samedi 20 juillet 2024

Chaleur estivale : le prix de la climatisation a chuté de 97 % depuis 1952

Alexander Hammond

19 juillet 2024


Combien payons-nous pour rester au frais ? L’évolution du prix de la climatisation va vous surprendre.

Par Alexander C. R. Hammond et Gale L. Pooley1, depuis les États-Unis.

Avec les chaleurs de l’été, il peut être utile de nous intéresser à la climatisation, cette invention qui nous permet d’échapper à la chaleur estivale, d’habiter dans des endroits auparavant invivables, d’augmenter notre productivité au travail et d’éviter à des millions de gens d’être frappés mortellement par la canicule. Elle est utilisée par des centaines de millions de personnes dans le monde et, heureusement, elle devient de plus en plus abordable.

Contre les méfaits climatiques, les bienfaits des progrès techniques : la climatisation !

La climatisation a été inventée il y a 117 ans, en 1902, par Willis Carrier à Brooklyn, New York. Carrier a inventé cette machine pour une maison d’édition locale, qui rencontrait des problèmes causés par la chaleur et l’humidité dans sa fabrique. Les étés étouffants de Brooklyn faisaient que le papier d’impression de l’atelier d’édition absorbait souvent l’humidité de l’air, entrainant des gonflements et des déformations qui détérioraient l’alignement des couleurs sur les pages imprimées, causant des pertes financières.

Bien que la climatisation ait d’abord été utilisée à des fins industrielles, elle a gagné en popularité durant l’essor économique d’après-guerre, dans les années 1950, et son utilisation s’est répandue aux bureaux, hôtels, magasins, cinémas et résidences privées. L’un des aspects les plus impressionnants de l’invention de la climatisation est la rapidité avec laquelle elle est passée d’un bien de luxe réservé aux plus riches à un produit abordable pour le plus grand nombre.

Selon Measuringworth.com, en 1952, le salaire horaire moyen des ouvriers (les cols bleus) était de 1,72 dollar. À l’époque, comme Michael Cox et Richard Alm l’ont constaté dans leur étude de 1997 intitulée Time Well Spent: The Declining Real Cost of Living in America, le prix moyen d’un climatiseur de 1600 watts était de 350 dollars. En 1952 un ouvrier devait donc travailler 203 heures pour gagner suffisamment d’argent pour s’acheter un appareil de climatisation.

Aujourd’hui, Walmart vend un climatiseur beaucoup plus efficace de 1700 watts (avec télécommande) pour seulement 178 dollars. Avec le salaire horaire actuel d’un ouvrier de 32 dollars, il ne faut plus que 5,56 heures de travail pour acheter un tel climatiseur. Cela signifie que le prix en temps de travail (le nombre d’heures de travail nécessaires pour gagner assez d’argent pour acheter un produit) de la climatisation a baissé de plus de 97 % depuis 1952.

En d’autres termes, pour la même quantité de travail qu’il a fallu pour acheter un climatiseur en 1952, vous pouvez en acheter plus de 36 aujourd’hui.

Si toute la population des États-Unis (158 millions) avait acheté un climatiseur en 1952, il aurait fallu au total 32,1 milliards d’heures de travail. Alors que la population des États-Unis a augmenté de 109 % pour atteindre 330 millions d’habitants, il ne faudrait aujourd’hui que 1,8 milliard d’heures de travail pour que chaque Américain ait les moyens d’acquérir un climatiseur. Cela signifie que même si la population a augmenté, la climatisation est devenue nettement plus accessible pour tous.

Surpopulation rime avec surabondance de biens

Nous nommons « surabondance » le phénomène selon lequel la baisse du prix calculé en temps de travail est proportionnellement plus rapide que la croissance de la population. Pour en savoir plus sur cette « surabondance », consultez le site web du nouveau projet de HumanProgress.org : The Simon Project. Contre toute attente, le projet Simon montre que le prix calculé en temps de travail des biens et des ressources diminue à mesure que la population augmente. Au lieu de provoquer des pénuries, des personnes supplémentaires rendent les biens et les ressources plus abondantes.

La baisse du prix de la climatisation est une tendance commune à presque tous les appareils ménagers, des grille-pain aux téléviseurs, des lave-vaisselle aux micro-ondes, des barbecues aux robots mixeurs.

En attendant le retour de la fraicheur automnale, nous devrions nous réjouir qu’une machine qui a sauvé et amélioré des millions de vies dans le monde continue de devenir de plus en plus abordable et abondante.

Sur le web. Traduction : Raphaël Marfaux pour Contrepoints.

Article original paru le 2 septembre 2019.

Gale L. Pooley est économiste, professeur associé à la Brigham Young University de Hawaï. ↩

https://www.contrepoints.org/2024/07/19/352678-chaleur-estivale-le-prix-de-la-climatisation-a-chute-de-97-depuis-1952

117 commentaires:

  1. Willis Haviland Carrier invente la climatisation – Les Héros du progrès (23)


    Alexander Hammond
    Un article de Human Progress
    19 juillet 2024


    Voici le vingt-troisième épisode d’une série d’articles intitulée « Les Héros du progrès ». Cette rubrique présente une courte description des héros qui ont apporté une contribution extraordinaire au bien-être de l’humanité.

    Cette semaine, notre héros est Willis Haviland Carrier, l’ingénieur américain qui a créé la première installation de climatisation moderne. Cette invention nous offre un répit contre la chaleur estivale, permet à notre espèce d’habiter des lieux auparavant inhospitaliers, augmente la productivité du travail lorsqu’elle est installée dans les usines et les bureaux du monde entier, et sauve des millions de personnes de la mort suite à un excès de chaleur.

    Willis Haviland Carrier est né dans la ferme familiale à Angola, New York, le 26 novembre 1876. Il fréquente le lycée de Buffalo, à New York et, en 1897, il obtient une bourse d’État de quatre ans pour étudier à l’université Cornell.

    En 1901, Carrier obtient un BSE (Bachelor of Science in Engineering) en génie électrique. La même année, il commence à travailler comme ingénieur de recherche pour la Buffalo Forge Company, une entreprise basée à New York qui conçoit et fabrique des machines à vapeur et des pompes.

    Les premiers mois il travaille sur un système de chauffage pour sécher le bois de charpente et le café. En 1902, la Sackett-Wilhelms Lithographing & Publishing Company demande à Buffalo Forge de concevoir un système pour contrôler l’humidité dans son usine.

    Les températures élevées et le niveau d’humidité dans l’usine d’impression de Sackett-Wilhelms étaient tels que le papier d’impression absorbait souvent l’humidité de l’air, provoquant une dilatation du papier. Cela posait un problème, car les couleurs utilisées dans le processus d’impression se désalignaient lorsque le papier changeait de taille, ce qui gâchait le processus de production.

    Carrier décide de s’attaquer à ce problème. Il crée la première installation de climatisation au monde en 1902. L’invention de Carrier permettait de contrôler la température, l’humidité et la circulation de l’air de l’imprimerie Sackett-Wilhelms, et ce tout en l’assainissant. Elle fonctionnait en aspirant l’air à travers un filtre, en le faisant passer sur des serpentins remplis de liquide de refroidissement, puis en évacuant l’air nouvellement refroidi et déshumidifié.

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  2. Cette année-là, la Bourse de New York est le premier bâtiment à être climatisé. Le 2 janvier 1906, Willis Haviland Carrier obtient un brevet pour un « appareil de traitement de l’air ».

    En 1915, après que la Buffalo Forge Company eut décidé de se concentrer uniquement sur la fabrication plutôt que sur la conception de nouveaux produits, Carrier et six autres ingénieurs mettent en commun leurs économies de 32 600 dollars (ou 826 800 dollars en monnaie actuelle) pour créer la Carrier Engineering Corporation.

    Avec sa nouvelle société, Carrier commence à étendre l’utilisation des climatiseurs en fournissant des hôtels, des grands magasins, des cinémas et des logement privés. Ses climatiseurs sont même installés à la Maison Blanche, au Congrès américain et au Madison Square Garden.

    Après avoir connu des problèmes financiers à la suite de la Grande Dépression, la société Carrier fusionne avec la Brunswick-Kroeschell Company et la York Heating & Ventilating Corporation pour former la Carrier Corporation, dont Carrier est le président du conseil d’administration.

    Carrier passera le reste de sa vie à améliorer la conception et la fonctionnalité de ses unités de climatisation. Il décèdera le 7 octobre 1950 à New York.

    Il meurt avant d’avoir pu assister à l’immense essor de la popularité de la climatisation pendant le boom économique d’après-guerre des années 1950, qui a vu la climatisation se répandre rapidement aux États-Unis et dans d’autres parties du monde. Grâce à son invention, l’humanité a pu, pour la première fois de son histoire, contrôler de manière constante et précise le temps qu’il fait à l’intérieur des bâtiments.

    Comme l’a écrit l’économiste Walter Oi de l’université de Rochester, dans les ateliers d’usinage, la productivité du travail est à son maximum à 19 degrés Celsius avec un taux d’humidité entre 65 et 75 %. La productivité est de 15 % inférieure à 24 degrés Celsius et de 28 % inférieure à 30 degrés Celsius.

    De plus, le taux d’accidents du travail est de 30 % plus élevé à 25 degrés qu’à 20 degrés. Selon lui, c’est l’introduction de la climatisation qui a fait passer la valeur ajoutée par employé dans le secteur manufacturier du Sud américain de 88,9 % de la moyenne nationale en 1954 à 96,3 % de la moyenne nationale en 1987.

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  3. Encore plus fort, selon Walter Oi, la climatisation a eu un impact sur le taux de mortalité aux États-Unis. Ces taux étaient auparavant plus élevés en été et en hiver qu’au printemps et en automne, et beaucoup plus élevés dans le sud des États-Unis que dans le nord. En 1951, le taux de mortalité infantile était 45 % plus élevé dans le sud qu’en Nouvelle-Angleterre. En 1990, il n’était plus que de 13 %.

    En 1942, Willis Haviland Carrier reçoit un doctorat honorifique en lettres de l’Université d’Alfred. La même année, il reçoit la médaille Frank P. Brown – un prix d’excellence en ingénierie et en sciences.

    En 1985, M. Carrier a été intronisé à titre posthume dans le National Inventors Hall of Fame.

    Depuis sa création, la climatisation a permis de sauver et d’améliorer des millions de vies. C’est pour ces raisons que Willis Haviland Carrier est notre vingt-troisième héros du progrès.

    https://www.contrepoints.org/2024/07/19/374701-willis-haviland-carrier-invente-la-climatisation-les-heros-du-progres-23

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    1. Il existe aussi des invention fantastiques dont on ne connaît l'auteur.

      La roue ! qui permis à deux brancardiers qui portaient 100 kg de remplacer un homme devant par une roue ! La brouette était née ! Fin 19 ème siècle l'invention de la brique creuse en terre cuite ! Les constructions s’allégeaient. Puis début 20 ème arrive le parpaing ! Ââah ! LA découverte ! L'ingéniosité qui permis de passer des murs de maisons de 80 cm à... 20 cm ! Le parpaing alvéolé apportait comme la brique creuse une solution véritable pour lutter contre le froid et le chaud !
      Avant, c'était des murs épais, jusqu'à 3 m pour les châteaux ! et... ils se gelaient dedans !

      Aujourd'hui, les serres ont suivi le progrès inventé. La serre en plastique qui ne protégeait que de 1 ou 2°C ! est passée à la serre doublée (2 plastiques de 200µ séparés de 10 cm) qui protège de 15°C !

      http://forum.latelierpaysan.org/viewtopic.php?t=4346&sid=c8f33d5d655f6d4e7686e60d71f53290

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  4. Le gouvernement allemand admet qu’il n’y a pas eu de pandémie


    Par Baxter Dmitry
    Recherche mondiale,
    20 juillet 2024


    * * *

    Une énorme nouvelle en provenance d’Allemagne alors que le gouvernement fédéral a été contraint d’admettre que les soi-disant « théoriciens du complot » avaient raison sur tout pendant la pandémie de Covid.

    En fait, selon les données du gouvernement allemand, il n’y a eu aucune pandémie, juste une opération psychologique de niveau militaire étroitement chorégraphiée pour laver le cerveau des masses et les amener à accepter un vaccin expérimental aux conséquences désastreuses.

    Ces documents secrets du gouvernement allemand obtenus via une demande d'accès à l'information et le procès qui a suivi ont fait sauter le voile sur les mensonges de l'élite mondiale sur le Covid et il est d'une importance vitale que le plus grand nombre possible de personnes soient informées de la vérité.

    De plus en plus de gens partout dans le monde se réveillent et voient l’élite mondiale pour ce qu’elle a toujours été : des psychopathes dérangés déterminés à détruire et à dominer.

    L’Allemagne n’est pas différente. La population allemande a subi certains des confinements et des mandats de vaccination les plus brutaux de toute l’Europe et maintenant, le peuple se lève et exige des comptes.

    Paul Schreyer et le magazine Multipolar ont lancé une demande d'accès à l'information, puis ont lancé une action en justice contre le gouvernement allemand lorsqu'ils ont essayé toutes les astuces possibles pour garder les documents secrets sous clé.

    Comme l’explique le professeur Steven Homburg, les résultats sont stupéfiants et représentent une justification totale pour tous ceux qui ont osé remettre en question le récit des confinements et des mandats de masques et de vaccins.

    Les documents secrets du gouvernement – ​​au total 2 000 pages – révèlent que nous avions raison sur presque tout et que la soi-disant « pandémie » n’était qu’une fraude.

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  5. Ces faits sont accablants et prouvent que le discours officiel sur le Covid, poussé par les gouvernements du monde entier et les grands médias, est complètement faux.

    Ce qui rend la tyrannie que nous avons vécue pendant la soi-disant pandémie encore plus difficile à avaler, comme l’explique le professeur Homburg.

    Les données révèlent également que la Suède, qui était le seul pays européen sans masques ni confinement, a obtenu de bien meilleurs résultats que l’Allemagne. Ce qui soulève la question : à quoi correspondaient réellement les confinements et les mandats tyranniques ?

    Le professeur Homburg a la réponse – et il s’avère que nous avions raison depuis le début.

    Briser l’hésitation à la vaccination grâce à des confinements brutaux a toujours été l’objectif de l’élite mondiale. Malheureusement, pour ceux qui n’ont pas compris l’opération psychologique à l’époque, les conséquences sur la santé sont désastreuses. Des questions sérieuses doivent être posées.

    Malheureusement pour les personnes vaccinées, les mauvaises nouvelles ne s’arrêtent pas là. Des chercheurs japonais ont associé les vaccins Covid à des centaines de maladies.

    Une nouvelle étude réalisée aux États-Unis a révélé que ceux qui ont été vaccinés et vaccinés peuvent s’attendre à rencontrer leur créateur bien plus tôt qu’ils ne l’auraient prévu.

    Une nouvelle étude inquiétante a révélé que les personnes qui ont été « entièrement vaccinées » avec des injections d’ARNm du Covid peuvent s’attendre à perdre 25 ans de leur espérance de vie, ce qui est stupéfiant.

    Les chercheurs ont analysé les données du CDC, de Cleveland Clinic Data et des données d’évaluation des risques des compagnies d’assurance et ont découvert une tendance inquiétante à la chute des opportunités de vie chez ceux qui recevaient plusieurs doses d’ARNm.

    Malheureusement pour les personnes vaccinées, la nouvelle est encore pire. Les dommages chroniques à la santé causés par chaque dose d’ARNm ne diminuent pas avec le temps, comme on le croyait auparavant.

    En réalité, les effets négatifs sur la santé semblent perdurer indéfiniment.

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  6. Selon les chercheurs , les données du CDC sur la mortalité toutes causes révèlent que chaque injection a augmenté la mortalité de 7 % en 2022 par rapport à la mortalité de 2021.

    Cela signifie que les personnes qui ont reçu 5 doses – soit deux doses et trois rappels – avaient 35 % plus de risques de mourir en 2022 qu’en 2021.

    En corrélation avec les informations allemandes, l’étude a également confirmé que les personnes non vaccinées n’étaient pas plus susceptibles de mourir en 2022 qu’en 2021.

    Ces chiffres sont accablants. Mais quiconque y prête attention peut constater que quelque chose ne va vraiment pas chez les vaccinés. Ils tombent comme des mouches avec des problèmes cardiaques et des turbo-cancers partout dans le monde.

    Les athlètes professionnels sont censés être parmi les personnes les plus en bonne santé de la planète, mais au cours des dernières années, des milliers de personnes se sont effondrées à cause de maladies cardiaques soudaines et inexplicables.

    Les athlètes professionnels entièrement vaccinés continuent de tomber comme des mouches, et quatre footballeurs professionnels se sont effondrés soudainement, le cœur serré, au cours de la seule semaine dernière.

    La star égyptienne Ahmed Refeat est devenue le troisième footballeur professionnel à subir un arrêt cardiaque devant les caméras de télévision en direct, les médecins admettant plus tard qu'ils "n'avaient jamais vu quelque chose de pareil auparavant".

    Le milieu de terrain des Orlando Pirates, Makhelene Makhaula, a été la deuxième star du football à s'effondrer sur le terrain cette semaine, alors que le personnel médical tentait désespérément de réanimer la star sud-africaine.

    Écoutez l'annonceur stupéfait admettre, dans ses propres mots, que les footballeurs tombent comme des mouches partout dans le monde depuis le déploiement du vaccin.

    Dimanche, dans l'élite argentine, Javier Altamirano, d'Estudiantes, a été victime d'une convulsion et s'est effondré subitement lors du grand match contre Boca Juniors, l'un des plus grands clubs d'Amérique du Sud.

    Il ne s’agit pas uniquement d’athlètes professionnels qui tombent comme des mouches. Des personnes de tous horizons, y compris des influenceurs populaires des médias sociaux, sont frappées par des maladies cardiaques et des formes rares de cancer à un rythme sans précédent.

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  7. Un média éthique ferait la une de ces incidents et consacrerait ses ressources à enquêter sur les raisons pour lesquelles tant de personnes jeunes et en bonne santé souffrent d’arrêts cardiaques, d’accidents vasculaires cérébraux et de formes rares de cancer.

    Au lieu de cela, les médias tentent de normaliser le phénomène et de vous convaincre que les athlètes professionnels et les jeunes victimes d’une crise cardiaque sont une situation normale.

    Cependant, toute personne capable de réflexion indépendante comprend que cette situation est loin d’être normale.

    https://www.globalresearch.ca/german-government-admits-there-was-no-pandemic/5853916

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  8. Izzy a passé les deux semaines suivantes aux soins intensifs du RCH de Melbourne pendant qu'ils s'efforçaient de lui sauver la vie.

    Un soir, ils m'ont appelé et m'ont dit de venir directement car ils ne pensaient pas qu'elle passerait la nuit. Je ne me suis jamais senti aussi malade de peur. Je suis resté à ses côtés, implorant le ciel de la laisser vivre, même si cela signifiait que je devais être prêt à sacrifier sa vue en échange de sa vie.

    C'était comme si mes prières étaient entendues et acceptées. Elle a finalement été transférée au service des brûlés pendant les 3 mois suivants et a été soignée. Elle a dû réapprendre à marcher et à manger. Heureusement, sa peau a repoussé avec des cicatrices minimes. Ses cornées étaient pourtant collées comme collées à ses paupières.

    Ils ont nécessité une opération intensive à l’hôpital des yeux et des oreilles pour séparer l’œil de la paupière sans percer la cornée. Étonnamment, les spécialistes de la cornée ont réussi à y parvenir.

    Deux mois plus tard, elle a accidentellement mis ses lunettes dans son œil et l'a perforé. Cela a nécessité une greffe de cornée en urgence. J'ai pleuré toute la journée pour Izzy et aussi parce que la cornée avait été offerte par un petit enfant décédé ce jour-là. Qu'une famille souffrante, dans une période de désespoir, ait la générosité d'offrir un tel cadeau à quelqu'un à quelqu'un était si beau. Je pense souvent à eux et j'aimerais qu'ils sachent qu'une partie de leur enfant faisait une si grande différence pour ma petite fille.

    Izzy a cependant subi des cicatrices irréversibles sur les cornées et, en tant que tel, est désormais aveugle et ne peut voir que des couleurs et des mouvements très contrastés. Elle porte des lunettes de protection 24h/24 et 7j/7 pour ne plus s'abîmer les yeux.

    Son œil droit est toujours collé à la paupière et elle n'aura aucune vision jusqu'à ce qu'elle soit opérée, dans un avenir proche. Les opérations ne seront pas sans risque, car opérer l'œil pourrait enflammer l'œil gauche et lui faire perdre le peu de vue dont elle dispose. Essentiellement, nous sommes entre le marteau et l’enclume avec celui-ci.

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  9. Izzy prend quotidiennement des médicaments immunosuppresseurs pour sa greffe. Elle a subi tellement d'opérations que j'en perds le compte, mais elle continue d'être une fille courageuse, souriante et heureuse. En plus de tout cela, elle souffre de photophobie (intolérance à la lumière) et du syndrome de l'œil sec qui nécessite une pommade et des gouttes constantes dans les yeux pour le reste de sa vie. Elle souffre constamment car ses yeux sont granuleux, comme si elle avait tout le temps du sable dedans.

    Cela a été un véritable combat de gérer cela et de survivre chaque jour, mais j'arrête de m'apitoyer sur mon sort quand je vois à quel point Izzy est incroyable et comment elle se lance et essaie tout, voulant être comme sa sœur aînée.

    https://www.globalresearch.ca/childhood-vaccine-injury-severe-reaction-dtap-vaccine/5863065

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  10. Cyber ​​black-out : la vaccination numérique arrive-t-elle ?


    19 juillet 2024
    de Thomas Oysmüller


    L’élite occidentale attend depuis 2020 une cyber-panne majeure. Il a été annoncé il y a des années que ce serait bien « pire que Covid ».

    Le groupe Davos WEF prépare le monde à une cyber-panne majeure depuis 2020. L’article du 1er juin 2020 est central – avec une prévoyance remarquable. Il met en garde contre une « cyber-pandémie mondiale » qui ne peut être stoppée que par une « vaccination numérique ». Même à l’époque, les gens décrivaient une cyber-panne à venir comme « bien pire » que Covid, mais en utilisant le même vocabulaire pandémique.

    Voici ce que le WEF écrivait il y a quatre ans :

    Le COVID-19 n’est pas le seul risque capable de perturber rapidement et de manière exponentielle notre façon de vivre. La crise montre que le monde est beaucoup plus vulnérable aux perturbations dues aux pandémies, aux cyberattaques ou aux points de bascule écologiques que ne le suggère l’histoire.

    Notre « nouvelle normalité » n’est pas la COVID-19 en elle-même, mais des incidents similaires.

    Et une cyber-pandémie est probablement aussi inévitable qu’une future pandémie de maladie. Le moment de réfléchir à la réaction est – comme toujours – hier.

    Pour entamer ce processus, il est important de tirer les leçons de la pandémie de COVID-19 – et de les utiliser pour se préparer à une future cyberattaque mondiale.

    Leçon n°1 : Une cyberattaque présentant des caractéristiques similaires à celles du coronavirus se propagerait plus rapidement et plus loin que n’importe quel virus biologique.

    Le taux de reproduction - ou R0 - du COVID-19 se situe entre deux et trois [une désinformation massive, note TKP], sans distanciation sociale, ce qui signifie que chaque personne infectée transmet le virus à quelques autres personnes. Ce nombre affecte la rapidité avec laquelle un virus peut se propager ; Avant le confinement, le nombre de personnes infectées dans l’État de New York doublait tous les trois jours.

    En revanche, les estimations R0 des cyberattaques sont de 27 et plus. L'un des vers numériques les plus rapides de l'histoire, le ver Slammer/Sapphire de 2003 a doublé de taille environ toutes les 8,5 secondes, se propageant à plus de 75 000 appareils infectés en 10 minutes et à 10,8 millions d'appareils en 24 heures. L'attaque WannaCry de 2017 a exploité une vulnérabilité des anciens systèmes Windows pour paralyser plus de 200 000 ordinateurs dans 150 pays ; il a été stoppé par des correctifs d’urgence et la découverte accidentelle d’un « kill switch ».

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  11. L’équivalent cyber du COVID-19 serait une attaque auto-propagée exploitant une ou plusieurs vulnérabilités « zero-day », c’est-à-dire des techniques pour lesquelles les correctifs et les signatures spécifiques ne sont pas encore disponibles pour les logiciels antivirus. Très probablement, il attaquerait tous les appareils exécutant un système d’exploitation ou une application unique et commun.

    Étant donné que les attaques Zero Day sont rarement découvertes immédiatement (Stuxnet a utilisé quatre exploits Zero Day différents et s'est caché dans les systèmes pendant 18 mois avant d'attaquer), il faudrait un certain temps pour identifier le virus et encore plus de temps pour le transmettre afin d'empêcher sa propagation. Si Vector était une application de réseau social populaire comptant, disons, 2 milliards d’utilisateurs, un virus avec un taux de reproduction de 20 mettrait peut-être cinq jours pour infecter plus d’un milliard d’appareils.

    Leçon n°2 : L’impact économique d’un arrêt numérique généralisé serait aussi important – voire plus important – que ce que nous vivons actuellement.

    Si le Cyber-COVID reflète la pathologie du nouveau coronavirus, 30 % des systèmes infectés resteraient asymptomatiques et continueraient à propager le virus, tandis que la moitié continueraient de fonctionner avec des performances considérablement réduites - l'équivalent numérique de rester au lit pendant une semaine. Pendant ce temps, 15 % seraient « supprimés » avec une perte totale de données, nécessitant une réinstallation complète du système. Enfin, 5 % seraient « brickés », c’est-à-dire que l’appareil lui-même ne serait plus fonctionnel.

    Résultat final : des millions d’appareils seraient mis hors ligne en quelques jours.

    La seule façon d’arrêter la propagation exponentielle du Cyber-COVID serait de déconnecter complètement tous les appareils vulnérables les uns des autres et d’Internet pour éviter toute infection. Jusqu’à ce qu’un vaccin numérique soit développé, le monde entier pourrait être sous cyberconfinement. Toutes les communications professionnelles et tous les transferts de données seraient bloqués. Les contacts sociaux seraient limités aux personnes joignables par le biais de visites personnelles, de lignes fixes en cuivre, de courrier postal ou de radio à ondes courtes.

    Une seule journée sans Internet coûterait au monde plus de 50 milliards de dollars. Un cyber-confinement mondial de 21 jours pourrait coûter plus de 1 000 milliards de dollars...

    La journaliste Sonja Elijah analyse l'article du WEF à la lumière des pannes informatiques actuelles :

    La solution à la crise, expliquent-ils, serait un « vaccin numérique », mais en attendant que celui-ci soit développé, le monde entier connaîtrait entre-temps un « cyber-confinement ».

    Wow, quelle prévoyance !

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  12. Il est difficile d’oublier ou même de comprendre comment le monde a été plongé dans un « confinement » jusqu’à ce que les « vaccins » expérimentaux basés sur les gènes présentés comme « sûrs et efficaces » soient considérés comme le seul moyen de sortir de la pandémie de Covid.

    La rhétorique du WEF suggère que cette organisation mondialiste semble adhérer à cette théorie : ne laissez jamais une bonne crise se perdre !

    Le WEF est financé principalement par les cotisations des membres. Ceux-ci sont payés par les entreprises les plus grandes et les plus influentes au monde telles que Goldman Sachs, JPMorgan Chase, BlackRock, Microsoft, Google, Facebook, Johnson & Johnson et Pfizer. Divers gouvernements et organisations philanthropiques telles que la Fondation Bill & Melinda Gates et la Fondation Rockefeller paient également leur part.

    Quel est le point commun entre ces organisations ?

    Eh bien, ils ont tous bénéficié financièrement d’une manière ou d’une autre de l’adoption massive de mesures de biosécurité comme le monde n’en a jamais vu, telles que : B. les confinements et la réglementation sur les vaccins.

    Comment se préparer à l’inévitable cyberattaque mondiale ?

    Selon le Centre pour la cybersécurité du WEF :

    « La COVID-19 a montré à quel point la coordination internationale entre les parties prenantes est importante. La collaboration entre les dirigeants des secteurs public et privé est également essentielle, notamment en matière d’atténuation. Le Centre pour la cybersécurité du Forum économique mondial n’est qu’un exemple d’organisation s’attaquant aux défis systémiques de la cybersécurité et améliorant la confiance numérique entre les institutions, les entreprises et les individus.

    L’« importance de la coordination internationale entre acteurs » est considérée comme cruciale « lorsqu’il s’agit de limiter les dégâts ». Un parallèle est facile à faire quand on voit combien de pays agissent de concert pour « contenir » la propagation du Covid.

    Ce qui est intéressant, c’est que cette « coordination internationale » prend la forme du « Centre pour la cybersécurité » lancé par le WEF, qui agit comme une « plateforme indépendante et impartiale pour renforcer l’importance de la cybersécurité en tant que priorité stratégique et pour promouvoir l’opinion publique mondiale ». -une action privée pour relever les défis systémiques de la cybersécurité ».

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  13. Cela ressemble étrangement au Traité sur la pandémie de l'Organisation mondiale de la santé, avec son approche hautement centralisée et coordonnée sur la manière dont les États membres doivent répondre aux défis des pandémies ou même à la menace d'une pandémie. Son objectif apparent est de renforcer la sécurité sanitaire mondiale et d’assurer une réponse plus coordonnée aux futures pandémies.

    Un autre point commun aux deux initiatives est qu’elles ont émergé des lacunes révélées par la pandémie de COVID-19 – les dures leçons qu’il a fallu en tirer.

    La panne informatique actuelle deviendra-t-elle la « nouvelle normalité » ou un « incident de type Covid » ? Attendons voir. Une chose est inévitable : les élites mondiales auront sans aucun doute la solution à la crise.

    https://tkp.at/2024/07/19/cyber-blackout-kommt-die-digitale-impfung/

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  14. GAVI Vaccine Alliance, financée par Gates, vise à vacciner 500 millions d'enfants


    20 juillet 2024
    par le Dr. Peter F. Mayer


    La vaccination des enfants est devenue une grosse affaire pour les produits pharmaceutiques. Au cours des 50 dernières années, le nombre de vaccinations recommandées pour les enfants au cours des 15 premières années de vie est passé de 0 à 50 !

    Dans le même temps, les cas d’autisme sont passés de 0 à 1 enfant sur 30 et d’ici 2030, un enfant sur deux devrait être touché. Cet objectif devrait également être atteint à l’échelle mondiale grâce à un programme de vaccination de l’OMS.

    Un éminent pédiatre s'exprime pour avertir le public du plan de 11,9 milliards de dollars de Bill Gates visant à vacciner un nombre impressionnant de 500 millions d'enfants au cours des prochaines années. Ce plan de plusieurs milliards de dollars a été récemment annoncé par l'organisation de Gates , Gavi Vaccine Alliance .

    L'organisation affirme que les enfants seront vaccinés avec les vaccins existants et avec de « nouveaux vaccins » en cours de développement.
    Dans une interview avec The Defender, le Dr. Paul Thomas, pédiatre et co-auteur du prochain livre « Vax Facts : What to Consider Before Vaccinating at All Ages & All Stages of Life », prévient que ce plan est dangereux.

    Thomas est membre certifié de l'American Academy of Pediatrics et diplomate de l'American Board of Addiction Medicine. Selon Thomas, les programmes mondiaux de vaccination promus par le plan de Gates continuent d'utiliser la dangereuse formule à cellules entières du DTP au lieu de la version acellulaire, moins risquée.

    Le vaccin à cellules entières contient l’intégralité de l’ organisme Bordetella pertussis et pas seulement des composants purifiés. Depuis les années 1930, les vaccins à cellules entières ont donné lieu à de nombreux rapports faisant état de dommages neurologiques.

    Le vaccin a été retiré de la circulation aux États-Unis en 1997.

    Cependant, cette formulation continue d’être utilisée dans les pays à revenu faible ou intermédiaire, ce qui pourrait tuer des millions d’enfants.

    « L’ironie est que le succès, lorsqu’il est mesuré par la qualité de la vaccination d’un pays, d’une région ou d’un médecin, récompense en réalité l’industrie pharmaceutique et tous ceux qui profitent des ventes de vaccins au détriment de la santé individuelle et communautaire, a déclaré Thomas.

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  15. Thomas, auteur d’une étude comparant les résultats en matière de santé des enfants vaccinés et non vaccinés, a fait valoir que le succès devrait être mesuré par la santé globale de la population plutôt que par les taux de vaccination.

    « Moins nous vaccinons, plus la population est en bonne santé », a-t-il déclaré.
    « Nous avons besoin de nouvelles normes ! »

    L'annonce de Gavi coïncide avec la publication d'un nouveau rapport de l'OMS et de l'UNICEF .

    Selon le dernier rapport OMS-UNICEF, environ 14,5 millions d’enfants n’ont pas reçu toutes les doses du vaccin « de routine » DTC l’année dernière. Ce nombre est en hausse par rapport aux 13,9 millions de 2022.

    Le rapport déplore également les lacunes dans la vaccination contre la rougeole et note que des épidémies se sont produites dans 103 pays. Le rapport OMS-UNICEF note que la stagnation des taux de vaccination dans le monde met en évidence les défis persistants à la suite de la pandémie de COVID-19.

    L’industrie pharmaceutique s’efforce d’augmenter le nombre d’enfants ayant reçu trois doses du vaccin DTC – un indicateur important de la couverture vaccinale mondiale. Ce chiffre reste à 84 % (108 millions) des enfants en 2023, un chiffre que l’OMS qualifie néanmoins d’« impressionnant ».

    L’OMS a imputé le développement des données au manque d’accès aux services de santé pendant la pandémie en cours ainsi qu’aux zones fragiles et en proie à des conflits. Cependant, les expériences négatives de la campagne de vaccination contre le coronavirus ainsi que l’augmentation des cas d’autisme et la diminution de la résistance aux maladies chez les enfants vaccinés ont probablement alimenté le scepticisme de nombreux parents à l’égard de la vaccination.

