Le 11 mars 2020, l'OMS a officiellement déclaré que les infections présumées par le coronavirus constituaient une pandémie mondiale. Cela a représenté pour beaucoup un profond bouleversement dans leur vie. Les mesures imposées par les politiques, telles que les confinements, l'obligation du masque, de la vaccination, du dépistage, etc. ont entraîné des chutes massives de la vie publique et de l'économie, des violations généralisées de la loi, l'exclusion de ceux qui critiquent les mesures, des dommages psychologiques chez les enfants et les adolescents, ainsi qu'une forte augmentation des atteintes à la santé, notamment en raison des injections anti-Covid administrées en masse dans le monde entier.
Dans un message vidéo diffusé lors de la manifestation du 3 août 2024 à Berlin, le professeur Sucharit Bhakdi demande qu'on se penche sur la prétendue pandémie de Covid. Bhakdi estime que sans enquête et remise en ordre, il n'y a pas de changement et en fin de compte pas de paix. Il n'y a aucune justification pour toutes les mesures Covid. Les personnes vaccinées feraient ainsi partie d'une expérience humaine monstrueuse menée par l'élite au pouvoir dans le monde entier. L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a joué un rôle décisif - si ce n'est le plus décisif - dans cette affaire. Sans l'OMS, pas de pandémie. Et pas de remise en ordre sans une enquête précise sur l'OMS. Tel est l'objet de cette émission.
Le célèbre médecin américain et expert en examen de brevets, le Dr David Martin, a fait la déclaration importante suivante dans le cadre de l'enquête sur la pandémie de Covid : "Nous débattons des feuilles de l'arbre que nous appelons pandémie, mais nous n'allons pas jusqu'à la racine. Il s'agit [l'OMS] d'une organisation criminelle organisée, créée pour obtenir d'abord une immunité absolue, puis pour mettre en œuvre ses plans afin de s'assurer qu'elle contrôle qui vit, qui meurt et qui a la moindre chance de vivre."
Mais en quoi l'Organisation mondiale de la santé (OMS) est-elle criminelle ? En partant de l'affirmation du Dr Martin, cette émission analyse si et dans quelle mesure la criminalité peut être prouvée à l'OMS. Jetons d'abord un coup d'œil à la base de travail de l'OMS : la Constitution. 1. La piste criminelle dans la Constitution de l'OMS L'article V, section 13 de la Constitution de l'OMS stipule ce qui suit :"Les représentants des membres [...] bénéficient [...] :] (a) de l'immunité d’arrestation ou de détention et de saisie de leurs bagages personnels et, en ce qui concerne les actes accomplis par eux en leur qualité officielle (y compris leurs paroles et écrits), immunité de toute juridiction."
Écoutez le Dr David Martin à ce sujet :"Lors de sa formation en 1947 [(...)], elle a été financée et fondée par des personnes qui, selon leurs propres termes, voulaient délibérément commettre un crime. La section 13 de l'article V se termine par la déclaration suivante : "Immunité en cas d'arrestation ou de détention personnelle", bla, bla, bla... "Immunité en cas de procédure judiciaire de quelque nature que ce soit." Or, s'ils n'avaient pas l'intention de commettre un crime, pourquoi se donneraient-ils une immunité permanente et absolue contre toute poursuite et, pire encore, même contre toute enquête de poursuite de quelque nature que ce soit ? Les gens sont assis là et font comme si c'était l'immunité diplomatique. Vous réalisez que cela ne correspond même pas aux normes de l'immunité diplomatique ?"
Qui sont donc ces personnes qui ont financé et fondé l'OMS et qui, selon le Dr Martin, voulaient délibérément commettre un crime ?
2. Ceux qui sont à l'origine de la création de l'OMS
Fondée le 7 avril 1948, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) est la plus grande agence spécialisée des Nations unies.
John D. Rockefeller III (1906 - 1978) a été à l'origine de la création des Nations Unies et de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) en tant que président de la fondation familiale "Rockefeller Foundation". Le passage suivant, tiré de l'article "Philanthropie et santé mondiale : La Fondation Rockefeller et l'Organisation de la santé de la Société des Nations" [prédécesseur de l'OMS] met en évidence la position exceptionnelle de la Fondation Rockefeller. Elle l'était déjà avant la création de l'OMS. Citation : "Il y avait un risque que les fonctionnaires gouvernementaux qui préféraient une approche minimaliste ne soient pas en mesure de partager la vision large des experts internationaux de la santé. [(...)] Cette complexité signifiait que la Fondation Rockefeller assumait une multitude de rôles, depuis celui de sage-femme à la naissance de l'organisation de santé jusqu'à la résurrection de ses restes brisés lorsqu'une nouvelle organisation internationale de santé a été planifiée après la Seconde Guerre mondiale".
Les bonnes relations entre l'OMS et la Fondation Rockefeller se poursuivent encore aujourd'hui. Le directeur général de l'OMS de l'époque, M. G. Candau, a déclaré à l'occasion du 50e anniversaire de la Fondation Rockefeller en 1963 :"Je n'ai aucun doute que l'étroite collaboration entre la Fondation Rockefeller et l'OMS continuera à jouer un rôle essentiel dans les années à venir pour atteindre l'objectif que les deux organisations partagent..."
Rien que depuis l'an 2000, la fondation Rockefeller fait régulièrement des dons à l'OMS pour un montant de plus de 25,6 millions de dollars. Voici ce qu'on peut lire à ce sujet sur le site de la Fondation Rockefeller :"La collaboration entre la Fondation Rockefeller et l'Organisation mondiale de la santé remonte aux débuts de l'Organisation mondiale de la santé. En janvier 2022, la Fondation Rockefeller est devenue un acteur non gouvernemental dans la relation officielle avec l'Organisation mondiale de la santé." Quelles étaient donc les véritables motivations de John D. Rockefeller III pour fonder l'OMS ?
3. Les objectifs criminels de ceux qui tirent les ficelles de l'OMS
Le précurseur décisif de l'OMS, John D. Rockefeller III, était un eugéniste convaincu [les eugénistes s’efforcent de contenir ce qu'ils appellent les « populations inférieures », par exemple par la stérilisation forcée]. Qu'est-ce que cela signifie ? Jetons pour cela un bref coup d'œil sur les partisans de l'eugénisme et leur idéologie. Durant la première moitié du XXe siècle, de nombreuses personnes influentes ont publiquement défendu des opinions eugénistes et financé des recherches et des programmes eugéniques. Elle comprenait des personnes connues comme Andrew Carnegie, John D. Rockefeller Sr. et ses descendants, la famille William H. Gates, George Bernard Shaw, Winston Churchill, etc. Selon les conceptions eugénistes, les riches et les puissants auraient des "gènes supérieurs" qui les légitimeraient pour dominer et diriger la société. Ainsi, ils devraient se reproduire autant que possible. En revanche, les pauvres et les "inférieurs" devraient être dissuadés d'avoir des enfants. Une citation du président américain Theodore Roosevelt illustre ce point de vue :"Un jour, nous nous rendrons compte que le premier devoir, le devoir inévitable des bons citoyens est de léguer leur sang à la postérité - et qu'il ne peut être question pour nous de permettre la reproduction de citoyens du mauvais type... J'aimerais qu'on puisse empêcher les personnes inaptes de se reproduire..."C'est sur la base de ces opinions eugénistes que John D. Rockefeller III a fondé en 1952 le Population Council, ou Conseil de la population. Celui-ci s'engage officiellement dans le monde entier pour le contrôle des naissances [explication du mot déplacée vers le bas], le planning familial ainsi que le contrôle démographique [mesures de politique démographique visant à réduire l'augmentation de la population]. Mais qu'est-ce qui se cache derrière ce nom qui semble tout à fait raisonnable ?La "féministe eugéniste" Margaret Sanger était une proche de la famille Rockefeller et elle le dit clairement. C'est ainsi qu'elle a plaidé ouvertement devant le Congrès américain : "Plus d'enfants de ceux qui conviennent, moins de ceux qui ne conviennent pas". En français : plus d'enfants de parents "aptes", moins d'enfants de parents "inaptes".
Comment peut-on en imaginer la pratique ? Suite à des programmes eugéniques, plus de 64 000 personnes ont été stérilisées de force aux États-Unis entre 1907 et 1963, principalement dans des hôpitaux psychiatriques. Dans l'après-guerre, le mouvement eugéniste a plongé dans la clandestinité en raison de sa mauvaise image. L'idéologie continue cependant de vivre chez les personnes influentes jusqu'à aujourd'hui. Ils ne font que masquer leurs véritables opinions eugénistes en utilisant les termes de contrôle de la population, de contrôle des naissances [mesures gouvernementales visant à contrôler le nombre de naissances], de planification familiale et de procréation ou de médecine reproductive.
Le plus grand donateur de l'OMS, Bill Gates, a déclaré ouvertement : "Un problème que j'ai trouvé vraiment urgent était celui lié à la population... à la médecine reproductive." Les points de vue et les efforts des familles Rockefeller et Gates se ressemblent. Ils correspondent étonnamment aux légendaires "Georgia Guidestones". Les "10 commandements" ont été gravés dans la pierre sur de grands blocs de granit. Ceux-ci révèlent les intentions des cercles maçonniques à l'égard de la population terrestre. L'un des dix commandements est le suivant "Diriger la reproduction avec sagesse - pour améliorer l'aptitude et la diversité" et le premier commandement : "Maintenir la population mondiale en dessous de 500 millions d'habitants."
Au vu de ces connaissances, le "Programme de reproduction humaine" ainsi que les programmes de vaccination de l'OMS et de la fondation Gates doivent être considérés sous un tout autre jour. David Martin voit même dans l'OMS la continuation des anciens programmes eugéniques :"Ce n'est pas une question de santé publique. C'est le développement du même programme génocidaire qui a commencé avec le financement des bureaux d'eugénisme dans les "Cold Spring Labs" [principal institut de recherche aux États-Unis] par la "Fondation Carnegie" en 1913, selon la philanthropie d'Andrew Carnegie. "A cette époque, la famille Rockefeller a joué un rôle majeur dans le financement de ces bureaux eugéniques et des programmes eugéniques en Amérique et à l'étranger. Au vu des convictions eugénistes du président de la Fondation Rockefeller à l'époque de la création de l'OMS, on peut se poser la question suivante :
Est-ce une coïncidence si l'OMS met en œuvre des programmes de contrôle démographique ? [politiques de population visant à réduire la croissance démographique]
4. Programmes de l'OMS pour le contrôle de la population
A partir des années 1960, l'OMS s'est engagée de plus en plus dans le domaine du contrôle de la population par le biais du "Programme de reproduction humaine" (PRH). Betsy Hartmann a analysé les programmes de contrôle de la population des gouvernements, des fondations et des organisations internationales.
Dans son livre "Reproductive Rights and Wrongs", publié en 1995, elle résume cela comme suit, citation : "Ces programmes, qui ciblaient principalement les femmes pauvres, visaient à réduire le taux de natalité le plus rapidement et au moindre coût, la contrainte étant souvent une évidence. Dans la lutte contre la croissance démographique, le contrôle des naissances a été utilisé comme une arme et non comme un moyen de décision en matière de reproduction [liberté de choisir si une femme veut avoir des enfants et combien]. [(...)] De l'autre côté, on trouve un lobby du contrôle de la population renaissant, bien financé, et qui masque souvent ses motivations à travers un langage de la promotion de la femme."
5. Programmes de vaccination de l'OMS pour freiner la croissance démographique
Selon le principal sponsor de l'OMS, Bill Gates, les programmes de vaccination dans le domaine de la médecine reproductive ont un grand potentiel pour freiner la croissance démographique :"Le monde compte aujourd'hui 6,8 milliards d'habitants, et ce chiffre va augmenter pour atteindre environ 9 milliards. Si nous faisions vraiment du bon travail avec les nouveaux vaccins, les soins de santé et les services de santé reproductive, nous pourrions peut-être réduire ce chiffre de 10 ou 15 %."Et l'OMS est directement impliquée dans ces programmes de vaccination, avec le "Conseil de la population" de la famille Rockefeller et la Fondation Gates.
Exemple 1 : Infertilité par vaccination antitétanique au Kenya
Le "Conseil de la population" et d'autres organisations de recherche se sont associés à l'OMS en 1972 pour mener des recherches conjointes sur des vaccins destinés à réguler la fertilité. Dans le documentaire "Infertilité : un agenda diabolique", le Dr Andrew Wakefield et Robert F. Kennedy Jr. démontrent que l'OMS a participé de 1972 à 1992 au financement de la recherche d'une substance nocive pour la grossesse. Au Kenya cette substance a ensuite été administrée à des femmes en âge de procréer dans le cadre d'une vaccination contre le tétanos. L'infertilité est désormais l'un des problèmes majeurs de la gynécologie en Afrique, selon le Dr Wahome Ngare de Nairobi, au Kenya : "Je suis gynécologue. Ces dernières années, nous avons assisté à une augmentation spectaculaire du nombre de femmes qui ont fait une fausse couche, qui se présentent avec une menace de fausse couche ou avec des saignements en début de grossesse. Nous voyons aussi beaucoup de jeunes couples souffrant d'infertilité. "Dans d'autres pays également, l'OMS a mené des "campagnes anti-fertilité" [anti-fécondité] sous le couvert de programmes de vaccination contre le tétanos. Le travail au Kenya était placé sous le patronage de la Fondation Gates, proche de l'OMS.
En juillet 2023, l'OMS et l'alliance pour la vaccination "GAVI", contrôlée par Bill Gates, ont annoncé leur intention d'administrer 80 à 100 millions de vaccins par an aux enfants africains d'ici 2030. Des études ont toutefois montré que le nouveau vaccin "Mosquirix" - malgré quatre injections - ne conférait qu'une immunité de quelques mois. En outre, ils ont mis en évidence que le groupe de personnes vaccinées avait dix fois plus de risques de souffrir de méningite et de paludisme cérébral. Les jeunes filles vaccinées présentaient un risque de mortalité deux fois plus élevé que le groupe témoin non vacciné. Les vaccins sont rentables, du moins pour l'industrie des vaccins. Bill Gates a doublé sa fortune en 10 ans, passant de 50 milliards de dollars à plus de 100 milliards de dollars, grâce à sa participation au marché des vaccins.
Selon les déclarations officielles de l'OMS, les injections anti Covid étaient également considérées comme le seul moyen efficace contre l'infection par le coronavirus pendant la pandémie. Et où cela a-t-il mené ? En 2022, un an après l'administration des premières injections anti Covid, nous avons constaté une augmentation de la mortalité, surtout dans les classes d'âge les plus jeunes.
6. Le passé criminel du chef de l'OMS
Tedros Adhanom Ghebreyesus est le secrétaire général de l'Organisation mondiale de la santé depuis le 1er juillet 2017. Ce que peu de gens savent : Tedros a un passé criminel. Car il faisait partie d'une organisation terroriste qui a perpétré un renversement armé du gouvernement éthiopien en 1991. Au sein de cette organisation violente, qui a dirigé le gouvernement éthiopien après 1991, il a été promu ministre de la Santé, puis ministre des Affaires étrangères. Voir à ce sujet "Le dossier Tedros". Peu après l'entrée en fonction de Tedros en tant que secrétaire général de l'OMS, des représentants de la Fondation Rockefeller l'ont rencontré. La légende de la photo affichée ici est la suivante :"Notre équipe de santé est impatiente de travailler avec le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus et l'Organisation mondiale de la santé (OMS) sur un programme de santé mondial ambitieux. "Il devrait désormais être clair pour tout le monde que les personnes qui tirent les ficelles derrière l'OMS, comme la dynastie Rockefeller ou le soi-disant "philanthrope" Bill Gates, n'ont pas à l'esprit la santé des peuples. Au lieu de cela, ils dirigent de manière occulte et dure le développement démographique mondial. La question se pose toutefois de savoir où doit aboutir exactement ce contrôle de la population.
7. L'OMS, un instrument pour établir un nouveau gouvernement mondial
Comme nous l'avons mentionné au début, l'OMS est la plus grande agence spécialisée des Nations unies, ou ONU, et met en œuvre ses objectifs dans le secteur de la santé. Ce que peu de gens savent : La création de l'ONU a également été largement influencée et cofinancée par la fondation Rockefeller. En 1947, John D. Rockefeller Jr. a fait don à l'ONU d'un chèque de 8,5 millions de dollars pour l'achat d'un terrain à New York, sur lequel son siège a ensuite été construit. Mais quels sont les objectifs des dirigeants de la haute finance derrière l'ONU et son OMS ? Celles-ci sont présentées de manière voilée dans l'"Agenda 2030". Voir à ce sujet quelques extraits du documentaire : "Agenda 2030 - 17 objectifs de destruction durable" de l'association suisse WIR.
"L'Agenda 2030, proclamé lors du sommet des Nations unies à New York en 2015, est un contrat mondial pour l'avenir auquel les gouvernements nationaux doivent se soumettre. Cet agenda comprend 17 objectifs dits de durabilité, qui n'ont l'air bons qu'à première vue. Si on s'intéresse de plus près à ces objectifs, on en revient toujours aux mêmes acteurs qui, en réalité, ne veulent rien de moins que le contrôle total des ressources de notre planète - un seul gouvernement mondial centralisé et donc l'asservissement de tous les peuples." Le point 3 des 17 objectifs de développement durable traite spécifiquement des objectifs mondiaux en matière de santé, qui doivent être mis en œuvre de manière contraignante par l'OMS.A première vue, les objectifs mentionnés ci-dessus semblent bons, mais ils représentent une menace mondiale sérieuse. C'est justement en ayant à l'esprit le contexte eugéniste et les pratiques méprisantes envers l'humanité des dirigeants de l'OMS jusqu'à présent que les "plans de santé" mondiaux doivent être sérieusement remis en question.
"Point 3 : Assurer une vie saine à tous les individus, quel que soit leur âge, et promouvoir leur bien-être. L'accent est mis sur la numérisation et la centralisation de toutes les normes médicales par l'OMS. L'Organisation mondiale de la santé peut ordonner des mesures médicales au monde entier sous la menace d'amendes et de sanctions. Pour ce faire, la responsabilité des mesures médicales de toutes sortes est retirée aux gouvernements nationaux. L'OMS décidera à l'échelle mondiale, par le biais de ce qu'on appelle le traité sur les pandémies, quand et où ordonner quelles mesures coercitives telles que masques, vaccinations, tests, confinements et quarantaines. De plus, toutes les données de santé doivent être stockées dans une base de données internationale et reliées à l'identité numérique de tous les citoyens. L'industrie de la santé doit être uniformisée à l'échelle mondiale. Toutes les opinions et les résultats de recherche en médecine qui divergent de ceux de l'OMS sont systématiquement réprimés, poursuivis et criminalisés. Les méthodes de médecine naturelle doivent être bannies du secteur de la santé et remplacées par des offres de formation, des produits et des services de l'industrie pharmaceutique et chimique. La santé des personnes sera alors entièrement entre les mains de l'OMS, car elle pourra également intervenir de manière régulatrice en cas de comportement non conforme des personnes, grâce aux données de santé librement accessibles. Cela peut conduire à interdire à la personne qui se fait remarquer l'accès à la nourriture et aux médicaments dont elle a besoin."
Voilà comment on peut résumer sans fard l'agenda de l'OMS. Dès le début, les hauts financiers influencés par l'eugénisme et leurs vassaux laissent leurs traces criminelles - et ce jusqu'à aujourd'hui. Sous le couvert de l'OMS, ses dirigeants n'hésitent pas à commettre des crimes afin d'imposer leur domination mondiale et de poursuivre leur programme de contrôle de la population. Les crimes réussis liés à la vaccination - en particulier la campagne sans précédent pour l'administration mondiale des vaccins très dangereux dits à ARNm - nécessitent une enquête et une remise en ordre urgentes. Notamment parce que de tels crimes ne doivent plus jamais se reproduire ! Aidez-nous donc à mettre en lumière ces agissements criminels. Nous vous prions de bien vouloir diffuser largement cette émission !
de beka Sources / Liens :La lutte de la France contre le narco trafic fait bien rire les Américains quand ils voient Alexis Kohler encore en poste à l’Elysée, la boite de ses cousins est totalement infiltrée Publié le 9 novembre 2024 par pgibertie
Le bras droit d’Emmanuel Macron a été mis en examen pour « prise illégale d’intérêts » et placé sous le statut de témoin assisté pour « trafic d’influence », le 23 septembre 2022, pour avoir caché ses liens familiaux avec le groupe de transport maritime MSC et être intervenu à de multiples reprises en sa faveur. L’Élysée a mis tout en œuvre depuis cinq ans pour enterrer le dossier.Fin 2019, Alexis Kohler réfléchit activement à sa reconversion. Et il n’y a qu’un poste où il se voit aller après l’Élysée : directeur général de la branche cargo de MSC. Mais pourquoi le secrétaire général du palais tient-il tant à travailler dans le groupe de ses cousins, la famille Aponte ?
Quelques mois plus tôt, plus de 100 agents avaient embarqué sur l’un des navires de MSC, le Gayane, alors qu’il entrait dans le port américain de Philadelphie pour ce qui était censé être une escale rapide sur sa route vers Rotterdam. Sous le pont, cachés dans des conteneurs remplis de vin et de noix, les agents ont découvert près de 20 tonnes de cocaïne, d’une valeur d’un milliard de dollars. L’enquête qui a suivi a montré que plus d’un tiers de l’équipage – tous des employés de MSC – avait participé au transfert de vastes quantités de cocaïne depuis des vedettes rapides pendant la nuit, alors que le navire naviguait en haute mer au large de l’Amérique du Sud. Il s’agit de la plus grande saisie de drogue par voie maritime de l’histoire des États-Unis. » La plus grande saisie maritime de drogue de l’histoire des Etats-Unis «
Le crime étant si considérable et culotté, les autorités ont pris la décision exceptionnelle de saisir non seulement la cocaïne, mais aussi le Gayane lui-même, un navire de 1 000 pieds (environ 300 mètres) de long d’une valeur de plus de 100 millions de dollars. Lors de sa rencontre avec le Service des douanes et de la protection des frontières des États-Unis (CBP) dans le bâtiment Ronald Reagan, Bozzo s’est excusé pour cette épreuve et a déclaré que les actions de l’équipage l’avaient surpris, selon une personne au courant des événements. Il a fait l’éloge de la croissance de MSC qui, après des débuts modestes, est devenue la plus grande compagnie maritime du monde et a fait comprendre aux fonctionnaires à quel point la famille Aponte prenait au sérieux la responsabilité de gérer une flotte qui représente près de 20 % de l’ensemble du commerce maritime de conteneurs.
Pour les autorités américaines, l’ignorance de la compagnie ne tenait pas la route. Une enquête de Bloomberg Businessweek a révélé que des années avant l’inspection du Gayane, les autorités chargées de l’application de la loi de plusieurs pays surveillaient les navires et les équipages de MSC. Les autorités américaines avaient non seulement suivi le Gayane bien avant qu’il ne pénètre dans les eaux étasuniennes, mais elles avaient également abordé et fouillé plusieurs autres navires de MSC dans le cadre d’une enquête plus large sur un réseau international de trafic de cocaïne qui s’était infiltré dans la société de transport maritime. Grâce aux indices recueillis lors de ces inspections, ainsi qu’aux renseignements collectés en Europe de l’Est, ils ont identifié un puissant cartel des Balkans comme étant à l’origine de ces expéditions massives. MSC, » empire de la contrebande de cocaïne «
Les pouvoirs américains et européens ont également conclu que le cartel, qui contrôle plus de la moitié de la cocaïne acheminée vers l’Europe, avait infiltré les équipages de MSC pendant une décennie, exploitant sa main-d’œuvre et ses navires pour contribuer à la construction d’un empire de la contrebande de cocaïne. « Nous ne considérions certainement pas MSC comme une victime dans cette affaire« , déclare William McSwain, ancien procureur du district Est de Pennsylvanie, qui a présidé l’affaire Gayane jusqu’à ce qu’il quitte ses fonctions en janvier 2021.
MSC et le gouvernement américain sont désormais engagés dans une bataille juridique qui s’est déroulée en grande partie à l’abri des regards. Les fonctionnaires des douanes ont fait pression sur la société pour qu’elle paie plus de 700 millions de dollars de pénalités, selon plusieurs sources policières qui ont parlé sous le couvert de l’anonymat des procédures administratives non publiques. Les services du bureau du procureur fédéral du district oriental de Pennsylvanie sont en train de monter un dossier civil dans lequel ils font valoir que MSC, en tant qu’exploitant du Gayane, est responsable du trafic de drogue et doit confisquer le navire ou une partie substantielle de sa valeur. Si MSC admet que des quantités record de cocaïne ont été trouvées à bord de son navire, elle conteste certains aspects essentiels de la version des faits donnée par le gouvernement et affirme qu’elle a été la victime des trafiquants, et non un co-conspirateur.
Le professeur Bhakdi à la Demo Berlin : « Surmonter l'expérience humaine de Covid pour garantir la paix ». https://www.kla.tv/30100
Citation du Dr David Martin : « En finir avec la tyrannie de l'OMS - Discours du Dr David Martin » https://www.kla.tv/27568#t=566
1. La piste criminelle dans la Constitution de l'OMS Constitution de l'OMS Documents de base 49e édition 2020 : https://apps.who.int/gb/bd/pdf_files/BD_49th-en.pdf ; p. 34
Citation du Dr David Martin : « En finir avec la tyrannie de l'OMS - Discours du Dr David Martin ». https://www.kla.tv/27568#t=430
2. Les personnes à l'origine de la création de l'OMS L'OMS - la plus grande agence spécialisée de l'ONU https://de.wikipedia.org/wiki/Weltgesundheitsorganisation
Passage de l'article « Philanthropie et santé mondiale... » Weindling, Paul : « Philanthropie et santé mondiale : la Fondation Rockefeller et l'Organisation de la santé de la Société des Nations » In : Minerva 35 : 269-281, Springer Nature 1997. aussi https://www.jstor.org/stable/41821072
Citation de M. G. Candau Information sur la photo avec le bâtiment :https://photos.hq.who.int/search/results?sort_by=date_created_s&s%5Bkeywords%5D=Rockefeller&s%5Bclass%5D=
Dons de la Fondation Rockefeller à l'OMS depuis 2000 https://www.who.int/about/funding/contributors/the-rockefeller-foundation
John D. Rockefeller III. https://de.wikipedia.org/wiki/John_D._Rockefeller_III
Citations Site web de la Fondation Rockefeller https://www.rockefellerfoundation.org/the-rockefeller-foundation-partners-in-global-health/
3. les objectifs criminels des maîtres d'œuvre de l'OMS
Contrôle de la population et eugénisme https://www.kla.tv/17395#t=929 ou https://www.corbettreport.com/gates/
Programmes eugéniques aux Etats-Unis Wiseman, Ellen Marie : Les murs sombres de Willard State, Munich / Berlin 2015, p. 448 et suivantes. https://de.wikipedia.org/wiki/Eugenik#USA
Citations de Theodore Roosevelt et Margaret Sanger Kuby, Gabrielle : La révolution sexuelle mondiale, p.40 et suivantes.
Création du Population Council https://de.wikibrief.org/wiki/Population_Council
La « féministe eugéniste » Margaret Sanger https://de.wikipedia.org/wiki/Margaret_Sanger
La famille Rockefeller et les bureaux de l'eugénisme Citation de Bill Gates sur la procréation médicalement assistée https://www.kla.tv/17395 ou « Le rapport Corbett - Qui est Bill Gates ? » https://www.corbettreport.com/gates/
Bill Gates - le plus grand donateur de l'OMS https://www.zeit.de/wissen/gesundheit/2017-03/who-unabhaengigkeit-bill-gates-film
Bill Gates et l'eugénisme https://de.technocracy.news/Bill-Gates-von-der-Bioethik-zur-Eugenik/
Georgia Guidestones https://www.kla.tv/23079 ou de Norman Investigativ: https://www.youtube.com/watch?v=XY8Ff7ge7-Y
Citation du Dr David Martin : « En finir avec la tyrannie de l'OMS - Discours du Dr David Martin ». https://www.kla.tv/27568#t=545 ou https://www.bitchute.com/video/y9S1ccwOGZ9T/
4. Programmes de l'OMS pour le contrôle de la population
Programmes de l'OMS pour le contrôle de la population https://de.wikipedia.org/wiki/Weltgesundheitsorganisation
Description Hartmann, Betsy : Les droits et les torts en matière de reproduction, 1995 https://betsyhartmann.com/books/reproductive-rights-wrongs/
5. Programmes de vaccination de l'OMS pour endiguer la croissance démographique
Citation de Bill Gates sur les vaccins „Bill Gates und das Netz der Bevölkerungskontrolle (Teil 3/4)“ https://www.kla.tv/17389#t=451
Participation de l'OMS au Population Council des Rockefeller « Bill Gates et le réseau de contrôle de la population (partie 3/4) » https://www.kla.tv/17389
Exemple 1 : Infertilité par vaccination contre le tétanos au Kenya
« Infertilité : un agenda diabolique – un film de Andrew Wakefield et Robert F. Kennedy“ https://www.kla.tv/26028
L'HCG dans le vaccin antitétanique de l'OMS https://www.scirp.org/journal/paperinformation.aspx?paperid=81838
Contrôle de la population par les vaccins https://www.epochtimes.de/gesundheit/bevoelkerungswachstum-kontrollieren-kenianische-aerzte-entdecken-sterilisationsmittel-in-impfstoffen-a1337657.html
Exemple 2 : nouveau vaccin contre le paludisme https://www.dossier.today/p/who-and-gates-inc-announce-plans
La fortune de Bill Gates « Rencontre avec Bill Gates Partie (4/4) » https://www.kla.tv/17395
Mortalité plus élevée des classes d'âge plus jeunes « Marcel Barz : La mortalité dans les données brutes » https://www.kla.tv/26779
6. Le passé criminel de Tedros Adhanom Ghebreyesus
Tedros et la Fondation Rockefeller Photo de leur rencontre : https://www.facebook.com/rockefellerfoundation/photos/our-health-team-looks-forward-to-working-with-dr-tedros-adhanom-ghebreyesus-the-/1604358296264415/?paipv=0&eav=AfbJVZMnghtAfW8VDzPE7lMQuPEzLEx6M11jyyNQr8umUHXYd-0nBO3jDezr0QLGgqw&_rdr
« Le dossier Tedros - Le chef de l'OMS devient-il l'homme le plus puissant du monde ? » https://www.kla.tv/26713
7. L’OMS instrument pour établir un nouveau gouvernement mondial
Le lien entre la Fondation Rockefeller et l'ONU https://de.wikipedia.org/wiki/Group_of_Thirty
John D. Rockefeller Jr.‘s, don à l'ONU https://de.wikipedia.org/wiki/John_D._Rockefeller,_Jr.
Extraits des notices et du Vidal :« Les données disponibles sur le vaccin Pfizer administré aux femmes enceintes sont insuffisantes » « des cas fatals… »
le 10 novembre 2024 par pgibertie
De quoi donner à réfléchir aux responsables de la campagne actuelle de vaccination, s’ils avaient un peu d’éthique…
La lecture du Vidal, bible des médecins fait frémir et encore l’accès aux effets indésirables n’est pas possible pour les non médecins
2024 : « Les données disponibles sur le vaccin Comirnaty administré aux femmes enceintes sont insuffisantes pour informer sur les risques associés au vaccin pendant la grossesse »
2021 : « L’Agence de sécurité sanitaire du Royaume-Uni affirme que son analyse des données anglaises montre que les vaccins contre la Covid sont sûrs pendant la grossesse. » Si vous avez fait une fausse couche après un vaccin contre le Covid, vous avez le droit de savoir quand ils l’ont su.
Le suivi démographique du comté de King (Seattle ) fait clairement apparaitre la surmortalité post vaccinale ARNm
le 10 novembre 2024 par pgibertie
Le comté de King comte 2,3 millions d’habitants , il est devenu la référence pour les chercheurs de l’observation de la surmortalité suivant la crise sanitaire
Le suivi démographique du comté de King (Seattle ) fait clairement apparaitre la surmortalité post vaccinale ARNm
Vidéo : Le vaccin Pfizer et « Madame 4,5 milliards de doses ». La présidente de l’EUC, Ursula von der Leyen, impliquée dans la censure, la surveillance, la coercition et la corruption
Mislav Kolakusic, avocat croate et député européen indépendant Par Mislav Kolakusic Recherche mondiale, 10 novembre 2024
Regardez Mislav Kolakusic , avocat croate et député européen indépendant, parler de Mme Von der Leyen, présidente de l'EUC, connue sous le nom de Mme 4,5 milliards de doses .
