Opération Recipharm : une innovation en trompe-l’œil
Injecter de l’argent public dans une opération de sous-traitance n’est certainement pas un moyen de rattraper le retard pris par notre pays dans la course à l’innovation en matière de santé.
Par Pierre Robert 28 AVRIL 2021
Quand Philippe Katerine chante la liberté, ses paroles sont choquantes mais sonnent vraies : Liberté, mon cul !
Sous couvert d’encouragement à l’innovation, l’opération Recipharm sponsorisée par le gouvernement français y fait irrésistiblement penser.
L’ART DE NOUS FAIRE PRENDRE LES VESSIES POUR DES LANTERNES
Le 22 avril dernier Agnès Panier-Runacher, secrétaire d’État à l’Économie, a annoncé sous couvert d’une opération de financement de l’innovation que l’État allait investir 35 millions d’euros dans l’usine du groupe suédois Recipharm située à Monts en Indre-et-Loire. Cette société privée est un façonnier pharmaceutique très présent sur le marché des traitements injectables. Son usine de Monts est l’un des quatre sites qu’elle possède en France.
Recipharm y intervient pour exécuter le contrat signé avec la firme Moderna qui lui a confié la fabrication de doses de son vaccin anti-Covid. Si cette biotech américaine a pu le mettre au point dans ses laboratoires américains, c’est grâce à des financements américains et en lien étroit avec les ressources de l’Université Harvard qui lui ont permis de maîtriser la technologie révolutionnaire de l’ARN messager.
Recipharm n’est ici qu’un sous-traitant qui espère, à partir du mois de juin, pouvoir produire chaque mois 10 millions de doses en transformant deux de ses lignes de production. Le coût de l’opération est évalué à 50 millions d’euros. Moderna n’en finance que deux millions. L’essentiel de cette dépense réalisée pour financer non l’innovation mais un investissement entrant dans le champ normal d’action d’une entreprise privée est donc pris en charge par l’État français.
Reste à comprendre pourquoi.
UNE PRÉSENTATION TROMPEUSE
Selon notre Secrétaire d’État à l’économie :
Nous n’avons pas financé l’innovation depuis 30 ans, et nous l’avons payé. Beaucoup de sites ont fermé. Depuis trois ans, nous renversons la vapeur. À la faveur de cette crise, nous avons les moyens d’accélérer les choses avec le plan de relance.
Le diagnostic est juste mais injecter de l’argent public dans une opération de sous-traitance n’est certainement pas un moyen de rattraper le retard pris par notre pays dans la course à l’innovation en matière de santé.
Pour comprendre les raisons du décrochage de la France, il faut remonter à 2003 et aux discussions sur la révision de la Loi de bioéthique de 1994.
Dans l’émotion du moment, alors que la secte des Raéliens prétend maîtriser le clonage reproductif, lors d’une intervention devant le Collège de France le Président Chirac dénonce violemment les « chercheurs dévoyés qui renouent avec les fantasmes eugénistes qu’on aurait voulu voir disparaître avec les totalitarismes » ainsi que les « laboratoires sans scrupule qui se livrent à l’expérimentation prématurée de nouvelles molécules ».
Avec le gouvernement, il pousse à l’adoption le 6 août 2004 d’une loi réglementant la recherche de façon très restrictive. Elle interdit en effet le clonage humain à but thérapeutique (7 ans de prison et 100 000 euros d’amende) et proscrit la recherche sur les embryons ou les cellules souches embryonnaires. Elle entérine aussi le refus de l’appropriation d’un gène ou d’une séquence génétique, alors qu’une directive européenne n’exclut pas ces formes de brevetabilité du vivant.
En se cumulant avec l’inscription dans la Constitution du principe de précaution, cette loi pousse nos meilleurs chercheurs à poursuivre leurs travaux à l’étranger et signe le déclin de la recherche médicale française. C’est ce que confirme une note récente du Comité d’Analyse Économique (CAE) au titre révélateur : « Innovation pharmaceutique : comment combler le retard français ? »
Ses rédacteurs montrent clairement comment et pourquoi la recherche française en santé a régressé en passant à côté de l’essor des biotechnologies. Soutenir la production d’une usine de conditionnement n’a rien à voir avec la nécessité de rattraper un tel retard. En revanche, ce soutien est bien la traduction d’un autre mal français qui est la sur-administration de notre économie livrée aux voltefaces de la puissance publique.
DE VRAIES CARENCES
Si entre 2010 et 2019, les crédits de la recherche en santé n’ont cessé de diminuer, les coûts de fonctionnement des administrations publiques et les dépenses de transfert n’ont quant à elle cessé de progresser.
En 2019 les dépenses de santé dans notre pays s’élevaient à 11,2 % du PIB contre 9,8 en Grande-Bretagne et 9,9 % aux Pays-Bas. Cet écart représente plus de 30 milliards d’euros de dépenses supplémentaires pour des résultats en termes socio-démographiques qui ne sont pas meilleurs. Ce chiffre est l’un symptôme des dérives structurelles dont souffre notre système de santé qui doit supporter les coûts de sa sur-administration et les contraintes nées des 35 heures.
Dans ce contexte pour obtenir que depuis 2010 soit respecté l’ONDAM, un joli sigle pour désigner l’Objectif National des Dépenses d’Assurance Maladie, il a fallu exercer une pression très forte sur les fournisseurs par exemple de masques, de seringues ou de flaconnages. Ces éléments ont été jugés peu importants, le seul impératif étant que leur prix de revient soit le plus faible possible. Leur production a donc migré vers les pays à bas coût de main-d’œuvre, et notre pays s’est trouvé fort dépourvu quand la pandémie fut venue.
UN ÉTAT QUI CHERCHE À RÉPARER CE QU’IL A LUI-MÊME DÉTRUIT
Ce diagnostic est à juste titre repris par madame Panier-Runacher :
Nous devons reconstruire une autonomie européenne et française en matière de production de produits pharmaceutiques. C’est une de nos priorités car pendant des années, on a fait du médicament un élément comptable du budget de loi de finances de sécurité sociale.
En clair, l’État se préoccupe aujourd’hui de réparer ce qu’il a lui-même détruit hier du fait de sa gestion calamiteuse. Il est vrai que le grand Keynes qui semble revenir à la mode suggérait que lorsque les choses allaient mal, un bon moyen pour redresser la situation était de payer des gens à creuser des trous pour ensuite les reboucher.
Cet épisode est donc éclairant sur la manière dont dysfonctionne gravement notre économie étatisée. Il l’est davantage encore si on médite sur le fait qu’en l’occurence une entreprise suédoise cotée à la bourse de Stockholm ayant signé un contrat avec une entreprise américaine très rentable pour fabriquer des flacons et les remplir décide de ne pas financer elle-même les investissements nécessaires. C’est donc notre gouvernement complaisant qui va s’en charger non sans en tirer une certaine fierté…
Quand l’État soutient peu et mal la recherche qu’il est dans ses missions de financer mais utilise de l’argent public de surcroît obtenu par l’emprunt pour réparer ses erreurs, manifestement quelque chose ne tourne pas rond.
Par définition, une république n'est PAS une démocratie mais son contraire où le Peuple doit fermer sa gueule ! C'est pourquoi, aujourd'hui comme hier rien ne change et, ce ne sont pas sur les putains de candidat(e)s aux présidentielles qu'il faut compter pour que çà change !
Ne soyez jamais forcé à utiliser un masque facial, un vaccin, un test Covid ou tout autre mandat de santé publique: comment faire cela et pourquoi
Par Allan Stevo 28 avril 2021
Les mandats de santé publique n'ont pas leur place dans une société libre. En fait, l'ensemble de l'industrie de la santé publique n'a pas sa place dans une société libre. De ses racines mêmes, la santé publique est un ensemble de théories philosophiquement appauvri qui laisse les individus à la fois moins libres et moins sains.
La santé est une affaire individuelle et quelque chose que beaucoup tiennent à cœur. «Santé publique» est un terme nommé de manière manipulatrice qui vise à vous toucher le cœur. C'est l'imposition la plus vile à votre vie et à celle de vos proches, exprimée dans les termes les plus doux et les plus manipulateurs. Cela seul devrait vous en dire assez pour vous méfier de quiconque vous propose une solution de santé publique: soit ils ont été dupés, soit ils essaient de vous tromper. Quoi qu'il en soit, quiconque présente un mandat de santé publique ne mérite pas votre confiance.
J'encourage tout le monde à lutter contre l'imposition de la santé publique dans leur vie.
Parfois, cela nécessite des petits pas. Même les champions les plus audacieux, tous vos héros préférés, ont appris leur capacité avec des pas de bébé. Je reçois de nombreuses demandes du type «Comment puis-je éviter un mandat de santé publique X ?» Il existe de nombreuses manières. Je trouve que la méthode ci-dessous fonctionne bien.
1.) Lisez la politique - Demandez une copie de leur politique d'exemption de masque facial / politique d'exemption de vaccin / politique d'exemption de test PCR.
2.) Invoquer une exemption - Si vous tombez sous l'exemption (des millions d'Américains le font), informez-les que vous invoquerez l'exemption en disant «Je vois que vous avez une exigence d'activité X. Je ne peux pas effectuer l'activité X en toute sécurité. Que pouvez-vous faire pour moi (pour répondre à ce besoin) ? »
Dans une épicerie qui ressemble à ça. «Je passe à 14 heures. Je vois que vous avez une exigence de masque facial. Je ne peux pas porter de masque facial en toute sécurité. Que peux tu faire pour moi ?"
Dans un cabinet médical, cela ressemble à ceci: «Je suis programmé pour un rendez-vous mercredi. Je vois que vous avez une exigence de test Covid. Je ne peux pas passer un test Covid en toute sécurité. Que pouvez-vous faire pour répondre à mes besoins particuliers ? » Puisqu'il existe de nombreuses variantes de tests Covid, il est logique de d'abord comprendre très précisément les détails des tests qu'ils proposent avant de vous identifier comme étant incapable de passer un tel test en toute sécurité.
Au travail, cela ressemble à ceci: «Je vois que notre entreprise a besoin de vaccins. Je suis incapable de prendre un vaccin en toute sécurité. Que pouvez-vous faire pour répondre à mes besoins particuliers ? »
3.) Répondez à l'offre - Répondez à l'accommodement par l'affirmative si cela fonctionne pour vous, ou par la négative si cela ne fonctionne pas pour vous.
Dans l'affirmative, cela peut ressembler à ceci: «Merci qui travaille pour moi». Après cela, il est utile de poser des questions de clarification sur la façon dont le processus devrait ensuite se dérouler. J'aime creuser avec des questions détaillées comme "Quand quelqu'un à la porte d'entrée me demande de mettre un masque, que dois-je dire ?" ou des questions plus générales telles que "Que dois-je faire à mon arrivée ?" Celles-ci sont importantes car elles vous permettent d'avoir une clarté sur le processus, mais elles amènent également le gestionnaire à réfléchir au processus et à répondre à ces questions de base pour lui-même, ce qui rend beaucoup plus probable que vous finissiez tous les deux par savoir exactement à quoi vous attendre lorsque vous arrivée.
Dans la négative, cela ressemble à ceci: «Merci. C’est utile de savoir. Quelles autres options existe-t-il ? » ou si vous voulez être plus insistant: «Cela ne fonctionne pas pour moi. Quelles autres options existe-t-il ? »
Si un mandat médical différent est proposé que vous ne pouvez pas utiliser en toute sécurité, vous pouvez commencer ce processus depuis le début.
Costco en est un bon exemple. Puisque la réponse de Costco à une exemption de masque facial est de vous mettre dans un écran facial, quelque chose que tout le monde ne peut pas porter en toute sécurité, chez Costco, cela pourrait ressembler à ceci: «Je ne peux pas porter un écran facial en toute sécurité. Que pouvez-vous faire pour moi pour répondre à ce besoin particulier ? »
Portez-le ou ne le portez pas
Au cours de ce processus, ne mettez pas un masque de manière désobéissante simplement parce que vous pouvez vous en sortir avec le fait qu'il tombe autour de votre menton. Portez-le ou ne le portez pas. Que votre non soit non et que votre oui soit oui. Si vous le portez de manière désobéissante ou indisciplinée, vous confondez les autres et vous les invitez à vous corriger.
Si vous ne portez pas de masque, faites-le avec détermination et faites-le avec audace. Soyez très clair que vous ne pouvez pas porter un masque en toute sécurité et qu'en aucun cas vous n'en porterez un.
Cette clarté vous aidera à vous offrir un meilleur traitement que le client moyen et permettra aux autres de comprendre plus facilement qu'ils doivent prendre votre incapacité à porter un masque en toute sécurité aussi au sérieux que vous-même.
Ne vous expliquez à personne
Personne à un point de contrôle de conformité ne mérite de savoir quel est votre «état», quel est votre «problème», ni de pouvoir lire et évaluer une note de votre médecin. «Je ne peux pas porter de masque facial en toute sécurité» est tout ce que je vous recommande de proposer. «Je ne peux pas prendre un vaccin en toute sécurité», «Je ne peux pas passer un test Covid en toute sécurité.» Quelle que soit la préoccupation légitime, arrêtez la conversation là. N'ouvrez pas la boîte de vers qui existe inévitablement lorsque vous accueillez quelqu'un dans vos affaires privées. Ce ne sont pas leurs affaires.
Si vous avez besoin de plus de conseils sur la façon de rejeter les mandats de santé médicale, lisez le best-seller d'Allan Stevo «», lisez ses articles sur LewRockwell.com et inscrivez-vous sur RealStevo.com pour des vidéos et des cours informatifs sur le sujet. Tout cela se résume cependant à se résoudre à vivre la vie à un niveau supérieur et à refuser d'accepter un mandat médical qui ne vous convient pas. Exigez le meilleur pour vous-même. Les mandats uniformes sont une version inférieure des soins de santé. Si vous n’exigez pas mieux pour vous et votre entourage, alors personne ne le fera et vous obtiendrez les mêmes soins de santé inférieurs que la plupart des gens supportent.
Primo, IL N'EXISTE PAS de masque antivirus et ne peuvent pas être fabriqués car, déjà avec 'le plus fin' (FFP2/N95 bec de canard avec valve d'expiration) la respiration est presque impossible et l'écart de maillage est de 3 microns alors que le corona ne mesure que 0,1 à 0,5 µ !!!
Secundo, IL N'EXISTA PAS de vaccin antivirus. Même la grippe (ou le rhume qui font partie des 'coronas') diffère chaque année. De plus, un vaccin se fait en 10 ou 15 ans pas en 10 ou 15 jours !
Tertio, les 'tests' RT-PCR poussés au-delà de 25 cycles ne sont pas fiables et son trompeurs et très dangereux. C'est pourquoi en France les cycles sont poussés jusqu'à 50 !!! Oui ! J'ai bien dit '50' ! afin d'être en tête pour le nombre de FAUX cas et des personnes escroquées !
Enfants innocents du Covid-19 : leur injecter des vaccins expérimentaux serait criminel
Dr Gérard Delépine mondialisation.ca mar., 27 avr. 2021 15:29 UTC
Les enfants ne risquent rien du Covid-19 ; vouloir leur injecter des vaccins non testés est criminel et inutile. « Stop : ils s'entêtent à vouloir vacciner les enfants » Depuis plus d'un an les lobbyistes des firmes pharmaceutiques rêvent d'imposer la vaccination anti-covid-19 à l'ensemble de la population mondiale en utilisant des obligations vaccinales et le chantage « vacciné ou socialement mort ».
Et depuis plus d'un mois ils s'attaquent aux enfants1 alors que ceux-ci ne risquent rien du Covid-19, qu'ils ne le transmettent pas et que rien ne prouve que les vaccins puissent être efficaces et sans danger pour eux.
Les enfants ne risquent rien du Covid-19 et ne peuvent donc tirer aucun bénéfice individuel de la vaccination anti-covid-19.
Toutes les séries rapportées2,3,4,5,6,7,8 et tous les relevés nationaux et internationaux confirment tous que le Covid-19 est rare et presque toujours bénin chez l'enfant, et qu'ils risquent moins du Covid-19 que de la grippe saisonnière.
En France, depuis un an, Santé publique France n'a comptabilisé que 3 morts attribuées au Covid (tous souffraient de maladies chroniques, de cancer ou d'immunodéficience) sur près de 8 millions d'enfants et adolescents de moins de 15 ans alors que la grippe fait en moyenne 8 victimes chaque année dans ce groupe d'âge.
L'OMS9 confirme que les enfants ne risquent pratiquement rien :
- voir graphique sur site -
les moins de 15 ans rien covid-19
Ce risque infime fait qu'aucun bénéfice individuel ne peut être espéré de la vaccination chez les enfants alors que des complications post-vaccinales parfois graves, allant jusqu'à la mort, sont rapportées partout dans les médias.
Les enfants ne sont pas des vecteurs de propagation de la maladie ; les vacciner ne changerait en rien l'évolution de l'épidémie.
Toutes les séries rapportées et tous les relevés nationaux et internationaux montrent que les enfants et adolescents ne sont pas vecteurs de transmission et qu'ils ne sont pas contaminés par les camarades d'école, mais habituellement par les parents à domicile.
Plus de 20 études épidémiologiques dans une dizaine de pays ont recherché opiniâtrement des contaminations à partir d'enfants de moins de 15 ans : aucune n'a pu mettre en évidence un seul exemple réellement probant.
L'étude de l'INSERM10 est très démonstrative. L'enfant des Contamines a été en contact, alors qu'il était malade, avec 172 personnes, dont 112 élèves et professeurs dans trois écoles et un ski-club. Il n'a contaminé personne, même pas les deux autres enfants de sa fratrie. Et l'infection apportée de Singapour par un adulte est restée cantonnée aux occupants du chalet.
L'étude de l'Institut Pasteur sur les écoles primaires de Crépy-en-Valois11 a porté sur 1 340 personnes, dont 139 infectées (81 adultes et 58 enfants). Parmi 510 élèves de six écoles primaires, ils ont identifié trois enfants de trois établissements différents qui étaient infectés au moment où les écoles étaient encore ouvertes. Aucun de ces trois enfants n'a contaminé quiconque, qu'il s'agisse d'autres élèves ou d'adultes.
L'étude Coville12, du groupe Activ (Association clinique et thérapeutique infantile du Val-de-Marne) dirigé par le professeur Robert Cohen, vice-président de la Société française de Pédiatrie, a porté sur 600 enfants, de la naissance à l'âge de 15 ans permet de conclure que : « sans histoire de Covid parental, l'enfant n'a rien ».
Aux Pays-Bas, les enfants âgés de 0 à 17 ans ne représentent que 1,3% de tous les patients déclarés avec Covid-19, bien qu'ils représentent 20,7% de la population. Seulement 0,6% des hospitalisations signalées concernaient des enfants de moins de 18 ans et Il n'y a pas de cas d'enfants décédés du Covid-19. Une étude des ménages aux Pays-Bas a rapporté des données sur 116 enfants de 1 à 16 ans13 et les résultats préliminaires ont montré que rien n'indique que les enfants de moins de 12 ans aient été les premiers infectés de la famille.
En Irlande14, avant la fermeture des écoles aucun cas de contamination scolaire n'a été détecté parmi les 924 enfants et 101 adultes au contact de six infectés (trois enfants, trois adultes).
En Australie15,16, 9 élèves et 9 membres du personnel infectés par le SRAS-CoV-2 dans 15 écoles ont eu des contacts étroits avec un total de 735 élèves et 128 membres du personnel. Seules 2 infections secondaires ont été identifiées, aucune chez le personnel adulte. 1 élève du primaire a été potentiellement infecté par un membre du personnel.
En Suisse17 : sur un total de 4 310 patients atteints du SRAS-CoV-2, 40 étaient âgés de moins de 16 ans (0,9%). Parmi les 111 contacts familiaux positifs des enfants étudiés, les mères prédominaient (n = 39), suivies des pères (n = 32), des frères et sœurs pédiatriques (n = 23), des frères et sœurs adultes (n = 8) et des grands-parents (n = 7).
En Finlande un enfant de 12 ans qui allait à l'école durant sa maladie a été en contact avec 121 personnes et n'en a contaminé aucune.
En Grèce18, l'analyse épidémiologique de 23 clusters touchant 109 personnes (66 adultes et 43 enfants n'a retrouvé aucun cas de transmission à partir d'un enfant.
À Singapour19, deux écoles primaires et une école secondaire ont constaté des Covid-19 infantiles. Aucun des 34 contacts identifiés des écoles primaires ne s'est révélé positif. Parmi les 77 contacts de l'école secondaire, 8 ont développé des symptômes grippaux, mais aucun d'entre eux n'a été testé positif.
Sur les plus de 11 180 articles ayant pour sujet l'enfant et le Covid-19 répertoriés par PubMed le 9/4/2021 et les 1 794 spécifiquement dédiés à la transmission éventuelle par les enfants, aucun n'apporte la preuve d'une transmission d'un enfant à un autre enfant ou à un adulte dans le monde réel.20,21,22,23,24
Les seuls articles qui évoquent cette possibilité se basent sur la charge virale ou sur des modélisations aux hypothèses fausses.
Certes des enfants scolarisés peuvent être malades ou testés positifs, mais chez les asymptomatiques, il s'agit le plus souvent de faux positifs (plus de 90%), ou d'infections anciennes qu'ils ont contractées à domicile et dont ils sont guéris. Les transmissions scolaires sont possibles, mais toutes celles qui ont fait l'objet d'une enquête épidémiologique sérieuse montrent qu'elles sont liées au personnel adulte.
Comme les enfants sont innocents de la transmission de la maladie leur vaccination, même si elle était efficace ne servirait à rien pour protéger les autres.
Les vaccins actuels n'empêchent pas la transmission de la maladie !
Dans les pays champions des campagnes de vaccination, les transmissions se poursuivent et sont même parfois augmentées.
Ainsi aux Émirats Arabes Unis la circulation du virus est plus intense depuis la vaccination
évolution des contaminations Même phénomène au Bahreïn :
- voir graphique sur site -
bahrein évolution pandémie
Même évolution au Chili :
- voir graphique sur site -
chili évolution pandémie
La comparaison des évolutions des mortalités en Grande-Bretagne confinée et très vaccinée et en Suède non confinée et peu vaccinée suggère même que la vaccination aggrave au moins transitoirement transmission et mortalité.
- voir graphique sur site -
mortalité gb depuis vaccination
Cette très douteuse efficacité des vaccins actuels pour prévenir la transmission du virus est reconnue par la Haute Autorité de Santé et a été officialisée par O. Véran dans son argumentaire récent devant le Conseil d'État25 : « le vaccin n'empêche pas de transmettre le virus aux tiers ».
Même si les enfants étaient contagieux, leur vaccination serait donc inefficace pour protéger les autres puisque les vaccins ne sont pas capables d'interrompre la transmission !
Les vaccins ne sont même pas expérimentaux chez l'enfant : ils n'ont même pas été testés !
Chez les adultes, les vaccins sont expérimentaux puisque les essais ne seront pas terminés avant 2023. Chez l'enfant ils ne sont même pas expérimentaux car les essais excluaient jusque récemment les moins de 16 ans et que le premier essai chez l'enfant a été interrompu après un accident avant inclusion significative d'enfants cobayes.
C'est donc un médicament qui n'a pas du tout été testé chez eux et qui n'a pas reçu d'AMM même conditionnelle que les vaccinolâtres voudraient injecter aux enfants qui n'en ont pas besoin !
Pour retrouver nos libertés, il suffit de le vouloir !
L'argument de la vaccination des enfants « nécessaire pour retrouver nos libertés » agité par Stéphane Dhersin reprend le chantage classique des avocats du vaccin. Cet argument ne repose sur aucun fait scientifiquement établi mais sur des prophéties mathématiques truquées/fausses.
Les Suédois, les Biélorusses, les Finlandais, les Néerlandais qui n'ont jamais été confinés souffrent d'une mortalité inférieure à la nôtre.
Le gouverneur du Texas a supprimé toutes les contraintes prétendument sanitaires le 10 mars et depuis la mortalité baisse alors qu'elle augmente dans des États (Michigan, Minnesota) encore soumis aux restrictions sociales.
- voir graphique sur site -
décès quotidien texas
Dans un court article au Lancet, Delfraissy26 et quatre autres membres du Conseil scientifique déclarent qu'il faut changer de politique sanitaire, cesser d'utiliser les confinements épisodiques et ne plus compter sur la vaccination pour nous sortir de la crise. Pourquoi ne les écoute-t-on pas ?
- voir graphique sur site -
N'ayons plus peur inutilement. Arrêtons de massacrer l'équilibre psychologique, la santé, l'éducation et l'avenir professionnel de nos jeunes. notre économie.
Et ne sacrifions pas les enfants sur des croyances et modélisations fausses qui ne peuvent être utiles qu'aux actionnaires des marchands de vaccins.
Les enfants ne risquent rien du Covid-19 et ne sont pas vecteurs du Covid-19. Vouloir leur injecter des vaccins non testés est criminel.
[1] Antoine Beau Covid : faut-il vacciner les enfants pour un retour à la vie normale en septembre ? SCIENCE 07/04/2021
"Vacciner les mineurs est un levier d'action potentiel dans la lutte pour revivre normalement", explique Jean-Stéphane Dhersin, modélisateur
[2] Peter Brodin Why is COVID-19 so mild in children ? Editorial Acta Paediatrica 24 March 2020
[3] Ji Young Park First Pediatric Case of Coronavirus Disease 2019 in Korea J Korean Med Sci. 2020 Mar 23 ;35(11)
[4] LiangSua the different clinical characteristics of corona virus disease cases between children and their families in China - the character of children with COVID-19 Emerging Microbes & Infections 2020, VOL.
[5] Qinxue Shen Novel Coronavirus Infection in Children Outside of Wuhan, China Pediatr Pulmonol. 2020 Apr 7. doi : 10.1002/ppul.24762. Online ahead of print
[6] Ya-Nan Han et al A Comparative-Descriptive Analysis of Clinical Characteristics in 2019-Coronavirus-infected Children and Adults Pediatrics April 2020
[7] Zhonghua Er Ke Za Zhi pour la Société de pédiatrie et Association médicale chinoise : Recommandations pour le diagnostic, la prévention et le contrôle de la nouvelle infection à coronavirus 2019 chez les enfants (première édition intermédiaire). 2020 ; 58 : 169-74.]., Chinese Journal of Pediatrics
[8] Haiyan Qiu Clinical and epidemiological features of 36 children with coronavirus disease 2019 (COVID-19) in Zhejiang, China : an observational cohort study Lancet Infect Dis. 2020 25 mars ; S1473-3099 (20) 30198-5.
[9] OMS Covid19 dashboard consulté le 9/4/2021
[10] Kostas DANIS et al pour Santé Publique France Cluster of coronavirus disease 2019 (Covid-19) in the French Alps, 2020 Clinical Infectious Diseases Oxford University Press for the Infectious Diseases Society of America.
[11] Fontanet et al SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France : A retrospective cohort study in an area of high transmission medRxiv 2020
[13] Sur la base des rapports des services de santé publique municipaux (GGD
[14] Heavey L, Casey G, Kelly C, et al. No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020. Euro Surveill 2020 ;25 :2000903
[15] D'après l'Australian National Centre for Immunisation Research and Surveillance https://www.bing.com/search?q=l%E2%80%99Australian+National+Centre+for+Immunisation+Research+and+Surveillance&form=QBLH&sp=-1&pq=&sc=0-0&qs=n&sk=&cvid=4D88315372394AACB2AA964A03900C84
[16] Centre national de recherche et de surveillance de la vaccination. COVID-19 dans les écoles — L'expérience en NSW. Nouvelle-Galles du Sud, Australie : Centre national de recherche et de surveillance sur l'immunisation
[17] Hildenwall H, Luthander J, Rhedin S, et al. Paediatric COVID-19 admissions in a region with open schools during the first two months of the pandemic. Acta Paediatr. 2020 ; 00 :1-3. https://doi.org/10.1111/apa.15432
[18] Helena C. Maltezoua Transmission dynamics of SARS-CoV-2 within families with children in Greece : a study of 23 clusters J Med Virol. 2020 août 7 ;10.1002/jmv.26394. doi : 10.1002/jmv.26394
[19] Agence gouvernementale de Singapour. COVID-19 : cas à Singapour [Internet]. Singapour, Agence gouvernementale de Singapour. 2020 ; [cité le 12 mars 2020. Disponible sur : https://www.gov.sg/article/covid-19-cases-in-singapor [
[20] Weiyong Liu .et al : Detection of Covid-19 in Children in Early January 2020 in Wuhan, China N Engl J Med. 2020 2 avril ; 382 (14) : 1370-1371
[21] ) Liu Y, Yan L-M, Wan L, et al. Viral dynamics in mild and severe cases of COVID-19. Lancet Infect Dis. 2020. https://doi.org/10.1016/ S1473 -3099(20)30232
[22] Hong H, Wang Y, Chung H-T, Chen C-J, Clinical characteristics of novel coronavirus disease 2019 (COVID-19) in newborns, infants and children, Pediatrics and Neonatology, https://doi.org/10.1016/j.pedneo.2020.03.001.
[23] Wu Z, McGoogan JM. Characteristics of and important lessons from the coronavirus disease 2019 (COVID-19) outbreak in China : summary of a report of 72 314 cases from the Chinese Center for Disease Control and Prevention. JAMA 2020 ; published online Feb 24. DOI :10.1001/jama.2020.2648
[24] Jonas F Ludvigsson macroanalysis of Covid 19 in children. Acta Paediatr. 2020 23 mars
[25] Décision du conseil d'état du 2 AVRIL 2021 Les restrictions de déplacement des personnes vaccinées sont justifiées
[26]Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy Immune evasion means we need a new COVID-19social contract Lancet https://www.thelancet.com/action/showPdf?pii=S2468-2667%2821%2900036-0
Les décès après avoir reçu le vaccin Pfizer sont-ils plus nombreux que ceux après avoir reçu le vaccin AstraZeneca ?
SLT dim., 25 avr. 2021 19:57 UTC
Une étude de l'Institut Tony Blair, évoque un taux de mortalité plus élevé au Royaume-Uni après l'injection du produit de Pfizer que celui d'AstraZeneca selon les concepteurs du vaccin russe Spoutnik V contre la Covid. Dans cette étude du Tony Blair Institute for Global Challenge, il est constaté : "qu'au Royaume-Uni, Pfizer a plus que doublé le nombre de décès et d'infections par la COVID-19 signalés pour 100 000 doses de vaccin par rapport à AstraZeneca. 0,26 contre 0,1 pour les décès, 4,07 contre 1,49 pour les infections à la COVID-19".
Si on en croit les dernières données de l'ANSM en date du 16 avril (celles du 23 avril concernant le vaccin AstraZeneca n'ont pas encore été mises en ligne contrairement aux rapports pour les 2 autres vaccins: Pfizer et Moderna), il y a eu au total depuis le début de la vaccination en France depuis le 27.12.20 (données de l'ANSM du 16.04.21) :
- 9.889.000 injections Pfizer avec 408 décès, - 994.000 injections Moderna avec 7 décès - 2.725.089 injections AstraZeneca avec 65 décès.
Soit un total de 480 décès rapportés en post-vaccination (respectivement 408 décès "toutes causes" après vaccin Pfizer ; 7 "morts subites" après vaccin Moderna et 65 "décès" après vaccin AstraZeneca) selon le rapport de synthèse du 16.04.21 de l'ANSM portant sur la semaine du 2.04 au 8.04.21.
Si l'on observe le ratio décès / nombre d'injections : il est de 0.0041% pour Pfizer, de 0.0007% pour Moderna et 0.0023% pour AstraZeneca soit effectivement un taux presque deux fois plus élevé pour le vaccin Pfizer comparativement à AstraZeneca avec les données de l'ANSM. Toutefois, il faut modérer cette appréciation car les personnes ayant reçu le vaccin Pfizer ont souvent reçu deux doses, ce qui n'est pas encore le cas pour le vaccin AstraZeneca en France. D'autres part ces taux sont très faibles mais il faut quand même les prendre en compte étant donné le nombre de personnes vaccinées. Des études plus sérieuses nécessiteraient d'être effectuées. L'ANSM considérant après revue de dossier, sans qu'il n'y ait dans la majorité des cas d'autopsie, que les décès observés sont liés à des comorbidités associées ou bien à d'autres causes. Pourtant le principe de précaution nécessiterait de demander des autopsies après chaque décès post-vaccinal pour tirer cela au clair et même de considérer ces décès comme liés au vaccin avant d'apporter la preuve du contraire. L'ANSM a choisi la démarche inverse. Il a fallu que des alertes soient lancées par des autorités sanitaires de pays étrangers pour que ces effets secondaires commencent à être repérés en France. Espérons qu'il n'en sera pas de même pour les potentiels décès par "thrombose" ou d'autres causes avec les autres vaccins.
Lire aussi : En date du 23.04.21, le nombre global de décès post-vaccinaux n'est plus fourni par l'ANSM aussi bien dans son point de situation que dans son rapport de synthèse, le rapport sur le vaccin AstraZeneca est manquant Rappelons également que dès la mi-février, le le Dr Wodarg avait fait le lien entre les vaccins à ARN et de potentiels cas de "thromboses" en mettant en cause le rôle de la protéine S produite par les séquences génétiques introduites dans le corps (dans les cellules de l'organisme) par ces vaccins. Il s'appuyait sur une étude de l'Institut allemand Paul Ehrlich. Articles que nous avons repris sur SLT début mars :
-SLT 1.03,21 Les dommages tissulaires par fusion cellulaire dans la COVID-19 et le rôle de la protéine de pointe (IPE)
Le Dr Wodarg déclarait que les thromboses, crises cardiaques et hémorragies cérébrales sont possibles après tous les vaccins.
On est en droit de se demander, comme nous le faisions précédemment, pourquoi Astra Zenenca récolte les lauriers alors que les données ne semblent pas forcément en faveur de ses concurrents immédiats.
- Le sort s'acharne-t-il sur AstraZeneca ?
Voici ce que nous écrivions le 5.04.21 :
"Il se trouve que selon les données actuelles c'est le vaccin AstraZeneca qui semblerait entraîner le plus de cas, bien que très rares, de thromboses létales parmi les 3 vaccins actuellement en vigueur en Occident (Pfizer, Moderna, AstraZeneca). Pourtant à en croire les données françaises de l'ANSM, le vaccin Pfizer est aussi responsable de nombreux effets secondaires mais cela n'est que très peu rapporté dans les médias."
Suivant en cela les interrogations du Dr Wodarg (lanceur d'alerte sur la fausse pandémie de grippe H1N1 ou grippe A) suite aux observations rapportées par l'agence européenne du médicament début avril 2021 (cf. graphique plus bas), on est en droit de se poser la question du rapport bénéfice/risque au regard de la vaccination chez les personnes n'ayant pas de risques comorbides (la grande majorité de la population) :
-SLT 3.04.21 Vaccin contre la Covid-19. Risque plus grand que le bénéfice - pourquoi vaccinent-ils ? (Wodarg.com)
Au cours de la période d'avril 2020 à décembre 2020, les effets indésirables enregistrés ont fluctué dans un couloir allant de 9 418 à 12 567 déclarations, en moyenne 10 847 effets indésirables ont été enregistrés au cours de chacun de ces mois. En janvier 2021, ce nombre est passé à 27 242. En février 2021 et mars 2021, le nombre d'événements indésirables signalés était de 52 183 et 52 165, respectivement, soit une multiplication par cinq des événements indésirables au cours des deux derniers mois par rapport à la moyenne de l'année 2020 de Corona. Tout le monde parle d'AstraZeneca, mais les autres ne sont-ils pas pires ?...
- voir graphique sur site -
En février 2021, le professeur Sucharit Bhakdi, M.D., et un certain nombre de ses collègues ont mis en garde l'Agence européenne des médicaments contre les dangers potentiels des caillots sanguins avec tous les vaccins.
- voir clip sur site -
Lire aussi :
- SPR 17.04.21 Une nouvelle étude de l'Université d'Oxford rapporte que le risque de thrombose veineuse cérébrale avec AstraZeneca est le même qu'avec les autres vaccins et reste très faible
Par Jon Rappoport Le blog de Jon Rappoport 28 avril 2021
Il devrait être évident pour tous, sauf pour les esprits les plus confus, que les présentateurs de nouvelles télévisées, leurs scénaristes et éditeurs ne remettent jamais en question les (fausses) affirmations suivantes:
Le SRAS-CoV-2 est réel. Il a été découvert et séquencé.
Le test du virus est précis.
Chaque test positif indique un «cas de COVID-19».
Les numéros de cas et de décès sont exacts.
Des masques, des distanciations et des verrouillages sont nécessaires pour empêcher la propagation du virus.
Le vaccin COVID est sûr et efficace.
Les personnes qui se font vacciner doivent néanmoins continuer à porter des masques et limiter leur exposition aux groupes non familiaux.
Les habitants des médias grand public acceptent ces présomptions sans enquête. Ils prennent la dictée des agences de santé publique (CDC, OMS).
Par conséquent, quelle est la valeur des nouvelles ? Au lieu d'émissions élaborées, pourquoi les réseaux ne présentent-ils pas simplement, une fois par jour, des annonces de porte-parole des CDC provenant de bureaux bureaucratiques fades ?
La réponse, bien sûr, est: les publicités. Revenus publicitaires. Les divisions de presse devraient gagner de l'argent. Ce ne sont pas des organismes de bienfaisance publics.
Les nouvelles sont les affaires.
Lester Holt (NBC) gagne 10 millions de dollars par an. Norah O'Donnell (CBS) gagne 6 millions de dollars par an. David Muir (ABC) gagne 5 millions de dollars par an. Wolf Blitzer (CNN) gagne 5 millions de dollars par an.
Les actualités habillent également le contenu. Au lieu d'un bureaucrate du CDC disant: «4000 nouveaux cas dans le Michigan aujourd'hui», Norah peut dire: «RAPPORT ALARMANT DE 4000 NOUVEAUX CAS AU MICHIGAN», avec des coupes rapides de tableaux et de graphiques, des images de personnes faisant la queue pour le vaccin et des travailleurs de laboratoire tripotant des flacons et du personnel ambulancier transportant un patient dans un couloir de l'hôpital et Anthony Fauci assis dans le bureau ovale en face de Joe Biden.
Coupure au gouverneur du Michigan à un podium: «La pandémie est loin d'être terminée. Nous avons beaucoup de travail à faire…"
Un général en grande tenue dit à Norah: «En ce moment, nous travaillons sur un vaccin qui protégera contre tous les virus, même ceux que nous n’avons jamais vus ou découverts…»
Pendant 60 secondes, deux têtes parlantes offrent des points de vue sur «la distribution disproportionnée du vaccin aux communautés minoritaires».
Un directeur sportif adjoint de l'Université du Michigan se demande si le football à domicile cet automne se jouera dans un stade bondé.
Et "Nous reviendrons après ça."
PUBLICITÉS. Un médicament qui provoque des crises cardiaques. Un médicament qui cause des lésions cérébrales. Une annonce de service public pour la vaccination COVID. Camion Chevy. Teaser pour la prochaine première d'une nouvelle émission policière de CBS. Un dollar spécial pour le double hamburger et les frites et le petit-déjeuner aux œufs, au bacon et au fromage chez McKing. Économisez de l'argent sur votre assurance auto, cliquez ou appelez. Pizza à croûte épaisse ou fine, carrée ou ronde. Un médicament qui fait tomber vos cheveux. Des pneus qui tiennent la route dans l'Arctique. Teaser pour le prochain spécial: Une vie bien vécue, l'homme qui a changé l'Amérique: Anthony Fauci.
Ce n’est pas un travail difficile. Ce n’est pas un travail intelligent. Ce n’est certainement pas un travail d’enquête.
