lundi 26 août 2024

New York paiera 155 $ par mégawattheure pour l'énergie éolienne, le tarif actuel est de 36 $ par MWH

PAR TYLER DURDEN

SAMEDI 24 AOÛT 2024 - 21:10

Rédigé par Mike Shedlock via MishTalk.com,


L'énergie coûte actuellement à New York environ 36 $ par MWH. Mais l'État a demandé de l'énergie éolienne. Discutons des résultats étonnants.


Tant pour si peu

Le Wall Street Journal demande pourquoi New York paie autant pour l'énergie éolienne ?

L'État de New York a signé en juin un contrat pour acheter l'électricité produite par deux grands parcs éoliens, Empire Wind 1 et Sunrise Wind, au large de Long Island. Les projets devraient débuter en 2026 et 2027, l'électricité étant livrée à Brooklyn (Empire) et Long Island (Sunrise). L'État paiera respectivement 155 $ et 146 $ par mégawattheure. Ces prix sont élevés, au moins quatre fois supérieurs au coût moyen du réseau payé au cours de l’année écoulée.

Les États acceptent de payer les opérateurs d’éoliennes – ce que l’on appelle le « prix d’achat » – en fonction du « coût d’équilibre » d’un projet, c’est-à-dire la facture estimée pour la construction et l’exploitation du parc éolien pendant sa durée de vie utile. C’est sans aucun doute une partie du problème. Le secteur de l’éolien offshore au large de la côte Est est en pleine tourmente. Les opérateurs ont annulé des projets du Massachusetts au Maryland qui devaient être construits dans les quatre prochaines années. Certains ont été retardés, tandis que d’autres ont renégocié leurs contrats à des prix 30 à 50 % plus élevés que ceux promis à l’origine.

L’U.S. Energy Information Administration et Lazard, une banque d’investissement, sont deux sources largement citées pour les coûts d’équilibre. Dans ses estimations les plus récentes, l’EIA suggère que le coût d’équilibre moyen des parcs éoliens offshore, ajusté aux prix de 2024, est de 131 $ par mégawattheure, sans compter les subventions gouvernementales, et de 101 $ par mégawattheure après déduction des crédits d’impôt de base. C’est ce dernier chiffre qui compte, car chaque parc éolien offshore s’attend à profiter des crédits d’impôt à l’investissement ou à la production en vertu de la loi sur la réduction de l’inflation.

L’EIA affirme que l’éolien n’est pas économique

Arrêtons-nous ici car l’éolien est absurde à tous égards.

Le coût de l’éolien est de 131 $ par MWH sans crédits et de 101 $ avec 30 $ de crédits d’impôt selon l’EIA.

Une aide de 30 $ représente une subvention de 83 % (30/36) et l’accord est toujours à près de 100 % par MWH dans le rouge, perdant 35 $ par MWH par rapport au coût d’achat de l’énergie aux tarifs du marché.

Un accord de rêve

L’accord (merci à l’équipe Biden et à New York) versera respectivement 155 $ et 146 $ par mégawattheure à Empire Wind 1 et Sunrise Wind.

Les propriétaires-exploitants des deux parcs – Equinor pour Empire et Orsted pour Sunrise – sont deux des cinq principaux investisseurs et exploitants mondiaux de parcs éoliens. Equinor est la compagnie pétrolière nationale norvégienne, tandis qu’Orsted était auparavant celle du Danemark.

Avec un coût d’équilibre de 101 $ (grâce aux subventions), Equinor gagnera 54 $ par MWH et Orsted ne gagnera que 45 $ par MWH sur quelque chose dont le coût total devrait être de 36 $ par MWH.

Le Journal calcule qu’Equinor et Orsted (sociétés étrangères) recevront chacune une subvention totale de plus de 3 milliards de dollars grâce aux contribuables américains.

Le Journal demande : « New York a-t-il signé un accord qui permet aux grands exploitants de parcs éoliens de réaliser des bénéfices après impôts déraisonnablement élevés au détriment de ses résidents ? »

Je pense que les calculs parlent d’eux-mêmes.

Non seulement les New-Yorkais paieront plus de quatre fois le prix courant pour l’énergie, mais les États-Unis enverront 3 milliards de dollars à des entreprises étrangères pour le faire.

Félicitations à l’équipe Biden et à l’État de New York.

Une autre entreprise d'énergie verte déclare faillite

Pendant ce temps, une autre entreprise d'énergie verte déclare faillite, merci aux tarifs de Biden

Et au cas où vous l'auriez manqué, Ford perd 132 000 $ sur chaque véhicule électrique produit, bonne nouvelle, les ventes de véhicules électriques ont chuté de 20 %

https://www.zerohedge.com/political/new-york-pay-155-megawatt-hour-wind-power-current-rate-36-mwh

60 commentaires:

  1. Quand les expériences des écolos cinglés entraînent le réchauffement et de graves perturbations du climat,ils veulent fabriquer des nuages


    le 24 août 2024
    par pgibertie


    Comment blanchir les nuages ? En les aspergeant de particules microscopiques obtenues à partir de l’eau de mer. Certains scientifiques préconisent de charger de cette tâche une flotte de bateaux dédiée, qui parcourrait les océans en permanence et enverrait les particules vers le ciel.

    La géoingénierie solaire, une méthode visant à réduire les températures en modifiant le rayonnement solaire, a récemment attiré l’attention des chercheurs.
    Les particules de sel restent alors dans l’atmosphère, condensent l’humidité et forment des gouttelettes très réfléchissantes. Ces nuages artificiels permettent de dissiper plus d’énergie solaire et de réduire la température

    Une étude publiée dans Nature Climate Change met en évidence les conséquences potentiellement négatives de cette approche, notamment l’éclaircissement des nuages.

    Cette technique consiste à diffuser de l’eau salée dans l’atmosphère pour provoquer une baisse locale des températures. Bien que cela puisse sembler bénéfique à première vue, les effets à long terme pourraient être bien plus complexes et imprévisibles.

    Des simulations inquiétantes pour l’Europe

    Les chercheurs de l’université de Californie à San Diego et du Centre national de recherche atmosphérique à Boulder ont utilisé des modèles climatiques pour simuler les impacts de deux opérations d’éclaircissement des nuages. Les résultats montrent des effets adverses importants pour l’Europe.

    Par exemple, une opération menée près de la Californie pourrait paradoxalement intensifier les vagues de chaleur en Europe, notamment en raison du réchauffement global et du ralentissement de la circulation méridienne de retournement de l’Atlantique (AMOC).

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  2. Une régulation nécessaire et urgente

    Jessica Wan, co-auteure de l’étude, souligne l’urgence de développer des structures de gouvernance pour la géoingénierie solaire. Selon elle, sans régulation claire, ces initiatives pourraient mener à des interventions non coordonnées avec des conséquences globales potentiellement dommageables.

    @silvano_trotta

    Décidément, toutes les idées « écolos » sont une catastrophe. Ainsi les fermes solaires dans les déserts réchauffent le climat et causent d’autres catastrophes ! Une étude démontre par des simulations de chercheurs montrent que les panneaux solaires nettement plus sombres que le sable du désert absorbent plus d’énergie solaire, réduisant ainsi l’énergie réfléchie dans l’espace.

    Cela conduit à un réchauffement de l’environnement, qui pourrait avoir un impact non seulement local, mais aussi mondial. Si environ 20 % du simple Sahara était recouvert de panneaux solaires, la température locale dans le désert pourrait augmenter de 1,5°C. Avec une couverture de 50 %, l’augmentation de la température atteindrait jusqu’à 2,5°C. Ce réchauffement pourrait affecter la circulation atmosphérique et entraîner une augmentation des précipitations de mousson au Sahara, ce qui verdirait le désert. À première vue, cela peut paraître positif, mais ce changement pourrait avoir des conséquences considérables sur le climat mondial…

    Un aspect particulièrement préoccupant est la possible perturbation des régimes de précipitations sous les tropiques. La forêt amazonienne, qui dépend des nutriments provenant de la poussière saharienne, pourrait souffrir considérablement des conditions changeantes. Sans cette poussière, les sécheresses augmenteraient, ce qui pourrait menacer la biodiversité et la survie de la forêt tropicale. L’Atlantique bénéficie également des nutriments du Sahara. La poussière riche en nutriments contribue à la formation de phytoplancton, qui produit une grande partie de l’oxygène sur Terre. Une réduction de ce transport de poussières pourrait entraîner une baisse des niveaux d’oxygène dans les océans, ce qui menacerait la biodiversité marine.

    https://pgibertie.com/2024/08/24/quand-les-experiences-des-ecolos-cingles-entrainent-le-rechauffement-et-de-graves-perturbations-du-climatils-veulent-fabriquer-des-nuages/

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  3. Les médias d’État allemands créent un jeu dans lequel les joueurs abattent des climatosceptiques volants


    Par Jo Nova
    August 26th, 2024


    Si quelqu’un créait un jeu qui tire des lasers sur des partisans du climat parasites volants, il serait arrêté pour incitation à la haine. Mais si une agence gouvernementale fait la promotion d’un jeu qui déshumanise, se moque et tue les critiques du « programme vert » du gouvernement, elle obtiendra probablement une autre subvention.

    Un peu comme la vidéo de 10:10 « faites exploser les enfants négateurs », ce jeu révèle accidentellement le vide intellectuel et moral dans lequel les financements du gouvernement se dirigent inévitablement, à moins qu’il n’y ait un véritable média libre pour l’embarrasser et le ridiculiser. Et les blogs non financés comme celui-ci sont ces médias libres.

    L’État paie ces soigneurs de haine :

    Le radiodiffuseur public allemand développe un jeu de réalité virtuelle dans lequel les joueurs tirent des lasers sur des climato-sceptiques volants, dans peut-être l’effort le plus excentrique de propagande auprès des adolescents connu de l’homme
    Par Eugyppius

    Les climatologues du radiodiffuseur public allemand Südwestrundfunk (SWR) ont utilisé les droits de licence obligatoires qu’ils collectent auprès de tous les ménages allemands pour produire un étonnant jeu vidéo de réalité virtuelle appelé GreenGuardiansVR. Dans ce jeu, les joueurs tirent des lasers sur des climato-sceptiques volants pour vaincre la désinformation et sauver la planète (h/t RatSays). C’est littéralement vrai, cette chose existe vraiment. Elle sera publiée au public à l’automne ; la page Steam est ici. En attendant, ils ont installé un stand entier pour lancer cette folie.

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  4. Apparemment, il existe un méchant alimenté par les énergies fossiles de la société E.V.I.L. (juste pour que les enfants sachent facilement qui détester). Il semblerait qu’il ait de l’huile qui coule dans ses veines.

    Hypothétiquement, si un pays essayait de détruire l’Allemagne, d’empoisonner sa jeunesse, de lui apprendre à haïr l’énergie qui lui donne sa richesse et sa liberté, il ne pourrait pas faire mieux que le gouvernement allemand.

    La société de radiodiffusion publique allemande E.V.I.L., climato-sceptique.

