1. L'analyse de la « poussière du Sahara » est disponible : Alerte terroriste ! (de Ivo Sasek)
23.08.2024 www.kla.tv/30233
Dans mon discours Kla.TV du 11 mai 24, j'ai exprimé pour la première fois le soupçon que les nouvelles précipitations de poussière du Sahara avaient peut-être plus à voir avec l'utilisation d'armes météorologiques brevetées depuis longtemps qu'avec le sable du Sahara lui-même. Aujourd'hui, je vous présente un 1er rapport d'analyse qui indique qu'à chaque pluie de poussière dite du Sahara, au moins 26 éléments, dont certains très toxiques, nous tombent sur la tête. Mais pas seulement sur la tête, mais aussi sur notre agriculture, sur nos lacs, nos rivières, nos jardins, nos prairies, sur tous nos animaux, sur les populations d'insectes dans l'air, sur le sol et sous le sol. Mais reprenons les choses dans l'ordre :
Tout d'abord, je rappelle une nouvelle fois le brevet américain 9924640. Et ce n'est qu'un des dizaines de brevets similaires : Il y est décrit comment des avions Boeing sont transformés pour transporter des charges de 25 tonnes de nanoparticules de type sable à 18 000 mètres d'altitude. La raison : pour contrôler, manipuler notre météo et notre climat. Ensuite, je rappelle encore une fois le carburant de l'OTAN "JP 8", que l'OTAN maçonnique vend depuis longtemps à environ 90% de l'aviation civile, c'est-à-dire à presque tous les grands aéroports du monde. Ce qui est effrayant, c'est les résultats d'analyse des additifs nommés :
En effet, des quantités importantes d'aluminium, de baryum, de béryllium, de plomb, de cadmium, de chrome, de cobalt, de fer, de cuivre, de molybdène, de sodium, de nickel, de strontium, de titane, de vanadium, de zinc et d'étain ont été détectées dans ces carburants militaires. Également de nombreux oxydes de ces métaux et d'autres substances toxiques. Ces résultats de mesures nous ont donné l'idée que des substances similaires pourraient peut-être se trouver dans les nanoparticules de poussière fine semblables au sable. Ceux-ci ont déjà été pulvérisés par centaines de millions de tonnes au-dessus de la tête de chacun d'entre nous. Et que la prétendue pluie de poussière du Sahara pourrait également être une précipitation contenant précisément de telles substances.
Car les brevets de manipulation météorologique dévoilés, c'est-à-dire les brevets d'armes météorologiques, décrivent noir sur blanc comment ces nanoparticules de sable, une fois éjectées, restent en suspension jusqu'à deux ans dans la haute atmosphère - avant de retomber progressivement sur nous. Et je dis bien : cela soit sans bruit, soit en association avec une pluie battante qui s'abat alors sur nos têtes, mais aussi sur les têtes de nos proches, nos enfants. Et puis, ils empoissent aussi nos installations solaires, recouvrent tous nos moyens de transport, empoisonnent tous nos champs etc., etc.
Avant d'en venir aux résultats de l'analyse de la pluie de poussière du Sahara, je dois encore une fois évoquer les expériences à grande échelle menées sur les peuples, par exemple en 1994 aux États-Unis, expériences qui ont été révélées depuis longtemps. Je dois le faire pour que vous compreniez suffisamment que des expériences aussi cruelles sur les peuples sont effectivement menées par des gouvernements et qu'elles sont ensuite couvertes par la justice. Et ici, nous ne traitons que la pointe de l'iceberg que les lanceurs d'alerte libres ont déjà dévoilée :
Les sujets involontaires des tests de 1994 étaient des citoyens américains - des grandes villes entières. Que s'est-il passé ? Des avions militaires les ont délibérément aspergés de poison pendant de longues périodes, car l'armée disait qu'elle voulait voir ce qui se passerait ; en effet les substances de combat doivent être testées avant d'être utilisées chez "l'ennemi". Même une école primaire avec des enfants a été aspergée quotidiennement et de manière ciblée pendant trois mois de sulfure de zinc et de cadmium. Retenez déjà ces deux substances, car vous allez en entendre parler dans un instant. Les conséquences de ce seul brouillard de sulfure de zinc et de cadmium ont été terribles. La moitié d'une classe entière est alors littéralement morte, l'autre moitié a souffert des plus graves maladies, stérilisations et autres handicaps.
Car ces victimes sans défense, ces petits enfants, plus tard quand ils sont devenus adultes, ont eux-mêmes donné naissance à des enfants gravement handicapés, etc. Et comprenez ici que nous ne parlons pas de simples théories du complot, mais de crimes commis par des gouvernements entiers et leur justice, qui ont été reconnus depuis longtemps, mais jamais punis comme il se doit, ni publiés. Interrogés à ce sujet, ils ont indiqué que les avions ne pulvérisaient que des produits chimiques inoffensifs. Les mêmes réponses nous sont d'ailleurs données par nos gouvernements lorsque nous les interrogeons sur le contenu des millions de tonnes de nanoparticules pulvérisées. Et les prétendues pluies de poussière du Sahara ne suscitent aucun tollé - surtout de la part de nos médias grand public. Mais venons-en aux résultats d'analyse effrayants qui nous ont été remis par des lanceurs d'alerte indépendants de Bosnie. Les documents originaux sont affichés en arrière-plan.
Ces derniers ont en effet fait réaliser une analyse comparative entre le sable saharien original et le prétendu sable saharien issu des précipitations en Bosnie-Herzégovine. Ils voulaient seulement savoir s'il y avait peut-être des éléments toxiques dans cette prétendue "pluie de poussière du Sahara". Quelque chose qui nous nuit, à nous-mêmes ou à notre écosystème. Et c'est précisément ce qui aurait dû être le rôle des gouvernements. Mais comme ils n'ont rien fait, l'analyse qui suit a été réalisée à titre privé.
Vous avez donc envoyé à l'Institut de génie chimique de Tuzla, en plus du sable saharien original, un échantillon de sable de Lukavac. "Le 6 mai 2022, nous avons envoyé deux échantillons à l'Institut de génie chimique de Tuzla : Un échantillon de sable prélevé sur les rives d'un lac dans le sud de la Tunisie et un échantillon de sable prélevé à Dobošnica Donja, près de Lukavac, le 7 avril 2022, après la "pluie de sang" rouge." ... prélevée le 7 avril 2022 après ce qu'on appelle la pluie du Sahara. Cet échantillon est d'autant plus important qu'en Bosnie, le vent souffle généralement de l'ouest et que les précipitations à Lukavac n'ont donc pas pu être influencées par les fumées d'une quelconque industrie ou par des centrales thermiques ou autres. Et voilà :
Pas moins de 26 éléments, dont certains très toxiques, ont été trouvés dans la prétendue pluie de poussière du Sahara étudiée : Aluminium, arsenic, bore, baryum, béryllium, bismuth, cobalt, chrome, cuivre, fer, lithium, manganèse, molybdène, nickel, plomb, antimoine, sélénium, étain, strontium, thallium, vanadium, zinc, cadmium.
Je vous l'ai dit, retenez ces deux derniers éléments.
Rien que la proportion d'aluminium dans la prétendue pluie de poussière saharienne en provenance de Bosnie était 728 fois plus élevée que dans le sable saharien original. Les poussières fines d'aluminium peuvent par exemple provoquer la maladie d'Alzheimer, endommager les reins, le foie et les os, et bien d'autres choses encore. Les taux d'arsenic étaient 44 fois plus élevés, les taux de baryum 660 fois plus élevés et les taux de nickel même 2.500 fois plus élevés que dans le sable saharien original. On a trouvé 64 fois plus de zinc dans la pluie dite saharienne, 23 fois plus de fer, etc.
Après cette révélation, une seule chose intéresse les peuples concernés : Qui diable permet que ces nouveaux cocktails hautement toxiques soient de plus en plus déversés sur nos têtes ? Qui fait exactement ce genre de choses et pourquoi ? Quels sont les noms de ces malfaiteurs ? C'est ce que nous voulons savoir maintenant. Dans quelle mission et avec quels objectifs ultimes agissent-ils ? Etant donné que les analyses présentées constituent plus qu'un simple début de soupçon que l'Europe entière est devenue la cible des pires terroristes hybrides, j'appelle tous nos téléspectateurs à participer activement à la poursuite du travail d'enquête sur cette affaire. Car, comme d'habitude, les médias à prélèvements obligatoires n'en disent rien et cachent même, contre toute évidence, des choses bien pires encore. Nous en parlons tous les jours depuis 2012.
N'oubliez pas qu'à chaque nouveau nuage de soi-disant poussière du Sahara, vous respirez toutes ces choses aussi longtemps qu'elles flottent librement dans l'air. Et ensuite, vous absorbez ces nanoparticules du tableau par tous les pores de votre peau, vous les mangez aussi avec vos légumes bio, vous les avalez avec votre eau potable et même lorsque vous nagez, ces trucs vous pénètrent. De tous les côtés, pas seulement par la bouche. N'oubliez pas que l'étendue finale des dégâts et les conséquences à long terme doivent encore être déterminées. Pourtant, rien que les déformations croissantes de nos arbres nous laissent présager le pire. Toute information pertinente peut donc protéger et sauver la vie de notre nature et l'existence de peuples entiers ! Pour obtenir une attestation définitive sur l'origine, la cause et les objectifs de cette composition chimique de poussières, il faut un maximum d'analyses supplémentaires d'échantillons de différentes origines. De même, on ne sait pas encore de quelle manière, dans quelle mesure et avec quelles conséquences les éléments trouvés sont absorbés par les différents organismes.
Mais je dis : Demandez sans relâche aux députés de votre circonscription d'interdire non seulement la pulvérisation des carburants de l'OTAN par nos avions, car ils sont des tueurs de climat et d'êtres humains ! Expliquez également à tous ceux qui ne le savent pas à quel point nombre de ces éléments précédemment cités sont mortels pour nous. Demandez à vos députés d'informer les peuples sur la pulvérisation annuelle de dizaines de millions de tonnes de nanoparticules d'aluminium jusqu'aux particules fines de charbon. Demandez sans relâche un débat ouvert sur tous ces brevets de manipulation du temps et d'utilisation d'armes météorologiques mentionnés ici, ainsi que sur le génocide insidieux qui en découle. Il n'y a pas d'autre mot pour décrire cela. Demandez à vos politiciens et à vos députés de rendre compte publiquement de l'analyse de la poussière du Sahara dont nous venons de parler. Les originaux sont affichés, chers amis. Enfin, en tant que peuple, nous devons exiger le droit à notre compétence décisionnelle finale jusqu'à ce qu'elle soit fermement ancrée dans toute constitution et que les politiciens élus ne puissent plus simplement s'opposer à nos objections. S'il vous plaît, diffusez des émissions comme celle-ci auprès d'autant de personnes que vous le pouvez, en particulier auprès des personnes encore ignorantes de cela.
Je suis Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 48 ans.
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de is. Sources / Liens : Pluie de sang en Bosnie - résultats d'analyse effrayants https://www.youtube.com/watch?v=vCtIsk9bWrg
La géo-ingénierie démasquée :ce que révèle la lanceuse d'alerte Kristen Meghan https://www.kla.tv/GeoEngineering/29949
Les brevets météorologiques : Où se cachent les faiseurs de catastrophes https://www.kla.tv/GeoEngineering/19915
« Manipulations météorologiques : Ce que nous savons avec certitude - Exposé du physicien de l'ETH, Dr. Philipp Zeller » www.kla.tv/27872
Le débat sur le CO2 comme moyen de détourner l'attention de la manipulation .. https://www.kla.tv/16595
Bande dessinée Covid-19 de 2012 https://www.kla.tv/16831 (Cette émission prédit précisément qu'après le Covid, les systèmes HAARP seront utilisés pour décimer la population). 1 an après les inondations catastrophiques de la vallée de l'Ahr (2021) : Incohérences révélées https://www.kla.tv/GeoEngineering/19752
Arme de guerre – taxes sur l’audio-visuel | 40 raisons pour lesquelles je ne paie plus (par Ivo Sasek) www.kla.tv/28967
Des updates pour Greta ! Les vrais tueurs du climat https;//www.kla.tv/28157 Les USA ont testé des poisons sur leur propre population https://www.kla.tv/28308
Carte du monde : quelles parties du monde sont les plus touchées par la géo-ingénierie ? https://etcgroup.org/content/world-geoengineering
La « poussière du Sahara » contient-elle aussi des substances d'Albatow, pour manipuler notre perception ? https://gettr.com/post/p3a11j00e62
Étude : 3 % des personnes vaccinées contre le corona sont décédées subitement
26 août 2024 par le Dr. Peter F. Mayer
Une nouvelle étude a confirmé que des millions d’Américains vaccinés avec l’ARNm du Covid sont décédés subitement à cause d’un « effet secondaire » des injections. L'étude, menée par deux chercheurs de l'Université germano-jordanienne SEEIT, Département de génie informatique, et de l'Université de Petra, Faculté des systèmes d'information, en Jordanie , a révélé que près de 3 % des personnes vaccinées contre le Covid sont décédées après la vaccination.
Les chercheurs ont tenté de dresser une liste complète de tous les effets secondaires connus des injections d’ARNm du Covid. Avec environ 230 millions d’Américains considérés comme « entièrement vaccinés », l’étude affirme que 6,67 millions de personnes ont été tuées par balles rien qu’aux États-Unis.
L'étude de Nadia Al-Rousan et Hazem Al-Najjar intitulée « Vaccins MERCK, Moderna, PFIZER/BioNTech et JANSSEN COVID -19 sur les personnes vaccinées : une analyse des métadonnées » ( 19 Vaccins sur les individus vaccinés : une analyse des métadonnées) a été publiée dans le revue Informatique en médecine déverrouillée.
Ils écrivent sur les résultats :
« Le taux de mortalité global de la population vaccinée est remarquable. Quarante symptômes différents, légers à graves, ont été signalés chez les personnes vaccinées. L’étude met en évidence les 10 symptômes les plus courants survenus après la vaccination. Les femmes de moins de 60 ans constituent la majorité des données. "
Ils tirent les conclusions suivantes :
« Le taux de mortalité lié au vaccin est d’environ 3 % des personnes vaccinées, la plupart des cas survenant chez des personnes de moins de 60 ans qui n’ont pas été hospitalisées et qui ont reçu leur première dose de vaccin. »
Il convient de noter que la grande majorité des personnes décédées n’ont pas été hospitalisées, c’est-à-dire qu’elles sont décédées subitement et de manière inattendue peu de temps après la vaccination. Cela a même allégé le fardeau des systèmes de santé, comme le montrent les dossiers du RKI, mais ce qui a été ignoré par les politiciens.
Les données de cette étude comprennent environ 65 000 cas documentés par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) pour 40 symptômes spécifiques.
Des variables telles que l’état de mortalité, le sexe, l’âge, le nombre de doses de vaccin, le séjour à l’hôpital et le nombre de jours post-vaccination ont été incluses dans une analyse croisée pour établir des associations entre les individus vaccinés et les variables étudiées.
Les scientifiques ont effectué un « test du taux de mortalité » qui a examiné les effets du vaccin sur la mortalité des personnes vaccinées.
Selon les données, le nombre de décès parmi les personnes vaccinées de moins de 60 ans est inquiétant par rapport aux personnes de plus de 60 ans. Les moins de 60 ans représentaient 97,4 % du total des décès.
La majorité des personnes vaccinées ayant souffert d’effets secondaires étaient des femmes de moins de 60 ans. Anafang a également montré, à partir de la base de données EudraVigilance de l'Agence européenne des médicaments (EMA), que les deux tiers des effets secondaires signalés concernaient des femmes.
Les trois symptômes les plus courants étaient les maux de tête, les frissons et la fatigue. Mais le chiffre le plus alarmant est celui des décès, avec 2,9 % de l’ensemble des personnes vaccinées décédant subitement ou inopinément après la première ou la deuxième dose. Les résultats ont montré que la plupart des décès sont survenus après la première dose.
Les auteurs soulignent que sur la base de leurs résultats, « les trois premiers jours après la vaccination sont très importants pour déterminer le statut des personnes vaccinées ».
TKP a rendu compte d'une étude similaire en janvier 2022 . De l’analyse des données provenant de la base de données européenne accessible au public « European Database of Suspected Adverse Drug Reaction » (fermeture de la base de données semaine 34), on peut conclure que la grande majorité des décès liés temporellement à une vaccination contre le COVID-19 ont ont été signalés et bon nombre des effets secondaires graves sont liés de manière causale à la vaccination. Cette proximité temporelle suggère une causalité.
Évaluation d'un article de Hanna et ses collègues sur leur proposition d'utiliser les plateformes d'ARNm comme nouvelle thérapie prénatale - nouvelle prépublication publiée.
Dans une lettre récente publiée dans l'American Journal of Obstetrics & Gynecology, Hanna et al. une transmission transplacentaire de l’ ARNm des « vaccins » à ARNm COVID-19 et une expression de la protéine de pointe dans le placenta ont été trouvées.
Ceci , bien sûr, soulève de sérieuses questions sur ce que cela signifie pour la progéniture des femmes « vaccinées » . Hanna et ses collègues ont étudié intensivement ce sujet important. Dans leur récente publication, ils proposent également quelques explications mécanistes pour étayer les résultats de leur petite étude (2 femmes enceintes).
Lorsque j’ai lu cet ouvrage pour la première fois, j’ai eu l’impression que certaines des justifications avancées étaient incorrectes et j’ai plutôt minimisé certains des risques associés à ces plateformes. Au départ, je voulais juste écrire un petit mot à ce sujet.
Cependant, plus je lisais cette publication, plus elle devenait inquiétante. Étrangement, Hanna et ses collègues renversent leurs résultats. S'ils soulignent dès l'introduction des lacunes dans leurs connaissances, ils ne semblent pas vraiment préoccupés par la sécurité de ces produits. Leur article semble plutôt porter sur l’utilisation de leurs découvertes pour une nouvelle application thérapeutique : la thérapie génique prénatale basée sur l’ARNm !
Leur affirmation repose sur plusieurs idées fausses sur le fonctionnement de ces plateformes, ainsi que sur un certain nombre d’affirmations non fondées ou fausses.
Paradoxalement, ils ont ignoré les effets indésirables graves connus des tests précliniques censés mettre un terme à l’idée d’utiliser ces plateformes sur des enfants à naître !
Bien entendu, des découvertes importantes dans la littérature sont souvent occultées et expliquées sous n’importe quelle excuse. Une grande partie des écrits de Hanna et al. est sur ce ton car ils vantent la sécurité et l'efficacité des injections, soulignent leur large acceptation et soulignent la promesse de leur utilisation chez les fœtus encore en développement !
Ici aussi, l’article semble viser à ouvrir un nouveau marché : la thérapie génique prénatale basée sur l’ARNm. Cela servirait à créer une immunité mais aussi à combattre les maladies. Ironiquement, on mentionne au passage que les injections d’ARNm sont en fait une « thérapie génique ». Eh bien, c’est quelque chose à souhaiter car cela promet une « intervention précoce contre la maladie ». Mais ils n’admettent pas ce que cela signifie réellement, à savoir que ces médicaments sont des thérapies géniques non testées.
Pour moi, c'est la dernière ligne rouge . Il ne faut pas le dépasser ! Il y a beaucoup de battage médiatique autour de ces technologies, et la lettre de Hanna et al. reflète la fausse représentation dominante de leur mode opératoire et d’autres faux arguments, notamment sur leur valeur pour les adultes.
Je viens de publier une nouvelle prépublication dans laquelle j'évalue de manière critique la récente publication de Hanna et ses collègues. Vous trouverez ci-dessous le résumé. J'espère sensibiliser les gens pour que ces expériences de thérapie génique ne soient pas étendues aux bébés à naître !
Une étude récente menée par Hanna et ses collègues a examiné la présence de produits d’ARNm du COVID-19 dans le placenta et le sang du cordon ombilical après la « vaccination » maternelle pendant la grossesse humaine. Leur analyse de deux femmes enceintes a révélé que l’ARNm provenant des injections génétiques avait été détecté dans les deux placentas. L'expression de la protéine Spike a été confirmée dans le placenta d'une des deux femmes. De plus, l'ARNm génétiquement modifié a été détecté dans le cordon ombilical et le sang maternel d'une mère, à condition que ces échantillons soient disponibles pour analyse. Ils ont également constaté que l’intégrité de l’ARNm injecté variait selon les échantillons, mais que dans l’ensemble, une majorité significative, voire écrasante, était constituée d’espèces non intègres. Les auteurs avancent également plusieurs raisons théoriques qui, selon eux, expliquent leurs observations. Sur la base de leurs découvertes, mais en changeant de cible, les auteurs soulignent les avantages de leurs découvertes et suggèrent que les thérapies géniques associées, en particulier les traitements à base d'ARNm, pourraient être très prometteuses en tant que thérapie prénatale. Cet article analyse les résultats et les interprétations de l'étude et met en évidence les lacunes et les incohérences dans les explications. Il fournit également un bref résumé et une mise à jour sur les problèmes connus liés aux injections d’ARNm et décrit les principaux pièges et inconnues sous-jacents aux avantages promis des applications proposées de thérapie génique prénatale.
Peut-être que l'un d'entre vous a une idée où je pourrais envoyer la prépublication. Il faudrait que ce soit une revue ouverte d'esprit et qui soutient des auteurs comme moi (par exemple via des frais de publication) qui n'ont aucune organisation derrière eux et qui font leur travail à leurs propres frais.
Dans ma prépublication, j'ai également donné un bref résumé des principaux problèmes de ces plateformes (voir figure) et j'ai essayé d'inclure autant de nouveaux résultats que possible (65 références au total). Cela a pris du temps, mais cela m’a redonné l’espoir que la vérité éclaterait. La liste des publications est loin d'être complète. Néanmoins, il est encourageant de constater qu’il y a déjà beaucoup de personnes qui critiquent vivement les plateformes d’ARNm ! Il est désormais important de mettre fin à l’intention de les utiliser sous couvert de soigner l’enfant à naître !
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Source : Mueller, Siguna. 2024. « Transfert transplacentaire d'injections d'ARNm confirmé : ces preuves de Hanna et de ses collègues soutiennent-elles leur proposition en tant que thérapie génique prénatale prometteuse ? 25 août. https://doi.org/10.31219/osf.io/bkzs6 L' original en anglais est ici sur le Substack de DDr. Trouvez Siguna Mueller sur https://siguna.substack.com/p/no-this-will-not-be-done-to-unborn . Traduction en allemand par TKP.
The Science™ verrouille quatre villes de la Nouvelle-Angleterre pour un virus « extrêmement rare » après une seule infection
Par Ben Bartee Recherche mondiale, 26 août 2024
En raison d’un seul cas d’encéphalite équine orientale (EEE), quatre villes de la Nouvelle-Angleterre sont désormais soumises à des confinements « volontaires » dans un avenir prévisible, au moins jusqu’au début de l’hiver.
Via le New York Post :
« Quatre villes du Massachusetts – Douglas, Oxford, Sutton et Webster – ont décrété un confinement volontaire en soirée pour tenter de freiner la propagation d'une maladie potentiellement mortelle transmise par les moustiques.
La décision intervient après que le ministère de la Santé publique du Massachusetts (DPH) a confirmé le premier cas humain d’encéphalite équine orientale (EEE) depuis 2020 dans le comté de Worcester.
Mercredi, le conseil de santé d'Oxford a voté en faveur de la recommandation selon laquelle les gens restent à l'intérieur après 18 heures , avec effet immédiat, jusqu'au 30 septembre, selon un avis de santé publique partagé avec Fox News Digital.
À partir du 1er octobre, il est recommandé de rester à l’intérieur après 17 heures jusqu’aux premières gelées fortes .
Les confinements sont présentés comme « volontaires » – jusqu’à ce que, bien sûr, vous entriez dans les petits caractères.
« Les confinements sont considérés comme des recommandations , et il n’y aura aucune application si les résidents ne s’y conforment pas, a déclaré le porte-parole de la ville.
"Nous voulons éduquer nos résidents sur les EEE et la gravité de la maladie et les sensibiliser au risque", poursuit le communiqué.
"Toutefois, s'ils souhaitent utiliser les terrains de la ville en dehors de ces recommandations, ils devront présenter un justificatif d'assurance et signer un formulaire d'indemnisation .""
Ainsi, « volontaire » signifie apparemment que si vous souhaitez utiliser des terres publiques, vous devez signer une renonciation et fournir une preuve d'assurance aux surveillants de Public Health™ – ce qui étend vraiment la durée jusqu'à ses limites.
Tout cela à cause d’un seul cas d’infection qui, selon le CDC, provoque « quelques cas » chaque année.
Via CDC :
« Le virus de l’encéphalite équine orientale se transmet aux humains par la piqûre d’un moustique infecté.
Seuls quelques cas sont signalés chaque année aux États-Unis . La plupart des cas surviennent dans les États de l’Est ou de la côte du Golfe.
Bien que rare, l’encéphalite équine orientale est très grave. Environ 30 % des personnes atteintes d’encéphalite équine orientale meurent et de nombreux survivants souffrent de problèmes neurologiques persistants. Les symptômes de l'encéphalite équine orientale peuvent inclure de la fièvre, des maux de tête, des vomissements, de la diarrhée, des convulsions, des changements de comportement et de la somnolence.
Il n’existe pas de vaccins pour prévenir ni de médicaments pour traiter l’encéphalite équine orientale.
Vous pouvez réduire votre risque d’infection par le virus de l’encéphalite équine orientale en prévenant les piqûres de moustiques.
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Cet article a été initialement publié sur le Substack de l'auteur, Armageddon Prose .
Ben Bartee , auteur de Broken English Teacher: Notes From Exile , est un journaliste américain indépendant basé à Bangkok, aux pouces opposables. Il contribue régulièrement à Global Research. Suivez ses affaires via Substack . Gardez également un œil sur Twitter .
Le gratte-ciel moderne : né en Amérique, adopté par la Chine et désormais un élément clé des skylines urbains emblématiques du monde entier.
Mais quelle hauteur ont-ils atteint au cours des 150 ans de construction humaine ?
Ce graphique, via Marcus Lu de Visual Capitalist, classe les gratte-ciels les plus hauts du monde en août 2024.
- voir cadre sur site -
Les données ont été obtenues auprès du Council on Tall Buildings and Urban Habitat.
Les huit plus hauts bâtiments du monde
S'élevant à 828 mètres (2 717 pieds) de hauteur, le Burj Khalifa, le bâtiment emblématique de Dubaï, porte le nom d'un ancien président des Émirats arabes unis, Cheikh Khalifa bin Zayed Al Nahyan.
Achevé en 2010, cet édifice en acier et en verre a nécessité six ans de construction et a coûté 1,5 milliard de dollars.
Plus de 28 kilomètres de minuscules lumières LED sur la façade créent des affichages multimédias époustouflants, notamment pour le réveillon du Nouvel An. Cela en fait également le plus grand écran LED du monde.
Construit une décennie plus tard, le Merdeka 118 de Malaisie est le gratte-ciel le plus récent du classement. Achevé en 2023, le bâtiment se classe deuxième, avec une hauteur de 679 m (2 228 pieds).
La tour de Shanghai en Chine se classe troisième avec 632 m et le pays compte deux autres bâtiments parmi les plus hauts. Il s'agit du Ping An Finance Center de Shenzhen (n° 5) et du Guangzhou CTF Finance Centre (n° 8). Tous deux mesurent entre 500 et 600 m (1 600 à 1 900 pieds).
Bien entendu, le One World Trade Center de New York, reconstruit et achevé en 2014, figure également sur la liste. La hauteur du gratte-ciel en pieds (540 m) est une référence délibérée à l’année de l’indépendance des États-Unis.
La plupart des gratte-ciels sont remplis de bureaux. Mais le secteur de l’immobilier commercial aux États-Unis est en difficulté. Consultez ce graphique qui montre comment les prix de l’immobilier commercial sont affectés par le resserrement de la politique monétaire.
Des divisions persistent entre les points de vue de nombreux Américains noirs et blancs sur les impacts actuels de l'esclavage aux États-Unis.
Comme le rapporte Anna Fleck de Statista, selon un sondage YouGov réalisé en 2023, 52 % des Américains interrogés pensent que l'héritage de l'esclavage influence encore la société d'aujourd'hui, soit de manière assez importante, soit de manière importante. Sur le plan racial, le contraste est plus marqué, avec 78 % des Américains noirs affirmant la même chose, contre seulement 46 % des Américains blancs.
Lorsqu'on leur a demandé plus précisément qui est actuellement touché par l'héritage de l'esclavage, les répondants ont de nouveau répondu différemment. 75 % des répondants noirs ont déclaré que tous les Américains noirs étaient touchés par l'héritage de l'esclavage aujourd'hui, tandis que 13 % des répondants noirs ont déclaré que seuls les Américains noirs descendants d'esclaves. Aucun répondant noir n'a sélectionné l'option « aucun Américain noir ». Parmi les répondants blancs, seuls 42 % ont déclaré que tous les Américains noirs étaient toujours concernés, 16 % ont déclaré que seuls les Américains noirs descendants d’esclaves et 20 % ont sélectionné l’option « aucun Américain noir ».
