vendredi 8 novembre 2024

L'injection d’un code génétique – Entretien avec le Dr Carrie Madej

 

27.03.2021


La vaccination par ARNmessager du code génétique Covid-19 fait-elle réellement de l'humanité un cobaye dans une expérience en direct ? Pour quelle autre raison le Dr Madej, dans sa deuxième interview sur KLa.TV, appelle-t-elle à un moratoire sur ces nouveaux vaccins qui ont le potentiel de modifier de façon permanente le génome humain ? Le célèbre médecin investigateur appelle tout le monde à ne pas renoncer, à ses libertés et à ses droits civils, mais à s'interroger sur le plan plus large qui se cache derrière toute coercition scientifiquement infondée liée au Covid.

60 commentaires:

  1. Une association dénonce les effets dévastateurs de l'Androcur, médicament de Bayer


    le 08 novembre 2024 - 10:35


    Luttant contre les ravages du médicament Androcur, l'association Amavea a porté plainte contre X pour "administration de substance nuisible, atteinte involontaire à l’intégrité de la personne, mise en danger de la vie d’autrui, non-signalement d’effet indésirable et tromperie aggravée". Retour sur un énième scandale sanitaire signé Bayer, qui met en lumière un manque d'intérêt pour les patients et une santé publique défaillante.

    Commercialisé depuis 1980, l'Androcur est prescrit aux femmes lorsqu'elles ont besoin de limiter les effets des hormones mâles, initialement en cas de pilosité excessive. Mais pas que : contraception, acné, endométriose, transgenrisme, sont autant d'utilisations possibles, aujourd'hui majoritaires.

    Une enquête de Radio France, revenant sur une information du Monde, souligne que cette prescription à outrance s'est faite alors même que de graves effets secondaires du médicament étaient connus. Bien que très efficace, il est aussi créateur de méningiomes, des tumeurs au niveau des méninges. L'association qui a porté plainte déplore des dizaines de femmes touchées : "Ce méningiome m’avait rendue hémiplégique du côté droit. J'avais perdu la parole.", raconte l'une d'elles, en cours de guérison.

    Le comble, c'est que les surrisques de ce médicament sont reconnus par le laboratoire lui-même depuis 2004. Mais, c'est seulement trois ans plus tard que Bayer alerte l'Afssaps (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé) pour demander une modification de la notice de l’Androcur, comme le rapporte France Info. Et ladite notice ne sera modifiée par l'agence qu'en 2011.

    En 2018, une étude menée conjontement par la Caisse nationale d’assurance maladie et l'ANSM prouve finalement le lien entre la prise d'Androcur et les méningiomes. En juin 2019, une lettre d'information sur les risques est envoyée à 40 000 médecins et 70 000 patients, mais pas aux femmes à qui le médicament est déjà prescrit. Beaucoup d'entre elles continueront donc les prises pendant des années, avant d'apprendre la faille... "Je me suis tournée ensuite vers mon médecin, qui semblait ignorer cette information. Il a continué à me prescrire de l’Androcur après m’avoir fait signer une attestation, stipulant qu’il m’avait bien informée du risque de méningiome. Mais je n'ai pas le souvenir qu’il me l'ait expliqué très clairement", témoigne l'une d'elle auprès d'Amavea.

    Aujourd'hui, les prescriptions d'Androcur ont largement diminué, mais souvent, le mal est fait. "C'est quelque chose qui grossit et qui diminue lentement. Et cette décroissance n'est pas systématique. Elle se produit chez un certain nombre de patients, et pas chez d’autres.", explique le professeur Johan Pallud, chef du service neurologie de l’hôpital Sainte-Anne, en parlant du méningiome. L'association considère qu'on est qu'au début de la vague des plaintes.

    https://www.francesoir.fr/societe-sante/une-association-denonce-les-effets-devastateurs-de-l-androcur-medicament-de-bayer

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  2. Message à la Société Française du Cancer


    8 Novembre 2024

    C’est une nouvelle extrêmement grave qui a été diffusée par le Monde sous la signature de M. Stéphane Foucart le 28 septembre 2024 (date sur la toile) : la Société Française du Cancer (SFC) a (aurait) renoncé à s’associer à une tribune contre les pesticides publiée par Le Monde, sous l’influence de publications d’apparence scientifique, rédigées en fait par un (prétendu) consultant de sociétés agrochimiques et un quidam dont on aura simplement appris par ailleurs qu'il a été condamné pour diffamation (c'est ma blessure de guerre contre la désinformation).

    J'ai voulu en avoir le cœur net. Je n'ai pas eu de réponse...

    Objet : demande de précision sur mon rôle allégué dans votre décision de ne pas co-signer une tribune dans le Monde – que peut-on faire mieux ?

    Madame, Monsieur,

    Selon « Plongée dans la boîte noire de la propagande mondiale en faveur des pesticides » publié par le Monde le 28 septembre 2024, sous la signature de M. Stéphane Foucart et Mmes Elena DeBre et Margot Gibbs, j'aurais contribué par mes écrits à votre décision de ne pas associer la Société Française du Cancer à une tribune publiée dans le Monde.

    Cette allégation a été énoncée dans les termes suivants :

    « L'efficacité de cette activité éditoriale diffuse est difficile à saisir, mais elle est réelle. En avril, par exemple, la Société française du cancer a, selon nos informations, renoncé à endosser une tribune soumise au Monde sur les liens entre pesticides et cancer, après que certains de ses membres ont fait circuler en interne des billets de MM. Heitz et Stoop comme éléments de relativisation des risques réels présentés par ces substances. »

    Ce paragraphe comporte un lien dans la version électronique de l'article et renvoie donc le lecteur à « Pesticides : "Avec son nouveau plan Ecophyto, le gouvernement persiste dans une politique d’immobilisme vieille de vingt ans" », publié le 7 mai 2024.

    Ce n'est pas – à l'évidence – une tribune sur les liens entre pesticides et cancers, mais on admettra sans peine qu'on peut se tromper même dans le journal qui fut de référence.

    Ce qui m'inquiète, c'est la suite. Il est allégué que « selon nos informations » – celles obtenues par M. Stéphane Foucart (et Cie), c'est-à-dire selon les dires d'un membre de votre Société – j'aurais produit des « billets » constituant des « éléments de relativisation des risques réels présentés par ces substances ».

    Cette présentation admet peut-être deux interprétations : elle reflète soit l'opinion ou l'interprétation de l'auteur de l'article, soit celle de votre Société dûment rapportée par l'auteur de l'article.

    Et elle porte essentiellement sur ma production, M. Philippe Stoop déployant principalement son activité relative aux pesticides sur d'autres sujets.

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  3. Dans le premier cas, je prendrais l'opinion à l'aune de la considération dont jouit l'auteur. Dans le second, cependant, je m'inquiète.

    J'ai en effet pour ambition dans mon activité – bénévole – de blogueur et de contributeur à des journaux de contribuer à une approche rationnelle et objective des questions d'agriculture, d'alimentation, de santé publique, etc.

    Je ne m'autoriserais jamais de produire des « éléments de relativisation des risques réels... », c'est-à-dire, selon un sous-entendu transparent, des éléments qui seraient fallacieux ou, pire, volontairement faux. Mais je dois aussi admettre que je peux me tromper dans la production de mes écrits.

    C'est pourquoi j'aimerais avoir des éclaircissements de votre part, même si je puis considérer que la Société aura (aurait) décidé de sa position sur la tribune sur une base tout à fait rationnelle.

    La tribune dont il s'agit porte en effet sur le plan Écophyto et non les dangers et les risques (deux notions différentes) des pesticides. Tant M. Philippe Stoop que moi-même avons abondamment décrit l'irrationalité et l'échec programmé de son volet « réduction de 50 % des usages de pesticides » (certes assorti d'un « si possible ») par un oukase administratif concocté sur le coin d'une nappe dans le cadre du Grenelle de l'environnement, fin 2007.

    Mais il est aussi possible que la conversation entre un membre de la Société et l'auteur principal de l'article (ou un tiers ayant rapporté des propos à celui-ci) ait eu un caractère plus général, ledit auteur (ou tiers) n'ayant retenu, avec plus ou moins de fidélité, que ce qui confortait ses thèses.

    Ce qui m'intéresse au plus haut point est donc de savoir ce que je pourrais faire – de l'avis de la Société – pour présenter encore mieux la problématique des risques (à distinguer des dangers) liés aux pesticides et plus particulièrement celle des liens entre « pesticides » – produits à usage agricole, vétérinaire, domestique ou industriel – et cancers.

    Je considère en effet que l'insistance politicienne et médiatique – dans certains cas adossée à des objectifs économiques comme la promotion des produits biologiques – à accuser a priori et par principe les « pesticides » détourne l'attention d'autres facteurs potentiels de cancérogénicité et par conséquent dessert les impératifs et objectifs de santé publique que votre Société a (comme moi) à cœur de promouvoir.

    Cordialement,

    André Heitz

    Ingénieur agronome, ancien fonctionnaire du système des Nations Unies

    https://seppi.over-blog.com/2024/11/message-a-la-societe-francaise-du-cancer.html

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  4. Une société savante de cancérologie sous l’influence d’un consultant de l’agrochimie ?


    8 Novembre 2024
    Philippe Stoop*


    C’est une nouvelle extrêmement grave, qui confirme l’emprise du lobbying exercé par l’industrie chimique pour dissimuler l’impact de ses produits sur notre santé. Selon mes informations, la Société Française du Cancer (SFC) a renoncé à s’associer à une tribune contre les pesticides publiée par Le Monde, sous l’influence de publications d’apparence scientifique, rédigées en fait par un consultant de sociétés agrochimiques. Contactée pour vérifier la véracité de cette information, la SFC n’a pas souhaité répondre.

    Après cette introduction fracassante, il est temps de rendre à César ce qui est à César. Ce n’est pas moi qui suis à l’origine de ce scoop, mais le grand reporter et grande plume du Monde, Stephane Foucart, dans un article récent intitulé en toute sobriété « Plongée dans la boîte noire de la propagande mondiale en faveur des pesticides ».

    J’ai donc découvert cette affaire tout simplement en lisant Le Monde, ce qui m’a doublement surpris :

    D’une part parce que j’aurais cru que les membres de cette société savante, qui sont tous des scientifiques de haut niveau, n’ont pas besoin de l’avis de consultants pour interpréter les études sur les impacts sanitaires des pesticides ;

    Mais surtout parce que j’ai appris à cette occasion que j’étais l’une des personnes qui auraient influencé la SFC !

    En effet, quelques lignes après m’avoir présenté comme « consultant pour de grandes sociétés agro-industrielles », Stéphane Foucart explique : « En avril, par exemple, la Société française du cancer a, selon nos informations, renoncé à endosser une tribune soumise au Monde sur les liens entre pesticides et cancer, après que certains de ses membres ont fait circuler en interne des billets de MM. Heitz et Stoop comme éléments de relativisation des risques réels présentés par ces substances ».

    Le mauvais côté de cette histoire était le risque que mon employeur prenne ombrage de découvrir, dans un journal aussi sérieux que Le Monde, que j’exercerais en douce des activités de consulting en marge de mon travail salarié. J’espère avoir réussi à le rassurer sur le fait que c’est absolument faux.

    Reste le côté positif : si l’informateur de Stéphane Foucart sur la SFC a dit vrai, cela voudrait dire que (conjointement à André HEITZ, que je salue au passage), j’aurais eu une influence significative sur une société savante dont je n’ai jamais rencontré aucun membre, probablement grâce à quelques articles parus sur le site European Scientist [i].

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  5. Mais même ce bon côté peut avoir une face sombre. Cette anecdote est flatteuse si on l’interprète comme la preuve que mes articles (comme ceux d’André Heitz) ont été jugés scientifiquement valides par la SFC. Elle l’est beaucoup moins si les deux individus susnommés ont fait pression sur elle pour l’empêcher de s’associer à une tribune, qu’elle aurait signé sinon. Reste à savoir de quels moyens de pression occultes disposaient ces deux lobbyistes cachés. L’un étant retraité de la fonction publique internationale, et l’autre salarié d’une PME, la piste de la corruption paraît au-dessus de leurs moyens financiers. Auraient-ils des informations personnelles compromettantes sur les membres de la SFC ? Espérons que la taupe foucartienne a encore des révélations supplémentaires en réserve, pour crédibiliser la piste de pressions de nature non scientifique.

    Société Française du Cancer : un silence qui en dit long, mais sur quoi ?

    En attendant d’éventuels scoops supplémentaires, il y a au moins un protagoniste de l’histoire pour qui les deux hypothèses suggérées par l’insinuation du Monde sont désobligeantes, c’est la SFC : dans un cas, elle s’est laissé influencer scientifiquement par des lobbyistes cachés (comme les OGM du même nom) ; dans l’autre, elle a cédé à des pressions en se dissociant d’une tribune qui visait à dénoncer un grave problème sanitaire. La seule explication qui serait tout à son honneur n’est pas envisagée par S. Foucart : ce serait qu’elle ait refusé de s’associer à cette tribune, simplement parce que son contenu n’était pas conforme à la vérité scientifique.

    On aurait donc pu s’attendre à ce que la SFC réagisse à cette mise en cause par Le Monde. Cela n’a pas été le cas à ce jour. C’est pourquoi j’ai essayé de la contacter pour avoir son avis sur les accusations du journal. Après un e-mail accusant réception de ma demande, elle n’a pas donné signe de vie malgré mes relances. Faut-il en conclure qu’elle ne voit aucun inconvénient à ce qu’un journal aussi négligeable que Le Monde mette en cause son indépendance et sa probité ?

    Ce genre d’insinuation n’a pourtant rien d’un dérapage ponctuel : c’est une constante du travail de fond de ce journal, qui lui a permis progressivement de décrédibiliser auprès de son lectorat influent les agences sanitaires et les Académies scientifiques, comme en témoigne l’ouvrage cosigné par S. Foucart, « Les Gardiens de la raison » [ii]. C'est ce qui justifie qu’il leur substitue comme référence scientifique des organisations plus compatibles avec sa ligne politique, comme Générations Futures pour les pesticides, et la Ligue contre le cancer pour les causes de cancer. Si la SFC espère passer entre les gouttes en courbant l’échine, souhaitons-lui bonne chance !