    Le jeu d’arcade dans le train s’appelle « Fossil Fuels » et les joueurs sont invités à « traire la Terre » via les mamelles sous l’Antarctique. Le Dr Evil dit que les combustibles fossiles sont l’avenir, et il s’efforce de maintenir les gens « dépendants » d’eux, comme si le besoin de kilojoules bon marché n’était qu’un mème de propagande, et non un besoin fondamental d’une civilisation.

    Au diable les climato-sceptiques, société de radiodiffusion publique allemande E.V.I.L.

    Ensuite, une éco-guerrière combattante de la liberté (bien sûr) débarque pour sauver la situation (et émasculer les adolescents allemands XY). Elle pirate le jeu des combustibles fossiles avec le message « Ne vous laissez pas entraîner. Rejoignez les Green Guardians. »

    Pour une raison inconnue, le train est équipé de pistolets laser (comme si cela avait un sens). Selon Eugyppius, les étudiants sont invités à les sortir et à tirer sur des objets pour « vaincre la désinformation ». Faire exploser le côté du train est en quelque sorte une bonne chose, et puis, bien sûr, faire exploser M. M.A.L. dans sa machine volante est une victoire.

    Fusilisez les climatosceptiques, la société de radiodiffusion publique allemande E.V.I.L.

    Dans le communiqué de presse, les producteurs disent qu’ils ciblent les « jeunes » âgés de 14 à 25 ans – ils incluent donc tous les étudiants écervelés qui n’ont pas encore grandi. Les producteurs disent que ce marché cible « veut avoir quelque chose à faire » et est rebuté par les mauvaises nouvelles, mais ils doivent penser que les « jeunes » sont des bébés si ce genre de choses est censé les attirer.

    C’est l’exemple parfait de la raison pour laquelle les radiodiffuseurs publics doivent être fermés dans toute démocratie. Le gouvernement dispose déjà de fonds considérables pour se défendre et expliquer ses actions. Le seul but des « diffuseurs d’État » est de défendre l’État contre les critiques.

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  5. Eugyppius a traduit l’original et dispose de toutes les informations.

    Les lecteurs qui n’ont pas vu la vidéo de 10:10 « Pas de pression » de 2010, suivez ce lien. Vous ne croirez pas à la violence graphique que YouTube et d’autres ont trouvée drôle, mais qu’ils essaient maintenant de cacher. Le vrai visage du mal.

    https://joannenova.com.au/2024/08/german-state-media-makes-a-game-where-players-shoot-down-flying-climate-deniers/

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  6. Deux décennies de politique climatique : un impact quasi nul, selon l'étude


    25 août 2024
    par le Dr. Peter F. Mayer


    La politique climatique initiée par les Rockefeller dans les années 1950 prétend que la réduction des émissions de gaz carbonique permettra d’éviter un réchauffement climatique accru. Au fil du temps, toutes sortes de mesures économiques et politiques ont été justifiées, apportant beaucoup de bénéfices mais ayant peu d'impact sur l'objectif déclaré. C’est ce que montre une étude récemment publiée dans Science. L’économie est de 0,15 pour cent.

    Selon la nouvelle étude, seules 4 % des mesures de politique climatique ont fonctionné, et 63 sur 1 500 ont eu un impact significatif. La réduction totale entre 2000 et 2020 dans 41 pays, y compris même de grands pays comme la Chine, les États-Unis, l'Inde, etc., était de 0,6 à 1,8 Gt de gaz carbonique, les émissions totales s'élevant à 778 Gt de gaz carbonique ou 0,08 à 0,23 %.

    L’ étude d’Annika Stechemesser et al, intitulée « Des politiques climatiques qui ont permis d’obtenir des réductions majeures des émissions : preuves mondiales de deux décennies », a été publiée le 22 août 2024 dans Science publié. Le contenu est considérablement influencé par le tristement célèbre Institut de Potsdam pour la recherche sur l’impact climatique (PIK).

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  7. Les auteurs résument :

    « Atteindre les objectifs climatiques de l’Accord de Paris nécessite une meilleure connaissance des mesures de politique climatique qui réduiront les émissions dans la mesure nécessaire. Nous menons une évaluation ex post mondiale et systématique pour identifier les combinaisons de politiques qui ont conduit à d’importantes réductions d’émissions parmi 1 500 politiques climatiques mises en œuvre entre 1998 et 2022 dans 41 pays sur six continents. Notre approche intègre une base de données complète sur les politiques climatiques avec une extension basée sur l'apprentissage automatique de l'approche standard des différences dans les différences. Nous avons identifié 63 mesures politiques réussies avec des réductions d'émissions comprises entre 0,6 milliard et 1,8 milliard de tonnes de gaz carbonique. Nos conclusions sur des combinaisons de politiques efficaces mais rarement étudiées mettent en évidence le rôle important des instruments basés sur les prix dans un mix de politiques bien conçu et les efforts politiques nécessaires pour réduire l’écart en matière d’émissions.

    Mais l’étude fait ensuite une comparaison inexacte entre 1,8 Gt de gaz carbonique et 23 Gt. Ce sont deux choses complètement différentes : 1,8 Gt est la réduction totale sur deux décennies, 23 Gt est la réduction annuelle ciblée d’ici 2030.

    Sans surprise, l’étude elle-même ne compare pas les économies globales de 1,2 Gt de gaz carbonique (0,6-1,8) aux émissions totales des 41 pays. Probablement parce que cela ne rentre pas dans le tableau. Si vous additionnez les émissions des 41 pays sur la période 2000-2020 selon Our World in Data , vous obtenez 778 Gt de gaz carbonique et donc une réduction globale de 0,15 %, comme l'a calculé Bjorn Lomborg .

    Cependant, les auteurs de l'étude ne sont absolument pas impressionnés par l'échec évident des mesures, qui se traduisent par des augmentations drastiques des prix de l'énergie et une série de restrictions pour les consommateurs :

    "Nous trouvons ensemble de bonnes et de mauvaises nouvelles", a déclaré Nicolas Koch, économiste du climat à l'Institut de recherche sur l'impact climatique de Potsdam et co-auteur de l'étude, selon un article du New York Times . « Cela montre des opportunités, par exemple que des réductions plus importantes sont possibles, mais cela remet également en question la volonté politique de façonner la politique. »

    Compte tenu de l’efficacité des mesures à 0,15% de l’objectif souhaité, l’optimisme et l’irréalisme des gens du PIK sont surprenants :

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  8. « Les pays peuvent apprendre les uns des autres », a déclaré le Dr. Cuisiner. Si chaque pays mettait en œuvre l’une des meilleures pratiques ayant conduit à un écart d’émissions, jusqu’à 41 % de l’écart pourrait être comblé d’ici 2030, a-t-il déclaré. « Cela montre que nous pouvons mettre en œuvre des mesures efficaces en matière de politique climatique qui conduisent à d’importantes réductions des émissions. »

    Comme le TKP l'a rapporté ici , les Rockefeller ont fondé 990 organisations militantes contre le changement climatique, dont le mouvement vert (!). Vous leur donnez des instructions, les financez et les déployez dans le monde. C’est ainsi que le mouvement vert a été lancé, financé, organisé et finalement militarisé par les Rockefeller. Dans les années 1950, ils ont commencé à créer d’innombrables institutions, comités, facultés universitaires, instituts universitaires, fondations et organismes politiques qui se sont regroupés autour de cette idée unique :

    En 1998, la famille Rockefeller avait balayé toute opposition à cette idée. Tout scientifique qui n’était pas d’accord avec l’agenda était en danger. Tout département universitaire qui ne s’efforçait pas d’atteindre cet objectif artificiel risquait d’être marginalisé. Chaque organisation médiatique, chaque division de divertissement de chaque grande entreprise a été infiltrée.

    Les objectifs économiques et politiques sont apparemment bien atteints et beaucoup exercent des activités très lucratives au niveau local, par exemple dans la construction et l'exploitation de parcs éoliens, comme le TKP l'a montré à partir des événements de Basse-Autriche.

    https://tkp.at/2024/08/25/zwei-jahrzehnte-klimapolitik-auswirkungen-fast-gleich-null-laut-studie/

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  9. Ces études scientifiques qui prouvent que c’est le soleil et l’urbanisation , pas les vaches ou le gaz carbonique !les 188 études du débat, le consensus est une invention


    le 26 août 2024
    par pgibertie


    D’après l’étude évaluée par des pairs The Detection and Attribution of Northern Hemisphere Land Surface Warming (1850–2018) in Terms of Human and Natural Factors: Challenges of Inadequate Data Soon et al (2023) : La majorité des stations utilisées pour comparer le milieu du XIXe siècle à nos jours sont désormais urbanisées…

    - voir graph sur site -

    Une analyse statistique a été appliquée aux températures de la surface terrestre de l’hémisphère nord (1850-2018) pour tenter d’identifier les principaux facteurs du réchauffement observé depuis le milieu du XIXe siècle. Deux estimations de température différentes ont été prises en compte : une combinaison de zones rurales et urbaines (qui correspond presque exactement à la plupart des estimations actuelles) et une estimation rurale uniquement.

    La combinaison de zones rurales et urbaines indique un réchauffement à long terme de 0,89 °C/siècle depuis 1850, tandis que l’estimation rurale uniquement indique 0,55 °C/siècle. Cela contredit une hypothèse courante selon laquelle les indices de température mondiale actuels basés sur le thermomètre sont relativement peu affectés par les biais de réchauffement urbain.

    Elle révèle que d’importants défis restent à relever pour le problème plus large de détection et d’attribution du réchauffement climatique :

    (1) le biais d’urbanisation reste un problème substantiel pour les données de température terrestre mondiale ;

    (2) on ne sait toujours pas clairement lesquelles (le cas échéant) des nombreuses séries chronologiques de l’IRT dans la littérature constituent des estimations précises de l’IRT passée ;

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  10. (3) la communauté scientifique n’est pas encore en mesure d’établir avec certitude si le réchauffement depuis 1850 est principalement d’origine humaine, principalement naturelle ou une combinaison des deux. Des suggestions sur la manière dont ces défis scientifiques pourraient être résolus sont proposées.

    La tendance rural et urbaine est 60 % plus élevée que celle des données rurales uniquement. Il semble plausible qu’au moins une partie de ce réchauffement supplémentaire soit le résultat d’un biais d’urbanisation.

    Le graphique A montre les stations météorologiques américaines avec au moins 70 ans de données. Les points bleus montrent les tendances au refroidissement (34 %) et les croix rouges les tendances au réchauffement (66 %) . Les stations avec des tendances au réchauffement sont regroupées dans les zones où se trouvent le plus d’îlots de chaleur urbains (graphique B) , comme le nord-est, le lac Michigan et la côte ouest.