- voir graph sur site -
Infographie : L’Amérique divisée sur l’héritage de l’esclavage | Statista Vous trouverez plus d’infographies sur Statista
65 % des Américains noirs ont déclaré que la richesse de l’Amérique en tant que nation aujourd’hui est liée à l’esclavage, tandis que seulement 26 % des Américains blancs étaient du même avis. Les démocrates étaient plus susceptibles d’être d’accord pour dire que la richesse nationale actuelle est significativement liée au travail effectué dans le passé par les esclaves (50 %) que les indépendants (32 %) ou les républicains (15 %).
YouGov a ensuite demandé aux répondants quels systèmes ou marchés les Américains noirs subissent aujourd’hui des préjugés. Le système de justice pénale (58 %), le système politique (46 %), le système de santé (44 %) et le marché du logement (44 %) figuraient parmi les options qui ont reçu les parts les plus élevées de tous les répondants estimant que la discrimination y est actuellement un problème.
En Martinique (île des Caraïbes) il y avait plus d'esclaves blancs que d'esclaves bronzés (venus d'Afrique). Il devait en être de même ailleurs vu que l'esclavage a toujours existé en Europe et aussi en Afrique avant l'arrivée d'européens et, s'est poursuivi après l'indépendance des États en 1960.
Pour la défense du capitalisme #3 : « Le capitalisme est responsable de la destruction de l’environnement et du changement climatique »
Rainer Zitelmann 27 août 2024
Rainer Zitelmann, historien, sociologue et contributeur régulier pour Contrepoints propose une série de 8 articles autour de son livre In Defense of Capitalism qui vise à désarmer certains préjugés des pourfendeurs du capitalisme.
Depuis plus de 20 ans, des chercheurs de l’université de Yale publient l’indice de performance environnementale (EPI), qui classe les pays en fonction de leur santé environnementale et de la vitalité de leurs écosystèmes. Une comparaison peut être faite entre l’EPI et l’indice de liberté économique de la Heritage Foundation, qui mesure la liberté économique dans le monde entier depuis 1995. L’indice, que beaucoup appellent l’indice du capitalisme, analyse le niveau de liberté économique dans 178 pays.
Ces pays sont regroupés en cinq catégories : « Libre », « Presque libre », « Modérément libre », « Presque non libre » et « Réprimé ».
Les chercheurs de la Heritage Foundation ont comparé les deux indices et ont constaté que les pays aux niveaux de liberté économique les plus élevés avaient également les scores les plus élevés à l’EPI. Les pays dits « peu libres » et « réprimés » affichent de loin les pires performances environnementales.
L’économiste Daniel Fernández Méndez a répondu à l’objection potentielle selon laquelle les pays jouissant d’une plus grande liberté économique « exportent » leurs industries polluantes vers les pays en développement moins libres, tout en conservant leurs industries non polluantes.
Or, ce n’est manifestement pas le cas :
« Les données analysées montrent que le capitalisme est favorable à l’environnement. Plus la liberté économique est grande, meilleurs sont les indices de qualité environnementale. Les pays les plus propres n’exportent pas leur pollution en délocalisant leurs entreprises ».
La dégradation de l’environnement n’a jamais été aussi importante que dans les anciens États socialistes. Cet argument est-il pertinent ? Oui, car si un ordre économique fondé sur la propriété privée, la concurrence et la fixation libre des prix était la cause de la pollution de l’environnement, il devrait logiquement y avoir beaucoup moins de pollution dans les pays qui ne présentent pas ces caractéristiques, ce qui n’est pas le cas.
L’Allemagne de l’Ouest capitaliste (la République fédérale) et l’Allemagne de l’Est socialiste (la RDA) constituent une bonne comparaison :
En 1989, la RDA émettait plus de trois fois plus de gaz carbonique par unité de PIB que la République fédérale. Pollution atmosphérique – dioxyde de soufre : En 1988, la RDA a émis 10 fois plus de dioxyde de soufre par km2 que la République fédérale (48,1 tonnes/km2 contre 4,6 tonnes/km2). Pollution de l’air – particules en suspension : La charge moyenne de 20,3 tonnes par km2 en RDA était plus de dix fois supérieure à celle de la République fédérale (1,8 tonne/km2). Poêles à charbon : dans les ménages privés, près de deux tiers des appartements en RDA étaient chauffés avec des combustibles solides tels que des briquettes de lignite au moment de la réunification.
Après avoir examiné les faits, de nombreuses personnes admettront que le socialisme est moins bon pour l’environnement que le capitalisme, mais il leur reste encore des doutes raisonnables : la croissance économique en général n’est-elle pas mauvaise pour l’environnement ? Un argument en particulier semble logique, du moins à première vue : les matières premières de la planète étant limitées, une croissance infinie est impossible. Beaucoup en concluent que, d’une manière ou d’une autre, la croissance doit être freinée.
Sur la base de nombreuses séries de données, le scientifique américain Andrew McAfee prouve dans son livre More from Less que la croissance économique s’est découplée de la consommation de matières premières. Les données relatives aux États-Unis montrent que sur 72 matières premières, seules six n’ont pas encore atteint leur maximum de consommation. Bien que l’économie américaine ait connu une forte croissance ces dernières années, la consommation de nombreuses matières premières est en baisse.
Cette évolution est due aux lois du capitalisme tant décrié : les entreprises recherchent constamment de nouveaux moyens de produire plus efficacement, c’est-à-dire de se débrouiller avec moins de matières premières. Bien entendu, elles ne le font pas en premier lieu pour protéger l’environnement, mais pour réduire les coûts.
De plus, l’innovation a favorisé une tendance que nous appelons miniaturisation ou dématérialisation. Un exemple de cette tendance est le smartphone. Il suffit de penser au nombre d’appareils individuels que contient votre smartphone et à la quantité de matières premières qu’ils consommaient auparavant. Aujourd’hui, de nombreuses personnes n’ont plus de fax ou n’utilisent plus de cartes routières imprimées parce qu’elles ont tout à portée de main dans leur smartphone, et certaines se passent même de montre-bracelet. Autrefois, le téléphone, le magnétophone à cassettes, le dictaphone et la caméra vidéo étaient équipés de quatre microphones distincts. Aujourd’hui, le microphone unique de votre smartphone a remplacé tous ces appareils.
À aucun moment de l’histoire de l’humanité, les économies planifiées n’ont été la solution aux problèmes, mais elles ont été à l’origine d’une multitude de problèmes, notamment environnementaux. En revanche, avec ses multiples innovations, le capitalisme a déjà résolu de nombreux problèmes, y compris et surtout dans le domaine de l’environnement. Il est donc absurde de penser que l’abolition du capitalisme résoudrait les problèmes du changement climatique et de la destruction de l’environnement.
L'âne du jour qui a écrit l'article ci-dessus ne connaît rien à la science mais donne conseils et tire conclusions !! Il ne sait pas que TOUS LES GAZ de notre atmosphère se recyclent immédiatement sans quoi la vie sur Terre ne serait jamais apparue. Et donc, il parle que le gaz carbonique est une pollution !! HAHAHAHA ! Pire, il classe les pays dits 'pollueurs' par catégories: « Libre », « Presque libre », « Modérément libre », « Presque non libre » et « Réprimé » ! Bêh avec çà t'iras loin ! L'Allemagne capitaliste ferme ses centrales nucléaire et ouvre ses centrales à charbon ! Il n'y a pas de 'capitaliste' ou de 'socialiste-communiste' mais des GROS CONS qui dirigent les États sans avoir précédemment avoir fait d'études ! Ils nagent dans des milliards, ont 36 chaudières et autan d'avions, bateaux et voitures luxueuses quand le Peuple se serre la ceinture est pauvre et crie famine !
L’approvisionnement en nourriture et en eau comme arme
27 août 2024 de Thomas Oysmüller
Depuis 2020, la guerre contre les personnes et contre les vies s’est accélérée, la nourriture et de plus en plus l’eau devenant au centre de l’attention et transformées en armes. Dirigé contre le peuple lui-même.
Dans les guerres hybrides à tous les niveaux, la nourriture a longtemps été utilisée comme une arme contre la vie. Mais une nouvelle qualité a été atteinte ces dernières années, et cela ne s'exprime pas seulement dans le « Green Deal » de l'UE et dans sa lutte contre les agriculteurs. Mais l’approvisionnement en eau est également de plus en plus ciblé. Il existe un modèle pour le Sommet des Nations Unies sur le futur en septembre qui exigerait qu'un organisme gouvernemental mondial contrôle tous les systèmes de survie, y compris l'eau. Une attaque contre les systèmes alimentaires peut également être menée grâce au nombre croissant d’éoliennes, car celles-ci contaminent fortement les sols . David A. Hughes écrit à ce sujet dans un essai récent, au sous-titre apocalyptique « Le grand empoisonnement, la guerre contre les agriculteurs, la viande cultivée en laboratoire, la « nourriture pharmaceutique » et l'eugénisme, les pénuries alimentaires d'origine humaine et le danger imminent de l'homme. -Cela a provoqué des pénuries d'eau.
Il convient de noter que plusieurs avertissements ont été émis cette année concernant des pénuries d'eau en Autriche. Le pays alpin possède en réalité beaucoup d’eau. Néanmoins, le blog du SPÖ déclarait il y a quelques semaines qu'« une commune sur quatre » en Autriche pourrait bientôt manquer d'eau. Quoi qu’il en soit, la pénurie d’eau deviendra un problème de plus en plus important.
Voici quelques extraits de l’essai du 10 août de David A. Hughes :
L’un des aspects de la guerre omniprésente (ndlr) est la transformation des réserves de nourriture et d’eau en armes. D’une certaine manière, cela dure depuis longtemps, mais depuis 2020, de nouveaux développements inquiétants sont survenus.
Ce que van Hamelen (2022 et auteur invité du TKP ) appelle « le grand empoisonnement » se produit depuis des décennies, par exemple à travers :
le sirop de maïs à haute teneur en fructose, couramment utilisé dans les aliments transformés et les boissons gazeuses (Nur Bulbul et al., 2024) ;
Des additifs largement utilisés tels que l’édulcorant aspartame, récemment classé comme « potentiellement cancérigène pour l’homme » (OMS, 2023) ;
La présence de glyphosate, utilisé dans le désherbant Roundup, classé « probablement cancérigène pour l'homme » par l'Agence internationale de recherche en 2015, dans 80 % des échantillons d'urines d'enfants et d'adultes aux États-Unis (Gillam, 2022) ;
Contaminants inorganiques à l'échelle micro et nanométrique dans les aliments qui sont non biodégradables, toxiques et sans valeur nutritionnelle (Gatti et al., 2009) ; et
Fluorure dans l'eau potable dans certains pays, ce qui « peut avoir des impacts négatifs importants sur la santé humaine » (Peckham & Awofoso, 2014).
L’augmentation de l’obésité et des maladies dans les sociétés occidentales a certainement quelque chose à voir avec cet empoisonnement progressif de la population.
Cependant, depuis 2020, la nourriture a été transformée en arme de nouvelles manières. Il y a une guerre contre les agriculteurs, par ex. B. à travers le « Green Deal européen », qui impose des réglementations extrêmes aux agriculteurs et pousse beaucoup d’entre eux à la faillite (Vanheuckelom, 2023 ; van Hamelen, 2023). En Chine, 100 millions d’agriculteurs ont été contraints de quitter leurs terres tandis que de plus en plus de denrées alimentaires sont cultivées dans d’immenses serres (Wood, 2023). En Angleterre, la politique de « réensauvagement » réduit la superficie disponible pour l’agriculture et propose aux agriculteurs des paiements forfaitaires pour quitter leurs terres (Beck, 2024). Un observateur résume la situation ainsi : « Les petits agriculteurs sont attaqués partout et seules les grandes entreprises peuvent survivre, mais la qualité de leur production est inférieure, tout comme la santé de ceux qui la consomment » (Patrick, s.d.).
Les pénuries alimentaires peuvent être utilisées pour affamer et asservir la population. Depuis 2020, des attaques ont eu lieu non seulement contre l’agriculture, mais aussi contre les installations de production alimentaire, notamment aux États-Unis (Hoft, 2023 ; Corbett, 2023). Si le contrôle de l’approvisionnement alimentaire est perdu au profit des technocrates, l’histoire met en garde contre les conséquences. Par exemple, les nazis étaient prêts à affamer des dizaines de millions de citoyens soviétiques pour alimenter la machine de guerre en progression, aux dépens des territoires conquis (Kay, 2006, p. 128). Sachant que le totalitarisme opère de cette manière impitoyable, il est concevable que la guerre mondiale pour la technocratie puisse entraîner la mort de centaines de millions de personnes.
Les pénuries artificielles d’eau sont également une source d’inquiétude. En 2022, le WEF a organisé une conférence de presse pour lancer la Commission mondiale sur l'économie de l'eau, au cours de laquelle la professeure de l'UCL, Mariana Mazzucato, a déploré l'échec de « la vaccination de tout le monde dans le monde » et le fait que le changement climatique est « un peu abstrait » :
« De l'eau – chaque enfant sait à quel point il est important d'avoir de l'eau – si vous jouez au football et que vous avez soif, vous avez besoin d'eau. Il s’agit aussi de favoriser l’engagement des citoyens dans ce domaine et, d’une certaine manière, d’expérimenter la notion de bien commun. Pouvons-nous réellement faire cette fois-ci quelque chose que nous avons lamentablement échoué à d’autres occasions ? » (Forum économique mondial, 2022, 15:49).
Cela ressemble beaucoup à une proposition visant à utiliser l’eau vitale pour le projet en cours d’établissement d’un État mondial totalitaire. La Conférence des Nations Unies sur l'eau a eu lieu à New York en mars 2023, la première conférence de ce type en 46 ans. Leur devise était « Unir le monde pour l’eau ». Le CDP, le partenaire de l'International Sustainability Standards Board pour la divulgation des données climatiques, a informé les investisseurs en juin 2024 que « le risque lié à l'eau n'est pas entièrement pris en compte sur les marchés financiers » et a mis en garde contre les conséquences des « restrictions sur l'accès à l'eau ». p.4). Si les capitalistes du désastre prennent position, ce ne sera peut-être qu’une question de temps avant qu’une pénurie artificielle d’eau ne se produise.
Les sources de cet essai peuvent être trouvées ici.
La présence de l'eau n'est pas un problème en soi car elle sort des sources gratuitement comme le sont les nappes phréatiques approvisionnées continuellement par le magma. Mais il y a les intervenants, des voleurs qui s'approprient l'eau gratuite pour... la vendre ! (comme pour l'air - le gaz carbonique - que l'on respire et que l'on doit payer pour l'avoir fait disparaître dans nos poumons à 37°C !!).
Dès le départ de l'humanité, des rivières et des fleuves ont été détournés pour l'irrigation des cultures. C'est pourquoi aujourd'hui l'on ne peut mourir de faim car les campagnes sont arrosées. Oui mais... depuis plus de 40 ans ! les fleuves et les rivières n'ont pas été dragués ! et bientôt l'on pourra traverser les fleuves à pieds tant il y a de la merde au fond !!
C'est çà la gestion de l'eau, c'est çà les putains d'administrateurs d’États !! Et oui ! 40 ans ! Ils avaient alors déjà mis en chantier la merde d'aujourd'hui ! soi-disant pour éviter que... les mers et les océans qui seraient susceptibles de monter !! n'envahissent les terres !! ÔH PITAING !!
Les énergies renouvelables sont un non-sens scientifique : les éoliennes provoquent le changement climatique
27 août 2024 par le Dr. Peter F. Mayer
Le terme « énergies renouvelables » viole les lois fondamentales de la physique. En conséquence, le terme signifie que les éoliennes et les systèmes solaires non seulement ne parviennent pas à prévenir le changement climatique, mais qu’ils en sont également la cause. En physique, il existe un ensemble de lois d’airain, à savoir les lois de conservation. Ce qui nous intéresse dans la politique climatique, c’est la loi de conservation de l’énergie. La loi stipule que l’énergie ne peut être ni créée ni détruite. Il ne peut donc pas être renouvelé. On ne peut que le transformer. Il s'agit donc d'une série de conversions en différentes formes d'énergie. Au bout de la chaîne se trouve généralement la chaleur, que la source soit le rayonnement solaire ou l’énergie cinétique du vent.
Ce sont des découvertes et des faits scientifiques incontestables. Malheureusement, elles sont souvent niées et violées à la fois par les « climatologues » et les « modélisateurs » du Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) de l’ONU. De nombreux modèles du IPCC sont incorrects pour cette seule raison.
Il existe même un institut universitaire pour les « systèmes d'énergie renouvelables », un à l' HTW Berlin et un autre à l' université de Stralsund . Il est étrange que dans les universités allemandes, les bases de la physique soient niées, même au nom des instituts.
Le professeur Volker Quaschning de HTW Berlin est l'un des plus ardents représentants des idées renouvelables dans son domaine ;
Les nombreuses conversions de l'énergie éolienne
L'énergie cinétique du vent est d'abord convertie en énergie de rotation et en petite quantité de chaleur par les pales du rotor de l'éolienne. Celui-ci entraîne le générateur, qui génère à nouveau de l'énergie électrique et de la chaleur. Celle-ci est acheminée par câble vers des points de collecte tels qu'une sous-station, où la chaleur est à nouveau générée en raison de la résistance du câble.
L'énergie électrique atteint les consommateurs finaux via les réseaux câblés avec un léger dégagement de chaleur supplémentaire, qui l'utilisent pour générer de l'énergie cinétique, de l'énergie chimique, de la lumière, de la télévision, du chargement des batteries, etc., et en tout cas à nouveau de la chaleur. L'énergie n'est certainement jamais perdue ; sa somme est toujours conservée sous forme convertie.
Qu'arrive-t-il à l'énergie des parcs éoliens
L’éolienne libère localement une petite partie de l’énergie transformée en rotation. Dans la zone de traînée du vent dans la direction sous le vent, il y a des turbulences et un mélange considérables des couches d'air, même au-dessus de la hauteur non négligeable des éoliennes. Cet effet serait responsable du dessèchement des sols dans les parcs éoliens.
Début 2023, TKP a signalé que l’énergie éolienne avait également une influence considérable sur le climat lui-même. En 2017, l’autorité supérieure allemande a admis que, selon les mesures, la vitesse du vent diminuait ; le phénomène est connu sous le nom de « dépérissement du vent » ou « calage terrestre global ». Il a été largement prouvé que des températures plus élevées se produisent à proximité des éoliennes. En 2018, une (parmi tant d’autres) études pertinentes est venue de Harvard, mesurant l’augmentation des températures et la réduction de l’humidité du sol . Derrière les éoliennes, le sol et l'air sont moins humides. La cause : le bouleversement des couches naturelles de température par les éoliennes.
L'énergie est également utilisée pour détruire des oiseaux, des chauves-souris et des insectes et parfois les projeter à des centaines de mètres, car les pales du rotor, comme illustré ici, atteignent des vitesses de plusieurs centaines de km/h en fonction de la force du vent aux extrémités du rotor. A cette occasion, des microparticules hautement toxiques issues des pales du rotor se propagent au fil des années jusqu'à 1000 mètres autour de l'éolienne et contaminent durablement les sols. Cela conduira probablement dans un avenir pas trop lointain à une interdiction de l'utilisation des terres agricoles .
En raison de ces effets et notamment de l’électricité dissipée, une quantité importante d’énergie a été soustraite au vent. C'est parti et c'est parti pour de bon. Qu'il puisse être renouvelé, c'est un échec scientifique. Il manque donc l’énergie qui était dissipée sous le vent des éoliennes. Cependant, l’extraction de grandes quantités d’énergie doit conduire à une faible pression sous le vent des systèmes.
Il est évident que le retrait d’énergie doit avoir un impact sur le climat, et dans un parc éolien ce n’est pas anodin. Fin 2023, l'Allemagne comptait environ 30 000 éoliennes terrestres , et 2 000 devraient s'y ajouter chaque année. Nous en avons plus de 200 000 à travers l’Europe. Il y en a également des dizaines de milliers d’autres au large des côtes européennes.
Qu’est-ce que ce retrait d’énergie change sur le climat ?
L’affirmation non scientifique des « énergies renouvelables » vise à donner l’impression que l’énergie est à peine extraite de l’atmosphère et qu’elle est à nouveau renouvelée par le deus ex machina. Cela signifie que ce type de production d’électricité serait « neutre pour le climat », une affirmation aussi populaire que fausse.
TKP a fait état à plusieurs reprises d' études réalisées au Texas , dans le Burgenland ou de modèles de calcul pour l'Afrique qui prouvent que les parcs éoliens provoquent le réchauffement climatique. Une autre étude a démontré une corrélation entre la construction de parcs éoliens près des îles britanniques en mer du Nord et une augmentation de la température et de la présence accrue de poussière saharienne. En fait, depuis un certain temps, nous connaissons des conditions météorologiques plus australes que jamais auparavant et le sable du Sahara est tout aussi présent dans l'air, ce qui le rend également plus chaud.
Donc plus il y a d’éoliennes, plus il y a de poussières sahariennes et chaudes dans l’air.
À propos, la poussière du Sahara dans l’air n’est pas visible sur les images satellite. Les enregistrements sont coordonnés avec la bande de vapeur d'eau du niveau supérieur. La longueur d'onde centrale de cette bande est de 6,2 µm (micromètres). L'objectif principal de cette bande est de détecter des caractéristiques atmosphériques de niveau supérieur telles que : B. Courants-jets, creux/stries et signes de turbulences possibles.
Les hommes politiques européens sont apparemment également d’avis que le réchauffement climatique se produit plus rapidement en Europe qu’ailleurs. Après le vote sur l'adoption du règlement européen sur la renaturation, le rapporteur César Luena (S&D, ES) a déclaré :
« Au cours des 40 dernières années, l’Europe s’est réchauffée deux fois plus vite que le reste du monde. »
La densité d’éoliennes est plus élevée en Europe que partout ailleurs dans le monde.
Le terme « énergie renouvelable » occulte le fait que les parcs éoliens contribuent au réchauffement climatique.
Mais ils servent aussi à autre chose. Il y a depuis longtemps une guerre contre les agriculteurs, par ex. B. via le « Green Deal européen », qui impose des réglementations extrêmes aux agriculteurs et contraint beaucoup d’entre eux à la faillite, ou via la réglementation sur la renaturation. Les petits agriculteurs sont attaqués partout et seules les grandes entreprises peuvent survivre, mais la qualité de leur production est inférieure, et cela vaut également pour la santé de ceux qui (doivent) la consommer.
L’expansion rapide des parcs éoliens dans les zones agricoles constitue une menace énorme pour les agriculteurs et la sécurité alimentaire. Comme l’a signalé à plusieurs reprises le TKP , l’exploitation des éoliennes provoque une contamination généralisée des sols agricoles sous-jacents. C’est le prétexte idéal pour porter un coup fatal aux agriculteurs.
Article du TKP sur le sujet : Éoliennes dans les champs : catastrophe pour les agriculteurs et la sécurité alimentaire
Des parcs éoliens responsables des vagues de chaleur et de la poussière du Sahara en Europe ?
Texas : réchauffement de 0,72 degré par décennie dû aux parcs éoliens
Les parcs éoliens provoquent-ils le réchauffement climatique et des dommages climatiques ?
Mort du vent : l’énergie éolienne provoque-t-elle sécheresse et chaleur ?
Énergie éolienne et « fibres désagréables » : faits rapportés par l’avocat Thomas Mock
Les éoliennes, pièges mortels : « fibres désagréables » et risques de contamination
Bonanza Wind Power – qui gagne de l’argent en installant des éoliennes
Chaleur et poussière sahariennes en Grèce et rôle des parcs éoliens
Étude : Les éoliennes rendent les humains et les animaux malades et nuisent à l'environnement
Là encore les 'dirigeants' incapables de gérer une épicerie veulent gouverner une grande surface !! Ils n'ont fait d'études antérieures ni d'essais durtant un an avec 1 éolienne, pour voir. Mais ils ont commandé ("C'est pas vous qui payez c'est l’État !" FH) des millions d'éoliennes-à-la-con ! Qui ne servent à rien et qui consomment plus d'électricité qu'elles n'en peuvent produire !! (car, en l'absence de vent il faut faire tourner les pales afin qu'elles ne se grippent ! et, pour faire tourner des pales de 60 tonnes x 3 ! faut pas s'appeler Moulinex !).
La banque de semences est construite dans une montagne de l'île du Spitzberg, près du petit village de Longyearbyen. C'est presque prêt pour les « affaires » selon leurs versions. La banque sera dotée de deux portes anti-souffle avec détecteurs de mouvement, de deux sas et de murs en béton armé d'un mètre d'épaisseur. Il contiendra jusqu'à trois millions de variétés différentes de semences provenant du monde entier, « afin que la diversité des cultures puisse être conservée pour l'avenir », selon le gouvernement norvégien. Les graines seront spécialement emballées pour exclure l'humidité. Il n'y aura pas de personnel à temps plein, mais la relative inaccessibilité du coffre-fort facilitera la surveillance de toute éventuelle activité humaine.
Avons-nous raté quelque chose ici ? Leur communiqué de presse déclarait : « afin que la diversité des cultures puisse être conservée pour l'avenir ». Quel avenir les sponsors de la banque de semences prévoient-ils, qui menacerait la disponibilité mondiale des semences actuelles, dont presque toutes sont déjà bien protégées dans les banques de semences désignées à travers le monde ?
Chaque fois que Bill Gates, la Fondation Rockefeller, Monsanto et Syngenta se réunissent autour d’un projet commun, cela vaut la peine de creuser un peu plus derrière les rochers du Spitzberg. Lorsque nous le faisons, nous découvrons des choses fascinantes.
Le premier point notable est de savoir qui parraine le coffre-fort apocalyptique. Aux côtés des Norvégiens se trouvent, comme indiqué, la Fondation Bill & Melinda Gates ; le géant américain de l'agro-industrie DuPont/Pioneer Hi-Bred, l'un des plus grands propriétaires mondiaux de semences de plantes génétiquement modifiées (OGM) brevetées et de produits agrochimiques associés ; Syngenta, la principale entreprise suisse de semences OGM et de produits agrochimiques par l'intermédiaire de sa Fondation Syngenta ; la Fondation Rockefeller, le groupe privé qui a créé la « révolution génétique avec plus de 100 millions de dollars de capital de départ depuis les années 1970 ; CGIAR, le réseau mondial créé par la Fondation Rockefeller pour promouvoir son idéal de pureté génétique à travers le changement agricole.
Comme je l'ai détaillé dans le livre Seeds of Destruction1, en 1960, la Fondation Rockefeller, le Conseil de développement agricole de John D. Rockefeller III et la Fondation Ford ont uni leurs forces pour créer l'Institut international de recherche sur le riz (IRRI) à Los Baños. , les Philippines. En 1971, l'IRRI de la Fondation Rockefeller, ainsi que son Centre international d'amélioration du maïs et du blé basé au Mexique et deux autres centres de recherche internationaux créés par la Fondation Rockefeller et Ford, l'IITA pour l'agriculture tropicale au Nigeria et l'IRRI pour le riz aux Philippines, se sont combinés pour former un Groupe consultatif mondial sur la recherche agricole internationale (GCRAI).
Le CGIAR a été façonné lors d'une série de conférences privées organisées au centre de conférence de la Fondation Rockefeller à Bellagio, en Italie. Les principaux participants aux pourparlers de Bellagio étaient George Harrar de la Fondation Rockefeller, Forrest Hill de la Fondation Ford, Robert McNamara de la Banque mondiale et Maurice Strong, l'organisateur environnemental international de la famille Rockefeller, qui, en tant qu'administrateur de la Fondation Rockefeller, a organisé le Sommet de la Terre des Nations Unies à Stockholm. en 1972. Cela faisait partie des efforts déployés depuis plusieurs décennies par la fondation pour mettre la science au service de l'eugénisme, une version hideuse de la pureté raciale, ce qu'on a appelé le Projet.
Pour garantir un impact maximal, le GCRAI a fait appel à l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture, au Programme des Nations Unies pour le développement et à la Banque mondiale. Ainsi, grâce à un effet de levier soigneusement planifié sur ses fonds initiaux, la Fondation Rockefeller, au début des années 1970, était en mesure de façonner la politique agricole mondiale. Et c’est ce qu’il a fait.
Financé par de généreuses bourses d'études de la Fondation Rockefeller et Ford, le CGIAR a veillé à ce que les principaux scientifiques agricoles et agronomes du tiers monde soient amenés aux États-Unis pour « maîtriser » les concepts de la production agro-industrielle moderne, afin de les rapporter dans leur pays d'origine. Ce faisant, ils ont créé un réseau d’influence inestimable pour la promotion de l’agro-industrie américaine dans ces pays, plus particulièrement pour la promotion de la « révolution génétique » des OGM dans les pays en développement, le tout au nom de la science et d’une agriculture efficace et libre de marché.