    « Les épidémies de rougeole sont le canari dans la mine de charbon, révélant et exploitant les lacunes dans la couverture vaccinale et frappant en premier les plus vulnérables », a déclaré le Directeur général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus.

    Cependant, Thomas n'était pas d'accord avec cette évaluation. Il maintient que la rougeole ne constitue aucune menace pour les enfants bien nourris et en bonne santé. Également le « Pabst » de la médecine orthomoléculaire en Allemagne, le Dr. sc.med. Bodo Kuklinski explique exactement la même chose dans l' interview du TKP en 2020 . Thomas prévient que se concentrer sur les vaccins comme solution « détruit le système immunitaire » de ceux qui sont fortement vaccinés.

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  16. "L'accent doit être mis sur la garantie que les enfants du monde entier bénéficient d'une alimentation adéquate et d'un apport suffisant en vitamines A, D et C", déclare Thomas, tout comme Kuklinksi, en s'appuyant sur les découvertes de la biochimie.

    Thomas a souligné l’importance de comparer les résultats de santé des personnes vaccinées et non vaccinées. « Les résultats seront choquants pour quiconque n’est pas informé », a-t-il déclaré.

    Thomas prévient que Gavi, Gates, l’ONU, l’OMS, le Forum économique mondial (WEF) et d’autres acteurs impliqués dans le financement et la distribution des vaccins « constituent une grande partie du problème ».

    En réponse, le pédiatre de renom appelle à « un changement total de paradigme ». « Imaginez la santé, la liberté et le bonheur dont nous pourrions jouir dans le monde entier si nous nous concentrions sur une alimentation saine et évaluions la santé en examinant tous les résultats de santé dans chaque intervention. »

    https://tkp.at/2024/07/20/gates-finanzierte-gavi-impfallianz-will-500-millionen-kinder-impfen/

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  17. Les aliments ultra-transformés représentent les 2/3 de l’alimentation des enfants en Grande-Bretagne, révèle une nouvelle étude


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 20 JUILLET 2024 - 13:35


    Les deux tiers des calories consommées par les enfants britanniques proviennent d'aliments « ultra-transformés », selon une nouvelle étude.

    Les aliments ultra-transformés comprennent les glaces, les viandes transformées, les chips, le pain produit en masse, les céréales pour petit-déjeuner, les biscuits et les sodas. Ils constituent une « proportion importante » de l’alimentation des enfants de 11 à 18 ans, selon The Independent.

    Ces aliments ont été associés à un risque accru d'obésité et de maladies cardiaques, note le rapport, en raison de leurs niveaux élevés d'additifs saturés, de sel et de sucre.

    The Independent a rapporté que les aliments ultra-transformés contiennent souvent des additifs tels que des conservateurs, des émulsifiants et des colorants et arômes artificiels qui ne sont pas couramment utilisés dans la cuisine maison.

    Une étude publiée dans le European Journal of Nutrition par l'Université de Cambridge et l'Université de Bristol a analysé les journaux alimentaires de quatre jours de près de 3 000 enfants âgés de 11 à 18 ans, issus de l'enquête nationale britannique sur l'alimentation et la nutrition entre 2008 et 2019.

    L’étude a révélé que les UPF représentaient 66 % de l’apport énergétique quotidien, soit en moyenne 861 grammes par jour. Cependant, la consommation d'UPF a chuté de 67,7 % à 62,8 % au cours de cette période, probablement en raison des campagnes de santé et de la taxe sur le sucre du gouvernement britannique. Les données au-delà de 2019 n’ont pas été incluses.

    "Les habitudes et pratiques alimentaires des adolescents sont influencées par de nombreux facteurs, notamment leur environnement familial, le marketing auquel ils sont exposés et l'influence de leurs amis et de leurs pairs", a commenté le Dr Yanaina Chavez-Ugalde, auteur de l'étude.

    Elle poursuit : "Mais l'adolescence est aussi une période importante de notre vie où les comportements commencent à s'enraciner."

    « Il ressort clairement de nos conclusions que les aliments ultra-transformés constituent la majorité du régime alimentaire des adolescents et que leur consommation est bien plus élevée que ce qui est idéal, compte tenu de leurs impacts négatifs potentiels sur la santé », a-t-elle déclaré.

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  18. L'auteur de l'étude, le Dr Esther van Sluijs, a conclu : « Les aliments ultra-transformés offrent des solutions pratiques et souvent moins chères aux familles pauvres en temps et en revenus, mais malheureusement, beaucoup de ces aliments offrent également une faible valeur nutritionnelle. »

    « Cela pourrait contribuer aux inégalités en matière de santé que nous constatons émerger au cours de l’enfance et de l’adolescence. »

    https://www.zerohedge.com/markets/ultra-processed-foods-make-23rds-diet-kids-britain-new-study-reveals

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  19. Les chiffres du CDC montrent que le COVID atteint des niveaux « très élevés » dans 7 États américains


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 19 JUILLET 2024 - 18H05
    Rédigé par Jack Phillips via The Epoch Times,


    Les données les plus récentes sur les eaux usées publiées par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis montrent que les niveaux de COVID-19 sont « très élevés » dans environ une demi-douzaine d’États et à des niveaux « élevés » dans encore plus.

    Selon la mise à jour la plus récente de l’agence, environ 26 États connaissent actuellement des niveaux « élevés » ou « très élevés » d’activité du COVID-19 dans les eaux usées. D’autres mesures de l’agence montrent que le virus est en augmentation aux États-Unis, notamment le nombre de visites aux urgences et d’hospitalisations.

    WastewaterSCAN, une organisation privée qui suit les eaux usées, montre que le COVID-19 est actuellement à un niveau « élevé » aux États-Unis.

    Cependant, malgré les derniers chiffres, l’augmentation actuelle de l’activité du COVID-19 est loin des niveaux observés au début de la pandémie ou même l’année dernière, selon les données historiques publiées par le CDC.

    Au cours de la semaine se terminant le 29 juin 2024, 259 décès ont été enregistrés aux États-Unis. En comparaison, des milliers de décès ont été signalés chaque semaine lors des pics précédents de COVID-19, depuis mars 2020, selon l'agence.

    Notamment, la Maison Blanche a déclaré mercredi soir que le président Joe Biden avait été testé positif au COVID-19 avec des symptômes légers et qu’il serait désormais en isolement chez lui dans le Delaware. Un discours prévu à Las Vegas, dans le Nevada, a été annulé.

    Le Nevada faisait partie des États classés par le CDC comme ayant des niveaux « très élevés » d’activité COVID-19. D’autres États avec des niveaux très élevés comprennent l’Oregon, la Californie, le Texas, l’Arkansas, le Maryland et la Floride, selon la carte du CDC.

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  20. Les États ayant des niveaux « élevés » comprennent l’Alaska, Hawaï, la Pennsylvanie, l’Idaho, l’État de Washington, le Wyoming, le Colorado, l’Utah, le Nouveau-Mexique, la Louisiane, le Missouri, le Minnesota, le Tennessee, la Virginie, la Caroline du Sud, l’Alabama, le Connecticut et le Maine, selon le CDC. L’État d’origine du président Biden, le Delaware, connaît des niveaux « modérés ».

    Le président, âgé de 81 ans, fait partie de la tranche d’âge que les responsables fédéraux considèrent comme la plus à risque de développer une maladie grave due au 'COVID-19'.

    La Maison Blanche a confirmé que le président Biden avait commencé à prendre du Paxlovid, un médicament antiviral fabriqué par Pfizer qui cible spécifiquement le COVID-19. Il a reçu un vaccin de rappel mis à jour l’année dernière, avaient indiqué les responsables à l’époque.

    Le Dr Kevin O’Connor, médecin du président, a déclaré dans une note que le président « s’est présenté cet après-midi avec des symptômes des voies respiratoires supérieures, notamment une rhinorrhée (nez qui coule) et une toux non productive, avec un malaise général ». Après avoir été testé positif au COVID-19, le président Biden a reçu sa première dose de Paxlovid, a-t-il déclaré.

    Le président Biden devait prendre la parole lors de l'événement UnidosUS à Las Vegas mercredi après-midi dans le cadre d'un effort visant à rallier les électeurs hispaniques avant les élections de novembre. Au lieu de cela, il est parti vers l'aéroport pour s'envoler vers le Delaware, où il avait déjà prévu de passer un long week-end chez lui à Rehoboth Beach, a indiqué la Maison Blanche.

    Le président a été testé positif au COVID-19 pour la dernière fois à l’été 2022, lorsqu’il a eu un cas primaire et un cas rebond du virus plusieurs semaines plus tard. À l’époque, on lui avait également prescrit du Paxlovid.

    Le CDC a recommandé que les adultes de tous âges et les enfants âgés de six mois et plus reçoivent le vaccin le plus récent, bien qu'un certain nombre d'études publiées au fil des ans aient remis en question l'efficacité des vaccins et des rappels.

    La hausse actuelle du COVID-19 se produit parallèlement à l’augmentation de deux variantes de KP et du LB.1 associé, dans lesquelles les trois représentaient environ 85 % des nouveaux cas début juillet, a indiqué le CDC.

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  21. À la fin du mois dernier, un porte-parole du CDC, David Daigle, a déclaré à Epoch Times que la variante LB.1 « a le potentiel d'infecter certaines personnes plus facilement sur la base d'une simple délétion dans une protéine de pointe », mais a souligné « qu'il n'y a actuellement aucune preuve que la LB. 1 provoque une maladie plus grave.

    À l’époque, M. Daigle avait déclaré que les hospitalisations et les décès associés à la COVID-19 restaient faibles.

    https://www.zerohedge.com/covid-19/cdc-figures-show-covid-very-high-levels-7-us-states

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  22. Le cerveau est le champ de bataille du futur. L'objectif déclaré du WEF est de « modifier l'être humain »

    L’énergie dirigée est transformée en arme. Le cerveau des individus peut être ciblé par les micro-ondes


    Par Peter Koenig
    Recherche mondiale,
    20 juillet 2024


    [Article incisif de Peter Koenig publié pour la première fois par Global Research le 14 juin 2023

    Neurologue de la DARPA et chef du programme d'études en neuroéthique à l'Université de Georgetown, Washington DC, le Dr James Giordano, qui est également un expert en armes, a commencé sa présentation à l'Académie militaire de West Point de New York en déclarant : « Le cerveau est et sera le 21 ème Champ de bataille du siècle. Fin de l'histoire."

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    DARPA signifie Defense Advanced Research Projects Agency, un groupe de réflexion du Pentagone.

    Le Dr Giordano explique comment l'énergie dirigée peut être et est en train d'être transformée en arme. Le cerveau des individus peut être ciblé par les micro-ondes, comme la 5G et bientôt la 6G , dont on voit les antennes pousser comme des champignons partout dans le monde.

    Ils vous disent que l’objectif est de rendre Internet, ainsi que des ordinateurs et des téléphones intelligents toujours plus sophistiqués, plus rapides, avec une plus grande capacité de diffusion – et de contribuer à faire progresser la numérisation.

    Tout cela est peut-être vrai dans une certaine mesure, mais la véritable raison derrière ces tours à micro-ondes est de vous cibler, VOUS, l'individu.

    Pourquoi ? Par d’autres sources, nous savons que la quatrième révolution industrielle est en pleine mise en œuvre.

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  23. Klaus Schwab , éternel PDG du Forum économique mondial (WEF), a publié son livre « Shaping the Fourth Industrial Revolution » déjà en 2018.

    Il y écrit sur des sujets aussi importants que l'intégration des valeurs dans les technologies ; L'Internet des objets ; Éthique des données ; Intelligence artificielle et robotique ; et un chapitre spécial sur « Altérer l'être humain ».

    Dans ce chapitre, Schwab aborde les biotechnologies, les neurotechnologies et le transhumanisme – précisément la science dont parlait le Dr Giordano en 2018 à l’Académie militaire de West Point et qui est en pleine mise en œuvre.

    Si nous relions les points, nous réalisons que le « cerveau comme champ de bataille du futur » est MAINTENANT et que nous avons été prévenus bien à l’avance. Selon le Dr Giordano, la science des neurotechnologies a débuté il y a une quarantaine d'années et lui, Giordano, en fait partie depuis au moins 35 ans. C'est pourquoi les avertissements ont été omniprésents, au plus tard dans la « Quatrième révolution industrielle » de Klaus Schwab (disponible sur Amazon).

    Le Culte de la Mort a encore une fois donné des avertissements aux gens, conformément à ses « règles » – bien à l’avance, donc ils pourraient réussir.

    Pourquoi ne prenons-nous jamais note de tels avertissements ?

    Parce que nous ne croyons pas à tant de mal inhérent à l’humanité ? Ou, parce que nous ne voulons pas quitter notre « zone de confort », notre vision dystopique d’un « monde sûr » ? Ils le savent. Et nous DEVONS briser cette frontière entre le confort et la réalité. Sinon, nous sommes condamnés.

    « Si vous êtes ciblé, vous ne pouvez pratiquement rien faire », déclare William Binney, ancien directeur technique et lanceur d'alerte de la NSA. La NSA est l'Agence de sécurité nationale des États-Unis, l'une des 15 agences de renseignement américaines.

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  24. Le syndrome de La Havane aurait également été signalé par le personnel de l'ambassade américaine en Chine.

    La DARPA a signé quelques contrats en 2011/2012 avec l'Université de Californie pour ce qu'on appelle la « télépathie électronique », afin de pouvoir surveiller le cerveau des gens à distance et déterminer ce qu'ils pensent.

    En vertu d'un contrat distinct, l'université devait étudier l'envoi de signaux au cerveau d'une personne, lui envoyant littéralement des messages indiquant ce qu'elle devait penser – et faire. C’est là qu’en est la technologie aujourd’hui.

    Cela pourrait être utilisé dans votre vie privée, ainsi que dans votre vie professionnelle. Cela signifie que, déjà aujourd’hui, ils pourraient vous obliger à faire et à vous comporter comme ils le souhaitent. Ils pourraient faire de vous un meurtrier, un tricheur ou tout simplement obéir aux ordres qui pourraient suivre.

    Je le répète : « Ce que vous devez savoir, c'est que le cerveau est et sera le champ de bataille du 21e siècle », déclare le Dr James Giordano, neurologue de la DARPA, lors de son intervention au Modern War Institute de West Point NY.

    Il est important de s'en souvenir, d'autant plus que nous devons accorder plus d'attention à notre environnement, au comportement des gens, qu'à ce à quoi nous sommes habitués. Nous pouvons en déduire de nombreuses leçons. Afin que nous puissions continuer et élargir le domaine de la connexion des points.

    Dans la vidéo ci-dessous, vous verrez un graphique indiquant que les neurosciences et les neurotechnologies de la Division des stupéfiants et des enquêtes spéciales (NSID), qui font partie de la DARPA, sont « valides, précieuses et déjà utilisées par le NSID depuis 2014 ».

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  25. La technologie pourrait être utilisée pour vous inciter à commettre un meurtre de masse. Certaines des fusillades de masse « soudaines et inattendues » dans les écoles et les centres commerciaux sont-elles déclenchées par de tels mécanismes ?

    Il s'agit là d'une possibilité réelle, car dans la plupart des cas, le tireur n'est pas appréhendé et traduit en justice, mais immédiatement tué sur place par la police, de peur qu'il ne se souvienne de ce qui lui est arrivé et ne divulgue le secret au tribunal . le cerveau comme champ de bataille. Dans la plupart des cas, la police dit simplement que le « coupable » était connu de la police et/ou avait déjà un casier judiciaire. C’est pour vous empêcher de réfléchir davantage.

    pourquoi le font- ils ? Ils sont des « monstres » qu’on ne peut pas facilement appeler des humains.

    Pour créer la terreur, une peur constante, pour vous garder sur vos gardes. Pour vous habituer à la terreur et à la violence, car le pire, voire le pire, est à venir, s'ils réussissent. Et nous nous conformons simplement, devenons déprimés et passifs, au lieu de nous rebeller à l'unisson et dans la paix, mais en rejetant fermement la domination de quelques-uns sur nous, le grand nombre.

    Curieusement, la quatrième révolution industrielle ne donne pas une seule raison valable pour laquelle la numérisation, le transhumanisme et le contrôle total de l’humanité sont bons pour l’humanité et pour la Terre Mère ; ni la Grande Réinitialisation, ni l’Agenda 2030 des Nations Unies.

    Nous devons mettre fin à cet abus de l’humanité, à cet asservissement humain au profit de quelques-uns. Par exemple, nous pouvons le faire, entre autres actions, en désactivant collectivement et solidairement les antennes 5G/6G ; en restant à l'écart autant que possible des vaccins, des médicaments altérant vos activités cérébrales, comme provoquer une dépression et une extrême gaieté. Éloignez-vous des médicaments traditionnels et en particulier des antennes à ondes courtes.

    N'oubliez pas que les personnes effrayées sont plus faciles à manipuler. Et c’est l’un des objectifs finaux, vous manipuler selon leur volonté.

    L'expert de la DARPA, Giordano, qui est également un éminent scientifique du Département américain de la Santé et des Services sociaux – cela parle de lui-même – parle également de technologies non invasives, comme le soi-disant « Programme N3 », la neurochirurgie, la neuromodulation et programme de lutte contre les stupéfiants.

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  26. « L’idée est de placer des électrodes de taille minimale dans votre cerveau, pour une intervention minimale afin de pouvoir lire et écrire dans les fonctions cérébrales. En temps réel. À distance….. influencer de manière cinétique et non cinétique les attitudes, les croyances, les pensées, les émotions et les activités ; regardez le pouvoir et les outils qu’offrent les sciences du cerveau.

    C’était le niveau de la science en 2018, lorsque le Dr Giordano a prononcé son fameux discours à West Point. Entre-temps, les neurosciences ont fait un bond en avant, de sorte que les implants ne sont plus nécessaires.

    Barry Tower , ancien scientifique du MI5 Microwave , explique comment ils détruisent un individu ciblé. Il dit,

    « Si vous voulez provoquer une maladie psychiatrique spécifique, vous devez toujours faire en sorte que le faisceau micro-ondes cible une glande spécifique, ou une partie spécifique du cerveau, ou un œil, ou un cœur… » Et vous ne pouvez rien faire. "Si cela ne fonctionne pas, ils peuvent toujours envoyer le FBI, prendre une photo, puis vous éliminer par d'autres moyens."

    Les communautés du renseignement, même celles au sein des gouvernements, avec l’aide de leurs outils de surveillance assistés par algorithmes, deviennent si puissantes qu’elles échappent aux frontières de l’État pour lequel elles travaillent, deviennent indépendantes et contrôlent l’État qui devrait les contrôler.

    Nous nous dirigeons à toute vitesse vers un État nazi-Stasi que nous voyons venir, mais que nous sommes incapables de faire quoi que ce soit contre lui, car nous ne sommes pas liés les uns aux autres, nous sommes séparés en tant qu'individus, avec nos petits avantages individuels et nos privilèges. – nous tenant en laisse individuelle, nous éloignant délibérément de nous unir aux autres.

    « Stasi » – pour ceux qui sont trop jeunes pour s’en souvenir, est un terme familier pour décrire le ministère de la Sécurité d’État est-allemand.

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  27. Cela affecte non seulement les États-Unis, mais aussi les pays du monde entier, en particulier le monde occidental, qui a toujours l’intention de rester L’ Empire, émergeant vers un Ordre Mondial Unique (OWO).

    Cela ne peut se produire qu’avec (i) une population massivement réduite, pour réduire la résistance ; (ii) avec une population effrayée ; et finalement, (iii) avec les survivants transformés en transhumains facilement manipulables.

    La façon dont cela fonctionne a été démontrée de manière très éloquente dans la vidéo ci-dessus. Ci-dessous une version sommaire mais tout aussi explicite (vidéo de 23 min).

    - voir clip sur site -

    Est-ce l'avenir qui nous attend ?

    Cela y ressemble, d’autant plus que la plupart des gens, peut-être jusqu’à 99,999 %, n’en ont aucune idée et sont totalement vulnérables mais, en tant que tels, ils constituent de parfaits cobayes pour les essais, pour perfectionner leur « champ de bataille cérébral », afin de parler.

    Ce n’est pas une vie qui vaut la peine d’être vécue. Mais le suicide n’est pas la solution. Au contraire, sortir de ce système diabolique, ouvertement promu par le Forum économique mondial (WEF) avec « The Great Reset » ; L'OMS, avec l'asservissement international des vaccins et des certificats de voyage basé sur le code QR ; et l’Agenda 2030 des Nations Unies, qui peut être lu à égalité avec The Great Reset.

    L'ONU, ce que vous croyez peut-être le moins, l'ONU avec son Agenda 2030 , avec des cibles et des objectifs pratiquement identiques à ceux de la réinitialisation du FEM, a cessé d'être ce que nous croyons tous qu'elle est et ce pour quoi elle est censée avoir été créée : soutenir et permettre la paix mondiale. .

    Cette cessation du rôle de « artisan de la paix » du système onusien a commencé progressivement, il y a déjà plusieurs décennies. En fait, dès les « Limites de la croissance » du Club de Rome (1972), inspirées par les frères Rockefeller, l'ONU devait progressivement suivre le programme des Limites de la croissance , qui concernait la dépopulation massive et – oui, le climat . changement .

    La première Conférence des Nations Unies sur l'environnement et le développement (CNUED), également connue sous le nom de « Sommet de la Terre », à Rio de Janeiro, au Brésil, en juin 1992, a été la pierre angulaire du changement. Conférences COP parrainées par l'ONU (COP – Conférence des Parties).

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  28. La dernière, la COP27, a eu lieu en novembre 2022 en Égypte. La répétition annuelle des COP est une méthode bien étudiée de lavage de cerveau social, une manipulation à la Tavistock – qui a fait des merveilles. Il est aujourd’hui difficile de trouver quelqu’un parmi les gens ordinaires qui ne croit pas au changement climatique provoqué par l’homme et qui émet du CO2 . Peu importe les preuves du contraire.

    La trahison de l'ONU face à une élite corrompue a fait un pas de géant visible avec le début de la décennie 2020, c'est-à-dire avec l' Agenda 2030 de l'ONU . Tout cela doit d’abord pénétrer dans le cerveau de la plupart des gens, avant même que nous puissions commencer à résister et passer à une autre sphère vibratoire.

    Cependant, comme pour tout ce qui est spirituel et dynamique, une fois qu’une masse critique a commencé à avoir une pensée critique, le passage à la Lumière peut être rapide.

    Passer à la Lumière est ce qui est prévu pour 2023/2024. Cette prédiction ne doit en aucun cas être considérée comme un « retour en arrière » et un encouragement à observer ce qui se passe . Être LIBRE n’est un droit que si nous le défendons et luttons pour cela. Ne laissons pas de fissures à la séduction diabolique.

    Avant de pouvoir nous retirer, nous devons reconnaître ces méthodes diaboliques des « Illuminati » et nous dresser à l’unisson contre elles.

    Cet écrit a pour but de diffuser cette information sur « le cerveau comme champ de bataille en cours et à venir ». Beaucoup trouveront cela tellement hors de leur matrice de pensée actuelle qu’ils se contenteront de secouer la tête avec incrédulité, ou de qualifier ces faits et nouvelles de « désinformation ». Beaucoup d’entre nous y sont allés. Ce n'est pas important. Nous devons continuer l'offense avec la vérité.

    Le nombre de ceux qui commencent à penser par eux-mêmes s’agrandit ; de ceux qui arrivent aux mêmes conclusions, à savoir que nous sommes asservis par une élite petite mais puissante, et que la preuve qu’il est grand temps d’échapper à cet asservissement, est accablante.

    En effet, l’ère où notre cerveau est le prochain champ de bataille doit être combattue avec toute notre vigueur.

    Nous ne voulons pas de champs de bataille, quels qu’ils soient. Nous voulons la paix.

    https://www.globalresearch.ca/brain-battlefield-future/5822326

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  29. Une éolienne offshore se démonte et disperse de dangereux « éclats de fibre de verre »


    18 juillet 2024
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Les habitants de Nantucket regardent leurs plages immaculées se transformer en « décharges » remplies d’épaves et d’éclats pointus de fibre de verre. Cela a incité les autorités à fermer les plages cette semaine après la panne catastrophique d’une énorme éolienne offshore.

    Le journal local Nantucket Current rapporte que les débris d'une pale cassée d'éolienne Vineyard Wind se sont échoués mardi sur les plages du sud de Nantucket. "L'eau est fermée à la baignade sur toutes les plages de la côte sud en raison de gros débris flottants et de fragments pointus de fibre de verre", a déclaré Sheila Lucey, la capitaine du port de Nantucket, ajoutant : "Vous pouvez vous promener sur les plages, mais nous vous recommandons fortement de ne pas le faire. portez des chaussures en raison des éclats pointus de fibre de verre et des débris sur les plages.

    Tard mardi, le Bureau de la sécurité et de l'application de l'environnement a déclaré que les opérations offshore de Vineyard Wind étaient suspendues jusqu'à nouvel ordre.

    Vineyard Wind a déclaré lundi qu'une de ses énormes turbines avait été endommagée lors d'un « incident offshore » samedi soir. La nature de l'incident n'a pas été divulguée. « La pale s'est cassée à environ 20 mètres de la racine », a déclaré Craig Gilvarg, porte-parole de Vineyard Wind, ajoutant : « La turbine était en phase de mise en service et était toujours en cours de test. La pale est restée presque entièrement fixée à la turbine et n'est pas tombée à l'eau .

    En effet, les éoliennes sont dangereuses pour les personnes et les animaux. Dans le sud de la Crète, les habitants ont été extrêmement déterminés à empêcher la construction d'un parc éolien, suite à leurs expériences avec d'autres parcs éoliens en Crète. Les animaux meurent parce que la nourriture contient des parties plus ou moins grandes de fibre de verre, l'agriculture est impossible dans la région et les habitants des villes voisines tombent malades et sont contraints d'émigrer. Outre les déchets nocifs diffusés par les pales du rotor, cela s'explique par les infrasons, qui peuvent être ressentis jusqu'à 10 km de distance.

    Une étude impliquant des personnes qui ont été contraintes de quitter leur domicile en raison de maladies causées par les éoliennes a étudié et évalué les dégâts, comme indiqué ici .

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  30. Élimination problématique

    Les énormes pales du rotor ont une durée de vie maximale de 10 ans et sont extrêmement difficiles et coûteuses à éliminer. Comme indiqué ici , ils sont généralement simplement envoyés dans une décharge et oubliés dans l'espoir qu'ils ne nuisent à personne d'autre.

    Une étude de J. Beauson et al intitulée « La fin de vie complexe des pales d'éoliennes : Une revue du contexte européen » aborde la problématique du stockage :

    « Le recyclage des composites thermodurcis en fibre de verre en général et des pales d'éoliennes en particulier est étudié depuis de nombreuses années mais reste un défi.

    Divers chercheurs expérimentent depuis un certain temps des méthodes permettant de brûler la résine et d'extraire le verre sans causer de dommages supplémentaires. Il existe aujourd'hui plus de 200 000 grands systèmes en service rien qu'en Europe. La prétendue « protection du climat » a créé un problème environnemental coûteux.

    Quoi qu'il en soit, il existe d'innombrables études traitant du problème du recyclage , mais relativement peu sur les changements évidents du climat et de la météo, tels que l'augmentation des températures, l'augmentation des précipitations et le transport du sable saharien.

    Documentation des dommages

    Nantucket Current a publié une série d'images montrant des plages de la région jonchées de débris.

    Le journal local a minimisé les dangers, qualifiant les débris de "fibre de verre non toxique" et "sans danger pour les personnes ni pour l'environnement".

    - voir photos sur site :

    https://tkp.at/2024/07/18/offshore-windturbine-zerlegt-sich-verstreut-gefaehrliche-glasfasersplitter/

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  31. Événement à Perth — « Vandales sur la grille » — dimanche après-midi

    Vandales sur le réseauSi vous êtes à Perth ce week-end, je parlerai des vandales et de la sorcellerie sur le marché national de l'énergie pour le Conseil de l'intérêt national (CNI).


    July 20th, 2024


    Dimanche 21 juillet 2024, de 14h30 à 16h30 (Socialisation de 13h30 à 18h00) au APIWA Clubroom, Arrière No.10 Mallard Way Cannington 6107.

    Les lecteurs ici sont les bienvenus demain. Il n'y a aucun frais mais veuillez RSVP à apimail AT apiwa.com.au

    https://joannenova.com.au/2024/07/perth-event-vandals-on-the-grid-sunday-afternoon/

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  32. Au diable l’inflation : l’électricité à base de lignite ne coûtera que 1 cent par kilowattheure en 2024


    Par Jo Nova
    July 20th, 2024


    Le lignite est le secret le mieux gardé d'Australie

    Imaginez, dans cette crise du coût de la vie, si la nation découvrait un gisement de 430 milliards de tonnes qui pourrait produire de l'électricité pour un dixième du coût du gaz et de l'hydroélectricité ? Quelle aubaine : les gens pourraient vivre comme des rois avec des piscines chauffées, de grandes maisons, des spas intérieurs et les entreprises afflueraient vers l’État pour installer des chaînes de production. L’État deviendrait un géant du commerce et la Mecque de la technologie.

    Alors imaginez qu’ils se laissent effrayer et ne l’utilisent pas de peur que cela ne provoque de violentes tempêtes dans cent ans ? Comme si le pays était dirigé par des adolescentes…

    AER Fixation des prix, électricité de gros, Victoria. Premier trimestre 2024
    ARE

    Malgré l'augmentation des coûts de tout en 2024, les centrales de lignite de Victoria proposent toujours de fournir de l'électricité en gros à 8 dollars le mégawattheure (soit 0,8c le kilowattheure). Il s’agit de l’offre gagnante moyenne des centrales de lignite au cours du premier trimestre 2024.

    Dans le graphique ci-dessous des prix trimestriels des cinq dernières années, nous pouvons voir que chaque trimestre, l’électricité à base de lignite est la source d’électricité la moins chère qui soit. (L’énergie éolienne et solaire, avec leurs prix incroyablement négatifs, ne compte pas parce qu’elle est subventionnée jusqu’au kazoo. Leur coût réel est payé par d’autres moyens cachés. C’est soit ça, soit les prix négatifs nous disent que l’énergie éolienne et solaire le pouvoir est si horrible qu’il faut payer des gens pour les enlever…).

    - voir graph sur site -

    Offres gagnantes pour Victoria au premier trimestre 2024. Marché de gros de l’électricité NEM. AEMO. Données de l'ARE.


    Au cours du dernier trimestre, le lignite a fixé le prix de l'offre gagnante environ 15 % du temps. C’était l’époque où il y avait suffisamment d’énergie de lignite à Victoria pour que les gestionnaires du réseau n’aient pas du tout besoin d’acheter de houille noire, de gaz ou d’hydroélectricité.

    Plus Victoria dispose d’électricité au charbon, plus souvent le prix de gros sera incroyablement bas…

    En raison du fonctionnement des enchères, le plus offrant fixe le prix pour tout le monde. En théorie, les producteurs sont censés proposer le prix le plus bas qu’ils acceptent, puis l’AEMO accepte en premier les offres les moins chères jusqu’à ce qu’elle réponde à la totalité de la demande.

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  33. Et c’est la même chose sur toute la côte est de l’Australie : en Nouvelle-Galles du Sud, les producteurs de lignite ont fait des offres à 12 dollars le mégawattheure. En Australie-Méridionale, 11 $. Dans le Queensland, 13 $ et en Tasmanie, 7 $.

    DONNÉES
    L'ARE dispose des données sur les offres de fixation des prix. Nouvelle-Galles du Sud | Queensland | Victoria | SA | Tas

    https://joannenova.com.au/2024/07/inflation-be-damned-brown-coal-power-is-just-1c-per-kilowatt-hour-in-2024/#more-93951

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  34. Elon Musk fuit la Californie et ses lois progressistes pour apprécier la rigueur texane


    France-Soir
    le 19 juillet 2024 - 19:20


    En Californie, une nouvelle loi sur la protection des élèves transgenres pousse Elon Musk à déménager les sièges sociaux de SpaceX et X. Depuis ce lundi 15 juillet, le texte interdit au personnel scolaire californien de divulguer quelque information que ce soit sur l’orientation sexuelle ou l’identité de genre des élèves sans le consentement de ces derniers.

    Tout ça, sans pour autant prévenir les parents. Ni une ni deux, le milliardaire américain décide de protester à sa manière.

    Actuellement, SpaceX se localise à Hawthorne, et X à San Francisco. Le premier va déménager à Starbase, la base privée de l’entreprise. Pour le second, le déménagement se ferait à Austin, où Tesla se trouve déjà.

    Touché au plus près par cette nouvelle loi, l’un des enfants du milliardaire était né de sexe masculin, mais avait souhaité être identifié comme femme à ses 16 ans. Au moment de ses 18 ans, en 2021, la demande de changement de prénom est officialisée. Par la suite, les relations entre son père et lui se sont détériorées, les menant à rompre tout lien, selon l’AFP. Selon Elon Musk, cette décision est à amputer à l’éducation scolaire trop progressiste que vivent les élèves aujourd’hui.

    « Vous devriez partir de tout État qui veut contrôler vos enfants », a réagi Marjorie Taylor Green, élue républicaine à la Chambre des représentants.

    De quoi créer en tous les cas un déplacement important des salariés de chacune des entreprises. Alors que X emploi 1 500 personnes, Space X compte près de 13 000 employés. Sans que la proportion des effectifs domiciliés en Californie ne soit connue, il ne fait pas de doute que d’importants déménagements vont être nécessaires pour suivre Elon Musk dans son aventure texane.

    https://www.francesoir.fr/societe-faits-divers/elon-musk-fuit-la-californie-et-ses-lois-progressistes-pour-apprecier-la

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  35. Choisissez-en un : les forces de l’ordre lors de la fusillade de Trump étaient soit incompétentes, soit complices


    Par Ryan McMaken
    Mises.org
    20 juillet 2024


    Quelques minutes après la tentative d'assassinat de Donald Trump le 13 juillet, les observateurs se demandaient comment l'assassin avait réussi à obtenir une photo nette de Donald Trump au Butler Farm Show Grounds, près de Butler, en Pennsylvanie. Depuis, la question reste sans réponse, mais de nombreuses allégations concernant la fusillade ont émergé. Par exemple, plusieurs sources affirment de manière plausible que la police locale et les services secrets avaient repéré le tireur armé – sur un toit voisin avec un télémètre et une arme à feu – plusieurs minutes avant la fusillade. Les agents et agents chargés de l’application des lois ont choisi de ne rien faire.