    En contradiction avec un effet de réchauffement climatique global homogène du gaz carbonique, les stations météorologiques de refroidissement sont observées de manière incongrue à côté des stations de réchauffement dans la majeure partie des États-Unis. Cependant, de telles paires contrastées s’expliquent facilement par la végétation naturelle par rapport aux îlots de chaleur urbains.

    https://www.mdpi.com/2225-1154/11/9/179

    il peut être utile de comparer et de contraster brièvement nos quatre paramètres d’ajustement potentiels dans la Figure 4. En comparant le Soleil n°1 et le Soleil n°2 dans la Figure 4 a,b, nous pouvons voir que les deux reconstructions sont systématiquement inférieures à la moyenne du 20e siècle pour la seconde moitié du 19e siècle et qu’elles montrent toutes deux des hausses et des baisses à court terme sur le cycle solaire d’environ 11 ans. Cependant, le Soleil n°2 suggère une histoire beaucoup plus dynamique de la variabilité du TSI avec la périodicité d’environ 11 ans superposée à des tendances multidécennales qui sont souvent plus importantes que les hausses et les baisses associées au cycle d’environ 11 ans. Les changements dus à l’autre « forçage naturel », c’est-à-dire l’activité volcanique, sont beaucoup plus courts et de nature épisodique. Comme le montre la Figure 4 c, les changements associés à un événement volcanique donné ne durent que 2 à 3 ans. Enfin, la série de forçage anthropique net est presque plate pendant la majeure partie de la période d’étude, mais commence à augmenter régulièrement et de manière spectaculaire au cours des années 1970. Les lecteurs intéressés pourraient noter à partir de la figure S2 que cette forme des « forçages anthropiques nets » est subtilement différente du « forçage du gaz carbonique » calculé qui est de nature plus monotone, en raison des 10 autres composantes, principalement les deux composantes des aérosols.

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  11. Figure 4. Séries chronologiques des quatre forçages considérés dans cette analyse. (
    a ,
    b ) représentent deux estimations différentes de la variabilité solaire depuis le milieu du 19e siècle ; (
    c ) représente le forçage volcanique ; (
    d ) représente les forçages anthropiques combinés. Pour plus de détails sur les deux séries d’activité solaire, voir Connolly et al. (2021) [
    5 ]. Les séries chronologiques d’activité volcanique et de forçage anthropique sont tirées de l’ensemble de données GIEC AR6 WG1 Annexe III [
    103 ].

    - voir graph sur site -

    Détection et attribution du réchauffement de la surface terrestre de l’hémisphère nord (1850-2018) en termes de facteurs humains et naturels : les défis liés à l’insuffisance des données
    par Willie Bientôt1,2 ,Ronan Connolly1,3,*,Michael Connolly1,3 ,Syun-Ichi Akasofu4 ,Sallie Baliunas5,† ,Johan Berglund6 ,Antonio Bianchini7,8 ,William M. Briggs9 ,CJ Butler10,† ,Rodolfo Gustavo Cionco11,12 ,Marcel Crok13 ,Ana G. Elias14 ,Valéry M. Fedorov15 ,François Gervais16 ,Hermann Harde17 ,Grégory W. Henry18 ,Douglas V. Hoyt19 ,Ole Humlum20 ,David R. Légats21,22,† ,Anthony R. Lupo23 ,ajouter Afficher la liste complète des auteurs

    1 Centre de recherche environnementale et des sciences de la Terre (CERES), Salem, MA 01970, États-Unis

    2 Institut de physique de la Terre et des sciences spatiales (EPSS), H-9400 Sopron, Hongrie

    3 Chercheur indépendant, D08 Dublin, Irlande

    4 Centre international de recherche sur l’Arctique, Université d’Alaska Fairbanks, Fairbanks, AK 99775, États-Unis

    5 Centre d’astrophysique Harvard-Smithsonian, Cambridge, MA 02138, États-Unis

    6 Chercheur indépendant, 211 10 Malmö, Suède

    7 Osservatorio Astronomico di Padova, INAF, Vicolo Osservatorio 5, 35122 Padova, Italie

    8 Département de physique et d’astronomie, Université de Padoue, Via Francesco Marzolo, 8, 35131 Padoue, Italie

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  12. 9 Chercheur indépendant, Charlevoix, MI 49720, États-Unis

    10 Observatoire d’Armagh, College Hill, Armagh BT61 9DG, Royaume-Uni

    Le sixième rapport d’évaluation du GIEC conclut que «

    les modèles climatiques ne peuvent reproduire le réchauffement observé […] qu’en incluant les effets des activités humaines […], en particulier la concentration croissante de gaz à effet de serre », et que «

    les simulations qui incluent uniquement les processus naturels, y compris la variabilité interne liée à El Niño et d’autres variations similaires, ainsi que les variations de l’activité solaire et les émissions des grands volcans […], ne sont pas en mesure de reproduire le réchauffement observé » (6e rapport d’évaluation, FAQ 3.1, p. 515) [

    1 ]. C’est en grande partie sur cette base que le sixième rapport d’évaluation conclut que le changement climatique contemporain est «

    en grande partie dû à l’influence humaine » (Résumé technique, p. 11). Cependant, dans cet article, nous soutenons que cette affirmation confiante de « détection et d’attribution du changement climatique » n’est pas justifiée car elle n’évalue pas de manière satisfaisante deux débats scientifiques clés en cours :

    Dans quelle mesure le réchauffement observé depuis le XIXe siècle, tel qu’il ressort des estimations actuelles de la température mondiale, est-il un artefact des biais d’urbanisation ?
    Avons-nous établi un ensemble de données fiables sur le forçage solaire pour estimer la contribution solaire à ces tendances ?
    Le sixième rapport d’évaluation a explicitement soutenu que le biais d’urbanisation représente moins de 10 % du réchauffement à long terme, mais plusieurs études récentes ont contesté cette affirmation [

    5 ,

    7 ,

    9 ,

    10 ,

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  13. 78 ]. Parallèlement, le sixième rapport d’évaluation soutient que l’ensemble de données sur le forçage solaire de Matthes et al. (2017) a été confirmé comme étant fiable, mais cette affirmation est contestée par plusieurs études affirmant qu’il n’a pas encore été résolu de manière satisfaisante lequel (le cas échéant) des nombreux ensembles de données sur le forçage solaire est le plus fiable [

    5 ,

    7 ,

    12 ,

    15 ].Dans cette optique, nous avons appliqué une série d’évaluations d’attribution statistique à deux estimations différentes des températures terrestres de l’hémisphère nord sur la période 1850-2018 (avec une analyse secondaire sur la période 1900-2018). La première estimation de température suppose que le biais d’urbanisation est au pire un problème mineur et correspond presque exactement aux estimations prises en compte par le sixième rapport d’évaluation (voir

    la figure 2 ). La deuxième estimation a été calculée en utilisant uniquement les stations actuellement rurales ou qui avaient été explicitement corrigées pour le biais d’urbanisation.En ce qui concerne la signification physique des différentes corrélations statistiques évoquées dans cet article, nous soulignons que la régression ne peut ni vérifier ni conclure à une causalité ; elle peut seulement confirmer qu’il existe une corrélation statistique entre les séries chronologiques étudiées. En effet, Soon et al. (2015) [

    7 ] ont souligné qu’il existe au moins quatre types de corrélations :

    Corrélation causale;
    Corrélation commensale;
    Corrélation fortuite;
    Corrélation constructionnelle.

    Par conséquent, même l’identification de l’existence d’une corrélation n’établit pas en soi une causalité.Dans le cas d’une corrélation commensale où les deux variables sont influencées par un facteur commun, l’analyse peut toujours être potentiellement informative, par exemple, comme l’ont noté Soon et al. (2015) [

    7 ], «

    Si une corrélation climatique solaire donnée était commensale, cela indiquerait qu’un facteur (éventuellement inconnu) qui influence le climat de la Terre influence également un aspect particulier de la variabilité solaire. Cependant, si ce facteur influençait un aspect de la variabilité solaire, il s’agirait vraisemblablement d’une autre forme de variabilité solaire, et par conséquent la corrélation serait toujours avec la variabilité solaire ». Cependant, dans le cas des types 3 et 4, la corrélation apparente serait sans doute fausse.Néanmoins, nous notons que cette mise en garde s’applique également à l’analyse de Gillett et al. (2021) [

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  14. 2 ], c’est-à-dire la principale base de la déclaration d’attribution de l’AR6, ainsi qu’à la déclaration d’attribution de C2021 [

    5 ] et à l’analyse de cet article.Comme le montre

    la figure 1 b, d, l’estimation « rurale uniquement » comprend beaucoup moins de données (~10–15 %), en particulier pour les périodes les plus anciennes. Par conséquent, cette série de températures est « plus bruyante » que l’estimation « rurale et urbaine ». Par conséquent, si le sixième rapport d’évaluation a raison de dire que le problème du biais d’urbanisation est relativement mineur, il semblerait raisonnable de préférer la série chronologique « rurale et urbaine ». Cependant, outre le « bruit » interannuel réduit des estimations « rurales et urbaines », il existe également des différences dans l’ampleur des intervalles multidécennaux de réchauffement et de refroidissement. En particulier, la tendance linéaire au réchauffement à long terme de 1850–2018 de l’estimation « rurale uniquement » (0,55 °C/siècle) ne représente que 62 % de celle de l’estimation « rurale et urbaine » (0,89 °C/siècle). Si même la moitié de cette différence était due au biais d’urbanisation, cela contredirait déjà l’affirmation du sixième rapport d’évaluation. Pour une analyse détaillée des différences entre les deux séries chronologiques, nous renvoyons à la section 3.1.1 de C2021 [

    5 ]. Plusieurs études ont noté que la résolution du problème du biais d’urbanisation reste un défi majeur [

    5 ,

    6 ,

    7 ,

    8 ,

    9 ,

    10 ,

    RépondreSupprimer
  15. 76 ]. Par conséquent, nous suggérons qu’une étude plus approfondie de ce problème et d’autres biais non climatiques devrait être une priorité de recherche élevée.Entre-temps, nous avons constaté que le simple remplacement d’un ensemble de données de forçage solaire alternatif par celui pris en compte par les prévisions rétrospectives du modèle climatique du AR6 peut augmenter considérablement la quantité de réchauffement de 1850-2018 qui peut être expliquée en termes de forçage naturel, de 21 % à 70 % du réchauffement à long terme impliqué par la série « rurale et urbaine » et 87 % de la série de température « rurale uniquement ».Cela suggère que les débats scientifiques sur le jeu de données de forçage solaire à utiliser n’ont pas encore été résolus de manière satisfaisante. C2021 décrit plusieurs débats clés en cours sur les jeux de données TSI. Une question porte sur le moment et la forme des différents pics et creux. Un autre problème majeur est le choix du composite satellite utilisé pour calibrer les différents proxys solaires [

    12 ,

    32 ,

    97 ,

    98 ,

    99 ,

    100 ,

    115 ]. Le fait que le débat soit toujours en cours sur la façon dont le TSI a varié même au sein de l’ère des satellites souligne l’importance de poursuivre (voire d’augmenter) l’investissement dans plusieurs missions de surveillance par satellite du TSI [

    12 ,

    115 ,

    116 ,

    117 ,

    RépondreSupprimer
  16. 118 ].Un autre débat majeur porte sur la question de savoir si les estimations de variabilité solaire élevées ou faibles sont plus réalistes [

    124 ]. Notez que « élevée » ou « faible » fait référence à la fois (1) à la variabilité interannuelle et (2) à la façon dont les magnitudes des composantes multidécennales se comparent à celles du « cycle des taches solaires » d’environ 11 ans [

    5 ,

    7 ,

    12 ,

    22 ]. Le sixième rapport d’évaluation est en faveur des estimations de faible variabilité solaire. D’autres études sont en faveur des estimations de forte variabilité solaire [

    13 ,

    14 ,

    15 ]. Une approche prometteuse, bien qu’indirecte, pour résoudre potentiellement ces débats pourrait être de comparer la variabilité solaire à la variabilité stellaire observée des « étoiles semblables au Soleil » [

    5 ,

    7 ,

    14 ,

    15 ,

    120 ,

    121 ,

    123 ,

    125 ,

    126 , 127 ,

    128 ,

    129 ,

    RépondreSupprimer
  17. 130 ]. Par conséquent, nous encourageons davantage d’investissements dans des projets d’étude de la variabilité des étoiles semblables au Soleil, par exemple, la mission satellite Kepler [ 123 , 127 , 128 ] et le télescope

    spectroscopique à fibre optique multi-objets à grande surface du ciel, LAMOST [ 125 ].

