lundi 26 août 2024

Visualisation de 5 000 milliards de dollars d'exportations mondiales de matières premières, par secteur

 PAR TYLER DURDEN

SAMEDI 24 AOÛT 2024 - 22 h 55


Ce graphique, via Pallavi Rao de Visual Capitalist, catégorise plus de 5 000 milliards de dollars d'exportations mondiales de matières premières par secteur et la valeur des matières exportées.

Les données ont été moyennées entre 2019 et 2021 pour représenter une estimation annuelle. Les chiffres sources sont disponibles dans The State of Commodity Dependence 2023 publié par UN Trade & Development.

Exportations de matières premières ayant la plus grande valeur

Le pétrole et ses produits représentent en moyenne 30 % des exportations mondiales de matières premières, évaluées à 1 500 milliards de dollars par an.

Chiffres arrondis.

En incluant les exportations de gaz naturel, d'électricité et de charbon, le secteur de l'énergie contribue à 40 % de la valeur des exportations mondiales de matières premières par an (2 000 milliards de dollars). Les exportations agricoles (1,9 billion de dollars) occupent la deuxième place et sont plus élevées en valeur que les exportations de minéraux (1,4 billion de dollars).

Dans l’agriculture, les cultures et la foresterie se taillent la part du lion en termes de valeur, soit 1,2 billion de dollars. Cette catégorie comprend tout, du blé aux exportations de bois.

En attendant, le secteur des minéraux est plus équitablement divisé entre les exportations de métaux de base (comme le cuivre, le fer et l’aluminium) et les métaux et pierres précieuses (or, argent, diamants).

Ce qui n’est pas illustré dans ce graphique, c’est que le commerce international des matières premières a tendance à se concentrer dans quelques pays seulement du côté des exportations. Par exemple, un quart de tout le cuivre produit en 2023 provenait du Chili.

Le revers de la médaille signifie que certains de ces grands exportateurs de ressources dépendent fortement des matières premières. Et par conséquent, beaucoup d’entre eux sont des pays à revenu faible ou intermédiaire. Lorsque les prix internationaux des matières premières exportées baissent, la probabilité de crises financières et de réduction des dépenses publiques augmente, ce qui aggrave encore les difficultés économiques dans ces régions.

La valeur des exportations de pétrole reflète étroitement sa consommation en tant que source d’énergie primaire. Consultez « Qu’est-ce qui a alimenté le monde en 2023 ? » pour découvrir le mix énergétique mondial.

https://www.zerohedge.com/commodities/visualizing-5-trillion-global-commodity-exports-sector

57 commentaires:

  1. Près de 14 000 Britanniques demandent des indemnités au gouvernement pour les dommages causés par les vaccins contre le COVID-19


    23/08/2024
    Richard Brown


    Près de 14 000 Britanniques ont demandé des indemnités au gouvernement en raison des dommages causés par les injections du coronavirus de Wuhan (COVID-19), selon le Daily Expose.

    Le Vaccine Damage Payment Scheme (VDPS) du Royaume-Uni, créé en 1979, est géré par le ministère britannique de la Santé et des Affaires sociales. Le VDPS offre un paiement unique de 120 000 £ (157 080 $) aux personnes gravement handicapées à la suite d'une vaccination contre certaines maladies, dont le COVID-19.

    Le programme a traité environ 16 000 demandes depuis sa création. Mais il convient de noter que selon les chiffres récents obtenus par le Telegraph, près de 14 000 d'entre elles sont liées aux vaccins contre le COVID-19.

    L'augmentation des demandes a entraîné une augmentation significative du soutien administratif, les effectifs du VDPS étant passés de quatre à 80 l'année dernière. Malgré cette augmentation, seuls 175 paiements ont été approuvés, soit moins de deux pour cent de toutes les demandes. Des paiements ont été accordés pour des pathologies graves telles qu'un accident vasculaire cérébral, une crise cardiaque, des caillots sanguins dangereux, une inflammation de la moelle épinière, un gonflement excessif des membres et une paralysie faciale. (Article connexe : Rapport : les VACCINS et les CONFINEMENTS sont responsables de la surmortalité toutes causes confondues, et non de l'infection par la COVID-19.)

    Le Telegraph a également signalé que des milliers de demandes ont été rejetées par des évaluateurs médicaux en raison de preuves insuffisantes de dommages liés aux vaccins ou parce que la gravité du handicap n'atteignait pas le seuil de 60 % requis pour le paiement. Selon un porte-parole du gouvernement, cela correspond aux normes du ministère du Travail et des Retraites pour le handicap grave.

    De plus, 5 500 demandes ont été purement et simplement rejetées, tandis que 519 ont été rejetées avant une évaluation médicale. Sur les près de 350 demandes pour lesquelles le préjudice a été reconnu mais jugé non gravement invalidant, les demandeurs doivent démontrer une invalidité d'au moins 60 % pour être admissibles. Cependant, sur près de 1 000 demandes de réexamen, seules 12 ont abouti à une annulation de la décision.

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  2. Le vaccin COVID-19 d'AstraZeneca responsable de la plupart des DOMMAGES VACCINAUX
    Selon Expose, le vaccin COVID-19 à vecteur adénoviral d'AstraZeneca représente environ 97 % des demandes approuvées. L'un de ces cas concernait Leona Sanders, l'épouse du jockey de course britannique Seb Sanders. Leona avait développé une myélite transverse - une réaction indésirable connue au vaccin AstraZeneca - après sa deuxième injection, son état s'étant aggravé après la troisième.

    Malgré les recommandations continues concernant le vaccin AstraZeneca au Royaume-Uni, de nombreux pays, dont l'Allemagne, l'Italie et la France, avaient suspendu son utilisation en mars 2021. En réponse aux cas signalés de thrombocytopénie et de thrombose immunitaires induites par le vaccin (TVTI), AstraZeneca a commencé à retirer son vaccin en mai 2021, invoquant la disponibilité de nouveaux vaccins mieux adaptés au ciblage des variants de la COVID-19.

    Les critiques ont fait valoir que le paiement du VDPS n'est pas suffisant pour couvrir les frais juridiques ou compenser les profonds impacts sur la vie des individus. De son côté, Downing Street a soutenu que le VDPS n'est pas un système d'indemnisation mais un mécanisme de soutien pour ceux qui cherchent à obtenir des dommages et intérêts supplémentaires par le biais de voies légales.

    Les problèmes liés au VDPS reflètent une préoccupation importante au milieu des 365 000 événements indésirables graves signalés via le système Yellow Card, qui incluent des décès. Le Yellow Card Scheme est l'équivalent britannique du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) aux États-Unis. Mais tout comme son homologue américain, les cas signalés au Yellow Card Scheme ne représentent qu'une fraction des blessures réelles causées par les vaccins COVID-19.

    Rendez-vous sur VaccineInjuryNews.com pour des histoires similaires.

    Regardez le Dr Robert Young révéler le contenu toxique des vaccins à ARNm utilisés pour traiter le COVID-19 et d'autres maladies ci-dessous.

    Cette vidéo provient de la chaîne Follower of Christ777 sur Brighteon.com.

    Autres histoires connexes :
    Un jeune homme souffre d'un mois d'affaiblissement et de décès après avoir pris le vaccin COVID-19 de Pfizer.

    Cour de justice européenne : Pfizer RESPONSABLE des dommages si son injection COVID-19 est défectueuse.

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  3. Étude sud-coréenne : les vaccins COVID-19 à ARNm augmentent le risque de MYOCARDITE de 620 %.

    Le Vaccine Damage Payment Scheme du Royaume-Uni exige que les personnes soient « handicapées à 60 % » pour recevoir une indemnisation pour leur blessure vaccinale.

    AstraZeneca admet enfin que son vaccin contre la COVID-19 provoque une thrombose avec syndrome de thrombocytopénie (STT).

    Les sources incluent :

    Expose-News.com
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2024-08-23-britons-seek-govt-payments-covid-vaccine-injuries.html

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  4. Variole du singe — Une nouvelle p(L)andémie en vue ?


    Par Christine Anderson
    Mondialisation.ca,
    23 août 2024


    Chers concitoyens,

    Le texte suivant contient quelques théories de conspiration de premier ordre sur le thème de la « variole du singe ». C’est du moins ce que prétendent ceux qui croient ce que leur dit la télévision. Mais comme presque toutes les anciennes théories du complot se sont réalisées entre-temps, nous en recevons maintenant de nouvelles :

    Comme vous le savez sans doute, l’OMS a déjà émis la semaine dernière la plus haute alerte sanitaire mondiale pour le monkeypox (Mpox), bien que la propagation ne soit limitée qu’à certaines régions d’Afrique.

    Vous savez probablement aussi qu’un jeu de simulation sur le thème de la variole du singe a eu lieu lors de la Conférence de Munich sur la sécurité en 2021. L’un des participants était Jeremy Farrar, alors directeur de la fondation pour la santé « Wellcome Trust » (financée par la Fondation Bill & Melinda Gates, entre autres), dont le budget s’élève à un milliard de dollars. Par chance, M. Farrar occupe depuis l’année dernière le poste de scientifique en chef à l’OMS.

    Fin 2023, BioNTech conclut un partenariat stratégique avec la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI — Coalition pour les innovations en matière de préparation aux épidémies). La CEPI a été fondée à Davos en 2016 (le FÉM envoie ses salutations) et est une alliance de l’OMS, de la Commission européenne, de gouvernements individuels, de sociétés pharmaceutiques, de donateurs (privés) et de fondations. Le « Wellcome Trust », la Fondation Gates et l’ONU se distinguent dans l’aperçu des investisseurs de 2024.

    En mai 2024, BioNTech et la CEPI ont annoncé qu’ils élargissaient leur portefeuille de vaccins à ARNm — y compris des vaccins contre le Mpox. Parallèlement, le vaccin contre la variole du singe « Imvanex » de « Bavarian Nordic » est déjà produit au Danemark et est le seul à être approuvé à la fois dans l’UE et aux États-Unis.

    Voilà pour la clarté des faits. Si vous souhaitez en savoir plus, voici un bon point de départ : https://www.achgut.com/artikel/kleines_affenpocken_puzzle

    Entre-temps, au cours de mes propres recherches, je suis tombé sur d’autres informations plutôt inquiétantes :

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  5. 🚑 Saviez-vous que la Croix-Rouge autrichienne (section Tyrol), par exemple, recherche actuellement de nouveaux employés pour les centres de vaccination ? Les tâches comprennent la gestion des flux de patients, la préparation des codes-barres et des certificats de vaccination ainsi que la réalisation de vaccinations mobiles. On attend notamment des candidats qu’ils soient « assertifs ». À partir de fin septembre, les nouveaux employés recevront un salaire brut d’environ 2 450 euros par mois sur leur lieu de travail à Vienne.
    https://archive.is/l9CDN

    💰 BioNTech avait déjà annoncé dans le journal économique allemand Handelsblatt qu’elle prévoyait de réaliser 90 % de son chiffre d’affaires total d’ici à la fin 2024.
    https://archive.is/Hhptk

    🏗 Actuellement, BioNTech construit sa première usine commerciale de vaccins africains au Rwanda. L’accent y est également mis sur les vaccins à ARNm contre le Mpox. Quelques vieilles connaissances ont fait le déplacement pour l’inauguration : la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, et la ministre allemande des affaires étrangères, Annalena Baerbock, ont eu l’insigne honneur de participer à l’inauguration. L’Allemagne soutient d’ailleurs le développement de la production de vaccins au Rwanda avec près de 36 millions d’euros de l’argent des contribuables allemands.
    https://archive.is/2Fcqd

    ⚠️ Chers lecteurs, croyez-vous aux coïncidences ?

    ‼️ JE N’Y CROIS PAS !

    Bien cordialement,
    Christine Anderson, députée européenne

    https://www.mondialisation.ca/variole-du-singe-une-nouvelle-plandemie-en-vue/5691721?doing_wp_cron=1724565628.2189729213714599609375

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  6. La variole du singe, l'Afrique et l'OMS


    26 août 2024
    de Thomas Oysmüller


    En apparence, il s'agit de la variole du singe, mais il s'agit en réalité de bien plus encore : l'Afrique devrait s'aligner sur l'OMS sur la question de la politique en matière de pandémie.

    La variole du singe et l'Afrique : Des intérêts économiques sérieux se cachent derrière l'urgence déclarée concernant la variole du singe. Il s’agit d’une part de briser la résistance de l’Afrique au traité sur la pandémie et, d’autre part, d’augmenter les capacités de production de vaccins et de médicaments en Afrique – afin de créer une « sécurité de marché » pour l’Afrique.

    Contrat de pandémie et production de vaccins
    C’est la thèse du critique de l’OMS, James Roguski, qui interprète dans ce sens les événements actuels entourant la variole du singe.

    En fait, il se passe beaucoup de choses en Afrique ces jours-ci. A partir d'aujourd'hui, le Comité régional africain de l'OMS se réunit pour une réunion de 5 jours . La réunion aura lieu à Brazzaville, en République du Congo (et non en République démocratique du Congo, « l'épicentre » du nouveau mutant de la variole du singe).

    La semaine suivante, l’OMS prévoit des « dialogues interactifs et un travail de relations publiques numériques pour transmettre des connaissances spécialisées, des points de vue et des perspectives équilibrés et diversifiés ».

    Les sujets :

    Article 4 (Prévention et surveillance de la pandémie)
    Article 5 (Approche One Health en matière de prévention, de préparation et de réponse aux pandémies)
    Article 12 (système d’accès aux agents pathogènes et de partage des avantages)
    L’architecture juridique de la proposition d’accord de l’OMS sur la pandémie
    Le prochain cycle de négociations sur le contrat pandémie suivra le 9 septembre. La dernière version du contrat peut être consultée ici.

    L’OMS s’est fixé pour objectif de renforcer « la production locale de médicaments, vaccins et autres technologies de santé dans la région africaine de l’OMS » à partir de 2025. On se souvient de l'usine Biontech au Rwanda, ouverte par Annalena Baerbock il y a quelques mois.

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  7. En fait, l’Afrique est fortement dépendante des importations en matière de médicaments. Encore plus que l'Europe. Cependant, il semble qu’il n’y ait aucune chance de confier réellement la production aux mains des Africains. Au lieu de cela, les entreprises occidentales souhaitent établir la production.

    L'OMS écrit à ce sujet dans le programme-cadre actuel :

    Il existe un leadership et un engagement politique forts en faveur du développement et du développement de la production locale.

    L'OMS continue d'aider les États Membres à établir et à développer la production locale.

