Les chiffres officiels confirment : il n'y a pas de « pandémie Covid »
Hannibal Genséric Réseau International lun., 26 avr. 2021 14:33 UTC
Selon l'Office des Statistiques nationales (ONS) de Grande Bretagne, il n'y a pas de « pandémie » ni même une flambée de décès excessifs. Un coup d'œil sur les taux de mortalité de l'ONS au cours des trente dernières années révèle peu de différences significatives entre le nombre de décès au plus fort de la prétendue « pandémie » de Covid-19 en 2020 et le nombre de décès en 1990, ou même n'importe quelle année de ces 30 dernières années.
Oui, il y a eu 43 156 décès de plus en 2020 qu'en 1990, mais c'est uniquement parce que la population était proportionnellement plus importante. Au cours de cet intervalle, la population britannique avait augmenté de plus de 9 millions par rapport au chiffre de 1990.
Donc, lorsque vous en tenez compte dans l'équation, il n'y a pas de croissance appréciable du nombre de décès excessifs. En d'autres termes, en termes de données statistiques concrètes, il n'y a pas de pandémie. Malgré tout le tapage, la « pandémie » de Covid-19 est une crise qui a été en grande partie créée par des politiciens marrons corrompus par Big Pharma et autres super riches, travaillant en collaboration avec des médias corrompus et dociles.
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Durant les 30 années, le taux moyen de morts pour 100 mille personnes est de 983. Les taux de morts dans les années 1990 à 2002 sont plus élevés que celui de l'année 2020, année de la fausse pandémie.
Bien que le Royaume-Uni soit censé être en proie à une « pandémie » mortelle, il y a eu plus de morts en 1990 que l'année dernière, le début de la « pandémie » de Covid-19. Ce n'est pas une spéculation. C'est officiel, ces chiffres proviennent de l'Office des Statistiques nationales.
En d'autres termes, Covid-19 est en grande partie une « pandémie hystérique » créée par les médias. Cela ne veut pas dire que Covid-19 n'est pas réel. C'est simplement que l'ampleur et la gravité de son impact sont largement exagérées, pour tenter de pousser les masses à se faire vacciner.
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Comparaison avec de vraies pandémies
Version globalisée de l'épidémie, la pandémie se caractérise par une propagation rapide et un taux de mortalité élevé. Les grandes pandémies ont causé un taux de morts allant de 30% à 50% des vivants. Avec la COVID, on en est à des taux standards de morts, avec ou sans Covid. Transmises par des virus ou bactéries inconnus à leur époque, les véritables pandémies ont tué des millions de personnes et marqué l'histoire de l'humanité. La peste d'Athènes (-430 à -426 avant J.C)
Première pandémie documentée de l'histoire, la peste d'Athènes est en réalité probablement due à une fièvre thyphoïde. Décrite par l'historien Thucydide, lui-même touché par la maladie, la maladie se manifeste par des fièvres intenses, des diarrhées, des rougeurs et des convulsions. Venue d'Éthiopie, elle frappe ensuite l'Égypte et la Libye, puis arrive à Athènes au moment de siège de ville de Sparte, lors de la guerre du Péloponnèse. On estime qu'un tiers de la ville, soit 200 000 habitants, vont périr lors de cette épidémie qui marquera le début du déclin d'Athènes.
Là encore, cette pandémie n'est pas due à la peste mais à la variole. Elle tient son nom de la dynastie des Antonins, dont est issu l'empereur Marc-Aurèle, qui régnait alors sur l'empire romain. La pandémie débute à la fin de l'année 165 en Mésopotamie, durant la guerre contre les Parthes et atteint Rome en moins d'un an. Selon les estimations, elle aurait causé 10 millions de morts entre 166 et 189, affaiblissant considérablement la population romaine. La variole, causée par un virus et caractérisée par des rougeâtres, des diarrhées et vomissements, a été déclarée éradiquée en 1980.
La peste noire (1347-1352)
Après avoir sévi en Chine, la pandémie de peste noire arrive en 1346 en Asie centrale, parmi les troupes mongoles assiégeant le port de Caffa, sur la mer Noire, tenu par des marchands génois. La maladie, se manifestant par d'horrible bubons, se propage ensuite à l'Afrique du Nord puis à l'Italie et à la France, où elle arrive par le port de Marseille via des navires génois. On estime que cette épidémie, aussi surnommée « la grande peste », a fait entre 25 et 40 millions de morts en Europe, soit entre un tiers et la moitié de sa population de l'époque.
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La grippe espagnole (1918-1919)
Causée par un virus de type A H1N1 particulièrement virulent, la grippe espagnole est en réalité d'origine asiatique. Elle arrive ensuite aux États-Unis, puis traverse l'Atlantique par les soldats venus aider la France. Si elle est qualifiée de grippe espagnole, c'est parce que le pays, non soumis à la censure et à la guerre, fait état des premières nouvelles alarmantes. Lorsqu'elle s'éteint, en avril 1919, le bilan est effroyable. La grippe espagnole a tué 20 à 30 millions de personnes en Europe et jusqu'à jusqu'à 50 millions à l'échelle mondiale, n'épargnant pratiquement aucune région du globe. On estime qu'un tiers de la pollution mondiale a été infecté. Le choléra (1926-1832)
Endémique depuis plusieurs siècles dans le delta du Gange en Inde, le choléra gagne la Russie en 1930, puis la Pologne et Berlin. Il débarque en France en mars 1832 via le port de Calais, puis arrive à Paris. Se manifestant par des diarrhées brutales et des vomissements, le choléra (dont on ne connait alors pas la cause, la bactérie Vibrio choleræ) entraîne une déshydratation rapide, aboutissant parfois à la mort en quelques heures. L'épidémie causera près de 100 000 morts en moins de six mois en France, dont 20 000 à Paris. Elle va ensuite gagner le Québec via les immigrants irlandais, où elle fera également des ravages.
Le National Health Service britannique passe aux aveux sur le nombre de décès liés au Covid-19
Nicole Delépine Mondialisation.ca lun., 26 avr. 2021 22:44 UTC
Après le CDC (1), le NHS [système de la santé publique du Royaume-Uni] (2) britannique passe aux aveux sur le nombre de décès liés au Covid-19. « Ils vous mentent - Les données officielles du NHS montrent que seulement 3 542 personnes sont réellement mortes de COVID-19 » [3]
" Restez à la maison pour nous aider a sauver des vies " À l'instar des Français, les Anglais ont été confinés pendant de longs mois avec, comme chez nous, le slogan mensonger « sauvez des vies » destiné à calmer les peuples. Le journal « the Daily News » revient sur les milliers de vies perdues faute de soins, faute de travail et de ruines des entreprises.
Le peuple anglais (comme le nôtre) a toléré l'intolérable pour sauver des vies. On lui a fait croire que 125 000 personnes étaient décédées directement du Covid-19 et que beaucoup plus seraient décédés sans les mesures de confinement. En France, le Président surfe sur les « cent mille morts » qui sont aussi très contestables et contestés.
Aujourd'hui l'énormité du mensonge dont ont été victimes les Anglais est démontrée par l'examen des données officielles du NHS résumées dans le document « Covid-19 et décès totaux » que les journalistes du Daily ont examiné en détail.
Un tableau fournit la ventilation des 86 308 décès présumés de Covid-19 survenus jusqu'au 31 mars 2021 en nombre de personnes ayant une maladie préexistante et en personnes dépourvues de maladie préexistante.
Sur les 86 308 décès survenus chez des personnes avec résultat positif au test de dépistage du « Covid », 82 766 le sont des suites de conditions préexistantes. Seulement 3 542 personnes sans comorbidités connues sont mortes.
Cela ne signifie pas que les 3 542 morts sans conditions préexistantes connues soient effectivement morts de Covid-19. Cela signifie simplement qu'ils n'avaient pas d'autres maladies connues susceptibles de les tuer. Il est tout à fait possible qu'ils soient morts d'autres causes, comme d'un accident de voiture par exemple.
ENREGISTREMENT DE TOUS DÉCÈS DE PATIENTS POSITIFS EN COVID-19
C'est tout à fait possible car les ordres ont été d'emblée d'enregistrer les décès « comme Covid » pour toute personne décédée dans les 28 jours suivant la réception d'un test positif pour le SRAS-CoV-2 !
Sur les 82 766 décès survenus dans les hôpitaux chez des personnes avec test positif pour le SRAS-CoV 2 et affections préexistantes, 14 090 d'entre eux avaient une maladie rénale chronique. « Cela représente plus de 11,2 % des 125 000 morts qui ont été utilisés pour justifier la tyrannie dictatoriale de l'année écoulée ».
Le NHS liste 62 054 de ces conditions sous-jacentes comme « autres » ; 13 391 des 82 766 décès étaient dus à une maladie pulmonaire chronique, 13 495 étaient atteints de démence et 8 544 avaient une maladie cardiaque, tous présumés « Covid ».
602 DÉCÈS CHEZ LES MOINS DE 60 ANS SANS MALADIES PREEXISTANTE !
Le plus grand nombre de décès à test positif (45 127) est survenu chez les personnes âgées de plus de 80 ans souffrant de maladies graves préexistantes.
Chez les personnes âgées de 60 à 79 ans à test positif et comorbidités, 31 522 décès ont été comptabilisés.
Chez les moins de 60 ans, depuis le début de l'épidémie, dans les hôpitaux anglais, il n'y a eu que 602 décès survenus chez des personnes testées positives sans comorbidités, et 5 569 chez des personnes testées positives et souffrant de maladie préexistante.
Le Daily se demande l'intérêt des autorités anglaises d'avoir bloqué toute une population qui ne risquait pratiquement rien du Covid-19.
« Les écoliers ont vu leur éducation stoppée, les adolescents ont vu leur jeune vie ruinée, de nouveaux parents ont été laissés isolés pour lutter seuls sans l'aide de leurs familles, la liste est sans fin ».
La majorité des décès qui peuvent effectivement être dus au Covid-19 (seulement 3 542 en tout) se sont produits, dans la très grande majorité chez des personnes âgées de plus de 75 ans.
Le gouvernement britannique a fourni une carte des « décès survenus dans les 28 jours suivant un test positif » par date de décès et par âge.
Les décès covid les plus fréquents se sont produits chez les personnes âgées de 90 ans et plus.
Le groupe d'âge suivant avec le plus de décès étant 85-89, puis 80-84 et ainsi de suite. Il y a une diminution générale du nombre de décès jusqu'à environ 65-69 ans.
Ensuite nous voyons une chute spectaculaire (proche de zéro) pour les personnes âgées de moins de 60 ans.
« L'espérance de vie moyenne au Royaume-Uni est de 81 ans. Pourtant, le Royaume-Uni a appliqué la tyrannie dictatoriale, détruit l'économie, décimé les entreprises et les moyens de subsistance des gens et créé un flot de problèmes de santé mentale pour éviter la mort de gens qui ont vécu plus longtemps que l'espérance de vie moyenne de 81 ans ».
IT'S ALL A LIE Le 13 avril 2021 dans « Breaking News »
L'enquête sur les données Office national des statistiques National Health Service pour l'année de Covid-19 révèle le plus grand mensonge du siècle.
- voir tableau sur site -
Notes :
[1] Center for disease control and prevention USA
[2] National Health Service (NHS) système de la santé publique du Royaume-Uni, fournit l'essentiel des soins en Grande-Bretagne, fondée en 1948
[3] They're lying to you - Official NHS data shows only 3.5K have died of COVID-19 - Daily Expose
Deux personnes décédées du Covid-19 à Cayenne avaient été vaccinées quelques semaines auparavant
Catherine Lama France Info lun., 26 avr. 2021 18:58 UTC
Deux personnes sont décédées du covid-19 à l'hopital de Cayenne alors qu'elles étaient vaccinées depuis plusieurs semaines. Elles étaient dans un état de grande fragilité. Les autorités sanitaires préconisent une troisième dose de vaccin pour les patients sévèrement immunodéprimés.
Commentaire : Pour les achever à coup sûr, au cas où deux doses n'auraient pas suffi ?
Ces deux victimes du covid-19 présentaient "des antécédents de lourdes comorbidités et un état de très grande fragilité" et pour l'une d'elle "un trouble du système immunitaire".
La vaccination intervenue au mois de février n'aura pas suffi à les protéger. Aussi l'ARS préconise pour ce type de patients sévèrement immunodéprimés, l'injection d'une troisième dose de vaccin 4 semaines après qu'ils aient reçu la seconde dose.
Des analyses sont en cours pour déterminer la souche exacte du virus en cause.
Et si cette « pandémie » n'était qu'une préparation mentale pour la suite ?
agoravox.fr lun., 26 avr. 2021 15:22 UTC
Nous sommes toutes et tous manipulables. Doués d'émotions, conditionnés depuis notre naissance, nous voguons à chaque instant dans une réalité virtuelle où nos illusions (la plupart du temps inconscientes), remplacent le plus souvent la réalité de nos existences. Ce que nous voyons ou pensons est, pour une large majorité du temps, une projection déformée de cette réalité.
Nous avons construit nos croyances et nos certitudes sur la base de connaissances distillées par des êtres plus ou moins bien intentionnés, nous piégeant ainsi dans une prison mentale dont il est difficile de s'extraire.
Il est toujours plus facile de tromper les gens que de les convaincre qu'ils se font fait tromper.
Les techniques de manipulations, les répétitions d'images, de mots, jouent un rôle important dans ce qui s'en vient. Car, après réflexion, j'ai le sentiment que le Covid est un exercice de préparation mentale.
« Encore un article de complotiste » diront certains. Peut-être. Peut-être pas. Je ne fais que conjecturer ici.
La genèse de ma petite bafouille est liée à une des dernières vidéos de Project Veritas (https://www.youtube.com/watch?v=Dv8Zy-JwXr4). Le sujet principal concerne la propagande anti-Trump déployée par CNN durant la dernière campagne présidentielle mais, ce qui m'a surtout interpelé, c'est l'aveu concernant l'utilisation de « narratif » par les médias et que le prochain concernerait la crise du « changement climatique ».
On peut même parier que le mot changement sera très prochainement renommé en « urgence ». Il faut bien faire sonner l'alarme de catastrophe imminente dans toutes les têtes.
Mettons quand même les choses au clair : Je ne nie pas que le dérèglement climatique existe. Comme je ne nie pas que le Covid 19 existe.
En revanche, l'histoire que l'on nous raconte sur ces deux réalités, dont l'origine de ces crises, est peut-être légèrement, voire beaucoup, « bidouillée » pour arriver à des fins très utiles pour certains.
Ce qui m'a fait tilt c'est de rapprocher la vidéo de Project Veritas à un des derniers articles du voyant Attali (https://www.attali.com/coronavirus-2/la-pandemie-et-apres/). Outre le fait d'apprendre que nous allons devoir subir beaucoup de piqures, nous découvrons surtout que nous devons nous préparer aux prochaines menaces imminentes (tu la sens monter la peur, tu la sens ?).
Le forum de Davos qui avait participé à la répétition générale d'une pandémie en Octobre 2019 avec l'Event 201 (https://www.weforum.org/press/2019/10/live-simulation-exercise-to-prepare-public-and-private-leaders-for-pandemic-response/), est désormais tout orienté vers cet autre enjeu majeur pour 2021 : « Mais malgré les retombées inévitables de COVID-19, ce sont les questions liées au climat qui constituent l'essentiel de la liste des risques de cette année, que le rapport décrit comme "une menace existentielle pour l'humanité". » (https://fr.weforum.org/agenda/2021/01/voici-les-plus-grandes-menaces-mondiales-de-2021/).
Et puis Biden et la clique de mondialistes corrompus ont organisé il y a quelques jours un sommet sur le climat. Si en France le Covid tient encore la population bien sagement à la maison, sourires figés derrière les masques, aux États-Unis, par exemple, certains États ayant repris une vie quasi normale, il faut donc vite remplacer le joujou cassé par un nouveau pour garder la masse des esprits concentrés sur une thématique effrayante.
On apprend que la pandémie a exacerbé les effets dévastateurs du réchauffement climatique (tu la sens monter la peur, tu la sens ?) et qu'il faut donc mettre tout en œuvre pour lutter contre ce fléau (https://www.france24.com/fr/am%C3%A9riques/20210421-pas-de-r%C3%A9pit-en-temps-de-pand%C3%A9mie-pour-le-r%C3%A9chauffement-climatique).
Notre cher Président Macron (si si, il nous coûte très cher) a d'ailleurs récemment twitté que la Finance serait notre alliée (https://twitter.com/EmmanuelMacron/status/1385243093927092230) pour la lutte (finale ?). Rien de moins étonnant pour un ancien banquier.
Factuellement donc, toutes les grandes instances mondiales se mettent en marche pour lutter contre la prochaine plaie qui s'abattra sur le monde.
Et c'est là que le Covid vient tenir son rôle.
Évidemment dans l'histoire de la pandémie il avait le 1er rôle, mais une pandémie ça ne peut pas durer éternellement et comme on a quand même sacrément investi sur lui, on va pas le mettre à la poubelle. Allez Covid tu continues à jouer mais en deuxième ligne.
Une pandémie, c'est utile, c'est pratique car d'un cela permet de se faire un max de thunes rapidement (surtout qu'on nous annonce qu'il faut finalement beaucoup, beaucoup vacciner : 3 doses au lieu de 2 et tous les 6 mois s'il vous plait), de deux cela permet de mettre les gens en condition pour vivre à fond la prochaine histoire qui fait peur. Bouh !
Car pourquoi autant de confinements alors que rien ne prouve factuellement que cela a un impact sur l'épidémie (la Suède, la Corée du Sud sont des contre-exemples) ?
Pourquoi une accélération du contrôle total de la population dans les pays les plus "pollueurs" ?
Ce n'est certes qu'une hypothèse mais je crois qu'avec les restrictions imposées pour la gestion (catastrophique) de la crise sanitaire, on prépare en fait les esprits à accepter les nouvelles règles de vie à venir qui seront imposées sous le prétexte ultime de « sauver la planète ».
► Pour sauver la planète il faudra renoncer à certains plaisirs (ski, consommation de biens non essentiels).
► Pour sauver la planète il faudra accepter de se confiner 2 fois par an pour faire baisser le taux de CO2 (qui deviendrait le nouveau taux d'incidence).
► Pour sauver la planète il faudra accepter une dépopulation.
► Pour sauver la planète il faudra accepter d'être contrôlé tout le temps pour s'assurer qu'on ne nuit pas à notre mère nourricière la Terre.
Vous avez aimé être culpabilisé pour sauver vos papis et mamies et pour ces pauvres âmes en réanimation ? Vous allez adorer porter le lourd fardeau du sort de la planète sur vos épaules !
Les médias joueront ici encore une fois leur rôle de haut-parleur pénible mais efficace, rabâchant matin midi et soir ce qu'il faut croire et penser. Une déformation de la réalité mais pour qui ? Pour quoi ?
C'est le moment de l'article pour faire fonctionner son imaginaire si fertile...
Pas de solution pour échapper aux contes effrayants et mortifères ?
Ce qui peut marcher (par expérience) : 1 : éteindre la télé et la radio (on s'informe en lisant) et utiliser ce nouveau temps libre pour respirer, méditer, reprendre contact avec la (sa) vraie nature.
2 : réfléchir sur la place de ses croyances et le rôle de l'autorité (parentale, institutionnelle) dans sa vie.
3 : lister ce qui est important dans sa vie, ce qui (nous) fait du bien. Poser à l'écrit avec des mots bien choisis la trame qui sert de repère quand les nuages s'amoncellent parfois. Refaire lien avec l'humain car si les politiques et médias, marionnettes du pouvoir caché, cherchent autant à nous diviser à coup de différences de couleur de peau, de religions, de genres, et autres cases de prison, c'est uniquement parce que si nous comprenons enfin notre interconnexion et interdépendance alors aucune histoire qu'ils nous vendraient de force n'aurait de prise sur nous. On pourrait être libre d'être.
Non non et non ! Cette mascarade n'est pas que pour 'appauvrir' les gens et de monter la dette (qui aurait crevé le plafond) au dessus des nuages mais UNIQUEMENT pour tuer régulièrement, méthodiquement et SANS S'ARRÊTER jusqu'à la dernière femme sur Terre et jusqu'au dernier homme ! ILS NE DOIVENT PAS COMPRENDRE que la mort s'avance vers elles et vers eux !
« Crise du Covid » ou comment l'OMS a agi comme un instrument de manipulation mondiale
Guy Boulianne — guyboulianne.com Sott.net lun., 26 avr. 2021 13:02 UTC
Commentaire : Bien que l'article date du mois d'août de l'an 2020, sa justesse — avec le recul — nous a fortement incité à le publier.
Le Dr Maria Jose Martínez Albarracín a été depuis le début l'une des voix les plus claires et les plus fortes en Espagne concernant la fraude, les abus et la manipulation institutionnelle dans la « crise du Covid ». Actuellement à la retraite, elle a été au cours de sa longue carrière professionnelle, professeur à l'université de Murcie en processus de diagnostic clinique et professeur de biochimie, d'immunologie et de techniques analytiques instrumentales dans le cycle de formation professionnelle supérieure du « Laboratoire de diagnostic clinique ».
Elle a gentiment accordé une entrevue par « chat télématique » pour le site internet espagnol Cauac, offrant un contenu d'excellente qualité que nous reproduisons ci-dessous. Certains [hyper]liens ont été fournis par le docteur dans ses réponses, et d'autres ont été ajoutés par la suite pour fournir au lecteur des informations sur des termes ou des institutions avec lesquels elle n'est peut-être pas familière, ainsi qu'un accès direct aux publications scientifiques auxquelles le docteur fait référence.
Le Dr Maria Jose Martínez Albarracín a récemment participé à une importante conférence organisée par l'association « Médicos por la Verdad » (Médecins pour la vérité), remettant en cause la version officielle du Coronavirus. La présentation a été faite dans une salle événementielle du Palacio de la Prensa à Madrid, où plus de 400 personnes étaient présentes.
- voir clip sur site -
Intervention du Dr Maria José Martínez Albarracín sur la chaîne espagnole ElToroTV, parlant de l'inutilité des tests PCR (réaction en chaîne par polymérase), de la fausseté des « patients asymptomatiques » et de la relation entre la maladie et la 5G. Elle conseille de ne pas se faire vacciner jusqu'à ce que le niveau de sécurité soit clair et vérifié.
Entrevue avec le Dr Maria Jose Martínez Albarracín
— Depuis le début de cette crise mondiale, vous avez averti que le récit officiel de la pandémie n'était ni cohérent ni crédible à bien des égards, et qu'il ne peut être expliqué qu'en raison d'intérêts louches et de circonstances cachées au grand public. Pour en revenir à ces premiers instants, vous souvenez-vous de la première chose qui vous a poussé à sonner l'alarme à cet égard ?
Mes alarmes ont été déclenchées lorsque j'ai découvert que les médias grand public, en particulier la télévision, donnaient des informations trop répétitives sur quelque chose qui se passait loin : en Chine. Depuis quelque temps, quand je vois quelque chose de similaire, je décide de chercher des sources d'informations alternatives pour contraster.
En revanche, le compte officiel chinois était plutôt peu fiable (un nouveau virus d'origine animale qui provoquait une épidémie très contagieuse sur un marché de Wuhan). Les virus ne sautent pas facilement des espèces et, s'ils le font, ils sont moins contagieux que des virus spécifiques, donc quelque chose ne correspond pas au récit officiel.
Ce qui m'a déjà fait penser qu'il y avait définitivement quelque chose de trouble, c'est la déclaration de l'épidémie en Italie, malgré le fait que « on ait pris soin » d'attendre que le nouvel an chinois passe, où il y a des millions de déplacements de citoyens Chinois du monde entier, la traçabilité de la première contagion italienne n'a pas pu être trouvée. En d'autres termes, le premier cas italien n'avait pas eu de contact avec un Chinois ni voyagé. Si le virus était censé provenir du marché de Wuhan, comment s'était-il répandu en Italie ?
— ... Et lorsque vous commencez votre recherche personnelle, au moment de, disons, « commencez à tirer les ficelles », quelles sont les premières découvertes qui ont retenu votre attention ?
Le 3 janvier 2020, la nouvelle apparaît que les États-Unis tuent dans une attaque en Irak le puissant général iranien Qassem Soleimani, chef de la force d'élite Qods, qui augmente la tension déjà existante dans le golfe Persique et craint la possibilité d'une escalade de la guerre nucléaire [...] Au cours du mois de janvier, c'est aussi le moment où le bombardement des informations sur l'expansion de l'épidémie en Chine s'intensifie. Des données commencent à circuler sur les réseaux sur l'existence d'un laboratoire de virologie à Wuhan du plus haut niveau BSL4, spécialisé dans les expériences de coronavirus et situé à proximité du marché de Wuhan où la propagation du nouveau virus aurait commencé. Une vidéo sur le soi-disant Event 201 est également diffusée en ligne [...]
— De quoi s'agissait-il ?
Le John Hopkins Center for Health Safety, en association avec le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates, a organisé « Event 201 », un exercice de haut niveau sur la pandémie le 18 octobre 2019 à New York. L'exercice a illustré des domaines dans lesquels des partenariats public / privé seraient nécessaires pendant la réponse à une pandémie grave pour atténuer les conséquences économiques et sociales à grande échelle d'un nouveau coronavirus. Ils ont ensuite annoncé que « la prochaine pandémie majeure ne causera pas seulement des maladies et des pertes de vies majeures, mais pourrait également déclencher des conséquences économiques et sociales majeures en cascade qui pourraient grandement contribuer à l'impact et aux souffrances mondiales ».
Des interventions de l'Event 201, organisé par la FEM, l'Université John Hopkins et la Fondation Bill & Melinda Gates.
Parmi les conclusions de cet événement, je souligne particulièrement ce qui suit : LA CLÉ EST DANS LA COOPÉRATION DU SECTEUR PUBLIC AVEC L'INDUSTRIE PRIVÉE. Les gouvernements devraient fournir davantage de ressources et de soutien pour le développement et la fabrication de vaccins, de thérapies et de produits diagnostiques qui seront nécessaires pendant une pandémie grave. Les gouvernements et le secteur privé devraient accorder une priorité plus élevée à l'élaboration de méthodes de lutte contre la désinformation avant la prochaine riposte à la pandémie. Contexte : Bill Gates, en 2015, avait déjà évoqué la nécessité d'investir dans le secteur de la santé, soulignant le fait que les guerres futures seraient biologiques.
En d'autres termes, les deux points forts qui ont soutenu tout ce dispositif ont déjà été soulignés : la nécessité d'injecter de l'argent dans l'entreprise privée, technologique et multinationale, bien sûr, et la nécessité de contrôler l'information et les personnes.
— Ces deux facteurs sont donc la clé pour comprendre tout ce qui s'est passé ?
Divers analystes géopolitiques comme Daniel Estulin ont depuis longtemps mis en garde contre la faillite inéluctable du système bancaire-financier libéral, en raison de son effet de levier monstrueux et de la gigantesque crise de la dette (dans son livre La trastienda de Trump et dans diverses vidéos et séminaires de cet auteur).
En résumé, la manière de produire une réinitialisation ou un nouveau départ du système bancaire-financier à l'agonie s'est déjà produit dans le passé, en particulier lors des deux guerres mondiales. Une nouvelle guerre mondiale a probablement été tentée pour masquer la faillite systémique du secteur avec le meurtre de Soleimani, mais la peur de la guerre nucléaire et la mort de l'agent de la CIA dans l'avion dans lequel il voyageait, l'ont empêché (Michael D'Andrea, chef des opérations de la CIA en Iran et le personnage qui a orchestré l'assassinat du général iranien Qassem Soleimani, est décédé lundi 27 janvier dans l'avion américain abattu au-dessus de Ghanzi, en Afghanistan comme l'a rapporté Veterans Today, citant des sources de renseignement russes).
Le plan B était une guerre biologique.
— ... Ce qui nous amène à ce que des chercheurs comme Máximo Sandín et Luc Montagnier ont mis en garde contre un virus chimérique artificiel, n'est-ce pas ?
En effet, le Dr Máximo Sandín dit des choses comme : « cultiver des virus humains dans des embryons d'autres animaux dans lesquels une multitude de virus endogènes sont exprimés, conduit à des hybridations avec leurs virus correspondants, produisant ainsi des virus infectieux de caractéristiques différentes aux originaux ». Mais passons aux faits
Le 27 janvier 2020, Prashant Pradhan et d'autres membres de l'Institut indien de technologie ont publié un article dans Science qui a été rapidement retiré en raison de pressions politiques, montrant qu'une protéine d'enveloppe virale semblable au VIH connue sous le nom de Gp41 a été intégrée dans des séquences d'ARN du Sras-CoV-2. Luc Montagnier a fait une découverte similaire en trouvant Gp41 dans le virus Sras-CoV-2, qui est le domaine transmembranaire des virus appelés VIH.
