Turbo-cancers, maladies auto-immunes et pathologies neurologiques survenant après la vaccination ARNm anti-covid
Dr Ute Krüger aimsib.org dim., 27 oct. 2024 17:24 UTC
Autour du déferlement prochain de preuves accablantes concernant les fraudes gravissimes qui ont entouré la mise sur le marché de certains produits à ARNm, il demeure toujours aussi nécessaire et aussi difficile d'en évaluer les effets indésirables, tous soigneusement niés, donc camouflés. Voici le témoignage exceptionnel d'une courageuse pathologiste allemande, Ute Krüger, qui a décidé de communiquer autour de son expérience professionnelle amassée pendant toutes ces années COVID. C'est accablant et pourtant rien ne bouge, on continue imperturbablement à promouvoir ces injections pour soi-disant protéger les populations occidentales contre... l'hiver. Jusqu'à quand la cécité, voir la corruption la plus échevelée? Bonne lecture.
vaccine culture war
Le fait que les vaccins ARNm anti-covid provoquent des « turbo-cancers » a été présenté par les médias mainstream comme une « fake news » (par exemple ici France Culture en octobre 2023). C'est pourtant une réalité empirique. La docteure Ute Krüger est spécialiste en pathologie avec 25 ans d'expérience professionnelle. Elle a travaillé comme médecin-chef dans le service de pathologie clinique de plusieurs hôpitaux suédois. Depuis que ces injections ont été rendue obligatoires et administrées en masse, elle a observé une augmentation des cancers très agressifs (« turbo-cancers »), des maladies auto-immunes et des maladies neurologiques. Elle présente ici le résultat de ses observations cliniques et de son enquête.
Depuis mon enfance, j'ai toujours souhaité devenir médecin pour pouvoir aider les gens. Au lycée de Seelow/Brandebourg, mon intérêt pour le microscope a été éveillé dans un cours de biologie. La structure des plantes à fort grossissement me fascinait beaucoup. Après mon année de stage préuniversitaire en 1989 dans le service de cardiologie aiguë de la Charité de Berlin, j'ai étudié la médecine à la Humboldt-Universität de Berlin. Dans ma thèse de doctorat, j'ai analysé près de 7500 cas d'autopsie. J'y ai comparé les diagnostics posés par les médecins cliniciens, comme les causes de décès, avec les résultats de l'autopsie à des fins de contrôle de qualité. Au cours des années suivantes, j'ai travaillé comme médecin assistant au service de pathologie clinique de l'hôpital Oskar-Ziethen Lichtenberg et j'ai réussi l'examen de spécialisation en pathologie en 2004. Le microscope est devenu mon compagnon de tous les jours.
En raison de l'impossibilité de concilier travail et famille en tant que médecin en Allemagne, je suis partie avec mon partenaire de l'époque à Växjö, dans le sud de la Suède, en 2005. J'y ai travaillé pendant dix ans en tant que médecin-chef au service de pathologie clinique de l'hôpital central, dont j'ai également été la directrice médicale pendant les quatre dernières années. Au cours des huit années suivantes, j'ai été chef de clinique en pathologie à l'hôpital national de Kalmar, en Suède, et, en même temps, chef de clinique à l'Institut des sciences cliniques de l'université de Lund, en Suède.
À l'université, j'ai mené des recherches sur le cancer du sein afin de mieux comprendre la biologie des tumeurs et les facteurs de risque du cancer du sein. L'objectif était de trouver des moyens de prévenir cette maladie. En même temps que j'ai commencé à travailler à Kalmar et à Lund, j'ai été membre du conseil d'administration de la Société suédoise de pathologie pendant cinq ans, afin d'améliorer la qualité de la pathologie en Suède. J'ai donc 25 ans d'expérience dans le domaine de la pathologie. Jusqu'en 2022, j'ai diagnostiqué des milliers de cancers et d'autres maladies dans le cadre de mon activité clinique en tant que spécialiste du cancer du sein.
En automne 2021, d'étranges cas de cancer se sont multipliés
En automne 2021, j'ai remarqué un changement dans l'apparition du cancer du sein dans mon travail de routine à l'hôpital. Je voyais plus souvent que d'habitude des tumeurs chez des patientes plus jeunes, souvent âgées de 30 à 50 ans, et je voyais plus de tumeurs à croissance rapide et donc des tumeurs plus grosses. Il y avait le plus souvent non pas une, mais plusieurs tumeurs simultanées dans un sein. Le cancer du sein semblait également se développer plus souvent dans les deux seins en même temps. J'ai également remarqué qu'il y avait apparemment plus de récidives chez les patientes qui avaient guéri du cancer du sein auparavant. Il s'agissait alors d'une croissance tumorale très rapide avec une dissémination tout aussi rapide de la tumeur dans tout le corps, ce que j'ai constaté à plusieurs reprises quelques mois après la vaccination anti-covid à ARNm (désormais « Corona », pour raccourcir).
Comme je voyais un lien entre ces tumeurs « d'un genre nouveau » et la vaccination contre la Covid-19 (appelée par la suite, pour simplifier, vaccination Corona), j'ai signalé de nombreux cas à l'agence suédoise des médicaments. En outre, j'ai essayé de trouver des collègues germanophones lors de la deuxième conférence de pathologie à Berlin afin d'infirmer ou de confirmer mon hypothèse de ce que j'ai appelé le « turbo-cancer » après la vaccination Corona. Je voulais lancer une étude à grande échelle. Mon objectif était d'arrêter toutes les vaccinations Corona avant que cette question ne soit résolue. Malheureusement, il ne s'est trouvé qu'un seul collègue pathologiste autrichien intéressé pour répondre à mon appel. À deux et surtout en plus de l'activité clinique quotidienne, un tel travail n'était pas gérable.
Au fil des mois, j'ai reçu de nombreux courriels de collègues, de proches et de personnes concernées par le turbo-cancer. Il semblait donc que je n'étais pas la seule à avoir remarqué un lien possible entre les vaccins Corona et les cancers agressifs.
Une étude réalisée en Grande-Bretagne en octobre 2023 a examiné la mortalité par cancer chez les personnes âgées de 15 à 44 ans. Il s'agit donc de personnes très jeunes, chez qui le cancer était jusqu'à présent plutôt rare comme cause de décès. Pour le cancer du sein chez les femmes, on a constaté une augmentation de 28 % des décès par cancer en 2022. Les chiffres sont encore plus alarmants pour le cancer du pancréas : dans ce cas, on a constaté une augmentation de 80 pour cent des décès chez les femmes et de 60 pour cent chez les hommes. En outre, on a constaté une augmentation de 120 pour cent des décès chez les hommes, causés par un cancer de la peau (mélanome).
Cette question est d'autant plus brûlante que nous avons effectivement affaire depuis 2021 à une surmortalité inexpliquée.
Si l'on regarde les taux de mortalité des quatre dernières années en Allemagne, on constate une nette surmortalité, surtout pour les dernières années. Dans la prépublication d'une étude de cette année, on peut voir que la surmortalité est corrélée aux infections Corona et aux décès pendant la première phase de la pandémie sans vaccination. Cependant, au cours de la deuxième et de la troisième année de la pandémie, on constate une augmentation considérable de la surmortalité qui ne peut pas être expliquée par les infections Corona, mais qui doit être considérée en relation avec les vaccinations Corona.
Selon l'étude, plus le nombre de vaccins administrés était important, plus la surmortalité était élevée. De plus, la surmortalité au cours des deux dernières années de pandémie a considérablement varié entre les Länder. Ainsi, pour la troisième année de la pandémie, la surmortalité a été estimée à 5-6 % à Berlin, en Brandebourg et en Saxe, alors qu'elle était environ deux fois plus élevée à Brême et dans la Sarre avec 11 %. La surmortalité est en corrélation avec le nombre de personnes vaccinées contre la maladie de Corona dans les Länder. L'étude dit textuellement :
« Plus le nombre de vaccins administrés dans un Land est élevé, plus l'augmentation de la surmortalité est importante » (traduction de l'auteur). Dans ce travail scientifique, le nombre de mort-nés a également été étudié. Là encore, il apparaît que le nombre de mort-nés est en corrélation avec le nombre de vaccinations Corona dans la population au cours de la troisième année de la pandémie.
Dans la prépublication d'une autre étude parue en août 2024, la surmortalité en Autriche est étudiée. L'âge des personnes décédées y est notamment pris en compte. Il s'avère que la surmortalité des 15-29 ans pour l'année 2023 atteint le chiffre incroyable de 34 %.
Dès août 2021, le célèbre pathologiste et directeur de l'Institut de pathologie de la Clinique universitaire de Heidelberg, le professeur Peter Schirmacher, a mis en garde contre un nombre élevé de décès dus à la vaccination qui ne sont pas connus. Ensuite, fin novembre 2022, il a publié une étude, et, dans un entretien avec Die Welt, il a expliqué peu après les résultats de sa recherche. L'étude a porté sur des personnes qui, dans les 14 jours suivant la vaccination, sont décédées de manière inattendue alors qu'elles semblaient en bonne santé. Dans 30 % des cas, il y avait un lien entre la vaccination et le décès. Schirmacher a souligné que d'autres études étaient nécessaires et a supposé que « dans l'un ou l'autre cas, la crainte de résultats désagréables » pourrait peut-être faire obstacle à la poursuite des recherches.
Les autopsies fournissent des informations importantes
Sans autopsie, il n'est pas possible de déclarer les décès dus aux effets secondaires des vaccins au Paul-Ehrlich-Institut, l'institut fédéral allemand pour les vaccins et les médicaments biomédicaux. Dans ce contexte, il faut aussi mentionner que de nombreuses personnes vaccinées sont décédées subitement chez elles. Lors de l'examen externe du corps, la mention « naturel » a été cochée comme type de décès et aucune autopsie n'a été pratiquée. Ainsi, les décès éventuellement liés aux vaccins Corona n'ont pas été pris en compte dans les statistiques.
En 2021, j'ai fait la connaissance du professeur Arne Burkhardt, un collègue pathologiste très compétent. Il avait décidé, avec l'avocat Elmar Becker, d'enquêter sur les décès survenus après une vaccination Corona. Burkhardt voulait déterminer s'il existait un lien de cause à effet entre la vaccination et le décès. De nombreuses personnes de l'espace européen s'étaient adressées à lui après que des proches soient décédés après avoir été vaccinés. Les rapports d'autopsie des pathologistes ou des médecins légistes n'ont toutefois pas établi de lien avec la vaccination Corona. Les familles ont cependant douté de ce résultat et ont veillé à ce que les instituts de pathologie ou de médecine légale envoient des échantillons de tissus de leurs défunts au professeur Burkhardt.
Ce travail sans doute unique au monde a commencé au premier semestre 2021 dans son laboratoire de pathologie à Reutlingen. En été 2021, le professeur Walter Lang, un pathologiste expérimenté, a rejoint l'équipe.
Dans presque trois quarts des 89 cas de décès examinés jusqu'en juin 2023, les résultats indiquent, selon Burkhardt, un lien entre le décès et la vaccination Corona. Il a été constaté que les lésions tissulaires étaient liées au nombre de vaccinations Corona. Ainsi, les lésions tissulaires graves étaient nettement plus fréquentes chez les personnes décédées après plusieurs vaccinations Corona qu'après une seule. Dans plus de la moitié des cas, la cause du décès était une inflammation du muscle cardiaque. La plus jeune personne décédée était une étudiante de 16 ans. Il était connu que tous les nouveaux vaccins Corona pouvaient provoquer une myocardite. Cela se retrouve également dans l'analyse des rapports sur les effets indésirables du vaccin de la société Pfizer. Toutefois, au vu des résultats des professeurs Burkhardt et Lang, la fréquence indiquée dans l'analyse de Pfizer semble bien en dessous de la réalité.
Dans près de 90 % des cas de décès étudiés par Burkhardt et Lang, on a constaté une inflammation des vaisseaux sanguins, grands et petits. L'inflammation de l'aorte, le plus gros vaisseau sanguin de notre corps, était plus fréquente que la moyenne. Vous vous doutez bien qu'une inflammation de la paroi vasculaire entraîne une fragilité du vaisseau, qui peut alors se rompre sous l'effet de la pression exercée, ce qui provoque une hémorragie rapide de la personne.
Les maladies auto-immunes comme conséquence de la vaccination ?
Par ailleurs, les deux pathologistes ont décrit des modifications inflammatoires dans les organes, appelées maladies auto-immunes. Il s'agit de maladies dans lesquelles le système immunitaire du corps attaque les propres tissus de l'organisme. J'aimerais ici expliquer brièvement comment les vaccins à ARNm agissent selon l'état actuel des connaissances. Ces vaccins modifient la programmation cellulaire des cellules saines du corps. Avant ces vaccins Corona, notre corps ne produisait pas de protéines de pointe [Spike]. Depuis ces vaccinations Corona basées sur l'ARNm, les cellules saines de notre corps produisent ces protéines du coronavirus et les présentent à la surface des cellules. Pour les cellules de la défense immunitaire de l'organisme, ces cellules sont étrangères et elles sont combattues.
Ainsi, les cellules saines (présentant des protéines Spike) sont donc attaquées, ce qui provoque une inflammation appelée réaction auto-immune. Dans une étude coréenne publiée en juillet de cette année dans la revue scientifique reconnue Nature, il apparaît qu'après une vaccination de rappel, c'est-à-dire une deuxième vaccination Corona, on trouve un risque accru de certaines maladies auto-immunes. On cite ici l'alopécie circulaire [zones circulaires sans cheveux], le psoriasis et le rhumatisme articulaire. Il est important de mentionner ici que ces complications vaccinales peuvent en principe survenir sur tous les organes.
Après le décès inattendu et soudain de notre cher collègue Burkhardt, j'ai considéré qu'il était de mon devoir de mettre à la disposition du public les résultats qu'il avait trouvés. En l'espace d'un an, j'ai rassemblé ces résultats et les ai publiés dans le livre Geimpft - gestorben - Histopathologischer Atlas der Corona-Impfschäden, paru en août 2024. Il présente 57 cas de patients dont le décès est, dans la grande majorité des cas, en relation démontrable avec l'injection du vaccin Corona. Ce livre s'adresse en priorité aux pathologistes, mais aussi aux médecins d'autres spécialités ainsi qu'aux non-médecins intéressés par la santé.
D'une part, les images de coupes de tissus sont présentées afin de sensibiliser les collègues travaillant dans le domaine de la pathologie de routine et de la médecine légale à l'égard de ces résultats totalement nouveaux et d'attirer l'attention sur les modifications typiques des injections d'ARNm. D'autre part, les descriptions de cas correspondantes sont incluses, documentant les circonstances tragiques et les souffrances multiformes des personnes ayant subi ces vaccinations.
Les maladies neurologiques sont également plus fréquentes après les vaccinations Corona. Voici un exemple tiré de mon activité de pathologiste : j'ai autopsié un patient décédé après avoir reçu deux vaccins Corona. En raison d'une maladie maligne, il avait reçu une chimiothérapie et une thérapie visant à atténuer la réponse immunitaire. En même temps, il a reçu deux doses du vaccin contre la Covid-19.
J'affirme que n'importe quel non-médecin comprend qu'on ne peut pas, d'une part, freiner le système immunitaire et, d'autre part, donner un vaccin qui présuppose une réponse du système immunitaire au plus haut degré. L'homme a développé des paralysies sur tout le corps relativement peu de temps après les vaccinations et est décédé trois mois plus tard. J'ai voulu publier ce cas avec deux professeurs très expérimentés de l'hôpital universitaire de Lund, en Suède, et de la Charité de Berlin. Pendant plus de six mois, j'ai donc été en contact avec le British Medical Journal, une revue spécialisée reconnue. On m'a demandé à plusieurs reprises d'apporter des modifications au texte et d'effectuer de nouvelles colorations en laboratoire, pour finalement recevoir, après de nombreux contacts par courriel, un bref message me disant qu'un cas similaire venait d'être publié et que le journal n'était plus intéressé par mon article.
Suite à cela, je me suis adressé à un autre journal, où le texte a été publié en décembre 2022. Malheureusement, cet article ne se trouve pas sur Pubmed, la plateforme de publications scientifiques - que j'appellerais le « Wikipédia des scientifiques et des médecins ». Je me demande donc combien d'études scientifiques et de descriptions de cas publiées ne se trouvent pas non plus sur cette plateforme.
Jusqu'à présent, les vaccins étaient normalement développés et testés pendant sept à huit ans avant d'être autorisés. Les vaccins Corona, quant à eux, ont été mis sur le marché moins d'un an après avoir été testé de manière totalement insuffisante.
Non seulement d'innombrables personnes sont tombées malades après ces vaccins, mais de nombreuses personnes sont également décédées après ces vaccins. Dans une étude de juin 2024, des effets secondaires graves ont été constatés dans 11 % des cas pour le vaccin de Pfizer et dans 21 % des cas pour celui de Moderna après ces vaccinations à ARNm. En comparaison, les anciens vaccins influenza n'ont provoqué que 0 à 4 % d'effets secondaires graves. En revanche, la probabilité de mourir d'une infection à Corona est désormais estimée à seulement 0,1 %. À mes yeux, le vaccin Corona était et est malheureusement toujours une expérience sur nous, les humains.
D'autres chiffres alarmants concernent le taux de natalité. Une étude des naissances vivantes en Europe datant de 2022 montre que dans tous les pays étudiés, on constate une baisse du nombre de naissances pouvant aller jusqu'à plus de 10 %. Dans ce contexte, il a pu être démontré dans les coupes de tissus de l'institut du laboratoire de Burkhardt que la protéine Spike était présente dans les ovaires. Ce fait permet de conclure qu'une inflammation peut également se produire à cet endroit, ce qui peut à son tour entraîner la formation de cicatrices et une éventuelle stérilité. Dans les coupes de tissus des testicules de jeunes décédés, on a trouvé un nombre considérablement réduit de spermatozoïdes, un cas est également illustré dans le livre décrit ci-dessus. Ces changements dans les organes sexuels sont effrayants et pourraient expliquer la baisse de la natalité.
La politique plutôt que la science
On sait désormais, après la divulgation des documents de l'état-major de crise, d'abord secrets, de l'Institut Robert Koch (RKI) en Allemagne, qu'il n'y avait et qu'il n'y a pas de base scientifique pour de nombreuses mesures imposées par les politiques en rapport avec le Corona.
Les scientifiques et les médecins qui se sont longuement penchés sur les conséquences de ces vaccinations Corona sont traités d'affabulateurs, de conspirationnistes, voire d'extrémistes de droite. Ma tentative de mettre en garde contre de ce que l'on appelle le turbo-cancer après les vaccinations Corona a été qualifiée de sabotage par les médias suédois - sabotage contre la campagne de vaccination qui prévoyait de vacciner tout le monde contre le Corona.
En raison du fait que la politique a pris le pas sur la science, j'ai démissionné de mon poste de médecin-chef à l'hôpital de Kalmar et à l'hôpital universitaire de Lund. J'étais profondément choquée et je ne pouvais plus, en mon âme et conscience, faire partie d'un système de santé aussi peu scientifique. L'un de mes principes est de ne pas faire de mal aux gens, comme je l'ai juré dans le serment d'Hippocrate (la formulation de l'éthique médicale).
J'en appelle à vous, soyez actifs. Informez-vous. Remettez tout en question, même ce que l'on vous sert sans cesse sur un plateau d'argent dans les médias. Contrôlez également les références bibliographiques que j'ai citées.
Les dégâts causés par ces vaccins à base d'ARNm contre Corona sont désormais connus. Cette technique à ARNm n'a pas encore été suffisamment testée et éprouvée. À l'avenir, veuillez vous informer sur les bases desquelles sont fabriqués les vaccins que vous souhaitez recevoir.
Et n'oubliez pas que la peur affaiblit notre système immunitaire. Soyez le plus possible dans la nature et renforcez-le de cette manière. Notre corps est fantastique, soutenez-le et ayez confiance en lui et en vous !
Une série de décès soudains et inattendus de nourrissons suite à la vaccination avec Infanrix Hexa® a contraint l'Agence australienne des médicaments à rester muette. La mort subite et inattendue du nourrisson (SUDI) et le syndrome de mort subite du nourrisson (SMSN) sont des termes utilisés pour décrire la mort subite et inattendue d'un nourrisson lorsqu'il n'y a pas de cause évidente de décès.
La Therapeutic Goods Administration (TGA) a répondu à des questions concernant une série de morts subites chez des nourrissons ayant reçu le vaccin Infanrix-Hexa®. Le vaccin « hexavalent » est destiné à protéger contre six maladies (diphtérie, tétanos, coqueluche, polio, hépatite B et Hib) et est administré aux nourrissons âgés de 2, 4 et 6 mois. Voici le mode d’emploi en allemand : Infanrix hexa – WS2365 (app. 26 avril 2023) – GI
La journaliste australienne Maryanne Demasi rapporte qu'une demande d'accès à l'information (FOI) concernant le nombre de décès signalés suite à l'utilisation du vaccin Infanrix-Hexa® a révélé des données inquiétantes.
La base de données des notifications d'événements indésirables ( DAEN ) a fait état de 17 décès de nourrissons signalés.
Selon un récent rapport de la FOI, 26 autres décès signalés peuvent être trouvés dans la base de données « interne » de la TGA, le système de gestion des événements indésirables (AEMS) .
Au total, 43 décès soudains et inattendus ont été signalés chez des nourrissons, pour la plupart âgés de moins de 12 mois, survenant dans un délai d'un ou deux jours après la vaccination.
L'autorité a pris acte de ces décès sans mener d'enquête, comme c'est son devoir.
Avertissements en provenance d'Europe
Infanrix-Hexa® a été approuvé pour la première fois par l'Agence européenne des médicaments (EMA) en 2000 et le public n'a jamais été averti des problèmes de sécurité.
Selon ses propres informations, l'EMA contrôle les données de pharmacovigilance sous la forme de rapports de sécurité (PSUR) régulièrement mis à jour, soumis par le fabricant GlaxoSmithKline (GSK). TKP a publié ici le P SURS sur les préparatifs de Corona .
Essentiellement, les PSUR décrivent l’expérience globale en matière de sécurité du vaccin sur une période de temps spécifique et ne sont généralement pas accessibles au public pour un examen indépendant.
La préparation à peu près la même HEXYON de Sanofi est toujours utilisée en Europe. Une enquête menée par l'avocat et député du Land du Tyrol du Sud, Dr. Renate Holzeisen avait révélé qu'aucun examen clinique n'avait été effectué à ce sujet : « D'après la réponse de la direction générale de l'entreprise médicale du Tyrol du Sud à la demande de divulgation (FOIA) présentée par les parents concernés, les enfants reçoivent une injection du sextuple vaccin HEXYON, dont la notice indique qu'il est destiné aux enfants "Aucune étude clinique (même avec des groupes témoins non réels) n'a été réalisée pour tester la sécurité à des âges supérieurs à 24 mois", comme le montrent les documents pertinents de l'UE .
Cependant, un litige juridique majeur en Italie concernant Infanrix de GSK a conduit le juge à ordonner à la société pharmaceutique de publier ses PSUR pour le vaccin Infanrix Hexa®.
Ces documents ont été envoyés à Jacob Puliyel, pédiatre et chef du service de pédiatrie de l'hôpital St. Stephen de Delhi, qui a mené un audit indépendant.
L'analyse a révélé un groupe de morts subites chez les nourrissons de moins de 12 mois : 54 décès (93 %) sont survenus dans les 10 premiers jours suivant la vaccination et 4 décès (7 %) sont survenus dans les 10 jours suivant la vaccination.
De plus, lorsqu'il a comparé le taux de morts subites « attendues » avec le taux « réel » de morts subites après vaccination, il y avait une augmentation statistiquement significative du risque de décès au cours des quatre premiers jours après la vaccination par rapport aux décès attendus.
Le rapport concluait : « Le groupe de décès peu de temps après la vaccination suggère que les décès ont été causés par le vaccin. »
Puliyel a publié les résultats dans l'Indian Journal of Medical Ethics en 2018.
Le rapport a également montré que les décès de nourrissons signalés dans le rapport de sécurité (PSUR 16) ont été supprimés dans le PSUR 19, sous-estimant ainsi le nombre de décès observés dans le rapport final consulté par l'EMA.
Lorsqu'on lui a demandé pourquoi l'EMA n'avait pas tiré la sonnette d'alarme concernant les données du PSUR, Puliyel a répondu : « Je n'irais pas jusqu'à dire que l'EMA était de connivence avec GSK dans la tromperie, mais je pense que l'EMA a fait preuve de négligence et a accepté les données trompeuses. et les interprétations des fabricants sans aucun doute.
Puliyel a critiqué l'EMA pour sa surveillance laxiste des événements indésirables après commercialisation et a appelé tous les régulateurs à améliorer cette surveillance.
Après avoir publié ses conclusions, Puliyel a déclaré qu'il n'y avait aucune excuse pour que l'EMA ignore les divergences dans les données.
"Le silence suggère que l'EMA n'a aucune défense", a-t-il noté.
« Je pense que les méthodes de surveillance actuelles visent davantage à protéger les profits des fabricants de vaccins que ceux du public », a-t-il ajouté.
Les mondialistes complotent un génocide mondial via le traité de l'OMS sur la pandémie
Par Richard C. Cook Recherche mondiale, 29 octobre 2024
Introduction
Avec tous les problèmes du monde d’aujourd’hui, y compris la guerre complètement inutile déclenchée par les États-Unis en Ukraine, l’attaque génocidaire détestable d’Israël contre les Palestiniens à Gaza et les menaces militantes des États-Unis contre la Chine au sujet de Taïwan, nous devrions peut-être nous demander si l’escalade des tensions menaçant de déclencher un conflit mondial massif n’est pas vraiment un « faux drapeau » mondialiste soigneusement élaboré qui cache quelque chose d’encore plus sinistre.
Les combats qui font actuellement rage aux États-Unis et ailleurs entre les militants et les autorités, à travers des manifestations pro-palestiniennes, dominent particulièrement l’actualité.
Mais encore une fois, s’agit-il d’une distraction artificielle ?
Je crois que c'est le cas.
Quel est donc le véritable objectif de ces événements qui font la une des journaux ? Quel est l'objectif réel des mondialistes, qui sont les véritables tireurs de ficelles ? Les guerres plus conventionnelles et les conflits de rue sont-ils vraiment efficaces ?
Décès humains réels dus à la guerre
Pour mieux cerner le problème, le monde n’a pas connu de guerre majeure depuis la Seconde Guerre mondiale, qui a eu lieu entre 1939 et 1945. Elle a fait plus de 16 millions de morts militaires et entre 70 et 85 millions de victimes civiles. Compte tenu de la population mondiale de 2,3 milliards d’habitants en 1940, les pertes de guerre ont donc représenté environ 3,7 % de ce total.
Compte tenu de la nature horrible des décès en temps de guerre, 3,7 % reste un chiffre relativement faible, la concentration des décès touchant évidemment certains pays beaucoup plus que d'autres. Pendant la Seconde Guerre mondiale, les plus durement touchés furent l'Union soviétique et l'Allemagne. Mais les pertes totales ne furent guère un obstacle à la croissance à long terme de la population humaine mondiale, qui atteint aujourd'hui 8,1 milliards d'habitants et continue de croître.
Si l’on examine les données plus récentes, les décès attribués à toutes les guerres depuis le 11 septembre, une période souvent qualifiée de « guerre sans fin », s’élèvent à environ 4,5 à 4,7 millions . Ce chiffre, cependant, donne des proportions bien inférieures à celles de la Seconde Guerre mondiale. Ainsi, l’effet démographique net de la guerre au cours des deux dernières décennies est à peine perceptible, même si, là encore, les pertes sont horribles pour les personnes touchées.
En outre, les pertes en vies humaines, y compris parmi les civils, sont aujourd’hui le résultat de conflits très ciblés dans des zones limitées. Ces conflits impliquent souvent des pays dont l’Occident convoite les ressources. Ainsi, l’Asie occidentale, avec ses vastes réserves d’hydrocarbures et de minéraux, constitue une cible tentante, ce qui a conduit les États-Unis et le Royaume-Uni à lancer des attaques contre l’Afghanistan, l’Irak et la Libye. Des attaques similaires, quoique moins visibles, ont eu lieu en Afrique.
Plus récemment, la guerre par procuration menée par les États-Unis contre la Russie en Ukraine a conduit au dépeuplement de ce pays par l’émigration et les pertes sur le champ de bataille , alors même que des sociétés américaines comme BlackRock ont investi dans les terres et les minéraux. Le génocide perpétré par Israël contre les Palestiniens de Gaza, soutenu par les États-Unis, a également été soupçonné d’avoir pour motivation la prise de contrôle des réserves pétrolières et gazières offshore.
On peut néanmoins affirmer que, si l'on tient compte du potentiel incroyable de pertes humaines résultant de l'énorme puissance de feu des arsenaux conventionnels et nucléaires du monde, le nombre total de morts en temps de guerre reste aujourd'hui relativement limité. Et même si ces arsenaux étaient utilisés à une échelle bien plus grande que dans les conflits récents, la population mondiale serait-elle sérieusement réduite par une telle épidémie avant que l'impulsion à la guerre totale ne se soit évanouie ?
Sommes-nous certains, par exemple, que la Troisième Guerre mondiale tant redoutée aurait réellement pour résultat l'anéantissement de la vie sur Terre, comme beaucoup le spéculent, ou s'agirait-il là aussi d'un obstacle supplémentaire ? Nous ne le savons pas vraiment. De plus, il existe bien plus de mesures de protection et de restrictions au sein de la communauté internationale qu'en 1941, qui pourraient être activées, notamment des procédures mises en place par l'intermédiaire des Nations Unies, si décriées.
Nous constatons également que les arsenaux militaires occidentaux ne servent à rien, sauf face à des adversaires malchanceux, comme le montre l’échec des armes occidentales en Ukraine, où elles se sont révélées trop complexes, coûteuses et vulnérables. Leurs principaux objectifs semblent aujourd’hui être de plus en plus la « création d’emplois », l’enrichissement des actionnaires du secteur de la fabrication d’armes, la fourniture d’une sorte de « dissuasion » fantôme contre « l’agression » ou simplement le divertissement des politiciens, des médias grand public et des électeurs.
Aussi horrible que soit la guerre, les mondialistes cherchent certainement à atteindre leurs objectifs au-delà de la guerre ouverte, qui, selon beaucoup, se concentrent sur les armes biologiques, ou du moins incluent-elles, afin de parvenir à une réduction massive de la population humaine. En fait, l’armée américaine et la CIA créent et utilisent secrètement des armes biologiques depuis des décennies, comme l’a montré Tucker Carlson Uncensored dans un épisode récent intitulé « La maladie de Lyme a-t-elle été créée comme une arme biologique ? »
Bien que cela ne soit pas abordé dans cet article, l'armement spatial est un autre domaine dans lequel les fantasmagoriques de guerre espèrent depuis des décennies faire des percées dans les armes apocalyptiques qui obligeraient les ennemis à se rendre sans combattre ou qui effaceraient un adversaire de la carte lors d'une première frappe impuissante.
Le lobby du dépeuplement Bien qu’il cherche à se dissimuler, on peut discerner l’existence d’un puissant lobby en faveur d’une réduction massive de la population planétaire .
Depuis plusieurs siècles, des prophètes de malheur comme le ministre anglais Thomas Malthus (1766-1834) crient haut et fort que tôt ou tard, la croissance démographique dépasserait la capacité des ressources de la Terre à supporter une telle augmentation du nombre d'êtres humains.
Bien sûr, Malthus avait tort, en grande partie à cause de la capacité de la révolution industrielle à assurer la subsistance d’une population croissante et à engendrer de grandes améliorations en matière d’hygiène, de nutrition, de productivité agricole et de traitements médicaux, permettant à davantage de personnes de vivre plus longtemps. La réduction de la mortalité infantile et l’amélioration du bien-être des familles et des enfants ont eu des effets particulièrement importants.
Mais pour une certaine catégorie de personnes, qui s’identifient étroitement aux mondialistes, ces changements n’ont pas été un motif de réjouissance, mais plutôt un présage d’une catastrophe imminente. Ces sentiments ont fusionné avec le mouvement « eugéniste » qui considère la croissance démographique comme une augmentation du nombre de personnes qu’ils n’aiment pas et qu’ils ne veulent pas voir en vie.
Pour cette classe particulière, le potentiel de la guerre pour réduire la population ne semble pas avoir été exploité pour les raisons exposées ci-dessus. D’autres méthodes plus efficaces ont donc été recherchées. Les armes biologiques, considérées comme relativement faciles à utiliser par des moyens secrets et difficiles à remonter à leur source, sont passées au premier plan. Qui, alors, peut bien être derrière tout cela ?
Dans son article du 30 juillet 2023, « Les milliardaires tentent de réduire la population mondiale : réunion secrète sponsorisée par Bill Gates, réunion 2009 du « Good Club » », le directeur de Global Research, le Dr Michel Chossudovsky, demande : « Le dépeuplement mondial fait-il partie de la grande réinitialisation des milliardaires ? »
Le Dr Chossudovsky écrit :
Depuis plus de dix ans, des réunions ont été organisées par des milliardaires qualifiés de philanthropes pour réduire la taille de la population mondiale, culminant avec la crise du COVID de 2020-2022.
Les développements récents suggèrent que la « dépopulation » fait partie intégrante des soi-disant mandats COVID, y compris les politiques de confinement et le vaccin à ARNm.
Selon le Wall Street Journal : « En mai 2009, les philanthropes milliardaires se sont réunis à huis clos au domicile du président de l’université Rockefeller à Manhattan. Cette réunion secrète était sponsorisée par Bill Gates. Ils se sont baptisés « The Good Club ». Parmi les participants figuraient feu David Rockefeller, Warren Buffett, George Soros, Michael Bloomberg, Ted Turner, Oprah Winfrey et bien d’autres. »
En mai 2009, le Wall Street Journal et le Sunday Times ont rapporté (John Harlow, Los Angeles) que « certains des milliardaires américains les plus influents se sont rencontrés en secret pour réfléchir à la manière dont leur richesse pourrait être utilisée pour ralentir la croissance de la population mondiale et accélérer les améliorations dans les domaines de la santé et de l'éducation. » L'accent n'a pas été mis sur la croissance de la population (c'est-à-dire Planned Parenthood) mais sur la « dépopulation », c'est-à-dire la réduction de la taille absolue de la population mondiale.
Les philanthropes qui ont participé à un sommet organisé à l’initiative de Bill Gates, le cofondateur de Microsoft, ont discuté de la possibilité d’unir leurs forces pour surmonter les obstacles politiques et religieux au changement.
L'article du Dr Chossudovsky est accessible ici et est cité dans mon propre livre, Our Country, Then and Now .
Ce n’est un secret pour personne que l’eugénisme et le contrôle de la population sont depuis longtemps un objectif des mondialistes en général et de la famille Rockefeller et de Bill Gates en particulier. Le « Good Club » réunit Gates et David Rockefeller, ainsi que plusieurs autres milliardaires célèbres. Le récent livre de Robert F. Kennedy Jr., The Real Anthony Fauci: Bill Gates, Big Pharma, and the Global War on Democracy and Public Health , cite de nombreux exemples où la Fondation Bill et Melinda Gates a promu l’utilisation à grande échelle de vaccins en Afrique avec pour objectif sous-jacent probable la réduction de la population. En Europe, le Club de Rome et ses ramifications, dont le Forum économique mondial, ont fait pression pour des objectifs similaires.
En ce qui concerne les chiffres bruts, Ted Turner, membre du « Good Club » et fondateur de CNN, a déclaré :
« Une population totale de 250 à 300 millions de personnes, soit une baisse de 95 pour cent par rapport aux niveaux actuels, serait idéale. » — cité dans le McAlvany Intelligence Advisor , juin 1996.
