'Inde délaisse l'agriculture biologique et atteint une production agricole record
RépondreSupprimerPar Vijay Raj Jayaraj
2 juin 2021
Quand il y a 1,3 milliard de personnes à nourrir, personne ne perdrait son temps avec des méthodes primitives qui se sont avérées entraîner une perte de temps, d'énergie et d'investissement.
Avec environ 1,3 milliard de bouches affamées à nourrir dans leurs pays respectifs, l'Inde et la Chine ont veillé à aller de l'avant avec des politiques agricoles garantissant une croissance soutenue.
Les deux géants asiatiques tiennent à maximiser les avancées les plus récentes en matière de technologie agricole. L'Inde, en particulier, a connu une séquence de production agricole record.
Ici, nous jetons un coup d'œil à la façon dont un pays en développement avec une économie en difficulté a réussi à remporter un énorme succès agricole.
Production record de cultures vivrières ? Bien sûr, chaque année !
L'Inde est le deuxième producteur mondial de riz, de blé, de canne à sucre, d'arachide, de légumes, de fruits et de coton. La demande croissante de céréales, de fruits, de légumes et de produits alimentaires crus peut être attribuée à la population croissante et à un plus grand nombre de personnes – maintenant au-dessus du seuil de pauvreté – qui sont en mesure de les acheter.
La situation de l'Inde exige qu'elle produise de plus en plus de récoltes chaque année, pour répondre à la demande toujours croissante. Le système agricole du pays a donné la même chose.
Les trois dernières années ont été marquées par une croissance record de la production vivrière. Au cours de l'année agricole/financière 2020-2021, la production de céréales vivrières de l'Inde devrait augmenter de 2,66 % pour atteindre un record historique de 305 millions de tonnes.
La production était excédentaire et l'Inde a exporté une quantité record de riz et de blé vers d'autres pays. Les rapports montrent que les exportations de riz en 2020 ont atteint un sommet historique de 13 millions de tonnes et un sommet de 5 ans de 2 millions de tonnes pour le blé.
En raison de la pandémie, le gouvernement a décidé d'assurer un approvisionnement alimentaire continu aux personnes vulnérables du pays. Le pays a mis à disposition 92 millions de tonnes de riz et de blé à un taux subventionné de moins d'un cent (0,06 $ US) pour 800 000 000 millions de personnes éligibles. Cela équivaut à fournir gratuitement du riz et du blé à la population américaine pendant deux ans. Les médias indiens le qualifient de « remarquable histoire de production excédentaire et de stocks dans les entrepôts publics ».
Mais comment l'Inde a-t-elle réussi à arriver à ce stade, où elle peut produire des excédents, fournir des rations à plus d'un demi-milliard de personnes gratuitement et malgré tout réussir à exporter une quantité record de cultures vivrières ?
Le secret de l'excédent alimentaire : Gardez l'agriculture biologique à distance
La raison fondamentale du succès agricole de l'Inde est sa politique agricole visant à encourager les agriculteurs à utiliser des engrais, des pesticides et la mise en œuvre de technologies agricoles modernes pour les semis, la récolte et l'irrigation. L'Inde est un grand utilisateur de système d'irrigation goutte à goutte qui permet un arrosage contrôlé, évitant ainsi le gaspillage d'eau et le risque de manquer d'eau pendant les mois d'été.
Le facteur le plus important cependant sont les activateurs de croissance. Les cultures vivrières ont besoin d'engrais et certaines de ces cultures ont également besoin de pesticides, d'herbicides et d'insecticides. Sans ceux-ci, il est peu probable que les cultures puissent contribuer au revenu de l'agriculteur. L'utilisation d'amplificateurs augmente le rendement, ainsi que les revenus des agriculteurs et assure la sécurité alimentaire du pays.
RépondreSupprimerLa Chine, premier producteur mondial de riz, et le Japon utilisent 5 à 8 fois plus d'engrais que les agriculteurs indiens. Les scientifiques disent que les conditions environnementales en Inde, avec une température plus élevée et un type de sol différent, ne l'obligent pas à utiliser autant d'engrais que la Chine et le Japon.
Cependant, il n'est pas facile pour les agriculteurs du pays de se procurer ces activateurs de croissance des plantes. Plus de 75 % des agriculteurs du pays possèdent moins de 2 hectares de terres et nombre d'entre eux sont pauvres. L'Inde a pour mission constante de rendre ses agriculteurs plus stables économiquement.
C'est l'une des raisons pour lesquelles ils ont fortement subventionné les prix des engrais comme l'urée et le DAP, deux des engrais les plus courants sur le marché indien. En fait, la subvention pour le DAP a été augmentée jusqu'à 140 % le mois dernier, afin d'annuler la hausse des prix internationaux des engrais. Cela permet aux agriculteurs de continuer à utiliser des engrais.
Bien que la popularité de l'agriculture biologique gagne du terrain, il est peu probable qu'elle soit utilisée à la fois par les agriculteurs financièrement instables et les agriculteurs qui produisent des cultures à grande échelle. Même ceux qui expérimentent le bio ne pourront pas le maintenir longtemps, sans faire face à des pertes financières et à une récolte réduite. Le passage à l'agriculture biologique ne mettra pas seulement en péril la sécurité alimentaire de 4 milliards de personnes, mais enverra également plus d'un milliard de personnes dans la pauvreté immédiate dans des pays comme l'Inde et la Chine.
Cependant, les risques de l'agriculture biologique et la raison du succès agricole de l'Inde et de la Chine sont largement ignorés par les médias grand public, les écologistes radicaux et les partisans du bio. Ils continuent à perpétuer la perception que l'agriculture biologique est bonne et qu'elle sauvera la terre.
La vérité sur les stimulateurs de croissance et le miracle qu'ils opèrent dans certaines des régions les plus pauvres du monde doivent être révélés au public. Ces activateurs de croissance—engrais, pesticides, etc.—sont une bouée de sauvetage pour la culture, les agriculteurs et des milliards de moyens de subsistance.
https://www.cfact.org/2021/06/02/india-shuns-organic-farming-achieves-record-crop-production/
Ce sont les 25 milliardaires millénaires les plus riches du monde
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 02 JUIN 2021 - 23:45
Il y a 2 755 milliardaires dans le monde - et combinés, ils valent plus de 13 000 milliards de dollars.
Parmi ces individus ultra riches, Avery Koop de Visual Capitalist note qu'un peu plus de 100 sont des milléniaux, nés entre 1981 et 1996. Cette jeune génération représente environ 3,8% de tous les milliardaires dans le monde avec une valeur nette combinée de 573,1 milliards de dollars.
Cette visualisation, utilisant les données de Forbes, classe les 25 milliardaires les plus riches du millénaire et détaille leur source de richesse, leur valeur nette totale, leur nationalité et leur âge.
- voir cadre sur site -
Remarque : Forbes a classé les milliardaires par âge actuel (2021). Pour les personnes légèrement au-dessus ou en dessous de la tranche d'âge des Millennials, c'est-à-dire celles qui ont actuellement 24 ou 40 ans (c'est-à-dire qu'elles auraient pu être nées en 1996/1997 ou en 1980/1981), si leur année de naissance ne pouvait pas être déterminée avec précision, ils ont été exclus de ce classement.
Qui sont les milliardaires du millénaire ?
Les milléniaux les plus âgés auront 40 ans en 2021, tandis que les plus jeunes n'en auront que 25. Cela signifie que les milliardaires du millénaire sont généralement les plus jeunes milliardaires du monde, à l'exception de deux Gen Zers : Wang Zelong de Chine, 24 ans, et Kevin David Lehmann d'Allemagne , 18.
Les États-Unis abritent les milliardaires les plus millénaires avec 33 au total, la Chine arrivant en deuxième position avec 23 – la plupart des autres pays sont loin derrière.
Aux États-Unis, les milliardaires du millénaire sont souvent associés à des entreprises technologiques notables comme Snapchat, Airbnb et Facebook. D'autres sont les héritiers d'immenses fortunes familiales comme Lukas Walton, petit-fils de Sam Walton, fondateur de Walmart et premier chef de la famille la plus riche d'Amérique.
En Chine, certains milliardaires millénaires se démarquent vraiment, comme la fondatrice de Relx, Kate Wang. La femme de 39 ans a lancé son entreprise de cigarettes électroniques et de vape il y a seulement trois ans, à l'âge de 36 ans, et devrait bientôt se battre pour le titre de femme la plus riche de Chine.
Croissance milliardaire
Dans l'ensemble, les milliardaires ont augmenté leur valeur nette combinée de 8 000 milliards de dollars par rapport à 2020, avec environ 493 nouvelles personnes ajoutées à la liste en 2021.
En fait, 86 % de tous les milliardaires sont plus riches qu'il y a un an. Mais regardons comment la richesse a changé pour les millennials dans le club des milliardaires. Voici un aperçu de la différence de valeur nette de 2020 à 2021 pour les cinq millenials les plus riches :
Mark Zuckerberg : +35 milliards de dollars
Zhang Yiming : +19,4 milliards de dollars
Yang Huiyan : +9,3 milliards de dollars
Dustin Moskovitz : +8,5 milliards de dollars
Su Hua : +14,9 milliards de dollars
Pour chacun des 25 premiers milliardaires du millénaire, la valeur nette a augmenté ou est restée inchangée (ou ils étaient nouveaux dans le titre de milliardaire). Cela est vrai pour tous sauf une personne – Lukas Walton, dont la valeur nette a diminué de près de 3 milliards de dollars de 2020 à 2021.
Le millénaire moyen
Bien qu'il y ait environ 106 milliardaires millénaires dans le monde, leur valeur nette combinée ne représente qu'une fraction de la richesse totale des milliardaires. Alors, quel pouvoir économique et quelle influence cette génération détient-elle vraiment ?
En examinant la richesse du millénaire américain moyen, le Generational Power Index a déterminé que cette jeune génération ne détient que 9,6 % du pouvoir économique aux États-Unis. Voici un aperçu des mesures de la richesse du millénaire aux États-Unis :
RépondreSupprimerLes millennials ne représentent que 7% des chefs d'entreprise américains
Ils possèdent 73 milliards de dollars d'actions et d'actions de fonds communs de placement
Ils représentent 13 % des dirigeants de petites entreprises
Ils représentent 7% de la richesse des milliardaires américains
Dans le monde, on estime à 1,8 milliard le nombre de millennials. Parmi cette cohorte, il y a un peu plus de 100 personnes valant des milliards - et étant donné que beaucoup sont encore au début de leur carrière, il y aura probablement encore de nombreux milliardaires millénaires à venir.
https://www.zerohedge.com/personal-finance/these-are-worlds-25-richest-millennial-billionaires
« La protéine Spike est toxique et dangereuse pour l'homme » - Pr Bridle, spécialiste des vaccins
RépondreSupprimerFranceSoir
Sott.net
mer., 02 juin 2021 18:07 UTC
"Nous avons fait une erreur". Dans une interview récente avec la journaliste Alex Pierson, le professeur Byram Bridle, spécialiste en immunologie virale, déclare que ces nouvelles recherches et travaux l'ont mené à faire des découvertes importantes sur le virus et en particulier la protéine Spike. Cette protéine est celle qui a fait l'objet de nombreux travaux notamment sur les vaccins à ARN messagers. Dans le cadre de son interview, le professeur Bridle prend les devants pour expliquer les éléments de sa découverte ainsi que les conséquences notamment pour la vaccination en cours...
Nous avons fait une erreur. La protéine Spike est elle-même toxique et dangereuse pour l'homme déclare le Pr Bridle.
Byram Bridle, canadien, est un immunologiste viral passionné par l'amélioration de la vie grâce à deux voies de recherche (1) la conception et à l'optimisation de nouvelles biothérapies pour le traitement des cancers et (2) sur l'étude des réponses de l'hôte aux virus et autres stimuli inflammatoires.
Il est donc tout à fait normal que dans le cadre de ses travaux, il se soit penché sur le coronavirus et il déclare :
« Jusqu'à récemment, nous n'avions jamais pensé que les protéines Spike pouvaient être toxiques ! Les vaccins ARNm qui ont été testés pour la première fois sur des animaux et dont les études n'ont jamais été rendues publiques, montrent que les nanoparticules d'ARNm ne restent pas localement au site de ponction dans le tissu musculaire, comme supposé et revendiqué par les fabricants, mais vont dans les organes à des concentrations parfois dramatiques, où ils sont transférés de cellules en cellules et absorbés en continu. »
Les chercheurs du groupe du Pr Bridle ont donc découvert que la protéine Spike du vaccin est une toxine et crée des dommages cardio-vasculaires (le coronavirus a une protéine Spike qui permet d'entrer dans le corps). On croyait que l'injection dans l'épaule restait localisée. Mais une étude a observé où va la protéine après : dans le sang, s'accumule dans le foie, les ovaires. C'est pourquoi on l'utilise en thérapie génique vaccinale, on la fabrique, notre système la détecte et se défend contre elle, en théorie.
En pratique, on a découvert que la protéine pose problème : 13 jeunes ont reçu la thérapie génique Moderna et on a observé que la protéine Spike est passée dans leur sang chez 11 des 13 jeunes. En passant dans le sang, elle peut se lier aux récepteurs de nos plaquettes pouvant provoquer coagulation, caillots, problème neurologique. Ce qui explique tous les effets secondaires graves que l'on a pu observer (thromboses et autres caillots).
Ses travaux le mènent à conclure :
« Nous avons fait une erreur. La protéine Spike est elle-même toxique et dangereuse pour l'homme. Il est même transmis par le lait maternel aux enfants allaités". »
La vidéo de l'interview avec les sous-titres : [sous-titrage en français par ivermectine-covid.ch]
- voir sur site -
RépondreSupprimerL'étude est publiée et en cours d'évaluation par les pairs. La voici : étude (PDF)
En réaction à cette recherche, le Professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine déclare :
Au nom du principe de précaution: Il faut arrêter immédiatement toutes vaccinations Covid-19 utilisant la protéine Spike.
Un article du site LifeSiteNews a documenté cela en détail, traduit ci-après [traduction revue et corrigée par SOTT - NdE] :
Une nouvelle étude terrifiante montre que la protéine Spike du vaccin COVID-19 pénètre de manière inattendue dans la circulation sanguine, ce qui est une explication plausible aux milliers d'effets secondaires signalés de caillots sanguins, de maladies cardiaques, de lésions cérébrales et de problèmes de reproduction, a déclaré la semaine dernière un chercheur canadien sur les vaccins contre le cancer.
Bridle, chercheur en vaccins ayant reçu une subvention gouvernementale de 230000 dollars en 2020 pour la recherche sur les vaccins COVID, a déclaré que son groupe de scientifiques internationaux avaient déposé une demande d'informations auprès de l'agence de réglementation japonaise [équivalent de l'ANSM en France et de la FDA aux États-Unis - NdE] pour avoir accès à ce qu'on appelle l '« étude sur la biodistribution ».
« C'est la toute première fois que des scientifiques découvrent où vont ces vaccins à ARN messager [ARNm] après la vaccination », a déclaré Bridle. « L'hypothèse selon laquelle [la protéine Spike] resterait dans le muscle de l'épaule est-elle sûre ? Pour faire court, la réponse est : absolument pas. C'est très déconcertant. »
Les chercheurs sur les vaccins avaient avancé l'hypothèse que les nouveaux vaccins à ARNm COVID se comportaient comme des vaccins « traditionnels » et que la protéine Spike du vaccin - responsable de l'infection et de ses symptômes les plus graves - resterait principalement sur le site de vaccination, au niveau du muscle de l'épaule. Au lieu de cela, les données japonaises ont montré que la tristement célèbre protéine Spike du coronavirus pénètre dans le sang, où elle circule pendant plusieurs jours après la vaccination, puis s'accumule dans les organes et les tissus, y compris la rate, la moelle osseuse, le foie, les glandes surrénales, et dans des concentrations assez élevées dans les ovaires.
« Nous savons depuis longtemps que la protéine Spike est une protéine pathogène. C'est une toxine. Elle peut causer des dommages à notre corps si elle passe dans la circulation », a déclaré Bridle.
La protéine Spike du SRAS-CoV-2 est ce qui lui permet d'infecter les cellules humaines. Les fabricants de vaccins ont choisi de cibler la protéine unique, permettant aux cellules de la personne vaccinée de fabriquer la protéine, ce qui, en théorie, provoquerait alors une réponse immunitaire à la protéine, l'empêchant d'infecter les cellules.
Un grand nombre d'études ont montré que les effets les plus graves du SRAS-CoV-2 (le virus responsable du COVID-19), tels que les caillots sanguins et les saignements, sont dus aux effets mêmes de la protéine Spike du virus.
« Ce qui a été découvert par la communauté scientifique, c'est que la protéine Spike à elle seule est presque entièrement responsable des dommages sur le système cardiovasculaire si elle passe dans la circulation », a déclaré Bridle aux auditeurs [lors de son interview à la radio].
RépondreSupprimerDes animaux de laboratoire à qui l'on avait injecté de la protéine Spike purifiée dans la circulation sanguine ont développé des problèmes cardiovasculaires, et il a également été démontré que la protéine Spike traversait la barrière hémato-encéphalique et causait des dommages au cerveau.
Une grave erreur, selon Bridle, a été de croire que la protéine Spike ne serait pas libérée dans la circulation sanguine. « Maintenant, nous avons des preuves claires que les vaccins qui déclenchent la production de cette protéine par les cellules de nos muscles deltoïdes - que le vaccin lui-même, plus la protéine - entrent dans la circulation sanguine », a-t-il déclaré.
Bridle a cité l'étude récente qui a détecté la protéine SARS-CoV-2 dans le plasma sanguin de 11 des 13 jeunes professionnels de santé qui avaient reçu le vaccin COVID-19 de Moderna. Trois d'entre eux présentaient des niveaux détectables de protéine Spike. Une protéine « sous-unité » appelée S1, faisant partie de la protéine Spike, a également été détectée. La protéine Spike a été détectée en moyenne 15 jours après la première injection. Chez un patient, la protéine Spike était détectable à J+29, le lendemain de la deuxième injection, et avait disparu deux jours plus tard.
Effets sur le cœur et le cerveau
Une fois dans la circulation sanguine, la protéine Spike peut se fixer à des récepteurs ACE2 spécifiques qui se trouvent sur les plaquettes sanguines et les cellules qui tapissent les vaisseaux sanguins. « Lorsque cela se produit, cela peut avoir deux conséquences : l'agglutination des plaquettes, ce qui peut causer des caillots sanguins. C'est précisément la raison pour laquelle nous avons constaté des troubles de la coagulation associés à ces vaccins. La deuxième conséquence sont les hémorragies. » Bridle a également déclaré que la protéine Spike circulant dans le sang expliquerait les problèmes cardiaques récemment signalés chez des jeunes ayant reçu le vaccin.