Commentaire : Des scientifiques indiens ont trouvé des insertions semblables au SIDA dans le coronavirus chinois
Judy Mikovits est une biochimiste américaine qui a travaillé pour le NIH sur des expériences de gain de fonction du virus Ebola. Les expériences de gain de fonction impliquent d'étudier comment rendre les virus connus beaucoup plus mortels et contagieux.
Elle estime que « ce qui aurait pu arriver, c'est que des parties du virus ont été acquises lors du développement du Sras-CoV-2 dans les cellules Vero-E6, les cellules rénales de singe où se développe le VIH. » L'ajout de cette enveloppe protéique du VIH donne au Sras-CoV-2 la capacité d'endommager le système immunitaire. Elle contribue également à leur pathogénicité, « notamment lors de l'attaque des lymphocytes T car ce sont les cellules que les protéines VIH 120 et Gp41 infectent par CCR5 au niveau du récepteur CD4. Ensuite, la réponse immunitaire adaptative est affectée, et de cette manière l'inflammation est favorisée. Et la puissante inflammation appelée tempête de cytokines est ce qui endommage gravement les tissus et les organes. » Selon Mikovits, la lignée cellulaire contaminée provient du rein d'un singe appelé Vero E6, qui a été fourni par Fort Detrick.
Bien que pour cette chercheuse, la cause du Covid-19 pourrait en fait être le XMRV, qui signifie « rétrovirus gamma xénotrope, lié au virus de la leucémie murine » qui a été inoculé avec des vaccins et est activé par le coronavirus, elle déclare ce qui suit dans une interview avec le Dr Mercola : « Le Covid-19 n'est pas causé par le Sras-CoV-2 seul, mais est le résultat d'une combinaison de Sras-CoV-2 (qui semble avoir été conçu pour inclure des composants du VIH qui attaquent le système immunitaire) et d'autres facteurs. Une infection antérieure par XMRV (gammarétrovirus humain) peut faciliter la manifestation du Covid-19. Autrement dit, le Sras-CoV-2 peut initier le Covid-19, mais cela dépend d'une infection préexistante et de l'éveil d'autres virus tels que XMRV, les gammarétrovirus, la maladie de Lyme et d'autres coinfections, y compris les parasites, et c'est la raison pour laquelle les médicaments antiparasitaires tels que l'hydroxychloroquine et l'ivermectine peuvent aider à traiter l'infection. Les produits sanguins et les vaccins sont contaminés par le XMRV, qui peut endommager le système immunitaire et provoquer le syndrome de fatigue chronique, le cancer et d'autres maladies chroniques. Les virus se propagent dans les laboratoires car ils ont été adaptés pour activer et contaminer des lignées cellulaires utilisées dans la production de vaccins et d'autres recherches virales, y compris la recherche sur le coronavirus. Les vaccins antigrippaux ont propagé un certain nombre de virus dangereux dans le monde, qui peuvent alors interagir avec le Sras CoV-2. Le Sras-CoV-2 est plus dangereux et virulent que les coronavirus typiques car il comprend des séquences du VIH, du Sras et d'autres virus, car il infecte non seulement l'épithélium respiratoire, mais il peut également infecter les cellules sanguines et les organes hématopoïétiques tels que la rate. »
Commentaire : Voir aussi nos articles relatifs à des interviews du Dr Mikovits qui tous fourmillent d'informations pertinentes : Documentaire à ne pas manquer : « Pl@ndemic II : Indoctornation » Interview avec le Dr Judy Mikovits, grande spécialiste en rétrovirus (en VO sous-titrée) Vaccins, rétrovirus, ADN et la découverte qui a détruit la carrière de Judy Mikovits Comment les « vaccins » Covid-19 pourraient détruire la vie de millions de personnes La bande-annonce du film « Plandemic » déjà censurée par YouTube Le dispositif à ARNm anti-Covid n'est PAS un « vaccin », ni même un médicament, un traitement ou une thérapie — Alors, c'est quoi ?
Chris Martenson, un biochimiste américain, également analyste économique, titulaire d'un doctorat en neuro-toxicologie, est un autre scientifique qui affirme que le Sras-CoV-2 a été créé dans un laboratoire pour les raisons suivantes : « Pour entrer, le virus doit se lier à un récepteur ACE2 ou CD147 sur la cellule. Ensuite, la sous-unité de protéine de pointe S2 doit être clivée de manière protéolytique. Sans ce clivage des protéines, le virus se lierait au récepteur et ne progresserait pas.
Il existe plusieurs enzymes qui peuvent faire cela, y compris la plasmine et la furine. La plasmine, présente dans le sang, décompose également la fibrine, qui est la protéine plasmatique qui forme les caillots sanguins. Lorsqu'un caillot sanguin se dissout, un sous-produit appelé D-Dimer est créé. » Martenson cite également l'article de synthèse « Elevated Plasmin(ogen) as a Common Risk Factor for COVID-19 Susceptibility » (Plasmin(ogène) élevée en tant que facteur de risque commun pour la sensibilité au Covid-19), où il est démontré que les personnes atteintes de Covid-19 qui ont des comorbidités qui augmentent leur sensibilité à l'infection — c'est-à-dire à l'hypertension, le diabète, la maladie coronarienne, la maladie cérébro-vasculaire, la maladie pulmonaire obstructive chronique et le dysfonctionnement rénal — ont tendance à avoir des taux de plasmine élevés.
Le Covid-19 est « davantage un trouble sanguin ou un trouble de la coagulation » qu'une infection pulmonaire. Cependant, l'enzyme furine peut également couper la sous-unité protéique S2. La furine est codée par un gène qui active certaines protéines en divisant des sections spécifiques.
Comme l'explique Martenson, contrairement à d'autres enzymes protéolytiques, la furine est très spécifique sur les zones qu'elle coupe : lorsque l'arginine est présente à la deuxième ou troisième place dans la séquence protéique, l'efficacité de la protéolyse augmente.
Dans « Furin, une cible thérapeutique potentielle pour le Covid-19 », les chercheurs chinois rapportent que le Sras-CoV-2 est le seul coronavirus avec un site de clivage de la furine. Même les parents éloignés du Sras-CoV-2 ne l'ont pas, alors que les coronavirus qui en ont ne partagent que 40 % du génome du Sras-CoV. Selon ces chercheurs, le site de clivage de la furine présent dans le Sras-CoV-2 « est unique dans sa famille » et « peu susceptible d'avoir évolué » dans le Sras-CoV-2. En d'autres termes, il n'y a pas de coronavirus similaire pour que le Sras-CoV-2 ait évolué ou muté, sachant également que ladite mutation affecte pas moins de 12 paires de nucléotides.
Cela prouverait que le Sras-CoV-2 a été créé dans un laboratoire. Un excellent article de medium.com aborde également cette découverte et explique pourquoi les points de clivage de la furine sont si importants pour déterminer l'origine du Sras-CoV-2.
Les articles publiés dans Nature le 3 février 2020 sur l'origine du CoV-2 et le 17 mars 2020 pour tenter de prouver que le virus n'est pas d'origine artificielle présentent de nombreuses lacunes. Concernant le premier, il est important de souligner que l'un des auteurs est précisément le Dr Shi Zheng-Li, l'un des experts du laboratoire de Wuhan qui a le plus travaillé pour convertir le Sras en arme biologique. En ce qui concerne le second, le généticien moléculaire Dr. Michael Antoniou, il soutient de manière convaincante que le test de modélisation informatique cité dans cet article comme concluant n'offre aucune preuve. Le Dr Antoniou a déclaré sur GM Watch qu'il existe une méthode, appelée « processus de sélection d'évolution dirigée », « Qui consiste à utiliser le génie génétique pour générer un grand nombre de versions mutées au hasard du récepteur de la protéine S du Sras-CoV-2 (Spike) », puis sélectionner les récepteurs de protéines les plus efficaces pour infecter les cellules humaines. Technique par laquelle ses auteurs ont reçu le prix Nobel de chimie en 2018.
Enfin, Francis Boyle, un avocat américain des droits de l'homme et auteur de la loi américaine de 1989 sur le bioterrorisme qui interdit la recherche avec des armes biologiques, soupçonne également que le Sras-CoV-2 est un coronavirus conçu comme une arme biologique issue du Laboratoire de Wuhan BSL4. Installations de recherche financées par les NIH dirigées par le Dr Anthony Fauci, un immunologiste du VIH / SIDA et également directeur du NIAID (et maintenant l'un des experts du groupe de travail de l'administration Trump pour le covid-19), ils ont collaboré avec le laboratoire de Wuhan afin de faire du Sras une arme mortelle (le Dr Fauci a transféré plus de 3 millions de dollars du NIAID à Wuhan pour poursuivre les enquêtes sur le gain de fonction du Sras lorsque le BSL4 de Fort Detrick, Maryland a été fermé en 2019) [laboratoire qui a ouvert à nouveau par la suite - Note de Sott].
Commentaire : Voici deux excellents articles qui permettront au lecteur d'y voir sans doute un peu plus clair quant à cette question primordiale : c'est la seule qui vaille... Les preuves irréfutables de l'origine humaine du Sras-Cov-2 Le virus Sras-CoV-2 responsable du Covid-19 est-il d'origine humaine ?
— Indépendamment du débat sur l'origine du Sras-CoV2, dans ses communications, il [Francis Boyle - Note de Sott] a également abordé la question de la crédibilité des informations officielles sur la propagation du virus et l'évolution de la pandémie. À votre avis, quelle est la validité des tests PCR sur lesquels toute cette histoire a été construite ?
À mon avis, les tests RT-PCR utilisés pour le diagnostic viral sont très peu fiables. En soi, le test PCR est délicat et un protocole minutieux doit être effectué, travaillant sous une hotte à flux laminaire pour éviter la contamination (selon Etienne de Harven, pathologiste et chercheur pionnier en virologie qui était président de la Society for Electron Microscopy of America). Plus encore dans le cas de la RT-PCR, qui doit obtenir un ADN qui a été retranscrit à partir de l'ARN viral. C'est pourquoi je pense qu'il est absurde de l'utiliser comme test clinique et de fonder tout le discours sur le type et l'évolution d'une éventuelle nouvelle épidémie.
Même sur wikipedia vous pouvez lire « Il faut noter que cette technique de laboratoire n'est pas adaptée à la détection de la charge virale ARN, les kits sont positifs selon un seuil de cycle et non parce qu'ils voient un virus, ce qui est amplifié est du matériel ADN complémentaire à une minuscule section d'une chaîne d'ARN, qui pourrait correspondre à des déchets d'ARN par exemple, par conséquent, son utilisation dans le Covid-19 actuel est douteuse et c'est plutôt un avantage pour les producteurs de kits qui ont gagné des milliers de millions de dollars dès le début de 2020. » En premier lieu, un isolement approfondi du virus doit être effectué pour affirmer qu'il s'agit d'un nouveau virus et, comme l'a montré Jesús García Blanca, cet isolement n'a pas été fait correctement.
Commentaire : Comme nous l'avons déjà exprimé sur Sott.net, il n'est pas possible de supposer, dans le même temps, que le virus est d'origine humaine et qu'il n'a pas été « isolé », correctement.
Ensuite, les tests doivent également être effectués de manière approfondie [...] les amorces les plus pratiques doivent être utilisées pour garantir que la PCR ne donne des résultats inadaptés. Enfin, il est rapporté que le Sras-CoV-2 partage au moins 80 % du génome avec le Sras-CoV-1, alors quels fragments d'ARN du virus vont être amplifiés ? Puisqu'il y a de bonnes chances que si nous ne sélectionnons pas bien ces fragments et n'utilisons pas les amorces appropriées pour cela, nous aurons un faux positif, il est essentiel, au moins, de faire deux RT-PCR, l'une pour le dépistage et l'autre pour la confirmation, en amplifiant deux fragments différents du virus et en s'assurant qu'ils ne coïncident pas entre eux et ne coïncident pas avec le Sras-CoV-1. Et ceci n'est que mon opinion.
Selon certaines estimations, la RT-PCR pour détecter la charge virale du Sras-CoV-2 a une probabilité d'erreur comprise entre 47 et 80 % (que nous avons également pu vérifier avec les échantillons de papaye et « autres produits » envoyés pour analyse par le président tanzanien John Magufuli, qui a été testé positif).
Si on ajoute à cela la confirmation des scientifiques espagnols que le virus séquencé dans les laboratoires espagnols n'est pas le même qu'en Chine, on peut se demander : sur quoi est basée l'épidémie ? Chaque année il y a, pendant la période hivernale, de nombreuses infections respiratoires et on estime qu'entre 5 et 15 % sont causées par des coronavirus. De plus, les personnes vaccinées contre la grippe ont une plus grande propension à devenir malades avec des coronavirus, comme le démontre l'étude des interférences virales réalisée dans l'armée américaine : « Vaccination contre la grippe et les interférences virales respiratoires chez le personnel du ministère de la Défense pendant la saison de la grippe 2017-2018 ».
Commentaire : Quelques articles pour aller plus loin sur l'usage prohibitif qui est fait des tests PCR et surtout pourquoi... Bon timing avec Biden - L'OMS admet que les tests PCR à seuil de cycle élevé produisent des faux positifs pour le Covid-19 Les tests nasopharyngés « ne sont pas sans risque » selon l'Académie de médecine ou la petite histoire des tests PCR et leur utilité dans « l'agenda de la crise mondiale » On ne le répétera jamais assez : les innommables tests PCR sont peu fiables pour détecter une infection virale Comment la manipulation des résultats des tests PCR permettent d'augmenter le nombre de « cas »
— ... et ce qu'on appelle Covid-19, est-ce différent d'une grippe commune ?
D'un point de vue clinique et histopathologique, le Covid-19 est différent de la grippe courante (cependant, ceux qui ont été testés positifs ne signifie pas qu'ils ont le Covid-19). Il se comporte plutôt comme une maladie hématologique qui produit une hypoxie et des lésions endothéliales, provoquant des micro-thromboses et par la suite une néoformation vasculaire. À bien des égards, il est similaire au paludisme, c'est pourquoi, au stade initial, l'armoise ou l'hydroxychloroquine supplémentée en zinc est un bon traitement. Dans les derniers stades, il ressemble plus à un choc septique avec une CIVD [coagulation intravasculaire disséminée - Note de Sott] et défaillance d'organes multiples, il est donc très probable qu'il y aura des complications bactériennes et le traitement doit être de survie (antibiotiques, anti-inflammatoires et anticoagulants). Mieux encore, le protocole du Dr Marik pour la septicémie intraveineuse. Il s'agit du protocole exact qui a été utilisé avec succès et qui consiste en 200 mg de thiamine (vit. B1) toutes les 12 heures, 1 500 mg d'acide ascorbique (vit. C) toutes les 6 heures et 50 mg d'hydrocortisone toutes les 6 heures.
Il est essentiel de noter que le traitement n'a pas d'effets secondaires et est peu coûteux, et peut également être facilement obtenu et administré. D'autre part, les respirateurs mécaniques à pression positive ne sont pas une bonne méthode de traitement, bien que l'apport d'oxygène et d'autres thérapies oxydatives le soient.
On peut aussi se demander — le paludisme étant une maladie causée par l'inoculation du sang (piqûre de moustique) — si le CovidD-19 peut avoir une origine similaire... Les vaccins antigrippaux pourraient-ils avoir quelque chose à voir avec cela, comme le dit le Dr Mikovits ?
— Avec toutes les informations que vous avez entre les mains, et du point de vue de la santé publique et de la vie humaine, que considérez-vous comme la chose la plus grave qui se soit produite au cours de ces mois difficiles ?
Nous pouvons énumérer une série de conséquences graves dérivées de ce qui s'est passé ces derniers mois, telles que :
1 - Négligence d'autres pathologies avec augmentation de la morbidité et de la mortalité : pour éviter l'effondrement du système de santé (dû, entre autres, à la nécessité de traiter les cas suspects avec des mesures d'isolement et de prévention extrêmes et à la diminution des agents de santé efficaces en raison des quarantaines préventives) triage féroce, tant dans les centres de soins primaires que dans les hôpitaux. La plupart des consultations se faisaient uniquement par téléphone (lorsqu'elles pouvaient être suivies) et il était interdit de se rendre aux urgences pour les patients atteints de maladies chroniques. De plus, curieusement EPDATA (National Network of Epidemiological Surveillance of the Carlos III Health Institute) ne collecte les cas de grippe que jusqu'à la semaine 11 de 2020 et curieusement aussi, le taux pour 100 000 habitants cette semaine est le même que la moyenne de l'année dernière (45,5 / 100 000) et n'est pas mis à jour par les communautés (l'année dernière des cas de grippe se sont produits principalement dans les mêmes communautés que cette année le Covid-19). Je sais que les centres de santé ont reçu pour instruction de dénombrer tous les cas « suspects » comme étant Covid, car il n'y avait pas assez de tests.
2 - Stress de la population dû à l'isolement obligatoire et à la campagne de peur des médias : ce qui entraîne également une augmentation de la morbidité et de la mortalité.
3 - Institutionnalisation des mensonges dans les médias aux intérêts sombres.
4 - Contrôle et censure du réseau et des autres médias sous prétexte de lutter contre la désinformation (rappelez-vous les conclusions de l'Event 201).
5 - Conséquences économiques graves. Selon l'OCDE, l'économie espagnole sera la plus affectée de tous les pays qui composent l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), avec une contraction de son produit intérieur brut (PIB) en 2020 qui atteindra 14,4 % .
6 - Grave restriction des droits civils avec la déclaration d'un état d'alerte qui a été à bien des égards un état de siège. Fondé sur des intérêts cachés, le régime totalitaire chinois a été pris comme modèle, avec l'excuse de son efficacité à contrôler l'épidémie, pour imposer des mesures abusives et injustifiées, visant au contrôle de la population et à la géolocalisation des personnes, qui être prolongé dans le temps.
7 - Et le plus grave de tous : l'euthanasie des personnes âgées en raison des mesures adoptées dans les maisons de retraite médicalisées, telles que l'interdiction d'aller à l'hôpital et le refus de traitement, les sédations avec de la morphine, un médicament qui déprime le centre respiratoire facilitant une mort indigne et solitaire. — D'un film d'horreur... et sur les conséquences de l'enfermement général de la population, pourriez-vous ajouter autre chose ?
Selon divers chercheurs comme Ernesto Prieto Gratacós, une FAUSSE DICOTOMIE VIE-ÉCONOMIE a été acceptée, car la santé dépend directement de l'économie.
Le problème de la « capacité de charge du système de santé » a été surestimé tout comme le coût en vies humaines qui, à moyen et long terme, se produira (aggravation et cause de pathologies chroniques telles que le cancer et le diabète, et survenue de crises aiguës telles que infarctus du myocarde et accidents vasculaires cérébraux).
Selon Ryan McMaken, il y avait de nombreuses raisons de s'opposer aux confinements dus au Covid-19. Ils coûtent des vies humaines en termes de traitement médical différé. Ils coûtent des vies humaines en termes d'augmentation des suicides et des surdoses de drogue. La violence domestique et la maltraitance des enfants ont augmenté. Il y a aussi de bonnes raisons de penser que les confinements ne fonctionnent pas vraiment (cas de Suède ou du Vietnam).
— Et dans tout cela, quel est le rôle de l'OMS ?
L'OMS s'est fendu de contradictions constantes : des quarantaines oui ou non, porter ou non de masques, des personnes asymptomatiques propagent ou ne propagent pas, et surtout, l'OMS a recommandé de ne pas faire d'autopsies.
À mon avis, l'OMS a agi comme un instrument de manipulation mondiale, servant d'excuse aux ministères de la Santé des gouvernements pour prendre des décisions concernant des mesures injustifiées visant à restreindre les droits civils.
Il faut garder à l'esprit que l'OMS n'est pas un organisme indépendant, mais qu'elle est principalement financée par des capitaux privés : la Fondation Bill et Melinda Gates et diverses sociétés pharmaceutiques (secteur bancaire-financier) et cette crise a été un geste parfait pour masquer la faillite systémique du secteur.
— Pour terminer, pouvez-vous partager vos impressions sur ce qu'ils appellent « la nouvelle normalité » et ce qui pourrait arriver dans les mois à venir ?
Avec l'euphémisme « nouvelle normalité », ils nous indiquent déjà que la reprise suite à la supposée pandémie n'aura rien de normal. En ce moment, avec la distance sociale et l'utilisation obligatoire des masques, nous avons le rappel permanent que quelque chose n'est plus comme avant. Donc, si tout ce racket est vraiment une guerre biologique orchestrée pour cacher la faillite imminente du système bancaire-financier, on peut s'attendre à de grands changements vers un nouveau système économique et social. Les indications sont que nous nous dirigeons vers un paradigme néotechnologique basé sur la 5G, l'intelligence artificielle et l'informatique quantique qui remplacera la monnaie physique par la monnaie virtuelle.
Des essais de guerre pandémique et biologique ont déjà été tentés à d'autres occasions, rappelant la grippe aviaire, la grippe porcine ou la grippe A, Ebola, ainsi que le Sras-1 et le Mers.
À mon avis, ils ont été beaucoup moins mortels que prévu car les virus qui ne sont ni naturels ni spécifiques ne s'adaptent pas assez bien. Mais si la pandémie échoue, il y a la « guerre hybride », « la révolution des couleurs » comme celle qui se déroule actuellement aux États-Unis, ou « la guerre sans restriction ».
Jusqu'à présent, nous n'avons pas beaucoup remarqué les véritables conséquences de la crise du Covid-19. À partir de cet automne, nous commencerons probablement à les voir plus clairement et à partir de 2021, ils annoncent déjà un nouveau départ formidable : « le 3 juin 2020, le Forum économique mondial (WEF) à Genève a annoncé un sommet jumeau unique à Davos (Suisse) à la suite de la « crise sanitaire mondiale » de janvier 2021. Le thème qui sera abordé lors du sommet sera la Grande réinitialisation et l'annonce du « Grand nouveau départ » lancé par le prince de Galles comme « une obligation de travailler ensemble et de jeter d'urgence les bases de notre système économique et social ». Que se passera-t-il à long terme ? Personne ne le sait, mais en tant que personne croyante, je suis optimiste. Cependant, à court ou moyen terme, je crains que nous devions nous intégrer dans un système de contrôle totalitaire ou que nous devions trouver une solution sociale très alternative.
Commentaire : Quant à ces dernières questions, nous en savons aujourd'hui un peu plus...
Source de l'article publié le 20 août 2020 : Guy Boulianne Emphases et corrections : Sott.net
Une étude d'un médecin de Stanford confirme l'inutilité et la nocivité du port du masque...mais les gouvernements ne sont pas prêts de l'abandonner
Jean-Dominique Michel Anthropo-logiques mer., 21 avr. 2021 11:47 UTC
Dans le grand cortège halluciné et macabre des décisions qui nous ont été imposées, on trouve donc un singulier inventaire à la Prévert de mesures parfaitement inutiles, nocives et sans la moindre validité scientifique.
Avec cette pointe évidemment : comment les autorités politiques et sanitaires, avec le concours et même la complicité active des médias de grand chemin, sont-elles parvenues à faire gober à la population que ces mesures étaient nécessaires, efficaces et protectrices alors qu'elles sont l'inverse de tout cela ?!
Certes, je l'ai souvent évoqué, le narratif officiel joue sur des claviers fantasmatiques puissants. On sait pareillement combien nombre de vérités sont "contre-intuitives". Ici nous avons l'exact inverse : un pur mensonge parfaitement intuitif !
Ré-éduquer la population (et surtout les pseudo-élites intellectuelles) n'est pas une mince affaire : l'affirmation qu'il existe des "porteurs asymptomatiques contagieux" tout comme le confinement d'une population en bonne santé, l'imposition du masque hors hôpital, la vaccination généralisée en cours d'épidémie pour une maladie sans danger significatif pour les moins de 70 ans, sont autant d'aberrations absolues pour quiconque connaît le sujet !
Ce n'est donc pas un minuscule succès que d'avoir fait adhérer des corps constitués soi-disant sachant (comme les médecins et scientifiques) à des aberrations pareilles, ni de l'imposer à la population, certes dûment terrorisée par des mois de propagande pour une maladie bel et bien équivalente à la grippe annuelle.
Et voilà donc où nous en sommes : nous savions parfaitement que ces mesures étaient inutiles et destructrices !
Or nos autorités les ont imposées malgré tout, saccageant des pans entiers de notre société et attentant à la santé et au bien-être de la population. En s'appuyant sur des cercles d'experts participant à la corruption systémique en santé.
Et une année plus tard, alors que les preuves s'accumulent confirmant ce que l'on savait déjà, elles restent engoncées dans leur mensonge sans tenir compte aucunement des données qui contredisent leur idéologie corrompue.
Moment intéressant : comme le souligne le rédacteur en chef de la revue de l'American Institute for Economic Research, Jeffrey Tucker, "le paradigme du confinement est en plein effondrement". Ajoutant avec un sens indéniable de la formule qui va à l'essentiel : "Les partisans du confinement doivent maintenant faire face à l'énorme problème du Texas. Cet état est totalement ouvert, sans aucune restriction, depuis 6 semaines. Les cas et les décès ont chuté de façon spectaculaire dans la même période. Anthony Fauci n'a pas de réponse. Ou alors, comparez la Californie (fermée) avec la Floride (ouverte) : taux de mortalité similaires. Nous disposons d'une gamme complète d'expériences aux États-Unis qui permettent de comparer l'ouverture et la fermeture et les résultats des maladies. Il n'y a pas de relation." Ces conclusions se confirment désormais à 360° ! Tout comme se confirme l'inutilité crasse du port du masque.
Avec cette "prochaine étape" de savoir comment faire cas de cette situation inédite qui aura vu nos gouvernements infliger des dommages et destructions massives, parfaitement hors de proportions avec l'épidémie elle-même. "Face aux palinodies des politiques, il est utile de relire la remarquable synthèse effectuée par un médecin de Stanford, Baruch Vainshelboim, dans une revue en ligne éditée par le grand éditeur scientifique Elsevier. Cet article est bref, présente en notes l'état de la question - de nombreuses études été menées, avec des échantillons significatifs, sur le port du masque en général et dans le contexte du COVID en particulier. Le lecteur pourra donc se documenter avec le degré de détail qu'il souhaite en allant cliquer sur les hyperliens à la fin de l'article de M. Vainshelboim." ... commente Edouard Husson dans l'excellent Courrier des stratèges. En posant la bonne question : Le masque est nuisible pour la santé et ne sert à rien contre le COVID 19. C'est un médecin d'un des hôpitaux de Stanford qui le confirme en passant en revue toutes les études scientifiques sur le sujet. Mais alors pourquoi les gouvernements en maintiennent-ils l'usage obligatoire sous peine d'amende ? Effet placebo ? Influence chinoise ? Outil de contrôle social ?
Commentaire : Conclusions de l'étude de Baruch Vainshelboim :
« Les preuves scientifiques existantes remettent en question la sécurité et l'efficacité du port du masque facial comme dispositif préventif contre le COVID-19.
Les données suggèrent que les masques faciaux médicaux et non médicaux sont inefficaces pour bloquer la transmission interhumaine de maladies virales et infectieuses telles que le SRAS-CoV-2 et le COVID-19, soutenant contre l'utilisation des masques faciaux.
Il a été démontré que le port de masques faciaux avait des effets physiologiques et psychologiques négatifs importants. Ceux-ci incluent l'hypoxie, l'hypercapnie, l'essoufflement, l'augmentation de l'acidité et de la toxicité, l'activation de la peur et de la réponse au stress, l'augmentation des hormones de stress, l'immunosuppression, la fatigue, les maux de tête, la baisse des performances cognitives, la prédisposition aux maladies virales et infectieuses, le stress chronique, l'anxiété et dépression. Les conséquences à long terme du port d'un masque facial peuvent entraîner une détérioration de la santé, développement et progression des maladies chroniques et des décès prématurés.
Les gouvernements, les décideurs et les organisations de santé devraient utiliser une approche fondée sur des preuves scientifiques en ce qui concerne le port des masques faciaux, lorsque ce dernier est considéré comme une intervention préventive pour la santé publique. »
Et peut-on espérer qu'un jour, nos autorités (comme les Départements de l'instruction publique) finissent par suspendre des mesures aberrantes, qui auront endommagé la santé physique et mentale de millions d'enfants et d'adultes ?