Il convient ici de mentionner Aurelio Peccei, cofondateur du Club de Rome, à l'origine de l'idée du Forum économique mondial, et sa justification de la nécessité d'institutions supranationales pour faire face aux crises mondiales. Cela implique la nécessité implicite d'affaiblir la souveraineté des États-nations pour que le mondialisme réussisse. C'est sous cet angle que la destruction de l'économie productrice américaine a été entreprise par l'externalisation industrielle et a été réalisée dans les décennies qui ont suivi la publication de l'ouvrage fondateur de Peccei, The Chasm Ahead.
La relation entre les Rockefeller et Peccei remonte au 11 avril 1964, lorsque Peccei assista à une réunion du groupe Bilderberger à Williamsburg, en Virginie, où il rencontra David Rockefeller, alors président et directeur général de la Chase Manhattan Bank. Rockefeller était également le superviseur du Council on Foreign Relations, le principal groupe de réflexion mondialiste américain.
J'ai lu le récit de cette rencontre entre Rockefeller et Peccei des décennies après les faits. Cela m'a particulièrement intéressé, car j'étais là ! Pas à leur réunion, bien sûr, mais à la Williamsburg Lodge où se tenait la conférence. J'étais alors membre du club d'actualité du lycée local et nous avions été invités à écouter quelques discours. Au cours de ma vie et de ma carrière d'analyste gouvernemental, j'ai été témoin de nombreux événements d'importance historique. Pensez-y, j'étais également à proximité de ce qui aurait pu être l'élaboration de plans visant à détruire une grande partie de la race humaine !
Au milieu des années 1970, la promotion de la réduction de la population était devenue la politique officielle du gouvernement américain. Comme le montre le site Web de Human Life International (3 janvier 2024) :
Le Conseil de sécurité nationale des États-Unis est l'organe décisionnel suprême en matière de politique étrangère des États-Unis. Le 10 décembre 1974, il a rédigé un document top secret intitulé National Security Study Memorandum ou NSSM-200 , également appelé Rapport Kissinger , car Henry Kissinger était secrétaire d'État à l'époque de sa rédaction.
Le sujet du rapport NSSM-200 est « Les implications de la croissance démographique mondiale pour la sécurité et les intérêts des États-Unis à l’étranger ». Ce document, publié peu après la première grande conférence internationale sur la population à Bucarest, est le fruit d’une collaboration entre la Central Intelligence Agency (CIA), l’Agence américaine pour le développement international (USAID) et les départements d’État, de la Défense et de l’Agriculture.
Le NSSM-200 a été rendu public lorsqu'il a été déclassifié et transféré aux Archives nationales des États-Unis en 1990.
Le rapport indique :
L'économie américaine aura besoin de quantités croissantes de minéraux provenant de l'étranger, en particulier des pays les moins développés. Ce fait donne aux États-Unis un intérêt accru à la stabilité politique, économique et sociale des pays fournisseurs. Partout où une diminution de la pression démographique grâce à une baisse du taux de natalité peut accroître les perspectives d'une telle stabilité, la politique démographique devient pertinente pour l'approvisionnement en ressources et pour les intérêts économiques des États-Unis.
Il faut noter qu'Henry Kissinger a été un associé à vie de l'empire financier Rockefeller et qu'il a même été envisagé à un moment donné d'être nommé coordinateur général de tous les investissements Rockefeller.
- voir clip sur site -
On peut aussi soutenir que les États-Unis tentent depuis des décennies de limiter la souveraineté des États-nations et la croissance démographique des pays les moins développés par le biais du Fonds monétaire international, en assortissant leurs politiques de prêts prédatrices de « conditionnalités ». Ces conditions comprennent la privatisation des services publics, la réduction des salaires des fonctionnaires, la réduction des prestations sociales, la conversion de la production agricole en produits d’exportation, le vote « correct » à l’ONU, l’ouverture de leurs économies aux investissements de capitaux occidentaux à des taux d’intérêt élevés, etc.
Les sanctions américaines ont également joué un rôle, comme celles contre l’Irak au milieu des années 1990, dont la secrétaire d’État Madeleine Albright a reconnu qu’elles avaient causé la mort de 500 000 enfants irakiens. « Cela valait la peine », a-t-elle déclaré à un journaliste de télévision. Les sanctions contre la Russie pour la guerre en Ukraine ont sans doute le même objectif que celles prises par les États-Unis après la chute de l’Union soviétique dans les années 1990 pour s’accaparer des ressources contre la Russie.
Aujourd’hui, on peut néanmoins affirmer que les tactiques de réduction démographique mondialiste, appliquées contre des régions du monde moins développées ou hostiles, mais souvent riches en ressources, sont intentionnellement tournées contre les populations des nations occidentales elles-mêmes et ne sont pas simplement la conséquence de multiples décisions politiques prises sans objectif sous-jacent. Aux États-Unis, nous avons assisté à une augmentation rapide et radicale des disparités de richesse entre riches et pauvres et à l’affaiblissement du filet de sécurité sociale par des mesures telles que la réduction des bons d’alimentation et des prestations Medicaid. Seul un aveugle n’aurait pas pu savoir que ces mesures entraîneraient une augmentation de la pauvreté et de la mortalité dans les secteurs à faible revenu.
En raison de l’inflation, causée au moins en partie par les profits des entreprises, l’accès au logement, à la nourriture, à l’éducation et aux transports est de plus en plus inaccessible, le coût de la vie élevé favorisant les familles plus petites. L’avortement à la demande comme mesure de contrôle des naissances fait depuis longtemps partie du programme libéral, le suicide médicalement assisté devenant courant avec la distribution de morphine par les hospices. La promotion du programme LGBT a également pour conséquence la réduction du nombre d’enfants.
Mais la pandémie de Covid-19 a peut-être marqué une étape majeure dans l’assaut du monde développé contre l’humanité. C’est encore Robert F. Kennedy Jr. qui a rassemblé les détails sur la manière dont les confinements sociaux, les fermetures d’entreprises, la fermeture des écoles et la censure de la dissidence avaient été anticipés par deux décennies d’exercices d’entraînement et de planification discrets, avec une forte participation militaire. L’un d’entre eux, « Event 201 », s’est déroulé juste avant le début de la pandémie de Covid-19 à l’université Johns Hopkins, parrainé par Bill Gates et le Forum économique mondial.
Dans son dernier livre, The Wuhan Cover-Up and the Terrifying Bioweapons Arm Race, RFK Jr. évoque la prolifération massive de laboratoires d’armes biologiques sponsorisés par les États-Unis dans le monde entier, qui mènent des recherches sur la militarisation des virus sous le terme de « gain de fonction ». Ce n’est qu’au cours des deux dernières années que le « gain de fonction » est devenu une expression courante.
Il semble presque que les élites qui contrôlent la société occidentale aient décidé que la guerre ouverte ne suffisait pas à atteindre leurs objectifs de dépopulation et qu’il fallait donc rechercher une autre solution. Ce qu’elles semblent avoir découvert, c’est l’inculcation délibérée de pandémies. La COVID, y compris le « vaccin » mortel à ARNm, a peut-être été leur premier essai.
Bien entendu, le Covid n’est pas la première atrocité médicale commise par Big Pharma, le gouvernement américain et la profession médicale. Une autre est l’épidémie d’autisme probablement causée par la prolifération des vaccins infligés aux enfants. Selon le Dr Lewis Coleman de l’American Geopolitical Institute :
Nous n’avions jamais vu cela à l’école primaire, mais aujourd’hui, c’est une épidémie, sans parler de tous les dégâts causés par le Covid long et d’autres effets de la « vaccination ». On frémit à l’idée de ce à quoi ressemblera la société dans 20 ans. Les enfants atteints de ces maladies peuvent détruire des familles et détourner l’attention des besoins des enfants en bonne santé. Et cela ne compte pas toutes les fausses couches, les victimes du Covid long et les morts subites des injections d’ARNm, ni les innombrables patients paralysés par des maladies chroniques comme la maladie de Parkinson, causées par la pollution de notre nourriture, de notre eau et de notre air.
Le programme mondial de dépopulation dépasse les capacités de ses stabilisateurs En attendant, les mondialistes ont pris des mesures dans les domaines de l’économie et de la technologie pour préparer le terrain à un effondrement massif de la population mondiale . L’une de ces mesures a été la peur disproportionnée du « changement climatique » et la prétendue conversion aux sources d’énergie renouvelables qui rendraient les nations industrielles avancées dépendantes des panneaux solaires et des éoliennes. Le meilleur exemple est la destruction de l’économie allemande par le parti des Verts, qui a déjà réussi à fermer toutes les centrales nucléaires du pays. Un autre point d’attaque a été la centralisation et la numérisation des monnaies. Un autre a été la promotion de l’intelligence artificielle dans les processus industriels, bien que les mondialistes n’aient pas révélé qui achèterait tous les biens produits par l’automatisation sans fin si le public consommateur avait « disparu ».
Une autre ruse a été de centraliser la production alimentaire en confiant à un nombre toujours plus réduit d’entreprises la responsabilité de l’approvisionnement. On a notamment invoqué des menaces contre l’approvisionnement alimentaire par le biais de ce que l’on pourrait appeler le « terrorisme biologique », comme l’hystérie croissante autour de la « grippe aviaire » avec des actions comme celles de la gouverneure du Michigan Gretchen Witmer qui a menacé d’une répression de type militaire qui pourrait aboutir à de nouveaux abattages massifs de volailles et de bovins, déjà alarmants. En fait, la « grippe aviaire » pourrait bien être la mystérieuse « maladie X » contre laquelle certains mettent aujourd’hui en garde.
Un article du 6 mai 2024 de Julian Rose dans l’ Activist Post intitulé « Madkind-v-Mankind — A Race Against Time » donne une description graphique de l’avenir envisagé par les contrôleurs :
« The Great Reset » est le nom approprié du plus récent événement de réglage de l'horloge initié par Madkind.
Elle a fixé quelques dates clés dans son agenda pour le transfert de la vie organique dans un sosie robotique contrôlé numériquement, dans le but de rendre l'humanité obsolète.
Elle identifie les horizons 2025/26, 2030 et 2045/50 comme des marqueurs utiles pour atteindre des phases particulières de cette ambition.
Nous connaissons le plan de jeu de Madkind car il est explicitement énoncé dans l’Agenda 2030 de l’ONU et dans la Quatrième révolution industrielle/New Deal vert du Forum économique mondial.
Sur le plan financier, pour commencer, une monnaie numérique de banque centrale avec un programme de conformité au crédit social pour contrôler l'accès des individus à leurs comptes bancaires est prévue pour 2026 environ.
La stagnation économique mondiale et des vagues de famine humaine sont prévues pour suivre.
D'ici 2030, le programme de Madkind stipule que le processus de numérisation et d'intelligence artificielle (IA) aura usurpé une grande partie de la capacité de réflexion émotionnelle et rationnelle de l'humanité ; les pouvoirs naturels de reproduction étant également stérilisés et soumis par une géo-ingénierie atmosphérique toujours croissante, la dénaturation de l'eau et des aliments, les fréquences électromagnétiques (CEM) et les programmes de vaccination militarisés.
D'ici la même date, environ 50 % des aliments devraient être fabriqués dans des laboratoires industriels, de manière synthétique, génétiquement modifiée et sans aucun lien avec le sol.
Les insectes sont en tête de liste des substituts protéiques, une fois que le lait, la viande et les œufs ont été « retirés du menu » en raison de leur identification comme complices de l'invention folle de Madkind sur le réchauffement climatique.
La production d'énergie devrait être en grande partie séparée des pratiques de combustion de combustibles fossiles à cette même date, remplacée par ce qu'elle considère comme des solutions « vertes » prenant le relais de l'alimentation de ce qui reste de l'industrie productive.
D'ici 2045/50, Madkind se voit aux commandes avec sa politique dite « Net Zero » (pas de dioxyde de carbone) ayant encore réduit la biodiversité naturelle et les populations mondiales à une fraction des niveaux actuels, remplaçant l'humanité par la version cyborg transhumaine de l'IA et une race d'esclaves de l'humanité préservée pour des tâches subalternes inadaptées aux robots.
Il s’agit d’une liste purement indicative et sommaire, car il y a bien plus de folies en préparation que ce qui est mentionné ici. Et Madkind a un plan B, C et D si A ne se concrétise pas (à temps).
Pour se le rappeler encore mieux, il suffit de lire la description de Mad Schwab sur la quatrième révolution industrielle et la déclaration de Mad Harari : « Nous ferons mieux que Dieu. »
Censure
Nous ne sommes absolument pas censés communiquer entre nous sur ce sujet. Depuis que le président Joe Biden a pris ses fonctions en 2021, le gouvernement américain s’est lancé dans une attaque majeure contre la liberté d’expression. Comme le rapporte le Brownstone Institute dans un article intitulé « Book Burning Goes Digital » :
En mars 2021, la Maison Blanche de Biden a lancé une campagne de censure ouvertement inconstitutionnelle pour empêcher les Américains d’acheter des livres politiquement défavorables sur Amazon.
L'effort, mené par les censeurs de la Maison Blanche, dont Andy Slavitt et Rob Flaherty, a commencé le 2 mars 2021, lorsque Slavitt a envoyé un e-mail à Amazon exigeant de parler à un dirigeant du site « aux niveaux élevés de propagande, de désinformation et de mésinformation ».
Les discussions qui ont suivi restent inconnues, mais des courriels récemment publiés par la commission judiciaire de la Chambre des représentants révèlent que les censeurs ont obtenu le résultat escompté. En une semaine, Amazon a adopté une politique de shadow ban.
Les responsables de l'entreprise ont écrit dans des courriels internes : « Cette demande est motivée par les critiques de l'administration Biden concernant les livres sensibles auxquels nous accordons une place de choix, et qui doivent être traités de toute urgence. » Ils ont en outre précisé que cette politique était « due aux critiques des gens de Biden », probablement à propos de Slavitt et Flaherty.
Nous pouvons généraliser en disant que le point focal du gouvernement dans ses attaques contre la liberté d’expression a principalement porté sur des sujets liés au COVID, à la « pandémie », aux vaccins, etc. Brownstone poursuit :
À l’époque, la « désinformation sur les vaccins » était le terme utilisé pour désigner des vérités qui dérangent. Cinq mois après la campagne de censure d’Amazon, Twitter a banni Alex Berenson à la demande du gouvernement pour avoir souligné que les vaccins n’empêchaient pas l’infection ou la transmission. La sénatrice Elizabeth Warren (D-MA) a cité favorablement son interdiction sur Twitter dans une lettre adressée en septembre 2021 à Amazon appelant à une censure accrue des livres.
Un processus similaire s’est produit chez Facebook. Mark Zuckerberg a écrit dans des courriels internes que la plateforme avait décidé d’interdire les allégations liées à la théorie de la fuite en laboratoire en février 2021 après « des discussions tendues avec la nouvelle administration ». Nick Clegg, un dirigeant de Facebook, a également écrit que la censure était due à « la pression exercée par l’administration [Biden] et d’autres pour en faire plus ». Un autre courriel interne de Facebook datant d’août 2021 écrivait que l’entreprise avait mis en œuvre de nouvelles politiques de « désinformation » « découlant des critiques continues de notre approche par l’administration [Biden] ».
Non seulement l’appel du régime Biden à interdire de facto la publication de livres conduit à la suppression d’informations véridiques concernant les confinements, les blessures causées par les vaccins et la théorie de la fuite en laboratoire ; il s’agit également d’une violation flagrante du premier amendement.
Voir l’article original sur Brownstone.org.
Pour un examen plus détaillé de la suppression des informations sur la pandémie de COVID par le gouvernement et les médias, voir le Substack du 8 mai 2024 du Dr Robert Malone, fortement censuré , intitulé « Mise à jour sur les effets néfastes du vaccin à ARNm contre la COVID ». Le Dr Malone déclare :
J’attends ce moment depuis des années. Le gouvernement fédéral américain commence enfin à reconnaître qu’il a forcé les citoyens (y compris le personnel militaire) de ce pays à accepter des produits injectables toxiques présentés comme des « vaccins », des produits qui contiennent ou provoquent la production par le corps des patients d’une toxine connue : la protéine Spike du SARS-CoV-2. Nous assistons maintenant à un déploiement progressif de rencontres limitées, dans lesquelles d’anciens et actuels hauts fonctionnaires fédéraux commencent à reconnaître les décès et les préjudices imputables aux diverses utilisations d’urgence de produits « vaccins » autorisés contre la COVID-19.
Bien sûr, cela survient après des années de déni officiel du gouvernement fédéral, de dissimulations, de rétention de données, de marketing manifeste de produits médicaux non autorisés (aux adultes ET aux enfants), et une campagne massive de censure/diffamation/propagande qui a touché pratiquement tous les médias grand public ainsi que les médias alternatifs. Pratiquement toutes les revues médicales évaluées par des pairs ont été récupérées et compromises, en particulier celles appartenant aux maisons d’édition partenaires du WEF Elsevier et Springer/Nature…. À cet égard, la récente révélation lors du témoignage public du Dr Peter Daszak au Congrès américain selon laquelle The Lancet (publié par Elsevier) et Nature (Springer) ont refusé de témoigner en réponse à des demandes spécifiques du Congrès.
C'est un fait que l'avalanche de censure concerne presque exclusivement la publication d'informations véridiques sur la « pandémie » de COVID ; rien n'a été attaqué par le gouvernement avec autant de véhémence sur aucun autre sujet .
Il s’ensuit que la promotion du faux récit du COVID pourrait bien être l’objectif primordial de l’administration Biden, au-delà même des questions de guerre et de paix, d’immigration illégale, de droits de l’homme ou de toute autre question. On peut même supposer que l’ objectif principal de la présidence Biden est de préparer les États-Unis et l’humanité à une dépopulation mondiale massive. Le véhicule semble désormais être le Traité de l’Organisation mondiale de la santé sur la pandémie, qui doit être mis au vote lors de la prochaine réunion de l’Assemblée mondiale de la santé de l’OMS, du 27 mai au 1er juin 2024.
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La santé publique dans la perception gouvernementale et non gouvernementale. (Par Giovanni Maki, Bibliothèque publique des sciences / Sous licence CC BY-SA 2.5)
L’OMS, une agence des Nations Unies, propose désormais, en grande partie de par sa propre autorité supposée, un traité sur la pandémie qui a le potentiel de paralyser le monde dans des confinements bien plus sévères que ceux qui ont eu lieu pendant la COVID, de sa seule propre initiative – si bien qu’une « pandémie » pourrait avoir lieu. L’OMS – ou quels que soient ses « patrons » – pourra imposer la vaccination obligatoire et les « passeports vaccinaux » à chaque être humain sur la planète tout en étouffant tout débat ou toute dissidence.
Les critiques soulignent – lorsqu’ils sont autorisés à s’exprimer – qu’il n’existe absolument aucune preuve que les épidémies naturelles de maladies infectieuses soient proches de l’ampleur impliquée par le programme totalitaire de répression sociétale que le traité mettrait en œuvre. Cela laisse penser que de telles épidémies ne pourraient être provoquées que par la libération délibérée de microbes générés par la recherche et le développement « à gain de fonction », semblable à ce qui a probablement été fait avec la COVID.
L’administration Biden a déclaré son intention de devenir partie prenante de l’accord de l’OMS, mais elle a déclaré qu’elle ne donnerait pas au Sénat américain la possibilité de ratifier un tel traité comme le prévoit la Constitution américaine. Elle affirme que le traité peut être mis en œuvre par décret exécutif.
Ce traité constitue une atteinte évidente à la souveraineté de toute nation qui choisit d’y adhérer et une menace pour le caractère sacré de la personnalité de chaque individu. Aux États-Unis, la Déclaration des droits serait pratiquement suspendue.
Pour mettre en œuvre les mandats de l’OMS, l’administration Biden a créé sa propre agence de niveau exécutif, le Bureau de la politique de préparation et de réponse aux pandémies (OPPRP). Approuvée par le Congrès en 2023, l’agence « dirige, coordonne et met en œuvre des actions liées à la préparation et à la réponse aux menaces biologiques et aux agents pathogènes connus et inconnus qui pourraient conduire à une pandémie ou à des perturbations importantes liées à la santé publique aux États-Unis ». Un système bureaucratique appelé « One Health » est en cours de construction en tant que mécanisme d’organisation.
Fondamentalement, One Health vise à contrôler toutes les facettes de la vie : l’économie, l’eau, les politiques publiques, les risques pour la santé au travail, l’agriculture, le commerce mondial, le commerce, la santé environnementale, les écosystèmes, les communications, le changement climatique et accessoirement, les pandémies et la santé humaine. (« Patrick Wood explique comment One Health inclut tout, et qu’il est déjà intégré dans nos agences nationales », Meryl's COVID Newsletter , 8 mai 2024)
Les plaignants demandent ce remède de la part du Dr Ghebreyesus :
Nous exigeons que, avec effet immédiat, vous cessiez et vous absteniez de prendre d’autres mesures qui impliqueraient des communications fausses et frauduleuses aux gouvernements, provoquant ou entraînant ainsi de nouveaux cas du type de conséquences catastrophiques décrites ci-dessus.
Le procès exige également que le Dr Ghebreyesus rende des comptes personnellement :
Nous vous informons également que le fait de ne pas cesser ou de renoncer à une implication continue ou répétée dans les préjudices susmentionnés vous rendra responsable à la fois à titre personnel et professionnel. En tant qu'homme, vous ferez l'objet d'une enquête pour complot criminel. En tant que dirigeant d'entreprise, vous ferez l'objet d'une enquête pour négligence grave, faute grave dans l'exercice d'une fonction publique, fraude d'entreprise et éventuellement même pour complicité d'homicide involontaire.
Pour des informations complètes sur l’opposition du Conseil mondial de la santé à l’OMS et à ses plans et programmes, consultez leur site Web à l’ adresse https://worldcouncilforhealth.org/ .
Demandez-vous alors si l’OMS doit être chargée de l’avenir de l’espèce humaine ou si le traité de l’OMS est une prescription pour une extinction massive. Demandez-vous ensuite si l’humanité manque à ce point de respect d’elle-même pour tolérer une telle mascarade.
Opposition à l'OMS
L’opposition au Traité de l’OMS sur la pandémie se fait de plus en plus forte, notamment parmi les organisations et les individus qui sont à l’origine de la prise de conscience générale de la société face aux horreurs infligées par les autorités mondiales face à la pandémie de COVID. Dans le même temps, le monde commence seulement à prendre conscience des dommages déjà causés par les « vaccins » à ARNm administrés à des centaines de millions de personnes dans le monde.
La communication sur ces sujets vitaux continue d’être réprimée par l’administration Biden et d’autres gouvernements à travers le monde. L’urgence de la lutte contre l’imposition du Traité de l’OMS sur la pandémie n’a guère pénétré la sphère politique.
Parallèlement, la prise de conscience progresse. Aux Etats-Unis, l'Etat de Louisiane pourrait bientôt déclarer qu'il ne sera pas soumis aux mandats de l'ONU ou de l'OMS. Une législation similaire a été introduite en Oklahoma. 22 procureurs généraux d'Etat ont fait de même.
L’opposition s’est également exprimée récemment dans une lettre adressée au président Biden par les 49 sénateurs américains de la Conférence sénatoriale républicaine. Comme l’a rapporté Fox News (2 mai 2024) :
Le sénateur Ron Johnson, républicain du Wisconsin, a dirigé l'ensemble de la conférence du Sénat républicain pour appeler le président Biden à rejeter les accords qui élargiraient l'autorité de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) en cas de pandémie mondiale.
« Nous vous exhortons vivement à ne pas adhérer à un traité, une convention ou un accord lié à la pandémie qui est envisagé » à la 77e Assemblée mondiale de la santé, peut-on lire dans une lettre envoyée à Biden par Johnson et les 48 autres sénateurs républicains.
Les sénateurs républicains ont souligné que tout accord de ce type serait considéré comme un traité, ce qui, ont-ils souligné, nécessite « l’approbation des deux tiers du Sénat en vertu de l’article I, section 2 de la Constitution ».
Le sénateur Ron Johnson a pris la tête de tous les sénateurs républicains dans une lettre adressée à Biden, l'appelant à ne pas soutenir les accords visant à étendre l'autorité de l'OMS.
L'Assemblée mondiale de la santé (AMS) se tiendra du 27 mai au 1er juin et des accords internationaux devraient y être examinés.
L'AMS est l'organe décisionnel de l'OMS, qui se réunit chaque année pour définir ses objectifs et élaborer des politiques entre les 194 États membres.
Mais face à la vague de protestations, la Grande-Bretagne, l'un des premiers pays à avoir voté contre le traité, envisage désormais de voter contre. Selon Reuters (9 mai 2024), « nous ne soutiendrons l'adoption de l'accord et ne l'accepterons au nom du Royaume-Uni que s'il est dans l'intérêt national du Royaume-Uni et qu'il respecte la souveraineté nationale », a confirmé un porte-parole du ministère britannique de la Santé et des Affaires sociales. Le gouvernement des Pays-Bas serait également opposé au traité.
Opposition populaire
Parmi les personnes qui mènent l'opposition aux États-Unis et dans le monde, on trouve le Dr Meryl Nass, une médecin du Maine dont le permis d'exercice de la médecine a été suspendu lorsqu'elle a prescrit des médicaments pour le traitement du COVID qui, bien que légaux, étaient mal vus par les autorités médicales car non conformes aux protocoles de traitement souvent mortels privilégiés par le gouvernement. Les médicaments en question étaient, bien sûr, l'ivermectine et l'hydroxychloroquine. Le Substack du Dr Nass est disponible ici .
Le Dr Nass a recommandé une série de mesures que les gouvernements souverains devraient prendre pour lutter contre le Traité de l’OMS sur la pandémie. Voir son article intitulé « Que peuvent faire les législateurs pour empêcher l’adoption de l’Accord sur la pandémie (Traité) et des amendements au Règlement sanitaire international (2005) (RSI) lors de la 77e réunion de l’Assemblée mondiale de la santé (AMS), qui se tiendra du 27 mai au 1er juin 2024 ? »
Pour beaucoup, l’attitude mondialiste est pleinement visible dans le célèbre commentaire attribué au prince Philip d’Angleterre par The Guardian en 2009, où il est cité comme ayant déclaré : « Si je me réincarne, j’aimerais revenir sous la forme d’un virus mortel, pour contribuer à résoudre le problème de la surpopulation. »
Nous n’avons aucune idée de l’impact net de la pandémie de COVID-19, ni de ce qu’il en sera, une fois que les effets secondaires néfastes du vaccin se feront sentir en termes de décès, de maladies et d’infertilité à long terme. Il ne fait aucun doute que la mortalité et la morbidité, y compris les effets sur la santé liés à la dépression, à la perte des moyens de subsistance, etc., se chiffrent déjà en centaines de millions .
Par exemple, comme le rapporte le Substack de Jeff Childers, le 8 mai 2024 : « Dans un récent clip du Forum économique mondial qui a fait le tour du monde cette semaine, le vétérinaire et PDG de Moderna, Stéphan Bancel, a librement admis que seize millions d'Américains souffrent désormais d'un Covid long invalidant , que la plupart d'entre nous interprètent en anglais correct par "Long Vaxx" : »
Je crois qu’il est juste de dire que les dommages causés à l’humanité par la tragédie du COVID dépassent déjà ceux de n’importe quelle guerre depuis la Seconde Guerre mondiale et peut-être de toutes les guerres sur la planète depuis le 11 septembre. Et ce n’est peut-être que le début.
Pour revenir aux considérations qui ont marqué le début de cet article, je crois personnellement que les mondialistes ont fait un grand pas en avant dans leur projet de réduction massive de la population planétaire. Mais il se pourrait aussi que les effets à venir du Traité de l’OMS sur la pandémie soient bien plus importants que tout ce qui a été observé jusqu’à présent.
Le traité de l’OMS sur la pandémie pourrait donc être la plus grande atteinte aux droits de l’homme, au gouvernement constitutionnel et au caractère sacré de la vie humaine de toute l’histoire. Et oui, j’inclus dans ce traité l’Holocauste.
Et dans notre inquiétude face aux actions de l’OMS, nous ne devons pas oublier le rôle majeur joué par l’armée américaine dans le financement et la promotion du développement d’armes biologiques. Après tout, c’est l’armée américaine qui a financé le vaccin contre la COVID.
De plus, Karen Kingston a écrit dans son Substack du 7 mai 2024 :
Le crime paie : le budget de 4,1 milliards de dollars de la DARPA pour la biologie synthétique pour 2024. Ces fonds sont utilisés pour investir dans des technologies de biologie synthétique qu'aucune société de capital-risque privée réputée ne financera parce que les applications humaines de ces biotechnologies sont criminelles.
La DARPA est l’agence de recherche avancée pour la défense (Defense Advanced Research Projects Agency), un important bailleur de fonds pour le développement de vaccins. Consultez son site Web pour lire son article intitulé « Éliminer les incertitudes dans le développement de vaccins : le programme AIM vise à exploiter les mécanismes immunitaires de l’hôte pour déterminer si les candidats vaccins offriront une protection immunitaire durable ».
Et l’armée américaine à laquelle appartient la DARPA est à 100 % sous contrôle mondialiste. Cela a été confirmé il y a longtemps par Henry Kissinger, qui a déclaré : « Les militaires sont des animaux stupides et débiles qui peuvent être utilisés comme des pions pour la politique étrangère. »
Mais il ne s'agit pas seulement des militaires. Les mondialistes nous voient tous de la même manière : comme un simple troupeau de bétail.
Comme je l'ai indiqué au début de cet article, la précipitation des événements dans l'actualité actuelle en raison des innombrables conflits et crises, y compris les troubles associés à l'élection présidentielle américaine de 2024, a empêché la gravité des actions de l'OMS d'être pleinement exposée et appréciée, non seulement parmi les classes politiques des nations du monde, mais aussi par le public en général.
Parallèlement, la prise de conscience croissante du public et des responsables politiques fait que de plus en plus de rapports indiquent que la version actuelle du Traité de l’OMS sur la pandémie n’a aucune chance d’être approuvée lors de la prochaine réunion du 27 mai au 1er juin 2024. Cela ne signifie pas, bien sûr, qu’ils ne réessayeront pas, encore et encore… ou qu’une nouvelle maladie X, Y ou Z utilisant l’amélioration par gain de fonction ne sera pas diffusée pour provoquer l’urgence tant attendue. Le clou final dans le cercueil de l’humanité serait le prochain.
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Richard C. Cook est cofondateur et enquêteur principal de l’American Geopolitical Institute. M. Cook est un analyste fédéral américain à la retraite qui possède une vaste expérience au sein de diverses agences gouvernementales, notamment la Commission de la fonction publique américaine, la FDA, la Maison Blanche de Carter, la NASA et le Trésor américain. En tant que lanceur d’alerte au moment de la catastrophe de Challenger, il a révélé les joints toriques défectueux qui ont détruit la navette, documentant son histoire dans son livre « Challenger Revealed ». Après avoir travaillé au Trésor, il est devenu un critique virulent du système monétaire contrôlé par la finance privée, détaillant ses préoccupations dans « We Hold These Truths: The Hope of Monetary Reform ». Il a été conseiller auprès de l’American Monetary Institute et a travaillé avec le membre du Congrès Dennis Kucinich pour plaider en faveur du remplacement de la Réserve fédérale par une véritable monnaie nationale. Voir son nouveau livre, Our Country, Then and Now , Clarity Press, 2023.
« Toute entreprise humaine doit servir la vie, doit chercher à enrichir l’existence sur terre, de peur que l’homme ne devienne esclave là où il cherche à établir sa domination ! » Bô Yin Râ (Joseph Anton Schneiderfranken, 1876-1943), traduction de Posthumus Projects Amsterdam, 2014. Voir également l’édition Kober Press du Livre sur le Dieu vivant ici .
Un nouveau syndrome cardiaque mystérieux toucherait 90 % de la population américaine Tour d’horizon de la propagande COVID : les dernières mises à jour sur la « nouvelle normalité » – relatant les mensonges, les distorsions et les abus de la classe dirigeante.
Par Ben Bartee Recherche mondiale, 29 octobre 2024
Un nouveau syndrome cardiaque toucherait 90 % de la population américaine, affirme l'American Medical Association, sans explication
Via American Heart Association , octobre 2023 (soulignement ajouté) :
« Les experts de la santé redéfinissent le risque , la prévention et la gestion des maladies cardiovasculaires (MCV), selon un nouvel avis présidentiel de l'American Heart Association publié aujourd'hui dans la revue phare de l'association, Circulation.
Plusieurs aspects des maladies cardiovasculaires qui se chevauchent avec les maladies rénales, le diabète de type 2 et l’obésité soutiennent la nouvelle approche. Pour la première fois, l’American Heart Association définit le chevauchement de ces maladies comme le syndrome cardiovasculaire-rénal-métabolique (CKM) . Les personnes atteintes ou à risque de maladie cardiovasculaire peuvent être atteintes du syndrome CKM…
Selon la mise à jour statistique 2023 de l'American Heart Association, 1 adulte américain sur 3 présente au moins trois facteurs de risque contribuant aux maladies cardiovasculaires, aux troubles métaboliques et/ou aux maladies rénales. La CKM affecte presque tous les principaux organes du corps, notamment le cœur, le cerveau, les reins et le foie . Cependant, l'impact le plus important se situe sur le système cardiovasculaire, affectant les vaisseaux sanguins et la fonction du muscle cardiaque, le taux d'accumulation de graisse dans les artères, les impulsions électriques dans le cœur et plus encore.
Bien que la désignation diagnostique CKM n'ait été concrétisée que l'automne dernier, selon des données récemment publiées par le Journal of the American Medical Association, 90 % des Américains pourraient en être atteints.
Via Healthline :
« Une nouvelle étude a révélé qu’environ 90 % des Américains pourraient souffrir du syndrome cardiovasculaire-rénal-métabolique (CKM) .
Les risques sont plus élevés chez les personnes âgées, les hommes et les personnes noires, selon le rapport, publié mercredi dans le JAMA.
L'American Heart Association (AHA) a introduit un nouveau système de stadification en 2023, appelé syndrome CKM , pour mieux traiter et gérer les maladies cardiovasculaires, rénales et métaboliques, car elles sont profondément liées et nécessitent souvent une approche multidisciplinaire.
Le syndrome CKM est un trouble systémique qui présente des liens entre les maladies cardiaques, les maladies rénales, le diabète et l’obésité.
D'après le Journal of the American Medical Association :
« Près de 90 % des adultes américains répondaient aux critères du syndrome CKM (stade 1 ou supérieur) et 15 % répondaient aux critères des stades avancés, aucun des deux ne s'étant amélioré entre 2011 et 2020. L'absence de progrès peut en partie refléter une amélioration et une aggravation concomitantes de différents facteurs de risque au fil du temps. Des différences substantielles entre les sous-groupes en ce qui concerne les stades avancés ont été observées, les personnes âgées, les hommes et les adultes noirs présentant un risque accru. »
Un taux de diagnostic de 90 % pour une maladie néonatale affectant plusieurs organes simultanément semble nécessiter une réflexion profonde , délibérée et complète au sein de la communauté médicale — le type de mobilisation massive de ressources observée lors de l'opération Warp Speed — pour découvrir les causes profondes, qui, dans d'autres contextes, comme la migration de masse, suscitent une curiosité exceptionnelle de la part d'entités comme Karamel-uh.
… À moins, bien sûr, que les véritables soins de santé ne soient pas l’objectif primordial du type de « soins de santé » institutionnalisés et corporatisés défendus par les autorités dirigeantes et l’industrie.
Il n’est pas nécessaire d’avoir un diplôme d’épidémiologie pour comprendre que ce qui déclenche des défaillances fonctionnelles dans plusieurs organes à la fois chez 90 % d’une population provient probablement d’une source omniprésente dans l’environnement, comme l’approvisionnement alimentaire, l’eau ou la pointe d’une seringue remplie d’une certaine thérapie génique expérimentale – ou les trois à la fois.
Pourtant, et vous serez choqué d’apprendre cela, en parcourant toute la littérature sur la CMK diffusée par les médias grand public et les organisations médicales comme l’AMA, il y a un manque palpable d’intérêt à poser des questions fondamentales.