    Notre analyse s’est limitée aux températures de l’air à la surface terrestre de l’hémisphère nord, car c’était la région où nous avions une couverture de données suffisante pour construire une série chronologique « rurale uniquement » à partir de l’ensemble de données de la version 3 du GHCN. L’ensemble de données du GHCN a récemment été mis à niveau vers la version 4 avec un plus grand nombre de stations et dans de nombreux cas, il contient des enregistrements plus longs [

    72 ], et certains d’entre nous ont commencé à travailler en utilisant cet ensemble de données à la place [

    76 ,

    83 ]. Nous encourageons également les projets à compiler et à numériser les premières mesures historiques de température et les métadonnées d’historique des stations qui les accompagnent [

    131 ,

    132 ]. Cependant, nous mettons en garde contre le fait que les approches actuelles consistant à utiliser des techniques d’homogénéisation statistique pour corriger les enregistrements de température des biais non climatiques sont sujettes à des « effets d’aliasing » [

    74 ,

    75 ], y compris le « mélange urbain » [

    5 ,

    76 ,

    77 ]. Katata et al. (2023) ont proposé quelques modifications potentielles à l’homogénéisation de la température pour réduire ou supprimer ce problème [

    78 ].Les indicateurs de température pourraient potentiellement aider à prolonger notre série chronologique « rurale uniquement » jusqu’au début du XIXe siècle ou même plus tôt, c’est-à-dire la période dite du « Petit Âge glaciaire » [

    RépondreSupprimer
  18. 133 ,

    134 ,

    135 ]. Nous suggérons qu’une résolution plus satisfaisante du débat sur l’urbanisation concernant les températures de surface terrestre pourrait également aider dans les divers débats en cours sur les tendances de la température des océans [

    94 ,

    136 ,

    137 ].Nous notons que même pour la série chronologique « rurale uniquement » avec la meilleure adéquation des ensembles de données sur le forçage solaire (Solar #2), environ 15 % du réchauffement de 1850 à 2018 n’était pas expliqué uniquement par le forçage solaire et volcanique. Une grande partie de ce phénomène pourrait s’expliquer par une contribution supplémentaire des forçages anthropiques [

    1 ,

    2 ,

    17 ,

    106 ,

    107 ,

    111 ]. Cependant, si tel était le cas, cela impliquerait probablement une sensibilité climatique aux gaz à effet de serre bien inférieure à celle que suggèrent les modèles CMIP6, comme l’ont suggéré plusieurs études, par exemple [

    17 ,

    18 ,

    31 ,

    33 ,

    34 ,

    138 ,

    139 ,

    140 ,

    141 ,

    142 ,

    143 ,

    144 ,

    145 ,

    146 ,

    147 ,

    RépondreSupprimer
  19. 148 ]. Il est également possible que des biais non climatiques supplémentaires subsistent dans les données [

    5 ,

    7 ,

    10 ,

    76 ]. Cependant, nous remarquons également que pour la série « rurale uniquement », aucun des ajustements n’a complètement capturé toutes les oscillations de température sur plusieurs décennies. Autrement dit, les ajustements anthropiques et « naturels et anthropiques » n’ont pas réussi à capturer les périodes chaudes du milieu du XIXe siècle ou du milieu du XXe siècle, tandis que les ajustements solaires et « naturels uniquement » n’ont pas réussi à capturer la période chaude du milieu du XIXe siècle et la partie la plus récente de la période chaude actuelle. Par conséquent, si la série « rurale uniquement » est correcte, des facteurs climatiques supplémentaires à ceux pris en compte par cette analyse et les analyses d’attribution équivalentes du GIEC doivent encore être inclus.Dans cet esprit, nous soulignons que, pour des raisons de simplicité, nous avons explicitement supposé pour cet article, comme pour les rétrospectives du modèle climatique du AR6, que les principaux facteurs « naturels » du changement de température mondiale sont les changements dans (1) le TSI et (2) le forçage volcanique. Cependant, certains ont avancé l’existence de relations supplémentaires, plus subtiles, entre l’activité solaire et le climat [

    5 ,

    17 ,

    19 ,

    22 ,

    63 ,

    109 ,

    139 ,

    149 ,

    150 ,

    151 ,

    152 ,

    153 ,

    154 ,

    155 ,

    156 ,

    157 ,

    158 ,

    159 ,

    160 ,

    161 ,

    162 ,

    163 ,

    164 ,

    165 ,

    166 ,

    167 ,

    168 ,

    169 ,

    RépondreSupprimer
  20. 170 ]. Parallèlement, certaines études suggèrent qu’une meilleure compréhension du rôle des éruptions volcaniques sur le changement climatique est nécessaire [

    111 ,

    171 ].Le sixième rapport d’évaluation note à juste titre que les principaux changements orbitaux Terre/Soleil «

    s’opèrent sur des échelles de temps très longues (c’est-à-dire des milliers d’années). En tant que tels, ils ont affiché très peu de changements au cours du siècle dernier et ont eu très peu d’influence sur les changements de température observés au cours de cette période » (6e rapport d’évaluation, FAQ 3.2, p. 517) [

    1 ]. Cependant, ces dernières années, plusieurs chercheurs ont noté que ces changements à long terme entraînent également de subtils décalages régionaux de la saisonnalité sur des échelles de temps pluridécennales à centennales qui ne sont pas négligeables [

    155 ,

    172 ,

    173 ,

    174 ,

    175 ] et que ces décalages sont également influencés par l’orbite Terre/Lune [

    174 ,

    175 ,

    176 ].D’autres suggèrent qu’une grande partie de la variabilité multidécennale des températures peut en effet s’expliquer en termes de « variabilité climatique interne » naturelle que les modèles climatiques actuels ne semblent pas pleinement prendre en compte [

    111 ,

    133 ,

    142 ,

    177 ,

    178 ,

    179 ,

    180 ]. Cela pourrait comprendre des changements dans :

    RépondreSupprimer
  21. Circulations océaniques et/ou atmosphériques [ 111 , 133 , 142 , 177 , 178 , 181 ] ;
    Couverture nuageuse [ 18 , 140 , 141 , 142 , 165 , 179 , 180 , 182 , 183 ];
    Ou, plus largement, l’albédo planétaire net [ 179 , 181 , 184 ].
    Nous encourageons donc à l’avenir des recherches plus actives sur les possibilités de facteurs climatiques naturels autres que les TSI et les forçages volcaniques. Plusieurs des autres études que nous avons évoquées ont également fait valoir ce point [

    17 ,

    18 ,

    20 ,

    22 ,

    111 ].Les mesures du rayonnement solaire incident à la surface du sol (« durée d’ensoleillement ») pourraient constituer une forme potentiellement utile de données climatiques [

    185 ,

    186 ,

    187 ,

    188 ]. Cette forme de données intègre la variabilité de l’activité solaire, la dynamique orbitale, la transparence atmosphérique et la couverture nuageuse, ce qui en fait potentiellement un ensemble de données climatiques puissant. Cependant, il existe des débats sur la contribution des effets de l’urbanisation aux mesures locales de l’ensoleillement [

    187 ]. Par conséquent, ces données peuvent également poser des problèmes urbains/ruraux.En résumé, pour résoudre de manière plus satisfaisante les causes des changements climatiques depuis le XIXe siècle, nous encourageons davantage de recherches sur les sujets suivants :

    Meilleure quantification de la contribution du biais d’urbanisation aux estimations actuelles de la température mondiale.
    Améliorer les techniques d’homogénéisation de la température pour minimiser le mélange urbain et corriger plus précisément d’autres biais non climatiques.
    Déterminer quels sont les ensembles de données TSI actuels les plus fiables (le cas échéant). Nous considérons que cela implique deux périodes distinctes : l’ère des satellites et l’ère pré-satellite. Nous proposons que d’autres missions satellites pourraient aider à améliorer la première, tandis que davantage de projets d’étoiles semblables au Soleil pourraient aider à améliorer la seconde.
    Prise en compte de la possibilité que les estimations actuelles de la contribution anthropique au changement climatique récent soient trop élevées.
    Facteurs naturels du changement climatique autres que les TSI et l’activité volcanique.

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    https://pgibertie.com/2024/08/26/ces-etudes-scientifiques-qui-prouvent-que-cest-le-soleil-et-lurbanisation-pas-les-vaches-ou-le-co2-les-188-etudes-du-debat-le-consensus-est-une-invention/

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  41. Odeur de soufre et de brûlé? Un nuage de SO2 traverse la France . Coucou les écolocinglés,SO2 et gaz carbonique sont crachés par les volcans pas par les vaches limousines


    le 25 août 2024
    par pgibertie


    Cela n’en finit plus en Islande, le pays a connu la sixième éruption d’un de ses volcans depuis le mois de décembre 2023. Le « Sundhnuksgigarod » a offert d’impressionnantes images de ses coulées de lave, jeudi 22 août 2024, mais a aussi provoqué d’importants dégâts matériels.

    https://link.springer.com/article/10.1038/srep44095?fromPaywallRec=true

    « Le gaz principal, c’est de l’eau mais aussi du gaz carbonique et de soufre (SO2). Ce dernier peut poser problème, explique Pierre Delmelle. Il réagit dans l’atmosphère pour former de très fines particules que l’on peut inhaler. Si l’activité volcanique perdure pendant des décennies, elle peut impacter la qualité de l’air de manière chronique et poser problème, particulièrement, pour les personnes qui souffrent déjà de problèmes respiratoires.«

    Un nuage de dioxyde de soufre a survolé le nord de l’Europe et a commencé à s’installer dans le ciel de France dans la nuit du samedi 24 au dimanche 25 août, Il provient du volcan islandais Sundhnuksgigarod qui est entré en éruption jeudi.

    Incolore, ce gaz a une odeur soufrée plus ou moins prononcée selon sa concentration. Il peut s’avérer dangereux en quantité importante ou lors d’expositions prolongées, précise l’Institut national de recherche et de sécurité (INRS). Il émane notamment de la combustion du pétrole et du charbon et peut être produit sur des sites industriels ou par des volcans.