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  6. Dans un article récent sur « La fabrique de la science alternative », et à propos du livre « Les illusionnistes » de Géraldine Woessner et Erwan Seznec [iii], nous avions déjà souligné le rôle ambigu des organisations de recherche publique dans le développement de théories pseudoscientifiques, qui tendent pourtant à saper leur crédibilité. C’est ainsi que l’INRAE s’abstient de critiquer, mais « cancelle » dans ses expertises collectives des publications douteuses, qui avaient pourtant été mises en avant lors de leur parution par son service de presse, et continuent à être citées par certains de ses chercheurs [iv]. C’est ainsi qu’AgroParisTech ne juge pas utile de contredire les étudiants qui clament que son enseignement « pousse globalement aux ravages sociaux et économiques en cours » [v]. En se taisant quand le Monde insinue qu’elle se laisse influencer par des lobbyistes, la Société Française du Cancer alimente l’extension du domaine du dénigrement des institutions scientifiques, qui est le fil rouge de l’œuvre de Stéphane Foucart [vi].
    ___________


    [i] Pesticides et cancers chez les agriculteurs : la fuite en avant vers l’irréfutabilité (première partie)

    et

    Pesticides et cancers chez les agriculteurs : la fuite en avant vers l’irréfutabilité (2ème partie)

    [ii] Un diplôme de désinformation décerné par S. Foucart (Le Monde) | LinkedIn

    [iii] « Les Illusionnistes » : un portrait décapant de l’écologie politique | LinkedIn

    Sur ce blog : « Les Illusionnistes » : un portrait décapant de l’écologie politique - Agriculture, alimentation, santé publique... soyons rationnels

    [iv] Le monde merveilleux de l’agroécologie par corrélations, III : La fabrique de la science alternative | LinkedIn

    Sur ce blog : Le monde merveilleux de l’agroécologie par corrélations, III : La fabrique de la science alternative - Agriculture, alimentation, santé publique... soyons rationnels

    [v] Courage, fuyons : AgroParisTech face à ses « déserteurs » | LinkedIn

    Sur ce blog : Courage, fuyons : AgroParisTech face à ses « déserteurs » - Agriculture, alimentation, santé publique... soyons rationnels

    [vi] Pour quelques exemples récents, voir :

    https://www.lemonde.fr/idees/article/2024/01/07/ni-la-crise-ecologique-ni-l-aggravation-de-ses-effets-n-ont-converti-les-academies-scientifiques-a-une-culture-de-la-precaution_6209492_3232.html

    https://www.lemonde.fr/planete/article/2022/10/01/nouveaux-ogm-un-rapport-denonce-les-conflits-d-interets-entre-experts-scientifiques-et-industrie_6143967_3244.html

    et l’article qui résume le fondement de sa pensée : https://www.lemonde.fr/idees/article/2018/10/27/en-matiere-de-sante-publique-le-rigorisme-scientifique-est-une-posture-dangereuse_5375460_3232.html

    * Directeur Recherche & Innovation ITK – Membre de l'Académie d'Agriculture de France

    Source : Une société savante de cancérologie sous l’influence d’un consultant de l’agrochimie ? | LinkedIn

    https://seppi.over-blog.com/2024/11/une-societe-savante-de-cancerologie-sous-l-influence-d-un-consultant-de-l-agrochimie.html

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  7. Objection à la réforme de l’OMS : délai jusqu’en juillet


    8 novembre 2024
    de Thomas Oysmüller


    L'Autriche a encore jusqu'en juillet 2025 pour s'opposer aux modifications adoptées du Règlement sanitaire international. Le délai a été confirmé par l'UE.

    Le conflit politique autour de la réforme de l’OMS atteint son paroxysme. Comme le TKP l’a déjà signalé, les États-nations ont jusqu’à la mi-juillet pour soumettre une objection au Règlement sanitaire international (RSI) modifié. La demande du parlementaire européen Gerald Hauser (FPÖ) a également abouti au même délai : l'Autriche, comme la plupart des autres pays, a jusqu'au 19 juillet 2025 pour déposer une objection.

    Hauser critique le manque de procédure parlementaire au sein de l'UE :

    « Des décisions de grande envergure ont été prises lors de la Conférence mondiale de la santé à Genève. Le Parlement européen n'a pas soumis cette proposition au vote. La seule question était de savoir s’il y avait des objections. Aucune objection de ce type n’a été enregistrée. Dans le cadre de ces décisions, les États-nations sont en train de se dissoudre.»

    L'enquête de Hauser a révélé ce qui suit concernant le délai d'opposition :

    « La date limite commence le 19 septembre 2024 ! Cela signifie : nous, en Autriche, avons jusqu'au 19 juillet 2025 pour informer l'OMS que nous ne sommes pas prêts à mettre en œuvre ces décisions !

    Début octobre, des militants des droits civiques suisses ont demandé au Conseil fédéral de déposer une objection d'ici aujourd'hui, a rapporté le TKP.

    Le parlementaire européen des « Patriotes pour l’Europe » réclame cette objection, mais elle est probablement entre les mains du gouvernement. Donc, s’il y a une (probable) coalition perdante des Noirs et des Rouges, il n’y aura probablement aucune objection. Tous les partis, à l'exception du FPÖ, suivent les idées de l'OMS.

    Mais le FPÖ réclame une objection. Hauser :

    « C’est la seule façon d’empêcher que notre souveraineté soit cédée à une organisation supranationale non élue comme l’OMS ! En tant que Parti de la Liberté, nous proposerons une résolution pour empêcher la fin de notre souveraineté ! Nous pouvons être curieux de voir comment les partis du système, et en particulier l'ÖVP, réagiront et s'ils continueront à poursuivre la politique des mondialistes !»

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  8. Sans objection, les modifications entreraient en vigueur le 19 septembre 2025 – soit deux mois plus tard – et deviendraient contraignantes pour l’Autriche.

    Dans son émission, Hauser résume les points clés du Règlement sanitaire international modifié, qui est transféré « à l'OMS supranationale et non élue ». Il s’agit de censure et de contrôle, de définition d’une « urgence pandémique », de financement global, notamment de la part de l’Occident, et de « création d’autorités sanitaires internationales qui abolissent encore davantage la souveraineté sanitaire nationale ».

    https://tkp.at/2024/11/08/einspruch-who-reform-frist/

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  9. Augmentation des lésions cardiaques chez les enfants après la vaccination corona


    8 novembre 2024
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Une équipe de chercheurs en médecine d’urgence pédiatrique signale une augmentation des cas de lésions cardiaques chez les enfants qui ont reçu des « vaccins » à ARNm contre le coronavirus. Dans le cadre d'une étude à grande échelle, des chercheurs irlandais ont analysé les cas de dizaines d'enfants hospitalisés pour des problèmes cardiaques.

    Chacun de ces enfants hospitalisés avait reçu au moins une dose d’un vaccin corona à ARNm. Les chercheurs n’ont trouvé aucun rapport faisant état de lésions cardiaques parmi les enfants non vaccinés.

    L'étude a été menée sur une période de 11 mois dans le service de médecine d'urgence pédiatrique de l'hôpital Tallaght de Dublin, en Irlande. Les découvertes de D. Memon et al ont été publiées dans le Journal officiel de l'Irish Medical, intitulées « Enquêtes cardiaques chez les patients pédiatriques souffrant de douleurs thoraciques après la vaccination par l'ARNm du COVID-19 (IMJ) publiées .

    Les chercheurs ont lancé leur étude pour étudier les rapports croissants d'adolescents et de jeunes enfants souffrant de douleurs thoraciques et d'un diagnostic de péricardite et de myocardite. Ces deux affections limitent la capacité du cœur à pomper le sang dans tout le corps, ce qui peut entraîner des caillots sanguins, des accidents vasculaires cérébraux, un arrêt cardiaque et éventuellement une mort subite.

    L'augmentation des cas de péricardite et de myocardite chez les enfants coïncide avec le début de la vaccination des patients pédiatriques en Irlande.

    Dans le cadre de l'étude, les chercheurs ont examiné 30 enfants âgés de 13 à 15 ans hospitalisés pour péricardite ou myocardite. En Irlande, l’injection d’ARNm Pfizer/BioNTech était le « vaccin » recommandé .

    Dans le groupe, 23 patients étaient des hommes. L'étude a exclu les patients âgés de moins de 12 ans et de plus de 15 ans.

    Il a été constaté que les 30 enfants analysés pour l’étude avaient reçu un « vaccin » contre le coronavirus. 17 patients ont reçu un diagnostic de péricardite ou de myocardite après la deuxième dose du vaccin, et 13 patients ont subi des lésions cardiaques après une seule vaccination.

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  10. Vingt-trois garçons et sept filles de cette tranche d'âge, tous vaccinés contre le Corona, ont été hospitalisés pour des lésions cardiaques. Les symptômes signalés comprennent un essoufflement, des douleurs thoraciques, des palpitations cardiaques et des étourdissements.

    BioNTech, Pfizer et l'agence d'approbation EMA ont désormais inclus dans leurs informations destinées aux spécialistes et aux patients que des lésions cardiaques peuvent en résulter, voire la mort . Néanmoins, les vaccinations se poursuivent.

    https://tkp.at/2024/11/08/anstieg-von-herzschaeden-bei-kindern-nach-corona-impfung/

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  11. L’OMS veut fusionner climat et santé


    8 novembre 2024
    de Thomas Oysmüller


    À l’approche du prochain sommet des Nations Unies sur le climat, l’OMS tente de faire du climat une question de santé. Les « négociations climatiques » sont une question de santé.

    Durant la dernière présidence de Trump, les États-Unis se sont brièvement retirés de l'OMS. Il est possible que les États-Unis quittent à nouveau l’OMS cette fois-ci – et ainsi non seulement enterrer définitivement le traité sur la pandémie, mais aussi rendre l’OMS elle-même de moins en moins pertinente. En attendant, l’agence spéciale des Nations Unies à Genève semble vouloir à nouveau faire avancer son propre agenda. Un récent rapport de l’OMS appelle à établir un lien rapide et « urgent » entre le changement climatique et la santé.

    À l'approche de la Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques 2024 (COP29) à Bakou, l'OMS souhaite la fin des combustibles fossiles, c'est-à-dire une désindustrialisation complète, et veut « placer la santé au centre de toutes les négociations, stratégies, politiques et plans d'action sur le climat ». afin de sauver des vies et d'en améliorer la santé « pour assurer l'avenir des générations actuelles et futures », affirme un récent rapport « sur le climat et la santé ».

    « La crise climatique est une crise sanitaire, faisant de la priorité accordée à la santé et au bien-être dans l’action climatique non seulement un impératif moral et juridique, mais aussi une opportunité stratégique de débloquer des bénéfices transformateurs en matière de santé pour un avenir plus juste et plus équitable. La COP29 constitue une opportunité cruciale pour les dirigeants mondiaux d’intégrer les considérations de santé dans les stratégies d’adaptation et d’atténuation du changement climatique. L'OMS soutient ce travail en fournissant des conseils pratiques et une assistance aux pays », a déclaré Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l'OMS.

    L'agenda climatique est désormais une composante essentielle de l'agenda politique de l'OMS, notamment grâce à l'approche One Health. La journaliste Meryl Nass déclare actuellement :

    « J'ai déjà dit que l'OMS ne parvenait pas à mobiliser suffisamment d'énergie pour soutenir son programme existentiel sur le changement climatique. Les responsables des relations publiques ont donc conseillé d'intégrer la santé au changement climatique, car tout le monde semblait toujours préoccupé par les menaces qui pèsent sur sa santé.

    Cela a commencé lorsque Tony Fauci et Peter Daszak nous ont dit que les humains étaient à l’origine du changement climatique et que cela conduisait à des pandémies zoonotiques. Si nous n'étions pas bons et arrêtions d'utiliser les combustibles fossiles, il y aurait de plus en plus de pandémies parce qu'il ferait très chaud dans les grottes des chauves-souris et que les chauves-souris chercheraient de l'air - tandis que le besoin toujours croissant de terres agricoles signifiait que les gens se rapprochait des grottes aux chauves-souris jusqu'à ce que quelque chose de terrible se produise. Encore et encore.

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  12. L’OMS veut s’impliquer dans le sommet sur le climat et tente de transformer la « crise climatique » en « crise sanitaire ». Cela permettrait non seulement de générer plus d’argent, mais également d’élargir les réformes qui donneraient plus de pouvoirs à l’OMS.

    La conférence sur le climat à Bakou débute lundi.

    https://tkp.at/2024/11/08/who-will-klima-und-gesundheit-verschmelzen/

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    1. (...) « La crise climatique est une crise sanitaire, (...)

      ÔH PITAING !! Les températures actuelles passant (selon les régions) de 0°C le matin à 20°C l'après-midi, laissent 'perplexe' les dictateurs de 'L'OMS' !! comme quoi ce changement (que dis-je ? BOULEVERSEMENT RÉVOLUTIONNAIRE ouais !) pourrait modifier (voire changement de genre ?!) l'état d'esprit de notre organisme (SGDG) et par là même en estropier la santé du commun des mortels !!

      Pensez-donc que la mort 'en coups de vents' ou 'averses surprises' pourrait définir l'avenir tremblotant de la survie humaine sur Terre !

      Alors que faire ? Porter plainte pour agression contre les coups de soleil ou les gelées matinales qui n'ont rien d'alimentaires ni de conservatrices de l'espèce ? Ou, porter plainte contre les élucubrations magmatiques qui forment ou déforment le climat chaque jour depuis des milliards d'années ?

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  13. La vérité sur le cancer attaquée par un groupe de gauche qui ne veut pas que les Américains entendent son message salvateur


    11/07/2024
    Cassie B.


    The Truth About Cancer (TTAC) s'efforce depuis longtemps de sensibiliser le public à l'industrie du cancer et à la façon dont elle laisse tomber les gens, ainsi qu'aux nombreux traitements alternatifs qui aident les gens dans le monde entier.

    Il est dirigé par Ty et Charlene Bollinger, un couple qui a vu plusieurs membres de sa famille proche mourir du cancer et de traitements infructueux. Ils ont été horrifiés de découvrir qu'il existait des traitements efficaces qui auraient pu aider leurs proches et peut-être leur sauver la vie, mais ils n'étaient tout simplement pas libres d'y accéder aux États-Unis. Ils se sont donné pour mission de révéler la véritable motivation des médecins qui poussent les protocoles de traitement du cancer et de partager comment les traitements que la FDA n'a pas approuvés ont aidé certaines personnes.

    Au cours des trois dernières décennies, ils ont partagé avec le public des informations vitales que le CDC et d’autres autorités sanitaires tentent de supprimer afin de soutenir l’industrie lucrative du cancer. Ils ont aidé des millions de personnes à trouver des solutions efficaces au cancer et à d’autres problèmes de santé.

    Il n’est pas surprenant qu’ils soient devenus la cible de la censure en ligne et de campagnes de diffamation, le dernier exemple en date étant un article critique et moqueur de Media Matters.

    Financé par George Soros, Media Matters semble particulièrement motivé par le fait que les Bollinger travaillent avec l’équipe de transition de l’ancien président Donald Trump, soutenant leur bon ami Robert F. Kennedy, Jr., qui s’efforce également d’informer les Américains sur les dangers des vaccins.

    En plus de souligner le lien entre The Truth About Cancer et Kennedy et Trump, l’article affirme que les Bollinger ont promu des « théories du complot sur les vaccins ».