Aujourd’hui, la banque de semences du Svalbard commence à devenir intéressante. Mais ça va mieux. « Le Projet » auquel j'ai fait référence est le projet de la Fondation Rockefeller et de puissants intérêts financiers depuis les années 1920 visant à utiliser l'eugénisme, rebaptisé plus tard génétique, pour justifier la création d'une race de maîtres génétiquement modifiée. Hitler et les nazis l'appelaient la race des maîtres Ayran.
L’eugénisme d’Hitler a été financé dans une large mesure par la même Fondation Rockefeller qui construit aujourd’hui un coffre-fort apocalyptique pour préserver des échantillons de chaque graine de notre planète. Maintenant, cela devient vraiment intrigant. La même Fondation Rockefeller a créé la discipline pseudo-scientifique de la biologie moléculaire dans sa quête incessante de réduire la vie humaine à la « séquence génétique déterminante » qui, espérait-elle, pourrait ensuite être modifiée afin de changer les traits humains à volonté. Les scientifiques eugénistes d'Hitler, dont beaucoup ont été discrètement amenés aux États-Unis après la guerre pour poursuivre leurs recherches sur l'eugénisme biologique, ont jeté les bases du génie génétique de diverses formes de vie, dont une grande partie a été ouvertement soutenue jusque tard dans le Troisième Reich par Rockefeller. Subventions généreuses de la Fondation.2
La même Fondation Rockefeller a créé ce qu’on appelle la Révolution verte, à la suite d’un voyage au Mexique en 1946 de Nelson Rockefeller et de l’ancien secrétaire à l’Agriculture du New Deal et fondateur de la Pioneer Hi-Bred Seed Company, Henry Wallace.
La Révolution verte prétendait résoudre dans une large mesure le problème de la faim dans le monde au Mexique, en Inde et dans d’autres pays sélectionnés où Rockefeller travaillait. L'agronome de la Fondation Rockefeller, Norman Borlaug, a remporté le prix Nobel de la paix pour son travail, ce qui n'est guère de quoi se vanter avec des personnalités comme Henry Kissinger partageant la même chose.
En réalité, telle qu’elle est apparue des années plus tard, la Révolution verte était un plan brillant de la famille Rockefeller visant à développer une agro-industrie mondialisée qu’elle pourrait ensuite monopoliser, tout comme elle l’avait fait dans l’industrie pétrolière mondiale au début d’un demi-siècle auparavant.
Comme l'a déclaré Henry Kissinger dans les années 1970 : « Si vous contrôlez le pétrole, vous contrôlez le pays ; si vous contrôlez la nourriture, vous contrôlez la population.
L’agro-industrie et la révolution verte Rockefeller allaient de pair. Ils faisaient partie d’une grande stratégie qui comprenait le financement par la Fondation Rockefeller de la recherche pour le développement du génie génétique des plantes et des animaux quelques années plus tard.
John H. Davis était secrétaire adjoint à l'Agriculture sous le président Dwight Eisenhower au début des années 1950. Il a quitté Washington en 1955 et est allé à la Harvard Graduate School of Business, un endroit inhabituel pour un expert agricole à l'époque. Il avait une stratégie claire. En 1956, Davis écrivit un article dans la Harvard Business Review dans lequel il déclarait que « la seule façon de résoudre une fois pour toutes le soi-disant problème agricole, et d’éviter des programmes gouvernementaux encombrants, est de passer de l’agriculture à l’agro-industrie ». Il savait précisément ce qu’il avait en tête, même si peu d’autres en avaient la moindre idée à l’époque : une révolution dans la production agricole qui concentrerait le contrôle de la chaîne alimentaire entre les mains des multinationales, loin de l’agriculteur familial traditionnel. 3
Un aspect crucial qui a suscité l’intérêt de la Fondation Rockefeller et des entreprises agroalimentaires américaines était le fait que la Révolution verte reposait sur la prolifération de nouvelles semences hybrides dans les marchés en développement. Un aspect essentiel des semences hybrides était leur manque de capacité de reproduction. Les hybrides avaient une protection intégrée contre la multiplication. Contrairement aux espèces normales à pollinisation libre dont les graines donnaient des rendements similaires à ceux de leurs parents, le rendement des graines portées par les plantes hybrides était nettement inférieur à celui de la première génération.
Cette caractéristique de rendement en baisse des hybrides signifiait que les agriculteurs devaient normalement acheter des semences chaque année afin d'obtenir des rendements élevés. De plus, le rendement plus faible de la deuxième génération a éliminé le commerce des semences qui était souvent réalisé par les producteurs de semences sans l'autorisation du sélectionneur. Cela a empêché la redistribution des semences commerciales par des intermédiaires. Si les grandes semences multinationales
Si les entreprises étaient en mesure de contrôler elles-mêmes les lignées parentales, aucun concurrent ni agriculteur ne serait en mesure de produire l’hybride. La concentration mondiale des brevets sur les semences hybrides dans une poignée de sociétés semencières géantes, dirigées par Pioneer Hi-Bred de DuPont et Dekalb de Monsanto, a jeté les bases de la révolution ultérieure des semences OGM. 4
En effet, l’introduction de la technologie agricole américaine moderne, des engrais chimiques et des semences hybrides commerciales a rendu les agriculteurs locaux des pays en développement, en particulier les plus grands et les mieux établis, dépendants des intrants étrangers, principalement américains de l’agro-industrie et des sociétés pétrochimiques. Il s’agissait de la première étape d’un processus soigneusement planifié qui allait s’étaler sur plusieurs décennies.
Sous la Révolution verte, l’agro-industrie a fait des percées majeures sur des marchés qui étaient auparavant d’un accès limité aux exportateurs américains. Cette tendance a ensuite été baptisée « agriculture orientée vers le marché ». En réalité, il s’agissait d’une agriculture contrôlée par l’agro-industrie.
Tout au long de la Révolution verte, la Fondation Rockefeller, puis la Fondation Ford, ont travaillé main dans la main pour façonner et soutenir les objectifs de politique étrangère de l’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID) et de la CIA.
L’un des effets majeurs de la Révolution verte a été de dépeupler les campagnes de paysans qui ont été contraints de fuir vers les bidonvilles autour des villes à la recherche désespérée de travail. Ce n’était pas un hasard ; cela faisait partie du plan visant à créer des réserves de main-d'œuvre bon marché pour les futures multinationales américaines, la « mondialisation » de ces dernières années.
Lorsque l’autopromotion autour de la Révolution verte s’est essoufflée, les résultats ont été très différents de ceux promis. Des problèmes sont nés de l'utilisation aveugle des nouveaux pesticides chimiques, qui ont souvent de graves conséquences sur la santé. La culture en monoculture de nouvelles variétés de semences hybrides a diminué la fertilité des sols et les rendements au fil du temps. Les premiers résultats ont été impressionnants : des rendements doublés, voire triplés pour certaines cultures comme le blé puis le maïs au Mexique. Cela s’est vite estompé.
La Révolution verte s’est généralement accompagnée de grands projets d’irrigation qui comprenaient souvent des prêts de la Banque mondiale pour construire d’énormes nouveaux barrages et, ce faisant, inonder des zones précédemment habitées et des terres agricoles fertiles. En outre, le super-blé produisait de meilleurs rendements en saturant le sol avec d'énormes quantités d'engrais par acre, l'engrais étant un produit de nitrates et de pétrole, des produits contrôlés par les grandes compagnies pétrolières des Sept Sœurs, dominées par Rockefeller.
D’énormes quantités d’herbicides et de pesticides ont également été utilisées, créant ainsi des marchés supplémentaires pour les géants pétroliers et chimiques. Comme l’a dit un analyste, en réalité, la Révolution verte n’était qu’une révolution chimique. À aucun moment, les pays en développement ne pourraient payer pour les énormes quantités d’engrais chimiques et de pesticides. Ils obtiendraient des crédits de la Banque mondiale et des prêts spéciaux de la Chase Bank et d’autres grandes banques new-yorkaises, soutenus par les garanties du gouvernement américain.
Appliqués dans un grand nombre de pays en développement, ces prêts étaient principalement destinés aux grands propriétaires fonciers. Pour les petits paysans, la situation était différente. Les petits paysans n’avaient pas les moyens d’acheter des produits chimiques et d’autres intrants modernes et ont dû emprunter de l’argent.
Au départ, divers programmes gouvernementaux ont tenté d'accorder des prêts aux agriculteurs afin qu'ils puissent acheter des semences et des engrais. Les agriculteurs qui ne pouvaient pas participer à ce type de programme ont dû emprunter auprès du secteur privé. En raison des taux d’intérêt exorbitants des prêts informels, de nombreux petits agriculteurs n’ont même pas bénéficié des rendements initiaux plus élevés. Après la récolte, ils devaient vendre la plupart, sinon la totalité, de leurs produits pour rembourser leurs prêts et intérêts. Ils sont devenus dépendants des prêteurs et des commerçants et ont souvent perdu leurs terres. Même avec des prêts bonifiés accordés par les agences gouvernementales, les cultures de subsistance ont cédé la place à la production de cultures de rapport.5
Depuis des décennies, les mêmes intérêts, y compris la Fondation Rockefeller, qui ont soutenu la première révolution verte, ont travaillé à promouvoir une deuxième « révolution génétique », comme l'appelait le président de la Fondation Rockefeller, Gordon Conway, il y a plusieurs années, la propagation de l'agriculture industrielle et des intrants commerciaux, y compris les semences OGM brevetées. .
Gates, Rockefeller et une révolution verte en Afrique Avec le véritable contexte de la révolution verte de la Fondation Rockefeller dans les années 1950, il devient particulièrement curieux que la même Fondation Rockefeller et la Fondation Gates qui investissent maintenant des millions de dollars dans la préservation de chaque graine contre un éventuel scénario « apocalypse » investit également des millions dans un projet appelé Alliance pour une révolution verte en Afrique.
L'AGRA, comme elle s'appelle elle-même, est à nouveau une alliance avec la même Fondation Rockefeller qui a créé la « Révolution génétique ». Un regard sur le conseil d’administration de l’AGRA le confirme.
Il est présidé par nul autre que l'ancien secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan. Dans son discours de remerciement lors d'un événement du Forum économique mondial au Cap, en Afrique du Sud, en juin 2007, Kofi Annan a déclaré : « J'accepte ce défi avec gratitude envers la Fondation Rockefeller, la Fondation Bill & Melinda Gates et tous ceux qui soutiennent notre campagne africaine. .'
En outre, le conseil d'administration de l'AGRA compte un Sud-Africain, Strive Masiyiwa, qui est administrateur de la Fondation Rockefeller. Il comprend Sylvia M. Mathews de la Fondation Bill & Melinda Gates ; Mamphela Ramphele, ancienne directrice générale de la Banque mondiale (2000 – 2006) ; Rajiv J. Shah de la Fondation Gates ; Nadya K. Shmavonian de la Fondation Rockefeller ; Roy Steiner de la Fondation Gates. En outre, une alliance pour l'AGRA comprend Gary Toenniessen, directeur général de la Fondation Rockefeller et Akinwumi Adesina, directeur associé de la Fondation Rockefeller.
Pour compléter la liste, les programmes pour l'AGRA comprennent Peter Matlon, directeur général de la Fondation Rockefeller ; Joseph De Vries, directeur du programme pour les systèmes semenciers africains et directeur associé de la fondation Rockefeller ; Akinwumi Adesina, directeur associé, Fondation Rockefeller. À l’image de l’échec de la Révolution verte en Inde et au Mexique, la nouvelle Révolution verte en Afrique est clairement une priorité majeure de la Fondation Rockefeller.
Même s'ils font jusqu'à présent profil bas, Monsanto et les grands géants de l'agro-industrie OGM sont soupçonnés d'être à l'origine de l'utilisation de l'AGRA de Kofi Annan pour diffuser leurs semences OGM brevetées à travers l'Afrique sous l'étiquette trompeuse de « biotechnologie », le nouvel euphémisme pour semences brevetées génétiquement modifiées. À ce jour, l’Afrique du Sud est le seul pays africain autorisant la plantation légale de cultures OGM. En 2003, le Burkina Faso a autorisé les essais d'OGM. En 2005, le Ghana de Kofi Annan a rédigé une législation sur la biosécurité et des responsables clés ont exprimé leur intention de poursuivre la recherche sur les cultures OGM.
L’Afrique est la prochaine cible de la campagne du gouvernement américain visant à propager les OGM dans le monde entier. Ses sols riches en font un candidat idéal. Il n'est pas surprenant que de nombreux gouvernements africains soupçonnent le pire de la part des sponsors des OGM, car une multitude de projets de génie génétique et de biosécurité ont été lancés en Afrique, dans le but d'introduire les OGM dans les systèmes agricoles africains. Il s'agit notamment des parrainages offerts par le gouvernement américain pour former des scientifiques africains au génie génétique aux États-Unis, des projets de biosécurité financés par l'Agence des États-Unis pour le développement international (USAID) et la Banque mondiale ; Recherche sur les OGM impliquant les cultures vivrières indigènes africaines.
La Fondation Rockefeller travaille depuis des années pour promouvoir, en grande partie sans succès, des projets visant à introduire des OGM dans les champs d'Afrique. Ils ont soutenu des recherches qui soutiennent l’applicabilité du coton OGM dans les Makhathini Flats en Afrique du Sud.
Monsanto, qui a une forte présence dans l'industrie sud-africaine des semences, à la fois OGM et hybrides, a conçu un ingénieux programme pour les petits exploitants connu sous le nom de campagne « Semences d'espoir », qui présente un ensemble de mesures de révolution verte pour les petits agriculteurs pauvres, suivi , bien sûr, grâce aux graines OGM brevetées de Monsanto. 6
Syngenta AG de Suisse, l'un des « Quatre cavaliers de l'apocalypse des OGM », investit des millions de dollars dans une nouvelle serre à Nairobi, pour développer du maïs OGM résistant aux insectes. Syngenta fait également partie du CGIAR.7
Passons au Svalbard.
Est-ce simplement une négligence philosophique ? Qu'est-ce qui amène les fondations Gates et Rockefeller à soutenir en même temps la prolifération de semences brevetées et bientôt brevetées par Terminator à travers l'Afrique, un processus qui, comme partout ailleurs sur la planète, détruit les variétés de semences végétales. à mesure que l’agro-industrie industrialisée en monoculture est introduite ? Dans le même temps, ils investissent des dizaines de millions de dollars pour préserver toutes les variétés de semences connues dans un coffre-fort apocalyptique à l'épreuve des bombes près du lointain cercle arctique « afin que la diversité des cultures puisse être conservée pour l'avenir », pour réaffirmer leur communiqué officiel ?
Ce n’est pas un hasard si les fondations Rockefeller et Gates s’associent pour promouvoir une révolution verte de type OGM en Afrique, en même temps qu’elles financent discrètement le « coffre-fort apocalyptique » à Svalbard. Les géants de l’agroalimentaire OGM sont à la hauteur des oreilles dans le projet Svalbard.
En effet, toute l'entreprise du Svalbard et les personnes impliquées évoquent les pires images de catastrophe du best-seller de Michael Crichton, Andromeda Strain, un thriller de science-fiction dans lequel une maladie mortelle d'origine extraterrestre provoque une coagulation rapide et mortelle du sang menaçant l'espèce humaine tout entière. . Au Svalbard, le futur dépôt de semences le plus sécurisé au monde sera gardé par les policiers de la révolution verte des OGM : les fondations Rockefeller et Gates, Syngenta, DuPont et le CGIAR.
Le projet Svalbard sera géré par une organisation appelée Global Crop Diversity Trust (GCDT). Qui sont-ils pour détenir une telle confiance sur l’ensemble des variétés de semences de la planète ? Le GCDT a été fondé par l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et Bioversity International (anciennement l'Institut international de recherche phytogénétique), une émanation du GCRAI.
Le Global Crop Diversity Trust est basé à Rome. Son conseil d'administration est présidé par Margaret Catley-Carlson, une Canadienne également membre du conseil consultatif du Groupe Suez Lyonnaise des Eaux, l'une des plus grandes sociétés d'eau privées au monde. Catley-Carlson a également été président jusqu'en 1998 du Population Council, basé à New York, l'organisation de réduction de la population de John D. Rockefeller, créée en 1952 pour faire avancer le programme eugéniste de la famille Rockefeller sous couvert de promotion du « planning familial », des dispositifs de contrôle des naissances, stérilisation et « contrôle de la population » dans les pays en développement.
Parmi les autres membres du conseil d'administration de GCDT figurent Lewis Coleman, ancien cadre de Bank of America et actuellement directeur de Hollywood DreamWorks Animation. Coleman est également le principal administrateur du conseil d'administration de Northrup Grumman Corporation, l'un des plus grands entrepreneurs du Pentagone dans l'industrie militaire américaine.
Jorio Dauster (Brésil) est également président du conseil d'administration de Brasil Ecodiesel. Il est un ancien ambassadeur du Brésil auprès de l'Union européenne et négociateur en chef de la dette extérieure du Brésil pour le ministère des Finances. Dauster a également été président de l'Institut brésilien du café et coordinateur du projet de modernisation du système de brevets brésilien, qui implique la légalisation des brevets sur les semences génétiquement modifiées, ce qui était interdit jusqu'à récemment par les lois brésiliennes.
Cary Fowler est le directeur exécutif du Trust. Fowler était professeur et directeur de recherche au Département d'études internationales sur l'environnement et le développement de l'Université norvégienne des sciences de la vie. Il a également été conseiller principal du directeur général de Bioversity International. Là, il a représenté les Future Harvest Centres du Groupe consultatif pour la recherche agricole internationale (GCRAI) dans les négociations sur le Traité international sur les ressources phytogénétiques. Dans les années 1990, il a dirigé le Programme international sur les ressources phytogénétiques de la FAO. Il a rédigé et supervisé les négociations du Plan d'action mondial de la FAO pour les ressources phytogénétiques, adopté par 150 pays en 1996. Il est un ancien membre du Conseil national des ressources phytogénétiques des États-Unis et du Conseil d'administration de l'Association internationale du maïs et du blé. Improvement Center au Mexique, un autre projet de la Fondation Rockefeller et du CGIAR.
Membre du conseil d'administration du GCDT, le Dr Mangala Rai, d'Inde, est secrétaire du Département indien de la recherche et de l'éducation agricoles (DARE) et directeur général du Conseil indien pour la recherche agricole (ICAR). Il est également membre du conseil d'administration de l'Institut international de recherche sur le riz (IRRI) de la Fondation Rockefeller, qui a promu la première expérience majeure d'OGM au monde, le très médiatisé « Riz doré », qui s'est avéré un échec. Rai a été membre du conseil d'administration du CIMMYT (Centre international d'amélioration du maïs et du blé) et membre du Conseil exécutif du GCRAI.
Les donateurs du Global Crop Diversity Trust ou les investisseurs providentiels incluent également, selon les mots du classique de Humphrey Bogart Casablanca, « tous les suspects habituels ». Outre les fondations Rockefeller et Gates, les donateurs comprennent les géants des OGM DuPont-Pioneer Hi-Bred, Syngenta de Bâle en Suisse, le CGIAR et l'agence d'aide au développement énergiquement pro-OGM du Département d'État, l'USAID. En effet, il semble que nous ayons des renards OGM et de réduction de population qui gardent le poulailler de l’humanité, le magasin mondial de diversité de semences au Svalbard. 8
Pourquoi maintenant le Svalbard ?
Nous pouvons légitimement nous demander pourquoi Bill Gates et la Fondation Rockefeller, ainsi que les grands géants de l’agro-industrie du génie génétique tels que DuPont et Syngenta, ainsi que le CGIAR, construisent la Chambre forte des semences de la fin du monde dans l’Arctique.
Qui utilise une telle banque de graines en premier lieu ? Les sélectionneurs de plantes et les chercheurs sont les principaux utilisateurs des banques de gènes. Les plus grands obtenteurs de plantes d'aujourd'hui sont Monsanto, DuPont, Syngenta et Dow Chemical, les géants mondiaux des brevets sur les OGM. Depuis le début de l'année 2007, Monsanto détient des droits de brevet mondiaux avec le gouvernement des États-Unis pour une plante appelée « Terminator » ou technologie de restriction de l'utilisation génétique (GURT). Terminator est une technologie inquiétante par laquelle une graine commerciale brevetée se suicide après une seule récolte. Le contrôle des sociétés semencières privées est total. Un tel contrôle et un tel pouvoir sur la chaîne alimentaire n’ont jamais existé dans l’histoire de l’humanité.
Cet astucieux trait terminateur génétiquement modifié oblige les agriculteurs à revenir chaque année chez Monsanto ou chez d'autres fournisseurs de semences OGM pour obtenir de nouvelles semences de riz, de soja, de maïs, de blé, quelles que soient les principales cultures dont ils ont besoin pour nourrir leur population. S'il était largement introduit dans le monde entier, il pourrait, d'ici une dizaine d'années, faire de la majorité des producteurs alimentaires de nouveaux serfs féodaux esclaves de trois ou quatre sociétés semencières géantes telles que Monsanto, DuPont ou Dow Chemical.
Cela, bien sûr, pourrait également ouvrir la porte à ces entreprises privées, peut-être sous les ordres de leur gouvernement hôte, Washington, refusant des semences à l'un ou l'autre pays en développement dont la politique allait à l'encontre de celle de Washington. Ceux qui disent que « cela ne peut pas arriver ici » devraient examiner de plus près les événements mondiaux actuels. La simple existence de cette concentration du pouvoir entre trois ou quatre géants privés de l’agro-industrie basés aux États-Unis justifie l’interdiction légale de toutes les cultures OGM, même si leurs gains de récolte étaient réels, ce qui n’est manifestement pas le cas.
Ces entreprises privées, Monsanto, DuPont, Dow Chemical, n’ont guère de bilan intact en termes de gestion de la vie humaine. Ils ont développé et fait proliférer des innovations telles que la dioxine, les PCB, l'agent Orange. Ils ont dissimulé pendant des décennies les preuves évidentes des conséquences cancérigènes et autres conséquences graves sur la santé humaine de l'utilisation de produits chimiques toxiques. Ils ont enterré des rapports scientifiques sérieux selon lesquels l'herbicide le plus répandu au monde, le glyphosate, l'ingrédient essentiel de l'herbicide Roundup de Monsanto qui est lié à l'achat de la plupart des semences génétiquement modifiées de Monsanto, est toxique lorsqu'il s'infiltre dans l'eau potable.9 Le Danemark a interdit le glyphosate en 2003 lorsque il a confirmé qu'il avait contaminé les eaux souterraines du pays.10
La diversité stockée dans les banques de gènes de semences constitue la matière première pour la sélection végétale et pour de nombreuses recherches biologiques fondamentales. Plusieurs centaines de milliers d'échantillons sont distribués chaque année à ces fins. La FAO de l'ONU répertorie quelque 1 400 banques de semences dans le monde, la plus grande étant détenue par le gouvernement des États-Unis. Les autres grandes banques sont détenues par la Chine, la Russie, le Japon, l’Inde, la Corée du Sud, l’Allemagne et le Canada, par ordre décroissant de taille. En outre, le CGIAR exploite une chaîne de banques de semences dans des centres sélectionnés à travers le monde.
Le CGIAR, créé en 1972 par la Fondation Rockefeller et la Fondation Ford pour diffuser leur modèle agro-industriel de la Révolution verte, contrôle la plupart des banques de semences privées, des Philippines à la Syrie en passant par le Kenya. Toutes ces banques de semences actuelles contiennent plus de six millions et demi de variétés de semences, dont près de deux millions sont « distinctes ». Le Doomsday Vault du Svalbard aura une capacité d'héberger quatre millions et demi de graines différentes.
Nous arrivons maintenant au cœur du danger et du potentiel d’abus inhérent au projet Svalbard de Bill Gates et de la fondation Rockefeller. Le développement de semences brevetées pour la plupart des principales cultures de subsistance telles que le riz, le maïs, le blé et les céréales fourragères telles que le soja peut-il finalement être utilisé dans une forme horrible de guerre biologique ?
L’objectif explicite du lobby eugénique financé par de riches familles d’élite telles que Rockefeller, Carnegie, Harriman et d’autres depuis les années 1920 incarne ce qu’ils appellent « l’eugénisme négatif », l’élimination systématique des lignées indésirables. Margaret Sanger, une eugéniste rapide, fondatrice de Planned Parenthood International et proche de la famille Rockefeller, a créé en 1939 quelque chose appelé The Negro Project, basé à Harlem, qui, comme elle l'a confié dans une lettre à un ami, était axé sur le fait que, comme elle l'a dit, « nous voulons exterminer la population noire ». 11
Une petite entreprise de biotechnologie californienne, Epicyte, a annoncé en 2001 le développement d'un maïs génétiquement modifié contenant un spermicide qui rendait stérile le sperme des hommes qui le mangeaient. À l’époque, Epicyte avait conclu un accord de coentreprise pour diffuser sa technologie avec DuPont et Syngenta, deux des sponsors du Svalbard Doomsday Seed Vault. Epicyte a depuis été racheté par une société de biotechnologie de Caroline du Nord. Il est étonnant d’apprendre qu’Epicyte a développé son maïs OGM spermicide avec des fonds de recherche du Département américain de l’Agriculture, ce même USDA qui, malgré l’opposition mondiale, a continué à financer le développement de la technologie Terminator, désormais détenue par Monsanto.
Dans les années 1990, l'Organisation mondiale de la santé des Nations Unies a lancé une campagne visant à vacciner des millions de femmes au Nicaragua, au Mexique et aux Philippines âgées de 15 à 45 ans, prétendument contre le tentanus, une maladie provoquée par exemple par le fait de marcher sur un clou rouillé. Le vaccin n’a pas été administré aux hommes ni aux garçons, bien qu’ils soient probablement tout aussi susceptibles que les femmes de marcher sur des ongles rouillés.
En raison de cette curieuse anomalie, le Comite Pro Vida de Mexico, une organisation laïque catholique romaine, est devenu méfiant et a fait tester des échantillons de vaccins. Les tests ont révélé que le vaccin contre le tétanos distribué par l'OMS uniquement aux femmes en âge de procréer contenait de la gonadotrophine chorionique humaine ou hCG, une hormone naturelle qui, combinée à un porteur d'anatoxine tétanique, stimulait les anticorps rendant une femme incapable de maintenir une grossesse. Aucune des femmes vaccinées n’en a été informée.
Il est apparu plus tard que la Fondation Rockefeller, le Rockefeller's Population Council, la Banque mondiale (siège du CGIAR) et les National Institutes of Health des États-Unis avaient été impliqués dans un projet de 20 ans lancé en 1972 pour développer le vaccin contre l'avortement dissimulé chez un porteur du tétanos pour l'OMS. En outre, le gouvernement norvégien, hôte du Svalbard Doomsday Seed Vault, a fait don de 41 millions de dollars pour développer le vaccin abortif spécial contre le tétanos. 12
Est-ce une coïncidence si ces mêmes organisations, de la Norvège à la Fondation Rockefeller en passant par la Banque mondiale, sont également impliquées dans le projet de banque de semences du Svalbard ? Selon le professeur Francis Boyle, qui a rédigé la loi antiterroriste sur les armes biologiques de 1989, promulguée par le Congrès américain, le Pentagone « se prépare désormais à mener et à gagner la guerre biologique » dans le cadre de deux directives stratégiques nationales de Bush adoptées, note-t-il : « à l'insu du public et à l'insu du public » en 2002. Boyle ajoute qu'au cours de la seule période 2001-2004, le gouvernement fédéral américain a dépensé 14,5 milliards de dollars pour des travaux civils liés à la guerre biologique, une somme faramineuse.
Richard Ebright, biologiste à l'Université Rutgers, estime que plus de 300 institutions scientifiques et quelque 12 000 individus aux États-Unis ont aujourd'hui accès à des agents pathogènes adaptés à la guerre biologique. À lui seul, il existe 497 subventions du gouvernement américain NIH pour la recherche sur les maladies infectieuses présentant un potentiel de guerre biologique. Bien sûr, cela est justifié sous la rubrique de la défense contre d’éventuelles attaques terroristes, comme c’est souvent le cas aujourd’hui.
Une grande partie des dollars du gouvernement américain consacrés à la recherche sur la guerre biologique impliquent le génie génétique. Jonathan King, professeur de biologie au MIT, affirme que « les programmes de bioterrorisme croissants représentent un danger émergent et important pour notre propre population ». King ajoute : « alors que de tels programmes sont toujours qualifiés de défensifs, avec les armes biologiques, les programmes défensifs et offensifs se chevauchent presque complètement ». 13
Le temps nous dira si, Dieu nous en préserve, la banque de graines apocalyptique du Svalbard de Bill Gates et de la Fondation Rockefeller fait partie d’une autre solution finale, impliquant l’extinction de la grande planète Terre.