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Dans les développements récents, « les chasseurs de corruption de l’UE enquêtent désormais officiellement sur von der Leyen » Pour la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, l'annonce de l'ouverture d'une enquête du Parquet européen sur elle pour ingérence dans la fonction publique, destruction de SMS, corruption et conflits d'intérêts tombe à un moment inopportun. En effet, Ursula von der Leyen se trouve en pleine campagne électorale européenne.
Des milliards de dégâts causés par des accords illégaux ?
Plusieurs médias rapportent que les chasseurs de corruption de l'UE ont repris une affaire qui a débuté en Belgique à l'instigation de plusieurs États membres de l'UE et d'un groupe de députés européens. L'affaire concerne des allégations datant de l'époque de la pandémie et un achat de vaccins plus que douteux, dans lequel Mme von der Leyen serait intervenue sans avoir reçu de mandat pour le faire. Il s'agit de plusieurs milliards d'euros de dommages qui auraient pu être causés à l'Union européenne.
Quand la CDU demandera-t-elle à Mme von der Leyen de renoncer à sa campagne électorale ? Il serait judicieux que la CDU allemande suive l'exemple des autres partis du Bundestag allemand. En cas de délits commis par ses membres, elle exigerait la démission immédiate des partis concernés ou au moins qu'ils renoncent à leurs campagnes électorales. Quoi qu'il en soit, nous considérons que les actes de Mme von der Leyen sont hautement criminels et irresponsables. (avril 2024)
La vaccination contre la COVID-19 augmente-t-elle le risque de dépression, d’anxiété et de troubles du sommeil ? Étude intitulée « Événements indésirables psychiatriques »
Résultats choquants d’une étude portant sur 50 % de la population de Séoul (n = 2 027 353).
Par Nicolas Hulscher Recherche mondiale, 10 novembre 2024
Une étude de Kim et al. publiée dans la revue Molecular Psychiatry, intitulée « Psychiatric adverse events following COVID-19 vaccination: a population-based cohort study in Seoul, South Korea » , a révélé que la vaccination contre la COVID-19 est associée à un risque accru de 68,3 % de dépression, de 43,9 % de troubles anxieux et de 93,4 % de troubles du sommeil :
La dépression (HR [IC à 95 %] = 1,683 [1,520–1,863]), l’anxiété, les troubles dissociatifs, liés au stress et somatoformes (HR [IC à 95 %] = 1,439 [1,322–1,568]) et les troubles du sommeil (HR [IC à 95 %] = 1,934 [1,738–2,152]) ont montré des risques accrus après la vaccination contre la COVID-19.
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Les auteurs ont utilisé la méthodologie suivante (notez la taille massive de l’échantillon) :
Nous avons recruté 50 % de la population résidente de Séoul sélectionnée au hasard dans la base de données des demandes d'indemnisation du Service national d'assurance maladie coréen (KNHIS) le 1er janvier 2021. Les participants inclus ( n = 2 027 353) dans la base de données des demandes d'indemnisation du Service national d'assurance maladie coréen ont été divisés en deux groupes en fonction de la vaccination contre la COVID-19. Les incidences cumulatives pour 10 000 des effets indésirables psychiatriques ont été évaluées une semaine, deux semaines, un mois et trois mois après la vaccination contre la COVID-19. Les rapports de risque (HR) et l'intervalle de confiance (IC) à 95 % des effets indésirables psychiatriques ont été mesurés pour la population vaccinée.
Ils mentionnent à juste titre que la protéine Spike pourrait être le principal moteur des troubles psychiatriques induits par le vaccin :
« Notre étude suggère que la neuroinflammation causée par les protéines Spike peut contribuer à l’apparition de certains effets indésirables psychiatriques tels que la dépression et l’anxiété, les troubles dissociatifs, liés au stress et les troubles somatoformes. »
Les taux de dépression aux États-Unis ont atteint des niveaux record depuis 2020/2021, en partie à cause des mesures draconiennes de contrôle de la pandémie (confinement, mandat de masque, pertes d'emplois) et, comme le suggèrent Kim et al., de la vaccination contre la COVID-19.
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L’augmentation importante du risque de dépression et de troubles anxieux constitue une raison supplémentaire de retirer immédiatement les « vaccins » contre la COVID-19 du marché.
L’OMS confirme que le test PCR Covid-19 est erroné : les estimations de « cas positifs » n’ont aucun sens. Le confinement et le « vaccin » n’ont aucun fondement scientifique
Par le professeur Michel Chossudovsky Recherche mondiale, 10 novembre 2024
Note de l'auteur et mise à jour
Le monde est en état de crise depuis plus de trois ans, malgré le fait que l’OMS et le CDC (avec les insinuations habituelles) ont confirmé sans équivoque que le test RT-PCR utilisé pour justifier chaque mandat politique, y compris les confinements, la distanciation sociale, le masque, le confinement de la main-d’œuvre, la fermeture de l’activité économique, etc. est erroné et invalide.
Il en va de même pour le déploiement du vaccin à ARNm en décembre 2020.
Cet article a été publié pour la première fois le 21 mars 2021 et porte sur le Mea Culpa de l'OMS daté du 20 janvier 2021.
L'avis de l'OMS a été suivi quelques mois plus tard par la décision choc des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) (21 juillet 2021) de retirer le test PCR comme méthode valide de détection et d'identification du SARS-CoV-2.
À compter du 31 décembre 2021, le test PCR n'est plus considéré comme valide par le CDC aux États-Unis
Pour plus de détails, voir
Bombe : le CDC ne reconnaît plus le test PCR comme une méthode valide pour détecter les « cas confirmés de Covid-19 » ?
Par le professeur Michel Chossudovsky , 29 décembre 2021
Cela implique que le CDC et l’OMS ont tous deux formellement reconnu les échecs du test RT-PCR, sans toutefois mettre en œuvre un changement dans la méthodologie de détection et d’identification du SARS-CoV-2.
Les médias grand public reconnaissent désormais à contrecœur que le test PCR est défectueux Après avoir soutenu la campagne de propagande, les médias grand public ont désormais tacitement reconnu que le TEST PCR EST INVALIDE .
Vous trouverez ci-dessous un extrait du Daily Mail de Londres sur un fait connu et documenté par les scientifiques et les médias indépendants depuis le début de la crise du coronavirus en janvier 2020.
Le rapport ci-dessous est alambiqué. C'est un euphémisme évident :
« Des tests PCR défectueux nous ont-ils convaincus que le Covid était pire qu’il ne l’était en réalité ? …
C'est l'une des théories du complot les plus persistantes autour du Covid : les tests PCR « de référence » utilisés pour diagnostiquer le virus détectaient des personnes qui n'étaient pas réellement infectées.
Certains ont même suggéré que les prélèvements, qui ont été effectués plus de 200 millions de fois au Royaume-Uni seulement, pourraient confondre le rhume et la grippe avec le coronavirus.
Si l’une ou l’autre de ces affirmations, ou les deux, étaient vraies, cela signifierait que bon nombre de ces cas n’auraient jamais dû être comptabilisés dans le décompte quotidien – que le chiffre inquiétant et trop familier, qui a été utilisé pour éclairer les décisions sur les confinements et autres mesures de lutte contre la pandémie , était un surdénombrement. ( Daily Mail, 12 mars 2022, c’est nous qui soulignons)
Elle est soigneusement rédigée dans le but de protéger les décideurs.
Le test PCR est la preuve irréfutable qu'il n'y a pas de pandémie Nous ne sommes pas en présence d’erreurs comme le suggère le rapport médiatique ci-dessus.
Si le test PCR est invalide et dénué de sens, cela signifie qu’il n’existe pas de « cas confirmé de Covid-19 »
Les résultats des tests PCR systématiquement compilés par l’OMS ont été utilisés pour justifier les politiques de confinement imposées à plus de 190 États membres des Nations Unies.
Le chaos économique et social s'est installé dans le monde entier et les actions adoptées par les gouvernements corrompus au cours des trois dernières années sont de nature criminelle. Ce ne sont pas des erreurs.
Et s’il n’y a pas de pandémie, il n’y a pas besoin de vaccin.
Le « vaccin » à ARNm contre le Covid-19 est la PLUS GRANDE FRAUDE DE L’HISTOIRE DE LA MÉDECINE
Pour plus de détails, consultez mon livre électronique (15 chapitres) intitulé :
La crise mondiale du coronavirus : un coup d'État mondial contre l'humanité
Par le professeur Michel Chossudovsky , août 2022
Voir également mon article récent sur l’échec de l’identification du 2019-nCoV, qui est lié au test RT-PCR défectueux.
Il n’y a jamais eu de « nouveau coronavirus », ni de pandémie
Par le professeur Michel Chossudovsky , 8 décembre 2023
Vidéo : Le « nouveau coronavirus » inexistant ? Michel Chossudovsky, Entretien avec Caroline Mailloux, Lux Media
-voir clip sur site -
Michel Chossudovsky , Global Research, 9 décembre 2023
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L'OMS confirme que le test PCR Covid-19 est défectueux : Les estimations de « cas positifs » n’ont aucun sens. Le confinement et le « vaccin » n’ont aucun fondement scientifique
par Michel Chossudovsky 21 mars 2021
Le lauréat du prix Nobel Kary B. Mullis est l'inventeur de la technique de réaction en chaîne par polymérase, qui est analysée dans cet article.
Le Dr Kary B. Mullis , décédé le 7 août 2019 à l'âge de 74 ans, a déclaré avec insistance qu'aucune infection ou maladie ne peut être diagnostiquée avec précision à l'aide de la RT-PCR. Son héritage perdurera.
« La PCR est un processus. Elle ne vous dit pas que vous êtes malade. […] La mesure n’est pas précise ».
Mullis a décrit la RT-PCR comme une « technique » plutôt que comme « un test ».
Il s’agit d’une technique utile qui permet « l’amplification rapide d’un petit fragment d’ADN ».
Introduction
Au cours des 20 derniers mois, une série de mensonges et de fabrications flagrants ont été utilisés pour justifier des décisions politiques de grande portée.
Le plus gros mensonge, fermement reconnu tant par l’opinion scientifique que par l’OMS, est que le test RT-PCR utilisé pour « détecter » la propagation du virus (ainsi que des variants) est non seulement défectueux mais TOTALEMENT INVALIDE.
Dès le début, en janvier 2020, toutes les décisions politiques de grande envergure confirmées et présentées au public comme un « moyen de sauver des vies » étaient fondées sur des cas positifs de RT-PCR erronés et invalides.
Ces « estimations » invalides du Covid-19 ont été utilisées pour justifier le confinement, la distanciation sociale, le masque facial, l’interdiction des rassemblements sociaux, des événements culturels et sportifs, la fermeture de l’activité économique, ainsi que le « vaccin » à ARNm lancé en novembre 2020.
Le test RT-PCR
Le test de réaction en chaîne par polymérase à transcription inverse en temps réel (rRT-PCR) a été adopté par l'OMS le 23 janvier 2020 comme moyen de détection du virus SARS-COV-2, suite aux recommandations d'un groupe de recherche en virologie (basé à l'hôpital universitaire de la Charité, à Berlin), soutenu par la Fondation Bill et Melinda Gates. (Pour plus de détails, voir l' étude Drosten )
Exactement un an plus tard, le 20 janvier 2021, l’OMS se rétracte. Elle ne dit pas « Nous avons fait une erreur ». La rétractation est soigneusement formulée. (Voir le document original de l’OMS ici ainsi qu’en annexe)
Bien que l’OMS ne nie pas la validité de ses directives trompeuses de janvier 2020, elle recommande néanmoins de « refaire des tests électroniques » (ce que tout le monde sait être impossible).
La question controversée concerne le nombre de cycles de seuil d'amplification (Ct). Selon Pieter Borger et al.
Le nombre de cycles d'amplification [doit être] inférieur à 35 ; de préférence 25 à 30 cycles. En cas de détection de virus, > 35 cycles ne détectent que les signaux qui ne sont pas corrélés avec le virus infectieux tel que déterminé par l'isolement en culture cellulaire… (Critique de l'étude Drosten )
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) admet tacitement un an plus tard que TOUS les tests PCR effectués à un seuil d'amplification (Ct) de 35 cycles ou plus sont INVALIDES. C'est pourtant ce qu'elle a recommandé en janvier 2020, en consultation avec l'équipe de virologie de l'hôpital Charité de Berlin.
Si le test est effectué à un seuil de 35 Ct ou plus (ce qui a été recommandé par l'OMS), les segments génétiques du virus SARS-CoV-2 ne peuvent pas être détectés, ce qui signifie que TOUS les soi-disant « cas positifs » confirmés comptabilisés au cours des 18 derniers mois sont invalides.
Selon Pieter Borger, Bobby Rajesh Malhotra, Michael Yeadon et al, le Ct > 35 est la norme « dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis ».
Le Mea Culpa de l'OMS
Vous trouverez ci-dessous la « rétractation » soigneusement formulée de l'OMS. Le texte intégral avec un lien vers le document original se trouve en annexe :
Les directives de l'OMS concernant les tests de diagnostic du SARS-CoV-2 stipulent qu'une interprétation prudente des résultats positifs faibles est nécessaire ( 1 ). Le seuil de cycle (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnel à la charge virale du patient. Lorsque les résultats du test ne correspondent pas à la présentation clinique, un nouvel échantillon doit être prélevé et retesté en utilisant la même technologie NAT ou une technologie différente. (soulignement ajouté)
L’OMS rappelle aux utilisateurs de dispositifs de diagnostic in vitro que la prévalence de la maladie modifie la valeur prédictive des résultats des tests ; à mesure que la prévalence de la maladie diminue, le risque de faux positif augmente ( 2 ). Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant un résultat positif (SARS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SARS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité revendiquée.
« Les positifs non valides » est le concept sous-jacent Il ne s’agit pas d’une question de « faibles positifs » et de « risque d’augmentation des faux positifs ». Ce qui est en jeu, c’est une « méthodologie défectueuse » qui conduit à des estimations non valides.
Ce que confirme cet aveu de l’OMS, c’est que l’estimation de la positivité au covid issue d’un test PCR (avec un seuil d’amplification de 35 cycles ou plus) n’est pas valide . Dans ce cas, l’OMS recommande de refaire le test : « un nouvel échantillon doit être prélevé et retesté… ».
L’OMS appelle à « refaire les tests » , ce qui revient à dire « nous avons fait une erreur ».
Cette recommandation est une formalité. Elle n'aura pas lieu. Des millions de personnes dans le monde ont déjà été testées, à partir de début février 2020. Néanmoins, nous devons conclure que, à moins d'être à nouveau testées, ces estimations (selon l'OMS) ne sont pas valables.
Je dois mentionner qu'il existe plusieurs autres défauts liés au test PCR qui ne sont pas abordés dans cet article. (Voir l'e-book de Michel Chossudovsky : cliquez pour télécharger La crise mondiale du coronavirus : coup d'État mondial contre l'humanité (chapitre III)
Depuis le début, le test PCR est systématiquement appliqué à un seuil d'amplification Ct de 35 ou plus, conformément aux recommandations de l'OMS de janvier 2020. Cela signifie que la méthodologie PCR telle qu'elle est appliquée dans le monde entier a conduit au cours des 12 à 14 derniers mois à la compilation de statistiques Covid erronées et trompeuses.
Et ce sont ces statistiques qui sont utilisées pour mesurer la progression de la soi-disant « pandémie ». Au-delà d’un cycle d’amplification de 35 ou plus, le test ne détectera pas de fragments du virus . Par conséquent, les « chiffres officiels du Covid » n’ont aucun sens.
Il s’ensuit qu’il n’existe aucune base scientifique permettant de confirmer l’existence d’une pandémie.
Ce qui signifie à son tour que le confinement/les mesures économiques qui ont entraîné la panique sociale, la pauvreté de masse et le chômage (soi-disant pour freiner la propagation du virus) n'ont aucune justification.
Selon l'avis scientifique :
« Si une personne est testée positive par PCR lorsqu'un seuil de 35 cycles ou plus est utilisé (comme c'est le cas dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis), la probabilité que cette personne soit réellement infectée est inférieure à 3 % , la probabilité que ce résultat soit un faux positif est de 97 % (Pieter Borger, Bobby Rajesh Malhotra, Michael Yeadon, Clare Craig, Kevin McKernan, et al, Critique de l'étude Drosten )
Comme indiqué ci-dessus, « la probabilité que ce résultat soit un faux positif est de 97 % » : il s’ensuit que l’utilisation de la détection > 35 cycles contribuera de manière indélébile à « augmenter » le nombre de « faux positifs ».
Au moment où nous écrivons ces lignes (mi-mars 2021), malgré la rétractation de l’OMS, le test PCR est largement utilisé pour faire grimper les chiffres en vue de maintenir la campagne de peur, de justifier les politiques de confinement en cours ainsi que la mise en œuvre du vaccin Covid.
Ironiquement, les chiffres erronés basés sur des « positifs non valides » sont à leur tour manipulés pour assurer une tendance à la hausse des soi-disant « cas confirmés de Covid-19 ».
De plus, ces tests PCR ne sont pas systématiquement accompagnés d’un diagnostic médical des patients testés.
Et maintenant, les autorités sanitaires nationales ont émis de (faux) avertissements concernant une « troisième vague » dans le cadre de leur campagne de propagande en faveur du vaccin contre le Covid-19.
L'OMS confirme que la procédure de test PCR Covid telle qu'appliquée n'est pas valide. Il n'existe absolument aucune base scientifique pour la mise en œuvre du vaccin Covid.
Tant l’OMS que l’évaluation scientifique de Pieter Borger et al (citée ci-dessus) confirment sans équivoque que les tests adoptés par les gouvernements pour justifier le confinement et la déstabilisation des économies nationales sont INVALIDES.
Données invalides et jeu des nombres Il faut comprendre que ces « estimations invalides » sont les « chiffres » cités sans relâche 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 par les médias au cours de la « première vague » et de la « deuxième vague » , qui ont été utilisés pour alimenter la campagne de peur et « justifier » TOUTES les politiques mises en avant par les gouvernements :
confinement, fermeture de l'activité économique, la pauvreté et le chômage de masse, faillites distanciation sociale, masque facial, couvre-feu, le vaccin. le passeport santé
Données non valides. Réfléchissez à deux fois avant de vous faire vacciner
Le défi de la crise du coronavirus 2020-2021 : votre vie, votre esprit, votre âme. Dr Pascal Sacré
Par le Dr Pascal Sacré Recherche mondiale, 9 novembre 2024
Le monde est dangereux à vivre,
pas tant à cause de ceux qui font le mal,
mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire.*
Ne tournons pas autour du pot.
Je fais référence à la soi-disant pandémie de COVID-19 qui a conduit à l’injection d’un produit de composition encore inconnue de milliards de personnes, à partir de 2021, sous un prétexte avancé comme un dogme indiscutable, celui d’arrêter ladite pandémie.
De soi-disant experts se sont relayés sur toutes les ondes radio et télévision du monde pour nous dire que cette infection était mortelle et que le seul moyen de l'arrêter était de se faire injecter un produit présenté comme un vaccin de nouvelle génération, efficace et inoffensif.
Et des milliards de personnes y ont cru et ont reçu cette injection, pas une seule fois, mais pour un grand nombre, plusieurs fois. Et ce n'est pas fini et continue d'être préconisé, fortement recommandé pour les femmes enceintes, les enfants et les personnes âgées.
Aujourd'hui, en mai 2024, que pouvons-nous en dire, en étant humbles, honnêtes, scientifiques, examinateurs les plus impartiaux possibles des faits, libres de tout conflit ou même de tout lien d'intérêt et cherchant seulement à nous rapprocher le plus possible de la vérité, que cela nous plaise ou non ?
Dès que j'ai perçu les divergences dans le discours officiel (le canari dans la mine**), assumant pleinement ma fonction d'anesthésiste-réanimateur, intensiviste, en première ligne dans un grand service d'hospitalisation aiguë en Belgique, j'ai publié un article intitulé :
« COVID-19, vérifiez vos sources. Guerre contre… la corruption ? », 12 avril 2020 [1].
Le terme « guerre » fait référence à l’expression utilisée six fois par le président français Emmanuel Macron dans son discours du 16 mars 2020, « Nous sommes en guerre », sous-entendu, pour lui, contre un virus alors qu’une guerre contre la corruption scientifique et médiatique pandémique permettrait de sauver bien plus de vies humaines !
C'était prémonitoire car il est vital dans ce genre de crise de discerner la vérité du mensonge ; de vérifier ce qu'on nous dit , surtout lorsque l'auteur du mensonge est présenté comme un expert et s'exprime sans citer aucune de ses sources, s'appuyant uniquement sur sa réputation largement fabriquée et sur la complicité, consciente ou non, de journalistes qui ne remettent rien en cause de ce que dit cet expert.
Attention, les mensonges les plus efficaces sont des demi-vérités ou sont semés dans un discours pourtant cohérent, comme des grains presque invisibles, imperceptibles.
Le diable est toujours dans les détails.
C’est ce qui est arrivé à presque toutes les déclarations officielles dénoncées ces quatre dernières années comme des vérités indiscutables par nos autorités « bienveillantes », affirmations démenties ensuite, rapidement ou plus tard, par les faits et des analystes sérieux, indépendants et courageux, compte tenu de la censure extrême et des intimidations massives auxquelles elles ont été soumises.
Pour ma part, je vous renvoie aux nombreux articles rédigés entre avril 2020 et janvier 2023, sur ce site www.mondialisation.ca , abordant quasiment tous les sujets concernés, confinements, traitements précoces dont l'ivermectine et l'hydroxychloroquine, technique de diagnostic RT-PCR, vaccins, masques et dérive totalitaire [2].
Pour presque tout, les faits m’auront donné raison.
Je suis loin d'être le seul.
Je reviens seulement sur quelques points illustratifs.
L'hydroxychloroquine, un traitement ancien et bien connu, aux effets secondaires marginaux si la pharmacologie et les dosages (doses) sont respectés et qui s'est avéré efficace dans le traitement précoce du COVID-19.
Avec d'autres médecins, de plusieurs disciplines, de plusieurs nations, je l'ai dit très tôt et les faits ont confirmé cette vérité pourtant offensée par les experts officiels, dont la prestigieuse revue médicale, le Lancet, qui a retiré son article hostile et frauduleux 12 jours après sa publication [3] créant le scandale appelé Lancetgate .
Or, vous constaterez, et c'est une habitude, que tous les médecins du monde, ceux du milieu qu'on appelle généralistes ou médecins de famille, n'ont pas été prévenus de cette réhabilitation de l'hydroxychloroquine par ces mêmes médias de tous pays, unanimes et très bruyants lorsqu'il s'agissait de propager un mensonge, discrets voire silencieux lorsqu'il s'agissait de rétablir la vérité.
Nous pouvons faire le même constat avec l’ivermectine [4].
En tant que médecin, j’ai personnellement traité des centaines de personnes atteintes d’une infection respiratoire aiguë appelée COVID-19 en 2021 avec de l’ivermectine correctement dosée.
Ce traitement s'est avéré sûr et efficace, souvent dès le premier jour de traitement, y compris chez les personnes à risque et fragiles, très âgées, obèses, souffrant d'insuffisance cardiaque ou respiratoire chronique, évitant ainsi l'évolution vers des formes plus graves, réduisant la surcharge hospitalière et la période de contagiosité ; avec un médicament peu coûteux, inoffensif, pouvant être prescrit aux femmes enceintes sans risque pour le fœtus, et connu depuis les années 1980, largement prescrit en Afrique notamment.
Où sont les articles et les documentaires relatant cette vérité, dans tous nos médias écrits ou parlés ?
Avez-vous vu une réhabilitation de ces traitements réellement efficaces et sécuritaires (aux dosages recommandés) puisque les faits ont donné raison à tous ceux qui les prônaient dès 2020 ou 2021 ?
Au contraire, les médecins, entre autres, qui ont traité et parlé de leur succès ont été (et sont toujours) menacés de radiation, de suspension, de poursuites et diffamés dans cette presse qui continue de mentir et de soutenir le vaccin dans son intégralité.
Alors que les faits nous donnent raison. Et le soi-disant « vaccin » ?
D'après les données actuelles et la baisse depuis 2021, en Angleterre, on sait depuis septembre 2023 que les personnes vaccinées contre la COVID-19 meurent plus que les personnes non vaccinées : Preuve supplémentaire : l'argument de l'« âge ajusté » a été écrasé par l'avalanche de données sur l'ARNm. Si cela va heureusement écraser l'investissement dans l'ARNm, cela a malheureusement aussi écrasé tant de victimes en cours de route. (substack.com), tel qu'analysé par le statisticien français Pierre Chaillot, auteur d'un livre remarquable, COVID-19, qui est révélé par les chiffres officiels , éditions l'Artilleur. Voici la vidéo où Pierre Chaillot analyse les statistiques anglaises : Révélation d'une nouvelle étude anglaise : on sait qui meurt le plus ! (youtube.com).
Vraiment, je vous encourage, 4 ans après mon premier article, à les relire tous.
D'un côté, nous avons des traitements peu coûteux, efficaces d'autant plus qu'ils sont précoces, inoffensifs en cas d'utilisation selon les règles de prescription, des traitements qui ont fait leurs preuves (je peux en témoigner personnellement),
Et d’autre part, nous avons des injections d’un produit dont on ignore la composition complète, frauduleusement appelés « vaccins », très coûteux mais très rentables pour les actionnaires des entreprises qui les fabriquent et tous ceux qu’elles ont corrompus, et dont on sait maintenant qu’ils provoquent une surmortalité et une flambée d’effets secondaires dans les populations du monde entier (cancers, maladies auto-immunes, dégénérescence, accélération du vieillissement cellulaire…).
Mais nos autorités, la presse, les « experts » officiels continuent leur chemin sans ciller, continuant à tirer sur des scientifiques et des soignants honnêtes, indépendants de tout lien financier avec le système mondialisé, et qui les contredisent en s’appuyant sur les faits.
Pourquoi la grande majorité des gens continuent-ils à se laisser faire ? Et à se laisser aller ? Parce que la clé de la porte de sortie est en eux.
Maintenant, je vais donner davantage mon avis personnel, ma déduction.
C'est seulement que, mon avis, même si le passé a montré que j'avais vu clair sur beaucoup des sujets concernés, ne me croyez pas sur parole ou par amitié.
Vérifiez, vérifiez, lisez des articles, des livres, regardez les vidéos que je vous informe pour vous éclairer, et faites-vous votre propre opinion.
Tout ce que je dis désormais peut encore évoluer.
C'est cela la vraie science honnête, ne jamais se figer sur une position, une croyance qui deviendrait un dogme indépassable, quels que soient les faits contradictoires ou le douloureux besoin d'admettre qu'on s'est trompé. Non. Surtout pas.
Tout en ayant le courage d'affirmer ce que nous pensons à un moment donné, que cela nous plaise ou non, même si cela nous attire des ennuis, une suspension, une annulation, un contrôle fiscal, ou pire encore.
J'espère que tous les lecteurs de ce site auront donc compris qu'on nous a menti ; parfois intelligemment et subtilement, le plus souvent de manière grossière et autoritaire, en utilisant les faiblesses humaines par la peur, le conformisme, l'égoïsme et la paresse.
Pourquoi ?
Dépeupler une terre surpeuplée, par des moyens odieux, un génocide presque imperceptible, « doux », dans lequel, si nous ne faisons rien, ne réagissons pas, nous sommes tous complices, par action ou par omission.
Tout a commencé par l’abandon de personnes vulnérables et fragiles, âgées, isolées, mortes de déshydratation, la privation d’affection, d’amour et des soins les plus élémentaires sous prétexte de… les sauver !
Cela a continué en interdisant les premiers traitements qui étaient sûrs et efficaces et en induisant une peur immense chez les gens, puisqu'on leur disait d'attendre que leur état empire, qu'en attendant cela, ils ne pouvaient rien faire (impuissance) à part ingérer du paracétamol, toxique pour le seul élément qui pouvait encore les protéger, le glutathion.
Je me souviendrai toujours de ce vieux médecin, abandonné à son sort, et qui pleurait quand il venait chez moi, juste parce que je l’avais écouté et rassuré.
Cela a été amplifié par le lancement de cette campagne mondiale visant à injecter un produit toxique, inefficace et pourtant présenté comme sûr et efficace et dont nous savons aujourd’hui, du moins sur la base des statistiques des pays qui veulent les publier, qu’il tue plus qu’il ne sauve.
Alors que tout ou presque est interdit aux femmes enceintes, comme par magie, il était devenu acceptable de « violer » leur corps sacré immunodéprimé, mettant en danger l’être le plus vulnérable, totalement dépendant des autres pour sa survie, le fœtus humain.
Combien de fausses couches, de mortinaissances, de malformations dans le monde aujourd'hui, en lien avec cette politique criminelle ?
Cette vidéo, premier chapitre d'une série qui en compte trois, basée sur des recherches sérieuses et documentées (sources citées dans la vidéo), vous éclairera sur les enjeux et les dessous de cette tragédie.
🧠Eugénistes 2.0 et transhumanistes : leur guerre ouverte contre les peuples – 1/3 🗣️Alain Schollaert – CrowdBunker
C'est sur la plateforme Crowdbunker, car sur YouTube, immédiatement publié, immédiatement censuré ce qui, indirectement, est une forte indication que cela dérange vraiment les menteurs, comme seule la vérité peut le faire.
Les épisodes suivants seront publiés les 19 et 26 mai.
Regardez, écoutez et tirez vos conclusions.
C'est vital parce que nous voulons vous former dans un monde que vous, ici, vous ne voulez pas, ni pour vous, ni surtout, pour vos enfants.
Dépeuplement. Il s’agit dans ce cas d’un cynisme cruel, révoltant, car ceux qui décident de le faire le font dans leur bunker doré, bien à l’abri, s’étant proclamés rois du monde simplement parce qu’ils ont pillé ce monde, volé les richesses qui appartiennent à toute l’humanité et que forts de leurs dollars et de leurs euros, de leurs relations, de leurs « pouvoirs », ils décident qui mourra ou vivra.
Ils usent brillamment et froidement du mensonge, ils exploitent les failles du système démocratique et surtout, comptent sur nos faiblesses savamment excitées par tous les moyens à leur disposition, drogue, sport, musique, télévision, agitation, sexe…
Nous sommes devenus trop nombreux pour eux, marchant sur leurs parterres de fleurs et ils ont lancé ce qui correspond à l'agenda 2030. Oui, vous avez bien lu, c'est pour 2030 et nous y sommes !
La manipulation psychologique poussée à son paroxysme, les peurs, les attaques invisibles ou peu visibles pendant de nombreuses années [5] par la pollution chimique de l’air (chemtrails), de l’eau, des ondes électromagnétiques (4G, 5G, mais aussi notre Wifi, les téléviseurs, les appareils électriques…), et aujourd’hui, ces poisons nanomoléculaires directement injectés dans le corps humain.
En corollaire, il s’agit de supprimer l’argent liquide et de le remplacer par du tout numérique.
Rendre l’humain aussi inerte et prévisible qu’une machine sans âme ni esprit propre, beaucoup plus facile à diriger et à exploiter.
Cette vidéo réalisée par le chercheur corse-belge Alain Schollaert, sur la chaîne du très bon Akina, le Media Front, parle elle aussi d'un sujet délicat mais ô combien vital, lui aussi !
L’opposition fabriquée, dite « contrôlée ». La fausse opposition ou cheval de Troie qui participe de manière perverse, parfois inconsciente, à la diffusion du récit officiel et à son accomplissement en captant les volontés dissidentes.
Comment s'orienter sans paranoïa ni découragement ?
Là encore, ce sont mes déductions, je les assume mais faites-vous votre propre opinion.
Mais ne tardez pas et ne vous trompez pas car c’est votre vie qui est en jeu, la vôtre et celle de vos proches.
Les décisions que vous prendrez, les actions que vous entreprendrez dépendront toutes des informations auxquelles vous aurez choisi de faire confiance, des lanceurs d'alerte que vous aurez choisi de suivre car oui, il y en a des faux, plus ou moins conscients de ce qu'ils font.
Tout d’abord, méfiez-vous des « héros » créés par cette tragédie.
Recherchez l’humilité, la discrétion, la vraie modestie chez ceux qui vous parlent.
Il n'y a pas de héros, pas de piédestal, pas d'élites de la résistance, pas de personnages prestigieux !
Cherchez ceux qui savent parler de tout, sans tabous, aussi bien de l'ARN messager que de l'oxyde de graphène , du génocide programmé et de l'industrie mortifère des vaccins ! Cherchez ceux qui admettent leurs erreurs, sont tolérants, ceux qui ne prennent pas les autres d'en haut, qui ne se présentent pas à leur tour comme des experts, ce qui signifierait que par leur seul titre, nous devrions les écouter religieusement.