« Les résultats de cette étude Pfizer "fuitée" qui a retracé la biodistribution de l'ARNm du vaccin ne sont pas surprenants, mais les implications sont terrifiantes », a déclaré Stephanie Seneff, chercheuse en chef au Massachusetts Institute of Technology, à LifeSiteNews. Il est maintenant clair que le contenu du vaccin est administré à la rate et aux glandes, y compris aux ovaires et aux glandes surrénales. « La protéine Spike libérée est rejetée dans le milieu, puis finit par atteindre la circulation sanguine, causant des dommages systémiques. Les récepteurs ACE2 sont communs dans le cœur et le cerveau, et c'est ainsi que la protéine Spike provoque des problèmes cardiovasculaires et cognitifs », a déclaré Seneff.
Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont récemment annoncé qu'ils étudiaient des signalement de maladies cardiaques « bénignes » suite à une vaccination COVID-19 ; la semaine dernière, 18 adolescents dans l'État du Connecticut ont été hospitalisés pour des problèmes cardiaques qui se sont développés peu de temps après avoir reçu des vaccins contre le Covid-19.
Le vaccin d'AstraZeneca a été interrompu dans un certain nombre de pays et n'est plus recommandé pour les jeunes en raison de son lien avec des caillots sanguins potentiellement - et effectivement - mortels, mais les vaccins COVID à ARNm sont également liés à des centaines de signalements d'événements de caillots sanguins.
RépondreSupprimerLa FDA a mis en garde contre les dangers de la protéine Spike
Le rhumatologue pédiatrique J.Patrick Whelan avait averti un comité consultatif sur les vaccins de la Food and Drug Administration de la possibilité que la protéine Spike dans les vaccins COVID puisse causer des dommages microvasculaires entraînant des dommages au foie, au cœur et au cerveau « de manières qui n'ont pas été évaluées lors des tests d'innocuité. »
Alors que Whelan n'a pas contesté la valeur d'un vaccin contre le coronavirus qui contribuerait à stopper la transmission de la maladie (ce qu'aucun vaccin COVID en circulation n'a démontré), il a déclaré : ce serait bien pire si des millions de personnes devaient souffrir de dommages durables ou même permanents au niveau de leur microvascularisation cérébrale ou cardiaque en raison de l'incapacité à évaluer à court terme un effet involontaire des vaccins à base de protéines Spike complètes sur d'autres organes. »
La protéine Spike associée au vaccin dans la circulation sanguine pourrait expliquer une myriade d'événements indésirables signalés liés aux vaccins COVID, y compris les 4000 décès à ce jour et près de 15000 hospitalisations, signalés au système de notification des événements indésirables des vaccins (VAERS) du gouvernement américain à la date du 21 mai 2021. Puisqu'il s'agit d'un système de signalement passif, ces rapports ne sont probablement que la pointe de l'iceberg des événements indésirables, car une étude de Harvard Pilgrim Healthcare a révélé que moins d'un pour cent des effets secondaires que les médecins devraient signaler chez les patients après la vaccination sont effectivement rapportés à VAERS.
Bébés allaités, enfants, adolescents et personnes fragiles sont les plus à risque
Bridle a déclaré que la découverte de la protéine Spike induite par le vaccin dans la circulation sanguine aurait des implications pour les programmes de don du sang. « Nous ne voulons pas de transfert de ces protéines Spike pathogènes à des patients fragiles qui sont transfusés avec ce sang », a-t-il déclaré.
Ce spécialiste des vaccins a également déclaré que les résultats suggéraient que les bébés allaités dont les mères avaient été vaccinées risquaient d'absorber des protéines Spike COVID provenant du lait maternel.
Bridle a ajouté que « toutes les protéines sanguines se concentrent dans le lait maternel » et « nous avons trouvé des preuves de nourrissons allaités souffrant de troubles de la coagulation dans le tractus gastro-intestinal » dans VAERS.
Bien que Bridle ne l'ait pas cité, un rapport VAERS décrit un nourrisson de cinq mois allaité dont la mère a reçu une deuxième dose du vaccin Pfizer en mars. Le lendemain, le bébé a développé une éruption cutanée et est devenu inconsolable, a refusé de téter et a développé une fièvre. Le rapport indique que le bébé a été hospitalisé avec un diagnostic de purpura thrombocytopénique thrombotique , une maladie sanguine rare dans laquelle des caillots sanguins se forment dans de petits vaisseaux sanguins dans tout le corps. Le bébé est décédé.
RépondreSupprimerCes nouvelles recherches révèlent également de graves implications pour les personnes pour qui le SRAS Coronavirus 2 n'est pas un agent pathogène à haut risque, et cela comprend tous nos enfants.
Effet sur la fertilité et la grossesse ?
La forte concentration de protéines Spike trouvée dans les testicules et les ovaires dans les données secrètes de Pfizer publiées par l'agence japonaise soulève également des questions. « Allons-nous rendre les jeunes stériles ? », demande Bridle.
Il existe des milliers de signalements de troubles menstruels chez des femmes qui avaient reçu un vaccin COVID-19, et des centaines de signalements de fausses couches chez des femmes enceintes vaccinées, et de troubles des organes reproducteurs chez les hommes.
Violente campagne de dénigrement
En réponse à une requête, Bridle a envoyé un communiqué à LifeSiteNews lundi matin, affirmant que depuis son interview radio, il avait reçu des centaines de courriels positifs. Il a également ajouté : « une violente campagne de dénigrement a été lancée contre moi. Cela comprenait la création d'un site Web diffamatoire utilisant mon nom de domaine. »
« Cette époque est telle qu'un universitaire ne peut plus répondre aux questions légitimes des gens avec honnêteté et en se fondant sur la science sans craindre d'être harcelé et intimidé », écrit Brindle. « Cependant, il n'est pas dans ma nature de permettre que des faits scientifiques soient cachés au public.»
Il a joint un bref rapport décrivant les principales preuves scientifiques à l'appui de ce qu'il a déclaré lors de son interview. Ce rapport a été rédigé en collaboration avec ses collègues de la Canadian COVID Care Alliance (CCCA) - un groupe de médecins, scientifiques et professionnels canadiens indépendants dont le but déclaré est de « fournir des informations factuelles de qualité supérieure sur le COVID-19, dans le but de réduire les hospitalisations et de sauver plus de vies. »
Un point central de son communiqué était les risques pour les enfants et les adolescents, qui sont la cible des dernières stratégies de marketing vaccinal, y compris au Canada.
Au 28 mai 2021, on comptait 259 308 cas confirmés d'infection par le SRAS-CoV-2 chez les Canadiens de 19 ans et moins. Parmi ceux-ci, 0,048% ont été hospitalisés, mais seulement 0,004% sont décédés, selon le communiqué de la CCCA. « La grippe saisonnière est associée à une maladie plus grave que le Covid-19. »
Compte tenu du petit nombre de sujets de recherche jeunes dans les essais de vaccins de Pfizer et de la durée limitée des essais cliniques, la CCCA a déclaré que les questions concernant la protéine Spike et une autre protéine du vaccin doivent trouver une réponse avant que les enfants et les adolescents ne soient vaccinés, y compris la question de savoir si la protéine Spike du vaccin traverse le barrière hémato-encéphalique, si elle interfère avec la production de sperme ou l'ovulation, si elle traverse le placenta et affecte un bébé en développement, ou si elle se trouve dans le lait maternel.
RépondreSupprimerLifeSiteNews a envoyé à l'Agence de la santé publique du Canada la déclaration de la CCCA et a demandé des réponses concernant les inquiétudes de Bridle. L'agence a répondu qu'elle travaillait sur ces questions, mais n'a pas envoyé de réponses avant la date de publication.
Pfizer, Moderna et Johnson & Johnson n'ont pas répondu aux questions soulevées par Bridle. Pfizer n'a pas répondu aux questions permettant de déterminer depuis combien de temps la société était au courant des données de recherche publiées par l'agence japonaise et montrant la présence de la protéine Spike dans les organes et les tissus des individus vaccinés.
À propos du Dr Bridle
Sur son site internet, le Dr Bridle est présenté comme un immunologiste virologue passionné par l'amélioration de la vie grâce à deux voies de recherche. Un des volets de son programme de recherche est dédié à la conception et à l'optimisation de nouvelles biothérapies pour le traitement des cancers. Le but de son équipe de recherche est d'exploiter la puissance naturelle du système immunitaire d'un patient pour éliminer ses propres cellules cancéreuses. Cela représente la thérapie personnalisée ultime et détient le potentiel de traiter les cancers plus efficacement, en toute sécurité et à moindre coût que les options actuelles. Le deuxième volet de son programme de recherche se concentre sur l'étude des réponses de l'hôte aux virus et autres stimuli inflammatoires. Cela a des implications pour le traitement des maladies infectieuses et des troubles induits par l'inflammation. Ces deux programmes ont été unifiés de manière unique. Le laboratoire Bridle exploite son expertise dans la fabrication de vaccins anticancéreux puissants et combine cela avec son intérêt pour l'immunité antivirale pour développer des vaccins pour se protéger contre les maladies infectieuses telles que celles causées par des coronavirus hautement pathogènes. Le mentorat de la prochaine génération de scientifiques canadiens est une responsabilité que le Dr Bridle prend très au sérieux. Il considère également comme un privilège d'enseigner aux étudiants des programmes de doctorat en médecine vétérinaire, des cycles supérieurs et du premier cycle de l'Université de Guelph.
Centre d'intérêts de recherche du laboratoire
Le programme de recherche du laboratoire Bridle comporte deux volets :
Le premier consiste à développer de nouvelles biothérapies hautement ciblées pour le traitement des cancers. Dans un effort pour tuer les cellules malignes avec un minimum de dommages des spectateurs aux tissus normaux, deux approches sont combinées: (a) l'immunothérapie anticancéreuse qui dirige le pouvoir du système immunitaire d'un patient contre sa ou ses propres tumeurs et (b) la virothérapie oncolytique, qui utilise des virus qui se répliquent et ne tuent que les cellules cancéreuses. La spécificité, la capacité de ciblage systémique et les fenêtres de traitement courtes de ces thérapies promettent que les patients cancéreux pourraient être traités efficacement avec des effets secondaires réduits et à un coût minime. L'objectif est de traduire les itérations les plus prometteuses de ces thérapies en essais cliniques chez les animaux de compagnie comme tremplin vers des tests sur des patients humains.
L'étude des réponses de l'hôte aux virus est un deuxième objectif du laboratoire. Un domaine d'intérêt est le développement d'une meilleure compréhension des mécanismes sous-jacents aux tempêtes de cytokines induites par les virus. L'équipe de recherche du Dr Bridle a identifié un rôle essentiel de la signalisation par le récepteur de l'interféron de type I dans la régulation négative d'un vaste réseau de cytokines. Les réponses des cytokines aux virus sont souvent très différentes entre les femmes et les hommes et le groupe de laboratoire Bridle cherche à comprendre pourquoi. À l'intersection de ces deux programmes, se trouve une initiative de recherche visant à modifier les plateformes optimisées de vaccination contre le cancer de l'équipe de recherche pour cibler le coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoC) -2, qui est l'agent causal de la maladie à coronavirus identifié à la fin de 2019 (COVID-19).
RépondreSupprimerFinancement de la recherche :
Le laboratoire Bridle est ou a été financé par Instituts de recherche en santé du Canada, Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG), Institut de recherche Terry Fox, Société canadienne du cancer, Société de recherche sur le cancer, Fondation canadienne du cancer du sein, Fonds de recherche rapide COVID-19 de l'Ontario, Université de Guelph / Collège vétérinaire de l'Ontario / Département de pathobiologie Financement de démarrage COVID-19, Centre national d'excellence en biothérapies pour le traitement du cancer (BioCanRx), OVC Pet Trust, Le Fonds de lutte contre le cancer du ciel bleu souriant, Fondation canadienne pour l'innovation - Fonds des leaders John R. Evans, Fondation canadienne pour l'innovation - Fonds d'exploitation des infrastructures, Fonds de recherche du ministère de la Recherche et de l'Innovation de l'Ontario - Programme d'infrastructure de recherche.
Le laboratoire Bridle fait partie du Consortium canadien du virus oncolytique, Réseau de centres d'excellence en biothérapies pour le traitement du cancer (membre fondateur), Société canadienne d'immunologie, Société canadienne de virologie, Institut de recherche Terry Fox, Institut d'investigation comparative sur le cancer, Groupe de l'ostéosarcome du chien: biomarqueurs / biothérapie de la néoplasie (DOGBONe), One Health Institute.
Commentaire :
Les « vaccins » anti-Covid-19 ou l'apocalypse d'une secte mise en lumière par une nouvelle étude
https://fr.sott.net/article/37351-La-proteine-Spike-est-toxique-et-dangereuse-pour-l-homme-Pr-Bridle-specialiste-des-vaccins
Pérou : le confinement le plus strict au monde et le taux de mortalité le plus élevé au monde
RépondreSupprimerLe Pérou a tenu compte de tous les conseils d'experts pour verrouiller durement et tôt. Et il a encore subi une catastrophe totale.
Spiked
3 juin 2021
Les partisans du confinement aiment raconter une histoire très simpliste sur la pandémie. Lorsque les pays souffrent de taux de mortalité élevés de Covid, ils soutiennent que c'est le résultat de leur échec à se verrouiller – ou de ne pas se verrouiller dur, tôt ou assez longtemps.
Mais le Pérou a montré à quel point ce point de vue est étroit. L'année dernière, il s'est verrouillé plus tôt que presque tous les autres pays – et avant tout autre en Amérique latine. Son confinement était l'un des plus stricts au monde. Des couvre-feux stricts ont été décrétés et les gens n'étaient autorisés à quitter leur domicile que pour acheter des biens essentiels. Le gouvernement a même utilisé l'armée pour faire respecter les règles.
Le premier verrouillage du Pérou a commencé le 16 mars et a duré jusqu'en juin. Un deuxième confinement a été imposé en janvier de cette année. Maintenant, après un examen des chiffres, le Pérou a plus que doublé son nombre officiel de décès de Covid, le portant à environ 180 000 décès. Il s'agit du cinquième nombre de morts le plus élevé sur Terre, bien que le Pérou ne compte que 32 millions d'habitants. Ce changement dans les statistiques officielles signifie également que le Pérou a désormais de loin le taux de mortalité Covid le plus élevé au monde – plus de 500 pour 100 000 personnes. La Hongrie, la deuxième plus élevée, a un taux de mortalité d'un peu plus de 300 pour 100 000.
https://www.lewrockwell.com/2021/06/no_author/peru-worlds-strictest-lockdown-and-worlds-highest-death-rate/
L'OMS demande de nouvelles recherches sur la première apparition du Covid-19 en Italie
RépondreSupprimer3 juin 2021, 08:00- Avec Reuters
Une étude portant sur des échantillons de coronavirus suggère que la pandémie s'était répandu hors de la Chine dès octobre 2019. Ces échantillons ont à nouveau été testés à la demande de l'OMS pour mieux comprendre les origines du Covid-19. Lire aussi Donald Trump : «J'avais raison quand j'ai dit très tôt que Wuhan était la source du Covid-19» La pression internationale s'accentue pour comprendre les origines du coronavirus.
Longtemps rejetée par la plupart des experts, la théorie d'un accident de laboratoire à Wuhan, en Chine, est revenue dans le débat ces dernières semaines, particulièrement aux Etats-Unis, où le président Joe Biden a ordonné le 26 mai à ses services de renseignement de lui fournir un rapport sur l'origine de l'épidémie. Cette théorie reste toutefois combattue par Pékin qui la juge «complotiste».
Les appels pour mener des investigations plus approfondies se multiplient néanmoins au sein de la communauté scientifique. L'OMS, pressée par les Etats-Unis et l'Union européenne de lancer une nouvelle enquête sur les origines de la pandémie, s'est plaint le 28 mai des nombreuses interférences politiques et a demandé qu'on laisse les scientifiques travailler. Son directeur du programme des urgences sanitaires, Michael Ryan, a déclaré que la recherche était «empoisonnée par la politique».
Questionnements autour de l'origine du virus Le Covid-19 a été identifié pour la première fois dans la ville de Wuhan en Chine en décembre 2019. Le premier patient italien a été détecté le 21 février 2020 dans une petite ville près de Milan. Cependant, une étude a suggéré que des anticorps dirigés contre le virus ou un variant avaient été détectés en Italie en 2019. Ce qui a incité les médias d'Etat chinois à suggérer que le virus n'était peut-être pas originaire de Chine.
«L'OMS nous a demandé si nous pouvions partager le matériel biologique et si nous pouvions refaire les tests dans un laboratoire indépendant. Nous avons accepté», a déclaré Giovanni Apolone, directeur scientifique de l'Institut du cancer de Milan (INT). «L'OMS est en contact avec les chercheurs qui avaient publié l'article original. Une collaboration avec des laboratoires partenaires a été mise en place pour des tests supplémentaires», a déclaré un porte-parole de l'agence onusienne.
Le porte-parole a également annoncé que l'OMS savait que les chercheurs prévoyaient de publier un rapport «dans un avenir proche». Le doute croissant est que le virus, probablement moins puissant par rapport aux mois suivants, circulait en Chine bien avant les cas signalés Il a expliqué que l'agence des Nations unies avait contacté tous les chercheurs ayant publié ou fourni des informations sur des échantillons collectés en 2019 qui auraient été testés positifs pour le SRAS-CoV-2, mais n'avait pas encore de résultat. Les études des chercheurs italiens, publiés par le magazine scientifique de l'INT, le Tumori Journal, ont montré des anticorps neutralisants contre le SRAS-CoV-2 dans le sang prélevé sur des volontaires sains en Italie en octobre 2019 lors d'un essai de dépistage du cancer du poumon.
La plupart des volontaires venaient de Lombardie, région du nord autour de Milan, qui a été la première et la plus durement touchée par le virus en Italie. «Aucune des études publiées jusqu'à présent n'a jamais remis en question l'origine géographique», selon des propos de Giovanni Apolone repris par Reuters. «Le doute croissant est que le virus, probablement moins puissant par rapport aux mois suivants, circulait en Chine bien avant les cas signalés», a-t-il poursuivi.