1 F. William Engdahl, Seeds of Destruction, Montréal, (Global Research, 2007). 2 Ibid, p. 72-90. 3 John H. Davis, Harvard Business Review, 1956, cité dans Geoffrey Lawrence, Agribusiness, Capitalism and the Countryside, Pluto Press, Sydney, 1987. Voir aussi Harvard Business School, The Evolution of an Industry and a Seminar: Agribusiness Seminar, http ://www.exed.hbs.edu/programs/agb/seminar.html . 4 Engdahl, op. cit., p. 130. 5 Idem. P. 123-30. 6 Myriam Mayet, La nouvelle révolution verte en Afrique : cheval de Troie des OGM ?, mai 2007, Centre africain pour la biosécurité, www.biosafetyafrica.net . 7 ETC Group, Green Revolution 2.0 for Africa?, Communiqué numéro 94, mars/avril 2007. 8 Site Web du Global Crop Diversity Trust, sur http://www.croptrust.org/main/donors.php . 9 Engdahl, op. cit., pp.227-236. 10 Anders Legarth Smith, Le Danemark interdit les glyphosates, l'ingrédient actif du Roundup, Politiken, 15 septembre 2003, dans Organic.com.au/news/2003.09.15. 11 Tanya L. Green, The Negro Project : Margaret Sanger's Genocide Project for Black American's, sur www.blackgenocide.org/negro.html . 12 Engdahl, op. cit., p. 273-275 ; JA Miller, Les nouveaux vaccins sont-ils associés à des médicaments contraceptifs ?, Rapports HLI, Human Life International, Gaithersburg, Maryland ; Juin/juillet 1995, volume 13, numéro 8. 13 Sherwood Ross, Bush Developing Illegal Bioterror Weapons for Offensive Use, 20 décembre 2006, sur www.truthout.org .
Les « Chevaliers » francs-maçons de la Révolution américaine. La Réserve fédérale des Rothschild
Par Dean Henderson Recherche mondiale, 25 août 2024
La recherche mondiale veut avoir de vos nouvelles !
* * *
[ Extrait de mon livre Royal Bloodline Wetiko & The Great Remembering : Chapitre 12 : The Bloodline Take Down of America : Part I]
Pendant la Révolution américaine, de nombreux agents de la Couronne ont tenté de faire pencher la balance en faveur de la Couronne détestée.
Les « chevaliers » francs-maçons de la Couronne avaient déjà établi des loges dans les colonies à cet effet. De nombreux chercheurs pensent que la Révolution américaine a pu se produire puisque le Parlement britannique ne contrôlait plus les États-Unis, mais que, grâce à divers mécanismes, la Couronne pouvait toujours exercer un contrôle.
Le plus important de ces mécanismes était l’usure, qu’ils contrôlaient par l’intermédiaire de leurs banques cartellisées. En effet, la dette nationale américaine s’élève désormais à 31 500 milliards de dollars.
Histoire des États-Unis, Réserve fédérale
Lorsque les États-Unis ont été fondés, un grand débat a eu lieu sur la question de savoir si nous devions ou non avoir une banque centrale publique ou privée. Des gens comme Thomas Jefferson, John Adams, John Quincy Adams et James Monroe se sont prononcés en faveur d'une banque publique . Aucun n’était franc-maçon.
De l’autre côté, George Washington, John Jay, Benjamin Franklin et Alexander Hamilton défendaient la création d’une banque privée. Tous étaient des francs-maçons de haut niveau.
Hamilton agissait également en tant qu'agent de la Couronne au nom de la famille Rothschild, banquiers de la Couronne britannique.
Les francs-maçons l'emportèrent et en 1789, Alexander Hamilton devint le premier secrétaire au Trésor américain. Mais le véritable pouvoir serait exercé par la nouvelle banque centrale privée contrôlée par les Rothschild – la Banque des États-Unis – fondée en 1791.
Hamilton, qui a également fondé la puissante Bank of New York (aujourd'hui Bank of New York Mellon), a illustré le mépris que sa faction franc-maçonne endoctrinée de longue date avait pour l'humanité, déclarant un jour :
« Toutes les communautés se divisent en quelques-uns et en plusieurs. Les premiers sont les riches et les bien nés, les autres la masse du peuple… Le peuple est turbulent et changeant ; ils jugent et déterminent rarement ce qui est juste. Donnez donc à la première classe une part distincte et permanente du gouvernement. Ils vérifieront l’instabilité du second.
« Un pays qui espère rester ignorant et libre… attend ce qui n’a jamais été et ce qui ne sera jamais. Il n’y a pratiquement pas un roi sur cent qui ne suivrait pas, s’il le pouvait, l’exemple de Pharaon : obtenir d’abord tout l’argent du peuple, puis toutes ses terres, et ensuite faire d’eux et de leurs enfants des serviteurs pour toujours… les établissements bancaires sont plus dangereux que armées permanentes. Ils ont déjà créé une aristocratie financière.»
Néanmoins, la Banque des États-Unis a conservé sa charte de 20 ans jusqu'en 1811. L'opposition du public à la banque était forte, mais la Couronne a plongé le pays dans la guerre de 1812, au cours de laquelle les États-Unis ont accumulé des dettes envers la Banque des États-Unis. (BUS). Le pays étant confronté à la ruine économique, la charte de la Banque fut renouvelée en 1816.
En 1828, Andrew Jackson s'est présenté à la présidence sur une rampe de quai anti-BUS,
« Vous êtes un repaire de vipères. J'ai l'intention de vous dénoncer et, par l'Éternel Dieu, je vous mettrai en déroute. Si le peuple comprenait les graves injustices de notre système monétaire et bancaire, il y aurait une révolution avant le matin.»
Jackson a remporté les élections et a immédiatement révoqué la charte du BUS en disant :
« La loi semble reposer sur une idée erronée selon laquelle les actionnaires actuels ont un droit prescriptif non seulement à la faveur, mais aussi à la générosité du gouvernement… pour leur bénéfice, cette loi exclut l'ensemble du peuple américain de la concurrence dans l'achat de cette loi. monopole. Les actionnaires actuels et ceux qui héritent de leurs droits en tant que successeurs soient établis dans un ordre privilégié, dotés à la fois d'un grand pouvoir politique et bénéficiant d'immenses avantages pécuniaires grâce à leurs liens avec le gouvernement. Si son influence était concentrée, sous l'effet d'une loi comme celle-ci, entre les mains d'un directoire auto-élu dont les intérêts s'identifient à ceux des actionnaires étrangers, n'y aura-t-il pas lieu de trembler pour l'indépendance de notre pays en temps de guerre. … contrôler notre monnaie, recevoir nos deniers publics et détenir l'indépendance de milliers de nos citoyens, ce serait plus redoutable et dangereux que la puissance navale et militaire de l'ennemi. Il est regrettable que les riches et les puissants détournent trop souvent les actes du gouvernement à des fins égoïstes… pour rendre les riches plus riches et plus puissants. Beaucoup de nos hommes riches ne se sont pas contentés d’une protection et d’avantages égaux, mais nous ont suppliés de les enrichir davantage par des actes du Congrès. J’ai fait mon devoir envers ce pays.
En 1835, Jackson fut la cible de la première tentative d’assassinat contre un président américain. Le tireur était Richard Lawrence, qui a avoué être « en contact avec les puissances européennes ». Mais sous la direction de Jackson, la dette nationale américaine est tombée à zéro pour la première et dernière fois de notre histoire.
Enragé par l'opposition de Jackson à l'usure de la Couronne, le président du BUS, Nicholas Biddle, coupa le financement du gouvernement américain en 1842, plongeant l'Amérique dans une dépression. Le patron de Biddle était Jacob Rothschild, basé à Paris. Désireuse d'étendre sa traite des esclaves du Sud au Mexique et en Amérique centrale, la Couronne a également déclenché la guerre américano-mexicaine contre Jackson.
La guerre civile a commencé peu de temps après, la Couronne finançant les deux camps pour tenter de détruire leur colonie indisciplinée. Ils finançaient également l’empereur Maximilien Ier du Mexique pour harceler les États-Unis depuis la frontière sud. L'Autrichien fut empereur du Second Empire mexicain de 1864 à 1867. L'archiduc était également membre de la puissante maison de Habsbourg-Lorraine. Il a été installé après que les couronnes d'Espagne, de France et du Royaume-Uni ont envahi le Mexique en 1861 pour dette impayée. En 1861, les États-Unis avaient une dette de 100 millions de dollars envers la Couronne.
Mais le président nouvellement élu Abraham Lincoln a montré une attitude similaire à l'égard de l'usure de la Couronne, en émettant des billets verts Lincoln pour payer les factures de l'armée de l'Union. Le porte-parole de la Couronne, le Times de Londres, appelle désormais à la « destruction du gouvernement américain ».
La circulaire sur les risques rédigée par les eurobanquiers a été dévoilée et distribuée dans tout le pays par des populistes en colère. Il a dit,
« Les banquiers européens sont favorables à la fin de l’esclavage… le plan européen est que les prêteurs de capitaux contrôlent le travail en contrôlant les salaires. L’énorme dette que connaîtront les capitalistes est issue de la guerre et doit être utilisée pour contrôler la valve de l’argent. Pour y parvenir, les obligations d’État doivent être utilisées comme base bancaire. Nous attendons maintenant que le secrétaire au Trésor, Salmon Chase, fasse cette recommandation. Cela ne permettra pas aux billets verts de circuler sous forme de monnaie, car nous ne pouvons pas contrôler cela. Nous contrôlons les obligations et à travers elles les émissions bancaires ».
La National Banking Act de 1863 a rétabli une banque centrale américaine privée et les obligations de guerre de Chase ont été émises . Lincoln a été réélu l'année suivante, s'engageant à abroger la loi après avoir prêté serment en janvier 1865. Mais avant de pouvoir agir, il fut assassiné au Ford Theatre par John Wilkes Booth. Booth avait d'importantes relations avec les banquiers internationaux. Sa petite-fille a écrit This One Mad Act , qui détaille les contacts de Booth avec de « mystérieux Européens » juste avant l'assassinat de Lincoln.
Après le coup de Lincoln, Booth a été emmené par des membres d'une société secrète connue sous le nom de Chevaliers du Cercle d'Or (KGC). KGC entretenait des liens étroits avec la Société française des Saisons, qui a produit Karl Marx. KGC avait fomenté une grande partie des tensions qui ont provoqué la guerre civile et le président Lincoln avait spécifiquement ciblé le groupe.
Booth était membre du KGC et était connecté à la maison Rothschild par l'intermédiaire du secrétaire d'État confédéré, Judah Benjamin. Benjamin s'enfuit en Angleterre après la guerre.
Des catastrophes énergétiques « propres » se profilent au large de nos côtes Une pale d’éolienne cassée a paralysé les plages du Massachusetts. Que feraient les ouragans ?
Par Paul Driessen 27 août 2024
Les photos de phoques et d’oiseaux recouverts de pétrole prises lors de l’éruption du puits de pétrole de Santa Barbara en Californie en 1969 ont contribué à lancer les mouvements écologistes et anti-pétrole. Quelque 90 000 barils ont pollué les eaux océaniques et pourtant, lorsque je plongeais sous-marine en dessous deux décennies plus tard, la même structure de support de plate-forme de production abritait à nouveau un magnifique écosystème avec des millions d’anémones, de moules, d’étoiles de mer, de crabes et de poissons.
La catastrophe du navire de forage Deepwater Horizon de 2010 a tué onze travailleurs et a déversé 3 à 4 millions de barils de pétrole et d’énormes quantités de gaz naturel dans le golfe du Mexique. Pourtant, dans un délai étonnamment court après que le puits incontrôlable ait été bouché, l’action des vagues, les produits chimiques dispersants, les gouttelettes de pétrole couvertes de poussière qui coulent lentement au fond de la mer et d’autres forces naturelles ont nettoyé les eaux du pétrole.
Ces autres forces étaient des microbes dégradant les hydrocarbures qui sont toujours présents dans les eaux océaniques du monde entier – mais se reproduisent rapidement lorsqu’ils détectent du pétrole dans leur environnement. Après avoir épuisé les sources de nourriture des hydrocarbures, les microbes meurent à un nombre normal et de nouveaux organismes dégradent les sous-produits créés par les premiers butineurs, jusqu’à ce que ces nutriments disparaissent également. Ensuite, leurs populations chutent également, dans un océan nouvellement propre.
Les catastrophes ont incité l’industrie à mettre en œuvre de meilleures technologies et procédures de prévention des éruptions.
Les militants anti-pétrole affirment que cela n’a rien à voir avec le sujet, mais ils soulignent également pourquoi nous devons bannir le pétrole et le gaz – et remplacer les combustibles fossiles par des énergies propres et vertes, éoliennes, solaires et à piles. Sinon, la faune, les plages et le tourisme seront menacés à répétition par les marées noires.
Il devient de plus en plus évident que ces alternatives supposées ne fonctionneront pas, d’autant plus que l’intelligence artificielle, les véhicules électriques, les centres de données, le chauffage et la cuisson électriques imposés par le gouvernement et la recharge des batteries de secours du réseau doublent ou triplent la demande de production d’électricité. L’électricité intermittente ne peut pas alimenter les nations modernes. L’éolien et le solaire ne peuvent pas produire des milliers de produits essentiels qui nécessitent des stocks d’alimentation pétrochimiques. Ces sources d’énergie ne sont ni propres, ni vertes, ni renouvelables, ni durables. Elles mettent en danger la faune.
Un accident récent au large de la côte de Nantucket, dans le Massachusetts, souligne une autre raison pour laquelle des centaines ou des milliers d’éoliennes monstrueuses ne peuvent pas être autorisées dans les eaux côtières américaines.
Des éclats, des morceaux et finalement le reste d’une pale d’éolienne sont tombés dans l’océan. Une pale… d’un projet de 62 éoliennes dont les trois quarts ne sont terminés que… brisée par son propre poids, pas par une tempête.
Et pourtant, les plages ont dû être fermées en pleine saison touristique, tandis que les équipages ramassaient des morceaux de pales en fibre de verre-résine-plastique-mousse, et que les bateaux esquivaient les gros morceaux flottant dans l’eau. Pire encore, Vineyard Wind n’a informé les responsables de Nantucket des problèmes que deux jours après que la pale ait commencé à se désintégrer.
Chaque pale mesure 106 mètres de long et pèse 63 tonnes. C’est plus qu’un Boeing 737 entièrement occupé. Vineyard Wind comprend 186 pales : 19 000 mètres (12 miles) de longueur totale combinée, pour un poids combiné de 12 000 tonnes !
Le plan éolien offshore Biden-Harris prévoit une capacité de production de 30 000 mégawatts d’ici 2030. Cela représente 2 500 turbines offshore gigantesques de 12 MW. Cela ne suffira même pas à répondre aux besoins actuels en électricité de pointe de l’État de New York pendant l’été, avant que toutes ces demandes supplémentaires ne se fassent sentir. La contribution de l’éolien offshore à la satisfaction des demandes futures de tous les États de la côte atlantique pourrait facilement nécessiter 5 000 de ces turbines : 15 000 pales, pesant au total 2 milliards de livres et s’étendant sur 5 250 000 pieds (995 miles) !
Encore plus inquiétant, toute la côte atlantique est le pays des ouragans. Chaque année, presque sans exception. Les seules questions sont de savoir combien d’ouragans, quelle est leur puissance et où chacun d’eux frappera.
Les enregistrements de la NOAA pour les ouragans touchant terre – ceux qui ont réellement touché les plages et les villes américaines – révèlent que 105 ouragans de catégorie 1 à 5 ont frappé la côte atlantique, de la Floride au Maine, de 1851 à 2023. Ajoutez à cela ceux qui sont restés en mer, où se trouveront les turbines, et ce nombre pourrait doubler.
Sur ce total, 23 étaient de catégorie 3 à 5 (vents de 111 à 157 mph ou plus). La plupart ont frappé la Floride, la Géorgie et la Caroline du Sud. Mais 39 ont touché terre entre la Caroline du Nord et le Delaware – et 19 ont touché les États du Nord-Est, dont neuf monstres de catégorie 2-3 (vents de 96 à 129 mph).
Attention – ces turbines seront affaiblies par des embruns salins corrosifs constants et fréquemment par des tempêtes sous-ouragans. Lorsque l’inévitable grand ouragan rugira sur la côte, la dévastation suivra.
Kamala Harris est optimiste à propos de l’éolien offshore. Au cours des trois dernières années et demie, elle a aidé à diriger une administration déterminée à convertir les États-Unis à l’énergie éolienne, solaire et à l’énergie des batteries, à accélérer les permis pour les projets « d’énergie propre » terrestres et offshore, et même à renoncer à l’obligation pour les développeurs d’éoliennes offshore de verser des cautions et de payer pour le retrait des tours éoliennes offshore endommagées, cassées et obsolètes.
Elle soutient l’interdiction des pailles en plastique, mais n’a jamais demandé combien de pailles en plastique il faudrait pour égaler 15 000 pales d’éoliennes offshore. (En termes nautiques, un nombre insondable.) De plus, les pailles en plastique ne contiennent pas d’éclats de fibre de verre dangereusement tranchants et ne peuvent pas couler des bateaux de pêche qui entrent en collision avec d’énormes dalles de pales d’éoliennes, mais difficiles à voir.
Mme Harris, Tim Walz et d’autres fanatiques de l’éolien ignorent les inquiétudes concernant les ouragans qui anéantissent les forêts d’éoliennes offshore comme étant de la propagande anti-éolienne. L’histoire dit le contraire.
L'ouragan de la fête du Travail de 1935 a dévasté la Floride avec des vents de plus de 200 km/h, la Géorgie avec des vents de catégorie 1. Le grand ouragan de la Nouvelle-Angleterre de 1938 a frappé New York, le Connecticut, Rhode Island et le Massachusetts avec une force de 115 à 120 km/h. Le grand ouragan de l'Atlantique de 1944 a frappé la côte de la Caroline du Nord au New Jersey et au Massachusetts avec des vents de catégorie 2.
Edna a frappé le Nord-Est avec des vents de catégorie 2 en 1954, Donna a récidivé en 1960, et Gloria a frappé la région avec des rafales de 96 à 115 km/h en 1985, atteignant même le New Hampshire et le Maine ! Isabel a frappé la Caroline du Nord et la Virginie en 2003. L'ouragan « mineur » de catégorie 1 de 2012, mieux connu sous le nom de super tempête Sandy, a également été dévastateur.
Ce résumé ne comprend que quelques-uns de ceux qui ont frappé les États du nord et du centre de l’Atlantique, et quelques-uns qui ont frappé la Floride, la Géorgie et la Caroline du Sud – tous des territoires de choix pour les forêts d’éoliennes offshore, fixées au fond de la mer ou posées de façon insensée sur d’énormes plates-formes flottantes au large du Maine et d’autres États. Elles échoueraient toutes.
Le remplacement de centaines ou de milliers d’éoliennes et de pales déchirées, endommagées et brisées prendrait des années, voire des décennies. Pendant ce temps, il n’y aurait pas d’électricité sur une côte est entièrement électrique, ordonnée par le gouvernement Harris-Biden-Walz-Démocrate. L’absence de chauffage, de climatisation et d’électricité pour les maisons, les hôpitaux et tout le reste déplacerait des millions de personnes et en tuerait des milliers.
Il faut espérer que les politiciens et les bureaucrates pourront accélérer la construction de nouvelles turbines à gaz et de centrales nucléaires modulaires. Cela ne signifierait que quelques années de privation et de pannes d’électricité, au lieu de plusieurs années, voire de décennies.
Sinon, des plaques flottantes de pales d’éoliennes cassées mettraient en danger les bateaux pendant des mois ou des années, jusqu’à ce qu’elles soient récupérées, ramenées à terre et mises en décharge. Le nettoyage de milliards d’éclats tranchants de fibre de verre – chacun mesurant entre 2,5 et 60 centimètres de long et quasiment invisibles – prendrait probablement des décennies, pendant lesquelles ils empaleraient et mettraient en danger les promeneurs sur la plage, les nageurs, les poissons, les baleines, les dauphins et d’autres espèces marines.
Je ne suis pas microbiologiste, mais je ne connais aucun microbe qui dévore la fibre de verre, la résine ou la mousse plastique.
Sans caution ni obligation pour les grands éoliens de couvrir les coûts de nettoyage et de démontage des turbines, les contribuables privés d’électricité se retrouveraient à devoir payer la note.
Avant de nous précipiter davantage dans cette « transformation des énergies renouvelables », pouvons-nous d’abord avoir une analyse réaliste et de bon sens ? Pouvons-nous au moins réfléchir avant de voter cet automne ?
Si tout va si bien, pourquoi des millions d'Américains dorment-ils dans leur véhicule ?
PAR TYLER DURDEN MARDI 27 AOÛT 2024 - 13:20 Rédigé par Michael Snyder via TheMostImportantNews.com,
Avez-vous remarqué un nombre inhabituel de véhicules dans les parkings des principaux détaillants de votre région la nuit ? Si vous regardez de plus près, vous verrez que beaucoup de ces véhicules ont en fait des gens qui dorment à l'intérieur. À ce stade, des millions d'Américains dorment dans leur véhicule chaque nuit. Cela se produit même si on nous dit que l'économie va très bien. Mais bien sûr, la vérité est que le système est en train d'échouer tout autour de nous. Donc, si vous pouvez dormir dans un lit très chaud dans une maison très chaude, vous devriez vous considérer comme très chanceux, car un grand nombre de personnes sont vraiment en difficulté en ce moment.
La principale raison pour laquelle tant de personnes vivent dans leur véhicule est que le coût de la vie a atteint des sommets sans précédent.
En particulier, le coût du logement est devenu extrêmement oppressant. En fait, le logement aux États-Unis est devenu plus inabordable que jamais auparavant.
Cette semaine, j’ai été stupéfait de lire l’histoire d’un homme de 33 ans nommé Ishan Abeysekera qui paye 2 100 $ par mois pour partager une maison avec 23 autres personnes…
Dans une ville aussi chère que New York, il est courant de voir des personnes de 20 à 30 ans vivre avec des colocataires pour aider à gérer le coût de la vie élevé.
Mais Ishan Abeysekera a poussé cela à un niveau supérieur avec sa situation de vie actuelle à Brooklyn : un immeuble communautaire qu’il partage avec 23 autres personnes.
« Quand je dis que j’ai 23 colocataires, les gens disent : « Quoi ? Ça a l’air fou », a déclaré Abeysekera à CNBC Make It. « Mais en fait, c’est plutôt sympa. »
C’est dingue !
Qui paierait autant pour vivre avec 23 inconnus ?
Bien sûr, la plupart des Américains ne peuvent pas se permettre de payer 2 100 $ par mois pour se loger.
Par exemple, on rapporte que certaines hôtesses de l’air qui travaillent pour American Airlines « dorment dans leur voiture » parce que leur salaire est trop bas…
La plupart des nouvelles hôtesses de l’air embauchées doivent vivre dans des villes comme Dallas, Miami et New York, qui ont un coût de la vie trop élevé pour elles, a noté Hedrick.
Les hôtesses de l’air américaines dorment dans leur voiture, a-t-elle dit. Certaines d’entre elles se battent pour des voyages juste pour avoir la chance de manger les repas de l’avion, si les pilotes ne prennent pas leur repas en premier.
« Nos nouvelles hôtesses de l’air sont en difficulté », a déclaré Hedrick, ajoutant que les nouvelles recrues rejetaient le plus fortement l’augmentation de 17 %.
Quand j’étais jeune, j’ai toujours pensé que celles qui étaient sélectionnées comme hôtesses de l’air avaient de très bons emplois.
Mais cette époque est révolue depuis longtemps.
Dans cette économie, de nombreuses hôtesses de l’air n’ont même pas les moyens de se loger.
Bien sûr, il y a des millions d’autres personnes dans une situation similaire. Ces dernières années, la « vie en van » est devenue très tendance, et plus de 3 millions d’Américains entrent désormais dans cette catégorie…
« La vie en van » ou « la vie en van » est un terme qui devient de plus en plus populaire dans tout le pays. Les gens font leurs valises, emménagent dans une unité mobile et explorent les États.
Selon Yahoo Finance, le nombre de vanlifers américains a augmenté de 63 % au cours des deux dernières années, passant de 1,9 million en 2020 à 3,1 millions en 2022.
Autrefois, si vous viviez dans un van au bord de la rivière, vous étiez considéré comme un clochard.
Mais dans cette économie, vivre dans un van au bord de la rivière est tout simplement considéré comme normal.
Il va sans dire que certains « vanlifers » choisissent ce style de vie en raison de la liberté qu’il offre.
Mais il y en a beaucoup d’autres qui ont été contraints d’adopter ce style de vie. Une femme nommée Michelle Rose, qui possédait une maison dans le Montana, en fait partie…
Il y a trois ans et demi, au début de la pandémie, Michelle Rose était sur le point de perdre sa maison du Montana, avait des problèmes avec son travail, avait perdu sa mère et avait mis tout ce qu’elle possédait dans une camionnette pour y vivre en permanence.
« Je me suis dit : faisons-le, vendons la maison et prenons la route et nous verrons les choses au fur et à mesure. J’ai vécu une vie au jour le jour », a déclaré Rose.
Michelle dit que les finances sont la partie la plus difficile de la vie en camionnette pour elle, c’est une inquiétude constante et trouver du travail est également un défi.
Une autre femme nommée Katie qui « travaille comme coach de manifestation et dans un café local » admet que ce fut un ajustement mental difficile lorsqu’elle a commencé à vivre dans son véhicule…
Katie J., qui travaille comme coach de manifestation et dans un café local, a parlé du travail mental qu’elle a dû accomplir pour atteindre un sentiment d’appartenance à la communauté.
« La vie en van est amusante et cool, elle permet d’économiser de l’argent et elle est flashy sur Instagram et tout ça », a déclaré Katie J., « mais cela vous fera réfléchir à beaucoup de choses sur le fait de ne pas avoir de racines quelque part… Je suis une femme noire et je suis déjà rare à Truckee, donc vivre aussi dans un van, j’avais tellement de choses à faire autour de ça, tellement de travail d’ombre à faire autour des croyances limitantes et du sentiment que je ne suis pas censée être ici, que je ne devrais pas me garer ici et que je vais avoir des ennuis. »
Beaucoup de ces personnes ont un emploi, et beaucoup d’entre elles ne seraient pas officiellement classées comme « sans-abri ».
Mais la crise du coût de la vie les a poussées au bord de tout perdre.
Malheureusement, nos dirigeants ne semblent jamais apprendre. Ils continuent d’emprunter et de dépenser de l’argent à un rythme sans précédent, ce qui continue de créer encore plus d’inflation.
Si vous pouvez le croire, notre gouvernement dépense même « jusqu’à un quart de million de dollars des contribuables » pour apprendre aux enfants irakiens à devenir des militants du climat…
Le Département d’État offre jusqu’à un quart de million de dollars des contribuables à une organisation à but non lucratif éligible pour enseigner aux adolescents irakiens le militantisme climatique.
Les lycéens irakiens pourraient bénéficier de « clubs d’action écologique » financés par les contribuables qui leur apprendront à défendre la réforme environnementale dans leur pays d’origine, selon un appel à subventions publié par le Département d’État au début du mois. Les clubs auront plusieurs objectifs, allant de l’élaboration d’un « agenda écologique et d’un plan d’action » qui généreront des « solutions au changement climatique » à la conduite d’une campagne sur les réseaux sociaux pour sensibiliser à la crise climatique.
Nous commettons littéralement un suicide national, mais la plupart de la population ne semble pas s’en soucier.
À chaque cycle électoral, les gros dépensiers sont renvoyés à Washington encore et encore.
Pendant ce temps, de plus en plus d’Américains sont obligés de dormir dans leur véhicule chaque jour qui passe.
S'il vous plaît, ne méprisez pas ceux qui ont été forcés de dormir dans un véhicule, car avec un peu de malchance, presque n'importe qui pourrait se retrouver dans la même situation.
1. L'analyse de la « poussière du Sahara » est disponible : Alerte terroriste ! (de Ivo Sasek)
RépondreSupprimer23.08.2024
www.kla.tv/30233
Dans mon discours Kla.TV du 11 mai 24, j'ai exprimé pour la première fois le soupçon que les nouvelles précipitations de poussière du Sahara avaient peut-être plus à voir avec l'utilisation d'armes météorologiques brevetées depuis longtemps qu'avec le sable du Sahara lui-même. Aujourd'hui, je vous présente un 1er rapport d'analyse qui indique qu'à chaque pluie de poussière dite du Sahara, au moins 26 éléments, dont certains très toxiques, nous tombent sur la tête. Mais pas seulement sur la tête, mais aussi sur notre agriculture, sur nos lacs, nos rivières, nos jardins, nos prairies, sur tous nos animaux, sur les populations d'insectes dans l'air, sur le sol et sous le sol. Mais reprenons les choses dans l'ordre :
Tout d'abord, je rappelle une nouvelle fois le brevet américain 9924640. Et ce n'est qu'un des dizaines de brevets similaires : Il y est décrit comment des avions Boeing sont transformés pour transporter des charges de 25 tonnes de nanoparticules de type sable à 18 000 mètres d'altitude. La raison : pour contrôler, manipuler notre météo et notre climat. Ensuite, je rappelle encore une fois le carburant de l'OTAN "JP 8", que l'OTAN maçonnique vend depuis longtemps à environ 90% de l'aviation civile, c'est-à-dire à presque tous les grands aéroports du monde. Ce qui est effrayant, c'est les résultats d'analyse des additifs nommés :
En effet, des quantités importantes
RépondreSupprimerd'aluminium,
de baryum,
de béryllium, de plomb,
de cadmium,
de chrome,
de cobalt,
de fer,
de cuivre,
de molybdène,
de sodium, de nickel,
de strontium,
de titane,
de vanadium,
de zinc et
d'étain
ont été détectées dans ces carburants militaires. Également de nombreux oxydes de ces métaux et d'autres substances toxiques. Ces résultats de mesures nous ont donné l'idée que des substances similaires pourraient peut-être se trouver dans les nanoparticules de poussière fine semblables au sable. Ceux-ci ont déjà été pulvérisés par centaines de millions de tonnes au-dessus de la tête de chacun d'entre nous. Et que la prétendue pluie de poussière du Sahara pourrait également être une précipitation contenant précisément de telles substances.