    @marseille_jeff

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  42. Les volcans émettent 32 % du SO2 mondial, gaz très irritant pour les poumons et les yeux. A long terme, son inhalation est relié à une mortalité augmentée. C’est inconscient de ne pas prévenir et de nous faire chier sur le climat. La pollution de l’air est le vrai problème

    @silvano_trotta

    Les Britanniques ont été avertis de rester à l’intérieur de chez eux, alors qu’un nuage de gaz corrosif et acide, qui peut causer de graves problèmes de santé, engloutit le Royaume-Uni aux premières heures ce matin. Les cartes météorologiques montrent qu’un énorme nuage de dioxyde de soufre (SO2), craché par les récentes éruptions volcaniques en Islande.

    UN PRECEDENT

    L’éruption du volcan Tonga-Hunga a provoqué une injection sans précédent de vapeur d’eau dans la stratosphère
    2 août 2023 / Association des climato-réalistes

    Dans une étude publiée le 14 décembre 2022 par la revue Nature, une équipe de scientifiques a calculé une augmentation sans précédent de 13 % de la masse d’eau stratosphérique mondiale (par rapport aux niveaux climatologiques) et une multiplication par cinq de la charge d’aérosols stratosphériques, la plus élevée des trois dernières décennies.
    En utilisant une combinaison de données satellitaires, y compris des données du satellite Aeolus de l’ESA, et des observations au sol, l’équipe a découvert qu’en raison de l’altitude extrême, le panache volcanique a fait le tour de la Terre en seulement une semaine puis s’est dispersé presque d’un pôle à l’autre en trois mois.

    Le Jet Propulsion Laboratory de la NASA fournit les explications détaillées suivantes :

    Les éruptions volcaniques injectent rarement beaucoup d’eau dans la stratosphère. Au cours des 18 années où la NASA a effectué des mesures, seules deux autres éruptions (l’événement de Kasatochi en Alaska en 2008 et l’éruption de Calbuco en 2015 au Chili) ont envoyé des quantités appréciables de vapeur d’eau à des altitudes aussi élevées. Mais ce n’étaient que des soubresauts par rapport à l’événement du Tonga, et la vapeur d’eau des deux éruptions précédentes s’est rapidement dissipée.

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  43. L’excès de vapeur d’eau injectée par le volcan Tonga, en revanche, pourrait rester dans la stratosphère pendant plusieurs années. Cette vapeur d’eau supplémentaire pourrait influencer la chimie de l’atmosphère, favorisant certaines réactions chimiques qui pourraient temporairement aggraver l’appauvrissement de la couche d’ozone. Cela pourrait également influencer les températures de surface. Les éruptions volcaniques massives comme le Krakatoa et le mont Pinatubo refroidissent généralement la surface de la Terre en éjectant des gaz, de la poussière et des cendres qui réfléchissent la lumière du soleil dans l’espace. En revanche, le volcan Tonga n’a pas injecté de grandes quantités d’aérosols dans la stratosphère, et les énormes quantités de vapeur d’eau provenant de l’éruption peuvent avoir un effet de réchauffement temporaire, car la vapeur d’eau retient la chaleur. L’effet se dissipera lorsque la vapeur d’eau supplémentaire sortira de la stratosphère.Source : Jet Propulsion Laboratory de la NASA

    https://pgibertie.com/2024/08/25/odeur-de-soufre-et-de-brule-un-nuage-de-so2-traverse-la-france-coucou-les-ecolocinglesso2-et-co2-sont-craches-par-les-volcans-pas-par-les-vaches-limousines/

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  44. Dérangeant, fou ou honnête : un protecteur de la nature s'interroge sur la « crise » de la biodiversité


    26 Août 2024
    Willi l'agriculteur*


    Ma note : Les Suisses voteront le 22 septembre prochain sur une initiative, « Pour l’avenir de notre nature et de notre paysage (Initiative biodiversité) ». Le sujet se retrouve donc dans les médias helvétiques.

    Willi l'agriculteur nous renvoie à quelques sources intéressantes. Celles en allemand peuvent être traduites par DeepL, peu souvent pris en défaut (il l'est pour le titre de l'article de LID, que je publierai très prochainement).

    La vidéo (on peut activer le sous-titrage) est également intéressante, avec des graphiques très pédagogiques.

    Après avoir lu l'article référencé ci-dessous, je me suis réjoui : enfin quelqu'un qui se demande : 1. si l'environnement va vraiment si mal et 2. à quoi servent les mesures rigides de protection de l'environnement.

    https://www.nzz.ch/schweiz/biologe-kritisiert-umweltbuerokratie-man-sollte-jedem-naturschuetzer-kuendigen-der-mehr-als-einen-tag-pro-woche-im-buero-sitzt-ld.1839051

    La réponse de M. Marcel Züger (avec qui j'ai eu un long entretien téléphonique) est claire : l'environnement se porte mieux aujourd'hui qu'il y a quarante ans. Et : les mesures rigides et bureaucratiques n'apportent pas les résultats attendus/souhaités. C'est également ce qui ressort de l'entretien suivant : l'uniformité apporte la simplicité, du moins en ce qui concerne la biodiversité.

    https://www.lid.ch/artikel/pflege-einheitsbrei-bringt-arten-einfalt (la bouillie informe de la protection de la biodiversité mène à son appauvrissement)

    Le « Nebelspalter » a également abordé le sujet et confronte les différentes positions de l'agriculture et des écologistes :

    Biodiversitätskrise FAKTENCHECK

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  45. Voici l'étude sur la biodiversité dans son intégralité, avec des chiffres et des faits pour les différentes espèces.

    Biodiversitaetsstudie_Bericht_ohne_Anhang_15122023(3)

    Par devoir de diligence journalistique, voici également les remarques des détracteurs de cette étude.

    Replik USOs

    Les médias s'emparent également du sujet et discréditent M. Marcel Züger.

    - voir doc sur site -

    En septembre 2024, la Suisse votera sur l'« initiative pour la biodiversité ». Voici l'annonce du gouvernement suisse :

    https://www.admin.ch/gov/fr/accueil/documentation/votations/20240922/initiative-biodiversite.html (en français)

    Le vote du Conseil National et du Conseil des Etats a été clair : rejet de l'initiative.

    Et l'article suivant de la NZZ aborde également de manière critique les associations de protection de l'environnement :

    https://www.nzz.ch/schweiz/biodiversitaetskrise-wissenschafter-kritisieren-den-pessimismus-der-umweltverbaende-ld.1840592

    Cette version en ligne se distingue toutefois de la version imprimée car elle a été adaptée à la demande de l'Akadedmie der Wissenschaften et les passages décisifs qui pouvaient encore être lus dans la version imprimée ont été supprimés dans la version en ligne.

    De tels titres donnent du courage et permettent d'espérer que la thématique devienne plus objective.

    Voici une autre vidéo de Marcel Züger

    - voir clip sur site -

    Un professeur de l'EPFZ fait de fausses affirmations

    Le professeur Pellissier de l'EPFZ affirme que « TOUS les indicateurs montrent que la biodiversité continue de décliner ». Les données le contredisent très clairement. Il n'y a pas de crise durable de la biodiversité. La voie coopérative basée sur le volontariat peut être poursuivie et développée.

    https://seppi.over-blog.com/2024/08/derangeant-fou-ou-honnete-un-protecteur-de-la-nature-s-interroge-sur-la-crise-de-la-biodiversite.html

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  46. Qui se cache derrière les cartels de la drogue mexicains ?


    Par Dean Henderson
    Recherche mondiale,
    26 août 2024


    [L'ancien] président Donald Trump a déclaré que les « cartels de la drogue » au Mexique sont des terroristes, laissant entendre que l'Amérique devrait mener une nouvelle « guerre contre le terrorisme » au Mexique sur le modèle de l'initiative antiterroriste américaine au Moyen-Orient contre Al-Qaïda.

    Qu’ont en commun les cartels de la drogue mexicains et Al-Qaïda ? Ils sont secrètement soutenus par les services de renseignement américains. Ils servent les intérêts américains.

    Ci-dessous, l'article soigneusement étudié de Dean Henderson sur les cartels de la drogue mexicains, publié pour la première fois en 2013.

    * * *

    Au moment où George W. Bush a emménagé au 1600 Pennsylvania Avenue en 2001, son arnaque à Harken Energy avait été passée sous le tapis sale qui passe pour l’histoire. Mais son allégeance aux grandes banques et aux géants pétroliers de Houston n’a jamais faibli.

    Bush a souligné l'importance de l'Amérique latine tout au long de sa campagne et a vanté son Accord de libre-échange des Amériques (ZLEA), une extension de l' Accord de libre-échange nord-américain (ALENA), signé avec le Canada et le Mexique dans les années 1990. La ZLEA créerait une zone de libre-échange du Yukon à la Terre de Feu et constituerait une aubaine pour les grandes sociétés pétrolières . L'un de ses plus grands promoteurs était Bechtel.

    Le pétrole a commencé à fréquenter les bureaux de PEMEX – la compagnie pétrolière nationale mexicaine. Les distributeurs API de Thomas Clines et Ted Shackley, basés à Houston, ont vendu du matériel de forage pétrolier PEMEX et recueilli des renseignements pour le compte du Big Oil . Des accords ont été conclus, dont un qui demandait à PEMEX de maintenir la réserve stratégique de pétrole des États-Unis entièrement approvisionnée. Exxon a acheté la Compania General de Lubricantes du Mexique en 1991. [1]

    L’Accord de libre-échange des Amériques (ZLEA) créerait une zone de libre-échange du Yukon à la Terre de Feu et constituerait une aubaine pour les grandes sociétés pétrolières . L'un de ses plus grands promoteurs était Bechtel.

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  47. Bush a rencontré le président mexicain Vicente Fox, ancien dirigeant de Coca-Cola et propriétaire d'un vaste empire agricole commercial, avant de rencontrer tout autre chef d'État étranger. Pendant que Bush vantait les mérites de la ZLEA, Fox vantait son projet de libre-échange entre Puebla et Panama pour l’Amérique centrale. La clé de ce dernier plan est la construction d'un canal sec traversant l'isthme de Tehauntepec, depuis le port pétrolier de Coatzacoalas, sur le golfe du Mexique, jusqu'au port pacifique de Salina Cruz. Le soutien financier du plan est assuré par la Banque mondiale, l'Organisation mondiale du commerce et le Département du Trésor américain. [2]

    Le plan prévoit la création de maquiladoras dans le sud du Mexique , tout comme le prédécesseur de Fox, Ernesto Zedillo, l'avait fait le long de la frontière américano-mexicaine après la mise en œuvre de l'ALENA en 1995. Les revendications croissantes des travailleurs et les troubles ouvriers dans les usines du nord ont poussé les multinationales à se tourner vers le sud. Les salaires y étaient en moyenne inférieurs de 40 % et le Guatemala voisin pouvait fournir une main-d'œuvre encore moins chère. Fin 2002, quatre-vingt-douze maquiladoras s'étaient installées dans le sud du Mexique. Le nouveau canal serait leur débouché maritime.