    En outre, l'accès au transfert de technologie est assuré par l'intermédiaire du Centre de transfert de technologie des vaccins à ARNm, soutenu par l'OMS et ses partenaires, situé à Afrigen Biologics and Vaccines à Cape Town, en Afrique du Sud, et par l'intermédiaire de l'Initiative de formation de la main-d'œuvre en bioproduction de l'OMS.

    Objectif : Augmenter la part de marché des produits médicaux fabriqués localement dans la région africaine

    Soutenir les industries locales par les gouvernements pour garantir que d’ici 2035 :

    a) la part de marché des produits médicaux fabriqués localement atteint 55 %.

    (b) Au moins 50 % des doses de vaccin requises sont produites en Afrique.

    Améliorer les stratégies de financement des soins de santé dans le cadre de la couverture maladie universelle afin de créer une certitude sur le marché.

    Pendant ce temps, l’Afrique de l’Est importait de l’Occident les premiers vaccins contre la variole du singe. Voici un récent rapport de The East African , un magazine kenyan :

    Dans le cadre des mesures visant à contenir l'épidémie et à prévenir de nouveaux cas, la secrétaire du Cabinet de la Santé, Debora Barasa, a déclaré que le ministère avait intensifié les mesures de surveillance à travers le pays, activé les centres d'urgence de santé publique et mis en place des équipes de gestion des incidents dans tout le pays.

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  8. Dr. Barasa a annoncé lors de sa première conférence de presse à la tête du ministère que le risque d'infection à Mpox dans le pays reste faible. Elle a informé que la surveillance nationale a détecté environ 31 cas suspects, dont 29 se sont révélés négatifs.

    La semaine dernière, le ministère a annoncé qu'un homme de 42 ans, qui était le premier cas de Mpox au Kenya, s'était désormais rétabli.

    Le Kenya est l'un des cinq pays africains à recevoir 50 000 doses du vaccin Mpox dans le cadre d'une initiative internationale visant à prévenir la transmission de la maladie. Le don est fourni par Emergent BioSolutions via Direct Relief, une organisation humanitaire, en partenariat avec l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et le gouvernement américain.

    Les autres pays recevant des doses comprennent la République démocratique du Congo (RDC), le Burundi, le Rwanda et l'Ouganda. Le vaccin ACAM2000 est principalement destiné à être utilisé en cas d'urgence bioterroriste et est indiqué pour l'immunisation active contre la variole chez les personnes présentant un risque élevé d'infection par la variole.

    De plus amples informations nous parviennent du Kenya : "La secrétaire du Cabinet chargée du tourisme et de la faune sauvage, Rebecca Miano, a appelé les Kenyans à s'abstenir immédiatement de manipuler ou de consommer de la viande de brousse en raison de la menace Mpox, après que le Kenya a confirmé vendredi un deuxième cas."

    Ici vous pouvez voir l’approche One Health – un élément essentiel de la réforme de l’OMS – mise en pratique.

    « Dans le monde d’aujourd’hui, où les conséquences du changement climatique extrême sont évidentes, la dynamique hôte-vecteur-pathogène est susceptible de conduire à l’émergence et à la réémergence de maladies sans précédent, et j’exhorte les Kenyans à rester à l’écart de la viande de brousse », a déclaré le secrétaire du Cabinet.

    Le Kenya est également un pays géopolitiquement très contesté et constitue le dernier bastion de l'OTAN en Afrique de l'Est. Il est désormais clair que le Kenya est particulièrement ambitieux lorsqu’il s’agit de franchir la ligne de l’OMS. Il y a très peu de cas de variole du singe dans le pays, mais cela ne devrait pas avoir d'importance. Il s’agit d’autre chose : amener l’Afrique à s’aligner sur la politique de lutte contre la pandémie.

    https://tkp.at/2024/08/26/affenpocken-afrika-und-die-who/

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  9. Le gouvernement américain envoie des tests Covid « gratuits »


    26 août 2024
    de Thomas Oysmüller


    Test, test, test : telle reste la devise du gouvernement américain pour cette saison grippale. Comme (étrange) cadeau de campagne électorale, des milliards de tests Covid « gratuits » sont à nouveau envoyés.

    Cadeau de campagne électorale des démocrates américains à leur clientèle : les tests Covid peuvent être commandés par la poste aux États-Unis. Le gouvernement dit « gratuit » et les kits de tests sont financés par l’argent des impôts. Cela signifie que la « vague d’automne » sera bien sûr à nouveau légèrement plus élevée, car là où il y a plus de tests, il y a plus de cas. Peu importe si les gens sont malades.

    Les ménages américains pourront commander jusqu’à quatre tests sur écouvillon nasal COVID-19 à partir de fin septembre. La date exacte du début de la commande n'a pas encore été annoncée. Mais le programme rouvrira environ deux mois avant les élections américaines. Un « cadeau électoral » (certes étrange) pour les électeurs potentiels de Harris, pourrait-on penser.

    On peut supposer que beaucoup plus de personnes souhaitant encore se faire tester pour le Covid voteront pour les démocrates plutôt que pour les républicains. Et c’est soigneusement formulé. Les porte-parole du ministère de la Santé expliquent que les gens peuvent ainsi détecter les « souches virales actuelles » « avant les vacances » avant de se réunir avec « leur famille et leurs amis pour célébrer ». Les tests Covid coûtent environ 11 dollars en magasin.

    Bien entendu, aux yeux du gouvernement, les tests ne suffisent pas à eux seuls. Les Américains ont également été invités à recevoir un autre traitement contre le Covid-19 avant la saison grippale. Dans la langue officielle, le terme « remise à jour » est utilisé à tort. À cette fin, la FDA a désormais approuvé la substance ARNm mise à jour de Pfizer et Moderna. Novavax est également susceptible de recevoir l’approbation pour sa substance mise à jour.

    Le CDC continue de recommander à tous les Américains âgés de 6 mois et plus (!) de recevoir un « rappel » « avec le vaccin COVID-19 2024-2025 mis à jour ». Cependant, la volonté de vacciner diminue également de manière assez significative aux États-Unis. L’automne dernier, seulement environ 20 % des adultes américains avaient reçu un rappel Covid. L’année dernière, Biden a distribué près de 2 milliards de kits de test en Amérique. Il faut s’attendre cette année encore à ce que des milliards de ces tests soient distribués au public.

    https://tkp.at/2024/08/26/us-regierung-verschickt-gratis-covid-tests/

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  10. Androcur: L’ANSM sait depuis 14 ans qu’il multiplie par 20 les tumeurs cérébrales , il est prescrit à des fins contraceptives (et pour changer de sexe)!


    le 26 août 2024
    par pgibertie


    ANDROCUR est un médicament hormonal qui s’oppose aux effets des hormones sexuelles mâles (androgènes), produites également en faible quantité par l’organisme féminin.

    2017: Les trois plaignantes accusent ce médicament, pris par 89.000 femmes en 2017, d’être à l’origine de tumeurs opérées avec séquelles.

    2024:Plusieurs centaines de femmes accusent l’Agence régionale de sûreté du médicament d’avoir gardé le silence pendant des années sur les effets secondaires graves de l’Androcur, une pilule progestative prescrite à des centaines de milliers de femmes et qui provoquerait des tumeurs cérébrales. Elles sont prêtes à poursuivre l’État pour défaut d’information.

    Trois femmes traitées par le médicament Androcur accusé d’être à l’origine de tumeurs opérées avec séquelles, ont lancé une procédure judiciaire contre le laboratoire Bayer, selon leur avocat. Le tribunal de grande instance de Bobigny a fixé la première audience au 29 mai, a précisé mercredi Me Charles Joseph-Oudin qui indique avoir été contacté par 70 victimes de ce médicament.

    EXTRAIT DE LA FICHE ASNM

    https://ansm.sante.fr/dossiers-thematiques/androcur-et-risque-de-meningiome

    L’acétate de cyprotérone (Androcur et génériques) est un dérivé de la progestérone qui inhibe les effets des hormones sexuelles mâles (il a des propriétés anti-androgéniques).

    Les indications dépendent du dosage en cyprotérone.

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  11. Les comprimés dosés à 50 mg sont indiqués
    chez la femme en dernier recours dans le traitement de certaines maladies hormonales se manifestant par une augmentation majeure du système pileux (hirsutisme)
    chez l’homme dans certaines formes de cancer de la prostate.
    Les comprimés dosés à 100 mg ont des indications chez l’homme dans certaines formes de cancer de la prostate et dans le traitement de la paraphilie en association avec une prise en charge psychothérapeutique.
    Ces médicaments sont parfois prescrits en dehors de leur autorisation de mise sur le marché (AMM), comme contraceptif, traitement contre l’acné ou l’hirsutisme modéré, ou encore dans les processus de transition de genre.

    Le méningiome

    Il s’agit d’une tumeur, le plus souvent non cancéreuse, se développant à partir des membranes qui enveloppent le cerveau et la moelle épinière (les méninges).

    Les signes évocateurs d’un méningiome peuvent être très différents selon sa taille et sa localisation. Les symptômes les plus fréquents sont les suivants (liste non exhaustive) : maux de tête fréquents, troubles de l’audition, vertiges, troubles de la mémoire, troubles du langage, faiblesse, paralysie, troubles de la vision, perte d’odorat, convulsions, nausées, ..

    Dans la population générale, on estime que 9 personnes sur 100 000 sont susceptibles de développer un méningiome chaque année. Le méningiome représente plus d’une tumeur cérébrale primaire (non métastatique) sur trois ; c’est également la tumeur cérébrale la plus courante à partir de 35 ans.
    Des facteurs de risque sont clairement identifiés comme l’âge, le genre féminin et l’exposition aux radiations ionisantes dans l’enfance (examen d’imagerie diagnostique, scanner, scintigraphie).

    Risque de méningiome associé à l’utilisation d’acétate de cyprotérone à fortes doses (≥ 25mg/jour)
    Ce risque est connu depuis les années 2010. Une étude épidémiologique conduite par l’Assurance maladie et publiée en 2018 a permis de mesurer ce risque, qui, à forte dose est multiplié :

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  12. par 7 au-delà de 6 mois de traitement
    par 20 après 5 années de traitement.
    Le risque de méningiome s’intensifie donc à mesure que la dose et la durée du traitement par acétate de cyprotérone augmentent.

    Androcur et ses génériques étant utiles pour prendre en charge certaines pathologies qui peuvent avoir un retentissement important sur la qualité de vie des personnes (notamment l’hirsutisme féminin majeur d’origine non tumorale ou le traitement de certaines formes de cancer de la prostate), leur commercialisation en France n’est pas remise en cause.

    https://pgibertie.com/2024/08/26/androcur-lansm-sait-depuis-14-ans-quil-multiplie-par-20-les-tumeurs-cerebrales-il-est-prescrit-a-des-fins-contraceptives-et-pour-changer-de-sexe/

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  13. Hypothétique « Maladie X » : le traité de l’OMS sur la pandémie est une fraude. Exige le respect de la « prochaine pandémie »

    Le « vaccin » contre la « maladie X » doit être développé sur le campus Porter Down du ministère britannique de la Science et de la Technologie de la Défense.


    Par le professeur Michel Chossudovsky et Steve Watson
    Recherche mondiale,
    26 août 2024


    Des médiums ou des psychopathes aux commandes ? — Félicité Arbuthnot ,

    Un « vaccin » contre la « maladie X » hypothétique inexistante devrait être développé dans un centre de recherche situé au « Laboratoire des sciences et technologies de la défense » [Dstl] à Porton Down, dans le Wiltshire, qui est l'un des ministères britanniques de la Défense. Les installations de recherche militaire les plus secrètes et les plus controversées de la Défense, spécialisées dans les tests d'armes biologiques et chimiques.

    Hypothétique « Maladie X »
    Le traité de l’OMS sur la pandémie est une fraude
    par
    Michel Chossudovsky
    27 janvier 2024

    Introduction

    Le directeur général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, continue de tromper l'opinion publique mondiale.

    La « maladie X » n’existe pas . Il s’agit d’une construction hypothétique élaborée par un comité d’experts de l’OMS (2017-2018) composé de virologues et d’analystes des maladies. Elle a ensuite été envisagée dans les simulations Clade X (mai 2018) et Event 201 Simulation of a Pandemic (octobre 2019). Les deux événements ont eu lieu sous les auspices du Centre John Hopkins pour la sécurité sanitaire, avec le soutien de la Fondation Gates.

    Cela a ensuite été annoncé par Bill Gates lors de la conférence sur la sécurité de Munich en février 2022 :

    « Les risques de maladie grave due au Covid-19 ont été « considérablement réduits », mais une autre pandémie est presque certaine » . dit Bill Gates.

    « Une nouvelle pandémie potentielle proviendrait probablement d’un agent pathogène différent de celui de la famille des coronavirus » (CNBC).

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  14. « Nous aurons une autre pandémie. Ce sera un agent pathogène différent la prochaine fois », a déclaré Gates.

    Comment pouvait-il savoir cela à l’avance ?

    « Prédire » et « se préparer » à la « maladie X », une menace inconnue
    Dans sa présentation au WEF de Davos24 , le directeur général de l'OMS, le Dr Tedros, est revenu sur la prémonition de Bill Gates, soulignant la prétendue gravité de la crise du Covid-19 déclenchée début 2020 , en contradiction flagrante avec les données officielles de l'OMS.

    Bill Gates est le mentor de Tedros. Ils entretiennent une relation personnelle étroite, qui frise parfois le « conflit d’intérêts ».

    Bill Gates, Tedros et autres (soutenus par le « comité d’experts » de l’OMS) prédisent désormais la « maladie X » qui provient d’ un hypothétique agent pathogène qui serait 20 fois plus mortel que le SRAS-CoV-2. Quelle absurdité absolue.

    « Hormis le fait qu’il va faire des ravages sur l’humanité, l’équipe de recherche n’a aucune idée de la nature du pathogène »

    Selon Forbes :

    La maladie X, une menace hypothétique inconnue, est le nom utilisé par les scientifiques pour encourager le développement de contre-mesures , notamment de vaccins et de tests, à déployer en cas d'épidémie future. L' OMS a convoqué un groupe de plus de 300 scientifiques en novembre 2022 pour étudier le « pathogène inconnu qui pourrait provoquer une grave épidémie internationale », postulant un taux de mortalité 20 fois supérieur à celui du Covid-19″

    300 scientifiques pour étudier quelque chose d’inconnu et d’hypothétique ? Le buzz de la propagande médiatique, citant « l’opinion scientifique », est « une maladie X 20 fois plus dangereuse que le Covid »

    Une nouvelle campagne de peur a été lancée 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, consistant en des informations faisant état d’une prétendue nouvelle vague de décès dus au Covid, tout en ignorant totalement la marée de surmortalité et de morbidité résultant du « vaccin » contre le Covid-19.