À vrai dire, des milliers de personnes pourraient le faire, pourraient diriger la couverture des nouvelles de la télévision sur le réseau. Mis à part la qualité de l'éducation américaine, il y a encore BEAUCOUP de pom-pom girls de lycée et d'université, de majors dramatiques, d'athlètes et de nerds sûrs d'eux qui pourraient remplacer ces ancres à prix élevé et livrer la marchandise.
Si vous parcourez les biographies de Lester Holt et David Muir, par exemple, vous constatez qu'ils ont travaillé leur place en tant qu'ancres locales - c'est-à-dire lecteurs de nouvelles. Ils ont également, de près et personnellement, «couvert les points chauds du monde entier». Accidents d'avion, révolutions, ouragans. En d'autres termes, ils se sont entretenus avec des sources officielles dans ces endroits et ont répété les versions officielles des événements, debout sous des parapluies fouettant sous la pluie ou sur les toits de la ville le soir, vêtus d'une veste de brousse ou d'une veste flak de style Dan Rather.
Il va sans dire que les observateurs de talents du réseau recherchent de jeunes stars INCURIEUSES. Pas de creuser sous la surface sur les histoires. Au lieu de cela, déplacez-vous horizontalement sur la couche supérieure et trouvez des points idéaux qui correspondent aux objectifs politiquement désignés, si nécessaire.
«J'aime vraiment ce gamin de Cincinnati. Il a de bonnes dents, une mâchoire forte et ses cheveux semblent faits de fer. Baryton lisse. Sourire parfois effacé. »
«Ouais, je ne sais pas. C'est Clark Kent. Trop droit. "
«Nous pouvons travailler avec cela. Trajets routiers. Envoyez-le en Ukraine pour quelques semaines, en Pologne, au Salvador. Donnez-lui un peu d'assaisonnement. Hé, David Muir va bien et il semble qu'il vient de sortir d'un catalogue de sous-vêtements pour hommes. "
«L'enfant de Cincinnati a joué au football dans une petite université du Nebraska. Nous pourrions le mettre avec les Bengals qui parlent de problèmes raciaux. Cela devrait lui donner un avantage ou deux… »
"Attendez. Voici un drapeau rouge. Il y a trois mois, il avait cet avocat sur son émission. L’avocat porte plainte contre un laboratoire universitaire. Prétend que le test COVID PCR crache des faux positifs comme un tuyau d'incendie. »
"Merde. Était-ce juste une erreur ponctuelle?
"Non. Notre garçon a essayé d'aller plus loin. Il a amené une équipe au laboratoire universitaire. J'ai quelques citations de techniciens là-bas. "
"Ce n'est pas bon. C'est un présentateur et il pense qu'il fait l'actualité. "
En effet, ce n’est pas bon. Les ancres ne font pas l'actualité. Ils ne le dénichent pas. Ils prennent ce qui est là et le font paraître important.
Vous ou moi pourrions entrer dans un département d'art dramatique d'université, nous tenir devant une centaine d'étudiants et dire: "Nous recherchons des personnes capables de lire un texte sans erreur et de le rendre important" -
Et voilà, nous allons découvrir quelques jeunes hommes et femmes qui pourraient, avec quelques semaines de formation, assumer le rôle de présentateur de nouvelles télévisées locales et faire un travail crédible.
Dans l'histoire du journal télévisé, je connais deux ancres d'élite du réseau qui - sinon dans leur couverture des histoires, mais dans leur manière et leur attitude - ont transmis un mécontentement significatif quant à leurs rôles, leurs limites et leurs emprisonnements virtuels: Peter Jennings et Jessica Savitch.
Jennings est apparu comme «l'homme qui en savait plus mais qui n'était pas autorisé à le signaler». Savitch était un tigre en cage dans un cirque, faisant les cent pas dans sa cellule, en colère, voulant déchirer les barreaux et sauter. Savitch est décédé à 36 ans, Jennings à 67 ans.
Jennings a réussi à garder dans son équipe, pendant six ans, un journaliste médical ACTUEL, feu Nick Regush. Regush a passé de nombreuses heures à creuser sous la surface. Par exemple, en 1999, dans un rapport époustouflant d'ABC, il a exprimé de sérieux doutes quant à l'existence du virus de l'hépatite C. Après son départ du réseau, il a fait écho à ce rapport:
«Considérez ceci comme un défi en cours. Cette aventure scientifique soulève la question de savoir si le virus de l'hépatite C, accusé d'une grande épidémie silencieuse de maladie du foie et même de cancer, existe réellement. C'est exact. Vous avez bien lu: je soulève une question qui peut déranger les scientifiques et les patients atteints d'hépatite C. Mais je le soulève quand même parce qu’il est vital de le faire dans l’intérêt de la santé publique. Je lance un défi à la communauté scientifique pour qu'elle me présente les preuves scientifiques publiées et évaluées par des pairs qu'un tel virus existe réellement, à savoir qu'il a été correctement isolé, conformément aux principes fondamentaux reconnus de la virologie. "
Si Regush travaillait pour ABC aujourd'hui, il durerait environ cinq minutes avant d'être renvoyé.
"Ne découvrez pas les actualités, RELAYEZ-les."
Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.
Quand vous avez un connard de journalistes qui touche 10 briques par mois et interview quelqu'un qui en touche autant que lui, il est bien évident que la discussion est tout autre qu'avec une personne du Peuple qui discute avec son binôme.
Çà y est c'est fait ! la distanciation de 2 m sera désormais (ou très prochainement) portée à 300 km.
Bientôt 10 000 morts et 2 millions d'effets secondaires susceptibles d'être liés aux « vaccins » contre la Covid-19
Frederic Gobert agoravox.fr mar., 27 avr. 2021 16:24 UTC
Le premier tableau ci-dessous recense le nombre « d'effets indésirables susceptibles d'être liés à l'utilisation » des « vaccins » Moderna, Pfizer et Astra Zeneca dans l'Union européenne, mis à jour le 24 avril 2021 (www.adrreports.eu/fr/search_subst.html#). Les critères de classement sont ceux du site officiel européen European Medicines Agency / EudraVigilance. Tout ce qui suit peut être vérifié en suivant les indications détaillées données dans mon précédent article : https://www.agoravox.fr/actualites/sante/article/les-vaccins-contre-la-covid-19-232177.
- voir sur site -
effets indésirables vaccination
Le total des « effets indésirables susceptibles d'être liés à l'utilisation de médicaments » mis à jour le 24 avril 2021 se monte à UN MILLION SEPT CENT CINQUANTE ET UN MILLE CENT SOIXANTE-DIX-HUIT, dont 1.335.168 effets secondaires non résolus ou « en cours de résolution », soit une augmentation de 170% d'effets secondaires non résolus en trois semaines seulement par rapport au 3 avril (voir les chiffres du 3 avril dans mon précédent article).
Au 3 avril 2021, 5966 décès étaient officiellement susceptibles d'être liés aux quatre « vaccins » utilisés dans l'Union européenne.
Trois semaines plus tard, au 24 avril, pour les seuls « vaccins » Moderna, Pfizer et Astra Zeneca (sans même comptabiliser le « vaccin » Janssen, peu inoculé à ce jour dans l'UE), on atteint 8686 décès susceptibles d'être liés à ces trois « vaccins », c'est-à-dire une augmentation de près de 50%.
Ci-dessous, vous trouverez le détail des effets secondaires susceptibles d'être liés aux « vaccins » officiellement recensés au 24 avril 2021.
MODERNA
- voir sur site -
24 avril 2021 Fatal Not Recovered/ not resolved Not specified Recoverd
24 avril 2021 Fatal Not Recovered/ not resolved Not specified Recoverd
/resolved Recoverd
/resolved with sequelae Recovering
/resolving unknown
Sur la page d'accueil de la « base de données européenne des rapports sur les effets indésirables suspectés des médicaments », où sont recensés ces effets secondaires (www.adrreports.eu/fr/index.html), on trouve cette mise en garde : « Les informations publiées sur le présent site internet concernent des effets indésirables suspectés, par exemple des événements médicaux ayant été observés après l'utilisation d'un médicament, mais qui ne sont pas obligatoirement liés ou dus au médicament. Les informations sur les effets indésirables déclarés ne doivent pas être interprétées comme signifiant que le médicament ou la substance active provoque l'effet observé ou que son utilisation présente un risque. Seules une analyse détaillée et une évaluation scientifique de toutes les données disponibles permettent de tirer des conclusions robustes sur les bénéfices et les risques d'un médicament. »
Cette mise en garde est surprenante. En effet, un lien concernant spécifiquement les « vaccins » contre la Covid-19 est présent sur cette page d'accueil vers le rapport analysant les chiffres ci-dessus. Ayant cliqué sur ce lien le 25 avril, je n'ai pas été orienté vers ledit rapport, de sorte que je n'ai pas été en mesure de le retrouver en suivant les indications fournies par le site (cela ne préjuge pas de ce que d'autres internautes trouveront si des modifications sont ultérieurement apportées sur ce site). On pourra aussi se reporter à mon précédent article sur ce point.
Pourquoi cette mise en garde et ce lien qui concerne spécifiquement la Covid-19 sur la page d'accueil du site adrreports.eu ? Peut-être parce que des « experts » interrogés dans les « grands médias » expliquent depuis le mois de février 2021 que ces effets secondaires, quelle que soit leur quantité, ne doivent en aucun cas être interprétés comme pouvant être attribués aux « vaccins » contre la Covid-19, et ce alors même que pas loin de deux millions d'effets secondaires sont officiellement « susceptibles » d'être liés aux « vaccins » sur ce site. (Au rythme de la vaccination dans l'UE et de l'accroissement exponentiel des effets secondaires, on atteindra ces deux millions d'effets secondaires d'ici quelques jours.) On constate enfin que cette mise en garde reprend presque à l'identique les propos des « experts », quel que soit le caractère invraisemblable de l'affirmation.
Quand on compare le nombre d'effets secondaires recensés officiellement sur le site d'EudraVigilance à ceux qui sont régulièrement cités dans les « grands médias », infiniment inférieurs (quelques dizaines de décès, etc.), on ne peut que se demander quelles sont les sources des journalistes et quelles procédures ils mettent en œuvre pour vérifier ces chiffres avec rigueur.
J'ajouterai un témoignage personnel. Je connais des personnes dont des proches, juste après avoir été vaccinés, ont été hospitalisés, gravement malades, sans la Covid-19, ou ont attrapé la Covid-19 et ont été hospitalisés, dans un état grave ou non, ou encore sont décédés. À ma connaissance, aucun de ces cas n'a été déclaré et répertorié sur le site d'EudraVigilance, ce qui m'amène à poser une question à tous les lecteurs et à toutes les lectrices de cet article : Connaissez-vous quelqu'un ayant subi des effets secondaires graves après avoir été vacciné ? Écrivez-le dans les commentaires et précisez si oui ou non cet effet secondaire a été répertorié au niveau européen sur le site d'EudraVigilance. Si vous ne savez pas si l'effet secondaire a été recensé officiellement par le personnel médical, vous pouvez le lui demander.
Pourquoi ai-je précisé « des effets secondaires graves » ? Parce que l'un des arguments préférés de ceux qui affirment que les effets secondaires dus aux « vaccins » sont sans importance est le fait que ces effets secondaires seraient toujours mineurs : une fièvre légère presque toujours, et toujours passagère... C'est un mensonge, les chiffres d'EudraVigilance permettent de l'affirmer. Car même si « scientifiquement », comme l'affirment les « experts », rien n'est prouvé, comment affirmer que près de deux millions d'effets secondaires dont près de dix mille morts sont légers et passagers ?...
le 27/04/2021 à 20:18 - Mise à jour à 20:53 Big Pharma Démasqué, debriefing de Xavier Bazin
Debriefing avec Xavier Bazin, journaliste scientifique et auteur de ce nouveau livre "Big Pharma Démasqué", aux éditions Guy Trédaniel.
240 pages d'un livre sur la crise, de la chloroquine à la face noire du système de santé. Le livre est structuré en quatre grands chapitres... dont trois scandales. Le scandale numéro un est la diabolisation de l'hydroxychloroquine qui se conjugue en cinq actes. Pour suivre, le second scandale est celui de l'omertà sur la prévention et les remèdes naturels comme la vitamine D. Le lecteur plonge ensuite dans le scandale de l'obsession coûteuse pour la vaccination généralisée - imprudente comme écrit l'auteur.
Pour fini, Xavier Bazin explique comment "Big Pharma" manipule la science, les autorités et les médias.
Un debriefing audio qui permet de comprendre l'analyse de l'auteur en détail sur la crise avec quelques touches personnelles. Le livre est préfacé par le Dr Eric Menat qui dit de l'auteur :
Xavier Bazin nous livre ses réponses factuelles et nous montre avec talent et sans langue de bois les raisons de ces décisions qui n'ont pas été des erreurs pour tout le monde.
"Cette crise doit nous réveiller de notre torpeur" conclut l'auteur.
L'État profond mondial: un nouvel ordre mondial présenté par COVID-19
Par John W. Whitehead et Nisha Whitehead L'Institut Rutherford 28 avril 2021
«Un monde psychotique dans lequel nous vivons. Les fous sont au pouvoir.» - Philip K. Dick, The Man in the High Castle
Pour le meilleur ou pour le pire, COVID-19 a changé la façon dont nous naviguons dans le monde.
Il redessine également les frontières de notre monde (et de nos libertés) et modifie les règles du jeu plus vite que nous ne pouvons suivre.
En raison en grande partie des alliances profondes et, dans de nombreux cas, top-secrètes du gouvernement américain avec des nations étrangères et des entreprises mondiales, il est devenu de plus en plus évident que nous sommes entrés dans un nouvel ordre mondial - un ordre mondial mondial - constitué des agences gouvernementales internationales et des entreprises.
Cette puissante cabale internationale, appelons-la le Global Deep State, est tout aussi réelle que l'État profond américain corporatisé, militarisé et industrialisé, et elle représente une menace tout aussi grande pour nos droits que les individus en vertu de la Constitution américaine, sinon plus.
Nous nous sommes rapprochés de cet ordre mondial au cours des dernières décennies, mais le COVID-19, qui a vu les intérêts gouvernementaux et les intérêts des entreprises devenir encore plus étroitement liés, a fait passer cette transformation à la vitesse supérieure.
Le fascisme est devenu une menace mondiale.
On ne sait toujours pas si l'État profond américain («un appareil de sécurité nationale qui domine même les dirigeants élus en charge théoriquement») répond à l'État profond mondial, ou si l'État profond mondial ne fait que donner le pouvoir à l'État profond américain. Cependant, on ne peut nier la mesure dans laquelle ils sont intimement et symbiotiquement enchevêtrés et imbriqués.
Considérez dans quelle mesure nos vies et nos libertés sont affectées par cette convergence internationale des intérêts gouvernementaux et des entreprises à but lucratif dans l'État de surveillance, le complexe militaro-industriel, l'industrie des prisons privées, le secteur du renseignement, le secteur de la sécurité, le secteur de la technologie, le secteur des télécommunications, le secteur des transports, l'industrie pharmaceutique et, plus récemment, le secteur pharmaceutique-santé.
Tous ces secteurs sont dominés par des méga-sociétés opérant à l'échelle mondiale et travaillant par le biais des canaux gouvernementaux pour augmenter leurs marges bénéficiaires. Les politiques axées sur le profit de ces géants mondiaux des entreprises influencent tout, des politiques législatives à l'économie en passant par les problèmes environnementaux et les soins médicaux.
La pandémie COVID-19 nous a propulsés dans une toute nouvelle frontière mondiale. Ceux qui espèrent naviguer dans ce monde interconnecté et hautement technologique de la recherche des contacts, des passeports vaccinaux et des laissez-passer numériques se retrouveront aux prises avec des problèmes qui touchent à des questions morales, politiques, religieuses et personnelles profondes pour lesquelles il n'y a peut-être pas de réponses claires.
Nous sommes sur le point de trouver notre capacité à accéder, à nous engager et à nous déplacer dans le monde en fonction du camp dans lequel nous appartenons: ceux qui ont été vaccinés contre le COVID-19 et ceux qui ne l'ont pas été.
«C'est le dernier symbole de statut. Flash-le sur les gens, et vous pouvez avoir accès à des concerts, des arènes sportives ou des tables de restaurant interdites depuis longtemps. Un jour, cela peut même vous aider à traverser une frontière sans avoir à vous mettre en quarantaine », écrit Heather Murphy pour le New York Times. «La nouvelle carte de platine de l'ère Covid est le certificat de vaccin.»
C'est ce que M.I.T. Le professeur Ramesh Raskar se réfère à la nouvelle «monnaie pour la santé», un surnom approprié étant donné le rôle potentiellement lucratif que les grandes entreprises (Big Pharma et Big Tech, en particulier) joueront dans l'établissement de ce marché payant. L'industrie du transport aérien a travaillé sur un Travel Pass. IBM développe un Digital Health Pass. Et le gouvernement américain a été très heureux de permettre au secteur des entreprises de prendre les devants.
Surveillance mondiale
Dirigé par la National Security Agency (NSA), qui s'est montrée peu soucieuse des limites constitutionnelles ou de la vie privée, l'État de surveillance en est venu à dominer notre gouvernement et nos vies.
Pourtant, le gouvernement n'agit pas seul. Ça ne peut pas. Il faut un complice.
Ainsi, les besoins de sécurité de plus en plus complexes de notre gouvernement fédéral massif, en particulier dans les domaines de la défense, de la surveillance et de la gestion des données, ont été satisfaits au sein du secteur des entreprises, qui s'est révélé être un allié puissant qui à la fois dépend et alimente la croissance. bureaucratie gouvernementale.
Prenez AT&T, par exemple. Grâce à son vaste réseau de télécommunications qui sillonne le monde, AT&T fournit au gouvernement américain l'infrastructure complexe dont il a besoin pour ses programmes de surveillance de masse. Selon The Intercept:
«La NSA considère AT&T comme l’un de ses partenaires les plus fiables et a salué la« volonté extrême d’aider »de la société. Il s’agit d’une collaboration qui remonte à des décennies. On sait peu, cependant, que son champ d’application ne se limite pas aux clients d’AT & T. Selon les documents de la NSA, elle valorise AT&T non seulement parce qu’elle «a accès aux informations qui transitent par le pays», mais aussi parce qu’elle entretient des relations uniques avec d’autres fournisseurs de téléphonie et d’Internet. La NSA exploite ces relations à des fins de surveillance, en réquisitionnant l’énorme infrastructure d’AT & T et en l’utilisant comme plate-forme pour exploiter secrètement les communications traitées par d’autres entreprises. »
Maintenant, magnifiez ce que le gouvernement américain fait à travers AT&T à l'échelle mondiale, et vous avez le «programme 14 yeux», également appelé «SIGINT Seniors». Cette agence d'espionnage mondiale est composée de membres du monde entier (États-Unis, Royaume-Uni, Australie, Canada, Nouvelle-Zélande, Danemark, France, Pays-Bas, Norvège, Allemagne, Belgique, Italie, Suède, Espagne, Israël, Singapour, Sud Corée, Japon, Inde et tous les territoires britanniques d’outre-mer).
La surveillance n'est cependant que la pointe de l'iceberg en ce qui concerne ces alliances mondiales.
Profiter de la guerre mondiale
La guerre est devenue une énorme entreprise lucrative, et l'Amérique, avec son vaste empire militaire et ses relations incestueuses avec une foule d'entrepreneurs internationaux en matière de défense, est l'un de ses plus gros acheteurs et vendeurs.
Le complexe militaro-industriel américain a érigé un empire inégalé dans l'histoire dans sa largeur et sa portée, un empire dédié à la conduite d'une guerre perpétuelle sur toute la terre. Par exemple, tout en érigeant un État de surveillance de la sécurité aux États-Unis, le complexe militaro-industriel a perpétué un empire militaire mondial avec des troupes américaines stationnées dans 177 pays (plus de 70% des pays du monde).
Bien que le gouvernement fédéral obscurcisse tellement ses dépenses de défense qu'il est difficile d'obtenir des chiffres précis, nous savons que depuis 2001, le gouvernement américain a dépensé plus de 1,8 billion de dollars dans les guerres en Afghanistan et en Irak (soit 8,3 millions de dollars par heure). Cela n'inclut pas les guerres et les exercices militaires menés dans le monde entier, qui devraient faire grimper la facture totale de 12 billions de dollars d'ici 2053.
La fusion illicite de l’industrie mondiale de l’armement et du Pentagone contre laquelle le président Dwight D. Eisenhower nous a mis en garde il y a plus de 50 ans est devenue peut-être la plus grande menace pour les infrastructures fragiles du pays aujourd’hui. L’empire militaire en expansion des États-Unis saigne le pays à sec à un rythme de plus de 15 milliards de dollars par mois (ou 20 millions de dollars par heure) - et c’est exactement ce que le gouvernement dépense pour les guerres étrangères. Cela n'inclut pas le coût d'entretien et de dotation en personnel des plus de 1000 bases militaires américaines réparties dans le monde entier.
Incroyablement, bien que les États-Unis ne représentent que 5 % de la population mondiale, l'Amérique compte près de 50 % des dépenses militaires totales du monde, dépensant plus pour l'armée que les 19 autres pays les plus dépensiers réunis. En fait, le Pentagone dépense plus pour la guerre que les 50 États combinés dépensent pour la santé, l'éducation, le bien-être et la sécurité. Il y a une bonne raison pour laquelle «gonflé», «corrompu» et «inefficace» sont parmi les mots les plus couramment appliqués au gouvernement, en particulier au ministère de la Défense et à ses sous-traitants. L'arnaque des prix est devenue une forme de corruption acceptée au sein de l'empire militaire américain.
Ce n’est malheureusement pas seulement l’économie américaine qui est saccagée.
Poussée par un secteur de défense avide, la patrie américaine s'est transformée en champ de bataille avec une police militarisée et des armes mieux adaptées à une zone de guerre. Le président Biden, marchant au même rythme que ses prédécesseurs, a continué d'étendre l'empire militaire américain à l'étranger et au niveau national dans le but clair de se plier aux puissants intérêts financiers (militaires, corporatifs et de sécurité) qui dirigent l'État profond et tiennent le gouvernement dans ses griffes.
Police mondiale
Jetez un coup d'œil aux photos des forces de police internationales et vous aurez du mal à faire la distinction entre la police américaine et celles appartenant à d'autres nations. Il y a une raison pour laquelle ils se ressemblent tous, vêtus de l'uniforme militarisé et armé d'une armée permanente.
Il y a une raison pour laquelle ils agissent de la même manière et parlent un langage commun de la force: ils appartiennent à une force de police mondiale.
Par exemple, Israël - l'un des alliés internationaux les plus proches des États-Unis et l'un des principaux bénéficiaires annuels de plus de 3 milliards de dollars d'aide militaire étrangère américaine - a été à l'avant-garde d'un programme d'échange peu médiatisé visant à former la police américaine à agir comme occupant. forces dans leurs communautés. Comme le résume The Intercept, la police américaine «tire essentiellement des leçons des agences qui appliquent le régime militaire plutôt que le droit civil».
Cette idée de la police mondiale est renforcée par le programme Strong Cities Network, qui forme les services de police locaux à travers l'Amérique sur la manière d'identifier, de combattre et de prévenir l'extrémisme, ainsi que de lutter contre l'intolérance au sein de leurs communautés, en utilisant toutes les ressources à leur disposition. Les villes incluses dans le réseau mondial comprennent New York, Atlanta, Denver, Minneapolis, Paris, Londres, Montréal, Beyrouth et Oslo.
L'objectif est de prévenir l'extrémisme violent en ciblant sa source: racisme, sectarisme, haine, intolérance, etc. En d'autres termes, la police - agissant en tant que prolongement des Nations Unies - identifiera, surveillera et dissuadera les individus qui manifestent, expriment ou s'engagent dans tout ce qui pourrait être interprété comme extrémiste.
Bien entendu, le problème avec le programme anti-extrémisme du gouvernement est qu’il sera, dans de nombreux cas, utilisé pour rendre des activités par ailleurs légitimes et non violentes comme potentiellement extrémistes.
Gardez à l'esprit que les agences gouvernementales impliquées dans la recherche des «extrémistes» américains réaliseront leurs objectifs - identifier et dissuader les extrémistes potentiels - de concert avec les centres de fusion (qui sont au nombre de 78 dans tout le pays, avec des partenaires du secteur privé et mondial) , les agences de collecte de données, les scientifiques du comportement, les entreprises, les médias sociaux et les organisateurs communautaires et en s'appuyant sur une technologie de pointe pour la surveillance, la reconnaissance faciale, la police prédictive, la biométrie et l'épigénétique comportementale (dans laquelle les expériences de vie modifient la constitution génétique d'une personne).
C’est un pré-crime à une échelle idéologique et cela a pris du temps.
Commencez-vous à vous faire une idée maintenant ?
Sur presque tous les fronts, qu'il s'agisse de la guerre contre la drogue, de la vente d'armes, de la réglementation de l'immigration, de la création de prisons, de l'avancement de la technologie ou de la lutte contre une pandémie, s'il y a un profit à faire et un pouvoir à accumuler, vous Je peux parier que le gouvernement et ses partenaires mondiaux ont déjà conclu un accord qui met le peuple américain dans la partie perdante du marché.
Nous perdons nos libertés si progressivement depuis si longtemps - vendues à nous au nom de la sécurité nationale et de la paix mondiale, maintenues au moyen de la loi martiale déguisée en loi et ordre, et appliquées par une armée permanente de policiers militarisés et un politique l'élite est déterminée à maintenir ses pouvoirs à tout prix - qu'il est difficile de déterminer exactement quand tout a commencé à se détériorer, mais nous sommes certainement sur cette trajectoire descendante maintenant, et les choses avancent rapidement.
Le «gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple» a péri.
À sa place, il y a un gouvernement fantôme - une bureaucratie mondiale corporatisée, militarisée et enracinée - qui est pleinement opérationnel et dirige le pays.
Compte tenu de la trajectoire et de l'expansion spectaculaire, de la mondialisation et de la fusion des pouvoirs gouvernementaux et des entreprises, nous n'allons pas reconnaître ce pays dans 20 ans.
Il a fallu moins d’une génération pour que nos libertés s’érodent et que la structure du Global Deep State soit érigée, élargie et enracinée.
Notez mes mots: le gouvernement américain ne nous sauvera pas des chaînes du Global Deep State.
Maintenant, il y a ceux qui vous diront que toute mention d'un gouvernement du Nouvel Ordre Mondial - une élite au pouvoir conspirant pour régner sur le monde - relève des théories du complot.
Je crois sincèrement qu’il faut toujours se méfier de ceux qui sont au pouvoir, s’alarmer au premier empiétement sur ses libertés et établir de puissants contrôles constitutionnels contre les méfaits et les abus du gouvernement.
Je peux aussi attester du fait que le pouvoir corrompt, et le pouvoir absolu corrompt absolument.
J'ai suffisamment étudié l'histoire de ce pays - et l'histoire du monde - pour savoir que les gouvernements (le gouvernement américain ne faisant pas exception) sont parfois indiscernables du mal qu'ils prétendent combattre, que ce mal prenne la forme du terrorisme, de la torture, de la drogue trafic, trafic sexuel, meurtre, violence, vol, pornographie, expérimentations scientifiques ou tout autre moyen diabolique d'infliger douleur, souffrance et servitude à l'humanité.
Et j'ai vécu assez longtemps pour voir de nombreuses soi-disant théories du complot se transformer en fait froid et dur.
Rappelez-vous, les gens se moquaient de la notion d'État profond (également connu sous le nom de gouvernement fantôme). Ils avaient l'habitude de douter que le fascisme puisse jamais s'installer en Amérique, et se moquent de toute suggestion selon laquelle les États-Unis commençaient à ressembler à l'Allemagne nazie dans les années qui ont précédé la montée au pouvoir d'Hitler.
Comme je le détaille dans mon livre Battlefield America: The War on the American People, nous commençons à mieux nous connaître, n'est-ce pas ?
(...) Le «gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple» a péri. (...)
Le «gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple» n'a JAMAIS Existé aux USA !
La Liberté c'est d'ouvrir les yeux tout seul ! D'ouvrir la bouche tour seul ! De parler, de crier tout seul ! D'écouter tour seul ! Et d'enregistrer sans l'aide des autres ! Whôaw !
L'embarquement dans les avions augmente le risque d'infection au COVID-19
28 AVRIL 2021 par Bob Yirka, Medical Xpress
Une équipe de chercheurs de l'Université de West Florida, de la Florida State University et de l'Embry-Riddle Aeronautical University a découvert que l'embarquement des passagers d'un avion de l'arrière vers l'avant augmente leur risque d'infection au COVID-19 par rapport à l'embarquement aléatoire. Dans leur article publié dans la revue Royal Society Open Science, le groupe décrit des simulations qu'il a créées pour étudier la dynamique du chargement des avions de passagers pendant la pandémie.
Alors que les taux d'infection et les décès dus à la pandémie ont chuté aux États-Unis et que les niveaux de vaccination ont augmenté, les compagnies aériennes ont modifié certaines de leurs procédures pour inciter les gens à recommencer à voyager par avion. Un changement consiste à embarquer les gens à l'avant de l'avion plutôt qu'au hasard. L'idée a été que si les gens sont assis de l'arrière de l'avion à l'avant, aucun d'entre eux n'aura à passer par d'autres qui sont déjà montés à bord. Avec l'embarquement aléatoire traditionnel, les passagers finissent par se croiser, infectant potentiellement ceux en cours de route. Dans ce nouvel effort, qui fait partie du programme de propagation des infections virales par le transport aérien, les chercheurs ont créé une multitude de simulations pour tester cette théorie d'embarquement.
Les simulations, qui comprenaient 16 000 mouvements de passagers possibles, ont révélé que l'embarquement de l'arrière vers l'avant était en fait bien pire que l'embarquement aléatoire. Cela est dû à la nature humaine: les chercheurs ont constaté que si les passagers montaient à bord en premier à l'arrière, ils avaient tendance à former des grappes lorsqu'ils devaient mettre leurs bagages dans des bacs suspendus. Le regroupement s'est produit, ont constaté les chercheurs, car les passagers essayaient tous de ranger leurs bagages dans la même partie de l'avion en même temps. Un examen plus approfondi a montré que l'utilisation de l'approche dos à front augmentait l'exposition à l'infection d'environ 50%. Les chercheurs notent que des études antérieures impliquant la transmission du virus Ebola par avion ont montré que le regroupement dans les allées était le plus grand facteur de risque.
Les chercheurs ont également constaté que, quel que soit le processus d'embarquement utilisé, l'élimination de la possibilité de ranger les bagages dans des coffres à bagages réduisait considérablement le risque d'infection pour tous les passagers d'un avion. Ils ont également constaté que l'embarquement des passagers aux hublots avait d'abord contribué à réduire le risque d'exposition.
Cela démontre bien que l'emprisonnement à domicile ('confinement') contribue forcément à répandre une infection aux proches comme il en est sur un bateau de croisière qui flotte au-dessus des eaux d'où s'envolent des milliards de milliards de virus.
Terrorisme: avec la surveillance algorithmique sur Internet, demain, tous fichés ?
19:48 27.04.2021
Le gouvernement va présenter un projet de loi censé renforcer la prévention d’actes de terrorisme. Parmi les mesures prévues, une surveillance accrue des données de connexion Internet pour l’ensemble des utilisateurs. Gérald Arboit, spécialiste du renseignement, fustige une «mesure d’habillage» dont l’efficacité reste à prouver. Explications.
Hasard du calendrier ou opportunité politique saisie au vol ? Quelques jours seulement après l’attentat islamiste de Rambouillet qui a coûté la vie à une adjointe administrative du commissariat de police de la ville, l’exécutif entend montrer qu’il agit de renforcer les moyens de lutte contre le terrorisme. Ce mercredi 28 avril, Gérald Darmanin doit ainsi présenter en Conseil des ministres un projet de loi relatif à la prévention d’actes de terrorisme et au renseignement.
C’est surtout sur le volet surveillance en ligne que le gouvernement semble vouloir insister. Dans le Journal du dimanche du 25 avril dernier, le ministre de l’Intérieur a ainsi indiqué que le texte prévoirait notamment un «recours aux algorithmes, c’est-à-dire le traitement automatisé des données de connexion, par la DGSI [Direction générale de la sécurité intérieure, ndlr]». Dit autrement, les services de renseignement auraient la possibilité d’analyser massivement l’adresse URL des sites Internet consultés par les Français.
«Pour les services de renseignement, cela va signifier énormément plus de travail avec énormément moins de budget et de personnes», pronostique Gérald Arboit, spécialiste du renseignement Pour le chercheur associé au Conservatoire national des arts et métiers (Cnam), ce projet de loi ne «change pas radicalement les choses» dans la lutte contre le terrorisme en France. Dans les cartons depuis plusieurs mois, le texte vise à inscrire dans le droit des dispositifs jusqu’ici limités dans le temps et introduits à titre expérimental par la loi renseignement de 2015. «On se sert de l’attentat de Rambouillet pour présenter ce projet de loi prévu depuis longtemps et ainsi lui donner une légitimité médiatique», tacle Gérald Arboit.
«On est très loin encore de ce que font les Américains»
Très concrètement, des algorithmes pourront passer au crible l’intégralité des adresses URL des sites web consultés par les internautes afin notamment de détecter la connexion et l’intérêt éventuel d’un individu vers des sites liés au terrorisme. Les services de renseignement pourront donc avoir définitivement recours aux fameuses «boîtes noires» expérimentées depuis 2017. Ces dernières ont pour rôle de collecter et d’analyser des métadonnées, c’est-à-dire toutes les informations périphériques donnant du contexte à un contenu. En théorie, elles ne peuvent pas lire le contenu d’un message envoyé en ligne mais simplement recouper des informations potentiellement suspectes ou sensibles afin de détecter d’éventuelles menaces ou des préparations d’attentats. Une technique algorithmique qui fait relativiser les craintes pour les libertés individuelles, assure notre interlocuteur. «On est très loin encore de ce que font les Américains, par exemple. On n’a pas de NSA [National Security Agency, agence de renseignement américaine, ndlr] en France ! Nous n’avons que trois boîtes noires censées contenir les algorithmes pour la lutte antiterroriste. La France reste ‘petit bras’ à ce niveau-là!», lance Gérald Arboit.
«Les données informatiques sont déjà captées par des cookies et il y a de fortes chances pour qu’elles soient gardées au-delà de cinq ans, vu les mails de publicité ciblée que l’on reçoit ! Ce n’est pas un recul pour les libertés publiques car les données seront anonymisées. C’est même plutôt une protection supplémentaire par rapport aux sites commerciaux: il n’y a pas de violation des libertés individuelles», affirme le spécialiste du renseignement.
Dans le même esprit, le texte du projet de loi porte à deux mois la durée d’autorisation de la technique de recueil de données informatiques et facilite l’interception des correspondances échangées par voie satellitaire. Une preuve supplémentaire que le gouvernement «table sur l’intelligence artificielle» dans la lutte contre le terrorisme, avance le chercheur du Cnam. «Le fait de vouloir garder les informations de connexion et les attitudes numériques permet de nourrir les algorithmes», analyse-t-il.
Le 21 avril dernier, le Conseil d’État validait d’ailleurs, au grand dam des défenseurs des libertés individuelles, la conservation généralisée des données de connexion en dehors des situations exceptionnelles d’état d’urgence sécuritaire, refusant ainsi d’appliquer un arrêt de la Cour de justice de l’UE (CJUE) qui estimait de son côté qu’une telle disposition était contraire aux droits fondamentaux.
«De la communication plus qu’autre chose»
Adoption de la loi sécurité globale: «Des changements purement cosmétiques»
Reste que l’efficacité de ces mesures n’est pas encore prouvée. Fin 2019, Le Monde révélait que sur sur cinquante-neuf attentats déjoués au cours des six années précédentes, un seul l'avait été grâce à une surveillance numérique en amont. «En règle générale, il n’y a pas de plan préétabli d’une action terroriste. On est désormais sur des actes irréfléchis: ces gens-là passeront toujours sous les radars, quelles que soient les mesures que l’on prendra», décrypte Gérald Arboit.
«On est sur de la communication plus qu’autre chose. Les données sont de toute façon récupérées de manière rétrospective et ne peuvent pas empêcher un attentat ou une attaque avant qu’elle ait lieu.» Rien ne dit, par conséquent, que la stratégie affichée par le gouvernement ne se révélera payante en matière de lutte contre le terrorisme. Face à ce que le spécialiste de l’islam Gilles Kepel nomme désormais un «djihadisme d’atmosphère», par définition imprévisible et indétectable, les moyens mis à la disposition des services de renseignement semblent bien maigres. Les trois derniers attentats perpétrés en France n’ont de fait pas été commis par des individus fichés S. «Il faudrait déjà définir l’état de la menace: cela ne peut être fait que par des moyens humains et non pas une veille constante par des moyens techniques», avertit Gérald Arboit. «On est sur de l’habillage et non sur une refondation de la pensée antiterroriste en France», tranche le chercheur.
(...) On n’a pas de NSA [National Security Agency, agence de renseignement américaine, ndlr] en France ! (...)
Non, c'est pire ! Suffit de regarder le nombre vertigineux de vidéos supprimées sur Google-France, les sites détournés en miroir et les courriers effacés !
Projet de loi antiterroriste : le renseignement va analyser l'historique web des internautes
Egalité et Réconciliation mar., 27 avr. 2021 21:58 UTC
Le gouvernement veut muscler son jeu face au terrorisme, notamment sur le Web. Dans un projet de loi prévu pour ce mercredi 28 avril et révélé par le site Next INpact, l'exécutif annonce la mise à jour de plusieurs articles majeurs de la loi sur le renseignement de 2015. L'une des principales nouveautés concerne la possibilité pour les services de renseignement d'analyser massivement l'adresse URL des sites internet consultés par les Français.
L'URL, une donnée personnelle ? En 2015, le gouvernement Valls avait imaginé un cadre juridique permettant aux services de renseignement de placer des « boîtes noires » chez les opérateurs téléphoniques ou chez les hébergeurs français, afin de récolter les « métadonnées » des internautes français, et, grâce à des algorithmes, de créer une alerte en cas d'activité pouvant être jugée suspecte.
Jusque-là, ces métadonnées ne concernent que des informations techniques, comme l'heure de la connexion à un site Web ou l'adresse IP d'un internaute. Selon le nouveau projet de loi, les URL (adresses des sites Web) pourront désormais être analysées, comme le préconisait un rapport d'information publié en juin 2020 et présenté par le député LR Guillaume Larrivé.
Concrètement, des algorithmes pourront passer au crible l'intégralité des adresses URL des sites Web consultés par les Français, afin notamment de détecter la connexion - et l'intérêt - d'un individu vers des sites liés au terrorisme.
L'URL d'un site Web a en effet un statut particulier : il s'agit à la fois d'une donnée technique, permettant à un navigateur d'afficher le site en question, mais également d'une donnée personnelle, le nom du site pouvant refléter une part de la vie privée de l'internaute. Ainsi d'un site consacré à une maladie spécifique, ou à un parti politique.
Auprès du JDD, le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin évoquait ce dimanche l'utilisation d'algorithmes pour analyser les données récoltées et identifier des menaces comme la connexion récurrente d'un internaute à un site extrémiste. Des algorithmes déjà en place depuis 2017, mais dont aucune mesure d'efficacité n'a été communiquée.
Une échappatoire qui prend la forme depuis plusieurs années de messageries chiffrées, les délinquants et terroristes passant du SMS aux applications telles que WhatsApp ou Signal. Des systèmes qui peuvent profiter à n'importe quel internaute néophyte, mais qui échapperont totalement au texte prévu par Gérald Darmanin.