    Une autre partie de Puebla jusqu'au Panama appelle les grandes sociétés pétrolières à s'implanter dans les États du sud du Mexique, Tabasco et Chiapas, où une formation géologique unique recèle des réserves de pétrole prometteuses et de vastes réserves de gaz naturel. Un financement est prévu pour les oléoducs et les gazoducs qui desserviront l’expansion pétrolière. Monsanto convoite l'incroyable biodiversité du Chiapas dans sa quête de monopolisation des ressources génétiques mondiales. [3]

    En 1993, des révolutionnaires indigènes se faisant appeler Emiliano Zapata Liberacion Nacional (EZLN) ont lancé une brève offensive sur la capitale du Chiapas, San Cristobal de las Casas. Les zapatistes ont tenu la ville pendant un court moment, puis se sont retirés dans la jungle de Lacondon où leur mystérieux chef, le sous-commandant Marcos, a lancé une campagne Internet sophistiquée dénigrant la mondialisation et révélant l'histoire du génocide que les Indiens de tout le Mexique ont subi de la part du gouvernement mexicain. les oligarques et les sociétés multinationales.

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  48. Les Zapatistes tirent leur nom d' Emiliano Zapata , qui, au début du XXe siècle, a lancé des attaques de guérilla contre les installations pétrolières des Quatre Cavaliers à Veracruz. Le petit groupe de révolutionnaires de Zapata a obtenu un soutien massif du public, ce qui a conduit à la nationalisation de l'industrie pétrolière mexicaine par le président Lazaro Cardenas. Les zapatistes ont ressuscité le fantôme d'Emiliano Zapata et se sont carrément opposés aux plans des grandes sociétés pétrolières visant à s'emparer des vastes réserves de pétrole et de gaz du Chiapas.

    Riordan Roett , expert en politique mexicaine à la Chase Manhattan Bank, a rédigé un rapport préconisant la loi martiale au Mexique pour attirer les investisseurs étrangers. Roett a pointé du doigt les zapatistes et la démocratie comme des obstacles, arguant que le gouvernement mexicain doit « éliminer l’opposition au Chiapas et devrait réfléchir soigneusement à l’opportunité d’autoriser ou non les victoires de l’opposition (même) si elles sont remportées équitablement par les urnes ». [4]

    Le président Ernesto Zedillo a répondu à l’appel de Chase Manhattan en envoyant 70 000 soldats de l’armée mexicaine – un tiers de toutes les forces mexicaines – au Chiapas, instaurant de facto la loi martiale dans la région.

    En décembre 1997, cinquante-six Indiens Totil ont été abattus par des paramilitaires entraînés par l'armée mexicaine dans le camp de réfugiés d'Atial, près d'Ocosingo. Le massacre faisait partie d'un programme anti-insurrectionnel appelé Plan stratégique du Chiapas, qui visait à semer le trouble parmi les peuples autochtones. La campagne diviser pour régner a été supervisée par le général Mario Ramon Castillo, diplômé magna cum laude en contre-insurrection du Centre américain des forces spéciales de Fort Bragg. [5]

    En 2001, alors que les atrocités se multipliaient au Chiapas , les zapatistes ont conduit une caravane vers Mexico, qui grandissait à chaque kilomètre. Ils sont arrivés au nombre de 10 000 devant une foule de supporters enthousiastes. Marcos et d'autres dirigeants zapatistes se sont adressés à un auditoire de plus de 100 000 personnes et ont fait pression (portant des masques de ski) sur le Congrès mexicain. Ils ont exigé la mise en œuvre des accords de San Andrés de 1996 , qui promettaient de remédier à leurs griefs auprès du gouvernement mexicain. Une section connue sous le nom de Dispositions d'autonomie donne aux tribus le contrôle des ressources naturelles de leur région, menaçant directement le contrôle des Quatre Cavaliers sur les réserves de pétrole et de gaz du Chiapas.

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  49. Riordan Roett, expert en politique mexicaine à la Chase Manhattan Bank, a rédigé un rapport préconisant la loi martiale au Mexique pour attirer les investisseurs étrangers. Roett a pointé du doigt les zapatistes et la démocratie comme des obstacles, arguant que le gouvernement mexicain doit « éliminer l’opposition au Chiapas et devrait réfléchir soigneusement à l’opportunité d’autoriser ou non les victoires de l’opposition (même) si elles sont remportées équitablement par les urnes ». [4]

    Marcos a insisté,

    « Il n’y aura aucun plan, ni projet, de la part de qui que ce soit, qui ne tienne compte de nous. Pas de Plan Puebla-Panama, pas de Projet Trans-Isthme, ni rien d'autre qui implique la vente ou la destruction des maisons des peuples indigènes. Je vais répéter cela pour qu’ils puissent nous entendre jusqu’à Cancun.

    Marcos faisait référence à un rassemblement du Forum économique mondial à Cancun, où Vicente Fox faisait la main à l' élite bancaire Illuminati dans l'espoir d'obtenir des fonds pour son grand projet.

    Au moins un gouverneur mexicain a déclaré que le message de Marcos avait été entendu haut et fort dans le méga-resort mexicain – construit pour les touristes nord-américains aux dépens de milliers de paysans du Yucatan, qui ont été envoyés faire leurs valises lors de la construction du complexe hôtelier de Cancun. Le gouverneur a expliqué : « Sans être présent, Marcos a fixé le cadre de la réunion… et les sujets du Chiapas et de l'EZLN sont passés comme des fantômes dans les couloirs de l'hôtel Westin Regency ». [6]

    Le président albanais Sali Berisha était peut-être le chouchou du FMI en Europe, mais il ne pouvait pas rivaliser avec le président mexicain Carlos Salinas de Gortari. Élu en 1988 comme candidat du Parti révolutionnaire institutionnel (PRI) – qui, jusqu'à l'élection du président Fox du Parti d'action nationale (PAN) en 2000, détenait le monopole de la présidence mexicaine pendant quatre décennies – Salinas n'a duré qu'un seul mandat. Mais au cours de ces six années, il a annulé des décennies de garanties que le Mexique avait mises en place pour protéger sa souveraineté nationale contre les prospecteurs multinationaux. Et les habitants du Mexique en sont devenus plus pauvres.

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  50. Salinas est arrivé au pouvoir en promettant d'élever le niveau de vie au Mexique et de moderniser le pays. Mais c’était un vagabond du capital international. Son nom est devenu synonyme de corruption dans l’esprit collectif du Mexique.

    Salinas a été impliqué dans le plus grand scandale de trafic de drogue de l'histoire du Mexique. Il a été expulsé du Mexique et a fui vers les États-Unis, où il a trouvé une foule sympathique et un emploi en tant que membre du conseil d'administration de Dow Jones & Company, qui publie le Wall Street Journal et Barron's .

    Salinas n'était pas le premier narcodictateur mexicain. Le président Miguel Aleman a autorisé les assassins Permindex de JFK à être formés au Mexique. Aujourd'hui, il possède une grande partie d'Acapulco, où le Canadien Pacifique Coca-Express gère ses intérêts hôteliers. Aleman gagnait sa vie en trafiquant de drogue grâce à son groupe TAMSA, le cinquième conglomérat mexicain. Le directeur de TAMSA est Bruno Pagliai, cousin de la princesse Béatrice de la maison italienne de Savoie.

    Salinas a été impliqué dans le plus grand scandale de trafic de drogue de l'histoire du Mexique. Il a été expulsé du Mexique et s'est enfui aux États-Unis, où il a trouvé une foule sympathique et un emploi en tant que membre du conseil d'administration de Dow Jones & Company, qui publie le Wall Street Journal et Barron's.

    Le banquier personnel d'Aleman était Max Schein de la Banco Mercantil de Mexico , dont la banque correspondante est la Banque israélienne Leumi – filiale du courtier en énergie Silver Triangle Barclays et financier du commerce des diamants d'Asquelon. Schein préside également la Sociedad Technion de Mexico , une branche de la Société des techniciens israéliens (ITS), qui sert de bras d'espionnage scientifique du Mossad à l'étranger. Le colonel Louis Mortimer Bloomfield, agent britannique du MI6 et assassin de Kennedy, est membre du conseil d'administration de l'ITS. [7]

    L'assistant d'Aleman, Gonzalo Santos, était un partenaire commercial d'Alberto Sicilia Falcon, un vétéran de la Baie des Cochons et de l'opération 40 de la CIA qui a été formé à Fort Jackson. Falcon a travaillé avec le programme Trak II de Ted Shackley au Chili, puis a déménagé au Mexique où il a créé du jour au lendemain un empire transportant de l'héroïne sinoalaise. Les partenaires commerciaux comprenaient le chef de la mafia de Chicago, Sam Giancana. « Big Sam » s'est enfui au Mexique lorsque la chaleur est redescendue aux États-Unis, mais le Mexique a accepté de l'extrader vers la France. Giancana a été arrêtée lors d'une escale à Houston et assassinée. Le ministère mexicain de l'Intérieur affirme que la CIA l'a tué. [8]

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  51. La DEA a envoyé l'agent Enrique Camarena et une force spéciale d'élite des stupéfiants au Mexique pour aider le gouvernement à tenter d'appréhender Sicilia Falcon. Camarena a été torturé et tué par Raphael Quintero, fournisseur d'armes de contre-attaque de l'Enterprise /vétéran de la CIA du Laos, lorsqu'il s'est approché trop près de Falcon.

    Lorsque Falcon a été arrêté en 1975, il a déclaré qu'il travaillait pour la CIA et qu'une partie des revenus de la drogue servait à financer des groupes contre-révolutionnaires latino-américains. Des documents du FBI ont révélé que la CIA avait tenté de déstabiliser le gouvernement du président mexicain Luis Echevarria en raison de sa position nationaliste à l'égard d'un projet du FMI visant à privatiser PEMEX au nom des grandes sociétés pétrolières . [9]

    Salinas a décidé de démembrer PEMEX , symbole de la fierté mexicaine depuis que le président Lazaro Cardenas, entendant le cri de guerre de Zapata, a exproprié les actifs des Quatre Cavaliers en 1938. [10] La ville de la côte du Golfe où PEMEX a ses plus grandes opérations s'appelle Lazaro Cardenas. .

    En 1992, José Manzo, chef du département Gaz Liquides et Polymères de la branche internationale PEMEX de PMI, a accusé les responsables de l'entreprise d'avoir causé des « dommages aux ressources naturelles » après que PMI ait conclu des contrats douteux avec Lyondell Petroleum, une filiale d'ARCO qui fait désormais partie de l'entreprise. de BP Amoco . [11] Salinas a ignoré Manzo, ordonnant à la place l'arrestation de nombreux dirigeants du Syndicat des travailleurs du pétrole et de la pétrochimie (OPWU), qui ont également vu se profiler une prise de contrôle de PEMEX par les Quatre Cavaliers . En 1989, les dirigeants de l'OPWU, dont le chef du syndicat Joaquín Hernández, ont été arrêtés à la raffinerie Salina Cruz PEMEX alors qu'ils protestaient contre sa privatisation.