Vous vous souvenez de la chercheuse suisse Astrid Stuckelberger, censurée dans un congrès de « résistants » juste parce qu’elle voulait aborder le sujet de l’oxyde de graphène, comme si certains pouvaient décider de leur seule autorité de ce dont on peut parler ou pas.
Nous sommes tous des citoyens ordinaires plongés dans des circonstances extraordinaires qui ont révélé de quoi est faite notre véritable nature.
Ceux qui ont parlé et agi, dont certains étaient très conformistes en temps normal, ceux qui ont résisté, ont refusé de suivre aveuglément les ordres ne l'ont fait que parce qu'ils ne pouvaient pas faire autrement, et pourtant très lucides sur les risques terribles qu'ils encouraient, licenciement, harcèlement, incarcération, empoisonnement, assassinat social ou fiscal.
Ce n’est pas par héroïsme mais par obligation morale.
C'est dans ces circonstances, au cœur de l'action, que nous découvrons réellement qui nous sommes. Pas avant.
Alors, regardez qui était visible, emporté jusqu'aux nuages même, et qui était ostracisé, très rapidement ou progressivement.
Regardez qui est censuré notamment sur YouTube et qui ne l'est pas ou moins. Ne tirez pas de conclusions hâtives mais faites travailler votre esprit de déduction.
Quand certains ont pu publier des livres sans problème, traduits même en plusieurs langues, en parler à la radio, vous avez d'autres auteurs sérieux dont on ne parle jamais et dont on ne traduit jamais. C'est un signe.
Connaissez-vous Didier Raoult, Louis Fouché, Alexandra Henrion-Caude, Jean-Dominique Michel, Xavier Azalbert… ?
J'en suis sûr. Les « ténors », les « piliers »…
Et Melody Feron, Denis Rancourt, Sasha Latypova, Tess Lawrie, Alain Schollaert, Laurence Kayser ? Beaucoup moins, non ?
Mais encore une fois, et c'est crucial, faites-vous votre propre opinion.
Les vrais lanceurs d’alerte sont invisibles. C’est logique. Le mensonge ne tolère pas la vérité qui le détruit d’un seul regard.
Les véritables résistants sont exclus, même par les cercles dits résistants ou éveillés, qui font donc ce qu'ils critiquent précisément dans l'autre camp, l'élitisme et la sélection.
Le reportage vidéo d'Alain Schollaert, sourcé, reliant tous les points de ce labyrinthe de corruption et d'objectifs secrets, parle de lui-même.
L’intention de ces forces du mal est terrible.
C'est Primum Nocere : avant tout, nuire (par opposition au serment de tout soignant, primum non nocere, avant tout, ne pas nuire).
Ce sont des complots. Ce n'est pas une théorie et ceux qui vous le disent encore sont soit des individus de l'âge mental d'un enfant préférant un monde faux mais ils savent, soit des gens malhonnêtes voire complices.
Toutes les preuves de ce complot contre l'humanité sont là, sous nos yeux, aujourd'hui. Comme en témoigne l'énorme travail de l'avocat Reiner Fuellmich, aujourd'hui emprisonné [6].
Et ce ne seront pas les collectifs bien connus, devenus depuis quelque temps des machines bien huilées et admises, ni les organes de presse dits résistants qui vous aideront à vous en sortir.
C'est toi, nous, moi, toi, lui, elle.
Nous. Ensemble.
Chacun défend son âme et son esprit face à l'attaque dévastatrice.
Commençons par nous libérer des influences maléfiques qui nous capturent et nous enferment dans une impasse du labyrinthe. Ils ont prévu une impasse pour chacun d'entre nous, depuis le temps qu'ils travaillent sur ce projet diabolique.
Ils savaient très bien que certains n'avaleraient pas leurs mensonges et auraient le courage de résister. Ils n'ont rien laissé au hasard. Ils ont essayé de tout planifier, de proposer une solution alternative pour chacun d'entre nous.
Quel que soit le nom de ce piège pour vous, je prie pour que le plus grand nombre possible de personnes, après avoir lu cet article et surtout la vision des Eugénistes 2.0 & Transhumanistes : leur guerre ouverte contre les peuples , réalisée par Alain Schollaert, voient clair et reprennent le pouvoir personnel qu'ils ont au fond de leur âme et nous survivrons à tout cela.
Ils ne peuvent pas violer votre âme sans votre consentement, c'est pourquoi ils font tout pour la tromper, l'égarer, l'affaiblir et l'orienter dans la mauvaise direction.
Soyez courageux, lucide, calme, pensez puis agissez, n'ayez peur de rien et laissez le meilleur en vous, plus brillant, bon et beau, la force d'amour de votre cœur ardent rayonner et éteindre toute cette obscurité.
Docteur Pascal Sacré
Image en vedette : Capture d'écran. Dénonciateur.
* Je ne mets pas d'auteur car ce genre de phrase est attribuée à l'un ou à l'autre, sans possibilité de le vérifier. C'est la phrase elle-même, universelle, qui est importante car elle résume toute la problématique actuelle.
** Le canari dans la mine de charbon : Que signifie être un canari dans une mine de charbon ? – Spiegato
Notes de fin : titre traduit en anglais, lien vers l'original français
[1] COVID-19 – Vérifiez vos sources. Guerre contre… la corruption ? | Mondialisation – Centre de recherche sur la mondialisation
[2] Dr. Pascal Sacré | Mondialisation – Centre de recherche sur la mondialisation
[3] La corruption de la science. Le scandale de l’étude sur l’hydroxychloroquine. Qui est derrière tout ça ? L’intention d’Anthony Fauci de bloquer l’HCQ au nom des grandes sociétés pharmaceutiques | Mondialisation – Centre de recherche sur la mondialisation
[4] COVID-19, un simple changement de méthode et c'est fini | Globalisation – Centre de recherche sur la mondialisation
[5] Lire l’auteur Claire Séverac, et son livre « la guerre contre les peuples » : Claire Séverac – La guerre secrète contre les peuples : Claire Séverac : Téléchargement gratuit, emprunt et streaming : Internet Archive . Cette militante courageuse a été assassinée des suites d’une mystérieuse maladie fulgurante en décembre 2016 ( La mort de Claire Séverac, une militante qui a perturbé « l’establishment » – Santé et bien-être – Sott.net )
[6] C'est le début du procès de Reiner Fuellmich (youtube.com)
Pascal Sacré est diplômé en médecine, en Belgique, depuis 1995, à l'Université de Liège. Il a débuté une spécialité en anesthésie-réanimation en 1997, achevée en 2002 et complétée par une spécialisation en soins intensifs en 2003. Il a travaillé en milieu hospitalier, principalement en soins intensifs, pendant 18 ans sans que rien ne lui soit jamais reproché. Dans son service, il a travaillé à l’élaboration d’un protocole de prise en charge de la douleur, de la sédation médicamenteuse et des complications neurologiques telles que le délire, protocole retenu par de nombreux pairs dans d’autres hôpitaux.
Licencié en 2020 de l'hôpital où il travaillait depuis 9 ans, en raison de positions contraires à la politique sanitaire officielle et d'un conflit avec la direction au sujet de la crise du COVID-19, il a continué à défendre son point de vue malgré l'adversité (licenciement sans indemnité, convocation au commissariat, diffamation dans la presse, mise sur liste noire dans tous les services de soins intensifs belges malgré la reconnaissance de sa compétence et de son professionnalisme, invisibilité). En 2021, il trouve un poste d'anesthésiste-réanimateur au centre des grands brûlés, à l'hôpital militaire, en Belgique. Ce centre dépend du ministère de la Défense et non directement du ministère de la Santé.
Le Dr Sacré a suivi une formation à l'Université de Liège (Professeur ME Faymonville) en hypnothérapie en milieu médical. Intéressé par tout ce qui peut aider son patient à aller mieux, le Dr Sacré considère que rien ne peut être a priori rejeté, comme l'ajout de médecines naturelles à des pratiques chimiques reconnues en milieu hospitalier, ou à l'inverse, considéré a priori comme un dogme intouchable comme la vaccination. Tout mérite l’ouverture d’esprit, la tolérance, la curiosité et la recherche honnête, avec humilité et bonne foi.
Son mantra : « pense par toi-même ». Le Dr Sacré, afin d’aider chacun à reprendre le contrôle de sa santé sans attendre que les milieux intéressés le fassent, donne des formations à la gestion du mental, des émotions, du stress à travers les outils qu’il a lui-même appris (cohérence cardiaque, respiration, langage, autohypnose) et organise des ateliers sur des thèmes de santé tels que la digestion, les glandes endocrines (thyroïde, surrénales…), les nerfs vagues, dans un langage simple et accessible à tous. Son site internet : www.pascal-sacre.be et le mail associé : psformation222@gmail.com Il est chercheur associé au Centre de recherche sur la mondialisation depuis 2009. La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Vidéo : La mort mystérieuse de l'inventeur du test PCR, le prix Nobel Dr Kary Mullis
Le critique le plus notoire du Dr Fauci
Par Greg Reese et le professeur Michel Chossudovsky Recherche mondiale, 9 novembre 2024
« La PCR est un processus. Elle ne vous dit pas que vous êtes malade. » – Dr Kary Mullis , (image de droite), lauréat du prix Nobel et inventeur de la RT-PCR, décédé en août 2019.
« … La totalité ou une partie substantielle de ces résultats positifs pourraient être dus à ce que l’on appelle des tests faussement positifs . » – Dr Michael Yeadon , scientifique distingué, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer
« Cette utilisation abusive de la technique RT-PCR est appliquée comme une stratégie implacable et intentionnelle par certains gouvernements pour justifier des mesures excessives telles que la violation d’un grand nombre de droits constitutionnels, … sous prétexte d’une pandémie basée sur un nombre de tests RT-PCR positifs, et non sur un nombre réel de patients . » – Dr Pascal Sacré, médecin belge spécialisé en soins intensifs et analyste réputé en santé publique.
« J’ai vu des efforts massifs déployés pour gonfler délibérément le nombre de décès dus au Covid en requalifiant les patients atteints de cancer, les victimes d’accident vasculaire cérébral et toutes sortes de décès normaux comme étant dus au Covid, en fait pratiquement n’importe qui montant dans une ambulance. Les méthodes utilisées pour ce faire étaient totalement défectueuses, les tests PCR par exemple étant effectués sur 45 cycles, nous savons tous qu’ils ne valent rien , et pourtant des gens sont euthanasiés sur cette base et parfois uniquement sur la base d’une radiographie pulmonaire. » – John O’Looney, directeur de pompes funèbres, Milton Keynes, Royaume-Uni
Dès le début de cette crise en janvier 2020, toutes les décisions politiques de grande envergure, confirmées et présentées au public comme un « moyen de sauver des vies », étaient fondées sur des cas positifs de RT-PCR erronés et invalides.
Ces « estimations » invalides de la COVID-19 ont été utilisées pour justifier le confinement, la distanciation sociale, le port du masque, l’interdiction des rassemblements sociaux, des événements culturels et sportifs, la fermeture de l’activité économique, ainsi que l’application du « vaccin » à ARNm lancé en novembre 2020. Il n’existe pas de « cas confirmé de COVID-19 » . – Michel Chossudovsky, professeur d’économie (émérite), Université d’Ottawa.
* * *
Le regretté Dr Kary Mullis, inventeur du test PCR, dénonce Fauci et les grandes sociétés pharmaceutiques depuis 30 ans. Production vidéo et analyse exceptionnelles de Greg Reese
VIDÉO. Le test de réaction en chaîne par polymérase
Que l’héritage du regretté Dr Kary Mullis perdure.
La méthodologie biaisée appliquée sous les directives de l'OMS pour détecter la propagation présumée du virus est le test de réaction en chaîne par polymérase à transcription inverse (RT-PCR) , qui est systématiquement appliqué dans le monde entier depuis février 2020. (Ce texte ci-dessous est un extrait du livre de Michel Chossudovsky, août 2022 )
La polymérase de transcription inverse Test de réaction en chaîne (RT-PCR) par Michel Chossudovsky
Le test RT-PCR a été utilisé dans le monde entier pour générer des millions de « cas confirmés de COVID-19 » erronés, qui sont ensuite utilisés pour entretenir l’illusion que la prétendue pandémie est réelle.
Cette évaluation fondée sur des chiffres erronés a été utilisée pendant trois ans et demi pour lancer et entretenir la campagne de peur.
Le terme « confirmé » est une erreur de langage. Un « cas positif confirmé par RT-PCR » n’implique pas nécessairement un « cas confirmé de COVID-19 ».
« Un RT-PCR positif n’est pas synonyme de la maladie COVID-19 ! Les spécialistes de la PCR précisent qu’un test doit toujours être comparé au dossier clinique du patient testé , à l’état de santé du patient pour confirmer sa valeur [fiabilité]. » ( Dr Pascal Sacré)
La procédure utilisée par les autorités sanitaires nationales consiste à classer tous les cas positifs au test RT-PCR comme « cas confirmés de COVID-19 » (avec ou sans diagnostic médical). Ironiquement, ce processus routinier d'identification des « cas confirmés » déroge aux propres directives du CDC :
« La détection de l’ARN viral peut ne pas indiquer la présence d’un virus infectieux ou que le 2019-nCoV est l’agent causal des symptômes cliniques. La performance de ce test n’a pas été établie pour le suivi du traitement de l’infection par le 2019-nCoV. Ce test ne peut pas exclure les maladies causées par d’autres agents pathogènes bactériens ou viraux . » (soulignement ajouté)
La méthodologie utilisée pour détecter et estimer la propagation du virus est défectueuse et invalide.
Faux positifs Le débat précédent, au début de la crise, portait sur la question des « faux positifs ».
Reconnu par l'OMS et le CDC, le test RT-PCR était connu pour produire un pourcentage élevé de faux positifs. Selon le Dr Pascal Sacré :
« Aujourd’hui, les autorités testent davantage de personnes, ce qui veut dire que les tests RT-PCR sont plus positifs. Cela ne signifie pas que le COVID-19 va revenir, ni que l’épidémie se propage par vagues. Il y a plus de personnes testées, c’est tout. »
Le débat sur les faux positifs (reconnus par les autorités sanitaires) pointe du doigt des erreurs dites « d’erreur » sans pour autant remettre en cause la validité globale du test RT-PCR comme moyen de détection de la prétendue propagation du virus SARS-CoV-2.
Le test PCR ne détecte pas l'identité du virus Le test RT-PCR ne permet pas d'identifier ni de détecter le virus. Le test PCR permet d'identifier des fragments génétiques de nombreux virus (y compris les virus de la grippe de types A et B et les coronavirus qui déclenchent le rhume).
Les résultats du test RT-PCR ne peuvent pas « confirmer » si une personne qui se soumet au test est infectée par le SRAS-CoV-2.
Les échecs du test PCR, des chiffres ridiculement bas Même si le nCoV 2019 avait été détecté et dûment identifié, le nombre de cas positifs confirmés (cumulatifs) par PCR-RT au cours de la période précédant le 11 mars 2020, utilisé comme justification pour imposer le confinement de plus de 190 pays, était ridiculement bas . Les 80 981 cas pour la Chine concernent également les cas positifs confirmés (cumulatifs) par PCR. Notez que les nouveaux cas en Chine (PCR positifs) au 12 mars 2020 sont de l'ordre de « 321 nouveaux »
page30image710502480 Image : Nombre total de cas cumulés au 12 mars 2020 (Source : OMS )
Pour plus de détails, voir :
L’OMS confirme que le test PCR Covid-19 est erroné : les estimations de « cas positifs » n’ont aucun sens. Le confinement n’a aucune base scientifique
Par le professeur Michel Chossudovsky , 10 décembre 2023
Il n’y a jamais eu de « nouveau coronavirus », il n’y a jamais eu de pandémie, Par le professeur Michel Chossudovsky , 3 novembre 2024
Le 13 janvier 2021, l’OMS a reconnu que le test PCR n’était pas valide. Le texte officiel de l’OMS intitulé « Technologies de test des acides nucléiques (NAT) qui utilisent la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour la détection du SARS-CoV-2 » est présenté dans l’annexe ci-dessous.
Le Mea Culpa de l'OMS par Michel Chossudovsky
Les directives de l'OMS concernant les tests de diagnostic du SARS-CoV-2 stipulent qu'une interprétation prudente des résultats positifs faibles est nécessaire ( 1 ). Le seuil de cycle (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnel à la charge virale du patient. Lorsque les résultats du test ne correspondent pas à la présentation clinique, un nouvel échantillon doit être prélevé et retesté en utilisant la même technologie NAT ou une technologie différente. (soulignement ajouté)
L’OMS rappelle aux utilisateurs de dispositifs de diagnostic in vitro que la prévalence de la maladie modifie la valeur prédictive des résultats des tests ; à mesure que la prévalence de la maladie diminue, le risque de faux positif augmente ( 2 ). Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant un résultat positif (SARS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SARS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité revendiquée.
« Les positifs non valides » est le concept sous-jacent Il ne s’agit pas d’une question de « faibles positifs » et de « risque d’augmentation des faux positifs ». Ce qui est en jeu, c’est une « méthodologie défectueuse » qui conduit à des estimations non valides.
Ce que confirme cet aveu de l’OMS, c’est que l’estimation de la positivité au covid issue d’un test PCR (avec un seuil d’amplification de 35 cycles ou plus) n’est pas valide . Dans ce cas, l’OMS recommande de refaire le test : « un nouvel échantillon doit être prélevé et retesté… ».
L’OMS appelle à « refaire les tests » , ce qui revient à dire « nous avons fait une erreur ».
Cette recommandation est une formalité. Elle n'aura pas lieu. Des millions de personnes dans le monde ont déjà été testées, à partir de début février 2020. Néanmoins, nous devons conclure que, à moins d'être à nouveau testées, ces estimations (selon l'OMS) ne sont pas valables.
Depuis le début, le test PCR est systématiquement appliqué à un seuil d'amplification Ct de 35 ou plus, conformément aux recommandations de l'OMS de janvier 2020. Cela signifie que la méthodologie PCR telle qu'elle est appliquée dans le monde entier a conduit à la compilation de statistiques Covid erronées et trompeuses.
Et ce sont ces statistiques qui sont utilisées pour mesurer la progression de la soi-disant « pandémie ». Au-delà d’un cycle d’amplification de 35 ou plus, le test ne détectera pas de fragments du virus. Par conséquent, les « chiffres officiels du Covid » n’ont aucun sens.
Il s’ensuit qu’il n’existe aucune base scientifique permettant de confirmer l’existence d’une pandémie.
Ce qui signifie à son tour que le confinement/les mesures économiques qui ont entraîné la panique sociale, la pauvreté de masse et le chômage (soi-disant pour freiner la propagation du virus) n'ont aucune justification.
Selon l'avis scientifique :
« Si une personne est testée positive par PCR lorsqu'un seuil de 35 cycles ou plus est utilisé (comme c'est le cas dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis), la probabilité que cette personne soit réellement infectée est inférieure à 3 % , la probabilité que ce résultat soit un faux positif est de 97 % (Pieter Borger, Bobby Rajesh Malhotra, Michael Yeadon, Clare Craig, Kevin McKernan, et al, Critique de l'étude Drosten )
Comme indiqué ci-dessus, « la probabilité que ce résultat soit un faux positif est de 97 % » : il s’ensuit que l’utilisation de la détection > 35 cycles contribuera de manière indélébile à « augmenter » le nombre de « faux positifs ».
Au moment où nous écrivons ces lignes (mi-mars 2021), malgré la rétractation de l’OMS, le test PCR est largement utilisé pour faire grimper les chiffres en vue de maintenir la campagne de peur, de justifier les politiques de confinement en cours ainsi que la mise en œuvre du vaccin Covid.
Ironiquement, les chiffres erronés basés sur des « positifs non valides » sont à leur tour manipulés pour assurer une tendance à la hausse des soi-disant « cas confirmés de Covid-19 ».
De plus, ces tests PCR ne sont pas systématiquement accompagnés d’un diagnostic médical des patients testés.
Et maintenant, les autorités sanitaires nationales ont émis de (faux) avertissements concernant une « troisième vague » dans le cadre de leur campagne de propagande en faveur du vaccin contre le Covid-19.
L'OMS confirme que la procédure de test PCR Covid telle qu'appliquée n'est pas valide. Il n'existe absolument aucune base scientifique pour la mise en œuvre du vaccin Covid.
Tant l’OMS que l’évaluation scientifique de Pieter Borger et al (citée ci-dessus) confirment sans équivoque que les tests adoptés par les gouvernements pour justifier le confinement et la déstabilisation des économies nationales sont INVALIDES.
Données invalides et jeu des nombres Il faut comprendre que ces « estimations invalides » sont les « chiffres » cités sans relâche 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 par les médias qui ont été utilisés pour alimenter la campagne de peur et « justifier » TOUTES les politiques mises en avant par les gouvernements :
confinement, fermeture de l'activité économique, la pauvreté et le chômage de masse, faillites distanciation sociale, masque facial, couvre-feu, le vaccin. le passeport santé
Données non valides. Réfléchissez à deux fois avant de vous faire vacciner
Michel Chossudovsky, 9 novembre 2024
Pour le texte complet de l'OMS daté du 13 janvier 2021 (Mea Culpa), voir ci-dessous
Vous trouverez ci-dessous la « rétractation » soigneusement formulée par l’OMS (en annexe) .
Technologies de test des acides nucléiques (NAT) qui utilisent la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour la détection du SARS-CoV-2 Lien vers le document original de l'OMS
Type de produit : Technologies de test d'acide nucléique (NAT) qui utilisent la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour la détection du SARS-CoV-2
Date : 13 janvier 2021
Identifiant OMS : 2020/5, version 2
Public cible : professionnels de laboratoire et utilisateurs de DIV.
Objectif de cet avis : clarifier les informations précédemment fournies par l'OMS. Cet avis remplace l'avis d'information de l'OMS à l'intention des utilisateurs de dispositifs médicaux de diagnostic in vitro (DIV) 2020/05 version 1, publié le 14 décembre 2020.
Description du problème : L’OMS demande aux utilisateurs de suivre les instructions d’utilisation (IFU) lors de l’interprétation des résultats des échantillons testés à l’aide de la méthodologie PCR.
Les utilisateurs de DIV doivent lire et suivre attentivement le mode d’emploi pour déterminer si le réglage manuel du seuil de positivité de la PCR est recommandé par le fabricant.
Les recommandations de l'OMS concernant les tests diagnostiques pour le SARS-CoV-2 indiquent qu'il est nécessaire d'interpréter avec prudence les résultats positifs faibles ( 1 ). Le seuil de cycle (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnel à la charge virale du patient. Lorsque les résultats du test ne correspondent pas à la présentation clinique, un nouvel échantillon doit être prélevé et retesté en utilisant la même technologie NAT ou une technologie différente.
L’OMS rappelle aux utilisateurs de dispositifs de diagnostic in vitro que la prévalence de la maladie modifie la valeur prédictive des résultats des tests ; à mesure que la prévalence de la maladie diminue, le risque de faux positif augmente ( 2 ). Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant un résultat positif (SARS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SARS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité revendiquée.
La plupart des tests PCR sont indiqués comme une aide au diagnostic. Par conséquent, les prestataires de soins de santé doivent tenir compte de tout résultat en combinaison avec le moment de l'échantillonnage, le type d'échantillon, les spécificités du test, les observations cliniques, les antécédents du patient, le statut confirmé de tout contact et les informations épidémiologiques.
Veuillez lire attentivement la notice d'utilisation dans son intégralité. Contactez votre représentant local si un aspect du mode d’emploi ne vous paraît pas clair. Vérifiez le mode d'emploi de chaque envoi entrant pour détecter toute modification du mode d'emploi. Fournissez la valeur Ct dans le rapport au prestataire de soins de santé demandeur. Remarques
1. Tests de diagnostic du SRAS-CoV-2. Genève : Organisation mondiale de la Santé ; 2020, numéro de référence OMS WHO/2019-nCoV/laboratory/2020.6.
2. Altman DG, Bland JM. Tests diagnostiques 2 : valeurs prédictives. BMJ. 1994 9 juillet ;309(6947):102. doi : 10.1136/bmj.309.6947.102.
Fraude aux données : l'EMA a supprimé les décès dus à la vaccination
11 novembre 2024 de Thomas Oysmüller
L'analyste de données Wouter Aukema peut démontrer, à travers des années d'évaluation des bases de données de vaccination, comment elles sont manipulées.
Dans une interview avec l'analyste de données Wouter Aukema, la journaliste d'investigation Sonja Elijah révèle comment les autorités centrales dissimulent le désastre de la vaccination. Aukema a plus de 30 ans d'expérience de travail avec les gouvernements et les entreprises. Il peut désormais prouver une fraude massive aux données lors de l’enregistrement des dommages causés par les vaccins. Et dans l’interview, il a lancé la bombe : la base de données de vaccination de l’EMA a supprimé un grand nombre de rapports.
Aukema et son équipe évaluent depuis des années d’énormes quantités de données sur la sécurité des vaccins Covid. Ils s’appuient principalement sur EudraVigiliance – la base de données de l’UE sur les effets secondaires des vaccinations – ainsi que sur les données des instituts de santé néerlandais. TKP a déjà signalé la manipulation de la base de données EMA à l'été 2022 - Aukema donne désormais suite après des années de recherche. Et montre le sabotage de la base de données néerlandaise sur les blessures causées par les vaccins.
Elie résume la révélation :
En décembre 2021, le député néerlandais Pieter Omtzigt a présenté une motion appelant à une enquête indépendante sur les décès aux Pays-Bas. Il a également demandé que le CIMS (COVID Vaccination Information and Monitoring System), géré par l'Institut national néerlandais pour la santé publique et l'environnement (RIVM) pour surveiller les données de vaccination liées aux vaccins COVID-19, soit mis à la disposition des chercheurs indépendants. La motion d'Omtzigt a été approuvée à l'unanimité au Parlement.
Au lieu de se conformer à cette demande, le gouvernement néerlandais semble non seulement bloquer, mais aussi saboter l’accès transparent à la base de données sur les vaccins. De plus, cela a rendu la base de données inutilisable en supprimant une grande quantité de données personnelles. Dans le cadre de la décision du gouvernement de transférer tous les dossiers de vaccination contre le Covid à l'Office néerlandais des statistiques, plus de 870 000 dossiers de personnes ayant reçu leur première dose d'un vaccin contre le Covid et décédées ou émigrées par la suite (entre janvier 2021 et janvier 2024) ont été systématiquement supprimés.
Ce n’est que grâce au travail minutieux de Wouter et de son équipe, qui téléchargent les données chaque semaine, que cette anomalie majeure a été découverte. Cette découverte a des conséquences considérables, car les données manipulées rendent impossible une évaluation significative de la surmortalité associée aux vaccins anti-Covid aux Pays-Bas.
Mais cela ne suffit pas aux violations de données, qui ne se limitent pas aux Pays-Bas : environ 37 minutes après le début de l'interview, Wouter a lancé la plus grosse bombe de toutes ! Il m'a informé en exclusivité qu'après son téléchargement systématique de données d'EudraVigilance (qui contient des rapports de sécurité du monde entier, pas seulement de l'UE), 40 % des rapports mondiaux de cas de sécurité graves (y compris les hospitalisations et les décès) sont liés au Covid- 19. Les vaccins (uniquement) d'octobre 2021 à novembre 2022 ont été supprimés de la base de données de l'Agence européenne des médicaments. De plus, les rapports de sécurité ont également été modifiés rétroactivement après leur point d'interdiction de données (DLP).
Wouter a présenté sa preuve de ce qui semblait être une horrible fraude/manipulation de données en montrant une diapositive incriminante de son rapport médico-légal de 140 pages, qui n'a pas encore été rendu public. La capture d'écran de la diapositive ci-dessous montre une représentation graphique du nombre cumulé de rapports mentionnant des événements mortels (décès). A noter que le plus grand écart entre le nombre cumulé de décès enregistrés par Aukema et son équipe (ligne bleue) et ceux enregistrés par l'EMA (ligne orange) est visible dans la quatrième colonne - ce sont les décès (événements mortels) après le vaccin Covid. de Pfizer/BioNTech.
- voir graph sur site -
Source .
Selon les rapports périodiques de sécurité (PSUR) déposés par Pfizer/BioNTech auprès de l'EMA, que j'ai déjà examinés ici et ici pour Children's Health Defense Europe , le nombre cumulé de décès signalés suite à leur vaccin jusqu'en novembre 2022 était de 8 322. Cependant, le nombre de décès, basé sur les rapports hebdomadaires de sécurité téléchargés sur les événements mortels consécutifs au vaccin Pfizer/BioNTech par Aukema et son équipe, est nettement plus élevé, à 10 193. Ce qui est inquiétant, c'est que près de 20 % d'entre eux semblent avoir été supprimés de la base de données EudraVigilance.
Lorsqu’on lui a demandé ce qu’il comptait faire de ces preuves à charge, Wouter a répondu :
« Nous avions l'habitude de le soumettre à l'auditeur de l'EMA et de lui faire confiance pour en assurer le suivi, mais que pouvons-nous faire aujourd'hui ? À qui pouvons-nous faire confiance ?
Elijah propose quelques liens supplémentaires vers les recherches de Wouther sur son blog.
Kennedy : 4 sociétés pharmaceutiques reçoivent 35 milliards de dollars de pénalités, de dommages et d'amendes
11 novembre 2024 par le Dr. Peter F. Mayer
Les dégâts n’ont pas été causés uniquement par les « vaccins » contre le Corona ; ils remontent à des siècles, comme l’ont montré les historiens de la médecine. L’histoire récente, avant 2020, montre que les fabricants de vaccins étaient de plus en plus condamnés dans le cadre de poursuites intentées par les parties lésées.
Auteur invité du TKP, le Dr. Med Gerd Reuther l'a réfuté à plusieurs reprises, plus récemment ici avec cette analyse des vaccinations précédentes . La production de vaccins est concentrée chez quatre géants pharmaceutiques, à savoir Pfizer, Glaxo, Merck et Sanofi. Ils ont fabriqué 72 vaccins et ont été collectivement condamnés à 35 milliards de dollars de pénalités, dommages et amendes, comme l'explique Robert F. Kennedy Jr. dans la vidéo ci-dessous.
Ce que ces amendes révèlent également, ce sont les énormes profits que ces entreprises réalisent en vaccinant et en blessant des personnes en bonne santé. Les sociétés pharmaceutiques sont parmi les plus rentables de toutes, probablement seulement dépassées par les sociétés de défense. Même des chiffres aussi énormes n’ont pas laissé de trace durable dans les bilans ni même persuadés d’abandonner le secteur de la vaccination.
Voici une traduction de ce que dit Robert F. Kennedy Jr. :
« Ce que les gens doivent comprendre, c’est que les quatre sociétés qui fabriquent ces 72 vaccins, à savoir Pfizer, Glaxo, Merck et Sanofi, sont en cause. Toutes ces entreprises sont des criminels reconnus coupables. Et ce n’est pas tout, ce sont des criminels en série. Leur modèle économique consiste à commettre des crimes.
« Ces entreprises ont payé collectivement 35 milliards de dollars en pénalités, dommages et amendes au cours des 10 dernières années pour avoir falsifié la science, fraudé les régulateurs, menti aux médecins et causé la mort de centaines de milliers de personnes. Le Vioxx, produit phare de Merck, a tué entre 120 000 et 500 000 Américains. C'était une pilule. Et Merck l’a vendu comme pilule contre les maux de tête.
« Et Merck savait que cela provoquait des crises cardiaques et tuait des gens. Et ils n’en ont parlé à personne. Et ils savaient qu'un certain, vous savez, on a les tableaux qui montrent qu'il y a des compteurs, leurs comptables. Ils ont dit : « Vous allez tuer tellement de personnes par dose. Nous pouvons encore gagner plus d’argent même s’ils nous poursuivent tous en justice. Et ils ont fini par tuer, vous savez, jusqu’à un demi-million d’Américains. Et ils s’en sont sortis.
« Ils ont payé 7 milliards de dollars d’amendes. Personne n'est allé en prison. Et c'est, vous savez. Ils ont probablement réalisé un bénéfice de 100 millions de dollars. Il s'agit d'une entreprise. Donc c'est une entreprise, ça, il faut une sorte de dissonance cognitive pour croire que ces entreprises qui mentent et trichent sur tous les autres produits pharmaceutiques, tous les autres dispositifs médicaux qu'elles fabriquent, trouvent d'une manière ou d'une autre les vaccins de Jésus et ne nous mentent pas. »
« Et le problème avec les vaccins, c’est que les vaccins sont le seul endroit où ils ne peuvent jamais être attrapés, car il est illégal dans ce pays de poursuivre en justice un fabricant de vaccins. "Le Congrès a adopté une loi en 1986 qui dit qu'on ne peut pas poursuivre une entreprise, aussi négligente soit-elle, aussi malveillante soit-elle, aussi toxique que le produit soit, quelle que soit la gravité du préjudice."