    Des vidéos de l’événement montrent des passants avertissant vocalement la police et les agents fédéraux de la présence du tireur. Encore une fois, les forces de l’ordre n’ont rien fait. Le New York Post rapporte qu'une « équipe de contre-tireurs d'élite » composée de représentants des forces de l'ordre locales se trouvait en fait à l'intérieur du bâtiment situé sous le tireur lui-même. Encore une fois, les forces de l’ordre ne pouvaient pas se soucier de contrôler l’accès à ce toit qui offrait une position idéale pour un assassin potentiel.

    Pendant ce temps, divers anciens tireurs d’élite et ceux ayant reçu une formation anti-sniper – c’est-à-dire les anciens Navy SEALS et les Bérets verts – ont souligné à plusieurs reprises dans les médias sociaux et les médias grand public qu’il serait impossible pour des agents chargés de l’application des lois compétents de bâcler de manière aussi flagrante la sécurité. de cette façon.

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  36. De nouvelles informations continuent d’affluer, mais pratiquement toutes nous obligent à l’une des deux conclusions suivantes : les policiers et les agents fédéraux présents au rassemblement de Butler étaient soit (1) d’une incompétence désastreuse, soit (2) complices de la tentative d’assassinat.

    Malheureusement, il est difficile de déterminer la vérité sur cette affaire étant donné le peu d’informations dont nous disposons actuellement. Certes, les services secrets (USSS) ne fourniront aucune évaluation honnête de la situation. La police locale resserrera les rangs pour se protéger et protéger son emploi, comme c'est la pratique courante. Nous pouvons nous attendre à ce que les enquêtes se poursuivent pendant des années, les responsables de l’application des lois faisant obstacle au Congrès à chaque étape du processus. De plus, des agents du FBI seront probablement appelés à mener une grande partie de l’enquête, et nous savons comment cela se déroulera. Comme l’écrivait Thomas Massie quelques heures après la fusillade, le FBI est « le même bureau qui a enquêté sur la fusillade de Las Vegas et sur les bombes artisanales du 6 janvier, qui enquête désormais sur la tentative d’assassinat de Trump. … C'est aussi le même bureau qui a fait une descente à Mar-a-Lago. … Je suis sûr qu’ils iront bientôt au fond des choses.

    Option 1 : les forces de l'ordre étaient complices de la tentative d'assassinat

    Les forces de l'ordre locales, à savoir la police de l'État de Pennsylvanie, et l'USSS se sont associées pour contrôler la zone à la recherche d'armes et de zones potentielles à partir desquelles un assassin pourrait opérer. De toute évidence, aucune de ces agences n’a effectué ces tâches correctement. L’échec des services secrets est particulièrement accablant étant donné que la mission première de l’agence – outre l’enquête sur les faussaires – est de protéger les sujets qui leur sont assignés contre l’assassinat.

    Alors, l’USSS a-t-il été intentionnellement « oublieux » lorsqu’il s’agissait de sécuriser la zone ? La lenteur des agents de l’USSS à affronter le tireur faisait-elle partie d’un complot visant à « permettre » à l’assassin d’accéder à Trump ? À ce stade, on ne peut que deviner, mais nous savons qu’il existe de nombreuses raisons de douter de cette idée. Après tout, les services secrets sont une agence fédérale typique, et ses membres sont des bureaucrates fédéraux typiques qui se débrouillent plutôt bien dans le statu quo. Ils ont toutes les raisons de s’opposer à toute personnalité politique considérée – à tort ou à raison – comme une menace à l’establishment actuel. Après tout, il est devenu très clair pendant les années Trump que les agents du FBI n’avaient aucun scrupule à espionner illégalement Trump. Les agents du FBI ont également concocté le récit d’une « collusion russe » dans le but de paralyser l’administration Trump.

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  37. Il est facile de comprendre pourquoi les agents fédéraux s’opposeraient à une présidence Trump. Les agents fédéraux bénéficient de salaires élevés, d’un haut niveau de prestige et de la promesse d’une retraite longue, confortable et bien financée, le tout payé par les contribuables. Il y a de bonnes raisons pour les agents de l’USSS de s’opposer activement à tout candidat considéré comme une menace importante pour le statu quo. De plus, les agents fédéraux chargés de la sécurité présidentielle font partie de la culture de Washington, DC. Ce sont, pour reprendre le langage moderne, des « créatures des marais ».

    Pourtant, on pourrait remettre en question l’accusation de « complicité » au motif qu’il serait exceptionnellement difficile de faire taire un complot d’assassinat parmi un nombre important d’agents chargés de l’application des lois. C’est vrai, mais dans ce cas, il suffirait que ceux qui occupent des postes de direction fassent partie du complot.

    Les conspirateurs n’auraient qu’à faire preuve de complaisance et de réticence à s’exprimer parmi la base.

    Ce n’est pas difficile à réaliser. Les conspirateurs – en supposant qu’ils occupent des postes de direction – pourraient simplement faire en sorte que l’événement soit en sous-effectif ou avec des agents moins expérimentés qui s’appuient davantage sur des directives venant d’en haut. Ensuite, il suffit aux conspirateurs de donner l’ordre de se retirer aux moments critiques, et de rester assez longtemps pour permettre au « plan » de se réaliser.

    De plus, l’expérience a montré que les responsables de l’application des lois ne sont pas du genre à s’élever contre le pouvoir en place. Dans cette affaire, les agents fédéraux seraient à l’abri de poursuites engagées par un ministère de la Justice amical. Pendant ce temps, la police locale est en grande partie achetée et financée par le Département de la Sécurité intérieure, qui verse des milliards aux services de police des États et des municipalités.

    Nous ne devrions pas être experts en matière de dénonciation ou de pensée critique de la part des forces de l’ordre de l’État ou des agents subalternes de l’USSS. Ces dernières années ont clairement montré que les polices d’État et locales sont bien plus soucieuses de conserver leurs emplois et leurs retraites que de s’opposer aux attaques les plus manifestement immorales ou anticonstitutionnelles contre la population.

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  38. Après tout, combien de policiers ont démissionné en signe de protestation pendant les confinements liés au covid ? Au cours de cette période, la police était chargée de fermer les églises, d’arrêter les fidèles et de fermer les entreprises privées pour « délit » ou pour se réunir pacifiquement ou faire du commerce. La police a arrêté des mères qui fréquentaient des terrains de jeux fermés par crainte d'un virus. La police a frappé des gens ordinaires qui ne portaient pas de masques.

    Malgré tout cela, nous n’avons entendu qu’un petit nombre de voix policières protestant contre ces attaques contre la Déclaration des droits. Il est évident que la plupart des policiers étaient prêts à exécuter pratiquement tous les ordres de leurs maîtres gouvernementaux.

    Il serait donc naïf de penser que des agents locaux chargés de l’application des lois s’opposeraient à l’un des ordres douteux de l’USSS qui auraient pu être rendus le 13 juillet. En d’autres termes, les responsables de l’USSS étaient libres de faire ce qu’ils voulaient.

    Option 2 : les agents chargés de l'application des lois étaient incompétents

    L’autre option est que l’USSS et la police locale sont tout simplement incompétentes. La paresse, bien sûr, est une forme d’incompétence, et il est tout à fait possible que les toits non surveillés, le manque d’intérêt pour le télémètre de l’assassin et la lenteur générale de la réponse aient tous été motivés par une simple paresse. Bien sûr, il est également possible que les forces de l’ordre n’aient pas été paresseuses, mais simplement trop ignorantes pour connaître la bonne manière de contrôler l’accès au président pendant le rassemblement.

    Le récit de « l’incompétence » a atteint des niveaux presque comiques mardi lorsque la directrice de l’USSS, Kimberly Cheatle, a affirmé que le toit sur lequel le tireur était perché avait été laissé sans surveillance parce qu’il était trop dangereux pour les agents. Comme le dit Cheatle : « Ce bâtiment en particulier a un toit en pente… donc, il y a un facteur de sécurité qui serait pris en compte ici et nous ne voudrions pas installer quelqu'un sur un toit en pente. La décision a donc été prise de sécuriser le bâtiment, de l’intérieur. (Selon le New York Post, c'était la police locale qui était chargée de sécuriser le bâtiment.)

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  39. De toute évidence, le bâtiment n’était pas sécurisé « de l’intérieur » ou ailleurs, et il est risible que l’USSS pense que cette explication concernant un toit dangereusement incliné détournerait les critiques à l’encontre de l’agence.

    Mais et si Cheatle disait la vérité ? Et si la décision de laisser le toit sans surveillance était simplement le résultat de l’incompétence de l’USSS et de la police locale ? Cela cadrerait certainement avec le dogme de la « sécurité des agents » qui prévaut aujourd’hui parmi les forces de l’ordre. Après tout, nous avons vu cette philosophie à l’œuvre lors des fusillades dans les écoles d’Uvalde et de Parkland. Dans les deux cas, la police a choisi de s'enfuir et de se cacher plutôt que d'affronter un tireur qui massacrait des enfants. La police a d'abord veillé à sa propre sécurité.

    Il n’est pas impossible que les responsables de l’USSS décident qu’il serait exagéré de placer du personnel sur chaque toit, surtout lorsqu’il fait chaud, inconfortable et potentiellement dangereux là-haut. Ce ne serait pas la première fois que les responsables de l’application des lois substitueraient la sécurité et la commodité – pour eux-mêmes – au service public.

    « Des erreurs ont été commises »

    Pour des raisons évidentes, l’USSS elle-même a décidé que le récit de « l’incompétence » était préférable au récit de « complicité ». On peut s’attendre à ce que les responsables de l’application des lois meurent sous le glaive de « l’incompétence », car admettre leur complicité ébranlerait les fondements de la légitimité du régime. Ainsi, les affirmations concernant le « toit en pente », bien qu’humiliantes, seront présentées comme la preuve que l’USSS et la police locale « ont fait de leur mieux » mais ont échoué. En d’autres termes, nous entendrons dire que « des erreurs ont été commises », mais cela ne se reproduira plus.

    La situation est compliquée par le fait que les responsables de l’application des lois ne peuvent même pas affirmer que personne n’a été gravement blessé lors de la tentative d’assassinat. Le spectateur Corey Comperatore a été tué et deux autres ont été grièvement blessés. Les forces de l’ordre fédérales et de Pennsylvanie sont responsables d’avoir permis que cela se produise.

    Mais ne vous attendez pas à ce que des têtes tombent. En effet, si cette histoire suit le récit habituel qui accompagne les erreurs fédérales, nous pouvons nous attendre à des budgets plus élevés pour les agences qui ont échoué. Après le 11 septembre, par exemple, la CIA et le FBI, qui ont complètement échoué dans leur travail ce jour-là, ont reçu davantage d’argent des contribuables. Personne n’a perdu son emploi et il n’y a eu aucune responsabilité. À l’exception peut-être de Cheatle elle-même, il est extrêmement improbable que quiconque à l’USSS ou à la police de l’État de Pennsylvanie fasse face à une quelconque réprimande officielle.

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  40. Note: The views expressed on Mises.org are not necessarily those of the Mises Institute.

    https://www.lewrockwell.com/2024/07/ryan-mcmaken/choose-one-law-enforcement-at-trump-shooting-was-either-incompetent-or-complicit/

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  41. Le tireur de Trump a-t-il reçu de l’aide ?


    Par Michael Snyder
    L'effondrement économique
    20 juillet 2024


    D'accord, nous sommes donc censés croire qu'un gamin de 20 ans « qui a été refoulé du club de tir de son lycée parce qu'il était un « mauvais tireur comique » » et qui n'avait aucune formation militaire a été capable de tout faire. par lui-même ? On nous dit que c'était « une erreur » que l'endroit idéal pour localiser un tireur d'élite ait été laissé sans surveillance, et d'une manière ou d'une autre, Thomas Matthew Crooks a pu identifier cet oubli et se positionner en conséquence. À seulement 150 mètres de l’endroit où Donald Trump devait s’exprimer, Crooks a pu grimper sur un toit avec un fusil et y rester près d’une demi-heure avant de finalement commencer à tirer sur Trump. Soit il s’agissait d’un échec cataclysmique en matière de sécurité, soit Crooks avait reçu de l’aide quelque part en cours de route.

    Selon un ancien agent des services secrets qui était en charge de la sécurité du vice-président Al Gore sous l’administration Clinton, il aurait dû y avoir du personnel des services secrets sur ce toit et « quelqu’un a laissé tomber la balle »…

    Avant qu’une personnalité aussi connue que Trump n’assiste à un événement et n’ait besoin de la protection des services secrets, l’agence mène une enquête de sécurité qui prend également en compte les bâtiments voisins.

    William Pickle, un ancien agent spécial en charge de la division de protection du vice-président des services secrets qui a supervisé les détails du vice-président Al Gore, a déclaré à USA Today que quelque chose avait clairement manqué. "Nous savons qui est là, pourquoi ils sont là, nous contrôlons ces bâtiments", a déclaré Pickle. "Il semble que quelque part dans cette enquête de sécurité, quelqu'un ait laissé tomber la balle sur ces bâtiments en particulier."

    Était-ce juste une erreur ou était-ce fait exprès ?

    L'ancien agent des services secrets Dan Bongino affirme qu'une « source irréprochable » lui a dit que quelqu'un était censé se trouver sur ce toit mais ne s'est jamais présenté…

    NOUVEAU : Dan Bongino affirme qu'une « source irréprochable » lui a dit que quelqu'un était censé se trouver sur le toit d'où Thomas Crooks a tiré mais « ne s'est pas présenté ».

    Bongino a également affirmé que l’administrateur de Biden disait à la directrice de l’USSS de se taire si elle voulait conserver son emploi.

    « D’après ma source, ce toit était censé être un poste de police… [il] était tellement censé y avoir quelqu’un là-bas. »

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  42. « Ils inventent maintenant des excuses en invoquant la pente du toit. Ma source me dit que personne ne sait pourquoi le message n’est pas apparu.

    « On m’a aussi dit que le directeur de l’USSS avait reçu des instructions de l’administration et du secrétaire du DHS : ‘Si vous voulez garder votre emploi, vous allez vous taire à ce sujet.’ »

    Nous devons identifier qui était censé être posté sur ce toit et nous devons déterminer exactement pourquoi cette personne ne s'est pas présentée.

    Et pourquoi dit-on au directeur de l’agence de se taire à ce sujet ?

    Quelque chose ne sent pas bon.

    Juste avant que Trump ne soit abattu, les membres de la foule ont pu voir un homme avec une arme à feu sur ce toit, et ils ont essayé d’avertir la police…

    Selon plusieurs médias qui ont analysé les vidéos de témoins oculaires, des membres de la foule avaient repéré le suspect sur le toit environ deux minutes avant la fusillade et avaient frénétiquement tenté d'avertir la police.

    « La police est là-bas et court sur le terrain. Nous nous disons : « Hé mec, il y a un gars sur le toit avec un fusil » », a déclaré un témoin, qui se faisait appeler Greg, à BBC News. « Et la police disait : « Hein, quoi ? » Comme s’ils ne savaient pas ce qui se passait.

    Un témoin oculaire a été absolument étonné que Trump n’ait pas été retiré de la scène après qu’une menace potentielle ait été identifiée…

    "Je me demande 'Pourquoi Trump parle-t-il encore, pourquoi ne l'ont-ils pas retiré de la scène'", a-t-il déclaré. « La prochaine chose que vous savez, cinq coups de feu retentissent. »

    Cela a soulevé de sérieuses questions quant à savoir si les deux équipes avaient complètement échoué à repérer le tireur jusqu'à ce qu'il soit trop tard et comment Crooks avait pu tirer au moins huit coups avant d'être abattu.

    Les services secrets sont-ils vraiment aussi incompétents ?

    Il semble tout simplement improbable qu’ils puissent être aussi incompétents. L’un des meilleurs tireurs d’élite du monde entier, Dallas Alexander, est entièrement convaincu « que le tireur avait de l’aide »…

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  43. « Je connais très bien la disposition de ce genre de choses et ce que devraient être les emplois. Et hier, ce qui s’est passé, je n’ai aucun doute sur le fait que le tireur a reçu de l’aide quelque part au sein d’une agence, d’une organisation ou du gouvernement », a déclaré Alexander.

    « À la seconde où j’ai vu cette photo aérienne de ce qu’ils disaient, cela n’a immédiatement eu aucun sens pour moi. Vous ne pouvez pas, en plein jour, accéder à un toit à moins de quelques centaines de mètres. Vous ne pouvez pas vous mettre dans cette position avec une arme à feu quand un président parle. Cela ne peut pas être fait. Vous n’avez même pas besoin d’être un tireur d’élite pour savoir que c’est la chose la plus évidente, l’endroit le plus évident au monde.

    « Alors quelque chose s’est passé, et je ne pointe personne du doigt. C’est trop évident que ce type a eu de l’aide pour y arriver. Donc, que quelqu’un ait fermé les yeux ou que cela ait été planifié stratégiquement, je veux dire, cela devait être planifié à un certain niveau parce que des événements comme celui-là et la sécurité comme celle-là, ce n’est pas une mince affaire. Et c’est l’endroit le plus évident.

    Le représentant américain Cory Mills a également servi de tireur d'élite, et lors d'une récente interview, il a choqué un animateur de CNN en suggérant également que Crooks avait probablement eu de l'aide…

    L'ancien tireur d'élite et entrepreneur de la défense, le représentant Cory Mills (R-FL), a déclenché un animateur de CNN mardi après avoir suggéré que des échecs « intentionnels » auraient pu entraîner la tentative d'assassinat de Donald Trump samedi.

    "La quantité de négligence, la quantité d'erreurs qui ont été commises ici, j'ai beaucoup de mal à ne pas me pencher sur le fait que c'était intentionnel, par opposition à l'imprudence", a déclaré Mills à la présentatrice Kate Bolduan.

    "Si j'ai un bâtiment à 160 mètres parfaitement adjacent à la scène, c'est une menace évidente", a-t-il poursuivi. « Surtout avec une position élevée et surveillée ? C’est le paradis des tireurs d’élite.

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  44. Aurons-nous un jour la vérité ?

    Je ne sais pas.

    Mais comme Matt Walsh l’a justement souligné, la version officielle ne semble pas tenir le coup…

    Voici l’histoire officielle jusqu’à présent :

    un jeune de 20 ans, agissant complètement seul, a marché à moins de 150 mètres d'un rassemblement de campagne présidentielle avec un fusil, a grimpé sur un toit à la vue des tireurs d'élite des services secrets, a préparé son tir et a tiré sans que personne n'intervienne et sans l'aide de personne.

    Ce jeune de 20 ans est également politiquement radical au point de tenter un assassinat, mais pas assez radical pour avoir jamais publié des écrits ou des commentaires politiques sur un site de réseau social de sa vie.

    Il n’a également écrit aucun manifeste et n’a laissé aucune indication sur les raisons pour lesquelles il l’a fait.

    Le peuple américain mérite une enquête approfondie sur cette question.

    Mais quand le gouvernement a-t-il déjà réussi à enquêter sur lui-même ?

    Et les preuves potentielles ont déjà été effacées. En fait, un agent du FBI a été littéralement photographié en train de laver la scène du crime…

    Peut-être que cet agent en particulier a reçu l’ordre de laver le sang du tireur sur le toit.

    Mais pour moi, cela n’a pas de sens de se débarrasser des preuves alors que tant de choses restent inconnues.

    Au cours de ma carrière, j’ai appris qu’il est toujours payant de suivre les preuves partout où elles mènent.

    Bien sûr, dans ce cas, nous pourrions assister à une dissimulation de la part des ligues majeures.

    Si le tireur de Trump a effectivement reçu de l’aide, ceux qui ont été impliqués voudront brouiller les pistes le plus rapidement possible.

    Reprinted with permission from The Economic Collapse.

    https://www.lewrockwell.com/2024/07/michael-snyder/did-trumps-shooter-have-help/

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  45. La veille de la tentative d'assassinat de Trump, Austin Private Wealth a signalé des paris courts MASSIFS sur les actions $DJT et $RUM – similaires aux paris boursiers placés juste avant le 11 septembre.


    19/07/2024
    Ethan Huff


    Tout comme ce qui s'est passé avant les attentats terroristes du 11 septembre, un gestionnaire d'actifs – en l'occurrence Austin Private Wealth LLC – a pris des positions courtes massives sur Trump Media ($DJT) et Rumble ($RUM) la veille du 11 septembre. tentative d’assassinat de Donald Trump, en supposant qu’il serait tué et que les cours des deux actions chuteraient.

    Austin Private Wealth aurait vendu à découvert 12 millions d'actions de Trump Media et 34 millions d'actions de Rumble un jour seulement avant que Thomas Matthew Crooks, 20 ans, de Bethel Park, ne vise Trump lors d'un rassemblement politique à Butler, en Pennsylvanie.

    "Si Trump avait été tué, Rumble se serait effondré et DJT se serait effondré, ce qui aurait entraîné une manne de bénéfices, potentiellement de plusieurs milliards", a écrit le Health Ranger dans un article sur Brighteon.social. « Pas du tout suspect, n'est-ce pas ? »

    (Connexe : La police locale de Butler affirme que les tireurs d'élite à l'intérieur du bâtiment au sommet duquel Crooks a tenté de tuer Trump n'ont rien fait pour arrêter l'attaque, même s'ils savaient que quelque chose n'allait pas 30 minutes avant.)

    Austin Private Wealth accuse une « erreur matérielle » d'être à l'origine de positions courtes douteuses
    Après que les médias indépendants se soient rendus compte des positions courtes et de l'étrangeté de leur timing, Austin Private Wealth a tenté d'expliquer tout cela comme une grosse erreur et un malentendu – il n'y a rien à voir ici, les amis, alors passez à autre chose maintenant.

    L'affirmation d'Austin Private Wealth est qu'un "multiplicateur erroné... a été appliqué par un fournisseur tiers qui a augmenté le nombre d'actions d'un multiple de 10 000 pour tous les contrats d'options (pas seulement DJT)" alors que la société était censée n'avoir vendu que des dollars. DJT par 12 contrats, soit 1 200 actions.

    La connaissance humaine est attaquée ! Les gouvernements et les grandes entreprises recourent à la censure pour anéantir la base de connaissances de l’humanité sur la nutrition, les herbes, l’autonomie, l’immunité naturelle, la production alimentaire, la préparation et bien plus encore. Nous préservons les connaissances humaines grâce à la technologie de l’IA tout en construisant l’infrastructure de la liberté humaine. Parlez librement sans censure sur le nouveau Brighteon.io décentralisé et alimenté par la blockchain. Explorez nos outils d'IA générative téléchargeables gratuitement sur Brighteon.AI. Soutenez nos efforts pour construire l’infrastructure de la liberté humaine en achetant sur HealthRangerStore.com, proposant des aliments et des solutions nutritionnelles testés en laboratoire et certifiés biologiques, sans OGM.

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  46. "Nous regrettons profondément cette erreur et l'inquiétude qu'elle a suscitée, surtout à un moment aussi difficile pour notre nation", a déclaré la société d'investissement dans un communiqué.

    "Nous nous engageons à faire preuve d'une transparence totale et à maintenir la confiance de nos clients. En tant que tel, nous révisons nos procédures internes et nos processus avec le fournisseur tiers qui nous assiste dans les dépôts auprès de la SEC afin de mieux comprendre comment cela s'est produit et d'éviter des problèmes similaires à l'avenir. ".

    Nous ne sommes pas en mesure de confirmer la légitimité de cette affirmation, car Austin Private Wealth affirme avoir détecté «l'erreur» trois jours après l'attentat contre Trump à Butler.

    En 2001, juste une semaine avant le 11 septembre, une situation similaire s'est produite lorsqu'un nombre massif d'options de vente ont été achetées sur American Airlines et United Airlines, les deux compagnies aériennes impliquées dans les attentats.

    Les investisseurs qui ont acheté ces options de vente pariaient que les cours des actions AA et UA baisseraient à court terme, ce qui est exactement ce qui s’est produit après les attentats du 11 septembre.

    "Ces investisseurs ont réalisé un bénéfice d'au moins 5 millions de dollars après les attentats du 11 septembre", explique un article de l'Université de North Texas.

    "Il est intéressant de noter que les noms des investisseurs ne sont pas divulgués et que les 5 millions de dollars ne sont pas réclamés sur le compte de la Bourse de Chicago. Pourquoi ces transactions aberrantes n'ont-elles pas été découvertes avant le 11 septembre ? Qui étaient les individus qui ont effectué ces transactions ? Ont-ils fait l'objet d'une enquête ? Qui était responsable de la surveillance de ces activités ? Ces individus ont-ils été tenus responsables de leur inaction ? »

    Une fois de plus, nous assistons à des chicanes similaires à Wall Street en association avec la tentative d’assassinat de Trump. Et encore une fois, il est peu probable que quoi que ce soit soit fait à ce sujet, car un article publié par l'Université de Notre Dame a révélé que des erreurs dans les dépôts 13-f auprès de la Securities and Exchange Commission (SEC), ce que prétend Austin Private Wealth. se sont produits, sont rarement, voire jamais, pénalisés.

    D’autres informations sur Trump et les efforts incessants de l’État profond pour le renverser avant les élections de 2024 peuvent être trouvées sur Trump.news.

    Les sources de cet article incluent :

    FinBold.com
    Brighton.social
    NaturalNews.com
    UNT.edu
    ND.edu

    https://www.naturalnews.com/2024-07-19-day-before-trump-assassination-attempt-stock-short-positions.html

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  47. Les élites financières derrière Trump-Vance


    20 juillet 2024
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Il y a un certain espoir dans l’élection de Donald Trump et de JD Vance. Cependant, les différences entre Républicains et Démocrates sont marginales ; dans l’ensemble, ils poursuivent les mêmes politiques. Ils ont les mêmes partisans et soutiens dans le complexe financier numérique.
    Dans Unlimited Hangout , la célèbre journaliste d'investigation Whitney Webb révèle qui sont les mécènes de Vance et qui finance les campagnes électorales de Trump. Le personnage central est l'investisseur technologique, PayPal et le fondateur de Palantir, Peter Thiel, soutenu par ses collègues. Ils financent la campagne Trump avec au moins 45 millions de dollars. Et Vance est, pour ainsi dire, le fils adoptif de Thiel.

    Webb explique que les démocrates sont soutenus par l'ancien PDG de Google, Eric Schmidt, au lieu de Thiel. Schmidt et Thiel sont co-dirigeants de l'influent Club Bilderberg. Les Démocrates et les Républicains forment un seul parti, le parti universitaire. En Europe, au niveau européen, cela correspond au Parti PPE-SD-Libéraux-Verts, qui vient de réélire l'antidémocrate et belliciste VonderLeyen. En Allemagne, cela correspond au groupe CDU-CSU-SPD-FDP-Verts, en Autriche, il s'agit du groupe ÖVP-SPÖ-NEOS-Verts, qui ne diffèrent que par de petits détails mais poursuivent la même ligne politique.

    Dans la vidéo suivante, Webb de SUPPRIMÉ discute de l'homme derrière le choix du vice-président de Trump, du rôle de Palantir dans la surveillance de masse, de la manière dont la police et Palantir utilisent les données pour justifier une police raciste, de la manière dont la CIA, le Mossad et le « réseau Epstein » exploitent les fusillades de masse pour créer un Cauchemar orwellien.

    Après l'élection du duo Trump-Vance comme candidats républicains officiels, l'attention du public s'est tournée non seulement vers Vance, mais aussi vers le milliardaire Peter Thiel . Vance est l'un des nombreux protégés éminents de Thiel dont la popularité a augmenté ces dernières années. Les autres protégés du co-fondateur de PayPal incluent Sam Altman d'OpenAI et Palmer Luckey d'Anduril, écrit Whitney Webb

    Selon des informations récentes, Thiel a accueilli Vance pour la première fois dans son cercle alors qu'il était encore étudiant à la faculté de droit de Yale. Peu de temps après, Vance a rejoint Mithril Capital, la société d'investissement de Thiel, où il a travaillé pendant deux ans avant de rejoindre Revolution Ventures. Vance a joué un rôle clé dans le fonds d'amorçage « Rise of the Rest » de Revolution, dont les principaux investisseurs comprenaient Jeff Bezos d'Amazon et la famille Walton de WalMart, qui entretiennent depuis longtemps des liens étroits avec la famille Clinton. Vance a ensuite fondé sa propre société de capital-risque Narya Capital en 2020 , largement financée par Thiel et l'ancien PDG de Google, Eric Schmidt.

    Schmidt, un donateur démocrate majeur, a été le fer de lance de la politique scientifique et technologique de l'administration Biden et a dominé le développement de la politique en matière d'IA au sein de la communauté militaire et du renseignement américain, notamment à travers sa direction de la National Security Commission on AI (NSCAI). ). Comme Unlimited Hangout l'a signalé précédemment , la NSCAI dirigée par Schmidt a promu des politiques telles que l'élimination de la possession d'une voiture privée et des achats personnels pour inciter les Américains à adopter l'IA comme une prétendue nécessité de sécurité nationale à l'approche de l'ère Covid. C’est à peu près la même politique que celle que Leyen et la Commission européenne préconisent au nom de l’oligarchie occidentale et du complexe numérique-financier.

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  48. Schmidt et Thiel sont tous deux des membres clés du comité directeur de la controversée conférence Bilderberg, qui se déroule à huis clos et est manifestement mondialiste. Newsweek a un jour décrit Schmidt et Thiel comme les deux personnes les plus influentes du Bilderberg.

    Thiel a soutenu la carrière politique de Vance avec d'importants dons . Il a fait don de 15 millions de dollars à la candidature réussie de Vance au Sénat au cours de l'année électorale 2022, ce qui était le don le plus important jamais fait à un candidat au Sénat à l'époque. Thiel a également accompagné Vance, un ancien « Never Trumper », lors d'une visite à Mar-a-Lago de Trump, où Vance a reçu avec succès la bénédiction de l'ancien président. Thiel a également lié Vance à d'autres membres de la soi-disant mafia PayPal, comme David Sacks, qui a fait don d'un million de dollars à Vance et a organisé une collecte de fonds pour lui. Sacks et le co-fondateur de PayPal, Elon Musk, auraient joué un rôle clé dans la sélection de Vance par Trump au poste de vice-président, car ils ont mené une « campagne de lobbying secrète » pour Vance qui impliquait également l'animateur médiatique Tucker Carlson.

    Thiel était un donateur majeur de la campagne présidentielle de Trump en 2016 et faisait partie de l'équipe de transition de Trump, tandis que d'autres personnes associées à Thiel, comme Trae Stephens, ont fortement influencé les nominations de Trump au Pentagone. L'influence de Stephens au sein du Pentagone de Trump a également contribué à élargir les liens de l'armée avec la société Anduril, soutenue par Thiel, et cofondée par Stephens et Palmer Luckey, associé de Thiel . Avant Anduril, Luckey a développé le système de réalité virtuelle Oculus Rift, qui a ensuite été vendu à Facebook, où Thiel a ensuite siégé au conseil d'administration. Anduril est en train de construire un « mur frontalier virtuel » pour le gouvernement fédéral, et Trump, qui a longtemps préconisé la construction d’une barrière physique à la frontière entre les États-Unis et le Mexique, a abandonné cette promesse au cours de son premier mandat et soutient désormais la solution même proposée par Anduril.

    Les drones sans pilote d'Anduril jouent également un rôle important dans les opérations militaires ukrainiennes pendant le conflit russo-ukrainien, tout comme d'autres sociétés controversées financées par Thiel, telles que Palantir (un sous-traitant de la CIA) et ClearView AI, qui publie principalement des photos sur Facebook (une autre entreprise soutenue par Thiel). company) utilisée pour développer sa base de données de reconnaissance faciale orwellienne. Les liens étroits de ces sociétés avec l’armée ukrainienne pourraient avoir un impact sur la politique d’une seconde administration Trump concernant le soutien américain à l’Ukraine, surtout si Thiel exerce une influence significative. Au-delà de l’Ukraine, ce réseau d’entrepreneurs de défense financés par Thiel change le visage de la guerre, remplaçant lentement mais sûrement les décisions humaines par l’IA.

    Même si ces liens devraient être troublants en eux-mêmes, l'influence potentielle de Thiel sur la nouvelle administration Trump devrait inquiéter tous les Américains, quelle que soit leur position sur l'échiquier politique, car les efforts de Thiel pour réhabiliter et remodeler certains des efforts orwelliens et anticonstitutionnels des agences de renseignement cibler les dissidents nationaux est inquiétant.

    https://tkp.at/2024/07/20/die-finanzeliten-hinter-trump-vance/

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  49. "La plupart des services de sécurité de Trump n'étaient même pas des services secrets" : les lanceurs d'alerte


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 19 JUILLET 2024 - 16H15


    Mise à jour (10 h 15) : le sénateur Josh Hawley (R-MO) a déclaré sur X que, selon de nouveaux lanceurs d'alerte, "la plupart des services de sécurité de Trump travaillant sur l'événement de samedi dernier n'étaient même pas des services secrets" et étaient plutôt "issus du département de la sécurité intérieure du département". Enquêtes de sécurité (HSI).

    Le sénateur du Missouri a envoyé une lettre au secrétaire du DHS, Alejandro Mayorkas, qui dit : « Selon les allégations, le rassemblement du 13 juillet a été considéré comme un événement de sécurité « libre ».

    "Par exemple, les chiens de détection n'ont pas été utilisés pour surveiller l'entrée et détecter les menaces de la manière habituelle. Des individus sans désignation appropriée ont pu accéder aux coulisses. Le personnel du département n'a pas surveillé de manière appropriée le tampon de sécurité autour du podium et n'était pas non plus stationné. à intervalles réguliers autour du périmètre de sécurité de l'événement.