    Dans une déclaration officielle en réponse à l’article de Media Matters, les Bollinger ont écrit : « Notre revanche pour avoir sauvé des vies est un flux constant d’attaques et de campagnes de diffamation, et ils mentent à notre sujet à chaque tournant pour que les personnes honnêtes qui recherchent de véritables solutions de santé ne nous écoutent pas et aient peur de sortir de leur médecine actuelle « Standard of Care », qui ne fonctionne clairement pas. »

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  14. Le TTAC a été la cible de nombreuses campagnes de diffamation

    Le TTAC a déjà intenté une action en justice contre la Trusted News Initiative, un groupe qui les attaque sous tous les angles et utilise des soi-disant vérificateurs de faits pour tenter de nuire à leur crédibilité. La plainte officielle a été déposée avec Robert F. Kennedy, Jr., Children’s Health Defense, Gateway Pundit et d’autres qui ont également été ciblés par la cabale médiatique.

    Les Bollinger ont également été victimes d’une campagne de diffamation menée par CNN en 2021 contre eux après avoir organisé un « rassemblement pour la liberté MAGA » par l’intermédiaire de leur comité d’action politique.

    CNN a qualifié le couple de « théoriciens du complot » et les a accusés de propager « le récit dangereux selon lequel les vaccinations contre le Covid-19 sont extrêmement dangereuses » – un fait désormais indéniable.

    TTAC a répondu : « Les tentatives de CNN de nous dépeindre comme des « profiteurs » dirigeant un « empire » sont une autre attaque malhonnête et trompeuse. Nous sommes extrêmement fiers du travail que nous avons accompli dans nos films documentaires – The Truth About Cancer et The Truth About Vaccines. »

    Ils ont ajouté qu'ils avaient fait don de plus de 250 000 $ à des organismes de bienfaisance venant en aide aux personnes souffrant de dommages causés par les vaccins et de cancer au cours des six années précédentes et qu'ils avaient également financé des événements visant à sensibiliser à la liberté de santé, ce qui a probablement sauvé de nombreuses personnes.

    De plus, YouTube a supprimé leur chaîne avec près de 300 000 abonnés et plus de 30 millions de vues sur leurs documentaires, tandis que la Maison Blanche de Biden les a inscrits sur la « Douzaine de la désinformation », une liste tristement célèbre des personnes qui les menacent le plus, et qui disent toutes la vérité sur des sujets comme les vaccins, le cancer et le COVID-19.

    Les sources de cet article incluent :

    TheTruthAboutCancer.com
    TheTruthAboutCancer.com

    https://www.naturalnews.com/2024-11-07-ttac-attacked-by-left-life-saving-message.html

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  15. 10 façons dont notre monde moderne est CONÇU pour DÉTRUIRE notre santé, notre intelligence et nos moyens de subsistance


    11/07/2024
    S.D. Wells


    Vous entendrez et lirez toutes les excuses possibles et imaginables pour expliquer pourquoi nos agences gouvernementales font ce qu'elles font pour « aider » à produire, protéger et soutenir la nourriture, la médecine, l'éducation et l'armée américaines, mais la réalité est que la plupart de ce qu'elles font implique des méthodes insidieuses pour faire fortune tout en infligeant des dommages à notre santé, notre intelligence et nos moyens de subsistance.

    Les cultures sont falsifiées pour que les entreprises puissent gagner plus d'argent sans se soucier de la sécurité et de la santé humaines, animales ou environnementales. Des écosystèmes entiers sont pollués, détruits et intoxiqués par des produits chimiques qui causent le cancer et la démence, tout en ruinant le sol, les eaux souterraines et la valeur nutritionnelle des aliments.

    Le temps est modifié, contrôlé et manipulé pour produire des tempêtes, des inondations, des sécheresses et des incendies qui aident les organisations corrompues à gagner de l'argent tout en trompant des millions d'Américains en leur faisant croire au « changement climatique ». Les programmes scolaires sont simplifiés, de sorte que les enfants et les adolescents obtiennent leur diplôme (s’ils le font) sans aucune capacité de réflexion critique, avec une capacité limitée à gagner décemment leur vie et un esprit déformé qui les fait penser à la fluidité des genres et au racisme inversé toute la journée.

    Les humains interagissent à peine avec d’autres humains pour des services parce que tout est automatisé, ce qui maintient la société dans un monde bidimensionnel avec des compétences sociales limitées, des interactions numériques froides, des systèmes automatisés frustrants, des erreurs de machines et d’ordinateurs qui peuvent être fatales (pensez aux hôpitaux ici), et beaucoup moins d’emplois disponibles à mesure que la technologie prend le dessus sur la main-d’œuvre.

    La médecine occidentale est devenue si corrompue que quiconque prend des médicaments sur ordonnance et des vaccins risque sa vie chaque seconde en ingérant et en injectant des cancérigènes connus et des agents pathogènes étrangers (pensez aux virus génétiquement modifiés et aux prions de protéines de pointe ici) qui déciment la santé et ne préviennent ou ne guérissent jamais vraiment quoi que ce soit.

    Les laboratoires du monde entier regorgent de « science » financée pour créer de nouvelles armes biologiques de destruction massive pour mutiler et tuer de manière insidieuse et contraire à l’éthique des millions d’êtres humains afin d’alimenter les complots maléfiques des politiciens, des mondialistes et des communistes (la plupart des politiciens à Washington DC en ce moment).

    Presque toutes les nouvelles grand public sont conçues pour laver le cerveau des masses en leur faisant croire que les guerres sont nécessaires pour « instaurer la démocratie » dans le monde, tandis que le gouvernement américain est occupé à voler des ressources, à faire passer des armes, à faire le trafic d’êtres humains et à envoyer nos propres troupes dans les hachoirs à viande du monde entier.

    Les 10 principales façons dont notre monde moderne est conçu pour ruiner la santé humaine, l’intelligence et les moyens de subsistance, tout cela pour remplir les poches des riches fous qui veulent plus de contrôle

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  16. #1. Agriculture – Biotechnologie (OGM) recouvrant tout de pesticides chimiques, d’herbicides et de fongicides, puis transformé et conservé avec encore plus de produits chimiques

    #2. « ​​Changement climatique » par la technologie des armes météorologiques et les systèmes de modification

    #3. Éducation – simplifiée, déformée, pervertie, CRT, DEI et absence de pensée critique

    #4. Tout est automatisé – intelligence artificielle, caisses dans les magasins, service client, véhicules et transformateurs alimentaires

    #5. Police de la société – surveillance du trafic (émission de contraventions automatisées), invasion de la vie privée avec des appareils intelligents et espionnage et lavage de cerveau sur les réseaux sociaux

    #6. Fausses nouvelles – la plupart des nouvelles nationales et locales sont scénarisées par des forces gouvernementales insidieuses, Big Pharma et Big Food et régurgitées à tous les niveaux et sur tous les supports, y compris la télévision, la radio, Internet, les réseaux sociaux, YouTube et via les moteurs de recherche

    #7. Médicaments concoctés en laboratoire et vaccins sales

    #8. Armes de destruction massive, y compris missiles autoguidés, ogives nucléaires et bombes sales contrôlées par des drones et l’IA

    #9. Villes métropolitaines – peu ou pas d’arbres, herbe, air pollué, bureaux et bâtiments carrés non naturels, chaussées et routes en ciment, bureaux isolés

    #10. Énergie sale et pollution électromagnétique – Wi-Fi, réseaux 5G, appareils électroménagers, lignes électriques, sous-stations électriques, éclairage fluorescent, ampoules LED et CFL, compteurs intelligents

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    Les sources de cet article incluent :

    NaturalNews.com
    LotusofLifeChiropractic.com

    https://www.naturalnews.com/2024-11-07-modern-world-engineered-wreck-health-intelligence-livelihood.html

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  17. Rapport : les effets nocifs du vaccin contre le VPH Gardasil étaient évidents des années avant le déploiement des vaccins contre la COVID-19


    11/07/2024
    Ramon Tomey


    Les effets nocifs du Gardasil, le vaccin contre le virus du papillome humain (VPH) de Merck, étaient évidents des années avant le déploiement des vaccins contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19).
    Rhoda Wilson du Daily Expose a développé ce point dans un article du 4 novembre, citant un article distinct de A Midwestern Doctor (AMD) sur Substack. Le Gardasil est né comme un moyen de récupérer les pertes subies par Merck à cause de son dangereux anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS) Vioxx. L'AINS était associé à un risque plus élevé d'accident vasculaire cérébral et de crise cardiaque, et aurait tué environ 120 000 personnes avant son retrait du marché en 2004.

    « Merck a finalement dû payer 5 milliards de dollars pour le Vioxx, tandis que le PDG a reçu une prime « basée sur la performance » de 37,8 millions de dollars, ce qui a laissé Merck à court de fonds », a écrit AMD. « Le problème a été résolu par des décennies de recherche qui ont finalement abouti à un vaccin contre le VPH, que Merck et la Food and Drug Administration (FDA) ont immédiatement mis au point par le biais d'une campagne publicitaire « primée » qui a convaincu tous les Américains qu'ils devaient avoir peur du cancer du col de l'utérus, un cancer assez rare. »

    La campagne publicitaire a été efficace : 25,1 % des adolescentes ont reçu une injection de Gardasil en 2007, 53,8 % en 2011 et 79,3 % l'année dernière. Cependant, AMD a souligné que de nombreuses personnes ayant reçu du Gardasil pour se protéger du VPH ont développé des infections. Les données des essais cliniques sur le Gardasil ont même montré qu'il aggravait les infections existantes au point de devenir cancéreux.

    La contamination de l'ADN - un problème également identifié avec les injections contre la COVID-19 - a également affecté le Gardasil. AMD a poursuivi : « Il y a eu de nombreux cas où des jeunes filles vaccinées… [ont été] découvertes avec de l'ADN plasmidique du VPH dans leur corps. Ces plasmides ont été trouvés dans tous les vaccins contre le VPH où il a été testé. » (Article connexe : Les vaccins contre le VPH Gardasil ont été trouvés contaminés par de l'ADN recombinant qui persiste dans le sang humain.)

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  18. Compte tenu des dangers du Gardasil, la FDA et les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) « ont été inondés d'une vague de rapports d'effets indésirables » lorsque l'injection du VPH a été introduite. Mais au lieu de reconnaître les dommages causés par le vaccin contre le VPH, les deux agences « ont redoublé d'efforts » pour le promouvoir et ont créé « une série de mesures de plus en plus élaborées pour le protéger ».

    La FDA et le CDC ont protégé le Gardasil de la même manière qu'ils ont protégé les vaccins contre la COVID-19
    AMD a partagé un exemple de la manière dont la FDA et le CDC ont protégé le Gardasil malgré les nombreux cas de dommages causés par le vaccin liés à l'injection du VPH. Les deux agences ont lancé une étude en 2009 pour examiner le profil de sécurité du Gardasil, probablement en réponse à une large publicité. Cette étude a examiné les rapports déposés dans le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) entre l'approbation du Gardasil à la mi-2006 et à la fin de 2008.

    "Le taux de signalement du VAERS pour [Gardasil] est trois fois supérieur à celui de tous les autres vaccins combinés", a noté l'étude, même si ses auteurs ont reconnu que la plateforme souffrait d'une sous-déclaration. Elle a constaté que 68 % des signalements ont été soumis par des représentants de Merck, la plupart nécessitant plus de précision ou des compléments supplémentaires. Parallèlement, 90 % des rapports sur les dommages causés par le vaccin lié au Gardasil nécessitaient davantage d'informations essentielles pour mener des évaluations médicales.

    Les auteurs ont néanmoins déclaré que malgré ces signaux d'alarme, le taux élevé d'événements indésirables « reflète une plus grande attention du public au VPH » – que « la couverture médiatique généralisée… a stimulée ». Ils ont également affirmé que le « profil de sécurité post-homologation » du Gardasil tel que calculé à partir des données du VAERS est « globalement cohérent » avec les données de sécurité recueillies dans ses essais cliniques, même s'ils n'ont pas réussi à prouver ces deux points.

    « Sans surprise, après la publication de l'étude, les organismes de presse et les autorités sanitaires telles que le CDC et [l'Organisation mondiale de la santé] ont fait référence à cette « étude » comme preuve que le Gardasil était sûr », a écrit AMD. « Cela vous semble familier ? »

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  19. « Les vaccins comportent souvent des risques qui dépassent de loin leurs avantages, et même lorsque des dommages sont évidents lors des essais – comme ce fut le cas avec le Gardasil – les régulateurs les approuvent quand même. Malheureusement, cela reflète ce que nous avons vu avec les vaccins COVID-19. »

    Rendez-vous sur Vaccines.news pour plus d'articles sur le Gardasil.

    Regardez le Health Ranger Mike Adams dénoncer le canular entourant le vaccin anti-VPH Gardasil dans ce clip.

    This video is from the Newstarget channel on Brighteon.com.

    More related stories:

    Japan: HPV vaccine on trial for its horrifying side effects.

    STUDY: Widely used HPV injection linked to 4 AUTOIMMUNE DISORDERS.

    Evidence shows HPV vaccines like Gardasil are causing severe injuries and deaths.

    Proposed California bill seeks to mandate Merck's Gardasil HPV vaccine for children entering eighth grade.

    All recombinant vaccines and adjuvants – not just COVID-19 vaccines – are now implicated in DNA contamination scandal.

    Sources include:

    Expose-News.com
    MidwesternDoctor.com
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2024-11-07-harms-gardasil-evident-before-covid-vaccine-rollout.html

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  20. Vaccination forcée : un enfant de 5 ans développe l'autisme après avoir reçu 18 vaccins en une journée


    11/07/2024
    Richard Brown


    David Ihben, père de famille en difficulté, est actuellement aux prises avec une bataille juridique pour la garde de son fils de cinq ans qui est devenu autiste après avoir été forcé de recevoir 18 vaccins en une journée.

    En 2016, Ihben a déménagé sa famille de Chicago vers la campagne de Jamestown, dans le Tennessee, à la recherche d'une vie plus calme et plus simple. Cependant, en décembre 2019, un divorce amer et une bataille pour la garde des enfants ont conduit à une décision juridique dévastatrice qui allait changer leur vie à jamais : la vaccination forcée de ses enfants, entraînant de graves conséquences pour son plus jeune fils, Isaac. (Article connexe : Les tribunaux ont créé un précédent pour la VACCINATION FORCÉE massive de tous les enfants.)

    David et son ex-femme, qui s'étaient éloignés, travaillaient sur un plan parental devant le tribunal de la famille lorsque, en 2019, le juge de la Cour des sessions générales du comté de Fentress, dans le Tennessee, Michael Todd Burnett, est intervenu.

    Après avoir découvert que leurs enfants n'étaient pas vaccinés, le juge, que David a décrit comme un défenseur des vaccins, a insisté pour que les enfants soient vaccinés. Burnett est même allé jusqu'à dire aux parents que ne pas vacciner leurs enfants équivalait à une « maltraitance envers les enfants » et a offert la garde au parent qui acceptait de vacciner les enfants immédiatement.

    David, qui s'était toujours opposé à la vaccination pour des raisons personnelles et religieuses, a été choqué lorsque son ex-femme a accepté de faire vacciner les enfants ce jour-là. Le tribunal leur a accordé la garde partagée, la mère étant la tutrice principale. Les enfants ont été vaccinés le même jour - Isaac, âgé de cinq ans seulement, a reçu 18 vaccins en une seule visite.