    Vidéo: Un vaccin contre une hypothétique pandémie de « maladie X ».
    Produit par Lux Média . Michel Chossudovsky et Caroline Mailloux

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    Faites défiler vers le bas pour lire la section sur le « vaccin » contre la maladie X.

    La « maladie X » serait un pathogène présumé « identifié » par le comité d’experts de l’OMS deux ans avant la crise du Covid-19

    Début février 2018, un comité d’experts de l’OMS s’est réuni à huis clos à Genève « pour réfléchir à l’impensable ».

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    « L’objectif était d’identifier les agents pathogènes susceptibles de se propager et de tuer des millions de personnes, mais pour lesquels il n’existe actuellement aucune contre-mesure, ou des contre-mesures insuffisantes. »

    Le Comité d’experts s’est réuni à deux reprises, très probablement en 2017 :

    «C'était la troisième fois que le comité, composé d' éminents virologues, bactériologistes et experts en maladies infectieuses, , se réunissait pour examiner les maladies à potentiel épidémique ou pandémique.

    Mais lorsque la liste 2018 a été publiée il y a deux semaines [mi-février 2018] elle comprenait une entrée inédite les années précédentes.

    En plus de huit maladies effrayantes mais familières, dont Ebola , Zika et le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), la liste comprenait une neuvième menace mondiale : la maladie X. » ( Daily Telegraph , italiques ajoutés )

    Tout cela semble très scientifique d’après des experts engagés et récompensés par l’OMS, sous les conseils de la Fondation Bill et Melinda Gates :

    « La maladie X représente la connaissance [quelle connaissance ?] qu’une grave épidémie internationale pourrait être provoquée par un agent pathogène actuellement inconnu comme pouvant causer une maladie humaine ».

    Les experts du panel de l'OMS affirment que la maladie X pourrait émerger de diverses sources et frapper à tout moment .

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  16. « L'histoire nous dit qu'il est probable que la prochaine grande épidémie soit quelque chose que nous n'avons jamais vu auparavant » , a déclaré John-Arne Rottingen , directeur général du Conseil norvégien de la recherche et conseiller scientifique auprès du comité de l'OMS.

    « Cela peut paraître étrange d'ajouter un « X », mais le but est de garantir que nous nous préparons et planifions de manière flexible en termes de vaccins et de tests de diagnostic.

    « Nous voulons voir des plates-formes « plug and play » développées qui fonctionneront pour n'importe quelle maladie ou pour un grand nombre de maladies ; des systèmes qui nous permettront de créer rapidement des contre-mesures. ( Télégraphe )

    Les travaux du « comité d’experts » ont été suivis de deux simulations sur table respectivement en mai 2018 et octobre 2019.

    La simulation Clade X : « Parainfluenza Clade X »
    Quelques mois après la réunion d'experts de l'OMS à Genève début 2018, au cours de laquelle une hypothétique maladie X a été classée comme une « menace mondiale » , la simulation sur table de Clade X a été réalisée à Washington DC (mai 2018) sous les auspices de The Johns. Centre Hopkins pour la sécurité sanitaire.

    « Le scénario commence par une épidémie du nouveau virus parainfluenza, modérément contagieux et modérément mortel et pour lequel il n’existe aucune contre-mesure médicale efficace ».

    Le virus s’appelle : « Parainfluenza Clade X »

    « Maladie X » et simulation de la pandémie mondiale 201

    Le concept de maladie hypothétique X développé en 2017-2018 par un comité d'experts de l'OMS composé d'éminents virologues et experts en maladies a été simulé dans le cadre de la simulation sur table Event 201 d'une pandémie mortelle de virus corona. L’exercice mondial sur la pandémie s’est tenu à New York sous les auspices de la John Hopkins Bloomberg School of Health, Center for Heath Security (qui a accueilli la simulation Clade X en mai 2018). L'événement était parrainé par la Fondation Gates et le Forum économique mondial . ( Événement 201 )

    Un rapport du 21 octobre 2019 « Exécution factice de la maladie X : les experts mondiaux de la santé se préparent à une pandémie mortelle et ses retombées confirment que la maladie X faisait partie de la simulation de la pandémie mondiale 201 :

    Vendredi, un panel de 15 personnalités internationales de haut niveau se sont réunis dans la salle de bal d’un hôtel de New York pour « simuler » un scénario dans lequel une pandémie fait rage à travers le monde, tuant des millions de personnes.

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  17. Les experts de la santé s’attendent à ce que le monde soit confronté à une pandémie mondiale à évolution rapide. Les mises à jour arrivaient rapidement et en masse dans la salle de situation – et les nouvelles n’étaient pas bonnes. Le virus se propageait… L’ancienne directrice adjointe de la CIA ôta ses lunettes, se frotta les yeux et s’adressa au panel. « Nous devons également considérer que les terroristes pourraient profiter de cette situation », a-t-elle déclaré. « Nous envisageons la possibilité d’une famine. Il existe un risque d’épidémies de maladies secondaires.

    « Je m'attends pleinement à ce que nous soyons confrontés à une pandémie mondiale à évolution rapide », a déclaré le Dr Mike Ryan, directeur exécutif du programme d'urgence sanitaire de l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

    S'adressant aux participants – et aux 150 observateurs – avant le début du scénario, il a déclaré que l'OMS s'occupe de 200 épidémies chaque année . Ce n'est qu'une question de temps avant qu'une de ces situations ne devienne une pandémie – définie comme une maladie répandue dans tout un pays ou dans le monde.» ( Télégraphe , italiques ajoutés)

    Vidéo : Tedros a déclaré que Covid était « la première maladie X »

    Preuve : pas de pandémie début 2020 . Déclarations trompeuses du Dr Tedros et décisions frauduleuses
    En un mot factuel :

    Le directeur général de l'OMS, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, a lancé une urgence de santé publique de portée internationale (PHEIC) le 30 janvier 2020. Il y a eu 83 « cas confirmés » en dehors de la Chine pour une population de 6,4 milliards de personnes.
    Il n’existait aucune « base scientifique » pour justifier le déclenchement d’une urgence de santé publique mondiale.
    Le 20 février 2020 : Lors d'une conférence de presse à Genève, le directeur général de l'OMS, le Dr Tedros, a déclaré qu'il était « préoccupé par le fait que les chances de contenir l'épidémie de coronavirus se « réduisent »… « Je crois que la fenêtre d'opportunité est toujours là, mais que la fenêtre se rétrécit. Ces déclarations étaient basées sur 1076 « cas confirmés ». en dehors de la Chine.
    L'OMS a officiellement déclaré une pandémie mondiale le 11 mars 2020, alors que le nombre de cas de PCR hors de Chine (6,4 milliards d'habitants) était de l'ordre de 44 279 cas cumulés confirmés.
    Tous les cas dits confirmés sont le résultat du test PCR, qui ne détecte pas le virus .
    Aux États-Unis, le 9 mars 2020, il y avait 3 457 « cas confirmés » sur une population de 329,5 millions d’habitants.
    Au Canada, le 9 mars 2020, il y avait 125 « cas confirmés » sur une population de 38,5 millions de personnes.
    En Allemagne, le 9 mars 2020, il y avait 2948 « cas confirmés » sur une population de 83,2 millions d’habitants.
    Ce qui précède est un résumé. Faites défiler vers le bas pour les références et les analyses

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  18. La campagne de peur de la « maladie X » et le traité sur la pandémie
    Il existe une abondante littérature sur le Traité sur la pandémie et ses conséquences probables.

    Le Traité sur la pandémie consiste à créer une entité mondiale de santé sous les auspices de l’OMS. C'est la voie vers une « gouvernance mondiale » par laquelle la totalité de la population mondiale de 8 milliards d'habitants serait numérisée et intégrée dans une banque de données numériques mondiale.

    Toutes vos informations personnelles seraient contenues dans cette banque de données, conduisant à la dérogation aux droits humains fondamentaux ainsi qu'à la subordination des gouvernements nationaux à l'établissement financier dominant.

    Le Traité sur la pandémie serait lié à la création d’un système mondial d’identification numérique.

    D'après David Scripac

    « Un système mondial d’identification numérique est en préparation. [L'objectif] du WEF – et de toutes les banques centrales [est] de mettre en œuvre un système mondial dans lequel les données personnelles de chacun seront incorporées dans le réseau de monnaie numérique de la banque centrale (CBDC).

    Peter Koenig décrit le processus sous-jacent comme suit :

    « une identification entièrement électronique – reliant tout à tout de chaque individu (dossiers de santé, bancaires, personnels et privés, etc.). »

    Bombe : un vaccin contre une hypothétique pandémie de « maladie X » « avec un agent pathogène inconnu »
    Annoncé par le Dr Tedros à Davos24, sans parler des nombreuses déclarations faisant autorité de Bill Gates, les gouvernements doivent se préparer à l'apparition de la « maladie X ».

    Un « vaccin » de pointe censé « renforcer notre immunité » contre la « maladie X » (qui est une construction hypothétique basée sur un agent pathogène inconnu) devrait être développé au « Centre de développement et d'évaluation des vaccins » de Grande-Bretagne. britannique (UK Health and Campus de Porton Down de l'Agence de sécurité (UKHSA) dans le Wiltshire, inauguré en août 2023.

    « Les ministres ont ouvert un nouveau centre de recherche sur les vaccins au Royaume-Uni, où les scientifiques travailleront à la préparation à la « maladie X », le prochain agent pathogène pandémique potentiel.

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  19. Le professeur Dame Jenny Harries a déclaré : « Ce que nous essayons de faire maintenant, c'est de capturer cet excellent travail de Covid et de nous assurer que nous l'utilisons à mesure que nous avançons pour toute nouvelle menace de pandémie. »

    Elle a ajouté : « Ce que nous essayons de faire ici, c’est de garder un œil sur ceux que nous connaissons. Par exemple, avec le Covid, nous sommes toujours là pour tester tous les nouveaux variants avec les vaccins qui ont été fournis pour vérifier qu’ils sont toujours efficaces.

    "Mais nous étudions également la rapidité avec laquelle nous pouvons développer un nouveau test qui serait utilisé si un tout nouveau virus apparaissait quelque part ." …

    « Ce complexe de pointe nous aidera également à respecter notre engagement de produire de nouveaux vaccins dans les 100 jours suivant l’identification d’une nouvelle menace. »

    ( The Guardian , italiques ajoutés)

    Le « vaccin » contre la « maladie X » doit être développé sur le campus Porter Down du ministère britannique de la Science et de la Technologie de la Défense.
    Le « Centre de développement et d'évaluation des vaccins » ( VDEC ) – qui a pour mandat de développer le vaccin « contre la maladie X » – est une entité de recherche civile relevant du National Health Service (NHS) britannique, gérée par l'Agence britannique de santé et de sécurité (UKHSA) dirigée par par Dame Jennifer Harries (DBE).

    D'importance VDEC qui a été inauguré en août 2023 est situé à :

    Le « Laboratoire des sciences et technologies de la défense » [ Dstl ] à Porton Down, dans le Wiltshire, est l'une des installations de recherche militaire les plus secrètes et les plus controversées du ministère britannique de la Défense , spécialisée dans les tests d'armes biologiques et chimiques.

    L'Agence britannique de santé et de sécurité (UKHSA) a lancé un projet de « surveillance intégrée des maladies » au niveau mondial et national, financé par la Fondation Bill et Melinda Gates . Un représentant de la Fondation Gates est membre du conseil consultatif de l'UKHSA .

    * * *

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  20. Cliquez sur la capture d'écran ci-dessus pour accéder à l'article du Daily Star

    Ce qu’il faut, c’est un mouvement de masse pour s’opposer à l’adoption du traité sur la pandémie à l’Assemblée mondiale de la santé. (27 mai 2024).
    Nous appelons également à l’annulation immédiate du « vaccin tueur » contre le Covid-19.
    Ironiquement , le directeur général de l'OMS, Tedros, admet que

    « L’élan a été ralenti par des positions bien établies et « un torrent de fausses nouvelles, de mensonges et de théories du complot ».

    Michel Chossudovsky , Global Research, 22 janvier 2024, dernière révision le 27 janvier 2024

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    Chef de l'Organisation mondiale de la santé :
    Une conformité mondiale est nécessaire pour la prochaine pandémie
    par
    Steve Watson
    Source originale Modernité

    Lors d’une apparition au Forum économique mondial mondialiste de Davos, le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé a insisté sur le fait qu’une coopération mondiale sera nécessaire lors de la prochaine pandémie et que les intérêts nationaux « entravent la conformité ».

    Lors d'une séance intitulée « Maladie X », Tedros Adhanom Ghebreyesus a déclaré que pour être « mieux préparé » et « comprendre la maladie X », « l'Accord sur la pandémie » de l'OMS doit être adopté à l'échelle mondiale.

    "Il s'agit d'un ennemi commun", a poursuivi Tedros, ajoutant "sans une réponse commune, nous serons confrontés au même problème que le COVID".

    Il a expliqué que le déclin de la législation était en mai de cette année et que les États membres négociaient entre les pays pour la mettre en œuvre.

    « Il s’agit d’un intérêt mondial commun, et des intérêts nationaux très étroits ne devraient pas faire obstacle », a-t-il poursuivi, ajoutant « bien sûr, les intérêts nationaux sont naturels, mais ils pourraient être difficiles et affecter les négociations ».

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  21. Tedros a également déclaré que le COVID était « la première maladie X, et qu’elle pourrait se reproduire ».

    Voici l'échange complet :

    Avant la conversation conviviale, le journaliste de Rebel Avi Yemini a confronté Tedros et lui a demandé son avis sur les confinements mondiaux et les mandats de vaccination.

    Il n'avait rien à dire.

    https://www.globalresearch.ca/world-health-organisation-head-global-compliance-needed-next-pandemic/5847006

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  22. Une innocente et effrayante étude à partir des données de l’OMS montre un décès pour 100 vaccinés dans les 9 jours qui suivent , les jeunes plus exposés.


    Par pgibertie
    le 26 août 2024


    Le diable se cache dans les détails, une étude statistique sur des données OMS portant sur le suivi pendant 9 jours des vaccinés dévoile les effets secondaires immédiats de 5 vaccins et les risques de décès .

    Je vous invite à lire et à relire ce qui m'a effrayé....

    L'analyse prend en compte une série de variables, notamment les symptômes, le statut de mortalité, le sexe, l'âge, le nombre de doses de vaccin, le statut d'hospitalisation et le nombre de jours suivant la vaccination. La méthodologie implique une analyse croisée pour établir des liens entre les personnes vaccinées et les variables examinées. L'ensemble de données a été compilé à partir des Centers for Disease Control and Prevention, englobant environ 65 000 cas et documentant plus de 40 symptômes distincts.

