samedi 1 août 2015

Capitalisme américain (prédateur) expliqué en 130 secondes

Soumis par Tyler Durden le 01/08/2015 21:00-0400
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Aujourd'hui, plus que jamais, avec la Grèce et l'Ukraine avant et au centre, comprendre comment les sociétés prennent le contrôle du pays, et comment le capitalisme conduit à l'expansion du complexe industriel militaire est cruciale: « nous avons créé une forme mutante du capitalisme prédateur qui a créé une extrêmement instable, insoutenable, injuste et très très dangereux monde. »
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10 commentaires:

  1. « Finalement, la volte-face d'Aléxis Tsípras s'explique très bien »

    Nicolas Gauthier
    Boulevard Voltaire
    sam., 01 août 2015 04:11 UTC

    On ne comprend plus grand-chose à ce qui se passe en Grèce. Grâce ou à cause d'Aléxis Tsípras, les Grecs ont massivement voté « non » aux diktats lors du référendum du 5 juillet, mais deux jours plus tard le même Tsípras acceptait de se soumettre à des mesures encore plus coercitives...

    Le 5 juillet, les Grecs ont dit non, massivement non, à la politique d'austérité imposée par l'Union européenne. C'est la première fois qu'un peuple était appelé à se prononcer sur la sauce à laquelle on prétendait le manger. Plus précisément, c'est la première fois qu'un peuple se voyait donner la possibilité de se prononcer politiquement sur une doctrine économique, en l'occurrence la dogmatique de l'orthodoxie néolibérale imposée par les prêteurs usuriers de l'oligarchie mondiale. Ce n'est pas rien. Et cela restera une date historique, quoi qu'il se soit passé par la suite. Exactement comme le « non » français du 29 mai 2005, qui fut lui aussi bafoué.

    La volte-face d'Aléxis Tsípras a surpris tout le monde, mais s'explique finalement très bien. Tsípras ne voulait pas quitter la zone euro, et les Grecs ne le voulaient pas non plus. Or, le maintien dans la zone euro impliquait l'austérité. Vouloir conserver l'euro sans avoir l'austérité, c'est vouloir un cercle carré. Face aux exigences toujours plus dures de l'Eurogroupe et de la Troïka, Aléxis Tsípras n'avait le choix qu'entre renverser la table ou passer dessous. N'ayant pas voulu la renverser, il a suffi de le menacer d'une expulsion de son pays de la zone euro pour l'amener à capituler.

    Et maintenant, que va-t-il se passer ?

    On repart pour un tour. Plutôt que de restructurer la dette grecque, ce qui aurait impliqué des pertes pour les banquiers ayant investi dans cette dette, on va continuer à accorder de nouveaux prêts à une entité en faillite, avec en contrepartie des exigences d'une ampleur jamais vue, qui ne pourront être satisfaites qu'au prix d'un nouvel appauvrissement, d'une nouvelle baisse des rentrées fiscales, d'une déflation qui alourdira le poids de la dette, sans aucune possibilité de redressement de la situation ni possibilité de procéder aux réformes de structure nécessaires.

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  2. Les perroquets qui répètent des propos de bistrot peuvent bien dauber sur la « fainéantise » des Grecs et la « gabegie des fonctionnaires ». Ils feraient mieux de consulter les chiffres de l'OCDE. En 2014, les Grecs ont travaillé en moyenne 2.042 heures, soit plus que les Français (1.489 heures) et les Allemands (1.371 heures). En 2011, les fonctionnaires représentaient en Grèce 8 % de l'emploi, contre 11 % en Allemagne. En réalité, Joseph Stiglitz et Paul Krugman, tous deux prix Nobel d'économie, l'ont dit avec netteté, et l'ancien ministre Yánis Varoufákis n'a lui aussi cessé de le rappeler, l'économie grecque s'est effondrée, non pas en dépit, mais à cause des mesures d'austérité qu'on lui a imposées. Les mêmes causes produisant les mêmes effets, on se retrouvera dans quelque temps exactement dans la même situation qu'auparavant. Le FMI prévoit déjà que le taux d'endettement atteindra d'ici deux ans 200 % du PIB. D'ici là, une crise politique est plus que probable. Comme disait le regretté Philippe Muray, « le réel est reporté à une date ultérieure ».