Patrick Calvar, ancien numéro un de la DGSI, évoquait début 2018 une puissance toute relative comparée à celle des réseaux sociaux - américains ou chinois - plateformes "bien plus puissantes que les services du renseignement même si les objectifs poursuivis ne sont pas les mêmes et surtout les données sont communiquées volontairement".
"On a malheureusement cette dérive du politique terrorisé par les terroristes qui agit sans démontrer l'efficacité de ce qui a déjà été fait. En communiquant trop bruyamment sur cette histoire d'URL, on ne va que précipiter le fait que l'intelligence échappe à l'opérateur" regrette pour sa part Alexandre Archambault, avocat spécialisé dans le numérique, auprès de BFMTV.
Une échappatoire qui prend la forme depuis plusieurs années de messageries chiffrées, les délinquants et terroristes passant du SMS aux applications telles que WhatsApp ou Signal. Des systèmes qui peuvent profiter à n'importe quel internaute néophyte, mais qui échapperont totalement au texte prévu par Gérald Darmanin.
Source : bfmtv.com
Commentaire : Mais c'est le citoyen qu'ils veulent surveiller.
Une culture d'intimidateurs climatiques peut utiliser vos fonds de retraite contre vous
April 27th, 2021
Qui a voté pour les fonds de pension de retraite pour décider de la politique énergétique ? Et vous pensiez que nous avions élu un gouvernement pour gérer notre politique énergétique nationale?
Les entreprises doivent adopter les objectifs d'émissions de Paris même si le gouvernement ne le fait pas, disent les grands investisseurs. The gardian
Donc, même si les électeurs ne veulent pas d '«action climatique», par défaut, ils se faufilent par la porte arrière, à moins qu'ils n'y prêtent attention.
Dans ce cas, les «grands investisseurs» sont une petite équipe d’activistes qui dirigent un club auquel certaines sociétés de retraite ont adhéré, même si on ne sait pas pourquoi. Peut-être qu'ils se sont joints pour «regarder réveillé» ou peut-être nourrissent-ils le crocodile de peur d'être pris pour cible?
L'Australian Council of Superannuation Investors (ACSI) n'essaie pas de persuader les fonds ou les investisseurs de passer au vert avec raison, mais semble fonctionner selon les principes d'annulation de la culture à l'échelle de l'entreprise. Leur objectif, apparemment, est d'intimider les administrateurs de votre Superfund afin qu'ils intimident eux-mêmes les entreprises dans lesquelles ils investissent. À la manière de Saul Alinsky, ils menacent efficacement les administrateurs qu'ils pourraient être personnellement isolés et ciblés s'ils ne sont pas perçus comme étant suffisamment favorables au Woke la religion (c'est-à-dire le climat, l'esclavage, les trucs au plafond de verre). D'une manière ou d'une autre, l'ACSI peut «recommander aux membres de voter contre la réélection des administrateurs» ?
En Australie, le gouvernement oblige tout le monde à mettre de l'argent dans la «Superannuation» (comme le 401K aux États-Unis). ASCI obtient une partie de cet argent forcé des Superfunds sous forme de frais d'adhésion, puis, à son tour, exige que les entreprises utilisent votre argent pour réaliser quelque chose pour lequel vous n'auriez pas voté ou investi dans vous-même. C’est beaucoup d’argent. ASCI a une «adhésion» de 36 fonds de pension de retraite: ensemble, ils gèrent plus d'un billion de dollars, ou comme on dit… ils «possèdent en moyenne 10 % de chaque entreprise ASX200». L'année dernière, ASCI a encaissé près de 4 millions de dollars de frais pour eux-mêmes sur les superfunds afin de faire pression sur les superfunds. Voyez comment cela fonctionne ?
Hier soir, SBS a divulgué la nouvelle avec des éloges élogieux selon lesquels ACSI allait cibler (et intimider) les dirigeants d'entreprises qui étaient plus soucieuses de réaliser des bénéfices pour vous - plutôt que de respecter l'accord de Paris. La honte !
Cette semaine, l'ASCI a une «nouvelle politique climatique» se nommant ainsi des dirigeants et des génies de la science.
Si les médias révélaient cette prise de pouvoir et ce militantisme, les gens en masse pourraient retirer leurs fonds et les Superfunds qui se livraient à ces conseils «à la mode» inutiles pour abuser de votre argent les abandonneraient.
Le conseil des pensions au sérieux sur le risque climatique Cliona O'Dowd, l'Australienne
«Au lieu de simplement demander aux gens de faire rapport et de nous parler de ce qu'ils font, nous disons maintenant que la gouvernance pour cela relève du conseil d'administration, et nous tiendrons le conseil responsable si nous ne croyons pas que l'entreprise est faire tout ce dont ils ont besoin sur le climat.
Les banques alertées sur les risques climatiques
«Les risques liés au changement climatique sont profondément ancrés dans le système financier et ont un impact sur tous les secteurs et toutes les classes d'actifs. Pour les investisseurs à long terme, cela pose un sérieux défi à la création de valeur à long terme dans tous les portefeuilles d'investissement. »
«L’engagement actif et constructif» de l’ACSI avec les 200 premières sociétés cotées a conduit à des améliorations dans les pratiques des entreprises, a-t-elle déclaré, en avertissant qu’il fallait faire plus.
«Toutes les entreprises n'ont pas écouté les attentes des investisseurs… Afin de mettre davantage l'accent sur les risques liés au climat dans les entreprises qu'elles investissent, l'ACSI peut recommander aux membres de voter contre la réélection des administrateurs.»
L'un des mystères est pourquoi un fonds ferait partie de l'ASCI ? Que reçoivent-ils ? Selon ASCI, ils reçoivent des conférences et la possibilité de rejoindre leur conseil d'administration et de donner des conférences à d'autres personnes, mais pas grand-chose d'autre.
L'appartenance à ce groupe est-elle simplement motivée par une peur sans fil ou est-ce une stratégie publicitaire ?
Il est temps de voter avec vos dollars Si votre fonds est répertorié ici, il serait utile que vous leur écriviez pour leur demander pourquoi ils sont membres d'un groupe qui dit spécifiquement que ses objectifs ne sont pas de «retourner un profit aux actionnaires» ? Votre caisse de retraite vous soutient-elle ou soutient-elle la religion de Woke ? S'ils ne donnent pas de réponse satisfaisante, faites-leur savoir que vous prévoyez de trouver un autre fonds et de faire passer le mot. Si vous obtenez une réponse, veuillez la partager avec nous.
Qui est ce génie de l'énergie et du climat - Louise Davidson, PDG ? Elle en sait beaucoup sur la production d'électricité et la réalisation de profits (pas):
Nommée directrice générale du groupe d'investisseurs en avril 2015, Mme Davidson possède plus de 20 ans d'expérience dans le secteur des services financiers et des retraites.
Elle a rejoint ACSI en provenance de Cbus, où elle gérait leurs investissements environnementaux, sociaux et de gouvernance d'entreprise (ESG).
Qui est heureux de cacher son rôle d'intimidateur d'entreprise ?
Mme Davidson dit que l'ACSI est souvent décrite comme des «activistes sociaux», mais que l'intention n'est pas d'agir contre les entreprises. Elle dit que c'est pour s'engager et les aider à devenir plus performants et plus rentables.
Étant donné que le but de l'ASCI n'est «pas la rentabilité» et qu'ils n'agitent pas contre les administrateurs qui dirigent des entités non rentables, mais contre les administrateurs qui ne sont pas encore évangéliques à propos de la religion réveillée, il est clair qu'elle est heureuse de tromper et de désinformer avec un visage honnête .
C’est juste une autre façon de vous débarrasser du pouvoir.
Mais tout est juste dans l’amour et la guerre, et ils profitent d’investisseurs endormis qui pensent pouvoir donner leur argent à d’autres sans y prêter attention. Les parasites ne s'en tireraient pas si les médias s'en préoccupaient, les politiciens étaient courageux et les investisseurs pouvaient investir dans des fonds qui «choisissaient une énergie rentable bon marché» plutôt que le vaudou et les modes.
Dans les cercles très fermés des « pétroliers », en d’autres termes les grandes Major pétrolières, il se chuchote que les réserves de pétrole et de gaz ne seront épuisées que dans 200 ans. Cette information est difficile à croire, néanmoins elle a circulé sur divers sites d’information non « officiels », comme s’il ne fallait croire que les médias contrôlés par les gouvernements occidentaux. Il est vrai que les dites réserves de pétrole et de gaz sont classées secret-défense et seuls les géologues travaillant pour ces compagnies d’exploration et d’exploitation connaissent les réelles réserves que contiennent les sédiments rocheux proches de la surface, c’est-à-dire à moins de 10 000 mètres de profondeur. En ce qui concerne le charbon, je m’étais arrêté sur des réserves de l’ordre de 200 ans au rythme de consommation de l’année 2019 comme pour ces rumeurs officieuses relatives aux réserves de pétrole. Si l’information citée ci-dessus est exacte alors on pourrait considérer que les réserves de charbon non exploitables économiquement aujourd’hui pourraient couvrir les besoins énergétiques mondiaux peut-être pour encore 300 ou 400 ans.
L’humanité a encore de beaux jours à vivre quelles que soient les déclarations alarmistes de écologistes qui ont oublié que restituer du gaz carbonique séquestré il y a des centaines de millions d’années favorisait la végétation terrestre et la prolifération planctonique. Certes les océans constituent le plus important piège de la planète pour le gaz carbonique, alors toute augmentation considérée comme indésirable pour le climat sera prise en charge par les océans. Ce piégeage du gaz carbonique par les océans obéit à de très subtiles réactions chimiques et une modification de ce que l’on appelle les conditions initiales, en d’autres termes une augmentation de la teneur en gaz carbonique de l’atmosphère, conduira a un renforcement de ce piégeage. Quant à l’oxygène qui se dissout également dans l’eau océanique il y en aura toujours assez dans l’atmosphère pour ne pas mourir d’asphyxie. Ce piège océanique tant du gaz carbonique que de l’oxygène est illustré par l’abondance de la vie planctonique et marine en général dans toutes les zones du globe où existent des phénomènes dits d’upwelling ( https://en.wikipedia.org/wiki/Upwelling ) provoqués par des vents qui poussent l’eau dans leur direction. Comme le niveau de la mer ne peut pas baisser de l’eau profonde remonte en surface, le long des côtes sud-africaines, de l’Oregon et de la Californie ou encore entre le Maroc et l’archipel des Canaries, le long des côtes du sud du Chili et autour de l’Antarctique. Les eaux y sont incroyablement poissonneuses car elles sont riches en phyto-plancton qui se nourrit de gaz carbonique et de zoo-plancton qui dispose d’oxygène et se nourrit à son tour de phyto-plancton. C’est bien là l’une des preuves les plus convaincantes de l’utilité du gaz carbonique pour la vie.
Après cette entrée en matière que se passera-t-il quand les programmes de « neutralité carbone » progressivement mis en place par les pays occidentaux pour « sauver » le climat auront atteint leur but ? Il ne se passera rien ! Tout simplement parce que le gaz carbonique issu des activités énergétiques humaines ne représente qu’à peine 5 % de l’ensemble de ce gaz atmosphérique et que sa durée de vie (laps de temps pour que la moitié de ce gaz disparaisse par piégeage océanique ou par la biosphère) est d’environ 5 ans. Je rappelle à ceux des lecteurs de mon blog qui auraient des doutes que ces données sont disponibles et accessibles dans la littérature scientifique. Le grand coup de bluff des tenants de l’effet de serre du gaz carbonique prétendant que 10 % de diminution des émissions de ce gaz durant l’année 2020 en raison des confinements massifs des populations allait avoir un effet bénéfique sur climat est facilement démonté. En effet, 10 % de 5 % de gaz carbonique est inférieur à la limite de sensibilité des instruments de l’observatoire de Mona Loa. Il n’y a, cependant, aucun doute qu’un jour la planète sera totalement dépourvue de combustibles carbonés fossiles, mais ce sera dans plusieurs siècles. L’humanité dispose donc de beaucoup de temps pour s’adapter comme d’ailleurs elle a toujours su le faire dans le passé. Le climat continuera à évoluer à son rythme quoiqu’en pensent les tenants du réchauffement provoqué par les activités humaines …
Secundo, le charbon se reconstitue lui aussi grâce aux gaz émis lors de sa combustion et repris par le phytoplancton à la surface des eaux.
Tertio, les gaz ne descendent pas ! Le magma est LE producteur de tous les gaz de notre atmosphère (jusqu'aux plus toxiques). Sans la masse ferrique incandescente il n'y aurait PAS d'oxygène (même sans végétation sur terre il y aurait toujours de l'oxygène) dans les mers & océans et donc: pas de vie (poissons, coquillages & crustacés).
TOUS les gaz de l'atmosphère se recombinent. S'ils ne se recyclaient pas il n'y aurait pas de vie sur Terre.
Toutes les réserves de pétrole, gaz, charbon, etc sont géolocalisées par la technologie scalaire qui permet de connaître où se trouvent les couches, les profondeurs, l'épaisseur, longueur et largeur et pression (pour les gaz).
Les 'bombes thermiques' détruisant la banquise arctique
par Bangor University 27 AVRIL 2021
Une équipe dirigée par des océanographes physiques de la Scripps Institution of Oceanography de l'Université de Californie à San Diego, et comprenant un scientifique de l'Université de Bangor, montre dans une nouvelle étude comment des panaches d'eau chaude se déversent dans l'océan Arctique depuis l'océan Pacifique et accélèrent la fonte des glaces de mer par le bas.
La recherche financée principalement par l'Office of Naval Research décrit les soi-disant «bombes thermiques» sous-marines comme l'un des nombreux mécanismes par lesquels l'empiètement causé par le réchauffement climatique change la nature de l'océan Arctique plus rapidement que presque n'importe quel autre endroit sur Terre. Cela s'ajoute à un ensemble croissant de preuves qui suggèrent que la glace de mer arctique, source de stabilité climatique mondiale, pourrait disparaître pendant de plus grandes parties de l'année.
<< Le taux d'accélération de la fonte des glaces de mer dans l'Arctique a été difficile à prévoir avec précision, en partie à cause de toutes les rétroactions locales complexes entre la glace, l'océan et l'atmosphère; ce travail montre le rôle important dans le réchauffement que joue l'eau des océans dans le cadre de ces réactions », a déclaré Jennifer MacKinnon, océanographe physique à Scripps, scientifique en chef de l'expédition et auteur principal de l'article.
L'étude paraît dans la revue Nature Communications.
L'Arctique est un océan inhabituel
Le Dr Yueng-Djern Lenn, lecteur en océanographie physique à la School of Ocean Sciences de l'Université de Bangor, a déclaré: «Ce fut un privilège pour nous de collaborer avec nos collègues américains pour recueillir les mesures biogéochimiques effectuées au cours de cette expérience sur le terrain. Ces nutriments et isotopes les données que nous avons collectées ont été utiles pour retracer l'origine du panache et nous ont également permis d'explorer l'impact de la dynamique du panache sur l'apport en nutriments profonds au phytoplancton transporté depuis les mers du plateau jusqu'au bassin central de la mer de Beaufort. "
L'Arctique est un océan inhabituel en ce qu'il est stratifié - ou stratifié - par la salinité plutôt que par la température. La plupart des océans du monde ont une eau plus chaude et plus légère près de la surface et une eau plus froide et plus dense en dessous. Dans l'Arctique, cependant, il existe une couche superficielle qui est froide mais très fraîche, influencée par l'écoulement fluvial et par l'accélération de la fonte des glaces. De l'eau chaude et relativement salée entre de l'océan Pacifique par le détroit de Béring, puis le canyon de Barrow au large de la côte nord de l'Alaska, qui agit comme une buse lorsque l'eau s'écoule dans le passage étroit.
Parce que cette eau est plus salée que l'eau de surface de l'Arctique, elle est suffisamment dense pour «subducter» ou plonger sous la couche de surface fraîche de l'Arctique. Son mouvement crée des poches d'eau très chaude qui se cachent sous les eaux de surface. Les scientifiques ont vu ces poches d'eau souterraine chaude se renforcer au cours de la dernière décennie.
Ces poches connues sous le nom de 'bombes thermiques' sont juste assez stables pour pouvoir durer des mois ou des années, tourbillonnant loin au nord sous la banquise principale près du pôle nord, et déstabilisant cette glace au fur et à mesure que la chaleur qu'elles contiennent se diffuse progressivement mais régulièrement vers le haut. pour faire fondre la glace. Jusqu'à présent, cependant, le processus par lequel les sous-conduits d'eau chaude n'a pas été observé ni compris. Sans cette compréhension, les climatologues n'ont pas été en mesure d'inclure cet effet important dans les modèles de prévision, dont certains sous-prédisent l'accélération Taux de fonte de la glace de mer. Étant donné que l'afflux d'eau chaude originaire du Pacifique a augmenté au cours des dix dernières années environ, ces travaux s'ajoutent à un nombre croissant de preuves selon lesquelles la glace de mer de l'Arctique, source de stabilité du climat mondial, pourrait disparaître pour une grande partie de l'année.
Les travaux soulignent l'importance de la collaboration entre plusieurs institutions
Lors d'une expédition de 2018 financée par le US Office of Naval Research, des scientifiques ont pour la première fois pris en flagrant délit l'un de ces événements de subduction dramatiques. Le groupe a utilisé une combinaison de nouveaux instruments océanographiques développés par le groupe Multiscale Ocean Dynamics à Scripps, des observations satellitaires analysées par des collègues de l'Université de Miami, profilant les données de flotteurs de la National Oceanic and Atmospheric Administration, des échantillons biologiques collectés par des collègues britanniques et allemands travaillant dans un projet connu sous le nom de Changing Arctic Ocean, et une analyse détaillée des données par des collègues de plusieurs autres institutions.
«Le succès du groupe met en évidence les nouvelles perspectives que nous pouvons voir sur le monde naturel lorsque nous le regardons sous un nouveau jour», a déclaré l’océanographe de Scripps Matthew Alford.
"Cette vue détaillée des processus complexes régissant le transport de la chaleur dans l'Arctique n'aurait pas été possible sans plusieurs suites d'instruments simultanées, y compris la télédétection et les profileurs de bord personnalisés et autonomes développés à Scripps", at-il déclaré.
Les instruments du groupe Scripps Multiscale Ocean Dynamics comprennent un capteur "Fast CTD" personnalisé qui fait des profils très rapides à partir du navire, et un "Wirewalker" autonome qui utilise l'énergie des vagues de l'océan pour générer des mesures de profilage. Ces instruments permettent aux scientifiques d'obtenir des images haute résolution de processus océaniques complexes, et ainsi de mieux comprendre leur fonctionnement en détail.
Ce travail souligne également l'importance de la collaboration entre plusieurs institutions, entre plusieurs agences de financement américaines et avec des partenaires internationaux; la profondeur de la compréhension obtenue ici découle de la diversité des outils et des perspectives qu'apportent ces collaborations.
Un travail collaboratif avec des scientifiques du Royaume-Uni et d'Allemagne montre que cette eau chaude souterraine possède également des propriétés biogéochimiques uniques dans l'Arctique. On s'attend à ce que ce mélange d'organismes et de produits chimiques ait des implications importantes pour l'écosystème arctique en évolution.
(...) une nouvelle étude comment des panaches d'eau chaude se déversent dans l'océan Arctique depuis l'océan Pacifique et accélèrent la fonte des glaces de mer par le bas. (...)
Whôaw ! Grande découverte ! Hahahaha ! Il y aurait des sources chaudes sous la mer et les océans ! Cà alors !! (elles existent depuis des milliards d'années et se comptent en millions ou milliards). Les volcans ne sont pas tous terrestres ! Eh oui ! Des millions (milliards ?) de sources chaudes tapissent les planchers maritimes & océaniques. Elles se bouchent ou s'ouvrent ici ou là et modifient les chaleurs emportées par les courants maritimes & océaniques. Ces lames de fond ressortent parfois aux Côtes d'azur ou côtes bretonnes et apportent une douceur atmosphérique.
Pourquoi certains propriétaires de voitures électriques reviennent à l'achat de véhicules à essence
par Bob Yirka, Tech Xplore 28 AVRIL 2021
Deux chercheurs de l'Institute of Transportation Studies de l'Université de Californie, Davis s'est penché sur le problème de certaines personnes qui achètent des véhicules électriques qui reviennent aux voitures à essence comme véhicules de suivi. Dans leur article publié dans la revue Nature Energy, Scott Hardman et Gil Tal décrivent l'enquête qu'ils ont envoyée aux acheteurs de véhicules électriques en Californie et ce qu'ils ont appris de ceux qui les ont remplis et renvoyés.
Des recherches antérieures ont montré qu'environ 20% des personnes qui achètent ou louent un véhicule hybride ou tout électrique finissent par revenir aux véhicules à essence sur leur véhicule de suivi. Dans ce nouvel effort, Hardman et Tal ont cherché à découvrir pourquoi cela se produit.
Pour en savoir plus sur la «discontinuité», comme on l'appelle dans le secteur automobile, les chercheurs ont envoyé des sondages à plus de 14 000 personnes qui avaient acheté ou loué un véhicule électrique en Californie au cours des années 2012 à 2018. Ils ont reçu des réponses de 4 167 ménages, dont seulement 1 842 avaient pris une décision concernant leur véhicule de suivi.
Ils ont constaté que 1 458 de ceux qui ont répondu à leur question prévoyaient de conserver un véhicule rechargeable - et 1 213 en avaient déjà acheté un. Mais comme des études antérieures l'avaient découvert, ils ont également constaté qu'environ 20% des répondants sont retournés ou prévoyaient de retourner à un véhicule à essence.
Les chercheurs ont constaté que les répondants qui abandonnaient la possession de véhicules électriques provenaient de ménages plus petits que ceux qui prévoyaient de continuer à utiliser des véhicules électriques et, à cause de cela, avaient moins de véhicules. Ils étaient également plus jeunes et avaient des chèques de paie plus petits et étaient plus susceptibles de louer. Ils étaient également plus susceptibles d'être des femmes.
Quant aux facteurs qui ont poussé certains à abandonner leurs véhicules électriques, l'autonomie et la commodité de recharge étaient les raisons les plus fréquemment invoquées. Ceux qui sont plus disposés à abandonner les véhicules électriques, ont noté les chercheurs, avaient plus de difficulté à recharger les véhicules. Ils ont également constaté une certaine influence sur la marque. Ceux qui avaient acheté une Tesla, par exemple, étaient beaucoup moins susceptibles d'abandonner les voitures électriques, tandis que ceux qui avaient acheté une Fiat étaient beaucoup plus susceptibles de retourner à un véhicule à essence.
Comment assurer la sécurité des véhicules électriques automatisés
28 AVRIL 2021 par Scott Michaux, Université de Géorgie
Le piratage de votre compte de réseau social est une douleur. Le piratage de votre compte de carte de crédit peut être dévastateur. Le piratage de votre nouveau véhicule électrique pourrait être désastreux.
Alors que le passage aux voitures électriques automatisées s'accélère, la protection de la cybersécurité de ces véhicules est devenue urgente. C'est pourquoi les chercheurs de l'Université de Géorgie identifient les faiblesses qui pourraient menacer la sécurité et l'efficacité de ces véhicules. Dans un nouvel article publié dans le IEEE Journal of Emerging and Selected Topics in Power Electronics, une équipe dirigée par l'UGA fournit la première étude complète sur la sécurité cyber-physique des systèmes de propulsion dans les véhicules électriques connectés et automatisés, ou CAEV.
«Les résultats ici fourniront des lignes directrices aux fabricants pour développer de meilleures technologies contre les cyberattaques», a déclaré l'auteur principal Jin Ye, professeur adjoint de génie électrique et directeur du laboratoire d'électronique de puissance et de machines électriques intelligentes. "En concevant des véhicules meilleurs et plus sûrs, les constructeurs devraient prendre ces aspects en considération."
Les préoccupations en matière de sécurité ont longtemps été au premier plan lors de l'émergence des CAEV. Un récent accident mortel au Texas n'a fait qu'aggraver ces inquiétudes.
Pour cette étude, les chercheurs ont étudié les vulnérabilités aux cyberattaques dirigées contre des cibles allant de l'efficacité énergétique à la sécurité, et ont fourni une architecture pour les systèmes électroniques de puissance de nouvelle génération.
Les études de sécurité des véhicules à moteur à combustion interne n'abordent pas les systèmes de groupe motopropulseur dans les CAEV, qui consistent en plusieurs systèmes cyber-physiques complexes et intégrés qui nécessitent une surveillance et un contrôle pour garantir la sécurité et maintenir un rendement élevé, selon Ye. De plus, l'augmentation de la connectivité entre les CAEV, les bornes de recharge et les réseaux intelligents expose les CAEV à des cybermenaces qui n'existent pas pour les moteurs à combustion interne.
Alors que des technologies telles que le régulateur de vitesse adaptatif et d'autres fonctions d'assistance automatique peuvent considérablement améliorer la sécurité de conduite, le confort et l'efficacité énergétique, l'intégration de ces unités de commande dans une infrastructure en réseau ouvre la porte à des problèmes de cybersécurité. Les systèmes d'infodivertissement embarqués - utilisés pour fournir des divertissements et des informations utiles au conducteur et aux passagers via des interfaces audio / vidéo, des écrans tactiles, des panneaux de boutons et des commandes vocales - sont une cible de choix pour les attaquants, leur permettant de détourner à la fois la sécurité. fonctions critiques et non liées à la sécurité.
De même, comme les véhicules électriques se branchent sur le réseau pour charger les batteries, ils sont plus vulnérables aux cyberattaques que les véhicules à moteur à combustion interne conventionnels. Grâce à une station de charge, un attaquant pourrait contourner les systèmes de contrôle du véhicule, ce qui pourrait entraîner des conséquences mortelles telles que la désactivation des freins, l'extinction des phares ou la prise en charge de la direction.
«Les véhicules électriques seront connectés à de nombreuses infrastructures différentes, de sorte que ces connexions créeront également des problèmes de cyberattaque», a déclaré Ye.
Les cyberattaques peuvent également réduire considérablement l'efficacité des véhicules électriques, entraînant une détérioration plus rapide de la capacité d'alimentation et de la durée de vie de la batterie, raccourcissant ainsi le temps et la distance entre les recharges. Des attaquants hautement qualifiés peuvent potentiellement causer de graves dommages, comme une diminution de la capacité de la batterie et de l'énergie jusqu'à 50 %, en utilisant des méthodes sophistiquées difficilement détectables par le conducteur humain.
"Si une cyberattaque se produit, vous verrez de mauvais signaux: la vitesse et l'accélération des véhicules seront endommagées, créant des problèmes de sécurité et de fonctionnalité", a déclaré Ye. "Ou cela pourrait créer des problèmes dans les systèmes de gestion de l'énergie. L'efficacité des véhicules électriques diminuera et les batteries risquent de mourir dans un laps de temps très court. Tous les signaux que nous avons étudiés auront des impacts négatifs sur la sécurité."
Conseils de sécurité pour les véhicules électriques
Ye a écrit une série d'articles sur la sécurité cyber-physique dans les véhicules électriques pour l'Institute of Electrical and Electronics Engineers, dont deux ont déjà été publiés en avril et en mai dans les revues IEEE Transactions. Ses études émergentes peuvent permettre aux constructeurs automobiles et aux ingénieurs de développer un système de cybersécurité de première étape. Elle suggère quelques techniques d'atténuation de base pour défendre les véhicules modernes contre les cyber-attaques:
Port de diagnostic embarqué sécurisé Meilleur pare-feu Matériel fiable Mises à jour logicielles sécurisées Tests de pénétration Revues de code Plus important encore, Ye suggère de développer un système de surveillance de la cybersécurité pour détecter, localiser, diagnostiquer et atténuer les cyberattaques.
"Même si la recherche sur la cybersécurité des véhicules en est encore à un stade précoce et que le système de surveillance ne peut pas récupérer directement le système dans une zone de sécurité, il peut alerter le conducteur pour qu'il réagisse en temps opportun", a déclaré Ye. "Une fois qu'une cyberattaque est identifiée, le conducteur peut arrêter la voiture pour éviter d'autres dommages."
Des scientifiques allemands découvrent pourquoi les vaccins covid provoquent des caillots sanguins
Mardi 27 avril 2021 par: Lance D Johnson
(Natural News) Les vaccins expérimentaux contre le covid provoquent des caillots sanguins chez certains receveurs et peuvent provoquer des urgences médicales potentiellement mortelles chez les jeunes qui ne sont même pas exposés à une infection naturelle. Les gouvernements du monde entier ont temporairement suspendu le déploiement d'urgence de ces vaccins, mais rien n'est fait pour résoudre le problème de cette science controversée. Des scientifiques allemands ont récemment découvert pourquoi ce type de vaccin provoque la formation de caillots sanguins chez certaines personnes.
Les vaccins AstraZeneca et Johnson & Johnson sont des vaccins vecteurs d'adénovirus. Ce modèle de vaccin utilise un adénovirus modifié prélevé sur des singes pour transmettre des instructions spécifiques aux cellules du corps humain. Une fois que l'adénovirus modifié est injecté à des personnes, il contient des informations génétiques uniques sur le virus SARS-CoV-2. Cette information génétique est transmise aux cellules, obligeant les cellules à produire des copies de la protéine de pointe inflammatoire - la propriété infectieuse du virus. Lorsque cette protéine de pointe étrangère est produite à la surface de la cellule, le système immunitaire est censé répondre, forçant une réponse anticorps. Ce processus ne fonctionne pas parfaitement chez chaque personne et peut provoquer une attaque auto-immune sur les propres plaquettes du corps.
Les vaccins à vecteur adénovirus provoquent des réponses auto-immunes inflammatoires qui conduisent à des caillots sanguins
Andreas Greinacher, MD, directeur de l'Institut d'immunologie et de médecine transfusionnelle de l'hôpital universitaire de Greifswald, en Allemagne, a été l'un des premiers scientifiques au monde à découvrir comment ces anticorps induits par le vaccin attaquent une protéine clé des plaquettes, provoquant une formation rapide de sang. caillots.
Le problème commence avec la coquille d'adénovirus et les protéines étrangères qui ont été utilisées pour cultiver ce virus. Une fois que ces particules étrangères sont injectées, elles peuvent entrer en contact avec les plaquettes du sang. Les plaquettes du corps peuvent réagir de manière excessive, se précipitant vers le site d’injection. Ces plaquettes se précipitent pour arrêter le saignement et fournissent également une réponse immunitaire initiale. Les plaquettes entoureront alors la coquille d'adénovirus injectée et les éventuelles protéines étrangères. Une fois que les plaquettes sont activées, elles émettent des signaux chimiques qui sont stockés dans les granules. La vaccination enfreint les voies normales d'exposition et peut donc exciter un nombre anormal de plaquettes.
Cela provoque une libération massive de signaux chimiques, ordonnant à un nombre anormal de cellules B d'attaquer la protéine du facteur 4 plaquettaire, qui régule la coagulation sanguine. Ce flot allergique de cellules B est mis en action parce que le corps pense qu'il est soumis à une énorme attaque d'agents pathogènes envahissants. Le flot de cellules B crée des anticorps pour la protéine du facteur 4 plaquettaire, qui aide à coordonner la coagulation sanguine. Les anticorps attaquent les propres plaquettes du corps, incitant les plaquettes à recruter des globules blancs. «À ce moment-là, tout est en train d'exploser», a déclaré le Dr Greinacher. La réaction inflammatoire provoque une attaque auto-immune sur les propres plaquettes du corps, provoquant la formation de caillots sanguins.
La teneur en EDTA du vaccin contribue également à des lésions vaccinales potentiellement mortelles Les scientifiques allemands ont découvert un autre processus qui contribue à cette blessure vaccinale potentiellement mortelle. Ces vaccins vecteurs d'adénovirus contiennent un agent de liaison et un stabilisant du calcium appelé EDTA. Cet additif, essentiel à la science du vaccin, est chargé de faire sauter les jonctions entre les cellules qui forment les parois des vaisseaux sanguins. Lorsque l'EDTA ouvre ces jonctions, il permet aux protéines étrangères et aux plaquettes de pénétrer dans la circulation sanguine. Si une activité suffisante est détectée dans la circulation sanguine, le système immunitaire réagira de manière excessive, déclenchant une vague d'attaques auto-immunes qui précèdent les caillots sanguins.
Les vaccins adénovirus-vecteur ont été développés sous forme de protocoles à dose unique parce que le système immunitaire acquiert rapidement une immunité contre le vecteur adénovirus, contrecarrant le processus complet. Cela rend les futures doses du vaccin de moins en moins efficaces. Ces vaccins n'auront pas de valeur à long terme, car de nouvelles mutations et variantes de coronavirus circulent. Toute revaccination pour les mutations et variantes de coronavirus ne transmettra pas la réponse immunitaire complète et voulue, laissant les gens dépendants d'une science défectueuse de l'immunité décroissante qui comprend également des risques de coagulation sanguine hyper-inflammatoire et d'autres événements indésirables graves.
Le Dr «Flip-Flop» Fauci permet enfin aux personnes vaccinées de retirer leur masque, mais uniquement à l'extérieur
Mercredi 28 avril 2021 par: Lance D Johnson
(Natural News) Au premier rang du scandale du covid-19 se trouve le Dr Anthony Fauci, directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses. Lorsque la recherche sur le gain de fonction sur les coronavirus (qu'il a financée et surveillée pendant des années) a été EN DIRECT sur la population mondiale, Fauci n'a pas été interrogé, scruté ou tenu de rendre des comptes. Au lieu de cela, il a été promu à un poste de pouvoir hautement annoncé au sein du gouvernement fédéral. Il a immédiatement utilisé cette position de pouvoir pour conseiller les gouvernements sur la meilleure façon de verrouiller les gens, d'isoler et de contrôler leur vie. Son approche a contribué à des crimes contre l'humanité généralisés et n'a rien fait pour s'attaquer aux problèmes de santé sous-jacents qui ont causé la souffrance dans les maisons de soins infirmiers et certains systèmes hospitaliers à travers le pays.
Depuis qu'il a atteint pour la première fois le microphone du groupe de travail fédéral sur le coronavirus, le Dr Fauci a été le centre d'attention et l'autorité ultime sur la «science» entourant le covid-19. Aucune autre perspective n'était autorisée. Les Américains ont été contraints à l'isolement et terrorisés à croire des mensonges sur leur système immunitaire. Le Fauci et le CDC continuent d'adopter une approche totalitaire qui supprime l'esprit, les moyens de subsistance et les libertés du peuple. Cela est fait pour forcer la conformité de masse aux vaccins expérimentaux pour lesquels la recherche sur le gain de fonction des coronavirus a été menée en premier lieu. La politique de réouverture a été liée au statut vaccinal dans de nombreux États, alors que la ségrégation et les crimes contre l'humanité se poursuivent.
Le conseil flip-flop masque de Fauci continue
Mais comme un poisson hors de l'eau, le Dr Fauci a fait volte-face sur d'innombrables problèmes au cours de la dernière année. Sur la question de la recommandation de masques personnels, le Dr Fauci a commencé par une approche cavalière avant de faire volte-face pour soutenir les mandats autoritaires. Lorsque les mandats n'ont pas réussi à atteindre les objectifs de santé publique, il a doublé, littéralement, et recommandé plusieurs masques. Même après la précipitation d'un vaccin supposé «efficace» sur le marché, le Dr Fauci a continué de recommander aux personnes vaccinées de garder un masque sur leur visage, à l'intérieur des bâtiments et à l'extérieur. Si le vaccin a fonctionné, pourquoi a-t-on dit aux gens de porter des masques contre un virus contre lequel ils sont censés être immunisés ?
Enfin, après des mois à forcer les gens à vacciner et à continuer à se masquer, le Dr «flip-flop» Fauci permet aux personnes vaccinées de retirer leur masque… mais seulement lorsqu'elles sont à l'extérieur. En août dernier, il a dit: «Lorsque vous êtes à l'intérieur, assurez-vous d'avoir un masque. Lorsque vous êtes à l'extérieur, gardez le masque. » Lorsque les vaccins ont été déployés, il a demandé aux obéissants de garder leurs masques. Maintenant, il dit que son "bon sens" est que le risque est vraiment faible à l'extérieur, "surtout si vous êtes vacciné." Tout à coup, vous pouvez enlever les masques, mais seulement si vous êtes à l’extérieur. C’est de la folie, mais il y a une méthode à la folie de Fauci.
Il y a une méthode à la folie de Fauci Fauci s'est moqué du gouverneur de Floride Ron Desantis et du gouverneur du Texas Greg Abbott pour avoir été «dangereux» pour l'ouverture complète de leurs États et l'abandon des mandats de masque. Après la levée des mandats, il n'y a pas eu de flambée d'infection ou de mortalité - ce qui a de nouveau fait honte à Fauci et aux CDC.
Même si Fauci bascule à plusieurs reprises avec ses recommandations de santé publique et est humilié à plusieurs reprises, la tromperie qui sous-tend sa motivation est restée la même depuis le début du scandale du covid-19. La propagation asymptomatique du covid-19 est une farce, un mensonge perpétué par les tests PCR à cycle élevé qui sont calibrés pour créer des faux positifs. Les personnes en bonne santé ne peuvent pas propager des infections dont elles ne sont pas atteintes, et elles ne peuvent pas non plus en rendre malade en étant simplement avec d'autres personnes et en respirant librement. Les personnes immunisées font partie de la solution, c'est pourquoi un système immunitaire sain doit être priorisé et non supprimé. Il existe de nombreuses façons de renforcer la réponse immunitaire innée, et il existe des options de traitement antiviral viables. Fauci ne dit PAS ces vérités parce que son pouvoir et sa position dépendent de la tromperie perpétuelle et du contrôle qui en résulte.
Il est tout à fait clair que Fauci fait partie d’une conspiration mondiale visant à forcer l’observance de masse à l’expérimentation médicale. Son approche porte sur le contrôle, pas sur la santé, car le message de pandémie vise à rendre les populations dépendantes de l'expérimentation médicale et à se conformer aux autorités qui la conduisent.
Big Tech collabore maintenant avec Big Pharma pour cacher la vérité aux Américains alors qu'Instagram interdit les vérités de Robert F. Kennedy sur les vaccins
Mercredi 28 avril 2021 par: JD Heyes
(Natural News) Toutes les institutions américaines sont désormais entièrement «détenues» par des milliardaires mondialistes qui n’ont aucune loyauté envers leur pays ou leurs concitoyens; seulement pour les profits et le contrôle à tout prix.
Big Tech - Google, YouTube, Amazon, Facebook, Twitter - sont tous devenus si grands qu'ils contrôlent littéralement le flux d'informations que les Américains peuvent voir. Étude après étude, cela a prouvé cela, et il n'y a pas de chercheur plus éminent dans ce domaine que le Dr Robert Epstein.
«Google et des entreprises similaires comme Facebook ne sont absolument pas réglementées aux États-Unis, elles peuvent donc faire tout ce qu'elles veulent», a-t-il déclaré en 2019.
«S'ils travaillent tous ensemble en 2020 pour soutenir le même candidat à la présidentielle, ils peuvent décaler plus de 15 millions de voix sans que personne ne sache qu'ils ont été manipulés et sans laisser de trace écrite», a-t-il déclaré.
C’est précisément ce qu’ils ont fait, mais c’est encore pire que de falsifier les votes et de voler les élections américaines, si vous pouvez l’imaginer. Ces mêmes entreprises contrôlent le flux d'informations d'une manière qui fait rougir les régimes communistes comme la Chine.
En août, avant que Big Tech n'aide les gestionnaires de Joe Biden à lui voler les élections, le président de l'époque, Donald Trump, a révélé la vérité: Big Tech contrôle à 100% les informations que nous voyons.
«Les entreprises de technologie sont très malhonnêtes à ce sujet et à propos de la liberté d'expression», a déclaré Trump à Breitbart News.