Ce qui les intéresse , et ce à quoi nous pouvons nous attendre, ce sont de nouveaux médicaments brevetés pour CMK, pour le plus grand plaisir des actionnaires de Pfizer et de Merck.
« Mieux vaut prévenir que guérir » est un anathème pour le modèle économique de l’industrie, et nous obtenons donc le paradigme inverse.
Bombe : « Vous aviez raison, les vaccins tuent des millions de nos proches ». L'ancien ministre japonais de l'Intérieur s'excuse auprès des non-vaccinés
Par Sean Adl-Tabatabai et le professeur Michel Chossudovsky Recherche mondiale, 29 octobre 2024
Au Japon, le vaccin à ARNm a été lancé en février 2021, prétendument comme un moyen de protéger la population japonaise contre un « virus tueur » inexistant.
Plus de 206 millions de doses ont déjà été administrées. La population japonaise n’a pas été informée des dangers du vaccin à ARNm.
En décembre 2021, le ministère japonais de la Santé a autorisé les rappels des vaccins Moderna et Pfizer, soulignant le « faible taux d'effets secondaires tels que la myocardite ».
Selon les premiers avis du ministère japonais de la Santé (qui étaient similaires à ceux appliqués dans de nombreux pays) :
« Le gouvernement recommande aux gens de se faire vacciner car les avantages de la vaccination sont supérieurs au risque de réactions secondaires. » (soulignement ajouté)
Ce qui précède est trompeur, comme le souligne la déclaration courageuse de l’ancien ministre de l’Intérieur Kazuhiro Haraguchi :
« Vous aviez raison, les vaccins tuent des millions de nos proches » 」 « Ils essaient de bloquer notre liberté, notre résistance, notre pouvoir. Mais nous ne perdrons jamais. » Haraguchi a lancé un appel à l’action.
Il a exhorté le peuple à rester uni pour défier le gouvernement et ses décisions douteuses.
«Renversons ce gouvernement» a-t-il proclamé, soulignant la nécessité du changement et de la responsabilité.
Il a appelé les législateurs à continuer de lutter pour la vie et les libertés des citoyens : « Faisons en sorte que cela arrive », a-t-il conclu.
Surmortalité (Japon) (2020-2022) Au Japon, le vaccin a été lancé début 2021.
- voir graph sur site -
Suicides au Japon suite au confinement (2020)
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Notez la hausse des taux de suicide immédiatement après le confinement de mars 2020 (Source : Ministère de la Santé, de la Protection sociale et du Travail/Graphique : Jason Kwok et Natalie Croker, CNN) . « Le nombre de suicides au Japon est bien plus élevé, sans doute exacerbé par les répercussions économiques et sociales de la pandémie, que par la maladie COVID-19 elle-même. [ …] Les statistiques provisoires de l’Agence nationale de police montrent que les suicides ont bondi à 2 153 rien qu’en octobre [2020], marquant le quatrième mois consécutif d’augmentation. » Rapport CBS de novembre 2020 (soulignement ajouté)
Suicides parmi les écoliers japonais
Un rapport de 2021 du ministère japonais de l'Éducation confirme que le suicide parmi les écoliers japonais a atteint un niveau record au cours de l'année scolaire 2020. Le rapport du ministère de l'Éducation suggère que
« La pandémie a provoqué des changements dans l'environnement scolaire et familial et a eu un impact sur le comportement des enfants » . (Pour plus de détails, voir le chapitre 6 du livre de Michel Chossudovsky)
En anglais, il est disponible sous forme de livre électronique. (Voir ci-dessous).
Je reste redevable à l'éditeur japonais qui a publié et promu mon livre malgré les pressions politiques et un climat de censure. Mes remerciements vont aussi bien à l'éditeur qu'au traducteur.
Le récit frauduleux concernant le « vaccin » Covid s’effondre dans différentes parties du monde.
En Californie, la Cour du 9e circuit a statué que les injections d’ARNm contre la COVID-19 ne sont pas des « vaccins ».
En Allemagne, les autorités sanitaires ont reconnu le caractère dévastateur et les impacts des confinements liés au Covid, du port obligatoire du masque facial et des « vaccins » expérimentaux à ARNm.
Depuis le début, Global Research a couvert quotidiennement les effets dévastateurs du « vaccin ». Notre objectif est de SAUVER DES VIES.
En solidarité avec le peuple japonais.
En solidarité avec les peuples du monde entier.
Michel Chossudovsky , Global Research, 11 juin, 24 juin 2024
Blessure liée au vaccin contre la COVID-19 : des pilotes décèdent en vol
Par John O'Looney Recherche mondiale, 28 octobre 2024
Les pilotes tombent comme des mouches. On ne peut pas voler sans un vaccin. Je ne peux plus voler du tout maintenant.
Ils ont même déplacé les objectifs pour qu'ils puissent passer l'examen médical concernant la fonction cardiaque parce que beaucoup d'entre eux sont maintenant foutus mais veulent travailler.
Et quand on nous fait voler, toi et moi, peu leur importe qu'on arrive à destination sain et sauf ou non.
tweet sur site :
" Les pilotes tombent comme des mouches On ne peut pas voler sans un vaccin On ne peut plus voler du tout maintenant Ils ont même déplacé les poteaux de but pour qu'ils puissent passer l'examen médical concernant la fonction cardiaque parce que beaucoup d'entre eux sont maintenant foutus mais veulent travailler Et nous faire voler, toi et moi, ça ne leur importe pas si on y arrive sain et sauf ou non"
Plus de 30 écoliers américains sont morts subitement cette semaine alors que les décès augmentent parmi les personnes vaccinées contre le COVID
Par Baxter Dmitry Recherche mondiale, 28 octobre 2024
Au moins trente écoliers américains dont les parents avaient été informés que les vaccins à ARNm contre la COVID étaient « sûrs et efficaces » sont décédés soudainement et de manière inattendue aux États-Unis cette semaine, alors que le nombre de décès continue d'augmenter parmi les personnes vaccinées.
De nombreux enfants sont morts à la suite d’urgences médicales, notamment d’arrêts cardiaques et d’accidents vasculaires cérébraux, alors que les médecins préviennent qu’ils sont désormais régulièrement témoins de troubles « uniques dans la vie » chez les enfants.
« C’est la nouvelle norme… les cancers turbo, morts subitement. Mon ami a perdu trois amis en une semaine ! Les cancers turbo comme celui-ci étaient pratiquement inexistants avant les vaccins contre la COVID », explique Steve Kirsch, scientifique et chercheur en vaccins au MIT.
Combien de temps faudra-t-il avant que notre société puisse avoir une discussion ouverte et honnête sur ce qui arrive aux personnes vaccinées contre le Covid sous nos yeux ?
Lillian Costello, 13 ans, de Norton, est décédée subitement et de manière inattendue mardi à l'hôpital Sturdy Memorial d'Attleboro.
Selon une collecte de fonds GoFundMe , Lilly était une élève de septième année à la Norton Middle School et une fière membre du conseil étudiant. Elle aimait également être membre du club de photographie et participait aux pom-pom girls.
Finley Kruchten a souffert d'une « embolie pulmonaire massive » alors qu'il était en cours au lycée de Denmark début octobre, selon la page GoFundMe de sa famille .
Finley a été transporté à l'hôpital Northside Forsyth, puis à l'hôpital Northside Gwinnett, où il a été déclaré mort.
Lucy Nash, élève de quatrième année du Kentucky, est décédée subitement et de manière inattendue après avoir subi un arrêt cardiaque.
« Le premier jour d’école, Lucy s’est effondrée et a eu un problème cardiaque », peut-on lire sur une page GoFundMe de la famille. « Son petit cerveau est resté plusieurs minutes sans oxygène pendant qu’ils essayaient de lui sauver la vie. »
Ovet Gomez-Regalado, un lycéen de 15 ans du Kansas, est décédé deux jours après avoir subi une urgence médicale . Le joueur de football s'est effondré soudainement sur le terrain lors d'un entraînement.
L'adolescent de 15 ans s'est effondré et est décédé après avoir effectué 40 minutes d'exercices légers, selon le district scolaire de Hopewell, en Virginie.
Pendant ce temps, le personnel du lycée Franklin de Baltimore pleure la perte soudaine de Leslie Noble, 16 ans, membre de l'équipe de football de l'école.
L'adolescent est décédé alors qu'il participait à des exercices légers lors du premier entraînement de la saison mercredi à Reisterstown et qu'il était victime d'une urgence médicale.
« J'ai vu un groupe de camions de pompiers, d'ambulances, et tout ce que je savais, c'est qu'ils disaient qu'un enfant s'était effondré sur le terrain », a déclaré Sharon Johnson, membre du personnel du lycée Franklin.
Malheureusement, la longue liste des décès continue, y compris des victimes anonymes dont les familles ont demandé que leur identité reste anonyme en raison de leur âge.
Par exemple, une jeune fille de 14 ans, dont la famille a requis l'anonymat, a été victime d'une urgence médicale pendant un cours d'éducation physique à Houston. Selon la Marshall Middle School :
« Aujourd'hui a été une journée très difficile pour la communauté de Marshall MS. Un élève de la Marshall Middle School a subi une urgence médicale sur le campus aujourd'hui. Les services médicaux d'urgence sont intervenus rapidement à l'école et l'élève a été transporté à l'hôpital. Les parents de l'élève ont été rapidement prévenus et se sont rendus à l'école. »
Cependant, dans un courriel adressé aux parents, qui nous a été fourni par un parent de l'école secondaire Marshall, le directeur a déclaré :
« L’un de nos élèves de huitième année est décédé. Cette perte va certainement susciter de nombreuses émotions, inquiétudes et questions dans toute notre école, en particulier chez nos élèves. »
5 endroits les plus sûrs pendant la loi martiale (Pendant la loi martiale, la constitution, vos droits civils et toute autre loi existante peuvent être suspendus, alors faites ce que vous pensez être nécessaire pour conserver une sorte de justice et de contrôle sur votre propre vie et votre sécurité.)
By Madge Waggy MadgeWaggy.blogspot.com October 28, 2024
Le terme de loi martiale est effrayant pour la plupart des gens. Il évoque des images de blocages militaires, de points de contrôle armés et surveillés, d'inspections régulières et de perte de droits. La plupart des personnes éprises de liberté ont probablement raison d'être inquiètes à l'idée même que la loi martiale puisse être mise en œuvre.
Avec l'état du monde actuel, en raison de l'ingérence croissante des gouvernements à tous les niveaux de la société et des fossés culturels et idéologiques toujours plus grands, certains sont convaincus que ce n'est qu'une question de temps avant que l'impensable ne se produise ici chez nous.
Cela changera certainement la donne. Le leadership civil au niveau local disparaîtra. La police ne sera plus véritablement responsable de l'application de la loi. Au lieu de cela, l’armée prendra le contrôle des deux, avec tout ce que cela implique.
Je pense que même le plus fervent partisan de l’armée ne veut pas que cela se produise, et il a raison à cet égard. Beaucoup de choses peuvent mal tourner avec la loi martiale, et chaque fois que l’armée est responsable de l’application de la loi, le décor est planté pour un désastre.
Il est temps maintenant de commencer à réfléchir à ce que vous ferez et où vous irez si la loi martiale est instaurée au niveau local, régional ou national.
Essayer de suivre le mouvement et de s’entendre peut aboutir à un mauvais résultat en fonction de la tension de la situation. Espérer le meilleur ne garantit pas un bon résultat, et par conséquent, vous feriez bien de rester à l’écart des ennuis si la loi martiale est déclarée.
Pour vous aider dans cette démarche, nous vous proposons une liste de cinq endroits où vous pourriez réussir à vous cacher des pires effets de la loi martiale.
La loi martiale pourrait-elle réellement être instaurée ?
La loi martiale est déclarée plus souvent dans le monde que la plupart des gens ne le pensent, et bien qu’elle soit rare et historiquement peu utilisée aux États-Unis, il existe toujours un précédent pour cela, et elle s’est déjà produite et il n’y a pas aussi longtemps que la plupart des gens le pensent.
Bien que la déclaration de la loi martiale soit considérée comme légale sur la base de nos lois fédérales et étatiques, cela ne signifie pas qu’elle est bonne pour vous ou pour le pays.
Une chose à garder à l’esprit est que la loi martiale ne signifie pas nécessairement un remplacement d’un océan à l’autre des dirigeants civils et des forces de l’ordre par un équivalent militaire.
La loi martiale peut être déclarée à un niveau local limité, dans une ville ou une municipalité donnée, au niveau d’un État, au niveau régional national ou même au niveau fédéral complet d’un océan à l’autre.
Pour tout ce qui n’est pas les événements à petite échelle les plus intenses et les plus turbulents, une déclaration régionale ou nationale de la loi martiale signifie généralement que quelque chose de vraiment terrible s’est produit, ou que le gouvernement a raison de craindre que les citoyens soient sur le point de les supprimer sans aucun doute.
Ce que vous devez retenir de tout cela, c'est que même si la loi martiale pourrait certainement être mise en œuvre aux États-Unis et qu'elle le sera probablement dans un avenir proche, cela signifie également que dans la plupart des situations, il y aura des endroits qui ne seront pas soumis à une déclaration de loi martiale.
Gardez cela à l'esprit, gardez la tête froide et laissez-nous prendre le temps de nous préparer en conséquence.
Comment la vie changera-t-elle sous la loi martiale ?
À l'heure actuelle, vous faites peut-être partie de ces bons citoyens honnêtes qui croient que parce que vous êtes un citoyen respectueux des lois, qui paye des impôts et qui croit toujours en votre pays, à tort ou à raison, et à la primauté du droit, vous n'avez rien à craindre d'une déclaration de loi martiale.
Après tout, nos soldats, nos marins et nos aviateurs sont tous des gentils, n'est-ce pas ? C'est un sentiment courant, mais qui disparaît presque toujours dans une bouffée de vapeur immédiatement après avoir appris ce que la loi martiale signifie réellement pour le citoyen ordinaire.
D'abord et avant tout, la loi martiale signifie un changement majeur dans la gestion quotidienne d'un lieu, un changement dans la façon dont les affaires sont menées.
Vous devez absolument vous attendre à des fouilles régulières, des contrôles et même des confiscations de produits de contrebande. Comme toujours, c'est pour des raisons de sécurité, mais la vraie question est de savoir pour la sécurité de qui ?
Naturellement, un couvre-feu sera mis en place et appliqué avec plus ou moins de force, mais vous pouvez vous attendre à ce que toute violation du couvre-feu soit sanctionnée par des représailles importantes, y compris la détention.
Lorsque vous vous déplacez d'un endroit à un autre, vous pouvez vous attendre à ce qu'on vous demande de présenter des papiers, que votre personne et votre véhicule soient fouillés et que tout bien que vous possédez soit saisi.
Mais le plus flagrant, c'est que vos droits civils, presque tous, seront annulés et suspendus pendant la durée de la déclaration de la loi martiale dans la zone concernée.
Cela signifie que vous n’avez pas le droit d’aller où que ce soit, vous n’avez pas le droit de vous réunir, le droit de porter des armes, le droit à la vie privée contre la confiscation ou la fouille et aucun droit à ne pas être détenu sans inculpation formelle.
C’est ainsi que les gens se retrouvent « remis » ou détenus indéfiniment sans inculpation.
J’espère avoir toute votre attention maintenant. J’espère que je vous ai fait comprendre à quel point il est important de choisir quand et où se cacher ou rester pendant une déclaration de loi martiale.
La sécurité est votre priorité numéro un sous la loi martiale
Il est essentiel de comprendre que la loi martiale affectera votre vie de toutes sortes de façons. Socialement, économiquement et potentiellement physiquement.
Les enjeux pour vous, personnellement, sont très élevés si vous vivez dans une zone sous la loi martiale. Vous devez comprendre que tout endroit où vous pourriez aller, s’il s’agit d’un endroit sous la déclaration, ne sera pas vraiment sûr, seulement plus sûr.
Chaque poste sur la liste ci-dessous implique des compromis, et vous devrez évaluer ces compromis et ensuite décider en fonction des circonstances de votre vie, de votre famille et d’autres considérations.
Il ne faut pas non plus oublier que pour éviter les ennuis et éviter l’attention de l’armée et des autres autorités dans une zone touchée par la loi martiale, il ne s’agit pas simplement de se fondre dans la foule et de s’occuper de ses propres affaires.
Toutes vos informations personnelles, y compris vos statistiques vitales, vos contacts personnels, les membres de votre famille, vos informations financières et bien plus encore sont toutes collectées, facilement disponibles et très sensibles, ce qui signifie qu’un accès régulier aux systèmes électroniques et le transport d’un smartphone ou d’un appareil similaire signifient que chaque partie de vous, presque jusqu’à votre ADN, est suivie presque en temps réel.
Vous ne devez pas penser qu’il est possible à notre époque de simplement quitter la ville, de vivre et de travailler sous un faux nom et d’être payé en espèces sans que personne ne s’en aperçoive.
Bien sûr, cela aurait pu fonctionner à l’époque, mais cela ne suffira pas cette année.
Pour dissiper une telle idée, il suffit d'un seul contact solitaire et potentiellement involontaire sur un certain nombre de systèmes électroniques utilisant des informations liées et associées à votre véritable identité.
Il s'agit d'un piège difficile à éviter et qui devient de plus en plus difficile à éviter chaque jour.
Gardez cela à l'esprit lorsque vous lisez la liste ci-dessous et sachez que les défis associés à l'ère de l'information ont été pris en compte lors de l'élaboration de notre liste.
5 endroits sûrs où se cacher pendant la loi martiale
En dehors des limites de la zone touchée La solution la plus efficace et la plus élégante pour éviter les problèmes et les tribulations associés à la vie dans une zone sous loi martiale est probablement de simplement sortir de cette zone touchée.
Quoi qu'il arrive, il est peu probable qu'une mise en œuvre massive de la loi martiale à l'échelle régionale ou nationale se produise.
En fonction d’une projection de réponse établie pour contrer des incidents localisés ou régionaux de moindre ampleur, vous pouvez vous attendre à ce que la loi martiale soit en vigueur dans une infime fraction du pays lorsqu’elle sera en vigueur.
La solution est donc simple. Si possible, faites vos valises et partez ailleurs avec votre famille.
En fonction des spécificités de la déclaration, cela peut se faire à travers l’État, au-delà des frontières de l’État ou même à travers le pays. N’excluez rien et préparez-vous à devoir déménager un peu plus loin que vous ne le souhaiteriez.
Bien que cela puisse être un défi terrible, la bonne nouvelle est que la vie continuera plus ou moins comme d’habitude dans les zones qui ne sont pas sous la loi martiale.
En fonction de votre famille et de votre situation financière, vous pourriez même envisager de tout laisser tomber en vacances avec une location prolongée, que ce soit un condo ou une maison, voire un hôtel de séjour prolongé.
Si votre profession se prête au travail à domicile et surtout au travail à distance via Internet, tant mieux, car cela ne fera qu’augmenter l’attrait de cette réponse.
Aussi bonne que soit cette option, vous devez prévoir le pire scénario possible, celui d’une extension ou d’une mise en œuvre de la loi martiale ailleurs.
Si vous vous rendez dans une zone susceptible de voir la loi martiale déclarée, vous pourriez être confronté à l’erreur classique de sauter de la poêle à frire dans le feu.
Évaluez soigneusement si le refuge potentiel est connu pour son importance commerciale, industrielle ou politique ou s’il connaît actuellement des niveaux accrus de troubles susceptibles de provoquer une réponse sérieuse du gouvernement.
La nature sauvage
Si vous avez une mentalité de prepper conventionnelle, votre plan par défaut pour toutes sortes de problèmes sociaux pourrait simplement être de vous diriger vers la campagne profonde.
Je ne pense pas qu’il soit exagéré d’affirmer qu’une déclaration de loi martiale, en particulier en réponse à des troubles civils, serait définitivement qualifiée de trouble social !
S’aventurer dans la nature sauvage peut certainement vous échapper de la loi martiale et des soldats qui l’appliquent, c’est donc une réponse significative, mais plus que la plupart, ce plan présente des inconvénients importants qui vont de pair avec les avantages. Commençons par le bon côté des choses, puis nous passerons au mauvais.
Dans la colonne du parc, tant que vous n’êtes pas à proximité d’une zone d’intérêt stratégique, vous n’aurez pas à vous soucier des relations quotidiennes avec les soldats ou d’autres fonctionnaires comme vous le feriez si vous étiez à proximité d’une civilisation actuellement sous l’effet de la loi martiale.
Cela vous permettra de vous détendre et de vivre généralement comme vous le feriez dans ces circonstances. De plus, le fait que vous soyez loin de la majeure partie de la population signifie que l’attention ne sera pas dirigée vers vous à moins que vous ne soyez déjà recherché.
Cependant, vous échangez un ensemble de problèmes, ceux représentés par la loi martiale, contre un autre ensemble de problèmes, représenté par les défis et les difficultés inhérents à la vie en dehors du réseau, dans la nature sauvage.
Tous vos besoins de survie, du logement à la nourriture et à l'eau en passant par les considérations de sécurité, doivent être pris en compte jour après jour, sinon vous commencerez à vous sentir sous pression.
Pour tout ce qui n'est pas le plus habile des preppers vivant dans les climats les plus abondants et les plus agréables, cela signifie une certaine dépendance aux fournitures et, par conséquent, au réapprovisionnement.
Cette option peut être hors de question pour certaines personnes, entièrement en fonction du climat et de la météo globale de l'endroit où elles vivent. Le type d'abri qui vous convient dépend entièrement de votre groupe ou de votre situation familiale ainsi que du climat.
Dans certaines régions, se retirer dans la nature est une condamnation à mort virtuelle, tandis que dans d'autres, le temps sera plus ou moins agréable si le temps le permet.
Néanmoins, c'est une option viable et vous devriez l'envisager si vos compétences en matière de survie et de subsistance en plein air sont à la hauteur du défi. Si ce n'est pas le cas, ou si vous vivez dans un environnement hostile, ne l'envisagez pas du tout, à moins que vous n'ayez pas d'autre choix.
Une petite ville
La vie dans une petite ville est attrayante pour beaucoup de gens, et elle présente également de nombreux avantages lorsque nous essayons de faire face au problème existentiel de la loi martiale.
Tout d'abord, en supposant que vous ayez affaire à une mise en œuvre régionale ou généralisée de la loi martiale, les petites villes sont moins susceptibles d'être stratégiquement ou tactiquement importantes et donc moins susceptibles d'être sérieusement surveillées par des soldats et d'autres fonctionnaires.
Il est même tout à fait possible qu'il n'y ait aucune présence militaire active dans la région.
Au-delà des avantages évidents d'être moins susceptibles de tomber sous l'œil vigilant des forces militaires, la culture des petites villes pourrait les rendre tout à fait plus adaptées pour supporter la loi martiale pendant que vous y êtes, que la ville soit ou non affectée correctement.
Les liens plus forts entre les gens et leurs liens avec la communauté signifient que les gens sont plus susceptibles de se serrer les coudes et de s'entraider en cas de problème.
Du moins, ils le sont si vous êtes connu d'eux et en règle avec la communauté. Les méchants et les étrangers sont moins susceptibles d'être traités avec hospitalité, c'est le moins qu'on puisse dire.
Il convient également de noter que les petites villes, en particulier les communautés agraires, sont beaucoup plus susceptibles de pouvoir subvenir à leurs besoins de manière significative pendant les retombées économiques et logistiques qui résulteront d’une mise en œuvre sérieuse de la loi martiale.
La nourriture, l’eau et d’autres produits de première nécessité seront probablement plus abondants, de même que les compétences nécessaires pour se les procurer davantage. Le mode de vie des ouvriers est vivant, en bonne santé et florissant dans les petites villes, ce qui engendre une culture de préparation et de courage personnels.
Il convient toutefois de considérer les effets de deuxième et de troisième ordre qui sont susceptibles d’affecter les petites villes si la loi martiale est déclarée pour des raisons de sécurité intérieure.
Nos militaires ont appris à maintes reprises que les petites villes et leur nature insulaire sont souvent propices à l’accueil ou à la révolte des insurgés, et les forces partisanes ou gorilles ont souvent, tout au long de l’histoire, compté sur des villages et des petites villes reculés dans le cadre de leur réseau clandestin.
Il va sans dire que l’armée dispose déjà de plans bien établis et efficaces pour faire face à une telle éventualité.
Dans une grande ville
Au premier abord, cela peut sembler contre-intuitif. Comment un grand centre de population est-il un bon endroit pour se cacher pendant la loi martiale, alors que les grands centres de population seront, invariablement, soumis de manière disproportionnée à la surveillance et au contrôle par rapport aux autres endroits ?
Comme le dit le vieil adage, le moyen le plus simple de cacher un zèbre est de se cacher dans un troupeau d’autres zèbres. Un nombre massif de citoyens entraîne des foules massives, et si vous pouvez devenir un simple visage dans cette foule de centaines de milliers, voire de millions, vous avez beaucoup moins de chances d’avoir des interactions négatives avec les forces militaires tant que vous jouez bien vos cartes et que vous êtes prudent.
Maintenant, vous devez comprendre que si vous continuez à participer à votre vie quotidienne, ou à ce qui se passe dans les circonstances, vous aurez très probablement des interactions avec des policiers ou d’autres fonctionnaires.
Cela ne signifie pas que vous passerez inaperçu ou indétectable, cela signifie simplement que vous ne serez qu’un autre visage dans une mer littéralement infinie d’autres visages pour les personnes chargées de contrôler la zone.
Depuis que le virus non spécifié d'origine inconnue a frappé le monde, les mandats concernant les vaccinations, les injections et les dérogations médicales sont omniprésents et risquent d'être un facteur pendant un certain temps.
Ce sont toutes des choses auxquelles vous devez réfléchir bien à l’avance, car vous ne voulez certainement pas avoir affaire à elles dès votre arrivée.
Conclusion
La perspective d’une mise en œuvre sérieuse de la loi martiale aux États-Unis est terrifiante pour beaucoup, et bien que cela soit encore statistiquement improbable, les chances que cela se produise sont plus élevées qu’elles ne l’ont été depuis six décennies et ne font qu’augmenter.
Il est temps maintenant de commencer à réfléchir à l’endroit où vous irez si votre maison est affectée par une déclaration de loi martiale.
La Commission européenne défend le steak Frankenstein et s’oppose à toute loi nationale qui l’interdirait
le 27 octobre 2024 par pgibertie
La Commission européenne défend le steak Frankenstein ! Budapest tente de protéger nos assiettes, Bruxelles préfère les éprouvettes. 5 pays s’y opposent. Budapest a 3 mois pour céder ou risquer des sanctions.
Selon les documents publiés dans la base de données TRIS de la Commission, la loi proposée par Budapest, notifiée à l’UE le 10 juillet, ne serait pas conforme au règlement européen relatif aux nouveaux aliments, et menacerait la libre circulation des marchandises sur le marché intérieur.
L’interdiction est injustifiée « car elle pourrait anticiper la procédure d’autorisation harmonisée pour les nouveaux aliments au niveau de l’UE, qui comprend une évaluation scientifique par l’EFSA [Autorité européenne de sécurité des aliments] », peut-on lire dans l’avis de l’exécutif européen.
Des organisations d’agriculteurs et des consortiums d’AOP de République tchèque, de France, d’Italie, de Pologne, du Portugal et d’Espagne veulent parallèlement se mobiliser contre l’Autorité européenne de sécurité des aliments, selon une lettre consultée par Euractiv et envoyée au directeur général de l’EFSA, Bernhard Url.
Ces organisations s’opposent à la mise à jour des lignes directrices sur les nouveaux aliments, publiée fin septembre, et plus particulièrement aux nouvelles exigences pour les demandes d’autorisation de produits dérivés de cultures cellulaires.
La lettre est également signée, entre autres, par le Consortium du Parmigiano Reggiano, installé dans la région où se situe l’EFSA, dont le siège est à Parme.
« Bien que les nouvelles procédures d’autorisation soient plus détaillées, il existe des lacunes substantielles sur plusieurs aspects », soulignent les organisations en rappelant la note approuvée par 17 ministres de l’Agriculture en janvier 2024. Cette dernière demandait que la viande cultivée en laboratoire soit soumise à certains des mêmes critères d’évaluation que les nouveaux médicaments et les produits pharmaceutiques.
Les organisations annoncent également « une mobilisation pour s’opposer à la position prise par l’Autorité et demander le blocage de toutes les procédures d’autorisation pour les produits cultivés en laboratoire ».
La Commission et les États de l’UE rejettent l’interdiction de la viande cultivée en laboratoire voulue par Budapest
American Pravda : Le sucre est-il la drogue la plus mortelle sous forme de poudre blanche ? • 44m ▶
RON UNZ 28 OCTOBRE 2024
Bien que je lise le New York Times tous les matins depuis près de 45 ans, je suis progressivement devenu de plus en plus dégoûté par ce journal, et je le dis parfois dans mes articles.
Par exemple, en 2016, j'écrivais :
Depuis des décennies, je lis attentivement plusieurs grands journaux tous les matins, et depuis quelques années, j'ai remarqué une baisse frappante de la qualité de leur couverture scientifique, comme en témoigne la section Science hebdomadaire du New York Times. Alors que par le passé, les découvertes spectaculaires en biologie évolutive ou en physique pouvaient être évoquées dans les pages de ce journal, de nos jours, la couverture semble de plus en plus orientée vers les applications pour téléphone et les régimes et les applications pour téléphone pour les régimes.
J’ai toujours considéré les livres sur les régimes comme l’exemple par excellence d’un contenu sans valeur, quel que soit le nombre de millions d’exemplaires qu’ils peuvent vendre, et au fil des ans, j’ai vu un nombre infini de régimes à la mode mentionnés dans mes journaux – le régime Atkins, le régime South Beach, le régime Beverly Hills, le régime Paleo, le régime Low-Carb – sans jamais avoir eu le moindre intérêt à les lire. Il m’a toujours semblé assez évident que si vous mangez trop, vous allez probablement grossir, et que la bonne solution est simplement de manger moins ou peut-être de faire plus d’exercice. En attendant, une meilleure santé nutritionnelle peut être maintenue en mangeant moins de beignets et en s’en tenant davantage aux recommandations nutritionnelles scientifiques émises par le gouvernement, y compris la fameuse pyramide alimentaire que je me souviens avoir apprise à l’école primaire, probablement à partir de la deuxième ou de la troisième année. Les batailles acharnées sur des objectifs politiques contradictoires sont une chose, mais de bonnes recommandations nutritionnelles sont une simple question de science objective, sur laquelle personne ne peut raisonnablement être en désaccord.
Mon point de vue sur toutes ces questions n’a commencé à changer qu’il y a quelques mois, lorsque j’ai eu l’occasion de déjeuner avec un éminent professeur de médecine. La plupart de nos discussions ont porté sur les questions de Covid et de vaccination, mais à un moment donné, le sujet des régimes alimentaires et de la nutrition a été abordé, et il a dit quelque chose sur les changements dans notre compréhension de ces questions qui se sont produits au cours des dix ou vingt dernières années, en grande partie provoqués par le travail d’un journaliste scientifique particulier et ses livres. Le nom qu’il a mentionné ne me disait rien, mais étant un peu curieux de savoir ce qu’il avait décrit, je l’ai noté. Je me souvenais aussi à moitié qu’il y a quelques années, j’avais lu quelque chose dans le Times sur cette controverse, mais je n’y avais pas prêté beaucoup d’attention. Un jour ou deux plus tard, j’ai parcouru Amazon et après avoir essayé quelques orthographes possibles du nom, j’ai trouvé l’auteur en question et ses livres, et j’en ai commandé quelques-uns. Lorsqu’ils sont arrivés, ils ont été mis dans une pile avec beaucoup d’autres, et j’ai finalement réussi à les lire quelques semaines plus tard.
Les révolutions idéologiques visant à renverser des générations d’orthodoxie établie sont souvent menées par des individus inconnus et sans accréditation et lancées depuis des lieux obscurs, ce qui nécessite de nombreuses années d’efforts déterminés avant de commencer à attirer l’attention du public. Mais parfois, les circonstances sont différentes, et c’était le cas dans ce cas.
Gary Taubes a obtenu un diplôme de physique appliquée à l’université de Harvard, puis un master l’année suivante à l’université de Stanford. Se tournant vers le journalisme, il a obtenu un deuxième master dans ce domaine à l’université de Columbia en 1981 et a rejoint l’équipe de Discover en 1982, entamant une carrière réussie dans le journalisme scientifique en écrivant pour cette publication, Science, et divers autres magazines au cours des années qui ont suivi. Compte tenu de son parcours, il s’est d’abord concentré sur la physique et au cours de ses douze premières années, il a publié quelques livres très appréciés sur ce sujet. En cours de route, il a remporté trois fois le prix Science in Society Journalism Award de la National Association of Science Writers, devenant ainsi le seul écrivain américain à avoir cette distinction.
Il s’agit évidemment d’une solide réputation dans le grand public, et lorsqu’il a finalement reporté son attention sur la nutrition et conclu que des décennies de notre sagesse conventionnelle dans ce domaine avaient été gravement erronées, les rédacteurs en chef l’ont pris très au sérieux. Au début des années 2000, le New York Times était probablement proche du sommet de son influence médiatique, et en 2002, le Times Sunday Magazine a publié « Et si tout cela n’était qu’un gros mensonge ? » comme article de couverture de 8 000 mots, commençant par le paragraphe suivant plutôt dramatique :
Si les membres de l’establishment médical américain devaient vivre un cauchemar collectif du type « se retrouver nu sur Times Square », ce pourrait être celui-là. Ils ont passé 30 ans à ridiculiser Robert Atkins, auteur du best-seller phénoménal « La révolution diététique du Dr Atkins » et de « Le Dr Atkins
Si les membres de l’establishment médical américain devaient vivre un cauchemar collectif du type « se retrouver nu sur Times Square », ce serait peut-être celui-là. Ils ont passé 30 ans à ridiculiser Robert Atkins, auteur des best-sellers phénoménaux « La révolution diététique du Dr Atkins » et « La nouvelle révolution diététique du Dr Atkins », accusant le médecin de Manhattan de charlatanisme et de fraude, pour finalement découvrir que l’impénitent Atkins avait raison depuis le début. Ou peut-être est-ce cela : ils découvrent que leurs propres recommandations diététiques – manger moins de graisses et plus de glucides – sont la cause de l’épidémie d’obésité qui fait rage en Amérique. Ou peut-être simplement cela : ils découvrent que les deux affirmations ci-dessus sont vraies.
Et si tout cela n’était qu’un gros mensonge ? Gary Taubes • The New York Times Sunday Magazine • 7 juillet 2002 • 7 800 mots
Aussi loin que je me souvienne, les experts gouvernementaux en santé et les médias nous ont informés que la consommation d’aliments gras était mauvaise pour la santé et entraînait des risques beaucoup plus élevés de crises cardiaques, d’accidents vasculaires cérébraux, d’obésité et de nombreuses autres maladies. Bien que je n’aie jamais prêté beaucoup d’attention à ces questions, j’ai toujours présumé que ces faits étaient vrais, comme la plupart des autres Américains.
Des décennies de tels messages médiatiques nous ont dit que les petits déjeuners américains traditionnels à base de bacon, de saucisses et d’œufs, souvent servis avec des morceaux de beurre – des aliments débordants de graisse et donc engraissants – devaient être remplacés par des aliments plus sains tels que le granola, les fruits et le yaourt. Une grande partie de notre population a fini par tenir compte de ces avertissements et a fait exactement cela.
La Suède, soucieuse de sa santé, avait initialement développé la pyramide alimentaire en 1972 et elle a rapidement été promue en Amérique, de sorte que je me souviens l’avoir vue de temps en temps dès mes années d’école primaire.