Car les brevets de manipulation météorologique dévoilés, c'est-à-dire les brevets d'armes météorologiques, décrivent noir sur blanc comment ces nanoparticules de sable, une fois éjectées, restent en suspension jusqu'à deux ans dans la haute atmosphère - avant de retomber progressivement sur nous. Et je dis bien : cela soit sans bruit, soit en association avec une pluie battante qui s'abat alors sur nos têtes, mais aussi sur les têtes de nos proches, nos enfants. Et puis, ils empoissent aussi nos installations solaires, recouvrent tous nos moyens de transport, empoisonnent tous nos champs etc., etc.
Avant d'en venir aux résultats de l'analyse de la pluie de poussière du Sahara, je dois encore une fois évoquer les expériences à grande échelle menées sur les peuples, par exemple en 1994 aux États-Unis, expériences qui ont été révélées depuis longtemps. Je dois le faire pour que vous compreniez suffisamment que des expériences aussi cruelles sur les peuples sont effectivement menées par des gouvernements et qu'elles sont ensuite couvertes par la justice. Et ici, nous ne traitons que la pointe de l'iceberg que les lanceurs d'alerte libres ont déjà dévoilée :
Les sujets involontaires des tests de 1994 étaient des citoyens américains - des grandes villes entières. Que s'est-il passé ? Des avions militaires les ont délibérément aspergés de poison pendant de longues périodes, car l'armée disait qu'elle voulait voir ce qui se passerait ; en effet les substances de combat doivent être testées avant d'être utilisées chez "l'ennemi". Même une école primaire avec des enfants a été aspergée quotidiennement et de manière ciblée pendant trois mois de sulfure de zinc et de cadmium. Retenez déjà ces deux substances, car vous allez en entendre parler dans un instant. Les conséquences de ce seul brouillard de sulfure de zinc et de cadmium ont été terribles. La moitié d'une classe entière est alors littéralement morte, l'autre moitié a souffert des plus graves maladies, stérilisations et autres handicaps.
RépondreSupprimerCar ces victimes sans défense, ces petits enfants, plus tard quand ils sont devenus adultes, ont eux-mêmes donné naissance à des enfants gravement handicapés, etc. Et comprenez ici que nous ne parlons pas de simples théories du complot, mais de crimes commis par des gouvernements entiers et leur justice, qui ont été reconnus depuis longtemps, mais jamais punis comme il se doit, ni publiés. Interrogés à ce sujet, ils ont indiqué que les avions ne pulvérisaient que des produits chimiques inoffensifs. Les mêmes réponses nous sont d'ailleurs données par nos gouvernements lorsque nous les interrogeons sur le contenu des millions de tonnes de nanoparticules pulvérisées. Et les prétendues pluies de poussière du Sahara ne suscitent aucun tollé - surtout de la part de nos médias grand public. Mais venons-en aux résultats d'analyse effrayants qui nous ont été remis par des lanceurs d'alerte indépendants de Bosnie. Les documents originaux sont affichés en arrière-plan.
Ces derniers ont en effet fait réaliser une analyse comparative entre le sable saharien original et le prétendu sable saharien issu des précipitations en Bosnie-Herzégovine. Ils voulaient seulement savoir s'il y avait peut-être des éléments toxiques dans cette prétendue "pluie de poussière du Sahara". Quelque chose qui nous nuit, à nous-mêmes ou à notre écosystème. Et c'est précisément ce qui aurait dû être le rôle des gouvernements. Mais comme ils n'ont rien fait, l'analyse qui suit a été réalisée à titre privé.
Vous avez donc envoyé à l'Institut de génie chimique de Tuzla, en plus du sable saharien original, un échantillon de sable de Lukavac. "Le 6 mai 2022, nous avons envoyé deux échantillons à l'Institut de génie chimique de Tuzla : Un échantillon de sable prélevé sur les rives d'un lac dans le sud de la Tunisie et un échantillon de sable prélevé à Dobošnica Donja, près de Lukavac, le 7 avril 2022, après la "pluie de sang" rouge." ... prélevée le 7 avril 2022 après ce qu'on appelle la pluie du Sahara. Cet échantillon est d'autant plus important qu'en Bosnie, le vent souffle généralement de l'ouest et que les précipitations à Lukavac n'ont donc pas pu être influencées par les fumées d'une quelconque industrie ou par des centrales thermiques ou autres. Et voilà :
RépondreSupprimerPas moins de 26 éléments, dont certains très toxiques, ont été trouvés dans la prétendue pluie de poussière du Sahara étudiée :
Aluminium,
arsenic,
bore,
baryum,
béryllium,
bismuth,
cobalt,
chrome,
cuivre,
fer,
lithium,
manganèse,
molybdène,
nickel,
plomb,
antimoine,
sélénium,
étain,
strontium,
thallium,
vanadium,
zinc,
cadmium.
Je vous l'ai dit, retenez ces deux derniers éléments.
Rien que la proportion d'aluminium dans la prétendue pluie de poussière saharienne en provenance de Bosnie était 728 fois plus élevée que dans le sable saharien original. Les poussières fines d'aluminium peuvent par exemple provoquer la maladie d'Alzheimer, endommager les reins, le foie et les os, et bien d'autres choses encore. Les taux d'arsenic étaient 44 fois plus élevés, les taux de baryum 660 fois plus élevés et les taux de nickel même 2.500 fois plus élevés que dans le sable saharien original. On a trouvé 64 fois plus de zinc dans la pluie dite saharienne, 23 fois plus de fer, etc.
RépondreSupprimerAprès cette révélation, une seule chose intéresse les peuples concernés : Qui diable permet que ces nouveaux cocktails hautement toxiques soient de plus en plus déversés sur nos têtes ? Qui fait exactement ce genre de choses et pourquoi ? Quels sont les noms de ces malfaiteurs ? C'est ce que nous voulons savoir maintenant. Dans quelle mission et avec quels objectifs ultimes agissent-ils ? Etant donné que les analyses présentées constituent plus qu'un simple début de soupçon que l'Europe entière est devenue la cible des pires terroristes hybrides, j'appelle tous nos téléspectateurs à participer activement à la poursuite du travail d'enquête sur cette affaire. Car, comme d'habitude, les médias à prélèvements obligatoires n'en disent rien et cachent même, contre toute évidence, des choses bien pires encore. Nous en parlons tous les jours depuis 2012.
N'oubliez pas qu'à chaque nouveau nuage de soi-disant poussière du Sahara, vous respirez toutes ces choses aussi longtemps qu'elles flottent librement dans l'air. Et ensuite, vous absorbez ces nanoparticules du tableau par tous les pores de votre peau, vous les mangez aussi avec vos légumes bio, vous les avalez avec votre eau potable et même lorsque vous nagez, ces trucs vous pénètrent. De tous les côtés, pas seulement par la bouche. N'oubliez pas que l'étendue finale des dégâts et les conséquences à long terme doivent encore être déterminées. Pourtant, rien que les déformations croissantes de nos arbres nous laissent présager le pire. Toute information pertinente peut donc protéger et sauver la vie de notre nature et l'existence de peuples entiers !
Pour obtenir une attestation définitive sur l'origine, la cause et les objectifs de cette composition chimique de poussières, il faut un maximum d'analyses supplémentaires d'échantillons de différentes origines. De même, on ne sait pas encore de quelle manière, dans quelle mesure et avec quelles conséquences les éléments trouvés sont absorbés par les différents organismes.
Mais je dis : Demandez sans relâche aux députés de votre circonscription d'interdire non seulement la pulvérisation des carburants de l'OTAN par nos avions, car ils sont des tueurs de climat et d'êtres humains ! Expliquez également à tous ceux qui ne le savent pas à quel point nombre de ces éléments précédemment cités sont mortels pour nous. Demandez à vos députés d'informer les peuples sur la pulvérisation annuelle de dizaines de millions de tonnes de nanoparticules d'aluminium jusqu'aux particules fines de charbon. Demandez sans relâche un débat ouvert sur tous ces brevets de manipulation du temps et d'utilisation d'armes météorologiques mentionnés ici, ainsi que sur le génocide insidieux qui en découle. Il n'y a pas d'autre mot pour décrire cela. Demandez à vos politiciens et à vos députés de rendre compte publiquement de l'analyse de la poussière du Sahara dont nous venons de parler. Les originaux sont affichés, chers amis. Enfin, en tant que peuple, nous devons exiger le droit à notre compétence décisionnelle finale jusqu'à ce qu'elle soit fermement ancrée dans toute constitution et que les politiciens élus ne puissent plus simplement s'opposer à nos objections. S'il vous plaît, diffusez des émissions comme celle-ci auprès d'autant de personnes que vous le pouvez, en particulier auprès des personnes encore ignorantes de cela.
RépondreSupprimerJe suis Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 48 ans.
*
de is.
Sources / Liens :
Pluie de sang en Bosnie - résultats d'analyse effrayants
https://www.youtube.com/watch?v=vCtIsk9bWrg
La géo-ingénierie démasquée :ce que révèle la lanceuse d'alerte Kristen Meghan
https://www.kla.tv/GeoEngineering/29949
Les brevets météorologiques : Où se cachent les faiseurs de catastrophes
https://www.kla.tv/GeoEngineering/19915
« Manipulations météorologiques : Ce que nous savons avec certitude - Exposé du physicien de l'ETH, Dr. Philipp Zeller »
www.kla.tv/27872
Le débat sur le CO2 comme moyen de détourner l'attention de la manipulation ..
https://www.kla.tv/16595
Bande dessinée Covid-19 de 2012
https://www.kla.tv/16831
(Cette émission prédit précisément qu'après le Covid, les systèmes HAARP seront utilisés pour décimer la population).
1 an après les inondations catastrophiques de la vallée de l'Ahr (2021) : Incohérences révélées
https://www.kla.tv/GeoEngineering/19752
Arme de guerre – taxes sur l’audio-visuel | 40 raisons pour lesquelles je ne paie plus (par Ivo Sasek)
www.kla.tv/28967
Des updates pour Greta ! Les vrais tueurs du climat
https;//www.kla.tv/28157
Les USA ont testé des poisons sur leur propre population
https://www.kla.tv/28308
Carte du monde : quelles parties du monde sont les plus touchées par la géo-ingénierie ?
https://etcgroup.org/content/world-geoengineering
La « poussière du Sahara » contient-elle aussi des substances d'Albatow, pour manipuler notre perception ?
https://gettr.com/post/p3a11j00e62
https://www.kla.tv/index.php?a=showlanguage&lang=fr&id=30233&date=2024-08-23
Étude : 3 % des personnes vaccinées contre le corona sont décédées subitement
RépondreSupprimer26 août 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
Une nouvelle étude a confirmé que des millions d’Américains vaccinés avec l’ARNm du Covid sont décédés subitement à cause d’un « effet secondaire » des injections. L'étude, menée par deux chercheurs de l'Université germano-jordanienne SEEIT, Département de génie informatique, et de l'Université de Petra, Faculté des systèmes d'information, en Jordanie , a révélé que près de 3 % des personnes vaccinées contre le Covid sont décédées après la vaccination.
Les chercheurs ont tenté de dresser une liste complète de tous les effets secondaires connus des injections d’ARNm du Covid. Avec environ 230 millions d’Américains considérés comme « entièrement vaccinés », l’étude affirme que 6,67 millions de personnes ont été tuées par balles rien qu’aux États-Unis.
L'étude de Nadia Al-Rousan et Hazem Al-Najjar intitulée « Vaccins MERCK, Moderna, PFIZER/BioNTech et JANSSEN COVID -19 sur les personnes vaccinées : une analyse des métadonnées » ( 19 Vaccins sur les individus vaccinés : une analyse des métadonnées) a été publiée dans le revue Informatique en médecine déverrouillée.
Ils écrivent sur les résultats :
« Le taux de mortalité global de la population vaccinée est remarquable. Quarante symptômes différents, légers à graves, ont été signalés chez les personnes vaccinées. L’étude met en évidence les 10 symptômes les plus courants survenus après la vaccination. Les femmes de moins de 60 ans constituent la majorité des données. "
Ils tirent les conclusions suivantes :
« Le taux de mortalité lié au vaccin est d’environ 3 % des personnes vaccinées, la plupart des cas survenant chez des personnes de moins de 60 ans qui n’ont pas été hospitalisées et qui ont reçu leur première dose de vaccin. »
Il convient de noter que la grande majorité des personnes décédées n’ont pas été hospitalisées, c’est-à-dire qu’elles sont décédées subitement et de manière inattendue peu de temps après la vaccination. Cela a même allégé le fardeau des systèmes de santé, comme le montrent les dossiers du RKI, mais ce qui a été ignoré par les politiciens.
Les données de cette étude comprennent environ 65 000 cas documentés par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) pour 40 symptômes spécifiques.
RépondreSupprimerDes variables telles que l’état de mortalité, le sexe, l’âge, le nombre de doses de vaccin, le séjour à l’hôpital et le nombre de jours post-vaccination ont été incluses dans une analyse croisée pour établir des associations entre les individus vaccinés et les variables étudiées.
Les scientifiques ont effectué un « test du taux de mortalité » qui a examiné les effets du vaccin sur la mortalité des personnes vaccinées.
Selon les données, le nombre de décès parmi les personnes vaccinées de moins de 60 ans est inquiétant par rapport aux personnes de plus de 60 ans. Les moins de 60 ans représentaient 97,4 % du total des décès.
La majorité des personnes vaccinées ayant souffert d’effets secondaires étaient des femmes de moins de 60 ans. Anafang a également montré, à partir de la base de données EudraVigilance de l'Agence européenne des médicaments (EMA), que les deux tiers des effets secondaires signalés concernaient des femmes.
Les trois symptômes les plus courants étaient les maux de tête, les frissons et la fatigue. Mais le chiffre le plus alarmant est celui des décès, avec 2,9 % de l’ensemble des personnes vaccinées décédant subitement ou inopinément après la première ou la deuxième dose. Les résultats ont montré que la plupart des décès sont survenus après la première dose.
Les auteurs soulignent que sur la base de leurs résultats, « les trois premiers jours après la vaccination sont très importants pour déterminer le statut des personnes vaccinées ».
TKP a rendu compte d'une étude similaire en janvier 2022 . De l’analyse des données provenant de la base de données européenne accessible au public « European Database of Suspected Adverse Drug Reaction » (fermeture de la base de données semaine 34), on peut conclure que la grande majorité des décès liés temporellement à une vaccination contre le COVID-19 ont ont été signalés et bon nombre des effets secondaires graves sont liés de manière causale à la vaccination. Cette proximité temporelle suggère une causalité.
https://tkp.at/2024/08/26/studie-3-prozent-der-corona-geimpften-sind-ploetzlich-verstorben/
Thérapie génique prénatale basée sur l'ARNm
RépondreSupprimer27 août 2024
par DDr. Siguna Mueller
Évaluation d'un article de Hanna et ses collègues sur leur proposition d'utiliser les plateformes d'ARNm comme nouvelle thérapie prénatale - nouvelle prépublication publiée.
Dans une lettre récente publiée dans l'American Journal of Obstetrics & Gynecology, Hanna et al. une transmission transplacentaire de l’ ARNm des « vaccins » à ARNm COVID-19 et une expression de la protéine de pointe dans le placenta ont été trouvées.
Ceci , bien sûr, soulève de sérieuses questions sur ce que cela signifie pour la progéniture des femmes « vaccinées » . Hanna et ses collègues ont étudié intensivement ce sujet important. Dans leur récente publication, ils proposent également quelques explications mécanistes pour étayer les résultats de leur petite étude (2 femmes enceintes).
Lorsque j’ai lu cet ouvrage pour la première fois, j’ai eu l’impression que certaines des justifications avancées étaient incorrectes et j’ai plutôt minimisé certains des risques associés à ces plateformes. Au départ, je voulais juste écrire un petit mot à ce sujet.
Cependant, plus je lisais cette publication, plus elle devenait inquiétante. Étrangement, Hanna et ses collègues renversent leurs résultats. S'ils soulignent dès l'introduction des lacunes dans leurs connaissances, ils ne semblent pas vraiment préoccupés par la sécurité de ces produits. Leur article semble plutôt porter sur l’utilisation de leurs découvertes pour une nouvelle application thérapeutique : la thérapie génique prénatale basée sur l’ARNm !
Leur affirmation repose sur plusieurs idées fausses sur le fonctionnement de ces plateformes, ainsi que sur un certain nombre d’affirmations non fondées ou fausses.
Paradoxalement, ils ont ignoré les effets indésirables graves connus des tests précliniques censés mettre un terme à l’idée d’utiliser ces plateformes sur des enfants à naître !
Bien entendu, des découvertes importantes dans la littérature sont souvent occultées et expliquées sous n’importe quelle excuse. Une grande partie des écrits de Hanna et al. est sur ce ton car ils vantent la sécurité et l'efficacité des injections, soulignent leur large acceptation et soulignent la promesse de leur utilisation chez les fœtus encore en développement !
Ici aussi, l’article semble viser à ouvrir un nouveau marché : la thérapie génique prénatale basée sur l’ARNm. Cela servirait à créer une immunité mais aussi à combattre les maladies. Ironiquement, on mentionne au passage que les injections d’ARNm sont en fait une « thérapie génique ». Eh bien, c’est quelque chose à souhaiter car cela promet une « intervention précoce contre la maladie ». Mais ils n’admettent pas ce que cela signifie réellement, à savoir que ces médicaments sont des thérapies géniques non testées.
Pour moi, c'est la dernière ligne rouge . Il ne faut pas le dépasser ! Il y a beaucoup de battage médiatique autour de ces technologies, et la lettre de Hanna et al. reflète la fausse représentation dominante de leur mode opératoire et d’autres faux arguments, notamment sur leur valeur pour les adultes.
RépondreSupprimerJe viens de publier une nouvelle prépublication dans laquelle j'évalue de manière critique la récente publication de Hanna et ses collègues. Vous trouverez ci-dessous le résumé. J'espère sensibiliser les gens pour que ces expériences de thérapie génique ne soient pas étendues aux bébés à naître !
Une étude récente menée par Hanna et ses collègues a examiné la présence de produits d’ARNm du COVID-19 dans le placenta et le sang du cordon ombilical après la « vaccination » maternelle pendant la grossesse humaine. Leur analyse de deux femmes enceintes a révélé que l’ARNm provenant des injections génétiques avait été détecté dans les deux placentas. L'expression de la protéine Spike a été confirmée dans le placenta d'une des deux femmes. De plus, l'ARNm génétiquement modifié a été détecté dans le cordon ombilical et le sang maternel d'une mère, à condition que ces échantillons soient disponibles pour analyse. Ils ont également constaté que l’intégrité de l’ARNm injecté variait selon les échantillons, mais que dans l’ensemble, une majorité significative, voire écrasante, était constituée d’espèces non intègres. Les auteurs avancent également plusieurs raisons théoriques qui, selon eux, expliquent leurs observations. Sur la base de leurs découvertes, mais en changeant de cible, les auteurs soulignent les avantages de leurs découvertes et suggèrent que les thérapies géniques associées, en particulier les traitements à base d'ARNm, pourraient être très prometteuses en tant que thérapie prénatale. Cet article analyse les résultats et les interprétations de l'étude et met en évidence les lacunes et les incohérences dans les explications. Il fournit également un bref résumé et une mise à jour sur les problèmes connus liés aux injections d’ARNm et décrit les principaux pièges et inconnues sous-jacents aux avantages promis des applications proposées de thérapie génique prénatale.
Peut-être que l'un d'entre vous a une idée où je pourrais envoyer la prépublication. Il faudrait que ce soit une revue ouverte d'esprit et qui soutient des auteurs comme moi (par exemple via des frais de publication) qui n'ont aucune organisation derrière eux et qui font leur travail à leurs propres frais.
Dans ma prépublication, j'ai également donné un bref résumé des principaux problèmes de ces plateformes (voir figure) et j'ai essayé d'inclure autant de nouveaux résultats que possible (65 références au total). Cela a pris du temps, mais cela m’a redonné l’espoir que la vérité éclaterait. La liste des publications est loin d'être complète. Néanmoins, il est encourageant de constater qu’il y a déjà beaucoup de personnes qui critiquent vivement les plateformes d’ARNm ! Il est désormais important de mettre fin à l’intention de les utiliser sous couvert de soigner l’enfant à naître !
RépondreSupprimer*
Source : Mueller, Siguna. 2024. « Transfert transplacentaire d'injections d'ARNm confirmé : ces preuves de Hanna et de ses collègues soutiennent-elles leur proposition en tant que thérapie génique prénatale prometteuse ? 25 août. https://doi.org/10.31219/osf.io/bkzs6
L' original en anglais est ici sur le Substack de DDr. Trouvez Siguna Mueller sur https://siguna.substack.com/p/no-this-will-not-be-done-to-unborn . Traduction en allemand par TKP.
https://tkp.at/2024/08/27/praenatale-mrna-basierte-gentherapie/
The Science™ verrouille quatre villes de la Nouvelle-Angleterre pour un virus « extrêmement rare » après une seule infection
RépondreSupprimerPar Ben Bartee
Recherche mondiale,
26 août 2024
En raison d’un seul cas d’encéphalite équine orientale (EEE), quatre villes de la Nouvelle-Angleterre sont désormais soumises à des confinements « volontaires » dans un avenir prévisible, au moins jusqu’au début de l’hiver.
Via le New York Post :
« Quatre villes du Massachusetts – Douglas, Oxford, Sutton et Webster – ont décrété un confinement volontaire en soirée pour tenter de freiner la propagation d'une maladie potentiellement mortelle transmise par les moustiques.
La décision intervient après que le ministère de la Santé publique du Massachusetts (DPH) a confirmé le premier cas humain d’encéphalite équine orientale (EEE) depuis 2020 dans le comté de Worcester.
Mercredi, le conseil de santé d'Oxford a voté en faveur de la recommandation selon laquelle les gens restent à l'intérieur après 18 heures , avec effet immédiat, jusqu'au 30 septembre, selon un avis de santé publique partagé avec Fox News Digital.
À partir du 1er octobre, il est recommandé de rester à l’intérieur après 17 heures jusqu’aux premières gelées fortes .
Les confinements sont présentés comme « volontaires » – jusqu’à ce que, bien sûr, vous entriez dans les petits caractères.
Suite :
« Les confinements sont considérés comme des recommandations , et il n’y aura aucune application si les résidents ne s’y conforment pas, a déclaré le porte-parole de la ville.
RépondreSupprimer"Nous voulons éduquer nos résidents sur les EEE et la gravité de la maladie et les sensibiliser au risque", poursuit le communiqué.
"Toutefois, s'ils souhaitent utiliser les terrains de la ville en dehors de ces recommandations, ils devront présenter un justificatif d'assurance et signer un formulaire d'indemnisation .""
Ainsi, « volontaire » signifie apparemment que si vous souhaitez utiliser des terres publiques, vous devez signer une renonciation et fournir une preuve d'assurance aux surveillants de Public Health™ – ce qui étend vraiment la durée jusqu'à ses limites.
Tout cela à cause d’un seul cas d’infection qui, selon le CDC, provoque « quelques cas » chaque année.
Via CDC :
« Le virus de l’encéphalite équine orientale se transmet aux humains par la piqûre d’un moustique infecté.
Seuls quelques cas sont signalés chaque année aux États-Unis . La plupart des cas surviennent dans les États de l’Est ou de la côte du Golfe.
Bien que rare, l’encéphalite équine orientale est très grave. Environ 30 % des personnes atteintes d’encéphalite équine orientale meurent et de nombreux survivants souffrent de problèmes neurologiques persistants. Les symptômes de l'encéphalite équine orientale peuvent inclure de la fièvre, des maux de tête, des vomissements, de la diarrhée, des convulsions, des changements de comportement et de la somnolence.
Il n’existe pas de vaccins pour prévenir ni de médicaments pour traiter l’encéphalite équine orientale.
Vous pouvez réduire votre risque d’infection par le virus de l’encéphalite équine orientale en prévenant les piqûres de moustiques.
*
Cet article a été initialement publié sur le Substack de l'auteur, Armageddon Prose .
Ben Bartee , auteur de Broken English Teacher: Notes From Exile , est un journaliste américain indépendant basé à Bangkok, aux pouces opposables. Il contribue régulièrement à Global Research. Suivez ses affaires via Substack . Gardez également un œil sur Twitter .
https://www.globalresearch.ca/science-locks-down-four-england-towns-extremely-rare-virus-single-infection/5866201
Voici les gratte-ciels les plus hauts du monde
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 27 AOÛT 2024 - 08:45
Le gratte-ciel moderne : né en Amérique, adopté par la Chine et désormais un élément clé des skylines urbains emblématiques du monde entier.
Mais quelle hauteur ont-ils atteint au cours des 150 ans de construction humaine ?
Ce graphique, via Marcus Lu de Visual Capitalist, classe les gratte-ciels les plus hauts du monde en août 2024.
- voir cadre sur site -
Les données ont été obtenues auprès du Council on Tall Buildings and Urban Habitat.
Les huit plus hauts bâtiments du monde
S'élevant à 828 mètres (2 717 pieds) de hauteur, le Burj Khalifa, le bâtiment emblématique de Dubaï, porte le nom d'un ancien président des Émirats arabes unis, Cheikh Khalifa bin Zayed Al Nahyan.
Achevé en 2010, cet édifice en acier et en verre a nécessité six ans de construction et a coûté 1,5 milliard de dollars.
Plus de 28 kilomètres de minuscules lumières LED sur la façade créent des affichages multimédias époustouflants, notamment pour le réveillon du Nouvel An. Cela en fait également le plus grand écran LED du monde.
Construit une décennie plus tard, le Merdeka 118 de Malaisie est le gratte-ciel le plus récent du classement. Achevé en 2023, le bâtiment se classe deuxième, avec une hauteur de 679 m (2 228 pieds).
La tour de Shanghai en Chine se classe troisième avec 632 m et le pays compte deux autres bâtiments parmi les plus hauts. Il s'agit du Ping An Finance Center de Shenzhen (n° 5) et du Guangzhou CTF Finance Centre (n° 8). Tous deux mesurent entre 500 et 600 m (1 600 à 1 900 pieds).
Bien entendu, le One World Trade Center de New York, reconstruit et achevé en 2014, figure également sur la liste. La hauteur du gratte-ciel en pieds (540 m) est une référence délibérée à l’année de l’indépendance des États-Unis.
La plupart des gratte-ciels sont remplis de bureaux. Mais le secteur de l’immobilier commercial aux États-Unis est en difficulté. Consultez ce graphique qui montre comment les prix de l’immobilier commercial sont affectés par le resserrement de la politique monétaire.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/these-are-worlds-tallest-skyscrapers
L'Amérique divisée sur l'héritage de l'esclavage
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 25 AOÛT 2024 - 03:35
Des divisions persistent entre les points de vue de nombreux Américains noirs et blancs sur les impacts actuels de l'esclavage aux États-Unis.
Comme le rapporte Anna Fleck de Statista, selon un sondage YouGov réalisé en 2023, 52 % des Américains interrogés pensent que l'héritage de l'esclavage influence encore la société d'aujourd'hui, soit de manière assez importante, soit de manière importante. Sur le plan racial, le contraste est plus marqué, avec 78 % des Américains noirs affirmant la même chose, contre seulement 46 % des Américains blancs.
Lorsqu'on leur a demandé plus précisément qui est actuellement touché par l'héritage de l'esclavage, les répondants ont de nouveau répondu différemment. 75 % des répondants noirs ont déclaré que tous les Américains noirs étaient touchés par l'héritage de l'esclavage aujourd'hui, tandis que 13 % des répondants noirs ont déclaré que seuls les Américains noirs descendants d'esclaves. Aucun répondant noir n'a sélectionné l'option « aucun Américain noir ». Parmi les répondants blancs, seuls 42 % ont déclaré que tous les Américains noirs étaient toujours concernés, 16 % ont déclaré que seuls les Américains noirs descendants d’esclaves et 20 % ont sélectionné l’option « aucun Américain noir ».
- voir graph sur site -
Infographie : L’Amérique divisée sur l’héritage de l’esclavage | Statista
Vous trouverez plus d’infographies sur Statista
65 % des Américains noirs ont déclaré que la richesse de l’Amérique en tant que nation aujourd’hui est liée à l’esclavage, tandis que seulement 26 % des Américains blancs étaient du même avis. Les démocrates étaient plus susceptibles d’être d’accord pour dire que la richesse nationale actuelle est significativement liée au travail effectué dans le passé par les esclaves (50 %) que les indépendants (32 %) ou les républicains (15 %).