Il avait raison, comme l'a découvert le chercheur sur les vaccins et le révélateur de la vérité Robert F. Kennedy. Il a récemment été banni d'Instagram après avoir tenté de partager des informations révélatrices sur les vaccins et pourquoi les Américains ne devraient pas croire aveuglément qu'ils sont universellement bons pour l'humanité.
NPR, qui est partiellement financé par les contribuables, a contribué à perpétuer le mensonge sur les raisons pour lesquelles il a été censuré:
Robert F.Kennedy Jr.est maintenant bloqué d'Instagram après avoir sapé à plusieurs reprises la confiance dans les vaccins. Kennedy a également répandu des théories du complot à propos de Bill Gates, l’accusant de profiter des vaccins et de tenter de prendre le contrôle de l’approvisionnement alimentaire mondial.
"Nous avons supprimé ce compte pour avoir partagé à plusieurs reprises des allégations démystifiées sur le coronavirus ou les vaccins", a déclaré jeudi un porte-parole de Facebook, propriétaire d'Instagram, à NPR.
Kennedy est une voix de premier plan dans la communauté anti-vaccins depuis des années, dénonçant les vaccins infantiles et promouvant des affirmations controversées et réfutées qui cherchent à lier les vaccins à l'autisme.
Tout d’abord, ce n’est pas un «anti-vaccin». Kennedy n’est pas autant un «anti-vaccin» qu’il est en faveur de dire la vérité à leur sujet et de laisser les Américains décider eux-mêmes de ce qu’ils veulent faire. C'est particulièrement important maintenant à l'ère des vaccins COVID-19, dont l'un (Johnson & Johnson) a été accusé d'avoir provoqué des caillots sanguins mortels chez plusieurs femmes (mais il a de nouveau été autorisé à être utilisé de toute façon).
De plus, le vaccin fabriqué par Pfizer a récemment été associé à des lésions cérébrales et à des maladies neurodégénératives.
Mais pour une raison quelconque, Kennedy n’a pas le droit de dire à ses partisans ou à quiconque écoutera qu’il existe des dangers inhérents à ces vaccins.
Même la propre famille de Kennedy s’est prononcée contre lui.
«Nous aimons Robert F. Kennedy Jr., mais il fait partie d'une campagne de désinformation qui a des conséquences déchirantes et mortelles», ont écrit Kathleen Kennedy Townsend, Joseph P. Kennedy II et Maeve Kennedy McKean dans un article d'opinion pour Politico, un autre le porte-parole du gouvernement de gauche qui encourage le respect inconditionnel de se faire vacciner.
Pourtant, Kennedy persiste. Il avertit les gens que le vaccin Pfizer en particulier, que la nouvelle technologie d'ARNm utilisée pour le créer et certains des premiers vaccins COVID, n'ont pas été testés et peuvent entraîner de graves problèmes de santé.
«Les vaccins SARS-CoV-2 actuels basés sur l'ARN ont été approuvés aux États-Unis à l'aide d'une ordonnance d'urgence sans tests de sécurité à long terme approfondis», a noté un rapport récent publié dans la revue Microbiology & Infectious Diseases.
Il s'agit d'une publication évaluée par des pairs. Mais Big Tech ne laissera pas Robert F. Kennedy dire la même chose.
La censure par Twitter des critiques des Big Pharma est un phénomène mondial
Mercredi 28 avril 2021 par: Ethan Huff
(Natural News) Jack Dorsey et ses sbires admettent ouvertement qu'ils travaillent maintenant directement avec les dirigeants indiens pour censurer sur Twitter tous les critiques de la mauvaise gestion par le gouvernement de la plandémie du coronavirus de Wuhan (Covid-19).
Tout comme Twitter le fait ici aux États-Unis, la plate-forme de médias sociaux supprime les tweets et interdit les comptes qui suggèrent d'une manière ou d'une autre que le gouvernement indien ne parvient pas à gérer parfaitement la «crise» en utilisant des injections de Big Pharma et d'autres interventions.
L'Associated Press (AP), qui n'est guère digne de confiance au départ, a écrit un article révélant que Twitter s'était conformé à la demande du gouvernement indien de supprimer plus de 50 tweets «qui semblaient critiquer la gestion de la pandémie par l'administration».
"Les messages ciblés incluent des tweets de ministres de l'opposition critiquant Modi, des journalistes et des Indiens ordinaires", ajoute l'article.
Dans le cas où Twitter détermine qu'un tweet est «illégal dans une juridiction particulière», il revendique le droit de «refuser l'accès au contenu» - dans ce cas en «Inde uniquement».
«Le contenu manifestement faux ou trompeur et pouvant entraîner un risque important de préjudice (comme une exposition accrue au virus ou des effets néfastes sur les systèmes de santé publique) ne peut pas être partagé sur Twitter», indique la société dans sa documentation officielle.
«Cela inclut le partage de contenu qui peut induire les gens en erreur sur la nature du virus COVID-19; l'efficacité et / ou l'innocuité des mesures préventives, des traitements ou d'autres précautions pour atténuer ou traiter la maladie; les règlements, restrictions ou exemptions officiels relatifs aux avis de santé; ou la prévalence du virus ou le risque d’infection ou de décès associé au COVID-19. »
Twitter affirme qu'il conserve également le droit «d'étiqueter» tous les tweets qu'il juge contenir «des informations trompeuses sur le COVID-19» afin de «réduire leur propagation et fournir un contexte supplémentaire».
Pour en savoir plus sur la façon dont Big Brother collabore avec Big Tech pour faire taire la vérité en ligne, assurez-vous de consulter Censorship.news.
La tyrannie de Twitter coûte la vie à des dizaines de milliers de personnes Le fait que certaines des informations censurées pourraient protéger les Indiens qui souffrent de la réponse bâclée du gouvernement à la plandémie montre simplement que Twitter contribue également à la mort massive.
Vous pourriez même dire que Twitter est directement responsable d'innombrables vies perdues - des vies qui auraient pu être sauvées si seulement Twitter permettait à la liberté d'expression de circuler sur sa plateforme.
Avec le contenu restreint en Inde, Twitter ne se contente pas d'étiqueter les tweets «offensants». Il les tire activement à la demande du gouvernement, créant un dangereux précédent pour la censure sélective d’informations politiquement incorrectes en ligne.
«C'est le visage des nouveaux censeurs», prévient Jonathan Turley, écrivant pour Technocracy.news.
«L'avenir du contrôle de la parole n'est pas dans le modèle classique des médias d'État, mais dans l'alliance des États avec des géants d'entreprise comme Twitter. Twitter s'engage désormais activement dans ce que les dirigeants démocrates appellent avec approbation une «modification robuste du contenu» pour contrôler les points de vue et la dissidence politique. »
Twitter a également tristement censuré l'ancien président Donald Trump à la demande du sénateur Mazie Hirono (D-HI) et d'autres démocrates d'extrême gauche qui s'opposent au premier amendement et veulent le voir aboli une fois pour toutes.
«Qu'est-ce que vous êtes tous les deux prêts à faire concernant l'utilisation de vos plates-formes par Donald Trump après qu'il aura cessé d'être président, sera toujours considéré comme digne d'intérêt et pourra-t-il toujours utiliser vos plates-formes pour répandre de la désinformation?» Hirono s'est moqué de Mark Zuckerberg et Jack Dorsey lors d'une audience sur la censure de l'année dernière.
Il est vraiment étonnant de voir des entreprises privées de Big Tech prendre facilement en charge les appels à la censure du gouvernement. Ce qui était autrefois des plates-formes ouvertes de partage d'idées sont devenus des «ministères de la vérité» pathétiques pour l'État profond et des chambres d'écho pour les gauchistes dérangés.
Le CDC rapporte un septième cas de caillot sanguin sévère lié au vaccin contre le coronavirus Johnson & Johnson… mais combien d'autres décès ont été manqués ?
Mardi 27 avril 2021 par: Arsenio Toledo
(Natural News) Mercredi 14 avril, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont annoncé avoir appris l'existence d'une septième femme qui avait développé un caillot sanguin sévère après avoir été inoculée avec le vaccin développé par Johnson & Johnson.
Le septième patient possible a été identifié comme une femme de 28 ans. Ce cas n'impliquait pas d'hémorragie cérébrale, comme certains des autres cas l'ont fait. Aucun autre détail à son sujet n'a été rendu public, comme le type de problème de coagulation sanguine dont elle souffre ou la gravité de son état. (Connexes: un homme du New Jersey dans un état critique avec un coronavirus moins d'un mois après avoir reçu le vaccin Johnson & Johnson.)
La révélation du septième cas de coagulation sanguine intervient alors que le Comité consultatif des CDC sur les pratiques d'immunisation (ACIP) débat de la question de savoir si le vaccin Johnson & Johnson doit être utilisé par le public ou arrêté. L'ACIP s'est également réunie pour discuter de la possibilité de faire une recommandation provisoire basée sur l'âge ou le facteur de risque concernant le vaccin.
En fin de compte, le comité est arrivé à la conclusion qu'il avait besoin de plus d'informations, et il a estimé qu'il était inapproprié de publier une déclaration définitive concernant le vaccin Johnson & Johnson.
Plutôt que de tenir un vote sur une décision, l'ACIP a décidé de prolonger la pause recommandée par la Food and Drug Administration et le CDC sur le déploiement du vaccin contre le coronavirus Johnson & Johnson. Au moment de mettre sous presse, le comité n'a fourni aucun détail sur la date de la prochaine réunion et s'il disposera de suffisamment d'informations d'ici là pour prendre une décision.
Si les déclarations des membres individuels du comité sont valables, il est possible que les CDC finissent par autoriser le vaccin Johnson & Johnson de continuer.
«Nous devons mieux comprendre le risque, qui, nous le savons, sera très rare, très faible, mais nous ne savons vraiment pas exactement à quel point», a déclaré le Dr Beth Bell, membre de l'ACIP et professeur de clinique de santé mondiale à l'Université de Washington à Seattle.
Plusieurs autres membres du comité ont exprimé leur inquiétude concernant le retard dans la prise de décision, au milieu du nombre croissant de cas de COVID-19 signalés.
Six autres femmes ont présenté des caillots sanguins après la vaccination de Johnson & Johnson, au moins une morte Avant la révélation du CDC, il avait connu environ six autres femmes qui avaient développé de graves caillots sanguins. On en sait peu sur eux, car le CDC n'a pas publié beaucoup d'informations.
Sur les six autres cas, tous sont des femmes blanches âgées de 18 à 48 ans, avec un âge médian de 33 ans. Trois femmes restent hospitalisées, dont deux en soins intensifs.
En Virginie, une femme de 45 ans qui s'est fait vacciner avec Johnson & Johnson en mars a été hospitalisée 11 jours plus tard avec de graves symptômes indésirables. Elle est décédée le 18 mars.
Une femme de 59 ans sans antécédent connu de maladie coronarienne s'est présentée à l'hôpital sept jours après avoir reçu son injection avec une thrombose veineuse profonde étendue ou un caillot sanguin dans la veine, généralement la jambe. Elle n'a pas récupéré.
Dans le Nebraska, un homme de 48 ans avec des antécédents médicaux que les autorités sanitaires prétendent être «banals» a été emmené aux urgences trois jours après avoir reçu le vaccin Johnson & Johnson. Elle ressentait un inconfort général et des douleurs abdominales depuis qu'elle avait été vaccinée. Elle reste aux soins intensifs.
Une personne de 38 ans s'est présentée à l'hôpital avec une thrombose du sinus veineux cérébral (CVST) ou un caillot sanguin qui se forme dans les couches externes du cerveau. Elle n'a pas récupéré.
Un jeune de 26 ans souffrant d'obésité de la région de Pennsylvanie-New Jersey a été hospitalisé sept jours après avoir reçu le vaccin Johnson & Johnson présentant une sorte de caillot sanguin. Elle a depuis été libérée.
Au Nevada, un jeune de 18 ans avec des antécédents inconnus a été transporté à l'hôpital avec CVST avec hémorragie deux semaines après avoir reçu le vaccin. Elle n'a pas récupéré.
Dans un communiqué publié mercredi, Johnson & Johnson a déclaré que la société soutenait fermement les campagnes de sensibilisation aux effets secondaires potentiels de son vaccin, mais qu'elle continuait de croire «au profil bénéfice-risque positif de notre vaccin».
Apprenez-en davantage sur la dangerosité des vaccins contre le coronavirus en lisant les derniers articles sur Vaccines.news.
La quantité d'aluminium dans les vaccins pour nourrissons «s'apparente à une loterie», selon les chercheurs
Mardi 27 avril 2021 par: Rédacteurs en chef
(Natural News) Le Defender a récemment écrit sur la décision de l'Université de Keele de couper le principal flux de financement - les dons de bienfaisance - pour le groupe de recherche sur l'aluminium de renommée mondiale basé au Royaume-Uni, dirigé par le professeur de chimie bio-organique Christopher Exley, Ph.D.
(Article republié de ChildrensHealthDefense.org)
Conséquence directe des actions de Keele, le laboratoire Exley fermera le 31 août, mettant fin à trois décennies de recherche indépendante et de pointe élucidant les effets de l’aluminium sur la santé tout au long de la vie humaine.
Même face à la fermeture imminente de leur laboratoire, le groupe Exley continue de publier et d’ajouter à sa liste déjà impressionnante d’environ 200 publications.
Les deux dernières études des chercheurs - l'une portant sur la teneur en aluminium largement non contrôlée des vaccins pour nourrissons, l'autre sur la forte association de l'aluminium dans la maladie d'Alzheimer familiale - soulignent pourquoi la recherche indépendante est si importante et si menaçante pour le statu quo.
L'aluminium dans les vaccins pour nourrissons - «s'apparente à une loterie»
L'une des études, publiée dans le Journal of Trace Elements in Medicine and Biology, a révélé que la quantité d'aluminium qu'un nourrisson reçoit dans un vaccin, loin d'être prévisible ou contrôlée, semble «s'apparenter à une loterie».
Le groupe a analysé la teneur en aluminium de 13 vaccins pour nourrissons fabriqués par GlaxoSmithKline, Merck, Sanofi Pasteur et Pfizer. Dans 10 des 13 vaccins, la quantité mesurée d'aluminium ne correspondait pas à la quantité d'aluminium déclarée par les fabricants dans les brochures d'information destinées aux patients. L'analyse des vaccins et des lots de vaccins a révélé ce qui suit:
Six des vaccins (environ la moitié), y compris Prevnar 13 de Pfizer, contenaient une quantité statistiquement plus importante d’aluminium par rapport aux données du fabricant. Quatre des vaccins en contenaient beaucoup moins. Pour chaque marque de vaccin, la fourchette de teneur en aluminium «variait considérablement». Ni l'Agence européenne des médicaments ni la Food and Drug Administration des États-Unis n'ont pu confirmer qu'elles mesuraient de manière indépendante ou systématique la teneur en aluminium des vaccins pour nourrissons, indiquant plutôt qu'elles se fondaient sur les données (erronées) des fabricants. Ces résultats «non rassurants» suggèrent, selon les chercheurs, «que les fabricants de vaccins ont un contrôle limité sur la teneur en aluminium de leurs vaccins» et la teneur en aluminium «des vaccins individuels dans les lots de vaccins varient considérablement».
Compte tenu de la neurotoxicité connue de l’aluminium, les chercheurs ont également souligné que nous «ne pouvons pas nous permettre d’être complaisants face à son injection aux nourrissons» - une position que le groupe Exley a maintes fois soulignée et qui est partagée par d’autres experts.
L’aluminium dans la maladie d’Alzheimer familiale
La deuxième étude, publiée dans le Journal of Alzheimer’s Disease Reports, s’appuie sur le vaste corpus de travail du groupe Exley liant l’aluminium à la maladie d’Alzheimer. La nouvelle étude se concentre sur les cas de maladie d'Alzheimer familiale, qui est motivée par des prédispositions qui courent dans les familles.
La Mayo Clinic définit la maladie d'Alzheimer jeune ou précoce comme des cas qui affectent des personnes de moins de 65 ans. La nouvelle étude Exley examine le tissu cérébral humain de trois donneurs familiaux colombiens atteints de la maladie d'Alzheimer précoce (âgés de 45, 57 et 60 ans).
Dans les trois cas, les chercheurs ont observé des «cellules neuronales chargées d'aluminium» et noté la co-localisation «sans équivoque» de l'aluminium avec des enchevêtrements neurofibrillaires dans plusieurs régions du cerveau. Les enchevêtrements neurofibrillaires (formés par la protéine tau mal repliée à l'intérieur des cellules cérébrales) sont une caractéristique importante et un biomarqueur de la maladie d'Alzheimer.
La conclusion du groupe Exley, qui concorde avec leurs autres études sur les tissus cérébraux et la neurodégénérescence - y compris des résultats montrant des niveaux extraordinairement élevés d'aluminium dans les tissus cérébraux de l'autisme - est que «ces données soutiennent les associations complexes de l'aluminium dans la neuropathologie de la maladie d'Alzheimer familiale. ]. »
Jeunes et vieux à risque
Ces dernières années, l’industrie américaine de l’assurance a signalé une augmentation de 200% des cas de démence diagnostiquée et d’Alzheimer chez les jeunes adultes. Des chercheurs britanniques qui ont examiné les tendances de la démence sur 20 ans aux États-Unis et dans d'autres pays occidentaux ont rapporté dans une étude de 2015 en neurologie chirurgicale que les démences commencent «une décennie plus tôt qu'auparavant».
Reconnaissant qu'environ neuf cas d'Alzheimer d'apparition précoce sur 10 n'ont aucune explication génétique, Exley a suggéré dans des travaux antérieurs que l'aluminium peut agir comme un catalyseur de la maladie d'Alzheimer précoce chez les individus «sans prédispositions concomitantes, génétiques ou autres». Il propose de considérer la maladie d'Alzheimer comme «une réponse aiguë à une intoxication chronique par l'aluminium».
Comme le fait remarquer le groupe Exley dans son nouvel article sur les vaccins pour nourrissons, les adjuvants d'aluminium contenus dans les vaccins déclenchent le tic-tac d'une charge corporelle à vie en aluminium.
Constatons-nous certains des effets de ce fardeau corporel chez les jeunes adultes dans la trentaine et la quarantaine qui représentent maintenant 15% des personnes diagnostiquées avec la maladie d'Alzheimer et la démence?
Le groupe Exley demande également quelles sont les implications pour la santé à long terme des enfants lorsque les bébés reçoivent beaucoup plus d'aluminium dans leurs vaccins que les quantités que les fabricants et les régulateurs (sans données convaincantes) proclament «sans danger»?
Si les universités continuent de bloquer le financement de la recherche vitale, il peut devenir de plus en plus difficile de répondre à ces questions très importantes.
Read more at: ChildrensHealthDefense.org and Vaccines.news.
Total WAR on FOOD visant les éleveurs à interdire toutes les formes de viande, y compris les bovins et les poulets de basse-cour
Mardi 27 avril 2021 par: Mike Adams
(Natural News) La guerre totale contre l'approvisionnement alimentaire est maintenant en cours avec une initiative de vote dans l'Oregon visant à criminaliser toutes les formes de production de viande, y compris les bovins et les poulets de basse-cour. En vertu de la nouvelle loi proposée, la viande ne pouvait être récoltée sur les animaux qu'après leur mort de «causes naturelles», ce qui impliquerait de récolter la viande d'animaux âgés et malades. Des hamburgers contre le cancer, quelqu'un ?
Cet effort pour criminaliser toutes les formes d'élevage et de production d'aliments pour animaux fait partie de la folie insensée des emplois d'écrous de gauche qui veulent également interdire les moteurs à combustion et polluer la stratosphère pour bloquer le soleil et réduire l'approvisionnement alimentaire mondial. En résumé, les attaques contre l'abondance alimentaire sont conçues à partir de plusieurs vecteurs, notamment:
Efforts législatifs pour criminaliser l'élevage d'animaux et la production de viande. Efforts de géo-ingénierie / terraformation pour bloquer le soleil et bloquer la photosynthèse des cultures vivrières. La législation fédérale s'efforce d'interdire les moteurs à combustion et de mettre fin à toutes les formes d'agriculture moderne avec des tracteurs. Les initiatives de Mark of the Beast pour lier les achats de nourriture à des scans biométriques de votre paume, afin de limiter les achats de nourriture selon de nouvelles règles alimentaires tyranniques poussées par un gouvernement totalitaire. Poursuite des efforts pour interdire le jardinage de la cour avant et de la cour arrière. Les lois des États interdisant le transport des semences de jardin. C'est déjà un énorme problème à l'échelle nationale. En vérité, les libéraux idiots n'ont aucune idée d'où vient vraiment la nourriture - même la nourriture «végétalienne» -. Dans cette vidéo hilarante, Quick Dick McDick explique que la margarine provient en grande partie de l'huile de canola qui est cultivée, récoltée, transformée et transportée à l'aide de carburant diesel, et non de «pets de licorne».
Les gauchistes détruisent tout ce qu'ils touchent, puis ils se demandent pourquoi la vie est si mauvaise Alors que les gauchistes fous continuent de détruire la civilisation humaine, ils semblent ne pas savoir pourquoi le monde qu’ils ont créé est si nul. Lorsqu'ils détruisent des économies, ils se demandent pourquoi tant de personnes sont sans emploi. Lorsqu'ils détruisent la santé, ils se demandent pourquoi tant de gens sont malades. Et quand ils détruisent l'approvisionnement alimentaire, ils se demandent pourquoi tant de gens meurent de faim.
Si nous voulons vraiment créer un monde sans souffrance, la vraie réponse est de détruire les démocrates et d'arrêter leur guerre contre l'humanité.
La mise à jour de la situation d’aujourd’hui est une interprétation particulièrement scandaleuse de l’assaut coordonné contre l’approvisionnement alimentaire. J'y discute de toutes sortes de choses bizarres, y compris la récolte de sperme de taureau, que les gauchers de l'Oregon veulent définir comme une «agression sexuelle».
Et pourtant, les mêmes fous de gauche qui veulent interdire l'abattage d'animaux sont ravis d'abattre des bébés humains par avortement. Parce qu’il n’y a personne plus inconscient des droits de l’homme qu’un défenseur des droits des animaux, semble-t-il. Ils soutiennent également la mutilation des organes génitaux de jeunes humains, car la castration chimique des jeunes garçons au nom du «progressisme» LGBT est considérée comme une chose positive par ces fous, mais castrer un taureau sera bientôt un acte criminel.
Comme je l'explique dans le podcast d'aujourd'hui, si vous voulez vraiment mettre fin à la souffrance dans le monde, commencez à protéger les bébés humains contre le massacre par Planned Parenthood. Et arrêtez de voter pour des démocrates fous qui veulent détruire tout ce qui fait vibrer la civilisation humaine.
Une Québécoise morte d’une thrombose liée au vaccin d’AstraZeneca
mardi 27 avril 2021
Combien de cas d'effets indésirables graves liés aux vaccins seront rapportés, d'abord, par les soignants?
Combien d'effets indésirables graves seront reconnus et rapportés par les autorités alors que l'adhésion à la vaccination est chambranlante, surtout dans les prochaines tranches d'âges à être vaccinées?
Permettez-moi de croire que seul un infime pourcentage d'accidents post-vaccinaux sera rapporté par les autorités de Santé publique pour ne pas créer la crainte et l'aversion envers les vaccins.
Dr Vernon Coleman : "tous les vaccinés commenceront à mourir à l’automne"
27 avril 2021
Si vous lisez mes articles depuis un certain temps, vous savez que je n’exagère jamais. Vous savez également que, depuis un an, mes prévisions, évaluations et interprétations se sont montrées exactes.
Maintenant, plus que jamais, j’ai besoin de votre aide. Si nous ne travaillons pas ensemble, nous sommes condamnés. J’ai besoin de votre aide parce que nous devons toucher des millions de personnes avec cet article. Et comme les grandes plateformes et les grands médias m’ont banni, je ne peux pas atteindre ces millions de personnes sans vous.
Je crois que cet article est le plus important que vous n'aurez jamais lu. Vous devez le partager.
Vous souvenez-vous de cette vidéo dans laquelle Bill et Melinda Gates, assis et souriants, expliquaient que la prochaine pandémie ferait réagir les gens ?
Eh bien, je pense savoir ce qui va se passer. Nous savons tous que l’élite maléfique, les promoteurs de l’Agenda 21 et du Great Reset, ont depuis le début l’intention de tuer entre 90 et 95 % de la population mondiale.
Malheureusement, je crains qu’il soit probablement trop tard pour sauver beaucoup de ceux qui ont été vaccinés. Des millions de personnes sont condamnées et je crains que beaucoup ne meurent au prochain contact avec le coronavirus.
Quelque chose a sérieusement mal tourné dans les plans de l’élite
Et le résultat est que maintenant, ceux d’entre nous qui n’ont pas été vaccinés semblent également être en grand danger. Nous devons maintenir notre système immunitaire en parfait état en mangeant sainement et en prenant des suppléments de vitamine D. Nous devrons peut-être, à un moment donné, nous tenir à l’écart de ceux qui ont été vaccinés. Je pense qu’ils représentent désormais un danger très réel pour la survie de l’espèce.
Depuis plus longtemps que je n’aime y penser, je mets en garde contre les dangers des vaccins contre le covid-19. Je sais qu’ils ne devraient pas vraiment être appelés vaccins (bien qu’une définition officielle ait été modifiée pour les accueillir) mais si je les appelle thérapie génique, les personnes que nous essayons d’atteindre, à qui l’on a dit qu’il s’agissait de vaccins, ne sauront pas de quoi je parle.
Il y a presque exactement un an, j’ai prévenu que la raison pour laquelle le risque de coronavirus était exagéré était en partie la mise en place d’un programme de vaccination obligatoire.
La fausse pandémie de covid-19 a été créée, en partie, pour trouver un prétexte à la vaccination, afin que le vaccin soit proposé comme la solution à la prétendue menace posée par le covid-19.
Depuis des mois je préviens que les vaccins expérimentaux sont dangereux et produisent de nombreux effets secondaires potentiellement mortels. Les célébrités, et de nombreux médecins, ont tort de se montrer rassurants. J’ai suggéré que les vaccins pourraient tuer plus de personnes que le covid-19.
Mais il semble maintenant probable que les vaccins puissent être responsables aussi de la mort de centaines de millions de personnes qui n’ont pas été vaccinées.
Sur le long terme, j’ai toujours pensé que la fraude du covid-19 avait été planifiée dans un but précis : tuer le plus grand nombre possible de personnes âgées et fragiles et introduire les vaccinations obligatoires. C’est ce que j’ai dit dans ma première vidéo à la mi-mars 2020. Il y avait aussi, bien sûr, le plan de détruire puis de réinventer l’économie pour satisfaire aux exigences de l’Agenda 21 et de la Grande Réinitialisation.
Quelques jours après la première parution de cette vidéo, j’ai été furieusement attaqué sur Internet. Ma fiche Wikipédia a été radicalement modifiée. Les détails de tous mes livres, séries télévisées et chroniques ont été supprimés. J’ai été décrit comme un théoricien de la conspiration. J’ai réalisé une vidéo expliquant comment ma fiche Wikipedia a été modifiée pour me diaboliser et me discréditer. Beaucoup d’autres personnes qui ont remis en question la ligne officielle sur le covid-19 ont subi les mêmes tourments. Et, bien sûr, la BBC et la presse nationale se sont jointes à eux en attaquant ceux qui osent remettre en question la ligne officielle en diffusant des vérités irrecevables.
Mais je crains maintenant que les fous génocidaires, les cavaliers de l’Apocalypse qui ont planifié cette fraude, nous conduisent à l’Armageddon.
J’ai longtemps cru que les architectes de cette fraude s’attendaient à ce que des millions de personnes meurent.
Cependant, je crois maintenant que les esprits maléfiques qui ont créé cette fraude ont dramatiquement sous-estimé le danger des vaccins expérimentaux qu’ils ont promus avec tant de vigueur. Des millions de personnes qui ont reçu l’un des vaccins covid-19 peuvent mourir à la suite de ces vaccinations. Je vais expliquer comment et pourquoi.
La fraude a commencé avec les prédictions délirantes de Ferguson, de l’Imperial College. Ferguson est un modélisateur mathématique dont les antécédents sont épouvantables. Les personnes qui ont organisé la fraude savaient que les prédictions de Ferguson étaient absurdes. Ils devaient savoir que les antécédents de Ferguson étaient déplorables. Mais ses prédictions ont néanmoins été utilisées comme prétexte pour les confinements, l’éloignement social, les masques et la fermeture des écoles et des services hospitaliers. C’était de la folie pure. La chose logique à faire était d’isoler les personnes atteintes de l’infection – de la même manière qu’on dit aux personnes atteintes de la grippe de rester chez elles – et de protéger les personnes les plus vulnérables, principalement les personnes âgées souffrant de troubles cardiaques ou thoraciques. Mais les politiciens et les conseillers ont tout fait de travers. Et ceux qui ont remis en question ce qui se passait ont été diabolisés et réduits au silence.
Le fait est que le système immunitaire des personnes en bonne santé est renforcé par les interactions avec les autres. Les enfants et les jeunes adultes en bonne santé ont un système immunitaire très puissant. Seules les personnes âgées sont les plus susceptibles d’être menacées par un nouveau virus.
Et pourtant, les politiciens du monde entier et leurs conseillers nous ont délibérément entraînés dans un programme de vaccination de masse.
À l’origine, on a assuré au public que seul un vaste programme de vaccination lui permettrait de regagner certaines de ses libertés perdues. Cela a toujours été un dangereux non-sens.
Cependant, les vaccins expérimentaux qui ont été approuvés si rapidement n’ont jamais eu l’effet escompté. Ils n’ont pas été conçus pour prévenir l’infection ou la transmission. Les vaccins n’empêchent pas les gens de contracter le covid-19 et ils ne les empêchent pas de le transmettre s’ils le contractent. Les vaccins aident simplement à limiter la gravité des symptômes pour certaines personnes qui ont reçu l’injection. Ce n’est pas ce que la plupart des gens croient, bien sûr. La majorité des personnes qui ont été vaccinées pensent qu’elles ont été protégées contre l’infection. C’était une autre fraude.
En dehors du fait assez important qu’ils ne font pas ce que les gens pensent qu’ils font, il y a trois énormes problèmes avec les vaccins :
Le premier problème, bien sûr, est que ces vaccins expérimentaux se sont déjà révélés être dangereux – ils ont déjà tué de nombreuses personnes et provoqué des effets secondaires graves chez beaucoup d’autres. On peut juger de l’ampleur de ce problème par le fait que même les autorités admettent que probablement seul un décès et un effet secondaire grave liés aux vaccins sur 100 sera signalé. Il est impossible d’estimer combien mourront de problèmes d’allergies, de troubles cardiaques, d’accidents vasculaires cérébraux, de problèmes neurologiques ou combien seront aveugles ou paralysés. Il existe sur mon site web une liste de personnes dont on sait qu’elles ont été blessées ou malades à cause du vaccin, c’est une liste terrifiante à lire. Le nombre de décès est terrifiant, mais la plupart des autorités continuent d’insister sur le fait qu’il ne s’agit que de coïncidences. Lorsqu’une personne décède dans les 60 ou 28 jours suivant un test positif au covid-19 – même si le résultat du test était faux – elle est automatiquement traitée comme un décès dû au covid-19, pour faire grimper les chiffres. Mais lorsque des jeunes gens en bonne santé meurent quelques heures après avoir été vaccinés, ces décès sont considérés comme de simples coïncidences. Quelles tragiques coïncidences !
Le deuxième problème est celui du système immunitaire, connu sous le nom d’amorçage pathogène ou de tempête de cytokines. Ce qui se passe, c’est que le système immunitaire de la personne qui a été vaccinée, sera préparé à réagir de manière dramatique si cette personne entre en contact avec le virus à l’avenir. Le résultat peut être catastrophique et c’est ce que je crains de voir se produire à l’automne et au cours de l’hiver prochain. Les personnes qui ont été vaccinées vont avoir de gros problèmes lors de leur prochain contact avec un coronavirus. Leur système immunitaire réagira de manière excessive et c’est probablement à ce moment-là qu’il y aura de nombreux décès.
Les patients n’ont pas été officiellement avertis de ce problème, bien que les preuves aient été publiées dans l’International Journal of Clinical Practice d’octobre 2020. L’article s’intitule « Divulgation aux sujets des essais de vaccins, lors du consentement éclairé, du risque d’aggravation de la maladie clinique par les vaccins covid-19 ».
Mais il n’y a pas eu de consentement éclairé pour les patients et je soupçonne que la plupart des médecins restent ignorants des risques.
Les personnes âgées et celles dont le système immunitaire est faible sont particulièrement susceptibles de mourir. Et qu’est-ce qui vous donne un mauvais système immunitaire ? Porter un masque, s’isoler des autres et ne pas prendre suffisamment de soleil sont trois causes évidentes. Boire trop d’alcool et fumer trop de tabac en étant assigné à résidence n’aide pas.
Les décès supplémentaires surviendront probablement à l’automne, lorsque les personnes vaccinées sont le plus susceptibles d’être exposées au virus. C’est en automne et en hiver que le coronavirus se propage le plus rapidement.
En raison de l’épidémie de maladies et de décès qui se produira, les gouvernements commenceront à promouvoir la prochaine série de vaccinations. Il sera beaucoup question de mutations, bien sûr, et de nouveaux vaccins préparés à la hâte seront produits et fortement promus par des célébrités qui ne connaissent rien à la médecine ou aux vaccins. Les médecins qui comprennent les dangers et qui ont des doutes sur les vaccins seront, comme d’habitude, réduits au silence.
Étonnamment, je crois que les personnes à l’origine de cette fraude savaient que cela se produirait. Cela faisait partie de leur plan diabolique.
Ils savaient qu’il y aurait une augmentation des décès à l’automne et l’hiver prochain. Ils ont toujours prévu de mettre ces décès sur le compte d’une nouvelle version du covid-19 – l’une des milliers de mutations qui existeront à l’automne. Je soupçonne depuis longtemps qu’ils finiront par promouvoir les vaccinations tous les deux mois – ou même plus fréquemment, tous les mois ou presque. À l’origine, j’ai utilisé le mot « canular » pour critiquer la réaction à une infection virale de type grippal. La réponse a été exagérée.
Je soupçonne que c’est ce qui faisait sourire Bill et Melinda Gates lorsqu’ils ont laissé entendre que nous ne prendrions peut-être pas la première pandémie au sérieux, mais que nous traiterions la prochaine pandémie bien plus sérieusement.
Et je crois qu’eux, et tous les autres impliqués dans cette fraude, ont supposé qu’ils seraient parfaitement en sécurité parce qu’ils n’auraient pas réellement les vaccins. Je soupçonne qu’une partie de l’élite, et des célébrités les plus importantes, ont reçu un placebo au lieu d’un des vaccins expérimentaux.
Ils ne risqueront pas de mourrir du vaccin, d’être gravement malades ou de développer une pathologie – et d’être ensuite incroyablement vulnérables la prochaine fois qu’ils entreraient en contact avec un virus.
Je pense que l’élite pensait qu’elle était en sécurité. Je pense qu’ils ont conçu un plan qui entraînerait des millions de morts mais qui ne leur ferait pas de mal.
Je crois qu’ils ont fait une énorme et cruciale erreur
Et cela nous amène au troisième problème – un problème auquel il ne s'attendaient pas.
Ce problème vient d’être exposé par le Dr Geert Vanden Bossche, un éminent spécialiste des vaccins. En fait, j’étais initialement sceptique quant à ses propos, car le Dr Bossche a travaillé auparavant avec GAVI et la Fondation Gates. Il est la dernière personne au monde qui serait opposée à la vaccination.
Le Dr Bossche a souligné que les vaccins utilisés actuellement ne sont pas les bonnes armes à utiliser dans la guerre contre cette infection virale.
En vaccinant des millions de personnes, nous poussons le virus à muter et à devenir plus fort et plus mortel. Essayer de concevoir de nouveaux vaccins pour de nouvelles mutations ne fait qu’aggraver la situation, car les scientifiques ne peuvent pas devancer les virus mutants. Et les personnes qui ont été vaccinées partagent maintenant des virus mutés avec leur entourage. Les mutations deviennent plus fortes et plus mortelles.
La fin des mesures de confinement sera parfaitement synchronisée pour garantir que les nouvelles mutations du virus covid-19 se répandent largement.
Il y a aussi un autre problème associé.
Normalement, notre corps contient des globules blancs qui nous aident à vaincre les infections. Des cellules appelées cellules NK – NK signifie natural killers (tueurs naturels) – aident à éliminer les mauvaises cellules qui nous envahissent. Une fois que les cellules NK ont fait leur travail, les anticorps apparaissent et nettoient les dégâts.
Cependant, le Dr Bossche explique que les vaccins contre le covid-19 déclenchent la production d’anticorps très spécifiques qui entrent en compétition avec les défenses naturelles des personnes qui ont reçu les vaccins.
Les systèmes de défense naturels des personnes vaccinées sont supprimés parce que les anticorps spécifiques qui ont été produits par le vaccin prennent le dessus.
Et ces anticorps spécifiques, ceux produits par les vaccins, sont permanents. Ils sont là pour toujours dans le corps des vaccinés.
Le résultat désastreux est que le système immunitaire naturel des dizaines ou centaines de millions de personnes qui sont vaccinées est effectivement détruit.
Leur système immunitaire ne sera pas en mesure de combattre une quelconque variation mutée du virus qui se développe dans leur corps. Et ces virus mutés peuvent se propager dans la communauté. Je pense que c’est la raison pour laquelle de nouvelles variations du virus apparaissent dans les régions où le vaccin a été administré à un grand nombre de personnes.
L’essentiel est que l’administration des vaccins donne au virus l’occasion de devenir infiniment plus dangereux. Chaque personne vaccinée a le potentiel de devenir un meurtrier de masse car son corps devient un laboratoire de fabrication de virus mortels. Et pire encore, certains des individus vaccinés peuvent devenir des porteurs asymptomatiques – propageant des virus mortels autour d’eux.
Et les personnes qui ont reçu le vaccin ne pourront pas réagir aux mutations parce que leur système immunitaire a été pris en charge par un système de défense artificiel, qui leur a été donné par le vaccin et qui a été conçu pour combattre la forme originale du virus covid-19. Les individus vaccinés vont être très exposés lorsque les nouvelles mutations commenceront à se propager. Leur corps est en permanence et exclusivement orienté vers la défense contre une forme du virus qui devient rapidement obsolète.
L’administration de nouveaux vaccins ne servira à rien, car le virus muté ne sera pas vulnérable. Les scientifiques qui fabriquent les vaccins ne seront pas en mesure de devancer les mutations du virus. Cela aurait dû être prévu. C’est pourquoi les vaccins contre la grippe sont souvent inefficaces.
Les politiciens et leurs conseillers vont mentir et accuser ceux qui n’ont pas été vaccinés d’être responsables du développement de nouvelles mutations et de l’augmentation du nombre de décès qui va se produire.
Mais si le Dr Bossche a raison, et je le crois, ce sont les personnes vaccinées qui vont menacer l’humanité. Ils seront une menace majeure pour tous ceux qui ont été vaccinés. Mais ils seront également une menace majeure pour les personnes non vaccinées, car les virus qu’ils excrètent sont plus dangereux que le virus original.
Nous sommes en territoire très dangereux
Si nous n’arrêtons pas ce programme de vaccination maintenant, il n’est pas exagéré de dire que l’avenir même de l’humanité est en danger.
C’est à cela que pensaient ceux qui ont essayé de nous vendre la Grande Réinitialisation ?
Je ne sais pas.
Peut-être que leur but depuis le début était de tous nous tuer.