    * * *

    Les lanceurs d'alerte des services secrets américains ont contacté la commission judiciaire de la Chambre des représentants, affirmant qu'ils disposaient de ressources limitées pour couvrir l'ancien président Donald Trump le week-end dernier en raison du sommet de l'Organisation du Traité de l'Atlantique Nord (OTAN) à Washington DC, ainsi que du rassemblement électoral de la première dame Jill Biden à Washington. Pittsburgh, Pennsylvanie.

    Le président Jim Jordan a demandé des réponses au directeur du FBI Christopher Wray, selon le Daily Caller.

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  50. "Les lanceurs d'alerte ont révélé au Comité que l'USSS avait mené deux séances d'information concernant le rassemblement électoral du 13 juillet, le 8 juillet 2024, avec le Western Pennsylvania Fusion Center (WPFC) et d'autres parties prenantes, pour discuter des prochaines visites sans rapport du président Trump et du Premier ministre. Lady Dr. Jill Biden", lit-on dans une lettre de jeudi de Jordan à Wray. "L'agent spécial en charge de l'USSS, Tim Burke, aurait déclaré aux partenaires chargés de l'application des lois que l'USSS disposait de ressources limitées cette semaine-là parce que l'agence couvrait le sommet de l'Organisation du Traité de l'Atlantique Nord (OTAN) à Washington, D.C. Le personnel du FBI était présent à ces briefings. Alors que l'USSS "Le comité reconnaît que le FBI est l'une des nombreuses agences représentées au sein du WPFC, qu'il est le principal organisme d'enquête fédéral et une source clé de renseignements sur les menaces potentielles liées à des événements spéciaux dans sa zone de responsabilité", a-t-il poursuivi.

    "Le Comité a plusieurs questions sans réponse sur les échecs qui ont conduit à la tentative d'assassinat d'un président - la première depuis plus de quarante ans - ainsi que sur la capacité du FBI à mener une enquête rapide, transparente et approfondie à la suite de ses récents scandales. En conséquence, pour garantir que le Comité puisse évaluer efficacement ces questions lors de votre témoignage le 24 juillet 2024. »

    Jordan recherche les informations suivantes auprès de Wray :

    Combien d’agents, d’analystes et de personnel de soutien le FBI a-t-il affecté à l’enquête ?
    Y avait-il une coordination entre le FBI, l’USSS et le WPFC avant l’événement du président Trump le 13 juillet ?
    Combien de bâtiments ont dû être sécurisés à l’intérieur et à l’extérieur du périmètre de sécurité pour l’événement du président Trump le 13 juillet ?
    Pourquoi le toit du bâtiment d’AGR International n’a-t-il pas été sécurisé ?
    Combien de temps s'est écoulé entre l'identification du tireur comme menace potentielle et la tentative d'assassinat ?
    Combien de temps s'est écoulé entre la rencontre par le policier local avec le tireur sur le toit en pente et la tentative d'assassinat ?
    Le FBI a-t-il interrogé le policier local qui a rencontré le tireur ?
    Que révèle l’évaluation par le FBI de l’activité téléphonique et numérique du tireur sur ses actions et ses mouvements dans les jours et les heures qui ont précédé la tentative d’assassinat ?
    Le dispositif de sécurité lors de l’événement du président Trump a-t-il été limité en raison de contraintes de ressources liées au sommet de l’OTAN et/ou à l’événement de la Première dame Jill Biden à Pittsburgh ?
    L’enquête du FBI se limite-t-elle au tireur et à ses motivations ou inclut-elle les failles de sécurité qui ont conduit à la tentative d’assassinat ?
    Comment les pannes de communication entre les différentes entités chargées de l'application de la loi ont-elles affecté la capacité des forces de l'ordre locales et de l'USSS à identifier le tireur comme une menace potentielle et à atténuer la menace avant qu'il n'agisse ?
    Quelles mesures l’USSS a-t-elle prises pour destituer ou couvrir le président Trump après qu’une menace ait été connue ou détectée ?
    Lisez la lettre ci-dessous :

    - voir doc sur site -

    (DAILY CALLER OBTAINED) -- ... by Henry Rodgers

    https://www.zerohedge.com/political/secret-service-whistleblowers-emerge-following-trump-assassination-attempt

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  51. Les explications des services secrets sur les failles de sécurité avant la tentative d'assassinat de Trump ne concordent pas


    Par Katelynn Richardson
    Recherche mondiale,
    18 juillet 2024


    Les explications des services secrets sur les failles de sécurité entourant la tentative d'assassinat contre l'ancien président Donald Trump lors d'un rassemblement samedi ne concordent pas, selon des experts en sécurité et d'anciens agents des services secrets.

    De nouveaux détails provenant de comptes officiels et des fuites dans les médias ont soulevé de sérieuses questions sur la façon dont un homme armé de 20 ans a pu se mettre à portée de fusil de Trump. De nombreuses questions clés dépendent des responsabilités déléguées à la police locale, dont la directrice des services secrets américains, Kimberly Cheatle, a confirmé lors d'une interview lundi avec ABC News, qu'elle se trouvait à l'intérieur du bâtiment d'où le tireur a tiré, même si personne n'était posté sur le toit.

    Cheatle a expliqué qu'il avait été décidé de ne placer personne sur le toit du bâtiment parce que le toit « en pente » le rendait dangereux, mais les experts en sécurité et d'anciens agents des services secrets qui se sont entretenus avec la Daily Caller News Foundation ont souligné que le fait de ne pas avoir quelqu'un sur le toit était une erreur. « gros échec » et ne pensait pas que l'explication de Cheatle était suffisante.

    "Disons simplement que les agents locaux chargés de l'application des lois [et] les services secrets conviennent qu'il n'est tout simplement pas sûr de garder quelqu'un là-haut pendant quelques heures", a déclaré l'ancien agent des services secrets Anthony Cangelosi à la DCNF. « Alors la question est : comment pouvons-nous maintenir son intégrité autrement ? Ce n’est pas comme si vous leviez simplement les mains en l’air et disiez « je ne peux pas faire ça ».

    Cangelosi a déclaré qu'il n'y avait aucune « raison justifiable » pour ne pas couvrir le toit, suggérant qu'ils auraient dû trouver des solutions comme installer une autre plate-forme ou faire monter un officier dans un ascenseur.

    Peter Yachmetz , agent du FBI à la retraite et consultant principal en sécurité chez Yachmetz Consulting Group, a souligné que le tireur se déplaçait sur le toit « dangereux » avant l'incident.

    "La pente ne l'a pas affecté", a déclaré Yachmetz à la DCNF.

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    Les forces de l'ordre auraient repéré le tireur sur le toit 30 minutes avant que les coups de feu ne soient tirés, a rapporté lundi WPXI. Après l'incident, un témoin a décrit avoir vu un homme grimper sur le toit et tenter d'avertir un policier, affirmant que les responsables avaient réagi avec confusion.

    "La réalité est que, quelle que soit la thèse, ce toit en particulier aurait dû être sous surveillance constante et/ou affiché", a déclaré l'ancien agent des services secrets Tim Miller au DCNF.

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    "Dans ce cas particulier, nous avons partagé notre soutien à ce site particulier et au fait que les services secrets étaient responsables du périmètre intérieur", a déclaré Cheatle à ABC News lundi lors d'une interview. « Et puis nous avons demandé l’aide de nos homologues locaux pour le périmètre extérieur. Il y avait la police locale dans ce bâtiment – ​​il y avait la police locale dans la zone qui était responsable du périmètre extérieur du bâtiment.

    Cependant, un responsable local chargé de l'application des lois a déclaré mardi au New York Times que les forces de l'ordre locales se trouvaient dans un bâtiment adjacent, et non dans celui à partir duquel le tireur tirait.

    Les divergences dans leurs comptes ne font qu’ajouter aux incertitudes quant aux responsabilités.

    CBS News a rapporté lundi que trois tireurs d'élite étaient stationnés à l'intérieur du bâtiment d'où le tireur Thomas Matthew Crooks avait tiré, citant un agent local des forces de l'ordre. L'un des tireurs d'élite a vu Crooks regarder à travers un télémètre quelques minutes avant de tirer et de communiquer par radio avec le poste de commandement, selon CBS News.

    Le département de police du canton de Butler a refusé de confirmer le rapport au DCNF, déclarant qu'une enquête était en cours par le FBI.

    Le shérif du comté de Butler, Michael Slupe, a refusé de faire des commentaires supplémentaires mardi, déclarant au DCNF qu'il "se retirait des demandes de commentaires et d'opinions des médias".

    "Il y a trop de questions posées dont je n'ai pas la connaissance directe et trop de responsables pointés du doigt", a-t-il déclaré. «Je suis en charge des shérifs adjoints et d'aucun autre organisme chargé de l'application des lois. Mes adjoints ont exercé leurs fonctions dans les zones qui leur étaient assignées et sont allés au-delà de leurs attentes après le début et la fin des tirs pour aider les gens et aider la police à nettoyer les bâtiments voisins.

    Slupe avait précédemment confirmé à CNN qu'un officier armé du canton de Butler avait rencontré Crooks avant de tirer sur Trump, mais s'était retiré sur l'échelle après que Crooks ait pointé son arme sur lui. Il a déclaré à KDKA-TV qu'il y avait eu une faille de sécurité, mais a noté qu'« il n'y a pas qu'une seule entité responsable ».

    "Les services secrets jouent un rôle clé dans la protection, dans ce cas, de l'ancien président Trump, mais ils n'agissent pas seuls", a-t-il déclaré au média. « Les services secrets reçoivent le soutien des services de police locaux. »

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    La police de l’État de Pennsylvanie a cependant confirmé qu’elle n’avait aucun membre « à l’intérieur du bâtiment ou à l’intérieur ».

    "La police de l'État de Pennsylvanie a fourni toutes les ressources demandées par les services secrets des États-Unis (USSS) pour le rassemblement de l'ancien président Trump à Butler le samedi 13 juillet, y compris environ 30 à 40 soldats pour aider à sécuriser le périmètre intérieur", a déclaré le lieutenant de la police de l'État de Pennsylvanie. Adam Reed a déclaré au DCNF. "Parmi les tâches du PSP lors du rassemblement, le Département n'était pas responsable de la sécurisation du bâtiment ou de la propriété d'AGR International."

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  53. Reed a déclaré qu'il ne pouvait pas dire quand un officier avait été témoin du tireur, car ce n'était pas un policier de l'État qui l'avait vu.

    Cliquez ici pour lire le tweet sur X

    L'ancien agent des services secrets Jeffrey James a expliqué à la DCNF que la protection « fonctionne selon une série de cercles concentriques ». Généralement, il existe un cercle intérieur d’agents des services secrets, un deuxième cercle qui mélange à la fois des agents et des forces de l’ordre locales, et un cercle extérieur composé en grande partie de partenaires étatiques et locaux.

    Si l'agent en charge du chantier a déclaré à un agent des forces de l'ordre local sur le périmètre extérieur que le bâtiment était sous sa responsabilité, alors tout ce qui se passe relève de la responsabilité de l'agent.

    "Mais si cet agent n'a pas trouvé l'un des partenaires locaux chargés de l'application des lois et n'a pas donné des instructions très claires et directes... alors ce sera la responsabilité ou la faute de cet agent s'il n'a pas délégué cela", a-t-il déclaré à la DCNF.

    On ne sait pas exactement quelles instructions les services secrets ont données aux forces de l'ordre locales.

    Le procureur du comté de Butler, Richard Goldinger, a déclaré mardi au Washington Post que « les services secrets étaient aux commandes » et qu'« il était de leur responsabilité de s'assurer que le lieu et ses environs étaient sécurisés ».

    "Pour eux, blâmer les forces de l'ordre locales, c'est leur faire passer le blâme alors qu'ils en portent la responsabilité, à mon avis", a déclaré Goldinger au Washington Post.

    Cependant, les services secrets ont publié mardi une déclaration repoussant les affirmations selon lesquelles ils blâmaient les forces de l'ordre locales pour la tragédie qui s'est déroulée samedi. "Toute nouvelle suggérant que les services secrets imputent aux forces de l'ordre locales l'incident de samedi est tout simplement fausse", indique le communiqué publié sur la page X des services secrets.

    "J'ai du mal à concilier la réponse donnée par la directrice dans son entretien sur ABC avec la déclaration officielle faite sur les réseaux sociaux", a déclaré mardi Patrick Yoes , président national de l'Ordre Fraternel de la Police, dans un communiqué. "Notre objectif est de fournir toute l'assistance dont les services secrets ont besoin pour accomplir leur mission et de le faire dans le respect mutuel, la confiance et l'exactitude."

    Un rapport de RealClearPolitics a suggéré dimanche que des ressources avaient été détournées du rassemblement de Trump vers un événement où la Première dame Jill Biden s'exprimait. Anthony Guglielmi, chef des communications des services secrets américains, a nié que ce soit le cas.

    Des questions demeurent également quant aux raisons pour lesquelles Crooks n’a pas été éliminé plus tôt. Cangelosi a expliqué à la DCNF que les contre-tireurs peuvent être confrontés à des difficultés en raison de leur distance par rapport à la cible.

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  54. "Avec les contre-snipers, vous êtes généralement si loin qu'il n'est généralement pas clair si un individu constitue une menace imminente", a déclaré Cangelosi. « C'est plus difficile à discerner. Une fois qu’ils ont déterminé si cette personne représente une menace pour la vie ou des blessures corporelles graves, ils peuvent tirer.

    Yachmetz s'est demandé pourquoi la couverture par drone n'était pas utilisée.

    "Un drone stratégiquement placé à quelques milliers de pieds au-dessus aurait pu surveiller l'ensemble du lieu", a-t-il déclaré.

    "À mon avis, une enquête détaillée, approfondie et très spécifique doit être menée sur toutes les procédures [et] l'ensemble de cette affaire par un groupe d'enquête extérieur impartial (éventuellement composé d'agents à la retraite)", a déclaré Yachmetz à la DCNF, soulignant l'enquête. ne doit pas être « politiquement motivé ».

    Le président du Comité de surveillance et de responsabilité de la Chambre, James Comer, a annoncé lundi que Cheatle témoignerait lors d'une audience du comité le 22 juillet. Le président Joe Biden a déclaré dimanche qu'il avait dirigé un « examen indépendant » des événements.

    Le FBI a déclaré au DCNF qu’il n’avait « rien d’autre à fournir pour le moment au-delà des déclarations publiées précédemment ». Le Bureau a déclaré lundi avoir eu accès au téléphone de Crooks et « avoir mené près de 100 entretiens avec des membres des forces de l'ordre, des participants à l'événement et d'autres témoins ».

    Trump a été blessé à l'oreille et deux personnes ont été tuées , dont Crooks et Corey Comperatore, ancien chef des pompiers volontaires de 50 ans. Deux autres participants ont également été blessés lors de l'attaque.

    Les services secrets n'ont pas répondu à une demande de commentaire.

    https://www.globalresearch.ca/secret-service-security-failures-trump-assassination/5862968

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  55. Président John F. Kennedy : sa vie et son assassinat public par la CIA


    Par Edward Curtin
    Recherche mondiale,
    20 juillet 2024


    Quelle est la vérité et où est-elle passée ?
    Demandez à Oswald et Ruby, ils devraient savoir
    « Fermez votre gueule », dit le vieux hibou sage.
    Les affaires sont les affaires, et c'est un meurtre des plus ignobles.

    Ne vous inquiétez pas, Monsieur le Président
    L'aide est en route
    Vos frères arrivent, il y aura un enfer à payer
    Frères ? Quels frères ? Qu'est-ce que c'est à propos de l'enfer ?
    Dites-leur : "Nous attendons, continuez à venir"
    Nous les aurons aussi
    – Bob Dylan, le meurtre le plus grave

    La raison pour laquelle le président Kennedy a été publiquement assassiné par la CIA il y a soixante ans n’a jamais été aussi importante. Tous les pseudo-débats affirmant le contraire – y compris les affirmations nombreuses et croissantes selon lesquelles ce n’était pas l’État de sécurité nationale américain mais les Israéliens qui ont assassiné le président, qui disculpent la CIA – la vérité sur l’assassinat est depuis longtemps évidente. Il n’y a rien à débattre, sauf si l’on est une sorte d’agent du renseignement, si l’on est obsédé ou si l’on cherche à se faire un nom ou à gagner de l’argent. Je suggère que toutes ces conférences annuelles de JFK à Dallas devraient enfin prendre fin, mais je suppose qu'elles se poursuivront pendant encore de nombreuses décennies. Faire d’une tragédie une industrie est une erreur. Et ces conférences sont si souvent consacrées à l’examen et au débat de détails qui détournent l’attention de la vérité essentielle.

    Quant aux médias grand public, ils n’admettront jamais la vérité mais continueront aussi longtemps que nécessaire à titiller le public avec des mensonges, des lieux de rencontre limités et des absurdités sensationnelles. Pour agir autrement, il faudrait admettre qu’ils sont depuis longtemps complices de fausses déclarations sur le crime et de dissimulations sans fin. Qu'ils sont des armes de la CIA et de la NSA.

    La guerre froide, les innombrables autres guerres et la menace nucléaire pour laquelle John Kennedy a travaillé si dur pour mettre fin sont aujourd’hui enflammées jusqu’à leur paroxysme par les dirigeants américains, esclaves des forces qui ont tué le président. Le président Joseph Biden, comme tous les présidents qui ont suivi Kennedy, est l'opposé de JFK, un belliciste impénitent, non seulement en Ukraine avec la guerre américaine contre la Russie et la politique américaine de première frappe nucléaire, mais dans le monde entier – au Moyen-Orient. , l’Afrique, la Syrie, l’Iran, et ainsi de suite, y compris la poussée en faveur d’une guerre avec la Chine.

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  56. Cela n'est nulle part plus vrai qu'avec le soutien américain au génocide israélien actuel des Palestiniens à Gaza, un massacre également soutenu par Robert Kennedy Jr., qui, ironiquement, fait campagne pour la présidence dans le sillage de JFK et de son père, le sénateur Robert. F. Kennedy, qui serait consterné par son soutien sans équivoque au gouvernement israélien. Par un tel soutien et son silence alors que le massacre à Gaza se poursuit, RFK Jr., contrairement à ses autres opinions exprimées, soutient un large éventail de questions liées à la guerre qui impliquent l'alliance américano-israélienne, qui est au cœur du conflit militaro-industriel. forces qui dirigent la politique étrangère américaine. Dire que c'est décourageant est un euphémisme, car RFK Jr., un homme très intelligent, sait que la CIA a tué son oncle et son père, et il fait campagne en tant qu'homme spirituellement éveillé avec l'intention de mettre fin à l'État de guerre américain, ce qui est impossible. à accomplir quand on apporte un soutien total à Israël. Et je crois qu’il sera élu prochain président des États-Unis.

    L’administration Biden fait tout ce qui est en son pouvoir pour effacer l’héritage de la dernière année au pouvoir de JFK, au cours de laquelle il s’est battu sur tous les fronts pour la paix et non pour la guerre. Il n’est pas difficile de réaliser que tous les présidents depuis John Kennedy ont pleinement conscience qu’une balle dans la tête en plein jour pourrait être leur sort s’ils défiaient leurs patrons. Ils le savaient lorsqu’ils briguaient ce poste, car ils étaient dirigés par les mêmes patrons avant les élections. Des hommes de petite âme, des lâches en herbe, prêts à sacrifier des millions à leur ambition.

    Je crois que l’article suivant – mon dernier sur ce sujet – que j’ai publié il y a deux ans, mérite d’être relu si vous l’avez déjà fait, et encore plus important si vous ne l’avez jamais lu. Il n'est pas basé sur des spéculations mais sur des faits bien documentés, et il montrera clairement l'importance du président Kennedy et pourquoi son assassinat a jeté les bases des terribles événements d'aujourd'hui. En cette période sombre, où le monde devient incontrôlable, l’histoire de son grand courage face à un assassinat auquel il s’attendait peut nous inciter à nous opposer aux forces systémiques du mal qui contrôlent les États-Unis et conduisent le monde dans une situation difficile. les abysses.

    Liste des sections

    Sous pression pour faire la guerre
    Un héros de guerre consterné par la guerre
    Une perspective prémonitoire
    Patrice Lumumba
    Dag Hammarskjöld, Indonésie et Sukarno
    La Baie des Cochons
    Kennedy répond après la trahison de la Baie des Cochons
    L'année fatidique 1963
    L'assassinat du 22 novembre 1963
    Qui l'a tué ?
    Qui était Lee Harvey Oswald ?
    Qui avait le pouvoir de retirer la sécurité du président ?
    Oswald, le Patsy préordonné
    Le message à Air Force One
    L'histoire de la vie préemballée d'Oswald
    Épilogue de James W. Douglass

    *

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  57. Malgré l’émergence d’un trésor de nouvelles recherches et d’informations au cours des cinquante-huit dernières années, nombreux sont ceux qui se demandent encore qui a tué le président John Fitzgerald Kennedy et pourquoi. Ces questions restent sans réponse. Ils ont bu ce que le Dr Martin Schotz a appelé « les eaux de l’incertitude » qui aboutissent « à un état de confusion dans lequel on peut tout croire mais où l’on ne peut rien savoir, même si rien d’important ». [je]

    Ensuite, il y en a d’autres qui s’accrochent à l’ explication « solitaire » de Lee Harvey Oswald proposée par la Commission Warren.

    Ces deux groupes ont cependant tendance à s’accorder sur le fait que quelle que soit la vérité, inconnaissable ou prétendument connue, elle n’a aucune pertinence contemporaine mais relève de l’histoire ancienne, du vieux chapeau, du truc pour les gens obsédés par le complot qui n’ont rien de mieux à faire. L’opinion générale est que l’assassinat a eu lieu il y a plus d’un demi-siècle, alors passons à autre chose.

    Rien ne pourrait être plus éloigné de la vérité, car l’assassinat de JFK est l’événement fondateur de l’histoire américaine moderne, la boîte de Pandore d’où sont sorties de nombreuses décennies de tragédie.

    Sous pression pour faire la guerre

    Depuis le jour où il a prêté serment comme président le 20 janvier 1961, John F. Kennedy a subi des pressions incessantes de la part du Pentagone, de la Central Intelligence Agency et de nombre de ses propres conseillers pour mener une guerre – clandestine, conventionnelle et nucléaire.

    Pour comprendre pourquoi et par qui il a été assassiné le 22 novembre 1963, il faut appréhender cette pression et les raisons pour lesquelles le président Kennedy y a constamment résisté, ainsi que les conséquences de cette résistance.

    C’est une clé pour comprendre l’état actuel de notre monde et pourquoi les États-Unis mènent des guerres étrangères sans fin et créent un État de surveillance de la sécurité nationale chez eux depuis la mort de JFK.

    Un héros de guerre consterné par la guerre

    Il est très important de se rappeler que le lieutenant John Kennedy était un véritable héros de guerre naval pendant la Seconde Guerre mondiale, ayant risqué sa vie et ayant été grièvement blessé en sauvant ses hommes dans les eaux dangereuses du Pacifique Sud après que leur bateau PT ait été coulé par un destroyer japonais. . Son frère aîné Joe et son beau-frère Billy Hartington étaient morts pendant la guerre, tout comme certains membres de l'équipage de son bateau.

    En conséquence, Kennedy était extrêmement sensible aux horreurs de la guerre et, lorsqu’il s’est présenté pour la première fois au Congrès dans le Massachusetts en 1946, il a clairement indiqué qu’éviter une autre guerre était sa priorité numéro un. Cet engagement lui est resté et s’est intensément renforcé tout au long de sa brève présidence jusqu’au jour de sa mort, en luttant pour la paix.

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  58. Malgré de nombreux discours affirmant le contraire, cette position anti-guerre était inhabituelle pour un homme politique, surtout dans les années 1950 et 1960. Kennedy était un homme remarquable, car même s’il a assumé la présidence en tant que guerrier froid vis-à-vis de l’Union soviétique en particulier, ses expériences au pouvoir ont rapidement tempéré cette position. Il s’est très vite rendu compte qu’il y avait autour de lui de nombreuses personnes qui savouraient l’idée de la guerre, même de la guerre nucléaire, et il en est venu à les considérer comme très dangereux.

    Une perspective prémonitoire

    Pourtant, avant même de devenir président, en 1957, le sénateur Kennedy a prononcé un discours au Sénat américain qui a provoqué une onde de choc à Washington, DC et dans le monde entier. [ii] Il s'est prononcé en faveur de l'indépendance de l'Algérie vis-à-vis de la France et de la libération de l'Afrique en général et contre l'impérialisme colonial . En tant que président de la sous-commission africaine du Sénat en 1959, il a encouragé la sympathie pour les mouvements indépendantistes africains dans le cadre de la politique étrangère américaine. Il pensait que le soutien continu aux politiques coloniales ne ferait qu’aboutir à davantage d’effusions de sang, car les voix de l’indépendance ne seraient pas niées, et elles ne devraient pas l’être.

    Ce discours provoqua un tollé international et, aux États-Unis, Kennedy fut durement critiqué par Eisenhower, Nixon, John Foster Dulles et même par des membres du parti démocrate, comme Adlai Stevenson et Dean Acheson. Mais cela a été applaudi en Afrique et dans le tiers monde.

    Pourtant, JFK a continué tout au long de sa campagne présidentielle de 1960 à élever la voix contre le colonialisme dans le monde entier et en faveur des nations africaines libres et indépendantes. De telles opinions étaient un anathème pour l’establishment de la politique étrangère, y compris pour la CIA et le complexe militaro-industriel en plein essor contre lequel le président Eisenhower a tardivement mis en garde dans son discours d’adieu, prononcé neuf mois après avoir approuvé l’invasion de Cuba dans la Baie des Cochons en mars 1960 ; cette juxtaposition a révélé l’emprise que le Pentagone et la CIA avaient sur les présidents en exercice, à mesure que la pression en faveur de la guerre devenait structurellement systématisée.

    L'un des dirigeants anticoloniaux et nationalistes d'Afrique était le charismatique Premier ministre congolais Patrice Lumumba . En juin 1960, il était devenu le premier dirigeant démocratiquement élu du Congo, un pays sauvagement violé et pillé pendant plus d'un demi-siècle par le roi Léopold II de Belgique pour lui-même et pour les sociétés minières multinationales. Le soutien de Kennedy à l'indépendance africaine était bien connu et particulièrement redouté par la CIA qui, avec Bruxelles, considérait Lumumba et Kennedy pour son soutien comme des menaces pour leurs intérêts dans la région.

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  59. Ainsi, trois jours avant l'investiture de JFK, en collaboration avec le gouvernement belge, la CIA fit assassiner brutalement Lumumba après l'avoir torturé et battu. Selon Robert Johnson, preneur de notes lors d'une réunion du Conseil de sécurité nationale en août 1960, l'assassinat de Lumumba avait été approuvé par le président Eisenhower lorsqu'il avait donné à Allen Dulles, le directeur de la CIA, l'autorisation d'« éliminer » Lumumba. Johnson l'a révélé dans une interview de 1975 qui a été découverte en 2000.[iii]

    Le 26 janvier 1961, lorsque Dulles informa le nouveau président sur la situation au Congo, il ne dit pas à JFK qu'ils avaient déjà fait assassiner Lumumba neuf jours auparavant. Cela visait à tenir Kennedy en haleine pour lui donner une leçon. Le 13 février 1961, Kennedy reçut un appel téléphonique de son ambassadeur à l'ONU, Adlai Stevenson, l'informant de la mort de Lumumba. Il y a une photographie du photographe de la Maison Blanche Jacques Lowe du président horrifié assis dans le bureau ovale répondant à cet appel qui est déchirante à voir. C’était un présage indubitable des choses à venir, un avertissement pour le président.

    Dag Hammarskjöld, Indonésie et Sukarno
    L'un des alliés essentiels de Kennedy dans ses efforts en faveur de l'indépendance du tiers-monde était le secrétaire général des Nations Unies, Dag Hammarskjöld . Hammarskjöld avait été profondément impliqué dans le maintien de la paix au Congo ainsi que dans les efforts visant à résoudre les différends en Indonésie, deux pays importants au cœur des préoccupations de JFK. Hammarskjöld a été tué le 18 septembre 1961 alors qu'il effectuait une mission de maintien de la paix au Congo. Il existe des preuves substantielles qu'il a été assassiné et que la CIA et Allen Dulles étaient impliqués. Kennedy était dévasté de perdre un allié aussi important.[iv]

    La stratégie de Kennedy consistait à se lier d'amitié avec l'Indonésie en tant qu'allié de la guerre froide, aspect crucial de sa politique en Asie du Sud-Est visant à traiter avec le Laos et le Vietnam et à trouver des solutions pacifiques à d'autres conflits latents de la guerre froide. Hammarskjöld a également joué un rôle central dans ces efforts. La CIA, dirigée par Dulles, s'est fermement opposée à la stratégie de Kennedy en Indonésie. En fait, Dulles et la CIA étaient impliqués dans des manœuvres perfides dans une Indonésie riche en ressources depuis des décennies. Le président Kennedy a soutenu le président indonésien Sukarno , tandis que Dulles s'est opposé à lui car il défendait l'indépendance indonésienne.

    Deux jours seulement avant son assassinat, le 22 novembre 1963, Kennedy avait accepté une invitation du président indonésien Sukarno à se rendre dans ce pays au printemps suivant. Le but de la visite était de mettre fin au conflit ( Konfrontasi ) entre l'Indonésie et la Malaisie et de poursuivre les efforts de Kennedy pour soutenir l'Indonésie postcoloniale avec une aide économique et au développement non militaire. Son objectif était de mettre fin aux conflits dans toute l’Asie du Sud-Est et de contribuer à la croissance de la démocratie dans les pays postcoloniaux nouvellement libérés du monde entier.

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  60. Bien sûr, JFK n’est jamais arrivé en Indonésie en 1964, et sa stratégie pacifique visant à amener l’Indonésie aux côtés des États-Unis et à apaiser les tensions pendant la guerre froide n’a jamais été réalisée, grâce à Allen Dulles et à la CIA. Et la proposition de Kennedy de retirer les conseillers militaires américains du Vietnam, qui reposait en partie sur le succès en Indonésie, a été rapidement annulée par Lyndon Johnson après le meurtre de JFK et, en peu de temps, des centaines de milliers de soldats américains ont été envoyés au Vietnam. En Indonésie, Sukarno serait chassé du pouvoir et remplacé par le général Suharto, qui gouvernerait d’une main de fer pendant les 30 prochaines années. Bientôt, les deux pays connaîtraient un massacre de masse organisé par les opposants de Kennedy au sein de la CIA et du Pentagone. [v]

    La Baie des Cochons
    À la mi-avril 1961, moins de trois mois après le début de sa présidence, un piège fut tendu au président Kennedy par la CIA et son directeur, Allen Dulles, qui connaissaient la réticence de Kennedy à envahir Cuba. Ils pensaient que le nouveau président serait contraint par les circonstances, à la dernière minute, d’envoyer la marine américaine et les forces maritimes pour soutenir l’invasion qu’ils avaient planifiée. La CIA et les généraux voulaient évincer Fidel Castro et, pour atteindre cet objectif, ont formé une force d’exilés cubains pour envahir Cuba. Cela avait commencé sous le président Eisenhower et le vice-président Nixon. Kennedy a refusé d’accepter l’envoi de troupes américaines et l’invasion a été vaincue. La CIA, l’armée et les exilés cubains ont amèrement blâmé Kennedy.

    Mais tout cela n’était qu’une imposture. Des documents classifiés découverts en 2000 ont révélé que la CIA avait découvert que les Soviétiques avaient appris la date de l'invasion plus d'une semaine à l'avance et en avaient informé le Premier ministre cubain Fidel Castro, mais - et voici un fait surprenant qui devrait faire dresser les cheveux sur les cheveux. - la CIA ne l'a jamais dit au président. La CIA savait que l’invasion était probablement vouée à l’échec avant le fait, mais elle a quand même procédé.

    Pourquoi ? Ils pourraient donc ensuite imputer l’échec à JFK.

    Kennedy dit plus tard à ses amis Dave Powell et Ken O'Donnell : « Ils étaient sûrs que je céderais à eux et enverrais l'ordre de feu vert au [porte-avions de la Marine] Essex . Ils ne pouvaient pas croire qu’un nouveau président comme moi ne paniquerait pas et ne sauverait pas la face. Eh bien, ils m’avaient fait tout faux. [vi]

    Cette trahison a préparé le terrain pour les événements à venir. Sentant mais ne connaissant pas toute l'ampleur du complot, Kennedy renvoya le directeur de la CIA Allen Dulles (qui, comme dans une mauvaise blague, fut plus tard nommé à la Commission Warren enquêtant sur l'assassinat de JFK) et son assistant, le général Charles Cabell (dont le frère, Earle Cabell, pour rendre absurde une mauvaise blague, était maire de Dallas le jour où Kennedy a été tué.) On a découvert plus tard qu'Earle Cabell était un agent de la CIA.[vii]

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  61. JFK a déclaré qu’il voulait « briser la CIA en mille morceaux et la disperser aux quatre coins du monde ». Pas des sentiments pour le faire aimer d’un gouvernement secret au sein d’un gouvernement dont le pouvoir augmentait de façon exponentielle. [viii]

    Kennedy répond après la trahison de la Baie des Cochons
    Le décor était désormais planté pour que les événements suivent alors que JFK, désormais encore plus méfiant à l’égard des gens du renseignement militaire qui l’entouraient, et contrairement à presque tous ses conseillers, s’opposait systématiquement au recours à la force dans la politique étrangère américaine.

    En 1961, malgré la demande des chefs d'état-major d'envoyer des troupes de combat au Laos – conseillant d'en envoyer 140 000 d'ici la fin avril – Kennedy a carrément insisté sur le contraire en ordonnant à Averell Harriman, son représentant à la Conférence de Genève : « Avez-vous compris ? Je veux un règlement négocié au Laos. Je ne veux pas envoyer de troupes. »[ix] Le président savait que le Laos et le Vietnam étaient des questions liées, et comme le Laos figurait en tête de son ordre du jour, il était déterminé à faire pression pour un Laos neutre.