Augmentation drastique des accidents vasculaires cérébraux après la campagne de vaccination contre le corona
11 novembre 2024 par le Dr. Peter F. Mayer
Une nouvelle étude évaluée par des pairs confirme que les « vaccins » à ARNm contre le coronavirus provoquent une augmentation spectaculaire de 112 000 fois des caillots sanguins mortels dans le cerveau . Le célèbre cardiologue, le Dr. Peter McCullough, impliqué.
L'étude vient d'être publiée dans le prestigieux International Journal of Innovative Research in Medical Science (IJIRMS) sous le titre « COVID-19 Vaccines : A Risk Factor for Cerebral Thrombotic Syndromes » . Dans le cadre de l'étude, l'équipe d'experts dirigée par le Dr. Rogers tous les rapports de thromboembolie cérébrale des 34 dernières années.
La thromboembolie cérébrale survient lorsqu'un caillot sanguin se forme dans le sinus veineux du cerveau. Cela signifie que le sang ne peut plus s’écouler du cerveau. Cet enchaînement d’événements fait partie d’un accident vasculaire cérébral qui peut endommager le cerveau et le système nerveux central et entraîner une mort subite. Il s’agit d’un effet secondaire connu des injections d’ARNm Corona.
Un certain nombre de scientifiques réputés avaient déjà prédit la probabilité que ces dommages soient causés par les injections d’ARNm en 2020. Le modRNA, conditionné dans des nanoparticules lipidiques, pénètre rapidement dans la circulation sanguine et peut facilement traverser la barrière hémato-encéphalique. En particulier, là où le sang circule lentement, comme dans les nombreux capillaires du cerveau, le modRNA transfecte les cellules endothéliales qui tapissent les vaisseaux sanguins. Les cellules infectées sont reconnues comme n'appartenant pas à l'organisme et rendues inoffensives par les cellules NK ou T. Les blessures sont scellées par des plaquettes sanguines et peuvent entraîner la formation de caillots sanguins, en particulier dans les vaisseaux capillaires, qui peuvent ensuite entraîner la formation de caillots plus gros dans le sinus veineux. Le professeur Sucharit Bhakdi, par exemple, a décrit cela exactement correctement dans son livre « Corona fausse alarme » et dans son deuxième livre « Corona démasqué » . Plus d'informations à ce sujet ici dans cet article du TKP et dans une vidéo avec les professeurs Bhakdi, Sönnichsen et Haditsch.
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L'étude confirme désormais cette analyse. Les scientifiques ont examiné les données sur les rapports de thromboembolie cérébrale suite à des vaccinations contre le coronavirus soumis aux Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis et au système fédéral de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS).
Ils ont analysé tous les rapports de janvier 1990 à décembre 2023. L’étude a révélé que 5 137 cas ont été signalés au cours des trois années pendant lesquelles les injections d’ARNm étaient disponibles.
Cependant, au cours des 34 années de données disponibles, seuls 52 cas de thromboembolie cérébrale associés aux vaccins contre la grippe ont été signalés.
Selon ces données, le nombre de thromboembolies cérébrales est multiplié par 1 120 avec les injections de Covid par rapport aux vaccinations contre la grippe.
Pour tous les vaccins autres que le vaccin contre la grippe, 282 cas de thromboembolie cérébrale liés au vaccin ont été signalés au cours des 34 dernières années. Cela signifie que le risque lié aux nouvelles vaccinations est multiplié par 207 par rapport aux autres vaccins.
"Il y a un dépassement alarmant du seuil de signal de sécurité pour la thrombose cérébrale après les vaccins corona par rapport aux vaccins contre la grippe et même par rapport à tous les autres vaccins", concluent les auteurs.
« Un moratoire mondial immédiat sur l’utilisation des vaccins contre la COVID-19 est nécessaire, avec une contre-indication absolue pour les femmes en âge de procréer. »
McCullough, un cardiologue bien connu, a ajouté sur son Substack que le rapport « ne rend pas compte de l'étendue des dommages neurologiques permanents et du handicap dont souffrent ces patients.
«Je peux vous dire que les taux doivent être très élevés compte tenu de l'ampleur des caillots sanguins signalés», explique-t-il.
« Ces données, ainsi que d’autres, soutiennent le retrait du marché de tous les vaccins et rappels contre la COVID-19.
« Personne ne devrait courir le risque d’un accident vasculaire cérébral grave à cause d’un vaccin. »
Une étude révèle que les rappels de COVID sont liés à des millions de décès dans les maisons de retraite – et le bilan s’alourdit
Par Baxter Dmitry et Dr William Makis Recherche mondiale, 11 novembre 2024
Partout dans le monde, on a assuré aux personnes âgées que la vaccination contre la COVID-19 les protégerait de la mort. Pourtant, une nouvelle étude majeure évaluée par des pairs a révélé cette trahison dévastatrice : les vaccins à ARNm contre la COVID-19 ont directement contribué à la mort de millions de résidents de maisons de retraite dans le monde entier.
Alors qu’on leur avait promis une protection, ces populations vulnérables ont en réalité connu une mortalité accrue après avoir reçu des doses de rappel, l’intervention même censée protéger leur vie ayant en réalité accéléré leur mort.
L’étude des chercheurs, le professeur Sourafel Girma et David Paton, publiée dans Science Direct, expose cette réalité inquiétante, révélant que loin d’offrir un bénéfice clair et cohérent, les vaccinations contre la COVID-19 – en particulier les rappels – ont contribué à augmenter la mortalité dans ces populations vulnérables.
En utilisant l’apprentissage automatique pour analyser les données de vaccination, l’étude n’a trouvé qu’un faible bénéfice à court terme dans deux des trois mesures de mortalité parmi les résidents des maisons de retraite.
Cependant, après l’administration des doses de rappel, on a constaté une augmentation significative des décès liés à la COVID-19, un résultat troublant qui contredit l’objectif initial des vaccins.
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Annonce du nouveau document de recherche sur X
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Les auteurs ont noté :
« Plus tard, nous trouvons des preuves que des taux de vaccination plus élevés sont associés à une mortalité plus élevée due au Covid. »
Plus alarmant encore, la vaccination du personnel des maisons de retraite semble avoir un impact systématiquement négatif sur la mortalité des résidents.
Sur les sept périodes analysées et pour chaque dose de vaccin administrée, les données ont montré que la vaccination du personnel était liée à des taux plus élevés de décès dus à la COVID et à toutes causes confondues parmi les résidents. Ces résultats étaient statistiquement significatifs avec un intervalle de confiance de 99 % pour la série de vaccins primaires.
Cette étude soulève des inquiétudes cruciales quant à la campagne continue en faveur de la vaccination contre la COVID-19 dans les maisons de retraite, en particulier lorsque les données ne montrent de plus en plus aucun avantage clair – et dans la plupart des cas, des dommages importants.
En l’absence de preuves solides justifiant la poursuite de la vaccination des résidents ou du personnel, la question devient : pourquoi les autorités sanitaires continuent-elles de promouvoir ces vaccins ?
Comme c’est souvent le cas, les médias grand public sont restés silencieux sur cette question, malgré le nombre croissant de preuves qui remettent en question l’efficacité et la sécurité des vaccins contre la COVID-19 dans les maisons de retraite.
L’étude de Girma et Paton n’est que la dernière d’une série de résultats suggérant que la stratégie de vaccination actuelle non seulement ne parvient pas à protéger les plus vulnérables, mais pourrait les exposer à un risque encore plus grand.
Le temps est venu d’un dialogue ouvert et honnête sur l’impact réel des vaccins contre la COVID-19 sur les résidents des maisons de retraite – et de déterminer si la poursuite de cette approche est judicieuse.
Commentaire du Dr William Makis Les vaccins contre la COVID-19 n’ont apporté aucun bénéfice, même dans les « populations à haut risque » d’infection par la COVID-19 : les personnes âgées de plus de 70 ans et celles vivant dans un établissement de soins de longue durée.
Les vaccins contre la COVID-19 n’ont fait qu’accélérer la mort des personnes de plus de 70 ans.
Incapacité du pilote : vol BA2158 de British Airways, le pilote est décédé subitement pendant une escale après s'être effondré
Par le Dr William Makis Recherche mondiale, 11 novembre 2024
Vous trouverez ci-dessous un extrait d’un article du Daily Mail :
Un pilote de British Airways est décédé lors d'une escale entre deux vols dans une station balnéaire de l'île de Sainte-Lucie, selon les rapports.
Le premier officier supérieur, âgé de 47 ans, se serait effondré dans un hôtel de luxe devant des touristes choqués sur l'île des Caraïbes hier.
Son décès a obligé BA à annuler le vol BA2158 en provenance de Vieux Fort, qui devait atterrir à Londres Gatwick à 08h50 aujourd'hui.
« Cette tragédie a laissé le personnel de British Airways abasourdi et profondément bouleversé », aurait déclaré une source au Sun.
« Le premier officier était très populaire et sa mort est totalement inattendue. »
Les membres de l'équipage dévastés devraient retourner au Royaume-Uni sur un autre vol ce soir.
L'équipage qui a volé avec le pilote s'est vu proposer des conseils par ses supérieurs.
BA a déclaré dans un communiqué à MailOnline : « Nos pensées et nos condoléances accompagnent la famille et les amis de notre collègue dans cette période difficile. »
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Incapacités de pilotes en service en 2024 (12 à ce jour)
3 novembre 2024 – Vol BA2158 (UVF-LGW) de British Airways de Sainte-Lucie à Londres, le pilote de 47 ans est décédé subitement pendant une escale, après s'être effondré dans une station balnéaire de Sainte-Lucie.
9 octobre 2024 – Vol TK204 (SEA-IST) de Turkish Airlines d'Istanbul à Seattle, le capitaine Ilcehin Pehlivan, 59 ans, est décédé en plein vol
8 septembre 2024 – Le vol Southwest SW3584 (LAS-DAL) a quitté LAS à 08h34 PDT en direction de DAL, puis a été dérouté vers LBB en raison de l'incapacité du commandant de bord. Le copilote a atterri, s'est arrêté et a retiré le commandant de bord de son siège pour se rendre à la porte d'embarquement.
19 août 2024 – Vol Wizz Air W6-1451 (WAW-LCA) de Varsovie (Pologne) à Larnaca (Chypre), le pilote est devenu incapable de voler, l'avion a été contraint de retourner à Varsovie, l'incident a été qualifié de grave
22 juillet 2024 – Vol Edelweiss WK-5 (TPA-ZRH) de Tampa, FL, USA à Zurich, Suisse, le pilote a souffert d'un problème de santé et a été frappé d'incapacité
12 juin 2024 – Vol NE-130 (CAI-TIF) de Nesma Airlines du Caire, en Égypte, à destination de Taif (Arabie saoudite) – le pilote, le capitaine Hassan Youssef Adas, âgé d'une trentaine d'années, s'est effondré et est décédé d'une crise cardiaque présumée
4 juin 2024 – Vol Aeromexico AM-34 (MTY-MAD) de Monterrey (Mexique) à Madrid (Espagne), le premier officier est tombé malade, a eu un problème médical, vol dérouté vers Mexico.
24 mars 2024 – Le capitaine Keith Duncan, pilote de Jetblue, est décédé subitement lors d'une escale à Curaçao
14 mars 2024 – British Airways BA-2272 (JFK-LGW) de New York à Londres-Gatwick, l'un des pilotes est tombé en incapacité et l'avion a été contraint de se dérouter vers St. John's, Terre-Neuve-et-Labrador, Canada.
17 février 2024 – Vol Lufthansa LH-1140 (FRA-SVQ) de Francfort à Séville le 17 février 2024 – Premier officier en incapacité, avion retourné à Madrid
16 février 2024 – DELTA – NYC – Le capitaine Geoffrey John Brock, 58 ans, est décédé de manière inattendue le 16 février 2024 lors d'une escale à Honolulu, HI
16 janvier 2024 – Vol LATAM Brasil LA-3744 (BSB-JPA) de Brasilia à João Pessoa le 16 janvier 2024 – Pilote en incapacité, avion détourné vers Salvador pour un atterrissage en toute sécurité
Une femme licenciée pour avoir refusé le vaccin contre la COVID-19 remporte un prix record de 12 millions de dollars
Par Newsweek Recherche mondiale, 11 novembre 2024
Un jury fédéral de Détroit a accordé vendredi plus de 12 millions de dollars à un ancien employé de Blue Cross Blue Shield of Michigan (BCBSM) qui a été licencié après avoir refusé de se faire vacciner contre le COVID-19 , invoquant une discrimination religieuse.
Selon le verdict, Lisa Domski, qui a travaillé pendant plus de 30 ans comme spécialiste informatique pour la compagnie d'assurance, a reçu 10 millions de dollars de dommages et intérêts punitifs de la part de Blue Cross Blue Shield of Michigan. Le jury lui a également accordé environ 1,7 million de dollars pour perte de salaire et 1 million de dollars de dommages et intérêts non économiques.
Newsweek a contacté Blue Cross Blue Shield par courrier électronique samedi pour obtenir un commentaire.
Domski a affirmé avoir été victime de discrimination religieuse après que l'entreprise a rejeté sa demande d'exemption de sa politique de vaccination de 2021. Elle a soutenu que cette exigence était en conflit avec ses croyances catholiques.
Les dossiers judiciaires montrent que Domski a travaillé à 100 % à distance pendant la pandémie et à 75 % à distance avant l'apparition du COVID-19 en 2020. Son avocat, Jon Marko, a fait valoir que même sans vaccination, elle ne présentait aucun risque pour les autres en raison de son régime de travail à distance.
« Nos ancêtres se sont battus et sont morts pour la liberté de chaque Américain de pratiquer sa propre religion. Ni le gouvernement ni une entreprise n’ont le droit de forcer un individu à choisir entre sa carrière et sa conscience », a déclaré Marko dans un communiqué. « Lisa a refusé de renoncer à sa foi et à ses convictions et a été injustement licenciée du seul emploi qu’elle ait jamais connu. Le verdict du jury d’aujourd’hui indique au BCBSM que la discrimination religieuse n’a pas sa place en Amérique et affirme le droit de chaque personne à la liberté religieuse. »
Blue Cross Blue Shield of Michigan avait mis en œuvre sa politique de vaccination en octobre 2021, exigeant que tous les employés soient entièrement vaccinés contre le COVID-19 ou obtiennent un aménagement religieux ou médical. L'entreprise a nié toute discrimination pendant le procès. Dans des documents judiciaires antérieurs, l'assureur s'est demandé si Domski avait une croyance religieuse sincère.
En réponse au verdict, Blue Cross Blue Shield du Michigan a publié une déclaration défendant ses actions :
« Tout au long de la pandémie, Blue Cross Blue Shield of Michigan et ses employés ont travaillé ensemble pour promouvoir la santé et la sécurité de nos collègues, de nos parties prenantes et de nos communautés. Dans le cadre de ce travail commun, en octobre 2021, Blue Cross et ses filiales ont mis en place une politique de vaccination exigeant que tous ses employés soient entièrement vaccinés contre la Covid-19 ou obtiennent un aménagement religieux ou médical. »
« Dans le cadre de la mise en œuvre de la politique de vaccination, Blue Cross a conçu un processus d’adaptation conforme aux lois fédérales et étatiques et qui respecte les croyances religieuses sincères de ses employés. Bien que Blue Cross respecte le processus du jury et remercie les jurés pour leur service, nous sommes déçus du verdict. Blue Cross examine ses options juridiques et déterminera sa voie à suivre dans les prochains jours. »
Blue Cross Blue Shield du Michigan a indiqué qu'il examinait les options juridiques potentielles, suggérant un éventuel appel du verdict.
Une étude révèle que les rappels de COVID sont liés à des millions de décès dans les maisons de retraite – et le bilan s’alourdit
Par Baxter Dmitry et Dr William Makis Recherche mondiale, 11 novembre 2024
Partout dans le monde, on a assuré aux personnes âgées que la vaccination contre la COVID-19 les protégerait de la mort. Pourtant, une nouvelle étude majeure évaluée par des pairs a révélé cette trahison dévastatrice : les vaccins à ARNm contre la COVID-19 ont directement contribué à la mort de millions de résidents de maisons de retraite dans le monde entier.
Alors qu’on leur avait promis une protection, ces populations vulnérables ont en réalité connu une mortalité accrue après avoir reçu des doses de rappel, l’intervention même censée protéger leur vie ayant en réalité accéléré leur mort.
L’étude des chercheurs, le professeur Sourafel Girma et David Paton, publiée dans Science Direct, expose cette réalité inquiétante, révélant que loin d’offrir un bénéfice clair et cohérent, les vaccinations contre la COVID-19 – en particulier les rappels – ont contribué à augmenter la mortalité dans ces populations vulnérables.
En utilisant l’apprentissage automatique pour analyser les données de vaccination, l’étude n’a trouvé qu’un faible bénéfice à court terme dans deux des trois mesures de mortalité parmi les résidents des maisons de retraite.
Cependant, après l’administration des doses de rappel, on a constaté une augmentation significative des décès liés à la COVID-19, un résultat troublant qui contredit l’objectif initial des vaccins.
Annonce du nouveau document de recherche sur X
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Les auteurs ont noté :
« Plus tard, nous trouvons des preuves que des taux de vaccination plus élevés sont associés à une mortalité plus élevée due au Covid. »
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Plus alarmant encore, la vaccination du personnel des maisons de retraite semble avoir un impact systématiquement négatif sur la mortalité des résidents.
Sur les sept périodes analysées et pour chaque dose de vaccin administrée, les données ont montré que la vaccination du personnel était liée à des taux plus élevés de décès dus à la COVID et à toutes causes confondues parmi les résidents. Ces résultats étaient statistiquement significatifs avec un intervalle de confiance de 99 % pour la série de vaccins primaires.
Cette étude soulève des inquiétudes cruciales quant à la campagne continue en faveur de la vaccination contre la COVID-19 dans les maisons de retraite, en particulier lorsque les données ne montrent de plus en plus aucun avantage clair – et dans la plupart des cas, des dommages importants.
En l’absence de preuves solides justifiant la poursuite de la vaccination des résidents ou du personnel, la question devient : pourquoi les autorités sanitaires continuent-elles de promouvoir ces vaccins ?
Comme c’est souvent le cas, les médias grand public sont restés silencieux sur cette question, malgré le nombre croissant de preuves qui remettent en question l’efficacité et la sécurité des vaccins contre la COVID-19 dans les maisons de retraite.
L’étude de Girma et Paton n’est que la dernière d’une série de résultats suggérant que la stratégie de vaccination actuelle non seulement ne parvient pas à protéger les plus vulnérables, mais pourrait les exposer à un risque encore plus grand.
Le temps est venu d’un dialogue ouvert et honnête sur l’impact réel des vaccins contre la COVID-19 sur les résidents des maisons de retraite – et de déterminer si la poursuite de cette approche est judicieuse.
Commentaire du Dr William Makis
Les vaccins contre la COVID-19 n’ont apporté aucun bénéfice, même dans les « populations à haut risque » d’infection par la COVID-19 : les personnes âgées de plus de 70 ans et celles vivant dans un établissement de soins de longue durée.
Les vaccins contre la COVID-19 n’ont fait qu’accélérer la mort des personnes de plus de 70 ans.
Le taux de fécondité en Angleterre et au Pays de Galles tombe à son plus bas niveau depuis le début des relevés en 1938
Les dernières données montrent que la baisse la plus importante des taux de fécondité concerne les femmes des tranches d'âge 20-24 ans et 25-29 ans.
Par Sky News et le Dr William Makis Recherche mondiale, 11 novembre 2024
Selon les données gouvernementales, le taux de fécondité en Angleterre et au Pays de Galles est tombé à son plus bas niveau depuis le début des relevés.
Le taux de fécondité total (TFR) moyen – le nombre moyen d’enfants nés d’une femme au cours de sa vie – était de 1,44 enfant par femme en 2023.
Il s'agit de la valeur la plus basse depuis le début des relevés en 1938, selon les nouveaux chiffres de l'Office for National Statistics (ONS).
Quelque 591 072 naissances vivantes ont été enregistrées, soit le nombre le plus bas depuis 1977.
Les chiffres de 2022 ont montré que le TFR moyen était tombé à 1,49 enfant par femme, contre 1,55 en 2021.
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Greg Ceely , responsable de la surveillance de la santé de la population à l'ONS, a déclaré :
« Les taux de fécondité totaux ont diminué en 2023, une tendance que nous observons depuis 2010.
« Si l’on examine plus en détail les taux de fécondité chez les femmes de différents âges, on constate que la baisse la plus spectaculaire a été observée dans les groupes d’âge 20-24 ans et 25-29 ans. »
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Ces dernières données font suite à une analyse commandée par Sky News montrant que le taux de fécondité au Royaume-Uni diminue plus rapidement que dans tout autre pays du G7 .
Une étude menée par le groupe de réflexion Centre for Progressive Policy (CPP) a révélé que le taux de fécondité a chuté de 18,8 %.
Les femmes ont de plus en plus d’enfants à un âge plus avancé : seule une femme sur cinq née en 1997 a eu un enfant avant l’âge de 25 ans, soit le taux le plus bas de toutes les générations précédentes.
Le manque de préparation, les pressions financières et le fait de ne pas trouver le bon partenaire empêchent les milléniaux qui souhaitent avoir des enfants d'essayer d'en avoir, selon une étude du Centre d'études longitudinales de l'UCL.
Le coût du logement et de la garde d’enfants ont été cités comme raisons, ainsi que le fait que les gens ne se sentent pas prêts à avoir des enfants parce que d’autres événements majeurs de la vie se produisent plus tard.
Selon l’ONS, un taux de fécondité de 2,1 enfants par femme est nécessaire en moyenne pour assurer le remplacement « naturel » à long terme de la population.
Pourtant, le taux est en baisse depuis 2010 – et la situation est similaire à l’échelle mondiale.
Le taux de fécondité total mondial était de 2,3 enfants par femme en 2022, soit moins de la moitié du taux (5,3) de 1963, la plupart des pays connaissant une baisse.
Le taux de fécondité le plus bas est à Taïwan, où les femmes ont en moyenne 1,09 enfant, suivi de près par la Corée du Sud avec un taux de 1,11 et Singapour avec 1,17, selon les données de la CIA.
L’Ukraine – envahie par la Russie en 2022 –, Hong Kong, Macao, l’Italie et la Moldavie affichent également les taux les plus bas.
Malgré la baisse des taux de fécondité, les populations peuvent continuer à croître pendant un certain temps.
Cela est dû au fait qu’il faut du temps pour que la croissance démographique s’inverse, mais aussi à des facteurs tels que l’immigration.
Commentaire du Dr William Makis
En 2021, lorsque les vaccins contre la COVID-19 ont été déployés, la tranche d’âge des 20 à 24 ans aurait été celle des 17 à 21 ans.
C’est l’une des raisons pour lesquelles tant d’universités et de collèges ont imposé des mesures draconiennes de vaccination contre la COVID-19 à tous leurs étudiants.
Cela devait être l’un des résultats souhaités. Il n’y a pas d’autre solution.
Sombre marasme en Allemagne et dans l’UE – les prix montent à 2 748 euros par MWh
10 novembre 2024 par le Dr. Peter F. Mayer
Il y a actuellement un vrai temps automne-hiver avec du brouillard et le vent calme qui y est associé. De plus, les températures sous le brouillard restent proches de zéro. Les éoliennes sont à l'arrêt, le photovoltaïque fournit pendant quelques heures entre 1 et 10 pour cent de la puissance installée. Les chauffages fonctionnent à pleine capacité, les lumières sont allumées la majeure partie de la journée et l’alimentation électrique est au bord de la panne d’électricité.
Nous avons eu peu de vent depuis le début de la semaine et au début il y avait du soleil, mais il y en a de moins en moins de jour en jour. Le soleil est bas et le photovoltaïque fournit donc moins d'énergie et moins d'heures par jour. L’énergie « renouvelable » ignore la propagande européenne et se « renouvelle » peu ou pas du tout.
Avec le Green Deal, la politique énergétique de la Commission européenne s'appuie de plus en plus sur le photovoltaïque et l'éolien, qui sont les moins disponibles lorsque vous avez le plus besoin d'électricité. Dans le même temps, les infrastructures pétrolières et gazières et les centrales électriques à base d’hydrocarbures sont démantelées.
Il en résulte une hausse des prix de l’énergie et un risque de pannes d’électricité. La vidéo ci-dessous rapporte que le marasme sombre en cours en Allemagne a désormais atteint des prix de gros de 820 euros par MWh et même aux Pays-Bas de 2 748 euros par MWh. Même les Autrichiens ont dû payer 720 euros par mégawattheure, même si la production était supérieure à celle qu'ils consommaient eux-mêmes. Et cela montre à quel point notre réseau électrique européen dans son ensemble devient de plus en plus instable.
Les prix spot moyens en 2024 se situaient autour de 80 à 90 euros par MWh. Avant la crise énergétique provoquée par l'entreprise (la guerre en Ukraine est une tactique de diversion des plus bienvenue), le prix de gros se situait pendant des années entre 35 et 45 euros, et le prix industriel final était d'environ 50 euros.
Quiconque pense que le prix de 2 748 euros est assez fou doit être prévenu de ce qui s’en vient à partir du 1er décembre 2025. Dès lors, lorsque la capacité est épuisée, un facteur de rareté s’ajoute au prix de compensation. L’impact de cette mesure aurait été important si elle était entrée en vigueur aujourd’hui, dans la mesure où les prix des 100 derniers MW dans l’ordre de mérite d’équilibrage sont extrapolés linéairement pour compenser le déséquilibre global. Il existe alors un prix maximum théorique pouvant atteindre 68 000 euros par MWh . C'est la politique énergétique de l'UE.
L'Allemagne a importé 1,16 GW d'Autriche, 585 MW de Suisse, 3,55 GW de France, encore plus de Belgique, 1,26 GW des Pays-Bas, 0,5 du Danemark, l'est du Danemark a également importé 0,5 MW du sud de la Suède, 209 MMW de Norvège, 1 GW de Pologne et 2 GW de République tchèque. Ainsi, tous les voisins de l’Allemagne fournissent actuellement de l’électricité parce qu’il n’y en a pas assez à l’avant et à l’arrière.
L’énergie solaire ne fournit que 7,44 % de la capacité installée. C'est pourquoi vous utilisez beaucoup le charbon. 19,2 GW à partir du charbon, puis 13,6 GW supplémentaires à partir du gaz naturel.
L'Allemagne et les Pays-Bas ont dû recourir à leurs dernières réserves pour éviter une panne d'électricité.
La politique de l’UE et en particulier celle des Verts en Allemagne sont à peu près les mêmes. Plus d'énergie éolienne, plus solaire et moins sûre . Mais dans le marasme sombre, cela signifie que zéro fois cent de ce que nous avons déjà, c’est encore trop peu, voire rien.
Les évolutions futures, notamment en Allemagne, seront décidées selon ce qui réussira le plus rapidement : la désindustrialisation ou la réduction de l'approvisionnement énergétique. Si la désindustrialisation s’accélère, les prix de l’énergie resteront constants, voire baisseront. Toutefois, si le démantèlement des réseaux de distribution de gaz ou des réseaux de stations-service est accéléré, les coûts de l'énergie augmenteront plus rapidement, notamment en raison des coûts liés à l'extension nécessaire des réseaux électriques et au démantèlement des réseaux de gaz.
Plus d’informations à ce sujet sur Outdoor Chiemgau / MrBlackout :
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L eyen fait encore mieux en matière d'incompétence et de politique irréfléchie :
Montel News rapporte les déclarations actuelles de Leyen :
« Nous allons libérer l’énorme potentiel d’énergies renouvelables en Europe et le mettre à la disposition de nos industries pour les aider à se décarboner », a-t-elle déclaré jeudi dans un message vidéo lors du Sommet sur l’hydrogène renouvelable à Bruxelles.
Von der Leyen a demandé à sa nouvelle équipe de commissaires européens de présenter l' accord sur l'industrie propre dans les 100 jours suivant le début de son mandat de cinq ans. Cela pourrait être le cas dès la fin février si le Parlement européen confirme les commissaires ce mois-ci et qu'ils commencent à travailler en décembre.»
Il n’y a également rien de « renouvelable » dans l’hydrogène. Il doit être produit avec une dépense énergétique extrêmement élevée, liquéfié avec beaucoup d'efforts, transporté et protégé contre les fuites, car autrement l'oxyhydrogène produit fait ce que son nom l'indique.
À propos, saviez-vous que l’affirmation selon laquelle le pétrole était un « combustible fossile » était un stratagème des Rockefeller pour créer une impression de rareté et ainsi faciliter l’accord sur un prix mondial plus élevé du pétrole ? Les hydrocarbures sont également présents là où il n'y a ni plantes ni animaux, comme dans les lacs de méthane de Titan, la lune de Saturne. Ou sur des astéroïdes.
Même sur Terre, le méthane (gaz naturel) et le pétrole proviennent principalement des profondeurs de la terre et sont pratiquement inépuisables pour nos besoins. Tout cela est très bien expliqué dans le livre « La biosphère des profondeurs chaudes et le mythe des sources d’énergie fossile » de Thomas Gold.
Pour Leyen, selon sa propre déclaration, il s’agit également d’arrêter intentionnellement la croissance de l’économie et de la population, comme elle le dit dans la vidéo suivante :
- voir clip sur site -
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L'OMS : une organisation criminelle ?
RépondreSupprimer09.11.2024
www.kla.tv/31010
Le 11 mars 2020, l'OMS a officiellement déclaré que les infections présumées par le coronavirus constituaient une pandémie mondiale. Cela a représenté pour beaucoup un profond bouleversement dans leur vie. Les mesures imposées par les politiques, telles que les confinements, l'obligation du masque, de la vaccination, du dépistage, etc. ont entraîné des chutes massives de la vie publique et de l'économie, des violations généralisées de la loi, l'exclusion de ceux qui critiquent les mesures, des dommages psychologiques chez les enfants et les adolescents, ainsi qu'une forte augmentation des atteintes à la santé, notamment en raison des injections anti-Covid administrées en masse dans le monde entier.
Dans un message vidéo diffusé lors de la manifestation du 3 août 2024 à Berlin, le professeur Sucharit Bhakdi demande qu'on se penche sur la prétendue pandémie de Covid. Bhakdi estime que sans enquête et remise en ordre, il n'y a pas de changement et en fin de compte pas de paix. Il n'y a aucune justification pour toutes les mesures Covid. Les personnes vaccinées feraient ainsi partie d'une expérience humaine monstrueuse menée par l'élite au pouvoir dans le monde entier.
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a joué un rôle décisif - si ce n'est le plus décisif - dans cette affaire. Sans l'OMS, pas de pandémie. Et pas de remise en ordre sans une enquête précise sur l'OMS. Tel est l'objet de cette émission.
Le célèbre médecin américain et expert en examen de brevets, le Dr David Martin, a fait la déclaration importante suivante dans le cadre de l'enquête sur la pandémie de Covid :
"Nous débattons des feuilles de l'arbre que nous appelons pandémie, mais nous n'allons pas jusqu'à la racine. Il s'agit [l'OMS] d'une organisation criminelle organisée, créée pour obtenir d'abord une immunité absolue, puis pour mettre en œuvre ses plans afin de s'assurer qu'elle contrôle qui vit, qui meurt et qui a la moindre chance de vivre."
Mais en quoi l'Organisation mondiale de la santé (OMS) est-elle criminelle ? En partant de l'affirmation du Dr Martin, cette émission analyse si et dans quelle mesure la criminalité peut être prouvée à l'OMS. Jetons d'abord un coup d'œil à la base de travail de l'OMS : la Constitution.
1. La piste criminelle dans la Constitution de l'OMS
L'article V, section 13 de la Constitution de l'OMS stipule ce qui suit :"Les représentants des membres [...] bénéficient [...] :]
(a) de l'immunité d’arrestation ou de détention et de saisie de leurs bagages personnels et, en ce qui concerne les actes accomplis par eux en leur qualité officielle (y compris leurs paroles et écrits), immunité de toute juridiction."