RépondreSupprimerLes nouveaux tests seront effectués aux Pays-Bas L'OMS a choisi le laboratoire de l'Université Erasmus de Rotterdam pour effectuer ces nouveaux tests, selon Emanuele Montomoli, co-auteur de l'étude originale et professeur de santé publique au département de médecine moléculaire de l'Université de Sienne. Lire aussi Covid-19 : l'OMS veut creuser l'hypothèse d'une fuite d'un laboratoire en Chine Des chercheurs italiens ont ainsi envoyé à l'équipe de Rotterdam 30 échantillons biologiques prélevés entre octobre à décembre 2019 et qu'ils avaient trouvés positifs, 30 échantillons de la même période qu'ils avaient testés négatifs et 30 échantillons négatifs datant de 2018.
«Nous les avons envoyés à l'aveugle, cela signifie que nos collègues ne savaient pas quels échantillons étaient positifs et quels échantillons négatifs», a déclaré Giovanni Apolone. Emanuele Montomoli a précisé que le laboratoire de Rotterdam avait «revérifié [les] échantillons avec des tests commerciaux, qui sont beaucoup moins sensibles que ceux que nous avons conçus et validés».
Malgré les différences entre les deux méthodes de détection, les deux scientifiques italiens se sont déclarés satisfaits des résultats qui leur ont été livrés fin février 2021, ajoutant qu'ils ne pouvaient pas donner davantage d'informations tant que l'équipe de scientifiques italiens et néerlandais n'aurait pas publié ses propres conclusions.
«Nous n'avons pas dit dans notre étude que nous pouvions établir sans aucun doute que le coronavirus, séquencé plus tard à Wuhan, circulait déjà en Italie en octobre», a déclaré Montomoli. «On n'a trouvé que la réponse au virus, à savoir les anticorps. On peut donc dire que ce coronavirus ou un très similaire, peut-être une variante moins transmissible, circulait ici en octobre», a-t-il poursuivi.
https://francais.rt.com/international/87321-oms-demande-nouvelles-recherches-sur-premiere-apparition-covid-19-italie
Sans oublier que le virus corona est apparu bien avant en Espagne (dans les eaux usées) en JANVIER 2019 !!
SupprimerLe mystérieux "syndrome de La Havane" affecte plus de diplomates, de soldats et d'espions américains qu'on ne le pensait auparavant
RépondreSupprimermercredi 02 juin 2021
par : Franz Walker
(Natural News) Une mystérieuse maladie neurologique surnommée le «syndrome de La Havane» est peut-être plus répandue parmi les diplomates, les soldats et les espions américains qu'on ne le pensait auparavant.
La maladie a été signalée pour la première fois il y a cinq ans par des employés travaillant à l'ambassade des États-Unis à La Havane, à Cuba, lui donnant son nom. Aujourd'hui, plus de 130 personnes, bien plus qu'on ne le savait auparavant, auraient souffert de la maladie selon des responsables actuels et anciens.
Plus de cas de syndrome de La Havane découverts
Le nombre de cas de syndrome de La Havane au sein de la Central Intelligence Agency (CIA), du Département d'État et du Département de la Défense a suscité une grande inquiétude au sein de l'administration Biden.
Initialement, il n'y avait qu'une soixantaine de cas confirmés publiquement, concentrés en Chine et à Cuba. Cela n'incluait pas un groupe d'officiers de la CIA blessés, dont le total n'est pas public.
Le nouveau total comprend désormais des cas en Europe ainsi qu'ailleurs en Asie. L'augmentation du nombre reflète les efforts de l'administration pour examiner plus en détail d'autres incidents au milieu des inquiétudes suscitées par une série d'entre eux au cours des derniers mois.
Au moins trois agents de la CIA ont signalé des effets graves sur la santé d'épisodes à l'étranger depuis décembre, dont un qui s'est produit au cours des dernières semaines. Tous ont dû subir un traitement ambulatoire au centre médical militaire national Walter Reed ou dans d'autres établissements.
Dans un cas particulier de 2019 qui n'avait pas été signalé auparavant, un officier militaire servant à l'étranger a été pris de nausées et de maux de tête en tirant son véhicule dans une intersection. Le fils de 2 ans du policier, assis sur la banquette arrière, s'est également mis à pleurer. Mais après s'être éloigné de l'intersection, ses nausées ont cessé et son fils a cessé de pleurer.
Pendant ce temps, des responsables enquêtent également sur deux incidents distincts qui se sont produits près de la Maison Blanche peu après l'élection présidentielle de 2020. Ici, deux membres du Conseil de sécurité nationale ont signalé des symptômes qui ont frappé près des entrées du terrain à différentes occasions, à des semaines d'intervalle.
Le syndrome de La Havane probablement causé par une attaque par micro-ondes
Un rapport publié en décembre par les National Academies of Sciences, Engineering, and Medicine indique que les incidents ont très probablement été causés par une arme à micro-ondes.
Rédigé par un comité de 19 experts en médecine et dans d'autres domaines, il a cité "l'énergie radiofréquence dirigée et pulsée" comme le coupable "le plus plausible" pour expliquer le syndrome de La Havane. Cela dit, le comité a déclaré qu'il ne pouvait pas exclure d'autres causes possibles et que des facteurs secondaires pouvaient avoir contribué aux symptômes.
RépondreSupprimerCommandé par le Département d'État, le rapport fournit l'explication la plus définitive à ce jour de la maladie. Le rapport révèle également des preuves solides – soigneusement rédigées dans un langage scientifique – que les incidents étaient le résultat d'attaques malveillantes. Il attribue le syndrome à l'énergie « dirigée » et « pulsée » - plutôt que « continue ». Cela implique que l'exposition des victimes était ciblée - pas simplement le résultat de sources d'énergie micro-ondes plus courantes, telles que les téléphones portables.
Le rapport indiquait également que le comité avait constaté que les symptômes rapportés par les patients semblaient provenir d'une direction spécifique ou se produisaient à un endroit spécifique dans une pièce. Celles-ci, selon le rapport, étaient plus cohérentes avec une "attaque" dirigée d'énergie radiofréquence.
Le rapport a conduit certains responsables gouvernementaux à soupçonner que l'agence de renseignement militaire russe pourrait être à l'origine des incidents. Mais le gouvernement américain lui-même n'est pas encore prêt à attribuer le blâme.
"Pour l'instant, nous n'avons aucune information définitive sur la cause de ces incidents, et il est prématuré et irresponsable de spéculer", a déclaré au New York Times Amanda J. Schoch, porte-parole du Bureau du directeur du renseignement national.
Dans le même temps, Moscou a nié à plusieurs reprises toute implication.
Pour faire la lumière sur les attentats, le Conseil national de sécurité a lancé une enquête sur le renseignement. Cet examen vise à découvrir si d'autres incidents non signalés correspondent au modèle.
"Nous utilisons les ressources du gouvernement américain pour faire toute la lumière sur ce problème", a déclaré Emily J. Horne, porte-parole du conseil.
La CIA entre aussi dans l'acte. L'agence a formé une nouvelle cellule de ciblage pour tenter de recueillir plus d'informations sur les épisodes, comment ils se sont produits et qui en est responsable. La cellule fonctionnerait avec une rigueur et une intensité similaires à celles du groupe que l'agence a élargi après les attentats du 11 septembre pour traquer Oussama Ben Laden.
Le directeur de la CIA, William J. Burns, a agi de manière agressive pour améliorer la réponse de l'agence, selon les responsables actuels et anciens. Sous sa direction, l'agence a réduit le temps d'attente moyen pour les agents blessés à Walter Reed de huit semaines à la fin de l'année dernière, à moins de deux.
Suivez NationalSecurity.news pour plus de mises à jour sur ces attaques mystérieuses.
Sources include:
LiveScience.com
NYtimes.com 1
CNN.com
NYTimes.com 2
https://www.naturalnews.com/2021-06-02-havana-syndrome-affects-more-than-previously-thought.html
Ce qu'ils ont appelé "Le syndrome de la Havane" (pour rigoler) fait partie des essais d’absorption de nano-particules (présentes dans toutes les injections actuelles appelées faussement 'vaccins') qui sont par la suite dirigée par la 5G.
SupprimerUn médecin bien-aimé en Inde succombe au coronavirus malgré sa vaccination complète
RépondreSupprimermercredi 02 juin 2021
par : Arsenio Toledo
(Natural News) Le Dr K. K. Aggarwal, ancien président de l'Association médicale indienne, est décédé un mois après avoir reçu sa deuxième dose du vaccin contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19).
Aggarwal était aimé de beaucoup en Inde. En 2010, le gouvernement lui a décerné le quatrième prix civil le plus élevé de l'Inde pour ses contributions à la médecine. Il a été élu à l'unanimité président de la Confédération des associations médicales d'Asie et d'Océanie de 2019 à 2020.
Les réseaux de médias grand public du pays ont comblé d'éloges le médecin récemment décédé. L'Indian Express a rapporté qu'il était un "médecin qui accordait la priorité aux patients jusqu'à la toute fin".
La popularité du médecin a augmenté rapidement pendant la pandémie de coronavirus, car il a fréquemment publié des vidéos sur ses plateformes de médias sociaux dans lesquelles il répondait aux questions et aux préoccupations des gens concernant les coronavirus. Il a également organisé des diffusions en direct sur les aspects du coronavirus et sur la façon de le gérer.
Mais les grands médias indiens ignorent le fait qu'Aggarwal était complètement vacciné à sa mort. Il a reçu sa deuxième dose du vaccin contre le coronavirus le 22 février. Deux mois plus tard, il a été testé positif au COVID-19 et a immédiatement commencé à partager ses expériences en ligne.
« J'ai pris trois masques et un écran facial. Je vais maintenant faire mon scanner. Vous savez tous que j'ai reçu deux doses du vaccin et que j'ai une percée classique COVID », a déclaré Aggarwal lors de l'une de ses dernières diffusions en direct le 27 avril. « Mon scanner est normal. N'ayez pas peur de la vaccination. Cela vous empêchera finalement de lutter contre le COVID sévère. »
Le 7 mai, l'équipe d'Aggarwal a repris la gestion de ses comptes de réseaux sociaux et a annoncé qu'il avait été admis dans un établissement de santé à Delhi. (Connexes: Les travailleurs de la santé de l'hôpital de Delhi ATTACHÉS par des membres de la famille en deuil après la mort d'un patient atteint de coronavirus en attendant un lit en soins intensifs.)
"Dr. K. K. Aggarwal … est bien soigné par les médecins », a écrit son équipe dans un post sur son compte Twitter. « Son état est stable et nous sommes convaincus qu'il se rétablira bientôt. »
Mais le 18 mai, son équipe a publié une déclaration sur son compte Twitter annonçant qu'Aggarwal avait succombé à sa maladie.
"J'ai une pneumonie COVID, qui est progressive", a-t-il déclaré sur l'une de ses dernières vidéos. "Mais même dans ce cas, souvenez-vous des mots de Raj Kapoor :" Le spectacle doit continuer. ""
Des médecins entièrement vaccinés en Inde décèdent toujours du coronavirus
Aggarwal n'est pas le seul médecin entièrement vacciné en Inde qui est décédé à cause de COVID-19.
Le Dr Rajendra Kapila, spécialiste des maladies infectieuses et professeur à l'Université Rutgers, est décédé du COVID-19 le 28 avril. Il est décédé près de trois semaines après avoir été initialement testé positif pour le coronavirus. Il était aussi complètement vacciné.
RépondreSupprimerDans un communiqué, Rutgers a qualifié Kapila de "véritable géant dans le domaine des maladies infectieuses" et a déclaré qu'il était "reconnu dans le monde entier et recherché pour ses connaissances légendaires et son extraordinaire acuité clinique dans le diagnostic et le traitement des maladies infectieuses les plus complexes".
Kapila, un résident du New Jersey, a reçu les deux doses du vaccin contre le coronavirus Pfizer avant de monter à bord d'un avion à destination de l'État indien d'Uttar Pradesh, dans le nord de l'Inde. Il est allé en Inde pour s'occuper de sa famille.
L'épouse de Kapila a déclaré à Hindustan Times qu'elle et son mari travaillaient dans un laboratoire COVID-19 dans le New Jersey depuis le début de la pandémie et "avaient assuré un environnement sûr à la maison".
"C'est ironique que nous soyons venus en Inde pendant deux semaines et qu'il l'ait contracté ici", a-t-elle ajouté.
De retour à Delhi, un autre médecin est décédé le 8 mai alors qu'il était également complètement vacciné. Le Dr Anil Kumar Rawat était chirurgien à l'hôpital Saroj de Delhi. Il travaille dans cet hôpital depuis les années 1990 et a été décrit comme un « collègue jovial » et un « gentleman consciencieux » par ses pairs. Il a reçu sa deuxième dose du vaccin AstraZeneca début mars. Il a contracté le coronavirus fin avril.
Rawat a d'abord été placé en isolement à domicile, mais a dû être admis à l'hôpital de Saroj et mis sous respirateur lorsque ses niveaux d'oxygène sont tombés en dessous de la normale.
Avant d'être mis sous respirateur, Rawat a dit à son collègue : « Je m'en sortirai. J'ai été complètement vacciné, je vais sortir. Alors qu'il était sous respirateur, il a développé une pneumonie grave, entraînant une insuffisance respiratoire. Il était mort en deux jours.
Mis à part les mentions passagères de leurs statuts vaccinaux, aucun média grand public en Inde n'a tenté de déterminer si le vaccin contre le coronavirus est aussi efficace qu'on le prétend, d'autant plus que de nombreux médecins de premier plan du pays contractent et meurent du virus qu'il est censé protéger. les gens contre.
Apprenez-en plus sur l'efficacité supposée des vaccins contre le coronavirus et sur les nombreuses personnes entièrement vaccinées dans le monde qui succombent toujours au virus en lisant les derniers articles sur Vaccines.news.
Sources include:
GreatGameIndia.com
IndianExpress.com 1
IBTimes.com
IndianExpress.com 2
https://www.naturalnews.com/2021-06-02-indian-doctor-succumbs-coronavirus-fully-vaccinated.html
"C'était un mensonge": Tucker Carlson nivelle Fauci après que les e-mails FOIA relient les points
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 03 JUIN 2021 - 06:44
Tucker Carlson de Fox News a déchiré "la fraude totale de Tony Fauci" mercredi soir, après que BuzzFeed et le Washington Post ont obtenu des milliers de pages d'e-mails via une demande de la Freedom of Information Act (FOIA), révélant que le meilleur virologue du pays disait au public une chose, tout en travaillant furieusement sur le contrôle des dommages et la mise en forme narrative au fur et à mesure que la pandémie de COVID-19 se déroulait.
Selon Carlson, les Américains ont supposé « que l'homme chargé de protéger les États-Unis contre COVID doit être rationnel et impressionnant », ajoutant « Nous avons également supposé qu'il devait être honnête. Mais nous nous sommes trompés.
"Il est vite devenu clair que Tony Fauci n'était qu'un autre bureaucrate fédéral louche – profondément politique et souvent malhonnête. Plus choquant que cela, nous avons alors appris que Fauci lui-même était impliqué dans la pandémie même qu'il avait été accusé de combattre."
« Fauci a soutenu les expériences grotesques et dangereuses qui semblaient avoir rendu COVID possible. » -Tucker Carlson
Les e-mails de Fauci montrent collectivement que "dès le début, Tony Fauci craignait que le public puisse conclure que COVID était originaire de l'Institut de virologie de Wuhan".
"Pourquoi s'inquiéterait-il que les Américains en concluent cela?" demanda Tucker. "Peut-être parce que Tony Fauci savait qu'il avait financé des expériences de gain de fonction dans ce même laboratoire."
"Les e-mails prouvent que Fauci a menti à ce sujet sous serment", a déclaré Tucker, qui a mis en évidence un e-mail du scientifique Christian G. Anderson à Fauci, disant que lui et ses collègues scientifiques pensaient que le virus avait l'air "potentiellement" conçu, et que les membres de son L'équipe "tous trouvent le génome incompatible avec les attentes de la théorie de l'évolution."
Fauci a alors envoyé un email urgent à son adjoint - Hugh Auchincloss - avec le sujet "IMPORTANT", et qui disait "Hugh, il est essentiel que nous parlions ce matin. Gardez votre téléphone portable allumé... Vous aurez des tâches aujourd'hui qui doivent être terminé."
A cet e-mail était joint un document intitulé "Baric, Shi et al - Nature Medicine - SARS Gain of function.pdf" faisant référence au Dr Ralph Baric, un virologue basé aux États-Unis qui a collaboré avec l'Institut de virologie de Wuhan sous la direction du Dr Shi Zhengly. ("Dame chauve-souris") connue pour manipuler les coronavirus de chauve-souris afin de mieux infecter les humains.
Tucker montre ensuite un clip de Fauci niant que Baric avait mené des recherches sur le gain de fonction, sous serment.
RépondreSupprimer"Rétrospectivement, cela ressemble beaucoup à un parjure", a déclaré Carlson, ajoutant qu'au début de l'année dernière, de nombreuses personnes aux National Institutes of Health (NIH) craignaient que COVID-19 ne se soit pas produit naturellement et craignaient qu'il ne se soit produit. été manipulés dans un laboratoire en Chine - des faits qu'ils étaient "déterminés" à cacher au public.
Tucker note ensuite qu'un groupe de virologues de haut niveau a reçu l'ordre de garder le contenu d'une discussion par téléconférence « en toute confiance » et de ne pas partager d'informations jusqu'à ce que les prochaines étapes soient convenues.
Carlson a ensuite mentionné Zero Hedge, après que le virologue britannique Jeremy Farrar a transmis un article dans lequel nous suggérions que COVID-19 était d'origine humaine.
"Nous savons maintenant que c'est une explication plus plausible que celle que nous croyions au début et que les médias ont racontée - à savoir que la couronne venait d'un pangolin. Et pourtant, pour le crime de dire cela à voix haute, une explication plus plausible, Zero Hedge était banni des plateformes de médias sociaux. Jusqu'à récemment, vous n'étiez pas autorisé à suggérer que COVID pourrait être d'origine humaine. Pourquoi ne pouviez-vous pas le suggérer ? Les vérificateurs des faits ne le permettaient pas. Pourquoi ne le feraient-ils pas ? Parce que Tony Fauci a assuré aux monopoles technologiques que le coronavirus ne pouvait pas avoir été créé par l'homme. Et donc les monopoles technologiques ont fermé le sujet. " -Tucker Carlson
Carlson a ensuite montré une conférence de presse du 17 avril au cours de laquelle Fauci a déclaré au public américain que COVID-19 était "totalement cohérent avec le passage d'une espèce d'un animal à un humain.
"À ce stade, ce que Tony Fauci vient d'affirmer comme connu, ne pouvait pas être connu de manière concluante. C'était un mensonge."