    Toujours en 1961, il refusa d'accéder à l'insistance de ses principaux généraux pour leur donner la permission d'utiliser des armes nucléaires dans le cadre d'un différend avec l'Union soviétique à propos de Berlin et de l'Asie du Sud-Est. En sortant d'une réunion avec ses principaux conseillers militaires, Kennedy a levé les mains en l'air et a déclaré : « Ces gens sont fous. »[x]

    En mars 1962, la CIA, en la personne du légendaire agent Edward Lansdale, et avec l'approbation de tous les membres de l'état-major interarmées, a présenté au président un prétexte pour une invasion américaine de Cuba. Baptisé Opération Northwoods , ce plan sous fausse bannière prévoyait que des innocents soient abattus aux États-Unis, que des bateaux transportant des réfugiés cubains soient coulés et qu'une campagne terroriste soit lancée à Miami, Washington DC et ailleurs, tout cela étant imputé à l'État. gouvernement Castro pour que l'opinion publique soit indignée et appelle à une invasion de Cuba. [xi]

    Regarde ça.

    Kennedy a été consterné et a rejeté cette pression visant à le manipuler pour qu'il accepte des attaques terroristes contre des Américains qui pourraient ensuite être utilisées contre lui. Il savait déjà que sa vie était en danger et que la CIA et l’armée lui tendaient la corde autour du cou. Mais il refusa de céder.

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  62. Dès le 26 juin 1961, lors d'une réunion à la Maison Blanche avec le porte-parole du Premier ministre soviétique Nikita Khrouchtchev, Mikhaïl Kharlamov, et le gendre de Khrouchtchev, Alexei Adzhubei, lorsque Kharlamov lui demanda pourquoi il n'agissait pas plus rapidement pour faire progresser les relations entre les deux pays. deux pays, JFK a déclaré : « Vous ne comprenez pas ce pays. Si j'agis trop vite dans les relations américano-soviétiques, je serai soit jeté dans un asile de fous, soit tué.» [xii]

    JFK a refusé de bombarder et d'envahir Cuba comme le souhaitaient les militaires lors de la crise des missiles cubains en octobre 1962. Les Soviétiques avaient placé des missiles nucléaires offensifs et plus de 30 000 soldats de soutien à Cuba pour empêcher une nouvelle invasion menée par les États-Unis. La photographie aérienne américaine avait détecté les missiles. Cela était naturellement inacceptable pour le gouvernement américain. Alors qu'il était pressé par les chefs d'état-major et ses conseillers de confiance d'ordonner une frappe nucléaire préventive contre Cuba, JFK savait qu'une solution diplomatique était la seule issue car il n'accepterait pas la mort de centaines de millions de personnes qui résulterait probablement d'une attaque nucléaire. série d'échanges nucléaires avec l'Union soviétique. Seuls son frère, Robert, et le secrétaire à la Défense, Robert McNamara, se sont rangés à ses côtés pour s'opposer à l'utilisation des armes nucléaires. Daniel Ellsberg, un ancien analyste du Pentagone et de la Rand Corporation, a signalé une atmosphère de coup d'État au Pentagone, Kennedy ayant choisi de s'installer plutôt que d'attaquer. moyen de résoudre la crise et d'empêcher l'utilisation de ces armes.

    Par la suite, JFK a déclaré à son ami John Kenneth Galbraith que « je n’ai jamais eu la moindre intention de le faire. »[xiv]

    L'année fatidique 1963
    En juin 1963, JFK prononça un discours historique à l’Université américaine dans lequel il appelait à l’abolition totale des armes nucléaires, à la fin de la guerre froide et à la « Pax Americana imposée au monde par les armes de guerre américaines », et au mouvement vers une « désarmement général et complet ». [xv]

    Quelques mois plus tard, il signa un traité d'interdiction limitée des essais avec Nikita Khrouchtchev.[xvi]

    En octobre 1963, il signa le Mémorandum d'action de sécurité nationale 263 appelant au retrait de 1 000 soldats américains du Vietnam d'ici la fin de l'année et au retrait complet d'ici la fin de 1965. [xvii]

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  63. Tout cela, il l'a fait en s'engageant secrètement dans des négociations avec le Premier ministre soviétique Nikita Khrouchtchev via le rédacteur en chef du Saturday Evening Post et défenseur des armes nucléaires, Norman Cousins, l'agent soviétique Georgi Bolshakov, [xviii] et le pape Jean XXIII,[xix] ainsi qu'avec les dirigeants cubains. Le Premier ministre Fidel Castro a traversé divers intermédiaires , dont le journaliste français Jean Daniel. Bien entendu, le secret n’était pas secret lorsque la CIA était impliquée.

    Kennedy, profondément troublé par la quasi-catastrophe nucléaire de la crise des missiles de Cuba, était déterminé à ouvrir les communications pour s'assurer qu'un tel quasi-accident ne se reproduise plus. Il savait que la faute était des deux côtés et qu’une simple erreur ou une mauvaise communication pouvait déclencher un holocauste nucléaire. Il était donc déterminé à tenter d’ouvrir des lignes de communication avec ses ennemis.

    Jean Daniel se rendait à Cuba pour interviewer Fidel Castro, mais avant de le faire, il avait interviewé Kennedy le 24 octobre 1963. Kennedy, sachant que Daniel dirait à Castro ce qu'il avait dit, a demandé à Daniel si Castro se rendait compte que « par sa faute, le monde était sur le qui-vive ». au bord d’une guerre nucléaire en octobre 1962… ou même s’il s’en soucie. Mais il a également ajouté, pour adoucir le message :

    J'ai approuvé la proclamation faite par Fidel Castro dans la Sierra Maestra, lorsqu'il appelait à juste titre à la justice et aspirait surtout à débarrasser Cuba de la corruption. J'irai même plus loin : dans une certaine mesure, c'est comme si Batista incarnait un certain nombre de péchés de la part des États-Unis. Maintenant, nous devrons payer pour ces péchés. En ce qui concerne le régime de Batista, je suis d'accord avec les premiers révolutionnaires cubains. C'est parfaitement clair.[xx]

    De tels sentiments étaient un anathème, dirons-nous, une trahison, pour la CIA et les hauts généraux du Pentagone. Ces refus clairs d'entrer en guerre avec Cuba, de mettre l'accent sur la paix et les solutions négociées aux conflits plutôt que sur la guerre, d'ordonner le retrait de tout le personnel militaire du Vietnam, d'appeler à la fin de la guerre froide et de sa volonté de s'engager en privé , les communications indirectes avec les ennemis de la guerre froide ont fait de Kennedy un ennemi de l’État de sécurité nationale. Ils étaient sur une trajectoire de collision.

    L'assassinat du 22 novembre 1963

    Après avoir traversé la Baie des Cochons, la crise des missiles de Cuba et de nombreux autres cliffhangers militaires, Kennedy a subi une profonde métanoïa, une transformation spirituelle, de guerrier froid à artisan de la paix. Il en est venu à considérer les généraux qui le conseillaient comme dévalorisant la vie humaine et déterminés à lancer des guerres nucléaires. Et il était bien conscient que sa résistance croissante à la guerre l’avait mis sur une dangereuse trajectoire de collision avec ces généraux et la CIA. À de nombreuses reprises, il a évoqué la possibilité d'un coup d'État militaire contre lui.

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  64. La veille de son voyage à Dallas, il a dit à sa femme : « Mais, Jackie, si quelqu'un veut me tirer dessus depuis une fenêtre avec un fusil, personne ne peut l'arrêter, alors pourquoi s'inquiéter. »[xxi]

    Et nous savons que personne n’a essayé de l’arrêter parce qu’ils avaient planifié son exécution à partir de plusieurs endroits pour assurer son succès.

    Qui l'a tué ?

    Si les seules choses que vous lisiez, regardiez ou écoutiez depuis 1963 étaient les médias grand public (MSM), vous seriez convaincu que l'explication officielle de l'assassinat de JFK, la Commission Warren , est correcte dans l'essentiel. Vous auriez tort, car ces grands médias ont servi pendant toutes ces années de porte-parole du gouvernement, notamment de la CIA qui les a infiltrés et contrôlés il y a longtemps dans le cadre d'un programme secret appelé Opération Mockingbird.[xxii] En 1977, le célèbre journaliste du Watergate, Carl Bernstein, a publié un article de couverture de 25 000 mots pour Rolling Stone, « La CIA et les médias », dans lequel il a publié les noms de nombreux journalistes et médias, tels que le New York Times , CBS, Time, Newsweek , etc. qui a travaillé main dans la main avec la CIA pendant des décennies. Ironiquement, ou dans le cadre d'un « hangout limité » (discours d'espionnage pour admettre certaines vérités tout en dissimulant d'autres plus profondes), cet article peut être consulté sur le site Web de la CIA.

    Le contrôle total de l’information nécessite la complicité des médias, et avec l’assassinat de JFK, et dans tous les domaines qu’ils considèrent comme importants, la CIA et les grands médias sont unis.[xxiii] Ce contrôle s’étend à la littérature, aux arts et à la culture populaire ainsi qu’à l’information. Frances Stonor Saunders documente cela de manière exhaustive dans son livre de 1999, The Cultural Cold War: The CIA And The World Of Arts And Letters ,[xxiv] et Joel Whitney a suivi en 2016 avec Finks : How the CIA Tricked the World's Best Writers , avec un accent particulier sur la complicité de la CIA et de la célèbre revue littéraire The Paris Review. De telles révélations sont bien entendu rétrospectives, mais seuls les plus naïfs pourraient conclure que de telles opérations appartiennent au passé.

    La Commission Warren a affirmé que le président avait été abattu par un ancien marine nommé Lee Harvey Oswald, tirant trois balles depuis le 6ème étage du Texas School Book Depository alors que la voiture de Kennedy était déjà à deux cent cinquante pieds et s'éloignait de lui. Mais cela est manifestement faux pour de nombreuses raisons, y compris l'affirmation bizarre selon laquelle l'une de ces balles, appelée plus tard « la balle magique », a traversé le corps de Kennedy et a zigzagé de haut en bas, de gauche à droite, frappant le gouverneur du Texas, John Connolly, qui était assis dans son siège. sur le siège avant et causant sept blessures en tout, pour être retrouvé plus tard dans un état impeccable sur une civière à l'hôpital de Parkland.[xxv] Et n'importe quel assassin solitaire regardant par la fenêtre du 6 e étage aurait pris le cliché parfait à l'approche de la limousine. à moins de quarante pieds du TSBD sur Houston St.

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  65. L’absurdité de l’affirmation du gouvernement, un conte de fées balistique, était la clé de son affirmation selon laquelle Oswald avait tué Kennedy. Il a été visuellement brisé et rendu ridicule par le célèbre film de Zapruder qui montre clairement que le président est abattu depuis l'avant droit, et que, alors que l'avant droit de sa tête explose, il est violemment projeté en arrière et à sa gauche tandis que Jacqueline Kennedy grimpe sur son siège. le coffre de la voiture pour récupérer un morceau du crâne et du cerveau de son mari.

    Cette preuve vidéo est une preuve claire et simple d’un complot. [xxvi]

    Qui était Lee Harvey Oswald ?
    Mais il existe une autre façon de l’examiner.

    Image de droite : Lee Harvey Oswald (Source : TheFreeThoughtProject.com)

    Oswald

    Si Lee Harvey Oswald, l’homme qui, selon la Commission Warren , a tué JFK, était lié à la communauté du renseignement, au FBI et à la CIA, alors nous pouvons logiquement conclure qu’il n’était pas un assassin « solitaire » ou qu’il n’était pas un assassin du tout. Il existe une multitude de preuves montrant comment, dès le début, Oswald a été déplacé à travers le monde par la CIA comme un pion dans un jeu, et une fois le jeu terminé, le pion a été éliminé au quartier général de la police de Dallas par Jack Ruby. deux jours plus tard.

    James W. Douglass, dans JFK and the Unspeakable : Why He Died and Why It Matters, le livre le plus important sur le sujet, pose cette question :

    Pourquoi Lee Harvey Oswald a-t-il été si toléré et soutenu par le gouvernement qu’il a trahi ?

    C’est une question clé.

    Après avoir servi comme marine américain à la base aérienne d'Atsugi, l'avion espion U-2 de la CIA au Japon, avec une autorisation Crypto (supérieure à top secret, un fait supprimé par la Commission Warren) et avoir été formé à la langue russe, Oswald a quitté les Marines. et a fait défection en Union soviétique. [xxvii] Après avoir dénoncé les États-Unis, rejeté sa citoyenneté américaine, travaillé dans une usine soviétique à Minsk et pris une épouse russe – période pendant laquelle l'avion espion U-2 de Gary Powers a été abattu au-dessus de l'Union soviétique. Union soviétique : il est revenu aux États-Unis grâce à un prêt de l'ambassade américaine à Moscou, pour ensuite être accueilli au quai de Hoboken, dans le New Jersey, par Spas T. Raikin, un éminent anticommuniste possédant de nombreuses relations dans les services de renseignement recommandés par l'État. Département.[xxviii]

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  66. Oswald a passé sans problème les formalités d'immigration, n'a pas été poursuivi, a déménagé à Fort Worth, au Texas, où, à la suggestion du chef du service des contacts intérieurs de la CIA de Dallas, il a été rencontré et s'est lié d'amitié avec George de Mohrenschildt , un Russe anticommuniste, qui était un atout de la CIA. De Mohrenschildt lui a trouvé un emploi quatre jours plus tard dans une entreprise de photographie et d'arts graphiques qui travaillait sur des cartes top secrètes pour le service de cartographie de l'armée américaine liées aux missions d'espionnage U-2 au-dessus de Cuba.

    Oswald a ensuite été guidé dans la région de Dallas par de Mohrenschildt. En 1977, le jour où il révéla qu'il avait contacté Oswald pour le compte de la CIA et qu'il devait rencontrer l'enquêteur du Comité spécial de la Chambre sur les assassinats, Gaeton Fonzi , de Mohrenschildt se serait suicidé.

    Oswald a ensuite déménagé à la Nouvelle-Orléans en avril 1963, où il a obtenu un emploi à la Reily Coffee Company, propriété de William Reily, affilié à la CIA. La Reily Coffee Company était située à proximité immédiate des bureaux du FBI, de la CIA, des services secrets et du renseignement naval et à deux pas du bureau de Guy Banister, un ancien agent spécial en charge du bureau du FBI à Chicago, qui travaillait comme agent secret. coordinateur d'action pour les services de renseignement, fournissant des armes, de l'argent et de la formation aux paramilitaires anticastristes. Oswald est ensuite allé travailler avec Banister et les paramilitaires de la CIA.

    À partir de cette époque et jusqu'à l'assassinat, Oswald s'est engagé dans toutes sortes d'activités contradictoires, se présentant un jour comme pro-Castro, le lendemain comme anti-Castro, beaucoup de ces représentations théâtrales étant dirigées depuis le bureau de Banister. C’était comme si Oswald, sur ordre de ses maîtres de marionnettes, jouait des rôles multiples et antithétiques afin de confondre quiconque souhaitait déchiffrer les buts de ses actes et de l’ériger en futur « assassin » ou « bouc émissaire ».

    James Douglass soutient de manière convaincante qu’Oswald « semble avoir travaillé à la fois avec la CIA et le FBI », en tant que provocateur pour le premier et informateur pour le second. Jim et Elsie Wilcott, qui ont travaillé à la station de la CIA à Tokyo de 1960 à 1964, ont déclaré dans une interview accordée en 1978 au San Francisco Chronicle : « Il était de notoriété publique à la station de la CIA de Tokyo qu'Oswald travaillait pour l'agence. »[xxix]

    Lorsqu'Oswald s'installa à la Nouvelle-Orléans en avril 1963, de Mohrenschildt quitta le tableau, après avoir demandé à la CIA et obtenu indirectement un contrat de 285 000 $ pour réaliser une étude géologique pour le dictateur haïtien « Papa Doc » Duvalier, ce qu'il n'a jamais fait, mais pour lequel il a été payé.[xxx]

    Ruth et Michael Paine sont ensuite entrés en scène au bon moment. Ruth avait été présentée à Oswald par de Mohrenschildt. En septembre 1963, Ruth Paine a conduit de la maison de sa sœur en Virginie à la Nouvelle-Orléans pour récupérer Marina Oswald et l'emmener à Dallas pour vivre avec elle, où Lee restait également le week-end. De retour à Dallas, Ruth Paine a trouvé un emploi pour Lee Harvey Oswald au Texas Book Depository, où il a commencé à travailler le 16 octobre 1963.

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  67. Ruth, avec Marina Oswald, était le témoin d'une importance cruciale de la Commission Warren contre Oswald. Allen Dulles, malgré son licenciement antérieur par JFK, a été nommé à un poste clé au sein de la Commission Warren. Il interrogea les Paine devant lui, évitant soigneusement toute question révélatrice, en particulier celles qui pourraient révéler ses liens personnels avec les Paine. Pour la mère de Michel Paine, la belle-mère de Ruth, Ruth Paine Forbes Young, était une amie proche de son ancienne maîtresse, Mary Bancroft, qui travaillait comme espionne avec Dulles pendant la Seconde Guerre mondiale. Bancroft et lui avaient été invités sur l'île privée de Ruth Paine Forbes Young au large de Cape Cod.

    Ruth et Michael Paine entretenaient de nombreuses relations avec les services de renseignement. Trente ans après l'assassinat, un document a été déclassifié montrant que la sœur de Ruth Paine, Sylvia, travaillait pour la CIA. Son père a voyagé à travers l'Amérique latine dans le cadre d'un contrat de l'Agence pour le développement international (connue pour ses activités de façade de la CIA) et a déposé des rapports destinés à la CIA. Le beau-père de son mari Michael, Arthur Young, était l'inventeur de l'hélicoptère Bell, un fournisseur militaire majeur pour la guerre du Vietnam, et le travail de Michael là-bas lui donnait une habilitation de sécurité.

    De fin septembre au 22 novembre, plusieurs « Oswalds » auraient été aperçus simultanément de Mexico à Dallas. Deux Oswald ont été arrêtés au Texas Theatre, le vrai devant la porte d'entrée et un imposteur à l'arrière.

    Comme le dit Douglass :

    « Il y avait plus d’Oswald fournissant des preuves contre Lee Harvey Oswald que le rapport Warren ne pouvait en utiliser ou même l’expliquer. »[xxxi]

    Même J. Edgar Hoover savait que des imposteurs d'Oswald étaient utilisés, comme il l'a dit à LBJ à propos de la prétendue visite d'Oswald à l'ambassade soviétique à Mexico. Il a ensuite qualifié ce stratagème de la CIA de « fausse histoire du voyage d'Oswald au Mexique ». . . leur double jeu (de la CIA), quelque chose qu'il ne pouvait pas oublier. [xxxii]

    Il était évident pour quiconque y prêtait attention qu'un jeu très complexe et mortel se jouait à des niveaux élevés dans l'ombre.

    Nous savons qu'Oswald a été accusé du meurtre du président. Mais si l’on suit fidèlement la piste du crime, il devient évident que les forces gouvernementales étaient à l’œuvre. Douglass et d’autres ont accumulé des couches de preuves pour montrer pourquoi il devait en être ainsi.

    Qui avait le pouvoir de retirer la sécurité du président ?
    Répondre à cette question essentielle, c'est pointer du doigt les conspirateurs et dévoiler, selon les mots de Vincent Salandria, « le faux mystère qui cache les crimes d'État ». [xxxiii]

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  68. Ni Oswald, ni la mafia, ni les Cubains anticastristes n'auraient pu retirer l'essentiel de la sécurité ce jour-là. Le shérif Bill Decker a ordonné à tous ses adjoints « de ne prendre aucune part à la sécurité de ce cortège [présidentiel] ».[xxxiv] Le chef de la police Jesse Curry a fait de même pour la protection du président par la police de Dallas à Dealey Plaza. « Le chef Curry et le shérif Decker ont tous deux donné l’ordre de retirer la sécurité du président en obéissance aux ordres qu’ils avaient eux-mêmes reçus des services secrets. » Les services secrets ont retiré les escortes de police à moto à côté de la voiture du président où elles avaient participé aux précédents cortèges présidentiels ainsi que la veille à Houston et ont retiré les agents de l'arrière de la voiture où ils étaient normalement stationnés pour empêcher les tirs.

    Les services secrets ont admis qu'il n'y avait aucun agent des services secrets sur le terrain à Dealey Plaza pour protéger Kennedy. Mais nous savons, grâce à de nombreux témoignages, que pendant et après l'assassinat, il y avait des gens à Dealey Plaza se faisant passer pour des agents des services secrets qui ont empêché les policiers et le public de se déplacer dans la zone de Grassy Knoll d'où semblaient provenir certains des coups de feu. Les services secrets ont approuvé le virage fatidique en dogleg (sur un essai à sec le 18 novembre) où la voiture, conduite par l'agent des services secrets William Greer, s'est déplacée à la vitesse d'un escargot et s'est presque arrêtée avant le dernier coup de tête, clair et flagrant. violations de la sécurité. C'est le Comité spécial de la Chambre des représentants sur les assassinats qui a conclu à cela, et non un théoricien du complot.[xxxv]

    Qui aurait pu étouffer les témoignages des nombreux médecins et personnels médicaux qui affirmaient que le président avait reçu une balle frontale dans le cou et la tête, témoignage contredisant la version officielle ?

    Qui aurait pu poursuivre et emprisonner Abraham Bolden, le premier agent afro-américain des services secrets personnellement amené à la Maison Blanche par JFK, qui avait prévenu qu'il craignait que le président ne soit assassiné ? (Douglass a interviewé Bolden sept fois et son témoignage sur le complot avorté visant à tuer JFK à Chicago le 2 novembre est une histoire peu connue mais extraordinaire dans ses implications.)

    La liste de toutes les personnes qui ont été retrouvées mortes, les preuves et les événements manipulés, l’enquête étouffée, déformée et déformée dans une dissimulation ex post facto indiquent clairement des forces au sein du gouvernement, et non des acteurs voyous sans soutien institutionnel.

    Les preuves d’une conspiration organisée aux niveaux les plus profonds de l’appareil de renseignement sont accablantes. James Douglass le présente avec une telle profondeur et une telle logique que seul celui qui est endurci à la vérité ne serait pas profondément ému et affecté par son livre, JFK and the Unspeakable .

    Mais il y a plus de lui et d’autres chercheurs qui ont coupé le nœud gordien de ce faux mystère en quelques traits brefs.

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  69. Oswald, le Patsy préordonné
    Trois exemples suffiront pour montrer que Lee Harvey Oswald, travaillant dans le cadre d'une opération du renseignement américain, a été mis en place pour assumer la responsabilité de l'assassinat du président Kennedy, et que lorsqu'il a déclaré en garde à vue qu'il était « un bouc émissaire », il parlait honnêtement. Ces exemples montrent clairement qu'Oswald a été trompé par ses agents du renseignement et a été choisi à son insu, bien avant le meurtre, pour être accusé d'être un tueur solitaire et fou.

    Premièrement, Kennedy a été abattu à 12h30 CT. Selon le rapport Warren , à 12 h 45, un rapport de police a été émis concernant un suspect qui correspondait parfaitement à la description d'Oswald. Ceci était basé sur le témoignage de Howard Brennan, qui a déclaré qu'il se tenait en face du Book Depository et qu'il avait vu un homme blanc debout, mesurant environ 1,70 mètre et mince, tirer avec un fusil sur la voiture du président depuis la fenêtre du sixième étage. C'était manifestement faux, car les photographies prises quelques instants après la fusillade montrent la fenêtre ouverte seulement partiellement en bas, à environ quatorze pouces, et il aurait été impossible de voir un assassin debout « appuyé contre le rebord de la fenêtre gauche » (le rebord de la fenêtre était un pied du sol), comme Brennan l'aurait dit. Il aurait donc dû tirer à travers la vitre. La description du suspect a été clairement fabriquée à l'avance pour correspondre à celle d'Oswald.

    Puis, entre 13 h 06 et 13 h 15, dans le quartier résidentiel calme d'Oak Cliff à Dallas, le policier JD Tippit a été tué par balle. Apparemment, sur la base de la description de Brennan diffusée sur la radio de la police, Tippit avait arrêté un homme correspondant à la description et cet homme a sorti une arme à feu et a tiré sur le policier. Pendant ce temps, Oswald était retourné à sa maison de chambres où sa logeuse a déclaré qu'il était parti à 13 h 03, qu'il était sorti et qu'il se tenait à un arrêt de bus en direction nord. Le meurtre de Tippet a eu lieu à neuf dixièmes de mile au sud où un témoin, Mme Higgins, a déclaré avoir entendu un coup de feu à 13 h 06, avoir couru dehors, avoir vu Tippit allongé dans la rue et un homme s'enfuir avec un arme de poing qui, selon elle, n'était pas Oswald.

    Oswald serait entré au Texas Theatre quelques minutes avant le meurtre de Tippit. L'exploitant du stand de concession, Warren Burroughs, a déclaré qu'il lui avait vendu du pop-corn à 13 h 15, heure à laquelle le rapport Warren affirme que Tippit a été tué. A 13h50, Lee Harvey Oswald a été arrêté au Texas Theatre et emmené par la porte d'entrée où l'attendait une foule et de nombreuses voitures de police, tandis que quelques minutes plus tard, un deuxième Oswald est secrètement emmené par la porte arrière de la salle de cinéma. . (Lire cette histoire du deuxième Oswald et de son déplacement par la CIA hors de Dallas à bord d'un avion militaire dans l'après-midi du 22 novembre 1963, documentée en détail par James W. Douglass, est une révélation.)

    Le récit officiel d’Oswald et du meurtre de Tippit incite à la crédulité, mais il sert à « montrer » qu’Oswald était un tueur.[xxxvi]

    Malgré ses dénégations, Oswald, accusé du meurtre de Kennedy sur la base d'une description préemballée, est traduit en justice pour le meurtre de Tippit à 19h10. Ce n'est que le lendemain qu'il fut inculpé pour Kennedy.

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  70. Le message à Air Force One
    Deuxièmement, alors qu'Oswald est interrogé sur le meurtre de Tippit dans l'après-midi après son arrestation, Air Force One a quitté Dallas pour Washington avec le nouveau président Lyndon Johnson et le parti présidentiel. De retour à Washington, la salle de crise de la Maison Blanche est sous le contrôle personnel et direct du conseiller à la sécurité nationale de Kennedy, McGeorge Bundy, un homme ayant des liens étroits avec la CIA qui s'était opposé à JFK sur de nombreux sujets, notamment la Baie des Cochons et l'ordre de Kennedy de se retirer de Vietnam.[xxxvii]

    Comme le rapporte Theodore White, dans The Making of the President 1964 , Johnson et les autres ont été informés par la salle de situation contrôlée par Bundy qu '«il n'y avait pas de complot, ils ont appris l'identité d'Oswald et son arrestation…» [xxxviii]

    Vincent Salandria, l'un des premiers et des plus astucieux critiques de la Commission Warren, l'a exprimé ainsi dans son livre False Mystery :[xxxix]

    Cette [annonce de la salle de situation à Air Force One lors du vol de retour vers Washington, DC] était la toute première annonce d'Oswald comme assassin solitaire. À Dallas, Oswald n'a même pas été accusé de l'assassinat du président avant 1h30 du matin le lendemain matin. L'avion a atterri à 17h59 le 22. À cette époque, le procureur du district de Dallas, Henry Wade, déclarait que « les rapports préliminaires indiquaient que plus d’une personne était impliquée dans la fusillade… la chaise électrique est trop bonne pour les tueurs ». Peut-il y avoir le moindre doute que pour tout gouvernement surpris par l’assassinat – et cherchant légitimement la vérité à ce sujet – moins de six heures après l’assassinat, il était trop tôt pour savoir qu’il n’y avait pas de complot ? Cette annonce était la première qui désignait Oswald comme le seul assassin….

    Je propose la thèse selon laquelle McGeorge Bundy, lorsque cette annonce a été publiée depuis sa salle de crise, avait des raisons de savoir que la véritable signification d'un tel message lorsqu'il était transmis au parti présidentiel à bord d'Air Force One [et à un avion séparé avec l'ensemble du cabinet] qui avait fait demi-tour et repartait au-dessus de l'océan Pacifique] n'était pas le message ostensible qui était communiqué. Je soutiens plutôt que Bundy… transmettait en réalité au parti présidentiel l’idée qu’Oswald était désigné comme le seul assassin avant que des preuves contre lui ne soient vérifiables. En tant que coordinateur central des services de renseignement, Bundy, en transmettant un tel message via la salle de crise, signifiait en réalité au parti présidentiel qu'un mariage contre nature avait eu lieu entre les services de renseignement du gouvernement américain et la doctrine de l'assassin solitaire. N'avait-il pas dit péremptoirement au parti présidentiel : « Maintenant, écoutez ceci ! Oswald est l'assassin, le seul assassin. Les preuves ne sont pas encore disponibles. Des preuves seront obtenues, ou à la place, des preuves seront créées. Il s’agit d’une question d’État cruciale qui ne peut attendre des preuves. Les nouveaux dirigeants ont pris la parole. Vous, là, Monsieur le Nouveau Président, et donc les agents dépêchables, et vous les subalternes d'un Président déchu, tenez bien compte du message. La salle de crise de Bundy ne remplissait-elle pas une fonction de double pensée orwellienne ? [XL]

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  71. L'histoire de la vie préemballée d'Oswald

    Enfin, le colonel de l’armée de l’air Fletcher Prouty ajoute un troisième exemple de conspiration de la CIA pour ceux qui ont besoin de plus de preuves démontrant que le gouvernement a menti dès le début au sujet de l’assassinat.

    Prouty était chef des opérations spéciales du Pentagone avant et pendant les années Kennedy. Il assurait la liaison entre les chefs d'état-major et la CIA, travaillant en étroite collaboration avec le directeur Allen Dulles et d'autres pour soutenir les opérations clandestines de la CIA sous couverture militaire. Il avait été envoyé hors du pays vers le pôle Sud par l'agent de la CIA susmentionné Edward Lansdale (Opération Northwoods) avant l'assassinat de Kennedy et revenait le 22 novembre 1963. Lors d'une escale à Christchurch, en Nouvelle-Zélande, il entendit un reportage radio. que le président avait été tué mais ne connaissait aucun détail. Il prenait son petit-déjeuner avec un membre du Congrès américain à 7h30 le 23 novembre, heure de la Nouvelle-Zélande. Peu de temps après, vers 16h30, heure de Dallas, le 22 novembre, il acheta le journal Christchurch Star du 23 novembre 1963 et le lut avec le membre du Congrès.

    Les articles de journaux sur les lieux indiquaient que Kennedy avait été tué par des rafales d'armes automatiques, et non par un seul coup de fusil, tirant trois coups distincts en 6,8 secondes, comme cela a été affirmé plus tard pour Oswald. Mais ce qui l'a vraiment surpris, c'est qu'à une époque où Oswald venait d'être arrêté et n'avait même pas été inculpé du meurtre de l'officier Tippit, il existait des informations détaillées sur Oswald, son séjour en Russie, son association avec le Fair Play pour Comité Cuba à la Nouvelle-Orléans, etc. « C'est presque comme un livre écrit cinq ans plus tard », a déclaré Prouty. "En outre, il y a une photo d'Oswald, bien habillé en costume d'affaires, alors que, lorsqu'il a été arrêté dans les rues de Dallas après la mort du président, il portait un t-shirt ou quelque chose comme ça...

    « Qui avait écrit ce scénario ? Qui a écrit ce scénario… Tant de nouvelles avaient déjà été écrites avant le meurtre pour dire qu'Oswald avait tué le président et qu'il l'avait fait avec trois coups de feu… Quelqu'un avait décidé qu'Oswald allait être le bouc émissaire… Où l'ont-ils obtenu, avant que la police ne l'inculpe du crime ? Pas tant « où » que « pourquoi » Oswald ? »[xli]

    Prouty, un militaire expérimenté travaillant pour la CIA au Pentagone, a accusé la « Haute Cabale » du renseignement militaire d’avoir tué le président Kennedy dans le cadre d’un complot élaboré et sophistiqué et en a imputé la responsabilité à Oswald, qu’ils avaient commencé à mettre en place des années à l’avance.

    Les preuves d’un complot gouvernemental visant à planifier, assassiner, dissimuler et choisir un bouc émissaire dans le meurtre du président John Kennedy sont accablantes.[xlii]

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  72. Cinq ans après l'assassinat de JFK, nous apprenions, à notre grand regret et pour sa gloire, que le frère cadet du président, le sénateur Robert F. Kennedy, tout aussi courageux et intimidé, recevrait une balle dans la nuque en 1968 alors qu'il était en poste. son chemin vers la présidence et la poursuite des assassins de son frère. Les mêmes lâches ont encore frappé.

    Leurs successeurs dirigent toujours le pays et doivent être arrêtés.

    Épilogue de James W. Douglass
    « John F. Kennedy est né de la mort de la richesse, du pouvoir et des privilèges. Fils d'un ambassadeur millionnaire, il est né, a grandi et a été éduqué pour diriger le système. Lorsqu’il fut élu président, l’héritage de pouvoir de Kennedy correspondait à sa position de chef du plus grand État de sécurité nationale de l’histoire. Mais Kennedy, comme Lazarus, est né de la mort de ce système. Malgré tout, il est devenu un artisan de la paix et donc un traître au système….