Ou peut-être que leur complot diabolique est devenu incontrôlable. Au Royaume-Uni, Ferguson, Hancock, Whitty et Vallance m’ont toujours semblé être les mauvaises personnes pour diriger la réponse de la nation. Aux États-Unis, je pense que le Dr Fauci n’était pas la bonne personne.
J’ai toujours craint qu’ils aient été choisis parce qu’ils ne sont pas les bonnes personnes. Tout ce qu’ils ont fait était mauvais pour nous, mais bon pour eux et pour la cabale diabolique qui promeut l’Agenda 21 et la Grande Réinitialisation.
L’insistance à supprimer le libre débat nous a conduit directement dans cet abîme. Aucune de ces personnes n’aurait dû être autorisée à exercer un tel contrôle sur nos vies, mais en supprimant toute opposition interrogative d’une manière jamais vue auparavant et en supprimant les faits, les médias grand public et les géants de l’Internet ont rendu les choses infiniment pires. Pensent-ils qu’ils vont être en sécurité ?
Il existe un risque réel qu’au lieu de tuer 90 à 95 % des gens, comme l’élite maléfique le souhaitait à l’origine, ils tuent tout le monde par erreur; ils pourraient anéantir l’humanité.
Nous avons très peu de temps pour nous sauver. Nous devons renforcer notre système immunitaire et, ironiquement, il est possible que nous devions nous tenir à l’écart des personnes qui ont été vaccinées. Je rédigerai un article d’ici une semaine sur la façon dont vous pouvez renforcer votre système immunitaire.
Maintenant, voyez-vous pourquoi cet article est le plus important que j’ai écrit sur le covid-19 et le plus important que vous ayez jamais vu ?
Je ne peux pas atteindre les médias grand public qui suppriment tout simplement la vérité et refusent tout débat ou discussion. YouTube, par exemple, n’accepte pas les vidéos qui remettent en question tout ce qui est promu par l’establishment du mal.
Envoyez donc cet article aux médecins et aux journalistes, aux amis et aux parents. Partagez, partagez, partagez. Peut-être pourrons-nous persuader les personnes au pouvoir qu’elles ne sont pas à l’abri du désastre qui s’annonce. Vous pouvez partager facilement à partir d'ici.
J'espère que le Dr Bossche a tort. J'espère que je me trompe.
Mais tout dans cet article doit être examiné. Et si ces craintes ne sont pas rendues publiques et étudiées, alors nous saurons avec certitude que le plan est de tuer autant d'entre nous que possible. Il ne peut y avoir d'autre conclusion.
Un astéroïde a frappé la Terre en 2018, et maintenant nous savons d'où il vient.
marseillenews.net mer., 28 avr. 2021 22:26 UTC asteroide 2018 vesta
Lorsqu'un morceau de roche spatiale parvient à la surface de la Terre, il y a toujours une question de savoir d'où il provient. Les scientifiques sont devenus assez bons pour retracer la source de divers morceaux de débris spatiaux en fonction de la composition de la roche ainsi que de la position de la Terre et de la direction de la roche dans l'espace lorsqu'elle a rencontré notre planète. En 2018, un astéroïde qui était suivi dans l'espace a entraîné des débris qui ont impacté la Terre au Botswana en Afrique australe. Après la découverte de la roche, les chercheurs ont commencé la tâche de retracer ses origines, et un nouvel article publié dans Meteoritics and Planetary Science fournit leurs conclusions.
Selon les scientifiques, l'astéroïde provient probablement d'un astéroïde massif sur lequel les astronomes surveillent depuis un certain temps. La roche spatiale est connue sous le nom de Vesta, et c'est le deuxième plus grand astéroïde connu de notre système solaire. L'histoire de Vesta est obscurcie par le mystère, mais on pense que les impacts sur la surface de l'astéroïde ont créé de nombreux débris et il semble que l'un de ces morceaux ait trouvé son chemin vers la Terre.
Les morceaux de l'astéroïde qui a atterri au Botswana étaient relativement minuscules. L'astéroïde qui leur a donné naissance est apparu comme un éclair de lumière dans une étude du ciel menée par l'Université de l'Arizona, et lorsqu'il a atteint la Terre, il s'est fragmenté et les débris sont tombés dans la réserve de gibier du Kalahari central. Les chercheurs ont parcouru la zone et ont trouvé un total de 23 météorites.
"La combinaison des observations du petit astéroïde dans l'espace avec les informations glanées des météorites montre qu'il provenait probablement de Vesta, deuxième plus grand astéroïde de notre système solaire et cible de la mission DAWN de la NASA", a déclaré Peter Jenniskens, chef de l'étude, dans un déclaration. «Il y a des milliards d'années, deux impacts géants sur Vesta ont créé une famille d'astéroïdes plus gros et plus dangereux. Les météorites récemment récupérées nous ont donné un indice sur le moment où ces impacts auraient pu se produire. »
Le suivi des débris était un défi car les observations n'ont été faites que peu de temps avant que la roche n'atteigne la Terre. Une fois cela fait, les scientifiques ont dû rechercher des séquences vidéo qui leur offraient des indices sur l'endroit où les débris se posaient.
Une fois les échantillons trouvés, l'étude du matériau rocheux a commencé. Après une longue enquête qui a aidé à vieillir la roche et à réduire ses origines possibles, les chercheurs sont finalement arrivés à la conclusion qu'elle provenait d'un impact avec Vesta. De plus, les débris auraient été arrachés de Vesta lors d'un impact avec un autre corps il y a environ 22 millions d'années.
La science du suivi de la source des astéroïdes s'est développée à pas de géant ces dernières années. Il est incroyable de penser que les chercheurs peuvent réellement retracer l'origine d'une roche spatiale après avoir déjà frappé la Terre. Ces types de projets de recherche nous aident à en apprendre davantage sur notre système solaire et tout le matériel qu'il contient, et pourraient ouvrir de nouvelles voies de recherche sur la formation d'astéroïdes.
Opération Recipharm : une innovation en trompe-l’œil
RépondreSupprimerInjecter de l’argent public dans une opération de sous-traitance n’est certainement pas un moyen de rattraper le retard pris par notre pays dans la course à l’innovation en matière de santé.
Par Pierre Robert
28 AVRIL 2021
Quand Philippe Katerine chante la liberté, ses paroles sont choquantes mais sonnent vraies : Liberté, mon cul !
Sous couvert d’encouragement à l’innovation, l’opération Recipharm sponsorisée par le gouvernement français y fait irrésistiblement penser.
L’ART DE NOUS FAIRE PRENDRE LES VESSIES POUR DES LANTERNES
Le 22 avril dernier Agnès Panier-Runacher, secrétaire d’État à l’Économie, a annoncé sous couvert d’une opération de financement de l’innovation que l’État allait investir 35 millions d’euros dans l’usine du groupe suédois Recipharm située à Monts en Indre-et-Loire. Cette société privée est un façonnier pharmaceutique très présent sur le marché des traitements injectables. Son usine de Monts est l’un des quatre sites qu’elle possède en France.
Recipharm y intervient pour exécuter le contrat signé avec la firme Moderna qui lui a confié la fabrication de doses de son vaccin anti-Covid. Si cette biotech américaine a pu le mettre au point dans ses laboratoires américains, c’est grâce à des financements américains et en lien étroit avec les ressources de l’Université Harvard qui lui ont permis de maîtriser la technologie révolutionnaire de l’ARN messager.
Recipharm n’est ici qu’un sous-traitant qui espère, à partir du mois de juin, pouvoir produire chaque mois 10 millions de doses en transformant deux de ses lignes de production. Le coût de l’opération est évalué à 50 millions d’euros. Moderna n’en finance que deux millions. L’essentiel de cette dépense réalisée pour financer non l’innovation mais un investissement entrant dans le champ normal d’action d’une entreprise privée est donc pris en charge par l’État français.
Reste à comprendre pourquoi.
UNE PRÉSENTATION TROMPEUSE
Selon notre Secrétaire d’État à l’économie :
Nous n’avons pas financé l’innovation depuis 30 ans, et nous l’avons payé. Beaucoup de sites ont fermé. Depuis trois ans, nous renversons la vapeur. À la faveur de cette crise, nous avons les moyens d’accélérer les choses avec le plan de relance.
Le diagnostic est juste mais injecter de l’argent public dans une opération de sous-traitance n’est certainement pas un moyen de rattraper le retard pris par notre pays dans la course à l’innovation en matière de santé.
Ce retard est de fait flagrant.
Pour comprendre les raisons du décrochage de la France, il faut remonter à 2003 et aux discussions sur la révision de la Loi de bioéthique de 1994.
RépondreSupprimerDans l’émotion du moment, alors que la secte des Raéliens prétend maîtriser le clonage reproductif, lors d’une intervention devant le Collège de France le Président Chirac dénonce violemment les « chercheurs dévoyés qui renouent avec les fantasmes eugénistes qu’on aurait voulu voir disparaître avec les totalitarismes » ainsi que les « laboratoires sans scrupule qui se livrent à l’expérimentation prématurée de nouvelles molécules ».
Avec le gouvernement, il pousse à l’adoption le 6 août 2004 d’une loi réglementant la recherche de façon très restrictive. Elle interdit en effet le clonage humain à but thérapeutique (7 ans de prison et 100 000 euros d’amende) et proscrit la recherche sur les embryons ou les cellules souches embryonnaires. Elle entérine aussi le refus de l’appropriation d’un gène ou d’une séquence génétique, alors qu’une directive européenne n’exclut pas ces formes de brevetabilité du vivant.
En se cumulant avec l’inscription dans la Constitution du principe de précaution, cette loi pousse nos meilleurs chercheurs à poursuivre leurs travaux à l’étranger et signe le déclin de la recherche médicale française. C’est ce que confirme une note récente du Comité d’Analyse Économique (CAE) au titre révélateur : « Innovation pharmaceutique : comment combler le retard français ? »
Ses rédacteurs montrent clairement comment et pourquoi la recherche française en santé a régressé en passant à côté de l’essor des biotechnologies. Soutenir la production d’une usine de conditionnement n’a rien à voir avec la nécessité de rattraper un tel retard. En revanche, ce soutien est bien la traduction d’un autre mal français qui est la sur-administration de notre économie livrée aux voltefaces de la puissance publique.
DE VRAIES CARENCES
Si entre 2010 et 2019, les crédits de la recherche en santé n’ont cessé de diminuer, les coûts de fonctionnement des administrations publiques et les dépenses de transfert n’ont quant à elle cessé de progresser.
En 2019 les dépenses de santé dans notre pays s’élevaient à 11,2 % du PIB contre 9,8 en Grande-Bretagne et 9,9 % aux Pays-Bas. Cet écart représente plus de 30 milliards d’euros de dépenses supplémentaires pour des résultats en termes socio-démographiques qui ne sont pas meilleurs. Ce chiffre est l’un symptôme des dérives structurelles dont souffre notre système de santé qui doit supporter les coûts de sa sur-administration et les contraintes nées des 35 heures.
Dans ce contexte pour obtenir que depuis 2010 soit respecté l’ONDAM, un joli sigle pour désigner l’Objectif National des Dépenses d’Assurance Maladie, il a fallu exercer une pression très forte sur les fournisseurs par exemple de masques, de seringues ou de flaconnages. Ces éléments ont été jugés peu importants, le seul impératif étant que leur prix de revient soit le plus faible possible. Leur production a donc migré vers les pays à bas coût de main-d’œuvre, et notre pays s’est trouvé fort dépourvu quand la pandémie fut venue.
UN ÉTAT QUI CHERCHE À RÉPARER CE QU’IL A LUI-MÊME DÉTRUIT
RépondreSupprimerCe diagnostic est à juste titre repris par madame Panier-Runacher :
Nous devons reconstruire une autonomie européenne et française en matière de production de produits pharmaceutiques. C’est une de nos priorités car pendant des années, on a fait du médicament un élément comptable du budget de loi de finances de sécurité sociale.
En clair, l’État se préoccupe aujourd’hui de réparer ce qu’il a lui-même détruit hier du fait de sa gestion calamiteuse. Il est vrai que le grand Keynes qui semble revenir à la mode suggérait que lorsque les choses allaient mal, un bon moyen pour redresser la situation était de payer des gens à creuser des trous pour ensuite les reboucher.
Cet épisode est donc éclairant sur la manière dont dysfonctionne gravement notre économie étatisée. Il l’est davantage encore si on médite sur le fait qu’en l’occurence une entreprise suédoise cotée à la bourse de Stockholm ayant signé un contrat avec une entreprise américaine très rentable pour fabriquer des flacons et les remplir décide de ne pas financer elle-même les investissements nécessaires. C’est donc notre gouvernement complaisant qui va s’en charger non sans en tirer une certaine fierté…
Quand l’État soutient peu et mal la recherche qu’il est dans ses missions de financer mais utilise de l’argent public de surcroît obtenu par l’emprunt pour réparer ses erreurs, manifestement quelque chose ne tourne pas rond.
https://www.contrepoints.org/2021/04/28/396151-operation-recipharm-une-innovation-en-trompe-loeil
Par définition, une république n'est PAS une démocratie mais son contraire où le Peuple doit fermer sa gueule !
SupprimerC'est pourquoi, aujourd'hui comme hier rien ne change et, ce ne sont pas sur les putains de candidat(e)s aux présidentielles qu'il faut compter pour que çà change !
Ne soyez jamais forcé à utiliser un masque facial, un vaccin, un test Covid ou tout autre mandat de santé publique: comment faire cela et pourquoi
RépondreSupprimerPar Allan Stevo
28 avril 2021
Les mandats de santé publique n'ont pas leur place dans une société libre. En fait, l'ensemble de l'industrie de la santé publique n'a pas sa place dans une société libre. De ses racines mêmes, la santé publique est un ensemble de théories philosophiquement appauvri qui laisse les individus à la fois moins libres et moins sains.
La santé est une affaire individuelle et quelque chose que beaucoup tiennent à cœur. «Santé publique» est un terme nommé de manière manipulatrice qui vise à vous toucher le cœur. C'est l'imposition la plus vile à votre vie et à celle de vos proches, exprimée dans les termes les plus doux et les plus manipulateurs. Cela seul devrait vous en dire assez pour vous méfier de quiconque vous propose une solution de santé publique: soit ils ont été dupés, soit ils essaient de vous tromper. Quoi qu'il en soit, quiconque présente un mandat de santé publique ne mérite pas votre confiance.
J'encourage tout le monde à lutter contre l'imposition de la santé publique dans leur vie.
Parfois, cela nécessite des petits pas. Même les champions les plus audacieux, tous vos héros préférés, ont appris leur capacité avec des pas de bébé. Je reçois de nombreuses demandes du type «Comment puis-je éviter un mandat de santé publique X ?» Il existe de nombreuses manières. Je trouve que la méthode ci-dessous fonctionne bien.
1.) Lisez la politique - Demandez une copie de leur politique d'exemption de masque facial / politique d'exemption de vaccin / politique d'exemption de test PCR.
2.) Invoquer une exemption - Si vous tombez sous l'exemption (des millions d'Américains le font), informez-les que vous invoquerez l'exemption en disant «Je vois que vous avez une exigence d'activité X. Je ne peux pas effectuer l'activité X en toute sécurité. Que pouvez-vous faire pour moi (pour répondre à ce besoin) ? »
Dans une épicerie qui ressemble à ça. «Je passe à 14 heures. Je vois que vous avez une exigence de masque facial. Je ne peux pas porter de masque facial en toute sécurité. Que peux tu faire pour moi ?"
Dans un cabinet médical, cela ressemble à ceci: «Je suis programmé pour un rendez-vous mercredi. Je vois que vous avez une exigence de test Covid. Je ne peux pas passer un test Covid en toute sécurité. Que pouvez-vous faire pour répondre à mes besoins particuliers ? » Puisqu'il existe de nombreuses variantes de tests Covid, il est logique de d'abord comprendre très précisément les détails des tests qu'ils proposent avant de vous identifier comme étant incapable de passer un tel test en toute sécurité.
Au travail, cela ressemble à ceci: «Je vois que notre entreprise a besoin de vaccins. Je suis incapable de prendre un vaccin en toute sécurité. Que pouvez-vous faire pour répondre à mes besoins particuliers ? »
3.) Répondez à l'offre - Répondez à l'accommodement par l'affirmative si cela fonctionne pour vous, ou par la négative si cela ne fonctionne pas pour vous.
RépondreSupprimerDans l'affirmative, cela peut ressembler à ceci: «Merci qui travaille pour moi». Après cela, il est utile de poser des questions de clarification sur la façon dont le processus devrait ensuite se dérouler. J'aime creuser avec des questions détaillées comme "Quand quelqu'un à la porte d'entrée me demande de mettre un masque, que dois-je dire ?" ou des questions plus générales telles que "Que dois-je faire à mon arrivée ?" Celles-ci sont importantes car elles vous permettent d'avoir une clarté sur le processus, mais elles amènent également le gestionnaire à réfléchir au processus et à répondre à ces questions de base pour lui-même, ce qui rend beaucoup plus probable que vous finissiez tous les deux par savoir exactement à quoi vous attendre lorsque vous arrivée.
Dans la négative, cela ressemble à ceci: «Merci. C’est utile de savoir. Quelles autres options existe-t-il ? » ou si vous voulez être plus insistant: «Cela ne fonctionne pas pour moi. Quelles autres options existe-t-il ? »
Si un mandat médical différent est proposé que vous ne pouvez pas utiliser en toute sécurité, vous pouvez commencer ce processus depuis le début.
Costco en est un bon exemple. Puisque la réponse de Costco à une exemption de masque facial est de vous mettre dans un écran facial, quelque chose que tout le monde ne peut pas porter en toute sécurité, chez Costco, cela pourrait ressembler à ceci: «Je ne peux pas porter un écran facial en toute sécurité. Que pouvez-vous faire pour moi pour répondre à ce besoin particulier ? »
Portez-le ou ne le portez pas
Au cours de ce processus, ne mettez pas un masque de manière désobéissante simplement parce que vous pouvez vous en sortir avec le fait qu'il tombe autour de votre menton. Portez-le ou ne le portez pas. Que votre non soit non et que votre oui soit oui. Si vous le portez de manière désobéissante ou indisciplinée, vous confondez les autres et vous les invitez à vous corriger.
Si vous ne portez pas de masque, faites-le avec détermination et faites-le avec audace. Soyez très clair que vous ne pouvez pas porter un masque en toute sécurité et qu'en aucun cas vous n'en porterez un.
Cette clarté vous aidera à vous offrir un meilleur traitement que le client moyen et permettra aux autres de comprendre plus facilement qu'ils doivent prendre votre incapacité à porter un masque en toute sécurité aussi au sérieux que vous-même.
Ne vous expliquez à personne
Personne à un point de contrôle de conformité ne mérite de savoir quel est votre «état», quel est votre «problème», ni de pouvoir lire et évaluer une note de votre médecin. «Je ne peux pas porter de masque facial en toute sécurité» est tout ce que je vous recommande de proposer. «Je ne peux pas prendre un vaccin en toute sécurité», «Je ne peux pas passer un test Covid en toute sécurité.» Quelle que soit la préoccupation légitime, arrêtez la conversation là. N'ouvrez pas la boîte de vers qui existe inévitablement lorsque vous accueillez quelqu'un dans vos affaires privées. Ce ne sont pas leurs affaires.
Si vous avez besoin de plus de conseils sur la façon de rejeter les mandats de santé médicale, lisez le best-seller d'Allan Stevo «», lisez ses articles sur LewRockwell.com et inscrivez-vous sur RealStevo.com pour des vidéos et des cours informatifs sur le sujet. Tout cela se résume cependant à se résoudre à vivre la vie à un niveau supérieur et à refuser d'accepter un mandat médical qui ne vous convient pas. Exigez le meilleur pour vous-même. Les mandats uniformes sont une version inférieure des soins de santé. Si vous n’exigez pas mieux pour vous et votre entourage, alors personne ne le fera et vous obtiendrez les mêmes soins de santé inférieurs que la plupart des gens supportent.
RépondreSupprimerhttps://www.lewrockwell.com/2021/04/allan-stevo/never-be-forced-into-a-face-mask-a-vaccine-a-covid-test-or-any-other-public-health-mandate-how-to-do-that-and-why/
Primo, IL N'EXISTE PAS de masque antivirus et ne peuvent pas être fabriqués car, déjà avec 'le plus fin' (FFP2/N95 bec de canard avec valve d'expiration) la respiration est presque impossible et l'écart de maillage est de 3 microns alors que le corona ne mesure que 0,1 à 0,5 µ !!!
SupprimerSecundo, IL N'EXISTA PAS de vaccin antivirus. Même la grippe (ou le rhume qui font partie des 'coronas') diffère chaque année. De plus, un vaccin se fait en 10 ou 15 ans pas en 10 ou 15 jours !
Tertio, les 'tests' RT-PCR poussés au-delà de 25 cycles ne sont pas fiables et son trompeurs et très dangereux. C'est pourquoi en France les cycles sont poussés jusqu'à 50 !!! Oui ! J'ai bien dit '50' ! afin d'être en tête pour le nombre de FAUX cas et des personnes escroquées !
Enfants innocents du Covid-19 : leur injecter des vaccins expérimentaux serait criminel
RépondreSupprimerDr Gérard Delépine
mondialisation.ca
mar., 27 avr. 2021 15:29 UTC
Les enfants ne risquent rien du Covid-19 ; vouloir leur injecter des vaccins non testés est criminel et inutile.
« Stop : ils s'entêtent à vouloir vacciner les enfants »
Depuis plus d'un an les lobbyistes des firmes pharmaceutiques rêvent d'imposer la vaccination anti-covid-19 à l'ensemble de la population mondiale en utilisant des obligations vaccinales et le chantage « vacciné ou socialement mort ».
Et depuis plus d'un mois ils s'attaquent aux enfants1 alors que ceux-ci ne risquent rien du Covid-19, qu'ils ne le transmettent pas et que rien ne prouve que les vaccins puissent être efficaces et sans danger pour eux.
Les enfants ne risquent rien du Covid-19 et ne peuvent donc tirer aucun bénéfice individuel de la vaccination anti-covid-19.
Toutes les séries rapportées2,3,4,5,6,7,8 et tous les relevés nationaux et internationaux confirment tous que le Covid-19 est rare et presque toujours bénin chez l'enfant, et qu'ils risquent moins du Covid-19 que de la grippe saisonnière.
En France, depuis un an, Santé publique France n'a comptabilisé que 3 morts attribuées au Covid (tous souffraient de maladies chroniques, de cancer ou d'immunodéficience) sur près de 8 millions d'enfants et adolescents de moins de 15 ans alors que la grippe fait en moyenne 8 victimes chaque année dans ce groupe d'âge.
L'OMS9 confirme que les enfants ne risquent pratiquement rien :
- voir graphique sur site -
les moins de 15 ans rien covid-19
Ce risque infime fait qu'aucun bénéfice individuel ne peut être espéré de la vaccination chez les enfants alors que des complications post-vaccinales parfois graves, allant jusqu'à la mort, sont rapportées partout dans les médias.
Les enfants ne sont pas des vecteurs de propagation de la maladie ; les vacciner ne changerait en rien l'évolution de l'épidémie.
Toutes les séries rapportées et tous les relevés nationaux et internationaux montrent que les enfants et adolescents ne sont pas vecteurs de transmission et qu'ils ne sont pas contaminés par les camarades d'école, mais habituellement par les parents à domicile.
Plus de 20 études épidémiologiques dans une dizaine de pays ont recherché opiniâtrement des contaminations à partir d'enfants de moins de 15 ans : aucune n'a pu mettre en évidence un seul exemple réellement probant.
L'étude de l'INSERM10 est très démonstrative. L'enfant des Contamines a été en contact, alors qu'il était malade, avec 172 personnes, dont 112 élèves et professeurs dans trois écoles et un ski-club. Il n'a contaminé personne, même pas les deux autres enfants de sa fratrie. Et l'infection apportée de Singapour par un adulte est restée cantonnée aux occupants du chalet.
L'étude de l'Institut Pasteur sur les écoles primaires de Crépy-en-Valois11 a porté sur 1 340 personnes, dont 139 infectées (81 adultes et 58 enfants). Parmi 510 élèves de six écoles primaires, ils ont identifié trois enfants de trois établissements différents qui étaient infectés au moment où les écoles étaient encore ouvertes. Aucun de ces trois enfants n'a contaminé quiconque, qu'il s'agisse d'autres élèves ou d'adultes.
L'étude Coville12, du groupe Activ (Association clinique et thérapeutique infantile du Val-de-Marne) dirigé par le professeur Robert Cohen, vice-président de la Société française de Pédiatrie, a porté sur 600 enfants, de la naissance à l'âge de 15 ans permet de conclure que : « sans histoire de Covid parental, l'enfant n'a rien ».
RépondreSupprimerAux Pays-Bas, les enfants âgés de 0 à 17 ans ne représentent que 1,3% de tous les patients déclarés avec Covid-19, bien qu'ils représentent 20,7% de la population. Seulement 0,6% des hospitalisations signalées concernaient des enfants de moins de 18 ans et Il n'y a pas de cas d'enfants décédés du Covid-19. Une étude des ménages aux Pays-Bas a rapporté des données sur 116 enfants de 1 à 16 ans13 et les résultats préliminaires ont montré que rien n'indique que les enfants de moins de 12 ans aient été les premiers infectés de la famille.
En Irlande14, avant la fermeture des écoles aucun cas de contamination scolaire n'a été détecté parmi les 924 enfants et 101 adultes au contact de six infectés (trois enfants, trois adultes).
En Australie15,16, 9 élèves et 9 membres du personnel infectés par le SRAS-CoV-2 dans 15 écoles ont eu des contacts étroits avec un total de 735 élèves et 128 membres du personnel. Seules 2 infections secondaires ont été identifiées, aucune chez le personnel adulte. 1 élève du primaire a été potentiellement infecté par un membre du personnel.
En Suisse17 : sur un total de 4 310 patients atteints du SRAS-CoV-2, 40 étaient âgés de moins de 16 ans (0,9%). Parmi les 111 contacts familiaux positifs des enfants étudiés, les mères prédominaient (n = 39), suivies des pères (n = 32), des frères et sœurs pédiatriques (n = 23), des frères et sœurs adultes (n = 8) et des grands-parents (n = 7).
En Finlande un enfant de 12 ans qui allait à l'école durant sa maladie a été en contact avec 121 personnes et n'en a contaminé aucune.
En Grèce18, l'analyse épidémiologique de 23 clusters touchant 109 personnes (66 adultes et 43 enfants n'a retrouvé aucun cas de transmission à partir d'un enfant.
À Singapour19, deux écoles primaires et une école secondaire ont constaté des Covid-19 infantiles. Aucun des 34 contacts identifiés des écoles primaires ne s'est révélé positif. Parmi les 77 contacts de l'école secondaire, 8 ont développé des symptômes grippaux, mais aucun d'entre eux n'a été testé positif.
Sur les plus de 11 180 articles ayant pour sujet l'enfant et le Covid-19 répertoriés par PubMed le 9/4/2021 et les 1 794 spécifiquement dédiés à la transmission éventuelle par les enfants, aucun n'apporte la preuve d'une transmission d'un enfant à un autre enfant ou à un adulte dans le monde réel.20,21,22,23,24
Les seuls articles qui évoquent cette possibilité se basent sur la charge virale ou sur des modélisations aux hypothèses fausses.
Certes des enfants scolarisés peuvent être malades ou testés positifs, mais chez les asymptomatiques, il s'agit le plus souvent de faux positifs (plus de 90%), ou d'infections anciennes qu'ils ont contractées à domicile et dont ils sont guéris. Les transmissions scolaires sont possibles, mais toutes celles qui ont fait l'objet d'une enquête épidémiologique sérieuse montrent qu'elles sont liées au personnel adulte.
RépondreSupprimerComme les enfants sont innocents de la transmission de la maladie leur vaccination, même si elle était efficace ne servirait à rien pour protéger les autres.
Les vaccins actuels n'empêchent pas la transmission de la maladie !
Dans les pays champions des campagnes de vaccination, les transmissions se poursuivent et sont même parfois augmentées.
Ainsi aux Émirats Arabes Unis la circulation du virus est plus intense depuis la vaccination
évolution des contaminations
Même phénomène au Bahreïn :
- voir graphique sur site -
bahrein évolution pandémie
Même évolution au Chili :
- voir graphique sur site -
chili évolution pandémie
La comparaison des évolutions des mortalités en Grande-Bretagne confinée et très vaccinée et en Suède non confinée et peu vaccinée suggère même que la vaccination aggrave au moins transitoirement transmission et mortalité.
- voir graphique sur site -
mortalité gb depuis vaccination
Cette très douteuse efficacité des vaccins actuels pour prévenir la transmission du virus est reconnue par la Haute Autorité de Santé et a été officialisée par O. Véran dans son argumentaire récent devant le Conseil d'État25 : « le vaccin n'empêche pas de transmettre le virus aux tiers ».
Même si les enfants étaient contagieux, leur vaccination serait donc inefficace pour protéger les autres puisque les vaccins ne sont pas capables d'interrompre la transmission !
Les vaccins ne sont même pas expérimentaux chez l'enfant : ils n'ont même pas été testés !
Chez les adultes, les vaccins sont expérimentaux puisque les essais ne seront pas terminés avant 2023. Chez l'enfant ils ne sont même pas expérimentaux car les essais excluaient jusque récemment les moins de 16 ans et que le premier essai chez l'enfant a été interrompu après un accident avant inclusion significative d'enfants cobayes.
C'est donc un médicament qui n'a pas du tout été testé chez eux et qui n'a pas reçu d'AMM même conditionnelle que les vaccinolâtres voudraient injecter aux enfants qui n'en ont pas besoin !
Pour retrouver nos libertés, il suffit de le vouloir !
L'argument de la vaccination des enfants « nécessaire pour retrouver nos libertés » agité par Stéphane Dhersin reprend le chantage classique des avocats du vaccin. Cet argument ne repose sur aucun fait scientifiquement établi mais sur des prophéties mathématiques truquées/fausses.
Les Suédois, les Biélorusses, les Finlandais, les Néerlandais qui n'ont jamais été confinés souffrent d'une mortalité inférieure à la nôtre.
Le gouverneur du Texas a supprimé toutes les contraintes prétendument sanitaires le 10 mars et depuis la mortalité baisse alors qu'elle augmente dans des États (Michigan, Minnesota) encore soumis aux restrictions sociales.
RépondreSupprimer- voir graphique sur site -
décès quotidien texas
Dans un court article au Lancet, Delfraissy26 et quatre autres membres du Conseil scientifique déclarent qu'il faut changer de politique sanitaire, cesser d'utiliser les confinements épisodiques et ne plus compter sur la vaccination pour nous sortir de la crise. Pourquoi ne les écoute-t-on pas ?
- voir graphique sur site -
N'ayons plus peur inutilement. Arrêtons de massacrer l'équilibre psychologique, la santé, l'éducation et l'avenir professionnel de nos jeunes. notre économie.
Et ne sacrifions pas les enfants sur des croyances et modélisations fausses qui ne peuvent être utiles qu'aux actionnaires des marchands de vaccins.
Les enfants ne risquent rien du Covid-19 et ne sont pas vecteurs du Covid-19. Vouloir leur injecter des vaccins non testés est criminel.
Notes :
RépondreSupprimer[1] Antoine Beau Covid : faut-il vacciner les enfants pour un retour à la vie normale en septembre ? SCIENCE 07/04/2021
"Vacciner les mineurs est un levier d'action potentiel dans la lutte pour revivre normalement", explique Jean-Stéphane Dhersin, modélisateur
[2] Peter Brodin Why is COVID-19 so mild in children ? Editorial Acta Paediatrica 24 March 2020
[3] Ji Young Park First Pediatric Case of Coronavirus Disease 2019 in Korea J Korean Med Sci. 2020 Mar 23 ;35(11)
[4] LiangSua the different clinical characteristics of corona virus disease cases between children and their families in China - the character of children with COVID-19 Emerging Microbes & Infections 2020, VOL.
[5] Qinxue Shen Novel Coronavirus Infection in Children Outside of Wuhan, China Pediatr Pulmonol. 2020 Apr 7. doi : 10.1002/ppul.24762. Online ahead of print
[6] Ya-Nan Han et al A Comparative-Descriptive Analysis of Clinical Characteristics in 2019-Coronavirus-infected Children and Adults Pediatrics April 2020
[7] Zhonghua Er Ke Za Zhi pour la Société de pédiatrie et Association médicale chinoise : Recommandations pour le diagnostic, la prévention et le contrôle de la nouvelle infection à coronavirus 2019 chez les enfants (première édition intermédiaire). 2020 ; 58 : 169-74.]., Chinese Journal of Pediatrics
[8] Haiyan Qiu Clinical and epidemiological features of 36 children with coronavirus disease 2019 (COVID-19) in Zhejiang, China : an observational cohort study Lancet Infect Dis. 2020 25 mars ; S1473-3099 (20) 30198-5.
[9] OMS Covid19 dashboard consulté le 9/4/2021
[10] Kostas DANIS et al pour Santé Publique France Cluster of coronavirus disease 2019 (Covid-19) in the French Alps, 2020 Clinical Infectious Diseases Oxford University Press for the Infectious Diseases Society of America.
[11] Fontanet et al SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France : A retrospective cohort study in an area of high transmission medRxiv 2020
[12] Christèle Gras-Le Guen https://theconversation.com/rentree-scolaire-la-covid-19-nest-definitivement-pas-une-maladie-pediatrique-145287 []
[13] Sur la base des rapports des services de santé publique municipaux (GGD
[14] Heavey L, Casey G, Kelly C, et al. No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020. Euro Surveill 2020 ;25 :2000903
[15] D'après l'Australian National Centre for Immunisation Research and Surveillance https://www.bing.com/search?q=l%E2%80%99Australian+National+Centre+for+Immunisation+Research+and+Surveillance&form=QBLH&sp=-1&pq=&sc=0-0&qs=n&sk=&cvid=4D88315372394AACB2AA964A03900C84
[16] Centre national de recherche et de surveillance de la vaccination. COVID-19 dans les écoles — L'expérience en NSW. Nouvelle-Galles du Sud, Australie : Centre national de recherche et de surveillance sur l'immunisation
[17] Hildenwall H, Luthander J, Rhedin S, et al. Paediatric COVID-19 admissions in a region with open schools during the first two months of the pandemic. Acta Paediatr. 2020 ; 00 :1-3. https://doi.org/10.1111/apa.15432
[18] Helena C. Maltezoua Transmission dynamics of SARS-CoV-2 within families with children in Greece : a study of 23 clusters J Med Virol. 2020 août 7 ;10.1002/jmv.26394. doi : 10.1002/jmv.26394
[19] Agence gouvernementale de Singapour. COVID-19 : cas à Singapour [Internet]. Singapour, Agence gouvernementale de Singapour. 2020 ; [cité le 12 mars 2020. Disponible sur : https://www.gov.sg/article/covid-19-cases-in-singapor [
[20] Weiyong Liu .et al : Detection of Covid-19 in Children in Early January 2020 in Wuhan, China N Engl J Med. 2020 2 avril ; 382 (14) : 1370-1371
[21] ) Liu Y, Yan L-M, Wan L, et al. Viral dynamics in mild and severe cases of COVID-19. Lancet Infect Dis. 2020. https://doi.org/10.1016/ S1473 -3099(20)30232
[22] Hong H, Wang Y, Chung H-T, Chen C-J, Clinical characteristics of novel coronavirus disease 2019 (COVID-19) in newborns, infants and children, Pediatrics and Neonatology, https://doi.org/10.1016/j.pedneo.2020.03.001.
[23] Wu Z, McGoogan JM. Characteristics of and important lessons from the coronavirus disease 2019 (COVID-19) outbreak in China : summary of a report of 72 314 cases from the Chinese Center for Disease Control and Prevention. JAMA 2020 ; published online Feb 24. DOI :10.1001/jama.2020.2648
RépondreSupprimer[24] Jonas F Ludvigsson macroanalysis of Covid 19 in children. Acta Paediatr. 2020 23 mars
[25] Décision du conseil d'état du 2 AVRIL 2021 Les restrictions de déplacement des personnes vaccinées sont justifiées
[26]Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy Immune evasion means we need a new COVID-19social contract Lancet https://www.thelancet.com/action/showPdf?pii=S2468-2667%2821%2900036-0
https://fr.sott.net/article/37095-Enfants-innocents-du-Covid-19-leur-injecter-des-vaccins-experimentaux-serait-criminel
Les décès après avoir reçu le vaccin Pfizer sont-ils plus nombreux que ceux après avoir reçu le vaccin AstraZeneca ?
RépondreSupprimerSLT
dim., 25 avr. 2021 19:57 UTC
Une étude de l'Institut Tony Blair, évoque un taux de mortalité plus élevé au Royaume-Uni après l'injection du produit de Pfizer que celui d'AstraZeneca selon les concepteurs du vaccin russe Spoutnik V contre la Covid. Dans cette étude du Tony Blair Institute for Global Challenge, il est constaté : "qu'au Royaume-Uni, Pfizer a plus que doublé le nombre de décès et d'infections par la COVID-19 signalés pour 100 000 doses de vaccin par rapport à AstraZeneca. 0,26 contre 0,1 pour les décès, 4,07 contre 1,49 pour les infections à la COVID-19".
Si on en croit les dernières données de l'ANSM en date du 16 avril (celles du 23 avril concernant le vaccin AstraZeneca n'ont pas encore été mises en ligne contrairement aux rapports pour les 2 autres vaccins: Pfizer et Moderna), il y a eu au total depuis le début de la vaccination en France depuis le 27.12.20 (données de l'ANSM du 16.04.21) :
- 9.889.000 injections Pfizer avec 408 décès,
- 994.000 injections Moderna avec 7 décès
- 2.725.089 injections AstraZeneca avec 65 décès.
Soit un total de 480 décès rapportés en post-vaccination (respectivement 408 décès "toutes causes" après vaccin Pfizer ; 7 "morts subites" après vaccin Moderna et 65 "décès" après vaccin AstraZeneca) selon le rapport de synthèse du 16.04.21 de l'ANSM portant sur la semaine du 2.04 au 8.04.21.
Si l'on observe le ratio décès / nombre d'injections : il est de 0.0041% pour Pfizer, de 0.0007% pour Moderna et 0.0023% pour AstraZeneca soit effectivement un taux presque deux fois plus élevé pour le vaccin Pfizer comparativement à AstraZeneca avec les données de l'ANSM. Toutefois, il faut modérer cette appréciation car les personnes ayant reçu le vaccin Pfizer ont souvent reçu deux doses, ce qui n'est pas encore le cas pour le vaccin AstraZeneca en France. D'autres part ces taux sont très faibles mais il faut quand même les prendre en compte étant donné le nombre de personnes vaccinées. Des études plus sérieuses nécessiteraient d'être effectuées. L'ANSM considérant après revue de dossier, sans qu'il n'y ait dans la majorité des cas d'autopsie, que les décès observés sont liés à des comorbidités associées ou bien à d'autres causes. Pourtant le principe de précaution nécessiterait de demander des autopsies après chaque décès post-vaccinal pour tirer cela au clair et même de considérer ces décès comme liés au vaccin avant d'apporter la preuve du contraire. L'ANSM a choisi la démarche inverse. Il a fallu que des alertes soient lancées par des autorités sanitaires de pays étrangers pour que ces effets secondaires commencent à être repérés en France. Espérons qu'il n'en sera pas de même pour les potentiels décès par "thrombose" ou d'autres causes avec les autres vaccins.