Rappelons à ce sujet que si la justice genevoise a rembarré un recours déposé contre le port du masque au Cycle d'orientation au motif douteux que si l'OMS et l'OFSP recommandaient (plus ou moins) cette mesure, la Cour ne pouvait aller contre.
Dans le même temps, à Weimar, un tribunal allemand choisissait quant à lui de faire son travail et d'étudier les éléments du dossier en consultant des experts. Résultat ? Il n'existe aucune justification à cette mesure et la justice a donc statué en ce sens.
Ce qui illustre un autre motif saillant : si certains cercles ou corps constitués se mettent à délirer comme l'ont fait nos autorités, il est vital que les contre-pouvoirs exercent leur responsabilité en jouant leur rôle.
On a assisté jusqu'à aujourd'hui à un affaissement terrible des second et quatrième pouvoirs, acoquinés idéologiquement et en logique de classe avec le premier. Dès lors, comme le soulignait Me Youri Widmer, président du collectif juridique "le virus des libertés", tout dépendra pour nous de l'aptitude de la magistrature à remplir son rôle avec intégrité.
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Ajoutons pour faire bonne mesure que l'inénarrable AFP (chien de garde de la manipulation en cours) a publié sans perdre de temps un "démenti" de mon et ces articles.
M. François d'Astier, qui se présente comme "journaliste" pour cette officine de propagande qui se présente elle-même comme "agence de presse" (ce qu'elle fut il y a fort longtemps) prétend contredire l'analyse du Dr Baruch avec le type d'arguments que ce travail de police de la pensée convoque habituellement.
M. d'Astier affirme par exemple à mon sujet : "Il a donné de nombreuses interviews dans lesquelles il minimise les conséquences de la pandémie de Covid-19. Des journaux ont qualifié certaines de ses prises de paroles sur l'épidémie de "rhétorique ambigüe" ou "douteuse". Les conséquences de la pandémie que je tiens pour solides sont celles reconnues par l'OMS et notamment celles du Pr Ioannidis de Stanford, le plus influent épidémiologiste au monde !
Et quant à la nature douteuse de ma rhétorique, on relèvera l'argument débordant d'intelligence : "des journaux ont qualifié certaines de ses prises de paroles sur l'épidémie de "rhétorique ambigüe" ou "douteuse".
Wow ! je me demande combien d'heures d'enquête ce monsieur a dû consacrer pour arriver à une affirmation aussi détaillée et argumentée. Convoquant au passage ces trois décompositions journalistiques que sont Heidi News, l'Express et la RTBF !
C'est l'argument de ceux qui n'en ont pas à disposition, sachant qu'une entreprise de "bashing" (destruction de la réputation de personnalités) est mise en œuvre depuis une année contre tous les penseurs intègres par l'AFP et autres sbires de la dérive en cours.
Je cite encore la réaction (évidemment inspirée) de mon ami Michel Rosenzweig, philosophe et psychanalyste belge que l'officine avait aussi pris en grippe à travers des articles à charge rien moins que lamentables : Chacun a pu recevoir cet avis de l'AFP, contestant l'étude de Stanford qui n'est pas celle de Stanford mais celle d'un chercheur qui a travaillé à Stanford et qui est disqualifié, discrédité, au nom de ce régime sanitaire totalitaire. Quel sacrilège ! Oser affirmer que le masque n'est pas nécessairement une mesure saine !? Et surtout en extérieur ! Le jeune moine copiste de l'AFP, François d'Astier, qui n'a hélas aucun lien de parenté avec Alexandre Astier de la série Kaamelot, vous explique, pauvres égarés, comment revenir dans le droit chemin du troupeau. Tout ceci est tellement pathétique qu'on finit par en rire. Mais mon pauvre François, tu n'as vraiment pas d'autre choix pour exercer tes "talents" de journaliste? Si tu me lis ici, et je pense que tu le fais souvent puisque moi aussi j'ai fait les frais de ta docte vigilance religieuse, enfin si ce n'est toi c'est donc ton frère, dis-moi comment tu fais pour t'endormir (avec ou sans masque), dis-moi comment tu fais le matin en te regardant dans ton miroir, avec ou sans masque ? Et plus généralement les types de l'AFP de Belgique, de France et de Navarre, vous n'en avez pas marre de faire votre boulot de collabo au service de vos maîtres? A-t-on encore le droit de le dire ici? Ou allez-vous encore me coller un avertissement ?" -----------
Lien vers l'article "Une étude de Stanford confirme l'inutilité médicale du port du masque...mais les gouvernements ne sont pas prêts de l'abandonner", cliquer ici.
Lien vers l'étude de Stanford : Inefficacité et dangerosité des masques: le nouvel article scientifique qui dérange
Il n'existe pas et ne peut exister de masque antivirus. Le FFP2 ou N95 (bec de canard avec valve d'expiration) a un écart de mailles de 3 microns alors que le virus corona n'est que de 0,1 à 0,5 micron !!
😎 Visualisation de la taille relative des particules (comme COVID-19)
Fauci Flip-Flops Again: Le risque d'infection à COVID en plein air est «minuscule»
PAR TYLER DURDEN LUNDI 26 AVR 2021-10: 33 Rédigé par Matt Margolis via PJMedia.com,
Depuis de nombreux mois maintenant, le Dr Anthony Fauci préconise que les gens restent masqués à l'extérieur pour aider à prévenir la propagation du COVID-19.
«Lorsque vous êtes à l'intérieur, assurez-vous d'avoir un masque. Lorsque vous êtes à l’extérieur, gardez le masque en place », a-t-il déclaré en août, tout en reconnaissant qu’il était beaucoup plus sûr d’être à l’extérieur que d’être à l’intérieur.
Maintenant, Fauci dit qu'il pense que les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) fourniront des conseils mis à jour sur le port des masques faciaux à l'extérieur, et dit qu'il est «bon sens» de reconsidérer les conseils.
J'appelle cela de la science, mais je vais le prendre.
Fauci admet également que le risque de contracter le COVID-19 lors d'activités de plein air est «minuscule».
"Ce que je pense que vous allez entendre, ce que le pays entendra bientôt, ce sont les directives mises à jour du CDC", a déclaré Fauci sur ABC's This Week.
«Le CDC est une organisation fondée sur la science. Ils ne veulent pas établir de consignes à moins de regarder les données et les données les sauvegardent. "
"Mais quand on regarde la situation de bon sens, le risque est vraiment faible, surtout si vous êtes vacciné", a-t-il ajouté.
Tu penses ? Pourquoi a-t-il fallu si longtemps pour comprendre cela ?
La crédibilité du Dr Fauci a été sévèrement touchée, en particulier ces dernières semaines. Lorsque le gouverneur du Texas, Greg Abbott, a annulé le mandat du masque de l'État et les autres restrictions liées au COVID sur les entreprises et les personnes, le Dr Anthony Fauci l'a qualifié de «risqué» et de «potentiellement dangereux». Mais aucune surtension ne s'est produite. Plus tôt ce mois-ci, Fauci a eu du mal à expliquer comment le Texas avait défié ses propres prédictions lors d'une apparition sur MSNBC, arguant à l'époque qu'il pourrait y avoir un «décalage». Trois semaines plus tard, il n’ya toujours pas d’augmentation du nombre de cas au Texas.
Fauci a également défendu la «pause» dans le déploiement du vaccin Johnson & Johnson, même si vous êtes plus susceptible de mourir d'une anesthésie générale que de contracter de graves caillots sanguins dus au vaccin Johnson & Johnson.
Vaccination de masse — Le Dr Martinez Albarracin met en garde contre une épidémie bien plus grave que la 1re « vague de Covid »
Les Éditeurs Sott.net dim., 25 avr. 2021 09:01 UTC
La diplômée en médecine et chirurgie, María José Martínez Albarracín, avertit dans une émission de télévision en Espagne d'une épidémie d'une gravité bien plus grande que celle de la fameuse première vague de « Covid » — et qui sera causée par les vaccins.
- voir clip sur site -
Les experts indiquent que si le chiffre de 70 % des personnes vaccinées est atteint, 30 % d'entre elles pourraient mourir.
Traduction : Selon Martínez Albarracín, nous assisterons à une épidémie d'une gravité bien plus grande que celle de la fameuse première vague du « Covid » et elle sera causée par les vaccins. Les experts indiquent que si le chiffre de 70 % de vaccinés est atteint, 30 % pourraient mourir et les non-vaccinés pourraient être en danger.
Traduction : Le Dr Vanden Bossche, qui a coordonné le programme de vaccination contre Ebola au sein de GAVI (Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination), affirme que cette folie vaccinale doit être arrêtée immédiatement. Il n'a jamais été aussi inquiet. Au début du mois de mars, le Dr Geert Vanden Bossche, un vaccinologue qui a travaillé pour GSK Biologicals, Novartis Vaccines, Solvay Biologicals, avec l'équipe de Global Health Discoveryde la Fondation Bill & Melinda Gatesà Seattle et avec l'Alliance mondiale pour les vaccins et l'immunisation à Genève, a lancé un appel à l'Organisation mondiale de la santé, étayé par un document de 12 pages qui traitait du « monstre incontrôlable » que la vaccination de masse va créer.
Dans sa lettre, M. Vanden Bossche analyse les dangers de la vaccination de masse contre le Covid en comparaison avec l'infection naturelle et il conclut : « Il ne fait aucun doute que la poursuite de campagnes de vaccination de masse permettra à de nouveaux variants viraux plus infectieux de devenir de plus en plus dominants, se traduisant par une augmentation spectaculaire du nombre de nouveaux cas malgré l'amélioration des taux de couverture vaccinale. Cette situation conduira sans aucun doute à une résistance totale des variants en circulation aux vaccins actuels. » Comme le signalait The Defender le 26 mars, la conjonction des mesures de confinement et de la pression de sélection extrême exercée sur le virus par l'intense programme mondial de vaccination de masse pourrait réduire le nombre de cas, d'hospitalisations et de décès à court terme, mais entraînera à long terme, la création d'un plus grand nombre de mutants, avec des conséquences préoccupantes pour l'avenir.
Dr. Vanden Bossche appelle cette conséquence, « l'évasion immune » (c'est-à-dire la stérilisation incomplète du virus par le système immunitaire humain, même après l'administration du « vaccin »).
Les fabricants devront par conséquent modifier les « vaccins », ce qui renforcera, et non réduira, la pression de sélection, produisant ainsi des variants toujours plus contagieux et potentiellement mortels.
Selon Mr. Vanden Bossche, la pression de sélection entraînera une plus grande convergence des mutations qui affectent la critique protéine Spike du virus, responsable de la percée des surfaces muqueuses de nos voies respiratoires, la voie utilisée par le virus pour pénétrer dans le corps humain. Le virus va effectivement déjouer les « vaccins » à base d'antigènes hautement spécifiques qui sont utilisés et modifiés en fonction des variants en circulation.
Tout cela pourrait conduire à une augmentation significative de cas graves et potentiellement mortels et donc en fait à une pandémie hors de contrôle.
Les essais d'expérimentations inoculés aux cobayes sans défense augmentent les risques d'être porteur du virus et d'avoir le cerveau contrôlé à commettre un meurtre sans pouvoir s'en empêcher.
Le sénateur Paul: Le «théâtre» du masque de la Maison Blanche «décourage les gens» de se faire vacciner
PAR TYLER DURDEN LUNDI 26 AVR 2021 - 12:49 Rédigé par Jack Phillips via The Epoch Times,
Le sénateur Rand Paul (R-Ky.) A déclaré que l'insistance des responsables du gouvernement fédéral à porter des masques lors des apparitions publiques a découragé les gens de se faire vacciner contre le COVID-19, suggérant qu'il n'est pas nécessaire pour les personnes entièrement vaccinées de continuer à porter des masques en public.
Décrivant le mouvement comme «théâtre», Paul a déclaré que cela nuirait aux efforts de vaccination des personnes si le public ne croyait pas que le coup de feu avait un impact sur la lutte contre la propagation du virus. Il faisait référence à une réunion en ligne entre des dirigeants mondiaux, au cours de laquelle le président Joe Biden était le seul responsable à porter un masque.
Biden a oublié que «ce théâtre était tellement ridicule que les gens le dénonceraient», a-t-il ajouté. La semaine dernière, d'autres s'étaient demandé pourquoi le président porterait un masque dans un tel cadre. Tous les autres dirigeants mondiaux, y compris la chancelière allemande Angela Merkel, le président russe Vladimir Poutine et le premier ministre canadien Justin Trudeau ne portaient pas de masques.
"Si je veux aller visiter la Maison Blanche, les républicains et les démocrates qui vont visiter, même s'ils ont tous été vaccinés ou ont eu la maladie, ils sont testés avec un test des sinus profonds", a déclaré Paul à Fox News sur le fin de semaine,
«Et on leur dit de porter les masques N95 pour aller à la Maison Blanche, même s'ils ont tous été vaccinés», a-t-il ajouté.
«Donc, il n'y a aucune science derrière tout cela. C'est alarmiste. Mais cela a aussi un effet délétère, en ce sens qu'il décourage les gens de se faire vacciner parce qu'ils disent, eh bien, si le vaccin ne veut rien dire, il ne semble pas avoir d'avantage protecteur, vous n'en tirez aucun avantage. "
Si les gens ne peuvent pas «cesser de porter le masque», certains ont demandé pourquoi ils devraient se faire vacciner, a déclaré Paul.
"Je pense que c'est la mauvaise attitude", a ajouté le républicain du Kentucky.
«Mais c’est ce qui vient de Biden et des soi-disant scientifiques qu’il propose.»
Cela intervient alors que la directrice des Centers for Disease Control and Prevention (CDC), Rochelle Walenksy, a déclaré que l'agence envisageait de réviser sa disposition sur les masques pour les personnes qui se trouvent à l'extérieur.
«Nous allons examiner la question du masquage extérieur, mais aussi dans le contexte du fait que nous avons encore des gens qui meurent du COVID-19», a-t-elle déclaré à «Aujourd'hui» la semaine dernière.
Le COVID-19 est la maladie causée par le virus du PCC (Parti communiste chinois), également connu sous le nom de nouveau coronavirus.
Les directives actuelles du CDC indiquent que "les masques peuvent ne pas être nécessaires lorsque vous êtes à l'extérieur, seul, loin des autres, ou avec des personnes qui vivent dans votre foyer."
The Epoch Times a contacté la Maison Blanche pour obtenir des commentaires.
"Quels sont les symptômes de la chlamydia" Question sexuelle la plus recherchée sur Google alors que les MST montent en flèche
PAR TYLER DURDEN LUNDI 26 AVR 2021-14: 03 Rédigé par Paul Joseph Watson via Summit News,
Alors que les taux de MST montent en flèche en Amérique, de nouvelles données ont révélé que la question sexuelle la plus populaire au cours de l'année dernière était: «Quels sont les symptômes de la chlamydia ?»
Répugnant.
Une recherche menée par la clinique de santé From Mars révèle que le terme de recherche a accumulé plus de 2 millions de visites en 2020, tandis que les recherches pour «dépistage des MST près de chez moi» ont également quadruplé entre avril 2020 et la fin de l'année.
«Les requêtes de recherche sont une radiographie dans la psyché publique, et quand il s'agit de sexe et de relations, nous pouvons avoir des problèmes», rapporte Axios.
Comme nous l'avons souligné la semaine dernière, les données de recherche sont en corrélation avec l'augmentation continue des cas de MST en Amérique.
Les maladies sexuellement transmissibles ont atteint un niveau record pour la sixième année consécutive, les chercheurs du CDC ayant constaté une augmentation de 30% des MST de 2015 à 2019.
Selon les dernières données, 2,5 millions d'Américains avaient des infections à chlamydia, gonorrhée ou syphilis en 2019, les cas de chlamydia augmentant de 61% et les cas de gonorrhée atteignant 42% chez les jeunes âgés de 15 à 24 ans.
Pendant ce temps, les premières données sur les recherches pour 2021 indiquent que de plus en plus de relations s'effondrent, avec des requêtes pour "Qu'est-ce que les images fantômes ?" ayant doublé entre novembre 2020 et février de cette année.
Peut-être que toute cette dégénérescence sexuelle, criblée de MST, a quelque chose à voir avec cela.
Rencontrez le «scientifique» Anti-Mask Michigan Stoking the Fourth Wave
Larrison Campbell Lun.26 avril 2021 à 10h54
Au moment où Kristen Meghan Kelly, une mère du Michigan de 38 ans et autoproclamée «défenseure de la liberté de la santé», a frappé le record sur la caméra de son téléphone, la confrontation en dehors de la réunion du conseil scolaire d'Hudsonville battait son plein.
Dans une vidéo de 22 minutes du 15 avril qui a été largement partagée sur Facebook, Kelly explique qu'elle s'est vu refuser l'entrée à la réunion publique malgré ce qu'elle dit être une invalidité «médicalement reconnue» et un diagnostic de SSPT qui l'empêche de porter un masque. Lorsqu'un autre parent questionne cette explication, elle change de tactique et se lance dans un assaut de masquage basé sur la «science».
«Je suis en fait un spécialiste de l'exposition», dit Kelly à l'autre parent, qui est hors écran.
«Oh, une scientifique de l'exposition», peut-on entendre dire le parent en riant.
«Oui, je suis hygiéniste industrielle et je voyage à travers le pays pour témoigner devant les gouverneurs. J'ai ouvert le Texas et le Dakota du Nord », dit Kelly.
Si Kelly réussit, a-t-elle déclaré au Daily Beast, elle assouplira également davantage les restrictions relatives au COVID-19 dans son propre État du Michigan - malgré une épidémie qui fait rage qui teste le système hospitalier de l'État et menace la vie de plus de jeunes que jamais. avant que.
"Nous n'allons pas rester silencieux", a déclaré Kelly.
Une maman curieuse de QAnon a aidé à ramener le Michigan à l'enfer COVID
Bien que les parents présents à la réunion du conseil scolaire aient peut-être ri de ses références, Kelly a bénéficié d'une plate-forme de plus en plus robuste dans les cercles anti-masque ces dernières semaines. Et cet activisme, craignent les responsables de la santé publique, pourrait causer de gros problèmes, en particulier au Michigan, qui est devenu le pire hotspot COVID du pays.
Alors que la gouvernante démocrate Gretchen Whitmer a été critiquée pour avoir cédé à la pression politique et permis des activités intérieures telles que les repas et les sports - qui, selon les experts, ont probablement alimenté la flambée actuelle - son administration a été résolument en faveur du masquage des exigences. La semaine dernière, l'État a prolongé son mandat de masque jusqu'à au moins la fin mai et l'a élargi pour obliger les enfants de 2 ans et plus à porter des masques.
Comme AUCUN trou de cul qui portent un masque n'a confiance en son masque !!! HAHAHAHA ! ils ont forcément peur de celles et ceux qui 'en portent pas ! HAHAHAHA !
Faut dire qu'avec un putain de grillage de 50 à 150 microns sur la gueule quand on sait que le virus ne mesure que 0,1 à 0,5 micron... HAHAHAHA ! on a pas l'air con ! HAHAHAHA ! (et il y en a qui en portent 2 ! HAHAHAHA !)
*Quand je dis que rien n'est laissé au hasard, que tous les mouvements de dissidence sont étroitement surveillés, surtout via les plates-formes dites non-censurées, et que toutes leurs actions sont télécommandées... en voici la preuve!
"Selon un document obtenu par Yahoo News, la branche d'application de la loi du US Postal Service gère discrètement un programme qui suit et collecte les publications des Américains sur les réseaux sociaux, y compris celles concernant les manifestations prévues.
Les détails de l'effort de surveillance, connu sous le nom d'iCOP, ou Internet Covert Operations Program, n'ont pas encore été rendus publics. 👉 Le travail consiste à demander aux analystes de parcourir les sites de médias sociaux pour rechercher ce que le document décrit comme des messages «incendiaires», 👉puis de partager cette information entre les agences gouvernementales.
«Les analystes du programme d'opérations secrètes sur Internet (iCOP) du Service d'inspection postale des États-Unis (USPIS) 👉ont surveillé les activités importantes concernant les manifestations prévues au niveau international et national le 20 mars 2021», indique le bulletin du gouvernement du 16 mars, marqué comme «sensible à l'application de la loi», distribué par les centres de fusion du Department of Homeland Security.
«Des lieux et des heures ont été identifiés pour ces manifestations, qui sont diffusées en ligne sur plusieurs plates-formes de médias sociaux de droite, 👉soit les comptes Parler et Telegram.»
👉Un certain nombre de groupes devaient se rassembler dans des villes du monde entier le 20 mars dans le cadre d'un rassemblement mondial pour la liberté et la démocratie, pour protester contre tout, des mesures de verrouillage à la 5G. «Les utilisateurs de Parler ont commenté leur intention d'utiliser les rassemblements pour se livrer à la violence. L'image 3 à droite est une capture d'écran de Parler indiquant que deux utilisateurs discutent de l'événement comme une opportunité de s'engager dans un «combat» et de «faire de sérieux dégâts» », indique le bulletin.
Le bulletin comprend des captures d'écran de publications sur les manifestations sur Facebook, Parler, Telegram et d'autres sites de médias sociaux. Les personnes mentionnées par leur nom comprennent un présumé Proud Boy et plusieurs autres dont les détails d'identification ont été inclus, mais dont les messages ne semblent contenir rien de menaçant.
👉«Les analystes d'iCOP surveillent actuellement ces canaux de médias sociaux pour détecter toute menace potentielle découlant des manifestations programmées et diffuseront des mises à jour de renseignements au besoin», indique le bulletin."
Le mépris et la violence qui suintent de cet homme misérable, moqueur et arrogant (lire l'article), pourraient teinter le discours normatif envers la population non-vaccinée d'ici très peu de temps.
Les non-vaccinés, caste inférieure et indésirable, "les sauvages", seront considérés comme les "ennemis du bien commun", des "terroristes sanitaires".
Des membres de nos propres familles, des amis et des collègues vont joindre les rangs des "humains qui détestent les humains". Ils ne le feront pas par méchanceté, mais par apprentissage conditionné.
Je crois qu'il nous faut nous préparer à ça.
En développant une compréhension du phénomène d'ingénierie comportementale (ABA), on arrive à mieux appréhender les mécanismes qui visent à susciter des réactions en vue de conditionner des réponses comportementales.
Au lieu d'être constamment choqués et troublés par "l'aveuglement" de nos proches, je crois qu'il est moins dommageable pour tout le monde de faire preuve d'empathie. De toute façon, nos arguments ont et auront très peu de poids face à une personne qui réagit d'une façon programmée.
De plus en plus, nous allons assister, bien impuissants, à une scission des citoyens: "les vaccinés" et "les non-vaccinés": les bons VS les méchants !
Vaut mieux reconnaître et accepter "leur réalité" pour ainsi préserver nos relations le plus longtemps possible. Parce qu'un jour vient où nous pourrions regretter toutes ces animosités qui nous aurons fait perdre un temps précieux avec nos proches...
Compte tenu de la présence importune de nano-particules qui n'ont rien faire dans cette solution fluorée dont l’expérimentation de ces essais sur cobayes (innocents non-prévenus) est criminellement appelée 'vaccin', le danger guette les non inoculés qui pourraient être les prochaines victimes des piqués devenus assassins !
Que nous soyons autorisés à vivre selon les décisions que nous prenons librement dans le cadre de nos droits en tant que citoyens - même lorsque la décision peut être erronée - est le test ultime pour savoir si nous sommes libres ou esclaves.
Par Dan Gelernter 22 avril 2021
Si vous faites partie d'un groupe à haut risque et que vous souhaitez vous faire vacciner, allez-y. Je ne suis pas médecin et je n’ai pas l’intention de conseiller qui que ce soit à ce sujet, mais j’en veux également que les gens me jettent des conseils non sollicités.
Je ne fais pas partie d'un groupe à haut risque. Je suis un homme jeune et en bonne santé. J'ai probablement été exposé au coronavirus (au début de la pandémie) et je n'ai jamais descendu avec. Les chances que j'attrape le virus sont extrêmement minimes, et les chances que j'en meure sont infinitésimales. De plus, les Centers for Disease Control ont publié un article qui n'a trouvé aucun risque de transmission asymptomatique. Donc, tant que je ne me sens pas malade (et aussi longtemps que je reste à la maison si je le fais), je ne vais pas donner le virus à qui que ce soit dans le cas extrêmement improbable où je le contracterai.
Un de mes amis qui est un professionnel de la santé souligne que le profil d'innocuité des vaccins Pfizer et Moderna est excellent et que leur efficacité est impressionnante. Elle dit que l'ARN est transitoire et peu susceptible de nuire à long terme. Mais elle admet également que les vaccins à ARN sont nouveaux et que nous ne comprenons pas pleinement quels pourraient être les effets à long terme.
Inconnus connus
C'est ce dernier point, qui me semble aller de soi, que nombre de mes amis contestent mon droit de prendre en considération: nous ne pouvons pas encore connaître les effets à long terme de ce type de vaccin. Ce n’est pas la faute du vaccin. Le problème, c'est le temps: il n'y en a pas eu assez.
S'il s'agissait d'une maladie comme la polio, où les jeunes et les sains étaient les plus à risque, je me ferais vacciner en un clin d'œil. Mais avec le coronavirus, une personne jeune et en bonne santé équilibre un risque très faible et connu, non vacciné, contre un risque probablement très faible mais inconnu avec le vaccin. Vous pouvez dire tout ce que vous voulez sur la façon dont nous sommes sûrs que ce vaccin est absolument, totalement sûr - mais, si nous sommes honnêtes, seul le temps nous le dira. Seul le temps peut le dire. Le bon sens devrait suffire à le rendre clair.
Et franchement, je trouve étrange que toutes les personnes qui m'ont dit qu'elles savaient avec certitude que l'hydroxychloroquine était à la fois dangereuse et inefficace sont maintenant également convaincues que ce vaccin est inoffensif et efficace. Puisque je sais qu’ils mentaient auparavant, leurs proclamations actuelles n’inspirent pas confiance. Il y a une incitation financière incroyablement massive pour les compagnies pharmaceutiques, et une incitation énergétique incroyablement massive pour le gouvernement, à avoir un vaccin sûr. Même en supposant que Big Pharma et le gouvernement sont toujours strictement véridiques, nous pourrions au moins admettre qu'un certain biais de confirmation peut exister.
Mais dans l'ensemble, il n'y a tout simplement aucun inconvénient majeur à attendre de savoir s'il y a des effets secondaires à long terme. Et, oui, je sais que la technologie des vaccins à ARN existe depuis un certain temps. Mais il n’a jamais été utilisé à grande échelle auparavant, et il ne sert à rien de prétendre qu’il l’a été.
La probabilité combinée que je reçoive le virus et que je sois tué (ou même que j'en ai un cas grave) est si faible qu'elle ressemble à zéro à moins que vous ne la preniez à plusieurs chiffres significatifs. À en juger par ma propre expérience - ce que j'ai le droit de faire - je suis beaucoup plus à risque de contracter une infection oculaire à cause du masque facial qui souffle mon souffle dans mes lunettes. Et, vraiment, respirer ce que vous venez d'expirer ainsi que toutes les ordures microscopiques qui s'accumulent dans votre masque pendant une journée ne peut pas être bon pour vous ou votre système respiratoire.
Si recevoir le vaccin signifiait que je n'avais plus à porter de masque à New York ou dans un avion, cela représenterait une véritable incitation. Mais une telle incitation n'existe pas. Et ce serait encore un piètre substitut à un argument strictement médical en faveur de l’innocuité et de l’efficacité du vaccin. Cela démontrerait au moins un niveau de confiance pratique dans le vaccin que le gouvernement n'a pas montré.
Liberté sous pression
Nul doute que de nombreux politiciens américains aimeraient un passeport vaccinal. En Europe, vous ne pouvez voyager qu'avec un classeur rempli de documents et, dans certains endroits, un code QR émis par le gouvernement. C'est encore moins convaincant et moins rassurant. Avec un vaccin sûr et efficace, les gouvernements ne devraient pas avoir à recourir à leur argument préféré («faites ce que nous voulons ou nous ruinerons votre vie»).
Le gouvernement devrait, en théorie, être prêt à apaiser mes inquiétudes par une discussion raisonnée et à accepter toute conclusion à laquelle je parviens en tant qu'individu libre. Que je sois autorisé à vivre selon les décisions que je prends librement dans le cadre de mes droits en tant que citoyen, même lorsqu'une décision peut être erronée, est le test ultime pour savoir si je suis un homme libre ou un esclave.