    Les données contiennent 63 727 échantillons provenant de 11 sites de vaccination aux États-Unis. L'ensemble de données contient d'autres vaccins qui ont été exclus du test. Avant l'analyse de l'ensemble de données, un processus de filtrage a été utilisé pour supprimer les valeurs aberrantes de l'ensemble de données. Une analyse statistique et un tableau croisé ont été utilisés pour analyser l'ensemble de données sur les vaccins et comprendre l'effet de chaque vaccin sur divers symptômes, les métadonnées des patients et d'autres paramètres. L'analyse statistique a été utilisée pour montrer la complexité de l'ensemble de données et la variation en son sein. Un tableau croisé a été utilisé pour étudier la relation entre une variable indépendante et une variable dépendante afin de déterminer le mouvement de la variable dépendante en fonction des variables indépendantes.

    Bien entendu on meurt sans être vacciné et sur une période de 9 jours la mortalité normale attendue est de 0,4 pour 1000 soit 0,04%

    Les chiffres de l'étude sont stupéfiants avec une mortalité sur 9 jours de 1%

    https://pgibertie.com/2024/08/26/une-innocente-et-effrayante-etude-a-partir-des-donnees-de-loms-montre-un-deces-pour-100-vaccines-dans-les-9-jours-qui-suivent-les-jeunes-plus-exposes/

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  23. Une maladie rare transmise par les moustiques déclenche un couvre-feu volontaire dans les villes du Massachusetts


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 25 AOÛT 2024 - 22:20
    Rédigé par Bill Pan via The Epoch Times,


    Quatre villes du centre du Massachusetts conseillent à leurs habitants de rester à l'intérieur la nuit pour éviter de contracter un virus rare mais potentiellement mortel transmis par les moustiques.

    L'avis de couvre-feu volontaire a été émis après que le ministère de la Santé publique du Massachusetts a annoncé le 16 août le premier cas humain confirmé d'encéphalite équine de l'Est (EEE) dans l'État depuis 2020, lorsque cinq personnes ont contracté le virus et qu'une est décédée.

    Les responsables de l'État n'ont pas indiqué comment le patient actuel, un homme de 80 ans du comté de Worcester, a été exposé au virus ni les détails de son état actuel.

    La maladie, décrite par le ministère de la Santé publique comme « rare mais grave », est causée par un virus transmis par les piqûres de moustiques. Les symptômes apparaissent généralement 5 à 10 jours après avoir été piqué par un moustique infecté et comprennent une forte fièvre, une raideur de la nuque, des maux de tête et de la fatigue.

    Il n’existe pas de vaccin pour prévenir ni de médicament pour traiter l’EEE. En 2019, douze résidents du Massachusetts ont contracté l’EEE, entraînant six décès.

    « L’EEE est une maladie rare mais grave et un problème de santé publique », a déclaré le Dr Robbie Goldstein, responsable de la santé publique du Massachusetts.

    « Nous voulons rappeler aux résidents la nécessité de se protéger des piqûres de moustiques, en particulier dans les zones de l’État où nous constatons une activité d’EEE. »

    Quatre villes – Douglas, Sutton, Webster et Oxford – sont désignées comme étant à un niveau de risque « critique ». Les responsables municipaux exhortent les gens à prendre des précautions, notamment à éviter de sortir du crépuscule à l’aube, lorsque de nombreuses espèces de moustiques sont les plus actives.

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  24. Ils conseillent notamment de terminer les activités de plein air avant 18 heures jusqu’en septembre et 17 heures par la suite jusqu’aux premières gelées. En extérieur, il est recommandé aux résidents d'utiliser un répulsif et de porter des vêtements qui réduisent l'exposition de la peau, comme des manches longues et des chaussettes.

    À la maison, il est recommandé aux résidents de vider ou de jeter les objets qui recueillent l'eau, comme les seaux, les pneus, les pots de fleurs et les bains d'oiseaux, pour empêcher les moustiques de se reproduire dans l'eau stagnante. On leur rappelle également d'installer ou de réparer les moustiquaires aux fenêtres.

    Les responsables de la ville ont déclaré qu'aucune mesure coercitive n'est prise contre ceux qui ne respectent pas les recommandations.

    Pendant ce temps, à Oxford, un couvre-feu de 18 heures est en vigueur pour les activités de plein air sur les propriétés de la ville, et les personnes doivent présenter une preuve d'assurance et signer un formulaire d'indemnisation avant de pouvoir utiliser les terrains de la ville pendant ces heures.

    À l'échelle nationale, une moyenne de 11 cas d'infections EEE sont signalés chaque année, principalement dans les États de l'Est ou de la côte du Golfe, selon les Centres américains pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC).

    « Les personnes de plus de 50 ans et de moins de 15 ans semblent être les plus à risque de développer une maladie grave lorsqu’elles sont infectées par le virus EEE », a déclaré l’agence sur son site Web.

    Les humains et les autres animaux qui contractent le virus sont considérés comme des « hôtes sans issue », ce qui signifie qu’il n’y a pas de transmission ultérieure d’humain à humain, d’animal à humain ou d’humain à animal.

    De nombreuses personnes qui se remettent de l’EEE souffrent de problèmes physiques ou mentaux à long terme, a déclaré le CDC. Ceux-ci peuvent aller d’une déficience intellectuelle légère à grave, de troubles de la personnalité, de convulsions, de paralysie et de dysfonctionnement des nerfs crâniens. Les survivants atteints d’une maladie grave et d’un handicap permanent ont souvent besoin de soins de longue durée et décèdent en quelques années.

    https://www.zerohedge.com/medical/rare-mosquito-borne-disease-triggers-voluntary-curfew-massachusetts-towns

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  25. Port d’arme : allons contre les préjugés


    Gabriel Delauney
    25 août 2024


    ’attaque qui a eu lieu dans un lycée de Floride est l’occasion de revenir sur quelques idées reçues à propos des armes à feu.

    Les points de vue exprimés dans les articles d’opinion sont strictement ceux de l'auteur et ne reflètent pas forcément ceux de la rédaction.
    Par Gabriel Delauney.

    Au regard de l’actualité, je suis plus que jamais favorable au droit au port d’armes citoyen, tant pour les Américains que pour nous autres, civils d’outre-Atlantique.

    Les hoplophobes – personnes hostiles aux armes – me diront que je suis un insensé et me jetteront à la figure des chiffres entendus à la télévision ou à la radio.

    Si France Info s’amuse à jouer les outrés avec un article qui comptabilise le nombre de drames causés en une journée par des personnes armées chez l’Oncle Sam, et si BFMTV comptabilise plus d’Américains morts par arme à feu entre 1968 et 2015 qu’au cours de toutes les guerres auxquelles les États-Unis participèrent, les journalistes ne prennent guère la peine d’y réfléchir de manière posée.

    Je n’ai donc aucune crainte à les communiquer à mon tour, avant de dire en quoi ces chiffres ne veulent rien dire par eux-mêmes.

    Les décès par arme à feu en chiffres

    En moyenne, les États-Unis subissent près de 30 000 décès annuels par armes à feu.

    D’abord, près des deux tiers de ces décès sont des suicides (21 386 en 2014 selon le Gun Policy, Centers for Disease Control and Prevention), donc en rendre responsable le port d’arme est idiot, un suicidaire n’ayant pas le droit de posséder une arme à feu utilisera une corde, se tranchera les veines ou se jettera sous un véhicule, mais il est évident qu’il pourra utiliser une arme s’il a envie d’abréger ses jours.

    Ensuite, près de 11 000 personnes – 11 008 selon la même source à la même année – décèdent par homicides. Là encore il faut savoir faire la part des choses.

    En effet, combien de ces personnes ont été abattues par les autorités ou par des citoyens en état de légitime défense ? Elles sont plusieurs milliers chaque année. Il me semble nécessaire de les retirer des comptes officiels car elles sont responsables de leur sort.

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  26. Combien d’entre elles ont été abattues lors de guerres de gangs ou autres frasques ne relevant pas de l’honnête citoyen armé ?

    Combien d’entre elles ont été abattues dans un cadre purement intime – disputes conjugales par exemple –, meurtres qui auraient tout aussi bien pu avoir lieu avec des armes blanches et dont le cadre exclut toute exaction en pleine rue à l’encontre des autres citoyens ? Pour l’année 2015, l’ONG Mass Shooting Trackers comptabilise 68 % des 355 fusillades qu’elle recense dans le domicile du tireur.

    Enfin, combien de ces homicides – tuant d’honnêtes personnes, insistons là-dessus – sont réalisés avec des armes acquises légalement ?

    Pour finir, près de 1000 personnes décèdent par accident avec une arme à feu. Là on pense à des enfants malchanceux ou des mineurs et adultes n’ayant pas pris toutes les précautions nécessaires. S’il faut à tout prix protéger l’enfance et plus largement les individus, blâmons les parents irresponsables pour leur négligence, et poussons le vice prohibitionniste jusqu’à interdire la détention de médicaments à domicile, car eux aussi ont un potentiel létal sur les enfants ou sur les adultes ne respectant pas la posologie.

    Quelle que soit la réponse que l’on accepte, 30 000, 11 000, ou même beaucoup moins, il faut reconnaître que c’est peu pour un pays de 320 millions d’habitants où circulent 270 millions d’armes légales.

    Comment devient-on une victime ?

    Ensuite, un autre fait importe : il s’agit des conditions de réalisation de ces meurtres, surtout les plus médiatisés, ceux qui ont lieu lors des fusillades, notamment en milieux scolaires.

    Il se trouve en effet que les meurtriers ciblent en général des lieux publics dans lesquels les civils n’ont pas l’autorisation de porter une arme, qu’elle soit dissimulée ou non ; les gun free zone.

    La loi fédérale restreint en effet le port d’arme à moins de 300 mètres de la ligne de propriété de toute école publique ou privée. À ces zones « libres d’armes à feu » s’en ajoutent d’autres qui concernent les bâtiments officiels et d’autres types de lieux publics selon les lois locales, comme par exemple les campus universitaires qui peuvent ainsi refuser le port d’arme, y compris aux titulaires d’un permis.

    Bon nombre de massacres supposés nous horrifier à propos du droit au port d’armes eurent comme théâtre des gun free zone, comme cela a été le cas à Virginia Tech.

    Combien de personnes sauvées ?

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  27. Loin d’une macabre comptabilité ou d’une juste contextualisation des meurtres, sachons raison garder et estimons quant à nous le nombre de biens et de vies sauvées par le droit au port d’armes civil 1.

    Dans un premier temps, penchons-nous sur les biens.

    Une arme sert bien évidemment – et heureusement – à faire respecter sa propriété bien plus souvent qu’à protéger sa vie.

    Un cas d’école qui démontre l’utilité du port d’arme dans cette optique est celle de la ville de Kennesaw, dans la banlieue d’Atlanta. Cette ville a adopté en 1982 une loi qui obligeait les chefs de foyer à disposer d’au moins une arme à feu dans la maison. Le taux de cambriolages résidentiels chuta de 89 %2.

    Passons maintenant à la protection des personnes.

    Selon l’étude Armed Resistance to Crime, les armes à feu sont utilisées 2,5 millions de fois par an par des citoyens américains en état de légitime défense, pour la protection des biens et personnes.

    N’imaginez pas toutefois que le pays est un immense parc de tir où les balles perdues volent au vent : les citoyens ne doivent se résoudre à tirer sur leurs adversaires que dans 2 % des cas, exhiber leurs armes ou tirer un coup de semonce étant en général suffisant pour avoir la paix.

    La paix suppose de préparer la guerre, et comme aux tréfonds des âges où nos ancêtres ne se seraient jamais lancés à la conquête des continents sans armes, le port d’armes est aujourd’hui salutaire pour les populations éloignées des forces de l’ordre, et offre un soutien technique et moral salutaire pour nos contemporains qui sortent de leur zone de confort3.

    Si le port d’arme sert à se défendre du vol et à appréhender avec plus de sérénité l’inconnu, il sert aussi à parer les violences physiques, et plus encore les violences sexuelles. On a vu que le nombre d’agressions empêchées par la présence d’une arme se chiffre en millions.

    Vous ne l’ignorez pas, la réalité du viol n’est pas assimilable à une succession disparate de faits divers. Quand on parle de viol, on parle d’une réalité épidémiologique ; il y aurait ainsi en France 75 000 viols par an et 198 000 tentatives. Une femme sur dix subira un viol au cours de sa vie.

    C’est malheureusement universel et encore une fois nous allons nous rendre aux USA. Selon l’étude de Kleck et Gertz, 200 000 femmes s’y défendent chaque année grâce à une arme à feu.

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  28. En 1979 une étude réalisée dans 26 villes du pays – Rape Vicitimization in 26 americans cities – par le Carter Justice Department a découvert que sur 32 000 tentatives de viol, 32 % aboutissaient, mais que lorsque les victimes étaient armées, ce taux chutait à 3 %.

    On me dira qu’un agresseur aux intentions lubriques possédant une arme sera d’autant plus dangereux pour une femme. Je ne nie pas la validité de cet argument.

    Cependant, permettez-moi de poser le constat qu’une femme de 1 mètre 60, pesant 60 kg et ayant une arme à la ceinture sera beaucoup moins susceptible d’être violée par un homme armé taillé comme Hercule.

    De même une femme désarmée subissant l’assaut d’un homme armé ou non, sera beaucoup plus susceptible de recevoir du secours – et ce quels que soient le lieu et l’heure – dans une nation où les honnêtes gens peuvent s’armer, que dans une nation où seules les forces de l’ordre peuvent transporter une arme, dans ces derniers cas une rame de métro bondée pouvant être un havre de paix pour un satyre…

    À titre personnel, je préfère un pays où les femmes ont une arme à la ceinture pour se protéger plutôt qu’un trousseau de clés.

    La seule parade utile est le citoyen armé

    On me rétorquera que tout un chacun peut acquérir des armes de défense non létales, tel les Taser ou les sprays. Or il se trouve qu’une personne munie d’un spray n’a, outre qu’une portée ridicule, qu’un nombre limité de coups à envoyer à la face d’un agresseur et que les tasers ne suffisent parfois pas à neutraliser celui-ci, surtout si il porte une épaisse couche de vêtements.

    Les tasers ont les mêmes défauts que les sprays : une portée qui ne souffre pas la comparaison avec une arme à feu. Ce sont des armes qui ne disposent pas de la même cadence de tir qu’un pistolet, ce qui par conséquent ne peut protéger une personne contre un groupe. Pour tout dire, le taser est au pistolet ce qu’est l’arbalète est à l’arc. Le choix du moyen de défense est vite fait.

    Certains diront que les plus vulnérables peuvent apprendre à se défendre, non pas avec des armes létales ou non létales mais à mains nues, comme semble le confirmer le regain d’intérêt pour les sports de combat.