YouGov a ensuite demandé aux répondants quels systèmes ou marchés les Américains noirs subissent aujourd’hui des préjugés. Le système de justice pénale (58 %), le système politique (46 %), le système de santé (44 %) et le marché du logement (44 %) figuraient parmi les options qui ont reçu les parts les plus élevées de tous les répondants estimant que la discrimination y est actuellement un problème.
https://www.zerohedge.com/political/america-divided-legacy-slavery
En Martinique (île des Caraïbes) il y avait plus d'esclaves blancs que d'esclaves bronzés (venus d'Afrique). Il devait en être de même ailleurs vu que l'esclavage a toujours existé en Europe et aussi en Afrique avant l'arrivée d'européens et, s'est poursuivi après l'indépendance des États en 1960.
SupprimerPour la défense du capitalisme #3 : « Le capitalisme est responsable de la destruction de l’environnement et du changement climatique »
RépondreSupprimerRainer Zitelmann
27 août 2024
Rainer Zitelmann, historien, sociologue et contributeur régulier pour Contrepoints propose une série de 8 articles autour de son livre In Defense of Capitalism qui vise à désarmer certains préjugés des pourfendeurs du capitalisme.
Depuis plus de 20 ans, des chercheurs de l’université de Yale publient l’indice de performance environnementale (EPI), qui classe les pays en fonction de leur santé environnementale et de la vitalité de leurs écosystèmes. Une comparaison peut être faite entre l’EPI et l’indice de liberté économique de la Heritage Foundation, qui mesure la liberté économique dans le monde entier depuis 1995. L’indice, que beaucoup appellent l’indice du capitalisme, analyse le niveau de liberté économique dans 178 pays.
Ces pays sont regroupés en cinq catégories : « Libre », « Presque libre », « Modérément libre », « Presque non libre » et « Réprimé ».
Les chercheurs de la Heritage Foundation ont comparé les deux indices et ont constaté que les pays aux niveaux de liberté économique les plus élevés avaient également les scores les plus élevés à l’EPI. Les pays dits « peu libres » et « réprimés » affichent de loin les pires performances environnementales.
L’économiste Daniel Fernández Méndez a répondu à l’objection potentielle selon laquelle les pays jouissant d’une plus grande liberté économique « exportent » leurs industries polluantes vers les pays en développement moins libres, tout en conservant leurs industries non polluantes.
Or, ce n’est manifestement pas le cas :
« Les données analysées montrent que le capitalisme est favorable à l’environnement. Plus la liberté économique est grande, meilleurs sont les indices de qualité environnementale. Les pays les plus propres n’exportent pas leur pollution en délocalisant leurs entreprises ».
La dégradation de l’environnement n’a jamais été aussi importante que dans les anciens États socialistes. Cet argument est-il pertinent ? Oui, car si un ordre économique fondé sur la propriété privée, la concurrence et la fixation libre des prix était la cause de la pollution de l’environnement, il devrait logiquement y avoir beaucoup moins de pollution dans les pays qui ne présentent pas ces caractéristiques, ce qui n’est pas le cas.
L’Allemagne de l’Ouest capitaliste (la République fédérale) et l’Allemagne de l’Est socialiste (la RDA) constituent une bonne comparaison :
RépondreSupprimerEn 1989, la RDA émettait plus de trois fois plus de gaz carbonique par unité de PIB que la République fédérale.
Pollution atmosphérique – dioxyde de soufre : En 1988, la RDA a émis 10 fois plus de dioxyde de soufre par km2 que la République fédérale (48,1 tonnes/km2 contre 4,6 tonnes/km2).
Pollution de l’air – particules en suspension : La charge moyenne de 20,3 tonnes par km2 en RDA était plus de dix fois supérieure à celle de la République fédérale (1,8 tonne/km2).
Poêles à charbon : dans les ménages privés, près de deux tiers des appartements en RDA étaient chauffés avec des combustibles solides tels que des briquettes de lignite au moment de la réunification.
Après avoir examiné les faits, de nombreuses personnes admettront que le socialisme est moins bon pour l’environnement que le capitalisme, mais il leur reste encore des doutes raisonnables : la croissance économique en général n’est-elle pas mauvaise pour l’environnement ? Un argument en particulier semble logique, du moins à première vue : les matières premières de la planète étant limitées, une croissance infinie est impossible. Beaucoup en concluent que, d’une manière ou d’une autre, la croissance doit être freinée.
Sur la base de nombreuses séries de données, le scientifique américain Andrew McAfee prouve dans son livre More from Less que la croissance économique s’est découplée de la consommation de matières premières. Les données relatives aux États-Unis montrent que sur 72 matières premières, seules six n’ont pas encore atteint leur maximum de consommation. Bien que l’économie américaine ait connu une forte croissance ces dernières années, la consommation de nombreuses matières premières est en baisse.
Cette évolution est due aux lois du capitalisme tant décrié : les entreprises recherchent constamment de nouveaux moyens de produire plus efficacement, c’est-à-dire de se débrouiller avec moins de matières premières. Bien entendu, elles ne le font pas en premier lieu pour protéger l’environnement, mais pour réduire les coûts.
De plus, l’innovation a favorisé une tendance que nous appelons miniaturisation ou dématérialisation. Un exemple de cette tendance est le smartphone. Il suffit de penser au nombre d’appareils individuels que contient votre smartphone et à la quantité de matières premières qu’ils consommaient auparavant. Aujourd’hui, de nombreuses personnes n’ont plus de fax ou n’utilisent plus de cartes routières imprimées parce qu’elles ont tout à portée de main dans leur smartphone, et certaines se passent même de montre-bracelet. Autrefois, le téléphone, le magnétophone à cassettes, le dictaphone et la caméra vidéo étaient équipés de quatre microphones distincts. Aujourd’hui, le microphone unique de votre smartphone a remplacé tous ces appareils.
RépondreSupprimerÀ aucun moment de l’histoire de l’humanité, les économies planifiées n’ont été la solution aux problèmes, mais elles ont été à l’origine d’une multitude de problèmes, notamment environnementaux. En revanche, avec ses multiples innovations, le capitalisme a déjà résolu de nombreux problèmes, y compris et surtout dans le domaine de l’environnement. Il est donc absurde de penser que l’abolition du capitalisme résoudrait les problèmes du changement climatique et de la destruction de l’environnement.
https://www.contrepoints.org/2024/08/27/475535-pour-la-defense-du-capitalisme-3-le-capitalisme-est-responsable-de-la-destruction-de-lenvironnement-et-du-changement-climatique
L'âne du jour qui a écrit l'article ci-dessus ne connaît rien à la science mais donne conseils et tire conclusions !!
SupprimerIl ne sait pas que TOUS LES GAZ de notre atmosphère se recyclent immédiatement sans quoi la vie sur Terre ne serait jamais apparue. Et donc, il parle que le gaz carbonique est une pollution !! HAHAHAHA !
Pire, il classe les pays dits 'pollueurs' par catégories: « Libre », « Presque libre », « Modérément libre », « Presque non libre » et « Réprimé » ! Bêh avec çà t'iras loin !
L'Allemagne capitaliste ferme ses centrales nucléaire et ouvre ses centrales à charbon !
Il n'y a pas de 'capitaliste' ou de 'socialiste-communiste' mais des GROS CONS qui dirigent les États sans avoir précédemment avoir fait d'études ! Ils nagent dans des milliards, ont 36 chaudières et autan d'avions, bateaux et voitures luxueuses quand le Peuple se serre la ceinture est pauvre et crie famine !
L’approvisionnement en nourriture et en eau comme arme
RépondreSupprimer27 août 2024
de Thomas Oysmüller
Depuis 2020, la guerre contre les personnes et contre les vies s’est accélérée, la nourriture et de plus en plus l’eau devenant au centre de l’attention et transformées en armes. Dirigé contre le peuple lui-même.
Dans les guerres hybrides à tous les niveaux, la nourriture a longtemps été utilisée comme une arme contre la vie. Mais une nouvelle qualité a été atteinte ces dernières années, et cela ne s'exprime pas seulement dans le « Green Deal » de l'UE et dans sa lutte contre les agriculteurs. Mais l’approvisionnement en eau est également de plus en plus ciblé. Il existe un modèle pour le Sommet des Nations Unies sur le futur en septembre qui exigerait qu'un organisme gouvernemental mondial contrôle tous les systèmes de survie, y compris l'eau. Une attaque contre les systèmes alimentaires peut également être menée grâce au nombre croissant d’éoliennes, car celles-ci contaminent fortement les sols .
David A. Hughes écrit à ce sujet dans un essai récent, au sous-titre apocalyptique « Le grand empoisonnement, la guerre contre les agriculteurs, la viande cultivée en laboratoire, la « nourriture pharmaceutique » et l'eugénisme, les pénuries alimentaires d'origine humaine et le danger imminent de l'homme. -Cela a provoqué des pénuries d'eau.
Il convient de noter que plusieurs avertissements ont été émis cette année concernant des pénuries d'eau en Autriche. Le pays alpin possède en réalité beaucoup d’eau. Néanmoins, le blog du SPÖ déclarait il y a quelques semaines qu'« une commune sur quatre » en Autriche pourrait bientôt manquer d'eau. Quoi qu’il en soit, la pénurie d’eau deviendra un problème de plus en plus important.
Voici quelques extraits de l’essai du 10 août de David A. Hughes :
L’un des aspects de la guerre omniprésente (ndlr) est la transformation des réserves de nourriture et d’eau en armes. D’une certaine manière, cela dure depuis longtemps, mais depuis 2020, de nouveaux développements inquiétants sont survenus.
Ce que van Hamelen (2022 et auteur invité du TKP ) appelle « le grand empoisonnement » se produit depuis des décennies, par exemple à travers :
le sirop de maïs à haute teneur en fructose, couramment utilisé dans les aliments transformés et les boissons gazeuses (Nur Bulbul et al., 2024) ;
RépondreSupprimerDes additifs largement utilisés tels que l’édulcorant aspartame, récemment classé comme « potentiellement cancérigène pour l’homme » (OMS, 2023) ;
La présence de glyphosate, utilisé dans le désherbant Roundup, classé « probablement cancérigène pour l'homme » par l'Agence internationale de recherche en 2015, dans 80 % des échantillons d'urines d'enfants et d'adultes aux États-Unis (Gillam, 2022) ;
Contaminants inorganiques à l'échelle micro et nanométrique dans les aliments qui sont non biodégradables, toxiques et sans valeur nutritionnelle (Gatti et al., 2009) ; et
Fluorure dans l'eau potable dans certains pays, ce qui « peut avoir des impacts négatifs importants sur la santé humaine » (Peckham & Awofoso, 2014).
L’augmentation de l’obésité et des maladies dans les sociétés occidentales a certainement quelque chose à voir avec cet empoisonnement progressif de la population.
Cependant, depuis 2020, la nourriture a été transformée en arme de nouvelles manières. Il y a une guerre contre les agriculteurs, par ex. B. à travers le « Green Deal européen », qui impose des réglementations extrêmes aux agriculteurs et pousse beaucoup d’entre eux à la faillite (Vanheuckelom, 2023 ; van Hamelen, 2023). En Chine, 100 millions d’agriculteurs ont été contraints de quitter leurs terres tandis que de plus en plus de denrées alimentaires sont cultivées dans d’immenses serres (Wood, 2023). En Angleterre, la politique de « réensauvagement » réduit la superficie disponible pour l’agriculture et propose aux agriculteurs des paiements forfaitaires pour quitter leurs terres (Beck, 2024). Un observateur résume la situation ainsi : « Les petits agriculteurs sont attaqués partout et seules les grandes entreprises peuvent survivre, mais la qualité de leur production est inférieure, tout comme la santé de ceux qui la consomment » (Patrick, s.d.).
[…]
Les pénuries alimentaires peuvent être utilisées pour affamer et asservir la population. Depuis 2020, des attaques ont eu lieu non seulement contre l’agriculture, mais aussi contre les installations de production alimentaire, notamment aux États-Unis (Hoft, 2023 ; Corbett, 2023). Si le contrôle de l’approvisionnement alimentaire est perdu au profit des technocrates, l’histoire met en garde contre les conséquences. Par exemple, les nazis étaient prêts à affamer des dizaines de millions de citoyens soviétiques pour alimenter la machine de guerre en progression, aux dépens des territoires conquis (Kay, 2006, p. 128). Sachant que le totalitarisme opère de cette manière impitoyable, il est concevable que la guerre mondiale pour la technocratie puisse entraîner la mort de centaines de millions de personnes.
RépondreSupprimerLes pénuries artificielles d’eau sont également une source d’inquiétude. En 2022, le WEF a organisé une conférence de presse pour lancer la Commission mondiale sur l'économie de l'eau, au cours de laquelle la professeure de l'UCL, Mariana Mazzucato, a déploré l'échec de « la vaccination de tout le monde dans le monde » et le fait que le changement climatique est « un peu abstrait » :
« De l'eau – chaque enfant sait à quel point il est important d'avoir de l'eau – si vous jouez au football et que vous avez soif, vous avez besoin d'eau. Il s’agit aussi de favoriser l’engagement des citoyens dans ce domaine et, d’une certaine manière, d’expérimenter la notion de bien commun. Pouvons-nous réellement faire cette fois-ci quelque chose que nous avons lamentablement échoué à d’autres occasions ? » (Forum économique mondial, 2022, 15:49).
Cela ressemble beaucoup à une proposition visant à utiliser l’eau vitale pour le projet en cours d’établissement d’un État mondial totalitaire. La Conférence des Nations Unies sur l'eau a eu lieu à New York en mars 2023, la première conférence de ce type en 46 ans. Leur devise était « Unir le monde pour l’eau ». Le CDP, le partenaire de l'International Sustainability Standards Board pour la divulgation des données climatiques, a informé les investisseurs en juin 2024 que « le risque lié à l'eau n'est pas entièrement pris en compte sur les marchés financiers » et a mis en garde contre les conséquences des « restrictions sur l'accès à l'eau ». p.4). Si les capitalistes du désastre prennent position, ce ne sera peut-être qu’une question de temps avant qu’une pénurie artificielle d’eau ne se produise.
Les sources de cet essai peuvent être trouvées ici.
https://tkp.at/2024/08/27/lebensmittel-und-wasserversorgung-als-waffe/
La présence de l'eau n'est pas un problème en soi car elle sort des sources gratuitement comme le sont les nappes phréatiques approvisionnées continuellement par le magma. Mais il y a les intervenants, des voleurs qui s'approprient l'eau gratuite pour... la vendre ! (comme pour l'air - le gaz carbonique - que l'on respire et que l'on doit payer pour l'avoir fait disparaître dans nos poumons à 37°C !!).
SupprimerDès le départ de l'humanité, des rivières et des fleuves ont été détournés pour l'irrigation des cultures. C'est pourquoi aujourd'hui l'on ne peut mourir de faim car les campagnes sont arrosées. Oui mais... depuis plus de 40 ans ! les fleuves et les rivières n'ont pas été dragués ! et bientôt l'on pourra traverser les fleuves à pieds tant il y a de la merde au fond !!
C'est çà la gestion de l'eau, c'est çà les putains d'administrateurs d’États !!
Et oui ! 40 ans ! Ils avaient alors déjà mis en chantier la merde d'aujourd'hui ! soi-disant pour éviter que... les mers et les océans qui seraient susceptibles de monter !! n'envahissent les terres !! ÔH PITAING !!
Voyez, TOUS les 'chefs d’États' sont des cons.
Les énergies renouvelables sont un non-sens scientifique : les éoliennes provoquent le changement climatique
RépondreSupprimer27 août 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
Le terme « énergies renouvelables » viole les lois fondamentales de la physique. En conséquence, le terme signifie que les éoliennes et les systèmes solaires non seulement ne parviennent pas à prévenir le changement climatique, mais qu’ils en sont également la cause.
En physique, il existe un ensemble de lois d’airain, à savoir les lois de conservation. Ce qui nous intéresse dans la politique climatique, c’est la loi de conservation de l’énergie. La loi stipule que l’énergie ne peut être ni créée ni détruite. Il ne peut donc pas être renouvelé. On ne peut que le transformer. Il s'agit donc d'une série de conversions en différentes formes d'énergie. Au bout de la chaîne se trouve généralement la chaleur, que la source soit le rayonnement solaire ou l’énergie cinétique du vent.
Ce sont des découvertes et des faits scientifiques incontestables. Malheureusement, elles sont souvent niées et violées à la fois par les « climatologues » et les « modélisateurs » du Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) de l’ONU. De nombreux modèles du IPCC sont incorrects pour cette seule raison.
Il existe même un institut universitaire pour les « systèmes d'énergie renouvelables », un à l' HTW Berlin et un autre à l' université de Stralsund . Il est étrange que dans les universités allemandes, les bases de la physique soient niées, même au nom des instituts.
Le professeur Volker Quaschning de HTW Berlin est l'un des plus ardents représentants des idées renouvelables dans son domaine ;
Les nombreuses conversions de l'énergie éolienne
L'énergie cinétique du vent est d'abord convertie en énergie de rotation et en petite quantité de chaleur par les pales du rotor de l'éolienne. Celui-ci entraîne le générateur, qui génère à nouveau de l'énergie électrique et de la chaleur. Celle-ci est acheminée par câble vers des points de collecte tels qu'une sous-station, où la chaleur est à nouveau générée en raison de la résistance du câble.
L'énergie électrique atteint les consommateurs finaux via les réseaux câblés avec un léger dégagement de chaleur supplémentaire, qui l'utilisent pour générer de l'énergie cinétique, de l'énergie chimique, de la lumière, de la télévision, du chargement des batteries, etc., et en tout cas à nouveau de la chaleur. L'énergie n'est certainement jamais perdue ; sa somme est toujours conservée sous forme convertie.
RépondreSupprimerQu'arrive-t-il à l'énergie des parcs éoliens
L’éolienne libère localement une petite partie de l’énergie transformée en rotation. Dans la zone de traînée du vent dans la direction sous le vent, il y a des turbulences et un mélange considérables des couches d'air, même au-dessus de la hauteur non négligeable des éoliennes. Cet effet serait responsable du dessèchement des sols dans les parcs éoliens.
Début 2023, TKP a signalé que l’énergie éolienne avait également une influence considérable sur le climat lui-même. En 2017, l’autorité supérieure allemande a admis que, selon les mesures, la vitesse du vent diminuait ; le phénomène est connu sous le nom de « dépérissement du vent » ou « calage terrestre global ». Il a été largement prouvé que des températures plus élevées se produisent à proximité des éoliennes. En 2018, une (parmi tant d’autres) études pertinentes est venue de Harvard, mesurant l’augmentation des températures et la réduction de l’humidité du sol . Derrière les éoliennes, le sol et l'air sont moins humides. La cause : le bouleversement des couches naturelles de température par les éoliennes.
L'énergie est également utilisée pour détruire des oiseaux, des chauves-souris et des insectes et parfois les projeter à des centaines de mètres, car les pales du rotor, comme illustré ici, atteignent des vitesses de plusieurs centaines de km/h en fonction de la force du vent aux extrémités du rotor. A cette occasion, des microparticules hautement toxiques issues des pales du rotor se propagent au fil des années jusqu'à 1000 mètres autour de l'éolienne et contaminent durablement les sols. Cela conduira probablement dans un avenir pas trop lointain à une interdiction de l'utilisation des terres agricoles .
En raison de ces effets et notamment de l’électricité dissipée, une quantité importante d’énergie a été soustraite au vent. C'est parti et c'est parti pour de bon. Qu'il puisse être renouvelé, c'est un échec scientifique. Il manque donc l’énergie qui était dissipée sous le vent des éoliennes. Cependant, l’extraction de grandes quantités d’énergie doit conduire à une faible pression sous le vent des systèmes.
Il est évident que le retrait d’énergie doit avoir un impact sur le climat, et dans un parc éolien ce n’est pas anodin. Fin 2023, l'Allemagne comptait environ 30 000 éoliennes terrestres , et 2 000 devraient s'y ajouter chaque année. Nous en avons plus de 200 000 à travers l’Europe. Il y en a également des dizaines de milliers d’autres au large des côtes européennes.
RépondreSupprimerQu’est-ce que ce retrait d’énergie change sur le climat ?
L’affirmation non scientifique des « énergies renouvelables » vise à donner l’impression que l’énergie est à peine extraite de l’atmosphère et qu’elle est à nouveau renouvelée par le deus ex machina. Cela signifie que ce type de production d’électricité serait « neutre pour le climat », une affirmation aussi populaire que fausse.
TKP a fait état à plusieurs reprises d' études réalisées au Texas , dans le Burgenland ou de modèles de calcul pour l'Afrique qui prouvent que les parcs éoliens provoquent le réchauffement climatique. Une autre étude a démontré une corrélation entre la construction de parcs éoliens près des îles britanniques en mer du Nord et une augmentation de la température et de la présence accrue de poussière saharienne. En fait, depuis un certain temps, nous connaissons des conditions météorologiques plus australes que jamais auparavant et le sable du Sahara est tout aussi présent dans l'air, ce qui le rend également plus chaud.
Donc plus il y a d’éoliennes, plus il y a de poussières sahariennes et chaudes dans l’air.
À propos, la poussière du Sahara dans l’air n’est pas visible sur les images satellite. Les enregistrements sont coordonnés avec la bande de vapeur d'eau du niveau supérieur. La longueur d'onde centrale de cette bande est de 6,2 µm (micromètres). L'objectif principal de cette bande est de détecter des caractéristiques atmosphériques de niveau supérieur telles que : B. Courants-jets, creux/stries et signes de turbulences possibles.
Les hommes politiques européens sont apparemment également d’avis que le réchauffement climatique se produit plus rapidement en Europe qu’ailleurs. Après le vote sur l'adoption du règlement européen sur la renaturation, le rapporteur César Luena (S&D, ES) a déclaré :
« Au cours des 40 dernières années, l’Europe s’est réchauffée deux fois plus vite que le reste du monde. »
La densité d’éoliennes est plus élevée en Europe que partout ailleurs dans le monde.
RépondreSupprimerLe terme « énergie renouvelable » occulte le fait que les parcs éoliens contribuent au réchauffement climatique.
Mais ils servent aussi à autre chose. Il y a depuis longtemps une guerre contre les agriculteurs, par ex. B. via le « Green Deal européen », qui impose des réglementations extrêmes aux agriculteurs et contraint beaucoup d’entre eux à la faillite, ou via la réglementation sur la renaturation. Les petits agriculteurs sont attaqués partout et seules les grandes entreprises peuvent survivre, mais la qualité de leur production est inférieure, et cela vaut également pour la santé de ceux qui (doivent) la consommer.
L’expansion rapide des parcs éoliens dans les zones agricoles constitue une menace énorme pour les agriculteurs et la sécurité alimentaire. Comme l’a signalé à plusieurs reprises le TKP , l’exploitation des éoliennes provoque une contamination généralisée des sols agricoles sous-jacents. C’est le prétexte idéal pour porter un coup fatal aux agriculteurs.
Article du TKP sur le sujet :
Éoliennes dans les champs : catastrophe pour les agriculteurs et la sécurité alimentaire
Des parcs éoliens responsables des vagues de chaleur et de la poussière du Sahara en Europe ?
Texas : réchauffement de 0,72 degré par décennie dû aux parcs éoliens
Les parcs éoliens provoquent-ils le réchauffement climatique et des dommages climatiques ?
Mort du vent : l’énergie éolienne provoque-t-elle sécheresse et chaleur ?
Énergie éolienne et « fibres désagréables » : faits rapportés par l’avocat Thomas Mock
Les éoliennes, pièges mortels : « fibres désagréables » et risques de contamination
Bonanza Wind Power – qui gagne de l’argent en installant des éoliennes
Chaleur et poussière sahariennes en Grèce et rôle des parcs éoliens
Étude : Les éoliennes rendent les humains et les animaux malades et nuisent à l'environnement
https://tkp.at/2024/08/27/erneuerbare-energie-ein-unwissenschaftlicher-unsinn-windraeder-verursachen-klimawandel/
Là encore les 'dirigeants' incapables de gérer une épicerie veulent gouverner une grande surface !! Ils n'ont fait d'études antérieures ni d'essais durtant un an avec 1 éolienne, pour voir. Mais ils ont commandé ("C'est pas vous qui payez c'est l’État !" FH) des millions d'éoliennes-à-la-con ! Qui ne servent à rien et qui consomment plus d'électricité qu'elles n'en peuvent produire !! (car, en l'absence de vent il faut faire tourner les pales afin qu'elles ne se grippent ! et, pour faire tourner des pales de 60 tonnes x 3 ! faut pas s'appeler Moulinex !).
SupprimerLa banque de semences est construite dans une montagne de l'île du Spitzberg, près du petit village de Longyearbyen. C'est presque prêt pour les « affaires » selon leurs versions. La banque sera dotée de deux portes anti-souffle avec détecteurs de mouvement, de deux sas et de murs en béton armé d'un mètre d'épaisseur. Il contiendra jusqu'à trois millions de variétés différentes de semences provenant du monde entier, « afin que la diversité des cultures puisse être conservée pour l'avenir », selon le gouvernement norvégien. Les graines seront spécialement emballées pour exclure l'humidité. Il n'y aura pas de personnel à temps plein, mais la relative inaccessibilité du coffre-fort facilitera la surveillance de toute éventuelle activité humaine.
RépondreSupprimerAvons-nous raté quelque chose ici ? Leur communiqué de presse déclarait : « afin que la diversité des cultures puisse être conservée pour l'avenir ». Quel avenir les sponsors de la banque de semences prévoient-ils, qui menacerait la disponibilité mondiale des semences actuelles, dont presque toutes sont déjà bien protégées dans les banques de semences désignées à travers le monde ?
Chaque fois que Bill Gates, la Fondation Rockefeller, Monsanto et Syngenta se réunissent autour d’un projet commun, cela vaut la peine de creuser un peu plus derrière les rochers du Spitzberg. Lorsque nous le faisons, nous découvrons des choses fascinantes.
Le premier point notable est de savoir qui parraine le coffre-fort apocalyptique. Aux côtés des Norvégiens se trouvent, comme indiqué, la Fondation Bill & Melinda Gates ; le géant américain de l'agro-industrie DuPont/Pioneer Hi-Bred, l'un des plus grands propriétaires mondiaux de semences de plantes génétiquement modifiées (OGM) brevetées et de produits agrochimiques associés ; Syngenta, la principale entreprise suisse de semences OGM et de produits agrochimiques par l'intermédiaire de sa Fondation Syngenta ; la Fondation Rockefeller, le groupe privé qui a créé la « révolution génétique avec plus de 100 millions de dollars de capital de départ depuis les années 1970 ; CGIAR, le réseau mondial créé par la Fondation Rockefeller pour promouvoir son idéal de pureté génétique à travers le changement agricole.
Le CGIAR et « The Project »
Comme je l'ai détaillé dans le livre Seeds of Destruction1, en 1960, la Fondation Rockefeller, le Conseil de développement agricole de John D. Rockefeller III et la Fondation Ford ont uni leurs forces pour créer l'Institut international de recherche sur le riz (IRRI) à Los Baños. , les Philippines. En 1971, l'IRRI de la Fondation Rockefeller, ainsi que son Centre international d'amélioration du maïs et du blé basé au Mexique et deux autres centres de recherche internationaux créés par la Fondation Rockefeller et Ford, l'IITA pour l'agriculture tropicale au Nigeria et l'IRRI pour le riz aux Philippines, se sont combinés pour former un Groupe consultatif mondial sur la recherche agricole internationale (GCRAI).
RépondreSupprimerLe CGIAR a été façonné lors d'une série de conférences privées organisées au centre de conférence de la Fondation Rockefeller à Bellagio, en Italie. Les principaux participants aux pourparlers de Bellagio étaient George Harrar de la Fondation Rockefeller, Forrest Hill de la Fondation Ford, Robert McNamara de la Banque mondiale et Maurice Strong, l'organisateur environnemental international de la famille Rockefeller, qui, en tant qu'administrateur de la Fondation Rockefeller, a organisé le Sommet de la Terre des Nations Unies à Stockholm. en 1972. Cela faisait partie des efforts déployés depuis plusieurs décennies par la fondation pour mettre la science au service de l'eugénisme, une version hideuse de la pureté raciale, ce qu'on a appelé le Projet.
Pour garantir un impact maximal, le GCRAI a fait appel à l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture, au Programme des Nations Unies pour le développement et à la Banque mondiale. Ainsi, grâce à un effet de levier soigneusement planifié sur ses fonds initiaux, la Fondation Rockefeller, au début des années 1970, était en mesure de façonner la politique agricole mondiale. Et c’est ce qu’il a fait.