Mais loin d'être encouragés à prendre nos propres décisions, nous sommes également exclus de toute discussion réelle, grâce à la censure agressive des médias et des médias sociaux, combinée à la pression des pairs du genre de ceux dont ils nous parlaient au lycée. Lorsque j'ai publié sur mon profil Facebook que je n'avais pas l'intention de me faire vacciner, Facebook a immédiatement ajouté un petit message à mon message pour que mes amis puissent obtenir les vraies informations.
Mais je veux simplement savoir si le vaccin aura toujours l'air sûr dans un an. Pouvez-vous me blâmer? Beaucoup de mes amis pouvaient et l'ont fait: Certains m'ont accusé d'être un danger pour la société, d'autres pensaient simplement que j'étais un danger pour moi-même. Mais, petit à petit, d’autres amis sont arrivés pour faire remarquer que personne n’a le droit de me harceler en faisant ce que je ne veux pas faire. C'était encourageant. Pourtant, d'autres amis m'ont envoyé un message en privé pour me dire qu'ils étaient d'accord avec moi mais qu'ils avaient peur de le dire en public. Ce n'était pas si encourageant. Cela ne signifie pas non plus que nous faisons un argument efficace en faveur du vaccin qui n’implique pas de répression et d’intimidation.
On se demande combien de personnes prennent ce vaccin parce qu'elles pensent que c'est une bonne idée, par rapport à combien se sont senties obligées de le faire. Si le vaccin n’est pas pris presque exclusivement par des personnes qui croient librement que c’est une bonne idée - et je soupçonne que ce n’est pas le cas - alors nous avons un problème grave qui transcende de loin ce vaccin ou cette crise sanitaire.
La «science» est très populaire ces jours-ci. Il est désormais défini comme «une série de principes dogmatiques qui ne peuvent être remis en question ni évalués». C'est quelque peu différent de la façon dont je me souviens que la science m'avait été expliquée à l'école, quand elle faisait précisément référence au concept opposé: avoir une hypothèse testable ouverte à la révision au fur et à mesure que de nouvelles informations deviennent disponibles.
«Croire en la science», s'avère-t-il, c'est bien plus croire que la science. Il n'est guère surprenant qu'elle soit devenue une nouvelle religion pour les gens qui ont jeté le christianisme ou le judaïsme avant de se rendre compte qu'ils avaient besoin de croire en quelque chose. Invoquer la «science» avec une ferveur religieuse comme raison pour laquelle certains préceptes sont incontestables est, je pense, plus dangereux pour la société que mon propre désir d'attendre et de voir à quel point le vaccin est sûr.
Mais je suis ouvert à la persuasion. Allez-y, changez d'avis.
Recensement: TX gagne 2 sièges, CA, NY Perdez-en un alors que la carte politique des États-Unis est redessinée
Photo de Tyler Durden PAR TYLER DURDEN LUNDI 26 AVR 2021-15: 31
La première série de résultats du recensement de 2020 est arrivée et révèle que l'État rouge du Texas est sur le point de gagner deux sièges à la Chambre, tandis que la Californie et New York en perdront chacun un. Cela portera l'État rouge du Texas à un total de 38 sièges et 40 votes dans les collèges électoraux - le deuxième plus élevé derrière la Californie.
Le Colorado, la Floride, le Montana, l'Oregon et la Caroline du Nord gagnent également des sièges, tandis que les États qui perdent des sièges à la Chambre incluent également l'Illinois, le Michigan, l'Ohio, la Pennsylvanie et la Virginie-Occidentale.
Les États qui ont remporté des sièges sont en grande partie ceux remportés par l'ancien président Donald Trump en 2020, tandis que les États que Biden a remportés lors de l'élection sont des "perdants" selon Bloomberg.
Et parce que le collège électoral prend en compte la représentation à la Chambre, ces États perdront leur influence lors du scrutin présidentiel de 2024.
Il y a un point positif pour les démocrates, car les changements démographiques signifient également que les bastions républicains tels que le Texas deviennent plus démocrates, rapprochant le parti de son objectif à long terme de déplacer un jour l'État Lone Star de la colonne républicaine.
Selon le Bureau du recensement, la population américaine a augmenté de 7,4% au cours de la dernière décennie pour atteindre un total de 331 449 281 personnes.
Le décompte de toutes les personnes vivant aux États-Unis, mandaté par la Constitution, a été retardé en raison des efforts infructueux de l'administration Trump pour retirer les immigrants sans papiers du décompte, ce qui aurait probablement augmenté le nombre de districts tenus par le GOP au prochain Congrès.
Le Bureau du recensement a annoncé la première tranche de chiffres lors d'une conférence de presse lundi à 15 heures. Des données plus détaillées sur la démographie seront publiées le 16 août. Elles montreront la croissance dans divers centres de population, ce qui guidera les États dans la redéfinition des cartes des districts du Congrès.
Les 'experts de la santé' encouragent les mandats de masque permanent alors que le CDC lève les restrictions à l'extérieur
PAR TYLER DURDEN MARDI 27 AVR 2021 - 12:22
Mise à jour (1220ET): Tout comme Fauci l'avait laissé entendre, les personnes entièrement vaccinées peuvent s'aventurer à l'extérieur sans masque, selon les directives mises à jour des Centers for Disease Control and Prevention publiées mardi. Les directives s'appliquent aux personnes entièrement vaccinées, que les responsables de la santé classent comme deux semaines après la deuxième dose des vaccins Pfizer ou Moderna et deux semaines après le vaccin à dose unique Johnson & Johnson.
"Le CDC ne peut pas fournir le niveau de risque spécifique pour chaque activité dans chaque communauté, il est donc important de considérer votre propre situation personnelle et le risque pour vous, votre famille et votre communauté avant de vous aventurer sans masque", a déclaré Rochelle Walensky, directrice du CDC dans remarques préparées.
Les personnes vaccinées peuvent démasquer tout en:
Faire des activités physiques à l'extérieur seul ou avec des membres de votre ménage comme la marche, la course, la randonnée ou le vélo.
Assister à un petit rassemblement en plein air avec des personnes entièrement vaccinées ou un mélange de personnes vaccinées et non vaccinées.
Dîner dans un restaurant en plein air avec des amis de plusieurs ménages.
Les directives actuelles sur les personnes vaccinées à l'intérieur et en voyage s'appliquent toujours.
Restez sain d'esprit en Amérique ...
* * *
Et tout cela intervient alors que Paul Joseph Watson de Summit News rapporte que les experts en santé insistent pour que le CDC mette en œuvre des mandats de masque permanent même après la fin de la pandémie COVID-19.
Bien que de nombreuses régions des États-Unis commencent à s'ouvrir à nouveau et que des preuves anecdotiques suggèrent une baisse significative du nombre de personnes portant régulièrement des masques, certaines détestent revenir à la normale.
«Nous avons constaté les avantages du masquage», a déclaré la directrice de la santé, le Dr Nicole Alexander-Scott, au Providence Journal.
"Il peut donc y avoir une nouvelle forme de normalité où les masques ne doivent pas nécessairement disparaître."
Ses sentiments ont été repris par le Dr Leonard A. Mermel, directeur médical de l'épidémiologie et du contrôle des infections à l'hôpital de Rhode Island, qui a déclaré que le fait de porter des masques tout le temps en valait la peine pour arrêter la propagation d'autres virus en dehors du COVID-19.
«Dans le système Lifespan, nous voyons beaucoup moins de tous les virus respiratoires que nous sommes habitués à en voir à ce moment de l'année civile… C'est donc impressionnant: les stratégies de prévention COVID ont un impact sur d'autres virus respiratoires, ce qui est tout simplement logique : ils se propagent de la même manière », a déclaré Mermel.
«Cela ne me surprendrait pas si cela devenait une recommandation du CDC», a-t-il déclaré.
"C'est un prix assez bas à payer pour essayer de réduire le risque pour soi-même et pour les êtres chers en particulier qui peuvent être particulièrement exposés à ce type d'infections causant des dommages", a-t-il ajouté.
D'autres experts ont fait valoir que l'impact des virus ne sera plus grave à long terme que si le système immunitaire humain ne peut être testé par de nouvelles infections, ce qui nuit à l'immunité du troupeau.
- voir clip sur site -
Les professionnels de la santé tentent toujours de faire en sorte que les mandats de masque deviennent une partie de la «nouvelle normalité» malgré que le Dr Anthony Fauci ait reconnu hier qu'il serait «de bon sens» pour le CDC de commencer à assouplir les mesures.
"Je veux dire, si vous êtes une personne vaccinée, portant un masque à l'extérieur, je veux dire, évidemment, le risque est minime", a déclaré Fauci à cette semaine à ABC.
«De toute évidence, le risque est vraiment très faible, en particulier si vous êtes vacciné», a-t-il ajouté.
Pendant ce temps, une nouvelle étude du Massachusetts Institute of Technology a révélé qu'il y a «peu d'avantages» aux règles de distance sociale de 6 mètres et que les personnes qui sont jusqu'à 60 pieds de distance courent les mêmes risques.
«La distance ne vous aide pas beaucoup et cela vous donne également un faux sentiment de sécurité parce que vous êtes aussi en sécurité à 6 pieds qu'à 60 pieds si vous êtes à l'intérieur», a déclaré à CNBC le professeur d'ingénierie du MIT, Martin Bazant.
Tucker Carlson dit que les personnes qui portent des masques à l'extérieur devraient être ridiculisées
PAR TYLER DURDEN MARDI 27 AVR 2021-11: 29 Rédigé par Paul Joseph Watson via Summit News,
Les gauchistes ont réagi avec fureur après que l'animateur de Fox News, Tucker Carlson, ait déclaré que les personnes qui portaient des masques à l'extérieur devraient être ridiculisées et que les parents qui faisaient porter leurs enfants se livraient à des «abus envers les enfants».
Carlson a noté que les masques étaient «purement un signe d'obéissance politique comme les épinglettes de Kim Il-Sung à Pyongyang» et que les seules personnes qui portent volontairement des masques à l'extérieur sont «des fanatiques et des névrosés».
Il a ensuite affirmé que les tables devraient être retournées contre les électeurs de Biden qui harcèlent les conservateurs depuis près d'un an pour ne pas porter de masque en public.
«Le reste d’entre nous devrait leur gronder d’abord, ce sont eux les agresseurs - c’est notre travail de les repousser et de restaurer la société dans laquelle nous sommes nés», a déclaré Carlson.
«Alors la prochaine fois que vous verrez quelqu'un masqué sur le trottoir ou sur la piste cyclable, n'hésitez pas. Demandez poliment mais fermement: «Voudriez-vous s'il vous plaît enlever votre masque ? La science montre qu'il n'y a aucune raison pour que vous le portiez. Votre masque me met mal à l'aise », a-t-il ajouté.
«Nous devrions le faire et continuer à le faire jusqu'à ce que le port d'un masque à l'extérieur soit à peu près aussi socialement accepté que d'allumer un Marlboro dans un ascenseur.»
L'animateur de Fox News a ensuite qualifié le port de masque de «répugnant» tout en affirmant que forcer les enfants à porter des masques à l'extérieur devrait être illégal.
«Votre réponse lorsque vous voyez des enfants porter des masques pendant qu'ils jouent ne devrait pas être différente de votre réponse lorsque vous voyez quelqu'un battre un enfant chez Walmart. Appelez la police immédiatement. Contactez les services de protection de l'enfance. Continuez d'appeler jusqu'à ce que quelqu'un arrive », a déclaré Carlson.
«Ce que vous regardez, ce sont des abus, des abus sur des enfants, et vous êtes moralement obligé d'essayer de les empêcher», a-t-il ajouté.
Comme prévu, Carlson a immédiatement commencé à suivre les tendances sur Twitter, avec des gauchistes hystériques hyperventilant au-dessus de Tucker, défiant une fois de plus leur culte. Beaucoup ont demandé que l'animateur de Fox News soit licencié tandis que d'autres le décrivaient ridiculement comme une «menace pour la sécurité nationale».
Comme nous l'avons souligné hier, même le Dr Fauci admet maintenant que le risque de propagation de COVID par des personnes vaccinées à l'extérieur est «minuscule», et pourtant certains professionnels de la santé font pression pour que les mandats de masque soient permanents.
La transmission du COVID-19 à l'extérieur est presque inexistante, ce qui fait des mandats de masque simplement un outil politique de contrôle de la population.
Dans une récente lettre ouverte au gouvernement allemand et aux premiers ministres des États, cinq membres éminents de l'Association pour la recherche sur les aérosols (GAeF) ont écrit: «La transmission des virus SARS-CoV-2 a lieu à l'intérieur presque sans exception. La transmission à l'extérieur est extrêmement rare et n'entraîne jamais d'infections en grappes comme on peut l'observer à l'intérieur. »
Bill Gates double son opposition au mouvement «Open Vaccine»
PAR TYLER DURDEN MARDI 27 AVR 2021 - 02:45
Environ un an après que la Fondation Bill et Melinda Gates a pris le contrôle de la réponse mondiale au COVID-19 dans le but de fournir un "accès équitable" à un vaccin, Bill Gates & Co. a accompli le contraire: l'accélérateur ACT Covid-19 Le mécanisme, soutenu par la Fondation Gates, a une politique déclarée de respect des droits de propriété intellectuelle exclusifs des fabricants de médicaments occidentaux. Dans le même temps, la solution alternative soutenue par l'OMS, connue sous le nom de Covid-19 Technology Access Pool, ou C-TAP, qui était censée favoriser un pool open-source de technologies de vaccins et de médicaments, a pour la plupart échoué.
Alors que l'épidémie de COVID-19 de la deuxième vague de l'Inde devient incontrôlable, de plus en plus de parties se sont manifestées pour critiquer Gates pour son soutien à la protection de la propriété intellectuelle. Compte tenu de la rareté des médicaments, il y a eu de plus en plus d'appels de pays comme l'Inde et l'Afrique du Sud, d'organisations internationales de secours et d'autres personnalités publiques pour qu'ils renoncent à la protection de la propriété intellectuelle afin que les pays les plus pauvres puissent accéder plus rapidement aux vaccins. Le directeur général de l'OMC, le Dr Ngozi Okonjo-Iweala, a dirigé une foule de pays émergents dans une tentative de renoncer à la protection de la propriété intellectuelle, faisant valoir qu'il existe de nombreuses installations qui pourraient augmenter la production dans les mois à venir.
Mais alors que la pression pour reconsidérer cette position augmente, Gates a insisté lors d'une interview lundi avec Sophy Ridge de Sky News sur le fait que supprimer les protections IP des recettes de vaccins ne serait pas utile. Interrogé à bout portant sur le problème, Gates a répondu par un «non» catégorique.
"Ce qui retient les choses dans ce cas, ce n'est pas la propriété intellectuelle. Ce n'est pas comme s'il y avait une usine de vaccins inactive, avec l'approbation réglementaire, qui fabrique des vaccins magiquement sûrs. Vous savez, vous devez faire l'essai sur ces choses. Chaque le processus de fabrication doit être examiné de manière très prudente », a expliqué Gates. "Il y a toutes sortes de problèmes liés à la propriété intellectuelle liés aux médicaments. Mais pas en termes de rapidité avec laquelle nous avons pu augmenter le volume ici."
Regardez l'interview complète ci-dessous: - voir sur site -
Selon Gates, sa fondation a contribué à accélérer le rythme des tests et de la conception des vaccins de plusieurs années. Dans le passé, il aurait probablement fallu des décennies aux pays pauvres pour s'approvisionner auprès des États riches qui les ont conçus. «En général, dans le domaine de la santé mondiale, il faut une décennie entre le moment où un vaccin arrive dans le monde riche et celui où il pénètre dans les pays pauvres», a déclaré Gates.
Bien que Gates ne puisse apparemment pas voir au-delà de la façon dont les choses se passaient dans le passé, les critiques ont rapidement souligné que des pays comme les États-Unis stockaient déjà plus de vaccins qu'ils ne pouvaient en utiliser. Et tandis que Gates insiste sur le fait qu'il n'y a aucune usine dans le monde en développement capable de fabriquer des jabs occidentaux brevetés, le Serum Institute de l'Inde est un exemple évident de la façon dont ce n'est tout simplement pas le cas. De plus, de nombreux pays qui poussent à la dérogation à la propriété intellectuelle des vaccins à l'OMC ont identifié des installations où la production de vaccins peut être accélérée rapidement.
Les opposants à cette approche au sein de l'industrie pharmaceutique se bousculent pour faire pression sur l'administration Biden pour qu'elle s'oppose à la demande de dérogation à l'OMC après un récent discours de Katherine Tai, la plus haute responsable du commerce de Biden, a stipulé que Washington "examinerait quelles modifications et réformes" pourraient être. appliquée aux règles de propriété intellectuelle. Entre autres risques, Big Pharma soutient qu'un vaccin «ouvert» profiterait à des rivaux américains comme la Chine et la Russie.
Mais la réalité est que des milliards d'habitants du monde en développement en bénéficieront, tandis que les sociétés pharmaceutiques et l'industrie pharmaceutique internationale risquent de rater certains bénéfices.
"Il est sur le point de s'aggraver": les chaînes d'approvisionnement implosent alors que "le prix n'a même plus d'importance"
PAR TYLER DURDEN MARDI 27 AVR 2021 - 14:15 Par Greg Miller, de FreightWaves,
Le nombre de porte-conteneurs bloqués au mouillage au large de Los Angeles et de Long Beach est tombé à environ 20 par jour, contre 30 il y a quelques mois. Cela signifie-t-il que la pénurie de capacité sur le marché transpacifique s'atténue enfin ? Absolument pas, a averti Nerijus Poskus, vice-président de l'océan mondial chez le transitaire Flexport. «Ça ne va pas mieux. Cela empire », a-t-il déclaré à American Shipper dans une interview lundi.
«Ce que je vois est sans précédent. Nous assistons à un tsunami de fret », a-t-il rapporté.
«Pour le mois de mai, tout sur le transpacifique est pratiquement épuisé. Nous avions un client qui avait besoin de quelque chose chargé en mai qui était extrêmement urgent et qui était prêt à payer 15 000 $ par conteneur. Je n'ai pas pu le charger - et nous sommes une entreprise en pleine croissance qui expédie beaucoup d'EVP [unités équivalentes à vingt pieds]. Le prix n'a même plus toujours d'importance. "
Réapprovisionnement des volumes de conduite plus élevés
Poskus a déclaré que les volumes d'importations transpacifiques étaient toujours en hausse. Il a noté que les importations transpacifiques de janvier étaient en hausse de 10 % par rapport à 2019 (les comparaisons avec les chiffres de 2020 sont faussées par COVID) et de 13,5 % en février, puis ont bondi de 51 % en mars. "Donc, nous sommes maintenant à 1,5 fois les niveaux d'avant la pandémie."
Les importations dépassant de loin la croissance des ventes au détail, il a attribué les volumes au réapprovisionnement des stocks. «Le réapprovisionnement affecte en fait le commerce encore plus que la croissance de la demande. Cela me dit que cela durera encore plus longtemps. Supposons que la demande des consommateurs américains ralentisse au troisième et au quatrième trimestre. Ce n’est pas prévu, mais même si c’est le cas, [la disponibilité de la capacité et les tarifs] ne devraient pas s’améliorer rapidement, simplement en raison de l’énorme demande de réapprovisionnement. »
Poskus pense également qu'il y a un arriéré d'exportation croissant qui s'accumule chaque jour en Asie, dans l'attente des créneaux disponibles pour les navires. Si cet arriéré devient trop important, il a déclaré: "Honnêtement, je ne sais pas ce qui va se passer." En raison de l'arriéré et de la demande de réapprovisionnement, il pense que "les prix resteront élevés et les expéditions resteront probablement difficiles pour le reste de l'année. Et après cela, vous aurez le pic pour le Nouvel An chinois en 2022".
Il a dit que la situation d’aujourd’hui était la pire dont il ait été témoin - et il pense qu’elle est sur le point de devenir encore plus grave.
«Bouclez votre ceinture. Le mois de mai sera le pire que les gens aient jamais vu », a-t-il prédit. Étant donné que certains expéditeurs devront faire la queue derrière l'arriéré croissant en Asie, il s'attend à ce que «ce qui va se passer bientôt, c'est que certains importateurs ne pourront même pas monter sur le bateau. Pour eux, ils auront presque l'impression que le commerce est en train de s'arrêter. »
Les commentaires de Poskus reflètent les données sur les réservations de fret. La plate-forme SONAR de FreightWaves comprend un index exclusif des réservations océaniques des expéditeurs (SONAR: IOTI.USA). Les réservations vers les États-Unis sont mesurées en EVP sur une base de moyenne mobile sur 10 jours à compter de la date prévue du départ à l'étranger. Lundi, l'indice était à un nouveau niveau record et les données sur les réservations à terme ont montré une hausse continue à venir.
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(Graphique: FreightWaves SONAR. Pour en savoir plus sur FreightWaves SONAR, cliquez ici.) Reconnaître les primes avec vengeance
Vendredi, le Freightos Baltic Daily Index a évalué le taux au comptant Asie-Côte Ouest (SONAR: FBXD.CNAW) à 4797 $ par unité équivalente quarante pieds (FEU) et le taux Asie-Côte Est (SONAR: FBXD.CNAE) à 6 306 $ par FEU - deux niveaux presque sans précédent.
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(Graphique: FreightWaves SONAR. Pour en savoir plus sur FreightWaves SONAR.)
Mais ce n’est qu’une partie de l’histoire des taux. «Les index ne sont pas des factures. Les primes ne sont pas reflétées dans les indices », a déclaré Poskus. Plus tôt cette année, certains des frais de prime ont diminué à mesure que la disponibilité des conteneurs en Asie s'est améliorée. C’est inversé, a déclaré Poskus, qui a noté que l’incident Ever Given dans le canal de Suez a retiré du marché l’équipement de conteneurs. «Les pénuries de conteneurs en Asie sont à nouveau très graves en raison de l'Ever Given, et il faudra encore quatre à six semaines pour revenir à la normale.»
Les primes supplémentaires pour charger les marchandises au comptant «sont de retour et elles sont plus élevées qu’avant», a-t-il déclaré. "Ils sont de 2 000 $ à 3 000 $ au-dessus du FAK [prix au comptant] et c'est le meilleur des cas."
Le fret au comptant qui a été réservé 21 jours auparavant et qui était prévu dans le cadre de l’allocation de l’expéditeur reçoit toujours des prix FAK sur place, a-t-il noté. Cependant, «tout à la dernière minute est essentiellement une vente aux enchères gratuite pour tous. Vous offrez essentiellement autant d'argent que vous le pouvez et espérez que quelqu'un le prendra. De nombreux importateurs sont actuellement en difficulté. Nous voyons tellement de nouveaux clients qui nous approchent pour nous demander de l’aide parce qu’ils ne peuvent pas être chargés. »
Une récente présentation de Xeneta, une société qui collecte des données sur les contrats, a montré que les contrats Asie-Côte Ouest en cours de négociation cette année à des niveaux environ 30 à 50% plus élevés que l'année dernière.
Les chiffres de Poskus sont environ le double de ceux de Xeneta. «Nous assistons à des augmentations de prix fixes légèrement supérieures à 100% sur la côte ouest de l'Asie et d'environ 75% sur la côte est de l'Asie», a-t-il déclaré. «En outre, presque tous les tarifs contractuels sont soumis à des suppléments de haute saison [PSS], de sorte que les prix ne sont pas exactement fixes. Je pense que les PSS réduiront l'écart entre le marché au comptant et le marché fixe. »
Interrogé sur les expéditeurs qui n’ont pas encore conclu leurs contrats annuels, il a déclaré: «Si vous voulez un prix fixe sur le marché d’aujourd’hui, la réponse que vous obtiendrez des transporteurs est qu’il est trop tard. Nous avons conseillé à de nombreux importateurs de signer tôt car la saison des contrats transpacifiques se terminerait [tôt] car il y a plus de demande que d'offre. Et c’est exactement ce qui s’est passé. »
Il existe des exceptions, comme les grands expéditeurs avec des contrats de juin à juin qui ont entamé des discussions avec les transporteurs plus tôt cette année. «Mais si vous n'êtes qu'un simple importateur et que vous n'avez pas encore signé votre contrat fixe, vous serez sur le marché au comptant», a déclaré le vice-président de Flexport.
Conseils aux importateurs Poskus a offert plusieurs conseils aux importateurs qui se démènent pour acheminer des conteneurs vers les États-Unis.
Il a noté que les transporteurs ont besoin de conteneurs frigorifiques sur le marché américain pour les exportations réfrigérées vers l'Asie. Sur le chemin du retour d'Asie, ces reefers sont hors tension et peuvent être utilisés comme reefers non opérationnels (NOR) pour transporter des cargaisons sèches. «Croyez-le ou non, les transporteurs déplacent toujours certains NOR vides parce que les importateurs ne les aiment pas. Il s'agit d'une occasion manquée de déplacer des marchandises dans les NOR. Mon conseil est le suivant: prenez cette option. Si vous recherchez la meilleure solution sur ce marché, vous allez voir encore plus de retards. "
Il a également suggéré de déplacer la cargaison via des envois à chargement limité (LCL). «LCL est toujours en mouvement. Bien sûr, vous ne pouvez pas déplacer des milliers de conteneurs LCL, mais si vous avez quelque chose d'urgent, vous pouvez toujours obtenir de l'espace pour LCL lors des traversées de mai. Au lieu d'attendre, divisez certaines de vos expéditions en expéditions LCL et obtenez au moins un inventaire », a-t-il déclaré.
Encore une autre option: soyez créatif avec les itinéraires. Par exemple, les traversées directes Chine-côte ouest peuvent être épuisées, mais le fret peut être acheminé de Chine via le canal de Panama à Carthagène, en Colombie, puis de nouveau par le canal vers la côte ouest. «Il a un temps de transit plus long, mais il peut être chargé dans la même semaine et c'est une option plutôt que d'attendre un mois et demi pour être chargé [pour l'itinéraire direct]», a-t-il déclaré.
«Il suffit de transporter votre cargaison vers le continent nord-américain et de là, vous pouvez l'acheminer là où elle doit aller, que ce soit avec NOR ou LCL ou en transbordant [via des hubs comme Carthagène] ou en l'expédiant au Canada et en la mettant ensuite sur le rail. à Chicago et à New York. Ce sera cher, mais au moins il y arrivera.
«Il faut être flexible. Recherchez n'importe quel itinéraire et soyez créatif. C’est une cible mouvante. Et n’attendez pas. Si quelque chose s'ouvre, agissez vite.
Les chiffres officiels confirment : il n'y a pas de « pandémie Covid »
RépondreSupprimerHannibal Genséric
Réseau International
lun., 26 avr. 2021 14:33 UTC
Selon l'Office des Statistiques nationales (ONS) de Grande Bretagne, il n'y a pas de « pandémie » ni même une flambée de décès excessifs. Un coup d'œil sur les taux de mortalité de l'ONS au cours des trente dernières années révèle peu de différences significatives entre le nombre de décès au plus fort de la prétendue « pandémie » de Covid-19 en 2020 et le nombre de décès en 1990, ou même n'importe quelle année de ces 30 dernières années.
Oui, il y a eu 43 156 décès de plus en 2020 qu'en 1990, mais c'est uniquement parce que la population était proportionnellement plus importante. Au cours de cet intervalle, la population britannique avait augmenté de plus de 9 millions par rapport au chiffre de 1990.
Donc, lorsque vous en tenez compte dans l'équation, il n'y a pas de croissance appréciable du nombre de décès excessifs.
En d'autres termes, en termes de données statistiques concrètes, il n'y a pas de pandémie. Malgré tout le tapage, la « pandémie » de Covid-19 est une crise qui a été en grande partie créée par des politiciens marrons corrompus par Big Pharma et autres super riches, travaillant en collaboration avec des médias corrompus et dociles.
- voir tableau sur site -
Durant les 30 années, le taux moyen de morts pour 100 mille personnes est de 983. Les taux de morts dans les années 1990 à 2002 sont plus élevés que celui de l'année 2020, année de la fausse pandémie.
Bien que le Royaume-Uni soit censé être en proie à une « pandémie » mortelle, il y a eu plus de morts en 1990 que l'année dernière, le début de la « pandémie » de Covid-19. Ce n'est pas une spéculation. C'est officiel, ces chiffres proviennent de l'Office des Statistiques nationales.
En d'autres termes, Covid-19 est en grande partie une « pandémie hystérique » créée par les médias. Cela ne veut pas dire que Covid-19 n'est pas réel. C'est simplement que l'ampleur et la gravité de son impact sont largement exagérées, pour tenter de pousser les masses à se faire vacciner.