Regarder:
- voir clip sur site :
https://www.zerohedge.com/covid-19/was-lie-tucker-carlson-levels-fauci-after-foia-emails-connect-dots
Faites place à l'État du vif d'or : la quatrième branche du gouvernement qui voit tout
RépondreSupprimerPar John W. Whitehead et Nisha Whitehead
L'Institut Rutherford
3 juin 2021
«C'est juste lorsque les gens sont tous engagés à s'espionner eux-mêmes et les uns les autres qu'ils deviennent anesthésiés à l'ensemble du processus. Alors que l'information elle-même devient la plus grande entreprise au monde, les banques de données en savent plus sur les individus que les individus eux-mêmes. Plus les banques de données enregistrent sur chacun de nous, moins nous existons. »—Marshall McLuhan, From Cliche To Archetype
Nous sommes espionnés par une armée nationale de mouchards du gouvernement, d'espions et de techno-guerriers.
Ce gouvernement de voyeurs surveille tout ce que nous faisons, lit tout ce que nous écrivons, écoute tout ce que nous disons et surveille tout ce que nous dépensons.
Méfiez-vous de ce que vous dites, de ce que vous lisez, de ce que vous écrivez, où vous allez et avec qui vous communiquez, car tout est enregistré, stocké et catalogué, et sera éventuellement utilisé contre vous, à un moment et à un endroit où le choix du gouvernement.
Cette surveillance de grande envergure a ouvert la voie à une quatrième branche omniprésente et militarisée du gouvernement, l'État de surveillance, qui a vu le jour sans mandat électoral ni référendum constitutionnel.
En effet, bien avant que la National Security Agency (NSA) ne devienne l'agence que nous aimions détester, le ministère de la Justice, le FBI et la Drug Enforcement Administration menaient leur propre surveillance de masse secrète sur une population sans méfiance.
Même les agences qui ne sont pas traditionnellement associées à la communauté du renseignement font partie du réseau croissant de mouchards et d'espions du gouvernement.
À peu près chaque branche du gouvernement – du service postal au département du Trésor et à chaque agence intermédiaire – a désormais son propre secteur de surveillance, autorisé à espionner le peuple américain. Par exemple, le service postal américain, qui photographie l'extérieur de chaque courrier papier depuis 20 ans, espionne également les SMS, les e-mails et les publications sur les réseaux sociaux des Américains. Dirigé par la division de l'application de la loi du service postal, le programme Internet Covert Operations (iCOP) utiliserait la technologie de reconnaissance faciale, combinée à de fausses identités en ligne, pour dénicher les fauteurs de troubles potentiels avec des messages « incendiaires ». L'agence affirme que la surveillance en ligne, qui sort du cadre de son travail conventionnel de traitement et de distribution du courrier papier, est nécessaire pour aider les postiers à éviter les « situations potentiellement volatiles ».
Ensuite, il y a les centres de fusion et de lutte contre le terrorisme qui rassemblent toutes les données des plus petits espions du gouvernement - la police, les responsables de la santé publique, les transports, etc. - et les rendent accessibles à tous ceux au pouvoir. Et cela ne commence même pas à toucher à la complicité du secteur des entreprises, qui nous achète et nous vend du berceau à la tombe, jusqu'à ce que nous n'ayons plus de données à exploiter.
Ce n'est pas seulement ce que nous disons, où nous allons et ce que nous achetons qui est suivi.
RépondreSupprimerNous sommes surveillés jusque dans nos gènes, grâce à une puissante combinaison de matériel, de logiciels et de collecte de données qui analyse nos données biométriques - nos visages, nos iris, nos voix, notre génétique et même notre démarche - les fait passer par des programmes informatiques qui peuvent briser le données en « identifiants » uniques, puis les propose au gouvernement et à ses alliés des entreprises pour leurs utilisations respectives.
Tous ces gadgets connectés à Internet que nous devons simplement avoir (Forbes les appelle des « pipelines (de données) vers nos processus corporels intimes ») – les montres intelligentes qui peuvent surveiller notre tension artérielle et les téléphones intelligents qui nous permettent de payer nos achats. avec nos empreintes digitales et nos scans d'iris - nous préparent pour un nouveau monde courageux où il n'y a nulle part où courir et nulle part où se cacher.
Par exemple, imaginez ce que le gouvernement pourrait faire (et fait probablement déjà) avec la technologie d'empreinte vocale, qui a été comparée à une empreinte digitale. Décrite comme « la prochaine ligne de front dans la lutte contre la surveillance publique excessive », la collecte d'empreintes vocales est une industrie en plein essor pour les gouvernements et les entreprises. Comme le rapporte The Guardian, « la biométrie vocale pourrait être utilisée pour localiser des individus ».
Nous sommes maintenant les victimes involontaires d'un réseau interconnecté, étroitement tissé et en évolution technologique, de surveillance de masse en temps réel, sans mandat et de mur à mur, qui fait que les programmes d'espionnage engendrés par le USA Patriot Act ressemblent à un jeu d'enfant.
Centres de fusion. Voir quelque chose, dire quelque chose. Les lois du drapeau rouge. Évaluations des menaces comportementales. Listes de surveillance de la terreur. La reconnaissance faciale. Lignes de pointe de vif. Scanners biométriques. Pré-crime. bases de données ADN. Exploration de données. Technologie précognitive. Applications de recherche de contacts.
Tout cela fait partie intégrante du filet de surveillance de plus en plus large que le gouvernement a utilisé et abusé afin d'étendre sa portée et son pouvoir.
La pandémie de COVID-19 a réussi à nous acclimater encore plus à être surveillés, suivis et signalés pour des comportements dits déviants ou indésirables.
Par conséquent, nous vivons maintenant dans une société dans laquelle une personne peut être accusée d'un certain nombre de crimes sans savoir exactement ce qu'elle a fait. Il pourrait être appréhendé au milieu de la nuit par une bande itinérante de la police SWAT. Il pourrait se retrouver sur une liste d'interdiction de vol, incapable de voyager pour des raisons non divulguées. Il pourrait avoir ses téléphones ou Internet mis sur écoute sur la base d'une ordonnance secrète rendue par un tribunal secret, sans aucun recours pour découvrir pourquoi il a été ciblé.
Ce cauchemar kafkaïen est devenu la réalité américaine.
RépondreSupprimerMalgré le fait que son espionnage de données s'est avéré inefficace pour détecter, et encore moins arrêter, toute attaque terroriste réelle, le gouvernement continue d'exploiter ses programmes d'espionnage nationaux en grande partie en secret, effectuant une surveillance de masse sans mandat sur des centaines de millions d'Américains. appels téléphoniques, e-mails, SMS, etc.
La question de savoir comment traiter avec les agences et programmes gouvernementaux qui opèrent en dehors du système de freins et contrepoids établi par la Constitution nous oblige à faire face à une « solution » politique profondément insatisfaisante et douteuse à un problème qui fonctionne au-delà de la portée des électeurs et politiciens : comment tenir pour responsable un gouvernement qui ment, triche, vole, contourne la loi, puis s'absout d'actes répréhensibles ?
Certes, l'histoire et la croissance de la NSA suivent la soif insatiable du gouvernement pour des pouvoirs toujours plus grands.
Depuis ses débuts officiels en 1952, lorsque le président Harry S. Truman a publié un décret exécutif secret établissant la NSA comme la plaque tournante des activités de renseignement extérieur du gouvernement, l'agence - surnommée "No Such Agency" - a opéré secrètement, sans rendre de comptes au Congrès tous les tout en utilisant l'argent des contribuables pour financer ses opérations secrètes. Ce n'est que lorsque l'agence a atteint 90 000 employés en 1969, ce qui en fait la plus grande agence de renseignement au monde avec une empreinte significative en dehors de Washington, DC, qu'il est devenu plus difficile de nier son existence.
À la suite du Watergate en 1975, le Sénat a tenu des réunions sous la direction du Comité de l'Église afin de déterminer exactement à quelles sortes d'activités illicites l'appareil de renseignement américain était engagé sous la direction du président Nixon, et comment les futures violations de la loi pourraient être arrêtées. . C'était la première fois que la NSA était soumise à un examen public depuis sa création.
L'enquête a révélé une opération sophistiquée dont les programmes de surveillance ont peu tenu compte de choses telles que la Constitution. Par exemple, dans le cadre du projet SHAMROCK, la NSA a espionné les télégrammes à destination et en provenance des États-Unis, ainsi que la correspondance des citoyens américains. De plus, comme le rapporte le Saturday Evening Post, « Dans le cadre du projet MINARET, la NSA a surveillé les communications des dirigeants des droits civiques et des opposants à la guerre du Vietnam, y compris des cibles telles que Martin Luther King, Jr., Mohammed Ali, Jane Fonda et deux actifs Sénateurs américains. La NSA avait lancé ce programme en 1967 pour surveiller les terroristes présumés et les trafiquants de drogue, mais les présidents successifs l'ont utilisé pour traquer toutes sortes de dissidents politiques.
Le sénateur Frank Church (D-Ida.), qui a été président du comité restreint du renseignement qui a enquêté sur la NSA, n'a que trop bien compris les dangers inhérents à permettre au gouvernement d'outrepasser son autorité au nom de la sécurité nationale. Church a reconnu que de tels pouvoirs de surveillance « pourraient à tout moment être retournés contre le peuple américain, et aucun Américain n'aurait de vie privée, telle est la capacité de tout surveiller : conversations téléphoniques, télégrammes, peu importe. Il n'y aurait aucun endroit où se cacher.
Notant que la NSA pourrait permettre à un dictateur « d'imposer une tyrannie totale » à un public américain totalement sans défense, Church a déclaré qu'il ne « voulait jamais voir ce pays franchir le pont » de la protection constitutionnelle, du contrôle du Congrès et de la demande populaire de respect de la vie privée. . Il a avoué que « nous », impliquant à la fois le Congrès et ses électeurs dans ce devoir, « devons veiller à ce que cette agence et toutes les agences qui possèdent cette technologie fonctionnent dans le respect de la loi et sous une supervision appropriée, afin que nous ne franchissions jamais cet abîme. C'est l'abîme d'où il n'y a pas de retour.
RépondreSupprimerLe résultat a été l'adoption de la Foreign Intelligence Surveillance Act (FISA) et la création de la Cour FISA, qui était censée superviser et corriger la manière dont les informations de renseignement sont collectées et rassemblées. La loi exige que la NSA obtienne l'autorisation du tribunal FISA, un tribunal de surveillance secret, avant de pouvoir surveiller les citoyens américains. Avance rapide jusqu'à nos jours, et la soi-disant solution au problème des entités gouvernementales se livrant à une surveillance injustifiée et illégale - la Cour FISA - est involontairement devenue le catalyseur de telles activités, approuvant presque toutes les demandes de mandat qui lui sont soumises.
Les attentats du 11 septembre ont marqué un tournant dans l'histoire de notre pays, inaugurant une ère dans laquelle les activités gouvernementales immorales et/ou illégales telles que la surveillance, la torture, les fouilles à nu, les raids de l'équipe SWAT sont sanctionnées dans le cadre de la quête pour nous garder "sûr."
À la suite des attentats du 11 septembre, George W. Bush a secrètement autorisé la NSA à surveiller sans mandat les appels téléphoniques et les courriels des Américains. Ce programme d'écoutes téléphoniques sans fil aurait pris fin en 2007 après que le New York Times en eut rendu compte, provoquant l'indignation des masses.
Rien n'a changé sous Barack Obama. En fait, les violations se sont aggravées, la NSA étant autorisée à collecter secrètement des données Internet et téléphoniques sur des millions d'Américains, ainsi que sur des gouvernements étrangers.
Ce n'est qu'après les révélations du lanceur d'alerte Edward Snowden en 2013 que le peuple américain a pleinement compris à quel point il avait été à nouveau trahi.
Malgré tout, rien n'a vraiment changé.
Depuis lors, les présidents, les politiciens et les décisions de justice se sont succédé, mais aucun d'entre eux n'a fait grand-chose pour mettre fin à la « technotyrannie » du gouvernement.
À chaque tournant, nous avons été handicapés dans notre quête de transparence, de responsabilité et de démocratie représentative par une culture du secret établie : agences secrètes, expériences secrètes, bases militaires secrètes, surveillance secrète, budgets secrets et décisions de justice secrètes, qui existent au-delà de notre portée, fonctionnent en dehors de nos connaissances et ne répondent pas à « nous, le peuple ».
Pourtant, le secteur de la surveillance n'est qu'une petite partie d'un gouvernement permanent obscur composé de bureaucrates non élus qui marchent au même rythme que des sociétés à but lucratif qui dirigent réellement Washington, DC, et s'efforcent de nous garder sous surveillance étroite et, par conséquent, sous contrôle. Par exemple, Google travaille ouvertement avec la NSA, Amazon a construit une énorme base de données de renseignements de 600 millions de dollars pour la CIA, et l'industrie des télécommunications fait un gros profit en nous espionnant pour le gouvernement.
Plus récemment, l'administration Biden a indiqué qu'elle pourrait être ouverte à travailler avec des entreprises non gouvernementales afin de surveiller sans mandat les citoyens en ligne.
Ce ne serait pourtant pas nouveau. De grandes quantités de la surveillance numérique du gouvernement sont déjà sous-traitées à des entreprises privées, qui sont beaucoup moins restreintes dans la façon dont elles collectent et partagent nos données personnelles.
RépondreSupprimerDe cette façon, Corporate America réalise un gros profit en aidant et en encourageant le gouvernement dans ses efforts de surveillance intérieure militarisée.
Cue l'aube de ce que The Nation appelle « la montée d'une nouvelle classe en Amérique : la classe dirigeante du cyberintelligence. Ce sont les personnes – souvent appelées « professionnels du renseignement » – qui effectuent le travail d'analyse et de ciblage de la NSA et d'autres agences du gouvernement secret américain. Au cours des [20] dernières années, des milliers d'anciens responsables et agents du renseignement de haut rang ont quitté leurs postes gouvernementaux et occupé des postes de direction dans des sous-traitants militaires, des cabinets de conseil, des cabinets d'avocats et des sociétés de capital-investissement. Dans leurs nouveaux emplois, ils reproduisent ce qu'ils ont fait au gouvernement, souvent pour les mêmes agences qu'ils ont quittées. Mais cette fois, leur mission est strictement lucrative.
La culture du vif d'or a renforcé davantage l'État de surveillance.
Comme l'écrit Ezra Marcus pour le New York Times : « Au cours de l'année écoulée, la société américaine a réagi aux bouleversements politiques et au péril biologique en se tournant vers une tactique séculaire pour contrôler les contrevenants : le bavardage.
Cette nouvelle ère de surveillance des mouchards est l'enfant chéri des programmes du gouvernement post-11 septembre « Voir quelque chose, dire quelque chose » combinés à l'autosatisfaction d'un âge politiquement correct et technologiquement câblé.
Marcus continue :
« La technologie, et notre amour indéfectible pour elle, est cruciale pour notre moment actuel de surveillance sociale. Snitching n'est pas seulement un sous-produit de la curiosité ou de la peur; il s'agit d'une fonctionnalité technologique intégrée à l'architecture numérique de l'ère pandémique – en particulier en ce qui concerne les logiciels conçus pour le travail à distance et le suivi de Covid… Les applications de recherche de contacts … ont commencé à être adaptées à d'autres usages, y compris les enquêtes criminelles par le gouvernement singapourien. Si cela semble vraiment inquiétant, il peut être utile de se rappeler que les entreprises technologiques les plus puissantes au monde, dont vous utilisez probablement les produits pour lire cette histoire, utilisent déjà un modèle commercial de surveillance de masse, collectant et vendant des informations sur les utilisateurs aux annonceurs à un prix insondable. escalader. Nos téléphones portables nous suivent partout, et nos emplacements sont achetés et vendus par des courtiers en données avec des détails incroyables et intimes. Le logiciel de reconnaissance faciale utilisé par les forces de l'ordre traque les selfies Instagram. Facebook récolte les données biométriques de ses utilisateurs. Tout l'écosystème, plus ou moins, fonctionne au mouchard. »
Comme je le précise dans mon livre Battlefield America : The War on the American People, ce à quoi nous avons affaire aujourd'hui n'est pas seulement une bête qui a dépassé ses chaînes, mais une bête qui ne sera pas retenue.
RépondreSupprimerhttps://www.lewrockwell.com/2021/06/no_author/make-way-for-the-snitch-state-the-all-seeing-fourth-branch-of-government/
La réponse est: "Maintenant que vous (7 milliards) êtes condamnés, qu'avez-vous à dire ?"
SupprimerDroit des étrangers : l’État bureaucratique toujours défaillant
RépondreSupprimerÀ l’approche de la campagne présidentielle, la politique migratoire se fait toujours au plus grand mépris du droit en vigueur. Témoignage.
Par Louise Rieth et Pierre Farge.
3 JUIN 2021
Après une trilogie de tribunes racontant le fonctionnement défaillant de l’État en matière de droit des étrangers, et symptomatique de leur traitement sur notre sol, Pierre Farge, avocat, témoigne de nouvelles péripéties dans ce dossier.
Ayant pourtant fait condamner l’État à accorder un rendez-vous à un étranger souhaitant régulariser sa situation, l’État refuse de lui délivrer le titre de séjour en résultant, alors qu’il remplit toutes les conditions. Vengeance, ou corporatisme ?
Depuis six mois, nous vous faisons le récit semaine après semaine des déboires d’un étranger avec la préfecture de police de Paris appliquant une politique migratoire restrictive au mépris du droit en vigueur et des principes de la République.
En février, nous avions cru, peut-être naïvement, que le problème était résolu : l’État avait enfin été condamné à donner une date de rendez-vous pour déposer sa demande de titre de séjour.
C’est sans compter qu’en avril, toujours la même préfecture répond par la négative, avec un courrier type l’invitant à quitter le territoire sous trente jours.
Les motifs de cette décision ?
Il ne fournirait pas de contrat de travail à l’appui de sa demande et ne justifierait pas de motifs exceptionnels d’admission au séjour, notamment au regard de la durée de sa résidence en France.
Pourtant, si l’agent de l’État en charge de son dossier avait pris le temps ne serait-ce que de lire les pièces versées à sa demande, il aurait vu non pas un, mais deux CDI, ainsi que tous les éléments justifiant de sa présence en France depuis maintenant dix ans.
C’est précisément dans ce sens que les articles L.313-14 et L.313-10, 1° du CESEDA imposent en l’espèce de justifier d’une activité salariée sous contrat de travail à durée indéterminée. Le Conseil d’État considère d’ailleurs que l’ancienneté du séjour sur le territoire peut constituer un motif exceptionnel d’admission au séjour (CE, avis, 8 juin 2010, Sacko et a., n°334793).