- voir schéma pyramide sur site -
Selon ce cadre nutritionnel, un régime alimentaire sain s’appuyait sur des aliments à base de céréales, comme le pain, le riz et les pâtes, complétés par des quantités substantielles de fruits et de légumes. Ensemble, ces glucides végétaux devaient fournir la majeure partie des calories quotidiennes. Les produits d’origine animale comme le lait, le fromage, la viande, le poisson et les œufs étaient riches en protéines et en graisses et devaient être consommés avec modération, tandis que les portions d’aliments gras et de sucreries devaient être réduites au minimum. Beaucoup d’entre nous n’ont naturellement pas respecté ces directives, mais elles représentaient l’étoile polaire du mode de vie sain que nous étions tous encouragés à adopter.
Mais selon l’article à succès de Taubes, tout cela n’était qu’un « gros mensonge gras ». Comme il le racontait, les aliments gras étaient des aliments sains et en manger était le meilleur moyen de rester mince, tandis que les fruits et les yaourts allégés étaient exactement le genre d’aliments dangereux qui favorisaient l’obésité. Je suis sûr que pour ceux qui suivaient de près ces questions, ces affirmations farfelues devaient ressembler à une déclaration selon laquelle les pierres tombent vers le haut.
Cependant, je n’avais jamais eu personnellement d’intérêt pour ces questions de nutrition, et lorsque l’article de Taubes est sorti à la mi-2002, j’étais principalement concentré sur la guerre en Afghanistan déclenchée par les attentats du 11 septembre et sur les efforts dangereux des néoconservateurs pour promouvoir une attaque contre l’Irak, tout en étant également très absorbé par mes campagnes d’initiatives « anglaises » dans le Massachusetts et le Colorado. Donc, même si je suis sûr d’avoir dû lire l’article de couverture de Taubes dans le Times Magazine et de m’être dit « Hmmm… c’est intéressant », il ne m’avait jamais fait une profonde impression et je l’avais vite oublié.
D’autres, cependant, ont réagi différemment. Les déclarations choquantes de Taubes lui ont valu beaucoup de temps d’antenne dans diverses émissions de télévision et d’autres reportages d’actualité, ainsi qu’un contrat d’édition avec une généreuse avance de 700 000 dollars de Knopf, l’un des éditeurs américains les plus prestigieux. Il y eut aussi des détracteurs, comme le Center for Science in the Public Interest, un mouvement de Nader, qui attaqua ses affirmations avec force. Quelques mois plus tard, un journaliste scientifique beaucoup plus conventionnel fit de même dans le magazine Reason. Cette dernière attaque déclencha une série d’échanges qui totalisèrent un nombre remarquable de 17 000 mots. En les lisant récemment pour la première fois, j’ai pensé que Taubes semblait avoir le dessus. Mais les échos de la controverse persistante s’atténuèrent peu à peu, tandis que Taubes se consacra à cinq années de recherche scientifique et historique pour étoffer l’argument surprenant qu’il avait présenté dans le Times.
Au cours de cette période, il semble avoir confirmé ses soupçons selon lesquels non seulement la science de la nutrition, mais aussi la science des questions de santé en général, étaient bien moins solides que la physique qu’il avait étudiée à l’université et étudiée au début de sa carrière de journaliste. Au moment même où son nouveau livre était enfin prêt à être publié, le Times Sunday Magazine a publié son article de 8 000 mots sur les arguments scientifiques très faibles et hésitants en faveur de l’utilisation généralisée de la thérapie de substitution hormonale et sur la nature extrêmement douteuse des études épidémiologiques qui avaient été utilisées pour la justifier.
Savons-nous vraiment ce qui nous rend en bonne santé ? Gary Taubes • The New York Times Sunday Magazine • 16 septembre 2007 • 8 000 mots
C’est exactement cette même histoire de conclusions scientifiques gravement erronées qui ont pu nuire à la vie et à la santé de dizaines de millions d’Américains qui était le thème central de Good Calories, Bad Calories, qui pesait 600 pages, dont une bibliographie contenant plus de 1 500 entrées sur 67 pages. Étant donné la visibilité médiatique de l’auteur et sa notoriété passée sur ces questions, son livre est rapidement devenu un best-seller, propulsé utilement par un extrait assez long dans le Wall Street Journal.
La dernière fois que j’ai eu une expérience substantielle de ce sujet, c’était pendant quelques semaines de mon cours de santé en 10e année. En tant que personne presque totalement ignorante, j’ai trouvé son analyse extrêmement intéressante. Taubes a soutenu que tout ce que j’avais toujours accepté à propos de la science supposément établie de la nutrition était en fait bien plus complexe et controversé que je ne l’aurais jamais imaginé.
Tout au long de ma vie, les médias grand public m’ont toujours dit que les aliments gras étaient riches en quelque chose appelé cholestérol qui augmentait considérablement le risque de crise cardiaque et d’accident vasculaire cérébral, et n’ayant aucun intérêt ni expertise dans ces domaines, j’avais naturellement supposé que c’était vrai. Mais Taubes a soutenu de manière assez convaincante que cette conclusion était basée sur des preuves scientifiques extrêmement fragiles et pourrait être totalement fausse, une montagne de cette couverture médiatique ayant été construite sur à peine un timbre-poste de preuves scientifiques plutôt douteuses. Le journaliste médical du Times qui a critiqué son livre a souligné favorablement l’une de ses déclarations percutantes :
Depuis le début de l’hypothèse régime-cœur au début des années 1950, ceux qui soutenaient que les graisses alimentaires causaient des maladies cardiaques ont accumulé l’équivalent probant d’une mythologie pour étayer leur croyance. Ces mythes sont encore fidèlement transmis jusqu’à nos jours.
Ce même décalage grave entre les preuves factuelles minimales et les croyances largement répandues était également vrai en ce qui concerne le lien supposé entre la consommation de sel et l’hypertension artérielle, les fibres alimentaires et le cancer du côlon, ainsi que divers autres problèmes de santé. Mais la mythologie concernant l’alimentation et l’obésité en était le pire exemple.
Comme l’a documenté Taubes, dès les premiers jours de la science nutritionnelle du XIXe siècle et pendant des générations après, il était très largement admis que les régimes riches en glucides tels que les pâtes, le pain, les pommes de terre et surtout le sucre faisaient généralement grossir et que la meilleure façon de perdre du poids était de renoncer à ces aliments. Pourtant, dans l’après-guerre, des preuves scientifiques plutôt rares ou mal interprétées ont convaincu certains nutritionnistes américains énergiques de développer une compréhension entièrement différente de l’obésité, basée sur l’hypothèse que toutes les calories étaient essentiellement interchangeables et que, comme les aliments gras étaient beaucoup plus denses en calories que les glucides ou les protéines, ils devaient être évités pour perdre du poids. Comme l’a dit Taubes de manière évocatrice, leur argument simple revenait au dogme selon lequel l’obésité était causée par les deux péchés traditionnels que sont la gloutonnerie (manger trop) et la paresse (faire trop peu d’exercice). Cela m’a toujours semblé intuitivement plausible et je l’ai accepté comme vrai toute ma vie.
Mais Taubes a fait valoir que cela ignorait complètement les faits endocrinologiques sous-jacents, qui étaient bien plus complexes. Comme il l’a expliqué, les gens grossissent parce que leurs cellules adipeuses grossissent, absorbant plus de molécules de graisse qu’elles n’en libèrent pour être utilisées dans le reste du corps, un processus régulé par diverses hormones, en particulier l’insuline. Lorsque des glucides tels que l’amidon et les sucres sont ingérés, l’insuline est libérée dans la circulation sanguine, ce qui conduit les cellules adipeuses à absorber les graisses plutôt qu’à les libérer, tandis que le foie convertit l’excès de sucre sanguin en molécules de graisse pour ce stockage. Mais manger des aliments gras ou des protéines n’a pas le même impact sur la libération d’insuline, ce qui contribue à expliquer la sagesse populaire traditionnelle selon laquelle les glucides sont des aliments qui font grossir.
L’idée simpliste selon laquelle toutes les calories sont les mêmes pour contrôler son poids ne tient pas compte de ces facteurs hormonaux cruciaux. Alors que la consommation de graisses ou de protéines apaise notre faim, la consommation de glucides et surtout de sucre stimule la libération d’insuline, qui peut en fait déclencher indirectement d’autres sensations de faim, conduisant ainsi à une suralimentation.
C’est sur cette base scientifique que reposait le régime éponyme promu par le Dr Robert Atkins, dont le livre à succès de 1972 l’a rendu très riche même s’il a suscité le mépris amer de la quasi-totalité de l’establishment médical américain. Le régime Atkins et ses nombreuses variantes à peu près similaires permettaient au praticien de manger des aliments riches en graisses ou en protéines en grande quantité, voire en quantités illimitées, tout en limitant strictement la consommation de glucides, en particulier de sucres. Pendant des générations, de telles notions ont été la sagesse conventionnelle des nutritionnistes traditionnels, mais cette idée scientifique avait été si complètement expurgée que lorsque Atkins l’a redécouverte empiriquement, ses vues ont été traitées comme une hérésie.
Certains des arguments avancés par Taubes m’ont semblé au départ totalement contre-intuitifs, mais ils sont devenus raisonnablement plausibles après mûre réflexion.
Par exemple, il semblait presque évident que les gens grossissent parce qu’ils mangent trop et font trop peu d’exercice, mais Taubes a soutenu que la flèche de la causalité pointait en fait dans la direction opposée, suggérant que devenir gros était en fait la cause plutôt que la conséquence de la suralimentation et du manque d’activité physique. Il a expliqué que les humains grossissent lorsque leurs contrôles hormonaux défaillants provoquent la conversion en graisse d’une trop grande quantité de sucre sanguin dissous et son absorption par les cellules adipeuses, qui ne parviennent alors pas à les libérer correctement. Le manque de carburant corporel circulant disponible pour le fonctionnement cellulaire déclenche alors le réflexe de faim tout en obligeant l’individu à conserver son énergie en minimisant l’activité physique.
Dans les exemples les plus extrêmes, l’auteur a cité des études de cas documentées de sujets qui étaient manifestement plutôt gros tout en présentant simultanément des symptômes évidents de famine, leurs tissus musculaires et autres organes étant désespérément cannibalisés pour le carburant que leur corps ne pouvait extraire du tissu adipeux normalement destiné à cet effet. Bien qu’il puisse sembler logiquement impossible qu’un individu soit à la fois gros et émacié, une telle condition existait en réalité, et des souches de rats de laboratoire pouvaient être spécialement élevées pour présenter ces caractéristiques lorsqu’elles étaient privées de nourriture suffisante.
Taubes avait manifestement investi beaucoup de temps dans l’étude de l’histoire scientifique et de la santé publique qui avait produit nos politiques actuelles, et un aspect surprenant de son récit était à quel point de nombreux tournants cruciaux semblaient avoir été étonnamment contingents.
Par exemple, la bataille pour savoir si les graisses alimentaires étaient vraiment nocives faisait rage depuis quelques décennies au milieu des années 1970, avec d’éminents experts universitaires en nutrition des deux côtés et le camp anti-graisse gagnant progressivement du terrain mais sans aucune décision claire. En effet, selon Taubes, une grande partie du soutien croissant à cette hypothèse n’avait absolument rien à voir avec des études de recherche ou même des problèmes de santé, mais était en partie alimentée par l’inquiétude croissante que la surpopulation condamnerait le monde à la famine à moins que les régimes alimentaires des pays riches ne passent de la viande à des produits végétaux bien plus efficaces, tout cela avant que la Révolution verte de l’agronome Norman Borlaug n’élimine la menace de la faim dans le monde. Ainsi, une fois que le régime alimentaire américain traditionnel riche en viande est devenu « politiquement incorrect » pour ces raisons géopolitiques totalement indépendantes, on a eu tendance à conclure qu’il était également mauvais pour la santé, même si les preuves à l’appui étaient plutôt minces et ambiguës.
Taubes a souligné le jour unique qui a joué le plus grand rôle dans l’élaboration de la politique nutritionnelle américaine et dans la consécration du dogme anti-graisse. En 1968, le sénateur George McGovern avait créé une commission sénatoriale sur la nutrition dans le but d’éliminer la malnutrition causée par la pauvreté. Le vendredi 14 janvier 1977, elle publiait des directives alimentaires fédérales déclarant que les Américains pouvaient améliorer leur santé en mangeant moins de graisses. L’auteur a noté que les membres du personnel qui ont pris cette décision ignoraient presque totalement le débat scientifique sous-jacent et, dans une longue note de bas de page, il a même évoqué la possibilité inquiétante qu’ils aient été poussés à prendre cette décision par la crainte que la commission soit bientôt dissoute à moins qu’elle ne puisse tirer une publicité spectaculaire de quelque déclaration publique.
Une fois que le gouvernement eut adopté cette position, le verdict a naturellement influencé les recherches ultérieures des enquêteurs de la FDA et des universitaires extérieurs dépendants du financement fédéral, de sorte que dans une certaine mesure, la doctrine anti-graisse est alors devenue une prophétie scientifique auto-réalisatrice. Et après qu’une génération de chercheurs ait consacré leur carrière à mettre en garde contre le rôle nocif des graisses alimentaires, ils sont probablement devenus très réticents à admettre plus tard qu’ils avaient peut-être fait erreur.
Entre-temps, les intérêts commerciaux étaient également fortement engagés dans cette bataille nutritionnelle. Par exemple, les fabricants d’huile de maïs, désireux d’accroître leur part de marché aux dépens de leurs concurrents qui vendaient du beurre naturel, avaient déjà consacré deux décennies à financer la propagande sanitaire pour soutenir leurs efforts de vente auprès des consommateurs.
Comme l’explique Taubes, une fois que la communauté médicale a fermement accepté l’idée que le cholestérol contenu dans les aliments gras était responsable de risques sanitaires très graves tels que les crises cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux, cette croyance a automatiquement eu un impact sur les problèmes de contrôle du poids sans rapport avec cela. Même s’il semblait y avoir de solides preuves empiriques qu’un régime alimentaire riche en graisses était un bien meilleur moyen de contrôler ou de perdre du poids que les « aliments sains » pauvres en graisses et riches en glucides habituellement prescrits, les professionnels de la santé considéraient toujours les aliments gras comme si gravement nocifs qu’ils inventaient diverses excuses pour éviter d’approuver cette approche. Les macronutriments sont soit des graisses, des protéines ou des glucides, et si l’on croyait largement que les premiers étaient nocifs, les glucides sont nécessairement devenus l’un des principaux substituts.
En lisant le récit fascinant de Taubes sur ces évolutions, j’ai eu le sentiment que même si les preuves scientifiques ont parfois joué un rôle dans le débat de santé publique sur la nutrition, leur impact a généralement été éclipsé par des facteurs entièrement différents. Peut-être que les défenseurs universitaires d’une position étaient plus déterminés ou plus énergiques que leurs rivaux de l’autre côté ; peut-être que les entreprises vendant des aliments riches en glucides ont eu la chance d’embaucher de meilleures agences de relations publiques que leurs rivaux des aliments gras ; peut-être qu’un membre du personnel du Congrès confus et ignorant, à court de temps, a eu la chance de lire un article de magazine plutôt qu’un autre. Il semble que ce soient ces facteurs qui aient le plus influencé l’élaboration de notre politique nutritionnelle, et après son approbation finale par proclamation gouvernementale, cette politique est devenue extrêmement difficile à déloger ou à réviser, malgré ses racines peut-être erronées.
Tout ce processus ressemble un peu au cas célèbre du choix du clavier QWERTY au XIXe siècle pour la disposition des machines à écrire, qui, malgré son énorme inefficacité ergonomique, est resté la disposition standard de tous les claviers suivants pendant les 150 ans qui ont suivi, jusqu’à ceux que l’on trouve sur les iPhones d’aujourd’hui.
Bien qu’elles ne constituent guère une preuve, les tendances américaines en matière de santé au cours du dernier demi-siècle semblent soutenir les arguments nutritionnels avancés par Taubes.
Ce n’est que dans les années 1970 que notre gouvernement a fermement approuvé le remplacement des aliments gras par des glucides dans notre alimentation, en privilégiant en particulier ceux de la catégorie « aliments sains » tels que les céréales, les fruits et le pain complet. On a clairement abandonné le bacon, les saucisses et le beurre au profit des yaourts, des jus de fruits et des morceaux de viande maigres plutôt que gras. À peu près au même moment, de plus en plus d’Américains ont commencé à pratiquer régulièrement une activité physique quotidienne, notamment le jogging et les séances de gym, des activités qui étaient jusque-là presque inconnues ou même considérées comme nocives. Cette combinaison d’une alimentation moins grasse et d’exercice physique plus régulier aurait dû entraîner des changements très notables dans le poids des Américains et les problèmes de santé qui y sont liés. Et c’est ce qui s’est passé, mais exactement dans la direction opposée à ce que le cadre nutritionnel promu par le gouvernement et les médias aurait prédit.
L’obésité a toujours été un problème très mineur dans la société américaine, mais elle a soudainement grimpé en flèche. La fraction obèse de notre population était relativement stable, à un sur huit ou neuf, mais elle est passée à plus d’un sur trois au cours des trente années qui ont suivi. Pendant ce temps, le nombre d’Américains atteints de diabète a augmenté encore plus rapidement, augmentant de près de 300 %.
La longueur considérable et la forte orientation scientifique et historique du livre de Taubes ont peut-être été nécessaires pour persuader certains médecins et chercheurs en nutrition de reconsidérer leurs hypothèses de longue date, mais ces mêmes facteurs ont évidemment limité son attrait populaire.
En 2010, l’auteur a donc puisé dans la masse d’informations qu’il avait accumulée pour publier Pourquoi nous grossissons, un ouvrage beaucoup plus court et moins technique sur les mêmes sujets, d’une longueur d’environ un tiers et présenté dans un style plus décontracté et engageant destiné à le rendre beaucoup plus accessible à un large public national. En fait, la critique très favorable du Times a même décrit le nouveau livre comme une version « Cliff Notes » du précédent volume, et il est également devenu un best-seller national.
L’un des points très judicieux soulevés par Taubes était que les aliments qui ne sont entrés dans l’alimentation humaine que relativement récemment sont les plus susceptibles de causer des problèmes de santé parce que la pression sélective évolutive n’a peut-être pas eu suffisamment de temps pour modifier nos processus digestifs et d’autres systèmes biologiques pour les gérer correctement. Mais l’auteur soutient que cette préoccupation peut s’appliquer à presque tous les glucides que nous mangeons – la plupart de nos aliments de base – étant donné que leur adoption généralisée comme aliments de base n’a commencé qu’avec la révolution agricole d’environ 10 000 avant J.-C. Avant ce changement de mode de vie, notre alimentation était probablement fortement axée sur les graisses et les protéines des chasseurs-cueilleurs. Taubes a noté les énormes problèmes de santé rencontrés par les membres de la tribu Pima d'Arizona lorsqu'ils sont soudainement passés à des régimes alimentaires modernes riches en glucides.
Douze millénaires, c’est évidemment une période assez longue pour qu’une forte pression sélective se fasse sentir et atténue considérablement ces vulnérabilités métaboliques. Mais si les conséquences négatives sur la santé d’une ingestion excessive de glucides étaient progressives et se produisaient tard dans la vie – ou étaient même largement absentes pour les groupes ne disposant pas d’une surabondance de nourriture – elles n’auraient peut-être pas été apparentes, laissant les humains modernes potentiellement encore très vulnérables. Ainsi, les risques pour la santé liés à une surconsommation de glucides pourraient être restés dans notre génome, et ne se sont manifestés qu’au cours du dernier siècle ou du deuxième siècle, lorsque certaines populations humaines ont soudainement eu accès à un approvisionnement quotidien pratiquement illimité de ces produits glucidiques.
Mais toutes ces inquiétudes générales concernant les glucides sont considérablement amplifiées dans le cas du sucre, qui n’est devenu que très récemment un élément majeur de notre alimentation. Bien que le sucre soit connu depuis plusieurs milliers d’années, jusqu’aux deux derniers siècles et à la création de grandes plantations de canne à sucre tropicales, il n’était disponible que pour les riches en quantités très limitées et était souvent considéré comme un composé médicinal ou même semi-magique aux propriétés puissantes. Il ne serait donc guère surprenant que le système digestif et le métabolisme de l’homme aient du mal à le gérer dans les très grandes quantités que nous consommons actuellement, et Taubes a fourni de nombreuses preuves scientifiques à l’appui de cette possibilité très inquiétante.
Bien que Taubes ait évoqué ces inquiétudes concernant le sucre dans ses deux livres, un an après la sortie du deuxième, il a publié un nouvel article majeur du Times entièrement consacré à ce sujet, au titre explosif.
Le sucre est-il toxique ?
Gary Taubes • The New York Times Sunday Magazine • 13 avril 2011 •
Au cours des deux derniers siècles, le sucre est devenu l’un des composants les plus omniprésents de notre alimentation ordinaire, présent en grande quantité dans une vaste gamme d’aliments, des biscuits aux boissons sportives en passant par le ketchup, et l’idée qu’il pourrait en fait être une toxine humaine nocive ressemble exactement au type de « théorie du complot » nutritionnel que l’on pourrait s’attendre à trouver dans des recoins isolés d’Internet, débitée par des paranoïaques de la santé. Pourtant, c’est l’un de nos plus éminents auteurs scientifiques qui a défendu cette thèse dans un long article de couverture pour le New York Times Sunday Magazine, et il l’a ensuite développée dans The Case Against Sugar, un livre de 350 pages très documenté, publié une fois de plus par Knopf en 2017.
Pour prouver ma propre ignorance nutritionnelle, j’avais depuis longtemps oublié que le saccharose – le sucre de table ordinaire – est en fait constitué de molécules appariées de glucose – le sucre sanguin de base – et de fructose, un type de sucre beaucoup plus sucré que l’on trouve dans les fruits. De la salive dans notre bouche aux enzymes de notre intestin grêle, notre corps décompose rapidement l’amidon et la plupart des autres glucides en glucose, la molécule que toutes nos cellules brûlent pour produire de l’énergie. Mais le fructose appartient à une catégorie entièrement différente, et il ne peut être métabolisé que dans le foie. Taubes a souligné que forcer cet organe à gérer trop de fructose peut entraîner des dommages tissulaires à long terme, tout comme boire trop d’alcool peut entraîner une cirrhose du foie.
De plus, il a fait valoir que les dommages au foie causés par cette transformation du fructose peuvent conduire à la croissance de la résistance à l’insuline, qui pourrait être le facteur central de l’obésité et du diabète. Ainsi, l’ingestion de grandes quantités de sucre a probablement un impact sur l’obésité bien plus important que les simples calories supplémentaires fournies. Il a même émis l’hypothèse que la surproduction d’insuline qui en résulte pourrait augmenter le risque de cancer, une maladie souvent associée à l’obésité et au diabète.
Lorsque l’opinion publique s’est inquiétée à la fin des années 1970 du fait que nos boissons gazeuses et autres aliments contenaient trop de sucre, l’industrie a réagi à cette pression en remplaçant ce sucre ordinaire par du sirop de maïs à haute teneur en fructose (SHF), un composé soi-disant naturel qui semblait relativement inoffensif, était tout aussi sucré et avait l’avantage supplémentaire d’être encore moins cher. Pourtant, ironiquement, le SHF contient en fait environ 55 % de fructose pour 45 % de glucose, de sorte que cette substitution a peut-être été un peu plus dommageable pour le foie et d’autres organes internes. Et peut-être par coïncidence, les courbes en légère hausse de l’obésité et du diabète ont connu un nouveau point d’inflexion peu de temps après, marquant le début de leur augmentation ultérieure rapide.
Un autre point soulevé par Taubes est en partie une question de définition. Au cours des derniers siècles, de nouveaux « aliments-médicaments » de divers types sont devenus largement accessibles à la population mondiale pour la première fois, notamment le café, le thé et le cacao, tous généralement produits dans de grandes plantations et qui ont eu un impact important sur les modes de vie des individus, tout comme les drogues telles que le tabac, l’opium et la cocaïne. Les plantations de canne à sucre sont apparues à peu près à la même époque, et l’auteur a posé la question très intéressante de savoir si le sucre devait réellement être considéré comme un aliment-médicament d’un type similaire, peut-être légèrement addictif et ayant des effets secondaires négatifs graves, en faisant valoir que c’était le cas.
Il y a un autre point que je ne me souviens pas avoir vu mentionné dans aucun des livres de Taubes. On a longtemps cru que le moyen le plus simple d’améliorer le goût d’un aliment était d’y ajouter de la graisse, et certaines études scientifiques ont soutenu cette idée, ce qui est parfaitement logique compte tenu de l’histoire de l’évolution humaine. Mais comme nos normes nutritionnelles récentes ont exclu l’utilisation d’un additif aussi dangereux, les fabricants de produits alimentaires ont probablement été contraints de se tourner vers d’autres options, et l’ajout de sucre supplémentaire a peut-être été le substitut qu’ils ont adopté.
Bien qu’il s’appuie largement sur l’analyse de ses livres et articles précédents, The Case for Keto, publié en 2020, se concentre directement sur les avantages pour la santé d’un régime pauvre en glucides et riche en graisses, et bénéficie de l’approbation de nombreux professeurs de médecine et nutritionnistes universitaires.
Au cours de la récente épidémie de Covid, il a été largement reconnu que l’obésité était un facteur majeur contribuant à la létalité d’une infection à Covid, et j’ai publié un article soulignant qu’à l’échelle internationale, il semblait y avoir une relation très forte entre les taux nationaux d’obésité et les taux de mortalité excessifs dans la population en âge de travailler. Pour étayer ce point, j’ai inclus un tableau comparant les deux résultats dans les dizaines de pays développés dont les statistiques étaient disponibles sur le site Web de HMD, classés par pourcentages d’obésité décroissants.
Pays - Obésité % - Mortalité en âge de travailler Taux, 2020-2022
États-Unis 36 Très élevé Nouvelle-Zélande 31 Élevé Australie 29 Élevé Canada 29 Très élevé Chili 28 Très élevé Angleterre 28 Très élevé Écosse 28 Très élevé Hongrie 26 Faible Israël 26 Élevé Lituanie 26 Faible Bulgarie 25 Élevé Grèce 25 Élevé Croatie 24 Faible Lettonie 24 Faible Espagne 24 Élevé Luxembourg 23 Plat Norvège 23 Très faible Pologne 23 Faible Belgique 22 Faible Finlande 22 Très faible France 22 Très faible Allemagne 22 Plat Islande 22 Élevé Estonie 21 Faible Portugal 21 Plat Suède 21 Très faible Autriche 20 Plat Danemark 20 Très faible Italie 20 Plat Pays-Bas 20 Faible Slovaquie 20 Plat Slovénie 20 Très faible Suisse 19 Faible Corée du Sud 5 Faible
Bien que la correspondance soit loin d'être parfaite, il semble y avoir une forte relation entre les taux d'obésité des pays et leurs taux de mortalité relatifs pour 2020-2022. Tous les pays ayant les taux d'obésité les plus élevés avaient des taux de mortalité élevés ou très élevés, tandis que les pays ayant les taux d'obésité les plus bas avaient généralement des taux de mortalité faibles ou très faibles.
J'ai également noté que sur une base quantitative, la comparaison des chiffres nationaux d'obésité aux pourcentages de surmortalité en âge de travailler dans ces pays a donné des corrélations modérément fortes :
Période Obésité/Mortalité Corrélation
2020 0,53 2021 0,55 2022 0,45 2020-22 0,56
L'obésité et la fin du débat sur la vaccination ? Ron Unz • The Unz Review • 9 janvier 2023 • 2 800 mots Les décès excédentaires dus au Covid aux États-Unis étaient parmi les plus élevés au monde, comme on pouvait s’y attendre compte tenu de notre position près du sommet des classements mondiaux de l’obésité.
Mais après avoir analysé cet important problème de santé publique, j’ai été très surpris de découvrir que dans tous ces pays développés, les taux d’obésité nationaux les plus élevés se trouvaient non seulement aux États-Unis, mais aussi dans les autres pays anglophones comme l’Angleterre, l’Écosse, le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande, qui monopolisaient ensemble six des sept premières places. Et si Taubes a raison et que le gouvernement et les médias américains ont passé le dernier demi-siècle à promouvoir les politiques nutritionnelles totalement erronées qui ont été en grande partie responsables de notre propre épidémie d’obésité, il serait logique que celles-ci aient eu le plus grand impact sur les autres sociétés anglophones les plus fortement influencées par notre culture.
Selon les estimations du CDC, plus de 100 millions d’Américains souffrent actuellement d’obésité, ainsi que près de 15 millions d’adolescents et d’enfants, ce qui entraîne des coûts médicaux annuels de plus de 250 milliards de dollars, tandis qu’environ 74 % de tous les adultes américains sont en surpoids. L’obésité est un facteur crucial conduisant au diabète, et près de 40 millions d’Américains souffrent de cette grave maladie, tandis que plus de 115 millions d’autres souffrent de prédiabète.
Ce sont des chiffres absolument énormes, avec d’énormes conséquences sur la santé, même maintenant que la menace du virus Covid s’est largement estompée. Le diabète est la huitième cause de décès, tuant chaque année plus de 100 000 Américains, tout en contribuant à 300 000 décès supplémentaires. Entre-temps, une étude réalisée l’année dernière a indiqué que l’obésité augmentait considérablement le risque de décès, potentiellement jusqu’à 91 %, et avec autant de dizaines de millions d’Américains souffrant de cette maladie, l’impact sur la mortalité a évidemment été énorme. En comparaison, le total combiné de tous les décès par overdose de drogue est d’un peu plus de 100 000.
Si Taubes a raison et que le sucre est le principal facteur à l’origine de cette énorme épidémie d’obésité et de diabète, le nombre de morts qu’il a provoqué dépasserait de loin celui de n’importe quel médicament sur ordonnance ou illégal, et très probablement de tous les médicaments combinés. Taubes soutient même que le sucre a peut-être tué bien plus d’Américains que le tabac. Ainsi, malgré tous les discours sur l’impact dangereux des opioïdes ou de la cocaïne, la drogue « en poudre blanche » la plus mortelle de toutes est probablement celle que nous mangeons dans nos barres Snickers ou buvons dans nos canettes de Coca-Cola.
Les politiques de santé publique d’une grande société fonctionnent comme un énorme paquebot, dont le cap actuel ne peut être modifié que progressivement au fil du temps. Je pense que Gary Taubes a démontré de manière convaincante qu’il y a environ un demi-siècle, nos propres politiques nationales ont été orientées exactement dans la mauvaise direction, ce qui a finalement conduit aux problèmes de santé extrêmement graves auxquels une grande partie de notre population est aujourd’hui confrontée.
Taubes est un journaliste scientifique très respecté et, depuis plus de deux décennies, il promeut avec force ses opinions peu orthodoxes sur ces questions nutritionnelles, publiant plusieurs best-sellers nationaux dans l’une de nos principales maisons d’édition, ainsi qu’un certain nombre de longs articles très médiatisés dans le New York Times, notre média le plus influent. Compte tenu de ses efforts de longue haleine pour renverser notre orthodoxie nutritionnelle établie en synthétisant et en publiant une énorme quantité de recherches importantes sur le rôle des graisses, des glucides et des sucres, je pense qu’il serait juste de caractériser son ensemble de points de vue alternatifs sur ces questions comme l’hypothèse Taubes. Mais je me demande vraiment quel impact public son travail a réellement eu, du moins en me basant sur ma propre connaissance personnelle de ces questions.
En tant que personne qui a lu attentivement les journaux et suivi les médias mais n’a jamais prêté beaucoup d’attention aux questions nutritionnelles, j’avais vaguement pris conscience des critiques croissantes selon lesquelles notre régime alimentaire national contenait trop de sucre et de sirop de maïs à haute teneur en fructose, mais je n’avais jamais su à quel point prendre ces plaintes au sérieux. Pendant ce temps, au cours des douze dernières années, je ne me souviens pas avoir vu d’articles dans des médias respectables et prestigieux approuvant un régime riche en graisses pour des raisons de santé personnelle, et jusqu’à récemment, en lisant les propres livres de Taubes, j’aurais rejeté toute suggestion de ce type comme étant des idées totalement farfelues. De plus, au cours de la même période, j’ai remarqué une augmentation apparente de l’obésité et même de l’obésité extrême dans ma propre ville de Palo Alto, qui semblait jusque-là relativement épargnée par cette maladie. Ainsi, malgré les efforts considérables de Taubes et de ses alliés médicaux, je pense que leurs vingt années d’efforts n’ont eu au mieux qu’un impact modéré sur la situation.
Étant donné l’augmentation massive et sans précédent de l’obésité, du diabète et des problèmes de santé qui y sont liés, je pense que nous sommes confrontés à la possibilité très réelle qu’un demi-siècle de politiques nutritionnelles officiellement approuvées par l’Amérique ait pu non seulement être incorrectes, mais complètement inversées et rétrogrades, entraînant de graves problèmes de santé pour peut-être une centaine de millions d’Américains, dont plusieurs millions souffriraient probablement d’une mort prématurée. Cette idée n’est guère réconfortante et soulève de sérieuses questions quant à la compétence et à l’objectivité fondamentales de nos scientifiques et chercheurs universitaires dans ce domaine.
En lisant les livres de Taubes, j’ai eu le sentiment que ces mêmes pensées lui avaient souvent traversé l’esprit alors qu’il expliquait soigneusement comment une gigantesque politique de santé publique, qui a duré des décennies et qui a pu avoir un impact sur un milliard de personnes dans le monde, avait été formulée à l’origine sur la base de peu ou pas de preuves scientifiques solides. Taubes avait obtenu son diplôme de premier cycle à Harvard en physique appliquée, son frère occupe actuellement une chaire de mathématiques dans cette même université d’élite et ses deux premiers livres traitaient de questions de physique, y compris des recherches fructueuses d’un lauréat du prix Nobel. Je soupçonne donc que le manque de compétence qu’il avait découvert dans les domaines de la santé publique et de la nutrition devait le consterner profondément.
Turbo-cancers, maladies auto-immunes et pathologies neurologiques survenant après la vaccination ARNm anti-covid
RépondreSupprimerDr Ute Krüger
aimsib.org
dim., 27 oct. 2024 17:24 UTC
Autour du déferlement prochain de preuves accablantes concernant les fraudes gravissimes qui ont entouré la mise sur le marché de certains produits à ARNm, il demeure toujours aussi nécessaire et aussi difficile d'en évaluer les effets indésirables, tous soigneusement niés, donc camouflés. Voici le témoignage exceptionnel d'une courageuse pathologiste allemande, Ute Krüger, qui a décidé de communiquer autour de son expérience professionnelle amassée pendant toutes ces années COVID. C'est accablant et pourtant rien ne bouge, on continue imperturbablement à promouvoir ces injections pour soi-disant protéger les populations occidentales contre... l'hiver. Jusqu'à quand la cécité, voir la corruption la plus échevelée? Bonne lecture.
vaccine culture war
Le fait que les vaccins ARNm anti-covid provoquent des « turbo-cancers » a été présenté par les médias mainstream comme une « fake news » (par exemple ici France Culture en octobre 2023). C'est pourtant une réalité empirique. La docteure Ute Krüger est spécialiste en pathologie avec 25 ans d'expérience professionnelle. Elle a travaillé comme médecin-chef dans le service de pathologie clinique de plusieurs hôpitaux suédois. Depuis que ces injections ont été rendue obligatoires et administrées en masse, elle a observé une augmentation des cancers très agressifs (« turbo-cancers »), des maladies auto-immunes et des maladies neurologiques. Elle présente ici le résultat de ses observations cliniques et de son enquête.
Depuis mon enfance, j'ai toujours souhaité devenir médecin pour pouvoir aider les gens. Au lycée de Seelow/Brandebourg, mon intérêt pour le microscope a été éveillé dans un cours de biologie. La structure des plantes à fort grossissement me fascinait beaucoup. Après mon année de stage préuniversitaire en 1989 dans le service de cardiologie aiguë de la Charité de Berlin, j'ai étudié la médecine à la Humboldt-Universität de Berlin. Dans ma thèse de doctorat, j'ai analysé près de 7500 cas d'autopsie. J'y ai comparé les diagnostics posés par les médecins cliniciens, comme les causes de décès, avec les résultats de l'autopsie à des fins de contrôle de qualité. Au cours des années suivantes, j'ai travaillé comme médecin assistant au service de pathologie clinique de l'hôpital Oskar-Ziethen Lichtenberg et j'ai réussi l'examen de spécialisation en pathologie en 2004. Le microscope est devenu mon compagnon de tous les jours.