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  21. La santé d'Isaac se détériore après avoir reçu 18 vaccins en une journée
    La réaction d'Isaac après avoir reçu 18 vaccins en une seule journée a été catastrophique. Alors que ses frères et sœurs aînés, Hannah et Joseph, sont sortis de l'épreuve avec des effets secondaires bénins, la santé d'Isaac s'est rapidement détériorée.

    Il a été hospitalisé avec une forte fièvre et a passé 12 jours aux soins intensifs. Il est sorti de cette expérience avec un autisme régressif sévère, perdant sa capacité à parler et nécessitant des soins 24 heures sur 24.

    "Il ne parle pas. Il porte une couche. Il mange au biberon 20 à 30 fois par jour", a expliqué David. L'état d'Isaac a bouleversé la vie de toute la famille. David n'a pas eu une nuit complète de sommeil depuis des années et lutte quotidiennement pour répondre aux besoins complexes d'Isaac.

    Les conséquences des vaccinations ont été tragiques. La mère d'Isaac a rapidement abandonné la famille, laissant David élever seul les enfants, bien qu'il soit toujours tenu de payer une pension alimentaire.

    « Elle n'est plus là depuis presque cinq ans, mais je paie toujours une pension alimentaire », a déclaré David. Il a demandé la garde complète des enfants, mais le tribunal a refusé de l'accorder, invoquant le fait que la mère doit être présente pour changer la garde.

    « Personne ne sait où elle est », a déclaré David.

    En plus de ses difficultés, David a rencontré des difficultés pour obtenir des soins de santé et une aide financière pour Isaac. Les règles du Tennessee empêchent les familles de recevoir des soins de santé à domicile s'il y a d'autres enfants de moins de 18 ans dans le foyer, et David a dû faire face à un manque de soutien pour les enfants handicapés dans son district scolaire local, qui dispose même de chaises de contention pour les élèves autistes.

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  22. Les difficultés de David se sont encore aggravées lorsque, en décembre 2023, son domicile a été perquisitionné par le Tennessee Bureau of Investigation (TBI) dans des circonstances mystérieuses. David, qui ne connaît toujours pas la raison de la perquisition, a subi une crise cardiaque cette nuit-là.

    « Je suis toujours sous traitement », a-t-il déclaré, soulignant que le bilan émotionnel de l'incident a été important.

    Malgré tout cela, David a travaillé pour sensibiliser les gens à la situation difficile de sa famille, dans l'espoir d'empêcher que d'autres familles ne vivent la même tragédie. Malgré les difficultés, Isaac a montré une certaine amélioration grâce à la thérapie, et David garde espoir.

    "J'espère qu'Isaac sera le dernier", a déclaré David, soulignant l'importance de partager son histoire. "Je veux juste que les gens sachent ce qui est arrivé à ma famille et les dangers du traitement médical forcé".

    L'épreuve de David n'a pas seulement été un fardeau émotionnel et physique, mais aussi une chance pour ses enfants, en particulier ses aînés, Hannah et Joseph, d'en apprendre davantage sur le gouvernement, les droits médicaux et les libertés individuelles. En tant que famille, ils continuent d'enseigner aux autres dans leur communauté, espérant que l'histoire d'Isaac empêchera de nouveaux dommages.

    "Nos vies ont changé pour toujours", a déclaré David. "Mais si nous pouvons aider une famille, cela en vaudra la peine".

    DangerousMedicine.com propose d'autres histoires de blessures causées par des vaccins.

    Regardez cette vidéo montrant une vaccination forcée dans un hôpital.

    Cette vidéo provient de la chaîne Hamilton-Moore Effect sur Brighteon.com.

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  23. Autres histoires connexes :

    La vaccination forcée est RÉELLE : les tribunaux imposent désormais la SÉDATION pour agresser les personnes vaccinées contre la COVID-19 au Royaume-Uni.

    Un juge du Tennessee ordonne à un garçon de 5 ans non vacciné de prendre 18 injections, ce qui entraîne une admission aux soins intensifs et un autisme irréversible.

    Les gens ne devraient pas être FORCÉS de se faire vacciner, déclare Elon Musk à Tucker Carlson.

    Une femme de 23 ans originaire de Floride développe une cécité et une maladie auto-immune de dépérissement des globules rouges après que les médecins l'ont forcée à recevoir trois injections de vaccin.

    Le nouveau PLAN PANDÉMIQUE de la Nouvelle-Zélande entraînera la loi martiale et des vaccinations forcées.

    Sources include:

    LifeSiteNews.com
    NationalDailyNG.com
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2024-11-07-child-develops-autism-forced-to-receive-18-vaccines.html

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  24. Le gouvernement allemand admet qu'il n'y a pas eu de pandémie


    Par Baxter Dmitry
    Recherche mondiale,
    08 novembre 2024


    Note d'introduction

    Ce qui est significatif, c'est que les autorités sanitaires allemandes, sur la base de données officielles, sont désormais obligées, en vertu de la liberté d'information, de révéler la nature dévastatrice et les impacts des mesures de confinement liées au Covid imposées à 190 pays, à compter du 11 mars 2020.

    La plupart des études indépendantes, y compris celles menées par Global Research, ont fait l’objet de censure.

    Il est important de noter que les documents officiels du ministère allemand de la Santé concordent avec les rapports indépendants publiés depuis plus de quatre ans concernant les confinements liés au COVID-19, le port obligatoire du masque facial et les vaccins expérimentaux à ARNm.

    Michel Chossudovsky , Global Research, 4 avril 2024

    * * *

    Une grande nouvelle en provenance d'Allemagne : le gouvernement fédéral a été contraint d'admettre que les soi-disant « théoriciens du complot » avaient raison sur toute la ligne pendant la pandémie de Covid.

    En fait, selon les données du gouvernement allemand, il n’y a pas eu de pandémie du tout, juste une opération psychologique de niveau militaire soigneusement chorégraphiée pour laver le cerveau des masses afin qu’elles acceptent un vaccin expérimental aux conséquences désastreuses.

    Ces documents secrets du gouvernement allemand obtenus via une demande d'accès à l'information et un procès ultérieur ont fait éclater le voile sur les mensonges de l'élite mondiale sur le Covid et il est d'une importance vitale que le plus grand nombre possible de personnes soient informées de la vérité.

    De plus en plus de gens dans le monde entier se réveillent et voient l’élite mondiale pour ce qu’elle a toujours été : des psychopathes dérangés déterminés à détruire et à dominer.

    L’Allemagne n’est pas différente. La population allemande a subi des confinements et des vaccinations parmi les plus brutaux de toute l’Europe et aujourd’hui, les citoyens se soulèvent et demandent des comptes.

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  25. Voici Paul Schreyer et le magazine Multipolar qui ont lancé une demande d'accès à l'information et qui ont ensuite intenté un procès contre le gouvernement allemand lorsqu'ils ont essayé tous les trucs possibles et imaginables pour garder les documents secrets sous clé.

    Comme l’explique le professeur Steven Homburg, les résultats sont stupéfiants et constituent une justification totale pour tous ceux qui ont osé remettre en question le récit des confinements et des mandats de port du masque et de vaccination.

    Les documents secrets du gouvernement – ​​qui comptent 2 000 pages – révèlent que nous avions raison sur presque tout et que la soi-disant « pandémie » n’était qu’une fraude.

    Ces faits sont accablants et prouvent que le récit officiel sur le Covid, diffusé par les gouvernements du monde entier et les médias grand public, est complètement faux.

    Ce qui rend la tyrannie que nous avons connue pendant la soi-disant pandémie encore plus difficile à avaler, comme l’explique le professeur Homburg.

    Les données révèlent également que la Suède, qui était le seul pays européen à ne pas avoir imposé de masques ni de confinement, a obtenu de bien meilleurs résultats que l'Allemagne. Ce qui soulève la question : à quoi servaient réellement ces mesures de confinement et de confinement tyranniques ?

    Le professeur Homburg a la réponse – et il s’avère que nous avions raison depuis le début.

    L’objectif de l’élite mondiale a toujours été de briser l’hésitation à se faire vacciner en imposant des mesures de confinement brutales. Malheureusement, pour ceux qui n’ont pas compris l’opération psychologique à l’époque, les conséquences sanitaires sont désastreuses. Il faut se poser de sérieuses questions.

    Malheureusement pour les personnes vaccinées, les mauvaises nouvelles ne s'arrêtent pas là. Des chercheurs japonais ont établi un lien entre les vaccins contre le Covid et des centaines de maladies.

    Une nouvelle étude réalisée aux États-Unis a révélé que les personnes vaccinées et vaccinées peuvent espérer rencontrer leur créateur bien plus tôt qu'elles ne l'auraient espéré.

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  26. Une nouvelle étude inquiétante a révélé que les personnes qui ont été « entièrement vaccinées » avec des injections d’ARNm contre le Covid peuvent s’attendre à perdre 25 ans de leur espérance de vie.

    Les chercheurs ont analysé les données du CDC, de la Cleveland Clinic Data et des données d’évaluation des risques des compagnies d’assurance et ont découvert une tendance inquiétante à la baisse de l’espérance de vie chez ceux qui avaient reçu plusieurs doses d’ARNm.

    Malheureusement pour les personnes vaccinées, la situation est encore pire. Les dommages chroniques causés à la santé par chaque dose d’ARNm ne diminuent pas avec le temps, comme on le croyait auparavant.

    En réalité, les effets négatifs sur la santé semblent perdurer indéfiniment.

    Selon les chercheurs , les données du CDC sur la mortalité toutes causes confondues révèlent que chaque injection a augmenté la mortalité de 7 % en 2022 par rapport à la mortalité en 2021.

    Cela signifie que les personnes ayant reçu 5 doses – soit deux doses et trois rappels – avaient 35 % plus de risques de mourir en 2022 qu’en 2021.

    En corrélation avec les informations allemandes, l'étude a également confirmé que les personnes non vaccinées n'étaient pas plus susceptibles de mourir en 2022 qu'en 2021.

    Ces chiffres sont accablants. Mais quiconque y prête attention peut constater que quelque chose ne va pas chez les vaccinés. Ils tombent comme des mouches avec des problèmes cardiaques et un cancer du sein partout dans le monde.

    Les athlètes professionnels sont censés être parmi les personnes les plus saines de la planète, mais au cours des dernières années, des milliers d’entre eux se sont effondrés à cause de problèmes cardiaques soudains et inexplicables.

    Les athlètes professionnels entièrement vaccinés continuent de tomber comme des mouches, et quatre footballeurs professionnels se sont effondrés soudainement, le cœur serré, au cours de la semaine dernière seulement.

    La star égyptienne Ahmed Refeat est devenue le troisième footballeur professionnel à être victime d'un arrêt cardiaque devant les caméras de télévision en direct. Les médecins ont admis plus tard qu'ils n'avaient « jamais vu quelque chose comme ça auparavant ».

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  27. Le milieu de terrain des Orlando Pirates, Makhelene Makhaula, a été la deuxième star du football à s'effondrer sur le terrain cette semaine, alors que le personnel médical tentait désespérément de réanimer la star sud-africaine.

    Écoutez le commentateur abasourdi admettre, selon ses propres mots, que les footballeurs tombent comme des mouches partout dans le monde depuis le déploiement du vaccin.

    Dimanche, en première division argentine, le joueur d'Estudiantes Javier Altamirano a été victime d'une crise d'épilepsie et s'est effondré subitement lors du match important contre Boca Juniors, l'un des plus grands clubs d'Amérique du Sud.

    Les athlètes professionnels ne sont pas les seuls à tomber comme des mouches. Des personnes de tous horizons, y compris des influenceurs populaires sur les réseaux sociaux, sont frappées par des maladies cardiaques et des formes rares de cancer à un rythme sans précédent.

    Des médias éthiques mettraient en lumière ces incidents en première page et consacreraient leurs ressources à enquêter sur les raisons pour lesquelles tant de jeunes gens en bonne santé souffrent d’arrêts cardiaques, d’accidents vasculaires cérébraux et de formes rares de cancer.

    Au lieu de cela, les médias tentent de normaliser le phénomène et de vous convaincre que les crises cardiaques chez les athlètes professionnels et les jeunes sont monnaie courante.

    Cependant, toute personne capable de réfléchir de manière indépendante comprend que cette situation est loin d’être normale.

    https://www.globalresearch.ca/german-government-admits-there-was-no-pandemic/5853916

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  28. Les vaccins contre la COVID-19 présentent un risque de caillots cérébraux et d'accidents vasculaires cérébraux 112 000 % supérieur à celui des vaccins contre la grippe


    Par Michael Nevradakis
    Recherche mondiale,
    08 novembre 2024


    Les vaccins contre la COVID-19 présentent un risque 112 000 % plus élevé de caillots cérébraux et d’accidents vasculaires cérébraux que les vaccins contre la grippe et un risque 20 700 % plus élevé de ces symptômes que tous les autres vaccins combinés, selon une étude évaluée par des pairs qui appelle à un moratoire mondial sur les vaccins .

    L'étude, publiée la semaine dernière dans l'International Journal of Innovative Research in Medical Science, a recensé 5 137 cas de thromboembolie cérébrale après une vaccination contre la COVID-19 sur une période de 36 mois. Ce chiffre est à comparer aux 52 cas signalés après la vaccination contre la grippe et aux 282 cas signalés pour tous les vaccins au cours des 34 dernières années.

    Lire ici

    Selon l’étude, cela représente une « violation alarmante du seuil de signal de sécurité concernant les événements indésirables de thrombose cérébrale » suite à la vaccination contre la COVID-19.

    Les auteurs de l'étude — la chercheuse indépendante Claire Rogers, l'obstétricien et gynécologue Dr James A. Thorp , la chercheuse indépendante Kirstin Cosgrove et le cardiologue Dr Peter McCullough — ont utilisé les données du Vaccine Adverse Event Reporting System ( VAERS ) du gouvernement américain pour leur analyse.

    Les données ont également indiqué 9 821 cas de fibrillation auriculaire – un rythme cardiaque irrégulier qui est « la cause identifiable la plus courante de thromboembolie artérielle cérébrale » – après la vaccination contre la COVID-19 en 41 mois, contre 797 cas signalés en 34 ans pour tous les autres vaccins combinés.

    Rogers a déclaré au Defender que les résultats confirment les preuves anecdotiques d'une incidence accrue d'accidents vasculaires cérébraux observée pendant et après la pandémie de COVID-19.

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  29. Rogers a déclaré :

    « Les cas de thrombose cérébrale signalés dans le VAERS ont considérablement augmenté après l’administration des vaccins contre la COVID. Non seulement les cliniciens ont constaté ce phénomène en milieu hospitalier, mais le citoyen moyen a également constaté une augmentation des cas d’AVC chez les célébrités, les athlètes et les jeunes. »

    McCullough a déclaré au Defender que l'étude avait utilisé une « stratégie raisonnable de recherche sur la sécurité des vaccins » en comparant « un nouveau vaccin à la vaccination antigrippale de routine en tant que norme « sûre ». Il a déclaré que les résultats ont montré des « conséquences horribles » après la vaccination contre la COVID-19.