- voir photos des criminels sur site -
Comparaison avec de vraies pandémies
Version globalisée de l'épidémie, la pandémie se caractérise par une propagation rapide et un taux de mortalité élevé. Les grandes pandémies ont causé un taux de morts allant de 30% à 50% des vivants. Avec la COVID, on en est à des taux standards de morts, avec ou sans Covid. Transmises par des virus ou bactéries inconnus à leur époque, les véritables pandémies ont tué des millions de personnes et marqué l'histoire de l'humanité.
La peste d'Athènes (-430 à -426 avant J.C)
Première pandémie documentée de l'histoire, la peste d'Athènes est en réalité probablement due à une fièvre thyphoïde. Décrite par l'historien Thucydide, lui-même touché par la maladie, la maladie se manifeste par des fièvres intenses, des diarrhées, des rougeurs et des convulsions. Venue d'Éthiopie, elle frappe ensuite l'Égypte et la Libye, puis arrive à Athènes au moment de siège de ville de Sparte, lors de la guerre du Péloponnèse. On estime qu'un tiers de la ville, soit 200 000 habitants, vont périr lors de cette épidémie qui marquera le début du déclin d'Athènes.
La peste Antonine (165-166)
RépondreSupprimerLà encore, cette pandémie n'est pas due à la peste mais à la variole. Elle tient son nom de la dynastie des Antonins, dont est issu l'empereur Marc-Aurèle, qui régnait alors sur l'empire romain. La pandémie débute à la fin de l'année 165 en Mésopotamie, durant la guerre contre les Parthes et atteint Rome en moins d'un an. Selon les estimations, elle aurait causé 10 millions de morts entre 166 et 189, affaiblissant considérablement la population romaine. La variole, causée par un virus et caractérisée par des rougeâtres, des diarrhées et vomissements, a été déclarée éradiquée en 1980.
La peste noire (1347-1352)
Après avoir sévi en Chine, la pandémie de peste noire arrive en 1346 en Asie centrale, parmi les troupes mongoles assiégeant le port de Caffa, sur la mer Noire, tenu par des marchands génois. La maladie, se manifestant par d'horrible bubons, se propage ensuite à l'Afrique du Nord puis à l'Italie et à la France, où elle arrive par le port de Marseille via des navires génois. On estime que cette épidémie, aussi surnommée « la grande peste », a fait entre 25 et 40 millions de morts en Europe, soit entre un tiers et la moitié de sa population de l'époque.
- voir carte sur site -
La grippe espagnole (1918-1919)
Causée par un virus de type A H1N1 particulièrement virulent, la grippe espagnole est en réalité d'origine asiatique. Elle arrive ensuite aux États-Unis, puis traverse l'Atlantique par les soldats venus aider la France. Si elle est qualifiée de grippe espagnole, c'est parce que le pays, non soumis à la censure et à la guerre, fait état des premières nouvelles alarmantes. Lorsqu'elle s'éteint, en avril 1919, le bilan est effroyable. La grippe espagnole a tué 20 à 30 millions de personnes en Europe et jusqu'à jusqu'à 50 millions à l'échelle mondiale, n'épargnant pratiquement aucune région du globe. On estime qu'un tiers de la pollution mondiale a été infecté.
Le choléra (1926-1832)
Endémique depuis plusieurs siècles dans le delta du Gange en Inde, le choléra gagne la Russie en 1930, puis la Pologne et Berlin. Il débarque en France en mars 1832 via le port de Calais, puis arrive à Paris. Se manifestant par des diarrhées brutales et des vomissements, le choléra (dont on ne connait alors pas la cause, la bactérie Vibrio choleræ) entraîne une déshydratation rapide, aboutissant parfois à la mort en quelques heures. L'épidémie causera près de 100 000 morts en moins de six mois en France, dont 20 000 à Paris. Elle va ensuite gagner le Québec via les immigrants irlandais, où elle fera également des ravages.
https://fr.sott.net/article/37090-Les-chiffres-officiels-confirment-il-n-y-a-pas-de-pandemie-Covid
Le National Health Service britannique passe aux aveux sur le nombre de décès liés au Covid-19
RépondreSupprimerNicole Delépine
Mondialisation.ca
lun., 26 avr. 2021 22:44 UTC
Après le CDC (1), le NHS [système de la santé publique du Royaume-Uni] (2) britannique passe aux aveux sur le nombre de décès liés au Covid-19. « Ils vous mentent - Les données officielles du NHS montrent que seulement 3 542 personnes sont réellement mortes de COVID-19 » [3]
" Restez à la maison pour nous aider a sauver des vies "
À l'instar des Français, les Anglais ont été confinés pendant de longs mois avec, comme chez nous, le slogan mensonger « sauvez des vies » destiné à calmer les peuples. Le journal « the Daily News » revient sur les milliers de vies perdues faute de soins, faute de travail et de ruines des entreprises.
Le peuple anglais (comme le nôtre) a toléré l'intolérable pour sauver des vies. On lui a fait croire que 125 000 personnes étaient décédées directement du Covid-19 et que beaucoup plus seraient décédés sans les mesures de confinement. En France, le Président surfe sur les « cent mille morts » qui sont aussi très contestables et contestés.
Aujourd'hui l'énormité du mensonge dont ont été victimes les Anglais est démontrée par l'examen des données officielles du NHS résumées dans le document « Covid-19 et décès totaux » que les journalistes du Daily ont examiné en détail.
Un tableau fournit la ventilation des 86 308 décès présumés de Covid-19 survenus jusqu'au 31 mars 2021 en nombre de personnes ayant une maladie préexistante et en personnes dépourvues de maladie préexistante.
Sur les 86 308 décès survenus chez des personnes avec résultat positif au test de dépistage du « Covid », 82 766 le sont des suites de conditions préexistantes. Seulement 3 542 personnes sans comorbidités connues sont mortes.
Cela ne signifie pas que les 3 542 morts sans conditions préexistantes connues soient effectivement morts de Covid-19. Cela signifie simplement qu'ils n'avaient pas d'autres maladies connues susceptibles de les tuer. Il est tout à fait possible qu'ils soient morts d'autres causes, comme d'un accident de voiture par exemple.
ENREGISTREMENT DE TOUS DÉCÈS DE PATIENTS POSITIFS EN COVID-19
C'est tout à fait possible car les ordres ont été d'emblée d'enregistrer les décès « comme Covid » pour toute personne décédée dans les 28 jours suivant la réception d'un test positif pour le SRAS-CoV-2 !
Sur les 82 766 décès survenus dans les hôpitaux chez des personnes avec test positif pour le SRAS-CoV 2 et affections préexistantes, 14 090 d'entre eux avaient une maladie rénale chronique. « Cela représente plus de 11,2 % des 125 000 morts qui ont été utilisés pour justifier la tyrannie dictatoriale de l'année écoulée ».
Le NHS liste 62 054 de ces conditions sous-jacentes comme « autres » ; 13 391 des 82 766 décès étaient dus à une maladie pulmonaire chronique, 13 495 étaient atteints de démence et 8 544 avaient une maladie cardiaque, tous présumés « Covid ».
602 DÉCÈS CHEZ LES MOINS DE 60 ANS SANS MALADIES PREEXISTANTE !
Le plus grand nombre de décès à test positif (45 127) est survenu chez les personnes âgées de plus de 80 ans souffrant de maladies graves préexistantes.
Chez les personnes âgées de 60 à 79 ans à test positif et comorbidités, 31 522 décès ont été comptabilisés.
Chez les moins de 60 ans, depuis le début de l'épidémie, dans les hôpitaux anglais, il n'y a eu que 602 décès survenus chez des personnes testées positives sans comorbidités, et 5 569 chez des personnes testées positives et souffrant de maladie préexistante.
Le Daily se demande l'intérêt des autorités anglaises d'avoir bloqué toute une population qui ne risquait pratiquement rien du Covid-19.
RépondreSupprimer« Les écoliers ont vu leur éducation stoppée, les adolescents ont vu leur jeune vie ruinée, de nouveaux parents ont été laissés isolés pour lutter seuls sans l'aide de leurs familles, la liste est sans fin ».
La majorité des décès qui peuvent effectivement être dus au Covid-19 (seulement 3 542 en tout) se sont produits, dans la très grande majorité chez des personnes âgées de plus de 75 ans.
Le gouvernement britannique a fourni une carte des « décès survenus dans les 28 jours suivant un test positif » par date de décès et par âge.
Les décès covid les plus fréquents se sont produits chez les personnes âgées de 90 ans et plus.
Le groupe d'âge suivant avec le plus de décès étant 85-89, puis 80-84 et ainsi de suite. Il y a une diminution générale du nombre de décès jusqu'à environ 65-69 ans.
Ensuite nous voyons une chute spectaculaire (proche de zéro) pour les personnes âgées de moins de 60 ans.
« L'espérance de vie moyenne au Royaume-Uni est de 81 ans. Pourtant, le Royaume-Uni a appliqué la tyrannie dictatoriale, détruit l'économie, décimé les entreprises et les moyens de subsistance des gens et créé un flot de problèmes de santé mentale pour éviter la mort de gens qui ont vécu plus longtemps que l'espérance de vie moyenne de 81 ans ».
IT'S ALL A LIE Le 13 avril 2021 dans « Breaking News »
L'enquête sur les données Office national des statistiques National Health Service pour l'année de Covid-19 révèle le plus grand mensonge du siècle.
- voir tableau sur site -
Notes :
[1] Center for disease control and prevention USA
[2] National Health Service (NHS) système de la santé publique du Royaume-Uni, fournit l'essentiel des soins en Grande-Bretagne, fondée en 1948
[3] They're lying to you - Official NHS data shows only 3.5K have died of COVID-19 - Daily Expose
https://fr.sott.net/article/37091-Le-National-Health-Service-britannique-passe-aux-aveux-sur-le-nombre-de-deces-lies-au-Covid-19
Deux personnes décédées du Covid-19 à Cayenne avaient été vaccinées quelques semaines auparavant
RépondreSupprimerCatherine Lama
France Info
lun., 26 avr. 2021 18:58 UTC
Deux personnes sont décédées du covid-19 à l'hopital de Cayenne alors qu'elles étaient vaccinées depuis plusieurs semaines. Elles étaient dans un état de grande fragilité. Les autorités sanitaires préconisent une troisième dose de vaccin pour les patients sévèrement immunodéprimés.
Commentaire : Pour les achever à coup sûr, au cas où deux doses n'auraient pas suffi ?
Ces deux victimes du covid-19 présentaient "des antécédents de lourdes comorbidités et un état de très grande fragilité" et pour l'une d'elle "un trouble du système immunitaire".
La vaccination intervenue au mois de février n'aura pas suffi à les protéger. Aussi l'ARS préconise pour ce type de patients sévèrement immunodéprimés, l'injection d'une troisième dose de vaccin 4 semaines après qu'ils aient reçu la seconde dose.
Des analyses sont en cours pour déterminer la souche exacte du virus en cause.
https://fr.sott.net/article/37089-Deux-personnes-decedees-du-Covid-19-a-Cayenne-avaient-ete-vaccinees-quelques-semaines-auparavant
Et si cette « pandémie » n'était qu'une préparation mentale pour la suite ?
RépondreSupprimeragoravox.fr
lun., 26 avr. 2021 15:22 UTC
Nous sommes toutes et tous manipulables. Doués d'émotions, conditionnés depuis notre naissance, nous voguons à chaque instant dans une réalité virtuelle où nos illusions (la plupart du temps inconscientes), remplacent le plus souvent la réalité de nos existences. Ce que nous voyons ou pensons est, pour une large majorité du temps, une projection déformée de cette réalité.
Nous avons construit nos croyances et nos certitudes sur la base de connaissances distillées par des êtres plus ou moins bien intentionnés, nous piégeant ainsi dans une prison mentale dont il est difficile de s'extraire.
Il est toujours plus facile de tromper les gens que de les convaincre qu'ils se font fait tromper.
Les techniques de manipulations, les répétitions d'images, de mots, jouent un rôle important dans ce qui s'en vient. Car, après réflexion, j'ai le sentiment que le Covid est un exercice de préparation mentale.
« Encore un article de complotiste » diront certains. Peut-être. Peut-être pas. Je ne fais que conjecturer ici.
La genèse de ma petite bafouille est liée à une des dernières vidéos de Project Veritas (https://www.youtube.com/watch?v=Dv8Zy-JwXr4). Le sujet principal concerne la propagande anti-Trump déployée par CNN durant la dernière campagne présidentielle mais, ce qui m'a surtout interpelé, c'est l'aveu concernant l'utilisation de « narratif » par les médias et que le prochain concernerait la crise du « changement climatique ».
On peut même parier que le mot changement sera très prochainement renommé en « urgence ». Il faut bien faire sonner l'alarme de catastrophe imminente dans toutes les têtes.
Mettons quand même les choses au clair : Je ne nie pas que le dérèglement climatique existe. Comme je ne nie pas que le Covid 19 existe.
En revanche, l'histoire que l'on nous raconte sur ces deux réalités, dont l'origine de ces crises, est peut-être légèrement, voire beaucoup, « bidouillée » pour arriver à des fins très utiles pour certains.
Ce qui m'a fait tilt c'est de rapprocher la vidéo de Project Veritas à un des derniers articles du voyant Attali (https://www.attali.com/coronavirus-2/la-pandemie-et-apres/). Outre le fait d'apprendre que nous allons devoir subir beaucoup de piqures, nous découvrons surtout que nous devons nous préparer aux prochaines menaces imminentes (tu la sens monter la peur, tu la sens ?).
Le forum de Davos qui avait participé à la répétition générale d'une pandémie en Octobre 2019 avec l'Event 201 (https://www.weforum.org/press/2019/10/live-simulation-exercise-to-prepare-public-and-private-leaders-for-pandemic-response/), est désormais tout orienté vers cet autre enjeu majeur pour 2021 : « Mais malgré les retombées inévitables de COVID-19, ce sont les questions liées au climat qui constituent l'essentiel de la liste des risques de cette année, que le rapport décrit comme "une menace existentielle pour l'humanité". » (https://fr.weforum.org/agenda/2021/01/voici-les-plus-grandes-menaces-mondiales-de-2021/).
Et puis Biden et la clique de mondialistes corrompus ont organisé il y a quelques jours un sommet sur le climat. Si en France le Covid tient encore la population bien sagement à la maison, sourires figés derrière les masques, aux États-Unis, par exemple, certains États ayant repris une vie quasi normale, il faut donc vite remplacer le joujou cassé par un nouveau pour garder la masse des esprits concentrés sur une thématique effrayante.
On apprend que la pandémie a exacerbé les effets dévastateurs du réchauffement climatique (tu la sens monter la peur, tu la sens ?) et qu'il faut donc mettre tout en œuvre pour lutter contre ce fléau (https://www.france24.com/fr/am%C3%A9riques/20210421-pas-de-r%C3%A9pit-en-temps-de-pand%C3%A9mie-pour-le-r%C3%A9chauffement-climatique).
RépondreSupprimerNotre cher Président Macron (si si, il nous coûte très cher) a d'ailleurs récemment twitté que la Finance serait notre alliée (https://twitter.com/EmmanuelMacron/status/1385243093927092230) pour la lutte (finale ?). Rien de moins étonnant pour un ancien banquier.
Factuellement donc, toutes les grandes instances mondiales se mettent en marche pour lutter contre la prochaine plaie qui s'abattra sur le monde.
Et c'est là que le Covid vient tenir son rôle.
Évidemment dans l'histoire de la pandémie il avait le 1er rôle, mais une pandémie ça ne peut pas durer éternellement et comme on a quand même sacrément investi sur lui, on va pas le mettre à la poubelle. Allez Covid tu continues à jouer mais en deuxième ligne.
Une pandémie, c'est utile, c'est pratique car d'un cela permet de se faire un max de thunes rapidement (surtout qu'on nous annonce qu'il faut finalement beaucoup, beaucoup vacciner : 3 doses au lieu de 2 et tous les 6 mois s'il vous plait), de deux cela permet de mettre les gens en condition pour vivre à fond la prochaine histoire qui fait peur. Bouh !
Car pourquoi autant de confinements alors que rien ne prouve factuellement que cela a un impact sur l'épidémie (la Suède, la Corée du Sud sont des contre-exemples) ?
Pourquoi une accélération du contrôle total de la population dans les pays les plus "pollueurs" ?
Ce n'est certes qu'une hypothèse mais je crois qu'avec les restrictions imposées pour la gestion (catastrophique) de la crise sanitaire, on prépare en fait les esprits à accepter les nouvelles règles de vie à venir qui seront imposées sous le prétexte ultime de « sauver la planète ».
► Pour sauver la planète il faudra renoncer à certains plaisirs (ski, consommation de biens non essentiels).
► Pour sauver la planète il faudra accepter de se confiner 2 fois par an pour faire baisser le taux de CO2 (qui deviendrait le nouveau taux d'incidence).
► Pour sauver la planète il faudra accepter une dépopulation.
► Pour sauver la planète il faudra accepter d'être contrôlé tout le temps pour s'assurer qu'on ne nuit pas à notre mère nourricière la Terre.
Vous avez aimé être culpabilisé pour sauver vos papis et mamies et pour ces pauvres âmes en réanimation ? Vous allez adorer porter le lourd fardeau du sort de la planète sur vos épaules !
Les médias joueront ici encore une fois leur rôle de haut-parleur pénible mais efficace, rabâchant matin midi et soir ce qu'il faut croire et penser. Une déformation de la réalité mais pour qui ? Pour quoi ?
C'est le moment de l'article pour faire fonctionner son imaginaire si fertile...
Pas de solution pour échapper aux contes effrayants et mortifères ?
Si bien sûr ! Tout est question de choix.
RépondreSupprimerCe qui peut marcher (par expérience) :
1 : éteindre la télé et la radio (on s'informe en lisant) et utiliser ce nouveau temps libre pour respirer, méditer, reprendre contact avec la (sa) vraie nature.
2 : réfléchir sur la place de ses croyances et le rôle de l'autorité (parentale, institutionnelle) dans sa vie.
3 : lister ce qui est important dans sa vie, ce qui (nous) fait du bien. Poser à l'écrit avec des mots bien choisis la trame qui sert de repère quand les nuages s'amoncellent parfois.
Refaire lien avec l'humain car si les politiques et médias, marionnettes du pouvoir caché, cherchent autant à nous diviser à coup de différences de couleur de peau, de religions, de genres, et autres cases de prison, c'est uniquement parce que si nous comprenons enfin notre interconnexion et interdépendance alors aucune histoire qu'ils nous vendraient de force n'aurait de prise sur nous. On pourrait être libre d'être.
https://fr.sott.net/article/37086-Et-si-cette-pandemie-n-etait-qu-une-preparation-mentale-pour-la-suite
Non non et non ! Cette mascarade n'est pas que pour 'appauvrir' les gens et de monter la dette (qui aurait crevé le plafond) au dessus des nuages mais UNIQUEMENT pour tuer régulièrement, méthodiquement et SANS S'ARRÊTER jusqu'à la dernière femme sur Terre et jusqu'au dernier homme !
SupprimerILS NE DOIVENT PAS COMPRENDRE que la mort s'avance vers elles et vers eux !
« Crise du Covid » ou comment l'OMS a agi comme un instrument de manipulation mondiale
RépondreSupprimerGuy Boulianne — guyboulianne.com
Sott.net
lun., 26 avr. 2021 13:02 UTC
Commentaire : Bien que l'article date du mois d'août de l'an 2020, sa justesse — avec le recul — nous a fortement incité à le publier.
Le Dr Maria Jose Martínez Albarracín a été depuis le début l'une des voix les plus claires et les plus fortes en Espagne concernant la fraude, les abus et la manipulation institutionnelle dans la « crise du Covid ». Actuellement à la retraite, elle a été au cours de sa longue carrière professionnelle, professeur à l'université de Murcie en processus de diagnostic clinique et professeur de biochimie, d'immunologie et de techniques analytiques instrumentales dans le cycle de formation professionnelle supérieure du « Laboratoire de diagnostic clinique ».
Elle a gentiment accordé une entrevue par « chat télématique » pour le site internet espagnol Cauac, offrant un contenu d'excellente qualité que nous reproduisons ci-dessous. Certains [hyper]liens ont été fournis par le docteur dans ses réponses, et d'autres ont été ajoutés par la suite pour fournir au lecteur des informations sur des termes ou des institutions avec lesquels elle n'est peut-être pas familière, ainsi qu'un accès direct aux publications scientifiques auxquelles le docteur fait référence.
Le Dr Maria Jose Martínez Albarracín a récemment participé à une importante conférence organisée par l'association « Médicos por la Verdad » (Médecins pour la vérité), remettant en cause la version officielle du Coronavirus. La présentation a été faite dans une salle événementielle du Palacio de la Prensa à Madrid, où plus de 400 personnes étaient présentes.
- voir clip sur site -
Intervention du Dr Maria José Martínez Albarracín sur la chaîne espagnole ElToroTV,
parlant de l'inutilité des tests PCR (réaction en chaîne par polymérase), de la fausseté
des « patients asymptomatiques » et de la relation entre la maladie et la 5G.
Elle conseille de ne pas se faire vacciner jusqu'à ce que le niveau de sécurité soit clair et vérifié.
Entrevue avec le Dr Maria Jose Martínez Albarracín
— Depuis le début de cette crise mondiale, vous avez averti que le récit officiel de la pandémie n'était ni cohérent ni crédible à bien des égards, et qu'il ne peut être expliqué qu'en raison d'intérêts louches et de circonstances cachées au grand public. Pour en revenir à ces premiers instants, vous souvenez-vous de la première chose qui vous a poussé à sonner l'alarme à cet égard ?
Mes alarmes ont été déclenchées lorsque j'ai découvert que les médias grand public, en particulier la télévision, donnaient des informations trop répétitives sur quelque chose qui se passait loin : en Chine. Depuis quelque temps, quand je vois quelque chose de similaire, je décide de chercher des sources d'informations alternatives pour contraster.
RépondreSupprimerEn revanche, le compte officiel chinois était plutôt peu fiable (un nouveau virus d'origine animale qui provoquait une épidémie très contagieuse sur un marché de Wuhan). Les virus ne sautent pas facilement des espèces et, s'ils le font, ils sont moins contagieux que des virus spécifiques, donc quelque chose ne correspond pas au récit officiel.
Ce qui m'a déjà fait penser qu'il y avait définitivement quelque chose de trouble, c'est la déclaration de l'épidémie en Italie, malgré le fait que « on ait pris soin » d'attendre que le nouvel an chinois passe, où il y a des millions de déplacements de citoyens Chinois du monde entier, la traçabilité de la première contagion italienne n'a pas pu être trouvée. En d'autres termes, le premier cas italien n'avait pas eu de contact avec un Chinois ni voyagé. Si le virus était censé provenir du marché de Wuhan, comment s'était-il répandu en Italie ?
— ... Et lorsque vous commencez votre recherche personnelle, au moment de, disons, « commencez à tirer les ficelles », quelles sont les premières découvertes qui ont retenu votre attention ?
Le 3 janvier 2020, la nouvelle apparaît que les États-Unis tuent dans une attaque en Irak le puissant général iranien Qassem Soleimani, chef de la force d'élite Qods, qui augmente la tension déjà existante dans le golfe Persique et craint la possibilité d'une escalade de la guerre nucléaire [...] Au cours du mois de janvier, c'est aussi le moment où le bombardement des informations sur l'expansion de l'épidémie en Chine s'intensifie. Des données commencent à circuler sur les réseaux sur l'existence d'un laboratoire de virologie à Wuhan du plus haut niveau BSL4, spécialisé dans les expériences de coronavirus et situé à proximité du marché de Wuhan où la propagation du nouveau virus aurait commencé. Une vidéo sur le soi-disant Event 201 est également diffusée en ligne [...]
— De quoi s'agissait-il ?
Le John Hopkins Center for Health Safety, en association avec le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates, a organisé « Event 201 », un exercice de haut niveau sur la pandémie le 18 octobre 2019 à New York. L'exercice a illustré des domaines dans lesquels des partenariats public / privé seraient nécessaires pendant la réponse à une pandémie grave pour atténuer les conséquences économiques et sociales à grande échelle d'un nouveau coronavirus. Ils ont ensuite annoncé que « la prochaine pandémie majeure ne causera pas seulement des maladies et des pertes de vies majeures, mais pourrait également déclencher des conséquences économiques et sociales majeures en cascade qui pourraient grandement contribuer à l'impact et aux souffrances mondiales ».
- voir clip sur site -
Des interventions de l'Event 201, organisé par la FEM, l'Université John Hopkins et
RépondreSupprimerla Fondation Bill & Melinda Gates.
Parmi les conclusions de cet événement, je souligne particulièrement ce qui suit : LA CLÉ EST DANS LA COOPÉRATION DU SECTEUR PUBLIC AVEC L'INDUSTRIE PRIVÉE.
Les gouvernements devraient fournir davantage de ressources et de soutien pour le développement et la fabrication de vaccins, de thérapies et de produits diagnostiques qui seront nécessaires pendant une pandémie grave.
Les gouvernements et le secteur privé devraient accorder une priorité plus élevée à l'élaboration de méthodes de lutte contre la désinformation avant la prochaine riposte à la pandémie.
Contexte : Bill Gates, en 2015, avait déjà évoqué la nécessité d'investir dans le secteur de la santé, soulignant le fait que les guerres futures seraient biologiques.
En d'autres termes, les deux points forts qui ont soutenu tout ce dispositif ont déjà été soulignés : la nécessité d'injecter de l'argent dans l'entreprise privée, technologique et multinationale, bien sûr, et la nécessité de contrôler l'information et les personnes.
— Ces deux facteurs sont donc la clé pour comprendre tout ce qui s'est passé ?
Divers analystes géopolitiques comme Daniel Estulin ont depuis longtemps mis en garde contre la faillite inéluctable du système bancaire-financier libéral, en raison de son effet de levier monstrueux et de la gigantesque crise de la dette (dans son livre La trastienda de Trump et dans diverses vidéos et séminaires de cet auteur).
En résumé, la manière de produire une réinitialisation ou un nouveau départ du système bancaire-financier à l'agonie s'est déjà produit dans le passé, en particulier lors des deux guerres mondiales. Une nouvelle guerre mondiale a probablement été tentée pour masquer la faillite systémique du secteur avec le meurtre de Soleimani, mais la peur de la guerre nucléaire et la mort de l'agent de la CIA dans l'avion dans lequel il voyageait, l'ont empêché (Michael D'Andrea, chef des opérations de la CIA en Iran et le personnage qui a orchestré l'assassinat du général iranien Qassem Soleimani, est décédé lundi 27 janvier dans l'avion américain abattu au-dessus de Ghanzi, en Afghanistan comme l'a rapporté Veterans Today, citant des sources de renseignement russes).
Le plan B était une guerre biologique.
— ... Ce qui nous amène à ce que des chercheurs comme Máximo Sandín et Luc Montagnier ont mis en garde contre un virus chimérique artificiel, n'est-ce pas ?
En effet, le Dr Máximo Sandín dit des choses comme : « cultiver des virus humains dans des embryons d'autres animaux dans lesquels une multitude de virus endogènes sont exprimés, conduit à des hybridations avec leurs virus correspondants, produisant ainsi des virus infectieux de caractéristiques différentes aux originaux ». Mais passons aux faits
Le 27 janvier 2020, Prashant Pradhan et d'autres membres de l'Institut indien de technologie ont publié un article dans Science qui a été rapidement retiré en raison de pressions politiques, montrant qu'une protéine d'enveloppe virale semblable au VIH connue sous le nom de Gp41 a été intégrée dans des séquences d'ARN du Sras-CoV-2. Luc Montagnier a fait une découverte similaire en trouvant Gp41 dans le virus Sras-CoV-2, qui est le domaine transmembranaire des virus appelés VIH.
Commentaire : Des scientifiques indiens ont trouvé des insertions semblables au SIDA dans le coronavirus chinois
RépondreSupprimerJudy Mikovits est une biochimiste américaine qui a travaillé pour le NIH sur des expériences de gain de fonction du virus Ebola. Les expériences de gain de fonction impliquent d'étudier comment rendre les virus connus beaucoup plus mortels et contagieux.