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  29. Hélas, là encore pour les hoplophobes, les mains nues ne sauvent pas toujours, pas même les champions des disciplines de contacts. Ainsi en 2004 Kuba Tokarz, 22 ans, champion de judo polonais dans la catégorie des 81 kg, cinquième au niveau européen, fut paralysé en 2004 après avoir reçu un coup de couteau dans une rixe de bar. S’il avait eu une arme à la ceinture, quelqu’un en serait-il venu aux mains contre lui ?

    Quelle solution reste-t-il donc à une personne agressée, à part le port d’arme ? La fuite ? Non, on n’en doute pas avec les invalides en fauteuil roulant, la fuite n’est pas toujours une option.

    Plus proche de la condition commune, une mère de famille encombrée par sa progéniture ne peut songer à s’enfuir à toutes jambes. Mais face au danger elle peut songer à dégager une de ses mains pour exhiber son arme, voire l’utiliser.

    La troisième raison de vouloir d’un droit au port d’arme est d’assurer une égalité citoyenne, parer les inégalités entre individus. Comme le disait un célèbre slogan :

    Dieu a créé les hommes inégaux, Colt les a rendus égaux.

    Et comme nous sommes tous vulnérables face aux fourbes, abordons le sujet du terrorisme.

    J’entends par terrorisme tous les actes de violence à l’encontre de civils ou de militaires, qu’ils soient des coups de folie ou des actes militants. Vous vous en doutez, là encore des citoyens armés sont indispensables, ils sauvent des vies4.

    J’entends déjà les remontrances : laisser les gens se défendre en pleine action, c’est courir le risque de multiplier les victimes innocentes, les citoyens étant moins compétents et préparés que les autorités face au stress de l’action.

    Outre le fait que les sceptiques auront oublié que les porteurs d’armes n’ouvrent le feu que dans 2 % des cas, c’est oublier que dans un État autorisant le port d’arme les citoyens se saisissant de ce droit se préparent psychologiquement à une triste éventualité – n’achètent-ils pas des armes pour défendre leur famille ?- et s’entraînent régulièrement, il s’avère une fois de plus que le scepticisme n’a pas lieu d’être.

    Rappelons également que les forces de l’ordre mettent du temps à intervenir, ce qui est normal, puisque il est impossible de placer un policier derrière chaque citoyen. Ainsi le ministère de la Justice américaine signalait qu’en 1991, pour tous les crimes de violence, seulement 28 % des appels à la police furent traités dans les cinq minutes. Gageons qu’il en est de même aujourd’hui en France.

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  30. De ce fait, aux États-Unis les criminels tuent moins de personnes lorsqu’ils sont arrêtés dans leur action par des civils armés plutôt que par des détenteurs de l’autorité.

    En effet, lorsqu’une tuerie est stoppée par des civils déjà sur place, le nombre de victimes s’élève à 2,33 en moyenne, tandis que lorsqu’il faut attendre les forces de l’ordre le bilan est bien plus lourd : 14,295.

    En ce qui concerne les dommages collatéraux, le criminologiste et législateur constitutionnel Don Kates a mis en évidence le fait que la police tue davantage d’innocents que les civils : 11 % de pertes civiles innocentes lors de l’action des forces de l’ordre contre seulement 2 % lorsque ce sont les civils qui interviennent.

    La position hoplophobe est de moins en moins défendable.

    Nous pourrions aussi imaginer un pays de cocagne de 10 millions d’âmes paisibles, doté de 10 000 policiers n’ayant que des armes non létales, suffisantes à première vue pour gérer une nation désarmée. Ce serait oublier qu’il y a toujours des moutons noirs, qui s’arment au marché noir, ou à défaut d’armes disponibles, peuvent en fabriquer. Quelle que soit l’efficacité d’une prohibition des armes légales et de la surveillance des rebuts de la société, les criminels parviendront toujours à s’armer.

    En effet, une arme, cela se trouve dans une cuisine – les couteaux sont des armes – ou cela se fabrique, et n’importe quel imbécile est capable de le faire. En cherchant bien, vous trouverez comment faire un calibre 12 artisanal sur internet, vous verrez même des gens faire des démonstrations sur YouTube.

    En somme, toute la problématique de la possession et du port d’armes tient en deux questions : la question de son utilité, qui est indéniable au vu de la facilité avec laquelle les gens mal intentionnés disposent d’armes ; et la question du bain culturel dans lequel ce droit s’applique.

    Mais puisque nous parlions de violences, de vols, d’inégalités et de terrorisme, parlons du contexte dictatorial qui engendre ces phénomènes.

    Les fondateurs des droits de l’Homme étaient de farouches partisans d’une nation armée.

    Un droit de l’Homme

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  31. Ainsi le 18 août, le Comité de rédaction de la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen écrivit cette phrase célèbre :

    Aucun pays n’est plus paisible et n’offre une meilleure police que ceux où la nation est armée.

    Il faut comprendre que dans l’esprit des révolutionnaires, empêcher la nation de s’armer revenait à instaurer de nouveau des privilèges. Ainsi la séance de l’Assemblée nationale du même jour nous donne à entendre ceci :

    Il est impossible d’imaginer une aristocratie plus terrible que celle qui s’établirait dans un État, par cela seul qu’une partie des citoyens serait armée et que l’autre ne le serait pas ; que tous les raisonnements contraires sont de futiles sophismes démentis par les faits, puisque aucun pays n’est plus paisible et n’offre une meilleure police que ceux où la nation est armée.

    D’ailleurs, Mirabeau souhaitait inscrire ce droit dans la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen, le proposant en tant qu’article 10, rédigé comme suit :

    Tout citoyen a le droit d’avoir chez lui des armes et de s’en servir, soit pour la défense commune, soit pour sa propre défense, contre toute agression illégale qui mettrait en péril la vie, les membres ou la liberté d’un ou plusieurs citoyens.

    Hélas, les membres du Comité des cinq rédacteurs considérèrent que ce droit allait de soi, et ne l’inscrivirent pas…. « le droit déclaré dans l’article 10 non retenu était évident de sa nature, et l’un des principaux garants de la liberté politique et civile que nulle autre institution ne peut le suppléer »6.

    On le comprend, les armes à feu sont donc utiles, non seulement pour protéger sa personne ou autrui, mais aussi pour protéger l’ensemble de la nation d’elle-même et de ses tendances serviles, ou des tendances esclavagistes d’autres populations et États.

    Les armes furent perçues dès l’aube de l’humanité comme un excellent moyen de se libérer de la tyrannie et, inversement, le fait que les populations soient armées a toujours été considéré comme une menace par les despotes7.

    En France même, le port d’arme était autorisé jusqu’au 18 avril 1939, date où le gouvernement l’a interdit par décret, dans le but d’éviter une possible insurrection lors du conflit de plus en plus imminent contre le Reich. Après l’invasion, qui eût été sans doute beaucoup plus coûteuse pour l’ennemi si la population française avait bénéficié d’armes lui permettant de multiplier les poches de résistances, le régime de Vichy interdira, par la loi n° 2181 du 1er juin 1941, la détention, l’achat et la vente d’armes et de munitions par les juifs.

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  32. Les génocides et démocides ciblent toujours des populations civiles ne pouvant plus se défendre face aux États décidant de s’en prendre à elles.

    Continuons sur le cas français. Après les mesures anti-juives, ce fut la loi du 7 août 1942 qui punira de mort toute personne détenant un dépôt d’armes, d’engins meurtriers ou incendiaires. Enfin la loi du 3 décembre 1942 interdira la détention et le transport de toute arme à feu et munition y compris de chasse.

    En somme Orwell avait vu juste dans son « Don’t Let Colonel Blimp Ruin the Home Guard », paru le 8 janvier 1941 au Evening Standard :

    Les États totalitaires peuvent faire de grandes choses, mais il y a une chose qu’ils ne peuvent pas faire : ils ne peuvent pas donner à l’ouvrier un fusil et lui dire de l’amener chez lui et de le garder dans sa chambre. Ce fusil accroché au mur de l’ouvrier ou du paysan est le symbole de la démocratie. C’est notre travail de veiller à ce qu’il y reste.

    Article original publié le 19 février 2018.

    Pour cela nous allons utiliser – entre autres – l’étude de Gary Kleck et Marc Gertz, tous deux criminologues à la Florida State University College of Criminology and Criminal Justice ; « Armed Resistance to Crime : The Prevalence and Nature of Self-Defense With a Gun ». ↩

    Gary Kleck, « Crime Control Through the Private Use of Armed Force ». ↩

    H.P Lovecraft retranscrit parfaitement ce que l’esprit d’une personne désarmée peut subir dans un lieu où règne l’insécurité :

    « Au bout d’un certain temps, je crus entendre craquer l’escalier et les couloirs comme sous des pas, et je supposai que les autres chambres commençaient à se remplir. Pourtant, il n’y avait pas de bruits de voix, et je fus frappé du caractère furtif de ces craquements. Cela me déplut, et je me demandai si je ne ferais pas mieux de ne pas dormir du tout. Cette ville abritait des gens bizarres, et l’on avait incontestablement noté plusieurs disparitions. Était-ce là une de ces auberges où l’on tuait les voyageurs pour voler leur argent ? Je n’avais sûrement pas l’air très fortuné. Ou bien les habitants avaient-ils tant de haine pour les visiteurs curieux ? Mon intérêt évident de touriste, la fréquente consultation de la carte avaient-ils fait mauvaise impression ? Dans quel état nerveux étais-je donc pour échafauder ainsi des hypothèses sur quelques craquements fortuits ? Mais je n’en regrettais pas moins d’être sans arme. » ↩

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  33. En 2008 à Winnemucca un homme entra dans un bar rempli par 300 personnes, il en tua trois et en blessa d’autres avant d’être abattu par un homme ayant un permis de port d’arme dissimulée. Le 20 avril 2015 à Chicago, un chauffeur Uber empêcha une tuerie de masse avec l’arme qu’il portait grâce à un permis de port d’arme dissimulée. Ces faits divers prouvent encore une fois l’efficience du port d’arme face à des individus hostiles, qu’ils soient bandits ou terroristes. ↩

    Source : Travaux de Davi Barker sur 28 événements. ↩

    Le Courrier de Provence, n°XXIX, Par Honoré-Gabriel de Riquetti de Mirabeau, page 17). ↩

    Hérodote nous conte ainsi au paragraphe 155 du premier livre de son Enquête, le stratagème que Crésus inspira au souverain perse Cyrus afin de soumettre le peuple des Lydiens, alors en pleine insurrection, stratagème qui commence par un désarmement de la population.

    « CLV. Sur cette nouvelle, que Cyrus apprit en chemin, ce prince dit à Crésus : «Quand verrai-je donc la fin de ces troubles ? Les Lydiens ne cesseront point, suivant toutes les apparences, de me susciter des affaires, et de s’en faire à eux-mêmes. Que sais-je s’il ne serait pas plus avantageux de les réduire en servitude ? J’en ai agi, du moins à ce qu’il me semble, comme quelqu’un qui aurait épargné les enfants de celui qu’il aurait fait mourir. Vous étiez pour les Lydiens quelque chose de plus qu’un père, je vous emmène prisonnier ; je leur ai remis leur ville, et je m’étonne ensuite qu’ils se révoltent !» Ce discours exprimait la manière de penser de ce prince : aussi Crésus, qui craignait qu’il ne détruisît entièrement la ville de Sardes, et qu’il n’en transplantât ailleurs les habitants, reprit la parole : «Ce que vous venez de dire, seigneur, est spécieux ; mais ne vous abandonnez pas entièrement aux mouvements de votre colère, et ne détruisez point une ville ancienne, qui n’est coupable ni des troubles précédents, ni de ceux qui arrivent aujourd’hui. J’ai été la cause des premiers, et j’en porte la peine. Pactyas a offensé celui à qui vous avez confié le gouvernement de Sardes : qu’il en soit puni. Pardonnez aux Lydiens ; mais, de crainte qu’à l’avenir ils ne se soulèvent, et qu’ils ne se rendent redoutables, défendez-leur d’avoir des armes chez eux, et ordonnez-leur de porter des tuniques sous leurs manteaux, de chausser des brodequins, de faire apprendre à leurs enfants à jouer de la cithare, à chanter, et les arts propres à les rendre efféminés. Par ce moyen, seigneur, vous verrez bientôt des hommes changés en femmes, et il n’y aura plus à craindre de révolte de leur part ».

    On retrouve sans surprise la même froide logique tout au long de l’Histoire. ↩

    https://www.contrepoints.org/2024/08/25/310000-port-darme-allons-contre-prejuges

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  34. Le fondateur de Telegram, Pavel Durov, arrêté à Paris pour avoir refusé de censurer des contenus


    25 août 2024
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Pavel Durov, fondateur et PDG de l'application de messagerie cryptée Telegram, a été arrêté samedi soir, ont rapporté les médias français. L'incident s'est produit à l'aéroport du Bourget lorsque Durov est descendu de son jet privé accompagné d'un garde du corps et d'une femme. Durov, qui possède la double nationalité franco-russe et est âgé de 39 ans, venait d'arriver d'Azerbaïdjan.

    L'arrestation a été effectuée par des membres de la GTA (Gendarmerie des Transports Aériens) sur la base d'un mandat de perquisition français. Ce mandat de perquisition, délivré par l'OFMIN de la Direction nationale de la police judiciaire française, était basé sur des allégations selon lesquelles les stratégies opérationnelles de Telegram - notamment son manque de censure et de coopération avec les exigences de censure des forces de l'ordre, ainsi que des fonctionnalités telles que le téléphone jetable les numéros et les transactions de crypto-monnaie - soutenaient indirectement des activités illégales.

    Après son arrestation, Durov a été placé en garde à vue par les enquêteurs de l'ONAF (Office national de lutte antifraude). Il devait comparaître samedi soir devant un magistrat, qui pourrait porter plusieurs chefs d'accusation contre lui dimanche, notamment terrorisme, stupéfiants, complot, fraude et blanchiment d'argent.

    Un enquêteur s'est confié à TF1/LCI : « Pavel Durov finira en garde à vue, c'est sûr. Il a utilisé sa plateforme pour autoriser d’innombrables crimes et délits qu’il ne fait rien pour modérer ou avec lesquels il ne coopère pas.

    La récente arrestation de Pavel Durov n'est que le dernier d'une série de défis auxquels est confronté Telegram, un service de messagerie crypté connu pour ses politiques strictes en matière de confidentialité. Ces dernières semaines, la plateforme a fait l’objet d’attaques croissantes de la part de divers gouvernements et régulateurs, affirmant que les politiques de liberté d’expression encouragent les activités illégales.