Financé par de généreuses bourses d'études de la Fondation Rockefeller et Ford, le CGIAR a veillé à ce que les principaux scientifiques agricoles et agronomes du tiers monde soient amenés aux États-Unis pour « maîtriser » les concepts de la production agro-industrielle moderne, afin de les rapporter dans leur pays d'origine. Ce faisant, ils ont créé un réseau d’influence inestimable pour la promotion de l’agro-industrie américaine dans ces pays, plus particulièrement pour la promotion de la « révolution génétique » des OGM dans les pays en développement, le tout au nom de la science et d’une agriculture efficace et libre de marché.
Générer génétiquement une race maîtresse ?
RépondreSupprimerAujourd’hui, la banque de semences du Svalbard commence à devenir intéressante. Mais ça va mieux. « Le Projet » auquel j'ai fait référence est le projet de la Fondation Rockefeller et de puissants intérêts financiers depuis les années 1920 visant à utiliser l'eugénisme, rebaptisé plus tard génétique, pour justifier la création d'une race de maîtres génétiquement modifiée. Hitler et les nazis l'appelaient la race des maîtres Ayran.
L’eugénisme d’Hitler a été financé dans une large mesure par la même Fondation Rockefeller qui construit aujourd’hui un coffre-fort apocalyptique pour préserver des échantillons de chaque graine de notre planète. Maintenant, cela devient vraiment intrigant. La même Fondation Rockefeller a créé la discipline pseudo-scientifique de la biologie moléculaire dans sa quête incessante de réduire la vie humaine à la « séquence génétique déterminante » qui, espérait-elle, pourrait ensuite être modifiée afin de changer les traits humains à volonté. Les scientifiques eugénistes d'Hitler, dont beaucoup ont été discrètement amenés aux États-Unis après la guerre pour poursuivre leurs recherches sur l'eugénisme biologique, ont jeté les bases du génie génétique de diverses formes de vie, dont une grande partie a été ouvertement soutenue jusque tard dans le Troisième Reich par Rockefeller. Subventions généreuses de la Fondation.2
La même Fondation Rockefeller a créé ce qu’on appelle la Révolution verte, à la suite d’un voyage au Mexique en 1946 de Nelson Rockefeller et de l’ancien secrétaire à l’Agriculture du New Deal et fondateur de la Pioneer Hi-Bred Seed Company, Henry Wallace.
La Révolution verte prétendait résoudre dans une large mesure le problème de la faim dans le monde au Mexique, en Inde et dans d’autres pays sélectionnés où Rockefeller travaillait. L'agronome de la Fondation Rockefeller, Norman Borlaug, a remporté le prix Nobel de la paix pour son travail, ce qui n'est guère de quoi se vanter avec des personnalités comme Henry Kissinger partageant la même chose.
En réalité, telle qu’elle est apparue des années plus tard, la Révolution verte était un plan brillant de la famille Rockefeller visant à développer une agro-industrie mondialisée qu’elle pourrait ensuite monopoliser, tout comme elle l’avait fait dans l’industrie pétrolière mondiale au début d’un demi-siècle auparavant.
RépondreSupprimerComme l'a déclaré Henry Kissinger dans les années 1970 : « Si vous contrôlez le pétrole, vous contrôlez le pays ; si vous contrôlez la nourriture, vous contrôlez la population.
L’agro-industrie et la révolution verte Rockefeller allaient de pair. Ils faisaient partie d’une grande stratégie qui comprenait le financement par la Fondation Rockefeller de la recherche pour le développement du génie génétique des plantes et des animaux quelques années plus tard.
John H. Davis était secrétaire adjoint à l'Agriculture sous le président Dwight Eisenhower au début des années 1950. Il a quitté Washington en 1955 et est allé à la Harvard Graduate School of Business, un endroit inhabituel pour un expert agricole à l'époque. Il avait une stratégie claire. En 1956, Davis écrivit un article dans la Harvard Business Review dans lequel il déclarait que « la seule façon de résoudre une fois pour toutes le soi-disant problème agricole, et d’éviter des programmes gouvernementaux encombrants, est de passer de l’agriculture à l’agro-industrie ». Il savait précisément ce qu’il avait en tête, même si peu d’autres en avaient la moindre idée à l’époque : une révolution dans la production agricole qui concentrerait le contrôle de la chaîne alimentaire entre les mains des multinationales, loin de l’agriculteur familial traditionnel. 3
Un aspect crucial qui a suscité l’intérêt de la Fondation Rockefeller et des entreprises agroalimentaires américaines était le fait que la Révolution verte reposait sur la prolifération de nouvelles semences hybrides dans les marchés en développement. Un aspect essentiel des semences hybrides était leur manque de capacité de reproduction. Les hybrides avaient une protection intégrée contre la multiplication. Contrairement aux espèces normales à pollinisation libre dont les graines donnaient des rendements similaires à ceux de leurs parents, le rendement des graines portées par les plantes hybrides était nettement inférieur à celui de la première génération.
Cette caractéristique de rendement en baisse des hybrides signifiait que les agriculteurs devaient normalement acheter des semences chaque année afin d'obtenir des rendements élevés. De plus, le rendement plus faible de la deuxième génération a éliminé le commerce des semences qui était souvent réalisé par les producteurs de semences sans l'autorisation du sélectionneur. Cela a empêché la redistribution des semences commerciales par des intermédiaires. Si les grandes semences multinationales
RépondreSupprimerSi les entreprises étaient en mesure de contrôler elles-mêmes les lignées parentales, aucun concurrent ni agriculteur ne serait en mesure de produire l’hybride. La concentration mondiale des brevets sur les semences hybrides dans une poignée de sociétés semencières géantes, dirigées par Pioneer Hi-Bred de DuPont et Dekalb de Monsanto, a jeté les bases de la révolution ultérieure des semences OGM. 4
En effet, l’introduction de la technologie agricole américaine moderne, des engrais chimiques et des semences hybrides commerciales a rendu les agriculteurs locaux des pays en développement, en particulier les plus grands et les mieux établis, dépendants des intrants étrangers, principalement américains de l’agro-industrie et des sociétés pétrochimiques. Il s’agissait de la première étape d’un processus soigneusement planifié qui allait s’étaler sur plusieurs décennies.
Sous la Révolution verte, l’agro-industrie a fait des percées majeures sur des marchés qui étaient auparavant d’un accès limité aux exportateurs américains. Cette tendance a ensuite été baptisée « agriculture orientée vers le marché ». En réalité, il s’agissait d’une agriculture contrôlée par l’agro-industrie.
Tout au long de la Révolution verte, la Fondation Rockefeller, puis la Fondation Ford, ont travaillé main dans la main pour façonner et soutenir les objectifs de politique étrangère de l’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID) et de la CIA.
L’un des effets majeurs de la Révolution verte a été de dépeupler les campagnes de paysans qui ont été contraints de fuir vers les bidonvilles autour des villes à la recherche désespérée de travail. Ce n’était pas un hasard ; cela faisait partie du plan visant à créer des réserves de main-d'œuvre bon marché pour les futures multinationales américaines, la « mondialisation » de ces dernières années.
Lorsque l’autopromotion autour de la Révolution verte s’est essoufflée, les résultats ont été très différents de ceux promis. Des problèmes sont nés de l'utilisation aveugle des nouveaux pesticides chimiques, qui ont souvent de graves conséquences sur la santé. La culture en monoculture de nouvelles variétés de semences hybrides a diminué la fertilité des sols et les rendements au fil du temps. Les premiers résultats ont été impressionnants : des rendements doublés, voire triplés pour certaines cultures comme le blé puis le maïs au Mexique. Cela s’est vite estompé.
RépondreSupprimerLa Révolution verte s’est généralement accompagnée de grands projets d’irrigation qui comprenaient souvent des prêts de la Banque mondiale pour construire d’énormes nouveaux barrages et, ce faisant, inonder des zones précédemment habitées et des terres agricoles fertiles. En outre, le super-blé produisait de meilleurs rendements en saturant le sol avec d'énormes quantités d'engrais par acre, l'engrais étant un produit de nitrates et de pétrole, des produits contrôlés par les grandes compagnies pétrolières des Sept Sœurs, dominées par Rockefeller.
D’énormes quantités d’herbicides et de pesticides ont également été utilisées, créant ainsi des marchés supplémentaires pour les géants pétroliers et chimiques. Comme l’a dit un analyste, en réalité, la Révolution verte n’était qu’une révolution chimique. À aucun moment, les pays en développement ne pourraient payer pour les énormes quantités d’engrais chimiques et de pesticides. Ils obtiendraient des crédits de la Banque mondiale et des prêts spéciaux de la Chase Bank et d’autres grandes banques new-yorkaises, soutenus par les garanties du gouvernement américain.
Appliqués dans un grand nombre de pays en développement, ces prêts étaient principalement destinés aux grands propriétaires fonciers. Pour les petits paysans, la situation était différente. Les petits paysans n’avaient pas les moyens d’acheter des produits chimiques et d’autres intrants modernes et ont dû emprunter de l’argent.
Au départ, divers programmes gouvernementaux ont tenté d'accorder des prêts aux agriculteurs afin qu'ils puissent acheter des semences et des engrais. Les agriculteurs qui ne pouvaient pas participer à ce type de programme ont dû emprunter auprès du secteur privé. En raison des taux d’intérêt exorbitants des prêts informels, de nombreux petits agriculteurs n’ont même pas bénéficié des rendements initiaux plus élevés. Après la récolte, ils devaient vendre la plupart, sinon la totalité, de leurs produits pour rembourser leurs prêts et intérêts. Ils sont devenus dépendants des prêteurs et des commerçants et ont souvent perdu leurs terres. Même avec des prêts bonifiés accordés par les agences gouvernementales, les cultures de subsistance ont cédé la place à la production de cultures de rapport.5
RépondreSupprimerDepuis des décennies, les mêmes intérêts, y compris la Fondation Rockefeller, qui ont soutenu la première révolution verte, ont travaillé à promouvoir une deuxième « révolution génétique », comme l'appelait le président de la Fondation Rockefeller, Gordon Conway, il y a plusieurs années, la propagation de l'agriculture industrielle et des intrants commerciaux, y compris les semences OGM brevetées. .
Gates, Rockefeller et une révolution verte en Afrique
Avec le véritable contexte de la révolution verte de la Fondation Rockefeller dans les années 1950, il devient particulièrement curieux que la même Fondation Rockefeller et la Fondation Gates qui investissent maintenant des millions de dollars dans la préservation de chaque graine contre un éventuel scénario « apocalypse » investit également des millions dans un projet appelé Alliance pour une révolution verte en Afrique.
L'AGRA, comme elle s'appelle elle-même, est à nouveau une alliance avec la même Fondation Rockefeller qui a créé la « Révolution génétique ». Un regard sur le conseil d’administration de l’AGRA le confirme.
Il est présidé par nul autre que l'ancien secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan. Dans son discours de remerciement lors d'un événement du Forum économique mondial au Cap, en Afrique du Sud, en juin 2007, Kofi Annan a déclaré : « J'accepte ce défi avec gratitude envers la Fondation Rockefeller, la Fondation Bill & Melinda Gates et tous ceux qui soutiennent notre campagne africaine. .'
RépondreSupprimerEn outre, le conseil d'administration de l'AGRA compte un Sud-Africain, Strive Masiyiwa, qui est administrateur de la Fondation Rockefeller. Il comprend Sylvia M. Mathews de la Fondation Bill & Melinda Gates ; Mamphela Ramphele, ancienne directrice générale de la Banque mondiale (2000 – 2006) ; Rajiv J. Shah de la Fondation Gates ; Nadya K. Shmavonian de la Fondation Rockefeller ; Roy Steiner de la Fondation Gates. En outre, une alliance pour l'AGRA comprend Gary Toenniessen, directeur général de la Fondation Rockefeller et Akinwumi Adesina, directeur associé de la Fondation Rockefeller.
Pour compléter la liste, les programmes pour l'AGRA comprennent Peter Matlon, directeur général de la Fondation Rockefeller ; Joseph De Vries, directeur du programme pour les systèmes semenciers africains et directeur associé de la fondation Rockefeller ; Akinwumi Adesina, directeur associé, Fondation Rockefeller. À l’image de l’échec de la Révolution verte en Inde et au Mexique, la nouvelle Révolution verte en Afrique est clairement une priorité majeure de la Fondation Rockefeller.
Même s'ils font jusqu'à présent profil bas, Monsanto et les grands géants de l'agro-industrie OGM sont soupçonnés d'être à l'origine de l'utilisation de l'AGRA de Kofi Annan pour diffuser leurs semences OGM brevetées à travers l'Afrique sous l'étiquette trompeuse de « biotechnologie », le nouvel euphémisme pour semences brevetées génétiquement modifiées. À ce jour, l’Afrique du Sud est le seul pays africain autorisant la plantation légale de cultures OGM. En 2003, le Burkina Faso a autorisé les essais d'OGM. En 2005, le Ghana de Kofi Annan a rédigé une législation sur la biosécurité et des responsables clés ont exprimé leur intention de poursuivre la recherche sur les cultures OGM.
L’Afrique est la prochaine cible de la campagne du gouvernement américain visant à propager les OGM dans le monde entier. Ses sols riches en font un candidat idéal. Il n'est pas surprenant que de nombreux gouvernements africains soupçonnent le pire de la part des sponsors des OGM, car une multitude de projets de génie génétique et de biosécurité ont été lancés en Afrique, dans le but d'introduire les OGM dans les systèmes agricoles africains. Il s'agit notamment des parrainages offerts par le gouvernement américain pour former des scientifiques africains au génie génétique aux États-Unis, des projets de biosécurité financés par l'Agence des États-Unis pour le développement international (USAID) et la Banque mondiale ; Recherche sur les OGM impliquant les cultures vivrières indigènes africaines.
RépondreSupprimerLa Fondation Rockefeller travaille depuis des années pour promouvoir, en grande partie sans succès, des projets visant à introduire des OGM dans les champs d'Afrique. Ils ont soutenu des recherches qui soutiennent l’applicabilité du coton OGM dans les Makhathini Flats en Afrique du Sud.
Monsanto, qui a une forte présence dans l'industrie sud-africaine des semences, à la fois OGM et hybrides, a conçu un ingénieux programme pour les petits exploitants connu sous le nom de campagne « Semences d'espoir », qui présente un ensemble de mesures de révolution verte pour les petits agriculteurs pauvres, suivi , bien sûr, grâce aux graines OGM brevetées de Monsanto. 6
Syngenta AG de Suisse, l'un des « Quatre cavaliers de l'apocalypse des OGM », investit des millions de dollars dans une nouvelle serre à Nairobi, pour développer du maïs OGM résistant aux insectes. Syngenta fait également partie du CGIAR.7
Passons au Svalbard.
Est-ce simplement une négligence philosophique ? Qu'est-ce qui amène les fondations Gates et Rockefeller à soutenir en même temps la prolifération de semences brevetées et bientôt brevetées par Terminator à travers l'Afrique, un processus qui, comme partout ailleurs sur la planète, détruit les variétés de semences végétales. à mesure que l’agro-industrie industrialisée en monoculture est introduite ? Dans le même temps, ils investissent des dizaines de millions de dollars pour préserver toutes les variétés de semences connues dans un coffre-fort apocalyptique à l'épreuve des bombes près du lointain cercle arctique « afin que la diversité des cultures puisse être conservée pour l'avenir », pour réaffirmer leur communiqué officiel ?
Ce n’est pas un hasard si les fondations Rockefeller et Gates s’associent pour promouvoir une révolution verte de type OGM en Afrique, en même temps qu’elles financent discrètement le « coffre-fort apocalyptique » à Svalbard. Les géants de l’agroalimentaire OGM sont à la hauteur des oreilles dans le projet Svalbard.
RépondreSupprimerEn effet, toute l'entreprise du Svalbard et les personnes impliquées évoquent les pires images de catastrophe du best-seller de Michael Crichton, Andromeda Strain, un thriller de science-fiction dans lequel une maladie mortelle d'origine extraterrestre provoque une coagulation rapide et mortelle du sang menaçant l'espèce humaine tout entière. . Au Svalbard, le futur dépôt de semences le plus sécurisé au monde sera gardé par les policiers de la révolution verte des OGM : les fondations Rockefeller et Gates, Syngenta, DuPont et le CGIAR.
Le projet Svalbard sera géré par une organisation appelée Global Crop Diversity Trust (GCDT). Qui sont-ils pour détenir une telle confiance sur l’ensemble des variétés de semences de la planète ? Le GCDT a été fondé par l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et Bioversity International (anciennement l'Institut international de recherche phytogénétique), une émanation du GCRAI.
Le Global Crop Diversity Trust est basé à Rome. Son conseil d'administration est présidé par Margaret Catley-Carlson, une Canadienne également membre du conseil consultatif du Groupe Suez Lyonnaise des Eaux, l'une des plus grandes sociétés d'eau privées au monde. Catley-Carlson a également été président jusqu'en 1998 du Population Council, basé à New York, l'organisation de réduction de la population de John D. Rockefeller, créée en 1952 pour faire avancer le programme eugéniste de la famille Rockefeller sous couvert de promotion du « planning familial », des dispositifs de contrôle des naissances, stérilisation et « contrôle de la population » dans les pays en développement.
Parmi les autres membres du conseil d'administration de GCDT figurent Lewis Coleman, ancien cadre de Bank of America et actuellement directeur de Hollywood DreamWorks Animation. Coleman est également le principal administrateur du conseil d'administration de Northrup Grumman Corporation, l'un des plus grands entrepreneurs du Pentagone dans l'industrie militaire américaine.
RépondreSupprimerJorio Dauster (Brésil) est également président du conseil d'administration de Brasil Ecodiesel. Il est un ancien ambassadeur du Brésil auprès de l'Union européenne et négociateur en chef de la dette extérieure du Brésil pour le ministère des Finances. Dauster a également été président de l'Institut brésilien du café et coordinateur du projet de modernisation du système de brevets brésilien, qui implique la légalisation des brevets sur les semences génétiquement modifiées, ce qui était interdit jusqu'à récemment par les lois brésiliennes.
Cary Fowler est le directeur exécutif du Trust. Fowler était professeur et directeur de recherche au Département d'études internationales sur l'environnement et le développement de l'Université norvégienne des sciences de la vie. Il a également été conseiller principal du directeur général de Bioversity International. Là, il a représenté les Future Harvest Centres du Groupe consultatif pour la recherche agricole internationale (GCRAI) dans les négociations sur le Traité international sur les ressources phytogénétiques. Dans les années 1990, il a dirigé le Programme international sur les ressources phytogénétiques de la FAO. Il a rédigé et supervisé les négociations du Plan d'action mondial de la FAO pour les ressources phytogénétiques, adopté par 150 pays en 1996. Il est un ancien membre du Conseil national des ressources phytogénétiques des États-Unis et du Conseil d'administration de l'Association internationale du maïs et du blé. Improvement Center au Mexique, un autre projet de la Fondation Rockefeller et du CGIAR.
Membre du conseil d'administration du GCDT, le Dr Mangala Rai, d'Inde, est secrétaire du Département indien de la recherche et de l'éducation agricoles (DARE) et directeur général du Conseil indien pour la recherche agricole (ICAR). Il est également membre du conseil d'administration de l'Institut international de recherche sur le riz (IRRI) de la Fondation Rockefeller, qui a promu la première expérience majeure d'OGM au monde, le très médiatisé « Riz doré », qui s'est avéré un échec. Rai a été membre du conseil d'administration du CIMMYT (Centre international d'amélioration du maïs et du blé) et membre du Conseil exécutif du GCRAI.
RépondreSupprimerLes donateurs du Global Crop Diversity Trust ou les investisseurs providentiels incluent également, selon les mots du classique de Humphrey Bogart Casablanca, « tous les suspects habituels ». Outre les fondations Rockefeller et Gates, les donateurs comprennent les géants des OGM DuPont-Pioneer Hi-Bred, Syngenta de Bâle en Suisse, le CGIAR et l'agence d'aide au développement énergiquement pro-OGM du Département d'État, l'USAID. En effet, il semble que nous ayons des renards OGM et de réduction de population qui gardent le poulailler de l’humanité, le magasin mondial de diversité de semences au Svalbard. 8
Pourquoi maintenant le Svalbard ?
Nous pouvons légitimement nous demander pourquoi Bill Gates et la Fondation Rockefeller, ainsi que les grands géants de l’agro-industrie du génie génétique tels que DuPont et Syngenta, ainsi que le CGIAR, construisent la Chambre forte des semences de la fin du monde dans l’Arctique.
Qui utilise une telle banque de graines en premier lieu ? Les sélectionneurs de plantes et les chercheurs sont les principaux utilisateurs des banques de gènes. Les plus grands obtenteurs de plantes d'aujourd'hui sont Monsanto, DuPont, Syngenta et Dow Chemical, les géants mondiaux des brevets sur les OGM. Depuis le début de l'année 2007, Monsanto détient des droits de brevet mondiaux avec le gouvernement des États-Unis pour une plante appelée « Terminator » ou technologie de restriction de l'utilisation génétique (GURT). Terminator est une technologie inquiétante par laquelle une graine commerciale brevetée se suicide après une seule récolte. Le contrôle des sociétés semencières privées est total. Un tel contrôle et un tel pouvoir sur la chaîne alimentaire n’ont jamais existé dans l’histoire de l’humanité.
RépondreSupprimerCet astucieux trait terminateur génétiquement modifié oblige les agriculteurs à revenir chaque année chez Monsanto ou chez d'autres fournisseurs de semences OGM pour obtenir de nouvelles semences de riz, de soja, de maïs, de blé, quelles que soient les principales cultures dont ils ont besoin pour nourrir leur population. S'il était largement introduit dans le monde entier, il pourrait, d'ici une dizaine d'années, faire de la majorité des producteurs alimentaires de nouveaux serfs féodaux esclaves de trois ou quatre sociétés semencières géantes telles que Monsanto, DuPont ou Dow Chemical.
Cela, bien sûr, pourrait également ouvrir la porte à ces entreprises privées, peut-être sous les ordres de leur gouvernement hôte, Washington, refusant des semences à l'un ou l'autre pays en développement dont la politique allait à l'encontre de celle de Washington. Ceux qui disent que « cela ne peut pas arriver ici » devraient examiner de plus près les événements mondiaux actuels. La simple existence de cette concentration du pouvoir entre trois ou quatre géants privés de l’agro-industrie basés aux États-Unis justifie l’interdiction légale de toutes les cultures OGM, même si leurs gains de récolte étaient réels, ce qui n’est manifestement pas le cas.
Ces entreprises privées, Monsanto, DuPont, Dow Chemical, n’ont guère de bilan intact en termes de gestion de la vie humaine. Ils ont développé et fait proliférer des innovations telles que la dioxine, les PCB, l'agent Orange. Ils ont dissimulé pendant des décennies les preuves évidentes des conséquences cancérigènes et autres conséquences graves sur la santé humaine de l'utilisation de produits chimiques toxiques. Ils ont enterré des rapports scientifiques sérieux selon lesquels l'herbicide le plus répandu au monde, le glyphosate, l'ingrédient essentiel de l'herbicide Roundup de Monsanto qui est lié à l'achat de la plupart des semences génétiquement modifiées de Monsanto, est toxique lorsqu'il s'infiltre dans l'eau potable.9 Le Danemark a interdit le glyphosate en 2003 lorsque il a confirmé qu'il avait contaminé les eaux souterraines du pays.10
RépondreSupprimerLa diversité stockée dans les banques de gènes de semences constitue la matière première pour la sélection végétale et pour de nombreuses recherches biologiques fondamentales. Plusieurs centaines de milliers d'échantillons sont distribués chaque année à ces fins. La FAO de l'ONU répertorie quelque 1 400 banques de semences dans le monde, la plus grande étant détenue par le gouvernement des États-Unis. Les autres grandes banques sont détenues par la Chine, la Russie, le Japon, l’Inde, la Corée du Sud, l’Allemagne et le Canada, par ordre décroissant de taille. En outre, le CGIAR exploite une chaîne de banques de semences dans des centres sélectionnés à travers le monde.
Le CGIAR, créé en 1972 par la Fondation Rockefeller et la Fondation Ford pour diffuser leur modèle agro-industriel de la Révolution verte, contrôle la plupart des banques de semences privées, des Philippines à la Syrie en passant par le Kenya. Toutes ces banques de semences actuelles contiennent plus de six millions et demi de variétés de semences, dont près de deux millions sont « distinctes ». Le Doomsday Vault du Svalbard aura une capacité d'héberger quatre millions et demi de graines différentes.
Les OGM comme arme de guerre biologique ?
Nous arrivons maintenant au cœur du danger et du potentiel d’abus inhérent au projet Svalbard de Bill Gates et de la fondation Rockefeller. Le développement de semences brevetées pour la plupart des principales cultures de subsistance telles que le riz, le maïs, le blé et les céréales fourragères telles que le soja peut-il finalement être utilisé dans une forme horrible de guerre biologique ?
RépondreSupprimerL’objectif explicite du lobby eugénique financé par de riches familles d’élite telles que Rockefeller, Carnegie, Harriman et d’autres depuis les années 1920 incarne ce qu’ils appellent « l’eugénisme négatif », l’élimination systématique des lignées indésirables. Margaret Sanger, une eugéniste rapide, fondatrice de Planned Parenthood International et proche de la famille Rockefeller, a créé en 1939 quelque chose appelé The Negro Project, basé à Harlem, qui, comme elle l'a confié dans une lettre à un ami, était axé sur le fait que, comme elle l'a dit, « nous voulons exterminer la population noire ». 11
Une petite entreprise de biotechnologie californienne, Epicyte, a annoncé en 2001 le développement d'un maïs génétiquement modifié contenant un spermicide qui rendait stérile le sperme des hommes qui le mangeaient. À l’époque, Epicyte avait conclu un accord de coentreprise pour diffuser sa technologie avec DuPont et Syngenta, deux des sponsors du Svalbard Doomsday Seed Vault. Epicyte a depuis été racheté par une société de biotechnologie de Caroline du Nord. Il est étonnant d’apprendre qu’Epicyte a développé son maïs OGM spermicide avec des fonds de recherche du Département américain de l’Agriculture, ce même USDA qui, malgré l’opposition mondiale, a continué à financer le développement de la technologie Terminator, désormais détenue par Monsanto.
Dans les années 1990, l'Organisation mondiale de la santé des Nations Unies a lancé une campagne visant à vacciner des millions de femmes au Nicaragua, au Mexique et aux Philippines âgées de 15 à 45 ans, prétendument contre le tentanus, une maladie provoquée par exemple par le fait de marcher sur un clou rouillé. Le vaccin n’a pas été administré aux hommes ni aux garçons, bien qu’ils soient probablement tout aussi susceptibles que les femmes de marcher sur des ongles rouillés.
En raison de cette curieuse anomalie, le Comite Pro Vida de Mexico, une organisation laïque catholique romaine, est devenu méfiant et a fait tester des échantillons de vaccins. Les tests ont révélé que le vaccin contre le tétanos distribué par l'OMS uniquement aux femmes en âge de procréer contenait de la gonadotrophine chorionique humaine ou hCG, une hormone naturelle qui, combinée à un porteur d'anatoxine tétanique, stimulait les anticorps rendant une femme incapable de maintenir une grossesse. Aucune des femmes vaccinées n’en a été informée.
RépondreSupprimerIl est apparu plus tard que la Fondation Rockefeller, le Rockefeller's Population Council, la Banque mondiale (siège du CGIAR) et les National Institutes of Health des États-Unis avaient été impliqués dans un projet de 20 ans lancé en 1972 pour développer le vaccin contre l'avortement dissimulé chez un porteur du tétanos pour l'OMS. En outre, le gouvernement norvégien, hôte du Svalbard Doomsday Seed Vault, a fait don de 41 millions de dollars pour développer le vaccin abortif spécial contre le tétanos. 12
Est-ce une coïncidence si ces mêmes organisations, de la Norvège à la Fondation Rockefeller en passant par la Banque mondiale, sont également impliquées dans le projet de banque de semences du Svalbard ? Selon le professeur Francis Boyle, qui a rédigé la loi antiterroriste sur les armes biologiques de 1989, promulguée par le Congrès américain, le Pentagone « se prépare désormais à mener et à gagner la guerre biologique » dans le cadre de deux directives stratégiques nationales de Bush adoptées, note-t-il : « à l'insu du public et à l'insu du public » en 2002. Boyle ajoute qu'au cours de la seule période 2001-2004, le gouvernement fédéral américain a dépensé 14,5 milliards de dollars pour des travaux civils liés à la guerre biologique, une somme faramineuse.
Richard Ebright, biologiste à l'Université Rutgers, estime que plus de 300 institutions scientifiques et quelque 12 000 individus aux États-Unis ont aujourd'hui accès à des agents pathogènes adaptés à la guerre biologique. À lui seul, il existe 497 subventions du gouvernement américain NIH pour la recherche sur les maladies infectieuses présentant un potentiel de guerre biologique. Bien sûr, cela est justifié sous la rubrique de la défense contre d’éventuelles attaques terroristes, comme c’est souvent le cas aujourd’hui.