En raison de l'impossibilité de concilier travail et famille en tant que médecin en Allemagne, je suis partie avec mon partenaire de l'époque à Växjö, dans le sud de la Suède, en 2005. J'y ai travaillé pendant dix ans en tant que médecin-chef au service de pathologie clinique de l'hôpital central, dont j'ai également été la directrice médicale pendant les quatre dernières années. Au cours des huit années suivantes, j'ai été chef de clinique en pathologie à l'hôpital national de Kalmar, en Suède, et, en même temps, chef de clinique à l'Institut des sciences cliniques de l'université de Lund, en Suède.
RépondreSupprimerÀ l'université, j'ai mené des recherches sur le cancer du sein afin de mieux comprendre la biologie des tumeurs et les facteurs de risque du cancer du sein. L'objectif était de trouver des moyens de prévenir cette maladie. En même temps que j'ai commencé à travailler à Kalmar et à Lund, j'ai été membre du conseil d'administration de la Société suédoise de pathologie pendant cinq ans, afin d'améliorer la qualité de la pathologie en Suède. J'ai donc 25 ans d'expérience dans le domaine de la pathologie. Jusqu'en 2022, j'ai diagnostiqué des milliers de cancers et d'autres maladies dans le cadre de mon activité clinique en tant que spécialiste du cancer du sein.
En automne 2021, d'étranges cas de cancer se sont multipliés
En automne 2021, j'ai remarqué un changement dans l'apparition du cancer du sein dans mon travail de routine à l'hôpital. Je voyais plus souvent que d'habitude des tumeurs chez des patientes plus jeunes, souvent âgées de 30 à 50 ans, et je voyais plus de tumeurs à croissance rapide et donc des tumeurs plus grosses. Il y avait le plus souvent non pas une, mais plusieurs tumeurs simultanées dans un sein. Le cancer du sein semblait également se développer plus souvent dans les deux seins en même temps. J'ai également remarqué qu'il y avait apparemment plus de récidives chez les patientes qui avaient guéri du cancer du sein auparavant. Il s'agissait alors d'une croissance tumorale très rapide avec une dissémination tout aussi rapide de la tumeur dans tout le corps, ce que j'ai constaté à plusieurs reprises quelques mois après la vaccination anti-covid à ARNm (désormais « Corona », pour raccourcir).
Comme je voyais un lien entre ces tumeurs « d'un genre nouveau » et la vaccination contre la Covid-19 (appelée par la suite, pour simplifier, vaccination Corona), j'ai signalé de nombreux cas à l'agence suédoise des médicaments. En outre, j'ai essayé de trouver des collègues germanophones lors de la deuxième conférence de pathologie à Berlin afin d'infirmer ou de confirmer mon hypothèse de ce que j'ai appelé le « turbo-cancer » après la vaccination Corona. Je voulais lancer une étude à grande échelle. Mon objectif était d'arrêter toutes les vaccinations Corona avant que cette question ne soit résolue. Malheureusement, il ne s'est trouvé qu'un seul collègue pathologiste autrichien intéressé pour répondre à mon appel. À deux et surtout en plus de l'activité clinique quotidienne, un tel travail n'était pas gérable.
Au fil des mois, j'ai reçu de nombreux courriels de collègues, de proches et de personnes concernées par le turbo-cancer. Il semblait donc que je n'étais pas la seule à avoir remarqué un lien possible entre les vaccins Corona et les cancers agressifs.
Une étude réalisée en Grande-Bretagne en octobre 2023 a examiné la mortalité par cancer chez les personnes âgées de 15 à 44 ans. Il s'agit donc de personnes très jeunes, chez qui le cancer était jusqu'à présent plutôt rare comme cause de décès. Pour le cancer du sein chez les femmes, on a constaté une augmentation de 28 % des décès par cancer en 2022. Les chiffres sont encore plus alarmants pour le cancer du pancréas : dans ce cas, on a constaté une augmentation de 80 pour cent des décès chez les femmes et de 60 pour cent chez les hommes. En outre, on a constaté une augmentation de 120 pour cent des décès chez les hommes, causés par un cancer de la peau (mélanome).
Une surmortalité inexpliquée
RépondreSupprimerCette question est d'autant plus brûlante que nous avons effectivement affaire depuis 2021 à une surmortalité inexpliquée.
Si l'on regarde les taux de mortalité des quatre dernières années en Allemagne, on constate une nette surmortalité, surtout pour les dernières années. Dans la prépublication d'une étude de cette année, on peut voir que la surmortalité est corrélée aux infections Corona et aux décès pendant la première phase de la pandémie sans vaccination. Cependant, au cours de la deuxième et de la troisième année de la pandémie, on constate une augmentation considérable de la surmortalité qui ne peut pas être expliquée par les infections Corona, mais qui doit être considérée en relation avec les vaccinations Corona.
Selon l'étude, plus le nombre de vaccins administrés était important, plus la surmortalité était élevée. De plus, la surmortalité au cours des deux dernières années de pandémie a considérablement varié entre les Länder. Ainsi, pour la troisième année de la pandémie, la surmortalité a été estimée à 5-6 % à Berlin, en Brandebourg et en Saxe, alors qu'elle était environ deux fois plus élevée à Brême et dans la Sarre avec 11 %. La surmortalité est en corrélation avec le nombre de personnes vaccinées contre la maladie de Corona dans les Länder. L'étude dit textuellement :
« Plus le nombre de vaccins administrés dans un Land est élevé, plus l'augmentation de la surmortalité est importante » (traduction de l'auteur).
Dans ce travail scientifique, le nombre de mort-nés a également été étudié. Là encore, il apparaît que le nombre de mort-nés est en corrélation avec le nombre de vaccinations Corona dans la population au cours de la troisième année de la pandémie.
Dans la prépublication d'une autre étude parue en août 2024, la surmortalité en Autriche est étudiée. L'âge des personnes décédées y est notamment pris en compte. Il s'avère que la surmortalité des 15-29 ans pour l'année 2023 atteint le chiffre incroyable de 34 %.
Dès août 2021, le célèbre pathologiste et directeur de l'Institut de pathologie de la Clinique universitaire de Heidelberg, le professeur Peter Schirmacher, a mis en garde contre un nombre élevé de décès dus à la vaccination qui ne sont pas connus. Ensuite, fin novembre 2022, il a publié une étude, et, dans un entretien avec Die Welt, il a expliqué peu après les résultats de sa recherche. L'étude a porté sur des personnes qui, dans les 14 jours suivant la vaccination, sont décédées de manière inattendue alors qu'elles semblaient en bonne santé. Dans 30 % des cas, il y avait un lien entre la vaccination et le décès. Schirmacher a souligné que d'autres études étaient nécessaires et a supposé que « dans l'un ou l'autre cas, la crainte de résultats désagréables » pourrait peut-être faire obstacle à la poursuite des recherches.
Les autopsies fournissent des informations importantes
RépondreSupprimerSans autopsie, il n'est pas possible de déclarer les décès dus aux effets secondaires des vaccins au Paul-Ehrlich-Institut, l'institut fédéral allemand pour les vaccins et les médicaments biomédicaux. Dans ce contexte, il faut aussi mentionner que de nombreuses personnes vaccinées sont décédées subitement chez elles. Lors de l'examen externe du corps, la mention « naturel » a été cochée comme type de décès et aucune autopsie n'a été pratiquée. Ainsi, les décès éventuellement liés aux vaccins Corona n'ont pas été pris en compte dans les statistiques.
En 2021, j'ai fait la connaissance du professeur Arne Burkhardt, un collègue pathologiste très compétent. Il avait décidé, avec l'avocat Elmar Becker, d'enquêter sur les décès survenus après une vaccination Corona. Burkhardt voulait déterminer s'il existait un lien de cause à effet entre la vaccination et le décès. De nombreuses personnes de l'espace européen s'étaient adressées à lui après que des proches soient décédés après avoir été vaccinés. Les rapports d'autopsie des pathologistes ou des médecins légistes n'ont toutefois pas établi de lien avec la vaccination Corona. Les familles ont cependant douté de ce résultat et ont veillé à ce que les instituts de pathologie ou de médecine légale envoient des échantillons de tissus de leurs défunts au professeur Burkhardt.
Ce travail sans doute unique au monde a commencé au premier semestre 2021 dans son laboratoire de pathologie à Reutlingen. En été 2021, le professeur Walter Lang, un pathologiste expérimenté, a rejoint l'équipe.
Dans presque trois quarts des 89 cas de décès examinés jusqu'en juin 2023, les résultats indiquent, selon Burkhardt, un lien entre le décès et la vaccination Corona. Il a été constaté que les lésions tissulaires étaient liées au nombre de vaccinations Corona. Ainsi, les lésions tissulaires graves étaient nettement plus fréquentes chez les personnes décédées après plusieurs vaccinations Corona qu'après une seule. Dans plus de la moitié des cas, la cause du décès était une inflammation du muscle cardiaque. La plus jeune personne décédée était une étudiante de 16 ans. Il était connu que tous les nouveaux vaccins Corona pouvaient provoquer une myocardite. Cela se retrouve également dans l'analyse des rapports sur les effets indésirables du vaccin de la société Pfizer. Toutefois, au vu des résultats des professeurs Burkhardt et Lang, la fréquence indiquée dans l'analyse de Pfizer semble bien en dessous de la réalité.
Dans près de 90 % des cas de décès étudiés par Burkhardt et Lang, on a constaté une inflammation des vaisseaux sanguins, grands et petits. L'inflammation de l'aorte, le plus gros vaisseau sanguin de notre corps, était plus fréquente que la moyenne. Vous vous doutez bien qu'une inflammation de la paroi vasculaire entraîne une fragilité du vaisseau, qui peut alors se rompre sous l'effet de la pression exercée, ce qui provoque une hémorragie rapide de la personne.
Les maladies auto-immunes comme conséquence de la vaccination ?
RépondreSupprimerPar ailleurs, les deux pathologistes ont décrit des modifications inflammatoires dans les organes, appelées maladies auto-immunes. Il s'agit de maladies dans lesquelles le système immunitaire du corps attaque les propres tissus de l'organisme. J'aimerais ici expliquer brièvement comment les vaccins à ARNm agissent selon l'état actuel des connaissances. Ces vaccins modifient la programmation cellulaire des cellules saines du corps. Avant ces vaccins Corona, notre corps ne produisait pas de protéines de pointe [Spike]. Depuis ces vaccinations Corona basées sur l'ARNm, les cellules saines de notre corps produisent ces protéines du coronavirus et les présentent à la surface des cellules. Pour les cellules de la défense immunitaire de l'organisme, ces cellules sont étrangères et elles sont combattues.
Ainsi, les cellules saines (présentant des protéines Spike) sont donc attaquées, ce qui provoque une inflammation appelée réaction auto-immune. Dans une étude coréenne publiée en juillet de cette année dans la revue scientifique reconnue Nature, il apparaît qu'après une vaccination de rappel, c'est-à-dire une deuxième vaccination Corona, on trouve un risque accru de certaines maladies auto-immunes. On cite ici l'alopécie circulaire [zones circulaires sans cheveux], le psoriasis et le rhumatisme articulaire. Il est important de mentionner ici que ces complications vaccinales peuvent en principe survenir sur tous les organes.
Après le décès inattendu et soudain de notre cher collègue Burkhardt, j'ai considéré qu'il était de mon devoir de mettre à la disposition du public les résultats qu'il avait trouvés. En l'espace d'un an, j'ai rassemblé ces résultats et les ai publiés dans le livre Geimpft - gestorben - Histopathologischer Atlas der Corona-Impfschäden, paru en août 2024. Il présente 57 cas de patients dont le décès est, dans la grande majorité des cas, en relation démontrable avec l'injection du vaccin Corona. Ce livre s'adresse en priorité aux pathologistes, mais aussi aux médecins d'autres spécialités ainsi qu'aux non-médecins intéressés par la santé.
D'une part, les images de coupes de tissus sont présentées afin de sensibiliser les collègues travaillant dans le domaine de la pathologie de routine et de la médecine légale à l'égard de ces résultats totalement nouveaux et d'attirer l'attention sur les modifications typiques des injections d'ARNm. D'autre part, les descriptions de cas correspondantes sont incluses, documentant les circonstances tragiques et les souffrances multiformes des personnes ayant subi ces vaccinations.
Apparition fréquente de maladies neurologiques
RépondreSupprimerLes maladies neurologiques sont également plus fréquentes après les vaccinations Corona. Voici un exemple tiré de mon activité de pathologiste : j'ai autopsié un patient décédé après avoir reçu deux vaccins Corona. En raison d'une maladie maligne, il avait reçu une chimiothérapie et une thérapie visant à atténuer la réponse immunitaire. En même temps, il a reçu deux doses du vaccin contre la Covid-19.
J'affirme que n'importe quel non-médecin comprend qu'on ne peut pas, d'une part, freiner le système immunitaire et, d'autre part, donner un vaccin qui présuppose une réponse du système immunitaire au plus haut degré. L'homme a développé des paralysies sur tout le corps relativement peu de temps après les vaccinations et est décédé trois mois plus tard. J'ai voulu publier ce cas avec deux professeurs très expérimentés de l'hôpital universitaire de Lund, en Suède, et de la Charité de Berlin. Pendant plus de six mois, j'ai donc été en contact avec le British Medical Journal, une revue spécialisée reconnue. On m'a demandé à plusieurs reprises d'apporter des modifications au texte et d'effectuer de nouvelles colorations en laboratoire, pour finalement recevoir, après de nombreux contacts par courriel, un bref message me disant qu'un cas similaire venait d'être publié et que le journal n'était plus intéressé par mon article.
Suite à cela, je me suis adressé à un autre journal, où le texte a été publié en décembre 2022. Malheureusement, cet article ne se trouve pas sur Pubmed, la plateforme de publications scientifiques - que j'appellerais le « Wikipédia des scientifiques et des médecins ». Je me demande donc combien d'études scientifiques et de descriptions de cas publiées ne se trouvent pas non plus sur cette plateforme.
Jusqu'à présent, les vaccins étaient normalement développés et testés pendant sept à huit ans avant d'être autorisés. Les vaccins Corona, quant à eux, ont été mis sur le marché moins d'un an après avoir été testé de manière totalement insuffisante.
Non seulement d'innombrables personnes sont tombées malades après ces vaccins, mais de nombreuses personnes sont également décédées après ces vaccins. Dans une étude de juin 2024, des effets secondaires graves ont été constatés dans 11 % des cas pour le vaccin de Pfizer et dans 21 % des cas pour celui de Moderna après ces vaccinations à ARNm. En comparaison, les anciens vaccins influenza n'ont provoqué que 0 à 4 % d'effets secondaires graves. En revanche, la probabilité de mourir d'une infection à Corona est désormais estimée à seulement 0,1 %. À mes yeux, le vaccin Corona était et est malheureusement toujours une expérience sur nous, les humains.
D'autres chiffres alarmants concernent le taux de natalité. Une étude des naissances vivantes en Europe datant de 2022 montre que dans tous les pays étudiés, on constate une baisse du nombre de naissances pouvant aller jusqu'à plus de 10 %. Dans ce contexte, il a pu être démontré dans les coupes de tissus de l'institut du laboratoire de Burkhardt que la protéine Spike était présente dans les ovaires. Ce fait permet de conclure qu'une inflammation peut également se produire à cet endroit, ce qui peut à son tour entraîner la formation de cicatrices et une éventuelle stérilité. Dans les coupes de tissus des testicules de jeunes décédés, on a trouvé un nombre considérablement réduit de spermatozoïdes, un cas est également illustré dans le livre décrit ci-dessus. Ces changements dans les organes sexuels sont effrayants et pourraient expliquer la baisse de la natalité.
RépondreSupprimerLa politique plutôt que la science
On sait désormais, après la divulgation des documents de l'état-major de crise, d'abord secrets, de l'Institut Robert Koch (RKI) en Allemagne, qu'il n'y avait et qu'il n'y a pas de base scientifique pour de nombreuses mesures imposées par les politiques en rapport avec le Corona.
Les scientifiques et les médecins qui se sont longuement penchés sur les conséquences de ces vaccinations Corona sont traités d'affabulateurs, de conspirationnistes, voire d'extrémistes de droite. Ma tentative de mettre en garde contre de ce que l'on appelle le turbo-cancer après les vaccinations Corona a été qualifiée de sabotage par les médias suédois - sabotage contre la campagne de vaccination qui prévoyait de vacciner tout le monde contre le Corona.
En raison du fait que la politique a pris le pas sur la science, j'ai démissionné de mon poste de médecin-chef à l'hôpital de Kalmar et à l'hôpital universitaire de Lund. J'étais profondément choquée et je ne pouvais plus, en mon âme et conscience, faire partie d'un système de santé aussi peu scientifique. L'un de mes principes est de ne pas faire de mal aux gens, comme je l'ai juré dans le serment d'Hippocrate (la formulation de l'éthique médicale).
J'en appelle à vous, soyez actifs. Informez-vous. Remettez tout en question, même ce que l'on vous sert sans cesse sur un plateau d'argent dans les médias. Contrôlez également les références bibliographiques que j'ai citées.
Les dégâts causés par ces vaccins à base d'ARNm contre Corona sont désormais connus. Cette technique à ARNm n'a pas encore été suffisamment testée et éprouvée. À l'avenir, veuillez vous informer sur les bases desquelles sont fabriqués les vaccins que vous souhaitez recevoir.
Et n'oubliez pas que la peur affaiblit notre système immunitaire. Soyez le plus possible dans la nature et renforcez-le de cette manière. Notre corps est fantastique, soutenez-le et ayez confiance en lui et en vous !
Source : Berliner Zeitung
RépondreSupprimerTraduction : Francis Leboutte et Laurent Mucchielli, avec l'accord de l'auteure.
https://fr.sott.net/article/44071-Turbo-cancers-maladies-auto-immunes-et-pathologies-neurologiques-survenant-apres-la-vaccination-ARNm-anti-covid
Mort subite du nourrisson après six vaccinations
RépondreSupprimer29 octobre 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
Une série de décès soudains et inattendus de nourrissons suite à la vaccination avec Infanrix Hexa® a contraint l'Agence australienne des médicaments à rester muette. La mort subite et inattendue du nourrisson (SUDI) et le syndrome de mort subite du nourrisson (SMSN) sont des termes utilisés pour décrire la mort subite et inattendue d'un nourrisson lorsqu'il n'y a pas de cause évidente de décès.
La Therapeutic Goods Administration (TGA) a répondu à des questions concernant une série de morts subites chez des nourrissons ayant reçu le vaccin Infanrix-Hexa®. Le vaccin « hexavalent » est destiné à protéger contre six maladies (diphtérie, tétanos, coqueluche, polio, hépatite B et Hib) et est administré aux nourrissons âgés de 2, 4 et 6 mois. Voici le mode d’emploi en allemand : Infanrix hexa – WS2365 (app. 26 avril 2023) – GI
La journaliste australienne Maryanne Demasi rapporte qu'une demande d'accès à l'information (FOI) concernant le nombre de décès signalés suite à l'utilisation du vaccin Infanrix-Hexa® a révélé des données inquiétantes.
La base de données des notifications d'événements indésirables ( DAEN ) a fait état de 17 décès de nourrissons signalés.
Selon un récent rapport de la FOI, 26 autres décès signalés peuvent être trouvés dans la base de données « interne » de la TGA, le système de gestion des événements indésirables (AEMS) .
Au total, 43 décès soudains et inattendus ont été signalés chez des nourrissons, pour la plupart âgés de moins de 12 mois, survenant dans un délai d'un ou deux jours après la vaccination.
L'autorité a pris acte de ces décès sans mener d'enquête, comme c'est son devoir.
Avertissements en provenance d'Europe
Infanrix-Hexa® a été approuvé pour la première fois par l'Agence européenne des médicaments (EMA) en 2000 et le public n'a jamais été averti des problèmes de sécurité.
Selon ses propres informations, l'EMA contrôle les données de pharmacovigilance sous la forme de rapports de sécurité (PSUR) régulièrement mis à jour, soumis par le fabricant GlaxoSmithKline (GSK). TKP a publié ici le P SURS sur les préparatifs de Corona .
Essentiellement, les PSUR décrivent l’expérience globale en matière de sécurité du vaccin sur une période de temps spécifique et ne sont généralement pas accessibles au public pour un examen indépendant.
La préparation à peu près la même HEXYON de Sanofi est toujours utilisée en Europe. Une enquête menée par l'avocat et député du Land du Tyrol du Sud, Dr. Renate Holzeisen avait révélé qu'aucun examen clinique n'avait été effectué à ce sujet : « D'après la réponse de la direction générale de l'entreprise médicale du Tyrol du Sud à la demande de divulgation (FOIA) présentée par les parents concernés, les enfants reçoivent une injection du sextuple vaccin HEXYON, dont la notice indique qu'il est destiné aux enfants "Aucune étude clinique (même avec des groupes témoins non réels) n'a été réalisée pour tester la sécurité à des âges supérieurs à 24 mois", comme le montrent les documents pertinents de l'UE .
RépondreSupprimerCependant, un litige juridique majeur en Italie concernant Infanrix de GSK a conduit le juge à ordonner à la société pharmaceutique de publier ses PSUR pour le vaccin Infanrix Hexa®.
Ces documents ont été envoyés à Jacob Puliyel, pédiatre et chef du service de pédiatrie de l'hôpital St. Stephen de Delhi, qui a mené un audit indépendant.
L'analyse a révélé un groupe de morts subites chez les nourrissons de moins de 12 mois : 54 décès (93 %) sont survenus dans les 10 premiers jours suivant la vaccination et 4 décès (7 %) sont survenus dans les 10 jours suivant la vaccination.
De plus, lorsqu'il a comparé le taux de morts subites « attendues » avec le taux « réel » de morts subites après vaccination, il y avait une augmentation statistiquement significative du risque de décès au cours des quatre premiers jours après la vaccination par rapport aux décès attendus.
Le rapport concluait : « Le groupe de décès peu de temps après la vaccination suggère que les décès ont été causés par le vaccin. »
Puliyel a publié les résultats dans l'Indian Journal of Medical Ethics en 2018.
Le rapport a également montré que les décès de nourrissons signalés dans le rapport de sécurité (PSUR 16) ont été supprimés dans le PSUR 19, sous-estimant ainsi le nombre de décès observés dans le rapport final consulté par l'EMA.
Lorsqu'on lui a demandé pourquoi l'EMA n'avait pas tiré la sonnette d'alarme concernant les données du PSUR, Puliyel a répondu : « Je n'irais pas jusqu'à dire que l'EMA était de connivence avec GSK dans la tromperie, mais je pense que l'EMA a fait preuve de négligence et a accepté les données trompeuses. et les interprétations des fabricants sans aucun doute.
Puliyel a critiqué l'EMA pour sa surveillance laxiste des événements indésirables après commercialisation et a appelé tous les régulateurs à améliorer cette surveillance.
Après avoir publié ses conclusions, Puliyel a déclaré qu'il n'y avait aucune excuse pour que l'EMA ignore les divergences dans les données.
"Le silence suggère que l'EMA n'a aucune défense", a-t-il noté.
RépondreSupprimer« Je pense que les méthodes de surveillance actuelles visent davantage à protéger les profits des fabricants de vaccins que ceux du public », a-t-il ajouté.
https://tkp.at/2024/10/29/ploetzlicher-kindstod-nach-sechsfach-impfung/
Les mondialistes complotent un génocide mondial via le traité de l'OMS sur la pandémie
RépondreSupprimerPar Richard C. Cook
Recherche mondiale,
29 octobre 2024
Introduction
Avec tous les problèmes du monde d’aujourd’hui, y compris la guerre complètement inutile déclenchée par les États-Unis en Ukraine, l’attaque génocidaire détestable d’Israël contre les Palestiniens à Gaza et les menaces militantes des États-Unis contre la Chine au sujet de Taïwan, nous devrions peut-être nous demander si l’escalade des tensions menaçant de déclencher un conflit mondial massif n’est pas vraiment un « faux drapeau » mondialiste soigneusement élaboré qui cache quelque chose d’encore plus sinistre.
Les combats qui font actuellement rage aux États-Unis et ailleurs entre les militants et les autorités, à travers des manifestations pro-palestiniennes, dominent particulièrement l’actualité.
Mais encore une fois, s’agit-il d’une distraction artificielle ?
Je crois que c'est le cas.
Quel est donc le véritable objectif de ces événements qui font la une des journaux ? Quel est l'objectif réel des mondialistes, qui sont les véritables tireurs de ficelles ? Les guerres plus conventionnelles et les conflits de rue sont-ils vraiment efficaces ?
Décès humains réels dus à la guerre
Pour mieux cerner le problème, le monde n’a pas connu de guerre majeure depuis la Seconde Guerre mondiale, qui a eu lieu entre 1939 et 1945. Elle a fait plus de 16 millions de morts militaires et entre 70 et 85 millions de victimes civiles. Compte tenu de la population mondiale de 2,3 milliards d’habitants en 1940, les pertes de guerre ont donc représenté environ 3,7 % de ce total.
Compte tenu de la nature horrible des décès en temps de guerre, 3,7 % reste un chiffre relativement faible, la concentration des décès touchant évidemment certains pays beaucoup plus que d'autres. Pendant la Seconde Guerre mondiale, les plus durement touchés furent l'Union soviétique et l'Allemagne. Mais les pertes totales ne furent guère un obstacle à la croissance à long terme de la population humaine mondiale, qui atteint aujourd'hui 8,1 milliards d'habitants et continue de croître.
Si l’on examine les données plus récentes, les décès attribués à toutes les guerres depuis le 11 septembre, une période souvent qualifiée de « guerre sans fin », s’élèvent à environ 4,5 à 4,7 millions . Ce chiffre, cependant, donne des proportions bien inférieures à celles de la Seconde Guerre mondiale. Ainsi, l’effet démographique net de la guerre au cours des deux dernières décennies est à peine perceptible, même si, là encore, les pertes sont horribles pour les personnes touchées.
En outre, les pertes en vies humaines, y compris parmi les civils, sont aujourd’hui le résultat de conflits très ciblés dans des zones limitées. Ces conflits impliquent souvent des pays dont l’Occident convoite les ressources. Ainsi, l’Asie occidentale, avec ses vastes réserves d’hydrocarbures et de minéraux, constitue une cible tentante, ce qui a conduit les États-Unis et le Royaume-Uni à lancer des attaques contre l’Afghanistan, l’Irak et la Libye. Des attaques similaires, quoique moins visibles, ont eu lieu en Afrique.
Plus récemment, la guerre par procuration menée par les États-Unis contre la Russie en Ukraine a conduit au dépeuplement de ce pays par l’émigration et les pertes sur le champ de bataille , alors même que des sociétés américaines comme BlackRock ont investi dans les terres et les minéraux. Le génocide perpétré par Israël contre les Palestiniens de Gaza, soutenu par les États-Unis, a également été soupçonné d’avoir pour motivation la prise de contrôle des réserves pétrolières et gazières offshore.
RépondreSupprimerOn peut néanmoins affirmer que, si l'on tient compte du potentiel incroyable de pertes humaines résultant de l'énorme puissance de feu des arsenaux conventionnels et nucléaires du monde, le nombre total de morts en temps de guerre reste aujourd'hui relativement limité. Et même si ces arsenaux étaient utilisés à une échelle bien plus grande que dans les conflits récents, la population mondiale serait-elle sérieusement réduite par une telle épidémie avant que l'impulsion à la guerre totale ne se soit évanouie ?
Sommes-nous certains, par exemple, que la Troisième Guerre mondiale tant redoutée aurait réellement pour résultat l'anéantissement de la vie sur Terre, comme beaucoup le spéculent, ou s'agirait-il là aussi d'un obstacle supplémentaire ? Nous ne le savons pas vraiment. De plus, il existe bien plus de mesures de protection et de restrictions au sein de la communauté internationale qu'en 1941, qui pourraient être activées, notamment des procédures mises en place par l'intermédiaire des Nations Unies, si décriées.
Nous constatons également que les arsenaux militaires occidentaux ne servent à rien, sauf face à des adversaires malchanceux, comme le montre l’échec des armes occidentales en Ukraine, où elles se sont révélées trop complexes, coûteuses et vulnérables. Leurs principaux objectifs semblent aujourd’hui être de plus en plus la « création d’emplois », l’enrichissement des actionnaires du secteur de la fabrication d’armes, la fourniture d’une sorte de « dissuasion » fantôme contre « l’agression » ou simplement le divertissement des politiciens, des médias grand public et des électeurs.
Aussi horrible que soit la guerre, les mondialistes cherchent certainement à atteindre leurs objectifs au-delà de la guerre ouverte, qui, selon beaucoup, se concentrent sur les armes biologiques, ou du moins incluent-elles, afin de parvenir à une réduction massive de la population humaine. En fait, l’armée américaine et la CIA créent et utilisent secrètement des armes biologiques depuis des décennies, comme l’a montré Tucker Carlson Uncensored dans un épisode récent intitulé « La maladie de Lyme a-t-elle été créée comme une arme biologique ? »
Bien que cela ne soit pas abordé dans cet article, l'armement spatial est un autre domaine dans lequel les fantasmagoriques de guerre espèrent depuis des décennies faire des percées dans les armes apocalyptiques qui obligeraient les ennemis à se rendre sans combattre ou qui effaceraient un adversaire de la carte lors d'une première frappe impuissante.
Mais passons à autre chose.
RépondreSupprimerLe lobby du dépeuplement
Bien qu’il cherche à se dissimuler, on peut discerner l’existence d’un puissant lobby en faveur d’une réduction massive de la population planétaire .
Depuis plusieurs siècles, des prophètes de malheur comme le ministre anglais Thomas Malthus (1766-1834) crient haut et fort que tôt ou tard, la croissance démographique dépasserait la capacité des ressources de la Terre à supporter une telle augmentation du nombre d'êtres humains.
Bien sûr, Malthus avait tort, en grande partie à cause de la capacité de la révolution industrielle à assurer la subsistance d’une population croissante et à engendrer de grandes améliorations en matière d’hygiène, de nutrition, de productivité agricole et de traitements médicaux, permettant à davantage de personnes de vivre plus longtemps. La réduction de la mortalité infantile et l’amélioration du bien-être des familles et des enfants ont eu des effets particulièrement importants.
Mais pour une certaine catégorie de personnes, qui s’identifient étroitement aux mondialistes, ces changements n’ont pas été un motif de réjouissance, mais plutôt un présage d’une catastrophe imminente. Ces sentiments ont fusionné avec le mouvement « eugéniste » qui considère la croissance démographique comme une augmentation du nombre de personnes qu’ils n’aiment pas et qu’ils ne veulent pas voir en vie.
Pour cette classe particulière, le potentiel de la guerre pour réduire la population ne semble pas avoir été exploité pour les raisons exposées ci-dessus. D’autres méthodes plus efficaces ont donc été recherchées. Les armes biologiques, considérées comme relativement faciles à utiliser par des moyens secrets et difficiles à remonter à leur source, sont passées au premier plan. Qui, alors, peut bien être derrière tout cela ?
Dans son article du 30 juillet 2023, « Les milliardaires tentent de réduire la population mondiale : réunion secrète sponsorisée par Bill Gates, réunion 2009 du « Good Club » », le directeur de Global Research, le Dr Michel Chossudovsky, demande : « Le dépeuplement mondial fait-il partie de la grande réinitialisation des milliardaires ? »
Le Dr Chossudovsky écrit :
Depuis plus de dix ans, des réunions ont été organisées par des milliardaires qualifiés de philanthropes pour réduire la taille de la population mondiale, culminant avec la crise du COVID de 2020-2022.
Les développements récents suggèrent que la « dépopulation » fait partie intégrante des soi-disant mandats COVID, y compris les politiques de confinement et le vaccin à ARNm.
Selon le Wall Street Journal : « En mai 2009, les philanthropes milliardaires se sont réunis à huis clos au domicile du président de l’université Rockefeller à Manhattan. Cette réunion secrète était sponsorisée par Bill Gates. Ils se sont baptisés « The Good Club ». Parmi les participants figuraient feu David Rockefeller, Warren Buffett, George Soros, Michael Bloomberg, Ted Turner, Oprah Winfrey et bien d’autres. »
En mai 2009, le Wall Street Journal et le Sunday Times ont rapporté (John Harlow, Los Angeles) que « certains des milliardaires américains les plus influents se sont rencontrés en secret pour réfléchir à la manière dont leur richesse pourrait être utilisée pour ralentir la croissance de la population mondiale et accélérer les améliorations dans les domaines de la santé et de l'éducation. » L'accent n'a pas été mis sur la croissance de la population (c'est-à-dire Planned Parenthood) mais sur la « dépopulation », c'est-à-dire la réduction de la taille absolue de la population mondiale.
Pour lire l’article complet du WSJ, cliquez ici .
RépondreSupprimerSelon le rapport du Sunday Times :
Les philanthropes qui ont participé à un sommet organisé à l’initiative de Bill Gates, le cofondateur de Microsoft, ont discuté de la possibilité d’unir leurs forces pour surmonter les obstacles politiques et religieux au changement.
L'article du Dr Chossudovsky est accessible ici et est cité dans mon propre livre, Our Country, Then and Now .
Ce n’est un secret pour personne que l’eugénisme et le contrôle de la population sont depuis longtemps un objectif des mondialistes en général et de la famille Rockefeller et de Bill Gates en particulier. Le « Good Club » réunit Gates et David Rockefeller, ainsi que plusieurs autres milliardaires célèbres. Le récent livre de Robert F. Kennedy Jr., The Real Anthony Fauci: Bill Gates, Big Pharma, and the Global War on Democracy and Public Health , cite de nombreux exemples où la Fondation Bill et Melinda Gates a promu l’utilisation à grande échelle de vaccins en Afrique avec pour objectif sous-jacent probable la réduction de la population. En Europe, le Club de Rome et ses ramifications, dont le Forum économique mondial, ont fait pression pour des objectifs similaires.
En ce qui concerne les chiffres bruts, Ted Turner, membre du « Good Club » et fondateur de CNN, a déclaré :
« Une population totale de 250 à 300 millions de personnes, soit une baisse de 95 pour cent par rapport aux niveaux actuels, serait idéale. » — cité dans le McAlvany Intelligence Advisor , juin 1996.
Il convient ici de mentionner Aurelio Peccei, cofondateur du Club de Rome, à l'origine de l'idée du Forum économique mondial, et sa justification de la nécessité d'institutions supranationales pour faire face aux crises mondiales. Cela implique la nécessité implicite d'affaiblir la souveraineté des États-nations pour que le mondialisme réussisse. C'est sous cet angle que la destruction de l'économie productrice américaine a été entreprise par l'externalisation industrielle et a été réalisée dans les décennies qui ont suivi la publication de l'ouvrage fondateur de Peccei, The Chasm Ahead.
La relation entre les Rockefeller et Peccei remonte au 11 avril 1964, lorsque Peccei assista à une réunion du groupe Bilderberger à Williamsburg, en Virginie, où il rencontra David Rockefeller, alors président et directeur général de la Chase Manhattan Bank. Rockefeller était également le superviseur du Council on Foreign Relations, le principal groupe de réflexion mondialiste américain.
J'ai lu le récit de cette rencontre entre Rockefeller et Peccei des décennies après les faits. Cela m'a particulièrement intéressé, car j'étais là ! Pas à leur réunion, bien sûr, mais à la Williamsburg Lodge où se tenait la conférence. J'étais alors membre du club d'actualité du lycée local et nous avions été invités à écouter quelques discours. Au cours de ma vie et de ma carrière d'analyste gouvernemental, j'ai été témoin de nombreux événements d'importance historique. Pensez-y, j'étais également à proximité de ce qui aurait pu être l'élaboration de plans visant à détruire une grande partie de la race humaine !