Mieux encore, les articles précités énoncent les motifs justifiant le refus d’un tel titre de séjour, comme par exemple, si la présence sur le territoire constitue une menace pour l’ordre public, ou s’il vit en état de polygamie.
Il n’en n’est évidemment rien dans le cas qui nous concerne.
Le Préfet estime ainsi qu’une personne qui vit et travaille en France depuis dix ans, qui a construit sa vie et dispose de toute sa famille sur place, ne justifierait pas de motifs exceptionnels d’admission au séjour. Il la condamne ainsi à retourner dans un pays où elle n’a plus aucune attache au mépris total du droit au respect de la vie privée et familiale.
Ce refus aberrant ne peut donc s’interpréter qu’à la lumière du contexte extrêmement difficile dans lequel cette demande fut initiée : sans doute que le Préfet, mécontent d’avoir été condamné pour son inertie à donner un rendez-vous, n’a pas ouvert le dossier, ou l’a tout simplement rejeté.
Las mais non moins déterminés, nous nous sommes donc engagés dans un recours en annulation de cet arrêté, pour que la demande soit scrupuleusement examinée et que son refus éventuel s’appuie sur une argumentation quelconque afin de pouvoir le comprendre.
RépondreSupprimerSi nous prenons le temps de témoigner une nouvelle fois par cette tribune, ce n’est pas une affinité particulière à tenir un journal de cette affaire, mais parce qu’elle est absolument symptomatique de la politique migratoire qui sévit à l’approche de la campagne présidentielle, et toujours au mépris du droit en vigueur : en 2019 c’était plus de 20 % de mesures d’éloignement supplémentaires exécutées par rapport à l’année précédente, qui elle-même avait vu une hausse de 13 % par rapport à l’année d’avant.
Après l’accalmie liée à la crise sanitaire, il y a fort à parier que les chiffres 2021 soient encore plus importants.
https://www.contrepoints.org/2021/06/03/398574-droit-des-etrangers-letat-bureaucratique-toujours-defaillant
Lorsque l'on achète une plante dite 'exotique', elle est jolie mais sa 'fraîcheur' ne dure parfois qu'un jour voire une semaine à tout casser ! Mais, ces plantes ne meurent pas toutes ! Donc elles se sont 'adaptées'. Là, je précise que je mets le mot 'adapté' entre guillemets car je devrais dire qu'elle survie. Exemple: un bananier est très beau chez le fleuriste, il est très beau chez soi mais, arrive l'hiver ou malgré le chauffage: il crève ! Donc, je l'ai fait passer du mode 'cadavre' au monde survivant du zombie (Hahaha !) en le plantant dans une serre plastique dont j'ai pris soin d'en doubler la protection afin que le passage d'air entre-deux isole le bananier. (Je n'ai rien inventé, j'ai copié les briques creuses en terre cuite puis les parpaings alvéolés de ciment). Et là, le bananier a passé l'hiver dehors sous serre sans crever ! Whôaw ! (pour avoir des bananes faut arroser le tuyau de feuilles central). Et, comme le bananier se multiplie naturellement par des pousses autour de lui (que je sépare du pied-mère quand il atteignent 40-50 cm), j'ai donc eu 3 ou 4 bananiers de plus qui - dans l'année - ont eux aussi fait des petits tout autour, etc, etc.
SupprimerBon. Maintenant parlons des régimes de bananes. Les bananes (Musa) sont des bananes qui normalement atteignent la longueur 'banane' mais, chez moi, elles mûrissaient encore toute petite (15 cm de long et grosse comme le pouce), saveur banane.
Mais là vous vous demandez pourquoi je vous parle de bananes et pas d'immigration. C'est pareil. Vous avez les fruits exotiques qui s'adaptent (arrivée d'espagnols, d'italiens années 60' puis des 'pieds-noirs' because indenpendanse-la-java de l'Afrique. Bon, jusque là les immigrés s'intègrent respectent le pays d'accueil et passent du mode Afrique au mode Pays d'accueil. Pas de problème.
Puis, la situation se détériore quand arrivent non-pas en touristes mais en clandestins des étrangers dont la plupart sans papier qui ne respectent pas le pays d'accueil, l'insulte et reproduisent sur place toute la merde qu'ils ont fuit de chez eux !! Leur tradition c'est de voler, de violer et de tuer. Ils ne savent faire que çà.
Heureusement pour eux, ils ont dans quelques ministères des sortis fraîchement de taule qui les soutiennent et leurs filent des allocs. Le président est complice et, le gang en place peut donc maintenant s'attaquer aux autochtones qui depuis des siècles sont là et osent se défendre aux attaques d'immigrés !
C'est ainsi que la Suède est passé du rang du pays le 'plus merveilleux et calme' de l'Europe au rang du 'Pays le plus dangereux d'Europe' !! Et, comme les partis dits d'opposition sont frères et sœurs des dictateurs en place, le Peuple qui n'est JAMAIS écouté peut aller se faire foutre !
Ce n'est PAS à un pays a s''adapter' aux étranger, c'est aux étrangers a s'adapter au pays.
Prendre la liberté pour acquis
RépondreSupprimerPar Andrew P. Napolitano
3 juin 2021
"La vigilance éternelle est le prix de la liberté."
— Thomas Jefferson (1743-1826).
Personne ne sait si Thomas Jefferson a personnellement prononcé ces mots. Ils lui ont été largement attribués, mais ils n'apparaissent dans aucun de ses écrits. S'il ne les prononçait pas littéralement, il prononçait les sentiments qu'ils offrent. Ils nous rappellent de ne pas prendre la liberté pour acquise.
Alors que l'Amérique revient à la normalité d'avant la pandémie, nous devrions réfléchir aux dangers de prendre la liberté pour acquise. Cette colonne a soutenu fréquemment que la liberté personnelle est notre droit de naissance. C'est un droit naturel. Cela ne vient pas du gouvernement. Elle vient de notre humanité, qui est un don de Dieu. Comme Dieu est parfaitement libre, nous aussi.
La Déclaration d'Indépendance et la Constitution présument que nos libertés sont naturelles et ne peuvent être supprimées ou supprimées par le gouvernement en l'absence d'une procédure régulière.
Une procédure régulière nécessite un avis d'accusation, une audience équitable avec toutes les protections constitutionnelles au cours desquelles le gouvernement doit prouver la faute, et le droit de faire appel. La Constitution n'accorde pas la liberté ; il empêche le gouvernement d'y porter atteinte.
Certaines libertés sont si essentielles à la poursuite du bonheur que la Constitution interdit leur violation, point final – avec ou sans procédure régulière. Ce sont les libertés que nous exerçons tous les jours : culte, parole, réunion pacifique, légitime défense, vie privée, propriété et usage des biens, transactions commerciales, voyages. Nous établissons volontairement des gouvernements pour protéger nos libertés.
Les gouvernements que nous avons établis sont-ils moralement légitimes ? Ils le sont quand ils ont, comme Jefferson l'a écrit dans la Déclaration, le consentement des gouvernés, et quand ils défendent nos libertés. En l'absence de consentement et de défense de la liberté, le gouvernement n'est pas légitime.
Jefferson a soutenu que le gouvernement n'existe que pour garantir nos droits. Lorsqu'il ne protège pas nos droits, ou lorsqu'il détruit notre propriété, nous avons le droit de le modifier et de l'abolir.
Ces principes de liberté personnelle dans une société libre ont été moqués et attaqués par le gouvernement lors de la récente pandémie, et la plupart des gens l'ont accepté.
Comment, dans un pays rendu prospère par l'individualisme farouche et les sacrifices personnels, et non par le gouvernement, le peuple est-il devenu un mouton lorsque leurs gouverneurs - sans autorité légale et au mépris total des garanties constitutionnelles qu'ils ont juré de respecter - ont signé des ordres qui prétendaient nier le droit de culte, de travail, de déplacement, de rassemblement pacifique et d'usage de la propriété privée à sa guise ?
Pourquoi tant de gens qui croient en la liberté personnelle ont-ils accepté ces ordres illégaux et leur ont-ils cédé ? Pourquoi avons-nous porté des masques médicalement inutiles sur nos visages alors que nous, et non le gouvernement, possédons nos visages ? Pourquoi avons-nous permis au gouvernement de fermer des entreprises légales? Pourquoi la police et les procureurs ont-ils rompu leur serment de défendre la Constitution par déférence pour ces accaparements du pouvoir des gouverneurs ?
La même Constitution qui empêche les gouvernements fédéral et étatiques de restreindre les libertés fondamentales garantit également ces libertés. Autrement dit, le 14e amendement – qui impose les garanties de la Déclaration des droits aux États et interdit aux États de porter atteinte à ces garanties – permet également au Congrès d'intervenir lorsque les États ne respectent pas les droits fondamentaux, fondamentaux et protégés par la Constitution.
RépondreSupprimerLe gouvernement fédéral est-il venu à la rescousse de l'un d'entre nous dans des États assiégés où nos libertés ont été restreintes par décret exécutif ? Ils n'ont pas.
Les tribunaux, dont le rôle principal est d'appliquer et de faire respecter la Constitution, ont-ils invalidé les ordres illégaux des gouverneurs ou restreint les poursuites inconstitutionnelles de ceux qui ont eu le courage de les défier ? Ils n'ont pas.
Un organe législatif – étatique ou fédéral – a-t-il utilisé ses pouvoirs pour rédiger des lois invalidant les ordres illégaux, inconstitutionnels et immoraux des gouverneurs ? Ils n'ont pas.
Il y a un fil conducteur à travers tout cela, et cela mène à l'état sombre et funeste de la servitude volontaire - un état de choses lamentable et orwellien où les gens ont tellement peur d'un nouveau démon qu'ils se plient volontairement aux règles et aux commandes qui les ruinent. et écraser leurs libertés dans un vain espoir de sécurité.
Le fil conducteur de tout cela est la peur. Peur de la maladie et de la mort. Peur de renverser la vapeur. Peur d'exercer sa liberté personnelle. Peur que le gouvernement ait raison.
Tous ces blocages se sont produits du jour au lendemain. Il n'y a pas eu de grand débat public à leur sujet. Il y avait beaucoup plus d'acquiescement que de défi pour eux. Le public tenait pour acquis que les gouverneurs avaient en fait l'autorité qu'ils prétendaient avoir et pouvaient en fait devenir des dictateurs dans une crise de peur – une crise qu'ils ont créée. Maintenant que c'est en grande partie derrière nous, la question se pose : pourquoi avons-nous laissé cela se produire ?
C'est arrivé parce que nous tenons la liberté pour acquise. Nous remettons la Constitution en lieu sûr entre les mains d'hommes et de femmes qui, dans le conflit éternel de la liberté personnelle contre le pouvoir gouvernemental, se rangent du côté du pouvoir. Ce sont des gens élus par le peuple qui ne se soucient pas de la liberté ; ils se soucient du contrôle.
Au moment d'écrire ces lignes, il n'y a pas de réponse claire quant à la cause de COVID-19. Mais la cause de la pandémie prenait la liberté pour acquise. Quelle sorte de société est la nôtre ? Vous pouvez aller en prison pour pêcher ou coiffer sans permis, mais si vous êtes gouverneur, vous pouvez écraser la liberté de millions de personnes et détruire la propriété de milliers de personnes en toute impunité.
La prochaine fois que cela se produira, céderons-nous ou résisterons-nous ?
L'un des droits défendus par Jefferson et ses collègues fondateurs était le droit de se séparer du gouvernement - le droit d'éviter un gouvernement auquel on n'a jamais consenti. C'est le droit naturel fondamental pour lequel la Révolution américaine a été combattue.
Car un gouvernement sans le consentement de ceux qu'il gouverne est invalide et illicite — et sans autorité légitime. Cela ne dure que lorsque des masses de gens et de façonneurs d'opinion tiennent la liberté pour acquise.
Reprinted with the author’s permission.
https://www.lewrockwell.com/2021/06/andrew-p-napolitano/taking-liberty-for-granted/
Gasprom, l’Allemagne et le gazoduc NordStream-2
RépondreSupprimerle 3 juin 2021
Ce billet est une réflexion personnelle, il n’y a donc pas de sources citées.
Comme ils l’ont toujours fait les Américains se comportent en cow-boys et veulent dominer le monde comme ils ont dominé les grandes plaines et l’Ouest en exterminant si besoin était les population indigènes. Après avoir mis en place un système d’asservissement des pays européens depuis la fin de la seconde guerre mondiale leur objectif est aujourd’hui de mettre la main sur les ressources naturelles de la Russie comme ils l’ont fait en Irak sans grand succès. Tous les arguments les plus tordus sont donc utilisés par l’administration américaine pour ternir l’image de la Russie. Depuis le retour de la Crimée au sein de la Fédération de Russie après un référendum démocratique organisé non pas par Moscou mais par la population résidente conformément à une disposition de l’ONU précisant le droit des peuples à disposer de leur sort, ce camouflet infligé aux Etats-Unis (selon leur analyse) n’a pas été digéré et la Russie est devenue la bête noire de l’administration américaine. Toutes les occasions sont bonnes pour infliger des sanctions à la Russie et il faut admirer la patience et le pragmatisme du Kremlin.
Le cas du gazoduc NordStream-2 met au grand jour l’inconséquence de la politique étrangère américaine non plus contre la Russie mais contre l’Allemagne et par voie de conséquence contre l’ensemble de l’Europe car, pour les Américains ce n’est pas la perte du marché du gaz naturel liquéfié nord-américain qui serait à déplorer mais l’effritement de leur asservissement de l’Europe tel qu’ils l’ont construit depuis la fin de la seconde guerre mondiale. Le directeur de Gasprom a averti amicalement l’Allemagne que si le gazoduc n’était pas terminé avant l’hiver 2021-2022 leu pays se trouverait au devant de graves problèmes énergétiques. Le parti écologique allemand est bien placé pour diriger l’Allemagne après les élections législatives prochaines et il encourage avec la CDU le rapide achèvement des travaux de la pose du gazoduc car le charbon de mauvaise qualité utilisé pour produire de l’électricité nuit à leur sérénité. On ne peut que déplorer que la Chancelière n’ait pas osé faire preuve de plus de fermeté : six mois ont été perdus et dans six mois ce sera l’hiver. L’immense bateau russe qui pose la dernière partie du gazoduc se trouve dans les eaux territoriales allemandes et les travaux ont repris.
En dépit des menaces américaines le gazoduc sera terminé à temps. À nouveau les Américains auront perdu une bataille commerciale et on ne peut qu’espérer que l’Europe s’en trouvera confortée dans la mesure où elle comprendra enfin que depuis la chute du mur de Berlin et de l’URSS son avenir ne peut être assuré que par un rapprochement avec la Russie. Le Général de Gaulle l’avait formulé avec ce fameux concept d’Europe de l’Atlantique à l’Oural. Les Européens, à moins de consentir à leur servitude vis-à-vis des Etats-Unis, doivent s’ouvrir vers la Russie. Ce pays n’a plus aucune ambition hégémonique ni idéologique. Alors le gazoduc NordStream-2 est une chance pour l’Europe et cette chance doit être saisie …
https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/06/03/gasprom-lallemagne-et-le-gazoduc-nordstream-2/
(...) Comme ils l’ont toujours fait les Américains se comportent en cow-boys et veulent dominer le monde comme ils ont dominé les grandes plaines et l’Ouest en exterminant si besoin était les population indigènes. (...)
SupprimerN'accusons pas 'LES' Américains mais plutôt... les dirigeants. Car, c'est EUX qui déclenchent des guerres ici ou là et non le Peuple faute de Démocratie. (Les USA est une république).
Bill Gates et Warren Buffett s'associent pour construire une centrale nucléaire avancée dans le Wyoming
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 03 JUIN 2021 - 13:06
Pour le premier semestre, Zero Hedge a été particulièrement constructif sur le secteur de l'uranium (lire : ici, ici, ici), dont nous pensons que les sociétés uranifères bénéficieront d'un coup de pouce à mesure que l'euphorie ESG s'installe. Parmi les premiers signes d'un renouveau du nucléaire aux États-Unis après des décennies de négligence, la société de réacteurs nucléaires de pointe TerraPower LLC du milliardaire Bill Gates et la PacifiCorp de Warren Buffett ont été choisies par le Wyoming pour construire le premier projet de réacteur Natrium, selon Reuters.
Le gouverneur du Wyoming, Mark Gordon, a annoncé mercredi que l'État s'était associé à TerraPower, Rocky Mountain Power et PacifiCorp pour construire un réacteur Natrium dans une centrale à charbon en retrait d'ici sept ans.
La centrale nucléaire remplacera l'une des centrales au charbon de PacifiCorp, a déclaré Gordon. Il a déclaré que la capacité d'utiliser l'énergie nucléaire permettrait à l'État de maintenir ses objectifs futurs de devenir négatif en carbone tout en utilisant des combustibles fossiles.
"Je ne vais abandonner aucune de nos industries de combustibles fossiles. C'est absolument essentiel pour notre État", a déclaré Gordon.
Chris Levesque, président et chef de la direction de TerraPower, a déclaré : « En collaboration avec PacifiCorp, nous créons le réseau énergétique du futur où les technologies nucléaires avancées fourniront des emplois bien rémunérés et une énergie propre pour les années à venir. La technologie Natrium a été conçue pour résoudre un défi auquel les services publics sont confrontés alors qu'ils s'efforcent d'améliorer la fiabilité et la stabilité du réseau tout en atteignant les objectifs de décarbonation et de réduction des émissions."
« Ce projet est une opportunité économique passionnante pour le Wyoming. L'implantation d'un réacteur avancé Natrium dans une centrale au charbon du Wyoming pourrait garantir qu'un site de production de charbon autrefois productif continue de produire de l'énergie fiable pour nos clients », a déclaré Gary Hoogeveen, président et chef de la direction de Rocky Mountain Power, une division de PacifiCorp. « Nous menons actuellement une diligence raisonnable conjointe pour nous assurer que cette opportunité est rentable pour nos clients et convient parfaitement au Wyoming et aux communautés que nous servons. »
L'emplacement de l'usine de démonstration Natrium devrait être annoncé plus tard cette année.
RépondreSupprimerLe projet comprend un réacteur rapide refroidi au sodium de 345 mégawatts avec stockage d'énergie à base de sels fondus pour augmenter la puissance de sortie du système à 500 mégawatts pendant les heures de pointe. L'usine devrait coûter 1 milliard de dollars.
TerraPower explique le fonctionnement de la technologie Natrium.
- voir clip sur site -
Les taureaux d'uranium sont de plus en plus convaincus des perspectives du secteur, car les prix ont évolué après environ une décennie dans la boue.