    Mais en plaçant la Grèce sous tutelle politique, administrative et financière, au moyen d'un véritable coup d'État de fait, l'Union européenne a également révélé son véritable visage. La « Déclaration » adoptée à Bruxelles le 12 juillet est à cet égard sans équivoque : « Le gouvernement [grec] doit consulter les institutions [européennes] et convenir avec elles de tout projet législatif dans les domaines concernés avant de le soumettre à la consultation publique ou au Parlement. » On savait déjà, grâce au « théorème de Juncker » (« Il ne peut pas y avoir de choix démocratiques contre les traités européens »), que l'idéologie dominante repose sur ce principe simple que les contraintes économiques et sociales édictées par l'oligarchie ne peuvent en aucun cas être modifiée par des résultats électoraux. On voit maintenant, les résultats du référendum ayant été transformés en leur exact contraire par une sorte de diktat de Versailles à l'envers (« La Grèce paiera ! »), que l'aboutissement logique de l'orthodoxie néolibérale est bien de faire disparaître toutes les souverainetés politiques au profit d'une coalition de puissances privées et de transformer les nations européennes en autant de colonies ou de protectorats soumis à la « politique de la canonnière » des firmes multinationales et des marchés financiers.

    Dans le « dénouement » de cette affaire, quel a été le rôle joué par Barack Obama ? Dans quelle mesure la Grèce peut-elle figurer sur l'agenda de la Maison-Blanche ?

    Obama est un pragmatique : l'accord qu'il vient de négocier avec l'Iran en est la preuve, tout comme sa décision de mettre fin au blocus contre Cuba. Tout comme les dirigeants de l'Union européenne, plus qu'une contagion financière de la crise grecque, c'est une contagion politique et idéologique qu'il redoute. Il sait enfin que la Grèce est un pays clé de l'OTAN, et il veut l'empêcher de se tourner vers Moscou. Le cas échéant, si la situation continue à se détériorer, les États-Unis n'hésiteront pas à susciter un coup d'État militaire. Le parakratos, l'« État souterrain » mis en place à l'époque de la guerre froide par les services américains, ce « para-État » qu'on avait vu se mobiliser au moment de la triste dictature des colonels, est loin d'avoir disparu.

    http://fr.sott.net/article/26116-Finalement-la-volte-face-d-Alexis-Tsiprass-explique-tres-bien

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    1. Ce qui peut ou va se passer en Grèce ('plan B' ?) est une copie parfaite de ce qui se passe actuellement au Vénézuéla !
      La dictature venue de l'extérieur tente de rallier le peuple à rejeter tout Dirigeant national. La mise sous tutelle est un pas important de cette dictature extérieure qui va s'étaler sur la désinformation afin de semer le chaos.

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  3. 29 après Tchernobyl, une radioactivité bien supérieure à la normale, dans les Alpes

    L'Express
    sam., 01 août 2015 03:55 UTC

    Selon une étude menée par la Commission de recherche et d'information indépendantes sur la radioactivité, le sol du parc national du Mercantour, dans les Alpes du Sud, présente des niveaux de radiation bien supérieurs à la normale.

    Triste héritage de Tchernobyl. Les sols du parc national du Mercantour, dans les Alpes du Sud, présentent encore une radioactivité importante, due à la catastrophe qui a eu lieu dans la centrale ukrainienne il y a 29 ans, affirme une nouvelle étude de la Commission de recherche et d'information indépendantes sur la radioactivité (Criirad).

    "Les retombées avaient été particulièrement intenses dans le sud-est de la France", rappelle dans un document publié vendredi l'organisme indépendant, qui souligne avoir "mis en évidence entre 1996 et 1998, de très fortes contaminations des sols dans le Mercantour".

    "Des valeurs plusieurs dizaines de fois supérieures au niveau naturel"

    Les nouvelles mesures réalisées début juillet, dans le secteur du col de la Bonette-Restefond à la limite entre les Alpes-Maritimes et les Alpes-de-Haute-Provence, montre que "le niveau de radiation est toujours plus de deux fois supérieur à la normale" à "un mètre du sol".

    ""Ces forts niveaux de rayonnement sont dus à la contamination résiduelle des sols par le césium 137 imputable principalement aux retombées de la catastrophe de Tchernobyl (en 1986)", assure la Criirad.

    "En outre, en fonction de la topographie, des conditions climatiques, de la nature du couvert végétal et de la typologie des sols, le métal radioactif qui s'est déposé sur de vastes étendues a pu être redistribué et induire de très fortes accumulations", souligne-t-elle. "Les niveaux de radiation au contact du sol dépassent toujours, sur les zones d'accumulation, des valeurs plusieurs dizaines de fois voire plus de 100 fois supérieures au niveau naturel", a-t-elle constaté.

    Dépolluer ou au moins baliser

    "Le fait de bivouaquer deux heures sur certaines de ces zones induit toujours en 2015 une exposition non négligeable", avec un "débit de dose" de 5 microsievert par heure (5 Sv/h) au contact du sol.

    La Criirad indique avoir ramené dans son laboratoire, en caisson plombé, des échantillons de sol. "Leur radioactivité dépasse 100.000 Bq/kg en césium 137. Ils doivent être considérés comme des déchets radioactifs et devront être confiés à l'Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra). Au début du siècle dernier, la radioactivité des sols était de 0 Bq/kg pour le césium 137", explique-t-elle.