    Ces résultats ont conduit les auteurs de l’étude à appeler à un moratoire mondial immédiat sur l’utilisation des vaccins contre la COVID-19 « pour atténuer les risques supplémentaires liés à une contre-indication absolue chez les femmes en âge de procréer ».

    « Notre étude rejoint le chœur croissant d’analyses appelant au retrait du marché de tous les vaccins contre la COVID-19 », a déclaré M. McCullough. Le retrait « devrait être la première priorité » de la prochaine administration.

    La protéine Spike impliquée dans l'augmentation du risque d'accident vasculaire cérébral
    Selon l’étude, la protéine de pointe présente dans le virus SARS-CoV-2 et dans les vaccins contre la COVID-19 est probablement un contributeur important aux caillots cérébraux et aux accidents vasculaires cérébraux.

    « Au début de la pandémie de COVID, il est devenu évident qu’il y avait un effet thrombogène du virus Sars-CoV-2 et on pense maintenant que les protéines de pointe [sont] l’un des principaux contributeurs à cet effet thrombogène », indique l’étude.

    Selon l’étude, la souche originelle du virus a provoqué « une série d’événements thromboemboliques graves ». Cependant, au fil du temps, « l’évolution naturelle a pu donner naissance à des souches moins virulentes ».

    Ce risque initial a été remplacé par une augmentation de l’incidence des microcaillots, « affectant les petits vaisseaux du système circulatoire ». L’étude a noté qu’il est « largement admis que l’exposition cumulative à la protéine Spike » conduit à un risque accru de tels caillots chez les patients.

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  30. Selon Rogers,

    « On pense qu'un mécanisme par lequel la protéine Spike contribue à cette pathogenèse est le déclenchement d'un dysfonctionnement endothélial » — une condition qui existe lorsque les artères coronaires sont rétrécies même s'il n'y a pas de blocage physique.

    L’étude n’a pas comparé les différents types de vaccins contre la COVID-19, à savoir les vaccins à ARNm de Pfizer et de Moderna, et les vaccins à base d’adénovirus de Johnson & Johnson (Janssen) et d’AstraZeneca. Rogers a toutefois noté que les vaccins à base d’adénovirus ont été retirés du marché aux États-Unis et en Europe à la suite de signalements de caillots sanguins .

    Notant que le VAERS « est réglementé, détenu et maintenu » par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) et la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis, l’étude a abordé les avantages et les inconvénients relatifs de l’utilisation de cette base de données pour une telle analyse.

    « Malgré la partialité du CDC/FDA et leurs tentatives de cacher, de dissimuler et de « limiter » les décès et les blessures causés par les vaccins COVID-19, il existe toujours une violation sans précédent du signal de sécurité en utilisant leurs propres critères », indique l'étude.

    Ce signal de sécurité est évident même si le « facteur de sous-déclaration relatif… dans le VAERS est estimé être de l’ordre de 30 à 100 ».

    Une étude de Harvard de 2011 a révélé que moins de 1 % de tous les événements indésirables sont signalés au VAERS.

    Les appels se multiplient en faveur d'un moratoire sur les vaccins contre la COVID
    Karl Jablonowski, Ph.D., chercheur principal à Children's Health Defense , a déclaré au Defender que malgré « les limites de l'utilisation des données du VAERS pour déduire les risques », il a été « surpris » par les résultats de l'étude. Il a déclaré que l'étude s'ajoute au nombre croissant de voix appelant à un moratoire sur l'administration des vaccins contre la COVID-19.

    « Bien qu’une seule étude ne justifie pas un moratoire, une cacophonie d’études le fait », a déclaré Jablonowski.

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  31. Selon l’étude,

    « Il y a maintenant 3 580 études publiées dans des revues médicales à comité de lecture documentant des blessures, des handicaps et des décès après les vaccins contre la COVID-19 », renforçant les appels à leur retrait.

    Le mois dernier, le district de santé du sud-ouest de l'Idaho a annoncé qu'il cesserait de proposer des vaccins contre la COVID-19 , suite au témoignage de membres de la communauté locale et d'experts, dont McCullough et Thorp.

    Cette décision fait suite à la publication, le mois dernier, d'un rapport du gouvernement slovaque qualifiant les injections d'ARNm de « dangereuses » et appelant à leur interdiction. Le mois dernier également, un conseil municipal d'Australie occidentale a appelé à l'interdiction des produits à base d'ARNm.

    En janvier, le médecin généraliste de Floride, Joseph Ladapo , a appelé à « l’arrêt de l’utilisation des vaccins à ARNm contre la COVID-19 » en raison de problèmes de sécurité.

    Le psychothérapeute Joseph Sansone, Ph.D. , auteur de la résolution « Ban the Jab » adoptée par 10 comtés de Floride, a soutenu l'appel de l'étude en faveur d'un moratoire sur les vaccins COVID-19.

    Il a dit :

    « Les injections de nanoparticules d’ARNm et de COVID-19 sont des armes biologiques et technologiques de destruction massive. Il est temps que la communauté médicale dise la vérité et admette qu’on lui a menti comme à tout le monde. Ces injections nuisent à ceux qui ont été injectés et à ceux qui ne l’ont pas été, par l’élimination de cette technologie.

    « Toutes les injections de nanoparticules d’ARNm doivent être interdites immédiatement et une enquête approfondie doit être menée sur les criminels derrière cette attaque contre l’humanité. »

    Des organisations telles que le Conseil mondial de la santé , Doctors for COVID Ethics et l’ Association of American Physicians and Surgeons ont également appelé à un moratoire sur les vaccins contre la COVID-19.

    « Le taux de vaccination contre la COVID-19 par le public est au plus bas », a déclaré Rogers. « La production de ces produits n’est plus nécessaire. »

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  32. Jablonowski a déclaré :

    « Un moratoire mondial sur les vaccins contre la COVID-19 constituerait un grand pas en avant pour l’humanité, non seulement en termes de santé humaine mais aussi pour notre humilité.

    « Nous devrions admettre que nous avons été trompés en prenant un produit dangereux et que nos gouvernements, nos scientifiques et nos sociétés pharmaceutiques n’ont pas hésité à nous duper. Notre avenir meilleur commence lorsque nous parviendrons à accepter ces conditions. »

    https://www.globalresearch.ca/covid-vaccines-greater-risk-brain-clots-strokes/5872208

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  33. Robert F. Kennedy Jr., ennemi des fabricants de médicaments et des régulateurs, est prêt à exercer un nouveau pouvoir


    Par Children's Health Defense
    Recherche mondiale,
    08 novembre 2024


    Big Pharma Watch du Defender présente les derniers titres liés aux sociétés pharmaceutiques et à leurs produits, notamment les vaccins, les médicaments, les dispositifs médicaux et les traitements.

    Les opinions exprimées dans les extraits ci-dessous provenant d’autres sources d’information ne reflètent pas nécessairement celles de The Defender.

    Notre objectif est de fournir aux lecteurs des informations de dernière minute qui affectent la santé humaine et l’environnement.

    * * *

    Robert F. Kennedy Jr., ennemi des fabricants de médicaments et des régulateurs, est prêt à exercer un nouveau pouvoir
    Le New York Times a rapporté :

    Lorsque 12 000 professionnels de la santé publique se sont réunis à Minneapolis la semaine dernière pour la réunion annuelle de l’American Public Health Association, le Dr Jerome Adams , qui a été chirurgien général dans la première administration du président élu Donald J. Trump, a lancé un avertissement pointu à propos de Robert F. Kennedy Jr.

    « Si RFK a une influence significative sur la prochaine administration, cela pourrait encore éroder la volonté des gens de se mettre à jour avec les vaccins recommandés », a déclaré le Dr Adams. « Je m'inquiète de l'impact que cela pourrait avoir sur la santé de notre nation, sur son économie et sur notre sécurité mondiale. »

    Aujourd’hui, M. Kennedy, qui est un sceptique virulent à l’égard des vaccins, est en position d’exercer une influence considérable sur un large éventail de politiques. La victoire électorale écrasante de M. Trump, avec M. Kennedy à ses côtés, est – aux yeux de leurs partisans – non seulement un mandat, mais aussi un rejet de l’establishment de la santé publique qui a longtemps tenu M. Kennedy à distance.

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  34. La vision du monde de M. Kennedy s’incarne dans deux de ses refrains les plus fréquents :

    « Il n’y a rien de plus rentable pour une grande partie du système de santé qu’un enfant malade » et

    « Les agences de santé publique sont devenues les marionnettes des industries qu’elles sont censées réglementer. »

    Maintenant que les républicains contrôlent le Sénat, M. Kennedy pourrait théoriquement obtenir la confirmation pour l'un des nombreux postes importants du secteur de la santé : secrétaire à la Santé et aux Services sociaux , commissaire de la Food and Drug Administration américaine ou directeur des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies.

    « Il s’agit d’une véritable victoire du mandat, avec des millions de personnes qui votent pour la première fois pour Trump », a déclaré Calley Means , un entrepreneur du secteur de la santé qui a été conseiller de M. Kennedy et qui a joué un rôle déterminant dans la mise en relation de ce dernier avec M. Trump. « Il s’agit d’un véritable mandat pour s’attaquer aux institutions de santé défaillantes et apporter le changement. »

    *

    Le spectre de la pandémie hante les élections américaines avec la victoire du mouvement anti-vaccin
    Le Guardian a rapporté :

    Donald Trump sera propulsé à la Maison Blanche pour un second mandat dans un contexte d'inquiétudes concernant l'inflation déclenchée par la pandémie, avec un éminent sceptique des vaccins - Robert F. Kennedy Jr. - à ses côtés, et des propositions de partisans conservateurs visant à restructurer fondamentalement les agences de santé publique au cœur de la colère de l'ère pandémique.

    La COVID-19 n’a jamais été considérée comme le problème central de la campagne présidentielle de 2024, mais lors de la première élection présidentielle post-pandémie, elle a eu des répercussions alors que le mouvement anti-vaccin a atteint ses plus hauts sommets politiques. Même dans son discours d’acceptation de mercredi matin, Trump a fait allusion aux changements qu’il attend à mesure que son administration se précise.

    Le sceptique des vaccins et théoricien du complot Robert F Kennedy Jr. « va aider l’Amérique à retrouver la santé », a déclaré M. Trump à ses partisans, avant d’ajouter : « Nous allons le laisser faire. » Le Dr Howard Markel, historien de la médecine à l’Université du Michigan qui a étudié les pandémies, a déclaré qu’il avait été frappé par une colère généralisée et a qualifié le thème de l’élection de « fantôme de l’avenir pandémique ».

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  35. « Avez-vous déjà pensé », a déclaré Markel à ses collègues, « lorsque vous faisiez tout ce travail difficile et restiez éveillé toute la nuit, que non pas 1 % ou 10 %, mais environ 50 % du pays diraient que vous avez détruit leur vie et les avez gardés à l'intérieur, hors de danger, pendant la pandémie ? »

    https://www.globalresearch.ca/robert-f-kennedy-jr-foe-drug-makers-regulators-wield-new-power/5872212

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  36. Trump gagne – « Ce sera l’âge d’or de l’Amérique »


    Par Jo Nova
    November 6th, 2024


    Une victoire historique – Le plus grand retour politique aux États-Unis

    En parlant d’Elon Musk – Trump a déclaré avec enthousiasme : « Nous devons protéger nos super génies ». C’est incroyablement rare – la reconnaissance au plus haut niveau que le génie scientifique et technique doit être protégé.

    - voir clip sur site -

    Je suis toujours le cynique qui cherche le piège – mais il a également remporté le vote populaire (51,1 %), apparemment dans tous les États clés (jusqu’à présent*) et a repris le Sénat. C’est excellent. Comment le Blob peut-il s’en sortir par la tricherie ? Auraient-ils pu placer de « faux votes » pour que Trump prétende avoir triché et contester les résultats, auraient-ils pu prétendre qu’il est un insurrectionnel le 6 janvier pour le disqualifier, après que tous ses prétendus « crimes » ont été blanchis devant les électeurs et que les électeurs ont quand même voté pour lui.

    Imaginez combien de votes il aurait gagné si les médias n’avaient pas travaillé contre lui à chaque instant.

    En Australie, toute notre politique nationale en matière d’énergie renouvelable s’est transformée en boulet.

    Mais le pouvoir maléfique et obscur du projet de loi sur la désinformation de l’ACMA était à l’ordre du jour du Parlement australien aujourd’hui. Cette législation menace l’existence de ce blog, des réseaux sociaux et de toutes les voix indépendantes qui ne sont pas déjà sous le contrôle du gouvernement. Avec l’Anglosphère sous la protection des États-Unis dans un monde hostile, il suffirait d’un mot de Trump sur la nécessité pour leurs alliés les plus proches de protéger la liberté d’expression.
    _______

    *Selon Politico – seulement 54 % des votes ont été comptés en Arizona (sommes-nous au 21e siècle, et à quoi servent les machines électroniques ?). Trump 50,9 %, Harris 48,3 %. Au Nevada, Trump est en tête avec 51,5 % contre 46,8 % pour Harris, avec 83 % comptés. En Pennsylvanie – 96 % comptés, avec Trump à 50,8 % contre 48,2 % pour Harris. La Floride était autrefois un État pivot, mais elle est désormais à 56 % pour Trump. La Californie, en revanche, a voté à 58 % pour Harris.

    https://joannenova.com.au/2024/11/trump-wins-this-will-be-the-golden-age-of-america/

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  37. La grande bataille – Le peuple contre la masse


    Par Jo Nova
    Le monde entier attend
    Babylon Bee
    November 6th, 2024 |


    Comme le dit Babylon Bee :

    Si Trump est élu, ce sera la fin de la bureaucratie telle que nous la connaissons
    Politique · 4 novembre 2024 · BabylonBee.com

    D’autres démocrates ont convenu qu’une autre présidence Trump signifierait probablement la fin des programmes gouvernementaux lucratifs mais gaspilleurs, avec une efficacité accrue et une réduction des recettes fiscales perçues par le gouvernement qui auraient un effet dévastateur sur leur capacité à s’enrichir. « Notre système de gouvernement n’a jamais été confronté à une menace plus imminente », a déclaré la députée Nancy Pelosi. « L’époque où les élus s’enrichissaient grâce à des pots-de-vin, des pots-de-vin secrets et des délits d’initiés est peut-être révolue. Servir le public ne devrait jamais être le facteur de motivation pour entrer dans la fonction publique. J’ai peur pour notre nation… et pour ma vie. »

    L’écart entre les médias et les électeurs continue de se creuser :
    https://www.newsbusters.org/blogs/nb/rich-noyes/2024/11/05/its-official-2024-campaign-news-coverage-was-worst-ever

    Ou, pour le dire autrement, les médias ont dû être plus gentils avec Kamala qu’avec n’importe quel candidat de l’histoire
    Newsbusters rapporte qu’il s’agit du plus grand parti pris médiatique qu’ils aient jamais vu. Ainsi, malgré la propagande incessante, au moins la moitié du pays pense que les médias sont complètement fous, sinon ils ne feraient pas exactement le contraire de ce que les médias veulent qu’ils fassent.