Le nucléaire sera-t-il le prochain « ESG Craze » ? Hugh Hendry et Michael Burry (deux gestionnaires de fonds spéculatifs emblématiques) ont tous deux sauté sur la tendance atomique plus tôt cette année, Burry appelant les libéraux à « convertir les États-Unis au nucléaire », ajoutant le hashtag #greenfuturenow.
- voir graphique sur site -
Dernièrement, Larry McDonald de The Bear Traps Report a déclaré : « Les prix de l'uranium doublent au cours des 12 prochains mois. Forte conviction. C'est le jeu de l'énergie verte pure et centriste, l'énergie nucléaire.
McDonald a déclaré que les meilleures pièces nucléaires étaient "Nexgen, Denison, CCJ, URA ETF".
Gates semble surfer sur la vague ESG car sa première grande opportunité de brancher Terrapower au réseau électrique du Wyoming pourrait se produire d'ici 2028 ou avant.
https://www.zerohedge.com/commodities/bill-gates-and-warren-buffett-team-build-advanced-nuclear-plant-wyoming
ESG = L'énergie cesse de croître
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 03 JUIN 2021 - 08:46
Soumis par Adventures in Capitalism,
Pendant la majeure partie de ma carrière, la demande de pétrole a augmenté chaque année et l'offre s'est à peu près maintenue. Bien sûr, c'est dépassé dans les deux sens. Nous avons vu des pénuries et nous avons vu des surabondances. Nous avons même vu le pétrole devenir négatif. Tout au long de cette période, nous avons toujours su intuitivement que le remède contre les prix élevés était des prix élevés. La semaine dernière a peut-être changé à jamais cette logique prudente. Je commence à me demander si ESG signifie vraiment que l'énergie cesse de croître.
Pour ceux qui n'y prêtent pas attention, un obscur fonds spéculatif ESG, Engine No. 1, a remporté deux sièges au conseil d'administration d'Exxon Mobil. Il semble maintenant que pour les sociétés dans les indices, celui qui contrôle les votes de l'ETF contrôle désormais effectivement leur destin d'entreprise. Les ETF concernent le marketing et la collecte d'actifs. Il n'y a pas de meilleur moyen de rester dans l'actualité, en ayant l'air responsable, que de polir vos références ESG. Un gestionnaire d'ETF se soucie-t-il que l'énergie, l'une des plus petites pondérations dans la plupart des indices, soit désormais forcée de détruire le capital en se mettant en liquidation tout en essayant de faire des choses « vertes » ? Probablement pas - ils applaudissent tous car BP fait exactement cela. L'attaque contre XOM était censée être un coup de semonce pour l'ensemble des entreprises américaines ; suivez l'ESG ou risquez une attaque de pirates.
Pendant ce temps, en Europe, Royal Dutch Shell s'est fait dire par un tribunal de La Haye de réduire ses émissions de 45% d'ici 2030. De toute évidence, c'est impossible même s'ils ne forent pas un autre puits. Je m'attends à ce que cela ne fasse qu'enhardir des poursuites similaires. La plupart seront jetés, mais suffisamment seront décidés contre les producteurs d'énergie pour que cela fasse bouger l'aiguille. Si les tribunaux légifèrent contre la production d'énergie, les producteurs se retrouveront en ruissellement. Ce n'est pas comme si de nombreux investisseurs cherchaient à financer la croissance de la production de toute façon.
Si vous détournez les conseils d'administration des sociétés énergétiques et les obligez à arrêter le forage et que les tribunaux disent aux sociétés énergétiques d'arrêter le forage, il n'y aura bientôt plus de nouvel approvisionnement car les producteurs comprendront le message et arrêteront le forage. Pendant ce temps, la demande continuera de croître, c'est toujours le cas. Alors que ces points de données continuent de s'accumuler, je commence à me demander si nous nous précipitons vers une crise énergétique.
RépondreSupprimerJe ne suis pas du genre à me lancer dans la politique des choses. Mon travail consiste plutôt à examiner le monde et à trouver comment tirer profit de la bêtise humaine. Si l'offre d'énergie est restreinte, alors que la demande continue de croître, les prix de l'énergie devront augmenter pour compenser. Le problème est que j'ai eu du mal à savoir comment "jouer" cela. Le moment d'acheter des producteurs d'énergie était l'année dernière et je ne suis certainement pas le genre d'investisseur qui paie quelques cent pour cent. En outre, les producteurs d'énergie sont à la merci des votes de l'ETF, des tribunaux malhonnêtes et des décrets. Je suis sûr que des fortunes se feront dans les E&P, mais ce n'est pas mon jeu. J'essaie d'éviter les risques ésotériques quand je le peux.
- voir graphique sur site -
Je veux attirer votre attention sur le tableau ci-dessus. On le sait, l'avant de la courbe du WTI est criard, mais le marché reste convaincu que l'offre est abondante d'ici quelques années. Rappelez-vous à quel point il était facile pour les gars du schiste d'augmenter la production la dernière fois ? Mon intuition est que la montée en puissance se fera plus lentement cette fois-ci, tandis que de nombreuses années de sous-investissement dans le monde commenceront à faire des ravages sur l'offre. Et si XOM n'était que le premier de nombreux détournements d'ETF ? Que se passe-t-il si l'attaque contre XOM change la façon dont les PDG dirigent leurs sociétés énergétiques ? s'ils veulent conserver leurs emplois pépères, ils devront peut-être arrêter de forer. Et si les dirigeants des plus grands ETF pensaient qu'ils peuvent accélérer la transition vers l'énergie « verte » en augmentant considérablement les prix du pétrole et en rendant les produits « verts » plus compétitifs ? Cela semble certainement plus facile que de faire pression sur les gouvernements pour obtenir des subventions « vertes » tout en augmentant les taxes sur les combustibles fossiles, en particulier dans les marchés émergents moins axés sur l'environnement. Si l'augmentation du prix du pétrole est leur plan de transition « vert », la hausse actuelle des prix du pétrole ne sera pas une chose à court terme. Peut-être que le feu de l'action est encore à venir et c'est dans les contrats différés ?
J'évoque tout cela car le contrat de décembre 2025 n'est supérieur que de 6 $ à ce qu'il était lors de la surabondance de pétrole de l'année dernière, bien qu'il ait augmenté de 10 $ au cours des 6 derniers mois. En raison du déport de la courbe, les options d'achat sont plutôt bon marché. Si l'offre reste limitée, d'ici 2025, la demande devrait ajuster le prix du pétrole beaucoup plus haut, peut-être considérablement plus haut. Il semble étrange que compte tenu de ce que nous venons de voir la semaine dernière, les contrats différés n'aient pas vraiment réagi, mais c'est peut-être là que se situe toute l'action exponentielle. En tout cas, j'aime posséder des choses qui n'ont pas encore vraiment bougé, malgré une évolution positive de la thèse. J'aime la simplicité des échanges, plutôt que de deviner quel producteur ou fournisseur de services acheter. La semaine dernière, j'ai acheté des contrats à terme et des options d'achat à terme de décembre 2025. Malgré une appréciation continue à l'avant de la courbe, l'arrière ne s'est pas vraiment réveillé. J'ai pensé que je devrais porter cela à votre attention. J'ai le pressentiment que l'ajout d'un nouvel approvisionnement au cours de ce cycle sera beaucoup plus difficile que prévu, car personne ne s'attend à ce que le nouveau type de barrages routiers se dresse soudainement. Si c'est le cas, ce n'est clairement pas pris en compte.
RépondreSupprimerhttps://www.zerohedge.com/markets/esg-energy-stops-growing
Levons l’obligation du port du masque en extérieur !
RépondreSupprimerÀ quoi peut donc servir cette interdiction de se promener sans masque ? À rendre la pandémie visible pour que les Français ne baissent pas leur garde.
Par Adnan Valibhay.
4 JUIN 2021
Souvenez-vous, c’était au printemps. Les pharmaciens n’avaient pas le droit de vendre des masques. Pire, ceux qui ne respectaient pas cette interdiction pouvaient s’exposer à six mois de prison et à 10 000 euros d’amende. Le 20 mars 2020, à Annecy, le gérant d’une officine pharmaceutique a ainsi été poursuivi pour avoir vendu 230 masques à prix coûtant et avoir simplement fait ce qu’il estimait relever de son devoir.
Aujourd’hui, le port du masque du masque en extérieur peut être obligatoire. Tout contrevenant s’expose même à 135 euros d’amende à moins qu’il fasse du vélo, court, fume ou mange. Toutefois, les forces de l’ordre se montrent bien souvent compréhensives en ne verbalisant pas les personnes dont la bonne foi est manifeste, ce qui est tout à leur honneur.
PRUDENCE EXCESSIVE
Dans l’inconscient collectif, le port du masque sert à freiner la diffusion du SARS-CoV-2 et son efficacité est démontrée. C’est vrai en intérieur, mais discutable à l’extérieur. Le 11 mai dernier, le New York Times a publié un article dans lequel il est affirmé que le Centre pour le contrôle et la prévention des maladies, soit la plus haute autorité de santé américaine, a déclaré que moins de 10 % des contaminations au Covid advenaient en extérieur.
Cet article, décidément très critique, indique que cette statistique se fonde en partie sur une mauvaise classification de certaines contaminations qui ont en réalité eu lieu dans des lieux clos. La part des contaminations en extérieur, selon la même source, se situerait sous la barre des 1 %.
Accréditant cette thèse, une étude chinoise, publiée pour la première fois le 31 octobre 2020 par les chercheurs Hua Qian, Te Miao et Yuguo Li, a conclu que sur 7324 cas de contaminations, seulement une seule était survenue en plein air, dans le cadre d’une conversation entre deux personnes.
OUI À L’INTÉRIEUR, NON À L’EXTÉRIEUR
En conséquence, même en admettant que certains variants se transmettent plus aisément en plein air, le port du masque ne saurait être justifié tant les chiffres tendent à démontrer que les cas de contaminations en extérieur, hors de tout lieu clos, sont résiduels et manifestement négligeables.
Que cette obligation vaille dans le métro, ou dans les lieux de travail, soit. Mais qu’elle cesse dans les jardins ou les trottoirs où elle ne fait qu’accroître le mal-être des Français dont le moral est déjà au plus bas.
À quoi peut donc servir cette interdiction de se promener sans masque ? À rendre la pandémie visible pour que les Français ne baissent pas leur garde. Le problème est que dans une démocratie libérale, le principe est censé être la liberté, pas la sécurité. L’État doit donc impérativement cesser de jouer au Diafoirus, célèbres médecins du Malade imaginaire en levant cette interdiction au plus vite.
Un article publié une première fois dans Les Échos.
https://www.contrepoints.org/2021/06/04/398903-levons-lobligation-du-port-du-masque-en-exterieur
Comme il a été expliqué maintes et maints fois par les scientifiques et le personnel médical, le masque ne sert A RIEN ! Car, d'une part les masques proposés ('bleu-blanc' dits 'masques chirurgicaux') ont un maillage de 50 à 150 microns, les masques dits 'les plus fins' sont les FFP2/N95 ('bec de canard' avec valve d'expiration) ont un maillage de 3 microns alors que le virus 'corona' ne mesure que 0,1 à 0,5 micron !!!!
SupprimerZ'avez compris maintenant ?
AVEC ou SANS masque nous respirons TOUTES & TOUS 200 000 virus ou microbes PAR MINUTE et 2 millions en activité physique !!!
DONC: On en a respiré DES milliards depuis ce matin et, des milliards de milliards de trains de milliards depuis notre naissance !! ET NOUS NE SOMMES PAS MORT(E)S !!!!! Çà alors !!
Mais... alors pourquoi la dictature nous impose t-elle le port du masque ?
Très bonne question ! Le masque contient DES nano-particules (semblables à celles proposées à vous faire injecter contre le 'corona' !!).
A quoi servent ces nano-particules ?
Ce sont ce que l'on appelle des 'poussières intelligentes' et, ces smart dust vont servir de relais vers la 5G. Elles se mettent en rang et forment ce que l'on appelle des morgellons. C'est-à-dire que vous ne maîtriser désormais plus votre corps ni vos pensées ! Tous les jours vous criez 'vive la dictature' ! Vous adorez regarder les merdias et allumez la télé au premier pied posé au sol ! Vous projetez des désinfectants de partout chez vous !
Or, désolé de vous contredire mais... le virus... n'est PAS vivant ! Un virus est une poussière ! Alors, tuez une poussière... hum-hum ! Il ne faut pas confondre avec un microbe ! Un microbe est aussi appelé bactérie. C'est un pseudonyme à la con comme celui du tartre qui s'appelle aussi le calcaire qui s'appelle aussi calcium ! Bêh ouais ! Les gros cons qui refusent de boire de l'eau parce qu'elle est calcaire, subissent des fractures des os, de la hanche, etc et, vont chez le pharmaciens chercher... du calcium ! HAHAHAHAHA !
Âh les cons ! Ah les cons !!
Il y a celles & ceux qui écoutent les scientifiques (interdits de télés) et il y a celles & ceux qui écoutent les merdias !
😎 Visualisation de la taille relative des particules (comme COVID-19)
mardi 20 octobre 2020
https://huemaurice5.blogspot.com/2020/10/visualisation-de-la-taille-relative-des.html
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😎 Le COVID-19 est une 'arme biologique sans restriction': un lanceur d'alerte publie un deuxième article alléguant 'une fraude scientifique organisée à grande échelle'
Li-Meng Yan, virologue chinoise (MD, PhD)
jeudi 8 octobre 2020
https://huemaurice5.blogspot.com/2020/10/le-covid-19-est-une-arme-biologique.html
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😎 Une neurologue allemande met en garde contre le port du masque : « La privation d'oxygène provoque des dommages neurologiques irréversibles »
Dr Griesz-Brisson
vendredi 9 octobre 2020
https://huemaurice5.blogspot.com/2020/10/une-neurologue-allemande-met-en-garde.html
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😎 La grande loi saisonnière sur la disparition de la grippe / grippe saisonnière 2020
jeudi 31 décembre 2020
https://huemaurice5.blogspot.com/2020/12/la-grande-loi-saisonniere-sur-la.html
Didier Raoult assure que son QI est probablement le plus élevé au monde
RépondreSupprimer20:17 03.06.2021
Aux formules choc, typiques de Didier Raoult, s’ajoute une histoire de QI de 180, plus élevé que celui d’Einstein et Copernic. Une affirmation lancée dans un livre consacré au professeur marseillais, ardent défenseur de l’hydroxychloroquine.
Un pédopsychiatre aurait évalué à 180 le QI de Didier Raoult, quand le futur infectiologue n’avait que 14 ans, confient dans une interview à L’Express les journalistes Ariane Chemin et Marie-France Etchegoin, auteures de «Raoult. Une folie française».
«Un jour, alors que j’avais 14 ans, un pédopsychiatre a dit à mon père: “Écoutez, votre gosse a 180 de QI. Laissez-le faire. Tout ira bien.”», exposent les journalistes dans leur livre intitulé «Raoult. Une folie française», dont des extraits ont été publiés par Le Monde.
Des génies comme Albert Einstein, Mozart ou encore Copernic auraient eu un QI bien moins élevé que celui du professeur marseillais, avec respectivement 160, 150 et 130.
«Plus intelligent que les autres»
«Raoult vit avec cette assurance qu’il est plus intelligent que les autres. Cela explique nombre de ses réactions, sa manière de rabrouer une journaliste de BFM ou un député lorsqu’ils posent des questions qui touchent au cœur de ses contradictions», suppose Ariane Chemin dans L’Express.
Depuis le début de la pandémie, le professeur le plus controversé de France défend fermement son protocole anti-Covid élaboré à partir de l’hydroxychloroquine. Il continue de camper sur ses positions un an après, malgré le fait que certaines études aient démontré l’inefficacité de ce médicament, bien que la chloroquine soit très efficace contre le paludisme. Dans une interview à BFM TV en avril, l’infectiologue affirmait que cette molécule permet de «diminuer de 75% le risque de mort […]. C’est juste une question de temps» avant que la communauté scientifique ne lui donne raison.
Décoré de la Légion d’honneur en 2011 et élevé récemment à la dignité de commandeur dans l’ordre du Lion par le Président sénégalais, l’infectiologue aime visiblement les déclarations choc.
«On va longtemps se souvenir de ses perles: “Trois Chinois qui meurent, ça fait une alerte mondiale”, “le Covid, moins de morts que par accidents de trottinette”», rappelle Marie-France Etchegoin, coauteure du livre.
Dans l’une de ses vidéos publiées sur YouTube en mai, Didier Raoult avance que le taux de protection des vaccins anti-Covid est d’environ 50% et qu’ils ne limitent pas «d’une manière significative la circulation du virus». Pareilles déclarations font le bonheur des anti-vaccins. De plus, le directeur de l’IHU Méditerranée à Marseille nourrit une obsession pour les laboratoires pharmaceutiques, notamment Gilead.
RépondreSupprimerMi-mai, Philippe de Villiers assurait sur CNews que le professeur Raoult lui avait conseillé de boire du pastis: «comme on le prend à Marseille», en «deux doses», comme «un vaccin». Si cette déclaration peut être considérée comme une bonne blague entre amis, Didier Raoult est formel: le Covid-19 est «une maladie qui est très peu immunisante», insiste-t-il auprès de BFM TV.
«Mais ce qui est fabuleux avec Didier Raoult, c’est qu’il ne reconnaît jamais ses erreurs […]. Raoult a toujours raison, même quand il se trompe», remarque Ariane Chemin.
«Dépister, tracer, isoler»
En revanche, l’infectiologue a été toujours partisan de la stratégie «dépister, tracer, isoler», soulignent les auteures de «Raoult. Une folie française».
Ainsi, elles révèlent que le 31 janvier 2020, quand un avion avec des Français rapatriés de Wuhan (berceau de la pandémie de Covid-19) a atterri à quelques kilomètres de l’IHU de Marseille dont il est le directeur, Raoult a envoyé des membres de son institut pour les tester directement dans l’avion afin de pouvoir ensuite isoler les malades. Pourtant, les autorités ont refusé son initiative pour des raisons administratives. «On n’en a pas eu conscience à l’époque, mais en creusant cet épisode, nous avons compris qu’il venait d’être humilié», expose Ariane Chemin.
Macron, «horriblement sympathique»
Le 9 avril 2020, au début de la pandémie, le Président de la République lui a rendu visite dans son IHU, où il a déclaré que le professeur a été «le premier» à lui expliquer l’importance du dépistage.