Au milieu des années 1970, la promotion de la réduction de la population était devenue la politique officielle du gouvernement américain. Comme le montre le site Web de Human Life International (3 janvier 2024) :
RépondreSupprimerLe Conseil de sécurité nationale des États-Unis est l'organe décisionnel suprême en matière de politique étrangère des États-Unis. Le 10 décembre 1974, il a rédigé un document top secret intitulé National Security Study Memorandum ou NSSM-200 , également appelé Rapport Kissinger , car Henry Kissinger était secrétaire d'État à l'époque de sa rédaction.
Le sujet du rapport NSSM-200 est « Les implications de la croissance démographique mondiale pour la sécurité et les intérêts des États-Unis à l’étranger ». Ce document, publié peu après la première grande conférence internationale sur la population à Bucarest, est le fruit d’une collaboration entre la Central Intelligence Agency (CIA), l’Agence américaine pour le développement international (USAID) et les départements d’État, de la Défense et de l’Agriculture.
Le NSSM-200 a été rendu public lorsqu'il a été déclassifié et transféré aux Archives nationales des États-Unis en 1990.
Le rapport indique :
L'économie américaine aura besoin de quantités croissantes de minéraux provenant de l'étranger, en particulier des pays les moins développés. Ce fait donne aux États-Unis un intérêt accru à la stabilité politique, économique et sociale des pays fournisseurs. Partout où une diminution de la pression démographique grâce à une baisse du taux de natalité peut accroître les perspectives d'une telle stabilité, la politique démographique devient pertinente pour l'approvisionnement en ressources et pour les intérêts économiques des États-Unis.
Il faut noter qu'Henry Kissinger a été un associé à vie de l'empire financier Rockefeller et qu'il a même été envisagé à un moment donné d'être nommé coordinateur général de tous les investissements Rockefeller.
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On peut aussi soutenir que les États-Unis tentent depuis des décennies de limiter la souveraineté des États-nations et la croissance démographique des pays les moins développés par le biais du Fonds monétaire international, en assortissant leurs politiques de prêts prédatrices de « conditionnalités ». Ces conditions comprennent la privatisation des services publics, la réduction des salaires des fonctionnaires, la réduction des prestations sociales, la conversion de la production agricole en produits d’exportation, le vote « correct » à l’ONU, l’ouverture de leurs économies aux investissements de capitaux occidentaux à des taux d’intérêt élevés, etc.
Les sanctions américaines ont également joué un rôle, comme celles contre l’Irak au milieu des années 1990, dont la secrétaire d’État Madeleine Albright a reconnu qu’elles avaient causé la mort de 500 000 enfants irakiens. « Cela valait la peine », a-t-elle déclaré à un journaliste de télévision. Les sanctions contre la Russie pour la guerre en Ukraine ont sans doute le même objectif que celles prises par les États-Unis après la chute de l’Union soviétique dans les années 1990 pour s’accaparer des ressources contre la Russie.
Aujourd’hui, on peut néanmoins affirmer que les tactiques de réduction démographique mondialiste, appliquées contre des régions du monde moins développées ou hostiles, mais souvent riches en ressources, sont intentionnellement tournées contre les populations des nations occidentales elles-mêmes et ne sont pas simplement la conséquence de multiples décisions politiques prises sans objectif sous-jacent. Aux États-Unis, nous avons assisté à une augmentation rapide et radicale des disparités de richesse entre riches et pauvres et à l’affaiblissement du filet de sécurité sociale par des mesures telles que la réduction des bons d’alimentation et des prestations Medicaid. Seul un aveugle n’aurait pas pu savoir que ces mesures entraîneraient une augmentation de la pauvreté et de la mortalité dans les secteurs à faible revenu.
RépondreSupprimerEn raison de l’inflation, causée au moins en partie par les profits des entreprises, l’accès au logement, à la nourriture, à l’éducation et aux transports est de plus en plus inaccessible, le coût de la vie élevé favorisant les familles plus petites. L’avortement à la demande comme mesure de contrôle des naissances fait depuis longtemps partie du programme libéral, le suicide médicalement assisté devenant courant avec la distribution de morphine par les hospices. La promotion du programme LGBT a également pour conséquence la réduction du nombre d’enfants.
Mais la pandémie de Covid-19 a peut-être marqué une étape majeure dans l’assaut du monde développé contre l’humanité. C’est encore Robert F. Kennedy Jr. qui a rassemblé les détails sur la manière dont les confinements sociaux, les fermetures d’entreprises, la fermeture des écoles et la censure de la dissidence avaient été anticipés par deux décennies d’exercices d’entraînement et de planification discrets, avec une forte participation militaire. L’un d’entre eux, « Event 201 », s’est déroulé juste avant le début de la pandémie de Covid-19 à l’université Johns Hopkins, parrainé par Bill Gates et le Forum économique mondial.
Dans son dernier livre, The Wuhan Cover-Up and the Terrifying Bioweapons Arm Race, RFK Jr. évoque la prolifération massive de laboratoires d’armes biologiques sponsorisés par les États-Unis dans le monde entier, qui mènent des recherches sur la militarisation des virus sous le terme de « gain de fonction ». Ce n’est qu’au cours des deux dernières années que le « gain de fonction » est devenu une expression courante.
Il semble presque que les élites qui contrôlent la société occidentale aient décidé que la guerre ouverte ne suffisait pas à atteindre leurs objectifs de dépopulation et qu’il fallait donc rechercher une autre solution. Ce qu’elles semblent avoir découvert, c’est l’inculcation délibérée de pandémies. La COVID, y compris le « vaccin » mortel à ARNm, a peut-être été leur premier essai.
Bien entendu, le Covid n’est pas la première atrocité médicale commise par Big Pharma, le gouvernement américain et la profession médicale. Une autre est l’épidémie d’autisme probablement causée par la prolifération des vaccins infligés aux enfants. Selon le Dr Lewis Coleman de l’American Geopolitical Institute :
Nous n’avions jamais vu cela à l’école primaire, mais aujourd’hui, c’est une épidémie, sans parler de tous les dégâts causés par le Covid long et d’autres effets de la « vaccination ». On frémit à l’idée de ce à quoi ressemblera la société dans 20 ans. Les enfants atteints de ces maladies peuvent détruire des familles et détourner l’attention des besoins des enfants en bonne santé. Et cela ne compte pas toutes les fausses couches, les victimes du Covid long et les morts subites des injections d’ARNm, ni les innombrables patients paralysés par des maladies chroniques comme la maladie de Parkinson, causées par la pollution de notre nourriture, de notre eau et de notre air.
Fichier:Citation de Bill Gates MSC 2017.png
RépondreSupprimerPar Hildenbrand / MSC, sous licence CC BY-SA 3.0
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Le programme mondial de dépopulation dépasse les capacités de ses stabilisateurs
En attendant, les mondialistes ont pris des mesures dans les domaines de l’économie et de la technologie pour préparer le terrain à un effondrement massif de la population mondiale . L’une de ces mesures a été la peur disproportionnée du « changement climatique » et la prétendue conversion aux sources d’énergie renouvelables qui rendraient les nations industrielles avancées dépendantes des panneaux solaires et des éoliennes. Le meilleur exemple est la destruction de l’économie allemande par le parti des Verts, qui a déjà réussi à fermer toutes les centrales nucléaires du pays. Un autre point d’attaque a été la centralisation et la numérisation des monnaies. Un autre a été la promotion de l’intelligence artificielle dans les processus industriels, bien que les mondialistes n’aient pas révélé qui achèterait tous les biens produits par l’automatisation sans fin si le public consommateur avait « disparu ».
Une autre ruse a été de centraliser la production alimentaire en confiant à un nombre toujours plus réduit d’entreprises la responsabilité de l’approvisionnement. On a notamment invoqué des menaces contre l’approvisionnement alimentaire par le biais de ce que l’on pourrait appeler le « terrorisme biologique », comme l’hystérie croissante autour de la « grippe aviaire » avec des actions comme celles de la gouverneure du Michigan Gretchen Witmer qui a menacé d’une répression de type militaire qui pourrait aboutir à de nouveaux abattages massifs de volailles et de bovins, déjà alarmants. En fait, la « grippe aviaire » pourrait bien être la mystérieuse « maladie X » contre laquelle certains mettent aujourd’hui en garde.
Un article du 6 mai 2024 de Julian Rose dans l’ Activist Post intitulé « Madkind-v-Mankind — A Race Against Time » donne une description graphique de l’avenir envisagé par les contrôleurs :
« The Great Reset » est le nom approprié du plus récent événement de réglage de l'horloge initié par Madkind.
Elle a fixé quelques dates clés dans son agenda pour le transfert de la vie organique dans un sosie robotique contrôlé numériquement, dans le but de rendre l'humanité obsolète.
Elle identifie les horizons 2025/26, 2030 et 2045/50 comme des marqueurs utiles pour atteindre des phases particulières de cette ambition.
Nous connaissons le plan de jeu de Madkind car il est explicitement énoncé dans l’Agenda 2030 de l’ONU et dans la Quatrième révolution industrielle/New Deal vert du Forum économique mondial.
Sur le plan financier, pour commencer, une monnaie numérique de banque centrale avec un programme de conformité au crédit social pour contrôler l'accès des individus à leurs comptes bancaires est prévue pour 2026 environ.
La stagnation économique mondiale et des vagues de famine humaine sont prévues pour suivre.
RépondreSupprimerD'ici 2030, le programme de Madkind stipule que le processus de numérisation et d'intelligence artificielle (IA) aura usurpé une grande partie de la capacité de réflexion émotionnelle et rationnelle de l'humanité ; les pouvoirs naturels de reproduction étant également stérilisés et soumis par une géo-ingénierie atmosphérique toujours croissante, la dénaturation de l'eau et des aliments, les fréquences électromagnétiques (CEM) et les programmes de vaccination militarisés.
D'ici la même date, environ 50 % des aliments devraient être fabriqués dans des laboratoires industriels, de manière synthétique, génétiquement modifiée et sans aucun lien avec le sol.
Les insectes sont en tête de liste des substituts protéiques, une fois que le lait, la viande et les œufs ont été « retirés du menu » en raison de leur identification comme complices de l'invention folle de Madkind sur le réchauffement climatique.
La production d'énergie devrait être en grande partie séparée des pratiques de combustion de combustibles fossiles à cette même date, remplacée par ce qu'elle considère comme des solutions « vertes » prenant le relais de l'alimentation de ce qui reste de l'industrie productive.
D'ici 2045/50, Madkind se voit aux commandes avec sa politique dite « Net Zero » (pas de dioxyde de carbone) ayant encore réduit la biodiversité naturelle et les populations mondiales à une fraction des niveaux actuels, remplaçant l'humanité par la version cyborg transhumaine de l'IA et une race d'esclaves de l'humanité préservée pour des tâches subalternes inadaptées aux robots.
Il s’agit d’une liste purement indicative et sommaire, car il y a bien plus de folies en préparation que ce qui est mentionné ici. Et Madkind a un plan B, C et D si A ne se concrétise pas (à temps).
Pour se le rappeler encore mieux, il suffit de lire la description de Mad Schwab sur la quatrième révolution industrielle et la déclaration de Mad Harari : « Nous ferons mieux que Dieu. »
Censure
Nous ne sommes absolument pas censés communiquer entre nous sur ce sujet. Depuis que le président Joe Biden a pris ses fonctions en 2021, le gouvernement américain s’est lancé dans une attaque majeure contre la liberté d’expression. Comme le rapporte le Brownstone Institute dans un article intitulé « Book Burning Goes Digital » :
En mars 2021, la Maison Blanche de Biden a lancé une campagne de censure ouvertement inconstitutionnelle pour empêcher les Américains d’acheter des livres politiquement défavorables sur Amazon.
L'effort, mené par les censeurs de la Maison Blanche, dont Andy Slavitt et Rob Flaherty, a commencé le 2 mars 2021, lorsque Slavitt a envoyé un e-mail à Amazon exigeant de parler à un dirigeant du site « aux niveaux élevés de propagande, de désinformation et de mésinformation ».
Les discussions qui ont suivi restent inconnues, mais des courriels récemment publiés par la commission judiciaire de la Chambre des représentants révèlent que les censeurs ont obtenu le résultat escompté. En une semaine, Amazon a adopté une politique de shadow ban.
Les responsables de l'entreprise ont écrit dans des courriels internes : « Cette demande est motivée par les critiques de l'administration Biden concernant les livres sensibles auxquels nous accordons une place de choix, et qui doivent être traités de toute urgence. » Ils ont en outre précisé que cette politique était « due aux critiques des gens de Biden », probablement à propos de Slavitt et Flaherty.
RépondreSupprimerNous pouvons généraliser en disant que le point focal du gouvernement dans ses attaques contre la liberté d’expression a principalement porté sur des sujets liés au COVID, à la « pandémie », aux vaccins, etc. Brownstone poursuit :
À l’époque, la « désinformation sur les vaccins » était le terme utilisé pour désigner des vérités qui dérangent. Cinq mois après la campagne de censure d’Amazon, Twitter a banni Alex Berenson à la demande du gouvernement pour avoir souligné que les vaccins n’empêchaient pas l’infection ou la transmission. La sénatrice Elizabeth Warren (D-MA) a cité favorablement son interdiction sur Twitter dans une lettre adressée en septembre 2021 à Amazon appelant à une censure accrue des livres.
Un processus similaire s’est produit chez Facebook. Mark Zuckerberg a écrit dans des courriels internes que la plateforme avait décidé d’interdire les allégations liées à la théorie de la fuite en laboratoire en février 2021 après « des discussions tendues avec la nouvelle administration ». Nick Clegg, un dirigeant de Facebook, a également écrit que la censure était due à « la pression exercée par l’administration [Biden] et d’autres pour en faire plus ». Un autre courriel interne de Facebook datant d’août 2021 écrivait que l’entreprise avait mis en œuvre de nouvelles politiques de « désinformation » « découlant des critiques continues de notre approche par l’administration [Biden] ».
Non seulement l’appel du régime Biden à interdire de facto la publication de livres conduit à la suppression d’informations véridiques concernant les confinements, les blessures causées par les vaccins et la théorie de la fuite en laboratoire ; il s’agit également d’une violation flagrante du premier amendement.
Voir l’article original sur Brownstone.org.
Pour un examen plus détaillé de la suppression des informations sur la pandémie de COVID par le gouvernement et les médias, voir le Substack du 8 mai 2024 du Dr Robert Malone, fortement censuré , intitulé « Mise à jour sur les effets néfastes du vaccin à ARNm contre la COVID ». Le Dr Malone déclare :
J’attends ce moment depuis des années. Le gouvernement fédéral américain commence enfin à reconnaître qu’il a forcé les citoyens (y compris le personnel militaire) de ce pays à accepter des produits injectables toxiques présentés comme des « vaccins », des produits qui contiennent ou provoquent la production par le corps des patients d’une toxine connue : la protéine Spike du SARS-CoV-2. Nous assistons maintenant à un déploiement progressif de rencontres limitées, dans lesquelles d’anciens et actuels hauts fonctionnaires fédéraux commencent à reconnaître les décès et les préjudices imputables aux diverses utilisations d’urgence de produits « vaccins » autorisés contre la COVID-19.
RépondreSupprimerBien sûr, cela survient après des années de déni officiel du gouvernement fédéral, de dissimulations, de rétention de données, de marketing manifeste de produits médicaux non autorisés (aux adultes ET aux enfants), et une campagne massive de censure/diffamation/propagande qui a touché pratiquement tous les médias grand public ainsi que les médias alternatifs. Pratiquement toutes les revues médicales évaluées par des pairs ont été récupérées et compromises, en particulier celles appartenant aux maisons d’édition partenaires du WEF Elsevier et Springer/Nature…. À cet égard, la récente révélation lors du témoignage public du Dr Peter Daszak au Congrès américain selon laquelle The Lancet (publié par Elsevier) et Nature (Springer) ont refusé de témoigner en réponse à des demandes spécifiques du Congrès.
C'est un fait que l'avalanche de censure concerne presque exclusivement la publication d'informations véridiques sur la « pandémie » de COVID ; rien n'a été attaqué par le gouvernement avec autant de véhémence sur aucun autre sujet .
Il s’ensuit que la promotion du faux récit du COVID pourrait bien être l’objectif primordial de l’administration Biden, au-delà même des questions de guerre et de paix, d’immigration illégale, de droits de l’homme ou de toute autre question. On peut même supposer que l’ objectif principal de la présidence Biden est de préparer les États-Unis et l’humanité à une dépopulation mondiale massive. Le véhicule semble désormais être le Traité de l’Organisation mondiale de la santé sur la pandémie, qui doit être mis au vote lors de la prochaine réunion de l’Assemblée mondiale de la santé de l’OMS, du 27 mai au 1er juin 2024.
Traité de l’OMS sur la pandémie
Fichier:Examen de la santé mondiale - journal.pmed.0010003.g001.png
La santé publique dans la perception gouvernementale et non gouvernementale. (Par Giovanni Maki, Bibliothèque publique des sciences / Sous licence CC BY-SA 2.5)
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L’OMS, une agence des Nations Unies, propose désormais, en grande partie de par sa propre autorité supposée, un traité sur la pandémie qui a le potentiel de paralyser le monde dans des confinements bien plus sévères que ceux qui ont eu lieu pendant la COVID, de sa seule propre initiative – si bien qu’une « pandémie » pourrait avoir lieu. L’OMS – ou quels que soient ses « patrons » – pourra imposer la vaccination obligatoire et les « passeports vaccinaux » à chaque être humain sur la planète tout en étouffant tout débat ou toute dissidence.
RépondreSupprimerLes critiques soulignent – lorsqu’ils sont autorisés à s’exprimer – qu’il n’existe absolument aucune preuve que les épidémies naturelles de maladies infectieuses soient proches de l’ampleur impliquée par le programme totalitaire de répression sociétale que le traité mettrait en œuvre. Cela laisse penser que de telles épidémies ne pourraient être provoquées que par la libération délibérée de microbes générés par la recherche et le développement « à gain de fonction », semblable à ce qui a probablement été fait avec la COVID.
L’administration Biden a déclaré son intention de devenir partie prenante de l’accord de l’OMS, mais elle a déclaré qu’elle ne donnerait pas au Sénat américain la possibilité de ratifier un tel traité comme le prévoit la Constitution américaine. Elle affirme que le traité peut être mis en œuvre par décret exécutif.
Ce traité constitue une atteinte évidente à la souveraineté de toute nation qui choisit d’y adhérer et une menace pour le caractère sacré de la personnalité de chaque individu. Aux États-Unis, la Déclaration des droits serait pratiquement suspendue.
Pour mettre en œuvre les mandats de l’OMS, l’administration Biden a créé sa propre agence de niveau exécutif, le Bureau de la politique de préparation et de réponse aux pandémies (OPPRP). Approuvée par le Congrès en 2023, l’agence « dirige, coordonne et met en œuvre des actions liées à la préparation et à la réponse aux menaces biologiques et aux agents pathogènes connus et inconnus qui pourraient conduire à une pandémie ou à des perturbations importantes liées à la santé publique aux États-Unis ». Un système bureaucratique appelé « One Health » est en cours de construction en tant que mécanisme d’organisation.
Fondamentalement, One Health vise à contrôler toutes les facettes de la vie : l’économie, l’eau, les politiques publiques, les risques pour la santé au travail, l’agriculture, le commerce mondial, le commerce, la santé environnementale, les écosystèmes, les communications, le changement climatique et accessoirement, les pandémies et la santé humaine. (« Patrick Wood explique comment One Health inclut tout, et qu’il est déjà intégré dans nos agences nationales », Meryl's COVID Newsletter , 8 mai 2024)
Les plaignants demandent ce remède de la part du Dr Ghebreyesus :
RépondreSupprimerNous exigeons que, avec effet immédiat, vous cessiez et vous absteniez de prendre d’autres mesures qui impliqueraient des communications fausses et frauduleuses aux gouvernements, provoquant ou entraînant ainsi de nouveaux cas du type de conséquences catastrophiques décrites ci-dessus.
Le procès exige également que le Dr Ghebreyesus rende des comptes personnellement :
Nous vous informons également que le fait de ne pas cesser ou de renoncer à une implication continue ou répétée dans les préjudices susmentionnés vous rendra responsable à la fois à titre personnel et professionnel. En tant qu'homme, vous ferez l'objet d'une enquête pour complot criminel. En tant que dirigeant d'entreprise, vous ferez l'objet d'une enquête pour négligence grave, faute grave dans l'exercice d'une fonction publique, fraude d'entreprise et éventuellement même pour complicité d'homicide involontaire.
Pour des informations complètes sur l’opposition du Conseil mondial de la santé à l’OMS et à ses plans et programmes, consultez leur site Web à l’ adresse https://worldcouncilforhealth.org/ .
Demandez-vous alors si l’OMS doit être chargée de l’avenir de l’espèce humaine ou si le traité de l’OMS est une prescription pour une extinction massive. Demandez-vous ensuite si l’humanité manque à ce point de respect d’elle-même pour tolérer une telle mascarade.
Opposition à l'OMS
L’opposition au Traité de l’OMS sur la pandémie se fait de plus en plus forte, notamment parmi les organisations et les individus qui sont à l’origine de la prise de conscience générale de la société face aux horreurs infligées par les autorités mondiales face à la pandémie de COVID. Dans le même temps, le monde commence seulement à prendre conscience des dommages déjà causés par les « vaccins » à ARNm administrés à des centaines de millions de personnes dans le monde.
La communication sur ces sujets vitaux continue d’être réprimée par l’administration Biden et d’autres gouvernements à travers le monde. L’urgence de la lutte contre l’imposition du Traité de l’OMS sur la pandémie n’a guère pénétré la sphère politique.
Parallèlement, la prise de conscience progresse. Aux Etats-Unis, l'Etat de Louisiane pourrait bientôt déclarer qu'il ne sera pas soumis aux mandats de l'ONU ou de l'OMS. Une législation similaire a été introduite en Oklahoma. 22 procureurs généraux d'Etat ont fait de même.
L’opposition s’est également exprimée récemment dans une lettre adressée au président Biden par les 49 sénateurs américains de la Conférence sénatoriale républicaine. Comme l’a rapporté Fox News (2 mai 2024) :
Le sénateur Ron Johnson, républicain du Wisconsin, a dirigé l'ensemble de la conférence du Sénat républicain pour appeler le président Biden à rejeter les accords qui élargiraient l'autorité de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) en cas de pandémie mondiale.
« Nous vous exhortons vivement à ne pas adhérer à un traité, une convention ou un accord lié à la pandémie qui est envisagé » à la 77e Assemblée mondiale de la santé, peut-on lire dans une lettre envoyée à Biden par Johnson et les 48 autres sénateurs républicains.
RépondreSupprimerLes sénateurs républicains ont souligné que tout accord de ce type serait considéré comme un traité, ce qui, ont-ils souligné, nécessite « l’approbation des deux tiers du Sénat en vertu de l’article I, section 2 de la Constitution ».
Le sénateur Ron Johnson a pris la tête de tous les sénateurs républicains dans une lettre adressée à Biden, l'appelant à ne pas soutenir les accords visant à étendre l'autorité de l'OMS.
L'Assemblée mondiale de la santé (AMS) se tiendra du 27 mai au 1er juin et des accords internationaux devraient y être examinés.
L'AMS est l'organe décisionnel de l'OMS, qui se réunit chaque année pour définir ses objectifs et élaborer des politiques entre les 194 États membres.
Mais face à la vague de protestations, la Grande-Bretagne, l'un des premiers pays à avoir voté contre le traité, envisage désormais de voter contre. Selon Reuters (9 mai 2024), « nous ne soutiendrons l'adoption de l'accord et ne l'accepterons au nom du Royaume-Uni que s'il est dans l'intérêt national du Royaume-Uni et qu'il respecte la souveraineté nationale », a confirmé un porte-parole du ministère britannique de la Santé et des Affaires sociales. Le gouvernement des Pays-Bas serait également opposé au traité.
Opposition populaire
Parmi les personnes qui mènent l'opposition aux États-Unis et dans le monde, on trouve le Dr Meryl Nass, une médecin du Maine dont le permis d'exercice de la médecine a été suspendu lorsqu'elle a prescrit des médicaments pour le traitement du COVID qui, bien que légaux, étaient mal vus par les autorités médicales car non conformes aux protocoles de traitement souvent mortels privilégiés par le gouvernement. Les médicaments en question étaient, bien sûr, l'ivermectine et l'hydroxychloroquine. Le Substack du Dr Nass est disponible ici .
Le Dr Nass a recommandé une série de mesures que les gouvernements souverains devraient prendre pour lutter contre le Traité de l’OMS sur la pandémie. Voir son article intitulé « Que peuvent faire les législateurs pour empêcher l’adoption de l’Accord sur la pandémie (Traité) et des amendements au Règlement sanitaire international (2005) (RSI) lors de la 77e réunion de l’Assemblée mondiale de la santé (AMS), qui se tiendra du 27 mai au 1er juin 2024 ? »
Conclusion
RépondreSupprimerPour beaucoup, l’attitude mondialiste est pleinement visible dans le célèbre commentaire attribué au prince Philip d’Angleterre par The Guardian en 2009, où il est cité comme ayant déclaré : « Si je me réincarne, j’aimerais revenir sous la forme d’un virus mortel, pour contribuer à résoudre le problème de la surpopulation. »
Nous n’avons aucune idée de l’impact net de la pandémie de COVID-19, ni de ce qu’il en sera, une fois que les effets secondaires néfastes du vaccin se feront sentir en termes de décès, de maladies et d’infertilité à long terme. Il ne fait aucun doute que la mortalité et la morbidité, y compris les effets sur la santé liés à la dépression, à la perte des moyens de subsistance, etc., se chiffrent déjà en centaines de millions .
Par exemple, comme le rapporte le Substack de Jeff Childers, le 8 mai 2024 : « Dans un récent clip du Forum économique mondial qui a fait le tour du monde cette semaine, le vétérinaire et PDG de Moderna, Stéphan Bancel, a librement admis que seize millions d'Américains souffrent désormais d'un Covid long invalidant , que la plupart d'entre nous interprètent en anglais correct par "Long Vaxx" : »
Je crois qu’il est juste de dire que les dommages causés à l’humanité par la tragédie du COVID dépassent déjà ceux de n’importe quelle guerre depuis la Seconde Guerre mondiale et peut-être de toutes les guerres sur la planète depuis le 11 septembre. Et ce n’est peut-être que le début.
Pour revenir aux considérations qui ont marqué le début de cet article, je crois personnellement que les mondialistes ont fait un grand pas en avant dans leur projet de réduction massive de la population planétaire. Mais il se pourrait aussi que les effets à venir du Traité de l’OMS sur la pandémie soient bien plus importants que tout ce qui a été observé jusqu’à présent.
Le traité de l’OMS sur la pandémie pourrait donc être la plus grande atteinte aux droits de l’homme, au gouvernement constitutionnel et au caractère sacré de la vie humaine de toute l’histoire. Et oui, j’inclus dans ce traité l’Holocauste.
Et dans notre inquiétude face aux actions de l’OMS, nous ne devons pas oublier le rôle majeur joué par l’armée américaine dans le financement et la promotion du développement d’armes biologiques. Après tout, c’est l’armée américaine qui a financé le vaccin contre la COVID.
De plus, Karen Kingston a écrit dans son Substack du 7 mai 2024 :
Le crime paie : le budget de 4,1 milliards de dollars de la DARPA pour la biologie synthétique pour 2024. Ces fonds sont utilisés pour investir dans des technologies de biologie synthétique qu'aucune société de capital-risque privée réputée ne financera parce que les applications humaines de ces biotechnologies sont criminelles.
La DARPA est l’agence de recherche avancée pour la défense (Defense Advanced Research Projects Agency), un important bailleur de fonds pour le développement de vaccins. Consultez son site Web pour lire son article intitulé « Éliminer les incertitudes dans le développement de vaccins : le programme AIM vise à exploiter les mécanismes immunitaires de l’hôte pour déterminer si les candidats vaccins offriront une protection immunitaire durable ».
Et l’armée américaine à laquelle appartient la DARPA est à 100 % sous contrôle mondialiste. Cela a été confirmé il y a longtemps par Henry Kissinger, qui a déclaré : « Les militaires sont des animaux stupides et débiles qui peuvent être utilisés comme des pions pour la politique étrangère. »
RépondreSupprimerMais il ne s'agit pas seulement des militaires. Les mondialistes nous voient tous de la même manière : comme un simple troupeau de bétail.
Comme je l'ai indiqué au début de cet article, la précipitation des événements dans l'actualité actuelle en raison des innombrables conflits et crises, y compris les troubles associés à l'élection présidentielle américaine de 2024, a empêché la gravité des actions de l'OMS d'être pleinement exposée et appréciée, non seulement parmi les classes politiques des nations du monde, mais aussi par le public en général.
Parallèlement, la prise de conscience croissante du public et des responsables politiques fait que de plus en plus de rapports indiquent que la version actuelle du Traité de l’OMS sur la pandémie n’a aucune chance d’être approuvée lors de la prochaine réunion du 27 mai au 1er juin 2024. Cela ne signifie pas, bien sûr, qu’ils ne réessayeront pas, encore et encore… ou qu’une nouvelle maladie X, Y ou Z utilisant l’amélioration par gain de fonction ne sera pas diffusée pour provoquer l’urgence tant attendue. Le clou final dans le cercueil de l’humanité serait le prochain.
*
Richard C. Cook est cofondateur et enquêteur principal de l’American Geopolitical Institute. M. Cook est un analyste fédéral américain à la retraite qui possède une vaste expérience au sein de diverses agences gouvernementales, notamment la Commission de la fonction publique américaine, la FDA, la Maison Blanche de Carter, la NASA et le Trésor américain. En tant que lanceur d’alerte au moment de la catastrophe de Challenger, il a révélé les joints toriques défectueux qui ont détruit la navette, documentant son histoire dans son livre « Challenger Revealed ». Après avoir travaillé au Trésor, il est devenu un critique virulent du système monétaire contrôlé par la finance privée, détaillant ses préoccupations dans « We Hold These Truths: The Hope of Monetary Reform ». Il a été conseiller auprès de l’American Monetary Institute et a travaillé avec le membre du Congrès Dennis Kucinich pour plaider en faveur du remplacement de la Réserve fédérale par une véritable monnaie nationale. Voir son nouveau livre, Our Country, Then and Now , Clarity Press, 2023.
« Toute entreprise humaine doit servir la vie, doit chercher à enrichir l’existence sur terre, de peur que l’homme ne devienne esclave là où il cherche à établir sa domination ! » Bô Yin Râ (Joseph Anton Schneiderfranken, 1876-1943), traduction de Posthumus Projects Amsterdam, 2014. Voir également l’édition Kober Press du Livre sur le Dieu vivant ici .
https://www.globalresearch.ca/globalists-genocide-who-pandemic-treaty/5856968
RépondreSupprimerUn nouveau syndrome cardiaque mystérieux toucherait 90 % de la population américaine
Tour d’horizon de la propagande COVID : les dernières mises à jour sur la « nouvelle normalité » – relatant les mensonges, les distorsions et les abus de la classe dirigeante.
Par Ben Bartee
Recherche mondiale,
29 octobre 2024
Un nouveau syndrome cardiaque toucherait 90 % de la population américaine, affirme l'American Medical Association, sans explication
Via American Heart Association , octobre 2023 (soulignement ajouté) :
« Les experts de la santé redéfinissent le risque , la prévention et la gestion des maladies cardiovasculaires (MCV), selon un nouvel avis présidentiel de l'American Heart Association publié aujourd'hui dans la revue phare de l'association, Circulation.
Plusieurs aspects des maladies cardiovasculaires qui se chevauchent avec les maladies rénales, le diabète de type 2 et l’obésité soutiennent la nouvelle approche. Pour la première fois, l’American Heart Association définit le chevauchement de ces maladies comme le syndrome cardiovasculaire-rénal-métabolique (CKM) . Les personnes atteintes ou à risque de maladie cardiovasculaire peuvent être atteintes du syndrome CKM…
Selon la mise à jour statistique 2023 de l'American Heart Association, 1 adulte américain sur 3 présente au moins trois facteurs de risque contribuant aux maladies cardiovasculaires, aux troubles métaboliques et/ou aux maladies rénales. La CKM affecte presque tous les principaux organes du corps, notamment le cœur, le cerveau, les reins et le foie . Cependant, l'impact le plus important se situe sur le système cardiovasculaire, affectant les vaisseaux sanguins et la fonction du muscle cardiaque, le taux d'accumulation de graisse dans les artères, les impulsions électriques dans le cœur et plus encore.
Bien que la désignation diagnostique CKM n'ait été concrétisée que l'automne dernier, selon des données récemment publiées par le Journal of the American Medical Association, 90 % des Américains pourraient en être atteints.
Via Healthline :
« Une nouvelle étude a révélé qu’environ 90 % des Américains pourraient souffrir du syndrome cardiovasculaire-rénal-métabolique (CKM) .
Les risques sont plus élevés chez les personnes âgées, les hommes et les personnes noires, selon le rapport, publié mercredi dans le JAMA.
L'American Heart Association (AHA) a introduit un nouveau système de stadification en 2023, appelé syndrome CKM , pour mieux traiter et gérer les maladies cardiovasculaires, rénales et métaboliques, car elles sont profondément liées et nécessitent souvent une approche multidisciplinaire.
Le syndrome CKM est un trouble systémique qui présente des liens entre les maladies cardiaques, les maladies rénales, le diabète et l’obésité.
D'après le Journal of the American Medical Association :
RépondreSupprimer« Près de 90 % des adultes américains répondaient aux critères du syndrome CKM (stade 1 ou supérieur) et 15 % répondaient aux critères des stades avancés, aucun des deux ne s'étant amélioré entre 2011 et 2020. L'absence de progrès peut en partie refléter une amélioration et une aggravation concomitantes de différents facteurs de risque au fil du temps. Des différences substantielles entre les sous-groupes en ce qui concerne les stades avancés ont été observées, les personnes âgées, les hommes et les adultes noirs présentant un risque accru. »
Un taux de diagnostic de 90 % pour une maladie néonatale affectant plusieurs organes simultanément semble nécessiter une réflexion profonde , délibérée et complète au sein de la communauté médicale — le type de mobilisation massive de ressources observée lors de l'opération Warp Speed — pour découvrir les causes profondes, qui, dans d'autres contextes, comme la migration de masse, suscitent une curiosité exceptionnelle de la part d'entités comme Karamel-uh.
… À moins, bien sûr, que les véritables soins de santé ne soient pas l’objectif primordial du type de « soins de santé » institutionnalisés et corporatisés défendus par les autorités dirigeantes et l’industrie.
Il n’est pas nécessaire d’avoir un diplôme d’épidémiologie pour comprendre que ce qui déclenche des défaillances fonctionnelles dans plusieurs organes à la fois chez 90 % d’une population provient probablement d’une source omniprésente dans l’environnement, comme l’approvisionnement alimentaire, l’eau ou la pointe d’une seringue remplie d’une certaine thérapie génique expérimentale – ou les trois à la fois.
Pourtant, et vous serez choqué d’apprendre cela, en parcourant toute la littérature sur la CMK diffusée par les médias grand public et les organisations médicales comme l’AMA, il y a un manque palpable d’intérêt à poser des questions fondamentales.
Ce qui les intéresse , et ce à quoi nous pouvons nous attendre, ce sont de nouveaux médicaments brevetés pour CMK, pour le plus grand plaisir des actionnaires de Pfizer et de Merck.