    Traitez-moi de suspect, mais je ne vois pas les sociopathes au pouvoir abandonner facilement. Étant donné la description cinglante de Mike Benz sur 76 ans d’influence des agences de renseignement américaines en matière de trucage des élections, il est difficile de croire qu’ils (et tous les autres bénéficiaires) ne feront pas tout leur possible pour gagner d’une manière ou d’une autre. Après tout, leur travail peut en dépendre, et ils ont essayé de le destituer, de le mettre en accusation, de l’assassiner, de le ruiner avec des affaires judiciaires, ils ont mis ses principaux partisans en prison et ils ont radié les avocats qui ont essayé de l’aider la dernière fois. Qu’est-ce qu’un vol impensable de plus ? Ce sont juste des gens qui protègent la démocratie, n’est-ce pas ?

    Le Projet 65 pour intimider et brutaliser les avocats. Telle est la diabolisation de Trump à grande échelle, Politico fait des cauchemars publics selon lesquels Trump pourrait perdre et prendre le pouvoir de toute façon.

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  38. Des groupes d’activistes ont été créés pour défendre le Blob

    « Le Projet 65 » est une sorte d’Étoile de la mort juridique, menaçant les avocats qui ont aidé Donald Trump en 2020. Ils veulent « dissuader les futurs abus du système juridique par les « Big Lie Lawyers » (ils les appellent en fait ainsi) qui cherchent à renverser des élections légitimes. » Légitime, c’est-à-dire leur candidat préféré.

    Autrefois, les avocats de l’opposition ne faisaient que leur travail, mais aujourd’hui, ils sont des gens horribles et immoraux qui « mettent en danger la démocratie » en portant devant le tribunal des affaires qu’un juge pourrait accidentellement approuver. Il est tellement plus éthique d’abandonner les masses non lavées et de leur refuser leur journée au tribunal, n’est-ce pas ?

    - voir clip sur site -

    Il va sans dire qu’ils doivent avoir peur que ses avocats puissent gagner.

    Quelqu’un veut-il aider à archiver les résultats des élections ?

    De l’autre côté, il y a un groupe de citoyens ECop qui cherche de l’aide pour archiver les résultats des élections par intervalles de 15 minutes afin que des audits puissent être effectués plus tard. Je ne sais pas grand-chose à leur sujet, mais cela semble bien. Ils visent à avoir une sorte de machine WayBack des résultats électoraux. Cela mettrait en lumière tout « saut » progressif dans le décompte des votes.

    Pour tous les électeurs américains qui lisent, n’oubliez pas de voter si vous le pouvez encore. Plus il y a de votes, plus il est difficile de saboter.

    Et pendant que vous attendez, Joe Rogan parle à l’ingénieur le plus incroyable…

    Comme le dit Musk, ce sera peut-être la dernière élection si Trump ne gagne pas. Avec l’immigration massive d’électeurs de gauche dépendants de l’aide sociale dans les États clés, ces derniers deviennent de solides États démocrates. Bientôt, l’ensemble des États-Unis ne sera plus qu’une grande Californie.

    Plus inquiétant encore, si les forces de la censure, de la collecte de données et des scores de crédit social ne sont pas repoussées, bientôt tout l’Occident ne sera plus qu’une grande Chine.

    MISE À JOUR : Elon semble très heureux…

    Il y a une discussion électorale en direct sur Twitter sous le pseudo d’Elon Musk. Il discute des résultats au fur et à mesure qu’ils arrivent.

    https://joannenova.com.au/2024/11/the-big-battle-the-people-versus-the-blob/

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  39. Harris a emporté TOUS les états dans lesquels aucune pièce d’identité n’est nécessaire pour voter et Trump , un seul, les clandestins ont bien voté … Une idée à reprendre ?


    le 7 novembre 2024
    par pgibertie


    @R_DeCastelnau

    Je dis ça, je dis rien… À gauche (en gris), les états américains où pour voter on ne vous demande pas de justifier de votre identité (!!!). Autre carte (en bleu), les états remportés par la candidate démocrate. C’est vraiment rigolo

    - voir carte US sur site -

    https://pgibertie.com/2024/11/07/harris-a-emporte-tous-les-etats-dans-lesquels-aucune-piece-didentite-nest-necessaire-pour-voter-et-trump-un-seul-les-clandestins-ont-bien-vote-une-idee-a-reprendre/

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  40. Oh non, maintenant les États-Unis auront un président qui fera de mauvaises choses


    Par Caitlin Johnstone
    Recherche mondiale,
    7 novembre 2024


    Alors, les démocrates peuvent-ils enfin commencer à s’opposer au génocide maintenant ?

    Je plaisante. Ils ne le feront pas.

    Les démocrates sont assis sur une montagne de centaines de milliers de cadavres humains qu’ils ont contribué à tuer par des massacres militaires de masse au cours des quatre dernières années, pleurant et se lamentant que maintenant de mauvaises choses vont commencer à se produire.

    Les démocrates crient si fort aujourd'hui parce qu'ils savent qu'ils ont tort. Ils savent que leur parti a présenté un candidat nul. Ils savent que c'était insensé d'espérer que la gauche soutienne un parti qui commet un génocide en direct.

    Ce n'est pas de la colère.

    Ce n'est pas de la peur.

    C'est une dissonance cognitive.

    Je devrais probablement répéter ce que j'ai dit en juillet : si vous êtes un partisan de Trump qui a commencé à me lire pour mes critiques de l'administration Biden, vous allez me détester après l'arrivée de votre homme.

    Les démocrates vont passer les quatre prochaines années à attaquer Trump avec virulence. Je le ferai aussi. Mais si les démocrates attaqueront Trump en raison des quelques points sur lesquels il est différent d’eux, je l’attaquerai en raison des nombreux points sur lesquels il est semblable aux démocrates.

    Les deux partis sont en parfaite adéquation lorsqu’il s’agit des pires maux de l’empire américain. Moi et d’autres comme moi allons nous concentrer sur ce point, tandis que les démocrates consacrent toute leur énergie à prétendre être un véritable parti d’opposition et à exagérer les différences entre eux et Trump.

    *

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  41. Si les élections présidentielles américaines sont si serrées et si la politique américaine reste divisée à 50-50, c’est parce que les deux partis sont constamment sur la corde raide, essayant de donner le plus possible aux donateurs tout en donnant le moins possible aux Américains tout en obtenant des voix. Dès qu’ils se rendent compte qu’ils peuvent faire moins de concessions aux électeurs ordinaires tout en ayant une chance de gagner, ils reviennent sur ces concessions pour en faire aux ploutocrates qui les possèdent.

    Ils calculent constamment le peu qu'ils peuvent donner aux électeurs. Donnez trop au peuple et les ploutocrates changent de camp ; donnez trop peu et le peuple ne votera pas pour vous. Ils vont donc tous les deux jusqu'au bout, année après année, en gardant les deux partis en deux et sans jamais changer le statu quo de manière significative.

    Ce qui se trouve être exactement ce que veulent les oligarques riches et puissants qui possèdent l’Amérique.

    La seule véritable solution au problème du tramway est de trouver et de tuer le connard qui continue à attacher les gens aux rails du tramway et à les obliger à choisir ceux qui meurent.

    *

    Je ne pense pas sincèrement que mon respect pour les démocrates puisse descendre plus bas. Il était déjà très bas, mais les voir essayer de forcer les gens à soutenir un monstre génocidaire ces derniers mois m'a fait atteindre un tout autre niveau de dégoût que je ne savais pas possible.

    Un gauchiste est quelqu’un qui a des idées politiques logiquement et moralement correctes. Un libéral est quelqu’un qui veut se sentir logiquement et moralement correct sans jamais se mettre en conflit avec le pouvoir, sans se priver d’opportunités ou sans ressentir les émotions inconfortables que la vérité provoque.

    https://www.globalresearch.ca/us-president-does-bad-things/5872088

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  42. La victoire de Trump et la stupéfiante réaction de Sandrine Rousseau


    Nathalie MP Meyer
    7 novembre 2024


    Rien ne manque : climatosceptique, masculiniste, raciste, économie libérale, avidité, profit - le tout étant qualifié de "backlash"

    Les points de vue exprimés dans les articles d’opinion sont strictement ceux de l'auteur et ne reflètent pas forcément ceux de la rédaction.

    Écouter

    La députée de Paris Sandrine Rousseau (NFP – EELV) possède à l’évidence un talent tout particulier pour combiner à l’infini ses éléments de langage favoris dans ses tweets, quel que soit l’événement soumis à sa verve politicienne. Nouvel exemple fascinant avec la victoire du républicain et ancien président Donald Trump face à la vice-présidente démocrate Kamala Harris dans la course à la Maison Blanche de ce 5 novembre 2024. À croire que tout ce qui fonde la « convergence des luttes » chère à la gauche s’est donné rendez-vous dans sa prose :

    « Les Etats-Unis sont le théâtre d’un backlash climatosceptique, masculiniste et raciste soutenu et encouragé par les acteurs d’une économie libérale, avides de profit. Angoisse. » (Sandrine Rousseau, X)

    Rien ne manque : climatosceptique, masculiniste, raciste, économie libérale, avidité, profit – le tout étant qualifié de « backlash » (contrecoup), ce nouveau mot à la mode chez les progressistes « angoissés » de voir que leurs progrès ne s’imposent pas aussi naturellement qu’ils le voudraient dans la société. En bonne « sorcière » écoféministe, Sandrine Rousseau ne pouvait pas faire moins.

    Pour ma part, je n’aurais certainement pas voté pour Kamala Harris. Selon mes convictions libérales qui visent à promouvoir au maximum la responsabilité, le choix et l’initiative des individus, son programme s’appuie excessivement sur la redistribution étatique en économie et sur l’ingénierie sociétale obligatoire pour le reste.

    Mais je n’aurais pas non plus donné ma voix à Donald Trump. Sa tentative de renverser les résultats de l’élection présidentielle précédente combinée à sa personnalité revancharde et clivante, à sa fascination pour un autocrate comme Vladimir Poutine, ainsi qu’à pas mal d’aberrations en économie, notamment les fameux « tariffs » qu’il compte appliquer à tous les produits en provenance de l’étranger, n’en font pas à mes yeux le candidat républicain idéal pour défendre la Constitution des États-Unis.

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  43. Il n’en demeure pas moins qu’il vient de remporter l’élection 2024 haut la main. Au moment où j’écris, il domine le vote populaire de presque 5 millions de voix sur Kamala Harris, il a largement dépassé le minimum requis de 270 grands électeurs pour être élu, il a amélioré ses scores dans 48 États sur 50 et dans presque tous les groupes démographiques depuis l’élection de 2020. À noter en particulier que 55 % des hommes latinos ont voté pour lui et que sa part chez les hommes noirs est passée de 12 % à 21 % entre 2020 et 2024. De plus, son parti a obtenu la majorité au Sénat (les résultats de la Chambre des Représentants sont encore incertains).

    Dès lors, la question qui se pose à nous est la suivante : alors que la situation économique des États-Unis est plutôt bonne, avec un taux de chômage de 4,2 % en septembre 2024 et une croissance attendue de 2,6 % à 2,8 % sur l’année (contre 7,3 % et 1,1 % respectivement chez nous), qu’est-ce qui a pu pousser les Américains à sanctionner aussi fortement les sortants et à accorder leur confiance à Donald Trump ?

    Sans le vouloir, Sandrine Rousseau nous donne un fragment de réponse. Peut-être les électeurs, du moins la majorité d’entre eux, et en tout cas de plus en plus d’entre eux dans la plupart des groupes démographiques américains, sont-ils las de voir la politique prise en otage par les revendications sociétales « intersectionnelles ». Peut-être considèrent-ils, par exemple, que les débats sur la transition de genre à l’école primaire ou dans les prisons ne sont pas le premier objet de leurs préoccupations. Or c’est précisément sur ce terrain que le parti démocrate comptait faire son miel.

    On se rappellera par exemple qu’en 2019, Kamala Harris militait pour que les prisonniers et les migrants illégaux retenus en centres de détention puissent bénéficier d’une transition de genre aux frais du contribuable américain. Durant sa campagne, elle s’est montrée nettement moins affirmative sur le sujet, mais dans le même temps, son collègue Gavin Newsom, le gouverneur démocrate de Californie, promulguait une loi interdisant aux écoles de divulguer à quiconque, et notamment aux parents, des informations sur le changement de genre des élèves.

    Il n’est pas question ici de dire que l’écologie, l’égalité homme femme, le mouvement MeToo, la lutte contre le racisme et la transidentité sont des sujets anecdotiques voire inexistants. Un jeune garçon (ou fille) qui se sent fille (garçon) par toutes les fibres de son corps, oui, cela existe. Un homme qui adopte des attitudes sexuelles violentes avec une femme, oui, cela existe. Un couple homosexuel qui se fait insulter dans la rue parce qu’homosexuel, oui, cela existe. Un Noir, un arabe, un juif discriminé pour une raison ou pour une autre, oui, cela existe. La pollution de l’air, de l’eau et des sols, oui, cela existe.

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  44. Il est plutôt question de dire que tous ces sujets pourraient être traités autrement que par la menace et la coercition. Que la défense des femmes violentées par des hommes n’a pas à devenir une véritable chasse à l’homme dans laquelle la parole de la femme est systématiquement crue et celle de l’homme systématiquement mise en doute, au mépris de la présomption d’innocence et de la recherche des preuves. Que l’écologie peut s’avérer plus efficace pour la planète et pour les hommes à travers l’innovation technologique qu’à travers la décroissance obligatoire pour tous. Que l’antiracisme et l’égalité homme femme gagneraient à considérer que tous les humains sont égaux en droits avant de vouloir imposer des quotas basés uniquement sur l’appartenance à une minorité plutôt que sur la valeur personnelle. Etc.

    Le président élu Donald Trump tiendra-t-il compte de tout cela ? Évitera-t-il l’écueil de l’excès inverse ? J’ai mes doutes. Mais surtout, de façon nettement plus importante pour nous, l’Europe tiendra-t-elle compte de tout cela ? Il y a chez Donald Trump une propension isolationniste qui va obliger les pays de l’Union européenne à se réveiller. Mais là aussi, deux voies possibles. D’un côté, la pente glissante et appauvrissante de la social-démocratie progressiste, faite de taxes et de réglementations économiques, écologiques et sociétales, sur laquelle nous sommes hélas bien engagés (voir entre autres Farm to Fork et le Green New Deal). De l’autre, un retour à l’État de droit, au travail, à l’esprit de responsabilité, à l’innovation et aux initiatives individuelles.

    https://www.contrepoints.org/2024/11/07/479720-la-victoire-de-trump-et-la-stupefiante-reaction-de-sandrine-rousseau

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  45. L'ouragan rare de novembre, Rafael, se dirige vers la côte de la Louisiane en tant que tempête de catégorie 3


    11/07/2024
    Ethan Huff


    Après avoir touché terre dans l'ouest de Cuba en tant que tempête de catégorie 3 cette semaine, l'ouragan Rafael, un ouragan rare de novembre, se dirige maintenant vers la côte de la Louisiane à travers le golfe du Mexique, la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) prévoyant un deuxième atterrissage, aux États-Unis, au cours du week-end.