    "Pourquoi? Qu’est-ce qui a ressuscité Kennedy d’entre les morts ? Pourquoi John Kennedy a-t-il choisi la vie au milieu de la mort et, en continuant à choisir la vie, s'est-il ainsi condamné à la mort ? Je me suis posé cette question en étudiant les différentes biographies de Kennedy. Puis-je suggérer une source de grâce pour sa résurrection en tant que pacificateur ? En lisant son histoire, on est frappé par son dévouement envers ses enfants. Il n’y a aucun doute sur la profondeur de l’amour qu’il avait pour Caroline et John, et sur la douleur immense que lui et Jacqueline ont ressentie à la mort de leur fils Patrick. Robert Kennedy, dans son livre Treize jours, a décrit comment son frère voyait la crise des missiles cubains en termes d'avenir de ses enfants et de tous les enfants. Je crois que John Kennedy a été au moins partiellement ressuscité des morts de l’État de sécurité nationale grâce à la vie de ses enfants. Le rétablissement héroïque de la paix au cours de ses derniers mois, avec son acceptation du coût probable de sa propre mort, était, je suppose, en partie le résultat de la vie universelle qu'il voyait en eux et à travers eux. Je pense qu'il croyait profondément aux paroles qu'il a données dans son discours à l'université américaine comme fondement de son rejet de la guerre froide : « Notre lien commun le plus fondamental est que nous habitons tous cette petite planète. Nous respirons tous le meme air. Nous chérissons tous l’avenir de nos enfants. Et nous sommes tous mortels. »[xliii]

    *

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    Edward Curtin est un auteur, chercheur et sociologue éminent basé dans l’ouest du Massachusetts. Il est chercheur associé au Centre de recherche sur la mondialisation (CRG).

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  73. Remarques

    [i] L'histoire ne nous absoudra pas : contrôle orwellien, déni public et meurtre du président Kennedy , E. Martin Schotz, Kurtz, Ulmer et DeLucia Book Publishers, 1996.

    [ii] J FK et l'indicible : pourquoi il est mort et pourquoi c'est important , James W. Douglass , Orbis Books, 2008[ 1 ][ 2 ], p. 8 & p.212.

    Destin trahi , James DiEugenio , 2e édition , Skyhorse Publishing , 2012, pp.

    L'échiquier du diable : Allen Dulles, la CIA et la montée du gouvernement secret américain , David Talbot, Harper Collins, 2015, pp. 375 – 389 .

    MORI DocID: 1451843 p. 464 , p. 473 de « Les joyaux de la famille de la CIA », 16 mai 1973, Archives de la sécurité nationale.

    [iv] Enquête sur l'état et les circonstances ayant entraîné la mort tragique de Dag Hammarskjold et des membres du groupe qui l'accompagnait ( document de l'Assemblée générale des Nations Unies,) Juge Mohamed Chande Othman, 5 septembre 2017, p. 49 et 50, Développements récents sur l'accident d'avion de Dag Hammarskjöld , Association des Nations Unies, succursale de Westminster au Royaume-Uni.

    [v] Edward Curtin interviewe Greg Poulgrain sur The Incubus of Intervention: Conflicting Indonesian Strategies of John F. Kennedy and Allen Dulles , Global Research , 22 juillet 2016.

    Chapitre 2 – JFK, Dulles et Hammarskjöld de The Incubus of Intervention .

    Greg Poulgrain, JFK contre Allen Dulles : champ de bataille indonésien , Simon & Schuster, 2020.

    [vi] Robert F. Kennedy, Jr., Valeurs américaines , Harper Collins , 2018, p. 117.

    [vii] Le maire de Dallas lors de l'assassinat de JFK était un atout de la CIA , Who.What.Pourquoi , 2 août 2017.

    [viii] Peter Kornbluh l'a confirmé lors d'une conversation téléphonique avec l'auteur en mai 2000. Voir The ULTRASENSITIVE Bay of PigsLes parties récemment publiées du rapport de la Commission Taylor fournissent de nouveaux détails critiques sur l'opération Zapata , National Security Archive Briefing Book No. 29, 3 mai, 2000.

    [ix] Averell Harriman interviewé dans Charles Stevenson, The End Of Nowhere ; Politique américaine envers le Laos depuis 1954 , 1972, p. 154.

    [x] Richard Reeves, Président Kennedy : Profil du pouvoir , Simon & Schuster, 1994, p. 222.

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  74. [xi] Prétextes proposés par le Pentagone pour l'invasion de Cuba en 1962 , documents FOIA aux Archives de la sécurité nationale.

    [xii] Pierre Salinger, PS : Un Mémoire , St. Martin's Press, 1995, p. 253.

    [xiii] Talbot, op. cit ., p. 453 .

    [xiv] John Kenneth Galbraith, Une vie à notre époque , Houghton Mifflin, 1981, p. 388.

    [xv] Discours d'ouverture de l'Université américaine , président Kennedy, 10 juin 1963.

    [xvi] Discours radiophonique et télévisé du président Kennedy au peuple américain sur le Traité d'interdiction des essais nucléaires , 26 juillet 1963.

    Traité interdisant les essais d'armes nucléaires dans l'atmosphère, dans l'espace extra-atmosphérique et sous l'eau , signé à Moscou le 5 août 1963, entré en vigueur le 10 octobre 1963.

    [xvii] Voir James K. Galbraith, « Exit Strategy », Boston Review , octobre/novembre 2003.

    [xviii] Pierre Salinger, Avec Kennedy , Doubleday & Co., 1966, p.198 .

    [xix] Voir Norman Cousins, The Improbable Triumvirate: John F. Kennedy, Pope John, Nikita Khrushchev – An Asterisk to the History of a Hopeful Year, 1962-1963 , WW Norton & Co., 1972.

    [xx] Jean Daniel, « Envoyé non officiel – Un rapport historique de deux capitales », La Nouvelle République , 14 décembre 1963 .

    [xxi] Kenneth P. O'Donnell et David F. Powers, « Johnny, nous vous connaissions à peine » ; Souvenirs de John Fitzgerald Kennedy , Little Brown, 1972, p.25.

    [xxii] Voir Operation Mockingbird , les seuls documents FOIA publiés par la CIA au Black Vault.

    Carl Bernstein, « LA CIA ET LES MÉDIAS – Comment les médias d’information les plus puissants d’Amérique ont travaillé main dans la main avec la Central Intelligence Agency et pourquoi le comité de l’Église l’a dissimulé . » Rolling Stone , 20 octobre 1977.

    [xxiii] James F. Tracy, « La CIA et les médias : 50 faits que le monde doit connaître », Global Research / ratical.org, 2018.

    [xxiv] Frances Stonor Saunders, La guerre froide culturelle : la CIA et le monde des arts et des lettres , New Press. 1999.

    Voir également : James Petras, « La CIA et la guerre froide culturelle revisitée », Monthly Review , novembre 1999.

    [xxv] Voir Vincent J. Salandria, « The Warren Report ? « Libération , mars 1965.

    [xxvi] Zapruder Film au ralenti (1:33).

    [xxvii] Gerald D. McKnight, Abus de confiance : comment la Commission Warren a fait échouer la nation et pourquoi , Univ. De Kansas Press, 2005, critique par Jim DiEugenio .

    [xxviii] Douglass, op. cit ., p. 46.

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  75. [xxix] Voir James et Elsie Wilcott : CIA Profile in Courage , extrait de JFK and the Unspeakable , pp. 144-148, 421-422.

    [xxx] Douglass, op. cit ., p. 47-48.

    [xxxi] Voir Oswald's Doubles: How Multiple Lookalikes Were Used to Craft One Lone Scapegoat , extrait de JFK and the Unspeakable , pp. 286-303, 350-355, 464-470, 481-483.

    [xxxii] Douglass, op. cit ., p. 81.

    [xxxiii] Vincent Salandria, The JFK Assassination: A False Mystery Concealing State Crimes , présentation à la Coalition on Political Assassinations, 20 novembre 1998.

    [xxxiv] Shérif adjoint de Dallas, Roger Dean Craig, Quand ils tuent un président , 1971.

    [xxxv] Douglass, op. cit ., pp. 270-277 et note de fin 75 du discours d'ouverture de la COPA 2009 de James Douglass .

    Rapport d'enquête final des services secrets sur la visite du président Kennedy à Houston le 21 novembre 1963, cité dans

    Annexe aux Audiences devant la HSCA, vol. 11 , p.529 .

    [xxxvi] Douglass, op. cit ., p. 287-304 .

    DiEugenio, op. cit ., p. 391-2.

    [xxxvii] Talbot, op.cit ., pp. 407-8 . & NSAM 263 (document 194) , Relations extérieures des États-Unis, Vietnam c. IV, août-décembre 1963 .

    [xxxviii] Theodore White, La création du président, 1964 , Atheneum, 1965, p. 33 .

    Voir également, Commençons à nouveau : une histoire orale de la présidence Kennedy , Gerald S. Strober, Debra Strober, Perennial , 1993, pp .

    [xxxix] False Mystery , Essais sur l'assassinat de JFK par Vincent Salandria , Rat Haus Reality Press , 2017

    [xl] Bundy a continué à façonner des politiques bellicistes , dans Vincent J. Salandria, « The Assassination of President John F. Kennedy : A Model of Explanation », Computers and Automation , décembre 1971, pp. 32-40.

    [xli] David T. Ratcliffe, Understanding Special Operations: 1989 Entretien avec L. Fletcher Prouty , Rat Haus Reality Press , 1999, pp .

    [xlii] Voir la collection de documents sur l'assassinat du président John F. Kennedy aux Archives nationales.

    [xliii] James Douglass, « Les assassinats de Martin Luther King et de John F. Kennedy à la lumière du quatrième évangile », Sewanee Theological Review , 1998

    https://www.globalresearch.ca/president-john-f-kennedy-life-public-assassination/5762348

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  76. Biden ne dirige pas le gouvernement. Alors, qui le fait ?


    Mises Institute
    19 juillet 2024


    Après une prestation désastreuse lors du dernier débat et une indigente interview pour limiter les dégâts le vendredi 5 juillet, il est enfin devenu clair pour presque tout le monde que le président Joe Biden ne dirige pas le gouvernement fédéral.

    Un article de Connor O’Keeffe initialement paru dans le Mises Institute.

    Tous les quatre ans, les Américains sont censés croire qu’une seule personne, qu’ils choisissent collectivement par les urnes, prend en charge le gouvernement fédéral et agit comme ils le feraient pour résoudre les problèmes auxquels ils sont confrontés dans leur pays et à l’étranger.

    L’incapacité de M. Biden à mener à bien un débat et une interview brise l’illusion qu’il est celui qui dirige les affaires à Washington et dans la sphère d’influence mondiale de l’Amérique.

    Alors, si Biden ne dirige pas le gouvernement, qui le fait ?

    Il y a, bien sûr, les personnes qui entourent Biden. Certains membres de sa famille, comme sa femme, Jill Biden, et son fils, Hunter Biden, ont été particulièrement proches de lui ces dernières semaines, alors qu’il essuyait les retombées du débat. Il y a aussi ses plus proches conseillers et confidents politiques, comme Mike Donilon, Ron Klain, Anita Dunn et Ted Kaufman, qui sont à ses côtés depuis qu’il a décidé de se présenter en 2020. Enfin, le personnel de la Maison Blanche effectue une grande partie, voire la totalité, du travail quotidien.

    Mais ce groupe ne représente qu’une petite partie de la structure du pouvoir à Washington. Pour comprendre où se situe véritablement le pouvoir fédéral, un zoom arrière s’impose.

    La classe politique américaine est composée d’un nombre incalculable d’organisations, de départements et de factions.

    Cependant, quatre groupes principaux peuvent être définis.

    Le premier est constitué des politiciens et de tous ceux qui sont nommés par ces derniers. Pensez aux présidents, aux sénateurs et aux représentants, mais aussi aux membres du cabinet, aux ambassadeurs et aux juges fédéraux. Ce sont souvent les membres les plus visibles de la classe politique. Ce sont eux que les gens imaginent lorsqu’ils pensent à la politique américaine.

    Deuxièmement, il y a tous les bureaucrates non élus qui constituent les composantes administratives permanentes du gouvernement fédéral. La plupart d’entre eux se trouvent dans les douzaines d’agences exécutives situées à Washington DC et dans ses environs. Alors que le premier groupe compte quelques milliers de personnes, le second en compte près de trois millions. C’est le gros du gouvernement fédéral.

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  77. Le troisième groupe est ce que l’on peut appeler les intellectuels officiels ou « de cour ». Ce sont les « experts » des universités et des think tanks, ainsi que les « journalistes » des médias les plus importants, qui excusent et justifient les actions et les ambitions du reste de la classe politique.
    Comme l’explique Murray Rothbard dans le troisième chapitre d’Anatomie de l’État, les autorités politiques se sont toujours appuyées sur les intellectuels pour affirmer la légitimité de l’État dans l’esprit de la population. Les intellectuels, souvent frustrés par le peu que les gens sont prêts à payer pour leurs services, sont facilement incités à servir les intérêts de l’État en échange d’une reconnaissance officielle, d’un accès et de l’argent des contribuables.

    Le quatrième et dernier groupe est celui des ploutocrates. Il s’agit des personnes et des entreprises qui doivent leurs profits et leur richesse aux actions du gouvernement fédéral, qui font du lobbying et paient pour utiliser le pouvoir du gouvernement afin de s’en mettre plein les poches. Pensez aux dirigeants des grandes banques ou aux entreprises d’armement qui alimentent la machine de guerre de Washington.

    Ces quatre groupes forment la coalition de la classe politique. L’establishment désigne simplement la classe politique établie, ou actuelle. Ensemble, cette coalition s’efforce de s’enrichir aux dépens de tous les autres.

    Les intellectuels de cour utilisent leur « expertise » sanctionnée par l’establishment pour affirmer que les problèmes de la société doivent être résolus par des interventions gouvernementales.
    Les hommes politiques proposent de mettre en œuvre ces interventions en échange de votes et de dons.
    Les ploutocrates s’efforcent de déformer les interventions à leur profit, puis font pression sur les politiciens et les paient pour qu’ils légifèrent sur des interventions encore plus lucratives.
    Une fois les interventions promulguées, les intellectuels de la cour et les politiciens utilisent les mauvaises conséquences facilement prévisibles des interventions pour justifier encore plus d’interventions.

    Pendant ce temps, le groupe bureaucratique gagne des emplois, de l’argent et du pouvoir qu’il s’efforce de protéger et d’étendre en collaboration avec les intellectuels des tribunaux. Les interventions toujours plus nombreuses renforcent le pouvoir du gouvernement, qui est ensuite proposé aux acheteurs ploutocrates intéressés. Pendant ce temps, les politiciens se livrent à des combats simulés sur des différences politiques mineures et à des rituels électoraux et législatifs pour masquer l’escroquerie et continuer à nous faire croire que nous vivons dans une république démocratique représentative.

    Tel est le cycle qui se déroule à Washington. Le fait que le président soit atteint de troubles cognitifs n’a aucune importance.

    À moins que cela ne commence à réveiller le public américain sur le fait que le gouvernement ne travaille pas pour lui comme on lui a appris à l’école primaire. Mais d’ici là, le remue-ménage continue.

    https://www.contrepoints.org/2024/07/19/477385-biden-ne-dirige-pas-le-gouvernement-alors-qui-le-fait

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  78. Tout ça pour ça ?


    Xavier Azalbert, France-Soir
    le 19 juillet 2024 - 17:30


    Oui. 40 jours de blabla et quelques 300 à 400 millions d'euros dépensés (coût estimé des dernières élections législatives), tout ça pour qu'en fait la situation politique de la France redevienne la même qu'avant quasiment. J'y reviens juste après. Cela fait cher la grenade dégoupillée et le défilé sans la foule du 14 juillet 2024.

    En effet, aux termes des 6 heures qu'ont duré les 3 scrutins qui ont été nécessaires pour accoucher d'un résultat en réalité couru d'avance ; puisqu'il est intervenu par le biais, on ne peut plus tordu, hélas habituel en ces 7 ans de macronie, de petits arrangements entre copains opérés en coulisses (1) ; Yaël Braun-Pivet a été réélue Présidente de l'Assemblée nationale, hier, jeudi 18 juillet 2024.

    Lorsque le 6 juillet 2020, Emmanuel Macron avait remplacé, au poste de ministre des Sports, l'escrimeuse Laura Flessel par la nageuse Roxana Maracineanu, je m'étais interrogé en ces mots concernant le pourquoi du comment de sa décision : « S'agit-il d'un coup d'épée dans l'eau ? » et j’avais couché cela dans un édito : « on prend les mêmes et on recommence ! »

    Aujourd'hui, je suis tenté de réitérer mon propos, mais en y ajoutant un constat troublant. Je m'explique.

    Si certes sa décision prise le 9 juin de dissoudre l'Assemblée nationale n'a donc apporté aucun changement pour ce qui est de la pratique « cabalistique » de l'attribution des bonnes places, entre copains, via des tractations opérées en coulisses, il y a une différence notable. La petite redistribution des cartes intervenue au terme du second tour des législatives, question nombre de députés des différents groupes parlementaires, fait qu’au-delà des fantasmes, l’État profond existe et Emmanuel Macron va pouvoir faire traîner les choses à son profit, en tardant le plus possible à nommer un Premier Ministre. Des Premiers Ministres, plus exactement.

    Pardi !

    Si l'on suit la logique qu'il a montrée depuis sa décision, Emmanuel Macron va probablement faire exprès, et à plusieurs reprises, de nommer Premier Ministre, une personne dont le Gouvernement va être à coup sûr l'objet d'une motion de censure qui va être adoptée.

    Pourquoi ?

    Parce qu'au bout de trois ou quatre utilisations de cet artifice, Emmanuel Macron pourra frauduleusement se présenter aux Français, comme étant on ne peut davantage « légitime » à diriger le pays seul, sans Gouvernement, par application de l'article 16 de la Constitution. À savoir au motif avancé que « le fonctionnement régulier des pouvoirs publics constitutionnels est interrompu », c'est-à-dire en invoquant une crise grave et immédiate qu'il a provoquée dans ce but précisément. Cela semble de plus en plus une hypothèse probante si j’en crois un de ses proches soutiens qui lors d’un diner récent déclarait « il se nourrit du mal qu’il peut faire en enfonçant ses collaborateurs, dans l’optique de se présenter comme le seul capable ».

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  79. Il lui suffira alors de nommer juste avant cela un Premier Ministre ad hoc (à savoir qui ne formera pas de Gouvernement, afin de ne pas pouvoir être démis par une motion de censure). Dans l'optique de pouvoir respecter l'obligation posée par l'article 16, premier alinéa (2) de la Constitution, d'une « consultation officielle du Premier Ministre », en plus de la consultation des Présidents des deux Assemblées et du Conseil constitutionnel.

    Eh oui ! On dépense l'argent du contribuable à foison, mais rien ne va mieux, bien au contraire. L’argent n’est « fini » que pour ceux qui ont des fins de mois difficile, pour l’Etat, il coule toujours à flots.

    Sans parler des 1,4 milliard d'euros que coûte au contribuable, la piscine à ciel ouvert qu’Anne Hidalgo, maire de Paris s’est offerte, à l’occasion des Jeux Olympiques, pour y faire trempette le temps d'une photo. Probablement le cliché le plus cher de l’histoire, à moins que ce ne soit celui d’Armstrong posant le pied sur la Lune. Une photo qu’il aurait pu faire à moindre coût dans un studio de cinéma ! Mais, Hildalgo donna aussi l’occasion à l’ancienne ministre de l’Éducation nationale et actuelle ministre des Sports Amélie Ouéda-Castéra de se baigner dans la déchetterie que demeure la Seine, malgré tout, sans mourir sinon d'empoisonnement, juste le temps de se ridiculiser une fois de plus. D'abord en se vautrant par terre tandis qu'elle s'apprêtait à entrer dans l'eau, ensuite en hurlant comme une jouvencelle, découvrant soudainement « le grand frisson », et, enfin, après son bain, quand elle a répondu niaisement aux journalistes, toujours déguisée en homme-grenouille. En « femme-bécasse », ont dit ses détracteurs les plus vifs, ce qui n'est pas gentil pour cet « oiseau échassier, passereau migrateur. » Et je peux vous le dire ayant moi-même nagé dans la Seine en 2012, une des dernières années où cela était encore permis dans le centre de Paris. Finalement, que sont 1,4 milliard d’euros pour Anne Hidalgo : juste 600 euros de taxe de plus par habitants de Paris.

    Quant aux élections européennes, elles non plus n'ont pas servi à grand-chose.

    Ursula Von der Leyen a été réélue Présidente de la Commission européenne par une majorité des députés européens (401 voix sur 707). La très chaleureuse accolade de félicitations de Marie Aubry, tête de liste LFI aux dernières européennes, n'a pas manqué de faire sortir Florian Philippot de ses gonds. D'ailleurs, la microbiologiste Corinne Reverbel l’interpella en des termes dont je vous laisse le loisir de prendre connaissance :

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  80. C’est dans la juste continuité des mauvais présages pour les citoyens membres de l'Union européenne, Français en tête. Toutefois, c’est bingo pour ceux qui les représentent. Un prochain édito présentera un tour d’horizon de la mascarade que présente la prétendue élection de la présidente de la Commission européenne. Les questions juridico-légales qui vont avec.

    Un juriste spécialiste du processus électoral m’indiquait dans une conversation sur le simulacre de démocratie montré par ses élections « à un moment va se poser la question de l’importance de l’abstention, elle va devenir la principale arme des citoyens pour ne pas participer à ce vote spectacle. »

    Malheureusement, cela consacre une nouvelle fois le caractère très juste de ce qu'est la démocratie représentative, qu'on prête à ce croquis dont je vous ai déjà fait profiter.

    1) le candidat du Nouveau Front Populaire, André Chassagne, était en tête lors au premier tour (avec 200 voix), loin devant Sébastien Chenu, candidat du RN (142 voix), Yaël Braun-Pivet (124 voix) Philippe Juvin, candidat LR (48 voix), Naïma Moutchou, candidat Horizons (38 voix) et Charles de Courson, candidat LIOT (18 voix). Mais finalement Yaël Braun-Pivet l'a emporté avec 212 voix, devançant André Chassagne (200 voix) et Sébastien Chenu (143 voix). C'est-à-dire que, alors que Sébastien Chenu n'a obtenu qu'une voix supplémentaire, et André Chassagne aucune, lors du troisième scrutin, à l'inverse, Yaël Braun-Pivet a bénéficié des 38 voix du candidat Horizons (déport de voix logique et légitime, lui, puisque les députés Horizons sont tous 100% macronistes), ainsi que d'une partie ou de la totalité des 48 voix du candidat LR, Philippe Juvin, et aussi une partie ou la totalité des 18 voix du candidat LIOT, Charles de Courson, ces derniers s'étant eux désistés. Et vu les déclarations des responsables LR qui s'en sont justifiés publiquement, on peut s'avancer sans crainte de se tromper, que c'est au principal les 48 voix des députés LR qui ont fait pencher la balance en faveur de Yaël Braun-Pivet, et que les voix de deux députés LIOT ont fini par faire porter le total de Yaël Braun-Pivet à 212 voix : ses 124 voix à elle + les 18 voix Horizons + les 48 voix des LR + 2 voix des LIOT.

    2) article 16, premier alinéa, de la Constitution : « Lorsque les institutions de la République, l'indépendance de la Nation, l'intégrité de son territoire ou l'exécution de ses engagements internationaux sont menacés d'une manière grave et immédiate et que le fonctionnement régulier des pouvoirs publics constitutionnels est interrompu, le président de la République prend les mesures exigées par ces circonstances, après consultation officielle du Premier ministre, des Présidents des Assemblées ainsi que du Conseil constitutionnel. »

    https://www.francesoir.fr/opinions-editos/tout-ca-pour-ca

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  81. Êtes-vous en train de vous réjouir des « turbulences » politiques américaines ou avez-vous honte ? Les différents coups d’État et assassinats dans les pays du Sud


    Par Rima Najjar
    Recherche mondiale,
    20 juillet 2024


    En tant qu’ennemi de la politique étrangère impérialiste américaine, et non de « l’Amérique » (mon mari est américain et mes enfants, comme tant d’autres enfants aux États-Unis, sont des Américains avec un trait d’union), je ne me réjouis pas du triste spectacle des « turbulences » électorales américaines. » défile devant le monde. Au contraire, j'ai honte. Et plus important encore, je suis consterné par l’inconscience des États-Unis quant au fait que toute jubilation qui pourrait avoir lieu, en particulier dans les pays du Sud, est entièrement de leur propre initiative.

    « Il n’y a pas de place en Amérique pour ce genre de violence », a déclaré Biden. Il est cependant bien connu que les États-Unis estiment qu’il existe une place pour « ce type de violence » ailleurs qu’en Amérique. Les États-Unis, souvent par l’intermédiaire de la CIA, ont été impliqués dans divers coups d’État et assassinats dans les pays du Sud. Ces actions ont eu des impacts profonds et durables sur la région.

    Comptons-en quelques-uns. Je commencerai par le Venezuela, car, tout comme en Amérique, le pays y connaît actuellement des élections présidentielles, et un titre de CNN dans World/Americas (14 juillet 2024) relie ainsi les élections américaines et les élections vénézuéliennes : Pourquoi un juste Les élections au Venezuela pourraient changer le sort de millions de migrants – et celui de Joe Biden .

    CNN écrit que la crise politique au Venezuela, qui a donné naissance à des millions de migrants, a été provoquée par « un effondrement du prix du pétrole – un produit d’exportation clé pour le Venezuela – combiné à une corruption chronique et à une mauvaise gestion de la part des responsables gouvernementaux ». Aujourd’hui, la sagesse conventionnelle dans les médias américains est que Nicolás Maduro (Parti Socialiste Unifié) fait face à une bataille électorale difficile « après avoir conduit le Venezuela dans la crise ». Les États-Unis soutiennent activement le candidat de l’opposition vénézuélienne à tendance occidentale, Edmundo González , et souhaitent « soulager » Maduro et ses acolytes sous la bannière de « la démocratie et de l’État de droit », c’est-à-dire des « élections justes ».

    Par « élections équitables », CNN entend les élections influencées par la politique étrangère américaine. En 2019, les États-Unis ont soutenu les efforts visant à évincer Maduro, notamment en soutenant le chef de l’opposition Juan Guaidó .

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  82. Contrairement à ce qui précède, la couverture des élections vénézuéliennes par Al Mayadeen explique que les Nations Unies ont envoyé quatre de leurs experts électoraux au Venezuela pour rédiger un rapport sur le vote là-bas et que Maduro a signé en juin un document avec plusieurs candidats pour respecter le résultat. de l'élection.

    Le rapport d'Al Mayadeen poursuit en disant :

    «Le peuple vénézuélien fait confiance au président Maduro parce qu'il appartient à l'école de pensée et aux principes du défunt président Hugo Chavez et qu'il représente un symbole de continuité dans la révolution bolivarienne… Il convient de noter que la réélection de Maduro en 2018 a été rejetée comme "illégitime" par la plupart des Occidentaux. des pays."

    Et c'est choquant :

    «La semaine dernière, un groupe paramilitaire colombien a annoncé dans une vidéo que l'extrême droite vénézuélienne les avait contactés pour leur demander d'assassiner Maduro. Le président sortant avait auparavant accusé les États-Unis et l’opposition vénézuélienne de chercher à manipuler les résultats des élections et à déstabiliser le pays.»

    La politique étrangère américaine n’a aucun problème à inciter à la violence politique (c’est-à-dire au terrorisme si nous devons parler clairement) dans les pays du Sud. En Bolivie en 2019, la démission du président Evo Morales a été suivie par l’implication des États-Unis dans le bouleversement politique qui a conduit à son départ. Il y a quelques semaines, la Bolivie a résisté à une tentative de coup d’État et les médias américains spéculent sur « la raison pour laquelle la Bolivie s’est lancée dans une nouvelle tentative de coup d’État ».

    Eh bien, voici des indices expliquant pourquoi :

    — Au Guatemala (1954) : La CIA a orchestré un coup d'État pour renverser le président Jacobo Árbenz, qui avait mis en œuvre des réformes agraires qui menaçaient les intérêts commerciaux américains.

    — Au Brésil (1964) : les États-Unis ont soutenu un coup d'État militaire qui a renversé le président João Goulart , perçu comme étant enclin au communisme.

    — Au Chili (1973) : les États-Unis ont soutenu le coup d'État militaire mené par le général Augusto Pinochet, qui a renversé le président démocratiquement élu Salvador Allende .

    — Au Congo (1960) : La CIA est impliquée dans l'assassinat du Premier ministre Patrice Lumumba , considéré comme une menace pour les intérêts occidentaux.

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  83. La liste des participations américaines à de telles violences politiques comprend le Nicaragua, le Salvador, le Panama, les Philippines, le Vietnam, le Laos, le Cambodge et la Corée. Les États-Unis ont justifié ces actions comme étant nécessaires pour lutter contre la propagation du communisme et protéger les intérêts américains, mais elles ont eu des impacts importants et souvent dévastateurs sur les pays touchés.

    Inutile de dire que lorsqu’il s’agit du Moyen-Orient, l’orgueil démesuré, les doubles standards et l’ingérence américaine pour des raisons purement égoïstes ne connaissent pas de limites et ont été un désastre total pour les populations de cette région.

    — En Cisjordanie et à Gaza, en 2006, l’administration Bush et ses alliés ont annulé les résultats des élections démocratiques qui ont donné naissance à un gouvernement du Hamas.

    — En Iran, en 1953, la CIA et les renseignements britanniques ont orchestré un coup d'État pour renverser le Premier ministre Mohammad Mossadegh, qui avait nationalisé l'industrie pétrolière.

    — En Irak en 1963, la CIA a joué un rôle dans le coup d'État qui a porté le parti Baas au pouvoir, ce qui a finalement conduit à l'ascension de Saddam Hussein. Les États-Unis ont fourni des listes de communistes présumés aux baasistes, qui en ont ensuite exécuté un grand nombre. En 2003, l’invasion de l’Irak menée par les États-Unis a entraîné le renversement de Saddam Hussein, entraînant un changement de régime.

    — En Libye en 2011, les États-Unis, aux côtés de leurs alliés de l'OTAN, ont joué un rôle crucial dans l'intervention militaire en Libye, qui a conduit au renversement et à la mort de Mouammar Kadhafi.

    — En Syrie en 1949 : la CIA a soutenu un coup d'État qui a renversé le gouvernement démocratiquement élu du président Shukri al-Quwatli. Il s’agissait principalement de garantir les intérêts pétroliers américains et occidentaux. Aujourd’hui, l’implication des États-Unis dans la politique interne syrienne comprend des hostilités contre des milices soutenues par l’Iran et soutenant le régime en difficulté du président syrien Bashar al-Assad, sans autorisation explicite du Congrès ni aucun objectif militaire clair au-delà de dissuader de futures attaques.

    Pendant ce temps, les contribuables américains continuent de payer pour les centaines de bases militaires américaines disséminées dans le monde, dont beaucoup ne sont pas les bienvenues, et le double standard que les États-Unis exercent à l’intérieur et à l’extérieur de l’Amérique est épouvantable.

    Par crainte d’inciter à davantage de violence aux États-Unis, par exemple, les démocrates ne sont plus autorisés à parler de Trump comme d’une « menace existentielle pour la démocratie ». D'un autre côté, en acceptant le discours suprémaciste juif d'Israël selon lequel la lutte armée palestinienne pour la libération constitue une menace existentielle pour les Juifs (c'est-à-dire qu'elle est antisémite et non de nature libérationniste), les États-Unis incitent Israël à la violence contre les Palestiniens et fournissent à Israël les moyens de commettre des actes de violence. génocide contre eux à Gaza.

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  84. Une lueur d’espoir se profile cependant à l’horizon. Ce qui se passe en Palestine et en Ukraine remet en question la domination unipolaire des États-Unis et influence de manière significative la transition vers un ordre mondial multipolaire.

    https://www.globalresearch.ca/gloating-american-political-turbulence-ashamed/5862867

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  85. De quoi s’agissait-il réellement ? Déclenchement d’une crise mondiale de la dette de plusieurs milliards de dollars. « Intensifier une stratégie impérialiste » ?


    Par Colin Todhunter
    Recherche mondiale,
    20 juillet 2024



    « Et cela rend de plus en plus évident le fait central : la cause de la condition misérable de la classe ouvrière doit être recherchée non pas dans ces griefs mineurs, mais dans le système capitaliste lui-même. » Friedrich Engels , La condition de la classe ouvrière en Angleterre (1845) ( préface de l'édition anglaise , p.36)

    Le FMI et la Banque mondiale défendent depuis des décennies un programme politique basé sur des réductions des services publics, des augmentations des impôts payés par les plus pauvres et des mesures visant à saper les droits et la protection des travailleurs.

    Grâce aux politiques d'« ajustement structurel » du FMI, 52 % des Africains n'ont pas accès aux soins de santé et 83 % n'ont aucun filet de sécurité sur lequel s'appuyer s'ils perdent leur emploi ou tombent malades. Même le FMI a montré que les politiques néolibérales alimentent la pauvreté et les inégalités .

    En 2021, une étude d’Oxfam sur les prêts du FMI liés au COVID-19 a montré que 33 pays africains étaient encouragés à poursuivre des politiques d’austérité. Les pays les plus pauvres du monde devraient rembourser 43 milliards de dollars de dettes en 2022, ce qui pourrait autrement couvrir le coût de leurs importations alimentaires.

    Oxfam et Development Finance International (DFI) ont également révélé que 43 des 55 États membres de l'Union africaine seront confrontés à des réductions de dépenses publiques totalisant 183 milliards de dollars au cours des cinq prochaines années.

    Selon le professeur Michel Chossudovsky du Centre de recherche sur la mondialisation, la fermeture de l’économie mondiale (confinement imposé le 11 mars 2020 à plus de 190 pays) a déclenché un processus d’endettement mondial sans précédent. Les gouvernements sont désormais sous le contrôle des créanciers mondiaux dans l’ère post-Covid.

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  86. Nous assistons à une privatisation de facto de l’État alors que les gouvernements capitulent devant les besoins des institutions financières occidentales.

    De plus, ces dettes sont en grande partie libellées en dollars, ce qui contribue à renforcer le dollar américain et l’effet de levier des États-Unis sur les pays.

    Cela soulève la question : de quoi s’agissait-il réellement ?
    Des millions de personnes se posent cette question depuis le début des confinements et des restrictions début 2020. S’il s’agissait effectivement de santé publique, pourquoi fermer la majeure partie des services de santé et l’économie mondiale en sachant très bien quelles seraient les implications massives sur la santé, l’économie et la dette ?