Écoutez le Dr David Martin à ce sujet :"Lors de sa formation en 1947 [(...)], elle a été financée et fondée par des personnes qui, selon leurs propres termes, voulaient délibérément commettre un crime. La section 13 de l'article V se termine par la déclaration suivante : "Immunité en cas d'arrestation ou de détention personnelle", bla, bla, bla... "Immunité en cas de procédure judiciaire de quelque nature que ce soit." Or, s'ils n'avaient pas l'intention de commettre un crime, pourquoi se donneraient-ils une immunité permanente et absolue contre toute poursuite et, pire encore, même contre toute enquête de poursuite de quelque nature que ce soit ? Les gens sont assis là et font comme si c'était l'immunité diplomatique. Vous réalisez que cela ne correspond même pas aux normes de l'immunité diplomatique ?"
Qui sont donc ces personnes qui ont financé et fondé l'OMS et qui, selon le Dr Martin, voulaient délibérément commettre un crime ?
2. Ceux qui sont à l'origine de la création de l'OMS
RépondreSupprimerFondée le 7 avril 1948, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) est la plus grande agence spécialisée des Nations unies.
John D. Rockefeller III (1906 - 1978) a été à l'origine de la création des Nations Unies et de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) en tant que président de la fondation familiale "Rockefeller Foundation". Le passage suivant, tiré de l'article "Philanthropie et santé mondiale : La Fondation Rockefeller et l'Organisation de la santé de la Société des Nations" [prédécesseur de l'OMS] met en évidence la position exceptionnelle de la Fondation Rockefeller. Elle l'était déjà avant la création de l'OMS. Citation : "Il y avait un risque que les fonctionnaires gouvernementaux qui préféraient une approche minimaliste ne soient pas en mesure de partager la vision large des experts internationaux de la santé. [(...)] Cette complexité signifiait que la Fondation Rockefeller assumait une multitude de rôles, depuis celui de sage-femme à la naissance de l'organisation de santé jusqu'à la résurrection de ses restes brisés lorsqu'une nouvelle organisation internationale de santé a été planifiée après la Seconde Guerre mondiale".
Les bonnes relations entre l'OMS et la Fondation Rockefeller se poursuivent encore aujourd'hui. Le directeur général de l'OMS de l'époque, M. G. Candau, a déclaré à l'occasion du 50e anniversaire de la Fondation Rockefeller en 1963 :"Je n'ai aucun doute que l'étroite collaboration entre la Fondation Rockefeller et l'OMS continuera à jouer un rôle essentiel dans les années à venir pour atteindre l'objectif que les deux organisations partagent..."
Rien que depuis l'an 2000, la fondation Rockefeller fait régulièrement des dons à l'OMS pour un montant de plus de 25,6 millions de dollars.
Voici ce qu'on peut lire à ce sujet sur le site de la Fondation Rockefeller :"La collaboration entre la Fondation Rockefeller et l'Organisation mondiale de la santé remonte aux débuts de l'Organisation mondiale de la santé. En janvier 2022, la Fondation Rockefeller est devenue un acteur non gouvernemental dans la relation officielle avec l'Organisation mondiale de la santé."
Quelles étaient donc les véritables motivations de John D. Rockefeller III pour fonder l'OMS ?
3. Les objectifs criminels de ceux qui tirent les ficelles de l'OMS
RépondreSupprimerLe précurseur décisif de l'OMS, John D. Rockefeller III, était un eugéniste convaincu [les eugénistes s’efforcent de contenir ce qu'ils appellent les « populations inférieures », par exemple par la stérilisation forcée]. Qu'est-ce que cela signifie ?
Jetons pour cela un bref coup d'œil sur les partisans de l'eugénisme et leur idéologie.
Durant la première moitié du XXe siècle, de nombreuses personnes influentes ont publiquement défendu des opinions eugénistes et financé des recherches et des programmes eugéniques. Elle comprenait des personnes connues comme Andrew Carnegie, John D. Rockefeller Sr. et ses descendants, la famille William H. Gates, George Bernard Shaw, Winston Churchill, etc. Selon les conceptions eugénistes, les riches et les puissants auraient des "gènes supérieurs" qui les légitimeraient pour dominer et diriger la société. Ainsi, ils devraient se reproduire autant que possible. En revanche, les pauvres et les "inférieurs" devraient être dissuadés d'avoir des enfants. Une citation du président américain Theodore Roosevelt illustre ce point de vue :"Un jour, nous nous rendrons compte que le premier devoir, le devoir inévitable des bons citoyens est de léguer leur sang à la postérité - et qu'il ne peut être question pour nous de permettre la reproduction de citoyens du mauvais type... J'aimerais qu'on puisse empêcher les personnes inaptes de se reproduire..."C'est sur la base de ces opinions eugénistes que John D. Rockefeller III a fondé en 1952 le Population Council, ou Conseil de la population. Celui-ci s'engage officiellement dans le monde entier pour le contrôle des naissances [explication du mot déplacée vers le bas], le planning familial ainsi que le contrôle démographique [mesures de politique démographique visant à réduire l'augmentation de la population]. Mais qu'est-ce qui se cache derrière ce nom qui semble tout à fait raisonnable ?La "féministe eugéniste" Margaret Sanger était une proche de la famille Rockefeller et elle le dit clairement. C'est ainsi qu'elle a plaidé ouvertement devant le Congrès américain : "Plus d'enfants de ceux qui conviennent, moins de ceux qui ne conviennent pas". En français : plus d'enfants de parents "aptes", moins d'enfants de parents "inaptes".
Comment peut-on en imaginer la pratique ? Suite à des programmes eugéniques, plus de 64 000 personnes ont été stérilisées de force aux États-Unis entre 1907 et 1963, principalement dans des hôpitaux psychiatriques. Dans l'après-guerre, le mouvement eugéniste a plongé dans la clandestinité en raison de sa mauvaise image. L'idéologie continue cependant de vivre chez les personnes influentes jusqu'à aujourd'hui. Ils ne font que masquer leurs véritables opinions eugénistes en utilisant les termes de contrôle de la population, de contrôle des naissances [mesures gouvernementales visant à contrôler le nombre de naissances], de planification familiale et de procréation ou de médecine reproductive.
Le plus grand donateur de l'OMS, Bill Gates, a déclaré ouvertement : "Un problème que j'ai trouvé vraiment urgent était celui lié à la population... à la médecine reproductive."
RépondreSupprimerLes points de vue et les efforts des familles Rockefeller et Gates se ressemblent. Ils correspondent étonnamment aux légendaires "Georgia Guidestones". Les "10 commandements" ont été gravés dans la pierre sur de grands blocs de granit. Ceux-ci révèlent les intentions des cercles maçonniques à l'égard de la population terrestre. L'un des dix commandements est le suivant "Diriger la reproduction avec sagesse - pour améliorer l'aptitude et la diversité" et le premier commandement : "Maintenir la population mondiale en dessous de 500 millions d'habitants."
Au vu de ces connaissances, le "Programme de reproduction humaine" ainsi que les programmes de vaccination de l'OMS et de la fondation Gates doivent être considérés sous un tout autre jour.
David Martin voit même dans l'OMS la continuation des anciens programmes eugéniques :"Ce n'est pas une question de santé publique. C'est le développement du même programme génocidaire qui a commencé avec le financement des bureaux d'eugénisme dans les "Cold Spring Labs" [principal institut de recherche aux États-Unis] par la "Fondation Carnegie" en 1913, selon la philanthropie d'Andrew Carnegie. "A cette époque, la famille Rockefeller a joué un rôle majeur dans le financement de ces bureaux eugéniques et des programmes eugéniques en Amérique et à l'étranger. Au vu des convictions eugénistes du président de la Fondation Rockefeller à l'époque de la création de l'OMS, on peut se poser la question suivante :
Est-ce une coïncidence si l'OMS met en œuvre des programmes de contrôle démographique ? [politiques de population visant à réduire la croissance démographique]
4. Programmes de l'OMS pour le contrôle de la population
RépondreSupprimerA partir des années 1960, l'OMS s'est engagée de plus en plus dans le domaine du contrôle de la population par le biais du "Programme de reproduction humaine" (PRH). Betsy Hartmann a analysé les programmes de contrôle de la population des gouvernements, des fondations et des organisations internationales.
Dans son livre "Reproductive Rights and Wrongs", publié en 1995, elle résume cela comme suit, citation : "Ces programmes, qui ciblaient principalement les femmes pauvres, visaient à réduire le taux de natalité le plus rapidement et au moindre coût, la contrainte étant souvent une évidence. Dans la lutte contre la croissance démographique, le contrôle des naissances a été utilisé comme une arme et non comme un moyen de décision en matière de reproduction [liberté de choisir si une femme veut avoir des enfants et combien]. [(...)] De l'autre côté, on trouve un lobby du contrôle de la population renaissant, bien financé, et qui masque souvent ses motivations à travers un langage de la promotion de la femme."
5. Programmes de vaccination de l'OMS pour freiner la croissance démographique
Selon le principal sponsor de l'OMS, Bill Gates, les programmes de vaccination dans le domaine de la médecine reproductive ont un grand potentiel pour freiner la croissance démographique :"Le monde compte aujourd'hui 6,8 milliards d'habitants, et ce chiffre va augmenter pour atteindre environ 9 milliards. Si nous faisions vraiment du bon travail avec les nouveaux vaccins, les soins de santé et les services de santé reproductive, nous pourrions peut-être réduire ce chiffre de 10 ou 15 %."Et l'OMS est directement impliquée dans ces programmes de vaccination, avec le "Conseil de la population" de la famille Rockefeller et la Fondation Gates.
Exemple 1 : Infertilité par vaccination antitétanique au Kenya
Le "Conseil de la population" et d'autres organisations de recherche se sont associés à l'OMS en 1972 pour mener des recherches conjointes sur des vaccins destinés à réguler la fertilité. Dans le documentaire "Infertilité : un agenda diabolique", le Dr Andrew Wakefield et Robert F. Kennedy Jr. démontrent que l'OMS a participé de 1972 à 1992 au financement de la recherche d'une substance nocive pour la grossesse. Au Kenya cette substance a ensuite été administrée à des femmes en âge de procréer dans le cadre d'une vaccination contre le tétanos. L'infertilité est désormais l'un des problèmes majeurs de la gynécologie en Afrique, selon le Dr Wahome Ngare de Nairobi, au Kenya :
"Je suis gynécologue. Ces dernières années, nous avons assisté à une augmentation spectaculaire du nombre de femmes qui ont fait une fausse couche, qui se présentent avec une menace de fausse couche ou avec des saignements en début de grossesse. Nous voyons aussi beaucoup de jeunes couples souffrant d'infertilité. "Dans d'autres pays également, l'OMS a mené des "campagnes anti-fertilité" [anti-fécondité] sous le couvert de programmes de vaccination contre le tétanos. Le travail au Kenya était placé sous le patronage de la Fondation Gates, proche de l'OMS.
Exemple 2 : Nouveau vaccin contre le paludisme
RépondreSupprimerEn juillet 2023, l'OMS et l'alliance pour la vaccination "GAVI", contrôlée par Bill Gates, ont annoncé leur intention d'administrer 80 à 100 millions de vaccins par an aux enfants africains d'ici 2030. Des études ont toutefois montré que le nouveau vaccin "Mosquirix" - malgré quatre injections - ne conférait qu'une immunité de quelques mois. En outre, ils ont mis en évidence que le groupe de personnes vaccinées avait dix fois plus de risques de souffrir de méningite et de paludisme cérébral. Les jeunes filles vaccinées présentaient un risque de mortalité deux fois plus élevé que le groupe témoin non vacciné. Les vaccins sont rentables, du moins pour l'industrie des vaccins. Bill Gates a doublé sa fortune en 10 ans, passant de 50 milliards de dollars à plus de 100 milliards de dollars, grâce à sa participation au marché des vaccins.
Selon les déclarations officielles de l'OMS, les injections anti Covid étaient également considérées comme le seul moyen efficace contre l'infection par le coronavirus pendant la pandémie.
Et où cela a-t-il mené ? En 2022, un an après l'administration des premières injections anti Covid, nous avons constaté une augmentation de la mortalité, surtout dans les classes d'âge les plus jeunes.
6. Le passé criminel du chef de l'OMS
Tedros Adhanom Ghebreyesus est le secrétaire général de l'Organisation mondiale de la santé depuis le 1er juillet 2017. Ce que peu de gens savent : Tedros a un passé criminel. Car il faisait partie d'une organisation terroriste qui a perpétré un renversement armé du gouvernement éthiopien en 1991. Au sein de cette organisation violente, qui a dirigé le gouvernement éthiopien après 1991, il a été promu ministre de la Santé, puis ministre des Affaires étrangères. Voir à ce sujet "Le dossier Tedros".
Peu après l'entrée en fonction de Tedros en tant que secrétaire général de l'OMS, des représentants de la Fondation Rockefeller l'ont rencontré. La légende de la photo affichée ici est la suivante :"Notre équipe de santé est impatiente de travailler avec le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus et l'Organisation mondiale de la santé (OMS) sur un programme de santé mondial ambitieux. "Il devrait désormais être clair pour tout le monde que les personnes qui tirent les ficelles derrière l'OMS, comme la dynastie Rockefeller ou le soi-disant "philanthrope" Bill Gates, n'ont pas à l'esprit la santé des peuples. Au lieu de cela, ils dirigent de manière occulte et dure le développement démographique mondial.
La question se pose toutefois de savoir où doit aboutir exactement ce contrôle de la population.
RépondreSupprimer7. L'OMS, un instrument pour établir un nouveau gouvernement mondial
Comme nous l'avons mentionné au début, l'OMS est la plus grande agence spécialisée des Nations unies, ou ONU, et met en œuvre ses objectifs dans le secteur de la santé. Ce que peu de gens savent : La création de l'ONU a également été largement influencée et cofinancée par la fondation Rockefeller. En 1947, John D. Rockefeller Jr. a fait don à l'ONU d'un chèque de 8,5 millions de dollars pour l'achat d'un terrain à New York, sur lequel son siège a ensuite été construit.
Mais quels sont les objectifs des dirigeants de la haute finance derrière l'ONU et son OMS ?
Celles-ci sont présentées de manière voilée dans l'"Agenda 2030".
Voir à ce sujet quelques extraits du documentaire : "Agenda 2030 - 17 objectifs de destruction durable" de l'association suisse WIR.
"L'Agenda 2030, proclamé lors du sommet des Nations unies à New York en 2015, est un contrat mondial pour l'avenir auquel les gouvernements nationaux doivent se soumettre. Cet agenda comprend 17 objectifs dits de durabilité, qui n'ont l'air bons qu'à première vue. Si on s'intéresse de plus près à ces objectifs, on en revient toujours aux mêmes acteurs qui, en réalité, ne veulent rien de moins que le contrôle total des ressources de notre planète - un seul gouvernement mondial centralisé et donc l'asservissement de tous les peuples."
Le point 3 des 17 objectifs de développement durable traite spécifiquement des objectifs mondiaux en matière de santé, qui doivent être mis en œuvre de manière contraignante par l'OMS.A première vue, les objectifs mentionnés ci-dessus semblent bons, mais ils représentent une menace mondiale sérieuse. C'est justement en ayant à l'esprit le contexte eugéniste et les pratiques méprisantes envers l'humanité des dirigeants de l'OMS jusqu'à présent que les "plans de santé" mondiaux doivent être sérieusement remis en question.
"Point 3 : Assurer une vie saine à tous les individus, quel que soit leur âge, et promouvoir leur bien-être.
L'accent est mis sur la numérisation et la centralisation de toutes les normes médicales par l'OMS. L'Organisation mondiale de la santé peut ordonner des mesures médicales au monde entier sous la menace d'amendes et de sanctions. Pour ce faire, la responsabilité des mesures médicales de toutes sortes est retirée aux gouvernements nationaux. L'OMS décidera à l'échelle mondiale, par le biais de ce qu'on appelle le traité sur les pandémies, quand et où ordonner quelles mesures coercitives telles que masques, vaccinations, tests, confinements et quarantaines. De plus, toutes les données de santé doivent être stockées dans une base de données internationale et reliées à l'identité numérique de tous les citoyens. L'industrie de la santé doit être uniformisée à l'échelle mondiale. Toutes les opinions et les résultats de recherche en médecine qui divergent de ceux de l'OMS sont systématiquement réprimés, poursuivis et criminalisés. Les méthodes de médecine naturelle doivent être bannies du secteur de la santé et remplacées par des offres de formation, des produits et des services de l'industrie pharmaceutique et chimique. La santé des personnes sera alors entièrement entre les mains de l'OMS, car elle pourra également intervenir de manière régulatrice en cas de comportement non conforme des personnes, grâce aux données de santé librement accessibles. Cela peut conduire à interdire à la personne qui se fait remarquer l'accès à la nourriture et aux médicaments dont elle a besoin."
Voilà comment on peut résumer sans fard l'agenda de l'OMS. Dès le début, les hauts financiers influencés par l'eugénisme et leurs vassaux laissent leurs traces criminelles - et ce jusqu'à aujourd'hui. Sous le couvert de l'OMS, ses dirigeants n'hésitent pas à commettre des crimes afin d'imposer leur domination mondiale et de poursuivre leur programme de contrôle de la population. Les crimes réussis liés à la vaccination - en particulier la campagne sans précédent pour l'administration mondiale des vaccins très dangereux dits à ARNm - nécessitent une enquête et une remise en ordre urgentes. Notamment parce que de tels crimes ne doivent plus jamais se reproduire !
RépondreSupprimerAidez-nous donc à mettre en lumière ces agissements criminels.
Nous vous prions de bien vouloir diffuser largement cette émission !
de beka
Sources / Liens :La lutte de la France contre le narco trafic fait bien rire les Américains quand ils voient Alexis Kohler encore en poste à l’Elysée, la boite de ses cousins est totalement infiltrée
Publié le 9 novembre 2024 par pgibertie
Le bras droit d’Emmanuel Macron a été mis en examen pour « prise illégale d’intérêts » et placé sous le statut de témoin assisté pour « trafic d’influence », le 23 septembre 2022, pour avoir caché ses liens familiaux avec le groupe de transport maritime MSC et être intervenu à de multiples reprises en sa faveur. L’Élysée a mis tout en œuvre depuis cinq ans pour enterrer le dossier.Fin 2019, Alexis Kohler réfléchit activement à sa reconversion. Et il n’y a qu’un poste où il se voit aller après l’Élysée : directeur général de la branche cargo de MSC. Mais pourquoi le secrétaire général du palais tient-il tant à travailler dans le groupe de ses cousins, la famille Aponte ?
Quelques mois plus tôt, plus de 100 agents avaient embarqué sur l’un des navires de MSC, le Gayane, alors qu’il entrait dans le port américain de Philadelphie pour ce qui était censé être une escale rapide sur sa route vers Rotterdam. Sous le pont, cachés dans des conteneurs remplis de vin et de noix, les agents ont découvert près de 20 tonnes de cocaïne, d’une valeur d’un milliard de dollars. L’enquête qui a suivi a montré que plus d’un tiers de l’équipage – tous des employés de MSC – avait participé au transfert de vastes quantités de cocaïne depuis des vedettes rapides pendant la nuit, alors que le navire naviguait en haute mer au large de l’Amérique du Sud. Il s’agit de la plus grande saisie de drogue par voie maritime de l’histoire des États-Unis.
» La plus grande saisie maritime de drogue de l’histoire des Etats-Unis «
Le crime étant si considérable et culotté, les autorités ont pris la décision exceptionnelle de saisir non seulement la cocaïne, mais aussi le Gayane lui-même, un navire de 1 000 pieds (environ 300 mètres) de long d’une valeur de plus de 100 millions de dollars. Lors de sa rencontre avec le Service des douanes et de la protection des frontières des États-Unis (CBP) dans le bâtiment Ronald Reagan, Bozzo s’est excusé pour cette épreuve et a déclaré que les actions de l’équipage l’avaient surpris, selon une personne au courant des événements. Il a fait l’éloge de la croissance de MSC qui, après des débuts modestes, est devenue la plus grande compagnie maritime du monde et a fait comprendre aux fonctionnaires à quel point la famille Aponte prenait au sérieux la responsabilité de gérer une flotte qui représente près de 20 % de l’ensemble du commerce maritime de conteneurs.
RépondreSupprimerPour les autorités américaines, l’ignorance de la compagnie ne tenait pas la route. Une enquête de Bloomberg Businessweek a révélé que des années avant l’inspection du Gayane, les autorités chargées de l’application de la loi de plusieurs pays surveillaient les navires et les équipages de MSC. Les autorités américaines avaient non seulement suivi le Gayane bien avant qu’il ne pénètre dans les eaux étasuniennes, mais elles avaient également abordé et fouillé plusieurs autres navires de MSC dans le cadre d’une enquête plus large sur un réseau international de trafic de cocaïne qui s’était infiltré dans la société de transport maritime. Grâce aux indices recueillis lors de ces inspections, ainsi qu’aux renseignements collectés en Europe de l’Est, ils ont identifié un puissant cartel des Balkans comme étant à l’origine de ces expéditions massives.
MSC, » empire de la contrebande de cocaïne «
Les pouvoirs américains et européens ont également conclu que le cartel, qui contrôle plus de la moitié de la cocaïne acheminée vers l’Europe, avait infiltré les équipages de MSC pendant une décennie, exploitant sa main-d’œuvre et ses navires pour contribuer à la construction d’un empire de la contrebande de cocaïne. « Nous ne considérions certainement pas MSC comme une victime dans cette affaire« , déclare William McSwain, ancien procureur du district Est de Pennsylvanie, qui a présidé l’affaire Gayane jusqu’à ce qu’il quitte ses fonctions en janvier 2021.
MSC et le gouvernement américain sont désormais engagés dans une bataille juridique qui s’est déroulée en grande partie à l’abri des regards. Les fonctionnaires des douanes ont fait pression sur la société pour qu’elle paie plus de 700 millions de dollars de pénalités, selon plusieurs sources policières qui ont parlé sous le couvert de l’anonymat des procédures administratives non publiques. Les services du bureau du procureur fédéral du district oriental de Pennsylvanie sont en train de monter un dossier civil dans lequel ils font valoir que MSC, en tant qu’exploitant du Gayane, est responsable du trafic de drogue et doit confisquer le navire ou une partie substantielle de sa valeur. Si MSC admet que des quantités record de cocaïne ont été trouvées à bord de son navire, elle conteste certains aspects essentiels de la version des faits donnée par le gouvernement et affirme qu’elle a été la victime des trafiquants, et non un co-conspirateur.
RépondreSupprimerhttps://www.mediapart.fr/journal/france/150622/l-elysee-alexis-kohler-pense-toujours-msc
https://www.off-investigation.fr/kohler-msc-et-la-cocainecomment-des-gangs-des-balkans-infiltrent-la-compagnie-maritime-de-ses-cousins/
Introduction
Le professeur Bhakdi à la Demo Berlin :
« Surmonter l'expérience humaine de Covid pour garantir la paix ».
https://www.kla.tv/30100
Citation du Dr David Martin :
« En finir avec la tyrannie de l'OMS - Discours du Dr David Martin »
https://www.kla.tv/27568#t=566
1. La piste criminelle dans la Constitution de l'OMS
Constitution de l'OMS
Documents de base 49e édition 2020 :
https://apps.who.int/gb/bd/pdf_files/BD_49th-en.pdf
; p. 34
Citation du Dr David Martin :
« En finir avec la tyrannie de l'OMS - Discours du Dr David Martin ».
https://www.kla.tv/27568#t=430
2. Les personnes à l'origine de la création de l'OMS
L'OMS - la plus grande agence spécialisée de l'ONU
https://de.wikipedia.org/wiki/Weltgesundheitsorganisation
Passage de l'article « Philanthropie et santé mondiale... »
Weindling, Paul : « Philanthropie et santé mondiale : la Fondation Rockefeller et l'Organisation de la santé de la Société des Nations » In : Minerva 35 : 269-281, Springer Nature 1997. aussi https://www.jstor.org/stable/41821072
Citation de M. G. Candau
Information sur la photo avec le bâtiment :https://photos.hq.who.int/search/results?sort_by=date_created_s&s%5Bkeywords%5D=Rockefeller&s%5Bclass%5D=
Dons de la Fondation Rockefeller à l'OMS depuis 2000
https://www.who.int/about/funding/contributors/the-rockefeller-foundation
John D. Rockefeller III.
https://de.wikipedia.org/wiki/John_D._Rockefeller_III
Citations Site web de la Fondation Rockefeller
https://www.rockefellerfoundation.org/the-rockefeller-foundation-partners-in-global-health/
3. les objectifs criminels des maîtres d'œuvre de l'OMS
Contrôle de la population et eugénisme
https://www.kla.tv/17395#t=929
ou
https://www.corbettreport.com/gates/
Programmes eugéniques aux Etats-Unis
Wiseman, Ellen Marie : Les murs sombres de Willard State, Munich / Berlin 2015, p. 448 et suivantes.
https://de.wikipedia.org/wiki/Eugenik#USA
Citations de Theodore Roosevelt et Margaret Sanger
Kuby, Gabrielle : La révolution sexuelle mondiale, p.40 et suivantes.
Création du Population Council
https://de.wikibrief.org/wiki/Population_Council
La « féministe eugéniste » Margaret Sanger
https://de.wikipedia.org/wiki/Margaret_Sanger
La famille Rockefeller et les bureaux de l'eugénisme
Citation de Bill Gates sur la procréation médicalement assistée
https://www.kla.tv/17395
ou
« Le rapport Corbett - Qui est Bill Gates ? »
https://www.corbettreport.com/gates/
Bill Gates - le plus grand donateur de l'OMS https://www.zeit.de/wissen/gesundheit/2017-03/who-unabhaengigkeit-bill-gates-film
Bill Gates et l'eugénisme
https://de.technocracy.news/Bill-Gates-von-der-Bioethik-zur-Eugenik/
Georgia Guidestones
https://www.kla.tv/23079
ou de Norman Investigativ:
https://www.youtube.com/watch?v=XY8Ff7ge7-Y
Citation du Dr David Martin :
« En finir avec la tyrannie de l'OMS - Discours du Dr David Martin ».
https://www.kla.tv/27568#t=545
ou https://www.bitchute.com/video/y9S1ccwOGZ9T/
4. Programmes de l'OMS pour le contrôle de la population
Programmes de l'OMS pour le contrôle de la population
https://de.wikipedia.org/wiki/Weltgesundheitsorganisation
https://www.who.int/teams/sexual-and-reproductive-health-and-research-
(srh)/human-reproduction-programme
RépondreSupprimerDescription Hartmann, Betsy : Les droits et les torts en matière de reproduction, 1995
https://betsyhartmann.com/books/reproductive-rights-wrongs/
5. Programmes de vaccination de l'OMS pour
endiguer la croissance démographique
Citation de Bill Gates sur les vaccins
„Bill Gates und das Netz der Bevölkerungskontrolle (Teil 3/4)“
https://www.kla.tv/17389#t=451
Participation de l'OMS au Population Council des Rockefeller
« Bill Gates et le réseau de contrôle de la population (partie 3/4) »
https://www.kla.tv/17389
Exemple 1 : Infertilité par vaccination contre le tétanos au Kenya
« Infertilité : un agenda diabolique – un film de Andrew Wakefield et Robert F. Kennedy“
https://www.kla.tv/26028
L'HCG dans le vaccin antitétanique de l'OMS
https://www.scirp.org/journal/paperinformation.aspx?paperid=81838
Contrôle de la population par les vaccins
https://www.epochtimes.de/gesundheit/bevoelkerungswachstum-kontrollieren-kenianische-aerzte-entdecken-sterilisationsmittel-in-impfstoffen-a1337657.html
Exemple 2 : nouveau vaccin contre le paludisme
https://www.dossier.today/p/who-and-gates-inc-announce-plans
La fortune de Bill Gates
« Rencontre avec Bill Gates Partie (4/4) »
https://www.kla.tv/17395
Mortalité plus élevée des classes d'âge plus jeunes
« Marcel Barz : La mortalité dans les données brutes »
https://www.kla.tv/26779
6. Le passé criminel de Tedros Adhanom Ghebreyesus
Tedros et la Fondation Rockefeller
Photo de leur rencontre :
https://www.facebook.com/rockefellerfoundation/photos/our-health-team-looks-forward-to-working-with-dr-tedros-adhanom-ghebreyesus-the-/1604358296264415/?paipv=0&eav=AfbJVZMnghtAfW8VDzPE7lMQuPEzLEx6M11jyyNQr8umUHXYd-0nBO3jDezr0QLGgqw&_rdr
« Le dossier Tedros - Le chef de l'OMS devient-il l'homme le plus puissant du monde ? »
https://www.kla.tv/26713
7. L’OMS instrument pour établir un nouveau gouvernement mondial
Le lien entre la Fondation Rockefeller et l'ONU
https://de.wikipedia.org/wiki/Group_of_Thirty
John D. Rockefeller Jr.‘s, don à l'ONU
https://de.wikipedia.org/wiki/John_D._Rockefeller,_Jr.
« Agenda 2030 - 17 objectifs de destruction durable »
https://www.kla.tv/28498
https://www.kla.tv/fr
Extraits des notices et du Vidal :« Les données disponibles sur le vaccin Pfizer administré aux femmes enceintes sont insuffisantes » « des cas fatals… »
RépondreSupprimerle 10 novembre 2024
par pgibertie
De quoi donner à réfléchir aux responsables de la campagne actuelle de vaccination, s’ils avaient un peu d’éthique…
La lecture du Vidal, bible des médecins fait frémir et encore l’accès aux effets indésirables n’est pas possible pour les non médecins
https://www.vidal.fr/medicaments/comirnaty-10-mcg-dose-dispers-diluer-p-disper-inj-232501.html
- voir cadre sur site -
2024 : « Les données disponibles sur le vaccin Comirnaty administré aux femmes enceintes sont insuffisantes pour informer sur les risques associés au vaccin pendant la grossesse »
2021 : « L’Agence de sécurité sanitaire du Royaume-Uni affirme que son analyse des données anglaises montre que les vaccins contre la Covid sont sûrs pendant la grossesse. » Si vous avez fait une fausse couche après un vaccin contre le Covid, vous avez le droit de savoir quand ils l’ont su.
https://twitter.com/i/status/1847480386231947617
- voir cadres sur site -
https://pgibertie.com/2024/11/10/extraits-des-notices-et-du-vidal-les-donnees-disponibles-sur-le-vaccin-pfizer-administre-aux-femmes-enceintes-sont-insuffisantes-des-cas-fatals/
Le suivi démographique du comté de King (Seattle ) fait clairement apparaitre la surmortalité post vaccinale ARNm
RépondreSupprimerle 10 novembre 2024
par pgibertie
Le comté de King comte 2,3 millions d’habitants , il est devenu la référence pour les chercheurs de l’observation de la surmortalité suivant la crise sanitaire
Le suivi démographique du comté de King (Seattle ) fait clairement apparaitre la surmortalité post vaccinale ARNm
- voir doc sur site -
excess-cardiopulmonary-arrest-and-mortality-after-covid19-vaccination-in-king-county-washington
https://pgibertie.com/2024/11/10/le-suivi-demographique-du-comte-de-king-seattle-fait-clairement-apparaitre-la-surmortalite-post-vaccinale-arnm/
Vidéo : Le vaccin Pfizer et « Madame 4,5 milliards de doses ». La présidente de l’EUC, Ursula von der Leyen, impliquée dans la censure, la surveillance, la coercition et la corruption
RépondreSupprimerMislav Kolakusic, avocat croate et député européen indépendant
Par Mislav Kolakusic
Recherche mondiale,
10 novembre 2024
Regardez Mislav Kolakusic , avocat croate et député européen indépendant, parler de Mme Von der Leyen, présidente de l'EUC, connue sous le nom de Mme 4,5 milliards de doses .
- voir clip sur site -
Dans les développements récents, « les chasseurs de corruption de l’UE enquêtent désormais officiellement sur von der Leyen »
Pour la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, l'annonce de l'ouverture d'une enquête du Parquet européen sur elle pour ingérence dans la fonction publique, destruction de SMS, corruption et conflits d'intérêts tombe à un moment inopportun. En effet, Ursula von der Leyen se trouve en pleine campagne électorale européenne.
Des milliards de dégâts causés par des accords illégaux ?
Plusieurs médias rapportent que les chasseurs de corruption de l'UE ont repris une affaire qui a débuté en Belgique à l'instigation de plusieurs États membres de l'UE et d'un groupe de députés européens. L'affaire concerne des allégations datant de l'époque de la pandémie et un achat de vaccins plus que douteux, dans lequel Mme von der Leyen serait intervenue sans avoir reçu de mandat pour le faire. Il s'agit de plusieurs milliards d'euros de dommages qui auraient pu être causés à l'Union européenne.
Quand la CDU demandera-t-elle à Mme von der Leyen de renoncer à sa campagne électorale ?