    Comme d'autres ouragans de cette ampleur, Rafael apporte avec lui une onde de tempête potentiellement mortelle, des vents destructeurs de force ouragan et des crues soudaines. La Louisiane ferait mieux d'en prendre note et de se préparer en conséquence.

    Les Keys de Floride devraient être confrontées à des conditions de tempête tropicale et jusqu'à trois pouces de pluie de Rafael, bien qu'une prévision plus précise soit encore à venir dans quelques jours à mesure que la tempête se développe. Les prévisionnistes disent que le sud-ouest de la Floride peut s'attendre à des tornades, un peu comme ce qui s'est passé pendant l'ouragan Milton.

    (En lien avec : Avez-vous lu notre rapport sur les modifications du temps et ses conséquences, intentionnelles ou non ?)

    La furie de l'ouragan Rafael atteindra-t-elle les Appalaches, dévastées par Helene ?
    Au moment où j'écris ces lignes, Rafael a des vents soutenus maximum de 115 mph et se déplace vers le nord-ouest à une vitesse de 14 mph. Rafael, la 17e tempête nommée cette saison, est déjà passée par la Jamaïque, laissant derrière elle peu de dégâts.

    En raison de la situation à Cuba, le Département d'État américain met en garde contre les voyages dans ce pays et propose des vols de départ à tout le personnel non essentiel afin qu'il puisse fuir en toute sécurité les provinces touchées de l'île, qui comprennent Pinar del Rio, Artemisa, La Habana, Mayabeque, Matanzas et l'île de la Jeunesse. »

    D'ici à ce qu'il atteigne la côte américaine, Rafael devrait considérablement faiblir. Les projections actuelles montrent que la tempête se déplacera à l'ouest de la Floride vers la Louisiane ou le Texas. On s'attend à des inondations, mais il est peu probable que Rafael entraîne avec elle le même degré de dégâts que Milton.

    « La bonne nouvelle est que même si Rafael pourrait bien entrer dans le Golfe en tant qu'ouragan en milieu de semaine, il y a très peu de chances que la tempête atteigne la terre sous forme d'ouragan », a commenté le Dr Ryan Truchelut, météorologue en chef de WeatherTiger, au journal News-Press de Fort Myers, en Floride.

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  46. Il est également inquiétant de constater qu'il existe également une chance que Rafael soit encore suffisamment fort à l'atterrissage pour continuer à se diriger vers le nord dans le sud des Appalaches. L'ouragan Hélène est toujours sous le choc. Heureusement, les zones des Appalaches les plus durement touchées par Hélène devraient rester en grande partie protégées de Rafael selon les projections actuelles.

    Comme d'habitude, les autorités affirment que cet ouragan rare du début novembre est le résultat du changement climatique. Les températures de la surface de la mer dans les Caraïbes sont toujours exceptionnellement chaudes, ce qui a multiplié par 60 le risque de formation de Rafael.

    À l'heure actuelle, Rafael est le septième ouragan de l'Atlantique à subir un processus d'intensification rapide, ce qui signifie que la tempête se remplace pour devenir encore plus forte, comme une métamorphose.

    "Un certain affaiblissement est prévu pendant que Rafael traverse l'ouest de Cuba, mais la tempête devrait rester un ouragan sur le sud-est du golfe du Mexique", a rapporté le centre des ouragans après que Rafael soit passé en catégorie 2 après avoir touché terre à Artemisia, située juste à l'est de Playa Majana dans l'ouest de Cuba.

    D'ici la fin de la semaine de travail, Rafael déversera une quantité substantielle de pluie sur certaines parties des Keys inférieures et moyennes, mais le chemin qui suivra reste un mystère. Les projections semblent toujours montrer une trajectoire plein ouest pour Rafael jusqu'au Texas, mais les choses pourraient changer au fil des jours.

    Vous trouverez d'autres informations connexes sur Climate.news.

    Les sources de cet article incluent :

    Independent.co.uk
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2024-11-07-rare-november-hurricane-rafael-louisiana-category-3.html

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  47. Un tiers des stations météo britanniques utilisées par les catastrophistes n’existent tout simplement pas


    le 7 novembre 2024
    par pgibertie



    Dungeness WMO 03888 – et le mystère des 103 stations météorologiques manquantes.
    Publié le 4 septembre 2024 par Ray Sanders

    Je suis tombé sur la station ci-dessus sur le site « Climate Averages » du Met Office.

    https://www.metoffice.gov.uk/research/climate/maps-and-data/uk-climate-averages

    Il donne des coordonnées utiles pour trouver Dungeness, son altitude et, bien évidemment, c’est un « site d’observation » car il le dit. Vous pouvez rechercher des moyennes mensuelles pour des périodes de 30 ans, allant de 1960 à 2020, avec une « précision » jusqu’à la deuxième décimale. La comparaison avec d’autres emplacements est un outil utile. Tout jeune étudiant qui rédige son essai sur le changement climatique dispose de toutes les munitions nécessaires pour prouver la catastrophe, l’urgence, le chaos, la crise ou autre en cours… mais

    J’habite dans le Kent et j’avais envie de passer une journée à l’extérieur. Je suis donc allé voir le site de Dungeness, mais je n’ai tout simplement pas réussi à le trouver – c’est ennuyeux. Pas de soucis, j’ai fait un détour pour aller voir le site de Folkestone à la place.

    Je n’ai pas réussi à le trouver, ce n’était clairement pas mon jour mais il y avait toujours Douvres à proximité.

    Je n’ai pas eu de plaisir à trouver celui-ci non plus. Mes échecs à le localiser semblaient remarquablement invraisemblables, je peux certainement lire une carte. J’ai vérifié l’entrée CEDA MIDAS pour découvrir que Dungeness a été installé le 1/1/1885 et FERMÉ le 31/12/1986, Folkestone FERMÉ en 2003 et Dover FERMÉ en 2002. D’où diable provenaient les relevés de température pour les sites fermés jusqu’à il y a 38 ans ?

    J’ai contacté le bureau des renseignements du Met Office pour demander ce qui se passait, leur réponse initiale :

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  48. » Merci pour ton e-mail.

    Nous avons connaissance d’un très petit nombre de stations climatiques qui affichent des informations incorrectes sur la carte à laquelle vous faites référence. Nous travaillons à résoudre ce problème et à améliorer l’accès aux données sur la carte. J’espère que cela vous aidera. » ……..Un très petit nombre – combien signifie « très petit » ? J’en étais déjà à 3 des 3 sites manquants.

    J’ai donc fait une demande d’accès à l’information pour obtenir une vraie réponse (mais seulement partielle). Une liste complète des stations « ouvertes » et « fermées » apparaissant sur la page Web Climate Averages a été fournie.

    SUR 302 SITES INDIQUÉS SUR LA LISTE DES MOYENNES CLIMATIQUES, 103 (PLUS D’UN TIERS) N’EXISTENT PLUS.

    Le Met Office a refusé de répondre dans un premier temps à la manière dont les données après les dates de fermeture ont été compilées. J’ai demandé une révision de leur réponse partielle à mes questions et j’ai essayé de les cerner sur la méthodologie utilisée uniquement pour les sites de Folkestone et de Douvres. Leur réponse :

    « À titre de conseil et d’assistance supplémentaires dans le cadre de cette évaluation interne, je peux vous informer que le Met Office n’est pas en mesure de fournir des détails spécifiques sur les sites d’observation demandés, car il ne s’agit pas d’informations enregistrées. Nous vous conseillons de ne pas attribuer de valeurs non modifiées d’une station à une autre station. Nous utilisons une analyse de régression pour créer un modèle de la relation entre chaque station et les autres du réseau. Nous utilisons ces modèles de régression pour générer une estimation pour chaque mois où la station cible n’est pas en fonctionnement ou manque de données au cours de sa période d’enregistrement. Chaque estimation est basée sur les données de six autres stations au maximum.
    Les stations choisies sont bien corrélées avec la station cible et disposent de données pour le
    mois manquant. Le choix des stations prédictives changera à mesure que le réseau évoluera (par exemple, lorsque les stations ouvriront et fermeront). Malheureusement, cela signifie qu’il n’y a pas de réponse unique à la question de savoir quelles stations ont été utilisées pour créer les estimations pour Folkestone et Douvres, car cela variera d’un mois à l’autre et d’une variable à l’autre. Les moyennes climatiques sur notre page Web sont la moyenne des observations originales (lorsqu’elles sont disponibles) et les estimations pour la station spécifiée et la période de calcul de la moyenne. De plus amples détails sur la méthode d’analyse peuvent être trouvés
    dans la section 2 de l’article suivant :
    https://rmets.onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1002/joc.1160.” ;

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  49. (nb le lien « utile » est payant)

    Je laisse aux lecteurs le soin d’interpréter eux-mêmes cette explication et de tirer leurs propres conclusions quant aux raisons pour lesquelles cela est fait. Le prochain article concernant Lowestoft et les données des « gares historiques » ne fera qu’embrouiller davantage les choses.

    Pendant ce temps, Dungeness, semble-t-il, compte 102 autres collègues « portés disparus mais pas en action »

    https://pgibertie.com/2024/11/07/un-tiers-des-stations-meteo-britanniques-utilisees-par-les-catastrophistes-nexistent-tout-simplement-pas/

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  50. Aidez-nous Elon, vous êtes notre seul espoir ! (Le gouvernement australien introduit en douce des lois sur la désinformation et des règles d’identification)


    Par Jo Nova
    November 8th, 2024



    Prenez un moment pour célébrer le courage exceptionnel d’Elon Musk et les risques qu’il a pris pour jouer un rôle clé dans cette élection historique. C’était tout ou rien…

    Le gouvernement australien veut empêcher les gens de parler sur X et sur ce blog
    Le jour même où l’Amérique vote pour être le pays de la liberté, l’Australie adopte des lois pour infliger des amendes et emprisonner les personnes qui disent quelque chose avec lequel le gouvernement n’est pas d’accord. Bientôt, nous ne serons plus autorisés à souligner les effets secondaires et les risques des mesures de « santé publique », ni à dire quoi que ce soit qui porte atteinte à la confiance dans nos banquiers. 100 % des vaccins sont 100 % bons et les banques centrales ne sont pas insolvables !

    Le Parti travailliste australien trompeur a fait passer en douce le projet de loi de 2024 sur la lutte contre la mésinformation et la désinformation (MAD Bill) sous le chaos des nouvelles du jour des élections américaines. Peut-être étaient-ils simplement gênés par le fait que leur chaîne ABC News, qui pèse un milliard de dollars, soit un échec lamentable dans la lutte contre la désinformation, parce que plus personne ne la regarde. Ou peut-être ont-ils caché le projet de loi sur la désinformation parce qu’ils savaient que les Australiens n’aimeraient pas être traités comme des bébés incapables de découvrir la vérité par eux-mêmes. Le gouvernement Albanese a fait tout son possible pour introduire un règlement spécial afin de contourner le processus parlementaire normal. Il sera présenté au Sénat lundi prochain !

    Si les citoyens disent quelque chose que le gouvernement considère comme de la désinformation, d’énormes amendes seront appliquées aux réseaux sociaux, aux blogs et aux forums. Au lieu d’avoir le droit implicite de critiquer le gouvernement, nous devrons « prouver » que nos commentaires étaient scientifiques, religieux ou satiriques devant un tribunal. Combien d’avocats avez-vous ?

    En fin de compte, seuls les riches seront autorisés à s’exprimer, et des forums comme X – le service d’information des citoyens – devront deviner ce qui est considéré comme de la désinformation cette semaine. Pour plus de détails à ce sujet, consultez le billet de Tony Nikolic sur le blog de Maryanne Demasi.

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  51. Il cite John F Kennedy et Franklin D Roosevelt :

    Lorsque le gouvernement devient le seul arbitre de la vérité, il ouvre la porte à la corruption et à la tyrannie. Lorsque les citoyens ont trop peur de s’exprimer, le gouvernement, avec sa bureaucratie et son secteur privé, peut fonctionner sans rendre de comptes, ce qui conduit à une érosion de la confiance dans les institutions.

    SIGNEZ LA PÉTITION POUR VOUS OPPOSER AU PROJET DE LOI

    Ce n’est pas une coïncidence si le lâche Parti travailliste australien rédige également une loi pour prétendre protéger les enfants de moins de 16 ans du harcèlement sur les réseaux sociaux en les interdisant complètement. Ce n’est bien sûr qu’une excuse pour forcer X, Facebook et al à exiger des contrôles d’identité pour chaque utilisateur – comment prouveront-ils autrement que les utilisateurs ont plus de 16 ans ?

    Le Parti travailliste ne veut pas de critiques anonymes ni de lanceurs d’alerte. Les manifestations ne font que commencer.

    C’est génial ! @JAGtalks via Craig Kelly

    Commentaire du jour :

    h/t à David Maddison, Panda, The IPA – l’Institut des affaires publiques.

    https://joannenova.com.au/2024/11/help-us-elon-youre-our-only-hope-the-australian-government-is-sneaking-in-misinformation-laws-and-id-rules/

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  52. Un groupe de conseil en police veut que les forces de l'ordre américaines mettent en place des unités de censure contre la « désinformation »


    11/07/2024
    Ethan Huff


    Un groupe de conseil privé qui travaille en étroite collaboration avec les forces de l'ordre de tout le pays pour les aider à élaborer de nouvelles techniques de maintien de l'ordre fait pression pour que les services de police du monde entier créent des unités spéciales de « désinformation » et de « désinformation » pour lutter contre la liberté d'expression.

    Lexipol, comme s'appelle le groupe, a publié un cri de ralliement sur Police1.com qui demande rhétoriquement à toutes les unités d'application de la loi à travers l'Amérique si elles sont ou non « préparées (pour) la bataille contre la désinformation ».

    Bénéficiant de contrats avec plus de 8 100 agences d'application de la loi dans 35 États, Lexipol utilise des techniques de « privatisation de la politique policière » pour transformer les agents de la paix au service du public en tyrans lécheurs de bottes au service des intérêts privés. Dans ce cas, l'entreprise vise à transformer les policiers ordinaires en agents de la liberté d'expression politiquement correcte.

    Lexipol souhaite que ses « abonnés » de la communauté des forces de l’ordre « collaborent avec les entreprises technologiques et les organisations de la société civile pour développer des systèmes d’alerte précoce et identifier les contenus préjudiciables en temps réel ».