    Pourquoi lancer une campagne de propagande de type militaire pour censurer des scientifiques de renommée mondiale et terroriser des populations entières et utiliser toute la force et la brutalité de la police pour garantir le respect de ces mesures ?

    Ces actions étaient totalement disproportionnées par rapport à tout risque posé pour la santé publique, en particulier si l’on considère la manière dont les définitions et les données sur les « décès dus au COVID » ont souvent été manipulées et dont les tests PCR ont été utilisés à mauvais escient pour effrayer les populations et les amener à se soumettre.

    Le professeur Fabio Vighi de l’Université de Cardiff laisse entendre que nous aurions dû nous méfier dès le début lorsque les « élites dirigeantes sans scrupules » ont gelé l’économie mondiale face à un agent pathogène qui cible presque exclusivement les improductifs (les plus de 80 ans).

    Le COVID était une crise du capitalisme déguisée en urgence de santé publique.

    Capitalisme

    Le capitalisme doit continuer à s’étendre ou à créer de nouveaux marchés pour assurer l’accumulation de capital afin de compenser la tendance à la baisse du taux général de profit. Le capitaliste a besoin d’accumuler du capital (de la richesse) pour pouvoir le réinvestir et réaliser davantage de profits. En exerçant une pression à la baisse sur les salaires des travailleurs, le capitaliste extrait suffisamment de plus-value pour pouvoir y parvenir.

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  87. Mais lorsque le capitaliste est incapable de réinvestir suffisamment (en raison de la baisse de la demande de matières premières, du manque d’opportunités d’investissement et de marchés, etc.), la richesse (le capital) s’accumule, se dévalue et le système entre en crise. Pour éviter la crise, le capitalisme a besoin d’une croissance constante, de marchés et d’une demande suffisante.

    Selon l'écrivain Ted Reese , le taux de profit capitaliste a connu une tendance à la baisse, passant d'environ 43 % dans les années 1870 à 17 % dans les années 2000. Bien que les salaires et les impôts sur les sociétés aient été réduits, l’exploitabilité de la main-d’œuvre s’est avérée de plus en plus insuffisante pour répondre aux exigences de l’accumulation du capital.

    Fin 2019, de nombreuses entreprises ne parvenaient pas à générer suffisamment de bénéfices. Un chiffre d'affaires en baisse, des flux de trésorerie limités et des bilans fortement endettés étaient monnaie courante.

    La croissance économique s’est affaiblie à la veille du krach boursier massif de février 2020, qui a vu des milliards supplémentaires injectés dans le système sous couvert de « soulagement du COVID ».

    Jusque-là, pour éviter la crise, diverses tactiques avaient été employées.

    Les marchés du crédit se sont élargis et la dette personnelle a augmenté pour maintenir la demande des consommateurs alors que les salaires des travailleurs étaient comprimés. La déréglementation financière s'est produite et le capital spéculatif a été autorisé à exploiter de nouveaux domaines et opportunités d'investissement. Dans le même temps, les rachats d’actions, l’économie de la dette étudiante, l’assouplissement quantitatif, les plans de sauvetage et les subventions massifs ainsi que l’expansion du militarisme ont contribué à maintenir la croissance économique.

    Il y a également eu une intensification d’une stratégie impérialiste qui a vu les systèmes de production indigènes à l’étranger être remplacés par des sociétés mondiales et des États pressés de se retirer des domaines d’activité économique, laissant les acteurs transnationaux occuper l’espace laissé libre.

    Même si ces stratégies ont produit des bulles spéculatives et conduit à une surévaluation des actifs et à une augmentation de la dette personnelle et publique, elles ont contribué à continuer à garantir des bénéfices et des retours sur investissement viables.

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  88. Mais en 2019, l’ancien gouverneur de la Banque d’Angleterre, Mervyn King, a averti que le monde se dirigeait somnambulement vers une nouvelle crise économique et financière qui aurait des conséquences dévastatrices. Il a fait valoir que l’économie mondiale était coincée dans un piège de faible croissance et que la reprise après la crise de 2008 était plus faible que celle qui avait suivi la Grande Dépression.

    King a conclu qu’il était temps pour la Réserve fédérale et les autres banques centrales d’entamer des négociations à huis clos avec les politiciens.

    C'est précisément ce qui s'est passé lorsque des acteurs clés, dont BlackRock, le fonds d'investissement le plus puissant au monde, se sont réunis pour élaborer une stratégie pour l'avenir. Cela s’est produit avant le COVID.

    En plus d'accroître la dépendance des pays les plus pauvres à l'égard des capitaux occidentaux, Fabio Vighi affirme que les confinements et la suspension mondiale des transactions économiques ont permis à la Fed américaine d'inonder les marchés financiers en difficulté (sous couvert de COVID) avec de l'argent fraîchement imprimé tout en paralysant l'économie réelle. pour éviter l’hyperinflation. Les confinements ont suspendu les transactions commerciales, ce qui a drainé la demande de crédit et stoppé la contagion.

    Le COVID a couvert un plan de sauvetage de plusieurs milliers de milliards de dollars pour l’économie capitaliste qui était en crise avant le COVID. Malgré une décennie ou plus d’« assouplissement quantitatif », ce nouveau plan de sauvetage a pris la forme de milliers de milliards de dollars injectés dans les marchés financiers par la Fed américaine (au cours des mois précédant mars 2020) et d’un « allègement du COVID » qui a suivi.

    Le FMI, la Banque mondiale et les dirigeants mondiaux savaient très bien quel serait l'impact sur les pauvres du monde d'une fermeture de l'économie mondiale due aux confinements liés au COVID.

    Pourtant, ils l’ont approuvé et il est désormais probable que plus d’un quart de milliard de personnes supplémentaires dans le monde tomberont dans des niveaux d’extrême pauvreté rien qu’en 2022.

    En avril 2020, le Wall Street Journal a déclaré que le FMI et la Banque mondiale étaient confrontés à un déluge de demandes d’aide émanant de nombreux pays les plus pauvres cherchant à obtenir des plans de sauvetage et des prêts auprès d’institutions financières avec 1 200 milliards de dollars à prêter.

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  89. En plus de contribuer à redémarrer le système financier, la fermeture de l’économie mondiale a délibérément accru la dépendance des pays les plus pauvres à l’égard des conglomérats mondiaux et des intérêts financiers occidentaux.

    Les confinements ont également contribué à accélérer la restructuration du capitalisme qui implique que de petites entreprises soient conduites à la faillite ou rachetées par des monopoles et des chaînes mondiales , garantissant ainsi des profits viables et continus pour les grandes technologies, les géants des paiements numériques et les sociétés mondiales en ligne comme Meta et Amazon et l'éradication de des millions d'emplois.

    Même si les effets du conflit en Ukraine ne peuvent être ignorés, avec la réouverture de l'économie mondiale, l'inflation augmente et provoque une crise du « coût de la vie ». Dans une économie criblée de dettes, les possibilités de hausse des taux d’intérêt pour contrôler l’inflation sont limitées.

    Mais cette crise n'est pas inévitable : l'inflation actuelle n'est pas seulement induite par les liquidités injectées dans le système financier, mais elle est également alimentée par la spéculation sur les marchés des matières premières alimentaires et par la cupidité des entreprises, alors que les sociétés énergétiques et alimentaires continuent d'engranger d'énormes profits au détriment de l'économie ordinaire. personnes.

    Résistance
    Pourtant, la résistance est fertile.

    Outre les nombreux rassemblements anti-restrictions et en faveur de la liberté pendant la COVID, nous assistons désormais à l’émergence d’un syndicalisme plus véhément – ​​en Grande-Bretagne du moins – dirigé par des dirigeants avertis des médias comme Mick Lynch, secrétaire général du Syndicat national des syndicats. Les travailleurs des chemins de fer, des transports maritimes et des transports (RMT), qui savent comment séduire le public et exploiter le ressentiment largement partagé face à la flambée du coût de la vie.

    Les enseignants, les agents de santé et autres pourraient suivre le RMT et lancer une grève.

    Lynch affirme que des millions de personnes en Grande-Bretagne sont confrontées à un niveau de vie inférieur et à la suppression des retraites professionnelles. Il ajoute:

    « La COVID a été un écran de fumée permettant aux riches et aux puissants de ce pays de faire baisser les salaires autant qu’ils le peuvent. »

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  90. Tout comme une décennie d’« austérité » imposée a été utilisée pour obtenir des résultats similaires dans la période précédant la COVID.

    Le mouvement syndical devrait désormais jouer un rôle de premier plan dans la résistance aux attaques contre le niveau de vie et aux nouvelles tentatives visant à dégrader l’aide sociale fournie par l’État et à privatiser ce qui reste.

    La stratégie visant à démanteler et à privatiser entièrement les services de santé et de protection sociale semble de plus en plus probable étant donné la nécessité de maîtriser la dette publique (liée au COVID) et la tendance à l’IA, à l’automatisation du lieu de travail et au chômage.

    C’est une réelle préoccupation car, selon la logique du capitalisme, le travail est une condition d’existence des classes laborieuses. Ainsi, si une main-d’œuvre de masse n’est plus jugée nécessaire, il n’est plus nécessaire de mettre en place des systèmes d’éducation, de protection sociale et de soins de santé de masse qui ont traditionnellement servi à reproduire et à maintenir le travail requis par l’activité économique capitaliste.

    En 2019, Philip Alston , rapporteur de l'ONU sur l'extrême pauvreté, a accusé les ministres du gouvernement britannique de « la paupérisation systématique d'une partie importante de la population britannique » au cours de la décennie qui a suivi le krach financier de 2008.

    Alston a déclaré :

    « Comme l'a observé Thomas Hobbes il y a longtemps, une telle approche condamne les plus démunis à des vies « solitaires, pauvres, méchantes, brutales et courtes ». Alors que le contrat social britannique s'évapore peu à peu, la prédiction de Hobbes risque de devenir la nouvelle réalité.»

    Après la crise du COVID, les propos d’Alston ont encore plus de poids.

    Alors que cet article touche à sa fin, la nouvelle tombe : Boris Johnson a démissionné de son poste de Premier ministre. Un Premier ministre remarquable, ne serait-ce que pour sa criminalité, son manque de fondement moral et ses deux poids, deux mesures – également applicables à nombre de ses acolytes au sein du gouvernement.

    Dans cet esprit, finissons là où nous avons commencé.

    « Je n’ai jamais vu une classe aussi profondément démoralisée, aussi incurablement dégradée par l’égoïsme, aussi rongée intérieurement, aussi incapable de progrès, que la bourgeoisie anglaise…

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  91. Car rien n'existe dans ce monde, sauf pour l'argent, lui-même non exclu. Il ne connaît aucun bonheur autre que celui d’un gain rapide, aucune douleur autre que celle de perdre de l’or.

    En présence de cette avarice et de cette soif de gain, il n’est pas possible qu’un seul sentiment ou opinion humaine reste intact. Friedrich Engels , La condition de la classe ouvrière en Angleterre (1845), p.275

    https://www.globalresearch.ca/covid-capitalism-friedrich-boris/5785964

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  92. Cinq années supplémentaires de von der Leyen


    18 juillet 2024
    de Thomas Oysmüller


    C’est arrivé : alors que certains députés européens souhaitent voir Leyen en prison, une majorité l’a réélue à la présidence de la Commission européenne.

    Le pare-feu impérialiste au Parlement européen reste stable : avec 401 voix (360 étaient nécessaires), Ursula von der Leyen a été élue présidente de la Commission européenne pour la deuxième fois avec une majorité confortable. Cela signifie également que la répartition des postes les plus importants de l'UE a été décidée : Kaja Kallas, ancien Premier ministre d'Estonie et agitateur anti-russe bien connu, deviendra le représentant de l'UE aux affaires étrangères, c'est-à-dire le ministre des Affaires étrangères de l'UE. Les sociaux-démocrates obtiennent la présidence du Conseil de l'UE.

    Pare-feu impérialiste

    Ces derniers jours, c'est surtout la faction des Verts qui a fait campagne pour sa réélection. C'est ce qu'a rapporté le député BSW Fabio De Masi. Les Verts ont fait de la publicité en arrière-plan et lors de conversations en tête-à-tête. Ils ont toutefois voulu garder les tentatives publicitaires discrètes, sinon les partisans de droite pourraient abandonner, rapporte l'eurodéputé expérimenté.

    Oui, le « pare-feu impérialiste » avec son centre de conservateurs, de sociaux-démocrates et de libéraux va de la gauche verte au nationaliste de droite. Certains membres du groupe des « Conservateurs et réformateurs européens » ont peut-être voté pour Leyen. Le groupe est dominé par Meloni et constitue le plus docile des trois factions de droite du nouveau Parlement européen.

    Il n’y a pas de résultat clair du vote. L'élection s'est déroulée en secret. Pour l’Autriche, nous savons cependant que seuls les députés du FPÖ ont voté contre Leyen. Les deux députés verts ont également voté pour Leyen. Waitz et Schilling l’ont annoncé lors d’une conférence de presse cette semaine. Aucune critique (ni même un vote négatif) de la Commission Leyen n’est à attendre de la part de l’ÖVP, du SPÖ et des deux députés NEOS.

    Mais les choses n’étaient pas si confortables au Parlement européen. Pas du tout. De nombreux critiques bien connus de Leyen n’ont pas eu de temps de parole. Cette fois par exemple, Martin Sonneborn ne pouvait pas non plus parler. Il y a cinq ans, il appelait probablement à ne pas laisser l’Europe « aux Leyens ». Une députée roumaine s'est indignée de ne pas avoir été autorisée à parler et a crié : « Leyen, va-t'en ». Elle a été escortée hors de la salle. La scène a été enregistrée par le YouTubeur chypriote et le nouveau député Fidias. Vous ne verrez pas ces photos dans le Tagesschau :

    Mais certains membres de l’opposition se sont rendus au pupitre. Par exemple, Ewa Zajaczkowska, porte-parole du parti polonais Konfederacja depuis plusieurs mois. Elle a fait sensation lors de son premier discours au Parlement européen. Voici le discours sous-titré en anglais, qui, comme on peut l’entendre, a provoqué d’importants troubles au Parlement :

    Les députés de BSW avaient déjà tenté de reporter les élections en soumettant une motion. Comme vous pouvez le constater, ils n’ont pas réussi. L’UE sera à nouveau laissée aux Leyens.

    https://tkp.at/2024/07/18/fuenf-weitere-jahre-von-der-leyen/

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  93. Oser plus d'agriculture : Mme Von der Leyen a les agriculteurs en ligne de mire


    19 Juillet 2024
    Josef Koch, Bayerisches Landwirtschaftliches Wochenblatt, dans AGRARHEUTE*


    La présidente réélue de la Commission européenne, Ursula von der Leyen.

    Lors de son discours au Parlement Européen, Mme Ursula von der Leyen (CDU) a formulé des objectifs généraux en matière de politique agricole. Elle n'a certes pas convaincu tout le monde. Mais cela a suffi pour être réélue.

    Mme Ursula von der Leyen est apparemment encore impressionnée par les manifestations massives des agriculteurs au printemps. Dans son discours de candidature à sa réélection en tant que présidente de la Commission Européenne, elle a eu aujourd'hui (18 juillet) à Strasbourg beaucoup plus de mots pour l'agriculture qu'il y a cinq ans.

    C'est l'impression qu'ont eue plusieurs députés européens de longue date. Mme von der Leyen a promis de présenter une vision pour l'agriculture et l'alimentation au cours des 100 premiers jours de son mandat.

    Une vision pour l'agriculture annoncée

    En outre, une nouvelle réforme de la politique agricole de l'UE est également prévue au cours de son prochain mandat. Les milieux bruxellois attendent les premières propositions concrètes à ce sujet au plus tard à la mi-2025.

    La réélue von der Leyen a formulé comme objectif que les agriculteurs soient récompensés pour leurs prestations environnementales supplémentaires. Elle n'a toutefois pas précisé si l'argent proviendrait principalement du budget de l'UE ou si les agriculteurs devraient participer au commerce des certificats climatiques.

    Elle a également plaidé pour un renforcement des agriculteurs dans la chaîne de valeur ajoutée, afin qu'ils puissent obtenir des prix équitables pour leur travail. « Personne ne devrait être contraint de vendre de bons aliments à des prix inférieurs aux coûts de production », a formulé la responsable politique de la CDU comme objectif.

    La présidente de la Commission souhaite poursuivre le processus de dialogue entamé avec le monde agricole. Elle a également évoqué la compétitivité des agriculteurs et de l'économie. Pour cela, comment pourrait-il en être autrement, la bureaucratie doit également être réduite.

    Maintien des objectifs du Green Deal

    Mme von der Leyen a toutefois souligné qu'elle ne souhaitait pas modifier les objectifs du Green Deal et a fait la promotion d'un plan européen d'adaptation au climat qui doit aider les États membres à se préparer et à planifier.

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  94. Afin de rendre l'UE climatiquement neutre d'ici 2050, la présidente veut ancrer un autre objectif intermédiaire dans la loi sur le climat. Il prévoit de réduire d'ici 2040 les émissions de gaz à effet de serre d'au moins 90 pour cent par rapport à 1990.

    Ces déclarations relativement générales ne sont pas surprenantes. Après tout, Mme von der Leyen était impatiente d'obtenir le plus de voix possible des autres groupes politiques, notamment des Verts et des sociaux-démocrates (S&D). C'est pourquoi elle n'a par exemple pas précisé si la future Commission reporterait la mise en œuvre du règlement européen sur les forêts.

    Mme Singer a voté contre Mme von der Leyen

    Mme von der Leyen n'a pas réussi à convaincre au moins les Freie Wähler. Les trois députés européens des Freie Wähler, dont l'agricultrice bavaroise Christine Singer, ont voté contre Mme von der Leyen.

    Lors du vote à bulletin secret, Mme von der Leyen a obtenu 401 voix, soit la majorité. Il fallait au moins 361 voix.

    « Le climat ne profitera pas du Green Deal »

    Selon Mme Singer, la conception du Green Deal par la commission von der Leyen conduit à ce que « notre production, et donc la création de valeur, soit déplacée vers d'autres pays tiers. Notre climat n'en profitera malheureusement pas », a critiqué la députée européenne.

    « Nous avons besoin d'un Green Deal qui ait un impact positif sur l'UE et nos conditions de vie ». Mme Singer a regretté l'absence d'une reconnaissance claire des mauvaises décisions et d'une réorientation pour atteindre les objectifs.

    M. Häusling : les objectifs sonnent bien

    Les Verts voient les choses différemment. Pour M. Martin Häusling, les objectifs agricoles formulés par Mme von der Leyen devant le Parlement ont l'air bons.

    Il espère qu'un processus de dialogue constructif sera mis en œuvre et que l'association des agriculteurs ne sera pas absente, comme c'est le cas en Allemagne, lorsqu'il s'agira de passer à la mise en œuvre pratique.

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  95. « Les droits des agriculteurs dans la chaîne d'approvisionnement doivent être renforcés. Les agriculteurs ont besoin de prix équitables », a précisé M. Häusling.

    L'écologiste est d'accord avec la nécessité d'un plan d'adaptation au changement climatique et d'une rémunération des agriculteurs pour les services environnementaux. « Nous jugerons Mme von der Leyen à l'aune de sa mise en œuvre », a annoncé M. Häusling.

    La BBV [l'Union des Agriculteurs Bavarois] souhaite des déclarations plus claires sur le règlement relatif à la déforestation

    Le président de la BBV pour l'Environnement et député européen Stefan Köhler a tout d'abord apprécié le fait que le discours de Mme von der Leyen et le débat qui a suivi aient abordé le thème de l'agriculture.

    « J'ai pu retrouver de nombreux points du PPE dans le discours », a déclaré M. Köhler, même s'il aurait par exemple souhaité des déclarations plus claires concernant le règlement européen sur la déforestation.

    L'Union des Agriculteurs Bavarois pose des exigences claires

    Du point de vue de l'Union des Agriculteurs Bavarois (BBV), il y a maintenant en particulier quatre points concrets qui doivent être avancés par la Commission Européenne dans le sens d'une agriculture et d'une sylviculture fortes.

    Le secrétaire général de la BBV, Carl von Butler, attend un report immédiat du règlement sur la déforestation et une révision fondamentale afin d'éviter un monstre bureaucratique massif qui menacerait sinon l'économie européenne à partir de 2025.

    Il attend en outre un budget agricole nettement plus élevé dans le prochain cadre financier pluriannuel (CFP). La sécurité alimentaire doit être placée au centre de la politique agricole commune (PAC). Le secrétaire général insiste sur un moratoire sur les contraintes au niveau européen. Cela permettrait d'éviter de nouvelles contraintes bureaucratiques.

    Appel à un commissaire européen à l'agriculture fort

    « Il s'agit maintenant de mettre en place une Commission Européenne forte qui tienne davantage compte de l'agriculture et de la sylviculture et de leurs intérêts. Un signal dans ce sens serait par exemple de prévoir le futur commissaire à l'agriculture comme vice-président de la Commission », a déclaré M. von Butler.
    ____________

    * Source : Mehr Landwirtschaft wagen: Von der Leyen hat die Bauern im Blick | agrarheute.com

    https://seppi.over-blog.com/2024/07/oser-plus-d-agriculture-mme-von-der-leyen-a-les-agriculteurs-en-ligne-de-mire.html

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  96. La faillite des tournages à Los Angeles s'aggrave avec le fort déclin de la télé-réalité


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 18 JUILLET 2024 - 23H45


    FilmLA, le bureau cinématographique partenaire de la ville et du comté de Los Angeles et d'autres juridictions locales, a publié mercredi un nouveau rapport selon lequel la production cinématographique détaillée a continué de baisser au deuxième trimestre en raison d'un ralentissement continu des dépenses de contenu et d'Hollywood toujours sous le choc de l'après- grève paralysie.

    Les tournages locaux en extérieur ont chuté de 12,4 % d'une année sur l'autre d'avril à juin, atteignant 5 749 jours de tournage au cours du trimestre. Il y a eu une baisse de la production de longs métrages (-3,3% à 704 jours de tournage) et de la production commerciale en baisse de 5% à 817 jours de tournage - deux baisses mineures par rapport à l'effondrement de la production télévisuelle non scénarisée.

    "Les tournages de télé-réalité ont chuté de -56,9 % à 868 SD, entraînant avec lui la catégorie plus large de la télévision (en baisse de -27,7 % à 1 901 SD)," a écrit FilmLA dans le rapport.

    - voir graph sur site -

    Source : Bloomberg

    À l'inverse, le rapport note : « Ailleurs dans la catégorie Télévision, la production de contenu scénarisé a considérablement augmenté au cours de la période, par rapport aux premiers mois touchés par la grève en 2023. La production de séries télévisées a augmenté de 98,3 % pour atteindre 714 SD, et la production de comédies télévisées a augmenté de 103,6 %. à 171 SD, tandis que le tournage de TV Pilots a augmenté de 54,5 pour cent à 17 SD.

    Bloomberg a été le premier à couvrir le nouveau rapport de FilmLA, indiquant que le ralentissement des jours de tournage provient du fait que « les studios ont commencé à réduire la production et à licencier du personnel sous la pression des investisseurs pour montrer des bénéfices dans le streaming » au second semestre 2021. À cela s'ajoutent les actions syndicales. par les travailleurs de l'industrie du divertissement de Los Angeles l'année dernière, qui ont interrompu la production. Cependant, les acteurs et écrivains en grève ont résolu leurs contrats de travail avec les studios.

    La diminution des jours de tournage dresse un tableau sombre pour l'industrie, tandis que le ralentissement du streaming s'intensifie avec la réduction des émissions par Netflix et le licenciement de centaines de travailleurs d'Amazon Prime et de MGM Studios plus tôt cette année.

    Bloomberg a cité des données de Creative Economy montrant que la main d'œuvre dans l'industrie du divertissement de Los Angeles a diminué de 16 % l'année dernière.

    La plupart des Américains ne se soucient pas du fiasco du cinéma hollywoodien. Les studios produisent du contenu « réveillé » que beaucoup trouvent peu attrayant. De plus, la menace de l’IA continue de peser sur les travailleurs restants.

    https://www.zerohedge.com/markets/filming-bust-los-angeles-worsens-second-quarter-plunge-reality-tv

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  97. Le streaming atteint pour la première fois 40 % de l’utilisation de la télévision américaine


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 19 JUILLET 2024 - 19H25


    S’il fallait une preuve supplémentaire du rôle de premier plan du streaming dans le paysage télévisuel actuel, la voici…

    Comme le rapporte Felx Richter de Statista, selon The Gauge de Nielsen - un rapport mensuel sur le comportement d'écoute de la télévision aux États-Unis, les services de streaming ont atteint une part record de 40,3 % de l'utilisation de la télévision aux États-Unis le mois dernier, laissant le câble et la diffusion loin derrière. 27,2 et 20,5 %, respectivement.

    - voir graph sur site -

    Infographie : Le streaming atteint pour la première fois 40 % de l'utilisation de la télévision aux États-Unis | Statiste
    Vous trouverez plus d'infographies sur Statista

    Cela fait deux ans que le streaming a pour la première fois dépassé la télévision par câble en juillet 2022 et, hormis quelques fluctuations saisonnières, sa part d'écoute de la télévision n'a cessé de croître depuis lors.

    Selon Nielsen, il est courant pour la télévision linéaire de connaître une accalmie d'audience pendant les mois d'été, ce qui explique en partie l'augmentation de 1,5 point de pourcentage de la part d'audience du streaming le mois dernier. En outre, le début des vacances d'été pour les enfants et les adolescents a également contribué à l'augmentation absolue et relative de la consommation de streaming, dans la mesure où le streaming représente une part plus importante du temps de télévision des jeunes téléspectateurs, donnant à cette catégorie une augmentation disproportionnée par rapport à la diffusion et au câble. . À l’avenir, les Jeux olympiques de Paris pourraient constituer une bouée de sauvetage pour la télévision linéaire en juillet et août, car les sports en direct restent l’un des derniers bastions des réseaux de diffusion et du câble.

    En commençant par le succès du modèle de streaming à volonté de Netflix, la consommation de télévision a connu un changement radical au cours de la dernière décennie. Les consommateurs ont rapidement apprécié la flexibilité, la facilité d'utilisation et le prix abordable de Netflix et des autres services de streaming qui ont inévitablement suivi, rendant la vie de plus en plus difficile aux réseaux de télévision, aux fournisseurs de télévision par câble et aux chaînes de télévision payantes traditionnelles telles que HBO. Alors que de plus en plus d'entreprises de médias ont pris le train du streaming, les consommateurs ont désormais une multitude de choix, qu'ils préfèrent les films et séries (Netflix, Disney+, Prime Video, etc.), les documentaires (Discovery+ et autres) ou les sports (ESPN+). , DAZN).

    https://www.zerohedge.com/technology/streaming-hits-40-us-tv-usage-first-time

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  98. Ancien ministre polonais des Affaires étrangères : le programme de Leyen déclenchera des manifestations dans toute l'Europe


    20 juillet 2024
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Witold Waszczykowski, l'ancien chef de la diplomatie polonaise, a prévenu que le programme controversé d'Ursula von der Leyen en tant que présidente de la Commission européenne déclencherait des manifestations de rue à travers le continent.

    Dans une interview accordée à wPolityce.pl, Witold Waszczykowski, ancien ministre polonais des Affaires étrangères et ancien député européen du parti Droit et Justice (PiS), a exprimé sa ferme opposition à la réélection d'Ursula von der Leyen à la tête de la Commission européenne. Waszczykowski estime que le deuxième mandat de von der Leyen sera marqué par des manifestations de rue conflictuelles en raison de ses promesses ambitieuses et, à son avis, irréalistes.

    Waszczykowski prédit que le programme de von der Leyen entraînera des protestations des agriculteurs et des travailleurs dans les rues des villes européennes.

    "Les citoyens paieront de plus en plus cher pour ces idées", a-t-il prévenu, rappelant le mouvement des "gilets jaunes" en France et suggérant que de telles protestations pourraient s'étendre à toute l'Europe. « Ces caprices bureaucratiques ne seront pas acceptés par les gens ordinaires », a-t-il ajouté.

    Il souligne également la corruption qui, selon lui, existait pendant le mandat présidentiel de von der Leyen.

    « Le précédent mandat de von der Leyen a été semé de scandales et d’erreurs », a déclaré Waszczykowski. « Du scandale de l’achat de vaccins par SMS à la débâcle du Brexit en passant par le scandale de corruption du « Qatargate », son mandat a été tout sauf exemplaire.

    Il a également critiqué la gestion par la Commission européenne de l'agression russe en 2022, arguant que la réponse de l'UE a été trop lente et inefficace.

    Malgré ces critiques, von der Leyen a obtenu un second mandat, ce que Waszczykowski attribue à son pacte avec la gauche et les Verts avant les élections.

    « En promettant de soutenir le Green Deal et les changements constitutionnels hors traité, elle a obtenu une majorité », a-t-il déclaré.

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  99. Waszczykowski s'est également demandé pourquoi certains députés européens conservateurs et réformistes (ECR) soutenaient von der Leyen. Il soupçonne que leur soutien provenait de la crainte d'être marginalisé par la majorité politique et du désir de conserver une certaine influence.

    « De nombreux cercles conservateurs en Occident pratiquent un conservatisme asymptomatique », a-t-il déclaré, « ils utilisent une rhétorique conservatrice mais se comportent comme des libéraux ».

    L'ancien ministre estime que la stratégie actuelle du PiS est erronée et qu'il aurait dû s'associer aux Patriotes pour l'Europe de Marine Le Pen pour former un bloc conservateur fort et négocier des changements au sein de l'UE.

    Quant aux promesses et annonces de von der Leyen lors du débat, Waszczykowski les a comparées aux promesses irréalistes de Donald Tusk en Pologne .

    « Ce ne sont que des chimères », a-t-il déclaré. «L'UE est marginalisée par la Chine et les États-Unis, mais surtout par une Russie agressive. Von der Leyen en a fait elle-même l'expérience à Ankara, alors qu'on ne lui a même pas proposé de siège à côté du président Erdoğan.»

    Il s'attend également à ce que le deuxième mandat de von der Leyen renforce encore la tendance vers un super-État dans lequel les décisions au niveau européen sont prises à la majorité, ce qui pourrait conduire à des tactiques de coercition et de chantage similaires à celles utilisées par Tusk en Pologne.

    « Des pays, dont la Pologne, auront peur de quitter l’UE pour des raisons géopolitiques », a déclaré Waszczykowski, « et seront contraints d’accepter toutes ces excentricités sous la menace du Polexit ».

    À moins que d’importants mouvements sociopolitiques n’apparaissent pour résister à ces changements, Waszczykowski craint que l’Europe ne soit poussée vers un avenir qui sera inacceptable pour beaucoup, mais qu’ils seront incapables d’arrêter.

    https://tkp.at/2024/07/20/ex-aussenminister-polens-leyens-agenda-wird-in-ganz-europa-strassenproteste-ausloesen/

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  100. De jour comme de nuit, le maïs travaille dur pour augmenter son rendement


    20 Juillet 2024
    Contributeurs d'AGDAILY*


    Les agriculteurs se concentrent sur les activités diurnes de leurs cultures, mais les plantes de maïs travaillent toujours dur pendant la nuit. Les agronomes Kris Young et Emily Prevo d'AgriGold affirment que l'équation du rendement de la plante de maïs est simple : les sucres produits par la photosynthèse pendant la journée moins les sucres consommés par la respiration pendant la nuit sont égaux aux sucres disponibles pour produire des grains.

    « Pendant la journée, les plantes photosynthétisent, produisent et stockent des hydrates de carbone pour leur croissance », explique M. Young. « L'objectif de la culture du maïs est de produire le plus de grains possible, et de grandes quantités d'hydrates de carbone seront nécessaires pour atteindre cet objectif. »

    Mme Prevo conseille de réfléchir au fonctionnement de notre corps : « Pendant la journée, nous alimentons notre corps avec de la nourriture, de l'eau et des nutriments dont nous avons besoin pour survivre. Il en va de même pour les plantes, qui tirent leur énergie du processus de photosynthèse. Mais elles ont aussi besoin de se reposer et de se réparer ».

    Les cellules ont continuellement besoin d'être réparées, ce qui nécessite de l'énergie pour maintenir une plante forte et en bonne santé. M. Young précise : « Alors que la photosynthèse s'arrête la nuit, la respiration et la croissance de la plante se poursuivent. Les plantes de maïs se développent et se réparent tout au long de la nuit ».

    Le processus de respiration, au cours duquel les plantes consomment de l'oxygène et rejettent du gaz carbonique, a un impact sur les réserves d'énergie des plantes. « Pendant la nuit, la respiration noire utilise les hydrates de carbone produits pendant la journée pour la croissance, l'entretien et le refroidissement des cellules », explique Mme Prevo.

    Pour obtenir les meilleurs rendements, la plante de maïs a besoin d'un bon équilibre entre le stockage et la consommation d'hydrates de carbone. Cela signifie qu'il faut maximiser la photosynthèse et minimiser la respiration dans l'obscurité.

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  101. La température est un facteur essentiel

    Des températures nocturnes plus fraîches réduisent le stress des plantes, ce qui permet au maïs de se reposer et de conserver l'énergie nécessaire à sa croissance. Selon M. Young, « la croissance du maïs dépend fortement de la température. Lorsque les températures nocturnes sont inférieures à 21 degrés Celsius, l'ensemble du système fonctionne sans heurts et de manière très efficace ».

    À mesure que les températures augmentent, les plantes consomment plus d'énergie pour se développer. « Si les températures nocturnes dépassent 21 degrés Celsius, la respiration noire s'accélère et consomme plus d'énergie. Le processus de photosynthèse commence à se dégrader au-delà de 30 degrés, produisant moins d'hydrates de carbone », explique Mme Prevo.

    Les températures nocturnes supérieures à la moyenne constituent une menace pour le rendement, explique M. Young. « Les températures nocturnes élevées peuvent accélérer le processus de remplissage des grains, ce qui accélère la maturation de la culture. Les plantes utilisent des sucres qui contribueraient autrement à la production de grains, ce qui se traduit par des grains plus petits et des rendements potentiellement plus faibles ».