Il serait judicieux que la CDU allemande suive l'exemple des autres partis du Bundestag allemand. En cas de délits commis par ses membres, elle exigerait la démission immédiate des partis concernés ou au moins qu'ils renoncent à leurs campagnes électorales. Quoi qu'il en soit, nous considérons que les actes de Mme von der Leyen sont hautement criminels et irresponsables. (avril 2024)
https://www.globalresearch.ca/video-censorshipsurveillancecoercioncorruption/5798858
La vaccination contre la COVID-19 augmente-t-elle le risque de dépression, d’anxiété et de troubles du sommeil ? Étude intitulée « Événements indésirables psychiatriques »
RépondreSupprimerRésultats choquants d’une étude portant sur 50 % de la population de Séoul (n = 2 027 353).
Par Nicolas Hulscher
Recherche mondiale,
10 novembre 2024
Une étude de Kim et al. publiée dans la revue Molecular Psychiatry, intitulée « Psychiatric adverse events following COVID-19 vaccination: a population-based cohort study in Seoul, South Korea » , a révélé que la vaccination contre la COVID-19 est associée à un risque accru de 68,3 % de dépression, de 43,9 % de troubles anxieux et de 93,4 % de troubles du sommeil :
La dépression (HR [IC à 95 %] = 1,683 [1,520–1,863]), l’anxiété, les troubles dissociatifs, liés au stress et somatoformes (HR [IC à 95 %] = 1,439 [1,322–1,568]) et les troubles du sommeil (HR [IC à 95 %] = 1,934 [1,738–2,152]) ont montré des risques accrus après la vaccination contre la COVID-19.
- voir graph sur site -
Les auteurs ont utilisé la méthodologie suivante (notez la taille massive de l’échantillon) :
Nous avons recruté 50 % de la population résidente de Séoul sélectionnée au hasard dans la base de données des demandes d'indemnisation du Service national d'assurance maladie coréen (KNHIS) le 1er janvier 2021. Les participants inclus ( n = 2 027 353) dans la base de données des demandes d'indemnisation du Service national d'assurance maladie coréen ont été divisés en deux groupes en fonction de la vaccination contre la COVID-19. Les incidences cumulatives pour 10 000 des effets indésirables psychiatriques ont été évaluées une semaine, deux semaines, un mois et trois mois après la vaccination contre la COVID-19. Les rapports de risque (HR) et l'intervalle de confiance (IC) à 95 % des effets indésirables psychiatriques ont été mesurés pour la population vaccinée.
Ils mentionnent à juste titre que la protéine Spike pourrait être le principal moteur des troubles psychiatriques induits par le vaccin :
« Notre étude suggère que la neuroinflammation causée par les protéines Spike peut contribuer à l’apparition de certains effets indésirables psychiatriques tels que la dépression et l’anxiété, les troubles dissociatifs, liés au stress et les troubles somatoformes. »
RépondreSupprimerLes taux de dépression aux États-Unis ont atteint des niveaux record depuis 2020/2021, en partie à cause des mesures draconiennes de contrôle de la pandémie (confinement, mandat de masque, pertes d'emplois) et, comme le suggèrent Kim et al., de la vaccination contre la COVID-19.
- voir graph sur site -
L’augmentation importante du risque de dépression et de troubles anxieux constitue une raison supplémentaire de retirer immédiatement les « vaccins » contre la COVID-19 du marché.
https://www.globalresearch.ca/study-finds-covid-19-vaccination-increases-risk-depression-anxiety-sleep-disorders/5872344
L’OMS confirme que le test PCR Covid-19 est erroné : les estimations de « cas positifs » n’ont aucun sens. Le confinement et le « vaccin » n’ont aucun fondement scientifique
RépondreSupprimerPar le professeur Michel Chossudovsky
Recherche mondiale,
10 novembre 2024
Note de l'auteur et mise à jour
Le monde est en état de crise depuis plus de trois ans, malgré le fait que l’OMS et le CDC (avec les insinuations habituelles) ont confirmé sans équivoque que le test RT-PCR utilisé pour justifier chaque mandat politique, y compris les confinements, la distanciation sociale, le masque, le confinement de la main-d’œuvre, la fermeture de l’activité économique, etc. est erroné et invalide.
Il en va de même pour le déploiement du vaccin à ARNm en décembre 2020.
Cet article a été publié pour la première fois le 21 mars 2021 et porte sur le Mea Culpa de l'OMS daté du 20 janvier 2021.
L'avis de l'OMS a été suivi quelques mois plus tard par la décision choc des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) (21 juillet 2021) de retirer le test PCR comme méthode valide de détection et d'identification du SARS-CoV-2.
À compter du 31 décembre 2021, le test PCR n'est plus considéré comme valide par le CDC aux États-Unis
Pour plus de détails, voir
Bombe : le CDC ne reconnaît plus le test PCR comme une méthode valide pour détecter les « cas confirmés de Covid-19 » ?
Par le professeur Michel Chossudovsky , 29 décembre 2021
Cela implique que le CDC et l’OMS ont tous deux formellement reconnu les échecs du test RT-PCR, sans toutefois mettre en œuvre un changement dans la méthodologie de détection et d’identification du SARS-CoV-2.
Les médias grand public reconnaissent désormais à contrecœur que le test PCR est défectueux
Après avoir soutenu la campagne de propagande, les médias grand public ont désormais tacitement reconnu que le TEST PCR EST INVALIDE .
Vous trouverez ci-dessous un extrait du Daily Mail de Londres sur un fait connu et documenté par les scientifiques et les médias indépendants depuis le début de la crise du coronavirus en janvier 2020.
RépondreSupprimerLe rapport ci-dessous est alambiqué. C'est un euphémisme évident :
« Des tests PCR défectueux nous ont-ils convaincus que le Covid était pire qu’il ne l’était en réalité ? …
C'est l'une des théories du complot les plus persistantes autour du Covid : les tests PCR « de référence » utilisés pour diagnostiquer le virus détectaient des personnes qui n'étaient pas réellement infectées.
Certains ont même suggéré que les prélèvements, qui ont été effectués plus de 200 millions de fois au Royaume-Uni seulement, pourraient confondre le rhume et la grippe avec le coronavirus.
Si l’une ou l’autre de ces affirmations, ou les deux, étaient vraies, cela signifierait que bon nombre de ces cas n’auraient jamais dû être comptabilisés dans le décompte quotidien – que le chiffre inquiétant et trop familier, qui a été utilisé pour éclairer les décisions sur les confinements et autres mesures de lutte contre la pandémie , était un surdénombrement. ( Daily Mail, 12 mars 2022, c’est nous qui soulignons)
Elle est soigneusement rédigée dans le but de protéger les décideurs.
Le test PCR est la preuve irréfutable qu'il n'y a pas de pandémie
Nous ne sommes pas en présence d’erreurs comme le suggère le rapport médiatique ci-dessus.
Si le test PCR est invalide et dénué de sens, cela signifie qu’il n’existe pas de « cas confirmé de Covid-19 »
Les résultats des tests PCR systématiquement compilés par l’OMS ont été utilisés pour justifier les politiques de confinement imposées à plus de 190 États membres des Nations Unies.
Le chaos économique et social s'est installé dans le monde entier et les actions adoptées par les gouvernements corrompus au cours des trois dernières années sont de nature criminelle. Ce ne sont pas des erreurs.
Et s’il n’y a pas de pandémie, il n’y a pas besoin de vaccin.
RépondreSupprimerLe « vaccin » à ARNm contre le Covid-19 est la PLUS GRANDE FRAUDE DE L’HISTOIRE DE LA MÉDECINE
Pour plus de détails, consultez mon livre électronique (15 chapitres) intitulé :
La crise mondiale du coronavirus : un coup d'État mondial contre l'humanité
Par le professeur Michel Chossudovsky , août 2022
Voir également mon article récent sur l’échec de l’identification du 2019-nCoV, qui est lié au test RT-PCR défectueux.
Il n’y a jamais eu de « nouveau coronavirus », ni de pandémie
Par le professeur Michel Chossudovsky , 8 décembre 2023
Vidéo : Le « nouveau coronavirus » inexistant ?
Michel Chossudovsky, Entretien avec Caroline Mailloux, Lux Media
-voir clip sur site -
Michel Chossudovsky , Global Research, 9 décembre 2023
* * *
L'OMS confirme que le test PCR Covid-19 est défectueux :
Les estimations de « cas positifs » n’ont aucun sens.
Le confinement et le « vaccin » n’ont aucun fondement scientifique
par
Michel Chossudovsky
21 mars 2021
Le lauréat du prix Nobel Kary B. Mullis est l'inventeur de la technique de réaction en chaîne par polymérase, qui est analysée dans cet article.
Le Dr Kary B. Mullis , décédé le 7 août 2019 à l'âge de 74 ans, a déclaré avec insistance qu'aucune infection ou maladie ne peut être diagnostiquée avec précision à l'aide de la RT-PCR. Son héritage perdurera.
« La PCR est un processus. Elle ne vous dit pas que vous êtes malade. […] La mesure n’est pas précise ».
RépondreSupprimerMullis a décrit la RT-PCR comme une « technique » plutôt que comme « un test ».
Il s’agit d’une technique utile qui permet « l’amplification rapide d’un petit fragment d’ADN ».
Introduction
Au cours des 20 derniers mois, une série de mensonges et de fabrications flagrants ont été utilisés pour justifier des décisions politiques de grande portée.
Le plus gros mensonge, fermement reconnu tant par l’opinion scientifique que par l’OMS, est que le test RT-PCR utilisé pour « détecter » la propagation du virus (ainsi que des variants) est non seulement défectueux mais TOTALEMENT INVALIDE.
Dès le début, en janvier 2020, toutes les décisions politiques de grande envergure confirmées et présentées au public comme un « moyen de sauver des vies » étaient fondées sur des cas positifs de RT-PCR erronés et invalides.
Ces « estimations » invalides du Covid-19 ont été utilisées pour justifier le confinement, la distanciation sociale, le masque facial, l’interdiction des rassemblements sociaux, des événements culturels et sportifs, la fermeture de l’activité économique, ainsi que le « vaccin » à ARNm lancé en novembre 2020.
Le test RT-PCR
Le test de réaction en chaîne par polymérase à transcription inverse en temps réel (rRT-PCR) a été adopté par l'OMS le 23 janvier 2020 comme moyen de détection du virus SARS-COV-2, suite aux recommandations d'un groupe de recherche en virologie (basé à l'hôpital universitaire de la Charité, à Berlin), soutenu par la Fondation Bill et Melinda Gates. (Pour plus de détails, voir l' étude Drosten )
Exactement un an plus tard, le 20 janvier 2021, l’OMS se rétracte. Elle ne dit pas « Nous avons fait une erreur ». La rétractation est soigneusement formulée. (Voir le document original de l’OMS ici ainsi qu’en annexe)
Bien que l’OMS ne nie pas la validité de ses directives trompeuses de janvier 2020, elle recommande néanmoins de « refaire des tests électroniques » (ce que tout le monde sait être impossible).
La question controversée concerne le nombre de cycles de seuil d'amplification (Ct). Selon Pieter Borger et al.
Le nombre de cycles d'amplification [doit être] inférieur à 35 ; de préférence 25 à 30 cycles. En cas de détection de virus, > 35 cycles ne détectent que les signaux qui ne sont pas corrélés avec le virus infectieux tel que déterminé par l'isolement en culture cellulaire… (Critique de l'étude Drosten )
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) admet tacitement un an plus tard que TOUS les tests PCR effectués à un seuil d'amplification (Ct) de 35 cycles ou plus sont INVALIDES. C'est pourtant ce qu'elle a recommandé en janvier 2020, en consultation avec l'équipe de virologie de l'hôpital Charité de Berlin.
RépondreSupprimerSi le test est effectué à un seuil de 35 Ct ou plus (ce qui a été recommandé par l'OMS), les segments génétiques du virus SARS-CoV-2 ne peuvent pas être détectés, ce qui signifie que TOUS les soi-disant « cas positifs » confirmés comptabilisés au cours des 18 derniers mois sont invalides.
Selon Pieter Borger, Bobby Rajesh Malhotra, Michael Yeadon et al, le Ct > 35 est la norme « dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis ».
Le Mea Culpa de l'OMS
Vous trouverez ci-dessous la « rétractation » soigneusement formulée de l'OMS. Le texte intégral avec un lien vers le document original se trouve en annexe :
Les directives de l'OMS concernant les tests de diagnostic du SARS-CoV-2 stipulent qu'une interprétation prudente des résultats positifs faibles est nécessaire ( 1 ). Le seuil de cycle (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnel à la charge virale du patient. Lorsque les résultats du test ne correspondent pas à la présentation clinique, un nouvel échantillon doit être prélevé et retesté en utilisant la même technologie NAT ou une technologie différente. (soulignement ajouté)
L’OMS rappelle aux utilisateurs de dispositifs de diagnostic in vitro que la prévalence de la maladie modifie la valeur prédictive des résultats des tests ; à mesure que la prévalence de la maladie diminue, le risque de faux positif augmente ( 2 ). Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant un résultat positif (SARS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SARS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité revendiquée.
« Les positifs non valides » est le concept sous-jacent
Il ne s’agit pas d’une question de « faibles positifs » et de « risque d’augmentation des faux positifs ». Ce qui est en jeu, c’est une « méthodologie défectueuse » qui conduit à des estimations non valides.
Ce que confirme cet aveu de l’OMS, c’est que l’estimation de la positivité au covid issue d’un test PCR (avec un seuil d’amplification de 35 cycles ou plus) n’est pas valide . Dans ce cas, l’OMS recommande de refaire le test : « un nouvel échantillon doit être prélevé et retesté… ».
L’OMS appelle à « refaire les tests » , ce qui revient à dire « nous avons fait une erreur ».
RépondreSupprimerCette recommandation est une formalité. Elle n'aura pas lieu. Des millions de personnes dans le monde ont déjà été testées, à partir de début février 2020. Néanmoins, nous devons conclure que, à moins d'être à nouveau testées, ces estimations (selon l'OMS) ne sont pas valables.
Je dois mentionner qu'il existe plusieurs autres défauts liés au test PCR qui ne sont pas abordés dans cet article. (Voir l'e-book de Michel Chossudovsky : cliquez pour télécharger La crise mondiale du coronavirus : coup d'État mondial contre l'humanité (chapitre III)
Depuis le début, le test PCR est systématiquement appliqué à un seuil d'amplification Ct de 35 ou plus, conformément aux recommandations de l'OMS de janvier 2020. Cela signifie que la méthodologie PCR telle qu'elle est appliquée dans le monde entier a conduit au cours des 12 à 14 derniers mois à la compilation de statistiques Covid erronées et trompeuses.
Et ce sont ces statistiques qui sont utilisées pour mesurer la progression de la soi-disant « pandémie ». Au-delà d’un cycle d’amplification de 35 ou plus, le test ne détectera pas de fragments du virus . Par conséquent, les « chiffres officiels du Covid » n’ont aucun sens.
Il s’ensuit qu’il n’existe aucune base scientifique permettant de confirmer l’existence d’une pandémie.
Ce qui signifie à son tour que le confinement/les mesures économiques qui ont entraîné la panique sociale, la pauvreté de masse et le chômage (soi-disant pour freiner la propagation du virus) n'ont aucune justification.
Selon l'avis scientifique :
« Si une personne est testée positive par PCR lorsqu'un seuil de 35 cycles ou plus est utilisé (comme c'est le cas dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis), la probabilité que cette personne soit réellement infectée est inférieure à 3 % , la probabilité que ce résultat soit un faux positif est de 97 % (Pieter Borger, Bobby Rajesh Malhotra, Michael Yeadon, Clare Craig, Kevin McKernan, et al, Critique de l'étude Drosten )
Comme indiqué ci-dessus, « la probabilité que ce résultat soit un faux positif est de 97 % » : il s’ensuit que l’utilisation de la détection > 35 cycles contribuera de manière indélébile à « augmenter » le nombre de « faux positifs ».
Au moment où nous écrivons ces lignes (mi-mars 2021), malgré la rétractation de l’OMS, le test PCR est largement utilisé pour faire grimper les chiffres en vue de maintenir la campagne de peur, de justifier les politiques de confinement en cours ainsi que la mise en œuvre du vaccin Covid.
Ironiquement, les chiffres erronés basés sur des « positifs non valides » sont à leur tour manipulés pour assurer une tendance à la hausse des soi-disant « cas confirmés de Covid-19 ».
RépondreSupprimerDe plus, ces tests PCR ne sont pas systématiquement accompagnés d’un diagnostic médical des patients testés.
Et maintenant, les autorités sanitaires nationales ont émis de (faux) avertissements concernant une « troisième vague » dans le cadre de leur campagne de propagande en faveur du vaccin contre le Covid-19.
L'OMS confirme que la procédure de test PCR Covid telle qu'appliquée n'est pas valide. Il n'existe absolument aucune base scientifique pour la mise en œuvre du vaccin Covid.
Tant l’OMS que l’évaluation scientifique de Pieter Borger et al (citée ci-dessus) confirment sans équivoque que les tests adoptés par les gouvernements pour justifier le confinement et la déstabilisation des économies nationales sont INVALIDES.
Données invalides et jeu des nombres
Il faut comprendre que ces « estimations invalides » sont les « chiffres » cités sans relâche 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 par les médias au cours de la « première vague » et de la « deuxième vague » , qui ont été utilisés pour alimenter la campagne de peur et « justifier » TOUTES les politiques mises en avant par les gouvernements :
confinement,
fermeture de l'activité économique,
la pauvreté et le chômage de masse,
faillites
distanciation sociale,
masque facial,
couvre-feu,
le vaccin.
le passeport santé
Données non valides. Réfléchissez à deux fois avant de vous faire vacciner
Et maintenant, nous sommes entrés dans ce que l’on appelle une « troisième vague ». (Mais où sont les données ??)
RépondreSupprimerC'est un « paquet de mensonges » complexe.
C'est un crime contre l'humanité.
* * *
VIDÉO
Cliquez sur le coin inférieur droit pour accéder à vimeo / plein écran
CENSURE : La vidéo originale a été supprimée par Vimeo le 5 mars 2022
Ci-dessous la version sur Rumble
* * *
Nos remerciements à Vaccine Choice Canada
La vidéo est produite par Ariel Rodriguez, Global Research
Lecture de suivi
Pour une analyse approfondie de la crise du Corona, voir le livre électronique de Michel Chossudovsky (15 chapitres) intitulé :
La crise mondiale du coronavirus, un coup d'État mondial contre l'humanité
https://www.globalresearch.ca/nucleic-acid-testing-technologies-use-polymerase-chain-reaction-pcr-detection-sars-cov-2/5739959
Le défi de la crise du coronavirus 2020-2021 : votre vie, votre esprit, votre âme. Dr Pascal Sacré
RépondreSupprimerPar le Dr Pascal Sacré
Recherche mondiale,
9 novembre 2024
Le monde est dangereux à vivre,
pas tant à cause de ceux qui font le mal,
mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire.*
Ne tournons pas autour du pot.
Je fais référence à la soi-disant pandémie de COVID-19 qui a conduit à l’injection d’un produit de composition encore inconnue de milliards de personnes, à partir de 2021, sous un prétexte avancé comme un dogme indiscutable, celui d’arrêter ladite pandémie.
De soi-disant experts se sont relayés sur toutes les ondes radio et télévision du monde pour nous dire que cette infection était mortelle et que le seul moyen de l'arrêter était de se faire injecter un produit présenté comme un vaccin de nouvelle génération, efficace et inoffensif.
Et des milliards de personnes y ont cru et ont reçu cette injection, pas une seule fois, mais pour un grand nombre, plusieurs fois. Et ce n'est pas fini et continue d'être préconisé, fortement recommandé pour les femmes enceintes, les enfants et les personnes âgées.
Aujourd'hui, en mai 2024, que pouvons-nous en dire, en étant humbles, honnêtes, scientifiques, examinateurs les plus impartiaux possibles des faits, libres de tout conflit ou même de tout lien d'intérêt et cherchant seulement à nous rapprocher le plus possible de la vérité, que cela nous plaise ou non ?
Dès que j'ai perçu les divergences dans le discours officiel (le canari dans la mine**), assumant pleinement ma fonction d'anesthésiste-réanimateur, intensiviste, en première ligne dans un grand service d'hospitalisation aiguë en Belgique, j'ai publié un article intitulé :
« COVID-19, vérifiez vos sources. Guerre contre… la corruption ? », 12 avril 2020 [1].
Le terme « guerre » fait référence à l’expression utilisée six fois par le président français Emmanuel Macron dans son discours du 16 mars 2020, « Nous sommes en guerre », sous-entendu, pour lui, contre un virus alors qu’une guerre contre la corruption scientifique et médiatique pandémique permettrait de sauver bien plus de vies humaines !
C'était prémonitoire car il est vital dans ce genre de crise de discerner la vérité du mensonge ; de vérifier ce qu'on nous dit , surtout lorsque l'auteur du mensonge est présenté comme un expert et s'exprime sans citer aucune de ses sources, s'appuyant uniquement sur sa réputation largement fabriquée et sur la complicité, consciente ou non, de journalistes qui ne remettent rien en cause de ce que dit cet expert.
Attention, les mensonges les plus efficaces sont des demi-vérités ou sont semés dans un discours pourtant cohérent, comme des grains presque invisibles, imperceptibles.
RépondreSupprimerLe diable est toujours dans les détails.
C’est ce qui est arrivé à presque toutes les déclarations officielles dénoncées ces quatre dernières années comme des vérités indiscutables par nos autorités « bienveillantes », affirmations démenties ensuite, rapidement ou plus tard, par les faits et des analystes sérieux, indépendants et courageux, compte tenu de la censure extrême et des intimidations massives auxquelles elles ont été soumises.
Pour ma part, je vous renvoie aux nombreux articles rédigés entre avril 2020 et janvier 2023, sur ce site www.mondialisation.ca , abordant quasiment tous les sujets concernés, confinements, traitements précoces dont l'ivermectine et l'hydroxychloroquine, technique de diagnostic RT-PCR, vaccins, masques et dérive totalitaire [2].
Pour presque tout, les faits m’auront donné raison.
Je suis loin d'être le seul.
Je reviens seulement sur quelques points illustratifs.
L'hydroxychloroquine, un traitement ancien et bien connu, aux effets secondaires marginaux si la pharmacologie et les dosages (doses) sont respectés et qui s'est avéré efficace dans le traitement précoce du COVID-19.
Avec d'autres médecins, de plusieurs disciplines, de plusieurs nations, je l'ai dit très tôt et les faits ont confirmé cette vérité pourtant offensée par les experts officiels, dont la prestigieuse revue médicale, le Lancet, qui a retiré son article hostile et frauduleux 12 jours après sa publication [3] créant le scandale appelé Lancetgate .
Or, vous constaterez, et c'est une habitude, que tous les médecins du monde, ceux du milieu qu'on appelle généralistes ou médecins de famille, n'ont pas été prévenus de cette réhabilitation de l'hydroxychloroquine par ces mêmes médias de tous pays, unanimes et très bruyants lorsqu'il s'agissait de propager un mensonge, discrets voire silencieux lorsqu'il s'agissait de rétablir la vérité.
Nous pouvons faire le même constat avec l’ivermectine [4].
En tant que médecin, j’ai personnellement traité des centaines de personnes atteintes d’une infection respiratoire aiguë appelée COVID-19 en 2021 avec de l’ivermectine correctement dosée.
Ce traitement s'est avéré sûr et efficace, souvent dès le premier jour de traitement, y compris chez les personnes à risque et fragiles, très âgées, obèses, souffrant d'insuffisance cardiaque ou respiratoire chronique, évitant ainsi l'évolution vers des formes plus graves, réduisant la surcharge hospitalière et la période de contagiosité ; avec un médicament peu coûteux, inoffensif, pouvant être prescrit aux femmes enceintes sans risque pour le fœtus, et connu depuis les années 1980, largement prescrit en Afrique notamment.
Où sont les articles et les documentaires relatant cette vérité, dans tous nos médias écrits ou parlés ?
Avez-vous vu une réhabilitation de ces traitements réellement efficaces et sécuritaires (aux dosages recommandés) puisque les faits ont donné raison à tous ceux qui les prônaient dès 2020 ou 2021 ?
Moi non.
RépondreSupprimerAu contraire, les médecins, entre autres, qui ont traité et parlé de leur succès ont été (et sont toujours) menacés de radiation, de suspension, de poursuites et diffamés dans cette presse qui continue de mentir et de soutenir le vaccin dans son intégralité.
Alors que les faits nous donnent raison. Et le soi-disant « vaccin » ?
D'après les données actuelles et la baisse depuis 2021, en Angleterre, on sait depuis septembre 2023 que les personnes vaccinées contre la COVID-19 meurent plus que les personnes non vaccinées : Preuve supplémentaire : l'argument de l'« âge ajusté » a été écrasé par l'avalanche de données sur l'ARNm. Si cela va heureusement écraser l'investissement dans l'ARNm, cela a malheureusement aussi écrasé tant de victimes en cours de route. (substack.com), tel qu'analysé par le statisticien français Pierre Chaillot, auteur d'un livre remarquable, COVID-19, qui est révélé par les chiffres officiels , éditions l'Artilleur. Voici la vidéo où Pierre Chaillot analyse les statistiques anglaises : Révélation d'une nouvelle étude anglaise : on sait qui meurt le plus ! (youtube.com).
Vraiment, je vous encourage, 4 ans après mon premier article, à les relire tous.
D'un côté, nous avons des traitements peu coûteux, efficaces d'autant plus qu'ils sont précoces, inoffensifs en cas d'utilisation selon les règles de prescription, des traitements qui ont fait leurs preuves (je peux en témoigner personnellement),
Et d’autre part, nous avons des injections d’un produit dont on ignore la composition complète, frauduleusement appelés « vaccins », très coûteux mais très rentables pour les actionnaires des entreprises qui les fabriquent et tous ceux qu’elles ont corrompus, et dont on sait maintenant qu’ils provoquent une surmortalité et une flambée d’effets secondaires dans les populations du monde entier (cancers, maladies auto-immunes, dégénérescence, accélération du vieillissement cellulaire…).
Mais nos autorités, la presse, les « experts » officiels continuent leur chemin sans ciller, continuant à tirer sur des scientifiques et des soignants honnêtes, indépendants de tout lien financier avec le système mondialisé, et qui les contredisent en s’appuyant sur les faits.
Pourquoi la grande majorité des gens continuent-ils à se laisser faire ? Et à se laisser aller ? Parce que la clé de la porte de sortie est en eux.
RépondreSupprimerEn chacun de nous.
Il s’agit de notre survie.
Maintenant, je vais donner davantage mon avis personnel, ma déduction.
C'est seulement que, mon avis, même si le passé a montré que j'avais vu clair sur beaucoup des sujets concernés, ne me croyez pas sur parole ou par amitié.
Vérifiez, vérifiez, lisez des articles, des livres, regardez les vidéos que je vous informe pour vous éclairer, et faites-vous votre propre opinion.
Tout ce que je dis désormais peut encore évoluer.
C'est cela la vraie science honnête, ne jamais se figer sur une position, une croyance qui deviendrait un dogme indépassable, quels que soient les faits contradictoires ou le douloureux besoin d'admettre qu'on s'est trompé. Non. Surtout pas.
Tout en ayant le courage d'affirmer ce que nous pensons à un moment donné, que cela nous plaise ou non, même si cela nous attire des ennuis, une suspension, une annulation, un contrôle fiscal, ou pire encore.
J'espère que tous les lecteurs de ce site auront donc compris qu'on nous a menti ; parfois intelligemment et subtilement, le plus souvent de manière grossière et autoritaire, en utilisant les faiblesses humaines par la peur, le conformisme, l'égoïsme et la paresse.
Pourquoi ?
Dépeupler une terre surpeuplée, par des moyens odieux, un génocide presque imperceptible, « doux », dans lequel, si nous ne faisons rien, ne réagissons pas, nous sommes tous complices, par action ou par omission.
Tout a commencé par l’abandon de personnes vulnérables et fragiles, âgées, isolées, mortes de déshydratation, la privation d’affection, d’amour et des soins les plus élémentaires sous prétexte de… les sauver !
Cela a continué en interdisant les premiers traitements qui étaient sûrs et efficaces et en induisant une peur immense chez les gens, puisqu'on leur disait d'attendre que leur état empire, qu'en attendant cela, ils ne pouvaient rien faire (impuissance) à part ingérer du paracétamol, toxique pour le seul élément qui pouvait encore les protéger, le glutathion.
Je me souviendrai toujours de ce vieux médecin, abandonné à son sort, et qui pleurait quand il venait chez moi, juste parce que je l’avais écouté et rassuré.
Cela a été amplifié par le lancement de cette campagne mondiale visant à injecter un produit toxique, inefficace et pourtant présenté comme sûr et efficace et dont nous savons aujourd’hui, du moins sur la base des statistiques des pays qui veulent les publier, qu’il tue plus qu’il ne sauve.
RépondreSupprimerAlors que tout ou presque est interdit aux femmes enceintes, comme par magie, il était devenu acceptable de « violer » leur corps sacré immunodéprimé, mettant en danger l’être le plus vulnérable, totalement dépendant des autres pour sa survie, le fœtus humain.
Combien de fausses couches, de mortinaissances, de malformations dans le monde aujourd'hui, en lien avec cette politique criminelle ?
Cette vidéo, premier chapitre d'une série qui en compte trois, basée sur des recherches sérieuses et documentées (sources citées dans la vidéo), vous éclairera sur les enjeux et les dessous de cette tragédie.
🧠Eugénistes 2.0 et transhumanistes : leur guerre ouverte contre les peuples – 1/3 🗣️Alain Schollaert – CrowdBunker
C'est sur la plateforme Crowdbunker, car sur YouTube, immédiatement publié, immédiatement censuré ce qui, indirectement, est une forte indication que cela dérange vraiment les menteurs, comme seule la vérité peut le faire.
Les épisodes suivants seront publiés les 19 et 26 mai.
Regardez, écoutez et tirez vos conclusions.
C'est vital parce que nous voulons vous former dans un monde que vous, ici, vous ne voulez pas, ni pour vous, ni surtout, pour vos enfants.
Dépeuplement.
Il s’agit dans ce cas d’un cynisme cruel, révoltant, car ceux qui décident de le faire le font dans leur bunker doré, bien à l’abri, s’étant proclamés rois du monde simplement parce qu’ils ont pillé ce monde, volé les richesses qui appartiennent à toute l’humanité et que forts de leurs dollars et de leurs euros, de leurs relations, de leurs « pouvoirs », ils décident qui mourra ou vivra.
Ils usent brillamment et froidement du mensonge, ils exploitent les failles du système démocratique et surtout, comptent sur nos faiblesses savamment excitées par tous les moyens à leur disposition, drogue, sport, musique, télévision, agitation, sexe…
Nous sommes devenus trop nombreux pour eux, marchant sur leurs parterres de fleurs et ils ont lancé ce qui correspond à l'agenda 2030. Oui, vous avez bien lu, c'est pour 2030 et nous y sommes !
La manipulation psychologique poussée à son paroxysme, les peurs, les attaques invisibles ou peu visibles pendant de nombreuses années [5] par la pollution chimique de l’air (chemtrails), de l’eau, des ondes électromagnétiques (4G, 5G, mais aussi notre Wifi, les téléviseurs, les appareils électriques…), et aujourd’hui, ces poisons nanomoléculaires directement injectés dans le corps humain.
RépondreSupprimerEn corollaire, il s’agit de supprimer l’argent liquide et de le remplacer par du tout numérique.
Rendre l’humain aussi inerte et prévisible qu’une machine sans âme ni esprit propre, beaucoup plus facile à diriger et à exploiter.
Cette vidéo réalisée par le chercheur corse-belge Alain Schollaert, sur la chaîne du très bon Akina, le Media Front, parle elle aussi d'un sujet délicat mais ô combien vital, lui aussi !
L’opposition fabriquée, dite « contrôlée ». La fausse opposition ou cheval de Troie qui participe de manière perverse, parfois inconsciente, à la diffusion du récit officiel et à son accomplissement en captant les volontés dissidentes.
Comment s'orienter sans paranoïa ni découragement ?
Là encore, ce sont mes déductions, je les assume mais faites-vous votre propre opinion.
Mais ne tardez pas et ne vous trompez pas car c’est votre vie qui est en jeu, la vôtre et celle de vos proches.
Les décisions que vous prendrez, les actions que vous entreprendrez dépendront toutes des informations auxquelles vous aurez choisi de faire confiance, des lanceurs d'alerte que vous aurez choisi de suivre car oui, il y en a des faux, plus ou moins conscients de ce qu'ils font.
Tout d’abord, méfiez-vous des « héros » créés par cette tragédie.
Recherchez l’humilité, la discrétion, la vraie modestie chez ceux qui vous parlent.