    « Cela peut être interprété comme un défi éhonté aux efforts en cours, notamment au Congrès américain, pour mettre fin à une telle « collaboration » entre entités privées et gouvernementales (ici, les forces de l’ordre) – qui a fait l’objet d’une enquête dans un cas pour collusion entre le gouvernement et les grandes entreprises technologiques », écrit Didi Rankovic pour Reclaim the Net.

    « Mais l’article de Lexipol joue sur les craintes selon lesquelles c’est la « désinformation » qui pourrait accroître l’hostilité du public envers les policiers et les mettre en danger. »

    (En lien avec la désinformation : Jeff Bezos, d'Amazon, qui possède désormais le Washington Post, affirme que le programme de fausses nouvelles de son média a échoué et qu'il est désormais temps de diriger le média dans une nouvelle direction.)

    Transformer la police en indic

    Comme d'habitude, Lexipol joue vraiment sur l'alarmisme à propos de la Russie, de la Chine, de l'Iran et de la Corée du Nord, décrivant ces pays comme des « cibles faciles » qui propagent la désinformation et la mésinformation. La seule façon de garder l'Amérique « protégée » de ces pays est que les services de police développent des « stratégies proactives » contre la liberté d'expression.

    Ce que propose Lexipol diffère très peu de ce que la Maison Blanche demande aux sociétés de médias sociaux comme Facebook depuis que Donald Trump est entré sur la scène politique en 2016. La seule différence est que les services de police seraient ceux qui créeraient des unités entières « chargées d'identifier les fausses informations, de vérifier les affirmations et de créer des contre-discours ».

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  53. Lexipol s'inquiète également de l'intelligence artificielle (IA) et de la manière dont elle pourrait faciliter la diffusion de fausses informations et de désinformation, qui, selon elle, « peut considérablement perturber le travail de la police ».

    « Lorsque les policiers, comme tout autre membre de la communauté, sont exposés à de fausses informations et lorsqu'ils les partagent sans le savoir, ils contribuent à répandre la méfiance », déclare Lexipol. « Cela pourrait à son tour saper la capacité des policiers à prendre des décisions impartiales, en particulier dans des situations politiquement chargées ».

    L'« insurrection » du 6 janvier 2021 a été alimentée, selon Lexipol, par « la désinformation et la mésinformation sur la fraude électorale, ce qui a conduit à une violence sans précédent et à des opérations policières écrasantes au Capitole ».

    « Certains policiers ont même été perçus comme sympathiques aux émeutiers, ce qui a encore érodé la confiance du public dans l'impartialité des forces de l'ordre », affirme Lexipol.

    « L’incident a non seulement mis en évidence comment la désinformation et la mésinformation peuvent conduire à des violences à grande échelle, mais aussi comment elles peuvent conduire à une sous-estimation de la menace, ce qui complique la planification et l’allocation appropriées des ressources policières. Pour éviter que des événements similaires ne se reproduisent, les dirigeants de la police doivent établir des systèmes qui contrecarrent la désinformation et garantissent que les agents restent à la fois neutres et efficaces. »

    La confiance du public envers le gouvernement est déjà au plus bas, et ce que propose Lexipol ne fera qu’éroder davantage le peu de confiance qui reste. Si nous, le peuple, sommes obligés de regarder nos policiers devenir des mouchards de la liberté d’expression afin de protéger l’empire du mal, cette confiance pourrait disparaître entièrement.

    Les dernières nouvelles sur l’assaut de l’État profond contre la liberté d’expression peuvent être trouvées sur Censorship.news.

    Les sources de cet article incluent :

    ReclaimTheNet.org
    Police1.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2024-11-07-police-consultancy-law-enforcement-misinformation-censorship.html

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  54. Le niveau scolaire des collégiens toujours "inquiétant"


    le 08 novembre 2024 - 09:35


    Malgré le "choc des savoirs" promis par Gabriel Attal en 2023, les derniers résultats scolaires des collégiens français révèlent une baisse alarmante des compétences, à la fois en mathématiques et en français.

    Toujours en cours d'acquisition... Comme le rapportent Les Echos, les élèves de secondes passent depuis 2017 un test de niveau en arrivant au collège. C'est vrai aussi pour les élèves de 4e depuis l'année dernière. Résultats ?

    C'est très moyen. "Les résultats sont inquiétants. On ne voit pas d'amélioration", admet Caroline Pascal, numéro deux du ministère de l'Education, qui reconnaît une baisse de 2 points dans tous les niveaux de scolarisation, avec un léger mieux pour les plus faibles. Ces jeunes, confinés durant leurs années de primaire, cumulent un retard qui semble irrécupérable sans une refonte radicale du système.

    Le ministère souligne également les différences de niveaux entre les voies générale et professionnelle. En mathématiques, seuls 25 % des élèves de seconde générale présentent un niveau dit faible, contre 71 % en voie professionnelle. En français, cet écart de 50 points se creuse également, une situation que Caroline Pascal qualifie de "gros point d'alerte".

    Malgré tout, quelques avancées pointent pour les élèves de 6ᵉ en éducation prioritaire (REP+), où les classes dédoublées et la formation des enseignants semblent enfin produire des effets, avec une progression de 6 points en français et de 4 points en mathématiques, depuis 2017. Mais cette lueur d’espoir s'estompe assez vite, car les écarts de compétences s’accentuent dès le collège, laissant planer un doute lourd sur l’efficacité globale des politiques éducatives.

    https://www.francesoir.fr/societe-emploi/le-niveau-scolaire-des-collegiens-toujours-inquietant

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  55. Les programmes de CBDC échouent aux États-Unis et dans d'autres pays du « Five Eyes »


    11/07/2024
    Ethan Huff


    L'avenir des monnaies numériques des banques centrales (CBDC) est en danger alors que le Canada, l'Australie et d'autres pays du « Five Eyes » abandonnent leurs programmes de CBDC.
    Alors qu'environ 90 pays et unions monétaires étudient actuellement comment lancer des programmes de CBDC en remplacement sans espèces du système fiduciaire existant, les États-Unis sont sur le point de devenir le premier pays au monde à interdire toutes les CBDC contrôlées par les banques centrales.

    En mai dernier, la Chambre des représentants des États-Unis a adopté la résolution 5403, connue sous le nom de « CBDC Anti-Surveillance State Act », pour interdire à la Réserve fédérale privée d'émettre des CBDC. Présentée pour la première fois en septembre 2023 et parrainée par le sénateur Ted Cruz (R-Tex.), la HR 5403 modifierait la loi sur la Réserve fédérale, protégerait le droit à la confidentialité financière et empêcherait le gouvernement américain de « militariser son système financier contre ses propres citoyens ».

    Selon Technocracy.news, l'adoption de la HR 5403 empêcherait la Fed de :

    1) Offrir des produits ou des services directement aux particuliers

    2) Tenir des comptes au nom de particuliers

    3) Émettre une CBDC ou tout autre actif numérique dont le nom ou l'étiquette est sensiblement similaire à celui d'un individu

    (Article connexe : Saviez-vous que « plus de 98 % » des banques centrales du monde, y compris la Réserve fédérale privée ici en Amérique, prévoient de passer au sans espèces avec leurs propres systèmes de CBDC respectifs ?)

    En vertu de la loi Trump, il n'y aura plus de CBDC
    Le résultat des élections de 2024 décidera de l'avenir des CBDC en Amérique. Sous Kamala Harris, les Américains peuvent s'attendre à ce que les CBDC leur soient finalement imposées. Sous Trump, du moins selon sa rhétorique de campagne, il n'y aura jamais de CBDC en Amérique.

    Lors d'une récente étape de campagne dans le New Hampshire, l'ancien président a promis qu'il n'autoriserait « jamais la création d'une monnaie numérique de banque centrale » car cela « donnerait à un gouvernement fédéral, notre gouvernement fédéral, le contrôle absolu de votre argent ».

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  56. De puissants groupes de réflexion comme l'Atlantic Council s'inquiètent de la perspective de voir les CBDC disparaître. Un article récent du groupe de John Lipsky, directeur principal du GeoEconomics Center du Council, et d'Ananya Kumar, directrice adjointe des monnaies numériques au GeoEconomics Center, soutient que l'adoption de la HR 5403 pourrait causer de graves dommages au dollar américain tout en freinant l'innovation dans les secteurs public et privé.

    Les États-Unis sont pratiquement les derniers en matière de développement des CBDC, et le Conseil de l'Atlantique craint que ce retard n'augmente le risque de voir « émerger un système de paiement fragmenté dans lequel différents modèles proliféreraient et rendraient l'architecture financière internationale plus coûteuse et moins efficace ».

    Le Canada et l'Australie ayant abandonné le jeu des CBCD, et ce alors que les deux pays étaient en passe de devenir les premiers à adopter cette technologie, il semble déjà que les CBDC en tant que système de paiement mondial soient déjà mortes. Alors, que se passera-t-il ensuite ?

    Eh bien, selon Trump lors de la récente conférence Bitcoin 2024, les « stablecoins » privés adossés au dollar sont l'avenir de l'argent. Elles sont « tout aussi programmables et surveillables que les CBDC », selon les rapports, mais au lieu d’être gérées par des banques centrales privées, elles seront gérées par d’autres intérêts privés.

    « Si les récentes déclarations de Trump et d’autres politiciens républicains peuvent offrir une lueur d’espoir quant au fait que les États-Unis résisteront d’une manière ou d’une autre à la marche mondiale vers les CBDC, elles doivent également être prises avec une généreuse dose de prudence. Alors que les CBDC de base ont finalement commencé à recevoir l’attention publique qu’elles méritent en raison de leur potentiel terrifiant de surveillance et de saisie, peu de gens se rendent compte qu’une CBDC synthétique émise par le secteur privé pourrait faire à peu près la même chose – et peut-être même plus. »

    Vous trouverez d’autres informations connexes sur CurrencyReset.news.

    Les sources de cet article incluent :

    Technocracy.news
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2024-11-07-cbdc-programs-failing-five-eyes-nations-money.html

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  57. L'armée russe est désormais la plus puissante du monde, selon US News and World Report


    Par Ahmed Adel
    Recherche mondiale,
    6 novembre 2024


    Le magazine américain US News and World Report a déclaré que l'armée russe était la plus puissante du monde. Cela s'explique par le fait que l'armée russe possède une expérience de combat qu'aucune autre armée au monde n'a, pas même celle d'Israël ou des États-Unis. Plus important encore, l'expérience de combat de la Russie concerne les guerres du XXIe siècle, qui sont complètement différentes de celles du siècle précédent.

    Après la guerre en Ukraine, l’organisation des forces armées dans le monde entier sera complètement modifiée, tout comme le comportement des unités au combat. Tout cela sera entièrement conforme aux nouvelles normes du XXIe siècle. Cependant, contrairement à d’autres pays, dont les États-Unis, la Russie a une telle expérience et s’est adaptée en conséquence aux progrès déjà réalisés.

    Dans le classement des armées les plus puissantes du monde, les États-Unis occupent la deuxième place en termes de puissance militaire, Israël la troisième et l'Ukraine la huitième. L'évaluation de l'armée, en plus du potentiel de combat (nombre d'armes, nombre de soldats, etc.), prend en compte l'expérience de combat et la participation à diverses guerres et conflits armés.

    Grâce à ces critères, l'armée russe s'est retrouvée pour la première fois en tête, alors qu'auparavant elle se trouvait toujours en deuxième ou troisième position après les États-Unis et la Chine. Israël devance désormais même la Chine en raison des guerres avec le Hezbollah, le Hamas, les Houthis et l'Iran. La Chine, la Corée du Sud, l'Iran, la Grande-Bretagne, l'Allemagne et la Turquie figurent également parmi les dix armées les plus puissantes du monde.

    Les auteurs de la liste précisent que la puissance des armées de différents pays du monde a été évaluée sur la base d'une enquête à laquelle ont participé des représentants des élites et des milieux d'affaires, ainsi que des citoyens ordinaires.

    Néanmoins, même selon ces critères, l’armée ukrainienne devrait être deuxième sur cette liste, et non celle des États-Unis. En effet, les Ukrainiens ont une expérience de combat considérable contre l’armée la plus puissante du monde, la Russie. De plus, il est comique que les Ukrainiens soient entraînés par les Britanniques, qui n’ont pas mené de guerre victorieuse depuis 1982, lorsque l’Argentine a tenté de reconquérir les îles Malouines par la force militaire. Même les Ukrainiens sont satisfaits du fait que ce que les Britanniques leur enseignent ne leur soit d’aucune utilité sur le front.

    Israël ne devrait pas être en avance sur l’Ukraine pour la simple raison que le pays combat un ennemi plus faible, car les Palestiniens ne disposent pas d’aviation ni d’artillerie puissante et utilisent de vieux missiles. Bien que l’armée israélienne soit l’une des plus fortes de la région, dans le classement mondial, elle devrait être derrière l’Ukraine, tandis que l’armée américaine devrait être à la quatrième place, car bien qu’elle soit techniquement supérieure à toutes les autres armées avec les armes les plus récentes, les sous-marins et l’aviation, elle n’a pas l’expérience de la Russie.

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  58. La Russie occupe donc la première place précisément en raison de son expérience de combat dans les guerres du 21e siècle, notamment la guerre russo-géorgienne (2008) et la guerre syrienne (2015-), en plus d'avoir une capacité militaro-industrielle impressionnante et une innovation de pointe.

    Le fait que l'armée américaine occupe la deuxième place du classement des armées les plus puissantes, malgré un budget militaire énorme qui ne peut être comparé à aucun autre budget militaire dans le monde, montre que les Américains ne dépensent pas leur argent de manière rationnelle et là où il devrait être. En fait, Washington dépense plus d'argent que plusieurs des plus grandes armées réunies.

    Selon certaines sources, plus de sept des plus grandes armées réunies, et selon d'autres, plus de neuf. Le budget militaire américain en 2024 est un record de 886,3 milliards de dollars, tandis que celui de la Russie est estimé à environ 121 milliards de dollars. La Russie dépense même moins en dépenses militaires que la Chine, qui dépense environ 231 milliards de dollars.

    Les perspectives et les défis de l'armée russe pour les années à venir incluent la priorité donnée au réarmement, l'élaboration de règles et de stratégies de combat plus modernes et la réalisation des objectifs en Ukraine. Les négociations de paix avec Kiev sont impossibles tant que Volodymyr Zelensky est au pouvoir, et pour cette raison, le conflit en Ukraine va se poursuivre.

    En même temps, la guerre est une occasion de progrès scientifique et technologique. De nouveaux types d’armes seront créés, et ils seront encore plus sophistiqués que ceux qui existent actuellement. De nouveaux types d’armes sont actuellement fabriqués, comme le monde n’en a jamais vu auparavant.

    Le XXIe siècle sera différent et les pertes en temps de guerre seront encore plus massives. Dans ces conditions catastrophiques, c’est la Russie qui acquiert une expérience précieuse, tandis que les États-Unis continuent d’observer en coulisses et ne peuvent que tirer les leçons des erreurs commises par leur mandataire ukrainien.

    https://www.globalresearch.ca/russian-army-strongest-world-us-media/5872054

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