Lire aussi :
RépondreSupprimerEn date du 23.04.21, le nombre global de décès post-vaccinaux n'est plus fourni par l'ANSM aussi bien dans son point de situation que dans son rapport de synthèse, le rapport sur le vaccin AstraZeneca est manquant
Rappelons également que dès la mi-février, le le Dr Wodarg avait fait le lien entre les vaccins à ARN et de potentiels cas de "thromboses" en mettant en cause le rôle de la protéine S produite par les séquences génétiques introduites dans le corps (dans les cellules de l'organisme) par ces vaccins. Il s'appuyait sur une étude de l'Institut allemand Paul Ehrlich. Articles que nous avons repris sur SLT début mars :
-SLT 1.03,21 Les dommages tissulaires par fusion cellulaire dans la COVID-19 et le rôle de la protéine de pointe (IPE)
Le Dr Wodarg déclarait que les thromboses, crises cardiaques et hémorragies cérébrales sont possibles après tous les vaccins.
On est en droit de se demander, comme nous le faisions précédemment, pourquoi Astra Zenenca récolte les lauriers alors que les données ne semblent pas forcément en faveur de ses concurrents immédiats.
- Le sort s'acharne-t-il sur AstraZeneca ?
Voici ce que nous écrivions le 5.04.21 :
"Il se trouve que selon les données actuelles c'est le vaccin AstraZeneca qui semblerait entraîner le plus de cas, bien que très rares, de thromboses létales parmi les 3 vaccins actuellement en vigueur en Occident (Pfizer, Moderna, AstraZeneca). Pourtant à en croire les données françaises de l'ANSM, le vaccin Pfizer est aussi responsable de nombreux effets secondaires mais cela n'est que très peu rapporté dans les médias."
Suivant en cela les interrogations du Dr Wodarg (lanceur d'alerte sur la fausse pandémie de grippe H1N1 ou grippe A) suite aux observations rapportées par l'agence européenne du médicament début avril 2021 (cf. graphique plus bas), on est en droit de se poser la question du rapport bénéfice/risque au regard de la vaccination chez les personnes n'ayant pas de risques comorbides (la grande majorité de la population) :
-SLT 3.04.21 Vaccin contre la Covid-19. Risque plus grand que le bénéfice - pourquoi vaccinent-ils ? (Wodarg.com)
Au cours de la période d'avril 2020 à décembre 2020, les effets indésirables enregistrés ont fluctué dans un couloir allant de 9 418 à 12 567 déclarations, en moyenne 10 847 effets indésirables ont été enregistrés au cours de chacun de ces mois. En janvier 2021, ce nombre est passé à 27 242. En février 2021 et mars 2021, le nombre d'événements indésirables signalés était de 52 183 et 52 165, respectivement, soit une multiplication par cinq des événements indésirables au cours des deux derniers mois par rapport à la moyenne de l'année 2020 de Corona. Tout le monde parle d'AstraZeneca, mais les autres ne sont-ils pas pires ?...
- voir graphique sur site -
En février 2021, le professeur Sucharit Bhakdi, M.D., et un certain nombre de ses collègues ont mis en garde l'Agence européenne des médicaments contre les dangers potentiels des caillots sanguins avec tous les vaccins.
- voir clip sur site -
Lire aussi :
- SPR 17.04.21 Une nouvelle étude de l'Université d'Oxford rapporte que le risque de thrombose veineuse cérébrale avec AstraZeneca est le même qu'avec les autres vaccins et reste très faible
https://fr.sott.net/article/37097-Les-deces-apres-avoir-recu-le-vaccin-Pfizer-sont-ils-plus-nombreux-que-ceux-apres-avoir-recu-le-vaccin-AstraZeneca
La pandémie à la télévision
RépondreSupprimerPar Jon Rappoport
Le blog de Jon Rappoport
28 avril 2021
Il devrait être évident pour tous, sauf pour les esprits les plus confus, que les présentateurs de nouvelles télévisées, leurs scénaristes et éditeurs ne remettent jamais en question les (fausses) affirmations suivantes:
Le SRAS-CoV-2 est réel. Il a été découvert et séquencé.
Le test du virus est précis.
Chaque test positif indique un «cas de COVID-19».
Les numéros de cas et de décès sont exacts.
Des masques, des distanciations et des verrouillages sont nécessaires pour empêcher la propagation du virus.
Le vaccin COVID est sûr et efficace.
Les personnes qui se font vacciner doivent néanmoins continuer à porter des masques et limiter leur exposition aux groupes non familiaux.
Les habitants des médias grand public acceptent ces présomptions sans enquête. Ils prennent la dictée des agences de santé publique (CDC, OMS).
Par conséquent, quelle est la valeur des nouvelles ? Au lieu d'émissions élaborées, pourquoi les réseaux ne présentent-ils pas simplement, une fois par jour, des annonces de porte-parole des CDC provenant de bureaux bureaucratiques fades ?
La réponse, bien sûr, est: les publicités. Revenus publicitaires. Les divisions de presse devraient gagner de l'argent. Ce ne sont pas des organismes de bienfaisance publics.
Les nouvelles sont les affaires.
Lester Holt (NBC) gagne 10 millions de dollars par an. Norah O'Donnell (CBS) gagne 6 millions de dollars par an. David Muir (ABC) gagne 5 millions de dollars par an. Wolf Blitzer (CNN) gagne 5 millions de dollars par an.
Les actualités habillent également le contenu. Au lieu d'un bureaucrate du CDC disant: «4000 nouveaux cas dans le Michigan aujourd'hui», Norah peut dire: «RAPPORT ALARMANT DE 4000 NOUVEAUX CAS AU MICHIGAN», avec des coupes rapides de tableaux et de graphiques, des images de personnes faisant la queue pour le vaccin et des travailleurs de laboratoire tripotant des flacons et du personnel ambulancier transportant un patient dans un couloir de l'hôpital et Anthony Fauci assis dans le bureau ovale en face de Joe Biden.
Coupure au gouverneur du Michigan à un podium: «La pandémie est loin d'être terminée. Nous avons beaucoup de travail à faire…"
Un général en grande tenue dit à Norah: «En ce moment, nous travaillons sur un vaccin qui protégera contre tous les virus, même ceux que nous n’avons jamais vus ou découverts…»
Pendant 60 secondes, deux têtes parlantes offrent des points de vue sur «la distribution disproportionnée du vaccin aux communautés minoritaires».
Un directeur sportif adjoint de l'Université du Michigan se demande si le football à domicile cet automne se jouera dans un stade bondé.
Et "Nous reviendrons après ça."
PUBLICITÉS. Un médicament qui provoque des crises cardiaques. Un médicament qui cause des lésions cérébrales. Une annonce de service public pour la vaccination COVID. Camion Chevy. Teaser pour la prochaine première d'une nouvelle émission policière de CBS. Un dollar spécial pour le double hamburger et les frites et le petit-déjeuner aux œufs, au bacon et au fromage chez McKing. Économisez de l'argent sur votre assurance auto, cliquez ou appelez. Pizza à croûte épaisse ou fine, carrée ou ronde. Un médicament qui fait tomber vos cheveux. Des pneus qui tiennent la route dans l'Arctique. Teaser pour le prochain spécial: Une vie bien vécue, l'homme qui a changé l'Amérique: Anthony Fauci.
Et - retour aux nouvelles.
RépondreSupprimerCe n’est pas un travail difficile. Ce n’est pas un travail intelligent. Ce n’est certainement pas un travail d’enquête.
À vrai dire, des milliers de personnes pourraient le faire, pourraient diriger la couverture des nouvelles de la télévision sur le réseau. Mis à part la qualité de l'éducation américaine, il y a encore BEAUCOUP de pom-pom girls de lycée et d'université, de majors dramatiques, d'athlètes et de nerds sûrs d'eux qui pourraient remplacer ces ancres à prix élevé et livrer la marchandise.
Si vous parcourez les biographies de Lester Holt et David Muir, par exemple, vous constatez qu'ils ont travaillé leur place en tant qu'ancres locales - c'est-à-dire lecteurs de nouvelles. Ils ont également, de près et personnellement, «couvert les points chauds du monde entier». Accidents d'avion, révolutions, ouragans. En d'autres termes, ils se sont entretenus avec des sources officielles dans ces endroits et ont répété les versions officielles des événements, debout sous des parapluies fouettant sous la pluie ou sur les toits de la ville le soir, vêtus d'une veste de brousse ou d'une veste flak de style Dan Rather.
Il va sans dire que les observateurs de talents du réseau recherchent de jeunes stars INCURIEUSES. Pas de creuser sous la surface sur les histoires. Au lieu de cela, déplacez-vous horizontalement sur la couche supérieure et trouvez des points idéaux qui correspondent aux objectifs politiquement désignés, si nécessaire.
«J'aime vraiment ce gamin de Cincinnati. Il a de bonnes dents, une mâchoire forte et ses cheveux semblent faits de fer. Baryton lisse. Sourire parfois effacé. »
«Ouais, je ne sais pas. C'est Clark Kent. Trop droit. "
«Nous pouvons travailler avec cela. Trajets routiers. Envoyez-le en Ukraine pour quelques semaines, en Pologne, au Salvador. Donnez-lui un peu d'assaisonnement. Hé, David Muir va bien et il semble qu'il vient de sortir d'un catalogue de sous-vêtements pour hommes. "
«L'enfant de Cincinnati a joué au football dans une petite université du Nebraska. Nous pourrions le mettre avec les Bengals qui parlent de problèmes raciaux. Cela devrait lui donner un avantage ou deux… »
"Attendez. Voici un drapeau rouge. Il y a trois mois, il avait cet avocat sur son émission. L’avocat porte plainte contre un laboratoire universitaire. Prétend que le test COVID PCR crache des faux positifs comme un tuyau d'incendie. »
"Merde. Était-ce juste une erreur ponctuelle?
"Non. Notre garçon a essayé d'aller plus loin. Il a amené une équipe au laboratoire universitaire. J'ai quelques citations de techniciens là-bas. "
"Ce n'est pas bon. C'est un présentateur et il pense qu'il fait l'actualité. "
En effet, ce n’est pas bon. Les ancres ne font pas l'actualité. Ils ne le dénichent pas. Ils prennent ce qui est là et le font paraître important.
Vous ou moi pourrions entrer dans un département d'art dramatique d'université, nous tenir devant une centaine d'étudiants et dire: "Nous recherchons des personnes capables de lire un texte sans erreur et de le rendre important" -
Et voilà, nous allons découvrir quelques jeunes hommes et femmes qui pourraient, avec quelques semaines de formation, assumer le rôle de présentateur de nouvelles télévisées locales et faire un travail crédible.
Dans l'histoire du journal télévisé, je connais deux ancres d'élite du réseau qui - sinon dans leur couverture des histoires, mais dans leur manière et leur attitude - ont transmis un mécontentement significatif quant à leurs rôles, leurs limites et leurs emprisonnements virtuels: Peter Jennings et Jessica Savitch.
Jennings est apparu comme «l'homme qui en savait plus mais qui n'était pas autorisé à le signaler». Savitch était un tigre en cage dans un cirque, faisant les cent pas dans sa cellule, en colère, voulant déchirer les barreaux et sauter. Savitch est décédé à 36 ans, Jennings à 67 ans.
RépondreSupprimerJennings a réussi à garder dans son équipe, pendant six ans, un journaliste médical ACTUEL, feu Nick Regush. Regush a passé de nombreuses heures à creuser sous la surface. Par exemple, en 1999, dans un rapport époustouflant d'ABC, il a exprimé de sérieux doutes quant à l'existence du virus de l'hépatite C. Après son départ du réseau, il a fait écho à ce rapport:
«Considérez ceci comme un défi en cours. Cette aventure scientifique soulève la question de savoir si le virus de l'hépatite C, accusé d'une grande épidémie silencieuse de maladie du foie et même de cancer, existe réellement. C'est exact. Vous avez bien lu: je soulève une question qui peut déranger les scientifiques et les patients atteints d'hépatite C. Mais je le soulève quand même parce qu’il est vital de le faire dans l’intérêt de la santé publique. Je lance un défi à la communauté scientifique pour qu'elle me présente les preuves scientifiques publiées et évaluées par des pairs qu'un tel virus existe réellement, à savoir qu'il a été correctement isolé, conformément aux principes fondamentaux reconnus de la virologie. "
Si Regush travaillait pour ABC aujourd'hui, il durerait environ cinq minutes avant d'être renvoyé.
"Ne découvrez pas les actualités, RELAYEZ-les."
Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.
https://www.lewrockwell.com/2021/04/jon-rappoport/the-pandemic-on-television/
Quand vous avez un connard de journalistes qui touche 10 briques par mois et interview quelqu'un qui en touche autant que lui, il est bien évident que la discussion est tout autre qu'avec une personne du Peuple qui discute avec son binôme.
SupprimerÇà y est c'est fait ! la distanciation de 2 m sera désormais (ou très prochainement) portée à 300 km.
Bientôt 10 000 morts et 2 millions d'effets secondaires susceptibles d'être liés aux « vaccins » contre la Covid-19
RépondreSupprimerFrederic Gobert
agoravox.fr
mar., 27 avr. 2021 16:24 UTC
Le premier tableau ci-dessous recense le nombre « d'effets indésirables susceptibles d'être liés à l'utilisation » des « vaccins » Moderna, Pfizer et Astra Zeneca dans l'Union européenne, mis à jour le 24 avril 2021 (www.adrreports.eu/fr/search_subst.html#). Les critères de classement sont ceux du site officiel européen European Medicines Agency / EudraVigilance. Tout ce qui suit peut être vérifié en suivant les indications détaillées données dans mon précédent article : https://www.agoravox.fr/actualites/sante/article/les-vaccins-contre-la-covid-19-232177.
- voir sur site -
effets indésirables vaccination
Le total des « effets indésirables susceptibles d'être liés à l'utilisation de médicaments » mis à jour le 24 avril 2021 se monte à UN MILLION SEPT CENT CINQUANTE ET UN MILLE CENT SOIXANTE-DIX-HUIT, dont 1.335.168 effets secondaires non résolus ou « en cours de résolution », soit une augmentation de 170% d'effets secondaires non résolus en trois semaines seulement par rapport au 3 avril (voir les chiffres du 3 avril dans mon précédent article).
Au 3 avril 2021, 5966 décès étaient officiellement susceptibles d'être liés aux quatre « vaccins » utilisés dans l'Union européenne.
Trois semaines plus tard, au 24 avril, pour les seuls « vaccins » Moderna, Pfizer et Astra Zeneca (sans même comptabiliser le « vaccin » Janssen, peu inoculé à ce jour dans l'UE), on atteint 8686 décès susceptibles d'être liés à ces trois « vaccins », c'est-à-dire une augmentation de près de 50%.
Ci-dessous, vous trouverez le détail des effets secondaires susceptibles d'être liés aux « vaccins » officiellement recensés au 24 avril 2021.
MODERNA
- voir sur site -
24 avril 2021 Fatal Not Recovered/ not resolved Not specified Recoverd
/resolved Recoverd
/resolved with sequelae Recovering
/resolving unknown
Blood and lymphatic system disorders 16 251 0 266 2 167 140
Cardiac disorders 231 226 0 397 7 67 368
Congenital, familial and genetic disorders 2 0 0 3 0 0 2
Ear and labyrinth disorders 0 141 0 93 3 45 106
Endocrine disorders 1 7 0 6 0 4 5
Eye disorders 3 179 0 172 4 49 181
Gastrointestinal disorders 80 597 0 1977 12 521 752
Genereal disorders and administration site conditions 1012 2577 0 6128 29 2578 2084
Hepatobiliary disorders 3 21 0 17 0 9 27
Immune system disorders 3 71 0 184 0 42
Infections and infestations 118 350 0 298 5 123 570
Injury, poisoning and procedural complications 44 128 0 325 2 19 311
Investigations 60 201 0 411 1 91 341
Metabolism and nutrition disorders 47 118 0 136 1 44 171
Musculoskeletal and connective tissue disorders 47 1113 0 2840 14 1130 750
Neoplasm benign, malignant and unspecified (incl cysts and polyps) 8 14 0 4 0 0 22
Nervous system disorders 244 1407 0 3450 29 1029 1592
Pregnancy, puerperium and perinatal conditions 0 7 0 32 0 0 11
Product issues 0 0 0 5 0 0 3
Psychiatric disorders 31 205 0 279 5 59 297
Renal and urinary disorders 23 67 0 86 1 12 112
Reproductive system and breast disorders 1 24 0 41 1 14 26
Respiratory, thoracic ans mediastinal disorders 197 472 0 693 5 171 713
Skin and subcutaneous tissue disorders 19 503 0 806 3 337 549
Social circumstances 6 68 0 30 0 7 51
Surgical and medical procedures 13 20 0 30 0 1 45
Vascular disorders 74 229 0 386 3 108 372
TOTAL 2283 8996 0 19095 127 6627 5936
MODERNA
24 avril 2021 Fatal Not Recovered/ not resolved Not specified Recoverd
RépondreSupprimer/resolved Recoverd
/resolved with sequelae Recovering
/resolving unknown
TOZINAMERAN (PFIZER) 24/04/2021 Fatal Not Recovered/ not resolved Not specified Recoverd
/resolved Recoverd
/resolved with sequelae Recovering
/resolving unknown
Blood and lymphatic system disorders 40 3052 0 3842 101 3082 1200
Cardiac disorders 522 1067 0 3297 122 1242 1314
Congenital, familial and genetic disorders 3 12 0 11 1 6 17
Ear and labyrinth disorders 3 1152 0 1641 79 861 577
Endocrine disorders 0 36 0 17 4 21 34
Eye disorders 6 1086 0 1792 71 955 907
Gastrointestinal disorders 227 5150 0 17617 363 7308 4137
Genereal disorders and administration site conditions 1459 17263 0 57141 749 24116 15359
Hepatobiliary disorders 16 56 0 31 7 54 55
Immune system disorders 20 290 0 1629 50 651 726
Infections and infestations 527 2167 0 2258 97 1876 3449
Injury, poisoning and procedural complications 89 482 0 825 34 454 2113
Investigations 168 1317 0 2838 80 1315 2032
Metabolism and nutrition disorders 91 524 0 861 29 445 642
Musculoskeletal and connective tissue disorders 47 9875 0 27648 423 12300 5876
Neoplasm benign, malignant and unspecified (incl cysts and polyps) 7 44 0 10 5 9 76
Nervous system disorders 425 11896 0 33692 783 13925 8655
Pregnancy, puerperium and perinatal conditions 7 20 0 47 19 34 68
Product issues 0 6 0 9 0 5 60
Psychiatric disorders 63 1048 0 2627 65 974 1417
Renal and urinary disorders 66 186 0 260 17 156 278
Reproductive system and breast disorders 1 320 0 307 13 171 237
Respiratory, thoracic ans mediastinal disorders 523 2709 0 5422 222 2881 2898
Skin and subcutaneous tissue disorders 335 2209 0 7127 146 3471 2842
Social circumstances 6 112 0 122 4 38 157
Surgical and medical procedures 8 19 0 52 5 23 17
Vascular disorders 165 1349 0 3692 112 1555 1470
TOTAL 4824 63447 0 174815 3601 77928 56613
TOZINAMERAN (PFIZER) 24/04/2021 Fatal Not Recovered/ not resolved Not specified Recoverd
/resolved Recoverd
/resolved with sequelae Recovering
/resolving unknown
ASTRA ZENECA
24 avril 2021 Fatal Not Recovered/ not resolved Not specified Recoverd
/resolved Recoverd
/resolved with sequelae Recovering
/resolving unknown
RépondreSupprimerBlood and lymphatic system disorders 64 2269 0 1121 53 1315 585
Cardiac disorders 199 1422 0 3238 174 1571 994
Congenital, familial and genetic disorders 2 15 0 11 2 17 29
Ear and labyrinth disorders 0 1880 0 1417 97 1136 651
Endocrine disorders 2 44 0 32 2 35 41
Eye disorders 5 2752 0 2626 112 1761 1037
Gastrointestinal disorders 62 12243 0 26783 769 14140 7484
Genereal disorders and administration site conditions 495 38406 0 73206 2054 46568 24390
Hepatobiliary disorders 13 74 0 41 3 65 62
Immune system disorders 7 309 0 558 42 508 434
Infections and infestations 99 2804 0 3354 248 3051 1342
Injury, poisoning and procedural complications 18 1006 0 1139 47 835 1344
Investigations 21 1994 0 4674 120 2196 992
Metabolism and nutrition disorders 18 2039 0 2445 93 1888 573
Musculoskeletal and connective tissue disorders 16 24974 0 33007 1084 23142 7455
Neoplasm benign, malignant and unspecified (incl cysts and polyps) 4 37 0 17 2 40 46
Nervous system disorders 244 29933 0 48274 1949 29153 16923
Pregnancy, puerperium and perinatal conditions 0 15 0 36 6 23 31
Product issues 0 22 0 15 3 7 5
Psychiatric disorders 12 2367 0 3604 147 2080 1902
Renal and urinary disorders 11 489 0 620 32 388 256
Reproductive system and breast disorders 0 811 0 584 28 450 327
Respiratory, thoracic ans mediastinal disorders 171 4845 0 4662 309 4036 2980
Skin and subcutaneous tissue disorders 10 6738 0 7599 259 5702 4817
Social circumstances 3 81 0 153 6 55 69
Surgical and medical procedures 12 120 0 102 10 106 33
Vascular disorders 91 2254 0 2782 139 2166 1519
TOTAL 1579 139943 0 222100 7790 142434 76321
ASTRA ZENECA
24 avril 2021 Fatal Not Recovered/ not resolved Not specified Recoverd
/resolved Recoverd
/resolved with sequelae Recovering
/resolving unknown
Sur la page d'accueil de la « base de données européenne des rapports sur les effets indésirables suspectés des médicaments », où sont recensés ces effets secondaires (www.adrreports.eu/fr/index.html), on trouve cette mise en garde : « Les informations publiées sur le présent site internet concernent des effets indésirables suspectés, par exemple des événements médicaux ayant été observés après l'utilisation d'un médicament, mais qui ne sont pas obligatoirement liés ou dus au médicament. Les informations sur les effets indésirables déclarés ne doivent pas être interprétées comme signifiant que le médicament ou la substance active provoque l'effet observé ou que son utilisation présente un risque. Seules une analyse détaillée et une évaluation scientifique de toutes les données disponibles permettent de tirer des conclusions robustes sur les bénéfices et les risques d'un médicament. »
Cette mise en garde est surprenante. En effet, un lien concernant spécifiquement les « vaccins » contre la Covid-19 est présent sur cette page d'accueil vers le rapport analysant les chiffres ci-dessus. Ayant cliqué sur ce lien le 25 avril, je n'ai pas été orienté vers ledit rapport, de sorte que je n'ai pas été en mesure de le retrouver en suivant les indications fournies par le site (cela ne préjuge pas de ce que d'autres internautes trouveront si des modifications sont ultérieurement apportées sur ce site). On pourra aussi se reporter à mon précédent article sur ce point.
Pourquoi cette mise en garde et ce lien qui concerne spécifiquement la Covid-19 sur la page d'accueil du site adrreports.eu ? Peut-être parce que des « experts » interrogés dans les « grands médias » expliquent depuis le mois de février 2021 que ces effets secondaires, quelle que soit leur quantité, ne doivent en aucun cas être interprétés comme pouvant être attribués aux « vaccins » contre la Covid-19, et ce alors même que pas loin de deux millions d'effets secondaires sont officiellement « susceptibles » d'être liés aux « vaccins » sur ce site. (Au rythme de la vaccination dans l'UE et de l'accroissement exponentiel des effets secondaires, on atteindra ces deux millions d'effets secondaires d'ici quelques jours.) On constate enfin que cette mise en garde reprend presque à l'identique les propos des « experts », quel que soit le caractère invraisemblable de l'affirmation.
RépondreSupprimerQuand on compare le nombre d'effets secondaires recensés officiellement sur le site d'EudraVigilance à ceux qui sont régulièrement cités dans les « grands médias », infiniment inférieurs (quelques dizaines de décès, etc.), on ne peut que se demander quelles sont les sources des journalistes et quelles procédures ils mettent en œuvre pour vérifier ces chiffres avec rigueur.
J'ajouterai un témoignage personnel. Je connais des personnes dont des proches, juste après avoir été vaccinés, ont été hospitalisés, gravement malades, sans la Covid-19, ou ont attrapé la Covid-19 et ont été hospitalisés, dans un état grave ou non, ou encore sont décédés. À ma connaissance, aucun de ces cas n'a été déclaré et répertorié sur le site d'EudraVigilance, ce qui m'amène à poser une question à tous les lecteurs et à toutes les lectrices de cet article : Connaissez-vous quelqu'un ayant subi des effets secondaires graves après avoir été vacciné ? Écrivez-le dans les commentaires et précisez si oui ou non cet effet secondaire a été répertorié au niveau européen sur le site d'EudraVigilance. Si vous ne savez pas si l'effet secondaire a été recensé officiellement par le personnel médical, vous pouvez le lui demander.
Pourquoi ai-je précisé « des effets secondaires graves » ? Parce que l'un des arguments préférés de ceux qui affirment que les effets secondaires dus aux « vaccins » sont sans importance est le fait que ces effets secondaires seraient toujours mineurs : une fièvre légère presque toujours, et toujours passagère... C'est un mensonge, les chiffres d'EudraVigilance permettent de l'affirmer. Car même si « scientifiquement », comme l'affirment les « experts », rien n'est prouvé, comment affirmer que près de deux millions d'effets secondaires dont près de dix mille morts sont légers et passagers ?...
https://fr.sott.net/article/37096-Bientot-10-000-morts-et-2-millions-d-effets-secondaires-susceptibles-d-etre-lies-aux-vaccins-contre-la-Covid-19
Big Pharma Démasqué - debriefing de Xavier Bazin
RépondreSupprimerle 27/04/2021 à 20:18 - Mise à jour à 20:53
Big Pharma Démasqué, debriefing de Xavier Bazin
Debriefing avec Xavier Bazin, journaliste scientifique et auteur de ce nouveau livre "Big Pharma Démasqué", aux éditions Guy Trédaniel.
240 pages d'un livre sur la crise, de la chloroquine à la face noire du système de santé. Le livre est structuré en quatre grands chapitres... dont trois scandales. Le scandale numéro un est la diabolisation de l'hydroxychloroquine qui se conjugue en cinq actes. Pour suivre, le second scandale est celui de l'omertà sur la prévention et les remèdes naturels comme la vitamine D. Le lecteur plonge ensuite dans le scandale de l'obsession coûteuse pour la vaccination généralisée - imprudente comme écrit l'auteur.
Pour fini, Xavier Bazin explique comment "Big Pharma" manipule la science, les autorités et les médias.
Un debriefing audio qui permet de comprendre l'analyse de l'auteur en détail sur la crise avec quelques touches personnelles. Le livre est préfacé par le Dr Eric Menat qui dit de l'auteur :
Xavier Bazin nous livre ses réponses factuelles et nous montre avec talent et sans langue de bois les raisons de ces décisions qui n'ont pas été des erreurs pour tout le monde.
"Cette crise doit nous réveiller de notre torpeur" conclut l'auteur.
- voir clip sur site :
https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/big-pharma-demasque-debriefing-de-xavier-bazin
L'État profond mondial: un nouvel ordre mondial présenté par COVID-19
RépondreSupprimerPar John W. Whitehead et Nisha Whitehead
L'Institut Rutherford
28 avril 2021
«Un monde psychotique dans lequel nous vivons. Les fous sont au pouvoir.» - Philip K. Dick, The Man in the High Castle
Pour le meilleur ou pour le pire, COVID-19 a changé la façon dont nous naviguons dans le monde.
Il redessine également les frontières de notre monde (et de nos libertés) et modifie les règles du jeu plus vite que nous ne pouvons suivre.
En raison en grande partie des alliances profondes et, dans de nombreux cas, top-secrètes du gouvernement américain avec des nations étrangères et des entreprises mondiales, il est devenu de plus en plus évident que nous sommes entrés dans un nouvel ordre mondial - un ordre mondial mondial - constitué des agences gouvernementales internationales et des entreprises.
Cette puissante cabale internationale, appelons-la le Global Deep State, est tout aussi réelle que l'État profond américain corporatisé, militarisé et industrialisé, et elle représente une menace tout aussi grande pour nos droits que les individus en vertu de la Constitution américaine, sinon plus.
Nous nous sommes rapprochés de cet ordre mondial au cours des dernières décennies, mais le COVID-19, qui a vu les intérêts gouvernementaux et les intérêts des entreprises devenir encore plus étroitement liés, a fait passer cette transformation à la vitesse supérieure.
Le fascisme est devenu une menace mondiale.
On ne sait toujours pas si l'État profond américain («un appareil de sécurité nationale qui domine même les dirigeants élus en charge théoriquement») répond à l'État profond mondial, ou si l'État profond mondial ne fait que donner le pouvoir à l'État profond américain. Cependant, on ne peut nier la mesure dans laquelle ils sont intimement et symbiotiquement enchevêtrés et imbriqués.
Considérez dans quelle mesure nos vies et nos libertés sont affectées par cette convergence internationale des intérêts gouvernementaux et des entreprises à but lucratif dans l'État de surveillance, le complexe militaro-industriel, l'industrie des prisons privées, le secteur du renseignement, le secteur de la sécurité, le secteur de la technologie, le secteur des télécommunications, le secteur des transports, l'industrie pharmaceutique et, plus récemment, le secteur pharmaceutique-santé.
Tous ces secteurs sont dominés par des méga-sociétés opérant à l'échelle mondiale et travaillant par le biais des canaux gouvernementaux pour augmenter leurs marges bénéficiaires. Les politiques axées sur le profit de ces géants mondiaux des entreprises influencent tout, des politiques législatives à l'économie en passant par les problèmes environnementaux et les soins médicaux.
Maladie mondiale
RépondreSupprimerLa pandémie COVID-19 nous a propulsés dans une toute nouvelle frontière mondiale. Ceux qui espèrent naviguer dans ce monde interconnecté et hautement technologique de la recherche des contacts, des passeports vaccinaux et des laissez-passer numériques se retrouveront aux prises avec des problèmes qui touchent à des questions morales, politiques, religieuses et personnelles profondes pour lesquelles il n'y a peut-être pas de réponses claires.
Nous sommes sur le point de trouver notre capacité à accéder, à nous engager et à nous déplacer dans le monde en fonction du camp dans lequel nous appartenons: ceux qui ont été vaccinés contre le COVID-19 et ceux qui ne l'ont pas été.
«C'est le dernier symbole de statut. Flash-le sur les gens, et vous pouvez avoir accès à des concerts, des arènes sportives ou des tables de restaurant interdites depuis longtemps. Un jour, cela peut même vous aider à traverser une frontière sans avoir à vous mettre en quarantaine », écrit Heather Murphy pour le New York Times. «La nouvelle carte de platine de l'ère Covid est le certificat de vaccin.»
C'est ce que M.I.T. Le professeur Ramesh Raskar se réfère à la nouvelle «monnaie pour la santé», un surnom approprié étant donné le rôle potentiellement lucratif que les grandes entreprises (Big Pharma et Big Tech, en particulier) joueront dans l'établissement de ce marché payant. L'industrie du transport aérien a travaillé sur un Travel Pass. IBM développe un Digital Health Pass. Et le gouvernement américain a été très heureux de permettre au secteur des entreprises de prendre les devants.
Surveillance mondiale
Dirigé par la National Security Agency (NSA), qui s'est montrée peu soucieuse des limites constitutionnelles ou de la vie privée, l'État de surveillance en est venu à dominer notre gouvernement et nos vies.
Pourtant, le gouvernement n'agit pas seul. Ça ne peut pas. Il faut un complice.
Ainsi, les besoins de sécurité de plus en plus complexes de notre gouvernement fédéral massif, en particulier dans les domaines de la défense, de la surveillance et de la gestion des données, ont été satisfaits au sein du secteur des entreprises, qui s'est révélé être un allié puissant qui à la fois dépend et alimente la croissance. bureaucratie gouvernementale.
Prenez AT&T, par exemple. Grâce à son vaste réseau de télécommunications qui sillonne le monde, AT&T fournit au gouvernement américain l'infrastructure complexe dont il a besoin pour ses programmes de surveillance de masse. Selon The Intercept:
«La NSA considère AT&T comme l’un de ses partenaires les plus fiables et a salué la« volonté extrême d’aider »de la société. Il s’agit d’une collaboration qui remonte à des décennies. On sait peu, cependant, que son champ d’application ne se limite pas aux clients d’AT & T. Selon les documents de la NSA, elle valorise AT&T non seulement parce qu’elle «a accès aux informations qui transitent par le pays», mais aussi parce qu’elle entretient des relations uniques avec d’autres fournisseurs de téléphonie et d’Internet. La NSA exploite ces relations à des fins de surveillance, en réquisitionnant l’énorme infrastructure d’AT & T et en l’utilisant comme plate-forme pour exploiter secrètement les communications traitées par d’autres entreprises. »
RépondreSupprimerMaintenant, magnifiez ce que le gouvernement américain fait à travers AT&T à l'échelle mondiale, et vous avez le «programme 14 yeux», également appelé «SIGINT Seniors». Cette agence d'espionnage mondiale est composée de membres du monde entier (États-Unis, Royaume-Uni, Australie, Canada, Nouvelle-Zélande, Danemark, France, Pays-Bas, Norvège, Allemagne, Belgique, Italie, Suède, Espagne, Israël, Singapour, Sud Corée, Japon, Inde et tous les territoires britanniques d’outre-mer).
La surveillance n'est cependant que la pointe de l'iceberg en ce qui concerne ces alliances mondiales.
Profiter de la guerre mondiale
La guerre est devenue une énorme entreprise lucrative, et l'Amérique, avec son vaste empire militaire et ses relations incestueuses avec une foule d'entrepreneurs internationaux en matière de défense, est l'un de ses plus gros acheteurs et vendeurs.
Le complexe militaro-industriel américain a érigé un empire inégalé dans l'histoire dans sa largeur et sa portée, un empire dédié à la conduite d'une guerre perpétuelle sur toute la terre. Par exemple, tout en érigeant un État de surveillance de la sécurité aux États-Unis, le complexe militaro-industriel a perpétué un empire militaire mondial avec des troupes américaines stationnées dans 177 pays (plus de 70% des pays du monde).
Bien que le gouvernement fédéral obscurcisse tellement ses dépenses de défense qu'il est difficile d'obtenir des chiffres précis, nous savons que depuis 2001, le gouvernement américain a dépensé plus de 1,8 billion de dollars dans les guerres en Afghanistan et en Irak (soit 8,3 millions de dollars par heure). Cela n'inclut pas les guerres et les exercices militaires menés dans le monde entier, qui devraient faire grimper la facture totale de 12 billions de dollars d'ici 2053.
La fusion illicite de l’industrie mondiale de l’armement et du Pentagone contre laquelle le président Dwight D. Eisenhower nous a mis en garde il y a plus de 50 ans est devenue peut-être la plus grande menace pour les infrastructures fragiles du pays aujourd’hui. L’empire militaire en expansion des États-Unis saigne le pays à sec à un rythme de plus de 15 milliards de dollars par mois (ou 20 millions de dollars par heure) - et c’est exactement ce que le gouvernement dépense pour les guerres étrangères. Cela n'inclut pas le coût d'entretien et de dotation en personnel des plus de 1000 bases militaires américaines réparties dans le monde entier.
Incroyablement, bien que les États-Unis ne représentent que 5 % de la population mondiale, l'Amérique compte près de 50 % des dépenses militaires totales du monde, dépensant plus pour l'armée que les 19 autres pays les plus dépensiers réunis. En fait, le Pentagone dépense plus pour la guerre que les 50 États combinés dépensent pour la santé, l'éducation, le bien-être et la sécurité. Il y a une bonne raison pour laquelle «gonflé», «corrompu» et «inefficace» sont parmi les mots les plus couramment appliqués au gouvernement, en particulier au ministère de la Défense et à ses sous-traitants. L'arnaque des prix est devenue une forme de corruption acceptée au sein de l'empire militaire américain.
RépondreSupprimerCe n’est malheureusement pas seulement l’économie américaine qui est saccagée.
Poussée par un secteur de défense avide, la patrie américaine s'est transformée en champ de bataille avec une police militarisée et des armes mieux adaptées à une zone de guerre. Le président Biden, marchant au même rythme que ses prédécesseurs, a continué d'étendre l'empire militaire américain à l'étranger et au niveau national dans le but clair de se plier aux puissants intérêts financiers (militaires, corporatifs et de sécurité) qui dirigent l'État profond et tiennent le gouvernement dans ses griffes.
Police mondiale
Jetez un coup d'œil aux photos des forces de police internationales et vous aurez du mal à faire la distinction entre la police américaine et celles appartenant à d'autres nations. Il y a une raison pour laquelle ils se ressemblent tous, vêtus de l'uniforme militarisé et armé d'une armée permanente.
Il y a une raison pour laquelle ils agissent de la même manière et parlent un langage commun de la force: ils appartiennent à une force de police mondiale.
Par exemple, Israël - l'un des alliés internationaux les plus proches des États-Unis et l'un des principaux bénéficiaires annuels de plus de 3 milliards de dollars d'aide militaire étrangère américaine - a été à l'avant-garde d'un programme d'échange peu médiatisé visant à former la police américaine à agir comme occupant. forces dans leurs communautés. Comme le résume The Intercept, la police américaine «tire essentiellement des leçons des agences qui appliquent le régime militaire plutôt que le droit civil».
Cette idée de la police mondiale est renforcée par le programme Strong Cities Network, qui forme les services de police locaux à travers l'Amérique sur la manière d'identifier, de combattre et de prévenir l'extrémisme, ainsi que de lutter contre l'intolérance au sein de leurs communautés, en utilisant toutes les ressources à leur disposition. Les villes incluses dans le réseau mondial comprennent New York, Atlanta, Denver, Minneapolis, Paris, Londres, Montréal, Beyrouth et Oslo.
L'objectif est de prévenir l'extrémisme violent en ciblant sa source: racisme, sectarisme, haine, intolérance, etc. En d'autres termes, la police - agissant en tant que prolongement des Nations Unies - identifiera, surveillera et dissuadera les individus qui manifestent, expriment ou s'engagent dans tout ce qui pourrait être interprété comme extrémiste.
Bien entendu, le problème avec le programme anti-extrémisme du gouvernement est qu’il sera, dans de nombreux cas, utilisé pour rendre des activités par ailleurs légitimes et non violentes comme potentiellement extrémistes.
RépondreSupprimerGardez à l'esprit que les agences gouvernementales impliquées dans la recherche des «extrémistes» américains réaliseront leurs objectifs - identifier et dissuader les extrémistes potentiels - de concert avec les centres de fusion (qui sont au nombre de 78 dans tout le pays, avec des partenaires du secteur privé et mondial) , les agences de collecte de données, les scientifiques du comportement, les entreprises, les médias sociaux et les organisateurs communautaires et en s'appuyant sur une technologie de pointe pour la surveillance, la reconnaissance faciale, la police prédictive, la biométrie et l'épigénétique comportementale (dans laquelle les expériences de vie modifient la constitution génétique d'une personne).
C’est un pré-crime à une échelle idéologique et cela a pris du temps.
Commencez-vous à vous faire une idée maintenant ?
Sur presque tous les fronts, qu'il s'agisse de la guerre contre la drogue, de la vente d'armes, de la réglementation de l'immigration, de la création de prisons, de l'avancement de la technologie ou de la lutte contre une pandémie, s'il y a un profit à faire et un pouvoir à accumuler, vous Je peux parier que le gouvernement et ses partenaires mondiaux ont déjà conclu un accord qui met le peuple américain dans la partie perdante du marché.