« Mieux vaut prévenir que guérir » est un anathème pour le modèle économique de l’industrie, et nous obtenons donc le paradigme inverse.
https://www.globalresearch.ca/heart-syndrome-affects-90-us-population/5857170
Bombe : « Vous aviez raison, les vaccins tuent des millions de nos proches ». L'ancien ministre japonais de l'Intérieur s'excuse auprès des non-vaccinés
RépondreSupprimerPar Sean Adl-Tabatabai et le professeur Michel Chossudovsky
Recherche mondiale,
29 octobre 2024
[Ceci est une traduction de l'IA en japonais.]
* * *
Description :ンは私たちの愛する人の何百万人もの人を殺している」
ミシェル・チョスドフスキーによる入門ノート
Note introductive de Michel Chossudovsky
Au Japon, le vaccin à ARNm a été lancé en février 2021, prétendument comme un moyen de protéger la population japonaise contre un « virus tueur » inexistant.
Plus de 206 millions de doses ont déjà été administrées. La population japonaise n’a pas été informée des dangers du vaccin à ARNm.
En décembre 2021, le ministère japonais de la Santé a autorisé les rappels des vaccins Moderna et Pfizer, soulignant le « faible taux d'effets secondaires tels que la myocardite ».
Selon les premiers avis du ministère japonais de la Santé (qui étaient similaires à ceux appliqués dans de nombreux pays) :
« Le gouvernement recommande aux gens de se faire vacciner car les avantages de la vaccination sont supérieurs au risque de réactions secondaires. » (soulignement ajouté)
Ce qui précède est trompeur, comme le souligne la déclaration courageuse de l’ancien ministre de l’Intérieur Kazuhiro Haraguchi :
« Vous aviez raison, les vaccins tuent des millions de nos proches »
」
« Ils essaient de bloquer notre liberté, notre résistance, notre pouvoir. Mais nous ne perdrons jamais. »
Haraguchi a lancé un appel à l’action.
Il a exhorté le peuple à rester uni pour défier le gouvernement et ses décisions douteuses.
«Renversons ce gouvernement»
a-t-il proclamé, soulignant la nécessité du changement et de la responsabilité.
Il a appelé les législateurs à continuer de lutter pour la vie et les libertés des citoyens : « Faisons en sorte que cela arrive », a-t-il conclu.
Surmortalité (Japon) (2020-2022)
Au Japon, le vaccin a été lancé début 2021.
- voir graph sur site -
Suicides au Japon suite au confinement (2020)
- voir graph sur site -
Notez la hausse des taux de suicide immédiatement après le confinement de mars 2020 (Source : Ministère de la Santé, de la Protection sociale et du Travail/Graphique : Jason Kwok et Natalie Croker, CNN)
.
« Le nombre de suicides au Japon est bien plus élevé, sans doute exacerbé par les répercussions économiques et sociales de la pandémie, que par la maladie COVID-19 elle-même. [ …] Les statistiques provisoires de l’Agence nationale de police montrent que les suicides ont bondi à 2 153 rien qu’en octobre [2020], marquant le quatrième mois consécutif d’augmentation. » Rapport CBS de novembre 2020 (soulignement ajouté)
Suicides parmi les écoliers japonais
Un rapport de 2021 du ministère japonais de l'Éducation confirme que le suicide parmi les écoliers japonais a atteint un niveau record au cours de l'année scolaire 2020. Le rapport du ministère de l'Éducation suggère que
« La pandémie a provoqué des changements dans l'environnement scolaire et familial et a eu un impact sur le comportement des enfants » . (Pour plus de détails, voir le chapitre 6 du livre de Michel Chossudovsky)
*
RépondreSupprimerUne note sur mon livre intitulée :
La crise mondiale du coronavirus, un coup d'État mondial contre l'humanité
publié pour la première fois en japonais en avril 2022.
仕組まれたコロナ危機 :
仕組まれたコロナ危機:「世界の初期化」を目論む者たちTankobon Softcover
deミ シ ェ ル ・ チ ョ ス ド フ ス キ ー (Michel Chossudovsky) (著),岩間 龍男 (翻訳)
En anglais, il est disponible sous forme de livre électronique. (Voir ci-dessous).
Je reste redevable à l'éditeur japonais qui a publié et promu mon livre malgré les pressions politiques et un climat de censure. Mes remerciements vont aussi bien à l'éditeur qu'au traducteur.
Le récit frauduleux concernant le « vaccin » Covid s’effondre dans différentes parties du monde.
En Californie, la Cour du 9e circuit a statué que les injections d’ARNm contre la COVID-19 ne sont pas des « vaccins ».
En Allemagne, les autorités sanitaires ont reconnu le caractère dévastateur et les impacts des confinements liés au Covid, du port obligatoire du masque facial et des « vaccins » expérimentaux à ARNm.
Depuis le début, Global Research a couvert quotidiennement les effets dévastateurs du « vaccin ». Notre objectif est de SAUVER DES VIES.
En solidarité avec le peuple japonais.
En solidarité avec les peuples du monde entier.
Michel Chossudovsky , Global Research, 11 juin, 24 juin 2024
https://www.globalresearch.ca/japanese-leader-apologizes-unvaccinated-vaccines-killing-loved-ones/5859677
Blessure liée au vaccin contre la COVID-19 : des pilotes décèdent en vol
RépondreSupprimerPar John O'Looney
Recherche mondiale,
28 octobre 2024
Les pilotes tombent comme des mouches.
On ne peut pas voler sans un vaccin.
Je ne peux plus voler du tout maintenant.
Ils ont même déplacé les objectifs pour qu'ils puissent passer l'examen médical concernant la fonction cardiaque parce que beaucoup d'entre eux sont maintenant foutus mais veulent travailler.
Et quand on nous fait voler, toi et moi, peu leur importe qu'on arrive à destination sain et sauf ou non.
tweet sur site :
" Les pilotes tombent comme des mouches
On ne peut pas voler sans un vaccin
On ne peut plus voler du tout maintenant
Ils ont même déplacé les poteaux de but pour qu'ils puissent passer l'examen médical concernant la fonction cardiaque parce que beaucoup d'entre eux sont maintenant foutus mais veulent travailler
Et nous faire voler, toi et moi, ça ne leur importe pas si on y arrive sain et sauf ou non"
https://www.globalresearch.ca/covid-vaccine-injury-pilots-die-in-flight/5871286
Plus de 30 écoliers américains sont morts subitement cette semaine alors que les décès augmentent parmi les personnes vaccinées contre le COVID
RépondreSupprimerPar Baxter Dmitry
Recherche mondiale,
28 octobre 2024
Au moins trente écoliers américains dont les parents avaient été informés que les vaccins à ARNm contre la COVID étaient « sûrs et efficaces » sont décédés soudainement et de manière inattendue aux États-Unis cette semaine, alors que le nombre de décès continue d'augmenter parmi les personnes vaccinées.
De nombreux enfants sont morts à la suite d’urgences médicales, notamment d’arrêts cardiaques et d’accidents vasculaires cérébraux, alors que les médecins préviennent qu’ils sont désormais régulièrement témoins de troubles « uniques dans la vie » chez les enfants.
« C’est la nouvelle norme… les cancers turbo, morts subitement. Mon ami a perdu trois amis en une semaine ! Les cancers turbo comme celui-ci étaient pratiquement inexistants avant les vaccins contre la COVID », explique Steve Kirsch, scientifique et chercheur en vaccins au MIT.
Combien de temps faudra-t-il avant que notre société puisse avoir une discussion ouverte et honnête sur ce qui arrive aux personnes vaccinées contre le Covid sous nos yeux ?
Lillian Costello, 13 ans, de Norton, est décédée subitement et de manière inattendue mardi à l'hôpital Sturdy Memorial d'Attleboro.
Selon une collecte de fonds GoFundMe , Lilly était une élève de septième année à la Norton Middle School et une fière membre du conseil étudiant. Elle aimait également être membre du club de photographie et participait aux pom-pom girls.
Finley Kruchten a souffert d'une « embolie pulmonaire massive » alors qu'il était en cours au lycée de Denmark début octobre, selon la page GoFundMe de sa famille .
Finley a été transporté à l'hôpital Northside Forsyth, puis à l'hôpital Northside Gwinnett, où il a été déclaré mort.
Lucy Nash, élève de quatrième année du Kentucky, est décédée subitement et de manière inattendue après avoir subi un arrêt cardiaque.
« Le premier jour d’école, Lucy s’est effondrée et a eu un problème cardiaque », peut-on lire sur une page GoFundMe de la famille. « Son petit cerveau est resté plusieurs minutes sans oxygène pendant qu’ils essayaient de lui sauver la vie. »
Ovet Gomez-Regalado, un lycéen de 15 ans du Kansas, est décédé deux jours après avoir subi une urgence médicale . Le joueur de football s'est effondré soudainement sur le terrain lors d'un entraînement.
L'adolescent de 15 ans s'est effondré et est décédé après avoir effectué 40 minutes d'exercices légers, selon le district scolaire de Hopewell, en Virginie.
RépondreSupprimerPendant ce temps, le personnel du lycée Franklin de Baltimore pleure la perte soudaine de Leslie Noble, 16 ans, membre de l'équipe de football de l'école.
L'adolescent est décédé alors qu'il participait à des exercices légers lors du premier entraînement de la saison mercredi à Reisterstown et qu'il était victime d'une urgence médicale.
« J'ai vu un groupe de camions de pompiers, d'ambulances, et tout ce que je savais, c'est qu'ils disaient qu'un enfant s'était effondré sur le terrain », a déclaré Sharon Johnson, membre du personnel du lycée Franklin.
Malheureusement, la longue liste des décès continue, y compris des victimes anonymes dont les familles ont demandé que leur identité reste anonyme en raison de leur âge.
Par exemple, une jeune fille de 14 ans, dont la famille a requis l'anonymat, a été victime d'une urgence médicale pendant un cours d'éducation physique à Houston. Selon la Marshall Middle School :
« Aujourd'hui a été une journée très difficile pour la communauté de Marshall MS. Un élève de la Marshall Middle School a subi une urgence médicale sur le campus aujourd'hui. Les services médicaux d'urgence sont intervenus rapidement à l'école et l'élève a été transporté à l'hôpital. Les parents de l'élève ont été rapidement prévenus et se sont rendus à l'école. »
Cependant, dans un courriel adressé aux parents, qui nous a été fourni par un parent de l'école secondaire Marshall, le directeur a déclaré :
« L’un de nos élèves de huitième année est décédé. Cette perte va certainement susciter de nombreuses émotions, inquiétudes et questions dans toute notre école, en particulier chez nos élèves. »
Beaucoup de questions, en effet.
- voir clip sur site :
https://www.globalresearch.ca/us-schoolchildren-died-suddenly/5871269
RépondreSupprimerVidéo : La mort mystérieuse du Dr Kary Mullis, le critique le plus connu du Dr Fauci
Par Greg Reese
Recherche mondiale,
28 octobre 2024
Le regretté Dr Kary Mullis, l'inventeur du test PCR, dénonce Fauci et les grandes sociétés pharmaceutiques depuis 30 ans.
- voir clip sur site :
https://www.globalresearch.ca/video-mysterious-death-dr-fauci-most-notable-critic/5871158
5 endroits les plus sûrs pendant la loi martiale (Pendant la loi martiale, la constitution, vos droits civils et toute autre loi existante peuvent être suspendus, alors faites ce que vous pensez être nécessaire pour conserver une sorte de justice et de contrôle sur votre propre vie et votre sécurité.)
RépondreSupprimerBy Madge Waggy
MadgeWaggy.blogspot.com
October 28, 2024
Le terme de loi martiale est effrayant pour la plupart des gens. Il évoque des images de blocages militaires, de points de contrôle armés et surveillés, d'inspections régulières et de perte de droits. La plupart des personnes éprises de liberté ont probablement raison d'être inquiètes à l'idée même que la loi martiale puisse être mise en œuvre.
Avec l'état du monde actuel, en raison de l'ingérence croissante des gouvernements à tous les niveaux de la société et des fossés culturels et idéologiques toujours plus grands, certains sont convaincus que ce n'est qu'une question de temps avant que l'impensable ne se produise ici chez nous.
Cela changera certainement la donne. Le leadership civil au niveau local disparaîtra. La police ne sera plus véritablement responsable de l'application de la loi. Au lieu de cela, l’armée prendra le contrôle des deux, avec tout ce que cela implique.
Je pense que même le plus fervent partisan de l’armée ne veut pas que cela se produise, et il a raison à cet égard. Beaucoup de choses peuvent mal tourner avec la loi martiale, et chaque fois que l’armée est responsable de l’application de la loi, le décor est planté pour un désastre.
Il est temps maintenant de commencer à réfléchir à ce que vous ferez et où vous irez si la loi martiale est instaurée au niveau local, régional ou national.
Essayer de suivre le mouvement et de s’entendre peut aboutir à un mauvais résultat en fonction de la tension de la situation. Espérer le meilleur ne garantit pas un bon résultat, et par conséquent, vous feriez bien de rester à l’écart des ennuis si la loi martiale est déclarée.
Pour vous aider dans cette démarche, nous vous proposons une liste de cinq endroits où vous pourriez réussir à vous cacher des pires effets de la loi martiale.
La loi martiale pourrait-elle réellement être instaurée ?
La loi martiale est déclarée plus souvent dans le monde que la plupart des gens ne le pensent, et bien qu’elle soit rare et historiquement peu utilisée aux États-Unis, il existe toujours un précédent pour cela, et elle s’est déjà produite et il n’y a pas aussi longtemps que la plupart des gens le pensent.
Bien que la déclaration de la loi martiale soit considérée comme légale sur la base de nos lois fédérales et étatiques, cela ne signifie pas qu’elle est bonne pour vous ou pour le pays.
Une chose à garder à l’esprit est que la loi martiale ne signifie pas nécessairement un remplacement d’un océan à l’autre des dirigeants civils et des forces de l’ordre par un équivalent militaire.
La loi martiale peut être déclarée à un niveau local limité, dans une ville ou une municipalité donnée, au niveau d’un État, au niveau régional national ou même au niveau fédéral complet d’un océan à l’autre.
Pour tout ce qui n’est pas les événements à petite échelle les plus intenses et les plus turbulents, une déclaration régionale ou nationale de la loi martiale signifie généralement que quelque chose de vraiment terrible s’est produit, ou que le gouvernement a raison de craindre que les citoyens soient sur le point de les supprimer sans aucun doute.
Ce que vous devez retenir de tout cela, c'est que même si la loi martiale pourrait certainement être mise en œuvre aux États-Unis et qu'elle le sera probablement dans un avenir proche, cela signifie également que dans la plupart des situations, il y aura des endroits qui ne seront pas soumis à une déclaration de loi martiale.
Gardez cela à l'esprit, gardez la tête froide et laissez-nous prendre le temps de nous préparer en conséquence.
RépondreSupprimerComment la vie changera-t-elle sous la loi martiale ?
À l'heure actuelle, vous faites peut-être partie de ces bons citoyens honnêtes qui croient que parce que vous êtes un citoyen respectueux des lois, qui paye des impôts et qui croit toujours en votre pays, à tort ou à raison, et à la primauté du droit, vous n'avez rien à craindre d'une déclaration de loi martiale.
Après tout, nos soldats, nos marins et nos aviateurs sont tous des gentils, n'est-ce pas ? C'est un sentiment courant, mais qui disparaît presque toujours dans une bouffée de vapeur immédiatement après avoir appris ce que la loi martiale signifie réellement pour le citoyen ordinaire.
D'abord et avant tout, la loi martiale signifie un changement majeur dans la gestion quotidienne d'un lieu, un changement dans la façon dont les affaires sont menées.
Vous devez absolument vous attendre à des fouilles régulières, des contrôles et même des confiscations de produits de contrebande. Comme toujours, c'est pour des raisons de sécurité, mais la vraie question est de savoir pour la sécurité de qui ?
Naturellement, un couvre-feu sera mis en place et appliqué avec plus ou moins de force, mais vous pouvez vous attendre à ce que toute violation du couvre-feu soit sanctionnée par des représailles importantes, y compris la détention.
Lorsque vous vous déplacez d'un endroit à un autre, vous pouvez vous attendre à ce qu'on vous demande de présenter des papiers, que votre personne et votre véhicule soient fouillés et que tout bien que vous possédez soit saisi.
Mais le plus flagrant, c'est que vos droits civils, presque tous, seront annulés et suspendus pendant la durée de la déclaration de la loi martiale dans la zone concernée.
Cela signifie que vous n’avez pas le droit d’aller où que ce soit, vous n’avez pas le droit de vous réunir, le droit de porter des armes, le droit à la vie privée contre la confiscation ou la fouille et aucun droit à ne pas être détenu sans inculpation formelle.
C’est ainsi que les gens se retrouvent « remis » ou détenus indéfiniment sans inculpation.
J’espère avoir toute votre attention maintenant. J’espère que je vous ai fait comprendre à quel point il est important de choisir quand et où se cacher ou rester pendant une déclaration de loi martiale.
La sécurité est votre priorité numéro un sous la loi martiale
Il est essentiel de comprendre que la loi martiale affectera votre vie de toutes sortes de façons. Socialement, économiquement et potentiellement physiquement.
Les enjeux pour vous, personnellement, sont très élevés si vous vivez dans une zone sous la loi martiale. Vous devez comprendre que tout endroit où vous pourriez aller, s’il s’agit d’un endroit sous la déclaration, ne sera pas vraiment sûr, seulement plus sûr.
Chaque poste sur la liste ci-dessous implique des compromis, et vous devrez évaluer ces compromis et ensuite décider en fonction des circonstances de votre vie, de votre famille et d’autres considérations.
Il ne faut pas non plus oublier que pour éviter les ennuis et éviter l’attention de l’armée et des autres autorités dans une zone touchée par la loi martiale, il ne s’agit pas simplement de se fondre dans la foule et de s’occuper de ses propres affaires.
RépondreSupprimerToutes vos informations personnelles, y compris vos statistiques vitales, vos contacts personnels, les membres de votre famille, vos informations financières et bien plus encore sont toutes collectées, facilement disponibles et très sensibles, ce qui signifie qu’un accès régulier aux systèmes électroniques et le transport d’un smartphone ou d’un appareil similaire signifient que chaque partie de vous, presque jusqu’à votre ADN, est suivie presque en temps réel.
Vous ne devez pas penser qu’il est possible à notre époque de simplement quitter la ville, de vivre et de travailler sous un faux nom et d’être payé en espèces sans que personne ne s’en aperçoive.
Bien sûr, cela aurait pu fonctionner à l’époque, mais cela ne suffira pas cette année.
Pour dissiper une telle idée, il suffit d'un seul contact solitaire et potentiellement involontaire sur un certain nombre de systèmes électroniques utilisant des informations liées et associées à votre véritable identité.
Il s'agit d'un piège difficile à éviter et qui devient de plus en plus difficile à éviter chaque jour.
Gardez cela à l'esprit lorsque vous lisez la liste ci-dessous et sachez que les défis associés à l'ère de l'information ont été pris en compte lors de l'élaboration de notre liste.
5 endroits sûrs où se cacher pendant la loi martiale
En dehors des limites de la zone touchée
La solution la plus efficace et la plus élégante pour éviter les problèmes et les tribulations associés à la vie dans une zone sous loi martiale est probablement de simplement sortir de cette zone touchée.
Quoi qu'il arrive, il est peu probable qu'une mise en œuvre massive de la loi martiale à l'échelle régionale ou nationale se produise.
En fonction d’une projection de réponse établie pour contrer des incidents localisés ou régionaux de moindre ampleur, vous pouvez vous attendre à ce que la loi martiale soit en vigueur dans une infime fraction du pays lorsqu’elle sera en vigueur.
La solution est donc simple. Si possible, faites vos valises et partez ailleurs avec votre famille.
En fonction des spécificités de la déclaration, cela peut se faire à travers l’État, au-delà des frontières de l’État ou même à travers le pays. N’excluez rien et préparez-vous à devoir déménager un peu plus loin que vous ne le souhaiteriez.
Bien que cela puisse être un défi terrible, la bonne nouvelle est que la vie continuera plus ou moins comme d’habitude dans les zones qui ne sont pas sous la loi martiale.
En fonction de votre famille et de votre situation financière, vous pourriez même envisager de tout laisser tomber en vacances avec une location prolongée, que ce soit un condo ou une maison, voire un hôtel de séjour prolongé.
Si votre profession se prête au travail à domicile et surtout au travail à distance via Internet, tant mieux, car cela ne fera qu’augmenter l’attrait de cette réponse.
Aussi bonne que soit cette option, vous devez prévoir le pire scénario possible, celui d’une extension ou d’une mise en œuvre de la loi martiale ailleurs.
RépondreSupprimerSi vous vous rendez dans une zone susceptible de voir la loi martiale déclarée, vous pourriez être confronté à l’erreur classique de sauter de la poêle à frire dans le feu.
Évaluez soigneusement si le refuge potentiel est connu pour son importance commerciale, industrielle ou politique ou s’il connaît actuellement des niveaux accrus de troubles susceptibles de provoquer une réponse sérieuse du gouvernement.
La nature sauvage
Si vous avez une mentalité de prepper conventionnelle, votre plan par défaut pour toutes sortes de problèmes sociaux pourrait simplement être de vous diriger vers la campagne profonde.
Je ne pense pas qu’il soit exagéré d’affirmer qu’une déclaration de loi martiale, en particulier en réponse à des troubles civils, serait définitivement qualifiée de trouble social !
S’aventurer dans la nature sauvage peut certainement vous échapper de la loi martiale et des soldats qui l’appliquent, c’est donc une réponse significative, mais plus que la plupart, ce plan présente des inconvénients importants qui vont de pair avec les avantages. Commençons par le bon côté des choses, puis nous passerons au mauvais.
Dans la colonne du parc, tant que vous n’êtes pas à proximité d’une zone d’intérêt stratégique, vous n’aurez pas à vous soucier des relations quotidiennes avec les soldats ou d’autres fonctionnaires comme vous le feriez si vous étiez à proximité d’une civilisation actuellement sous l’effet de la loi martiale.
Cela vous permettra de vous détendre et de vivre généralement comme vous le feriez dans ces circonstances. De plus, le fait que vous soyez loin de la majeure partie de la population signifie que l’attention ne sera pas dirigée vers vous à moins que vous ne soyez déjà recherché.
Cependant, vous échangez un ensemble de problèmes, ceux représentés par la loi martiale, contre un autre ensemble de problèmes, représenté par les défis et les difficultés inhérents à la vie en dehors du réseau, dans la nature sauvage.
Tous vos besoins de survie, du logement à la nourriture et à l'eau en passant par les considérations de sécurité, doivent être pris en compte jour après jour, sinon vous commencerez à vous sentir sous pression.
RépondreSupprimerPour tout ce qui n'est pas le plus habile des preppers vivant dans les climats les plus abondants et les plus agréables, cela signifie une certaine dépendance aux fournitures et, par conséquent, au réapprovisionnement.
Cette option peut être hors de question pour certaines personnes, entièrement en fonction du climat et de la météo globale de l'endroit où elles vivent. Le type d'abri qui vous convient dépend entièrement de votre groupe ou de votre situation familiale ainsi que du climat.
Dans certaines régions, se retirer dans la nature est une condamnation à mort virtuelle, tandis que dans d'autres, le temps sera plus ou moins agréable si le temps le permet.
Néanmoins, c'est une option viable et vous devriez l'envisager si vos compétences en matière de survie et de subsistance en plein air sont à la hauteur du défi. Si ce n'est pas le cas, ou si vous vivez dans un environnement hostile, ne l'envisagez pas du tout, à moins que vous n'ayez pas d'autre choix.
Une petite ville
La vie dans une petite ville est attrayante pour beaucoup de gens, et elle présente également de nombreux avantages lorsque nous essayons de faire face au problème existentiel de la loi martiale.
Tout d'abord, en supposant que vous ayez affaire à une mise en œuvre régionale ou généralisée de la loi martiale, les petites villes sont moins susceptibles d'être stratégiquement ou tactiquement importantes et donc moins susceptibles d'être sérieusement surveillées par des soldats et d'autres fonctionnaires.
Il est même tout à fait possible qu'il n'y ait aucune présence militaire active dans la région.
Au-delà des avantages évidents d'être moins susceptibles de tomber sous l'œil vigilant des forces militaires, la culture des petites villes pourrait les rendre tout à fait plus adaptées pour supporter la loi martiale pendant que vous y êtes, que la ville soit ou non affectée correctement.
Les liens plus forts entre les gens et leurs liens avec la communauté signifient que les gens sont plus susceptibles de se serrer les coudes et de s'entraider en cas de problème.
Du moins, ils le sont si vous êtes connu d'eux et en règle avec la communauté. Les méchants et les étrangers sont moins susceptibles d'être traités avec hospitalité, c'est le moins qu'on puisse dire.
RépondreSupprimerIl convient également de noter que les petites villes, en particulier les communautés agraires, sont beaucoup plus susceptibles de pouvoir subvenir à leurs besoins de manière significative pendant les retombées économiques et logistiques qui résulteront d’une mise en œuvre sérieuse de la loi martiale.
La nourriture, l’eau et d’autres produits de première nécessité seront probablement plus abondants, de même que les compétences nécessaires pour se les procurer davantage. Le mode de vie des ouvriers est vivant, en bonne santé et florissant dans les petites villes, ce qui engendre une culture de préparation et de courage personnels.
Il convient toutefois de considérer les effets de deuxième et de troisième ordre qui sont susceptibles d’affecter les petites villes si la loi martiale est déclarée pour des raisons de sécurité intérieure.
Nos militaires ont appris à maintes reprises que les petites villes et leur nature insulaire sont souvent propices à l’accueil ou à la révolte des insurgés, et les forces partisanes ou gorilles ont souvent, tout au long de l’histoire, compté sur des villages et des petites villes reculés dans le cadre de leur réseau clandestin.
Il va sans dire que l’armée dispose déjà de plans bien établis et efficaces pour faire face à une telle éventualité.
Dans une grande ville
Au premier abord, cela peut sembler contre-intuitif. Comment un grand centre de population est-il un bon endroit pour se cacher pendant la loi martiale, alors que les grands centres de population seront, invariablement, soumis de manière disproportionnée à la surveillance et au contrôle par rapport aux autres endroits ?
Comme le dit le vieil adage, le moyen le plus simple de cacher un zèbre est de se cacher dans un troupeau d’autres zèbres. Un nombre massif de citoyens entraîne des foules massives, et si vous pouvez devenir un simple visage dans cette foule de centaines de milliers, voire de millions, vous avez beaucoup moins de chances d’avoir des interactions négatives avec les forces militaires tant que vous jouez bien vos cartes et que vous êtes prudent.
Maintenant, vous devez comprendre que si vous continuez à participer à votre vie quotidienne, ou à ce qui se passe dans les circonstances, vous aurez très probablement des interactions avec des policiers ou d’autres fonctionnaires.
Cela ne signifie pas que vous passerez inaperçu ou indétectable, cela signifie simplement que vous ne serez qu’un autre visage dans une mer littéralement infinie d’autres visages pour les personnes chargées de contrôler la zone.
Depuis que le virus non spécifié d'origine inconnue a frappé le monde, les mandats concernant les vaccinations, les injections et les dérogations médicales sont omniprésents et risquent d'être un facteur pendant un certain temps.
RépondreSupprimerCe sont toutes des choses auxquelles vous devez réfléchir bien à l’avance, car vous ne voulez certainement pas avoir affaire à elles dès votre arrivée.
Conclusion
La perspective d’une mise en œuvre sérieuse de la loi martiale aux États-Unis est terrifiante pour beaucoup, et bien que cela soit encore statistiquement improbable, les chances que cela se produise sont plus élevées qu’elles ne l’ont été depuis six décennies et ne font qu’augmenter.
Il est temps maintenant de commencer à réfléchir à l’endroit où vous irez si votre maison est affectée par une déclaration de loi martiale.
https://madgewaggy.blogspot.com/2024/10/5-safest-places-during-martial-law.html
La Commission européenne défend le steak Frankenstein et s’oppose à toute loi nationale qui l’interdirait
RépondreSupprimerle 27 octobre 2024
par pgibertie
La Commission européenne défend le steak Frankenstein ! Budapest tente de protéger nos assiettes, Bruxelles préfère les éprouvettes. 5 pays s’y opposent. Budapest a 3 mois pour céder ou risquer des sanctions.
Selon les documents publiés dans la base de données TRIS de la Commission, la loi proposée par Budapest, notifiée à l’UE le 10 juillet, ne serait pas conforme au règlement européen relatif aux nouveaux aliments, et menacerait la libre circulation des marchandises sur le marché intérieur.
L’interdiction est injustifiée « car elle pourrait anticiper la procédure d’autorisation harmonisée pour les nouveaux aliments au niveau de l’UE, qui comprend une évaluation scientifique par l’EFSA [Autorité européenne de sécurité des aliments] », peut-on lire dans l’avis de l’exécutif européen.
Des organisations d’agriculteurs et des consortiums d’AOP de République tchèque, de France, d’Italie, de Pologne, du Portugal et d’Espagne veulent parallèlement se mobiliser contre l’Autorité européenne de sécurité des aliments, selon une lettre consultée par Euractiv et envoyée au directeur général de l’EFSA, Bernhard Url.
Ces organisations s’opposent à la mise à jour des lignes directrices sur les nouveaux aliments, publiée fin septembre, et plus particulièrement aux nouvelles exigences pour les demandes d’autorisation de produits dérivés de cultures cellulaires.
La lettre est également signée, entre autres, par le Consortium du Parmigiano Reggiano, installé dans la région où se situe l’EFSA, dont le siège est à Parme.
« Bien que les nouvelles procédures d’autorisation soient plus détaillées, il existe des lacunes substantielles sur plusieurs aspects », soulignent les organisations en rappelant la note approuvée par 17 ministres de l’Agriculture en janvier 2024. Cette dernière demandait que la viande cultivée en laboratoire soit soumise à certains des mêmes critères d’évaluation que les nouveaux médicaments et les produits pharmaceutiques.
Les organisations annoncent également « une mobilisation pour s’opposer à la position prise par l’Autorité et demander le blocage de toutes les procédures d’autorisation pour les produits cultivés en laboratoire ».
La Commission et les États de l’UE rejettent l’interdiction de la viande cultivée en laboratoire voulue par Budapest
https://pgibertie.com/2024/10/27/la-commission-europeenne-defend-le-steak-frankenstein-et-soppose-a-toute-loi-nationale-qui-linterdirait/
American Pravda : Le sucre est-il la drogue la plus mortelle sous forme de poudre blanche ? • 44m ▶
RépondreSupprimerRON UNZ
28 OCTOBRE 2024
Bien que je lise le New York Times tous les matins depuis près de 45 ans, je suis progressivement devenu de plus en plus dégoûté par ce journal, et je le dis parfois dans mes articles.
Par exemple, en 2016, j'écrivais :
Depuis des décennies, je lis attentivement plusieurs grands journaux tous les matins, et depuis quelques années, j'ai remarqué une baisse frappante de la qualité de leur couverture scientifique, comme en témoigne la section Science hebdomadaire du New York Times. Alors que par le passé, les découvertes spectaculaires en biologie évolutive ou en physique pouvaient être évoquées dans les pages de ce journal, de nos jours, la couverture semble de plus en plus orientée vers les applications pour téléphone et les régimes et les applications pour téléphone pour les régimes.
J’ai toujours considéré les livres sur les régimes comme l’exemple par excellence d’un contenu sans valeur, quel que soit le nombre de millions d’exemplaires qu’ils peuvent vendre, et au fil des ans, j’ai vu un nombre infini de régimes à la mode mentionnés dans mes journaux – le régime Atkins, le régime South Beach, le régime Beverly Hills, le régime Paleo, le régime Low-Carb – sans jamais avoir eu le moindre intérêt à les lire. Il m’a toujours semblé assez évident que si vous mangez trop, vous allez probablement grossir, et que la bonne solution est simplement de manger moins ou peut-être de faire plus d’exercice. En attendant, une meilleure santé nutritionnelle peut être maintenue en mangeant moins de beignets et en s’en tenant davantage aux recommandations nutritionnelles scientifiques émises par le gouvernement, y compris la fameuse pyramide alimentaire que je me souviens avoir apprise à l’école primaire, probablement à partir de la deuxième ou de la troisième année. Les batailles acharnées sur des objectifs politiques contradictoires sont une chose, mais de bonnes recommandations nutritionnelles sont une simple question de science objective, sur laquelle personne ne peut raisonnablement être en désaccord.
Mon point de vue sur toutes ces questions n’a commencé à changer qu’il y a quelques mois, lorsque j’ai eu l’occasion de déjeuner avec un éminent professeur de médecine. La plupart de nos discussions ont porté sur les questions de Covid et de vaccination, mais à un moment donné, le sujet des régimes alimentaires et de la nutrition a été abordé, et il a dit quelque chose sur les changements dans notre compréhension de ces questions qui se sont produits au cours des dix ou vingt dernières années, en grande partie provoqués par le travail d’un journaliste scientifique particulier et ses livres. Le nom qu’il a mentionné ne me disait rien, mais étant un peu curieux de savoir ce qu’il avait décrit, je l’ai noté. Je me souvenais aussi à moitié qu’il y a quelques années, j’avais lu quelque chose dans le Times sur cette controverse, mais je n’y avais pas prêté beaucoup d’attention. Un jour ou deux plus tard, j’ai parcouru Amazon et après avoir essayé quelques orthographes possibles du nom, j’ai trouvé l’auteur en question et ses livres, et j’en ai commandé quelques-uns. Lorsqu’ils sont arrivés, ils ont été mis dans une pile avec beaucoup d’autres, et j’ai finalement réussi à les lire quelques semaines plus tard.
Les révolutions idéologiques visant à renverser des générations d’orthodoxie établie sont souvent menées par des individus inconnus et sans accréditation et lancées depuis des lieux obscurs, ce qui nécessite de nombreuses années d’efforts déterminés avant de commencer à attirer l’attention du public. Mais parfois, les circonstances sont différentes, et c’était le cas dans ce cas.
Gary Taubes a obtenu un diplôme de physique appliquée à l’université de Harvard, puis un master l’année suivante à l’université de Stanford. Se tournant vers le journalisme, il a obtenu un deuxième master dans ce domaine à l’université de Columbia en 1981 et a rejoint l’équipe de Discover en 1982, entamant une carrière réussie dans le journalisme scientifique en écrivant pour cette publication, Science, et divers autres magazines au cours des années qui ont suivi. Compte tenu de son parcours, il s’est d’abord concentré sur la physique et au cours de ses douze premières années, il a publié quelques livres très appréciés sur ce sujet. En cours de route, il a remporté trois fois le prix Science in Society Journalism Award de la National Association of Science Writers, devenant ainsi le seul écrivain américain à avoir cette distinction.
RépondreSupprimerIl s’agit évidemment d’une solide réputation dans le grand public, et lorsqu’il a finalement reporté son attention sur la nutrition et conclu que des décennies de notre sagesse conventionnelle dans ce domaine avaient été gravement erronées, les rédacteurs en chef l’ont pris très au sérieux. Au début des années 2000, le New York Times était probablement proche du sommet de son influence médiatique, et en 2002, le Times Sunday Magazine a publié « Et si tout cela n’était qu’un gros mensonge ? » comme article de couverture de 8 000 mots, commençant par le paragraphe suivant plutôt dramatique :
Si les membres de l’establishment médical américain devaient vivre un cauchemar collectif du type « se retrouver nu sur Times Square », ce pourrait être celui-là. Ils ont passé 30 ans à ridiculiser Robert Atkins, auteur du best-seller phénoménal « La révolution diététique du Dr Atkins » et de « Le Dr Atkins
Si les membres de l’establishment médical américain devaient vivre un cauchemar collectif du type « se retrouver nu sur Times Square », ce serait peut-être celui-là. Ils ont passé 30 ans à ridiculiser Robert Atkins, auteur des best-sellers phénoménaux « La révolution diététique du Dr Atkins » et « La nouvelle révolution diététique du Dr Atkins », accusant le médecin de Manhattan de charlatanisme et de fraude, pour finalement découvrir que l’impénitent Atkins avait raison depuis le début. Ou peut-être est-ce cela : ils découvrent que leurs propres recommandations diététiques – manger moins de graisses et plus de glucides – sont la cause de l’épidémie d’obésité qui fait rage en Amérique. Ou peut-être simplement cela : ils découvrent que les deux affirmations ci-dessus sont vraies.