Elle estime que « ce qui aurait pu arriver, c'est que des parties du virus ont été acquises lors du développement du Sras-CoV-2 dans les cellules Vero-E6, les cellules rénales de singe où se développe le VIH. » L'ajout de cette enveloppe protéique du VIH donne au Sras-CoV-2 la capacité d'endommager le système immunitaire. Elle contribue également à leur pathogénicité, « notamment lors de l'attaque des lymphocytes T car ce sont les cellules que les protéines VIH 120 et Gp41 infectent par CCR5 au niveau du récepteur CD4. Ensuite, la réponse immunitaire adaptative est affectée, et de cette manière l'inflammation est favorisée. Et la puissante inflammation appelée tempête de cytokines est ce qui endommage gravement les tissus et les organes. » Selon Mikovits, la lignée cellulaire contaminée provient du rein d'un singe appelé Vero E6, qui a été fourni par Fort Detrick.
Bien que pour cette chercheuse, la cause du Covid-19 pourrait en fait être le XMRV, qui signifie « rétrovirus gamma xénotrope, lié au virus de la leucémie murine » qui a été inoculé avec des vaccins et est activé par le coronavirus, elle déclare ce qui suit dans une interview avec le Dr Mercola :
« Le Covid-19 n'est pas causé par le Sras-CoV-2 seul, mais est le résultat d'une combinaison de Sras-CoV-2 (qui semble avoir été conçu pour inclure des composants du VIH qui attaquent le système immunitaire) et d'autres facteurs. Une infection antérieure par XMRV (gammarétrovirus humain) peut faciliter la manifestation du Covid-19.
Autrement dit, le Sras-CoV-2 peut initier le Covid-19, mais cela dépend d'une infection préexistante et de l'éveil d'autres virus tels que XMRV, les gammarétrovirus, la maladie de Lyme et d'autres coinfections, y compris les parasites, et c'est la raison pour laquelle les médicaments antiparasitaires tels que l'hydroxychloroquine et l'ivermectine peuvent aider à traiter l'infection.
Les produits sanguins et les vaccins sont contaminés par le XMRV, qui peut endommager le système immunitaire et provoquer le syndrome de fatigue chronique, le cancer et d'autres maladies chroniques.
Les virus se propagent dans les laboratoires car ils ont été adaptés pour activer et contaminer des lignées cellulaires utilisées dans la production de vaccins et d'autres recherches virales, y compris la recherche sur le coronavirus.
Les vaccins antigrippaux ont propagé un certain nombre de virus dangereux dans le monde, qui peuvent alors interagir avec le Sras CoV-2.
Le Sras-CoV-2 est plus dangereux et virulent que les coronavirus typiques car il comprend des séquences du VIH, du Sras et d'autres virus, car il infecte non seulement l'épithélium respiratoire, mais il peut également infecter les cellules sanguines et les organes hématopoïétiques tels que la rate. »
Commentaire : Voir aussi nos articles relatifs à des interviews du Dr Mikovits qui tous fourmillent d'informations pertinentes :
RépondreSupprimerDocumentaire à ne pas manquer : « Pl@ndemic II : Indoctornation »
Interview avec le Dr Judy Mikovits, grande spécialiste en rétrovirus (en VO sous-titrée)
Vaccins, rétrovirus, ADN et la découverte qui a détruit la carrière de Judy Mikovits
Comment les « vaccins » Covid-19 pourraient détruire la vie de millions de personnes
La bande-annonce du film « Plandemic » déjà censurée par YouTube
Le dispositif à ARNm anti-Covid n'est PAS un « vaccin », ni même un médicament, un traitement ou une thérapie — Alors, c'est quoi ?
Chris Martenson, un biochimiste américain, également analyste économique, titulaire d'un doctorat en neuro-toxicologie, est un autre scientifique qui affirme que le Sras-CoV-2 a été créé dans un laboratoire pour les raisons suivantes : « Pour entrer, le virus doit se lier à un récepteur ACE2 ou CD147 sur la cellule. Ensuite, la sous-unité de protéine de pointe S2 doit être clivée de manière protéolytique. Sans ce clivage des protéines, le virus se lierait au récepteur et ne progresserait pas.
Il existe plusieurs enzymes qui peuvent faire cela, y compris la plasmine et la furine. La plasmine, présente dans le sang, décompose également la fibrine, qui est la protéine plasmatique qui forme les caillots sanguins. Lorsqu'un caillot sanguin se dissout, un sous-produit appelé D-Dimer est créé. » Martenson cite également l'article de synthèse « Elevated Plasmin(ogen) as a Common Risk Factor for COVID-19 Susceptibility » (Plasmin(ogène) élevée en tant que facteur de risque commun pour la sensibilité au Covid-19), où il est démontré que les personnes atteintes de Covid-19 qui ont des comorbidités qui augmentent leur sensibilité à l'infection — c'est-à-dire à l'hypertension, le diabète, la maladie coronarienne, la maladie cérébro-vasculaire, la maladie pulmonaire obstructive chronique et le dysfonctionnement rénal — ont tendance à avoir des taux de plasmine élevés.
Le Covid-19 est « davantage un trouble sanguin ou un trouble de la coagulation » qu'une infection pulmonaire. Cependant, l'enzyme furine peut également couper la sous-unité protéique S2. La furine est codée par un gène qui active certaines protéines en divisant des sections spécifiques.
Comme l'explique Martenson, contrairement à d'autres enzymes protéolytiques, la furine est très spécifique sur les zones qu'elle coupe : lorsque l'arginine est présente à la deuxième ou troisième place dans la séquence protéique, l'efficacité de la protéolyse augmente.
Dans « Furin, une cible thérapeutique potentielle pour le Covid-19 », les chercheurs chinois rapportent que le Sras-CoV-2 est le seul coronavirus avec un site de clivage de la furine. Même les parents éloignés du Sras-CoV-2 ne l'ont pas, alors que les coronavirus qui en ont ne partagent que 40 % du génome du Sras-CoV. Selon ces chercheurs, le site de clivage de la furine présent dans le Sras-CoV-2 « est unique dans sa famille » et « peu susceptible d'avoir évolué » dans le Sras-CoV-2. En d'autres termes, il n'y a pas de coronavirus similaire pour que le Sras-CoV-2 ait évolué ou muté, sachant également que ladite mutation affecte pas moins de 12 paires de nucléotides.
Cela prouverait que le Sras-CoV-2 a été créé dans un laboratoire. Un excellent article de medium.com aborde également cette découverte et explique pourquoi les points de clivage de la furine sont si importants pour déterminer l'origine du Sras-CoV-2.
Les articles publiés dans Nature le 3 février 2020 sur l'origine du CoV-2 et le 17 mars 2020 pour tenter de prouver que le virus n'est pas d'origine artificielle présentent de nombreuses lacunes. Concernant le premier, il est important de souligner que l'un des auteurs est précisément le Dr Shi Zheng-Li, l'un des experts du laboratoire de Wuhan qui a le plus travaillé pour convertir le Sras en arme biologique. En ce qui concerne le second, le généticien moléculaire Dr. Michael Antoniou, il soutient de manière convaincante que le test de modélisation informatique cité dans cet article comme concluant n'offre aucune preuve. Le Dr Antoniou a déclaré sur GM Watch qu'il existe une méthode, appelée « processus de sélection d'évolution dirigée », « Qui consiste à utiliser le génie génétique pour générer un grand nombre de versions mutées au hasard du récepteur de la protéine S du Sras-CoV-2 (Spike) », puis sélectionner les récepteurs de protéines les plus efficaces pour infecter les cellules humaines. Technique par laquelle ses auteurs ont reçu le prix Nobel de chimie en 2018.
RépondreSupprimerEnfin, Francis Boyle, un avocat américain des droits de l'homme et auteur de la loi américaine de 1989 sur le bioterrorisme qui interdit la recherche avec des armes biologiques, soupçonne également que le Sras-CoV-2 est un coronavirus conçu comme une arme biologique issue du Laboratoire de Wuhan BSL4. Installations de recherche financées par les NIH dirigées par le Dr Anthony Fauci, un immunologiste du VIH / SIDA et également directeur du NIAID (et maintenant l'un des experts du groupe de travail de l'administration Trump pour le covid-19), ils ont collaboré avec le laboratoire de Wuhan afin de faire du Sras une arme mortelle (le Dr Fauci a transféré plus de 3 millions de dollars du NIAID à Wuhan pour poursuivre les enquêtes sur le gain de fonction du Sras lorsque le BSL4 de Fort Detrick, Maryland a été fermé en 2019) [laboratoire qui a ouvert à nouveau par la suite - Note de Sott].
Commentaire : Voici deux excellents articles qui permettront au lecteur d'y voir sans doute un peu plus clair quant à cette question primordiale : c'est la seule qui vaille...
Les preuves irréfutables de l'origine humaine du Sras-Cov-2
Le virus Sras-CoV-2 responsable du Covid-19 est-il d'origine humaine ?
— Indépendamment du débat sur l'origine du Sras-CoV2, dans ses communications, il [Francis Boyle - Note de Sott] a également abordé la question de la crédibilité des informations officielles sur la propagation du virus et l'évolution de la pandémie. À votre avis, quelle est la validité des tests PCR sur lesquels toute cette histoire a été construite ?
À mon avis, les tests RT-PCR utilisés pour le diagnostic viral sont très peu fiables. En soi, le test PCR est délicat et un protocole minutieux doit être effectué, travaillant sous une hotte à flux laminaire pour éviter la contamination (selon Etienne de Harven, pathologiste et chercheur pionnier en virologie qui était président de la Society for Electron Microscopy of America). Plus encore dans le cas de la RT-PCR, qui doit obtenir un ADN qui a été retranscrit à partir de l'ARN viral. C'est pourquoi je pense qu'il est absurde de l'utiliser comme test clinique et de fonder tout le discours sur le type et l'évolution d'une éventuelle nouvelle épidémie.
Même sur wikipedia vous pouvez lire « Il faut noter que cette technique de laboratoire n'est pas adaptée à la détection de la charge virale ARN, les kits sont positifs selon un seuil de cycle et non parce qu'ils voient un virus, ce qui est amplifié est du matériel ADN complémentaire à une minuscule section d'une chaîne d'ARN, qui pourrait correspondre à des déchets d'ARN par exemple, par conséquent, son utilisation dans le Covid-19 actuel est douteuse et c'est plutôt un avantage pour les producteurs de kits qui ont gagné des milliers de millions de dollars dès le début de 2020. » En premier lieu, un isolement approfondi du virus doit être effectué pour affirmer qu'il s'agit d'un nouveau virus et, comme l'a montré Jesús García Blanca, cet isolement n'a pas été fait correctement.
RépondreSupprimerCommentaire : Comme nous l'avons déjà exprimé sur Sott.net, il n'est pas possible de supposer, dans le même temps, que le virus est d'origine humaine et qu'il n'a pas été « isolé », correctement.
Ensuite, les tests doivent également être effectués de manière approfondie [...] les amorces les plus pratiques doivent être utilisées pour garantir que la PCR ne donne des résultats inadaptés. Enfin, il est rapporté que le Sras-CoV-2 partage au moins 80 % du génome avec le Sras-CoV-1, alors quels fragments d'ARN du virus vont être amplifiés ? Puisqu'il y a de bonnes chances que si nous ne sélectionnons pas bien ces fragments et n'utilisons pas les amorces appropriées pour cela, nous aurons un faux positif, il est essentiel, au moins, de faire deux RT-PCR, l'une pour le dépistage et l'autre pour la confirmation, en amplifiant deux fragments différents du virus et en s'assurant qu'ils ne coïncident pas entre eux et ne coïncident pas avec le Sras-CoV-1. Et ceci n'est que mon opinion.
Selon certaines estimations, la RT-PCR pour détecter la charge virale du Sras-CoV-2 a une probabilité d'erreur comprise entre 47 et 80 % (que nous avons également pu vérifier avec les échantillons de papaye et « autres produits » envoyés pour analyse par le président tanzanien John Magufuli, qui a été testé positif).
Si on ajoute à cela la confirmation des scientifiques espagnols que le virus séquencé dans les laboratoires espagnols n'est pas le même qu'en Chine, on peut se demander : sur quoi est basée l'épidémie ? Chaque année il y a, pendant la période hivernale, de nombreuses infections respiratoires et on estime qu'entre 5 et 15 % sont causées par des coronavirus. De plus, les personnes vaccinées contre la grippe ont une plus grande propension à devenir malades avec des coronavirus, comme le démontre l'étude des interférences virales réalisée dans l'armée américaine : « Vaccination contre la grippe et les interférences virales respiratoires chez le personnel du ministère de la Défense pendant la saison de la grippe 2017-2018 ».
Commentaire : Quelques articles pour aller plus loin sur l'usage prohibitif qui est fait des tests PCR et surtout pourquoi...
Bon timing avec Biden - L'OMS admet que les tests PCR à seuil de cycle élevé produisent des faux positifs pour le Covid-19
Les tests nasopharyngés « ne sont pas sans risque » selon l'Académie de médecine ou la petite histoire des tests PCR et leur utilité dans « l'agenda de la crise mondiale »
On ne le répétera jamais assez : les innommables tests PCR sont peu fiables pour détecter une infection virale
Comment la manipulation des résultats des tests PCR permettent d'augmenter le nombre de « cas »
— ... et ce qu'on appelle Covid-19, est-ce différent d'une grippe commune ?
D'un point de vue clinique et histopathologique, le Covid-19 est différent de la grippe courante (cependant, ceux qui ont été testés positifs ne signifie pas qu'ils ont le Covid-19). Il se comporte plutôt comme une maladie hématologique qui produit une hypoxie et des lésions endothéliales, provoquant des micro-thromboses et par la suite une néoformation vasculaire. À bien des égards, il est similaire au paludisme, c'est pourquoi, au stade initial, l'armoise ou l'hydroxychloroquine supplémentée en zinc est un bon traitement. Dans les derniers stades, il ressemble plus à un choc septique avec une CIVD [coagulation intravasculaire disséminée - Note de Sott] et défaillance d'organes multiples, il est donc très probable qu'il y aura des complications bactériennes et le traitement doit être de survie (antibiotiques, anti-inflammatoires et anticoagulants). Mieux encore, le protocole du Dr Marik pour la septicémie intraveineuse. Il s'agit du protocole exact qui a été utilisé avec succès et qui consiste en 200 mg de thiamine (vit. B1) toutes les 12 heures, 1 500 mg d'acide ascorbique (vit. C) toutes les 6 heures et 50 mg d'hydrocortisone toutes les 6 heures.
RépondreSupprimerIl est essentiel de noter que le traitement n'a pas d'effets secondaires et est peu coûteux, et peut également être facilement obtenu et administré. D'autre part, les respirateurs mécaniques à pression positive ne sont pas une bonne méthode de traitement, bien que l'apport d'oxygène et d'autres thérapies oxydatives le soient.
On peut aussi se demander — le paludisme étant une maladie causée par l'inoculation du sang (piqûre de moustique) — si le CovidD-19 peut avoir une origine similaire... Les vaccins antigrippaux pourraient-ils avoir quelque chose à voir avec cela, comme le dit le Dr Mikovits ?
— Avec toutes les informations que vous avez entre les mains, et du point de vue de la santé publique et de la vie humaine, que considérez-vous comme la chose la plus grave qui se soit produite au cours de ces mois difficiles ?
Nous pouvons énumérer une série de conséquences graves dérivées de ce qui s'est passé ces derniers mois, telles que :
1 - Négligence d'autres pathologies avec augmentation de la morbidité et de la mortalité : pour éviter l'effondrement du système de santé (dû, entre autres, à la nécessité de traiter les cas suspects avec des mesures d'isolement et de prévention extrêmes et à la diminution des agents de santé efficaces en raison des quarantaines préventives) triage féroce, tant dans les centres de soins primaires que dans les hôpitaux. La plupart des consultations se faisaient uniquement par téléphone (lorsqu'elles pouvaient être suivies) et il était interdit de se rendre aux urgences pour les patients atteints de maladies chroniques. De plus, curieusement EPDATA (National Network of Epidemiological Surveillance of the Carlos III Health Institute) ne collecte les cas de grippe que jusqu'à la semaine 11 de 2020 et curieusement aussi, le taux pour 100 000 habitants cette semaine est le même que la moyenne de l'année dernière (45,5 / 100 000) et n'est pas mis à jour par les communautés (l'année dernière des cas de grippe se sont produits principalement dans les mêmes communautés que cette année le Covid-19). Je sais que les centres de santé ont reçu pour instruction de dénombrer tous les cas « suspects » comme étant Covid, car il n'y avait pas assez de tests.
2 - Stress de la population dû à l'isolement obligatoire et à la campagne de peur des médias : ce qui entraîne également une augmentation de la morbidité et de la mortalité.
3 - Institutionnalisation des mensonges dans les médias aux intérêts sombres.
4 - Contrôle et censure du réseau et des autres médias sous prétexte de lutter contre la désinformation (rappelez-vous les conclusions de l'Event 201).
5 - Conséquences économiques graves. Selon l'OCDE, l'économie espagnole sera la plus affectée de tous les pays qui composent l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), avec une contraction de son produit intérieur brut (PIB) en 2020 qui atteindra 14,4 % .
RépondreSupprimer6 - Grave restriction des droits civils avec la déclaration d'un état d'alerte qui a été à bien des égards un état de siège. Fondé sur des intérêts cachés, le régime totalitaire chinois a été pris comme modèle, avec l'excuse de son efficacité à contrôler l'épidémie, pour imposer des mesures abusives et injustifiées, visant au contrôle de la population et à la géolocalisation des personnes, qui être prolongé dans le temps.
7 - Et le plus grave de tous : l'euthanasie des personnes âgées en raison des mesures adoptées dans les maisons de retraite médicalisées, telles que l'interdiction d'aller à l'hôpital et le refus de traitement, les sédations avec de la morphine, un médicament qui déprime le centre respiratoire facilitant une mort indigne et solitaire.
— D'un film d'horreur... et sur les conséquences de l'enfermement général de la population, pourriez-vous ajouter autre chose ?
Selon divers chercheurs comme Ernesto Prieto Gratacós, une FAUSSE DICOTOMIE VIE-ÉCONOMIE a été acceptée, car la santé dépend directement de l'économie.
Le problème de la « capacité de charge du système de santé » a été surestimé tout comme le coût en vies humaines qui, à moyen et long terme, se produira (aggravation et cause de pathologies chroniques telles que le cancer et le diabète, et survenue de crises aiguës telles que infarctus du myocarde et accidents vasculaires cérébraux).
Selon Ryan McMaken, il y avait de nombreuses raisons de s'opposer aux confinements dus au Covid-19. Ils coûtent des vies humaines en termes de traitement médical différé. Ils coûtent des vies humaines en termes d'augmentation des suicides et des surdoses de drogue. La violence domestique et la maltraitance des enfants ont augmenté. Il y a aussi de bonnes raisons de penser que les confinements ne fonctionnent pas vraiment (cas de Suède ou du Vietnam).
— Et dans tout cela, quel est le rôle de l'OMS ?
L'OMS s'est fendu de contradictions constantes : des quarantaines oui ou non, porter ou non de masques, des personnes asymptomatiques propagent ou ne propagent pas, et surtout, l'OMS a recommandé de ne pas faire d'autopsies.
À mon avis, l'OMS a agi comme un instrument de manipulation mondiale, servant d'excuse aux ministères de la Santé des gouvernements pour prendre des décisions concernant des mesures injustifiées visant à restreindre les droits civils.
Il faut garder à l'esprit que l'OMS n'est pas un organisme indépendant, mais qu'elle est principalement financée par des capitaux privés : la Fondation Bill et Melinda Gates et diverses sociétés pharmaceutiques (secteur bancaire-financier) et cette crise a été un geste parfait pour masquer la faillite systémique du secteur.
— Pour terminer, pouvez-vous partager vos impressions sur ce qu'ils appellent « la nouvelle normalité » et ce qui pourrait arriver dans les mois à venir ?
Avec l'euphémisme « nouvelle normalité », ils nous indiquent déjà que la reprise suite à la supposée pandémie n'aura rien de normal. En ce moment, avec la distance sociale et l'utilisation obligatoire des masques, nous avons le rappel permanent que quelque chose n'est plus comme avant. Donc, si tout ce racket est vraiment une guerre biologique orchestrée pour cacher la faillite imminente du système bancaire-financier, on peut s'attendre à de grands changements vers un nouveau système économique et social. Les indications sont que nous nous dirigeons vers un paradigme néotechnologique basé sur la 5G, l'intelligence artificielle et l'informatique quantique qui remplacera la monnaie physique par la monnaie virtuelle.
RépondreSupprimerDes essais de guerre pandémique et biologique ont déjà été tentés à d'autres occasions, rappelant la grippe aviaire, la grippe porcine ou la grippe A, Ebola, ainsi que le Sras-1 et le Mers.
À mon avis, ils ont été beaucoup moins mortels que prévu car les virus qui ne sont ni naturels ni spécifiques ne s'adaptent pas assez bien. Mais si la pandémie échoue, il y a la « guerre hybride », « la révolution des couleurs » comme celle qui se déroule actuellement aux États-Unis, ou « la guerre sans restriction ».
Jusqu'à présent, nous n'avons pas beaucoup remarqué les véritables conséquences de la crise du Covid-19. À partir de cet automne, nous commencerons probablement à les voir plus clairement et à partir de 2021, ils annoncent déjà un nouveau départ formidable : « le 3 juin 2020, le Forum économique mondial (WEF) à Genève a annoncé un sommet jumeau unique à Davos (Suisse) à la suite de la « crise sanitaire mondiale » de janvier 2021. Le thème qui sera abordé lors du sommet sera la Grande réinitialisation et l'annonce du « Grand nouveau départ » lancé par le prince de Galles comme « une obligation de travailler ensemble et de jeter d'urgence les bases de notre système économique et social ». Que se passera-t-il à long terme ? Personne ne le sait, mais en tant que personne croyante, je suis optimiste. Cependant, à court ou moyen terme, je crains que nous devions nous intégrer dans un système de contrôle totalitaire ou que nous devions trouver une solution sociale très alternative.
Commentaire : Quant à ces dernières questions, nous en savons aujourd'hui un peu plus...
Source de l'article publié le 20 août 2020 : Guy Boulianne
Emphases et corrections : Sott.net
https://fr.sott.net/article/37087-Crise-du-Covid-ou-comment-l-OMS-a-agi-comme-un-instrument-de-manipulation-mondiale
Une étude d'un médecin de Stanford confirme l'inutilité et la nocivité du port du masque...mais les gouvernements ne sont pas prêts de l'abandonner
RépondreSupprimerJean-Dominique Michel
Anthropo-logiques
mer., 21 avr. 2021 11:47 UTC
Dans le grand cortège halluciné et macabre des décisions qui nous ont été imposées, on trouve donc un singulier inventaire à la Prévert de mesures parfaitement inutiles, nocives et sans la moindre validité scientifique.
Avec cette pointe évidemment : comment les autorités politiques et sanitaires, avec le concours et même la complicité active des médias de grand chemin, sont-elles parvenues à faire gober à la population que ces mesures étaient nécessaires, efficaces et protectrices alors qu'elles sont l'inverse de tout cela ?!
Certes, je l'ai souvent évoqué, le narratif officiel joue sur des claviers fantasmatiques puissants. On sait pareillement combien nombre de vérités sont "contre-intuitives". Ici nous avons l'exact inverse : un pur mensonge parfaitement intuitif !
Ré-éduquer la population (et surtout les pseudo-élites intellectuelles) n'est pas une mince affaire : l'affirmation qu'il existe des "porteurs asymptomatiques contagieux" tout comme le confinement d'une population en bonne santé, l'imposition du masque hors hôpital, la vaccination généralisée en cours d'épidémie pour une maladie sans danger significatif pour les moins de 70 ans, sont autant d'aberrations absolues pour quiconque connaît le sujet !
Ce n'est donc pas un minuscule succès que d'avoir fait adhérer des corps constitués soi-disant sachant (comme les médecins et scientifiques) à des aberrations pareilles, ni de l'imposer à la population, certes dûment terrorisée par des mois de propagande pour une maladie bel et bien équivalente à la grippe annuelle.
Et voilà donc où nous en sommes : nous savions parfaitement que ces mesures étaient inutiles et destructrices !
Or nos autorités les ont imposées malgré tout, saccageant des pans entiers de notre société et attentant à la santé et au bien-être de la population. En s'appuyant sur des cercles d'experts participant à la corruption systémique en santé.
Et une année plus tard, alors que les preuves s'accumulent confirmant ce que l'on savait déjà, elles restent engoncées dans leur mensonge sans tenir compte aucunement des données qui contredisent leur idéologie corrompue.
Moment intéressant : comme le souligne le rédacteur en chef de la revue de l'American Institute for Economic Research, Jeffrey Tucker, "le paradigme du confinement est en plein effondrement". Ajoutant avec un sens indéniable de la formule qui va à l'essentiel :
"Les partisans du confinement doivent maintenant faire face à l'énorme problème du Texas. Cet état est totalement ouvert, sans aucune restriction, depuis 6 semaines. Les cas et les décès ont chuté de façon spectaculaire dans la même période. Anthony Fauci n'a pas de réponse. Ou alors, comparez la Californie (fermée) avec la Floride (ouverte) : taux de mortalité similaires. Nous disposons d'une gamme complète d'expériences aux États-Unis qui permettent de comparer l'ouverture et la fermeture et les résultats des maladies. Il n'y a pas de relation."
Ces conclusions se confirment désormais à 360° ! Tout comme se confirme l'inutilité crasse du port du masque.
Avec cette "prochaine étape" de savoir comment faire cas de cette situation inédite qui aura vu nos gouvernements infliger des dommages et destructions massives, parfaitement hors de proportions avec l'épidémie elle-même.
RépondreSupprimer"Face aux palinodies des politiques, il est utile de relire la remarquable synthèse effectuée par un médecin de Stanford, Baruch Vainshelboim, dans une revue en ligne éditée par le grand éditeur scientifique Elsevier. Cet article est bref, présente en notes l'état de la question - de nombreuses études été menées, avec des échantillons significatifs, sur le port du masque en général et dans le contexte du COVID en particulier. Le lecteur pourra donc se documenter avec le degré de détail qu'il souhaite en allant cliquer sur les hyperliens à la fin de l'article de M. Vainshelboim."
... commente Edouard Husson dans l'excellent Courrier des stratèges. En posant la bonne question :
Le masque est nuisible pour la santé et ne sert à rien contre le COVID 19. C'est un médecin d'un des hôpitaux de Stanford qui le confirme en passant en revue toutes les études scientifiques sur le sujet. Mais alors pourquoi les gouvernements en maintiennent-ils l'usage obligatoire sous peine d'amende ? Effet placebo ? Influence chinoise ? Outil de contrôle social ?
Commentaire : Conclusions de l'étude de Baruch Vainshelboim :
« Les preuves scientifiques existantes remettent en question la sécurité et l'efficacité du port du masque facial comme dispositif préventif contre le COVID-19.
Les données suggèrent que les masques faciaux médicaux et non médicaux sont inefficaces pour bloquer la transmission interhumaine de maladies virales et infectieuses telles que le SRAS-CoV-2 et le COVID-19, soutenant contre l'utilisation des masques faciaux.
Il a été démontré que le port de masques faciaux avait des effets physiologiques et psychologiques négatifs importants. Ceux-ci incluent l'hypoxie, l'hypercapnie, l'essoufflement, l'augmentation de l'acidité et de la toxicité, l'activation de la peur et de la réponse au stress, l'augmentation des hormones de stress, l'immunosuppression, la fatigue, les maux de tête, la baisse des performances cognitives, la prédisposition aux maladies virales et infectieuses, le stress chronique, l'anxiété et dépression. Les conséquences à long terme du port d'un masque facial peuvent entraîner une détérioration de la santé, développement et progression des maladies chroniques et des décès prématurés.
Les gouvernements, les décideurs et les organisations de santé devraient utiliser une approche fondée sur des preuves scientifiques en ce qui concerne le port des masques faciaux, lorsque ce dernier est considéré comme une intervention préventive pour la santé publique. »
Et peut-on espérer qu'un jour, nos autorités (comme les Départements de l'instruction publique) finissent par suspendre des mesures aberrantes, qui auront endommagé la santé physique et mentale de millions d'enfants et d'adultes ?
Rappelons à ce sujet que si la justice genevoise a rembarré un recours déposé contre le port du masque au Cycle d'orientation au motif douteux que si l'OMS et l'OFSP recommandaient (plus ou moins) cette mesure, la Cour ne pouvait aller contre.
Dans le même temps, à Weimar, un tribunal allemand choisissait quant à lui de faire son travail et d'étudier les éléments du dossier en consultant des experts. Résultat ? Il n'existe aucune justification à cette mesure et la justice a donc statué en ce sens.