    Au cœur de la controverse se trouvent les protocoles de cryptage et les fonctionnalités de confidentialité de Telegram, qui, selon les autorités, entravent les enquêtes criminelles et permettent la diffusion de contenus illégaux.

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  35. Durov a récemment rapporté dans une interview avec Tucker Carlson que le FBI avait tenté de le soudoyer afin de pouvoir accéder au contenu via une porte dérobée. Durov avait rejeté la demande. Avant Telegram, Durov a fondé le concurrent de Facebook, VK. C'était et c'est toujours l'un des plus grands des pays de l'ex-Union soviétique et il est aujourd'hui également extrêmement populaire auprès des esprits critiques occidentaux. Je peux être trouvé ici sur VK.

    Le nombre d'utilisateurs de Telegram a fortement augmenté en raison de la promesse d'une communication sécurisée, en particulier dans les régions où règne un climat politique non démocratique et autoritaire. Telegram a gagné un grand nombre d'utilisateurs depuis 2020, actuellement environ 2,5 millions par jour, comme l'a noté Durov dans une interview avec Tucker. La raison en est le bon cryptage et l’absence d’accès pour les services secrets et autres espions. Il offre également de nombreuses fonctions pratiques, telles que des traductions automatiques de langues étrangères dans une qualité supérieure à celle de Google, à peu près aussi bonne que DeepL. TKP possède également depuis des années sa propre chaîne très fréquentée .

    Malgré la pression des politiciens, Telegram a toujours défendu ses politiques et a cité la confidentialité des utilisateurs comme sa priorité absolue. Le refus de la plateforme de mettre en place des portes dérobées pour la surveillance gouvernementale ou de partager les données des utilisateurs a conduit à des litiges juridiques dans plusieurs pays.

    De plus, l’utilisation de numéros de téléphone jetables et la prise en charge des transactions en crypto-monnaie sur Telegram ont été critiquées pour avoir potentiellement fourni un voile d’anonymat aux activités criminelles.

    Bien que ces fonctionnalités soient populaires parmi les défenseurs de la vie privée, elles sont souvent citées par les forces de l’ordre comme des obstacles à la lutte contre la criminalité numérique.

    L'arrestation de Durov représente une escalade significative dans le débat mondial sur l'équilibre entre vie privée et sécurité et pourrait avoir de profondes implications dans plusieurs domaines :

    Protection des droits fondamentaux à la communication non surveillée, à la liberté d'expression et à la liberté de la presse : ces droits fondamentaux et humains font l'objet de pressions croissantes en France et dans l'UE. Ce n'est probablement pas un hasard si le commissaire européen à la censure, Thierry Breton, vient de France. Les politiciens dépendent de plus en plus de la censure et de l’interdiction des voix critiques.

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  36. Un précédent juridique : cet incident pourrait créer un précédent dans la manière dont les États abordent la réglementation des plateformes de communications cryptées. Si Durov est poursuivi pour les actions des utilisateurs de sa plateforme, cela pourrait entraîner une pression accrue sur d'autres entreprises technologiques pour qu'elles surveillent et contrôlent le comportement des utilisateurs, mettant ainsi en péril l'engagement de protéger la vie privée des utilisateurs. Une affaire similaire concerne la tentative des États-Unis de tenir le fondateur de Megaupload, Kim Dotcom, pour responsable des utilisateurs qui auraient téléchargé du contenu protégé par le droit d'auteur sur sa plateforme.

    Surveillance de l'État et protection des données : cette affaire met en évidence la tension entre la surveillance de l'État et le droit de l'individu à la vie privée. Les gouvernements pourraient utiliser cet incident comme justification pour exiger un meilleur accès aux communications cryptées, arguant que cela est nécessaire pour la sécurité nationale et le maintien de l’ordre. Cela pourrait conduire à des changements juridiques et réglementaires plus larges qui compromettraient complètement la protection de la vie privée dans les espaces numériques.

    Relations internationales et jurisprudence : la double nationalité de Durov et la nature internationale de ses activités mettent en évidence les complexités de la jurisprudence en matière d'application de la loi numérique. Cette arrestation pourrait conduire à des discussions sur la coopération internationale et à des conflits concernant la souveraineté numérique et l'application des lois nationales contre les plateformes opérant à l'échelle mondiale.

    Impact commercial : l'arrestation pourrait décourager les entreprises et les développeurs de développer ou de maintenir des produits donnant la priorité à la confidentialité des utilisateurs si ces priorités pouvaient entraîner des problèmes juridiques. Cela pourrait freiner l’innovation dans le domaine des technologies de communication sécurisées et avoir un impact sur la manière dont les entreprises fonctionnent, en particulier celles qui s’appuient sur une stricte confidentialité.

    Réaction du public et du marché : la réaction du public et du marché à l'arrestation de Durov pourrait influencer la façon dont d'autres entreprises abordent la protection et le cryptage des données. Une réaction violente pourrait dissuader les gouvernements de prendre des mesures similaires, tandis que des réactions modérées pourraient encourager de nouvelles mesures de répression.

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  37. Cette affaire est un test décisif pour l’avenir de la confidentialité numérique, du cryptage et du rôle des entreprises technologiques dans la modération du contenu et la coopération avec les forces de l’ordre. L'impact mondial du traitement de cette affaire est important et peut affecter non seulement l'industrie technologique, mais également le droit à la vie privée des individus du monde entier.

    Il est clair que la lutte des hommes politiques contre la liberté d’expression s’intensifie. La France s'enfonce de plus en plus dans le fascisme.

    https://tkp.at/2024/08/25/telegram-gruender-pavel-durov-in-paris-verhaftet-wegen-weigerung-inhalte-zu-zensiern/

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  38. Le milliardaire Pavel Durov, PDG de Telegram, arrêté en France


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 25 AOÛT 2024 - 01:15


    Pavel Durov, le milliardaire cofondateur et PDG de l'application de messagerie Telegram, a été arrêté à l'aéroport du Bourget, près de Paris, samedi soir, selon TF1 TV, citant une source anonyme.

    Selon le rapport, Durov, 39 ans, voyageait à bord de son jet privé après son arrivée d'Azerbaïdjan, ce qui a déclenché un mandat de recherche français émis par l'OFMIN de la police judiciaire française en raison de son inclusion dans un fichier des personnes recherchées (FPR).

    Telegram propose une messagerie cryptée de bout en bout - et permet aux utilisateurs de configurer des "canaux" pour diffuser rapidement des informations aux abonnés.

    "Il a fait une gaffe ce soir. On ne sait pas pourquoi... Ce vol n'était-il qu'une escale ? En tout cas, il est en garde à vue !" a déclaré une source proche de l'enquête au média (traduit par Google).

    Durav a été arrêté par l'Office national de lutte contre la fraude (ONAF), pour avoir prétendument facilité divers crimes, notamment le terrorisme, le trafic de stupéfiants et la fraude.

    "Sur sa plateforme, il a permis qu'un nombre incalculable d'infractions et de crimes soient commis, pour lesquels il n'a rien fait pour modérer ou coopérer", a déclaré une source à TF1 TV.

    L'arrestation a été qualifiée par le fondateur de Megaupload, Kim Dotcom, comme faisant partie de la "répression contre la liberté d'expression".

    Dotcom recommande aux gens de "Sauvegarder et nettoyer leur compte Telegram tant qu'ils le peuvent encore".

    Avertissement : Sauvegardez et nettoyez votre compte Telegram tant qu'il le peut encore.
    — Kim Dotcom (@KimDotcom) 24 août 2024

    Durav, né en Russie, a notamment quitté la Russie en 2014 après avoir refusé de se conformer aux demandes de fermeture des communautés d'opposition sur sa plateforme de médias sociaux VK, qu'il a depuis vendue. Il vit désormais à Dubaï, où Telegram est basé, et possède la double nationalité française et émirienne.

    Pavel Durov a quitté la Russie lorsque le gouvernement a tenté de contrôler son entreprise de médias sociaux, Telegram. Mais en fin de compte, ce n'est pas Poutine qui l'a arrêté pour avoir permis au public d'exercer sa liberté d'expression. C'est un pays occidental, allié de l'administration Biden et membre enthousiaste de l'OTAN,… https://t.co/F83E9GbNHC
    — Tucker Carlson (@TuckerCarlson) 24 août 2024

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  39. Durov, dont la valeur nette est estimée à 15,5 milliards de dollars, a déclaré que certains gouvernements avaient cherché à faire pression sur lui, mais que l'application Telegram - qui compte 900 millions d'utilisateurs actifs, devrait rester une « plateforme neutre » et non un « acteur de la géopolitique ». Durov et son frère ont fondé Telegram en 2013.

    Pavel Durov, fondateur de Telegram, vient d'être arrêté en France après être descendu de son avion.

    Il est désormais incarcéré dans une prison française, accusé de terrorisme, de trafic et de blanchiment d'argent. Tout cela pour avoir refusé de censurer à la demande des gouvernements et des agences de renseignement. @DavidSacks l'a appelé. pic.twitter.com/cRo3Uk8LS9
    — Geiger Capital (@Geiger_Capital) 24 août 2024

    Ce sont toutes des excuses pour forcer PAVEL DUROV à vendre les informations privées de ses utilisateurs aux agences de renseignement
    — Barkin • ברקין • Баркин • 巴尔金 (@B2RKN) 24 août 2024

    Selon The Guardian, l'ambassade de Russie en France prend des « mesures immédiates » pour clarifier la situation.

    Il risque jusqu'à 20 ans de prison s'il est reconnu coupable.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/billionaire-telegram-ceo-pavel-durov-arrested-france

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  40. Billet du lundi : retour sur l'arrestation de Pavel Dourov en France


    lundi 26 août 2024
    Karine Bechet-Golovko


    Pavel Dourov, fondateur de la messagerie Telegram, a été arrêté samedi soir sur le tarmac du Bourget ... alors qu'il était sous le coup d'un mandat d'arrêt. Libertarien, surfant sur la vague des "génies infantiles" que le monde post-moderne adule, il est présenté comme "l'opposant à Poutine" et l'homme libre par excellence aujourd'hui. La Russie voudrait le défendre, mais il a la nationalité française et ne vit plus dans le pays. Que se cache-t-il derrière cette arrestation ? De la russophobie, comme on le répète en Russie ? Non, en tout cas pas uniquement. Tout comme l'agression armée à Koursk n'est pas du terrorisme, l'arrestation de Dourov n'est pas que de la russophobie. Nous sommes en guerre. Et c'est uniquement dans ce paradigme que cette arrestation prend tout son sens. Derrière Dourov, c'est la Russie qui est visée. Cet ennemi à détruire.

    Pavel Dourov est présenté dans les médias français, comme un génie sans bouillir depuis l'école, homme libre dans la vision primaire libertarienne, opposant au vilain Poutine et ayant quitté la Russie pour faire fortune. Homme sans foi et sans Patrie, il s'occupe de la régularité de son bronzage et de ses conquêtes, ce qui ne l'empêche absolument pas de, soi-disant, faire fortune en solitaire et s'opposer à tous les services secrets de la planète, de gagner la guerre de l'Internet contre l'Etat. Hourra, Hourra Hourra ! C'est cet enfant parfait du monde global, que la France - pays dont l'indépendance ne fait aucun doute - a interpellé lors de son atterrissage à Paris.

    Pavel Dourov devait y passer au moins une soirée, dans un restaurant où il avait réservé une table. Il fut immédiatement saisi et placé en détention préventive. L'ambassade de Russie a voulu prendre contact avec lui, a exigé que ses droits soient respectés ... mais la France ne coopère pas. Et pour cause, Dourov a été naturalisé français en 2021 ... pour les autorités françaises, sur le sol français, il est évidemment considéré comme français.

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  41. Les grands héros postmodernes de la liberté, comme l'incontournable Elon Musk - le mentor de créateur de l'image Doudov, a défendu la créature. Lui, qui fut présenté comme le grand défenseur de TXitter, le fournisseur pour les besoins du Pentagon des communications pour la guerre atlantiste en Ukraine, celui qui a aussi dans un génie sans nom tout développé ... sans aucune intervention de structures étatiques, juste avec ses petites mains et ses cellules grises. Amen.

    Pourtant, quelques questions se posent. Rappelons que Dourov était en 2020 quasiment en faillite. La Russie causait de sérieux problèmes à Telegram depuis plusieurs années, car il ne voulait pas coopérer avec les services de sécurité en cas de crimes graves. Les USA de leur côté avaient torpillé sa première version de crypto-monnaie. Il était endetté et ne pouvait s'en sortir. Miraculeusement, il rembourse tout, Télégram n'est plus boqué en Russie et surtout, Telegram devient la messagerie officielle des institutions russes. Dès lors, sa fortune se fait et Telegram s'envole, sa crypto-monnaie prospère.

    Il s'agit certainement d'une coïncidence.

    La France a interpellé Dourov, en l'accusant de ne pas gérer la modération sur cette messagerie, qui serait utilisée, comme toutes les messageries pour des activités illégales. Le fait qu'il existe un véritable problème de criminalité sur Internet est indéniable. Le fait qu'il faille aussi lutter contre la criminalité, où qu'elle se développe, est également évident. Pourtant, dans la fantasmagorie populaire aujourd'hui, Internet doit être en dehors du droit, hors la loi. Comme les bandits de grands chemins à l'époque ? L'équipe de Telegramm affirme respecter la législation en la matière. S'arrêter sur les questions techniques juridiques ne présente ici qu'un intérêt relatif - voyons ce que la justice dira. Et elle dira, ce qu'il faut dire en besoin des éléments politiques de l'affaire, qui sont autrement dominants.

    Au troisième jour, l'on attend toujours le communiqué de presse officiel. Bref, Dourov est sérieusement travaillé.

    Oui, la liberté de parole est en danger dans nos sociétés globalisées. Ce qui ne veut pas dire, qu'aucun contrôle étatique ne doit exister. Que les crimes soient commis grâce à un appartement, que vous mettez en location, ou grâce à un espace de communication que vous mettez à disposition des criminels, il s'agit toujours de crimes et les services étatiques, d'enquête et de justice, doivent pouvoir agir et lutter contre ces crimes.

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  42. Ce qui dérange ici est que les services étatiques ne fonctionnent pas pour lutter contre la criminalité, mais pour servir un pouvoir - global. Dont paradoxalement, Dourov est un des éléments, avec la désétatisation de la monnaie et le développement des plateformes numériques.

    L'arrestation de Dourov n'est pas simplement une atteinte à la liberté, c'est surtout un acte de guerre. L'intérêt de Telegram pour les services français est qu'il est utilisé par les institutions russes, pays contre lequel les pays de l'Axe atlantiste sont en guerre. Le reste, tout le monde s'en moque. L'accès à cette information, celle du fonctionnement interne de "l'ennemi" est le véritable but de cette opération conduite en France.