Il n'y a pas de héros, pas de piédestal, pas d'élites de la résistance, pas de personnages prestigieux !
Cherchez ceux qui savent parler de tout, sans tabous, aussi bien de l'ARN messager que de l'oxyde de graphène , du génocide programmé et de l'industrie mortifère des vaccins ! Cherchez ceux qui admettent leurs erreurs, sont tolérants, ceux qui ne prennent pas les autres d'en haut, qui ne se présentent pas à leur tour comme des experts, ce qui signifierait que par leur seul titre, nous devrions les écouter religieusement.
Vous vous souvenez de la chercheuse suisse Astrid Stuckelberger, censurée dans un congrès de « résistants » juste parce qu’elle voulait aborder le sujet de l’oxyde de graphène, comme si certains pouvaient décider de leur seule autorité de ce dont on peut parler ou pas.
RépondreSupprimerNous sommes tous des citoyens ordinaires plongés dans des circonstances extraordinaires qui ont révélé de quoi est faite notre véritable nature.
Ceux qui ont parlé et agi, dont certains étaient très conformistes en temps normal, ceux qui ont résisté, ont refusé de suivre aveuglément les ordres ne l'ont fait que parce qu'ils ne pouvaient pas faire autrement, et pourtant très lucides sur les risques terribles qu'ils encouraient, licenciement, harcèlement, incarcération, empoisonnement, assassinat social ou fiscal.
Ce n’est pas par héroïsme mais par obligation morale.
C'est dans ces circonstances, au cœur de l'action, que nous découvrons réellement qui nous sommes. Pas avant.
Alors, regardez qui était visible, emporté jusqu'aux nuages même, et qui était ostracisé, très rapidement ou progressivement.
Regardez qui est censuré notamment sur YouTube et qui ne l'est pas ou moins. Ne tirez pas de conclusions hâtives mais faites travailler votre esprit de déduction.
Quand certains ont pu publier des livres sans problème, traduits même en plusieurs langues, en parler à la radio, vous avez d'autres auteurs sérieux dont on ne parle jamais et dont on ne traduit jamais. C'est un signe.
Connaissez-vous Didier Raoult, Louis Fouché, Alexandra Henrion-Caude, Jean-Dominique Michel, Xavier Azalbert… ?
J'en suis sûr. Les « ténors », les « piliers »…
Et Melody Feron, Denis Rancourt, Sasha Latypova, Tess Lawrie, Alain Schollaert, Laurence Kayser ? Beaucoup moins, non ?
Mais encore une fois, et c'est crucial, faites-vous votre propre opinion.
Les vrais lanceurs d’alerte sont invisibles. C’est logique. Le mensonge ne tolère pas la vérité qui le détruit d’un seul regard.
RépondreSupprimerLes véritables résistants sont exclus, même par les cercles dits résistants ou éveillés, qui font donc ce qu'ils critiquent précisément dans l'autre camp, l'élitisme et la sélection.
Le reportage vidéo d'Alain Schollaert, sourcé, reliant tous les points de ce labyrinthe de corruption et d'objectifs secrets, parle de lui-même.
L’intention de ces forces du mal est terrible.
C'est Primum Nocere : avant tout, nuire (par opposition au serment de tout soignant, primum non nocere, avant tout, ne pas nuire).
Ce sont des complots. Ce n'est pas une théorie et ceux qui vous le disent encore sont soit des individus de l'âge mental d'un enfant préférant un monde faux mais ils savent, soit des gens malhonnêtes voire complices.
Toutes les preuves de ce complot contre l'humanité sont là, sous nos yeux, aujourd'hui. Comme en témoigne l'énorme travail de l'avocat Reiner Fuellmich, aujourd'hui emprisonné [6].
Et ce ne seront pas les collectifs bien connus, devenus depuis quelque temps des machines bien huilées et admises, ni les organes de presse dits résistants qui vous aideront à vous en sortir.
C'est toi, nous, moi, toi, lui, elle.
Nous. Ensemble.
Chacun défend son âme et son esprit face à l'attaque dévastatrice.
Commençons par nous libérer des influences maléfiques qui nous capturent et nous enferment dans une impasse du labyrinthe. Ils ont prévu une impasse pour chacun d'entre nous, depuis le temps qu'ils travaillent sur ce projet diabolique.
Ils savaient très bien que certains n'avaleraient pas leurs mensonges et auraient le courage de résister. Ils n'ont rien laissé au hasard. Ils ont essayé de tout planifier, de proposer une solution alternative pour chacun d'entre nous.
Quel que soit le nom de ce piège pour vous, je prie pour que le plus grand nombre possible de personnes, après avoir lu cet article et surtout la vision des Eugénistes 2.0 & Transhumanistes : leur guerre ouverte contre les peuples , réalisée par Alain Schollaert, voient clair et reprennent le pouvoir personnel qu'ils ont au fond de leur âme et nous survivrons à tout cela.
Parce qu'ils ne gagneront pas.
RépondreSupprimerIls ne peuvent pas violer votre âme sans votre consentement, c'est pourquoi ils font tout pour la tromper, l'égarer, l'affaiblir et l'orienter dans la mauvaise direction.
Soyez courageux, lucide, calme, pensez puis agissez, n'ayez peur de rien et laissez le meilleur en vous, plus brillant, bon et beau, la force d'amour de votre cœur ardent rayonner et éteindre toute cette obscurité.
Docteur Pascal Sacré
Image en vedette : Capture d'écran. Dénonciateur.
* Je ne mets pas d'auteur car ce genre de phrase est attribuée à l'un ou à l'autre, sans possibilité de le vérifier. C'est la phrase elle-même, universelle, qui est importante car elle résume toute la problématique actuelle.
** Le canari dans la mine de charbon : Que signifie être un canari dans une mine de charbon ? – Spiegato
Notes de fin : titre traduit en anglais, lien vers l'original français
[1] COVID-19 – Vérifiez vos sources. Guerre contre… la corruption ? | Mondialisation – Centre de recherche sur la mondialisation
[2] Dr. Pascal Sacré | Mondialisation – Centre de recherche sur la mondialisation
[3] La corruption de la science. Le scandale de l’étude sur l’hydroxychloroquine. Qui est derrière tout ça ? L’intention d’Anthony Fauci de bloquer l’HCQ au nom des grandes sociétés pharmaceutiques | Mondialisation – Centre de recherche sur la mondialisation
[4] COVID-19, un simple changement de méthode et c'est fini | Globalisation – Centre de recherche sur la mondialisation
[5] Lire l’auteur Claire Séverac, et son livre « la guerre contre les peuples » : Claire Séverac – La guerre secrète contre les peuples : Claire Séverac : Téléchargement gratuit, emprunt et streaming : Internet Archive . Cette militante courageuse a été assassinée des suites d’une mystérieuse maladie fulgurante en décembre 2016 ( La mort de Claire Séverac, une militante qui a perturbé « l’establishment » – Santé et bien-être – Sott.net )
[6] C'est le début du procès de Reiner Fuellmich (youtube.com)
*
Pascal Sacré est diplômé en médecine, en Belgique, depuis 1995, à l'Université de Liège. Il a débuté une spécialité en anesthésie-réanimation en 1997, achevée en 2002 et complétée par une spécialisation en soins intensifs en 2003.
RépondreSupprimerIl a travaillé en milieu hospitalier, principalement en soins intensifs, pendant 18 ans sans que rien ne lui soit jamais reproché.
Dans son service, il a travaillé à l’élaboration d’un protocole de prise en charge de la douleur, de la sédation médicamenteuse et des complications neurologiques telles que le délire, protocole retenu par de nombreux pairs dans d’autres hôpitaux.
Licencié en 2020 de l'hôpital où il travaillait depuis 9 ans, en raison de positions contraires à la politique sanitaire officielle et d'un conflit avec la direction au sujet de la crise du COVID-19, il a continué à défendre son point de vue malgré l'adversité (licenciement sans indemnité, convocation au commissariat, diffamation dans la presse, mise sur liste noire dans tous les services de soins intensifs belges malgré la reconnaissance de sa compétence et de son professionnalisme, invisibilité).
En 2021, il trouve un poste d'anesthésiste-réanimateur au centre des grands brûlés, à l'hôpital militaire, en Belgique. Ce centre dépend du ministère de la Défense et non directement du ministère de la Santé.
Le Dr Sacré a suivi une formation à l'Université de Liège (Professeur ME Faymonville) en hypnothérapie en milieu médical.
Intéressé par tout ce qui peut aider son patient à aller mieux, le Dr Sacré considère que rien ne peut être a priori rejeté, comme l'ajout de médecines naturelles à des pratiques chimiques reconnues en milieu hospitalier, ou à l'inverse, considéré a priori comme un dogme intouchable comme la vaccination.
Tout mérite l’ouverture d’esprit, la tolérance, la curiosité et la recherche honnête, avec humilité et bonne foi.
Son mantra : « pense par toi-même ».
Le Dr Sacré, afin d’aider chacun à reprendre le contrôle de sa santé sans attendre que les milieux intéressés le fassent, donne des formations à la gestion du mental, des émotions, du stress à travers les outils qu’il a lui-même appris (cohérence cardiaque, respiration, langage, autohypnose) et organise des ateliers sur des thèmes de santé tels que la digestion, les glandes endocrines (thyroïde, surrénales…), les nerfs vagues, dans un langage simple et accessible à tous.
Son site internet : www.pascal-sacre.be et le mail associé : psformation222@gmail.com
Il est chercheur associé au Centre de recherche sur la mondialisation depuis 2009.
La source originale de cet article est Mondialisation.ca
https://www.globalresearch.ca/the-challenge-of-the-2020-2021-corona-crisis-your-life-your-mind-your-soul/5857242
Vidéo : La mort mystérieuse de l'inventeur du test PCR, le prix Nobel Dr Kary Mullis
RépondreSupprimerLe critique le plus notoire du Dr Fauci
Par Greg Reese et le professeur Michel Chossudovsky
Recherche mondiale,
9 novembre 2024
« La PCR est un processus. Elle ne vous dit pas que vous êtes malade. » – Dr Kary Mullis , (image de droite), lauréat du prix Nobel et inventeur de la RT-PCR, décédé en août 2019.
« … La totalité ou une partie substantielle de ces résultats positifs pourraient être dus à ce que l’on appelle des tests faussement positifs . » – Dr Michael Yeadon , scientifique distingué, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer
« Cette utilisation abusive de la technique RT-PCR est appliquée comme une stratégie implacable et intentionnelle par certains gouvernements pour justifier des mesures excessives telles que la violation d’un grand nombre de droits constitutionnels, … sous prétexte d’une pandémie basée sur un nombre de tests RT-PCR positifs, et non sur un nombre réel de patients . » – Dr Pascal Sacré, médecin belge spécialisé en soins intensifs et analyste réputé en santé publique.
« J’ai vu des efforts massifs déployés pour gonfler délibérément le nombre de décès dus au Covid en requalifiant les patients atteints de cancer, les victimes d’accident vasculaire cérébral et toutes sortes de décès normaux comme étant dus au Covid, en fait pratiquement n’importe qui montant dans une ambulance. Les méthodes utilisées pour ce faire étaient totalement défectueuses, les tests PCR par exemple étant effectués sur 45 cycles, nous savons tous qu’ils ne valent rien , et pourtant des gens sont euthanasiés sur cette base et parfois uniquement sur la base d’une radiographie pulmonaire. » – John O’Looney, directeur de pompes funèbres, Milton Keynes, Royaume-Uni
Dès le début de cette crise en janvier 2020, toutes les décisions politiques de grande envergure, confirmées et présentées au public comme un « moyen de sauver des vies », étaient fondées sur des cas positifs de RT-PCR erronés et invalides.
Ces « estimations » invalides de la COVID-19 ont été utilisées pour justifier le confinement, la distanciation sociale, le port du masque, l’interdiction des rassemblements sociaux, des événements culturels et sportifs, la fermeture de l’activité économique, ainsi que l’application du « vaccin » à ARNm lancé en novembre 2020. Il n’existe pas de « cas confirmé de COVID-19 » . – Michel Chossudovsky, professeur d’économie (émérite), Université d’Ottawa.
* * *
Le regretté Dr Kary Mullis, inventeur du test PCR, dénonce Fauci et les grandes sociétés pharmaceutiques depuis 30 ans. Production vidéo et analyse exceptionnelles de Greg Reese
VIDÉO. Le test de réaction en chaîne par polymérase
Que l’héritage du regretté Dr Kary Mullis perdure.
*
La méthodologie biaisée appliquée sous les directives de l'OMS pour détecter la propagation présumée du virus est le test de réaction en chaîne par polymérase à transcription inverse (RT-PCR) , qui est systématiquement appliqué dans le monde entier depuis février 2020. (Ce texte ci-dessous est un extrait du livre de Michel Chossudovsky, août 2022 )
RépondreSupprimerLa polymérase de transcription inverse
Test de réaction en chaîne (RT-PCR)
par Michel Chossudovsky
Le test RT-PCR a été utilisé dans le monde entier pour générer des millions de « cas confirmés de COVID-19 » erronés, qui sont ensuite utilisés pour entretenir l’illusion que la prétendue pandémie est réelle.
Cette évaluation fondée sur des chiffres erronés a été utilisée pendant trois ans et demi pour lancer et entretenir la campagne de peur.
Le terme « confirmé » est une erreur de langage. Un « cas positif confirmé par RT-PCR » n’implique pas nécessairement un « cas confirmé de COVID-19 ».
« Un RT-PCR positif n’est pas synonyme de la maladie COVID-19 ! Les spécialistes de la PCR précisent qu’un test doit toujours être comparé au dossier clinique du patient testé , à l’état de santé du patient pour confirmer sa valeur [fiabilité]. » ( Dr Pascal Sacré)
La procédure utilisée par les autorités sanitaires nationales consiste à classer tous les cas positifs au test RT-PCR comme « cas confirmés de COVID-19 » (avec ou sans diagnostic médical). Ironiquement, ce processus routinier d'identification des « cas confirmés » déroge aux propres directives du CDC :
« La détection de l’ARN viral peut ne pas indiquer la présence d’un virus infectieux ou que le 2019-nCoV est l’agent causal des symptômes cliniques. La performance de ce test n’a pas été établie pour le suivi du traitement de l’infection par le 2019-nCoV. Ce test ne peut pas exclure les maladies causées par d’autres agents pathogènes bactériens ou viraux . » (soulignement ajouté)
La méthodologie utilisée pour détecter et estimer la propagation du virus est défectueuse et invalide.
Faux positifs
Le débat précédent, au début de la crise, portait sur la question des « faux positifs ».
Reconnu par l'OMS et le CDC, le test RT-PCR était connu pour produire un pourcentage élevé de faux positifs. Selon le Dr Pascal Sacré :
« Aujourd’hui, les autorités testent davantage de personnes, ce qui veut dire que les tests RT-PCR sont plus positifs. Cela ne signifie pas que le COVID-19 va revenir, ni que l’épidémie se propage par vagues. Il y a plus de personnes testées, c’est tout. »
Le débat sur les faux positifs (reconnus par les autorités sanitaires) pointe du doigt des erreurs dites « d’erreur » sans pour autant remettre en cause la validité globale du test RT-PCR comme moyen de détection de la prétendue propagation du virus SARS-CoV-2.
RépondreSupprimerLe test PCR ne détecte pas l'identité du virus
Le test RT-PCR ne permet pas d'identifier ni de détecter le virus. Le test PCR permet d'identifier des fragments génétiques de nombreux virus (y compris les virus de la grippe de types A et B et les coronavirus qui déclenchent le rhume).
Les résultats du test RT-PCR ne peuvent pas « confirmer » si une personne qui se soumet au test est infectée par le SRAS-CoV-2.
Les échecs du test PCR, des chiffres ridiculement bas
Même si le nCoV 2019 avait été détecté et dûment identifié, le nombre de cas positifs confirmés (cumulatifs) par PCR-RT au cours de la période précédant le 11 mars 2020, utilisé comme justification pour imposer le confinement de plus de 190 pays, était ridiculement bas . Les 80 981 cas pour la Chine concernent également les cas positifs confirmés (cumulatifs) par PCR. Notez que les nouveaux cas en Chine (PCR positifs) au 12 mars 2020 sont de l'ordre de « 321 nouveaux »
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Image : Nombre total de cas cumulés au 12 mars 2020 (Source : OMS )
Pour plus de détails, voir :
L’OMS confirme que le test PCR Covid-19 est erroné : les estimations de « cas positifs » n’ont aucun sens. Le confinement n’a aucune base scientifique
Par le professeur Michel Chossudovsky ,
10 décembre 2023
Il n’y a jamais eu de « nouveau coronavirus », il n’y a jamais eu de pandémie,
Par le professeur Michel Chossudovsky , 3 novembre 2024
Le 13 janvier 2021, l’OMS a reconnu que le test PCR n’était pas valide. Le texte officiel de l’OMS intitulé « Technologies de test des acides nucléiques (NAT) qui utilisent la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour la détection du SARS-CoV-2 » est présenté dans l’annexe ci-dessous.
Le Mea Culpa de l'OMS
par Michel Chossudovsky
Les directives de l'OMS concernant les tests de diagnostic du SARS-CoV-2 stipulent qu'une interprétation prudente des résultats positifs faibles est nécessaire ( 1 ). Le seuil de cycle (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnel à la charge virale du patient. Lorsque les résultats du test ne correspondent pas à la présentation clinique, un nouvel échantillon doit être prélevé et retesté en utilisant la même technologie NAT ou une technologie différente. (soulignement ajouté)
L’OMS rappelle aux utilisateurs de dispositifs de diagnostic in vitro que la prévalence de la maladie modifie la valeur prédictive des résultats des tests ; à mesure que la prévalence de la maladie diminue, le risque de faux positif augmente ( 2 ). Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant un résultat positif (SARS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SARS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité revendiquée.
RépondreSupprimer« Les positifs non valides » est le concept sous-jacent
Il ne s’agit pas d’une question de « faibles positifs » et de « risque d’augmentation des faux positifs ». Ce qui est en jeu, c’est une « méthodologie défectueuse » qui conduit à des estimations non valides.
Ce que confirme cet aveu de l’OMS, c’est que l’estimation de la positivité au covid issue d’un test PCR (avec un seuil d’amplification de 35 cycles ou plus) n’est pas valide . Dans ce cas, l’OMS recommande de refaire le test : « un nouvel échantillon doit être prélevé et retesté… ».
L’OMS appelle à « refaire les tests » , ce qui revient à dire « nous avons fait une erreur ».
Cette recommandation est une formalité. Elle n'aura pas lieu. Des millions de personnes dans le monde ont déjà été testées, à partir de début février 2020. Néanmoins, nous devons conclure que, à moins d'être à nouveau testées, ces estimations (selon l'OMS) ne sont pas valables.
Depuis le début, le test PCR est systématiquement appliqué à un seuil d'amplification Ct de 35 ou plus, conformément aux recommandations de l'OMS de janvier 2020. Cela signifie que la méthodologie PCR telle qu'elle est appliquée dans le monde entier a conduit à la compilation de statistiques Covid erronées et trompeuses.
Et ce sont ces statistiques qui sont utilisées pour mesurer la progression de la soi-disant « pandémie ». Au-delà d’un cycle d’amplification de 35 ou plus, le test ne détectera pas de fragments du virus. Par conséquent, les « chiffres officiels du Covid » n’ont aucun sens.
Il s’ensuit qu’il n’existe aucune base scientifique permettant de confirmer l’existence d’une pandémie.
Ce qui signifie à son tour que le confinement/les mesures économiques qui ont entraîné la panique sociale, la pauvreté de masse et le chômage (soi-disant pour freiner la propagation du virus) n'ont aucune justification.
Selon l'avis scientifique :
« Si une personne est testée positive par PCR lorsqu'un seuil de 35 cycles ou plus est utilisé (comme c'est le cas dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis), la probabilité que cette personne soit réellement infectée est inférieure à 3 % , la probabilité que ce résultat soit un faux positif est de 97 % (Pieter Borger, Bobby Rajesh Malhotra, Michael Yeadon, Clare Craig, Kevin McKernan, et al, Critique de l'étude Drosten )
Comme indiqué ci-dessus, « la probabilité que ce résultat soit un faux positif est de 97 % » : il s’ensuit que l’utilisation de la détection > 35 cycles contribuera de manière indélébile à « augmenter » le nombre de « faux positifs ».
Au moment où nous écrivons ces lignes (mi-mars 2021), malgré la rétractation de l’OMS, le test PCR est largement utilisé pour faire grimper les chiffres en vue de maintenir la campagne de peur, de justifier les politiques de confinement en cours ainsi que la mise en œuvre du vaccin Covid.
RépondreSupprimerIroniquement, les chiffres erronés basés sur des « positifs non valides » sont à leur tour manipulés pour assurer une tendance à la hausse des soi-disant « cas confirmés de Covid-19 ».
De plus, ces tests PCR ne sont pas systématiquement accompagnés d’un diagnostic médical des patients testés.
Et maintenant, les autorités sanitaires nationales ont émis de (faux) avertissements concernant une « troisième vague » dans le cadre de leur campagne de propagande en faveur du vaccin contre le Covid-19.
L'OMS confirme que la procédure de test PCR Covid telle qu'appliquée n'est pas valide. Il n'existe absolument aucune base scientifique pour la mise en œuvre du vaccin Covid.
Tant l’OMS que l’évaluation scientifique de Pieter Borger et al (citée ci-dessus) confirment sans équivoque que les tests adoptés par les gouvernements pour justifier le confinement et la déstabilisation des économies nationales sont INVALIDES.
Données invalides et jeu des nombres
Il faut comprendre que ces « estimations invalides » sont les « chiffres » cités sans relâche 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 par les médias qui ont été utilisés pour alimenter la campagne de peur et « justifier » TOUTES les politiques mises en avant par les gouvernements :
confinement,
fermeture de l'activité économique,
la pauvreté et le chômage de masse,
faillites
distanciation sociale,
masque facial,
couvre-feu,
le vaccin.
le passeport santé
Données non valides. Réfléchissez à deux fois avant de vous faire vacciner
Michel Chossudovsky, 9 novembre 2024
Pour le texte complet de l'OMS daté du 13 janvier 2021 (Mea Culpa), voir ci-dessous
Vous trouverez ci-dessous la « rétractation » soigneusement formulée par l’OMS (en annexe) .
ANNEXE
RépondreSupprimerTechnologies de test des acides nucléiques (NAT)
qui utilisent la réaction en chaîne par polymérase (PCR)
pour la détection du SARS-CoV-2
Lien vers le document original de l'OMS
Type de produit : Technologies de test d'acide nucléique (NAT) qui utilisent la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour la détection du SARS-CoV-2
Date : 13 janvier 2021
Identifiant OMS : 2020/5, version 2
Public cible : professionnels de laboratoire et utilisateurs de DIV.
Objectif de cet avis : clarifier les informations précédemment fournies par l'OMS. Cet avis remplace l'avis d'information de l'OMS à l'intention des utilisateurs de dispositifs médicaux de diagnostic in vitro (DIV) 2020/05 version 1, publié le 14 décembre 2020.
Description du problème : L’OMS demande aux utilisateurs de suivre les instructions d’utilisation (IFU) lors de l’interprétation des résultats des échantillons testés à l’aide de la méthodologie PCR.
Les utilisateurs de DIV doivent lire et suivre attentivement le mode d’emploi pour déterminer si le réglage manuel du seuil de positivité de la PCR est recommandé par le fabricant.
Les recommandations de l'OMS concernant les tests diagnostiques pour le SARS-CoV-2 indiquent qu'il est nécessaire d'interpréter avec prudence les résultats positifs faibles ( 1 ). Le seuil de cycle (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnel à la charge virale du patient. Lorsque les résultats du test ne correspondent pas à la présentation clinique, un nouvel échantillon doit être prélevé et retesté en utilisant la même technologie NAT ou une technologie différente.
L’OMS rappelle aux utilisateurs de dispositifs de diagnostic in vitro que la prévalence de la maladie modifie la valeur prédictive des résultats des tests ; à mesure que la prévalence de la maladie diminue, le risque de faux positif augmente ( 2 ). Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant un résultat positif (SARS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SARS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité revendiquée.
La plupart des tests PCR sont indiqués comme une aide au diagnostic. Par conséquent, les prestataires de soins de santé doivent tenir compte de tout résultat en combinaison avec le moment de l'échantillonnage, le type d'échantillon, les spécificités du test, les observations cliniques, les antécédents du patient, le statut confirmé de tout contact et les informations épidémiologiques.
Mesures à prendre par les utilisateurs de DIV :
RépondreSupprimerVeuillez lire attentivement la notice d'utilisation dans son intégralité.
Contactez votre représentant local si un aspect du mode d’emploi ne vous paraît pas clair.
Vérifiez le mode d'emploi de chaque envoi entrant pour détecter toute modification du mode d'emploi.
Fournissez la valeur Ct dans le rapport au prestataire de soins de santé demandeur.
Remarques
1. Tests de diagnostic du SRAS-CoV-2. Genève : Organisation mondiale de la Santé ; 2020, numéro de référence OMS WHO/2019-nCoV/laboratory/2020.6.
2. Altman DG, Bland JM. Tests diagnostiques 2 : valeurs prédictives. BMJ. 1994 9 juillet ;309(6947):102. doi : 10.1136/bmj.309.6947.102.
https://www.globalresearch.ca/video-mysterious-death-dr-fauci-most-notable-critic/5871158
Fraude aux données : l'EMA a supprimé les décès dus à la vaccination
RépondreSupprimer11 novembre 2024
de Thomas Oysmüller
L'analyste de données Wouter Aukema peut démontrer, à travers des années d'évaluation des bases de données de vaccination, comment elles sont manipulées.
Dans une interview avec l'analyste de données Wouter Aukema, la journaliste d'investigation Sonja Elijah révèle comment les autorités centrales dissimulent le désastre de la vaccination. Aukema a plus de 30 ans d'expérience de travail avec les gouvernements et les entreprises. Il peut désormais prouver une fraude massive aux données lors de l’enregistrement des dommages causés par les vaccins. Et dans l’interview, il a lancé la bombe : la base de données de vaccination de l’EMA a supprimé un grand nombre de rapports.
Aukema et son équipe évaluent depuis des années d’énormes quantités de données sur la sécurité des vaccins Covid. Ils s’appuient principalement sur EudraVigiliance – la base de données de l’UE sur les effets secondaires des vaccinations – ainsi que sur les données des instituts de santé néerlandais. TKP a déjà signalé la manipulation de la base de données EMA à l'été 2022 - Aukema donne désormais suite après des années de recherche. Et montre le sabotage de la base de données néerlandaise sur les blessures causées par les vaccins.
Elie résume la révélation :
En décembre 2021, le député néerlandais Pieter Omtzigt a présenté une motion appelant à une enquête indépendante sur les décès aux Pays-Bas. Il a également demandé que le CIMS (COVID Vaccination Information and Monitoring System), géré par l'Institut national néerlandais pour la santé publique et l'environnement (RIVM) pour surveiller les données de vaccination liées aux vaccins COVID-19, soit mis à la disposition des chercheurs indépendants. La motion d'Omtzigt a été approuvée à l'unanimité au Parlement.
Au lieu de se conformer à cette demande, le gouvernement néerlandais semble non seulement bloquer, mais aussi saboter l’accès transparent à la base de données sur les vaccins. De plus, cela a rendu la base de données inutilisable en supprimant une grande quantité de données personnelles. Dans le cadre de la décision du gouvernement de transférer tous les dossiers de vaccination contre le Covid à l'Office néerlandais des statistiques, plus de 870 000 dossiers de personnes ayant reçu leur première dose d'un vaccin contre le Covid et décédées ou émigrées par la suite (entre janvier 2021 et janvier 2024) ont été systématiquement supprimés.
RépondreSupprimerCe n’est que grâce au travail minutieux de Wouter et de son équipe, qui téléchargent les données chaque semaine, que cette anomalie majeure a été découverte. Cette découverte a des conséquences considérables, car les données manipulées rendent impossible une évaluation significative de la surmortalité associée aux vaccins anti-Covid aux Pays-Bas.
Mais cela ne suffit pas aux violations de données, qui ne se limitent pas aux Pays-Bas : environ 37 minutes après le début de l'interview, Wouter a lancé la plus grosse bombe de toutes ! Il m'a informé en exclusivité qu'après son téléchargement systématique de données d'EudraVigilance (qui contient des rapports de sécurité du monde entier, pas seulement de l'UE), 40 % des rapports mondiaux de cas de sécurité graves (y compris les hospitalisations et les décès) sont liés au Covid- 19. Les vaccins (uniquement) d'octobre 2021 à novembre 2022 ont été supprimés de la base de données de l'Agence européenne des médicaments. De plus, les rapports de sécurité ont également été modifiés rétroactivement après leur point d'interdiction de données (DLP).
Wouter a présenté sa preuve de ce qui semblait être une horrible fraude/manipulation de données en montrant une diapositive incriminante de son rapport médico-légal de 140 pages, qui n'a pas encore été rendu public. La capture d'écran de la diapositive ci-dessous montre une représentation graphique du nombre cumulé de rapports mentionnant des événements mortels (décès). A noter que le plus grand écart entre le nombre cumulé de décès enregistrés par Aukema et son équipe (ligne bleue) et ceux enregistrés par l'EMA (ligne orange) est visible dans la quatrième colonne - ce sont les décès (événements mortels) après le vaccin Covid. de Pfizer/BioNTech.
- voir graph sur site -
Source .
Selon les rapports périodiques de sécurité (PSUR) déposés par Pfizer/BioNTech auprès de l'EMA, que j'ai déjà examinés ici et ici pour Children's Health Defense Europe , le nombre cumulé de décès signalés suite à leur vaccin jusqu'en novembre 2022 était de 8 322. Cependant, le nombre de décès, basé sur les rapports hebdomadaires de sécurité téléchargés sur les événements mortels consécutifs au vaccin Pfizer/BioNTech par Aukema et son équipe, est nettement plus élevé, à 10 193. Ce qui est inquiétant, c'est que près de 20 % d'entre eux semblent avoir été supprimés de la base de données EudraVigilance.
Lorsqu’on lui a demandé ce qu’il comptait faire de ces preuves à charge, Wouter a répondu :
RépondreSupprimer« Nous avions l'habitude de le soumettre à l'auditeur de l'EMA et de lui faire confiance pour en assurer le suivi, mais que pouvons-nous faire aujourd'hui ? À qui pouvons-nous faire confiance ?
Elijah propose quelques liens supplémentaires vers les recherches de Wouther sur son blog.
https://tkp.at/2024/11/11/datenbetrug-ema-loeschte-impf-tote/
Kennedy : 4 sociétés pharmaceutiques reçoivent 35 milliards de dollars de pénalités, de dommages et d'amendes
RépondreSupprimer11 novembre 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
Les dégâts n’ont pas été causés uniquement par les « vaccins » contre le Corona ; ils remontent à des siècles, comme l’ont montré les historiens de la médecine. L’histoire récente, avant 2020, montre que les fabricants de vaccins étaient de plus en plus condamnés dans le cadre de poursuites intentées par les parties lésées.
Auteur invité du TKP, le Dr. Med Gerd Reuther l'a réfuté à plusieurs reprises, plus récemment ici avec cette analyse des vaccinations précédentes . La production de vaccins est concentrée chez quatre géants pharmaceutiques, à savoir Pfizer, Glaxo, Merck et Sanofi. Ils ont fabriqué 72 vaccins et ont été collectivement condamnés à 35 milliards de dollars de pénalités, dommages et amendes, comme l'explique Robert F. Kennedy Jr. dans la vidéo ci-dessous.
Ce que ces amendes révèlent également, ce sont les énormes profits que ces entreprises réalisent en vaccinant et en blessant des personnes en bonne santé. Les sociétés pharmaceutiques sont parmi les plus rentables de toutes, probablement seulement dépassées par les sociétés de défense. Même des chiffres aussi énormes n’ont pas laissé de trace durable dans les bilans ni même persuadés d’abandonner le secteur de la vaccination.
Voici une traduction de ce que dit Robert F. Kennedy Jr. :
« Ce que les gens doivent comprendre, c’est que les quatre sociétés qui fabriquent ces 72 vaccins, à savoir Pfizer, Glaxo, Merck et Sanofi, sont en cause. Toutes ces entreprises sont des criminels reconnus coupables. Et ce n’est pas tout, ce sont des criminels en série. Leur modèle économique consiste à commettre des crimes.