    Les secrets de la famille Salinas ont commencé à éclater au grand jour après l'assassinat, le 23 mars 1994, du leader du PRI, Luis Colosio, lors d'un rassemblement politique du PRI à Tijuana. Colosio avait fait des démarches auprès des zapatistes et s'était élevé contre la privatisation de l'économie mexicaine présidée par Salinas. Il a résisté à la vieille garde du PRI pour devenir le favori grâce à son charisme, mais sa rhétorique de plus en plus populiste a rendu les dinosaures du PRI nerveux.

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  52. Le gouverneur du PRI de l'État de Baja, Xicotencatl Leyva, a été contraint de quitter ses fonctions après avoir découvert qu'il avait ouvert un couloir de Tijuana au cartel de la drogue Arrellano Felix, basé à Sinaloa, qui avait repris le réseau Sicilia Falcon. L'expulsion de Leyva a été ordonnée par la faction réformiste Colosio du PRI, qui a promis de réprimer les cartels de la drogue.

    Le jour de son rassemblement à Tijuana, Colosio était encerclé par les escadrons de gardes du corps d'élite du PRI, TUCAN et Grupo Omego . La Culebra a joué sur la sono, ses paroles résonnant : « le serpent va t'attraper, tu ferais mieux de bouger tes pieds ». Un coup de feu retentit. Colosio était mort. Vicente Mayoral, membre du TUCAN qui se trouvait près de Colosio, a attrapé un mécanicien de 23 ans nommé Mario Aburto et l'a déclaré coupable du meurtre. Aburto a commencé à crier en disant qu'il avait vu Mayoral appuyer sur la gâchette. De nombreuses personnes dans la foule ont ensuite corroboré son histoire.

    Lorsque Falcon a été arrêté en 1975, il a déclaré qu'il travaillait pour la CIA et qu'une partie des revenus de la drogue servait à financer des groupes contre-révolutionnaires latino-américains. Des documents du FBI ont révélé que la CIA avait tenté de déstabiliser le gouvernement du président mexicain Luis Echevarria en raison de sa position nationaliste à l'égard d'un projet du FMI visant à privatiser PEMEX au nom des grandes sociétés pétrolières . [9]

    Des histoires ont été diffusées dans les médias mexicains selon lesquelles Aburto avait des liens avec les zapatistes . Salinas a utilisé ces rumeurs pour ordonner un déploiement militaire massif au Chiapas. Le président Clinton a accordé une ligne de crédit de 6,5 milliards de dollars à Salinas dans les 24 heures suivant l'assassinat. Le chef de la police de Tijuana, Federico Benitez, a pris en charge l'enquête. Quelques jours plus tard, il fut abattu à l'aéroport de Tijuana, à moins de cinq minutes de l'endroit où Colosio avait été abattu.

    Des années plus tard, le procureur spécial Miguel Montes a révélé les résultats finaux de son enquête. Il a découvert que quatre membres de TUCAN, dont Vicente Mayoral, étaient impliqués dans l'assassinat de Colosio. Le patron de TUCAN et chef de la sécurité du PRI, Rodolfo Rivapalacios, a été impliqué – décrit par le rapport comme un « tortionnaire notoire ». Il avait reçu un chèque du gouverneur déchu du PRI Baja, Leyva, le matin de l'assassinat. Le rapport de Montes indiquait que le CISEN, une unité top-secrète de la police du ministère de l'Intérieur mexicain ayant des liens avec la CIA, pourrait avoir été impliqué. Rivapalacios, le seul fonctionnaire à avoir été condamné à une peine de prison, a été libéré après avoir purgé seulement un mois. [12]

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  53. Ernesto Zedillo – un autre membre de la lignée des subordonnés du FMI – est devenu le nouveau favori du PRI. Zedillo a dû faire face à un sérieux défi de la part de Cuahtemec ​​Cardenas, du Parti révolutionnaire démocratique (PRD) , de gauche, soutenu par les syndicats du pétrole et qui est depuis longtemps le parti des travailleurs et des paysans mexicains.

    Le scrutin présidentiel de 1994 a été serré, mais depuis son donjon sans fenêtre de dépouillement des voix de Barranca del Muerto (Ravin de la Mort) à Mexico, le PRI a veillé à ce que Zedillo sorte victorieux. Selon le journal économique mexicain El Financiero , le complexe PRI dispose de deux systèmes de décompte des voix distincts sur son ordinateur central Unisys. Un système reflète le décompte réel des voix. L'autre est automatiquement empilé en faveur du candidat PRI. En 1988 comme en 1994, la fraude électorale était endémique.

    Le PRI a lancé des campagnes d'intimidation lors des deux élections. Cardenas s'était présenté contre Carlos Salinas en 1988. Au cours des deux campagnes, ses principaux collaborateurs ont été abattus juste avant les élections. En 1994, un groupe d’observation des élections appelé Alliance civile a terrorisé ses membres.

    Le membre Amando Avendano a été invité à une réception du PRI à Tuxla Gutierez. Alors qu'il était en route avec trois autres membres, sa voiture a été sortie de la route par un camion Kenworth de 75 tonnes. Ses trois passagers sont morts. Avendano est resté dans le coma pendant six mois. Le conducteur du camion a quitté les lieux et n'a jamais été retrouvé. La police mexicaine a déclaré que l'épreuve était un accident. Le fils du président du PRD, Munoz Ledos, a été kidnappé avant les élections de 1994 et un leader étudiant dont le groupe soutenait Cardenas a été kidnappé et torturé. [13] Le candidat du PRI, Zedillo, a remporté de justesse les élections de 1994.

    En 1995, juste au moment où l’ALENA entre en vigueur, le peso mexicain a été sévèrement dévalué, rendant la main-d’œuvre des maquiladoras encore moins chère pour les sociétés multinationales. Le système bancaire mexicain a été privatisé. Les industries d’État ont été cédées aux multinationales américaines en échange d’un allégement de la dette des banquiers internationaux au moyen d’une vague d’échanges véreux de dettes contre des actions.

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  54. En décembre 1994, la bourse mexicaine s’est effondrée, précipitant la crise de la dette mexicaine. En 1995, juste au moment où l’ALENA entre en vigueur, le peso mexicain a été sévèrement dévalué, rendant la main-d’œuvre des maquiladoras encore moins chère pour les sociétés multinationales. Le système bancaire mexicain a été privatisé. Les industries d’État ont été cédées aux multinationales américaines en échange d’un allégement de la dette des banquiers internationaux au moyen d’une vague d’échanges véreux de dettes contre des actions.

    Le président José Lopez Portillo avait nationalisé le système bancaire mexicain en 1982, citant la trahison des banquiers internationaux envers le Mexique en encourageant la fuite des capitaux de l'élite mexicaine. Lopez Portillo a déclaré que le remède du FMI consistait à « priver le patient de nourriture ».

    Les banquiers internationaux ont reçu une commission initiale de 50 millions de dollars simplement pour s’être assis pour négocier avec un Mexique criblé de dettes. JP Morgan Chase et Citibank ont ​​géré les négociations sur la dette, dirigées par William Rhodes, un initié de Citibank. Le Trésor américain a injecté 50 milliards de dollars pour libérer les banquiers, leur permettant de répercuter leurs pertes mexicaines sur les contribuables américains, tout en devenant propriétaire d’entreprises mexicaines. Une partie de l'accord secret garantissait aux Quatre Cavaliers une réduction de 15 % sur tous les futurs achats de pétrole brut mexicain. [14]

    PEMEX a été pillé et l’argent caché dans ces mêmes banques américaines. Lors d'un échange de dettes contre des actions, l'ASARCO, contrôlée par Rockefeller, l'une des plus grandes sociétés minières au monde et client de longue date de Chase, a attribué la Société nationale mexicaine de ciment et d'autres actifs miniers de l'État en échange d'une annulation de dette de Chase.

    ASARCO possède une filiale minière de premier plan au Pérou, connue sous le nom de Southern Peru Copper. Au cours des années 1980, la presse du Montana a affirmé que le sud du Pérou transportait plus que du plomb vers la fonderie de plomb d'ASARCO à East Helena, MT. Le minerai de plomb est un favori des trafiquants de drogue en raison de sa nature opaque. Les travailleurs des fonderies ASARCO de Hayden et Globe, en Arizona, affirment avoir été témoins de la transformation de cocaïne dans ces usines. Les deux fonderies et deux autres à Morenci, en Arizona, et à Silver City, au Nouveau-Mexique, se trouvent sur le 33e parallèle.

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  55. Le peuple mexicain, qui voulait croire aux promesses de jours meilleurs de Salinas, était désormais plus désillusionné que jamais. La classe moyenne, aujourd'hui en faillite, s'est jointe aux protestations des pauvres, créant le groupe radical Barzonistas, fort d'un million de personnes . JP Morgan et le président de la Banque mondiale, Lewis Preston, ne savaient peut-être pas qu'il faisait écho aux commentaires du nationaliste mexicain José Lopez-Portillo lorsqu'il a déclaré à propos des négociations sur la dette mexicaine des années 1990 : « La privation de la population qu'ils étaient prêts à faire ».

    La désillusion du peuple mexicain ne faisait que commencer. L’économie s’est dirigée davantage vers le sud en 1999 avec le krach boursier américain. Et l'assassinat de Colosio n'était que la pointe de l'iceberg qui révélait les liens du PRI avec le trafic de drogue. Au milieu des années 1980, quarante-cinq policiers mexicains ont été soumis à des tests au détecteur de mensonges sur la question : « Avez-vous déjà pris de l'argent à des narcotrafiquants ? Pas un n’est passé.

    En 1991, dans la ville pétrolière de Veracruz, des soldats mexicains ont abattu la police locale qui tentait d'empêcher un avion de faire le plein. Sa cargaison était de la cocaïne colombienne. La police et l'armée mexicaines étaient tristement célèbres pour leur corruption, mais lorsque le deuxième responsable du PRI, José Ruiz Massieu, a été abattu en 1995, la traînée de poudre blanche s'est étendue jusqu'à la porte du président.

    Frère Raul et ses banquiers

    Après une longue enquête, il s'est avéré que la mort de Ruiz avait été ordonnée par Raul Salinas – frère du président Carlos Salinas. Raul blanchissait l'argent de la drogue via la Texas Commerce Bank, où il avait plus de 20 millions de dollars en dépôt. Texas Commerce avait des succursales tout au long de la frontière entre les États-Unis et le Mexique. Les principaux actionnaires comprenaient James Baker et Robert Mosbacher. Jeb Bush travaillait à la banque. Les membres du conseil comprenaient Mosbacher et le président de la Commission Warren, Gerald Ford.

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  56. En 1993, la Chemical Bank a racheté Texas Commerce. Dick Cheney a rejoint Lawrence Rawl d'Exxon, Hartwell Gardner de Mobil, Constantine Nicandros de Conoco et John Hess d'Amerada Hess au conseil d'administration de Chemical Bank. Cheney a également rejoint le conseil d'administration de Morgan Stanley, qui a fait toute une histoire sur l'escroquerie à la dette mexicaine. Là, il a rejoint le président de Mobil, Allen Murray, qui a également siégé au conseil d'administration de Chase Manhattan. En 1993, la Chemical Bank possédait 150 milliards de dollars d’actifs. Puis il a été englouti par Chase Manhattan. Les anciens panneaux du Texas Commerce bordant la frontière mexicaine indiquent désormais simplement « Chase ».