RépondreSupprimerCe qui illustre un autre motif saillant : si certains cercles ou corps constitués se mettent à délirer comme l'ont fait nos autorités, il est vital que les contre-pouvoirs exercent leur responsabilité en jouant leur rôle.
On a assisté jusqu'à aujourd'hui à un affaissement terrible des second et quatrième pouvoirs, acoquinés idéologiquement et en logique de classe avec le premier. Dès lors, comme le soulignait Me Youri Widmer, président du collectif juridique "le virus des libertés", tout dépendra pour nous de l'aptitude de la magistrature à remplir son rôle avec intégrité.
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Ajoutons pour faire bonne mesure que l'inénarrable AFP (chien de garde de la manipulation en cours) a publié sans perdre de temps un "démenti" de mon et ces articles.
M. François d'Astier, qui se présente comme "journaliste" pour cette officine de propagande qui se présente elle-même comme "agence de presse" (ce qu'elle fut il y a fort longtemps) prétend contredire l'analyse du Dr Baruch avec le type d'arguments que ce travail de police de la pensée convoque habituellement.
M. d'Astier affirme par exemple à mon sujet :
"Il a donné de nombreuses interviews dans lesquelles il minimise les conséquences de la pandémie de Covid-19. Des journaux ont qualifié certaines de ses prises de paroles sur l'épidémie de "rhétorique ambigüe" ou "douteuse".
Les conséquences de la pandémie que je tiens pour solides sont celles reconnues par l'OMS et notamment celles du Pr Ioannidis de Stanford, le plus influent épidémiologiste au monde !
Et quant à la nature douteuse de ma rhétorique, on relèvera l'argument débordant d'intelligence : "des journaux ont qualifié certaines de ses prises de paroles sur l'épidémie de "rhétorique ambigüe" ou "douteuse".
Wow ! je me demande combien d'heures d'enquête ce monsieur a dû consacrer pour arriver à une affirmation aussi détaillée et argumentée. Convoquant au passage ces trois décompositions journalistiques que sont Heidi News, l'Express et la RTBF !
C'est l'argument de ceux qui n'en ont pas à disposition, sachant qu'une entreprise de "bashing" (destruction de la réputation de personnalités) est mise en œuvre depuis une année contre tous les penseurs intègres par l'AFP et autres sbires de la dérive en cours.
Franchement ? beurk !
Et le temps tranchera.
Je cite encore la réaction (évidemment inspirée) de mon ami Michel Rosenzweig, philosophe et psychanalyste belge que l'officine avait aussi pris en grippe à travers des articles à charge rien moins que lamentables :
RépondreSupprimerChacun a pu recevoir cet avis de l'AFP, contestant l'étude de Stanford qui n'est pas celle de Stanford mais celle d'un chercheur qui a travaillé à Stanford et qui est disqualifié, discrédité, au nom de ce régime sanitaire totalitaire. Quel sacrilège ! Oser affirmer que le masque n'est pas nécessairement une mesure saine !? Et surtout en extérieur ! Le jeune moine copiste de l'AFP, François d'Astier, qui n'a hélas aucun lien de parenté avec Alexandre Astier de la série Kaamelot, vous explique, pauvres égarés, comment revenir dans le droit chemin du troupeau. Tout ceci est tellement pathétique qu'on finit par en rire. Mais mon pauvre François, tu n'as vraiment pas d'autre choix pour exercer tes "talents" de journaliste? Si tu me lis ici, et je pense que tu le fais souvent puisque moi aussi j'ai fait les frais de ta docte vigilance religieuse, enfin si ce n'est toi c'est donc ton frère, dis-moi comment tu fais pour t'endormir (avec ou sans masque), dis-moi comment tu fais le matin en te regardant dans ton miroir, avec ou sans masque ? Et plus généralement les types de l'AFP de Belgique, de France et de Navarre, vous n'en avez pas marre de faire votre boulot de collabo au service de vos maîtres? A-t-on encore le droit de le dire ici? Ou allez-vous encore me coller un avertissement ?"
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Lien vers l'article "Une étude de Stanford confirme l'inutilité médicale du port du masque...mais les gouvernements ne sont pas prêts de l'abandonner", cliquer ici.
Lien vers l'étude de Stanford : Inefficacité et dangerosité des masques: le nouvel article scientifique qui dérange
https://fr.sott.net/article/37088-Une-etude-d-un-medecin-de-Stanford-confirme-l-inutilite-et-la-nocivite-du-port-du-masque-mais-les-gouvernements-ne-sont-pas-prets-de-l-abandonner
Il n'existe pas et ne peut exister de masque antivirus.
SupprimerLe FFP2 ou N95 (bec de canard avec valve d'expiration) a un écart de mailles de 3 microns
alors que le virus corona n'est que de 0,1 à 0,5 micron !!
😎 Visualisation de la taille relative des particules (comme COVID-19)
mardi 20 octobre 2020
https://huemaurice5.blogspot.com/2020/10/visualisation-de-la-taille-relative-des.html
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😎 Une neurologue allemande met en garde contre le port du masque : « La privation d'oxygène provoque des dommages neurologiques irréversibles »
Dr Griesz-Brisson
vendredi 9 octobre 2020
https://huemaurice5.blogspot.com/2020/10/une-neurologue-allemande-met-en-garde.html
Fauci Flip-Flops Again: Le risque d'infection à COVID en plein air est «minuscule»
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 26 AVR 2021-10: 33
Rédigé par Matt Margolis via PJMedia.com,
Depuis de nombreux mois maintenant, le Dr Anthony Fauci préconise que les gens restent masqués à l'extérieur pour aider à prévenir la propagation du COVID-19.
«Lorsque vous êtes à l'intérieur, assurez-vous d'avoir un masque. Lorsque vous êtes à l’extérieur, gardez le masque en place », a-t-il déclaré en août, tout en reconnaissant qu’il était beaucoup plus sûr d’être à l’extérieur que d’être à l’intérieur.
Maintenant, Fauci dit qu'il pense que les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) fourniront des conseils mis à jour sur le port des masques faciaux à l'extérieur, et dit qu'il est «bon sens» de reconsidérer les conseils.
J'appelle cela de la science, mais je vais le prendre.
Fauci admet également que le risque de contracter le COVID-19 lors d'activités de plein air est «minuscule».
"Ce que je pense que vous allez entendre, ce que le pays entendra bientôt, ce sont les directives mises à jour du CDC", a déclaré Fauci sur ABC's This Week.
«Le CDC est une organisation fondée sur la science. Ils ne veulent pas établir de consignes à moins de regarder les données et les données les sauvegardent. "
"Mais quand on regarde la situation de bon sens, le risque est vraiment faible, surtout si vous êtes vacciné", a-t-il ajouté.
Tu penses ? Pourquoi a-t-il fallu si longtemps pour comprendre cela ?
La crédibilité du Dr Fauci a été sévèrement touchée, en particulier ces dernières semaines. Lorsque le gouverneur du Texas, Greg Abbott, a annulé le mandat du masque de l'État et les autres restrictions liées au COVID sur les entreprises et les personnes, le Dr Anthony Fauci l'a qualifié de «risqué» et de «potentiellement dangereux». Mais aucune surtension ne s'est produite. Plus tôt ce mois-ci, Fauci a eu du mal à expliquer comment le Texas avait défié ses propres prédictions lors d'une apparition sur MSNBC, arguant à l'époque qu'il pourrait y avoir un «décalage». Trois semaines plus tard, il n’ya toujours pas d’augmentation du nombre de cas au Texas.
Fauci a également défendu la «pause» dans le déploiement du vaccin Johnson & Johnson, même si vous êtes plus susceptible de mourir d'une anesthésie générale que de contracter de graves caillots sanguins dus au vaccin Johnson & Johnson.
https://www.zerohedge.com/covid-19/fauci-flip-flops-again-outdoor-covid-infection-risk-miniscule
Vaccination de masse — Le Dr Martinez Albarracin met en garde contre une épidémie bien plus grave que la 1re « vague de Covid »
RépondreSupprimerLes Éditeurs
Sott.net
dim., 25 avr. 2021 09:01 UTC
La diplômée en médecine et chirurgie, María José Martínez Albarracín, avertit dans une émission de télévision en Espagne d'une épidémie d'une gravité bien plus grande que celle de la fameuse première vague de « Covid » — et qui sera causée par les vaccins.
- voir clip sur site -
Les experts indiquent que si le chiffre de 70 % des personnes vaccinées est atteint, 30 % d'entre elles pourraient mourir.
Traduction : Selon Martínez Albarracín, nous assisterons à une épidémie d'une gravité bien plus grande que celle de la fameuse première vague du « Covid » et elle sera causée par les vaccins. Les experts indiquent que si le chiffre de 70 % de vaccinés est atteint, 30 % pourraient mourir et les non-vaccinés pourraient être en danger.
Traduction : Le Dr Vanden Bossche, qui a coordonné le programme de vaccination contre Ebola au sein de GAVI (Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination), affirme que cette folie vaccinale doit être arrêtée immédiatement. Il n'a jamais été aussi inquiet.
Au début du mois de mars, le Dr Geert Vanden Bossche, un vaccinologue qui a travaillé pour GSK Biologicals, Novartis Vaccines, Solvay Biologicals, avec l'équipe de Global Health Discoveryde la Fondation Bill & Melinda Gatesà Seattle et avec l'Alliance mondiale pour les vaccins et l'immunisation à Genève, a lancé un appel à l'Organisation mondiale de la santé, étayé par un document de 12 pages qui traitait du « monstre incontrôlable » que la vaccination de masse va créer.
Dans sa lettre, M. Vanden Bossche analyse les dangers de la vaccination de masse contre le Covid en comparaison avec l'infection naturelle et il conclut :
« Il ne fait aucun doute que la poursuite de campagnes de vaccination de masse permettra à de nouveaux variants viraux plus infectieux de devenir de plus en plus dominants, se traduisant par une augmentation spectaculaire du nombre de nouveaux cas malgré l'amélioration des taux de couverture vaccinale. Cette situation conduira sans aucun doute à une résistance totale des variants en circulation aux vaccins actuels. »
Comme le signalait The Defender le 26 mars, la conjonction des mesures de confinement et de la pression de sélection extrême exercée sur le virus par l'intense programme mondial de vaccination de masse pourrait réduire le nombre de cas, d'hospitalisations et de décès à court terme, mais entraînera à long terme, la création d'un plus grand nombre de mutants, avec des conséquences préoccupantes pour l'avenir.
Dr. Vanden Bossche appelle cette conséquence, « l'évasion immune » (c'est-à-dire la stérilisation incomplète du virus par le système immunitaire humain, même après l'administration du « vaccin »).
Les fabricants devront par conséquent modifier les « vaccins », ce qui renforcera, et non réduira, la pression de sélection, produisant ainsi des variants toujours plus contagieux et potentiellement mortels.
Selon Mr. Vanden Bossche, la pression de sélection entraînera une plus grande convergence des mutations qui affectent la critique protéine Spike du virus, responsable de la percée des surfaces muqueuses de nos voies respiratoires, la voie utilisée par le virus pour pénétrer dans le corps humain. Le virus va effectivement déjouer les « vaccins » à base d'antigènes hautement spécifiques qui sont utilisés et modifiés en fonction des variants en circulation.
RépondreSupprimerTout cela pourrait conduire à une augmentation significative de cas graves et potentiellement mortels et donc en fait à une pandémie hors de contrôle.
Source : The Defender
https://fr.sott.net/article/37083-Vaccination-de-masse-Le-Dr-Martinez-Albarracin-met-en-garde-contre-une-epidemie-bien-plus-grave-que-la-1re-vague-de-Covid
Les essais d'expérimentations inoculés aux cobayes sans défense augmentent les risques d'être porteur du virus et d'avoir le cerveau contrôlé à commettre un meurtre sans pouvoir s'en empêcher.
SupprimerLe sénateur Paul: Le «théâtre» du masque de la Maison Blanche «décourage les gens» de se faire vacciner
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 26 AVR 2021 - 12:49
Rédigé par Jack Phillips via The Epoch Times,
Le sénateur Rand Paul (R-Ky.) A déclaré que l'insistance des responsables du gouvernement fédéral à porter des masques lors des apparitions publiques a découragé les gens de se faire vacciner contre le COVID-19, suggérant qu'il n'est pas nécessaire pour les personnes entièrement vaccinées de continuer à porter des masques en public.
Décrivant le mouvement comme «théâtre», Paul a déclaré que cela nuirait aux efforts de vaccination des personnes si le public ne croyait pas que le coup de feu avait un impact sur la lutte contre la propagation du virus. Il faisait référence à une réunion en ligne entre des dirigeants mondiaux, au cours de laquelle le président Joe Biden était le seul responsable à porter un masque.
Biden a oublié que «ce théâtre était tellement ridicule que les gens le dénonceraient», a-t-il ajouté. La semaine dernière, d'autres s'étaient demandé pourquoi le président porterait un masque dans un tel cadre. Tous les autres dirigeants mondiaux, y compris la chancelière allemande Angela Merkel, le président russe Vladimir Poutine et le premier ministre canadien Justin Trudeau ne portaient pas de masques.
"Si je veux aller visiter la Maison Blanche, les républicains et les démocrates qui vont visiter, même s'ils ont tous été vaccinés ou ont eu la maladie, ils sont testés avec un test des sinus profonds", a déclaré Paul à Fox News sur le fin de semaine,
«Et on leur dit de porter les masques N95 pour aller à la Maison Blanche, même s'ils ont tous été vaccinés», a-t-il ajouté.
«Donc, il n'y a aucune science derrière tout cela. C'est alarmiste. Mais cela a aussi un effet délétère, en ce sens qu'il décourage les gens de se faire vacciner parce qu'ils disent, eh bien, si le vaccin ne veut rien dire, il ne semble pas avoir d'avantage protecteur, vous n'en tirez aucun avantage. "
Si les gens ne peuvent pas «cesser de porter le masque», certains ont demandé pourquoi ils devraient se faire vacciner, a déclaré Paul.
"Je pense que c'est la mauvaise attitude", a ajouté le républicain du Kentucky.
«Mais c’est ce qui vient de Biden et des soi-disant scientifiques qu’il propose.»
Cela intervient alors que la directrice des Centers for Disease Control and Prevention (CDC), Rochelle Walenksy, a déclaré que l'agence envisageait de réviser sa disposition sur les masques pour les personnes qui se trouvent à l'extérieur.
«Nous allons examiner la question du masquage extérieur, mais aussi dans le contexte du fait que nous avons encore des gens qui meurent du COVID-19», a-t-elle déclaré à «Aujourd'hui» la semaine dernière.
Le COVID-19 est la maladie causée par le virus du PCC (Parti communiste chinois), également connu sous le nom de nouveau coronavirus.
Les directives actuelles du CDC indiquent que "les masques peuvent ne pas être nécessaires lorsque vous êtes à l'extérieur, seul, loin des autres, ou avec des personnes qui vivent dans votre foyer."
The Epoch Times a contacté la Maison Blanche pour obtenir des commentaires.
https://www.zerohedge.com/covid-19/sen-paul-white-house-mask-theater-discouraging-people-getting-vaccinated
C'est le White Spirit !
Supprimer"Quels sont les symptômes de la chlamydia" Question sexuelle la plus recherchée sur Google alors que les MST montent en flèche
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 26 AVR 2021-14: 03
Rédigé par Paul Joseph Watson via Summit News,
Alors que les taux de MST montent en flèche en Amérique, de nouvelles données ont révélé que la question sexuelle la plus populaire au cours de l'année dernière était: «Quels sont les symptômes de la chlamydia ?»
Répugnant.
Une recherche menée par la clinique de santé From Mars révèle que le terme de recherche a accumulé plus de 2 millions de visites en 2020, tandis que les recherches pour «dépistage des MST près de chez moi» ont également quadruplé entre avril 2020 et la fin de l'année.
«Les requêtes de recherche sont une radiographie dans la psyché publique, et quand il s'agit de sexe et de relations, nous pouvons avoir des problèmes», rapporte Axios.
Comme nous l'avons souligné la semaine dernière, les données de recherche sont en corrélation avec l'augmentation continue des cas de MST en Amérique.
Les maladies sexuellement transmissibles ont atteint un niveau record pour la sixième année consécutive, les chercheurs du CDC ayant constaté une augmentation de 30% des MST de 2015 à 2019.
Selon les dernières données, 2,5 millions d'Américains avaient des infections à chlamydia, gonorrhée ou syphilis en 2019, les cas de chlamydia augmentant de 61% et les cas de gonorrhée atteignant 42% chez les jeunes âgés de 15 à 24 ans.
Pendant ce temps, les premières données sur les recherches pour 2021 indiquent que de plus en plus de relations s'effondrent, avec des requêtes pour "Qu'est-ce que les images fantômes ?" ayant doublé entre novembre 2020 et février de cette année.
Peut-être que toute cette dégénérescence sexuelle, criblée de MST, a quelque chose à voir avec cela.
https://www.zerohedge.com/medical/what-are-symptoms-chlamydia-most-googled-sex-question-stds-soar
Rencontrez le «scientifique» Anti-Mask Michigan Stoking the Fourth Wave
RépondreSupprimerLarrison Campbell
Lun.26 avril 2021 à 10h54
Au moment où Kristen Meghan Kelly, une mère du Michigan de 38 ans et autoproclamée «défenseure de la liberté de la santé», a frappé le record sur la caméra de son téléphone, la confrontation en dehors de la réunion du conseil scolaire d'Hudsonville battait son plein.
Dans une vidéo de 22 minutes du 15 avril qui a été largement partagée sur Facebook, Kelly explique qu'elle s'est vu refuser l'entrée à la réunion publique malgré ce qu'elle dit être une invalidité «médicalement reconnue» et un diagnostic de SSPT qui l'empêche de porter un masque. Lorsqu'un autre parent questionne cette explication, elle change de tactique et se lance dans un assaut de masquage basé sur la «science».
«Je suis en fait un spécialiste de l'exposition», dit Kelly à l'autre parent, qui est hors écran.
«Oh, une scientifique de l'exposition», peut-on entendre dire le parent en riant.
«Oui, je suis hygiéniste industrielle et je voyage à travers le pays pour témoigner devant les gouverneurs. J'ai ouvert le Texas et le Dakota du Nord », dit Kelly.
Si Kelly réussit, a-t-elle déclaré au Daily Beast, elle assouplira également davantage les restrictions relatives au COVID-19 dans son propre État du Michigan - malgré une épidémie qui fait rage qui teste le système hospitalier de l'État et menace la vie de plus de jeunes que jamais. avant que.
"Nous n'allons pas rester silencieux", a déclaré Kelly.
Une maman curieuse de QAnon a aidé à ramener le Michigan à l'enfer COVID
Bien que les parents présents à la réunion du conseil scolaire aient peut-être ri de ses références, Kelly a bénéficié d'une plate-forme de plus en plus robuste dans les cercles anti-masque ces dernières semaines. Et cet activisme, craignent les responsables de la santé publique, pourrait causer de gros problèmes, en particulier au Michigan, qui est devenu le pire hotspot COVID du pays.
Alors que la gouvernante démocrate Gretchen Whitmer a été critiquée pour avoir cédé à la pression politique et permis des activités intérieures telles que les repas et les sports - qui, selon les experts, ont probablement alimenté la flambée actuelle - son administration a été résolument en faveur du masquage des exigences. La semaine dernière, l'État a prolongé son mandat de masque jusqu'à au moins la fin mai et l'a élargi pour obliger les enfants de 2 ans et plus à porter des masques.
https://news.yahoo.com/meet-anti-mask-michigan-scientist-085444547.html
Comme AUCUN trou de cul qui portent un masque n'a confiance en son masque !!! HAHAHAHA ! ils ont forcément peur de celles et ceux qui 'en portent pas ! HAHAHAHA !
SupprimerFaut dire qu'avec un putain de grillage de 50 à 150 microns sur la gueule quand on sait que le virus ne mesure que 0,1 à 0,5 micron... HAHAHAHA ! on a pas l'air con ! HAHAHAHA ! (et il y en a qui en portent 2 ! HAHAHAHA !)
Tous surveillés !
RépondreSupprimersamedi 24 avril 2021
*Quand je dis que rien n'est laissé au hasard, que tous les mouvements de dissidence sont étroitement surveillés, surtout via les plates-formes dites non-censurées, et que toutes leurs actions sont télécommandées... en voici la preuve!
"Selon un document obtenu par Yahoo News, la branche d'application de la loi du US Postal Service gère discrètement un programme qui suit et collecte les publications des Américains sur les réseaux sociaux, y compris celles concernant les manifestations prévues.
Les détails de l'effort de surveillance, connu sous le nom d'iCOP, ou Internet Covert Operations Program, n'ont pas encore été rendus publics. 👉 Le travail consiste à demander aux analystes de parcourir les sites de médias sociaux pour rechercher ce que le document décrit comme des messages «incendiaires», 👉puis de partager cette information entre les agences gouvernementales.
«Les analystes du programme d'opérations secrètes sur Internet (iCOP) du Service d'inspection postale des États-Unis (USPIS) 👉ont surveillé les activités importantes concernant les manifestations prévues au niveau international et national le 20 mars 2021», indique le bulletin du gouvernement du 16 mars, marqué comme «sensible à l'application de la loi», distribué par les centres de fusion du Department of Homeland Security.
«Des lieux et des heures ont été identifiés pour ces manifestations, qui sont diffusées en ligne sur plusieurs plates-formes de médias sociaux de droite, 👉soit les comptes Parler et Telegram.»
👉Un certain nombre de groupes devaient se rassembler dans des villes du monde entier le 20 mars dans le cadre d'un rassemblement mondial pour la liberté et la démocratie, pour protester contre tout, des mesures de verrouillage à la 5G. «Les utilisateurs de Parler ont commenté leur intention d'utiliser les rassemblements pour se livrer à la violence. L'image 3 à droite est une capture d'écran de Parler indiquant que deux utilisateurs discutent de l'événement comme une opportunité de s'engager dans un «combat» et de «faire de sérieux dégâts» », indique le bulletin.
Le bulletin comprend des captures d'écran de publications sur les manifestations sur Facebook, Parler, Telegram et d'autres sites de médias sociaux. Les personnes mentionnées par leur nom comprennent un présumé Proud Boy et plusieurs autres dont les détails d'identification ont été inclus, mais dont les messages ne semblent contenir rien de menaçant.
👉«Les analystes d'iCOP surveillent actuellement ces canaux de médias sociaux pour détecter toute menace potentielle découlant des manifestations programmées et diffuseront des mises à jour de renseignements au besoin», indique le bulletin."
Lire la suite:
https://news.yahoo.com/the-postal-service-is-running-a-running-a-covert-operations-program-that-monitors-americans-social-media-posts-160022919.html
Les "indésirables"
RépondreSupprimerdimanche 25 avril 2021
Le mépris et la violence qui suintent de cet homme misérable, moqueur et arrogant (lire l'article), pourraient teinter le discours normatif envers la population non-vaccinée d'ici très peu de temps.
Les non-vaccinés, caste inférieure et indésirable, "les sauvages", seront considérés comme les "ennemis du bien commun", des "terroristes sanitaires".
Des membres de nos propres familles, des amis et des collègues vont joindre les rangs des "humains qui détestent les humains". Ils ne le feront pas par méchanceté, mais par apprentissage conditionné.
Je crois qu'il nous faut nous préparer à ça.
En développant une compréhension du phénomène d'ingénierie comportementale (ABA), on arrive à mieux appréhender les mécanismes qui visent à susciter des réactions en vue de conditionner des réponses comportementales.
Au lieu d'être constamment choqués et troublés par "l'aveuglement" de nos proches, je crois qu'il est moins dommageable pour tout le monde de faire preuve d'empathie. De toute façon, nos arguments ont et auront très peu de poids face à une personne qui réagit d'une façon programmée.
De plus en plus, nous allons assister, bien impuissants, à une scission des citoyens: "les vaccinés" et "les non-vaccinés": les bons VS les méchants !
Vaut mieux reconnaître et accepter "leur réalité" pour ainsi préserver nos relations le plus longtemps possible. Parce qu'un jour vient où nous pourrions regretter toutes ces animosités qui nous aurons fait perdre un temps précieux avec nos proches...
https://www.journaldemontreal.com/2021/04/25/le-passeport-vaccinal-est-injuste
Compte tenu de la présence importune de nano-particules qui n'ont rien faire dans cette solution fluorée dont l’expérimentation de ces essais sur cobayes (innocents non-prévenus) est criminellement appelée 'vaccin', le danger guette les non inoculés qui pourraient être les prochaines victimes des piqués devenus assassins !
SupprimerPourquoi je ne reçois pas le vaccin
RépondreSupprimerQue nous soyons autorisés à vivre selon les décisions que nous prenons librement dans le cadre de nos droits en tant que citoyens - même lorsque la décision peut être erronée - est le test ultime pour savoir si nous sommes libres ou esclaves.
Par Dan Gelernter
22 avril 2021
Si vous faites partie d'un groupe à haut risque et que vous souhaitez vous faire vacciner, allez-y. Je ne suis pas médecin et je n’ai pas l’intention de conseiller qui que ce soit à ce sujet, mais j’en veux également que les gens me jettent des conseils non sollicités.
Je ne fais pas partie d'un groupe à haut risque. Je suis un homme jeune et en bonne santé. J'ai probablement été exposé au coronavirus (au début de la pandémie) et je n'ai jamais descendu avec. Les chances que j'attrape le virus sont extrêmement minimes, et les chances que j'en meure sont infinitésimales. De plus, les Centers for Disease Control ont publié un article qui n'a trouvé aucun risque de transmission asymptomatique. Donc, tant que je ne me sens pas malade (et aussi longtemps que je reste à la maison si je le fais), je ne vais pas donner le virus à qui que ce soit dans le cas extrêmement improbable où je le contracterai.
Un de mes amis qui est un professionnel de la santé souligne que le profil d'innocuité des vaccins Pfizer et Moderna est excellent et que leur efficacité est impressionnante. Elle dit que l'ARN est transitoire et peu susceptible de nuire à long terme. Mais elle admet également que les vaccins à ARN sont nouveaux et que nous ne comprenons pas pleinement quels pourraient être les effets à long terme.
Inconnus connus
C'est ce dernier point, qui me semble aller de soi, que nombre de mes amis contestent mon droit de prendre en considération: nous ne pouvons pas encore connaître les effets à long terme de ce type de vaccin. Ce n’est pas la faute du vaccin. Le problème, c'est le temps: il n'y en a pas eu assez.
S'il s'agissait d'une maladie comme la polio, où les jeunes et les sains étaient les plus à risque, je me ferais vacciner en un clin d'œil. Mais avec le coronavirus, une personne jeune et en bonne santé équilibre un risque très faible et connu, non vacciné, contre un risque probablement très faible mais inconnu avec le vaccin. Vous pouvez dire tout ce que vous voulez sur la façon dont nous sommes sûrs que ce vaccin est absolument, totalement sûr - mais, si nous sommes honnêtes, seul le temps nous le dira. Seul le temps peut le dire. Le bon sens devrait suffire à le rendre clair.
Et franchement, je trouve étrange que toutes les personnes qui m'ont dit qu'elles savaient avec certitude que l'hydroxychloroquine était à la fois dangereuse et inefficace sont maintenant également convaincues que ce vaccin est inoffensif et efficace. Puisque je sais qu’ils mentaient auparavant, leurs proclamations actuelles n’inspirent pas confiance. Il y a une incitation financière incroyablement massive pour les compagnies pharmaceutiques, et une incitation énergétique incroyablement massive pour le gouvernement, à avoir un vaccin sûr. Même en supposant que Big Pharma et le gouvernement sont toujours strictement véridiques, nous pourrions au moins admettre qu'un certain biais de confirmation peut exister.
Mais dans l'ensemble, il n'y a tout simplement aucun inconvénient majeur à attendre de savoir s'il y a des effets secondaires à long terme. Et, oui, je sais que la technologie des vaccins à ARN existe depuis un certain temps. Mais il n’a jamais été utilisé à grande échelle auparavant, et il ne sert à rien de prétendre qu’il l’a été.
RépondreSupprimerLa probabilité combinée que je reçoive le virus et que je sois tué (ou même que j'en ai un cas grave) est si faible qu'elle ressemble à zéro à moins que vous ne la preniez à plusieurs chiffres significatifs. À en juger par ma propre expérience - ce que j'ai le droit de faire - je suis beaucoup plus à risque de contracter une infection oculaire à cause du masque facial qui souffle mon souffle dans mes lunettes. Et, vraiment, respirer ce que vous venez d'expirer ainsi que toutes les ordures microscopiques qui s'accumulent dans votre masque pendant une journée ne peut pas être bon pour vous ou votre système respiratoire.