Nous perdons nos libertés si progressivement depuis si longtemps - vendues à nous au nom de la sécurité nationale et de la paix mondiale, maintenues au moyen de la loi martiale déguisée en loi et ordre, et appliquées par une armée permanente de policiers militarisés et un politique l'élite est déterminée à maintenir ses pouvoirs à tout prix - qu'il est difficile de déterminer exactement quand tout a commencé à se détériorer, mais nous sommes certainement sur cette trajectoire descendante maintenant, et les choses avancent rapidement.
Le «gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple» a péri.
À sa place, il y a un gouvernement fantôme - une bureaucratie mondiale corporatisée, militarisée et enracinée - qui est pleinement opérationnel et dirige le pays.
Compte tenu de la trajectoire et de l'expansion spectaculaire, de la mondialisation et de la fusion des pouvoirs gouvernementaux et des entreprises, nous n'allons pas reconnaître ce pays dans 20 ans.
Il a fallu moins d’une génération pour que nos libertés s’érodent et que la structure du Global Deep State soit érigée, élargie et enracinée.
Notez mes mots: le gouvernement américain ne nous sauvera pas des chaînes du Global Deep State.
Maintenant, il y a ceux qui vous diront que toute mention d'un gouvernement du Nouvel Ordre Mondial - une élite au pouvoir conspirant pour régner sur le monde - relève des théories du complot.
Je ne fais pas partie de ces sceptiques.
RépondreSupprimerJe crois sincèrement qu’il faut toujours se méfier de ceux qui sont au pouvoir, s’alarmer au premier empiétement sur ses libertés et établir de puissants contrôles constitutionnels contre les méfaits et les abus du gouvernement.
Je peux aussi attester du fait que le pouvoir corrompt, et le pouvoir absolu corrompt absolument.
J'ai suffisamment étudié l'histoire de ce pays - et l'histoire du monde - pour savoir que les gouvernements (le gouvernement américain ne faisant pas exception) sont parfois indiscernables du mal qu'ils prétendent combattre, que ce mal prenne la forme du terrorisme, de la torture, de la drogue trafic, trafic sexuel, meurtre, violence, vol, pornographie, expérimentations scientifiques ou tout autre moyen diabolique d'infliger douleur, souffrance et servitude à l'humanité.
Et j'ai vécu assez longtemps pour voir de nombreuses soi-disant théories du complot se transformer en fait froid et dur.
Rappelez-vous, les gens se moquaient de la notion d'État profond (également connu sous le nom de gouvernement fantôme). Ils avaient l'habitude de douter que le fascisme puisse jamais s'installer en Amérique, et se moquent de toute suggestion selon laquelle les États-Unis commençaient à ressembler à l'Allemagne nazie dans les années qui ont précédé la montée au pouvoir d'Hitler.
Comme je le détaille dans mon livre Battlefield America: The War on the American People, nous commençons à mieux nous connaître, n'est-ce pas ?
https://www.lewrockwell.com/2021/04/no_author/the-global-deep-state-a-new-world-order-brought-to-you-by-covid-19/
(...) Le «gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple» a péri. (...)
SupprimerLe «gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple» n'a JAMAIS Existé aux USA !
La Liberté c'est d'ouvrir les yeux tout seul ! D'ouvrir la bouche tour seul ! De parler, de crier tout seul ! D'écouter tour seul ! Et d'enregistrer sans l'aide des autres ! Whôaw !
L'embarquement dans les avions augmente le risque d'infection au COVID-19
RépondreSupprimer28 AVRIL 2021
par Bob Yirka, Medical Xpress
Une équipe de chercheurs de l'Université de West Florida, de la Florida State University et de l'Embry-Riddle Aeronautical University a découvert que l'embarquement des passagers d'un avion de l'arrière vers l'avant augmente leur risque d'infection au COVID-19 par rapport à l'embarquement aléatoire. Dans leur article publié dans la revue Royal Society Open Science, le groupe décrit des simulations qu'il a créées pour étudier la dynamique du chargement des avions de passagers pendant la pandémie.
Alors que les taux d'infection et les décès dus à la pandémie ont chuté aux États-Unis et que les niveaux de vaccination ont augmenté, les compagnies aériennes ont modifié certaines de leurs procédures pour inciter les gens à recommencer à voyager par avion. Un changement consiste à embarquer les gens à l'avant de l'avion plutôt qu'au hasard. L'idée a été que si les gens sont assis de l'arrière de l'avion à l'avant, aucun d'entre eux n'aura à passer par d'autres qui sont déjà montés à bord. Avec l'embarquement aléatoire traditionnel, les passagers finissent par se croiser, infectant potentiellement ceux en cours de route. Dans ce nouvel effort, qui fait partie du programme de propagation des infections virales par le transport aérien, les chercheurs ont créé une multitude de simulations pour tester cette théorie d'embarquement.
Les simulations, qui comprenaient 16 000 mouvements de passagers possibles, ont révélé que l'embarquement de l'arrière vers l'avant était en fait bien pire que l'embarquement aléatoire. Cela est dû à la nature humaine: les chercheurs ont constaté que si les passagers montaient à bord en premier à l'arrière, ils avaient tendance à former des grappes lorsqu'ils devaient mettre leurs bagages dans des bacs suspendus. Le regroupement s'est produit, ont constaté les chercheurs, car les passagers essayaient tous de ranger leurs bagages dans la même partie de l'avion en même temps. Un examen plus approfondi a montré que l'utilisation de l'approche dos à front augmentait l'exposition à l'infection d'environ 50%. Les chercheurs notent que des études antérieures impliquant la transmission du virus Ebola par avion ont montré que le regroupement dans les allées était le plus grand facteur de risque.
Les chercheurs ont également constaté que, quel que soit le processus d'embarquement utilisé, l'élimination de la possibilité de ranger les bagages dans des coffres à bagages réduisait considérablement le risque d'infection pour tous les passagers d'un avion. Ils ont également constaté que l'embarquement des passagers aux hublots avait d'abord contribué à réduire le risque d'exposition.
https://medicalxpress.com/news/2021-04-boarding-back-to-front-planes-covid-infection.html
Cela démontre bien que l'emprisonnement à domicile ('confinement') contribue forcément à répandre une infection aux proches comme il en est sur un bateau de croisière qui flotte au-dessus des eaux d'où s'envolent des milliards de milliards de virus.
SupprimerTerrorisme: avec la surveillance algorithmique sur Internet, demain, tous fichés ?
RépondreSupprimer19:48 27.04.2021
Le gouvernement va présenter un projet de loi censé renforcer la prévention d’actes de terrorisme. Parmi les mesures prévues, une surveillance accrue des données de connexion Internet pour l’ensemble des utilisateurs. Gérald Arboit, spécialiste du renseignement, fustige une «mesure d’habillage» dont l’efficacité reste à prouver. Explications.
Hasard du calendrier ou opportunité politique saisie au vol ? Quelques jours seulement après l’attentat islamiste de Rambouillet qui a coûté la vie à une adjointe administrative du commissariat de police de la ville, l’exécutif entend montrer qu’il agit de renforcer les moyens de lutte contre le terrorisme. Ce mercredi 28 avril, Gérald Darmanin doit ainsi présenter en Conseil des ministres un projet de loi relatif à la prévention d’actes de terrorisme et au renseignement.
C’est surtout sur le volet surveillance en ligne que le gouvernement semble vouloir insister. Dans le Journal du dimanche du 25 avril dernier, le ministre de l’Intérieur a ainsi indiqué que le texte prévoirait notamment un «recours aux algorithmes, c’est-à-dire le traitement automatisé des données de connexion, par la DGSI [Direction générale de la sécurité intérieure, ndlr]». Dit autrement, les services de renseignement auraient la possibilité d’analyser massivement l’adresse URL des sites Internet consultés par les Français.
«Pour les services de renseignement, cela va signifier énormément plus de travail avec énormément moins de budget et de personnes», pronostique Gérald Arboit, spécialiste du renseignement
Pour le chercheur associé au Conservatoire national des arts et métiers (Cnam), ce projet de loi ne «change pas radicalement les choses» dans la lutte contre le terrorisme en France. Dans les cartons depuis plusieurs mois, le texte vise à inscrire dans le droit des dispositifs jusqu’ici limités dans le temps et introduits à titre expérimental par la loi renseignement de 2015. «On se sert de l’attentat de Rambouillet pour présenter ce projet de loi prévu depuis longtemps et ainsi lui donner une légitimité médiatique», tacle Gérald Arboit.
«On est très loin encore de ce que font les Américains»
RépondreSupprimerTrès concrètement, des algorithmes pourront passer au crible l’intégralité des adresses URL des sites web consultés par les internautes afin notamment de détecter la connexion et l’intérêt éventuel d’un individu vers des sites liés au terrorisme. Les services de renseignement pourront donc avoir définitivement recours aux fameuses «boîtes noires» expérimentées depuis 2017. Ces dernières ont pour rôle de collecter et d’analyser des métadonnées, c’est-à-dire toutes les informations périphériques donnant du contexte à un contenu. En théorie, elles ne peuvent pas lire le contenu d’un message envoyé en ligne mais simplement recouper des informations potentiellement suspectes ou sensibles afin de détecter d’éventuelles menaces ou des préparations d’attentats. Une technique algorithmique qui fait relativiser les craintes pour les libertés individuelles, assure notre interlocuteur. «On est très loin encore de ce que font les Américains, par exemple. On n’a pas de NSA [National Security Agency, agence de renseignement américaine, ndlr] en France ! Nous n’avons que trois boîtes noires censées contenir les algorithmes pour la lutte antiterroriste. La France reste ‘petit bras’ à ce niveau-là!», lance Gérald Arboit.
«Les données informatiques sont déjà captées par des cookies et il y a de fortes chances pour qu’elles soient gardées au-delà de cinq ans, vu les mails de publicité ciblée que l’on reçoit ! Ce n’est pas un recul pour les libertés publiques car les données seront anonymisées. C’est même plutôt une protection supplémentaire par rapport aux sites commerciaux: il n’y a pas de violation des libertés individuelles», affirme le spécialiste du renseignement.
Dans le même esprit, le texte du projet de loi porte à deux mois la durée d’autorisation de la technique de recueil de données informatiques et facilite l’interception des correspondances échangées par voie satellitaire. Une preuve supplémentaire que le gouvernement «table sur l’intelligence artificielle» dans la lutte contre le terrorisme, avance le chercheur du Cnam. «Le fait de vouloir garder les informations de connexion et les attitudes numériques permet de nourrir les algorithmes», analyse-t-il.
Le 21 avril dernier, le Conseil d’État validait d’ailleurs, au grand dam des défenseurs des libertés individuelles, la conservation généralisée des données de connexion en dehors des situations exceptionnelles d’état d’urgence sécuritaire, refusant ainsi d’appliquer un arrêt de la Cour de justice de l’UE (CJUE) qui estimait de son côté qu’une telle disposition était contraire aux droits fondamentaux.
«De la communication plus qu’autre chose»
Adoption de la loi sécurité globale: «Des changements purement cosmétiques»
Reste que l’efficacité de ces mesures n’est pas encore prouvée. Fin 2019, Le Monde révélait que sur sur cinquante-neuf attentats déjoués au cours des six années précédentes, un seul l'avait été grâce à une surveillance numérique en amont. «En règle générale, il n’y a pas de plan préétabli d’une action terroriste. On est désormais sur des actes irréfléchis: ces gens-là passeront toujours sous les radars, quelles que soient les mesures que l’on prendra», décrypte Gérald Arboit.
«On est sur de la communication plus qu’autre chose. Les données sont de toute façon récupérées de manière rétrospective et ne peuvent pas empêcher un attentat ou une attaque avant qu’elle ait lieu.»
RépondreSupprimerRien ne dit, par conséquent, que la stratégie affichée par le gouvernement ne se révélera payante en matière de lutte contre le terrorisme. Face à ce que le spécialiste de l’islam Gilles Kepel nomme désormais un «djihadisme d’atmosphère», par définition imprévisible et indétectable, les moyens mis à la disposition des services de renseignement semblent bien maigres. Les trois derniers attentats perpétrés en France n’ont de fait pas été commis par des individus fichés S. «Il faudrait déjà définir l’état de la menace: cela ne peut être fait que par des moyens humains et non pas une veille constante par des moyens techniques», avertit Gérald Arboit. «On est sur de l’habillage et non sur une refondation de la pensée antiterroriste en France», tranche le chercheur.
(...) On n’a pas de NSA [National Security Agency, agence de renseignement américaine, ndlr] en France ! (...)
SupprimerNon, c'est pire ! Suffit de regarder le nombre vertigineux de vidéos supprimées sur Google-France, les sites détournés en miroir et les courriers effacés !
Projet de loi antiterroriste : le renseignement va analyser l'historique web des internautes
RépondreSupprimerEgalité et Réconciliation
mar., 27 avr. 2021 21:58 UTC
Le gouvernement veut muscler son jeu face au terrorisme, notamment sur le Web. Dans un projet de loi prévu pour ce mercredi 28 avril et révélé par le site Next INpact, l'exécutif annonce la mise à jour de plusieurs articles majeurs de la loi sur le renseignement de 2015. L'une des principales nouveautés concerne la possibilité pour les services de renseignement d'analyser massivement l'adresse URL des sites internet consultés par les Français.
L'URL, une donnée personnelle ? En 2015, le gouvernement Valls avait imaginé un cadre juridique permettant aux services de renseignement de placer des « boîtes noires » chez les opérateurs téléphoniques ou chez les hébergeurs français, afin de récolter les « métadonnées » des internautes français, et, grâce à des algorithmes, de créer une alerte en cas d'activité pouvant être jugée suspecte.
Jusque-là, ces métadonnées ne concernent que des informations techniques, comme l'heure de la connexion à un site Web ou l'adresse IP d'un internaute. Selon le nouveau projet de loi, les URL (adresses des sites Web) pourront désormais être analysées, comme le préconisait un rapport d'information publié en juin 2020 et présenté par le député LR Guillaume Larrivé.
Concrètement, des algorithmes pourront passer au crible l'intégralité des adresses URL des sites Web consultés par les Français, afin notamment de détecter la connexion - et l'intérêt - d'un individu vers des sites liés au terrorisme.
L'URL d'un site Web a en effet un statut particulier : il s'agit à la fois d'une donnée technique, permettant à un navigateur d'afficher le site en question, mais également d'une donnée personnelle, le nom du site pouvant refléter une part de la vie privée de l'internaute. Ainsi d'un site consacré à une maladie spécifique, ou à un parti politique.
Auprès du JDD, le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin évoquait ce dimanche l'utilisation d'algorithmes pour analyser les données récoltées et identifier des menaces comme la connexion récurrente d'un internaute à un site extrémiste. Des algorithmes déjà en place depuis 2017, mais dont aucune mesure d'efficacité n'a été communiquée.
Des mesures déjà jugée obsolètes
RépondreSupprimerUne échappatoire qui prend la forme depuis plusieurs années de messageries chiffrées, les délinquants et terroristes passant du SMS aux applications telles que WhatsApp ou Signal. Des systèmes qui peuvent profiter à n'importe quel internaute néophyte, mais qui échapperont totalement au texte prévu par Gérald Darmanin.
Patrick Calvar, ancien numéro un de la DGSI, évoquait début 2018 une puissance toute relative comparée à celle des réseaux sociaux - américains ou chinois - plateformes "bien plus puissantes que les services du renseignement même si les objectifs poursuivis ne sont pas les mêmes et surtout les données sont communiquées volontairement".
"On a malheureusement cette dérive du politique terrorisé par les terroristes qui agit sans démontrer l'efficacité de ce qui a déjà été fait. En communiquant trop bruyamment sur cette histoire d'URL, on ne va que précipiter le fait que l'intelligence échappe à l'opérateur" regrette pour sa part Alexandre Archambault, avocat spécialisé dans le numérique, auprès de BFMTV.
Une échappatoire qui prend la forme depuis plusieurs années de messageries chiffrées, les délinquants et terroristes passant du SMS aux applications telles que WhatsApp ou Signal. Des systèmes qui peuvent profiter à n'importe quel internaute néophyte, mais qui échapperont totalement au texte prévu par Gérald Darmanin.
Source : bfmtv.com
Commentaire : Mais c'est le citoyen qu'ils veulent surveiller.
https://fr.sott.net/article/37098-Projet-de-loi-antiterroriste-le-renseignement-va-analyser-l-historique-web-des-internautes
Une culture d'intimidateurs climatiques peut utiliser vos fonds de retraite contre vous
RépondreSupprimerApril 27th, 2021
Qui a voté pour les fonds de pension de retraite pour décider de la politique énergétique ?
Et vous pensiez que nous avions élu un gouvernement pour gérer notre politique énergétique nationale?
Les entreprises doivent adopter les objectifs d'émissions de Paris même si le gouvernement ne le fait pas, disent les grands investisseurs.
The gardian
Donc, même si les électeurs ne veulent pas d '«action climatique», par défaut, ils se faufilent par la porte arrière, à moins qu'ils n'y prêtent attention.
Dans ce cas, les «grands investisseurs» sont une petite équipe d’activistes qui dirigent un club auquel certaines sociétés de retraite ont adhéré, même si on ne sait pas pourquoi. Peut-être qu'ils se sont joints pour «regarder réveillé» ou peut-être nourrissent-ils le crocodile de peur d'être pris pour cible?
L'Australian Council of Superannuation Investors (ACSI) n'essaie pas de persuader les fonds ou les investisseurs de passer au vert avec raison, mais semble fonctionner selon les principes d'annulation de la culture à l'échelle de l'entreprise. Leur objectif, apparemment, est d'intimider les administrateurs de votre Superfund afin qu'ils intimident eux-mêmes les entreprises dans lesquelles ils investissent. À la manière de Saul Alinsky, ils menacent efficacement les administrateurs qu'ils pourraient être personnellement isolés et ciblés s'ils ne sont pas perçus comme étant suffisamment favorables au Woke la religion (c'est-à-dire le climat, l'esclavage, les trucs au plafond de verre). D'une manière ou d'une autre, l'ACSI peut «recommander aux membres de voter contre la réélection des administrateurs» ?
En Australie, le gouvernement oblige tout le monde à mettre de l'argent dans la «Superannuation» (comme le 401K aux États-Unis). ASCI obtient une partie de cet argent forcé des Superfunds sous forme de frais d'adhésion, puis, à son tour, exige que les entreprises utilisent votre argent pour réaliser quelque chose pour lequel vous n'auriez pas voté ou investi dans vous-même. C’est beaucoup d’argent. ASCI a une «adhésion» de 36 fonds de pension de retraite: ensemble, ils gèrent plus d'un billion de dollars, ou comme on dit… ils «possèdent en moyenne 10 % de chaque entreprise ASX200». L'année dernière, ASCI a encaissé près de 4 millions de dollars de frais pour eux-mêmes sur les superfunds afin de faire pression sur les superfunds. Voyez comment cela fonctionne ?
Hier soir, SBS a divulgué la nouvelle avec des éloges élogieux selon lesquels ACSI allait cibler (et intimider) les dirigeants d'entreprises qui étaient plus soucieuses de réaliser des bénéfices pour vous - plutôt que de respecter l'accord de Paris. La honte !
Cette semaine, l'ASCI a une «nouvelle politique climatique» se nommant ainsi des dirigeants et des génies de la science.
RépondreSupprimerSi les médias révélaient cette prise de pouvoir et ce militantisme, les gens en masse pourraient retirer leurs fonds et les Superfunds qui se livraient à ces conseils «à la mode» inutiles pour abuser de votre argent les abandonneraient.
Le conseil des pensions au sérieux sur le risque climatique
Cliona O'Dowd, l'Australienne
«Au lieu de simplement demander aux gens de faire rapport et de nous parler de ce qu'ils font, nous disons maintenant que la gouvernance pour cela relève du conseil d'administration, et nous tiendrons le conseil responsable si nous ne croyons pas que l'entreprise est faire tout ce dont ils ont besoin sur le climat.
Les banques alertées sur les risques climatiques
«Les risques liés au changement climatique sont profondément ancrés dans le système financier et ont un impact sur tous les secteurs et toutes les classes d'actifs. Pour les investisseurs à long terme, cela pose un sérieux défi à la création de valeur à long terme dans tous les portefeuilles d'investissement. »
«L’engagement actif et constructif» de l’ACSI avec les 200 premières sociétés cotées a conduit à des améliorations dans les pratiques des entreprises, a-t-elle déclaré, en avertissant qu’il fallait faire plus.
«Toutes les entreprises n'ont pas écouté les attentes des investisseurs… Afin de mettre davantage l'accent sur les risques liés au climat dans les entreprises qu'elles investissent, l'ACSI peut recommander aux membres de voter contre la réélection des administrateurs.»
L'un des mystères est pourquoi un fonds ferait partie de l'ASCI ? Que reçoivent-ils ? Selon ASCI, ils reçoivent des conférences et la possibilité de rejoindre leur conseil d'administration et de donner des conférences à d'autres personnes, mais pas grand-chose d'autre.
L'appartenance à ce groupe est-elle simplement motivée par une peur sans fil ou est-ce une stratégie publicitaire ?
Il est temps de voter avec vos dollars
Si votre fonds est répertorié ici, il serait utile que vous leur écriviez pour leur demander pourquoi ils sont membres d'un groupe qui dit spécifiquement que ses objectifs ne sont pas de «retourner un profit aux actionnaires» ? Votre caisse de retraite vous soutient-elle ou soutient-elle la religion de Woke ? S'ils ne donnent pas de réponse satisfaisante, faites-leur savoir que vous prévoyez de trouver un autre fonds et de faire passer le mot. Si vous obtenez une réponse, veuillez la partager avec nous.
Membres de l'ASCI
RépondreSupprimer- voir cadre sur site -
Qui est ce génie de l'énergie et du climat - Louise Davidson, PDG ?
Elle en sait beaucoup sur la production d'électricité et la réalisation de profits (pas):
Nommée directrice générale du groupe d'investisseurs en avril 2015, Mme Davidson possède plus de 20 ans d'expérience dans le secteur des services financiers et des retraites.
Elle a rejoint ACSI en provenance de Cbus, où elle gérait leurs investissements environnementaux, sociaux et de gouvernance d'entreprise (ESG).
Qui est heureux de cacher son rôle d'intimidateur d'entreprise ?
Mme Davidson dit que l'ACSI est souvent décrite comme des «activistes sociaux», mais que l'intention n'est pas d'agir contre les entreprises. Elle dit que c'est pour s'engager et les aider à devenir plus performants et plus rentables.
Étant donné que le but de l'ASCI n'est «pas la rentabilité» et qu'ils n'agitent pas contre les administrateurs qui dirigent des entités non rentables, mais contre les administrateurs qui ne sont pas encore évangéliques à propos de la religion réveillée, il est clair qu'elle est heureuse de tromper et de désinformer avec un visage honnête .
C’est juste une autre façon de vous débarrasser du pouvoir.
Mais tout est juste dans l’amour et la guerre, et ils profitent d’investisseurs endormis qui pensent pouvoir donner leur argent à d’autres sans y prêter attention. Les parasites ne s'en tireraient pas si les médias s'en préoccupaient, les politiciens étaient courageux et les investisseurs pouvaient investir dans des fonds qui «choisissaient une énergie rentable bon marché» plutôt que le vaudou et les modes.
Il est temps de faire attention.
ASCI 2020 Annual Review
https://joannenova.com.au/2021/04/who-voted-for-superannuation-funds-to-decide-energy-policy/
Pic pétrolier ? On verra plus tard
RépondreSupprimerle 28 avril 2021
Dans les cercles très fermés des « pétroliers », en d’autres termes les grandes Major pétrolières, il se chuchote que les réserves de pétrole et de gaz ne seront épuisées que dans 200 ans. Cette information est difficile à croire, néanmoins elle a circulé sur divers sites d’information non « officiels », comme s’il ne fallait croire que les médias contrôlés par les gouvernements occidentaux. Il est vrai que les dites réserves de pétrole et de gaz sont classées secret-défense et seuls les géologues travaillant pour ces compagnies d’exploration et d’exploitation connaissent les réelles réserves que contiennent les sédiments rocheux proches de la surface, c’est-à-dire à moins de 10 000 mètres de profondeur. En ce qui concerne le charbon, je m’étais arrêté sur des réserves de l’ordre de 200 ans au rythme de consommation de l’année 2019 comme pour ces rumeurs officieuses relatives aux réserves de pétrole. Si l’information citée ci-dessus est exacte alors on pourrait considérer que les réserves de charbon non exploitables économiquement aujourd’hui pourraient couvrir les besoins énergétiques mondiaux peut-être pour encore 300 ou 400 ans.
L’humanité a encore de beaux jours à vivre quelles que soient les déclarations alarmistes de écologistes qui ont oublié que restituer du gaz carbonique séquestré il y a des centaines de millions d’années favorisait la végétation terrestre et la prolifération planctonique. Certes les océans constituent le plus important piège de la planète pour le gaz carbonique, alors toute augmentation considérée comme indésirable pour le climat sera prise en charge par les océans. Ce piégeage du gaz carbonique par les océans obéit à de très subtiles réactions chimiques et une modification de ce que l’on appelle les conditions initiales, en d’autres termes une augmentation de la teneur en gaz carbonique de l’atmosphère, conduira a un renforcement de ce piégeage. Quant à l’oxygène qui se dissout également dans l’eau océanique il y en aura toujours assez dans l’atmosphère pour ne pas mourir d’asphyxie. Ce piège océanique tant du gaz carbonique que de l’oxygène est illustré par l’abondance de la vie planctonique et marine en général dans toutes les zones du globe où existent des phénomènes dits d’upwelling ( https://en.wikipedia.org/wiki/Upwelling ) provoqués par des vents qui poussent l’eau dans leur direction. Comme le niveau de la mer ne peut pas baisser de l’eau profonde remonte en surface, le long des côtes sud-africaines, de l’Oregon et de la Californie ou encore entre le Maroc et l’archipel des Canaries, le long des côtes du sud du Chili et autour de l’Antarctique. Les eaux y sont incroyablement poissonneuses car elles sont riches en phyto-plancton qui se nourrit de gaz carbonique et de zoo-plancton qui dispose d’oxygène et se nourrit à son tour de phyto-plancton. C’est bien là l’une des preuves les plus convaincantes de l’utilité du gaz carbonique pour la vie.
Après cette entrée en matière que se passera-t-il quand les programmes de « neutralité carbone » progressivement mis en place par les pays occidentaux pour « sauver » le climat auront atteint leur but ? Il ne se passera rien ! Tout simplement parce que le gaz carbonique issu des activités énergétiques humaines ne représente qu’à peine 5 % de l’ensemble de ce gaz atmosphérique et que sa durée de vie (laps de temps pour que la moitié de ce gaz disparaisse par piégeage océanique ou par la biosphère) est d’environ 5 ans. Je rappelle à ceux des lecteurs de mon blog qui auraient des doutes que ces données sont disponibles et accessibles dans la littérature scientifique. Le grand coup de bluff des tenants de l’effet de serre du gaz carbonique prétendant que 10 % de diminution des émissions de ce gaz durant l’année 2020 en raison des confinements massifs des populations allait avoir un effet bénéfique sur climat est facilement démonté. En effet, 10 % de 5 % de gaz carbonique est inférieur à la limite de sensibilité des instruments de l’observatoire de Mona Loa. Il n’y a, cependant, aucun doute qu’un jour la planète sera totalement dépourvue de combustibles carbonés fossiles, mais ce sera dans plusieurs siècles. L’humanité dispose donc de beaucoup de temps pour s’adapter comme d’ailleurs elle a toujours su le faire dans le passé. Le climat continuera à évoluer à son rythme quoiqu’en pensent les tenants du réchauffement provoqué par les activités humaines …
RépondreSupprimerhttps://jacqueshenry.wordpress.com/2021/04/28/pic-petrolier-on-verra-plus-tard/
Primo, le pétrole est éternel. Abiotique.
SupprimerSecundo, le charbon se reconstitue lui aussi grâce aux gaz émis lors de sa combustion et repris par le phytoplancton à la surface des eaux.
Tertio, les gaz ne descendent pas ! Le magma est LE producteur de tous les gaz de notre atmosphère (jusqu'aux plus toxiques). Sans la masse ferrique incandescente il n'y aurait PAS d'oxygène (même sans végétation sur terre il y aurait toujours de l'oxygène) dans les mers & océans et donc: pas de vie (poissons, coquillages & crustacés).
TOUS les gaz de l'atmosphère se recombinent. S'ils ne se recyclaient pas il n'y aurait pas de vie sur Terre.
Toutes les réserves de pétrole, gaz, charbon, etc sont géolocalisées par la technologie scalaire qui permet de connaître où se trouvent les couches, les profondeurs, l'épaisseur, longueur et largeur et pression (pour les gaz).
Les 'bombes thermiques' détruisant la banquise arctique
RépondreSupprimerpar Bangor University
27 AVRIL 2021
Une équipe dirigée par des océanographes physiques de la Scripps Institution of Oceanography de l'Université de Californie à San Diego, et comprenant un scientifique de l'Université de Bangor, montre dans une nouvelle étude comment des panaches d'eau chaude se déversent dans l'océan Arctique depuis l'océan Pacifique et accélèrent la fonte des glaces de mer par le bas.
La recherche financée principalement par l'Office of Naval Research décrit les soi-disant «bombes thermiques» sous-marines comme l'un des nombreux mécanismes par lesquels l'empiètement causé par le réchauffement climatique change la nature de l'océan Arctique plus rapidement que presque n'importe quel autre endroit sur Terre. Cela s'ajoute à un ensemble croissant de preuves qui suggèrent que la glace de mer arctique, source de stabilité climatique mondiale, pourrait disparaître pendant de plus grandes parties de l'année.
<< Le taux d'accélération de la fonte des glaces de mer dans l'Arctique a été difficile à prévoir avec précision, en partie à cause de toutes les rétroactions locales complexes entre la glace, l'océan et l'atmosphère; ce travail montre le rôle important dans le réchauffement que joue l'eau des océans dans le cadre de ces réactions », a déclaré Jennifer MacKinnon, océanographe physique à Scripps, scientifique en chef de l'expédition et auteur principal de l'article.
L'étude paraît dans la revue Nature Communications.
L'Arctique est un océan inhabituel
Le Dr Yueng-Djern Lenn, lecteur en océanographie physique à la School of Ocean Sciences de l'Université de Bangor, a déclaré: «Ce fut un privilège pour nous de collaborer avec nos collègues américains pour recueillir les mesures biogéochimiques effectuées au cours de cette expérience sur le terrain. Ces nutriments et isotopes les données que nous avons collectées ont été utiles pour retracer l'origine du panache et nous ont également permis d'explorer l'impact de la dynamique du panache sur l'apport en nutriments profonds au phytoplancton transporté depuis les mers du plateau jusqu'au bassin central de la mer de Beaufort. "
L'Arctique est un océan inhabituel en ce qu'il est stratifié - ou stratifié - par la salinité plutôt que par la température. La plupart des océans du monde ont une eau plus chaude et plus légère près de la surface et une eau plus froide et plus dense en dessous. Dans l'Arctique, cependant, il existe une couche superficielle qui est froide mais très fraîche, influencée par l'écoulement fluvial et par l'accélération de la fonte des glaces. De l'eau chaude et relativement salée entre de l'océan Pacifique par le détroit de Béring, puis le canyon de Barrow au large de la côte nord de l'Alaska, qui agit comme une buse lorsque l'eau s'écoule dans le passage étroit.
RépondreSupprimerParce que cette eau est plus salée que l'eau de surface de l'Arctique, elle est suffisamment dense pour «subducter» ou plonger sous la couche de surface fraîche de l'Arctique. Son mouvement crée des poches d'eau très chaude qui se cachent sous les eaux de surface. Les scientifiques ont vu ces poches d'eau souterraine chaude se renforcer au cours de la dernière décennie.
Ces poches connues sous le nom de 'bombes thermiques' sont juste assez stables pour pouvoir durer des mois ou des années, tourbillonnant loin au nord sous la banquise principale près du pôle nord, et déstabilisant cette glace au fur et à mesure que la chaleur qu'elles contiennent se diffuse progressivement mais régulièrement vers le haut. pour faire fondre la glace. Jusqu'à présent, cependant, le processus par lequel les sous-conduits d'eau chaude n'a pas été observé ni compris. Sans cette compréhension, les climatologues n'ont pas été en mesure d'inclure cet effet important dans les modèles de prévision, dont certains sous-prédisent l'accélération Taux de fonte de la glace de mer. Étant donné que l'afflux d'eau chaude originaire du Pacifique a augmenté au cours des dix dernières années environ, ces travaux s'ajoutent à un nombre croissant de preuves selon lesquelles la glace de mer de l'Arctique, source de stabilité du climat mondial, pourrait disparaître pour une grande partie de l'année.
Les travaux soulignent l'importance de la collaboration entre plusieurs institutions
Lors d'une expédition de 2018 financée par le US Office of Naval Research, des scientifiques ont pour la première fois pris en flagrant délit l'un de ces événements de subduction dramatiques. Le groupe a utilisé une combinaison de nouveaux instruments océanographiques développés par le groupe Multiscale Ocean Dynamics à Scripps, des observations satellitaires analysées par des collègues de l'Université de Miami, profilant les données de flotteurs de la National Oceanic and Atmospheric Administration, des échantillons biologiques collectés par des collègues britanniques et allemands travaillant dans un projet connu sous le nom de Changing Arctic Ocean, et une analyse détaillée des données par des collègues de plusieurs autres institutions.
RépondreSupprimer«Le succès du groupe met en évidence les nouvelles perspectives que nous pouvons voir sur le monde naturel lorsque nous le regardons sous un nouveau jour», a déclaré l’océanographe de Scripps Matthew Alford.
"Cette vue détaillée des processus complexes régissant le transport de la chaleur dans l'Arctique n'aurait pas été possible sans plusieurs suites d'instruments simultanées, y compris la télédétection et les profileurs de bord personnalisés et autonomes développés à Scripps", at-il déclaré.
Les instruments du groupe Scripps Multiscale Ocean Dynamics comprennent un capteur "Fast CTD" personnalisé qui fait des profils très rapides à partir du navire, et un "Wirewalker" autonome qui utilise l'énergie des vagues de l'océan pour générer des mesures de profilage. Ces instruments permettent aux scientifiques d'obtenir des images haute résolution de processus océaniques complexes, et ainsi de mieux comprendre leur fonctionnement en détail.
Ce travail souligne également l'importance de la collaboration entre plusieurs institutions, entre plusieurs agences de financement américaines et avec des partenaires internationaux; la profondeur de la compréhension obtenue ici découle de la diversité des outils et des perspectives qu'apportent ces collaborations.
Un travail collaboratif avec des scientifiques du Royaume-Uni et d'Allemagne montre que cette eau chaude souterraine possède également des propriétés biogéochimiques uniques dans l'Arctique. On s'attend à ce que ce mélange d'organismes et de produits chimiques ait des implications importantes pour l'écosystème arctique en évolution.
https://phys.org/news/2021-04-arctic-sea-ice.html
(...) une nouvelle étude comment des panaches d'eau chaude se déversent dans l'océan Arctique depuis l'océan Pacifique et accélèrent la fonte des glaces de mer par le bas. (...)
SupprimerWhôaw ! Grande découverte ! Hahahaha ! Il y aurait des sources chaudes sous la mer et les océans ! Cà alors !! (elles existent depuis des milliards d'années et se comptent en millions ou milliards).
Les volcans ne sont pas tous terrestres ! Eh oui ! Des millions (milliards ?) de sources chaudes tapissent les planchers maritimes & océaniques. Elles se bouchent ou s'ouvrent ici ou là et modifient les chaleurs emportées par les courants maritimes & océaniques. Ces lames de fond ressortent parfois aux Côtes d'azur ou côtes bretonnes et apportent une douceur atmosphérique.
Pourquoi certains propriétaires de voitures électriques reviennent à l'achat de véhicules à essence
RépondreSupprimerpar Bob Yirka, Tech Xplore
28 AVRIL 2021
Deux chercheurs de l'Institute of Transportation Studies de l'Université de Californie, Davis s'est penché sur le problème de certaines personnes qui achètent des véhicules électriques qui reviennent aux voitures à essence comme véhicules de suivi. Dans leur article publié dans la revue Nature Energy, Scott Hardman et Gil Tal décrivent l'enquête qu'ils ont envoyée aux acheteurs de véhicules électriques en Californie et ce qu'ils ont appris de ceux qui les ont remplis et renvoyés.
Des recherches antérieures ont montré qu'environ 20% des personnes qui achètent ou louent un véhicule hybride ou tout électrique finissent par revenir aux véhicules à essence sur leur véhicule de suivi. Dans ce nouvel effort, Hardman et Tal ont cherché à découvrir pourquoi cela se produit.
Pour en savoir plus sur la «discontinuité», comme on l'appelle dans le secteur automobile, les chercheurs ont envoyé des sondages à plus de 14 000 personnes qui avaient acheté ou loué un véhicule électrique en Californie au cours des années 2012 à 2018. Ils ont reçu des réponses de 4 167 ménages, dont seulement 1 842 avaient pris une décision concernant leur véhicule de suivi.
Ils ont constaté que 1 458 de ceux qui ont répondu à leur question prévoyaient de conserver un véhicule rechargeable - et 1 213 en avaient déjà acheté un. Mais comme des études antérieures l'avaient découvert, ils ont également constaté qu'environ 20% des répondants sont retournés ou prévoyaient de retourner à un véhicule à essence.
Les chercheurs ont constaté que les répondants qui abandonnaient la possession de véhicules électriques provenaient de ménages plus petits que ceux qui prévoyaient de continuer à utiliser des véhicules électriques et, à cause de cela, avaient moins de véhicules. Ils étaient également plus jeunes et avaient des chèques de paie plus petits et étaient plus susceptibles de louer. Ils étaient également plus susceptibles d'être des femmes.
Quant aux facteurs qui ont poussé certains à abandonner leurs véhicules électriques, l'autonomie et la commodité de recharge étaient les raisons les plus fréquemment invoquées. Ceux qui sont plus disposés à abandonner les véhicules électriques, ont noté les chercheurs, avaient plus de difficulté à recharger les véhicules. Ils ont également constaté une certaine influence sur la marque. Ceux qui avaient acheté une Tesla, par exemple, étaient beaucoup moins susceptibles d'abandonner les voitures électriques, tandis que ceux qui avaient acheté une Fiat étaient beaucoup plus susceptibles de retourner à un véhicule à essence.
https://techxplore.com/news/2021-04-electric-car-owners-revert-gasoline-powered.html
Comment assurer la sécurité des véhicules électriques automatisés
RépondreSupprimer28 AVRIL 2021
par Scott Michaux, Université de Géorgie
Le piratage de votre compte de réseau social est une douleur. Le piratage de votre compte de carte de crédit peut être dévastateur. Le piratage de votre nouveau véhicule électrique pourrait être désastreux.
Alors que le passage aux voitures électriques automatisées s'accélère, la protection de la cybersécurité de ces véhicules est devenue urgente. C'est pourquoi les chercheurs de l'Université de Géorgie identifient les faiblesses qui pourraient menacer la sécurité et l'efficacité de ces véhicules. Dans un nouvel article publié dans le IEEE Journal of Emerging and Selected Topics in Power Electronics, une équipe dirigée par l'UGA fournit la première étude complète sur la sécurité cyber-physique des systèmes de propulsion dans les véhicules électriques connectés et automatisés, ou CAEV.
«Les résultats ici fourniront des lignes directrices aux fabricants pour développer de meilleures technologies contre les cyberattaques», a déclaré l'auteur principal Jin Ye, professeur adjoint de génie électrique et directeur du laboratoire d'électronique de puissance et de machines électriques intelligentes. "En concevant des véhicules meilleurs et plus sûrs, les constructeurs devraient prendre ces aspects en considération."
Les préoccupations en matière de sécurité ont longtemps été au premier plan lors de l'émergence des CAEV. Un récent accident mortel au Texas n'a fait qu'aggraver ces inquiétudes.