    Ici, deux remarques à réfléchir, au-delà des réactions émotives, qui engloutissent la question de son arrestation.

    1) Cet individu a la nationalité française, a quitté la Russie, se dit "citoyen du monde". Qu'il ne délecte de ce monde, qu'il vénère. Savait-il qu'il était sous le coup d'un mandat d'arrêt ? Se croyait-il "protégé" ou dessus des règles ? A-t-il été obligé d'atterrir à Paris ? Beaucoup de questions restent en suspens. Le patron de Rumble, lui, a quitté l'Union européenne immédiatement.

    2) A l'heure où le Président Poutine (qui avait d'ailleurs refusé de le croiser à Bakou) adopte un oukase protégeant les valeurs traditionnelles, invitant les étrangers les partageant à trouver un havre de paix en Russie, Dourov est présenté comme un héros national dans les médias russes. La dissonance est parfaite et illustre à merveille le côté superficiel du discours politique officiel pour ces élites.

    En jouant la carte post-moderne des génies infantiles, la Russie continue à jouer selon des règles, qu'elle ne maitrise pas et se retrouve dans une situation des plus cocasses, à défendre une personne qui incarne ce que formellement elle est censée combattre, se bat contre l'étatisme, qui ne veut pas vivre en Russie et adule le monde global. Il faudrait peut-être remettre l'église au milieu du village.

    http://russiepolitics.blogspot.com/2024/08/billet-du-lundi-retour-sur-larrestation.html

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  43. Pour la défense du capitalisme #2 : « Le capitalisme conduit à une inégalité croissante »


    Rainer Zitelmann
    26 août 2024


    Rainer Zitelmann, historien, sociologue et contributeur régulier pour Contrepoints propose une série de 8 articles autour de son livre In Defense of Capitalism qui vise à désarmer certains préjugés des pourfendeurs du capitalisme.

    Les deux programmeurs informatiques américains Brian Acton et Jan Koum ont inventé WhatsApp et l’ont vendu à Facebook pour 19 milliards de dollars en 2014. Deux milliards de personnes dans le monde utilisent désormais WhatsApp pour envoyer non seulement des messages et des fichiers, mais aussi pour passer des appels téléphoniques gratuits. Grâce à leur idée, les deux fondateurs de WhatsApp ont amassé une fortune combinée de 16 milliards de dollars. L’inégalité a-t-elle augmenté parce qu’il y a maintenant deux multimilliardaires de plus ? Certainement. Mais cela a-t-il fait du tort à quelqu’un, sauf peut-être aux fournisseurs de forfaits téléphoniques onéreux ?

    En Chine, grâce à l’introduction de la propriété privée et des caractéristiques de l’économie de marché, le nombre de personnes vivant dans l’extrême pauvreté est passé de 88 % à moins de 1 % depuis le début des années 1980. Dans le même temps, le nombre de riches a augmenté plus que dans n’importe quel autre pays. Aujourd’hui, seuls les États-Unis comptent plus de milliardaires que la Chine. Les inégalités ont augmenté, la pauvreté a diminué. Quelqu’un pense-t-il que les Chinois souhaitent revenir à la vie sous Mao simplement parce que les gens étaient plus égaux ?

    Le fait que l’inégalité soit davantage discutée que la pauvreté dans le débat public est une expression de l’envie, même si les détracteurs de l’inégalité nient ce motif. L’envie est l’émotion la plus communément niée, réprimée et masquée. Lorsque l’envie devient reconnaissable en tant que telle, ou qu’elle est communiquée ouvertement, la personne envieuse disqualifie automatiquement ses intentions.

    L’anthropologue George M. Foster se demande pourquoi les gens peuvent admettre leurs sentiments de culpabilité, de honte, d’orgueil, d’avidité, et même de colère, sans perdre leur estime de soi, alors qu’il leur est presque impossible d’admettre leurs sentiments d’envie. Il propose l’explication suivante : toute personne qui admet à elle-même et aux autres qu’elle est envieuse admet également qu’elle se sent inférieure. C’est précisément pour cette raison qu’il est si difficile de reconnaître et d’accepter sa propre envie.

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  44. Le succès exceptionnel du livre de l’économiste français Thomas Piketty, Le capital au XXIe siècle, a montré à quel point le thème de l’inégalité et du « fossé entre les riches et les pauvres » enflamme les médias – et pas seulement eux.

    Piketty admet que les inégalités ont diminué, et non augmenté, pendant la majeure partie du XXe siècle. Ce n’est qu’à partir de 1990 qu’il y a eu une évolution négative vers davantage d’inégalité. Les années particulièrement mauvaises du point de vue de Piketty ont en fait été les meilleures pour des centaines de millions de personnes dans le monde entier. Au cours des vingt années pour lesquelles Piketty affirme que les inégalités ont augmenté (1990-2010), pas moins de 700 millions de personnes sont sorties de l’extrême pauvreté.

    La critique de l’inégalité en Grande-Bretagne, en particulier des salaires élevés des cadres, s’appuie également souvent sur des chiffres erronés.

    Damien Knight et Harry McCreddie ont montré que de nombreuses statistiques publiées dans les médias sur l’inflation des salaires des dirigeants, ou sur l’évolution du ratio entre les salaires des dirigeants et ceux des employés ordinaires sont grossièrement erronées parce que ceux qui effectuent ces calculs n’ont souvent même pas une compréhension rudimentaire des méthodologies mathématiques ou statistiques.

    Par exemple, les moyennes et les médianes sont souvent confondues, ou aucune distinction n’est faite entre les rémunérations accordées et les rémunérations réelles, etc. Prenant l’exemple du Royaume-Uni, ils expliquent comment une augmentation réelle de 6 % des salaires des cadres au cours d’une période donnée devient rapidement une augmentation de 23 % dans les médias, ou une augmentation de 2 % devient une augmentation de 49 %.

    Leur conclusion :

    « Nous pensons qu’une recherche et une analyse médiocres ont davantage nui à la cohésion sociale que les entreprises elles-mêmes ne l’ont fait en rémunérant leurs cadres supérieurs à un niveau élevé. »

    Les économistes américains Phil Gramm, Robert Ekelund et John Early vont dans le même sens dans leur livre The Myth of American Inequality.

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  45. Ils critiquent le fait que les statistiques américaines sur l’inégalité ne tiennent pas compte des transferts et des impôts. Si les impôts substantiels payés par les hauts revenus ne sont pas reflétés dans les statistiques, et que les transferts substantiels reçus par les bas revenus sont également largement ignorés, cela conduit logiquement à ce que les données sur l’accroissement de l’inégalité soient erronées. Si les impôts et les transferts sont pris en compte, le rapport entre les revenus des 20 % d’Américains les plus modestes et les 20 % les plus aisés est de 4,0 contre 1, au lieu des 16,7 contre 1 indiqués dans les données officielles du recensement.

    L’inégalité n’a donc pas augmenté autant qu’on le prétend souvent. Quoi qu’il en soit, je pense que nous devrions moins nous préoccuper de la question de l’inégalité et davantage du problème de la pauvreté.

    https://www.contrepoints.org/2024/08/26/475528-pour-la-defense-du-capitalisme-2-le-capitalisme-conduit-a-une-inegalite-croissante

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    1. Il y a des personnes qui vont sur l'Internet pour s'instruire et d'autres qui y vont pour s'amuser; alors...

      (...) « Le capitalisme conduit à une inégalité croissante » (...) ?

      Effectivement si un con gagne au loto ou fait un héritage il sera riche mais toujours con. Le con est celui qui trainasse dans la rue, vole des voitures, insulte et agresse des personnes ou passe des heures devant sa putain de télé. S'il s'instruisait, il serait capable d'avoir une chance de réussir dans la vie. Sur Internet tout le monde peut apprendre à repeindre un plafond, changer le carburateur de sa voiture ou planter un plant de tomates. C'est facile il y a 1000 vidéos qui expliquent tout çà.
      Il y a des riches, même des très riches qui sont parti de rien avec rien en poche et tout dans la tête.
      Une personne intelligente saura faire fructifier son argent à l'inverse du fonctionnaire qui le lui vole par des taxes et l'impôt. Un chef d'entreprise lui il ne gaspillera pas son argent, n'ira pas commander un million d'éoliennes sans savoir sur un an d'essais préalables comment çà marche. Il n'ira pas investir son argent en voiture électrique quand il sait que les centrales nucléaire sont fermées ou projettent de l'être !

      Faute de QI suffisant près de 30.000 entrepreneurs ont dû cesser leur activité au premier semestre 2024, soit une hausse de 18,4 % par rapport à la même période en 2023 !

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  46. Nourrir des milliards de personnes sans compromettre nos ambitions climatiques

    Il est urgent d’agir dans le secteur agroalimentaire. Mais par où commencer ? La fermentation entérique (le processus digestif qui, chez les ruminants, produit du méthane), la production de cultures destinées au bétail et à la consommation humaine, et les changements d’affectation des sols sont les principaux facteurs qui contribuent aux émissions agricoles. Ils sont responsables d’environ trois quarts des émissions de gaz à effet de serre provenant de la production alimentaire.


    le 26 août 2024 à 4h30


    14% des rendements plus élevés pourraient réduire les émissions alimentaires de 14 %

    8 000 000 000. Le 15 novembre 2022, selon les Nations unies, la population mondiale a atteint huit milliards d’habitants. Bien que le taux de croissance ralentisse, les Nations unies prévoient que d’ici 2050, la planète comptera 9,7 milliards d’habitants.

    2050 est aussi l’année où les pays et les entreprises devront atteindre leur objectif de zéro net, tout en fournissant suffisamment de nourriture à la population mondiale. Comme le montre clairement la carte de matérialité du Sustainability Accounting Standards Board, le changement climatique et la production alimentaire sont étroitement liés. L’industrie agroalimentaire est exposée à des risques importants liés au changement climatique, notamment les émissions de gaz à effet de serre, la gestion de l’énergie et la gestion de l’eau.

    Il est essentiel de prendre en compte les émissions des denrées alimentaires, car elles pourraient consommer la majeure partie du budget carbone disponible pour rester en deçà de 1,5 °C ou 2 °C. En effet, Our World in Data estime que, dans le cadre d’un scénario de statu quo et compte tenu des tendances démographiques, alimentaires et agricoles, les émissions cumulées de gaz à effet de serre provenant de la production alimentaire entre 2020 et 2100 utiliseraient 96 % du budget carbone disponible pour maintenir le réchauffement de la planète sous la barre des 2 °C, avec une probabilité de 67 %, ce qui ne laisserait que 49 milliards de tonnes d’équivalents CO2 pour tous les secteurs non alimentaires.

    Principaux responsables des émissions agricoles

    Réduire la fermentation entérique grâce aux innovations agrotechnologiques
    Pour réduire le plus gros responsable des émissions carbone dans le secteur agricole, à savoir la fermentation entérique, des entreprises comme DSM-Firmenich ont développé des solutions innovantes telles que Bovaer. Selon l’entreprise, ce complément alimentaire permet de réduire les émissions de méthane des bovins d’au moins 30 % pour les vaches laitières et de 45 % pour les bovins de boucherie.

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  47. Produire plus avec moins : comment améliorer le rendement des cultures ?
    L’amélioration du rendement des cultures est un autre moyen pour le secteur alimentaire de réduire sa part dans le budget carbone mondial. Des recherches publiées dans le magazine Science en 2020 ont montré que des rendements plus élevés pourraient réduire les émissions alimentaires de 14 %, passant de 1 356 milliards de tonnes à 1 162 milliards de tonnes d’équivalent gaz carbonique. L’utilisation d’engrais et d’huile de palme pourrait doper les rendements.

    Les engrais

    Les engrais peuvent contribuer à augmenter les rendements en fournissant aux cultures des nutriments essentiels qui leur assurent une croissance optimale. Cela permet aux producteurs de denrées alimentaires de maximiser la productivité agricole afin de répondre à la demande alimentaire mondiale tout en réduisant la pression sur les écosystèmes naturels, diminuant ainsi la conversion des terres et la déforestation.

    Les engrais ont été fortement critiqués pour leurs conséquences environnementales négatives, notamment la pollution de l’eau, l’eutrophisation et les fortes émissions de gaz à effet de serre lors de la production. Alors qu’à l’heure actuelle, ils sont généralement produits à partir d’ammoniac et de combustibles fossiles (généralement du gaz naturel), l’utilisation de sources renouvelables pour la production d’engrais permettra d’obtenir de l’azote plus “propre” et de réduire les émissions de gaz à effet de serre. Une deuxième critique porte sur le fait que la dépendance à l’égard des engrais a des répercussions sur la santé des sols. Cependant, lorsqu’ils sont gérés de manière durable et appliqués correctement, les engrais peuvent en réalité améliorer les sols.

    Les pratiques agricoles peuvent intégrer la gestion des éléments nutritifs, ce qui permet une utilisation plus durable des engrais. En analysant la teneur du sol en éléments nutritifs, il est possible de cibler l’application en utilisant des engrais à libération lente ou contrôlée pour répondre aux besoins des cultures, en fournissant aux plantes les éléments nutritifs essentiels qui peuvent être déficients dans le sol. Les agriculteurs peuvent ainsi optimiser l’utilisation de leurs terres, de l’eau et de l’énergie. Enfin, ces technologies réduisent les déchets et minimisent le risque de ruissellement ou de lessivage des nutriments.

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  48. L’huile de palme

    L’huile de palme a été largement critiquée pour ses effets dévastateurs sur l’environnement, en grande partie à cause de la déforestation. Les écosystèmes qui disparaissent pour produire de l’huile de palme sont généralement des puits de carbone et, selon le Programme des Nations unies pour l’environnement, cette déforestation pourrait être à l’origine de 10 % des émissions mondiales supplémentaires de carbone. Cependant, l’huile de palme a un rendement à l’hectare quatre à vingt fois supérieur à celui des autres huiles végétales (tournesol, colza, soja) et peut donc réduire le changement d’affectation des sols et la déforestation.

    C’est également l’huile la plus utilisée dans les pays où la population augmente. Parmi ses avantages, citons sa capacité à supporter des températures de cuisson élevées (ce qui la rend utile pour la friture) et sa longue durée de conservation.

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    1. Premièrement l''effet de serre' n'est formé que de vapeur d'eau et non de gaz carbonique à 0,041 % de notre atmosphère ou de méthane à... 0,0000017 % !

      De plus, ce que la journaliste du site islamique ignore, est que TOUS les gaz se recyclent immédiatement et cela depuis DES milliards d'années (sans quoi la vie sur Terre ne serait jamais apparue).