    L'organisme indépendant rappelle avoir interpellé à plusieurs reprises les autorités sanitaires françaises "pour que les secteurs les plus radioactifs soient dépollués, ou tout au moins balisés, pour éviter des expositions inutiles". "Force est de constater que la situation n'a guère évolué sur le terrain", déplore-t-elle

    http://fr.sott.net/article/26115-29-apres-Tchernobyl-une-radioactivite-bien-superieure-a-la-normale-dans-les-Alpes

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    1. Les possibilité de dépollution (s'il y en a d'efficace à 100%), ne peuvent pas être celles employées à Fukushima en bordure Pacifique. Pour les Alpes, il est maintenant trop tard, les sols radioactifs le resteront aussi longtemps que vivent les radionucléides.

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  4. Mine de charbon évaluée à $ 630 millions en 2011 vient de se vendre pour un Dollar


    Soumis par Tyler Durden le 01/08/2015 18:43-0400


    Pourquoi les plaines Isaac est-elle pertinente ? Eh bien, en 2011, à l'apogée du boom minier australien, conglomérat japonais Sumitomo pensé qu'il a repéré une bonne affaire, et rapporte un SMH, il s'est approché de Tony Poli, le fondateur de ressources Aquila mineur de milieu de gamme avec une offre : il allait acheter sa participation de 50 % dans les plaines de Isaac, lors de l'Aquila de mine, produisant seulement pour $ 430 millions.

    Participants au marché pensaient jeu Aquila pourrait chercher à $ 300 millions au mieux mais Sumitomo était confiant, elle ferait un retour fort et a offert de presque 50 % au-dessus de la juste valeur, autant du Brésil légendaire minier Vale son actionnariat l'autre 50 % du capital.

    NET, la valeur totale de la mine de Isaac plaines en 2011 à peu près $ 630 millions.

    Il s'avère que Sumitomo a été très, très mal, et dans quelques années, l'écriture était sur le mur. En septembre 2014, Sumitomo et Vale a fermé la mine citant le repli du marché international de charbon. Sumitomo a dit qu'il faudrait aussi une dévaluation d'une valeur de ¥ 30 milliards ($ 11 millions) sur ses investissements de charbon australien.

    Et comme SMH langue dans cheekly ajoute, plaines d'Isaac a été ajouté à la longue liste des mines de charbon en vente – mais à un prix. Ce prix a été enfin révélé jeudi : la somme princière de $1.

    Pourquoi le complet effondrement dans le prix de la mine ? Simple : blâmer la Chine.

    Comme Bloomberg explique, "une baisse du prix de la houille, utilisé pour fabriquer de l'acier, à une décennie de faible oblige les mines de fermer à travers le monde et la faillite de certains producteurs. Alpha Natural Resources Inc., le plus grand producteur américain, envisage de produire pour la protection de la faillite en Virginie, dès lundi, a déclaré trois personnes ayant une connaissance directe de la matière. Il était évalué à $ 7,3 milliards en 2008. »

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  5. - voir graphique sur site -

    À la pointe de la marchandise chinoise bulle, qui a entraîné à son tour dans un âge d'or pour les sociétés minières de l'Australie, production de plaines Isaac hit une puissance de crête est 2,8 millions de tonnes par an, avec le charbon vendu aux sidérurgistes au Japon, en Corée du Sud et Taiwan.

    Toutefois, l'an dernier, avec l'éclatement de la bulle immobilière chinoise et le refroidissement considérable hors banques système, de l'ombre de la Chine la demande des matières premières des villes fantômes chinois est allé en pause, et donc a la production des mines comme Isaac plaines :

    Disparition du charbon est juste une partie d'un plus large effondrement des prix, qui est tombé aux plus bas en 13 ans ce mois-ci. Le prix de référence pour la houille exportés d'Australie a chuté de 24 % cette année à 85,40 $ la tonne vendredi, selon prix de Steel Business Briefing. Le prix repère trimestriel a atteint 330 $ la tonne en 2011, selon Bloomberg Intelligence.

    La fermeture des plaines Isaac et une deuxième mine en Australie fermée l'année dernière, Integra du charbon, a conduit à une diminution de 7,2 % dans la production totale de charbon de Vale dans la première moitié de 2015. Il a fallu une dévaluation $ 343 millions sur ses actifs de charbon australien, partie des déficiences totales de $ 1,15 milliards l'année dernière, Vale a dit le 26 février.

    Perte complète wipeout de Vale et de Sumitomo est toujours, de quelqu'un d'autre gain, dans ce cas, le nouveau propriétaire de la plaine d'Isaac, qui a acquis les actifs pour une pointe nominale et devait simplement fun en cours des dépenses et une créance.