RépondreSupprimerUne grande partie des dollars du gouvernement américain consacrés à la recherche sur la guerre biologique impliquent le génie génétique. Jonathan King, professeur de biologie au MIT, affirme que « les programmes de bioterrorisme croissants représentent un danger émergent et important pour notre propre population ». King ajoute : « alors que de tels programmes sont toujours qualifiés de défensifs, avec les armes biologiques, les programmes défensifs et offensifs se chevauchent presque complètement ». 13
Le temps nous dira si, Dieu nous en préserve, la banque de graines apocalyptique du Svalbard de Bill Gates et de la Fondation Rockefeller fait partie d’une autre solution finale, impliquant l’extinction de la grande planète Terre.
Notes
RépondreSupprimer1 F. William Engdahl, Seeds of Destruction, Montréal, (Global Research, 2007).
2 Ibid, p. 72-90.
3 John H. Davis, Harvard Business Review, 1956, cité dans Geoffrey Lawrence, Agribusiness, Capitalism and the Countryside, Pluto Press, Sydney, 1987. Voir aussi Harvard Business School, The Evolution of an Industry and a Seminar: Agribusiness Seminar, http ://www.exed.hbs.edu/programs/agb/seminar.html .
4 Engdahl, op. cit., p. 130.
5 Idem. P. 123-30.
6 Myriam Mayet, La nouvelle révolution verte en Afrique : cheval de Troie des OGM ?, mai 2007, Centre africain pour la biosécurité, www.biosafetyafrica.net .
7 ETC Group, Green Revolution 2.0 for Africa?, Communiqué numéro 94, mars/avril 2007.
8 Site Web du Global Crop Diversity Trust, sur http://www.croptrust.org/main/donors.php .
9 Engdahl, op. cit., pp.227-236.
10 Anders Legarth Smith, Le Danemark interdit les glyphosates, l'ingrédient actif du Roundup, Politiken, 15 septembre 2003, dans Organic.com.au/news/2003.09.15.
11 Tanya L. Green, The Negro Project : Margaret Sanger's Genocide Project for Black American's, sur www.blackgenocide.org/negro.html .
12 Engdahl, op. cit., p. 273-275 ; JA Miller, Les nouveaux vaccins sont-ils associés à des médicaments contraceptifs ?, Rapports HLI, Human Life International, Gaithersburg, Maryland ; Juin/juillet 1995, volume 13, numéro 8.
13 Sherwood Ross, Bush Developing Illegal Bioterror Weapons for Offensive Use, 20 décembre 2006, sur www.truthout.org .
https://www.globalresearch.ca/doomsday-seed-vault-in-the-arctic-2/23503
Les « Chevaliers » francs-maçons de la Révolution américaine. La Réserve fédérale des Rothschild
RépondreSupprimerPar Dean Henderson
Recherche mondiale,
25 août 2024
La recherche mondiale veut avoir de vos nouvelles !
* * *
[ Extrait de mon livre Royal Bloodline Wetiko & The Great Remembering : Chapitre 12 : The Bloodline Take Down of America : Part I]
Pendant la Révolution américaine, de nombreux agents de la Couronne ont tenté de faire pencher la balance en faveur de la Couronne détestée.
Les « chevaliers » francs-maçons de la Couronne avaient déjà établi des loges dans les colonies à cet effet. De nombreux chercheurs pensent que la Révolution américaine a pu se produire puisque le Parlement britannique ne contrôlait plus les États-Unis, mais que, grâce à divers mécanismes, la Couronne pouvait toujours exercer un contrôle.
Le plus important de ces mécanismes était l’usure, qu’ils contrôlaient par l’intermédiaire de leurs banques cartellisées. En effet, la dette nationale américaine s’élève désormais à 31 500 milliards de dollars.
Histoire des États-Unis, Réserve fédérale
Lorsque les États-Unis ont été fondés, un grand débat a eu lieu sur la question de savoir si nous devions ou non avoir une banque centrale publique ou privée. Des gens comme Thomas Jefferson, John Adams, John Quincy Adams et James Monroe se sont prononcés en faveur d'une banque publique . Aucun n’était franc-maçon.
De l’autre côté, George Washington, John Jay, Benjamin Franklin et Alexander Hamilton défendaient la création d’une banque privée. Tous étaient des francs-maçons de haut niveau.
Hamilton agissait également en tant qu'agent de la Couronne au nom de la famille Rothschild, banquiers de la Couronne britannique.
Les francs-maçons l'emportèrent et en 1789, Alexander Hamilton devint le premier secrétaire au Trésor américain. Mais le véritable pouvoir serait exercé par la nouvelle banque centrale privée contrôlée par les Rothschild – la Banque des États-Unis – fondée en 1791.
Hamilton, qui a également fondé la puissante Bank of New York (aujourd'hui Bank of New York Mellon), a illustré le mépris que sa faction franc-maçonne endoctrinée de longue date avait pour l'humanité, déclarant un jour :
« Toutes les communautés se divisent en quelques-uns et en plusieurs. Les premiers sont les riches et les bien nés, les autres la masse du peuple… Le peuple est turbulent et changeant ; ils jugent et déterminent rarement ce qui est juste. Donnez donc à la première classe une part distincte et permanente du gouvernement. Ils vérifieront l’instabilité du second.
Thomas Jefferson a répondu à cette absurdité :
RépondreSupprimer« Un pays qui espère rester ignorant et libre… attend ce qui n’a jamais été et ce qui ne sera jamais. Il n’y a pratiquement pas un roi sur cent qui ne suivrait pas, s’il le pouvait, l’exemple de Pharaon : obtenir d’abord tout l’argent du peuple, puis toutes ses terres, et ensuite faire d’eux et de leurs enfants des serviteurs pour toujours… les établissements bancaires sont plus dangereux que armées permanentes. Ils ont déjà créé une aristocratie financière.»
Néanmoins, la Banque des États-Unis a conservé sa charte de 20 ans jusqu'en 1811. L'opposition du public à la banque était forte, mais la Couronne a plongé le pays dans la guerre de 1812, au cours de laquelle les États-Unis ont accumulé des dettes envers la Banque des États-Unis. (BUS). Le pays étant confronté à la ruine économique, la charte de la Banque fut renouvelée en 1816.
En 1828, Andrew Jackson s'est présenté à la présidence sur une rampe de quai anti-BUS,
« Vous êtes un repaire de vipères. J'ai l'intention de vous dénoncer et, par l'Éternel Dieu, je vous mettrai en déroute. Si le peuple comprenait les graves injustices de notre système monétaire et bancaire, il y aurait une révolution avant le matin.»
Jackson a remporté les élections et a immédiatement révoqué la charte du BUS en disant :
« La loi semble reposer sur une idée erronée selon laquelle les actionnaires actuels ont un droit prescriptif non seulement à la faveur, mais aussi à la générosité du gouvernement… pour leur bénéfice, cette loi exclut l'ensemble du peuple américain de la concurrence dans l'achat de cette loi. monopole. Les actionnaires actuels et ceux qui héritent de leurs droits en tant que successeurs soient établis dans un ordre privilégié, dotés à la fois d'un grand pouvoir politique et bénéficiant d'immenses avantages pécuniaires grâce à leurs liens avec le gouvernement. Si son influence était concentrée, sous l'effet d'une loi comme celle-ci, entre les mains d'un directoire auto-élu dont les intérêts s'identifient à ceux des actionnaires étrangers, n'y aura-t-il pas lieu de trembler pour l'indépendance de notre pays en temps de guerre. … contrôler notre monnaie, recevoir nos deniers publics et détenir l'indépendance de milliers de nos citoyens, ce serait plus redoutable et dangereux que la puissance navale et militaire de l'ennemi. Il est regrettable que les riches et les puissants détournent trop souvent les actes du gouvernement à des fins égoïstes… pour rendre les riches plus riches et plus puissants. Beaucoup de nos hommes riches ne se sont pas contentés d’une protection et d’avantages égaux, mais nous ont suppliés de les enrichir davantage par des actes du Congrès. J’ai fait mon devoir envers ce pays.
En 1835, Jackson fut la cible de la première tentative d’assassinat contre un président américain. Le tireur était Richard Lawrence, qui a avoué être « en contact avec les puissances européennes ». Mais sous la direction de Jackson, la dette nationale américaine est tombée à zéro pour la première et dernière fois de notre histoire.
RépondreSupprimerEnragé par l'opposition de Jackson à l'usure de la Couronne, le président du BUS, Nicholas Biddle, coupa le financement du gouvernement américain en 1842, plongeant l'Amérique dans une dépression. Le patron de Biddle était Jacob Rothschild, basé à Paris. Désireuse d'étendre sa traite des esclaves du Sud au Mexique et en Amérique centrale, la Couronne a également déclenché la guerre américano-mexicaine contre Jackson.
La guerre civile a commencé peu de temps après, la Couronne finançant les deux camps pour tenter de détruire leur colonie indisciplinée. Ils finançaient également l’empereur Maximilien Ier du Mexique pour harceler les États-Unis depuis la frontière sud. L'Autrichien fut empereur du Second Empire mexicain de 1864 à 1867. L'archiduc était également membre de la puissante maison de Habsbourg-Lorraine. Il a été installé après que les couronnes d'Espagne, de France et du Royaume-Uni ont envahi le Mexique en 1861 pour dette impayée. En 1861, les États-Unis avaient une dette de 100 millions de dollars envers la Couronne.
Mais le président nouvellement élu Abraham Lincoln a montré une attitude similaire à l'égard de l'usure de la Couronne, en émettant des billets verts Lincoln pour payer les factures de l'armée de l'Union. Le porte-parole de la Couronne, le Times de Londres, appelle désormais à la « destruction du gouvernement américain ».
La circulaire sur les risques rédigée par les eurobanquiers a été dévoilée et distribuée dans tout le pays par des populistes en colère. Il a dit,
« Les banquiers européens sont favorables à la fin de l’esclavage… le plan européen est que les prêteurs de capitaux contrôlent le travail en contrôlant les salaires. L’énorme dette que connaîtront les capitalistes est issue de la guerre et doit être utilisée pour contrôler la valve de l’argent. Pour y parvenir, les obligations d’État doivent être utilisées comme base bancaire. Nous attendons maintenant que le secrétaire au Trésor, Salmon Chase, fasse cette recommandation. Cela ne permettra pas aux billets verts de circuler sous forme de monnaie, car nous ne pouvons pas contrôler cela. Nous contrôlons les obligations et à travers elles les émissions bancaires ».
La National Banking Act de 1863 a rétabli une banque centrale américaine privée et les obligations de guerre de Chase ont été émises . Lincoln a été réélu l'année suivante, s'engageant à abroger la loi après avoir prêté serment en janvier 1865. Mais avant de pouvoir agir, il fut assassiné au Ford Theatre par John Wilkes Booth. Booth avait d'importantes relations avec les banquiers internationaux. Sa petite-fille a écrit This One Mad Act , qui détaille les contacts de Booth avec de « mystérieux Européens » juste avant l'assassinat de Lincoln.
RépondreSupprimerAprès le coup de Lincoln, Booth a été emmené par des membres d'une société secrète connue sous le nom de Chevaliers du Cercle d'Or (KGC). KGC entretenait des liens étroits avec la Société française des Saisons, qui a produit Karl Marx. KGC avait fomenté une grande partie des tensions qui ont provoqué la guerre civile et le président Lincoln avait spécifiquement ciblé le groupe.
Booth était membre du KGC et était connecté à la maison Rothschild par l'intermédiaire du secrétaire d'État confédéré, Judah Benjamin. Benjamin s'enfuit en Angleterre après la guerre.
https://www.globalresearch.ca/rothschilds-federal-reserve/5859091
Des catastrophes énergétiques « propres » se profilent au large de nos côtes
RépondreSupprimerUne pale d’éolienne cassée a paralysé les plages du Massachusetts. Que feraient les ouragans ?
Par Paul Driessen
27 août 2024
Les photos de phoques et d’oiseaux recouverts de pétrole prises lors de l’éruption du puits de pétrole de Santa Barbara en Californie en 1969 ont contribué à lancer les mouvements écologistes et anti-pétrole. Quelque 90 000 barils ont pollué les eaux océaniques et pourtant, lorsque je plongeais sous-marine en dessous deux décennies plus tard, la même structure de support de plate-forme de production abritait à nouveau un magnifique écosystème avec des millions d’anémones, de moules, d’étoiles de mer, de crabes et de poissons.
La catastrophe du navire de forage Deepwater Horizon de 2010 a tué onze travailleurs et a déversé 3 à 4 millions de barils de pétrole et d’énormes quantités de gaz naturel dans le golfe du Mexique. Pourtant, dans un délai étonnamment court après que le puits incontrôlable ait été bouché, l’action des vagues, les produits chimiques dispersants, les gouttelettes de pétrole couvertes de poussière qui coulent lentement au fond de la mer et d’autres forces naturelles ont nettoyé les eaux du pétrole.
Ces autres forces étaient des microbes dégradant les hydrocarbures qui sont toujours présents dans les eaux océaniques du monde entier – mais se reproduisent rapidement lorsqu’ils détectent du pétrole dans leur environnement. Après avoir épuisé les sources de nourriture des hydrocarbures, les microbes meurent à un nombre normal et de nouveaux organismes dégradent les sous-produits créés par les premiers butineurs, jusqu’à ce que ces nutriments disparaissent également. Ensuite, leurs populations chutent également, dans un océan nouvellement propre.
Les catastrophes ont incité l’industrie à mettre en œuvre de meilleures technologies et procédures de prévention des éruptions.
Les militants anti-pétrole affirment que cela n’a rien à voir avec le sujet, mais ils soulignent également pourquoi nous devons bannir le pétrole et le gaz – et remplacer les combustibles fossiles par des énergies propres et vertes, éoliennes, solaires et à piles. Sinon, la faune, les plages et le tourisme seront menacés à répétition par les marées noires.
Il devient de plus en plus évident que ces alternatives supposées ne fonctionneront pas, d’autant plus que l’intelligence artificielle, les véhicules électriques, les centres de données, le chauffage et la cuisson électriques imposés par le gouvernement et la recharge des batteries de secours du réseau doublent ou triplent la demande de production d’électricité. L’électricité intermittente ne peut pas alimenter les nations modernes. L’éolien et le solaire ne peuvent pas produire des milliers de produits essentiels qui nécessitent des stocks d’alimentation pétrochimiques. Ces sources d’énergie ne sont ni propres, ni vertes, ni renouvelables, ni durables. Elles mettent en danger la faune.
RépondreSupprimerUn accident récent au large de la côte de Nantucket, dans le Massachusetts, souligne une autre raison pour laquelle des centaines ou des milliers d’éoliennes monstrueuses ne peuvent pas être autorisées dans les eaux côtières américaines.
Des éclats, des morceaux et finalement le reste d’une pale d’éolienne sont tombés dans l’océan. Une pale… d’un projet de 62 éoliennes dont les trois quarts ne sont terminés que… brisée par son propre poids, pas par une tempête.
Et pourtant, les plages ont dû être fermées en pleine saison touristique, tandis que les équipages ramassaient des morceaux de pales en fibre de verre-résine-plastique-mousse, et que les bateaux esquivaient les gros morceaux flottant dans l’eau. Pire encore, Vineyard Wind n’a informé les responsables de Nantucket des problèmes que deux jours après que la pale ait commencé à se désintégrer.
Chaque pale mesure 106 mètres de long et pèse 63 tonnes. C’est plus qu’un Boeing 737 entièrement occupé. Vineyard Wind comprend 186 pales : 19 000 mètres (12 miles) de longueur totale combinée, pour un poids combiné de 12 000 tonnes !
Le plan éolien offshore Biden-Harris prévoit une capacité de production de 30 000 mégawatts d’ici 2030. Cela représente 2 500 turbines offshore gigantesques de 12 MW. Cela ne suffira même pas à répondre aux besoins actuels en électricité de pointe de l’État de New York pendant l’été, avant que toutes ces demandes supplémentaires ne se fassent sentir. La contribution de l’éolien offshore à la satisfaction des demandes futures de tous les États de la côte atlantique pourrait facilement nécessiter 5 000 de ces turbines : 15 000 pales, pesant au total 2 milliards de livres et s’étendant sur 5 250 000 pieds (995 miles) !
Encore plus inquiétant, toute la côte atlantique est le pays des ouragans. Chaque année, presque sans exception. Les seules questions sont de savoir combien d’ouragans, quelle est leur puissance et où chacun d’eux frappera.
RépondreSupprimerLes enregistrements de la NOAA pour les ouragans touchant terre – ceux qui ont réellement touché les plages et les villes américaines – révèlent que 105 ouragans de catégorie 1 à 5 ont frappé la côte atlantique, de la Floride au Maine, de 1851 à 2023. Ajoutez à cela ceux qui sont restés en mer, où se trouveront les turbines, et ce nombre pourrait doubler.
Sur ce total, 23 étaient de catégorie 3 à 5 (vents de 111 à 157 mph ou plus). La plupart ont frappé la Floride, la Géorgie et la Caroline du Sud. Mais 39 ont touché terre entre la Caroline du Nord et le Delaware – et 19 ont touché les États du Nord-Est, dont neuf monstres de catégorie 2-3 (vents de 96 à 129 mph).
Attention – ces turbines seront affaiblies par des embruns salins corrosifs constants et fréquemment par des tempêtes sous-ouragans. Lorsque l’inévitable grand ouragan rugira sur la côte, la dévastation suivra.
Kamala Harris est optimiste à propos de l’éolien offshore. Au cours des trois dernières années et demie, elle a aidé à diriger une administration déterminée à convertir les États-Unis à l’énergie éolienne, solaire et à l’énergie des batteries, à accélérer les permis pour les projets « d’énergie propre » terrestres et offshore, et même à renoncer à l’obligation pour les développeurs d’éoliennes offshore de verser des cautions et de payer pour le retrait des tours éoliennes offshore endommagées, cassées et obsolètes.
Elle soutient l’interdiction des pailles en plastique, mais n’a jamais demandé combien de pailles en plastique il faudrait pour égaler 15 000 pales d’éoliennes offshore. (En termes nautiques, un nombre insondable.) De plus, les pailles en plastique ne contiennent pas d’éclats de fibre de verre dangereusement tranchants et ne peuvent pas couler des bateaux de pêche qui entrent en collision avec d’énormes dalles de pales d’éoliennes, mais difficiles à voir.
Mme Harris, Tim Walz et d’autres fanatiques de l’éolien ignorent les inquiétudes concernant les ouragans qui anéantissent les forêts d’éoliennes offshore comme étant de la propagande anti-éolienne. L’histoire dit le contraire.
L'ouragan de la fête du Travail de 1935 a dévasté la Floride avec des vents de plus de 200 km/h, la Géorgie avec des vents de catégorie 1. Le grand ouragan de la Nouvelle-Angleterre de 1938 a frappé New York, le Connecticut, Rhode Island et le Massachusetts avec une force de 115 à 120 km/h. Le grand ouragan de l'Atlantique de 1944 a frappé la côte de la Caroline du Nord au New Jersey et au Massachusetts avec des vents de catégorie 2.
Edna a frappé le Nord-Est avec des vents de catégorie 2 en 1954, Donna a récidivé en 1960, et Gloria a frappé la région avec des rafales de 96 à 115 km/h en 1985, atteignant même le New Hampshire et le Maine ! Isabel a frappé la Caroline du Nord et la Virginie en 2003. L'ouragan « mineur » de catégorie 1 de 2012, mieux connu sous le nom de super tempête Sandy, a également été dévastateur.
RépondreSupprimerCe résumé ne comprend que quelques-uns de ceux qui ont frappé les États du nord et du centre de l’Atlantique, et quelques-uns qui ont frappé la Floride, la Géorgie et la Caroline du Sud – tous des territoires de choix pour les forêts d’éoliennes offshore, fixées au fond de la mer ou posées de façon insensée sur d’énormes plates-formes flottantes au large du Maine et d’autres États. Elles échoueraient toutes.
Le remplacement de centaines ou de milliers d’éoliennes et de pales déchirées, endommagées et brisées prendrait des années, voire des décennies. Pendant ce temps, il n’y aurait pas d’électricité sur une côte est entièrement électrique, ordonnée par le gouvernement Harris-Biden-Walz-Démocrate. L’absence de chauffage, de climatisation et d’électricité pour les maisons, les hôpitaux et tout le reste déplacerait des millions de personnes et en tuerait des milliers.
Il faut espérer que les politiciens et les bureaucrates pourront accélérer la construction de nouvelles turbines à gaz et de centrales nucléaires modulaires. Cela ne signifierait que quelques années de privation et de pannes d’électricité, au lieu de plusieurs années, voire de décennies.
Sinon, des plaques flottantes de pales d’éoliennes cassées mettraient en danger les bateaux pendant des mois ou des années, jusqu’à ce qu’elles soient récupérées, ramenées à terre et mises en décharge. Le nettoyage de milliards d’éclats tranchants de fibre de verre – chacun mesurant entre 2,5 et 60 centimètres de long et quasiment invisibles – prendrait probablement des décennies, pendant lesquelles ils empaleraient et mettraient en danger les promeneurs sur la plage, les nageurs, les poissons, les baleines, les dauphins et d’autres espèces marines.
Je ne suis pas microbiologiste, mais je ne connais aucun microbe qui dévore la fibre de verre, la résine ou la mousse plastique.
Sans caution ni obligation pour les grands éoliens de couvrir les coûts de nettoyage et de démontage des turbines, les contribuables privés d’électricité se retrouveraient à devoir payer la note.
Avant de nous précipiter davantage dans cette « transformation des énergies renouvelables », pouvons-nous d’abord avoir une analyse réaliste et de bon sens ? Pouvons-nous au moins réfléchir avant de voter cet automne ?
https://www.lewrockwell.com/2024/08/paul-driessen/looming-clean-energy-disasters-off-our-coasts/
Si tout va si bien, pourquoi des millions d'Américains dorment-ils dans leur véhicule ?
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 27 AOÛT 2024 - 13:20
Rédigé par Michael Snyder via TheMostImportantNews.com,
Avez-vous remarqué un nombre inhabituel de véhicules dans les parkings des principaux détaillants de votre région la nuit ? Si vous regardez de plus près, vous verrez que beaucoup de ces véhicules ont en fait des gens qui dorment à l'intérieur. À ce stade, des millions d'Américains dorment dans leur véhicule chaque nuit. Cela se produit même si on nous dit que l'économie va très bien. Mais bien sûr, la vérité est que le système est en train d'échouer tout autour de nous. Donc, si vous pouvez dormir dans un lit très chaud dans une maison très chaude, vous devriez vous considérer comme très chanceux, car un grand nombre de personnes sont vraiment en difficulté en ce moment.
La principale raison pour laquelle tant de personnes vivent dans leur véhicule est que le coût de la vie a atteint des sommets sans précédent.
En particulier, le coût du logement est devenu extrêmement oppressant. En fait, le logement aux États-Unis est devenu plus inabordable que jamais auparavant.
Cette semaine, j’ai été stupéfait de lire l’histoire d’un homme de 33 ans nommé Ishan Abeysekera qui paye 2 100 $ par mois pour partager une maison avec 23 autres personnes…
Dans une ville aussi chère que New York, il est courant de voir des personnes de 20 à 30 ans vivre avec des colocataires pour aider à gérer le coût de la vie élevé.
Mais Ishan Abeysekera a poussé cela à un niveau supérieur avec sa situation de vie actuelle à Brooklyn : un immeuble communautaire qu’il partage avec 23 autres personnes.
« Quand je dis que j’ai 23 colocataires, les gens disent : « Quoi ? Ça a l’air fou », a déclaré Abeysekera à CNBC Make It. « Mais en fait, c’est plutôt sympa. »
RépondreSupprimerC’est dingue !
Qui paierait autant pour vivre avec 23 inconnus ?
Bien sûr, la plupart des Américains ne peuvent pas se permettre de payer 2 100 $ par mois pour se loger.
Par exemple, on rapporte que certaines hôtesses de l’air qui travaillent pour American Airlines « dorment dans leur voiture » parce que leur salaire est trop bas…
La plupart des nouvelles hôtesses de l’air embauchées doivent vivre dans des villes comme Dallas, Miami et New York, qui ont un coût de la vie trop élevé pour elles, a noté Hedrick.
Les hôtesses de l’air américaines dorment dans leur voiture, a-t-elle dit. Certaines d’entre elles se battent pour des voyages juste pour avoir la chance de manger les repas de l’avion, si les pilotes ne prennent pas leur repas en premier.
« Nos nouvelles hôtesses de l’air sont en difficulté », a déclaré Hedrick, ajoutant que les nouvelles recrues rejetaient le plus fortement l’augmentation de 17 %.
Quand j’étais jeune, j’ai toujours pensé que celles qui étaient sélectionnées comme hôtesses de l’air avaient de très bons emplois.
Mais cette époque est révolue depuis longtemps.
Dans cette économie, de nombreuses hôtesses de l’air n’ont même pas les moyens de se loger.
Bien sûr, il y a des millions d’autres personnes dans une situation similaire. Ces dernières années, la « vie en van » est devenue très tendance, et plus de 3 millions d’Américains entrent désormais dans cette catégorie…
« La vie en van » ou « la vie en van » est un terme qui devient de plus en plus populaire dans tout le pays. Les gens font leurs valises, emménagent dans une unité mobile et explorent les États.
Selon Yahoo Finance, le nombre de vanlifers américains a augmenté de 63 % au cours des deux dernières années, passant de 1,9 million en 2020 à 3,1 millions en 2022.
Autrefois, si vous viviez dans un van au bord de la rivière, vous étiez considéré comme un clochard.
Mais dans cette économie, vivre dans un van au bord de la rivière est tout simplement considéré comme normal.
Il va sans dire que certains « vanlifers » choisissent ce style de vie en raison de la liberté qu’il offre.
RépondreSupprimerMais il y en a beaucoup d’autres qui ont été contraints d’adopter ce style de vie. Une femme nommée Michelle Rose, qui possédait une maison dans le Montana, en fait partie…
Il y a trois ans et demi, au début de la pandémie, Michelle Rose était sur le point de perdre sa maison du Montana, avait des problèmes avec son travail, avait perdu sa mère et avait mis tout ce qu’elle possédait dans une camionnette pour y vivre en permanence.
« Je me suis dit : faisons-le, vendons la maison et prenons la route et nous verrons les choses au fur et à mesure. J’ai vécu une vie au jour le jour », a déclaré Rose.
Michelle dit que les finances sont la partie la plus difficile de la vie en camionnette pour elle, c’est une inquiétude constante et trouver du travail est également un défi.
Une autre femme nommée Katie qui « travaille comme coach de manifestation et dans un café local » admet que ce fut un ajustement mental difficile lorsqu’elle a commencé à vivre dans son véhicule…
Katie J., qui travaille comme coach de manifestation et dans un café local, a parlé du travail mental qu’elle a dû accomplir pour atteindre un sentiment d’appartenance à la communauté.
« La vie en van est amusante et cool, elle permet d’économiser de l’argent et elle est flashy sur Instagram et tout ça », a déclaré Katie J., « mais cela vous fera réfléchir à beaucoup de choses sur le fait de ne pas avoir de racines quelque part… Je suis une femme noire et je suis déjà rare à Truckee, donc vivre aussi dans un van, j’avais tellement de choses à faire autour de ça, tellement de travail d’ombre à faire autour des croyances limitantes et du sentiment que je ne suis pas censée être ici, que je ne devrais pas me garer ici et que je vais avoir des ennuis. »
Beaucoup de ces personnes ont un emploi, et beaucoup d’entre elles ne seraient pas officiellement classées comme « sans-abri ».
Mais la crise du coût de la vie les a poussées au bord de tout perdre.
Malheureusement, nos dirigeants ne semblent jamais apprendre. Ils continuent d’emprunter et de dépenser de l’argent à un rythme sans précédent, ce qui continue de créer encore plus d’inflation.
Si vous pouvez le croire, notre gouvernement dépense même « jusqu’à un quart de million de dollars des contribuables » pour apprendre aux enfants irakiens à devenir des militants du climat…
Le Département d’État offre jusqu’à un quart de million de dollars des contribuables à une organisation à but non lucratif éligible pour enseigner aux adolescents irakiens le militantisme climatique.
Les lycéens irakiens pourraient bénéficier de « clubs d’action écologique » financés par les contribuables qui leur apprendront à défendre la réforme environnementale dans leur pays d’origine, selon un appel à subventions publié par le Département d’État au début du mois. Les clubs auront plusieurs objectifs, allant de l’élaboration d’un « agenda écologique et d’un plan d’action » qui généreront des « solutions au changement climatique » à la conduite d’une campagne sur les réseaux sociaux pour sensibiliser à la crise climatique.
Nous commettons littéralement un suicide national, mais la plupart de la population ne semble pas s’en soucier.
À chaque cycle électoral, les gros dépensiers sont renvoyés à Washington encore et encore.
Pendant ce temps, de plus en plus d’Américains sont obligés de dormir dans leur véhicule chaque jour qui passe.
S'il vous plaît, ne méprisez pas ceux qui ont été forcés de dormir dans un véhicule, car avec un peu de malchance, presque n'importe qui pourrait se retrouver dans la même situation.
https://www.zerohedge.com/personal-finance/if-everything-so-great-why-are-millions-americans-sleeping-their-vehicles