«Parfois, on a l’impression que les cervelles se frottent les unes contre les autres. Quand cela arrive, comme avec le Président, c’est agréable […]. Macron est comme moi, ça se voit assez rapidement, il sait reconnaître les gens qui sont intelligents. En plus, il est horriblement sympathique», résume Didier Raoult.
«Il a réussi à devenir un “héros” très français, positif pour les uns, négatif pour les autres», conclut auprès de L’Express Marie-France Etchegoin.
Les e-mails de Fauci, le prochain scandale à venir ? #FauciEmails #FauciLeaks
RépondreSupprimerJaesa
Iatranshumanisme.com
jeu., 03 juin 2021 11:22 UTC
Les e-mails de Fauci font la Une aujourd'hui. BuzzFeed a publié 3 200 pages d'e-mails. Les mails ont été obtenus en vertu de la Freedom of Information Act (FOIA).
Plus de 3 200 pages d'e-mails obtenues dans le cadre d'une action en justice au titre de la loi sur la liberté de l'information (Freedom of Information Act) déposée par BuzzFeed News - couvrant la période de janvier à juin 2020 - offrent un rare aperçu de la manière dont Fauci abordait son travail pendant la plus grande crise sanitaire, le montrant en train de traiter directement avec le public, les responsables de santé, les journalistes et même les célébrités. Le Washington Post a également reçu plus de 800 pages d'e-mails et a publié un article.
Ces milliers de pages montrent comment Fauci a tenté de calmer les Américains et de développer une stratégie.
Dans The Guardian, parmi les courriels les plus révélateurs figurent ceux provenant de correspondants fortunés ou influents.
Dans l'un d'eux, daté du 3 avril de l'année dernière, Fauci évoque une conversation avec le fondateur de Microsoft, Bill Gates, au sujet d'un effort mondial de vaccination et s'est dit "enthousiaste à l'idée d'aller de l'avant dans une "approche collaborative et, espérons-le, synergique concernant le Covid-19" impliquant les agences de santé fédérales et la Fondation Bill et Melinda Gates, selon les courriels.
Il y a également des échanges de courriels avec le fondateur de Facebook, Mark Zuckerberg, au sujet de la création d'un centre d'information sur le coronavirus sur les médias sociaux, et un autre avec l'acteur Morgan Freeman qui propose de diffuser le message Covid-19 à ses 100 000 followers sur Twitter.
Les courriels montrent également que Fauci a reçu une rafale de correspondance indiquant que le coronavirus avait fui d'un laboratoire de Wuhan. Les réponses de Fauci sont censurées.
Obtenu par BuzzFeed News via FOIA. Visible page 2286 du pdf des 3 200 pages d’e-mails https://www.documentcloud.org/documents/20793561-leopold-nih-foia-anthony-fauci-emails
Dans The National Pulse on découvre que le Dr Anthony Fauci - qui a nié à plusieurs reprises avoir participé à des recherches sur les "gains de fonction" (militarisation des virus) - a envoyé des mails de panique aux membres du personnel du National Institutes for Allergies and Infectious Disease (NIAID) au début de la pandémie.
Obtenu par BuzzFeed News via FOIA
RépondreSupprimerL'article académique joint à l'e-mail s'intitule : A SARS-like cluster of circulating bat coronaviruses shows potential for human emergence. Il y est question de la manière dont des chercheurs américains et chinois manipulent les virus pour mieux comprendre comment ils peuvent s'attacher aux humains.
Selon le National Institute for Health , « la recherche sur le gain de fonction (GOF) peut présenter des risques en matière de biosécurité et de biosûreté. »
Ça confirme l'explication du Pr Montagnier et de Henrion-Caude.
The Insider Paper sur le FOIA #FauciEmails twitte également :
Il a eu des discussions urgentes sur le gain de fonction.
A ignoré le scientifique qui lui a dit que la Chine avait menti sur le virus et les données.
A été informé d'une possible fuite du laboratoire de Wuhan.
On lui a dit par courriel que les masques de détail ne fonctionnaient pas en raison de la taille du virus.
Un autre qui indique que le Dr Fauci a animé un groupe de discussion sur le gain de fonction.
Les premiers #FauciEmails montrent que l'on est conscient du risque d'aggravation de la maladie après la vaccination par le COVID, comme cela a été le cas pour les candidats vaccins contre le SRAS.
Dans un email que le physicien Erik Nielsen a envoyé à Fauci en mars 2020, il a recommandé non pas un, mais deux médicaments qui pourraient aider à combattre le #COVID19. L'un des médicaments était l'Hydroxychloroquine (p.153-154).
Selon Fauci, les masques ne sont pas nécessaires à moins d'être malade et il fait remarquer que le SARS CoV 2 est si petit qu'il passe facilement entre les fibres des masques.
Beaucoup d'Américains sont en colère et ne comprennent pas pourquoi certains des #FauciEmails sont dissimulés par la plupart des médias. En effet, nous ne retrouvons aucun des e-mails dignes d'intérêt dans les comptes rendus des médias (sauf National Pulse cité plus haut) et ils n'ont même pas pris la peine de faire une enquête plus poussée.
Quoi qu'il en soit, la fuite du laboratoire de Wuhan est de plus en plus plausible.
Le référentiel complet des e-mails peut être trouvé et lu ici.
Les courriels divulgués dressent un tableau accablant de la crédibilité du Dr Fauci.
Mises a jour :
The Daily Caller : Le service de presse de la Maison Blanche n'a aucune question sur les emails du Dr. Fauci.
The National Pulse : Des emails montrent que Fauci a ignoré les avertissements d'un docteur en physique concernant les fausses données COVID chinoises.
Yahoo! News, NewsBytes : La divulgation des emails du Dr Fauci de 2020 révèle qu'il connaissait la théorie de la fuite du laboratoire.
- voir doc sur site :
https://fr.sott.net/article/37353-Les-e-mails-de-Fauci-le-prochain-scandale-a-venir-FauciEmails-FauciLeaks
(...) La divulgation des emails du Dr Fauci de 2020 révèle qu'il connaissait la théorie de la fuite du laboratoire. (...)
SupprimerRepéré en Chine en Novembre 2019
Repéré en Italie en Septembre 2019
Repéré en Espagne en Janvier 2019
Enquête Revolver, deuxième partie : dévoiler le complot des médias visant à cacher les décès enregistrés par les vaccins et à tromper les Américains
RépondreSupprimer2 juin 2021
Note du lecteur : il s'agit de la deuxième partie d'une série en trois parties. Si vous ne l'avez pas encore fait, veuillez lire la première partie ici:
https://www.revolver.news/2021/06/revolver-part-one-covid-vaers-deaths-cover-up/
par Michael Thau, Ph.D.
Le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) est une base de données gérée par le CDC qui recueille des rapports sur les problèmes de santé rencontrés après la prise d'un vaccin.
Il vise à identifier les effets secondaires potentiels que les tests d'innocuité préalables à la commercialisation peuvent avoir manqués. Selon le CDC, le VAERS est censé être « le système de première ligne du pays pour surveiller la sécurité des vaccins ». Ceci est particulièrement critique pour les injections COVID-19, car elles ont été les premières à être mises sur le marché sans les tests de sécurité à long terme requis pour l'approbation de la FDA. Voir la partie 1 de cette série.
Vous espérez que si un nouveau vaccin finissait par obtenir plus de rapports de décès en cinq mois que tous les autres combinés au cours des 28 années précédentes, cela pourrait mériter une certaine attention.
Détrompez-vous.
REGARDER : DÉCOUVREZ LES DERNIÈRES INTERVIEWS DE DARREN BEATTIE
Une armée de journalistes et de fact-checkers autoproclamés se tient prête à assiéger quiconque oserait rendre compte de ces données étonnantes. Non seulement il n'y a rien à voir, mais suggérer le contraire fait de vous un théoricien du complot ou un extrémiste d'extrême droite, selon nos meilleurs dans les faux médias.
Mais la diffamation vide n'a pas été la seule technique calomnieuse employée par les pouvoirs en place.
Nombre réel de décès inconnu
Le VAERS repose entièrement sur la déclaration volontaire, mais presque personne ne sait qu'il existe, il ne doit donc capturer qu'une fraction des effets secondaires réels.
Lorsque Tucker Carlson a attiré l'attention sur les rapports qui s'accumulaient dans le VAERS, le Washington Post, Forbes et la plupart des autres dénigrants ont omis de mentionner sa référence explicite à un groupe de chercheurs de Harvard qui ont démontré de manière concluante que le taux de détection du VAERS est abyssal. Encore une fois, voir la partie 1 de cette série.
La conclusion de Carlson selon laquelle personne ne connaît réellement le nombre réel de personnes décédées après la vaccination contre Covid a été assaillie avec désinvolture par les odieux propagandistes de Media Matters. Ils ont fait une réfutation non pertinente qui impliquait un mensonge flagrant :
Mais, ces données existent. Alors que les Centers for Disease Control and Prevention supervisent le VAERS, il gère également le Vaccine Safety Datalink (VSD) du CDC. [Les médias comptent]
Mais bien sûr, les données existent quelque part. Le point de Carlson était que personne ne l'a collecté et analysé pour déterminer le nombre réel de décès post-vaccin COVID.
De plus, il n'existe pas chez VSD, qui ne contient des informations que sur neuf établissements de santé dispersés aux États-Unis – pas dans l'ensemble du pays. Et son objectif est de « mener des études basées sur des questions ou des préoccupations déjà soulevées par la littérature médicale et les rapports au VAERS », de ne pas être un système de détection de première ligne à part entière.
Ainsi, quelqu'un devrait passer au crible activement les données du VSD pour connaître le nombre de décès post-vaccination survenus dans ces neuf établissements uniquement. Et il n'y a aucune indication que quelqu'un ait fait cela.
RépondreSupprimerNon seulement personne ne connaît le nombre réel d'Américains décédés après avoir pris un vaccin Covid, mais personne en charge ne semble même s'en soucier.
Les médias fournissant la couverture de nos suzerains de vaccins ont également gardé un silence méprisable sur le peu de rapports reçus avant les vaccins COVID-19. Les médias ont fustigé les gens pour avoir mentionné "simplement" 4 000 rapports de décès en cinq mois, sans mentionner qu'avant l'arrivée des vaccins Covid, le VAERS n'avait dépassé qu'une seule fois les 200 rapports de décès en une année entière au cours de ses trois décennies d'histoire.
Encore une fois, le décompte du VAERS montre 1 000 décès de plus que le nombre de personnes qui ont péri le 11 septembre.
Mais le fait est que, du début à la fin, Carlson a clairement indiqué que son point principal ne concernait même pas VAERS.
Son sujet était l'intimidation et la censure qui s'accumulent contre « quiconque ose remettre en question les vaccins », et il a passé plus de temps à faire la chronique de cas inquiétants qu'il ne l'a fait sur VAERS.
Rien n'aurait pu mieux prouver le point de vue de Carlson que les réponses ignobles et malhonnêtes déformant à la fois ses propos et les faits.
Comme Carlson l'a noté, les données qui s'accumulent dans le VAERS ne nous disent pas nécessairement quoi que ce soit sur les vaccins Covid. Peut-être que la publicité incessante a considérablement augmenté la probabilité que des effets secondaires potentiels soient signalés.
Mais sans examiner la question, il est tout aussi probable que les reportages aient été supprimés par la diffamation de quiconque soulève la possibilité que se faire piquer soit tout sauf parfaitement inoffensif.
Qui sait? Le fait est que nous ne le ferons pas jusqu'à ce que quelqu'un regarde.
Quoi qu'il en soit, le volume de rapports de décès inondant le VAERS est extraordinaire. L'effort pour détruire quiconque dit le contraire fait un investissement complet
Quoi qu'il en soit, le volume de rapports de décès inondant le VAERS est extraordinaire. L'effort pour détruire quiconque dit le contraire rend une enquête complète beaucoup moins probable et pourrait laisser présager quelque chose de très sombre en effet.
Nous avons à peine sondé les profondeurs de la dissimulation VAERS.
Des mensonges absurdes
RépondreSupprimerLes gardiens narratifs cachent également une source importante de sous-estimation qui se produit probablement précisément en raison du volume sans précédent de rapports entrants.
De plus, ils l'ont souvent fait en disant quelque chose à la fois faux et absurde.
Jack Brewster de Forbes, par exemple, a à la fois révélé et justifié le mépris total qu'il a pour l'intelligence de ses lecteurs avec cette absurdité risible :
VAERS est conçu pour permettre à quiconque de signaler un événement, ce qui signifie que les données ne sont pas vérifiées… [Forbes]
Mais, au cas où vous seriez aussi stupide que les personnes qui lisent Forbes le sont évidemment, le fait que n'importe qui puisse soumettre un rapport ne signifie évidemment pas qu'il est entré dans la base de données sans aucune vérification.
Aaron Blake du Washington Post a montré un peu moins de dédain pour son public en prenant au moins la peine de fournir une fausse source pour son affirmation selon laquelle les "données du système VAERS ne sont pas vérifiées". Il a fait un lien avec une autre tentative d'écraser la discussion de ses collègues charlatans de PolitiFact qui, bien qu'elle affirme effectivement que les rapports VAERS "ne sont pas vérifiés avant d'être entrés dans la base de données", ne donne aucune indication d'où ils tirent l'idée.
La vaste armée de trolls Internet du régime s'en donnerait à cœur joie si l'affirmation non vérifiée de PolitiFact était vraie. Le «système de première ligne pour surveiller la sécurité des vaccins» du CDC – en plus de sous-estimer massivement les effets secondaires potentiels en raison d'un manque de sensibilisation au VAERS parmi le personnel médical (voir partie 1) – serait également bourré de rapports faisant état de personnes décédées de causes non liées.
Vous savez, comme le nombre de décès dus au COVID-19.
Nous savons depuis le début que le nombre officiel de morts du virus confond délibérément la mort avec Covid et la mort de Covid. En fait, un certain nombre de facteurs garantissent un nombre inconnu mais énorme de fausses entrées dans le bilan officiel des morts. Les médias suggèrent sans preuve qu'il en va de même pour les rapports de décès dus au vaccin post-Covid qui inondent le VAERS, prouvant ainsi le vieil adage selon lequel "il existe trois types de mensonges: les mensonges, les mensonges maudits et les statistiques".
Un effort de l'AP pour étouffer toute discussion publique dans l'œuf contenait cette remarque manifestement trompeuse du Dr Sean O'Leary, "vice-président du comité sur les maladies infectieuses de l'American Academy of Pediatrics et professeur de pédiatrie à l'Université du Colorado" :
Par exemple, si vous vous faites vacciner et que vous êtes frappé par la foudre, vous pouvez le signaler au VAERS. [PA]
En effet, vous pouvez. Mais la suggestion implicite du Dr O'Leary selon laquelle non seulement de tels rapports sont systématiquement saisis, mais que les rapports de décès post-COVID-jab en incluent tellement qu'ils peuvent être ignorés en toute sécurité, est une tromperie si basse qu'il devrait être déchu de sa licence médicale.
RépondreSupprimerLes médias du régime utilisent cette affirmation accablante non pas pour discréditer le CDC, dont ils insistent néanmoins pour que nous prenions la parole comme un évangile, mais pour calomnier et intimider ceux qui supposent qu'une base de données accessible au public ne sera pas pleine de données poubelles.
Si le CDC ne lève vraiment pas le petit doigt pour éliminer les farceurs et les saboteurs, alors ils doivent délibérément fomenter le supposé sentiment « anti-vaccin » irrationnel que nous sommes censés penser être si dangereux.
Mais, au moins à cette occasion, l'agence semble innocente de tout ce qui est sordide puisqu'elle conseille explicitement à quiconque soumet un rapport que :
Le VAERS vous contactera si des informations de suivi (c'est-à-dire des dossiers médicaux ou d'autres documents médicaux) sont nécessaires. [Dépt. de la santé et des services sociaux]
Cette phrase semblerait clairement indiquer qu'il y a une sorte de vérification.
Mais c'est aussi la 11e réponse sur une page répertoriant 17 questions, sur chacune desquelles il faut cliquer pour voir sa réponse. Et la question elle-même ne mentionne pas la vérification.
De plus, après avoir passé quelques heures à essayer d'en savoir plus sur la vérification, cette phrase pas facile à trouver ni terriblement informative est la seule chose qui s'est produite.
Il semble donc que les responsables du CDC doivent être si irrémédiablement corrompus qu'ils souhaitent réellement mettre en place un système de signalement qui compte à peine une fraction des effets secondaires potentiels des vaccins. Il semble également qu'ils ne souhaitent pas trop que quiconque sache ce qu'il advient des rapports VAERS entre la soumission et la publication. Le CDC ne semble pas non plus fournir d'informations sur la question connexe du temps de latence, ce qui amène la plupart des gens à supposer que ce qu'ils voient à un moment donné représente tout ce qu'il y a actuellement.
Mais vous savez ce qu'ils disent sur l'hypothèse.
Combien de rapports supplémentaires n'ont pas été connectés ?
Il y a beaucoup de raisons de penser que les effets secondaires sont au moins jusqu'à présent largement sous-estimés.
Par exemple, il y a autant de rapports de maladies mortelles qu'il y a de décès.
En fait, les vaccins COVID-19 ont provoqué un nombre sans précédent de rapports de toute nature.
Et, comme l'a noté Alex Berenson, il est probable que tout système qui affiche soudainement plus de rapports en une seule semaine qu'il n'en enregistrait au cours d'une année entière soit suffisamment débordé pour avoir un arriéré important.
Berenson a également signalé une femme qui a soumis un rapport VAERS en janvier mais n'a reçu une demande d'informations supplémentaires qu'à la fin avril. Dans l'intervalle, un quart de million de rapports à couper le souffle ont été ajoutés, suggérant que l'arriéré pourrait être énorme.
RépondreSupprimerMais il y a aussi d'autres raisons de penser que le CDC doit être en possession d'un volume extraordinairement important de rapports dont ils ne nous parlent pas.
Voici une capture d'écran du 12 mai du nombre de rapports de vaccins COVID enregistrés dans le VAERS, triés par mois de vaccination.
Voici la même demande de données le 28 mai.
Comme vous pouvez le voir, sur 16 jours en mai, les rapports ont continué d'augmenter pour les personnes vaccinées chaque mois depuis décembre. Voici cette augmentation de mai pour chaque mois de vaccination.
Au 28 mai, 88 % des symptômes indésirables signalés après la vaccination contre Covid se sont produits dans les 15 jours et 91 % dans les 30 jours. Ainsi, à moins que de nombreuses personnes attendent plusieurs mois pour déposer un rapport, le CDC doit avoir un arriéré important de rapports qui sont entrés des mois après leur réception.