    Selon un article du 1er novembre 1996 paru dans le Wall Street Journal , la Citibank blanchissait également une partie des revenus de la drogue de Raul. La vice-présidente Amy Elliot a reçu plus de 80 millions de dollars de dépôts à la Citibank de Salinas. Elliot a travaillé au sein du département de banque privée de Citibank, spécialisé dans l'aide à l'élite mondiale pour créer des sociétés offshore et d'autres instruments permettant d'éviter de payer des impôts. [15]

    Elliot a témoigné lors d'une enquête de la Chambre des représentants que la banque n'avait pas suivi une « voie prudente » en vérifiant la source du butin de Salinas. Citibank a retenu les services de l'ancien avocat de Clinton Whitewater, Robert Fiske. Ni Elliot ni Citibank n'ont été inculpés.

    Les enquêteurs suisses ont découvert que Raul Salinas détenait plus de 100 millions de dollars dans les banques de ce pays, ce qui, selon eux, provenait des profits de la drogue. Ils ont découvert treize comptes d'une valeur de 123 millions de dollars à Genève, Berne, Londres, New York, Houston et Hambourg. [16] Les autorités françaises ont interrogé Enrique Salinas, frère de Raul et Carlos, pour avoir caché 120 millions de dollars supplémentaires provenant des produits de la drogue dans les banques françaises. Alors que l’enquête Salinas s’élargissait, les banquiers se sont mis à l’abri.

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  57. Les enquêteurs suisses ont découvert que Raul Salinas détenait plus de 100 millions de dollars dans les banques de ce pays, ce qui, selon eux, provenait des profits de la drogue. Ils ont découvert treize comptes d'une valeur de 123 millions de dollars à Genève, Berne, Londres, New York, Houston et Hambourg. [16] Les autorités françaises ont interrogé Enrique Salinas, frère de Raul et Carlos, pour avoir caché 120 millions de dollars supplémentaires provenant des produits de la drogue dans les banques françaises. Alors que l’enquête Salinas s’élargissait, les banquiers se sont mis à l’abri.

    Le banquier fugitif bien nommé Carlos Cabal, qui a financé la carrière politique du gouverneur de l'État du PRI Tabasco et ami des grandes sociétés pétrolières , Roberto Madrazo, contrôlait Banco Union et Banca Cremi. Il était président de Fresh Del Monte Produce. [17] En 1994, le trafiquant de drogue Rogoberto Gaxiola a témoigné qu'il avait transféré des millions via des banques internationales, notamment Chase Manhattan.

    En octobre 1996, une série de dépôts d'argent de la drogue ont été acheminés de Banca Serfin , la troisième plus grande banque du Mexique, via la Banco Union de Cabal vers Chase Manhattan à New York. Chase a transmis l'argent à Mercury Bank & Trust dans les îles Caïmans, une filiale de la plus grande banque mexicaine Bancomer , elle-même filiale de JP Morgan Chase. [18] La deuxième plus grande banque du Mexique, Banamex , appartient à HSBC.

    En 1997, le général José Gutierrez, tsar mexicain de la drogue , a été inculpé pour avoir aidé le cartel du Golfe, dirigé par le magnat des affaires de Monterrey, Amado Carrillo.

    Un mois plus tôt, l'homologue américain de Gutierrez dans la guerre contre la drogue, le général Barry McCafferty, qui dirigeait auparavant le commandement sud des États-Unis dans le Panama en proie à la drogue, était au Mexique pour saluer Gutierrez pour son attaque contre le trafic de drogue mexicain. La DEA a donné à Gutierrez un accès complet à sa base de données malgré le fait que des dossiers détaillaient son implication dans des trafiquants de drogue et des opérations de camouflage. [19]

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  58. La CIA a eu accès à ces mêmes dossiers et a également donné au général un bon état de santé. Le jour où il a été inculpé, un mandat d'arrêt contre Amado Carrillo a été mystérieusement levé. Les États-Unis ont certifié le Mexique comme partenaire de la guerre contre la drogue et, un jour plus tard, le collecteur de fonds de Carrillo – le magnat des affaires de Monterrey, Humberto Garcia – a disparu de l'Institut national antidrogue du Mexique où il était détenu. [20] Le frère de Garcia, Juan, s'est retrouvé dans une prison de Houston pour trafic de drogue. Carrillo est décédé mystérieusement en 1997 après avoir subi une chirurgie plastique. Mais les médias mexicains n’ont pas laissé mourir le scandale.

    Proceso a mené une enquête sur les frères Garcia et a découvert des liens commerciaux étendus avec la famille Salinas remontant à des décennies. Le magazine impliquait toute la famille Salinas dans le trafic de drogue mexicain, révélant ainsi leurs liens de longue date avec les cartels de la drogue de Colombie.

    Les autorités mexicaines ont été contraintes d'émettre un mandat d'arrêt pour stupéfiants contre le milliardaire mexicain des télécommunications Carlos Peralta, dont le conglomérat Grupo Iusacell est l'un des plus grands du Mexique. Peralta avait des liens étroits avec la famille Salinas, prêtant autrefois 50 millions de dollars à Raul sans même demander de reçu.

    En novembre 2002, le plus haut tribunal militaire mexicain – le Conseil de guerre – a condamné deux généraux de haut rang pour collaboration avec le syndicat Amado Carrillo. Le général Francisco Quiros et le général de brigade Arturo Acosta ont été accusés d'avoir utilisé des avions militaires pour transporter de la cocaïne. [21]

    Les autorités américaines sont désormais contraintes de bouger. Ils ont saisi 9 millions de dollars sur un compte Texas Commerce détenu par le principal procureur mexicain en matière de drogue et initié du PRI, Mario Ruiz Massieu. Ruiz avait été le fer de lance de la dissimulation de l'implication de Raul Salinas, un autre client de la Texas Commerce Bank, dans l'ordre de la mort de son frère Jose. Juste avant que les autorités américaines ne saisissent son argent, Ruiz avait reçu 1 million de dollars et cinq voitures de luxe en guise d'argent secret de la part du patron du cartel du Golfe, Amado Carrillo. Quelqu'un au sein du gouvernement américain a dû avertir Carrillo que Ruiz était sur le point de tomber. Dans un premier temps, un magistrat américain a refusé d'extrader Ruiz, qui se cachait aux États-Unis. [22]

    Lorsqu’il a finalement comparu devant un tribunal mexicain, l’argent du cartel n’a eu aucun effet. Apparemment repentant de la mort de son frère, Ruiz a chanté. Son témoignage a conduit à l'arrestation de Raul Salinas et à l'expulsion de Carlos Salinas du Mexique en 1997.

    Lors des cérémonies commémoratives pour dix-sept paysans massacrés par la police de l'État de Guerrero à Coyuca de Benitez, l' Ejercito Popular Revolucionario (EPR), un autre groupe de gauchistes armés de l'État de Guerrero ; a accusé le gouvernement, l'armée et l'oligarchie mexicains de diriger le trafic de drogue mexicain. L'EPR a également déclaré que le récent remplacement de la police civile par des troupes fédérales dans les rues de Mexico est un prélude à la loi martiale dans le pays. [23]

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  59. Avant les élections présidentielles mexicaines de juin 2006, le candidat du PRD et maire de Mexico, Andres Manuel Lopez Obrador, était en tête de tous les scrutins .

    Mais le donjon Barranca del Muerte a opéré sa magie. Après un délai de trois jours, le candidat du PRI Felipe Calderon a été déclaré vainqueur. Des manifestations de gauche ont éclaté à travers le Mexique alors qu'Obrador refusait d'accepter les résultats. Alors que les guérilleros de l’EPR et des Zapatistes étaient prêts à mourir pour protéger le pétrole et le gaz naturel qui leur appartiennent de naissance de l’assaut des Quatre Cavaliers, les révolutionnaires de Guerrero semblaient avoir raison sur les deux points.

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    Dean Henderson est l'auteur de quatre livres : Big Oil & Their Bankers in the Persique Gulf: Four Horsemen, Eight Families & Their Global Intelligence, Narcotics & Terror Network , The Grateful Unrich: Revolution in 50 Countries , Stickin' it to the Matrix et Das Kartell de la Réserve fédérale.

    Remarques

    [1] Rapport annuel aux actionnaires. Société Exxon. 1991.
    [2] « Plan pour le génocide : le plan Puebla-Panama de Vicente Fox ». Philip E. Wheaton et Comité de solidarité autochtone. Action secrète trimestrielle . Hiver 2001. p.11
    [3] « Conférence de John Ross ». Télévision sur la liberté d'expression. Boulder, CO. 1-1-02
    [4] « Banquier au Mexique : allez les chercher ». Temps . 20/02/95. p.11
    [5] Ross
    [6] « Marcos Enmarca Cancun ». Milenio Diario. 2-27-01. p.22
    [7] Dope Inc. : Le livre qui a rendu Kissinger fou . Les rédacteurs de Executive Intelligence Review . Washington, DC. 1992. p.483
    [8] Le grand coup d'État à l'héroïne : drogues, renseignements et fascisme international . Henrik Kruger. Presse du sud. Boston. 1980. p.177
    [9] Ibid
    [10] Rébellion depuis les racines . John Ross. Presse de courage commun. Monroe, MOI. 1995. p.335
    [11] « Dateline Mexico : Une conspiration contre PEMEX ». Carlos Cota Meza. Examen du renseignement exécutif . 17-7-92. p.14
    [12] Ross. p.303
    [13] Ibid. p.336
    [14] Le jeu de la confiance : comment les banquiers centraux non élus gouvernent l'économie mondiale en mutation . Steven Salomon. Simon et Schuster. New York. 1995. p.194
    [15] « Les banquiers pour le million-plus ». Défilé . 16/03/97
    [16] «La Suisse interroge Salinas sur les Mystery Millions». AP. Missoulien . 12-8-95

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  60. [17] « L'enquête politique au Mexique s'élargit ». Craig Torres. Le journal Wall Street . 10/06/96. p.A12
    [18] « Un blanchisseur présumé déplace des millions de personnes malgré l'examen minutieux des États-Unis ». Craig Torres et Laurie Hays. Le journal Wall Street . 4-1-97. p.A15
    [19] « À qui pouvons-nous encore faire confiance ? Semaine d'actualités . 3-3-97. p.12
    [20] « Cartel Mexicano Creo Grupos Industriales ». AFP. La Prensa Grafica . San Salvador. 3-5-97. p.37A
    [21] «Deux généraux mexicains coupables d'accusations de drogue». Leader des nouvelles de Springfield . 11-2-02
    [22] « Les témoins lient l'ex-procureur, Payoff`s ». AP. San Antonio Express-Actualités . 13/03/97. p.A10
    [23] « EPR Considéra Que Desliegue Militar en las Calles es Preludio a un Estado de Sitio ». AFP. Prensa Libre. Ville de Guatemala. 3-6-97. p.28

    https://www.globalresearch.ca/behind-mexican-drug-cartels/5697107

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