Si recevoir le vaccin signifiait que je n'avais plus à porter de masque à New York ou dans un avion, cela représenterait une véritable incitation. Mais une telle incitation n'existe pas. Et ce serait encore un piètre substitut à un argument strictement médical en faveur de l’innocuité et de l’efficacité du vaccin. Cela démontrerait au moins un niveau de confiance pratique dans le vaccin que le gouvernement n'a pas montré.
Liberté sous pression
Nul doute que de nombreux politiciens américains aimeraient un passeport vaccinal. En Europe, vous ne pouvez voyager qu'avec un classeur rempli de documents et, dans certains endroits, un code QR émis par le gouvernement. C'est encore moins convaincant et moins rassurant. Avec un vaccin sûr et efficace, les gouvernements ne devraient pas avoir à recourir à leur argument préféré («faites ce que nous voulons ou nous ruinerons votre vie»).
Le gouvernement devrait, en théorie, être prêt à apaiser mes inquiétudes par une discussion raisonnée et à accepter toute conclusion à laquelle je parviens en tant qu'individu libre. Que je sois autorisé à vivre selon les décisions que je prends librement dans le cadre de mes droits en tant que citoyen, même lorsqu'une décision peut être erronée, est le test ultime pour savoir si je suis un homme libre ou un esclave.
Mais loin d'être encouragés à prendre nos propres décisions, nous sommes également exclus de toute discussion réelle, grâce à la censure agressive des médias et des médias sociaux, combinée à la pression des pairs du genre de ceux dont ils nous parlaient au lycée. Lorsque j'ai publié sur mon profil Facebook que je n'avais pas l'intention de me faire vacciner, Facebook a immédiatement ajouté un petit message à mon message pour que mes amis puissent obtenir les vraies informations.
Mais je veux simplement savoir si le vaccin aura toujours l'air sûr dans un an. Pouvez-vous me blâmer? Beaucoup de mes amis pouvaient et l'ont fait: Certains m'ont accusé d'être un danger pour la société, d'autres pensaient simplement que j'étais un danger pour moi-même. Mais, petit à petit, d’autres amis sont arrivés pour faire remarquer que personne n’a le droit de me harceler en faisant ce que je ne veux pas faire. C'était encourageant. Pourtant, d'autres amis m'ont envoyé un message en privé pour me dire qu'ils étaient d'accord avec moi mais qu'ils avaient peur de le dire en public. Ce n'était pas si encourageant. Cela ne signifie pas non plus que nous faisons un argument efficace en faveur du vaccin qui n’implique pas de répression et d’intimidation.
On se demande combien de personnes prennent ce vaccin parce qu'elles pensent que c'est une bonne idée, par rapport à combien se sont senties obligées de le faire. Si le vaccin n’est pas pris presque exclusivement par des personnes qui croient librement que c’est une bonne idée - et je soupçonne que ce n’est pas le cas - alors nous avons un problème grave qui transcende de loin ce vaccin ou cette crise sanitaire.
RépondreSupprimerLa «science» est très populaire ces jours-ci. Il est désormais défini comme «une série de principes dogmatiques qui ne peuvent être remis en question ni évalués». C'est quelque peu différent de la façon dont je me souviens que la science m'avait été expliquée à l'école, quand elle faisait précisément référence au concept opposé: avoir une hypothèse testable ouverte à la révision au fur et à mesure que de nouvelles informations deviennent disponibles.
«Croire en la science», s'avère-t-il, c'est bien plus croire que la science. Il n'est guère surprenant qu'elle soit devenue une nouvelle religion pour les gens qui ont jeté le christianisme ou le judaïsme avant de se rendre compte qu'ils avaient besoin de croire en quelque chose. Invoquer la «science» avec une ferveur religieuse comme raison pour laquelle certains préceptes sont incontestables est, je pense, plus dangereux pour la société que mon propre désir d'attendre et de voir à quel point le vaccin est sûr.
Mais je suis ouvert à la persuasion. Allez-y, changez d'avis.
https://amgreatness.com/2021/04/22/why-im-not-getting-the-vaccine/
Les vaccins contiennent aussi du fluor.
SupprimerRecensement: TX gagne 2 sièges, CA, NY Perdez-en un alors que la carte politique des États-Unis est redessinée
RépondreSupprimerPhoto de Tyler Durden
PAR TYLER DURDEN
LUNDI 26 AVR 2021-15: 31
La première série de résultats du recensement de 2020 est arrivée et révèle que l'État rouge du Texas est sur le point de gagner deux sièges à la Chambre, tandis que la Californie et New York en perdront chacun un. Cela portera l'État rouge du Texas à un total de 38 sièges et 40 votes dans les collèges électoraux - le deuxième plus élevé derrière la Californie.
Le Colorado, la Floride, le Montana, l'Oregon et la Caroline du Nord gagnent également des sièges, tandis que les États qui perdent des sièges à la Chambre incluent également l'Illinois, le Michigan, l'Ohio, la Pennsylvanie et la Virginie-Occidentale.
Les États qui ont remporté des sièges sont en grande partie ceux remportés par l'ancien président Donald Trump en 2020, tandis que les États que Biden a remportés lors de l'élection sont des "perdants" selon Bloomberg.
Et parce que le collège électoral prend en compte la représentation à la Chambre, ces États perdront leur influence lors du scrutin présidentiel de 2024.
Il y a un point positif pour les démocrates, car les changements démographiques signifient également que les bastions républicains tels que le Texas deviennent plus démocrates, rapprochant le parti de son objectif à long terme de déplacer un jour l'État Lone Star de la colonne républicaine.
Selon le Bureau du recensement, la population américaine a augmenté de 7,4% au cours de la dernière décennie pour atteindre un total de 331 449 281 personnes.
Le décompte de toutes les personnes vivant aux États-Unis, mandaté par la Constitution, a été retardé en raison des efforts infructueux de l'administration Trump pour retirer les immigrants sans papiers du décompte, ce qui aurait probablement augmenté le nombre de districts tenus par le GOP au prochain Congrès.
Le Bureau du recensement a annoncé la première tranche de chiffres lors d'une conférence de presse lundi à 15 heures. Des données plus détaillées sur la démographie seront publiées le 16 août. Elles montreront la croissance dans divers centres de population, ce qui guidera les États dans la redéfinition des cartes des districts du Congrès.
https://www.zerohedge.com/political/census-tx-gains-2-house-seats-ca-ny-lose-one-population-grows-74-over-past-decade
Les 'experts de la santé' encouragent les mandats de masque permanent alors que le CDC lève les restrictions à l'extérieur
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 27 AVR 2021 - 12:22
Mise à jour (1220ET): Tout comme Fauci l'avait laissé entendre, les personnes entièrement vaccinées peuvent s'aventurer à l'extérieur sans masque, selon les directives mises à jour des Centers for Disease Control and Prevention publiées mardi. Les directives s'appliquent aux personnes entièrement vaccinées, que les responsables de la santé classent comme deux semaines après la deuxième dose des vaccins Pfizer ou Moderna et deux semaines après le vaccin à dose unique Johnson & Johnson.
"Le CDC ne peut pas fournir le niveau de risque spécifique pour chaque activité dans chaque communauté, il est donc important de considérer votre propre situation personnelle et le risque pour vous, votre famille et votre communauté avant de vous aventurer sans masque", a déclaré Rochelle Walensky, directrice du CDC dans remarques préparées.
Les personnes vaccinées peuvent démasquer tout en:
Faire des activités physiques à l'extérieur seul ou avec des membres de votre ménage comme la marche, la course, la randonnée ou le vélo.
Assister à un petit rassemblement en plein air avec des personnes entièrement vaccinées ou un mélange de personnes vaccinées et non vaccinées.
Dîner dans un restaurant en plein air avec des amis de plusieurs ménages.
Les directives actuelles sur les personnes vaccinées à l'intérieur et en voyage s'appliquent toujours.
Restez sain d'esprit en Amérique ...
* * *
Et tout cela intervient alors que Paul Joseph Watson de Summit News rapporte que les experts en santé insistent pour que le CDC mette en œuvre des mandats de masque permanent même après la fin de la pandémie COVID-19.
Bien que de nombreuses régions des États-Unis commencent à s'ouvrir à nouveau et que des preuves anecdotiques suggèrent une baisse significative du nombre de personnes portant régulièrement des masques, certaines détestent revenir à la normale.
«Nous avons constaté les avantages du masquage», a déclaré la directrice de la santé, le Dr Nicole Alexander-Scott, au Providence Journal.
"Il peut donc y avoir une nouvelle forme de normalité où les masques ne doivent pas nécessairement disparaître."
Ses sentiments ont été repris par le Dr Leonard A. Mermel, directeur médical de l'épidémiologie et du contrôle des infections à l'hôpital de Rhode Island, qui a déclaré que le fait de porter des masques tout le temps en valait la peine pour arrêter la propagation d'autres virus en dehors du COVID-19.
RépondreSupprimer«Dans le système Lifespan, nous voyons beaucoup moins de tous les virus respiratoires que nous sommes habitués à en voir à ce moment de l'année civile… C'est donc impressionnant: les stratégies de prévention COVID ont un impact sur d'autres virus respiratoires, ce qui est tout simplement logique : ils se propagent de la même manière », a déclaré Mermel.
«Cela ne me surprendrait pas si cela devenait une recommandation du CDC», a-t-il déclaré.
"C'est un prix assez bas à payer pour essayer de réduire le risque pour soi-même et pour les êtres chers en particulier qui peuvent être particulièrement exposés à ce type d'infections causant des dommages", a-t-il ajouté.
D'autres experts ont fait valoir que l'impact des virus ne sera plus grave à long terme que si le système immunitaire humain ne peut être testé par de nouvelles infections, ce qui nuit à l'immunité du troupeau.
- voir clip sur site -
Les professionnels de la santé tentent toujours de faire en sorte que les mandats de masque deviennent une partie de la «nouvelle normalité» malgré que le Dr Anthony Fauci ait reconnu hier qu'il serait «de bon sens» pour le CDC de commencer à assouplir les mesures.
"Je veux dire, si vous êtes une personne vaccinée, portant un masque à l'extérieur, je veux dire, évidemment, le risque est minime", a déclaré Fauci à cette semaine à ABC.
«De toute évidence, le risque est vraiment très faible, en particulier si vous êtes vacciné», a-t-il ajouté.
Pendant ce temps, une nouvelle étude du Massachusetts Institute of Technology a révélé qu'il y a «peu d'avantages» aux règles de distance sociale de 6 mètres et que les personnes qui sont jusqu'à 60 pieds de distance courent les mêmes risques.
«La distance ne vous aide pas beaucoup et cela vous donne également un faux sentiment de sécurité parce que vous êtes aussi en sécurité à 6 pieds qu'à 60 pieds si vous êtes à l'intérieur», a déclaré à CNBC le professeur d'ingénierie du MIT, Martin Bazant.
https://www.zerohedge.com/covid-19/health-experts-encourage-cdc-implement-permanent-mask-mandates
Tucker Carlson dit que les personnes qui portent des masques à l'extérieur devraient être ridiculisées
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 27 AVR 2021-11: 29
Rédigé par Paul Joseph Watson via Summit News,
Les gauchistes ont réagi avec fureur après que l'animateur de Fox News, Tucker Carlson, ait déclaré que les personnes qui portaient des masques à l'extérieur devraient être ridiculisées et que les parents qui faisaient porter leurs enfants se livraient à des «abus envers les enfants».
Carlson a noté que les masques étaient «purement un signe d'obéissance politique comme les épinglettes de Kim Il-Sung à Pyongyang» et que les seules personnes qui portent volontairement des masques à l'extérieur sont «des fanatiques et des névrosés».
Il a ensuite affirmé que les tables devraient être retournées contre les électeurs de Biden qui harcèlent les conservateurs depuis près d'un an pour ne pas porter de masque en public.
«Le reste d’entre nous devrait leur gronder d’abord, ce sont eux les agresseurs - c’est notre travail de les repousser et de restaurer la société dans laquelle nous sommes nés», a déclaré Carlson.
«Alors la prochaine fois que vous verrez quelqu'un masqué sur le trottoir ou sur la piste cyclable, n'hésitez pas. Demandez poliment mais fermement: «Voudriez-vous s'il vous plaît enlever votre masque ? La science montre qu'il n'y a aucune raison pour que vous le portiez. Votre masque me met mal à l'aise », a-t-il ajouté.
«Nous devrions le faire et continuer à le faire jusqu'à ce que le port d'un masque à l'extérieur soit à peu près aussi socialement accepté que d'allumer un Marlboro dans un ascenseur.»
L'animateur de Fox News a ensuite qualifié le port de masque de «répugnant» tout en affirmant que forcer les enfants à porter des masques à l'extérieur devrait être illégal.
«Votre réponse lorsque vous voyez des enfants porter des masques pendant qu'ils jouent ne devrait pas être différente de votre réponse lorsque vous voyez quelqu'un battre un enfant chez Walmart. Appelez la police immédiatement. Contactez les services de protection de l'enfance. Continuez d'appeler jusqu'à ce que quelqu'un arrive », a déclaré Carlson.
«Ce que vous regardez, ce sont des abus, des abus sur des enfants, et vous êtes moralement obligé d'essayer de les empêcher», a-t-il ajouté.
Comme prévu, Carlson a immédiatement commencé à suivre les tendances sur Twitter, avec des gauchistes hystériques hyperventilant au-dessus de Tucker, défiant une fois de plus leur culte. Beaucoup ont demandé que l'animateur de Fox News soit licencié tandis que d'autres le décrivaient ridiculement comme une «menace pour la sécurité nationale».
Comme nous l'avons souligné hier, même le Dr Fauci admet maintenant que le risque de propagation de COVID par des personnes vaccinées à l'extérieur est «minuscule», et pourtant certains professionnels de la santé font pression pour que les mandats de masque soient permanents.
RépondreSupprimerLa transmission du COVID-19 à l'extérieur est presque inexistante, ce qui fait des mandats de masque simplement un outil politique de contrôle de la population.
Dans une récente lettre ouverte au gouvernement allemand et aux premiers ministres des États, cinq membres éminents de l'Association pour la recherche sur les aérosols (GAeF) ont écrit: «La transmission des virus SARS-CoV-2 a lieu à l'intérieur presque sans exception. La transmission à l'extérieur est extrêmement rare et n'entraîne jamais d'infections en grappes comme on peut l'observer à l'intérieur. »
https://www.zerohedge.com/covid-19/tucker-carlson-says-people-who-wear-masks-outside-should-be-mocked
Bill Gates double son opposition au mouvement «Open Vaccine»
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 27 AVR 2021 - 02:45
Environ un an après que la Fondation Bill et Melinda Gates a pris le contrôle de la réponse mondiale au COVID-19 dans le but de fournir un "accès équitable" à un vaccin, Bill Gates & Co. a accompli le contraire: l'accélérateur ACT Covid-19 Le mécanisme, soutenu par la Fondation Gates, a une politique déclarée de respect des droits de propriété intellectuelle exclusifs des fabricants de médicaments occidentaux. Dans le même temps, la solution alternative soutenue par l'OMS, connue sous le nom de Covid-19 Technology Access Pool, ou C-TAP, qui était censée favoriser un pool open-source de technologies de vaccins et de médicaments, a pour la plupart échoué.
Alors que l'épidémie de COVID-19 de la deuxième vague de l'Inde devient incontrôlable, de plus en plus de parties se sont manifestées pour critiquer Gates pour son soutien à la protection de la propriété intellectuelle. Compte tenu de la rareté des médicaments, il y a eu de plus en plus d'appels de pays comme l'Inde et l'Afrique du Sud, d'organisations internationales de secours et d'autres personnalités publiques pour qu'ils renoncent à la protection de la propriété intellectuelle afin que les pays les plus pauvres puissent accéder plus rapidement aux vaccins. Le directeur général de l'OMC, le Dr Ngozi Okonjo-Iweala, a dirigé une foule de pays émergents dans une tentative de renoncer à la protection de la propriété intellectuelle, faisant valoir qu'il existe de nombreuses installations qui pourraient augmenter la production dans les mois à venir.
Mais alors que la pression pour reconsidérer cette position augmente, Gates a insisté lors d'une interview lundi avec Sophy Ridge de Sky News sur le fait que supprimer les protections IP des recettes de vaccins ne serait pas utile. Interrogé à bout portant sur le problème, Gates a répondu par un «non» catégorique.
"Ce qui retient les choses dans ce cas, ce n'est pas la propriété intellectuelle. Ce n'est pas comme s'il y avait une usine de vaccins inactive, avec l'approbation réglementaire, qui fabrique des vaccins magiquement sûrs. Vous savez, vous devez faire l'essai sur ces choses. Chaque le processus de fabrication doit être examiné de manière très prudente », a expliqué Gates. "Il y a toutes sortes de problèmes liés à la propriété intellectuelle liés aux médicaments. Mais pas en termes de rapidité avec laquelle nous avons pu augmenter le volume ici."
Regardez l'interview complète ci-dessous:
- voir sur site -
Selon Gates, sa fondation a contribué à accélérer le rythme des tests et de la conception des vaccins de plusieurs années. Dans le passé, il aurait probablement fallu des décennies aux pays pauvres pour s'approvisionner auprès des États riches qui les ont conçus. «En général, dans le domaine de la santé mondiale, il faut une décennie entre le moment où un vaccin arrive dans le monde riche et celui où il pénètre dans les pays pauvres», a déclaré Gates.
Bien que Gates ne puisse apparemment pas voir au-delà de la façon dont les choses se passaient dans le passé, les critiques ont rapidement souligné que des pays comme les États-Unis stockaient déjà plus de vaccins qu'ils ne pouvaient en utiliser. Et tandis que Gates insiste sur le fait qu'il n'y a aucune usine dans le monde en développement capable de fabriquer des jabs occidentaux brevetés, le Serum Institute de l'Inde est un exemple évident de la façon dont ce n'est tout simplement pas le cas. De plus, de nombreux pays qui poussent à la dérogation à la propriété intellectuelle des vaccins à l'OMC ont identifié des installations où la production de vaccins peut être accélérée rapidement.
Les opposants à cette approche au sein de l'industrie pharmaceutique se bousculent pour faire pression sur l'administration Biden pour qu'elle s'oppose à la demande de dérogation à l'OMC après un récent discours de Katherine Tai, la plus haute responsable du commerce de Biden, a stipulé que Washington "examinerait quelles modifications et réformes" pourraient être. appliquée aux règles de propriété intellectuelle. Entre autres risques, Big Pharma soutient qu'un vaccin «ouvert» profiterait à des rivaux américains comme la Chine et la Russie.
RépondreSupprimerMais la réalité est que des milliards d'habitants du monde en développement en bénéficieront, tandis que les sociétés pharmaceutiques et l'industrie pharmaceutique internationale risquent de rater certains bénéfices.
https://www.zerohedge.com/covid-19/bill-gates-doubles-down-opposition-open-vaccine-movement
"Il est sur le point de s'aggraver": les chaînes d'approvisionnement implosent alors que "le prix n'a même plus d'importance"
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 27 AVR 2021 - 14:15
Par Greg Miller, de FreightWaves,
Le nombre de porte-conteneurs bloqués au mouillage au large de Los Angeles et de Long Beach est tombé à environ 20 par jour, contre 30 il y a quelques mois. Cela signifie-t-il que la pénurie de capacité sur le marché transpacifique s'atténue enfin ? Absolument pas, a averti Nerijus Poskus, vice-président de l'océan mondial chez le transitaire Flexport. «Ça ne va pas mieux. Cela empire », a-t-il déclaré à American Shipper dans une interview lundi.
«Ce que je vois est sans précédent. Nous assistons à un tsunami de fret », a-t-il rapporté.
«Pour le mois de mai, tout sur le transpacifique est pratiquement épuisé. Nous avions un client qui avait besoin de quelque chose chargé en mai qui était extrêmement urgent et qui était prêt à payer 15 000 $ par conteneur. Je n'ai pas pu le charger - et nous sommes une entreprise en pleine croissance qui expédie beaucoup d'EVP [unités équivalentes à vingt pieds]. Le prix n'a même plus toujours d'importance. "
Réapprovisionnement des volumes de conduite plus élevés
Poskus a déclaré que les volumes d'importations transpacifiques étaient toujours en hausse. Il a noté que les importations transpacifiques de janvier étaient en hausse de 10 % par rapport à 2019 (les comparaisons avec les chiffres de 2020 sont faussées par COVID) et de 13,5 % en février, puis ont bondi de 51 % en mars. "Donc, nous sommes maintenant à 1,5 fois les niveaux d'avant la pandémie."
Les importations dépassant de loin la croissance des ventes au détail, il a attribué les volumes au réapprovisionnement des stocks. «Le réapprovisionnement affecte en fait le commerce encore plus que la croissance de la demande. Cela me dit que cela durera encore plus longtemps. Supposons que la demande des consommateurs américains ralentisse au troisième et au quatrième trimestre. Ce n’est pas prévu, mais même si c’est le cas, [la disponibilité de la capacité et les tarifs] ne devraient pas s’améliorer rapidement, simplement en raison de l’énorme demande de réapprovisionnement. »
Poskus pense également qu'il y a un arriéré d'exportation croissant qui s'accumule chaque jour en Asie, dans l'attente des créneaux disponibles pour les navires. Si cet arriéré devient trop important, il a déclaré: "Honnêtement, je ne sais pas ce qui va se passer." En raison de l'arriéré et de la demande de réapprovisionnement, il pense que "les prix resteront élevés et les expéditions resteront probablement difficiles pour le reste de l'année. Et après cela, vous aurez le pic pour le Nouvel An chinois en 2022".
Sur le point de s'aggraver
RépondreSupprimerIl a dit que la situation d’aujourd’hui était la pire dont il ait été témoin - et il pense qu’elle est sur le point de devenir encore plus grave.
«Bouclez votre ceinture. Le mois de mai sera le pire que les gens aient jamais vu », a-t-il prédit. Étant donné que certains expéditeurs devront faire la queue derrière l'arriéré croissant en Asie, il s'attend à ce que «ce qui va se passer bientôt, c'est que certains importateurs ne pourront même pas monter sur le bateau. Pour eux, ils auront presque l'impression que le commerce est en train de s'arrêter. »
Les commentaires de Poskus reflètent les données sur les réservations de fret. La plate-forme SONAR de FreightWaves comprend un index exclusif des réservations océaniques des expéditeurs (SONAR: IOTI.USA). Les réservations vers les États-Unis sont mesurées en EVP sur une base de moyenne mobile sur 10 jours à compter de la date prévue du départ à l'étranger. Lundi, l'indice était à un nouveau niveau record et les données sur les réservations à terme ont montré une hausse continue à venir.
- voir graphique sur site -
(Graphique: FreightWaves SONAR. Pour en savoir plus sur FreightWaves SONAR, cliquez ici.)
Reconnaître les primes avec vengeance
Vendredi, le Freightos Baltic Daily Index a évalué le taux au comptant Asie-Côte Ouest (SONAR: FBXD.CNAW) à 4797 $ par unité équivalente quarante pieds (FEU) et le taux Asie-Côte Est (SONAR: FBXD.CNAE) à 6 306 $ par FEU - deux niveaux presque sans précédent.
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Mais ce n’est qu’une partie de l’histoire des taux. «Les index ne sont pas des factures. Les primes ne sont pas reflétées dans les indices », a déclaré Poskus. Plus tôt cette année, certains des frais de prime ont diminué à mesure que la disponibilité des conteneurs en Asie s'est améliorée. C’est inversé, a déclaré Poskus, qui a noté que l’incident Ever Given dans le canal de Suez a retiré du marché l’équipement de conteneurs. «Les pénuries de conteneurs en Asie sont à nouveau très graves en raison de l'Ever Given, et il faudra encore quatre à six semaines pour revenir à la normale.»
Les primes supplémentaires pour charger les marchandises au comptant «sont de retour et elles sont plus élevées qu’avant», a-t-il déclaré. "Ils sont de 2 000 $ à 3 000 $ au-dessus du FAK [prix au comptant] et c'est le meilleur des cas."
Le fret au comptant qui a été réservé 21 jours auparavant et qui était prévu dans le cadre de l’allocation de l’expéditeur reçoit toujours des prix FAK sur place, a-t-il noté. Cependant, «tout à la dernière minute est essentiellement une vente aux enchères gratuite pour tous. Vous offrez essentiellement autant d'argent que vous le pouvez et espérez que quelqu'un le prendra. De nombreux importateurs sont actuellement en difficulté. Nous voyons tellement de nouveaux clients qui nous approchent pour nous demander de l’aide parce qu’ils ne peuvent pas être chargés. »
Taux de contrat en forte hausse
RépondreSupprimerUne récente présentation de Xeneta, une société qui collecte des données sur les contrats, a montré que les contrats Asie-Côte Ouest en cours de négociation cette année à des niveaux environ 30 à 50% plus élevés que l'année dernière.
Les chiffres de Poskus sont environ le double de ceux de Xeneta. «Nous assistons à des augmentations de prix fixes légèrement supérieures à 100% sur la côte ouest de l'Asie et d'environ 75% sur la côte est de l'Asie», a-t-il déclaré. «En outre, presque tous les tarifs contractuels sont soumis à des suppléments de haute saison [PSS], de sorte que les prix ne sont pas exactement fixes. Je pense que les PSS réduiront l'écart entre le marché au comptant et le marché fixe. »
Interrogé sur les expéditeurs qui n’ont pas encore conclu leurs contrats annuels, il a déclaré: «Si vous voulez un prix fixe sur le marché d’aujourd’hui, la réponse que vous obtiendrez des transporteurs est qu’il est trop tard. Nous avons conseillé à de nombreux importateurs de signer tôt car la saison des contrats transpacifiques se terminerait [tôt] car il y a plus de demande que d'offre. Et c’est exactement ce qui s’est passé. »
Il existe des exceptions, comme les grands expéditeurs avec des contrats de juin à juin qui ont entamé des discussions avec les transporteurs plus tôt cette année. «Mais si vous n'êtes qu'un simple importateur et que vous n'avez pas encore signé votre contrat fixe, vous serez sur le marché au comptant», a déclaré le vice-président de Flexport.
Conseils aux importateurs
Poskus a offert plusieurs conseils aux importateurs qui se démènent pour acheminer des conteneurs vers les États-Unis.
Il a noté que les transporteurs ont besoin de conteneurs frigorifiques sur le marché américain pour les exportations réfrigérées vers l'Asie. Sur le chemin du retour d'Asie, ces reefers sont hors tension et peuvent être utilisés comme reefers non opérationnels (NOR) pour transporter des cargaisons sèches. «Croyez-le ou non, les transporteurs déplacent toujours certains NOR vides parce que les importateurs ne les aiment pas. Il s'agit d'une occasion manquée de déplacer des marchandises dans les NOR. Mon conseil est le suivant: prenez cette option. Si vous recherchez la meilleure solution sur ce marché, vous allez voir encore plus de retards. "
Il a également suggéré de déplacer la cargaison via des envois à chargement limité (LCL). «LCL est toujours en mouvement. Bien sûr, vous ne pouvez pas déplacer des milliers de conteneurs LCL, mais si vous avez quelque chose d'urgent, vous pouvez toujours obtenir de l'espace pour LCL lors des traversées de mai. Au lieu d'attendre, divisez certaines de vos expéditions en expéditions LCL et obtenez au moins un inventaire », a-t-il déclaré.
Encore une autre option: soyez créatif avec les itinéraires. Par exemple, les traversées directes Chine-côte ouest peuvent être épuisées, mais le fret peut être acheminé de Chine via le canal de Panama à Carthagène, en Colombie, puis de nouveau par le canal vers la côte ouest. «Il a un temps de transit plus long, mais il peut être chargé dans la même semaine et c'est une option plutôt que d'attendre un mois et demi pour être chargé [pour l'itinéraire direct]», a-t-il déclaré.
«Il suffit de transporter votre cargaison vers le continent nord-américain et de là, vous pouvez l'acheminer là où elle doit aller, que ce soit avec NOR ou LCL ou en transbordant [via des hubs comme Carthagène] ou en l'expédiant au Canada et en la mettant ensuite sur le rail. à Chicago et à New York. Ce sera cher, mais au moins il y arrivera.
«Il faut être flexible. Recherchez n'importe quel itinéraire et soyez créatif. C’est une cible mouvante. Et n’attendez pas. Si quelque chose s'ouvre, agissez vite.
https://www.zerohedge.com/markets/its-about-get-much-worse-supply-chains-implode-price-doesnt-even-matter-anymore