Mais notez également que le 12 mai, les événements les plus indésirables ont été signalés chez les personnes qui avaient été vaccinées en janvier. Les rapports d'événements indésirables ont ensuite régulièrement diminué pour ceux qui ont été piqués de février à avril.
Et bien que les données du 28 mai montrent également le plus grand nombre de rapports pour les vaccinations de janvier, les rapports qui ont été ajoutés rendent la baisse moins significative et l'interrompent, créant un deuxième pic pour les personnes vaccinées en mars.
C'est tout à fait logique s'il y a un arriéré à combler rétroactivement puisque, comme vous pouvez le voir ci-dessous, le nombre total de doses administrées a culminé en avril et le nombre de premières doses en mars.
En l'absence d'arriéré, cela signifierait que les événements indésirables diminuaient considérablement même si le nombre de personnes se faisant piquer continuait d'augmenter.
Encore une fois, pas impossible. Mais un arriéré substantiel explique parfaitement à la fois le pic précoce des rapports d'événements indésirables par rapport aux doses administrées dans les données VAERS du 12 mai, et pourquoi ce pic est devenu moins prononcé lorsque davantage d'événements indésirables ont été entrés dans le système, ce qui rend les données du 28 mai mieux alignées avec les tableaux de dosage.
Le résultat de tout cela est que, bien que le CDC permette à tout le monde de penser que les données VAERS sont à jour sans le dire, il existe de nombreuses preuves interconnectées que beaucoup plus de rapports ont dû arriver que ceux que nous 'sont actuellement autorisés à voir.
Tout cela serait déjà assez mauvais en soi. Mais lorsqu'il est placé dans le contexte plus large des autres tromperies délibérées sur COVID-19, cela devient pire d'un ordre de grandeur.
RépondreSupprimerLorsque vous prenez du recul pour regarder l'ensemble du tableau, l'obscurcissement et le mépris des preuves entourant le VAERS s'inscrivent dans le même schéma de tromperie délibérée qui est la norme depuis la première apparition de Covid il y a un an et demi.
Restez à l'écoute pour le troisième et dernier volet de cette série.
Michael Thau est chroniqueur chez RedState. Il est titulaire d'un doctorat en philosophie de Princeton et a beaucoup écrit sur COVID-19 depuis le début de ce cauchemar.
https://www.revolver.news/2021/06/revolver-investigation-part-two-covid-vaers-deaths-cover-up/
RépondreSupprimerL'immunologiste virale canadienne, les professeurs et les médecins tirent la sonnette d'alarme sur l'innocuité du vaccin COVID-19
Par Arjun Walia
Évolution collective
4 juin 2021
Le Dr Bryam Bridle est immunologiste viral et professeur à l'Université de Guelph. Bridle est connu pour avoir développé des stratégies de vaccination pour prévenir les maladies infectieuses et traiter les cancers. C'est un scientifique "pro-vaccin" depuis un certain temps, et selon ses propres mots, il enseigne "la valeur des vaccins de haute qualité et bien validés et promeut leur utilisation avec passion. Les vaccins sont, de loin, le type de médicament le plus efficace ; sauver de manière rentable des millions de personnes de la maladie et/ou de la mort.
Bridle a fait du bruit en raison d'une récente apparition de podcast soulevant de multiples problèmes de sécurité concernant les nouveaux vaccins COVID-19. Depuis lors, Bridle a vécu ce que de nombreux autres scientifiques renommés dans le domaine ont vécu, une campagne vicieuse de diffamation et d'assassinat de caractère. C'est selon un email que j'ai reçu de lui,
« Ce sont les moments où un fonctionnaire universitaire ne peut plus répondre aux questions légitimes des gens de manière honnête et fondée sur la science sans craindre d’être harcelé et intimidé. Cependant, il n'est pas dans ma nature de permettre que des faits scientifiques soient cachés au public. »
Les articles écrits sur ces questions qui présentent de telles informations sont constamment soumis à une « vérification des faits » par les vérificateurs des faits affiliés à Facebook. Ils reçoivent souvent une note de « fausses nouvelles » lorsqu'ils présentent simplement des preuves montrant qu'une étude plus approfondie est nécessaire. C'est de la censure.
Sur le podcast, il a déclaré qu'il avait été découvert par la communauté scientifique que la protéine de pointe COVID est presque entièrement responsable de la création de dommages au système cardiovasculaire, de la coagulation du sang et d'autres problèmes potentiels si elle entre en circulation. COVID-19 a une protéine de pointe à sa surface, et cette protéine est ce qui lui permet d'infecter notre corps, c'est pourquoi, selon Bridle, "nous avons utilisé la protéine de pointe dans nos vaccins". Les vaccins que nous utilisons amènent nos cellules dans notre corps à fabriquer cette protéine afin de déclencher une réponse immunitaire contre cette protéine. C’est la théorie derrière certains vaccins COVID.
Il a expliqué que si vous injectez la protéine de pointe purifiée dans le sang d'animaux de recherche, ils subissent toutes sortes de dommages au système cardiovasculaire. Apparemment, il peut traverser la barrière hémato-encéphalique et causer des dommages au cerveau. Toutes ses affirmations ont été citées avec des sources scientifiques que nous avons liées vers la fin de cet article.
Voici un peu ce que Bridle a dit via le podcast. Ci-dessous, vous trouverez un bref résumé que lui-même et ses collègues ont rédigé pendant qu'ils travaillent sur un rapport plus complet.
À première vue, cela ne semble pas trop inquiétant car nous injectons ces vaccins dans le muscle de l'épaule. L'hypothèse est, jusqu'à présent, et a été que ces vaccins se comportent comme tous nos vaccins traditionnels, qu'ils ne vont nulle part ailleurs que le site d'injection. Pour qu'elles restent dans notre épaule, une partie de la protéine ira au ganglion lymphatique drainant local afin d'activer le système immunitaire.
RépondreSupprimerCependant, c'est là qu'intervient la science de pointe et c'est là que ça devient effrayant. Grâce à une demande d'information de l'agence de réglementation japonaise, moi-même et plusieurs collaborateurs internationaux avons pu accéder à ce qu'on appelle une étude de bio-distribution. C'est la première fois que les scientifiques ont connaissance de la destination de ces vaccins à ARN messager après la vaccination. En d'autres termes, est-ce une hypothèse sûre qu'il reste dans le muscle de l'épaule ? La réponse courte est absolument pas, c'est très déconcertant.
La protéine de pointe pénètre dans le sang, circule dans le sang chez les individus pendant plusieurs jours après la vaccination. Il s'accumule dans un certain nombre de tissus tels que la rate, la moelle osseuse, le foie, la glande surrénale et les ovaires en concentration élevée. La protéine de pointe a été trouvée dans le sang, en circulation chez 3 des 13 travailleurs de la santé qui ont reçu le vaccin.
Cela signifie que nous savons depuis longtemps que la protéine de pointe est une protéine pathogène. C'est une toxine, elle peut causer des dommages dans notre corps si elle entre en circulation. Maintenant, nous avons des preuves claires que le vaccin qui fabrique les cellules de nos muscles deltoïdes qui fabriquent cette protéine, que le vaccin lui-même et la protéine pénètrent dans la circulation sanguine. Lorsqu'elle est en circulation, la protéine de pointe peut se lier aux récepteurs qui se trouvent sur nos plaquettes et aux cellules qui tapissent nos vaisseaux sanguins, c'est exactement pourquoi nous avons vu des troubles de la coagulation associés à ces vaccins, cela peut également entraîner des saignements et bien sûr le cœur est impliqué c'est pourquoi nous voyons des problèmes cardiaques. La protéine elle-même peut également traverser la barrière hémato-encéphalique, elle peut provoquer des dommages neurologiques.
Il a poursuivi en soulignant que ces résultats remettent également en question les conséquences potentielles à long terme du vaccin sur la santé, ce qui est une pensée préoccupante. Si quelqu'un meurt dans un an ou dans cinq ans à cause de ce vaccin, il y a de fortes chances qu'il ne soit jamais lié au vaccin et que les allégations resteront « non fondées ». Le saurons-nous jamais vraiment ? Même aujourd'hui, les cas de personnes décédées peu de temps après l'administration du vaccin COVID-19 sont considérés comme sans rapport avec le vaccin dans la couverture médiatique traditionnelle. On nous dit souvent qu'aucun lien n'est trouvé, mais pourrions-nous manquer quelque chose ici ?
Bridle et ses collègues de la Canadian COVID Care Alliance (CCCA), un groupe de médecins, de scientifiques et de professionnels canadiens indépendants visant à fournir des informations factuelles sur COVID-19, ont récemment publié un bref rapport qui décrit la science expliquée dans le podcast ci-dessus. Le groupe devrait publier un document plus complet qui plongera dans des détails plus larges et plus approfondis sur les problèmes liés aux vaccins COVID-19 et aux jeunes. Vous pouvez accéder au rapport ici si vous souhaitez le partager avec d'autres.
RépondreSupprimerTheir sources for the brief are as follows:
https://health-infobase.canada.ca/covid-19/epidemiological-summary-covid-19-cases.html
https://www.canada.ca/en/public-health/services/publications/diseases-conditions/fluwatch/2018-2019/annual-report.html
https://academic.oup.com/cid/advance-article/doi/10.1093/cid/ciab465/6279075
https://www.mdpi.com/2673-527X/1/1/4
https://www.pmda.go.jp/drugs/2021/P20210212001/672212000_30300AMX00231_I100_1.pdf#page=16
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32661139/
À retenir : peu importe la science présentée ou la quantité de preuves disponibles pour justifier une discussion sérieuse et ouverte sur la sécurité des vaccins COVID, les préoccupations soulevées ne semblent jamais être prises objectivement par les médias grand public ou le domaine public.
Au lieu de cela, ils sont soumis à des quantités extrêmes de censure et de ridicule, ce que nous avons vu arriver à de nombreux scientifiques et médecins dans le domaine, y compris bon nombre des experts les plus renommés au monde dans le domaine. La pandémie de COVID a déclenché une campagne massive de censure scientifique comme nous n'en avons jamais vu auparavant, et cela soulève la question, pourquoi ?
Pourquoi la discussion et la science sont-elles supprimées et dans certains cas faussement « démystifiées » simplement parce qu'elles remettent en question le récit officiel que nous recevons des gouvernements et des sociétés pharmaceutiques ? Les gouvernements et les grandes entreprises ont-ils vraiment à cœur nos meilleurs intérêts ? Agissent-ils dans l'intention de faire du bien à tous ? Ont-ils d'autres motivations ? Pourquoi ne pouvons-nous pas avoir de discussions ouvertes et transparentes sur des sujets « controversés » ?
La presse libre est là pour tenir le gouvernement responsable et servir le peuple, pas pour être censurée par le gouvernement.
Reprinted with permission from Collective Evolution.
https://www.lewrockwell.com/2021/06/no_author/canadian-viral-immunologist-professors-doctors-sound-the-alarm-on-covid-19-vaccine-safety/
Le vaccin COVID ; Plus de tonnerre génétique
RépondreSupprimerNe croyez pas que quiconque prétend que le vaccin cause un et un seul problème.
Par Jon Rappoport
Le blog de Jon Rappoport
4 juin 2021
Défense de la santé des enfants : « Les données du VAERS [US] publiées aujourd'hui ont montré 227 805 rapports d'événements indésirables suite aux vaccins COVID, dont 4 201 décès et 18 528 blessures graves entre le 14 décembre 2020 et le 14 mai 2021. [1]
Selon l'étude que vous lisez, vous pouvez multiplier le nombre d'effets indésirables signalés par 10 ou 100, pour arriver à une estimation plus exacte des dommages humains.
J'ai mis en garde les lecteurs contre les dangers inhérents à tout traitement génétique. [2] Les vaccins ARN COVID sont justement un tel traitement, le premier du genre à être lancé sur la population mondiale.
Dans cet article, j'utilise un article grand public de la BBC comme source de ce qui peut mal se passer lorsque les gènes sont déployés « pour faire des miracles ».
BBC, « Les erreurs génétiques qui pourraient façonner notre espèce », 4/12/21 [3] :
« En fait, les surprises n'ont pas manqué dans le domaine [de la recherche génétique]. Des lapins modifiés pour être plus maigres qui se sont retrouvés inexplicablement avec des langues beaucoup plus longues aux bovins modifiés pour manquer de cornes qui ont été par inadvertance dotées d'une longue étendue d'ADN bactérien dans leurs génomes (y compris certains gènes qui confèrent une résistance aux antibiotiques, rien de moins) - son le passé est truffé d'erreurs et de malentendus.
« Plus récemment, des chercheurs du Francis Crick Institute de Londres ont averti que la modification de la génétique des embryons humains pouvait avoir des conséquences inattendues. En analysant les données d'expériences précédentes, ils ont découvert qu'environ 16% avaient des mutations accidentelles qui n'auraient pas été détectées via des tests standard. »
Et 16% est l'estimation des effets d'entraînement imprévus dans les résultats de recherche accessibles au public. Qui sait quel est le taux d'erreur dans les laboratoires secrets, où l'obsession de créer des "humains différents" inciterait à jeter toute prudence aux vents ?
L'article de la BBC décrit une expérience criminellement frauduleuse menée par le chercheur He Jianku, en Chine, il y a plusieurs années. Après un traitement génétique in utero, des jumelles sont nées avec l'instruction de créer une "protéine CCR5" spécifique.
Cela vous semble-t-il familier ? Les vaccins à ARN COVID actuels sont censés forcer les cellules du corps à produire une protéine de pointe spécifique.
Mais dans l'expérience du bébé chinois, quelque chose s'est très mal passé. Les bébés filles produisaient une variété de protéines.
BBC : "Nous n'avons jamais vu ces protéines CCR5 auparavant et nous ne connaissons pas leur fonction dans le contexte d'un être humain", déclare [Krishanu] Saha ["un bio-ingénieur à l'Université du Wisconsin-Madison"]..."
Boom. Tonnerre.
RépondreSupprimerLe vaccin COVID ne force-t-il que la production de la seule protéine de pointe prévue ? AUCUNE étude à grande échelle sur les personnes vaccinées n'a été réalisée pour le savoir. C’est déjà assez grave que le coup de COVID soit censé entraîner la protéine de pointe. Mais qu'en est-il des protéines involontaires, dont les effets sont totalement inconnus ?
Le chercheur Saha commente un autre type d'expérience génétique, conçue pour modifier les gènes du receveur, sans transmettre cette altération à la génération suivante.
"Alors disons que nous injectons un éditeur de génome dans le cerveau pour cibler les neurones de l'hippocampe", explique Saha. « Comment pouvons-nous nous assurer que ces éditeurs de génome ne pénètrent pas dans les organes reproducteurs et finissent par heurter un spermatozoïde ou un ovule ? Ensuite, cette personne pourrait potentiellement transmettre le montage à ses enfants. »
Les injections d'ARN COVID sont appelées vaccins, afin de dissimuler le fait qu'il s'agit d'expériences génétiques mondiales. C'est ce qui se passe.
Le nombre croissant (et la variété) de blessures et de décès signalés publiquement sont le signal d'une catastrophe. Que vous choisissiez de croire que c'est intentionnel, accidentel ou les deux, l'image est claire.
L'EXPÉRIENCE GÉNÉTIQUE actuellement lancée contre la population humaine n'est pas ce qu'on nous dit qu'elle est.
Nous sommes des cultures OGM, des moustiques OGM ; nous sommes les bovins et les lapins OGM ; nous sommes les jumelles des bébés OGM en Chine.
Lectures complémentaires : « Personnes génétiquement modifiées : qu'est-ce qui pourrait mal tourner ? » [4] et « Vaccins : une opération secrète idéale pour reconfigurer génétiquement les humains » [5]
SOURCES:
[1] https://childrenshealthdefense.org/defender/vaers-cdc-adverse-events-covid-vaccines-surpass-200000/
[2] https://blog.nomorefakenews.com/2021/05/18/covid-vaccine-and-genetic-thunder-nobody-is-listening-to/
[3] https://www.bbc.com/future/article/20210412-the-genetic-mistakes-that-could-shape-our-species
[4] https://blog.nomorefakenews.com/2017/02/21/genetically-modified-people-what-could-go-wrong/
[5] https://blog.nomorefakenews.com/2015/07/11/vaccines-an-ideal-covert-op-to-genetical-re-engineer-humans/
Réimprimé avec la permission du blog de Jon Rappoport.
https://www.lewrockwell.com/2021/06/jon-rappoport/the-covid-vaccine-more-genetic-thunder/
SANS CONTACT : ALERTE SUR UNE NOUVELLE VAGUE D'ARNAQUES
RépondreSupprimerpar PAOLO GAROSCIO
04/06/2021
Le plafond de paiement pour le sans contact est de 50 euros.
Devenu un geste barrière malgré lui durant la crise de la Covid-19, le paiement sans contact soulève une nouvelle fois des inquiétudes. A la suite d’un article du quotidien Midi Libre de mai 2021, l’association de défense des consommateurs UFC-Que choisir alerte sur une nouvelle arnaque ciblant les cartes avec puce NFC (Near Field Contact) utilisées pour le sans contact.
Une attaque invisible contre le sans contact
Le principe du paiement sans contact est simple : jusqu’à 50 euros, depuis que le plafond a été relevé par le gouvernement, il est possible de payer sans utiliser son code de carte bancaire. Or, c’est cette praticité qui est exploitée par des arnaqueurs, comme le soulignent Midi Libre et l’UFC ; l’attaque est sournoise car invisible.
Pour ce faire, explique le quotidien qui relate un fait divers survenu sur le tram de Montpellier, un groupe d’individus bloque la victime et en détourne le regard. C’est à ce moment-là qu’un des arnaqueurs sort un terminal de paiement de type TPE disposant du sans contact et réalise tout simplement une opération de paiement de moins de 50 euros.
Pas besoin de prendre en main la carte bancaire ni d'avoir le code ; et le paiement s’effectue au travers du tissu des vêtements de la victime qui ne se rend compte de rien.
Comment se protéger contre cette arnaque ?
La technique n’est pas une nouveauté, mais elle semble revenue sur le devant de la scène ce printemps 2021. Il faudra donc faire attention, surtout durant les vacances, dans les milieux où il y a beaucoup de monde : le sans contact, malgré son nom, nécessite une proximité entre le terminal de paiement et la carte bancaire de quelques centimètres tout au plus.
Pour se protéger, il existe une méthode simple et pas chère : des étuis de protection dans lesquels on glisse la carte bleue et qui bloquent le champ NFC de la carte bancaire. On peut en trouver un peu partout dans les magasins pour quelques euros.
http://www.economiematin.fr/news-arnaque-paiement-sans-contact-attaque-carte-bancaire