« Ces entreprises ont payé collectivement 35 milliards de dollars en pénalités, dommages et amendes au cours des 10 dernières années pour avoir falsifié la science, fraudé les régulateurs, menti aux médecins et causé la mort de centaines de milliers de personnes. Le Vioxx, produit phare de Merck, a tué entre 120 000 et 500 000 Américains. C'était une pilule. Et Merck l’a vendu comme pilule contre les maux de tête.
« Et Merck savait que cela provoquait des crises cardiaques et tuait des gens. Et ils n’en ont parlé à personne. Et ils savaient qu'un certain, vous savez, on a les tableaux qui montrent qu'il y a des compteurs, leurs comptables. Ils ont dit : « Vous allez tuer tellement de personnes par dose. Nous pouvons encore gagner plus d’argent même s’ils nous poursuivent tous en justice. Et ils ont fini par tuer, vous savez, jusqu’à un demi-million d’Américains. Et ils s’en sont sortis.
« Ils ont payé 7 milliards de dollars d’amendes. Personne n'est allé en prison. Et c'est, vous savez. Ils ont probablement réalisé un bénéfice de 100 millions de dollars. Il s'agit d'une entreprise. Donc c'est une entreprise, ça, il faut une sorte de dissonance cognitive pour croire que ces entreprises qui mentent et trichent sur tous les autres produits pharmaceutiques, tous les autres dispositifs médicaux qu'elles fabriquent, trouvent d'une manière ou d'une autre les vaccins de Jésus et ne nous mentent pas. »
RépondreSupprimer« Et le problème avec les vaccins, c’est que les vaccins sont le seul endroit où ils ne peuvent jamais être attrapés, car il est illégal dans ce pays de poursuivre en justice un fabricant de vaccins. "Le Congrès a adopté une loi en 1986 qui dit qu'on ne peut pas poursuivre une entreprise, aussi négligente soit-elle, aussi malveillante soit-elle, aussi toxique que le produit soit, quelle que soit la gravité du préjudice."
- voir clip sur site :
https://tkp.at/2024/11/11/kennedy-4-pharmafirmen-35-milliarden-dollar-an-strafen-schadensersatz-und-bussgeldern/
Augmentation drastique des accidents vasculaires cérébraux après la campagne de vaccination contre le corona
RépondreSupprimer11 novembre 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
Une nouvelle étude évaluée par des pairs confirme que les « vaccins » à ARNm contre le coronavirus provoquent une augmentation spectaculaire de 112 000 fois des caillots sanguins mortels dans le cerveau . Le célèbre cardiologue, le Dr. Peter McCullough, impliqué.
L'étude vient d'être publiée dans le prestigieux International Journal of Innovative Research in Medical Science (IJIRMS) sous le titre « COVID-19 Vaccines : A Risk Factor for Cerebral Thrombotic Syndromes » . Dans le cadre de l'étude, l'équipe d'experts dirigée par le Dr. Rogers tous les rapports de thromboembolie cérébrale des 34 dernières années.
La thromboembolie cérébrale survient lorsqu'un caillot sanguin se forme dans le sinus veineux du cerveau. Cela signifie que le sang ne peut plus s’écouler du cerveau. Cet enchaînement d’événements fait partie d’un accident vasculaire cérébral qui peut endommager le cerveau et le système nerveux central et entraîner une mort subite. Il s’agit d’un effet secondaire connu des injections d’ARNm Corona.
Un certain nombre de scientifiques réputés avaient déjà prédit la probabilité que ces dommages soient causés par les injections d’ARNm en 2020. Le modRNA, conditionné dans des nanoparticules lipidiques, pénètre rapidement dans la circulation sanguine et peut facilement traverser la barrière hémato-encéphalique. En particulier, là où le sang circule lentement, comme dans les nombreux capillaires du cerveau, le modRNA transfecte les cellules endothéliales qui tapissent les vaisseaux sanguins. Les cellules infectées sont reconnues comme n'appartenant pas à l'organisme et rendues inoffensives par les cellules NK ou T. Les blessures sont scellées par des plaquettes sanguines et peuvent entraîner la formation de caillots sanguins, en particulier dans les vaisseaux capillaires, qui peuvent ensuite entraîner la formation de caillots plus gros dans le sinus veineux. Le professeur Sucharit Bhakdi, par exemple, a décrit cela exactement correctement dans son livre « Corona fausse alarme » et dans son deuxième livre « Corona démasqué » . Plus d'informations à ce sujet ici dans cet article du TKP et dans une vidéo avec les professeurs Bhakdi, Sönnichsen et Haditsch.
- voir doc sur site -
L'étude confirme désormais cette analyse. Les scientifiques ont examiné les données sur les rapports de thromboembolie cérébrale suite à des vaccinations contre le coronavirus soumis aux Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis et au système fédéral de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS).
Ils ont analysé tous les rapports de janvier 1990 à décembre 2023. L’étude a révélé que 5 137 cas ont été signalés au cours des trois années pendant lesquelles les injections d’ARNm étaient disponibles.
Cependant, au cours des 34 années de données disponibles, seuls 52 cas de thromboembolie cérébrale associés aux vaccins contre la grippe ont été signalés.
Selon ces données, le nombre de thromboembolies cérébrales est multiplié par 1 120 avec les injections de Covid par rapport aux vaccinations contre la grippe.
RépondreSupprimerPour tous les vaccins autres que le vaccin contre la grippe, 282 cas de thromboembolie cérébrale liés au vaccin ont été signalés au cours des 34 dernières années. Cela signifie que le risque lié aux nouvelles vaccinations est multiplié par 207 par rapport aux autres vaccins.
"Il y a un dépassement alarmant du seuil de signal de sécurité pour la thrombose cérébrale après les vaccins corona par rapport aux vaccins contre la grippe et même par rapport à tous les autres vaccins", concluent les auteurs.
« Un moratoire mondial immédiat sur l’utilisation des vaccins contre la COVID-19 est nécessaire, avec une contre-indication absolue pour les femmes en âge de procréer. »
McCullough, un cardiologue bien connu, a ajouté sur son Substack que le rapport « ne rend pas compte de l'étendue des dommages neurologiques permanents et du handicap dont souffrent ces patients.
«Je peux vous dire que les taux doivent être très élevés compte tenu de l'ampleur des caillots sanguins signalés», explique-t-il.
« Ces données, ainsi que d’autres, soutiennent le retrait du marché de tous les vaccins et rappels contre la COVID-19.
« Personne ne devrait courir le risque d’un accident vasculaire cérébral grave à cause d’un vaccin. »
https://tkp.at/2024/11/11/drastischer-anstieg-von-schlaganfaellen-nach-corona-impfkampagne/
Une étude révèle que les rappels de COVID sont liés à des millions de décès dans les maisons de retraite – et le bilan s’alourdit
RépondreSupprimerPar Baxter Dmitry et Dr William Makis
Recherche mondiale,
11 novembre 2024
Partout dans le monde, on a assuré aux personnes âgées que la vaccination contre la COVID-19 les protégerait de la mort. Pourtant, une nouvelle étude majeure évaluée par des pairs a révélé cette trahison dévastatrice : les vaccins à ARNm contre la COVID-19 ont directement contribué à la mort de millions de résidents de maisons de retraite dans le monde entier.
Alors qu’on leur avait promis une protection, ces populations vulnérables ont en réalité connu une mortalité accrue après avoir reçu des doses de rappel, l’intervention même censée protéger leur vie ayant en réalité accéléré leur mort.
L’étude des chercheurs, le professeur Sourafel Girma et David Paton, publiée dans Science Direct, expose cette réalité inquiétante, révélant que loin d’offrir un bénéfice clair et cohérent, les vaccinations contre la COVID-19 – en particulier les rappels – ont contribué à augmenter la mortalité dans ces populations vulnérables.
En utilisant l’apprentissage automatique pour analyser les données de vaccination, l’étude n’a trouvé qu’un faible bénéfice à court terme dans deux des trois mesures de mortalité parmi les résidents des maisons de retraite.
Cependant, après l’administration des doses de rappel, on a constaté une augmentation significative des décès liés à la COVID-19, un résultat troublant qui contredit l’objectif initial des vaccins.
- voir post sur site -
Annonce du nouveau document de recherche sur X
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Les auteurs ont noté :
« Plus tard, nous trouvons des preuves que des taux de vaccination plus élevés sont associés à une mortalité plus élevée due au Covid. »
Plus alarmant encore, la vaccination du personnel des maisons de retraite semble avoir un impact systématiquement négatif sur la mortalité des résidents.
Sur les sept périodes analysées et pour chaque dose de vaccin administrée, les données ont montré que la vaccination du personnel était liée à des taux plus élevés de décès dus à la COVID et à toutes causes confondues parmi les résidents. Ces résultats étaient statistiquement significatifs avec un intervalle de confiance de 99 % pour la série de vaccins primaires.
RépondreSupprimerCette étude soulève des inquiétudes cruciales quant à la campagne continue en faveur de la vaccination contre la COVID-19 dans les maisons de retraite, en particulier lorsque les données ne montrent de plus en plus aucun avantage clair – et dans la plupart des cas, des dommages importants.
En l’absence de preuves solides justifiant la poursuite de la vaccination des résidents ou du personnel, la question devient : pourquoi les autorités sanitaires continuent-elles de promouvoir ces vaccins ?
Comme c’est souvent le cas, les médias grand public sont restés silencieux sur cette question, malgré le nombre croissant de preuves qui remettent en question l’efficacité et la sécurité des vaccins contre la COVID-19 dans les maisons de retraite.
L’étude de Girma et Paton n’est que la dernière d’une série de résultats suggérant que la stratégie de vaccination actuelle non seulement ne parvient pas à protéger les plus vulnérables, mais pourrait les exposer à un risque encore plus grand.
Le temps est venu d’un dialogue ouvert et honnête sur l’impact réel des vaccins contre la COVID-19 sur les résidents des maisons de retraite – et de déterminer si la poursuite de cette approche est judicieuse.
Commentaire du Dr William Makis
Les vaccins contre la COVID-19 n’ont apporté aucun bénéfice, même dans les « populations à haut risque » d’infection par la COVID-19 : les personnes âgées de plus de 70 ans et celles vivant dans un établissement de soins de longue durée.
Les vaccins contre la COVID-19 n’ont fait qu’accélérer la mort des personnes de plus de 70 ans.
https://www.globalresearch.ca/study-reveals-covid-boosters-linked-millions-nursing-home-deaths/5872419
Incapacité du pilote : vol BA2158 de British Airways, le pilote est décédé subitement pendant une escale après s'être effondré
RépondreSupprimerPar le Dr William Makis
Recherche mondiale,
11 novembre 2024
Vous trouverez ci-dessous un extrait d’un article du Daily Mail :
Un pilote de British Airways est décédé lors d'une escale entre deux vols dans une station balnéaire de l'île de Sainte-Lucie, selon les rapports.
Le premier officier supérieur, âgé de 47 ans, se serait effondré dans un hôtel de luxe devant des touristes choqués sur l'île des Caraïbes hier.
Son décès a obligé BA à annuler le vol BA2158 en provenance de Vieux Fort, qui devait atterrir à Londres Gatwick à 08h50 aujourd'hui.
« Cette tragédie a laissé le personnel de British Airways abasourdi et profondément bouleversé », aurait déclaré une source au Sun.
« Le premier officier était très populaire et sa mort est totalement inattendue. »
Les membres de l'équipage dévastés devraient retourner au Royaume-Uni sur un autre vol ce soir.
L'équipage qui a volé avec le pilote s'est vu proposer des conseils par ses supérieurs.
BA a déclaré dans un communiqué à MailOnline : « Nos pensées et nos condoléances accompagnent la famille et les amis de notre collègue dans cette période difficile. »
- voir doc sur site -
Incapacités de pilotes en service en 2024 (12 à ce jour)
3 novembre 2024 – Vol BA2158 (UVF-LGW) de British Airways de Sainte-Lucie à Londres, le pilote de 47 ans est décédé subitement pendant une escale, après s'être effondré dans une station balnéaire de Sainte-Lucie.
9 octobre 2024 – Vol TK204 (SEA-IST) de Turkish Airlines d'Istanbul à Seattle, le capitaine Ilcehin Pehlivan, 59 ans, est décédé en plein vol
8 septembre 2024 – Le vol Southwest SW3584 (LAS-DAL) a quitté LAS à 08h34 PDT en direction de DAL, puis a été dérouté vers LBB en raison de l'incapacité du commandant de bord. Le copilote a atterri, s'est arrêté et a retiré le commandant de bord de son siège pour se rendre à la porte d'embarquement.
19 août 2024 – Vol Wizz Air W6-1451 (WAW-LCA) de Varsovie (Pologne) à Larnaca (Chypre), le pilote est devenu incapable de voler, l'avion a été contraint de retourner à Varsovie, l'incident a été qualifié de grave
22 juillet 2024 – Vol Edelweiss WK-5 (TPA-ZRH) de Tampa, FL, USA à Zurich, Suisse, le pilote a souffert d'un problème de santé et a été frappé d'incapacité
RépondreSupprimer12 juin 2024 – Vol NE-130 (CAI-TIF) de Nesma Airlines du Caire, en Égypte, à destination de Taif (Arabie saoudite) – le pilote, le capitaine Hassan Youssef Adas, âgé d'une trentaine d'années, s'est effondré et est décédé d'une crise cardiaque présumée
4 juin 2024 – Vol Aeromexico AM-34 (MTY-MAD) de Monterrey (Mexique) à Madrid (Espagne), le premier officier est tombé malade, a eu un problème médical, vol dérouté vers Mexico.
24 mars 2024 – Le capitaine Keith Duncan, pilote de Jetblue, est décédé subitement lors d'une escale à Curaçao
14 mars 2024 – British Airways BA-2272 (JFK-LGW) de New York à Londres-Gatwick, l'un des pilotes est tombé en incapacité et l'avion a été contraint de se dérouter vers St. John's, Terre-Neuve-et-Labrador, Canada.
17 février 2024 – Vol Lufthansa LH-1140 (FRA-SVQ) de Francfort à Séville le 17 février 2024 – Premier officier en incapacité, avion retourné à Madrid
16 février 2024 – DELTA – NYC – Le capitaine Geoffrey John Brock, 58 ans, est décédé de manière inattendue le 16 février 2024 lors d'une escale à Honolulu, HI
16 janvier 2024 – Vol LATAM Brasil LA-3744 (BSB-JPA) de Brasilia à João Pessoa le 16 janvier 2024 – Pilote en incapacité, avion détourné vers Salvador pour un atterrissage en toute sécurité
https://www.globalresearch.ca/pilot-incapacitation-british-airways-flight-ba2158-pilot-died-suddenly/5872399
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Une femme licenciée pour avoir refusé le vaccin contre la COVID-19 remporte un prix record de 12 millions de dollars
RépondreSupprimerPar Newsweek
Recherche mondiale,
11 novembre 2024
Un jury fédéral de Détroit a accordé vendredi plus de 12 millions de dollars à un ancien employé de Blue Cross Blue Shield of Michigan (BCBSM) qui a été licencié après avoir refusé de se faire vacciner contre le COVID-19 , invoquant une discrimination religieuse.
Selon le verdict, Lisa Domski, qui a travaillé pendant plus de 30 ans comme spécialiste informatique pour la compagnie d'assurance, a reçu 10 millions de dollars de dommages et intérêts punitifs de la part de Blue Cross Blue Shield of Michigan. Le jury lui a également accordé environ 1,7 million de dollars pour perte de salaire et 1 million de dollars de dommages et intérêts non économiques.
Newsweek a contacté Blue Cross Blue Shield par courrier électronique samedi pour obtenir un commentaire.
Domski a affirmé avoir été victime de discrimination religieuse après que l'entreprise a rejeté sa demande d'exemption de sa politique de vaccination de 2021. Elle a soutenu que cette exigence était en conflit avec ses croyances catholiques.
Les dossiers judiciaires montrent que Domski a travaillé à 100 % à distance pendant la pandémie et à 75 % à distance avant l'apparition du COVID-19 en 2020. Son avocat, Jon Marko, a fait valoir que même sans vaccination, elle ne présentait aucun risque pour les autres en raison de son régime de travail à distance.
« Nos ancêtres se sont battus et sont morts pour la liberté de chaque Américain de pratiquer sa propre religion. Ni le gouvernement ni une entreprise n’ont le droit de forcer un individu à choisir entre sa carrière et sa conscience », a déclaré Marko dans un communiqué. « Lisa a refusé de renoncer à sa foi et à ses convictions et a été injustement licenciée du seul emploi qu’elle ait jamais connu. Le verdict du jury d’aujourd’hui indique au BCBSM que la discrimination religieuse n’a pas sa place en Amérique et affirme le droit de chaque personne à la liberté religieuse. »
Blue Cross Blue Shield of Michigan avait mis en œuvre sa politique de vaccination en octobre 2021, exigeant que tous les employés soient entièrement vaccinés contre le COVID-19 ou obtiennent un aménagement religieux ou médical. L'entreprise a nié toute discrimination pendant le procès. Dans des documents judiciaires antérieurs, l'assureur s'est demandé si Domski avait une croyance religieuse sincère.
En réponse au verdict, Blue Cross Blue Shield du Michigan a publié une déclaration défendant ses actions :
« Tout au long de la pandémie, Blue Cross Blue Shield of Michigan et ses employés ont travaillé ensemble pour promouvoir la santé et la sécurité de nos collègues, de nos parties prenantes et de nos communautés. Dans le cadre de ce travail commun, en octobre 2021, Blue Cross et ses filiales ont mis en place une politique de vaccination exigeant que tous ses employés soient entièrement vaccinés contre la Covid-19 ou obtiennent un aménagement religieux ou médical. »
La société a également déclaré :
RépondreSupprimer« Dans le cadre de la mise en œuvre de la politique de vaccination, Blue Cross a conçu un processus d’adaptation conforme aux lois fédérales et étatiques et qui respecte les croyances religieuses sincères de ses employés. Bien que Blue Cross respecte le processus du jury et remercie les jurés pour leur service, nous sommes déçus du verdict. Blue Cross examine ses options juridiques et déterminera sa voie à suivre dans les prochains jours. »
Blue Cross Blue Shield du Michigan a indiqué qu'il examinait les options juridiques potentielles, suggérant un éventuel appel du verdict.
https://www.globalresearch.ca/woman-fired-refusing-covid-vaccine-wins-record-12-million/5872481
Une étude révèle que les rappels de COVID sont liés à des millions de décès dans les maisons de retraite – et le bilan s’alourdit
RépondreSupprimerPar Baxter Dmitry et Dr William Makis
Recherche mondiale,
11 novembre 2024
Partout dans le monde, on a assuré aux personnes âgées que la vaccination contre la COVID-19 les protégerait de la mort. Pourtant, une nouvelle étude majeure évaluée par des pairs a révélé cette trahison dévastatrice : les vaccins à ARNm contre la COVID-19 ont directement contribué à la mort de millions de résidents de maisons de retraite dans le monde entier.
Alors qu’on leur avait promis une protection, ces populations vulnérables ont en réalité connu une mortalité accrue après avoir reçu des doses de rappel, l’intervention même censée protéger leur vie ayant en réalité accéléré leur mort.
L’étude des chercheurs, le professeur Sourafel Girma et David Paton, publiée dans Science Direct, expose cette réalité inquiétante, révélant que loin d’offrir un bénéfice clair et cohérent, les vaccinations contre la COVID-19 – en particulier les rappels – ont contribué à augmenter la mortalité dans ces populations vulnérables.
En utilisant l’apprentissage automatique pour analyser les données de vaccination, l’étude n’a trouvé qu’un faible bénéfice à court terme dans deux des trois mesures de mortalité parmi les résidents des maisons de retraite.
Cependant, après l’administration des doses de rappel, on a constaté une augmentation significative des décès liés à la COVID-19, un résultat troublant qui contredit l’objectif initial des vaccins.
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Les auteurs ont noté :
« Plus tard, nous trouvons des preuves que des taux de vaccination plus élevés sont associés à une mortalité plus élevée due au Covid. »
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Plus alarmant encore, la vaccination du personnel des maisons de retraite semble avoir un impact systématiquement négatif sur la mortalité des résidents.
Sur les sept périodes analysées et pour chaque dose de vaccin administrée, les données ont montré que la vaccination du personnel était liée à des taux plus élevés de décès dus à la COVID et à toutes causes confondues parmi les résidents. Ces résultats étaient statistiquement significatifs avec un intervalle de confiance de 99 % pour la série de vaccins primaires.
RépondreSupprimerCette étude soulève des inquiétudes cruciales quant à la campagne continue en faveur de la vaccination contre la COVID-19 dans les maisons de retraite, en particulier lorsque les données ne montrent de plus en plus aucun avantage clair – et dans la plupart des cas, des dommages importants.
En l’absence de preuves solides justifiant la poursuite de la vaccination des résidents ou du personnel, la question devient : pourquoi les autorités sanitaires continuent-elles de promouvoir ces vaccins ?
Comme c’est souvent le cas, les médias grand public sont restés silencieux sur cette question, malgré le nombre croissant de preuves qui remettent en question l’efficacité et la sécurité des vaccins contre la COVID-19 dans les maisons de retraite.
L’étude de Girma et Paton n’est que la dernière d’une série de résultats suggérant que la stratégie de vaccination actuelle non seulement ne parvient pas à protéger les plus vulnérables, mais pourrait les exposer à un risque encore plus grand.
Le temps est venu d’un dialogue ouvert et honnête sur l’impact réel des vaccins contre la COVID-19 sur les résidents des maisons de retraite – et de déterminer si la poursuite de cette approche est judicieuse.
Commentaire du Dr William Makis
Les vaccins contre la COVID-19 n’ont apporté aucun bénéfice, même dans les « populations à haut risque » d’infection par la COVID-19 : les personnes âgées de plus de 70 ans et celles vivant dans un établissement de soins de longue durée.
Les vaccins contre la COVID-19 n’ont fait qu’accélérer la mort des personnes de plus de 70 ans.
https://www.globalresearch.ca/study-reveals-covid-boosters-linked-millions-nursing-home-deaths/5872419
Le taux de fécondité en Angleterre et au Pays de Galles tombe à son plus bas niveau depuis le début des relevés en 1938
RépondreSupprimerLes dernières données montrent que la baisse la plus importante des taux de fécondité concerne les femmes des tranches d'âge 20-24 ans et 25-29 ans.
Par Sky News et le Dr William Makis
Recherche mondiale,
11 novembre 2024
Selon les données gouvernementales, le taux de fécondité en Angleterre et au Pays de Galles est tombé à son plus bas niveau depuis le début des relevés.
Le taux de fécondité total (TFR) moyen – le nombre moyen d’enfants nés d’une femme au cours de sa vie – était de 1,44 enfant par femme en 2023.
Il s'agit de la valeur la plus basse depuis le début des relevés en 1938, selon les nouveaux chiffres de l'Office for National Statistics (ONS).
Quelque 591 072 naissances vivantes ont été enregistrées, soit le nombre le plus bas depuis 1977.
Les chiffres de 2022 ont montré que le TFR moyen était tombé à 1,49 enfant par femme, contre 1,55 en 2021.
- voir graph sur site -
Greg Ceely , responsable de la surveillance de la santé de la population à l'ONS, a déclaré :
« Les taux de fécondité totaux ont diminué en 2023, une tendance que nous observons depuis 2010.
« Si l’on examine plus en détail les taux de fécondité chez les femmes de différents âges, on constate que la baisse la plus spectaculaire a été observée dans les groupes d’âge 20-24 ans et 25-29 ans. »
- voir graph sur site -
Ces dernières données font suite à une analyse commandée par Sky News montrant que le taux de fécondité au Royaume-Uni diminue plus rapidement que dans tout autre pays du G7 .
Une étude menée par le groupe de réflexion Centre for Progressive Policy (CPP) a révélé que le taux de fécondité a chuté de 18,8 %.
Les femmes ont de plus en plus d’enfants à un âge plus avancé : seule une femme sur cinq née en 1997 a eu un enfant avant l’âge de 25 ans, soit le taux le plus bas de toutes les générations précédentes.
Le manque de préparation, les pressions financières et le fait de ne pas trouver le bon partenaire empêchent les milléniaux qui souhaitent avoir des enfants d'essayer d'en avoir, selon une étude du Centre d'études longitudinales de l'UCL.
RépondreSupprimerLe coût du logement et de la garde d’enfants ont été cités comme raisons, ainsi que le fait que les gens ne se sentent pas prêts à avoir des enfants parce que d’autres événements majeurs de la vie se produisent plus tard.
Selon l’ONS, un taux de fécondité de 2,1 enfants par femme est nécessaire en moyenne pour assurer le remplacement « naturel » à long terme de la population.
Pourtant, le taux est en baisse depuis 2010 – et la situation est similaire à l’échelle mondiale.
Le taux de fécondité total mondial était de 2,3 enfants par femme en 2022, soit moins de la moitié du taux (5,3) de 1963, la plupart des pays connaissant une baisse.
Le taux de fécondité le plus bas est à Taïwan, où les femmes ont en moyenne 1,09 enfant, suivi de près par la Corée du Sud avec un taux de 1,11 et Singapour avec 1,17, selon les données de la CIA.
L’Ukraine – envahie par la Russie en 2022 –, Hong Kong, Macao, l’Italie et la Moldavie affichent également les taux les plus bas.
Malgré la baisse des taux de fécondité, les populations peuvent continuer à croître pendant un certain temps.
Cela est dû au fait qu’il faut du temps pour que la croissance démographique s’inverse, mais aussi à des facteurs tels que l’immigration.
Commentaire du Dr William Makis
En 2021, lorsque les vaccins contre la COVID-19 ont été déployés, la tranche d’âge des 20 à 24 ans aurait été celle des 17 à 21 ans.
C’est l’une des raisons pour lesquelles tant d’universités et de collèges ont imposé des mesures draconiennes de vaccination contre la COVID-19 à tous leurs étudiants.
Cela devait être l’un des résultats souhaités. Il n’y a pas d’autre solution.
https://www.globalresearch.ca/fertility-rate-england-wales-lowest-level/5872425
Sombre marasme en Allemagne et dans l’UE – les prix montent à 2 748 euros par MWh
RépondreSupprimer10 novembre 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
Il y a actuellement un vrai temps automne-hiver avec du brouillard et le vent calme qui y est associé. De plus, les températures sous le brouillard restent proches de zéro. Les éoliennes sont à l'arrêt, le photovoltaïque fournit pendant quelques heures entre 1 et 10 pour cent de la puissance installée. Les chauffages fonctionnent à pleine capacité, les lumières sont allumées la majeure partie de la journée et l’alimentation électrique est au bord de la panne d’électricité.
Nous avons eu peu de vent depuis le début de la semaine et au début il y avait du soleil, mais il y en a de moins en moins de jour en jour. Le soleil est bas et le photovoltaïque fournit donc moins d'énergie et moins d'heures par jour. L’énergie « renouvelable » ignore la propagande européenne et se « renouvelle » peu ou pas du tout.
Avec le Green Deal, la politique énergétique de la Commission européenne s'appuie de plus en plus sur le photovoltaïque et l'éolien, qui sont les moins disponibles lorsque vous avez le plus besoin d'électricité. Dans le même temps, les infrastructures pétrolières et gazières et les centrales électriques à base d’hydrocarbures sont démantelées.
Il en résulte une hausse des prix de l’énergie et un risque de pannes d’électricité. La vidéo ci-dessous rapporte que le marasme sombre en cours en Allemagne a désormais atteint des prix de gros de 820 euros par MWh et même aux Pays-Bas de 2 748 euros par MWh. Même les Autrichiens ont dû payer 720 euros par mégawattheure, même si la production était supérieure à celle qu'ils consommaient eux-mêmes. Et cela montre à quel point notre réseau électrique européen dans son ensemble devient de plus en plus instable.
Les prix spot moyens en 2024 se situaient autour de 80 à 90 euros par MWh. Avant la crise énergétique provoquée par l'entreprise (la guerre en Ukraine est une tactique de diversion des plus bienvenue), le prix de gros se situait pendant des années entre 35 et 45 euros, et le prix industriel final était d'environ 50 euros.
Quiconque pense que le prix de 2 748 euros est assez fou doit être prévenu de ce qui s’en vient à partir du 1er décembre 2025. Dès lors, lorsque la capacité est épuisée, un facteur de rareté s’ajoute au prix de compensation. L’impact de cette mesure aurait été important si elle était entrée en vigueur aujourd’hui, dans la mesure où les prix des 100 derniers MW dans l’ordre de mérite d’équilibrage sont extrapolés linéairement pour compenser le déséquilibre global. Il existe alors un prix maximum théorique pouvant atteindre 68 000 euros par MWh . C'est la politique énergétique de l'UE.
L'Allemagne a importé 1,16 GW d'Autriche, 585 MW de Suisse, 3,55 GW de France, encore plus de Belgique, 1,26 GW des Pays-Bas, 0,5 du Danemark, l'est du Danemark a également importé 0,5 MW du sud de la Suède, 209 MMW de Norvège, 1 GW de Pologne et 2 GW de République tchèque. Ainsi, tous les voisins de l’Allemagne fournissent actuellement de l’électricité parce qu’il n’y en a pas assez à l’avant et à l’arrière.
L’énergie solaire ne fournit que 7,44 % de la capacité installée. C'est pourquoi vous utilisez beaucoup le charbon. 19,2 GW à partir du charbon, puis 13,6 GW supplémentaires à partir du gaz naturel.
RépondreSupprimerL'Allemagne et les Pays-Bas ont dû recourir à leurs dernières réserves pour éviter une panne d'électricité.
La politique de l’UE et en particulier celle des Verts en Allemagne sont à peu près les mêmes. Plus d'énergie éolienne, plus solaire et moins sûre . Mais dans le marasme sombre, cela signifie que zéro fois cent de ce que nous avons déjà, c’est encore trop peu, voire rien.
Les évolutions futures, notamment en Allemagne, seront décidées selon ce qui réussira le plus rapidement : la désindustrialisation ou la réduction de l'approvisionnement énergétique. Si la désindustrialisation s’accélère, les prix de l’énergie resteront constants, voire baisseront. Toutefois, si le démantèlement des réseaux de distribution de gaz ou des réseaux de stations-service est accéléré, les coûts de l'énergie augmenteront plus rapidement, notamment en raison des coûts liés à l'extension nécessaire des réseaux électriques et au démantèlement des réseaux de gaz.
Plus d’informations à ce sujet sur Outdoor Chiemgau / MrBlackout :
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L eyen fait encore mieux en matière d'incompétence et de politique irréfléchie :
Montel News rapporte les déclarations actuelles de Leyen :
« Nous allons libérer l’énorme potentiel d’énergies renouvelables en Europe et le mettre à la disposition de nos industries pour les aider à se décarboner », a-t-elle déclaré jeudi dans un message vidéo lors du Sommet sur l’hydrogène renouvelable à Bruxelles.
Von der Leyen a demandé à sa nouvelle équipe de commissaires européens de présenter l' accord sur l'industrie propre dans les 100 jours suivant le début de son mandat de cinq ans. Cela pourrait être le cas dès la fin février si le Parlement européen confirme les commissaires ce mois-ci et qu'ils commencent à travailler en décembre.»
Il n’y a également rien de « renouvelable » dans l’hydrogène. Il doit être produit avec une dépense énergétique extrêmement élevée, liquéfié avec beaucoup d'efforts, transporté et protégé contre les fuites, car autrement l'oxyhydrogène produit fait ce que son nom l'indique.
À propos, saviez-vous que l’affirmation selon laquelle le pétrole était un « combustible fossile » était un stratagème des Rockefeller pour créer une impression de rareté et ainsi faciliter l’accord sur un prix mondial plus élevé du pétrole ? Les hydrocarbures sont également présents là où il n'y a ni plantes ni animaux, comme dans les lacs de méthane de Titan, la lune de Saturne. Ou sur des astéroïdes.
Même sur Terre, le méthane (gaz naturel) et le pétrole proviennent principalement des profondeurs de la terre et sont pratiquement inépuisables pour nos besoins. Tout cela est très bien expliqué dans le livre « La biosphère des profondeurs chaudes et le mythe des sources d’énergie fossile » de Thomas Gold.
Pour Leyen, selon sa propre déclaration, il s’agit également d’arrêter intentionnellement la croissance de l’économie et de la population, comme elle le dit dans la vidéo suivante :
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En savoir plus sur le sujet :
Les vents calmes en Allemagne nécessitent 700 MW de production de centrales électriques au fioul
Les prix de l'électricité polonaise augmentent en raison de vents calmes
Démantèlement massif des réseaux de distribution de gaz prévu en raison de la réglementation européenne
La politique énergétique de l’UE détruit la compétitivité et la prospérité
https://tkp.at/2024/11/10/dunkelflaute-in-deutschland-und-der-eu-preise-steigen-bis-2748-euro-pro-mwh/