    Les nouveaux propriétaires des plaines de Isaac, Stanmore charbon, espèrent reprendre la production dans la première moitié de 2016 et estimer que la mine pourrait fonctionner pendant encore trois ans.

    Le marché a pris connaissance, quand la nouvelle de l'achat dramatique frappé : Stanmore reste une boule avec une capitalisation boursière de seulement $ 30 millions. Mais avec ses actions vers le haut près de 70 pour cent jeudi, les investisseurs ont pris à l'affaire.

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  6. Pourtant, car SMH ajoute, cokéfaction atone et prix du charbon thermique continuera à peser lourdement cependant quelle que soit la vitesse à laquelle ils peuvent reprendre la production. Charbon métallurgique a diminué quelque 25 % depuis janvier au sujet de $US82 une tonne, de plus de $US300 en 2011, charbon thermique a perdu 8 % depuis janvier de stagner autour de $US59 une tonne, par rapport à tout $US150 il y a trois ans.

    Et puis, avec la base du coût de Stanmore quasiment nulle, il serait un idiot de ne pas prendre l'actif mis au rebut. Comme Kiril Sokoloff 13D a écrit récemment, "acheter quand ils give it away. Ce qui sont ils loin de donner maintenant?"et le dépouillement comment en 1977," nous nous promenions uptown à New York avec un ami qui travaille pour une importante compagnie de fiducie. Il nous a dit que l'administration d'une succession vient de vendre un triplex sur l'Avenue East End pour 1 $. La raison ? Le $ 3 000 par mois entretien a été « appauvrissant les biens de la succession ».

    La semaine dernière, Glencore vendu le nickel Cosmos mine UA $ 24,5 millions. En 2008, Xstrata Plc a versé AU$ 3,1 milliards pour les Mines de Jubilé de prendre le contrôle du Cosmos — opération phare de la société basée à Perth.

    Pour ce que ça vaut, Javier Blas twitté cette semaine qui, selon les données de recherche de Citi, 90 % de toutes les fusions et acquisitions qui mineurs a fait depuis 2007 a été radiée. Permet de s'interroger sur l'actuel M & un boom...

    Ce qui rend le chercheur me demande si les investisseurs manquent une vue d'ensemble :

    Il y a un boom des investissements infrastructure géant juste de commencer en Asie et le long de la route de la soie. Le boom de toute marchandise de la dernière décennie n'était pas basé sur les investissements dans les infrastructures en Chine ? Maintenant, il étendra à l'ensemble de l'Asie et au-delà.

    Il est intéressant de note combien peu a été écrit en Occident sur une ceinture, une route (voir thèmes connexes). La Chine développement Banque fait remarquer que le nombre de projets transfrontaliers en cours dans l'effort de la route de la soie s'élèvent déjà à $ 980 milliards. Selon les témoignages, besoins en infrastructure de l'Asie sont près de $ 8 billions d'ici à 2020.

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  7. Il reste à voir si la Chine peut rebondir et si achats telles que l'acquisition de 1 $ de Stanmore d'un site qui possède une ressource de 30 millions de tonnes métriques seront lucratives. Aux prix actuels, chaque tonne supplémentaire produit perd de l'argent. Mais peut-être que le prix vont rebondir.

    Pour l'instant, cependant, une chose est sûre - le plus grand gagnant n'est pas Stanmore malgré son prix soudain envolée de l'action, mais Tony Poli, la personne qui vend des plaines Issac au sommet absolu au conglomérat japonais naïf :

    [Poli] pouvait à peine croire sa chance lorsque Sumitomo est venu frapper. Puis en 2014 Aquila a été acquise par Baosteel et Aurizon pour œil arrosage $ 1,4 milliards. Il a donné aux deux entreprises l'accès au projet de minerai de fer de Pilbara Ouest Aquila, mais le timing à peine aurait pu être pire. Prix du minerai de fer ont chuté de plus de moitié au cours des 12 derniers mois, menant à la spéculation Qu'aurizon peut être contraint à prendre éventuellement une dévaluation sur la valeur de la transaction de l'Aquila sur son bilan.

    Tout ce qui est un rappel très opportun : il n'est jamais un bénéfice réel, jusqu'à ce qu'il a été réservé. Et comme indiqué plus haut, pour 90 % de toutes les transactions de fusions- acquisitions au cours de la dernière décennie, la seule chose réservée est 100 % de pertes.

    http://www.zerohedge.com/news/2015-08-01/commodity-collapse-comes-full-circle-coal-mine-valued-630-million-2011-just-sold-one

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    1. D'une part il y a un ralentissement (voire stagnation) des achats dans le monde et, d'autre part, une grande partie du fer est dehors (voitures, électroménager, etc) et peut donc être fondu et resservir pour d'autres produits.

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