Et si tout cela n’était qu’un gros mensonge ? Gary Taubes • The New York Times Sunday Magazine • 7 juillet 2002 • 7 800 mots
Aussi loin que je me souvienne, les experts gouvernementaux en santé et les médias nous ont informés que la consommation d’aliments gras était mauvaise pour la santé et entraînait des risques beaucoup plus élevés de crises cardiaques, d’accidents vasculaires cérébraux, d’obésité et de nombreuses autres maladies. Bien que je n’aie jamais prêté beaucoup d’attention à ces questions, j’ai toujours présumé que ces faits étaient vrais, comme la plupart des autres Américains.
Des décennies de tels messages médiatiques nous ont dit que les petits déjeuners américains traditionnels à base de bacon, de saucisses et d’œufs, souvent servis avec des morceaux de beurre – des aliments débordants de graisse et donc engraissants – devaient être remplacés par des aliments plus sains tels que le granola, les fruits et le yaourt. Une grande partie de notre population a fini par tenir compte de ces avertissements et a fait exactement cela.
La Suède, soucieuse de sa santé, avait initialement développé la pyramide alimentaire en 1972 et elle a rapidement été promue en Amérique, de sorte que je me souviens l’avoir vue de temps en temps dès mes années d’école primaire.
RépondreSupprimer- voir schéma pyramide sur site -
Selon ce cadre nutritionnel, un régime alimentaire sain s’appuyait sur des aliments à base de céréales, comme le pain, le riz et les pâtes, complétés par des quantités substantielles de fruits et de légumes. Ensemble, ces glucides végétaux devaient fournir la majeure partie des calories quotidiennes. Les produits d’origine animale comme le lait, le fromage, la viande, le poisson et les œufs étaient riches en protéines et en graisses et devaient être consommés avec modération, tandis que les portions d’aliments gras et de sucreries devaient être réduites au minimum. Beaucoup d’entre nous n’ont naturellement pas respecté ces directives, mais elles représentaient l’étoile polaire du mode de vie sain que nous étions tous encouragés à adopter.
Mais selon l’article à succès de Taubes, tout cela n’était qu’un « gros mensonge gras ». Comme il le racontait, les aliments gras étaient des aliments sains et en manger était le meilleur moyen de rester mince, tandis que les fruits et les yaourts allégés étaient exactement le genre d’aliments dangereux qui favorisaient l’obésité. Je suis sûr que pour ceux qui suivaient de près ces questions, ces affirmations farfelues devaient ressembler à une déclaration selon laquelle les pierres tombent vers le haut.
Cependant, je n’avais jamais eu personnellement d’intérêt pour ces questions de nutrition, et lorsque l’article de Taubes est sorti à la mi-2002, j’étais principalement concentré sur la guerre en Afghanistan déclenchée par les attentats du 11 septembre et sur les efforts dangereux des néoconservateurs pour promouvoir une attaque contre l’Irak, tout en étant également très absorbé par mes campagnes d’initiatives « anglaises » dans le Massachusetts et le Colorado. Donc, même si je suis sûr d’avoir dû lire l’article de couverture de Taubes dans le Times Magazine et de m’être dit « Hmmm… c’est intéressant », il ne m’avait jamais fait une profonde impression et je l’avais vite oublié.
D’autres, cependant, ont réagi différemment. Les déclarations choquantes de Taubes lui ont valu beaucoup de temps d’antenne dans diverses émissions de télévision et d’autres reportages d’actualité, ainsi qu’un contrat d’édition avec une généreuse avance de 700 000 dollars de Knopf, l’un des éditeurs américains les plus prestigieux. Il y eut aussi des détracteurs, comme le Center for Science in the Public Interest, un mouvement de Nader, qui attaqua ses affirmations avec force. Quelques mois plus tard, un journaliste scientifique beaucoup plus conventionnel fit de même dans le magazine Reason. Cette dernière attaque déclencha une série d’échanges qui totalisèrent un nombre remarquable de 17 000 mots. En les lisant récemment pour la première fois, j’ai pensé que Taubes semblait avoir le dessus. Mais les échos de la controverse persistante s’atténuèrent peu à peu, tandis que Taubes se consacra à cinq années de recherche scientifique et historique pour étoffer l’argument surprenant qu’il avait présenté dans le Times.
Au cours de cette période, il semble avoir confirmé ses soupçons selon lesquels non seulement la science de la nutrition, mais aussi la science des questions de santé en général, étaient bien moins solides que la physique qu’il avait étudiée à l’université et étudiée au début de sa carrière de journaliste. Au moment même où son nouveau livre était enfin prêt à être publié, le Times Sunday Magazine a publié son article de 8 000 mots sur les arguments scientifiques très faibles et hésitants en faveur de l’utilisation généralisée de la thérapie de substitution hormonale et sur la nature extrêmement douteuse des études épidémiologiques qui avaient été utilisées pour la justifier.
RépondreSupprimerSavons-nous vraiment ce qui nous rend en bonne santé ?
Gary Taubes • The New York Times Sunday Magazine • 16 septembre 2007 • 8 000 mots
C’est exactement cette même histoire de conclusions scientifiques gravement erronées qui ont pu nuire à la vie et à la santé de dizaines de millions d’Américains qui était le thème central de Good Calories, Bad Calories, qui pesait 600 pages, dont une bibliographie contenant plus de 1 500 entrées sur 67 pages. Étant donné la visibilité médiatique de l’auteur et sa notoriété passée sur ces questions, son livre est rapidement devenu un best-seller, propulsé utilement par un extrait assez long dans le Wall Street Journal.
La dernière fois que j’ai eu une expérience substantielle de ce sujet, c’était pendant quelques semaines de mon cours de santé en 10e année. En tant que personne presque totalement ignorante, j’ai trouvé son analyse extrêmement intéressante. Taubes a soutenu que tout ce que j’avais toujours accepté à propos de la science supposément établie de la nutrition était en fait bien plus complexe et controversé que je ne l’aurais jamais imaginé.
Tout au long de ma vie, les médias grand public m’ont toujours dit que les aliments gras étaient riches en quelque chose appelé cholestérol qui augmentait considérablement le risque de crise cardiaque et d’accident vasculaire cérébral, et n’ayant aucun intérêt ni expertise dans ces domaines, j’avais naturellement supposé que c’était vrai. Mais Taubes a soutenu de manière assez convaincante que cette conclusion était basée sur des preuves scientifiques extrêmement fragiles et pourrait être totalement fausse, une montagne de cette couverture médiatique ayant été construite sur à peine un timbre-poste de preuves scientifiques plutôt douteuses. Le journaliste médical du Times qui a critiqué son livre a souligné favorablement l’une de ses déclarations percutantes :
Depuis le début de l’hypothèse régime-cœur au début des années 1950, ceux qui soutenaient que les graisses alimentaires causaient des maladies cardiaques ont accumulé l’équivalent probant d’une mythologie pour étayer leur croyance. Ces mythes sont encore fidèlement transmis jusqu’à nos jours.
Ce même décalage grave entre les preuves factuelles minimales et les croyances largement répandues était également vrai en ce qui concerne le lien supposé entre la consommation de sel et l’hypertension artérielle, les fibres alimentaires et le cancer du côlon, ainsi que divers autres problèmes de santé. Mais la mythologie concernant l’alimentation et l’obésité en était le pire exemple.
RépondreSupprimerComme l’a documenté Taubes, dès les premiers jours de la science nutritionnelle du XIXe siècle et pendant des générations après, il était très largement admis que les régimes riches en glucides tels que les pâtes, le pain, les pommes de terre et surtout le sucre faisaient généralement grossir et que la meilleure façon de perdre du poids était de renoncer à ces aliments. Pourtant, dans l’après-guerre, des preuves scientifiques plutôt rares ou mal interprétées ont convaincu certains nutritionnistes américains énergiques de développer une compréhension entièrement différente de l’obésité, basée sur l’hypothèse que toutes les calories étaient essentiellement interchangeables et que, comme les aliments gras étaient beaucoup plus denses en calories que les glucides ou les protéines, ils devaient être évités pour perdre du poids. Comme l’a dit Taubes de manière évocatrice, leur argument simple revenait au dogme selon lequel l’obésité était causée par les deux péchés traditionnels que sont la gloutonnerie (manger trop) et la paresse (faire trop peu d’exercice). Cela m’a toujours semblé intuitivement plausible et je l’ai accepté comme vrai toute ma vie.
Mais Taubes a fait valoir que cela ignorait complètement les faits endocrinologiques sous-jacents, qui étaient bien plus complexes. Comme il l’a expliqué, les gens grossissent parce que leurs cellules adipeuses grossissent, absorbant plus de molécules de graisse qu’elles n’en libèrent pour être utilisées dans le reste du corps, un processus régulé par diverses hormones, en particulier l’insuline. Lorsque des glucides tels que l’amidon et les sucres sont ingérés, l’insuline est libérée dans la circulation sanguine, ce qui conduit les cellules adipeuses à absorber les graisses plutôt qu’à les libérer, tandis que le foie convertit l’excès de sucre sanguin en molécules de graisse pour ce stockage. Mais manger des aliments gras ou des protéines n’a pas le même impact sur la libération d’insuline, ce qui contribue à expliquer la sagesse populaire traditionnelle selon laquelle les glucides sont des aliments qui font grossir.
L’idée simpliste selon laquelle toutes les calories sont les mêmes pour contrôler son poids ne tient pas compte de ces facteurs hormonaux cruciaux. Alors que la consommation de graisses ou de protéines apaise notre faim, la consommation de glucides et surtout de sucre stimule la libération d’insuline, qui peut en fait déclencher indirectement d’autres sensations de faim, conduisant ainsi à une suralimentation.
C’est sur cette base scientifique que reposait le régime éponyme promu par le Dr Robert Atkins, dont le livre à succès de 1972 l’a rendu très riche même s’il a suscité le mépris amer de la quasi-totalité de l’establishment médical américain. Le régime Atkins et ses nombreuses variantes à peu près similaires permettaient au praticien de manger des aliments riches en graisses ou en protéines en grande quantité, voire en quantités illimitées, tout en limitant strictement la consommation de glucides, en particulier de sucres. Pendant des générations, de telles notions ont été la sagesse conventionnelle des nutritionnistes traditionnels, mais cette idée scientifique avait été si complètement expurgée que lorsque Atkins l’a redécouverte empiriquement, ses vues ont été traitées comme une hérésie.
Certains des arguments avancés par Taubes m’ont semblé au départ totalement contre-intuitifs, mais ils sont devenus raisonnablement plausibles après mûre réflexion.
Par exemple, il semblait presque évident que les gens grossissent parce qu’ils mangent trop et font trop peu d’exercice, mais Taubes a soutenu que la flèche de la causalité pointait en fait dans la direction opposée, suggérant que devenir gros était en fait la cause plutôt que la conséquence de la suralimentation et du manque d’activité physique. Il a expliqué que les humains grossissent lorsque leurs contrôles hormonaux défaillants provoquent la conversion en graisse d’une trop grande quantité de sucre sanguin dissous et son absorption par les cellules adipeuses, qui ne parviennent alors pas à les libérer correctement. Le manque de carburant corporel circulant disponible pour le fonctionnement cellulaire déclenche alors le réflexe de faim tout en obligeant l’individu à conserver son énergie en minimisant l’activité physique.
RépondreSupprimerDans les exemples les plus extrêmes, l’auteur a cité des études de cas documentées de sujets qui étaient manifestement plutôt gros tout en présentant simultanément des symptômes évidents de famine, leurs tissus musculaires et autres organes étant désespérément cannibalisés pour le carburant que leur corps ne pouvait extraire du tissu adipeux normalement destiné à cet effet. Bien qu’il puisse sembler logiquement impossible qu’un individu soit à la fois gros et émacié, une telle condition existait en réalité, et des souches de rats de laboratoire pouvaient être spécialement élevées pour présenter ces caractéristiques lorsqu’elles étaient privées de nourriture suffisante.
Taubes avait manifestement investi beaucoup de temps dans l’étude de l’histoire scientifique et de la santé publique qui avait produit nos politiques actuelles, et un aspect surprenant de son récit était à quel point de nombreux tournants cruciaux semblaient avoir été étonnamment contingents.
Par exemple, la bataille pour savoir si les graisses alimentaires étaient vraiment nocives faisait rage depuis quelques décennies au milieu des années 1970, avec d’éminents experts universitaires en nutrition des deux côtés et le camp anti-graisse gagnant progressivement du terrain mais sans aucune décision claire. En effet, selon Taubes, une grande partie du soutien croissant à cette hypothèse n’avait absolument rien à voir avec des études de recherche ou même des problèmes de santé, mais était en partie alimentée par l’inquiétude croissante que la surpopulation condamnerait le monde à la famine à moins que les régimes alimentaires des pays riches ne passent de la viande à des produits végétaux bien plus efficaces, tout cela avant que la Révolution verte de l’agronome Norman Borlaug n’élimine la menace de la faim dans le monde. Ainsi, une fois que le régime alimentaire américain traditionnel riche en viande est devenu « politiquement incorrect » pour ces raisons géopolitiques totalement indépendantes, on a eu tendance à conclure qu’il était également mauvais pour la santé, même si les preuves à l’appui étaient plutôt minces et ambiguës.
Taubes a souligné le jour unique qui a joué le plus grand rôle dans l’élaboration de la politique nutritionnelle américaine et dans la consécration du dogme anti-graisse. En 1968, le sénateur George McGovern avait créé une commission sénatoriale sur la nutrition dans le but d’éliminer la malnutrition causée par la pauvreté. Le vendredi 14 janvier 1977, elle publiait des directives alimentaires fédérales déclarant que les Américains pouvaient améliorer leur santé en mangeant moins de graisses. L’auteur a noté que les membres du personnel qui ont pris cette décision ignoraient presque totalement le débat scientifique sous-jacent et, dans une longue note de bas de page, il a même évoqué la possibilité inquiétante qu’ils aient été poussés à prendre cette décision par la crainte que la commission soit bientôt dissoute à moins qu’elle ne puisse tirer une publicité spectaculaire de quelque déclaration publique.
Une fois que le gouvernement eut adopté cette position, le verdict a naturellement influencé les recherches ultérieures des enquêteurs de la FDA et des universitaires extérieurs dépendants du financement fédéral, de sorte que dans une certaine mesure, la doctrine anti-graisse est alors devenue une prophétie scientifique auto-réalisatrice. Et après qu’une génération de chercheurs ait consacré leur carrière à mettre en garde contre le rôle nocif des graisses alimentaires, ils sont probablement devenus très réticents à admettre plus tard qu’ils avaient peut-être fait erreur.
RépondreSupprimerEntre-temps, les intérêts commerciaux étaient également fortement engagés dans cette bataille nutritionnelle. Par exemple, les fabricants d’huile de maïs, désireux d’accroître leur part de marché aux dépens de leurs concurrents qui vendaient du beurre naturel, avaient déjà consacré deux décennies à financer la propagande sanitaire pour soutenir leurs efforts de vente auprès des consommateurs.
Comme l’explique Taubes, une fois que la communauté médicale a fermement accepté l’idée que le cholestérol contenu dans les aliments gras était responsable de risques sanitaires très graves tels que les crises cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux, cette croyance a automatiquement eu un impact sur les problèmes de contrôle du poids sans rapport avec cela. Même s’il semblait y avoir de solides preuves empiriques qu’un régime alimentaire riche en graisses était un bien meilleur moyen de contrôler ou de perdre du poids que les « aliments sains » pauvres en graisses et riches en glucides habituellement prescrits, les professionnels de la santé considéraient toujours les aliments gras comme si gravement nocifs qu’ils inventaient diverses excuses pour éviter d’approuver cette approche. Les macronutriments sont soit des graisses, des protéines ou des glucides, et si l’on croyait largement que les premiers étaient nocifs, les glucides sont nécessairement devenus l’un des principaux substituts.
En lisant le récit fascinant de Taubes sur ces évolutions, j’ai eu le sentiment que même si les preuves scientifiques ont parfois joué un rôle dans le débat de santé publique sur la nutrition, leur impact a généralement été éclipsé par des facteurs entièrement différents. Peut-être que les défenseurs universitaires d’une position étaient plus déterminés ou plus énergiques que leurs rivaux de l’autre côté ; peut-être que les entreprises vendant des aliments riches en glucides ont eu la chance d’embaucher de meilleures agences de relations publiques que leurs rivaux des aliments gras ; peut-être qu’un membre du personnel du Congrès confus et ignorant, à court de temps, a eu la chance de lire un article de magazine plutôt qu’un autre. Il semble que ce soient ces facteurs qui aient le plus influencé l’élaboration de notre politique nutritionnelle, et après son approbation finale par proclamation gouvernementale, cette politique est devenue extrêmement difficile à déloger ou à réviser, malgré ses racines peut-être erronées.
Tout ce processus ressemble un peu au cas célèbre du choix du clavier QWERTY au XIXe siècle pour la disposition des machines à écrire, qui, malgré son énorme inefficacité ergonomique, est resté la disposition standard de tous les claviers suivants pendant les 150 ans qui ont suivi, jusqu’à ceux que l’on trouve sur les iPhones d’aujourd’hui.
RépondreSupprimerBien qu’elles ne constituent guère une preuve, les tendances américaines en matière de santé au cours du dernier demi-siècle semblent soutenir les arguments nutritionnels avancés par Taubes.
Ce n’est que dans les années 1970 que notre gouvernement a fermement approuvé le remplacement des aliments gras par des glucides dans notre alimentation, en privilégiant en particulier ceux de la catégorie « aliments sains » tels que les céréales, les fruits et le pain complet. On a clairement abandonné le bacon, les saucisses et le beurre au profit des yaourts, des jus de fruits et des morceaux de viande maigres plutôt que gras. À peu près au même moment, de plus en plus d’Américains ont commencé à pratiquer régulièrement une activité physique quotidienne, notamment le jogging et les séances de gym, des activités qui étaient jusque-là presque inconnues ou même considérées comme nocives. Cette combinaison d’une alimentation moins grasse et d’exercice physique plus régulier aurait dû entraîner des changements très notables dans le poids des Américains et les problèmes de santé qui y sont liés. Et c’est ce qui s’est passé, mais exactement dans la direction opposée à ce que le cadre nutritionnel promu par le gouvernement et les médias aurait prédit.
L’obésité a toujours été un problème très mineur dans la société américaine, mais elle a soudainement grimpé en flèche. La fraction obèse de notre population était relativement stable, à un sur huit ou neuf, mais elle est passée à plus d’un sur trois au cours des trente années qui ont suivi. Pendant ce temps, le nombre d’Américains atteints de diabète a augmenté encore plus rapidement, augmentant de près de 300 %.
La longueur considérable et la forte orientation scientifique et historique du livre de Taubes ont peut-être été nécessaires pour persuader certains médecins et chercheurs en nutrition de reconsidérer leurs hypothèses de longue date, mais ces mêmes facteurs ont évidemment limité son attrait populaire.
En 2010, l’auteur a donc puisé dans la masse d’informations qu’il avait accumulée pour publier Pourquoi nous grossissons, un ouvrage beaucoup plus court et moins technique sur les mêmes sujets, d’une longueur d’environ un tiers et présenté dans un style plus décontracté et engageant destiné à le rendre beaucoup plus accessible à un large public national. En fait, la critique très favorable du Times a même décrit le nouveau livre comme une version « Cliff Notes » du précédent volume, et il est également devenu un best-seller national.
L’un des points très judicieux soulevés par Taubes était que les aliments qui ne sont entrés dans l’alimentation humaine que relativement récemment sont les plus susceptibles de causer des problèmes de santé parce que la pression sélective évolutive n’a peut-être pas eu suffisamment de temps pour modifier nos processus digestifs et d’autres systèmes biologiques pour les gérer correctement. Mais l’auteur soutient que cette préoccupation peut s’appliquer à presque tous les glucides que nous mangeons – la plupart de nos aliments de base – étant donné que leur adoption généralisée comme aliments de base n’a commencé qu’avec la révolution agricole d’environ 10 000 avant J.-C. Avant ce changement de mode de vie, notre alimentation était probablement fortement axée sur les graisses et les protéines des chasseurs-cueilleurs. Taubes a noté les énormes problèmes de santé rencontrés par les membres de la tribu Pima d'Arizona lorsqu'ils sont soudainement passés à des régimes alimentaires modernes riches en glucides.
RépondreSupprimerDouze millénaires, c’est évidemment une période assez longue pour qu’une forte pression sélective se fasse sentir et atténue considérablement ces vulnérabilités métaboliques. Mais si les conséquences négatives sur la santé d’une ingestion excessive de glucides étaient progressives et se produisaient tard dans la vie – ou étaient même largement absentes pour les groupes ne disposant pas d’une surabondance de nourriture – elles n’auraient peut-être pas été apparentes, laissant les humains modernes potentiellement encore très vulnérables. Ainsi, les risques pour la santé liés à une surconsommation de glucides pourraient être restés dans notre génome, et ne se sont manifestés qu’au cours du dernier siècle ou du deuxième siècle, lorsque certaines populations humaines ont soudainement eu accès à un approvisionnement quotidien pratiquement illimité de ces produits glucidiques.
Mais toutes ces inquiétudes générales concernant les glucides sont considérablement amplifiées dans le cas du sucre, qui n’est devenu que très récemment un élément majeur de notre alimentation. Bien que le sucre soit connu depuis plusieurs milliers d’années, jusqu’aux deux derniers siècles et à la création de grandes plantations de canne à sucre tropicales, il n’était disponible que pour les riches en quantités très limitées et était souvent considéré comme un composé médicinal ou même semi-magique aux propriétés puissantes. Il ne serait donc guère surprenant que le système digestif et le métabolisme de l’homme aient du mal à le gérer dans les très grandes quantités que nous consommons actuellement, et Taubes a fourni de nombreuses preuves scientifiques à l’appui de cette possibilité très inquiétante.
Bien que Taubes ait évoqué ces inquiétudes concernant le sucre dans ses deux livres, un an après la sortie du deuxième, il a publié un nouvel article majeur du Times entièrement consacré à ce sujet, au titre explosif.
RépondreSupprimerLe sucre est-il toxique ?
Gary Taubes • The New York Times Sunday Magazine • 13 avril 2011 •
Au cours des deux derniers siècles, le sucre est devenu l’un des composants les plus omniprésents de notre alimentation ordinaire, présent en grande quantité dans une vaste gamme d’aliments, des biscuits aux boissons sportives en passant par le ketchup, et l’idée qu’il pourrait en fait être une toxine humaine nocive ressemble exactement au type de « théorie du complot » nutritionnel que l’on pourrait s’attendre à trouver dans des recoins isolés d’Internet, débitée par des paranoïaques de la santé. Pourtant, c’est l’un de nos plus éminents auteurs scientifiques qui a défendu cette thèse dans un long article de couverture pour le New York Times Sunday Magazine, et il l’a ensuite développée dans The Case Against Sugar, un livre de 350 pages très documenté, publié une fois de plus par Knopf en 2017.
Pour prouver ma propre ignorance nutritionnelle, j’avais depuis longtemps oublié que le saccharose – le sucre de table ordinaire – est en fait constitué de molécules appariées de glucose – le sucre sanguin de base – et de fructose, un type de sucre beaucoup plus sucré que l’on trouve dans les fruits. De la salive dans notre bouche aux enzymes de notre intestin grêle, notre corps décompose rapidement l’amidon et la plupart des autres glucides en glucose, la molécule que toutes nos cellules brûlent pour produire de l’énergie. Mais le fructose appartient à une catégorie entièrement différente, et il ne peut être métabolisé que dans le foie. Taubes a souligné que forcer cet organe à gérer trop de fructose peut entraîner des dommages tissulaires à long terme, tout comme boire trop d’alcool peut entraîner une cirrhose du foie.
De plus, il a fait valoir que les dommages au foie causés par cette transformation du fructose peuvent conduire à la croissance de la résistance à l’insuline, qui pourrait être le facteur central de l’obésité et du diabète. Ainsi, l’ingestion de grandes quantités de sucre a probablement un impact sur l’obésité bien plus important que les simples calories supplémentaires fournies. Il a même émis l’hypothèse que la surproduction d’insuline qui en résulte pourrait augmenter le risque de cancer, une maladie souvent associée à l’obésité et au diabète.
Lorsque l’opinion publique s’est inquiétée à la fin des années 1970 du fait que nos boissons gazeuses et autres aliments contenaient trop de sucre, l’industrie a réagi à cette pression en remplaçant ce sucre ordinaire par du sirop de maïs à haute teneur en fructose (SHF), un composé soi-disant naturel qui semblait relativement inoffensif, était tout aussi sucré et avait l’avantage supplémentaire d’être encore moins cher. Pourtant, ironiquement, le SHF contient en fait environ 55 % de fructose pour 45 % de glucose, de sorte que cette substitution a peut-être été un peu plus dommageable pour le foie et d’autres organes internes. Et peut-être par coïncidence, les courbes en légère hausse de l’obésité et du diabète ont connu un nouveau point d’inflexion peu de temps après, marquant le début de leur augmentation ultérieure rapide.
Un autre point soulevé par Taubes est en partie une question de définition. Au cours des derniers siècles, de nouveaux « aliments-médicaments » de divers types sont devenus largement accessibles à la population mondiale pour la première fois, notamment le café, le thé et le cacao, tous généralement produits dans de grandes plantations et qui ont eu un impact important sur les modes de vie des individus, tout comme les drogues telles que le tabac, l’opium et la cocaïne. Les plantations de canne à sucre sont apparues à peu près à la même époque, et l’auteur a posé la question très intéressante de savoir si le sucre devait réellement être considéré comme un aliment-médicament d’un type similaire, peut-être légèrement addictif et ayant des effets secondaires négatifs graves, en faisant valoir que c’était le cas.
RépondreSupprimerIl y a un autre point que je ne me souviens pas avoir vu mentionné dans aucun des livres de Taubes. On a longtemps cru que le moyen le plus simple d’améliorer le goût d’un aliment était d’y ajouter de la graisse, et certaines études scientifiques ont soutenu cette idée, ce qui est parfaitement logique compte tenu de l’histoire de l’évolution humaine. Mais comme nos normes nutritionnelles récentes ont exclu l’utilisation d’un additif aussi dangereux, les fabricants de produits alimentaires ont probablement été contraints de se tourner vers d’autres options, et l’ajout de sucre supplémentaire a peut-être été le substitut qu’ils ont adopté.
Bien qu’il s’appuie largement sur l’analyse de ses livres et articles précédents, The Case for Keto, publié en 2020, se concentre directement sur les avantages pour la santé d’un régime pauvre en glucides et riche en graisses, et bénéficie de l’approbation de nombreux professeurs de médecine et nutritionnistes universitaires.
Au cours de la récente épidémie de Covid, il a été largement reconnu que l’obésité était un facteur majeur contribuant à la létalité d’une infection à Covid, et j’ai publié un article soulignant qu’à l’échelle internationale, il semblait y avoir une relation très forte entre les taux nationaux d’obésité et les taux de mortalité excessifs dans la population en âge de travailler. Pour étayer ce point, j’ai inclus un tableau comparant les deux résultats dans les dizaines de pays développés dont les statistiques étaient disponibles sur le site Web de HMD, classés par pourcentages d’obésité décroissants.
Pays - Obésité % - Mortalité en âge de travailler
RépondreSupprimerTaux, 2020-2022
États-Unis 36 Très élevé
Nouvelle-Zélande 31 Élevé
Australie 29 Élevé
Canada 29 Très élevé
Chili 28 Très élevé
Angleterre 28 Très élevé
Écosse 28 Très élevé
Hongrie 26 Faible
Israël 26 Élevé
Lituanie 26 Faible
Bulgarie 25 Élevé
Grèce 25 Élevé
Croatie 24 Faible
Lettonie 24 Faible
Espagne 24 Élevé
Luxembourg 23 Plat
Norvège 23 Très faible
Pologne 23 Faible
Belgique 22 Faible
Finlande 22 Très faible
France 22 Très faible
Allemagne 22 Plat
Islande 22 Élevé
Estonie 21 Faible
Portugal 21 Plat
Suède 21 Très faible
Autriche 20 Plat
Danemark 20 Très faible
Italie 20 Plat
Pays-Bas 20 Faible
Slovaquie 20 Plat
Slovénie 20 Très faible
Suisse 19 Faible
Corée du Sud 5 Faible
Bien que la correspondance soit loin d'être parfaite, il semble y avoir une forte relation entre les taux d'obésité des pays et leurs taux de mortalité relatifs pour 2020-2022. Tous les pays ayant les taux d'obésité les plus élevés avaient des taux de mortalité élevés ou très élevés, tandis que les pays ayant les taux d'obésité les plus bas avaient généralement des taux de mortalité faibles ou très faibles.
J'ai également noté que sur une base quantitative, la comparaison des chiffres nationaux d'obésité aux pourcentages de surmortalité en âge de travailler dans ces pays a donné des corrélations modérément fortes :
Période Obésité/Mortalité
Corrélation
2020 0,53
2021 0,55
2022 0,45
2020-22 0,56
L'obésité et la fin du débat sur la vaccination ? Ron Unz • The Unz Review • 9 janvier 2023 • 2 800 mots
Les décès excédentaires dus au Covid aux États-Unis étaient parmi les plus élevés au monde, comme on pouvait s’y attendre compte tenu de notre position près du sommet des classements mondiaux de l’obésité.
Mais après avoir analysé cet important problème de santé publique, j’ai été très surpris de découvrir que dans tous ces pays développés, les taux d’obésité nationaux les plus élevés se trouvaient non seulement aux États-Unis, mais aussi dans les autres pays anglophones comme l’Angleterre, l’Écosse, le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande, qui monopolisaient ensemble six des sept premières places. Et si Taubes a raison et que le gouvernement et les médias américains ont passé le dernier demi-siècle à promouvoir les politiques nutritionnelles totalement erronées qui ont été en grande partie responsables de notre propre épidémie d’obésité, il serait logique que celles-ci aient eu le plus grand impact sur les autres sociétés anglophones les plus fortement influencées par notre culture.
Selon les estimations du CDC, plus de 100 millions d’Américains souffrent actuellement d’obésité, ainsi que près de 15 millions d’adolescents et d’enfants, ce qui entraîne des coûts médicaux annuels de plus de 250 milliards de dollars, tandis qu’environ 74 % de tous les adultes américains sont en surpoids. L’obésité est un facteur crucial conduisant au diabète, et près de 40 millions d’Américains souffrent de cette grave maladie, tandis que plus de 115 millions d’autres souffrent de prédiabète.
RépondreSupprimerCe sont des chiffres absolument énormes, avec d’énormes conséquences sur la santé, même maintenant que la menace du virus Covid s’est largement estompée. Le diabète est la huitième cause de décès, tuant chaque année plus de 100 000 Américains, tout en contribuant à 300 000 décès supplémentaires. Entre-temps, une étude réalisée l’année dernière a indiqué que l’obésité augmentait considérablement le risque de décès, potentiellement jusqu’à 91 %, et avec autant de dizaines de millions d’Américains souffrant de cette maladie, l’impact sur la mortalité a évidemment été énorme. En comparaison, le total combiné de tous les décès par overdose de drogue est d’un peu plus de 100 000.
Si Taubes a raison et que le sucre est le principal facteur à l’origine de cette énorme épidémie d’obésité et de diabète, le nombre de morts qu’il a provoqué dépasserait de loin celui de n’importe quel médicament sur ordonnance ou illégal, et très probablement de tous les médicaments combinés. Taubes soutient même que le sucre a peut-être tué bien plus d’Américains que le tabac. Ainsi, malgré tous les discours sur l’impact dangereux des opioïdes ou de la cocaïne, la drogue « en poudre blanche » la plus mortelle de toutes est probablement celle que nous mangeons dans nos barres Snickers ou buvons dans nos canettes de Coca-Cola.
Les politiques de santé publique d’une grande société fonctionnent comme un énorme paquebot, dont le cap actuel ne peut être modifié que progressivement au fil du temps. Je pense que Gary Taubes a démontré de manière convaincante qu’il y a environ un demi-siècle, nos propres politiques nationales ont été orientées exactement dans la mauvaise direction, ce qui a finalement conduit aux problèmes de santé extrêmement graves auxquels une grande partie de notre population est aujourd’hui confrontée.
Taubes est un journaliste scientifique très respecté et, depuis plus de deux décennies, il promeut avec force ses opinions peu orthodoxes sur ces questions nutritionnelles, publiant plusieurs best-sellers nationaux dans l’une de nos principales maisons d’édition, ainsi qu’un certain nombre de longs articles très médiatisés dans le New York Times, notre média le plus influent. Compte tenu de ses efforts de longue haleine pour renverser notre orthodoxie nutritionnelle établie en synthétisant et en publiant une énorme quantité de recherches importantes sur le rôle des graisses, des glucides et des sucres, je pense qu’il serait juste de caractériser son ensemble de points de vue alternatifs sur ces questions comme l’hypothèse Taubes. Mais je me demande vraiment quel impact public son travail a réellement eu, du moins en me basant sur ma propre connaissance personnelle de ces questions.
En tant que personne qui a lu attentivement les journaux et suivi les médias mais n’a jamais prêté beaucoup d’attention aux questions nutritionnelles, j’avais vaguement pris conscience des critiques croissantes selon lesquelles notre régime alimentaire national contenait trop de sucre et de sirop de maïs à haute teneur en fructose, mais je n’avais jamais su à quel point prendre ces plaintes au sérieux. Pendant ce temps, au cours des douze dernières années, je ne me souviens pas avoir vu d’articles dans des médias respectables et prestigieux approuvant un régime riche en graisses pour des raisons de santé personnelle, et jusqu’à récemment, en lisant les propres livres de Taubes, j’aurais rejeté toute suggestion de ce type comme étant des idées totalement farfelues. De plus, au cours de la même période, j’ai remarqué une augmentation apparente de l’obésité et même de l’obésité extrême dans ma propre ville de Palo Alto, qui semblait jusque-là relativement épargnée par cette maladie. Ainsi, malgré les efforts considérables de Taubes et de ses alliés médicaux, je pense que leurs vingt années d’efforts n’ont eu au mieux qu’un impact modéré sur la situation.
RépondreSupprimerÉtant donné l’augmentation massive et sans précédent de l’obésité, du diabète et des problèmes de santé qui y sont liés, je pense que nous sommes confrontés à la possibilité très réelle qu’un demi-siècle de politiques nutritionnelles officiellement approuvées par l’Amérique ait pu non seulement être incorrectes, mais complètement inversées et rétrogrades, entraînant de graves problèmes de santé pour peut-être une centaine de millions d’Américains, dont plusieurs millions souffriraient probablement d’une mort prématurée. Cette idée n’est guère réconfortante et soulève de sérieuses questions quant à la compétence et à l’objectivité fondamentales de nos scientifiques et chercheurs universitaires dans ce domaine.
En lisant les livres de Taubes, j’ai eu le sentiment que ces mêmes pensées lui avaient souvent traversé l’esprit alors qu’il expliquait soigneusement comment une gigantesque politique de santé publique, qui a duré des décennies et qui a pu avoir un impact sur un milliard de personnes dans le monde, avait été formulée à l’origine sur la base de peu ou pas de preuves scientifiques solides. Taubes avait obtenu son diplôme de premier cycle à Harvard en physique appliquée, son frère occupe actuellement une chaire de mathématiques dans cette même université d’élite et ses deux premiers livres traitaient de questions de physique, y compris des recherches fructueuses d’un lauréat du prix Nobel. Je soupçonne donc que le manque de compétence qu’il avait découvert dans les domaines de la santé publique et de la nutrition devait le consterner profondément.
https://www.unz.com/runz/american-pravda-is-sugar-the-deadliest-white-powder-drug/
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