      Deuxièmement, nul au monde n'est responsable du temps qu'il fait (sauf HAARP et les avions chemtrailleurs). Le gaz carbonique est le gaz le plus lourd de tous (1,8 gr./litre) et est au ras du sol. Il est responsable des gelées blanches. Il n'est don en aucun cas un gaz réchauffiste.

      Composition de notre atmosphère:

      Azote (N2) 78,084 %
      Oxygène (O2) 20,953 %
      Argon (Ar) 0,9340 %
      Vapeur d'eau (H2O) de < 0,5 % à ~ 5 %

      GAZ RARES:

      Gaz carbonique 420 ppmv (en 2023) soit 0,041 %
      Néon (Ne) 18,18 ppm, soit 0, 018 %
      Hélium (He) 5,24 ppm soit 0,005 %
      Méthane (CH4) 1,745 ppm soit 0,0000017 %
      Krypton (Kr) 1,14 ppm soit 0,0000011 %
      Hydrogène (H2) 550 ppb soit 0,0000000055 %

      Ce ne sont donc pas des connasses qui vont nourrir le monde mais des paysans qui n'ont rien à foutre des sites complotistes et terroristes du gouvernement.

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  49. Sommet des Nations Unies sur le futur : un organisme gouvernemental mondial devrait contrôler tous les systèmes de survie


    26 août 2024
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Aucune nation n’aura le droit souverain d’exploiter ses propres ressources car cela peut avoir des conséquences sur l’ensemble de la planète. Ce droit devrait être transféré à des puissances centrales illégitimes telles que l’ONU, l’OMS ou l’UE, selon un dossier destiné au prochain Sommet de l’ONU sur le futur.

    Un document de stratégie formule en termes clairs des recommandations pour le futur sommet de 2024, ce que nous réservent nos « suzerains ». Pour éviter les soi-disant « points de basculement irréversibles », il est recommandé que tous les systèmes qui soutiennent la vie – « l’atmosphère (l’air), l’hydrosphère (l’eau), la biosphère (la vie), la lithosphère (la terre) et la cryosphère (la glace) » – travailler ensemble soit géré par un « organisme gouvernemental mondial ». Cela signifie un contrôle total sur le système Terre (Planetary Commons) et l’établissement d’un gouvernement mondial.

    Au centre de cet article se trouve l’Institut de Potsdam pour la recherche sur l’impact climatique (PIK), bien connu pour ses articles et ses revendications non scientifiques ainsi que pour son hystérie climatique :

    - voir doc sur site -

    Le dossier précise :

    La gestion des biens communs planétaires nécessiterait de s’éloigner des approches nationalistes et cloisonnées actuelles en matière de protection de l’environnement et de reconnaître le fait que notre planète est constituée de systèmes interconnectés et interdépendants. Au lieu d’un système fragmenté et fondé sur des contrats, le concept de biens communs planétaires propose une structure de gouvernance « imbriquée » qui comprend plusieurs niveaux de réglementation qui prennent des actions locales hautement adaptées, toutes supervisées par un organe de gouvernance mondial.

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  50. Cela signifie également qu’aucune nation n’a plus le droit souverain d’exploiter ses propres ressources, car cela peut avoir un impact sur la planète entière.

    Le système actuel repose sur le droit souverain des États-nations d'exploiter les ressources à l'intérieur de leurs frontières nationales, quelles que soient les conséquences mondiales. Un concept de responsabilité mondiale à l’égard des biens communs planétaires, en tant que ressources environnementales dont nous dépendons tous, irait directement à l’encontre de cette compréhension fondamentale du droit international et se heurterait à une forte résistance, y compris de la part des pays en développement qui pourraient considérer une telle démarche comme nuisant à leur capacité à se développer rapidement. . Cependant, les preuves scientifiques deviennent de plus en plus claires et irréfutables : sans un changement fondamental du cadre de gouvernance, notre planète deviendra de plus en plus instable, imprévisible et inhabitable. Les biens communs planétaires pourraient être le seul moyen de faire face au changement systémique de l’Anthropocène.

    Nous devons donc être contrôlés d’en haut.

    Et qui se cache derrière les recommandations pour le futur sommet de 2024 ?
    Le document stratégique « Vers une approche planétaire des biens communs pour la gouvernance environnementale » est publié par la Global Challenges Foundation , le Centre de recherche politique de l'Université des Nations Unies et l' Institut de Potsdam pour la recherche sur l'impact climatique (PIK).

    Cela signifie que les mêmes acteurs qui ont défini le problème nous proposent également la solution. Comme l’a déclaré le professeur Johan Rockström, directeur du PIK et membre du conseil d’administration de la Global Challenges Foundation :

    Je ne vois pas d’autre moyen que pour 200 nations de céder une partie de leur souveraineté décisionnelle à une administration institutionnelle mondiale. Nous devons travailler avec les institutions dont nous disposons, et il n’existe qu’une seule institution mondiale : l’ONU.

    - voir clip sur site -

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  51. La Fondation suédoise pour les défis mondiaux exerce une influence majeure sur l'agenda des Nations Unies (avec un soutien financier au Conseil consultatif de haut niveau sur un multilatéralisme efficace et au Bureau exécutif du Secrétaire général ).

    D’ailleurs, le PIK vient de publier une étude sur deux décennies de politique climatique visant à limiter la production de gaz carbonique. Sur les 1 500 politiques examinées, 63 étaient efficaces. Cependant, l’étude évite ensuite de mettre le « succès » en relation avec les chiffres absolus. C’est compréhensible, car en 18 ans, grâce à d’énormes investissements financiers, une réduction de seulement 0,15 pour cent (!) a été obtenue. Les contribuables ont été escroqués avec succès et la richesse a été transférée aux oligarques et aux milliardaires.

    Le nouveau journal porte avant tout sur le pouvoir.

    https://tkp.at/2024/08/26/un-zukunftsgipfel-globales-regierungsorgan-soll-alle-lebenserhaltenden-systeme-kontrollieren/

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  52. La Grande-Bretagne, qui a donné naissance aux idées américaines sur la liberté, a adopté le despotisme


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 25 AOÛT 2024 - 14:10
    Rédigé par Vince Coyner via AmericanThinker.com,


    « La liberté n'est jamais à plus d'une génération de l'extinction »
    - Ronald Reagan

    Quand j'étais enfant, la Grande-Bretagne était exotique. Il y avait les cabines téléphoniques rouges, le palais de Buckingham, les taxis noirs et, bien sûr, les Bobbies (police) et les Beefeaters. L'Angleterre était le pays de Shakespeare, de la reine Elizabeth I et d'Henri IV. Pour moi, la Grande-Bretagne était l'incarnation de l'histoire.

    Évidemment, cela vient en partie du fait qu'en tant qu'Américains, nous partageons une grande partie de l'histoire avec les Britanniques. Non seulement nous nous sommes séparés de la Grande-Bretagne en 1776, mais notre histoire est restée proche jusqu’à l’époque moderne… depuis l’adhésion des États-Unis à la Grande-Bretagne dans la lutte pour mettre fin à l’esclavage jusqu’à la lutte commune dans deux guerres mondiales, en passant par l’invasion britannique des années 1960 qui nous a apporté les Beatles, les Rolling Stones et les Kinks.

    L’Angleterre moderne remonte en grande partie à 1066, lorsque Guillaume le Conquérant a traversé la Manche et mis la touche finale à une unification qui évoluait depuis que les Romains ont abandonné l’île en 410 après J.-C. (Pour plus de clarté, comme les termes sont souvent utilisés de manière interchangeable, le Royaume-Uni (RU) est une nation souveraine comprenant l’Angleterre, l’Écosse, le Pays de Galles et l’Irlande du Nord. La « Grande-Bretagne » est la plus grande île des îles britanniques, contenant l’Angleterre, l’Écosse et le Pays de Galles, mais pas l’Irlande du Nord.)

    Au cours des 1 000 ans qui se sont écoulés depuis, la Grande-Bretagne, comme le reste du monde, a évolué – toujours, bien que de manière hésitante, dans le sens de la liberté. Ce voyage a commencé avec la Magna Carta, adoptée par le roi Jean en 1215. Un événement marquant dans la culture occidentale, elle limitait les pouvoirs du roi et le déclarait soumis à la loi, garantissait les droits de l’Église, l’accès à un système judiciaire impartial et des impôts limités.

    Bien que la Magna Carta ait connu des débuts difficiles, elle a constitué une étape énorme dans la marche vers la liberté. Le document a ouvert la voie à l’évolution du Parlement, qui n’était plus un conseil qui conseillait le roi, mais un organe représentatif qui a commencé à jouer un rôle plus actif et plus puissant dans le gouvernement.

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  53. Ce n’était que la première d’une série d’étapes qui allaient faire de la Grande-Bretagne la nation la plus libre de la planète pendant des siècles. La loi Habeas Corpus de 1679 garantissait le droit à un procès et exigeait que l’État fournisse des raisons pour détenir quelqu’un. Une décennie plus tard, la Déclaration des droits anglaise énoncerait les droits parlementaires, le droit de présenter une pétition au roi et la protection contre les châtiments cruels et inhabituels. Au cours des siècles suivants, l’engagement britannique en faveur de la liberté s’est étendu, incluant finalement tous ses citoyens, et pas seulement les barons qui ont d’abord mis le roi Jean au pied du mur.

    Au cours de cette marche vers la liberté, l’Angleterre a produit un éventail extraordinaire de défenseurs de la liberté, dont certains ont inspiré nos pères fondateurs. Des hommes comme John Locke, Edmund Burke et, plus tard, William Wilberforce, l’homme qui a mené la lutte contre la traite des esclaves.

    C’est cette marche incessante vers la liberté qui a toujours donné à l’Angleterre une aura d’importance que peu d’autres nations partagent. Et c’est ce qui rend la Grande-Bretagne d’aujourd’hui si triste.

    La genèse de la dystopie actuelle a commencé il y a près de trois décennies, lorsque l’immigration a décollé à la fin des années 1990 et au début des années 2000. Le nombre d’immigrants non européens a dépassé en moyenne les 200 000 par an pendant une décennie, puis a grimpé en flèche après 2020. Une nation de 55 millions d’habitants en 2000 en compte aujourd’hui plus de 65 millions, la quasi-totalité de cette croissance provenant de l’immigration, en majorité en provenance de pays non européens, en particulier du Moyen-Orient et d’Afrique, des pays qui ne partagent pas la culture britannique ni, surtout, la religion. (Il est également probable que de nombreux immigrants apparemment européens soient originaires de pays non membres de l’UE.)

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  54. Donc, en gros, le gouvernement décide de ce qui est faux, menaçant ou haineux, et si vous publiez quoi que ce soit à ce sujet en ligne, vous pourriez finir en prison.

    Et comme menacer la liberté d’expression des Britanniques ne suffisait pas, le gouvernement a menacé les plateformes en ligne (et Musk) si elles autorisaient des discours interdits.

    Le gouvernement ne s’est pas arrêté là. Il a promis d’extrader les citoyens d’autres pays s’ils se livraient à de tels discours interdits en ligne, même s’ils ne se trouvaient pas en Grande-Bretagne à ce moment-là. Et comme il n’y a pas assez de place dans les prisons britanniques pour détenir tous ces « racistes » anti-immigration, le gouvernement prévoit de libérer 5 000 criminels de prison pour faire de la place aux coupables de « mauvaise pensée ».

    Si les conservateurs sont responsables de l’immigration sans entrave au cours des quinze dernières années, les élections de juillet, qui ont porté le parti travailliste au pouvoir, ont représenté un bond en avant dans la transformation de la Grande-Bretagne en tyrannie. Une Grande-Bretagne libre, qui a mis plus de 1 000 ans à évoluer, est devenue en fait un État policier stalinien en moins de deux mois.

    Bien que la Grande-Bretagne ne soit pas les États-Unis, notre histoire commune, notre langue et notre trajectoire culturelle et politique similaire au cours des 20 dernières années suggèrent que ce qui se passe là-bas pourrait facilement se produire ici. Comparez le traitement de faveur réservé aux émeutiers BLM / Antifa de 2020 avec le traitement draconien reçu par les J6ers, rappelez-vous le malheureux Conseil de gouvernance de la désinformation des démocrates et regardez ce qui a été fait à Donald Trump et vous verrez que nous nous dirigeons vers cette sombre voie autoritaire.

    Comme la Turquie et le Venezuela avant elle, la Grande-Bretagne démontre qu’une seule élection peut faire la différence entre la liberté et la tyrannie. À l’approche du 5 novembre, nous devrions peut-être en prendre note…

    https://www.zerohedge.com/political/britain-which-birthed-american-ideas-about-liberty-has-embraced-despotism

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  55. Migration nette : quelles régions gagnent ou perdent des habitants ?


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 25 AOÛT 2024 - 04:45


    Ce graphique, via Marcus Lu de Visual Capitalist, montre le flux de personnes à l'échelle mondiale en visualisant la migration nette par région, de 1950 à 2023 (par intervalles de 10 ans).

    La migration nette fait référence à la différence entre le nombre de personnes entrant et sortant d'un pays ou d'une région.

    - voir graph sur site -

    Toutes les données proviennent des Perspectives de la population mondiale 2024 de l'ONU.

    Données et faits marquants

    Les données que nous avons utilisées pour créer ce graphique sont répertoriées dans le tableau ci-dessous. Les chiffres représentent la migration nette (nombre de personnes gagnées ou perdues) pour cette année spécifique.

    *L'Amérique du Nord comprend les États-Unis, les Bermudes, le Canada, le Groenland et Saint-Pierre-et-Miquelon. Le Mexique est inclus dans l'Amérique latine et les Caraïbes.

    Ces données montrent que l’Amérique du Nord, l’Europe et l’Océanie ont régulièrement gagné des personnes grâce à l’immigration. En d’autres termes, plus de personnes ont immigré dans ces régions que n’en ont émigré.

    - voir liste sur site -

    Notez que l’Europe a enregistré des valeurs négatives en 1950, 1960 et 1970, probablement en raison de la reconstruction d’après-guerre et de l’instabilité politique.

    En revanche, l’Amérique latine et les Caraïbes, l’Afrique et l’Asie ont régulièrement perdu des personnes au profit d’autres régions. Les gens quittent souvent les régions en développement pour chercher de meilleures opportunités d’emploi et pour échapper à l’instabilité politique ou à la guerre.

    Par exemple, le nombre de réfugiés entrant aux États-Unis a historiquement augmenté pendant les conflits, l’exemple le plus récent étant la guerre russo-ukrainienne.

    Pour en savoir plus sur ce sujet du point de vue des États-Unis, consultez cette carte graphique qui montre d’où viennent les 46,2 millions d’immigrants américains.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/net-migration-which-regions-are-gaining-or-losing-people

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