    Gérer la disponibilité de l'humidité

    La sécheresse a une influence significative sur le stress général des plantes, explique M. Young, qui vit au Kansas, où les conditions de sécheresse perdurent. « Les températures élevées vont souvent de pair avec la sécheresse. Comme les plantes dépensent plus d'énergie pour se refroidir, le manque d'humidité aggrave les problèmes de croissance des plantes », explique-t-il.

    Pour conserver l'humidité, M. Young conseille aux agriculteurs d'envisager des pratiques d'irrigation et/ou de semis direct, et de s'attaquer aux problèmes de mauvaises herbes le plus rapidement possible. « Pour aider le maïs à être plus efficace lorsqu'il dispose de ressources limitées, le semis direct permet de conserver autant d'humidité que possible dans le sol, et les mauvaises herbes constituent une concurrence pour l'eau et la lumière du soleil », explique-t-il. « Les agriculteurs peuvent avoir besoin d'appliquer un herbicide plus tard pour lutter contre les mauvaises herbes. »

    Favoriser la santé des plantes et atténuer le stress

    Veiller à ce que les plantes ne soient pas trop stressées la nuit permet une meilleure utilisation de l'énergie. Mme Prevo recommande de choisir des hybrides adaptés aux facteurs de stress auxquels vous êtes généralement confrontés. « L'une des meilleures choses que les agriculteurs puissent faire, c'est de choisir des hybrides bien notés pour résister aux stress auxquels ils sont généralement confrontés », dit-elle.

    M. Young ajoute : « Si vous vous trouvez dans une zone de terres arides à faible peuplement, choisissez un hybride qui peut résister à des climats plus chauds et bien ombrager le sol pour réduire la perte d'humidité due à l'évaporation. »

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  102. Les fongicides jouent également un rôle dans le maintien de la santé des plantes, explique Mme Young, car « la réduction des maladies et le soutien de la croissance des tissus foliaires aident les plantes à optimiser la photosynthèse et à disposer de plus d'énergie pour le remplissage des grains. »

    Rester vigilant lors des contôles

    Mme Prevo et M. Young sont encouragés par les perspectives des cultures pour cette campagne et encouragent les agriculteurs à effectuer des contrôles réguliers. « Les carences en éléments nutritifs et les maladies peuvent avoir un impact important sur le rendement si nous ne restons pas vigilants dans nos champs et si nous ne sommes pas des mentors pour nos cultures », déclare Mme Prevo.

    Mme Prevo estime qu'il est important d'aider les cultures de maïs à finir en beauté. « Il reste beaucoup de temps avant la fin de la saison de croissance, et il y a beaucoup de choses que nous ne pouvons pas prédire », dit-elle. « En fin de compte, vous voulez faire ce qu'il y a de mieux pour votre exploitation et être en mesure de maximiser le rendement de toutes les façons possibles. »

    AgriGold fournit les informations et les déclarations contenues dans le présent communiqué à des fins d'information et d'éducation et ne garantit pas les performances futures.
    ______________

    * Source : Day or night, corn is working hard to build yield | AGDAILY

    https://seppi.over-blog.com/2024/07/de-jour-comme-de-nuit-le-mais-travaille-dur-pour-augmenter-son-rendement.html

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    1. Article totalement faux puisqu'une plante pousse 80 % la nuit et seulement 20 % le jour.
      A rappeler que le gaz carbonique (qui est un gaz froid responsable des gelées) se raréfie avec la chaleur qui monte et disparaît totalement à plus de 30,9 °C.

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  103. Quand le Chili indiqua la voie


    Jose Pinera
    21 juillet 2024


    Comment a-t-on réalisé la réforme du système de retraite par capitalisation au Chili

    Il y a 28 ans, l’ancien ministre du Travail et des Retraites Jose Piñera revenait sur la révolution libérale qu’il avait lancée au Chili en 1980.

    Un spectre hante le monde : celui de la faillite du système de retraite de l’État. Le système de retraite par répartition qui règne en suprématie à travers la plus grande partie de ce siècle a un défaut fondamental enraciné dans une fausse conception sur le comportement de l’être humain : il détruit à un niveau individuel le lien essentiel entre l’effort et la récompense. En d’autres termes, entre les responsabilités personnelles et les droits individuels. Chaque fois que cela se produit à grande échelle et sur une longue période, le résultat est désastreux.

    Deux facteurs extérieurs aggravent en plus ce problème :

    La démographie globale tend vers la baisse du taux de natalité
    Les progrès médicaux rallongent l’espérance de vie

    Le résultat est que de moins en moins de travailleurs supportent de plus en plus de retraités. Puisque l’augmentation de l’âge de la retraite et des taxes sur salaire ont une limite maximale, ces signes révélateurs de la faillite du système entraîneront tôt ou tard le système à réduire les prestations promises.

    Si cette réduction des prestations est faite à travers l’inflation, comme dans la plupart des pays en voie de développement, ou à travers la législation, le résultat final pour les retraités est le même : l’angoisse des vieux jours. Celle-ci est créée paradoxalement par l’insécurité inhérente au système de sécurité sociale.

    En 1980, le gouvernement chilien décida de prendre le taureau par les cornes. Un système de retraite gouvernemental était remplacé par une innovation révolutionnaire : un système national de Plan Épargne-Retraite privé.

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  104. Après 16 ans de fonctionnement, les résultats parlent d’eux-mêmes.

    Les retraites du nouveau système sont déjà de 50 à 100 % supérieures à celles du système de retraite par répartition, suivant qu’elles soient allocations vieillesse, d’invalidité ou au dernier vivant. Les ressources administrées par les fonds de retraites privées se chiffrent à 30 milliards de dollars ou aux alentours de 42 % du PNB comme en 1996. Dès l’amélioration du fonctionnement des marchés du capital et du travail, les retraites privées ont été l’une des réformes clé qui ont poussé le taux de croissance économique du 3 % historique par an au 7 % en moyenne durant les 12 dernières années. C’est aussi un fait que le taux d’épargne chilien a augmenté jusqu’à 28 % du PNB, et le taux de chômage a baissé jusqu’à 5 % depuis que la réforme a été appliquée.

    Plus important encore : les pensions ont cessé d’être une question gouvernementale. Ainsi on dépolitise un énorme secteur de l’économie et on donne aux individus davantage le contrôle de leur vie. La défectuosité structurelle a été éliminée et l’avenir des retraités dépend du comportement individuel et du développement du marché.

    Le succès du système de retraite privé chilien a incité sept autres pays d’Amérique à le suivre. Le Pérou en 1993, l’Argentine et la Colombie en 1994, l’Uruguay en 1995, et le Mexique, le Salvador et la Bolivie en 1997 ont entrepris une réforme similaire. Dans ces sept pays d’Amérique, environ 25 millions de travailleurs ont un compte de retraite privé.

    L’expérience chilienne peut être instructive pour tous les pays du monde. Même les États-Unis commencent sérieusement à débattre sur la privatisation de leur plan de pension vieux de 62 ans. Il devrait être souligné que le système de Sécurité sociale américain est à lui seul le plus grand programme gouvernemental au monde qui dépense plus de 350 milliards par an (plus que le budget de défense américain pendant la Guerre froide).

    Il est possible qu’avant l’entrée dans le nouveau millénaire, de nombreux pays, incluant tous ceux des Amériques, auront leur système de retraite privatisé. Cela signifierait une importante redistribution du pouvoir de l’État vers l’individu. Et aussi un accroissement de la liberté personnelle, promouvant une croissance rapide de l’économie et la réduction de la pauvreté, particulièrement chez les personnes âgées.

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  105. Le système chilien

    Ce qui détermine le niveau de retraite du travailleur sous le système de retraite par capitalisation au Chili est la somme d’argent qu’il a accumulée pendant ses années travaillées. Ni le travailleur ni l’employeur ne paye de taxe de Sécurité sociale à l’État. Le travailleur ne reçoit pas une retraite du gouvernement. Au lieu de cela, pendant sa période d’activité son employeur dépose automatiquement 10 % du salaire mensuel sur le compte épargne-retraite individuel du travailleur. Ce pourcentage s’applique seulement aux premiers 22 000 dollars de revenu annuel. Par conséquent, à mesure que les salaires augmentent avec la croissance de l’économie, le volume de l’épargne obligatoire du système de retraite diminue.

    Un travailleur peut payer 10 % supplémentaire de son salaire mensuel, qui en tant qu’épargne volontaire, est aussi déductible des impôts sur le revenu. Généralement un travailleur payera plus de 10 % de son salaire s’il veut partir plus tôt à la retraite ou obtenir une pension plus élevée.

    Un travailleur choisit l’une des entreprises privées d’administration de fonds de retraites (Administradoras de Fondos de Pensiones, AFPs) pour gérer son compte épargne-retraite. Ces entreprises ne peuvent pas s’engager dans d’autres activités et sont soumises à la réglementation gouvernementale dans le but de garantir un portefeuille diversifié et à risque peu élevé afin de prévenir le vol ou la fraude. Une entité gouvernementale indépendante, une Superintendence des AFP hautement technique, assure la surveillance. Bien sûr, c’est la libre entrée à l’industrie des AFP.

    Chaque AFP gère l’équivalent du fonds mutuel qu’elle investit en actions et obligations. Les décisions d’investissement sont prises par les AFP. La réglementation gouvernementale détermine seulement les limites du pourcentage maximal, pour les types d’instruments spécifiques et pour la diversification du portefeuille. L’esprit de la réforme est que ces régulations soient réduites constamment avec le temps et avec l’acquisition de l’expérience des AFP. Il n’y a aucune obligation d’investir dans le gouvernement ni dans d’autres types d’engagements. Légalement les AFP et le fonds mutuel qu’elles gèrent sont deux entités séparées. Ainsi les actifs du fonds mutuel, qui sont les investissements des travailleurs, ne sont pas affectés en cas de faillite de l’AFP.

    Les travailleurs sont libres de passer d’une AFP à une autre. Pour cette raison, il y a une compétition entre les entreprises afin d’assurer un gain plus important sur les retours d’investissements, un meilleur service clientèle ou une commission moins élevée. On donne à chaque travailleur la libreta, le petit carnet d’épargne-retraite, et tous les trois mois il reçoit un état régulier l’informant du montant accumulé sur son compte de retraite et combien son fonds investi lui rapporte. Le carnet porte le nom du travailleur, il lui appartient, et sera utilisé pour payer sa pension retraite (avec une disposition de versement au dernier vivant).

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  106. Comme cela pouvait être attendu, les préférences individuelles au sujet de l’âge diffèrent autant que les autres préférences. Certaines personnes veulent travailler toute leur vie, d’autres attendent la retraite avec impatience afin de se livrer à leur vraie vocation ou leur passe-temps favori comme l’écriture ou la pêche. L’ancien système de retraite par répartition ne permettait pas la satisfaction de telles préférences, excepté à travers la pression collective pour avoir, par exemple, une retraite anticipée pour une puissante circonscription électorale. C’était un plan unique qui imposait un prix au bonheur humain.

    D’un autre côté, le système de retraite par capitalisation permet aux préférences individuelles d’être traduites en décisions individuelles qui produiront le résultat désiré. Dans les succursales de nombreuses AFP, il y a des sympathiques informaticiens qui permettent aux travailleurs de calculer la valeur attendue de leur future pension, basée sur l’argent de son compte et sur l’année à laquelle il désire prendre sa retraite. Ou bien le travailleur peut déterminer le montant de la retraite qu’il espère recevoir et demander à l’ordinateur combien il doit déposer chaque mois s’il veut se retirer à un âge précis. Une fois qu’il a la réponse, il demande simplement à son employeur d’enlever ce nouveau pourcentage à son salaire. Bien sûr, il peut ajuster ces chiffres avec le temps par rapport au rendement actuel de son fonds de retraite. Le point le plus important est que le travailleur peut déterminer le montant de sa pension désirée et l’âge de sa retraite aussi simplement que quelqu’un qui commande un tailleur sur mesure.

    Comme noté ci-dessus, les contributions du travailleur sont déductibles des impôts sur le revenu. Le rendement du compte épargne-retraite est sans taxation. À la retraite, quand les fonds sont retirés, les taxes sont payées suivant la tranche d’impôt sur le revenu du moment.

    Le système chilien de retraite par capitalisation inclut autant les employés du secteur privé que ceux du secteur public. Les seuls exclus sont les membres de la police et des forces armées. Comme dans d’autres pays, les systèmes de retraite sont une part de leur salaire et de leur condition de travail. Selon mon avis, mais pas encore le leur, ils feraient mieux de quitter ce système pour un compte épargne-retraite. Tous les autres employés doivent posséder un compte épargne-retraite. Les travailleurs en nom propre peuvent entrer dans le système s’ils le désirent, ce qui crée un stimulant pour les travailleurs irréguliers afin de rejoindre l’économie régulière.

    Une fois l’âge de la retraite atteint et son compte épargne-retraite épuisé, un travailleur qui a cotisé au moins 20 ans mais dont la retraite est en dessous de la pension minimale légale reçoit une pension de l’État. Ce qui doit être souligné ici : personne n’est défini comme étant pauvre a priori. Seulement a posteriori, après que sa période d’activité a cessé et que son compte épargne-retraite soit épuisé, un retraité pauvre reçoit une subvention de l’État. Ceux qui n’ont pas 20 ans de cotisation peuvent demander une retraite de l’État à un niveau beaucoup moins élevé.

    Le système de retraite par capitalisation inclut aussi une assurance contre le décès prématuré et l’incapacité. Chaque AFP assure ce service à ses clients en souscrivant un assurance vie et une couverture d’invalidité auprès d’une entreprise d’assurance vie privée. Cette couverture est payée par une cotisation supplémentaire d’environ 2.9 % du salaire qui inclut la commission de l’AFP.

    Le niveau d’épargne minimum obligatoire de 10 % était calculé sur l’hypothèse d’un revenu net moyen de 4 % durant la période d’activité. Un travailleur type devrait avoir assez d’argent sur son compte épargne-retraite afin d’obtenir une retraite équivalente à 70 % de son salaire de fin de carrière.

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  107. Le soi-disant âge légal de la retraite est de 65 ans pour les hommes et de 60 ans pour les femmes. Ces âges de retraite, traditionnels dans le système de retraite par répartition, n’ont pas été discutés dans la réforme de privatisation car ils ne représentent pas un critère fondamental dans le nouveau système. Mais la notion de retraite dans le système par capitalisation diffère de celle du système traditionnel. Premièrement les travailleurs peuvent continuer à travailler après leur retraite. S’ils le font, ils perçoivent la retraite que leur capital accumulé rend possible et il ne leur est plus demandé de cotiser à un plan. Deuxièmement, les travailleurs qui ont une épargne suffisante sur leur compte, afin de percevoir une pension acceptable, peuvent choisir de prendre une retraite anticipée quand ils le veulent (tant que celle-ci est plus élevée que la retraite minimale soit 50 % du salaire moyen des 10 dernières années).

    Ainsi, le seuil des 65-60 n’est pas un aménagement rigide du système. À moins qu’un travailleur n’ait choisi de partir plus tôt à la retraite, c’est-à-dire, qu’il ait commencé à retirer son argent comme une retraite mensuelle, il doit continuer à cotiser 10 % sur son compte épargne-retraite jusqu’à ce qu’il atteigne cet âge. Cependant, le travailleur doit atteindre le seuil de l’âge pour avoir droit à la subvention de l’État qui garantit une retraite minimale.

    Mais en aucun cas il n’y a obligation de cesser une activité, quel que soit l’âge, ni obligation de continuer à travailler ou à épargner pour la retraite une fois que vous vous êtes assurés une pension confortable comme décrite ci-dessus.

    À la retraite, un travailleur a le choix entre deux options de paiement.

    Dans le premier cas, le retraité peut utiliser le capital de son compte épargne-retraite pour acheter une annuité à une compagnie privée d’assurance vie. La pension viagère garantit un revenu mensuel, indexé sur l’inflation, plus les profits destinés aux personnes à charge du travailleur (il y a des obligations indexées disponibles sur le marché capital chilien afin que les compagnies puissent investir en conséquence).

    Dans le second cas, le retraité peut laisser ses fonds sur un compte épargne-retraite et effectuer des retraits programmés soumis aux limites basées sur l’espérance de vie du retraité et de ses ayants droit. Dans le dernier cas, s’il meurt, les fonds restant sur son compte constituent une part de son patrimoine.

    Dans les deux cas il peut retirer comme une somme forfaitaire le capital en plus duquel il a besoin pour obtenir une annuité ou un retrait programmé équivalent à 70 % de ses derniers salaires.

    Le système de retraite par capitalisation résout le problème typique du système de retraite par répartition en respectant la démographie du marché du travail : dans une population vieillissante, le nombre de travailleurs par retraité baisse. Sous le système de retraite par capitalisation, la population active ne paie pas pour la population à la retraite. Donc, en contraste avec le système de retraite par répartition, le potentiel pour le conflit intergénérationel et la faillite éventuelle sont évités. Le problème des retraites qui ne sont pas fondées, auquel fait face un grand nombre de pays, n’existe pas dans le système de retraite par capitalisation.

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  108. Le contraste avec les systèmes de retraite privés basés sur les sociétés : généralement ils imposent des pénalités aux travailleurs qui partent avant un nombre donné d’années et qui quelquefois aboutissent à la faillite de leur fonds de retraite. Les travailleurs sont privés en même temps de leur emploi et de leur droit à la retraite. Le système de retraite par capitalisation est lui complètement indépendant de la compagnie qui emploie les travailleurs. Puisque le compte épargne-retraite est lié au travailleur et non à la compagnie, le compte est complètement transportable. Étant donné que le fonds de retraite doit être investi en valeurs négociables, le compte épargne-retraite a une valeur journalière et par conséquent il est facile de le transférer d’une AFP vers une autre. Le soucis du job lock est complètement écarté. La mobilité du travail n’est pas un problème, que ce soit à l’intérieur du pays ou internationalement. Le système de retraite par capitalisation crée une flexibilité du marché qui ni ne prime ou ni ne pénalise les immigrés.

    Un système de retraite par capitalisation est aussi beaucoup plus efficace et facilite une flexibilité du marché du travail. En fait, les individus, tout spécialement les femmes et les jeunes, décident de plus en plus de travailler seulement quelques heures par jour ou d’interrompre leur activité. Dans le système de retraite par répartition, ces manières flexibles de travailler engendrent des problèmes quand il faut combler les contributions manquantes. Ce qui n’est pas le cas dans le plan des comptes épargne-retraite où l’arrêt et la reprise des cotisations ne sont pas du tout un handicap.

    La transition

    Un des défis est de définir le système permanent de retraite par capitalisation. L’autre est de réussir la transition dans le système de retraite par capitalisation pour les pays qui ont déjà un système de retraite par répartition. La transition doit prendre en compte les caractéristiques particulières de chaque pays, bien sûr, spécialement les contraintes posées par la situation budgétaire.

    Au Chili nous avons établi trois règles de base pour la transition :

    1. Le gouvernement garantit à ceux qui reçoivent déjà leur retraite que leur pension ne serait pas affectée par cette réforme. Cette règle fut importante car les services de la Sécurité sociale ne recevront évidemment plus les cotisations des travailleurs qui sont passés dans le nouveau système. Par conséquent, les autorités ne seront plus capable de continuer à payer les retraités avec ses propres ressources. Mais avant tout, il serait injuste pour les personnes âgées de modifier leur avantages ou leurs espérances à ce moment de leur vie.

    2. Le choix de rester ou de passer dans le nouveau système de retraite par capitalisation a été donné à tous les travailleurs qui cotisaient déjà au système de retraite par répartition. Un « bon de reconnaisance » avait été donné et déposé dans le nouveau compte épargne-retraite à ceux qui avaient quitté l’ancien système. Le bon était indexé et porte à un taux de 4 %. Le gouvernement paye le bon seulement quand le travailleur atteint l’âge légal de la retraite. Puis, les bons sont négociés sur un marché secondaire, ce qui leur permet d’être utilisés pour les retraites anticipées. Ce bon réflète les droits du travailleur déjà acquis dans le système de retraite par répartition. De plus un travailleur qui cotise depuis des années n’a pas à repartir de zéro quand il entre dans le nouveau système.

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  109. 3. Tous les nouveaux arrivants sur le marché du travail étaient obligés d’entrer directement dans le système de retraite par capitalisation. La porte était close pour le système de retraite par répartition car il n’était pas soutenable. Cette demande assurait la fin complète de l’ancien système une fois que le dernier travailleur avait atteint l’âge de la retraite (à partir de ce moment et pour une période limitée, le gouvernement doit payer seulement les pensions au retraités de l’ancien système). Cette règle est importante car le moyen le plus efficace de réduire l’emprise du gouvernement dans notre vie est de mettre complètement fin aux programmes, et non seulement de les repousser jusqu’à ce qu’un nouveau gouvernement puisse plus tard les ressuciter.

    Après plusieurs mois de débat national sur les réformes proposées, une communication et un effort d’éducation pour les expliquer au peuple, la loi sur la réforme de la retraite a été ratifiée le 4 novembre 1980.

    Afin de donner un accès égal à la création des AFP à tous ceux qui auraient pu être intéressés, la loi établit une période de six mois durant laquelle aucune AFP ne pouvait commencer d’opérations (ni même faire de publicité). De plus, l’industrie de retraite par capitalisation est unique étant donné qu’elle a un jour de conception précis : le 4 novembre 1980 ; et une date anniversaire précise : le 1er mai 1981.

    Au Chili, comme dans la plupart des pays, le 1er mai est la fête du travail. Le choix de cette date ne fut pas une coïncidence, les symboles sont importants, et cette date de naissance permet aux travailleurs de célébrer le 1er mai, non pas comme un jour de lutte des classes mais comme le jour où ils furent libres de choisir leur propre système de retraite et de se libérer des chaines du système gouvernemental de sécurité sociale.

    En même temps que la création du nouveau système de retraite par capitalisation, tous les salaires bruts furent redéfinis afin d’inclure la plupart des cotisations de l’employeur de l’ancien système de retraite. Le reste des cotisations de l’employeur fut changé en une taxe transitoire du travail afin d’aider au financement de la transition, et une fois que cette taxe fut éliminée progressivement, comme établie dans la loi de réforme sur les retraites, le coût de l’employeur à l’embauche a diminué. La cotisation du travailleur fut déduite du salaire brut plus élevé. Du fait que le total de la cotisation fut plus faible dans le nouveau système que dans l’ancien, les salaires nets de ceux qui passèrent dans le nouveau système augmentèrent d’environ 5 %.

    De ce fait, l’illusion que l’employeur et le travailleur contribuent à la Sécurité sociale, un stratagème qui permet une manipulation politique de ces taux, est terminée. Du point de vue économique, les travailleurs supportent presque l’entière charge des taxes sur salaire car l’offre de travail globale est trop inélastique. Aussi, toutes les cotisations sont payées en fin de compte par la productivité marginale du travailleur et les employeurs doivent prendre en considération tous les coûts du travail lors de leur décision d’embauche et de salaire, tantôt appelée cotisation salariale ou Sécurité Sociale. En renomant les cotisations de l’employeur, le système rend évident que toutes les cotisations sont faites par le salarié. Dans ce scénario, le niveau du salaire final est bien sûr déterminé par le jeu des forces du marché.

    Le financement de la transition est une question technique très complexe, et chaque pays doit adapter le problème suivant ses propres circonstances. En 1980, la dette implicite de la retraite par répartition du Chili avait été estimée à environ 80 % du PIB. La valeur de la dette avait été réduite par une réforme du vieux système en 1978, spécialement grâce à la rationalisation de l’indexation, l’élimination des régimes spéciaux et l’allongement de l’âge de la retraite.

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  110. Une étude récente de la Banque Mondiale (1994) établit que « le Chili montre qu’un pays avec un système bancaire raisonnablement compétitif, un marché de dettes qui fonctionne bien, et un degré acceptable de stabilité macroéconomique peut financer des déficits considérables de transition sans importantes répercussions sur les taux. »

    Le Chili utilisa cinq méthodes pour financer les coûts fiscaux à court terme de la transition vers le système de retraite par capitalisation :

    1. Dans le bilan de l’État, dans lequel chaque gouvernement devrait montrer son actif et son passif, les dettes des retraites de l’État furent compensées jusqu’à un certain point par les ventes des entreprises publiques et autres actifs. La privatisation n’était pas le seul moyen de financer la transition mais avait de nombreux atouts supplémentaires tels que l’augmentation de l’efficacité, le développement des propriétés et la dépolitisation de l’économie.

    2. Étant donné que la cotisation nécessaire, dans le système de capitalisation pour financer les niveaux de retraite adéquats, est généralement inférieure aux taxes salariales en vigueur, une toute petite différence entre elles peut être utilisée comme taxe transitoire temporaire sans réduire les salaires nets ou augmenter le coût du travail chez l’employeur.

    3. En utilisant les dettes, le coût de la transition peut être partagée par les générations futures. Au Chili, environ 40 % du coût a été financé par l’émission des obligations publiques avec des taux d’intérêt du marché. Ces obligations ont été achetées en majeure partie par les AFP comme part de leur portefeuille d’investissement et la « dette pont » devrait être complètement remboursée lorsque les retraités de l’ancien système ne seront plus parmis nous.

    4. Le besoin de financer la transition fut un puissant stimulant de réduction des gaspillages gouvernementaux. Depuis des années le directeur budgétaire a été capable d’utiliser cet argument afin d’éliminer de nouvelles dépenses ou de réduire les programmes gouvernementaux complètement inutiles.

    5. L’augmentation de la croissance économique, promue par le système de retraite par capitalisation, a favorisé substanciellement l’augmentation des revenus des taxes, particulièrement ceux des taxes sur la valeur ajoutée. Seize ans seulement après la réforme des retraites, le Chili s’est trouvé avec un budget fiscal excédentaire.

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  111. Les résultats

    Les comptes épargne-retraite ont déjà accumulé un fonds d’investissement de 30 milliards de dollars, un large regroupement inhabituel de capitaux produits intérieurement pour un pays en voie de développement de 14 millions d’habitants et un PIB de 70 milliards.

    Ce capital investi à long terme a non seulement aidé à consolider la croissance économique mais aussi à stimuler le développement des marchés financiers et des institutions efficients. La décision de créer d’abord le système de retraite par capitalisation et en un deuxième temps de privatiser les grandes compagnies publiques eut pour résultat un cercle vertueux. Cela donna la possibilité aux travailleurs de bénéficier librement de l’augmentation collossale en productivité des entreprises privatisées, à travers des prix élevés de la bourse qui a augmenté le rendement de leur compte épargne-retraite, et leur a permis de saisir une grande part de la richesse créée par le processus de privatisation.

    Il existe environ 15 sociétés d’administration de fonds de pension. Certaines appartiennent aux conglomérats des assurances ou des banques. D’autres sont des travailleurs indépendants ou liés aux syndicats des travailleurs ou à des associations spécifiques à l’industrie ou au commerce. Certaines incluent la participation de compagnies financières internationales telles que AIG, Aetna ou Banco Santander. Plusieurs de ces grandes AFP sont elles-mêmes publiquement cotées à la bourse chilienne, et récemment, l’une d’entre elles a lancé « American Depository Receipts » à Wall Street, aidé par le récent A- degré de credibilité de l’obligation suprême chilienne.

    Un des résultats clés du nouveau système a été l’augmentation de la productivité du capital et ainsi du taux de croissance de l’économie chilienne. Le système de retraite par capitalisation a rendu le marché du capital plus efficace et a influencé sa croissance sur les seize dernières années. Les vastes ressources administrées par les AFP ont encouragé la création de nouvelles formes d’outils financiers en même temps qu’elles rehaussaient les autres déjà existants, mais qui n’étaient pas complètement développés. Une autre des contributions de la réforme des retraites au Chili, vers l’opération d’assainissement et la transparence du marché du capital, a été la création d’une industrie nationale à faible taux et l’amélioration de l’administration des sociétés comerciales. Les AFP nomment des directeurs externes dans les compagnies dans lesquelles ils possèdent des actions.

    Depuis que le système a commencé le 1er mai 1981, la moyenne du gain effectif sur l’investissement a été de 12 % par an (trois fois plus par rapport aux 4 % du rendement prévu). Bien sûr, le rendement annuel a montré des fluctuations qui sont intrinsèques au marché libre. Elles s’étendent de moins 3 % à plus 30 % en termes réels, mais l’importance du rendement est la moyenne à long terme.

    Les pensions sous le nouveau système ont été beaucoup plus élevées que sous l’ancien système, qui en plus nécessitait une taxe sur le salaire d’environ 25 %. Par rapport à la récente étude de Sergio Baeza (1995), les retraités des comptes épargne-retraite reçoivent en moyenne une pension égale à 78 % de leur revenu annuel le plus important sur les dix dernières années de travail. Comme mentionné auparavant, les retraités peuvent retirer la somme globale de leur « excédent d’épargne » soit, plus de 70 % du plafond salarial. Si la valeur monétaire était incluse dans le calcul de la valeur de la retraite, la valeur totale approcherait le 84 % du revenu de la période active. Les bénéficiaires de pension d’invalidité reçoivent eux aussi, en moyenne, 70 % de leurs revenus.

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  112. Par conséquent, le nouveau système de retraite a contribué de façon significative à la réduction de la pauvreté par l’augmentation du nombre des pensions de vieillesse, des bénéficiaires et d’invalidité, et par l’effet indirect mais néanmoins très puissant qui favorise la croissance économique et l’emploi.

    Ce nouveau système a aussi éliminé les injustices de l’ancien. Selon la sagesse populaire, les plans de retraite par répartition redistribuent les revenus des riches vers les pauvres. Bien que les études récentes ont montré que certains caracteristiques des revenus spécifiques des travailleurs et de l’opération du système politique sont pris en compte, les projets publics redistribuent généralement les revenus aux riches, et spécialement aux groupes de travailleurs les plus puissants.

    Conclusion

    Il n’est pas surprenant que le système de retraite par capitalisation au Chili se soit démontré si populaire et a aidé à promouvoir la stabilité sociale et économique. Les travailleurs apprécient la justesse du système, et ils ont obtenu à travers leur compte retraite un jalon direct et visible dans l’économie. Puisque les fonds de retraite privée possèdent une part importante des actions en bourses des plus grandes compagnies du Chili, les travailleurs sont actuellement des investisseurs dans les fortunes du pays.

    Quand en 1981, le système de retraite par capitalisation a été inauguré au Chili, les travailleurs ont eu le choix d’entrer dans le nouveau système ou de rester dans l’ancien. 500 000 travailleurs chiliens (un quart de la population active) ont choisi de rejoindre le nouveau système dès le premier mois d’opération, bien plus que les 50 000 qui étaient attendus. Aujourd’hui, plus de 90 % des travailleurs chiliens qui étaient dans l’ancien système sont passés dans le nouveau. Dès 1995, cinq millions de Chiliens possédaient un compte épargne-retraite, bien qu’ils n’appartenaient pas tous à la population active, aux travailleurs à temps plein, et bien plus, ils ne contribuaient pas tous les mois.

    Le point le plus important est lorsque le choix leur est donné, les travailleurs choisissent de façon accablante le libre marché, même si on touche à un monstre sacré tel que la Sécurité sociale.

    À mesure que le système de retraite de l’État disparaît, les politiciens ne décideront plus désormais si les versements de retraite ont besoin d’être augmentés et de quel montant ou pour quelles catégories. Ainsi, les retraites ne sont plus désormais une source de conflits politiques et de démagogie, comme autrefois, pendant les périodes électorales. La pension de retraite d’une personne dépendra de son seul travail et du succès de l’économie et non du gouvernement ni des pressions causées par les groupes d’intérêts spéciaux.

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  113. Pour les Chiliens, les comptes épargne-retraite représentent maintenant un réel et visible droit de propriété, et ce sont les premières sources de sécurité pour la retraite. En fait, après seize ans de mise en application du nouveau système, le bien principal du travailleur chilien type n’est pas sa voiture ni même sa petite maison (qui est surement encore hypothéquée), mais le capital sur son compte épargne-retraite.

    Finalement, le système de retraite privée a eu une conséquence politique et culturelle très importante. L’accablante majorité des travailleurs chiliens qui choisirent de passer dans le nouveau système le firent plus rapidement que les Allemands de l’Est ne passèrent à l’Ouest après la chute du mur de Berlin. Ces travailleurs décidèrent librement d’abandonner le système de l’État alors que les dirigeants syndicaux et les anciennes classes politiques le leur déconseillerent. Les travailleurs sont très attentifs aux sujets qui touchent leur vie de près, tels que les retraites, l’éducation, la santé, et ils prennent leurs décisions en tenant compte de leur famille et non pas des courants politiques.

    En fait, le nouveau système de retraite donne aux Chiliens un jalon dans l’économie. Un travailleur chilien type n’est pas indifférent au comportement de la bourse ou aux taux d’intérêt. Par intuition, il sait qu’un mauvais ministre des Finances peut réduire la valeur de ses droits à la retraite. Quand les travailleurs ressentent qu’ils possèdent une part du pays, non pas au travers des patrons ou du Politburo, ils sont bien plus attachés au libre marché et à la société libre.

    Ceci est la petite histoire d’un rêve qui est devenu réalité. La dernière leçon est que seulement les révolutions qui réussissent sont celles qui font confiance aux individus et aux merveilles que ces derniers peuvent faire quand ils sont libres.

    https://www.contrepoints.org/2024/07/21/8859-quand-le-chili-indiqua-la-voie

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    1. Jusqu'à l'arrivée du kényan, à la Maison Blanche les Américains plaçaient eux-mêmes et sans obligations leur argent en banques et le reprenaient quand ils voulaient. C'était donc un système de placement d'épargne qui servait de retraite prise à l'âge que l'on veut ! Zéro prélèvement gouvernemental lors du décès, l'épouse héritait de la totalité des sommes déposées.
      Mais depuis le monde a changé ! Les caisses de retraites ont été vidées ! Pillées jusqu'au dernier sou ! et, ils [les escrocs de la dictature en place] espèrent que les immigrés (au chômage !) vont cotiser !!

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