Pour cette étude, les chercheurs ont étudié les vulnérabilités aux cyberattaques dirigées contre des cibles allant de l'efficacité énergétique à la sécurité, et ont fourni une architecture pour les systèmes électroniques de puissance de nouvelle génération.
Les études de sécurité des véhicules à moteur à combustion interne n'abordent pas les systèmes de groupe motopropulseur dans les CAEV, qui consistent en plusieurs systèmes cyber-physiques complexes et intégrés qui nécessitent une surveillance et un contrôle pour garantir la sécurité et maintenir un rendement élevé, selon Ye. De plus, l'augmentation de la connectivité entre les CAEV, les bornes de recharge et les réseaux intelligents expose les CAEV à des cybermenaces qui n'existent pas pour les moteurs à combustion interne.
Alors que des technologies telles que le régulateur de vitesse adaptatif et d'autres fonctions d'assistance automatique peuvent considérablement améliorer la sécurité de conduite, le confort et l'efficacité énergétique, l'intégration de ces unités de commande dans une infrastructure en réseau ouvre la porte à des problèmes de cybersécurité. Les systèmes d'infodivertissement embarqués - utilisés pour fournir des divertissements et des informations utiles au conducteur et aux passagers via des interfaces audio / vidéo, des écrans tactiles, des panneaux de boutons et des commandes vocales - sont une cible de choix pour les attaquants, leur permettant de détourner à la fois la sécurité. fonctions critiques et non liées à la sécurité.
RépondreSupprimerDe même, comme les véhicules électriques se branchent sur le réseau pour charger les batteries, ils sont plus vulnérables aux cyberattaques que les véhicules à moteur à combustion interne conventionnels. Grâce à une station de charge, un attaquant pourrait contourner les systèmes de contrôle du véhicule, ce qui pourrait entraîner des conséquences mortelles telles que la désactivation des freins, l'extinction des phares ou la prise en charge de la direction.
«Les véhicules électriques seront connectés à de nombreuses infrastructures différentes, de sorte que ces connexions créeront également des problèmes de cyberattaque», a déclaré Ye.
Les cyberattaques peuvent également réduire considérablement l'efficacité des véhicules électriques, entraînant une détérioration plus rapide de la capacité d'alimentation et de la durée de vie de la batterie, raccourcissant ainsi le temps et la distance entre les recharges. Des attaquants hautement qualifiés peuvent potentiellement causer de graves dommages, comme une diminution de la capacité de la batterie et de l'énergie jusqu'à 50 %, en utilisant des méthodes sophistiquées difficilement détectables par le conducteur humain.
"Si une cyberattaque se produit, vous verrez de mauvais signaux: la vitesse et l'accélération des véhicules seront endommagées, créant des problèmes de sécurité et de fonctionnalité", a déclaré Ye. "Ou cela pourrait créer des problèmes dans les systèmes de gestion de l'énergie. L'efficacité des véhicules électriques diminuera et les batteries risquent de mourir dans un laps de temps très court. Tous les signaux que nous avons étudiés auront des impacts négatifs sur la sécurité."
Conseils de sécurité pour les véhicules électriques
RépondreSupprimerYe a écrit une série d'articles sur la sécurité cyber-physique dans les véhicules électriques pour l'Institute of Electrical and Electronics Engineers, dont deux ont déjà été publiés en avril et en mai dans les revues IEEE Transactions. Ses études émergentes peuvent permettre aux constructeurs automobiles et aux ingénieurs de développer un système de cybersécurité de première étape. Elle suggère quelques techniques d'atténuation de base pour défendre les véhicules modernes contre les cyber-attaques:
Port de diagnostic embarqué sécurisé
Meilleur pare-feu
Matériel fiable
Mises à jour logicielles sécurisées
Tests de pénétration
Revues de code
Plus important encore, Ye suggère de développer un système de surveillance de la cybersécurité pour détecter, localiser, diagnostiquer et atténuer les cyberattaques.
"Même si la recherche sur la cybersécurité des véhicules en est encore à un stade précoce et que le système de surveillance ne peut pas récupérer directement le système dans une zone de sécurité, il peut alerter le conducteur pour qu'il réagisse en temps opportun", a déclaré Ye. "Une fois qu'une cyberattaque est identifiée, le conducteur peut arrêter la voiture pour éviter d'autres dommages."
https://techxplore.com/news/2021-04-automated-electric-vehicles-safe.html
Ces véhicules (pour ne parler que de ceux_là) sont attaquables, piratables par drones (scanners) et représentent le plus grand danger.
SupprimerDes scientifiques allemands découvrent pourquoi les vaccins covid provoquent des caillots sanguins
RépondreSupprimerMardi 27 avril 2021
par: Lance D Johnson
(Natural News) Les vaccins expérimentaux contre le covid provoquent des caillots sanguins chez certains receveurs et peuvent provoquer des urgences médicales potentiellement mortelles chez les jeunes qui ne sont même pas exposés à une infection naturelle. Les gouvernements du monde entier ont temporairement suspendu le déploiement d'urgence de ces vaccins, mais rien n'est fait pour résoudre le problème de cette science controversée. Des scientifiques allemands ont récemment découvert pourquoi ce type de vaccin provoque la formation de caillots sanguins chez certaines personnes.
Les vaccins AstraZeneca et Johnson & Johnson sont des vaccins vecteurs d'adénovirus. Ce modèle de vaccin utilise un adénovirus modifié prélevé sur des singes pour transmettre des instructions spécifiques aux cellules du corps humain. Une fois que l'adénovirus modifié est injecté à des personnes, il contient des informations génétiques uniques sur le virus SARS-CoV-2. Cette information génétique est transmise aux cellules, obligeant les cellules à produire des copies de la protéine de pointe inflammatoire - la propriété infectieuse du virus. Lorsque cette protéine de pointe étrangère est produite à la surface de la cellule, le système immunitaire est censé répondre, forçant une réponse anticorps. Ce processus ne fonctionne pas parfaitement chez chaque personne et peut provoquer une attaque auto-immune sur les propres plaquettes du corps.
Les vaccins à vecteur adénovirus provoquent des réponses auto-immunes inflammatoires qui conduisent à des caillots sanguins
Andreas Greinacher, MD, directeur de l'Institut d'immunologie et de médecine transfusionnelle de l'hôpital universitaire de Greifswald, en Allemagne, a été l'un des premiers scientifiques au monde à découvrir comment ces anticorps induits par le vaccin attaquent une protéine clé des plaquettes, provoquant une formation rapide de sang. caillots.
Le problème commence avec la coquille d'adénovirus et les protéines étrangères qui ont été utilisées pour cultiver ce virus. Une fois que ces particules étrangères sont injectées, elles peuvent entrer en contact avec les plaquettes du sang. Les plaquettes du corps peuvent réagir de manière excessive, se précipitant vers le site d’injection. Ces plaquettes se précipitent pour arrêter le saignement et fournissent également une réponse immunitaire initiale. Les plaquettes entoureront alors la coquille d'adénovirus injectée et les éventuelles protéines étrangères. Une fois que les plaquettes sont activées, elles émettent des signaux chimiques qui sont stockés dans les granules. La vaccination enfreint les voies normales d'exposition et peut donc exciter un nombre anormal de plaquettes.
RépondreSupprimerCela provoque une libération massive de signaux chimiques, ordonnant à un nombre anormal de cellules B d'attaquer la protéine du facteur 4 plaquettaire, qui régule la coagulation sanguine. Ce flot allergique de cellules B est mis en action parce que le corps pense qu'il est soumis à une énorme attaque d'agents pathogènes envahissants. Le flot de cellules B crée des anticorps pour la protéine du facteur 4 plaquettaire, qui aide à coordonner la coagulation sanguine. Les anticorps attaquent les propres plaquettes du corps, incitant les plaquettes à recruter des globules blancs. «À ce moment-là, tout est en train d'exploser», a déclaré le Dr Greinacher. La réaction inflammatoire provoque une attaque auto-immune sur les propres plaquettes du corps, provoquant la formation de caillots sanguins.
La teneur en EDTA du vaccin contribue également à des lésions vaccinales potentiellement mortelles
Les scientifiques allemands ont découvert un autre processus qui contribue à cette blessure vaccinale potentiellement mortelle. Ces vaccins vecteurs d'adénovirus contiennent un agent de liaison et un stabilisant du calcium appelé EDTA. Cet additif, essentiel à la science du vaccin, est chargé de faire sauter les jonctions entre les cellules qui forment les parois des vaisseaux sanguins. Lorsque l'EDTA ouvre ces jonctions, il permet aux protéines étrangères et aux plaquettes de pénétrer dans la circulation sanguine. Si une activité suffisante est détectée dans la circulation sanguine, le système immunitaire réagira de manière excessive, déclenchant une vague d'attaques auto-immunes qui précèdent les caillots sanguins.
Les vaccins adénovirus-vecteur ont été développés sous forme de protocoles à dose unique parce que le système immunitaire acquiert rapidement une immunité contre le vecteur adénovirus, contrecarrant le processus complet. Cela rend les futures doses du vaccin de moins en moins efficaces. Ces vaccins n'auront pas de valeur à long terme, car de nouvelles mutations et variantes de coronavirus circulent. Toute revaccination pour les mutations et variantes de coronavirus ne transmettra pas la réponse immunitaire complète et voulue, laissant les gens dépendants d'une science défectueuse de l'immunité décroissante qui comprend également des risques de coagulation sanguine hyper-inflammatoire et d'autres événements indésirables graves.
RépondreSupprimerLes sources comprennent:
GreatGameIndia.com
WexnerMedical.OSU.edu
ClinicalTrialsArena.com
https://www.naturalnews.com/2021-04-27-german-scientists-discover-vaccine-blood-clots-cause.html
Le Dr «Flip-Flop» Fauci permet enfin aux personnes vaccinées de retirer leur masque, mais uniquement à l'extérieur
RépondreSupprimerMercredi 28 avril 2021
par: Lance D Johnson
(Natural News) Au premier rang du scandale du covid-19 se trouve le Dr Anthony Fauci, directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses. Lorsque la recherche sur le gain de fonction sur les coronavirus (qu'il a financée et surveillée pendant des années) a été EN DIRECT sur la population mondiale, Fauci n'a pas été interrogé, scruté ou tenu de rendre des comptes. Au lieu de cela, il a été promu à un poste de pouvoir hautement annoncé au sein du gouvernement fédéral. Il a immédiatement utilisé cette position de pouvoir pour conseiller les gouvernements sur la meilleure façon de verrouiller les gens, d'isoler et de contrôler leur vie. Son approche a contribué à des crimes contre l'humanité généralisés et n'a rien fait pour s'attaquer aux problèmes de santé sous-jacents qui ont causé la souffrance dans les maisons de soins infirmiers et certains systèmes hospitaliers à travers le pays.
Depuis qu'il a atteint pour la première fois le microphone du groupe de travail fédéral sur le coronavirus, le Dr Fauci a été le centre d'attention et l'autorité ultime sur la «science» entourant le covid-19. Aucune autre perspective n'était autorisée. Les Américains ont été contraints à l'isolement et terrorisés à croire des mensonges sur leur système immunitaire. Le Fauci et le CDC continuent d'adopter une approche totalitaire qui supprime l'esprit, les moyens de subsistance et les libertés du peuple. Cela est fait pour forcer la conformité de masse aux vaccins expérimentaux pour lesquels la recherche sur le gain de fonction des coronavirus a été menée en premier lieu. La politique de réouverture a été liée au statut vaccinal dans de nombreux États, alors que la ségrégation et les crimes contre l'humanité se poursuivent.
Le conseil flip-flop masque de Fauci continue
Mais comme un poisson hors de l'eau, le Dr Fauci a fait volte-face sur d'innombrables problèmes au cours de la dernière année. Sur la question de la recommandation de masques personnels, le Dr Fauci a commencé par une approche cavalière avant de faire volte-face pour soutenir les mandats autoritaires. Lorsque les mandats n'ont pas réussi à atteindre les objectifs de santé publique, il a doublé, littéralement, et recommandé plusieurs masques. Même après la précipitation d'un vaccin supposé «efficace» sur le marché, le Dr Fauci a continué de recommander aux personnes vaccinées de garder un masque sur leur visage, à l'intérieur des bâtiments et à l'extérieur. Si le vaccin a fonctionné, pourquoi a-t-on dit aux gens de porter des masques contre un virus contre lequel ils sont censés être immunisés ?
Enfin, après des mois à forcer les gens à vacciner et à continuer à se masquer, le Dr «flip-flop» Fauci permet aux personnes vaccinées de retirer leur masque… mais seulement lorsqu'elles sont à l'extérieur. En août dernier, il a dit: «Lorsque vous êtes à l'intérieur, assurez-vous d'avoir un masque. Lorsque vous êtes à l'extérieur, gardez le masque. » Lorsque les vaccins ont été déployés, il a demandé aux obéissants de garder leurs masques. Maintenant, il dit que son "bon sens" est que le risque est vraiment faible à l'extérieur, "surtout si vous êtes vacciné." Tout à coup, vous pouvez enlever les masques, mais seulement si vous êtes à l’extérieur. C’est de la folie, mais il y a une méthode à la folie de Fauci.
RépondreSupprimerIl y a une méthode à la folie de Fauci
Fauci s'est moqué du gouverneur de Floride Ron Desantis et du gouverneur du Texas Greg Abbott pour avoir été «dangereux» pour l'ouverture complète de leurs États et l'abandon des mandats de masque. Après la levée des mandats, il n'y a pas eu de flambée d'infection ou de mortalité - ce qui a de nouveau fait honte à Fauci et aux CDC.
Même si Fauci bascule à plusieurs reprises avec ses recommandations de santé publique et est humilié à plusieurs reprises, la tromperie qui sous-tend sa motivation est restée la même depuis le début du scandale du covid-19. La propagation asymptomatique du covid-19 est une farce, un mensonge perpétué par les tests PCR à cycle élevé qui sont calibrés pour créer des faux positifs. Les personnes en bonne santé ne peuvent pas propager des infections dont elles ne sont pas atteintes, et elles ne peuvent pas non plus en rendre malade en étant simplement avec d'autres personnes et en respirant librement. Les personnes immunisées font partie de la solution, c'est pourquoi un système immunitaire sain doit être priorisé et non supprimé. Il existe de nombreuses façons de renforcer la réponse immunitaire innée, et il existe des options de traitement antiviral viables. Fauci ne dit PAS ces vérités parce que son pouvoir et sa position dépendent de la tromperie perpétuelle et du contrôle qui en résulte.
Il est tout à fait clair que Fauci fait partie d’une conspiration mondiale visant à forcer l’observance de masse à l’expérimentation médicale. Son approche porte sur le contrôle, pas sur la santé, car le message de pandémie vise à rendre les populations dépendantes de l'expérimentation médicale et à se conformer aux autorités qui la conduisent.
Sources include:
PJMedia.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2021-04-28-dr-fauci-finally-allows-vaccinated-take-off-masks-outside.html
Big Tech collabore maintenant avec Big Pharma pour cacher la vérité aux Américains alors qu'Instagram interdit les vérités de Robert F. Kennedy sur les vaccins
RépondreSupprimerMercredi 28 avril 2021
par: JD Heyes
(Natural News) Toutes les institutions américaines sont désormais entièrement «détenues» par des milliardaires mondialistes qui n’ont aucune loyauté envers leur pays ou leurs concitoyens; seulement pour les profits et le contrôle à tout prix.
Big Tech - Google, YouTube, Amazon, Facebook, Twitter - sont tous devenus si grands qu'ils contrôlent littéralement le flux d'informations que les Américains peuvent voir. Étude après étude, cela a prouvé cela, et il n'y a pas de chercheur plus éminent dans ce domaine que le Dr Robert Epstein.
«Google et des entreprises similaires comme Facebook ne sont absolument pas réglementées aux États-Unis, elles peuvent donc faire tout ce qu'elles veulent», a-t-il déclaré en 2019.
«S'ils travaillent tous ensemble en 2020 pour soutenir le même candidat à la présidentielle, ils peuvent décaler plus de 15 millions de voix sans que personne ne sache qu'ils ont été manipulés et sans laisser de trace écrite», a-t-il déclaré.
C’est précisément ce qu’ils ont fait, mais c’est encore pire que de falsifier les votes et de voler les élections américaines, si vous pouvez l’imaginer. Ces mêmes entreprises contrôlent le flux d'informations d'une manière qui fait rougir les régimes communistes comme la Chine.
En août, avant que Big Tech n'aide les gestionnaires de Joe Biden à lui voler les élections, le président de l'époque, Donald Trump, a révélé la vérité: Big Tech contrôle à 100% les informations que nous voyons.
«Les entreprises de technologie sont très malhonnêtes à ce sujet et à propos de la liberté d'expression», a déclaré Trump à Breitbart News.
Il avait raison, comme l'a découvert le chercheur sur les vaccins et le révélateur de la vérité Robert F. Kennedy. Il a récemment été banni d'Instagram après avoir tenté de partager des informations révélatrices sur les vaccins et pourquoi les Américains ne devraient pas croire aveuglément qu'ils sont universellement bons pour l'humanité.
NPR, qui est partiellement financé par les contribuables, a contribué à perpétuer le mensonge sur les raisons pour lesquelles il a été censuré:
Robert F.Kennedy Jr.est maintenant bloqué d'Instagram après avoir sapé à plusieurs reprises la confiance dans les vaccins. Kennedy a également répandu des théories du complot à propos de Bill Gates, l’accusant de profiter des vaccins et de tenter de prendre le contrôle de l’approvisionnement alimentaire mondial.
"Nous avons supprimé ce compte pour avoir partagé à plusieurs reprises des allégations démystifiées sur le coronavirus ou les vaccins", a déclaré jeudi un porte-parole de Facebook, propriétaire d'Instagram, à NPR.
RépondreSupprimerKennedy est une voix de premier plan dans la communauté anti-vaccins depuis des années, dénonçant les vaccins infantiles et promouvant des affirmations controversées et réfutées qui cherchent à lier les vaccins à l'autisme.
Tout d’abord, ce n’est pas un «anti-vaccin». Kennedy n’est pas autant un «anti-vaccin» qu’il est en faveur de dire la vérité à leur sujet et de laisser les Américains décider eux-mêmes de ce qu’ils veulent faire. C'est particulièrement important maintenant à l'ère des vaccins COVID-19, dont l'un (Johnson & Johnson) a été accusé d'avoir provoqué des caillots sanguins mortels chez plusieurs femmes (mais il a de nouveau été autorisé à être utilisé de toute façon).
De plus, le vaccin fabriqué par Pfizer a récemment été associé à des lésions cérébrales et à des maladies neurodégénératives.
Mais pour une raison quelconque, Kennedy n’a pas le droit de dire à ses partisans ou à quiconque écoutera qu’il existe des dangers inhérents à ces vaccins.
Même la propre famille de Kennedy s’est prononcée contre lui.
«Nous aimons Robert F. Kennedy Jr., mais il fait partie d'une campagne de désinformation qui a des conséquences déchirantes et mortelles», ont écrit Kathleen Kennedy Townsend, Joseph P. Kennedy II et Maeve Kennedy McKean dans un article d'opinion pour Politico, un autre le porte-parole du gouvernement de gauche qui encourage le respect inconditionnel de se faire vacciner.
Pourtant, Kennedy persiste. Il avertit les gens que le vaccin Pfizer en particulier, que la nouvelle technologie d'ARNm utilisée pour le créer et certains des premiers vaccins COVID, n'ont pas été testés et peuvent entraîner de graves problèmes de santé.
«Les vaccins SARS-CoV-2 actuels basés sur l'ARN ont été approuvés aux États-Unis à l'aide d'une ordonnance d'urgence sans tests de sécurité à long terme approfondis», a noté un rapport récent publié dans la revue Microbiology & Infectious Diseases.
Il s'agit d'une publication évaluée par des pairs. Mais Big Tech ne laissera pas Robert F. Kennedy dire la même chose.
Les sources comprennent:
NaturalNews.com
Politico.com
NPR.org
https://www.naturalnews.com/2021-04-28-big-tech-colluding-big-pharma-robert-kennedy-vaccine-truth-covid.html
La censure par Twitter des critiques des Big Pharma est un phénomène mondial
RépondreSupprimerMercredi 28 avril 2021
par: Ethan Huff
(Natural News) Jack Dorsey et ses sbires admettent ouvertement qu'ils travaillent maintenant directement avec les dirigeants indiens pour censurer sur Twitter tous les critiques de la mauvaise gestion par le gouvernement de la plandémie du coronavirus de Wuhan (Covid-19).
Tout comme Twitter le fait ici aux États-Unis, la plate-forme de médias sociaux supprime les tweets et interdit les comptes qui suggèrent d'une manière ou d'une autre que le gouvernement indien ne parvient pas à gérer parfaitement la «crise» en utilisant des injections de Big Pharma et d'autres interventions.
L'Associated Press (AP), qui n'est guère digne de confiance au départ, a écrit un article révélant que Twitter s'était conformé à la demande du gouvernement indien de supprimer plus de 50 tweets «qui semblaient critiquer la gestion de la pandémie par l'administration».
"Les messages ciblés incluent des tweets de ministres de l'opposition critiquant Modi, des journalistes et des Indiens ordinaires", ajoute l'article.
Dans le cas où Twitter détermine qu'un tweet est «illégal dans une juridiction particulière», il revendique le droit de «refuser l'accès au contenu» - dans ce cas en «Inde uniquement».
«Le contenu manifestement faux ou trompeur et pouvant entraîner un risque important de préjudice (comme une exposition accrue au virus ou des effets néfastes sur les systèmes de santé publique) ne peut pas être partagé sur Twitter», indique la société dans sa documentation officielle.
«Cela inclut le partage de contenu qui peut induire les gens en erreur sur la nature du virus COVID-19; l'efficacité et / ou l'innocuité des mesures préventives, des traitements ou d'autres précautions pour atténuer ou traiter la maladie; les règlements, restrictions ou exemptions officiels relatifs aux avis de santé; ou la prévalence du virus ou le risque d’infection ou de décès associé au COVID-19. »
Twitter affirme qu'il conserve également le droit «d'étiqueter» tous les tweets qu'il juge contenir «des informations trompeuses sur le COVID-19» afin de «réduire leur propagation et fournir un contexte supplémentaire».
Pour en savoir plus sur la façon dont Big Brother collabore avec Big Tech pour faire taire la vérité en ligne, assurez-vous de consulter Censorship.news.
La tyrannie de Twitter coûte la vie à des dizaines de milliers de personnes
Le fait que certaines des informations censurées pourraient protéger les Indiens qui souffrent de la réponse bâclée du gouvernement à la plandémie montre simplement que Twitter contribue également à la mort massive.
Vous pourriez même dire que Twitter est directement responsable d'innombrables vies perdues - des vies qui auraient pu être sauvées si seulement Twitter permettait à la liberté d'expression de circuler sur sa plateforme.
RépondreSupprimerAvec le contenu restreint en Inde, Twitter ne se contente pas d'étiqueter les tweets «offensants». Il les tire activement à la demande du gouvernement, créant un dangereux précédent pour la censure sélective d’informations politiquement incorrectes en ligne.
«C'est le visage des nouveaux censeurs», prévient Jonathan Turley, écrivant pour Technocracy.news.
«L'avenir du contrôle de la parole n'est pas dans le modèle classique des médias d'État, mais dans l'alliance des États avec des géants d'entreprise comme Twitter. Twitter s'engage désormais activement dans ce que les dirigeants démocrates appellent avec approbation une «modification robuste du contenu» pour contrôler les points de vue et la dissidence politique. »
Twitter a également tristement censuré l'ancien président Donald Trump à la demande du sénateur Mazie Hirono (D-HI) et d'autres démocrates d'extrême gauche qui s'opposent au premier amendement et veulent le voir aboli une fois pour toutes.
«Qu'est-ce que vous êtes tous les deux prêts à faire concernant l'utilisation de vos plates-formes par Donald Trump après qu'il aura cessé d'être président, sera toujours considéré comme digne d'intérêt et pourra-t-il toujours utiliser vos plates-formes pour répandre de la désinformation?» Hirono s'est moqué de Mark Zuckerberg et Jack Dorsey lors d'une audience sur la censure de l'année dernière.
Il est vraiment étonnant de voir des entreprises privées de Big Tech prendre facilement en charge les appels à la censure du gouvernement. Ce qui était autrefois des plates-formes ouvertes de partage d'idées sont devenus des «ministères de la vérité» pathétiques pour l'État profond et des chambres d'écho pour les gauchistes dérangés.
Les sources de cet article incluent:
Technocracy.news
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2021-04-28-twitter-censorship-big-pharma-critics-worldwide-phenomenon.html
Le CDC rapporte un septième cas de caillot sanguin sévère lié au vaccin contre le coronavirus Johnson & Johnson… mais combien d'autres décès ont été manqués ?
RépondreSupprimerMardi 27 avril 2021
par: Arsenio Toledo
(Natural News) Mercredi 14 avril, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont annoncé avoir appris l'existence d'une septième femme qui avait développé un caillot sanguin sévère après avoir été inoculée avec le vaccin développé par Johnson & Johnson.
Le septième patient possible a été identifié comme une femme de 28 ans. Ce cas n'impliquait pas d'hémorragie cérébrale, comme certains des autres cas l'ont fait. Aucun autre détail à son sujet n'a été rendu public, comme le type de problème de coagulation sanguine dont elle souffre ou la gravité de son état. (Connexes: un homme du New Jersey dans un état critique avec un coronavirus moins d'un mois après avoir reçu le vaccin Johnson & Johnson.)
La révélation du septième cas de coagulation sanguine intervient alors que le Comité consultatif des CDC sur les pratiques d'immunisation (ACIP) débat de la question de savoir si le vaccin Johnson & Johnson doit être utilisé par le public ou arrêté. L'ACIP s'est également réunie pour discuter de la possibilité de faire une recommandation provisoire basée sur l'âge ou le facteur de risque concernant le vaccin.
En fin de compte, le comité est arrivé à la conclusion qu'il avait besoin de plus d'informations, et il a estimé qu'il était inapproprié de publier une déclaration définitive concernant le vaccin Johnson & Johnson.
Plutôt que de tenir un vote sur une décision, l'ACIP a décidé de prolonger la pause recommandée par la Food and Drug Administration et le CDC sur le déploiement du vaccin contre le coronavirus Johnson & Johnson. Au moment de mettre sous presse, le comité n'a fourni aucun détail sur la date de la prochaine réunion et s'il disposera de suffisamment d'informations d'ici là pour prendre une décision.
Si les déclarations des membres individuels du comité sont valables, il est possible que les CDC finissent par autoriser le vaccin Johnson & Johnson de continuer.
«Nous devons mieux comprendre le risque, qui, nous le savons, sera très rare, très faible, mais nous ne savons vraiment pas exactement à quel point», a déclaré le Dr Beth Bell, membre de l'ACIP et professeur de clinique de santé mondiale à l'Université de Washington à Seattle.
Plusieurs autres membres du comité ont exprimé leur inquiétude concernant le retard dans la prise de décision, au milieu du nombre croissant de cas de COVID-19 signalés.
RépondreSupprimerSix autres femmes ont présenté des caillots sanguins après la vaccination de Johnson & Johnson, au moins une morte
Avant la révélation du CDC, il avait connu environ six autres femmes qui avaient développé de graves caillots sanguins. On en sait peu sur eux, car le CDC n'a pas publié beaucoup d'informations.
Sur les six autres cas, tous sont des femmes blanches âgées de 18 à 48 ans, avec un âge médian de 33 ans. Trois femmes restent hospitalisées, dont deux en soins intensifs.
En Virginie, une femme de 45 ans qui s'est fait vacciner avec Johnson & Johnson en mars a été hospitalisée 11 jours plus tard avec de graves symptômes indésirables. Elle est décédée le 18 mars.
Une femme de 59 ans sans antécédent connu de maladie coronarienne s'est présentée à l'hôpital sept jours après avoir reçu son injection avec une thrombose veineuse profonde étendue ou un caillot sanguin dans la veine, généralement la jambe. Elle n'a pas récupéré.
Dans le Nebraska, un homme de 48 ans avec des antécédents médicaux que les autorités sanitaires prétendent être «banals» a été emmené aux urgences trois jours après avoir reçu le vaccin Johnson & Johnson. Elle ressentait un inconfort général et des douleurs abdominales depuis qu'elle avait été vaccinée. Elle reste aux soins intensifs.
Une personne de 38 ans s'est présentée à l'hôpital avec une thrombose du sinus veineux cérébral (CVST) ou un caillot sanguin qui se forme dans les couches externes du cerveau. Elle n'a pas récupéré.
Un jeune de 26 ans souffrant d'obésité de la région de Pennsylvanie-New Jersey a été hospitalisé sept jours après avoir reçu le vaccin Johnson & Johnson présentant une sorte de caillot sanguin. Elle a depuis été libérée.
Au Nevada, un jeune de 18 ans avec des antécédents inconnus a été transporté à l'hôpital avec CVST avec hémorragie deux semaines après avoir reçu le vaccin. Elle n'a pas récupéré.
Dans un communiqué publié mercredi, Johnson & Johnson a déclaré que la société soutenait fermement les campagnes de sensibilisation aux effets secondaires potentiels de son vaccin, mais qu'elle continuait de croire «au profil bénéfice-risque positif de notre vaccin».
Apprenez-en davantage sur la dangerosité des vaccins contre le coronavirus en lisant les derniers articles sur Vaccines.news.
Les sources comprennent:
TheEpochTimes.com
FoxNews.com
ABCNews.go.com
https://www.naturalnews.com/2021-04-27-woman-severe-blood-clot-johnson-coronavirus-vaccine.html
La quantité d'aluminium dans les vaccins pour nourrissons «s'apparente à une loterie», selon les chercheurs
RépondreSupprimerMardi 27 avril 2021
par: Rédacteurs en chef
(Natural News) Le Defender a récemment écrit sur la décision de l'Université de Keele de couper le principal flux de financement - les dons de bienfaisance - pour le groupe de recherche sur l'aluminium de renommée mondiale basé au Royaume-Uni, dirigé par le professeur de chimie bio-organique Christopher Exley, Ph.D.
(Article republié de ChildrensHealthDefense.org)
Conséquence directe des actions de Keele, le laboratoire Exley fermera le 31 août, mettant fin à trois décennies de recherche indépendante et de pointe élucidant les effets de l’aluminium sur la santé tout au long de la vie humaine.
Même face à la fermeture imminente de leur laboratoire, le groupe Exley continue de publier et d’ajouter à sa liste déjà impressionnante d’environ 200 publications.
Les deux dernières études des chercheurs - l'une portant sur la teneur en aluminium largement non contrôlée des vaccins pour nourrissons, l'autre sur la forte association de l'aluminium dans la maladie d'Alzheimer familiale - soulignent pourquoi la recherche indépendante est si importante et si menaçante pour le statu quo.
L'aluminium dans les vaccins pour nourrissons - «s'apparente à une loterie»
L'une des études, publiée dans le Journal of Trace Elements in Medicine and Biology, a révélé que la quantité d'aluminium qu'un nourrisson reçoit dans un vaccin, loin d'être prévisible ou contrôlée, semble «s'apparenter à une loterie».
Le groupe a analysé la teneur en aluminium de 13 vaccins pour nourrissons fabriqués par GlaxoSmithKline, Merck, Sanofi Pasteur et Pfizer. Dans 10 des 13 vaccins, la quantité mesurée d'aluminium ne correspondait pas à la quantité d'aluminium déclarée par les fabricants dans les brochures d'information destinées aux patients. L'analyse des vaccins et des lots de vaccins a révélé ce qui suit:
Six des vaccins (environ la moitié), y compris Prevnar 13 de Pfizer, contenaient une quantité statistiquement plus importante d’aluminium par rapport aux données du fabricant.
Quatre des vaccins en contenaient beaucoup moins.
Pour chaque marque de vaccin, la fourchette de teneur en aluminium «variait considérablement».
Ni l'Agence européenne des médicaments ni la Food and Drug Administration des États-Unis n'ont pu confirmer qu'elles mesuraient de manière indépendante ou systématique la teneur en aluminium des vaccins pour nourrissons, indiquant plutôt qu'elles se fondaient sur les données (erronées) des fabricants.
Ces résultats «non rassurants» suggèrent, selon les chercheurs, «que les fabricants de vaccins ont un contrôle limité sur la teneur en aluminium de leurs vaccins» et la teneur en aluminium «des vaccins individuels dans les lots de vaccins varient considérablement».
Compte tenu de la neurotoxicité connue de l’aluminium, les chercheurs ont également souligné que nous «ne pouvons pas nous permettre d’être complaisants face à son injection aux nourrissons» - une position que le groupe Exley a maintes fois soulignée et qui est partagée par d’autres experts.
RépondreSupprimerL’aluminium dans la maladie d’Alzheimer familiale
La deuxième étude, publiée dans le Journal of Alzheimer’s Disease Reports, s’appuie sur le vaste corpus de travail du groupe Exley liant l’aluminium à la maladie d’Alzheimer. La nouvelle étude se concentre sur les cas de maladie d'Alzheimer familiale, qui est motivée par des prédispositions qui courent dans les familles.
La Mayo Clinic définit la maladie d'Alzheimer jeune ou précoce comme des cas qui affectent des personnes de moins de 65 ans. La nouvelle étude Exley examine le tissu cérébral humain de trois donneurs familiaux colombiens atteints de la maladie d'Alzheimer précoce (âgés de 45, 57 et 60 ans).
Dans les trois cas, les chercheurs ont observé des «cellules neuronales chargées d'aluminium» et noté la co-localisation «sans équivoque» de l'aluminium avec des enchevêtrements neurofibrillaires dans plusieurs régions du cerveau. Les enchevêtrements neurofibrillaires (formés par la protéine tau mal repliée à l'intérieur des cellules cérébrales) sont une caractéristique importante et un biomarqueur de la maladie d'Alzheimer.
La conclusion du groupe Exley, qui concorde avec leurs autres études sur les tissus cérébraux et la neurodégénérescence - y compris des résultats montrant des niveaux extraordinairement élevés d'aluminium dans les tissus cérébraux de l'autisme - est que «ces données soutiennent les associations complexes de l'aluminium dans la neuropathologie de la maladie d'Alzheimer familiale. ]. »
Jeunes et vieux à risque
Ces dernières années, l’industrie américaine de l’assurance a signalé une augmentation de 200% des cas de démence diagnostiquée et d’Alzheimer chez les jeunes adultes. Des chercheurs britanniques qui ont examiné les tendances de la démence sur 20 ans aux États-Unis et dans d'autres pays occidentaux ont rapporté dans une étude de 2015 en neurologie chirurgicale que les démences commencent «une décennie plus tôt qu'auparavant».
Reconnaissant qu'environ neuf cas d'Alzheimer d'apparition précoce sur 10 n'ont aucune explication génétique, Exley a suggéré dans des travaux antérieurs que l'aluminium peut agir comme un catalyseur de la maladie d'Alzheimer précoce chez les individus «sans prédispositions concomitantes, génétiques ou autres». Il propose de considérer la maladie d'Alzheimer comme «une réponse aiguë à une intoxication chronique par l'aluminium».
RépondreSupprimerComme le fait remarquer le groupe Exley dans son nouvel article sur les vaccins pour nourrissons, les adjuvants d'aluminium contenus dans les vaccins déclenchent le tic-tac d'une charge corporelle à vie en aluminium.
Constatons-nous certains des effets de ce fardeau corporel chez les jeunes adultes dans la trentaine et la quarantaine qui représentent maintenant 15% des personnes diagnostiquées avec la maladie d'Alzheimer et la démence?
Le groupe Exley demande également quelles sont les implications pour la santé à long terme des enfants lorsque les bébés reçoivent beaucoup plus d'aluminium dans leurs vaccins que les quantités que les fabricants et les régulateurs (sans données convaincantes) proclament «sans danger»?
Si les universités continuent de bloquer le financement de la recherche vitale, il peut devenir de plus en plus difficile de répondre à ces questions très importantes.
Read more at: ChildrensHealthDefense.org and Vaccines.news.
https://www.naturalnews.com/2021-04-27-amount-of-aluminum-in-infant-vaccines.html
Total WAR on FOOD visant les éleveurs à interdire toutes les formes de viande, y compris les bovins et les poulets de basse-cour
RépondreSupprimerMardi 27 avril 2021
par: Mike Adams
(Natural News) La guerre totale contre l'approvisionnement alimentaire est maintenant en cours avec une initiative de vote dans l'Oregon visant à criminaliser toutes les formes de production de viande, y compris les bovins et les poulets de basse-cour. En vertu de la nouvelle loi proposée, la viande ne pouvait être récoltée sur les animaux qu'après leur mort de «causes naturelles», ce qui impliquerait de récolter la viande d'animaux âgés et malades. Des hamburgers contre le cancer, quelqu'un ?
Cet effort pour criminaliser toutes les formes d'élevage et de production d'aliments pour animaux fait partie de la folie insensée des emplois d'écrous de gauche qui veulent également interdire les moteurs à combustion et polluer la stratosphère pour bloquer le soleil et réduire l'approvisionnement alimentaire mondial. En résumé, les attaques contre l'abondance alimentaire sont conçues à partir de plusieurs vecteurs, notamment:
Efforts législatifs pour criminaliser l'élevage d'animaux et la production de viande.
Efforts de géo-ingénierie / terraformation pour bloquer le soleil et bloquer la photosynthèse des cultures vivrières.
La législation fédérale s'efforce d'interdire les moteurs à combustion et de mettre fin à toutes les formes d'agriculture moderne avec des tracteurs.
Les initiatives de Mark of the Beast pour lier les achats de nourriture à des scans biométriques de votre paume, afin de limiter les achats de nourriture selon de nouvelles règles alimentaires tyranniques poussées par un gouvernement totalitaire.
Poursuite des efforts pour interdire le jardinage de la cour avant et de la cour arrière.
Les lois des États interdisant le transport des semences de jardin. C'est déjà un énorme problème à l'échelle nationale.
En vérité, les libéraux idiots n'ont aucune idée d'où vient vraiment la nourriture - même la nourriture «végétalienne» -. Dans cette vidéo hilarante, Quick Dick McDick explique que la margarine provient en grande partie de l'huile de canola qui est cultivée, récoltée, transformée et transportée à l'aide de carburant diesel, et non de «pets de licorne».
Les gauchistes détruisent tout ce qu'ils touchent, puis ils se demandent pourquoi la vie est si mauvaise
Alors que les gauchistes fous continuent de détruire la civilisation humaine, ils semblent ne pas savoir pourquoi le monde qu’ils ont créé est si nul. Lorsqu'ils détruisent des économies, ils se demandent pourquoi tant de personnes sont sans emploi. Lorsqu'ils détruisent la santé, ils se demandent pourquoi tant de gens sont malades. Et quand ils détruisent l'approvisionnement alimentaire, ils se demandent pourquoi tant de gens meurent de faim.
Si nous voulons vraiment créer un monde sans souffrance, la vraie réponse est de détruire les démocrates et d'arrêter leur guerre contre l'humanité.
RépondreSupprimerLa mise à jour de la situation d’aujourd’hui est une interprétation particulièrement scandaleuse de l’assaut coordonné contre l’approvisionnement alimentaire. J'y discute de toutes sortes de choses bizarres, y compris la récolte de sperme de taureau, que les gauchers de l'Oregon veulent définir comme une «agression sexuelle».
Et pourtant, les mêmes fous de gauche qui veulent interdire l'abattage d'animaux sont ravis d'abattre des bébés humains par avortement. Parce qu’il n’y a personne plus inconscient des droits de l’homme qu’un défenseur des droits des animaux, semble-t-il. Ils soutiennent également la mutilation des organes génitaux de jeunes humains, car la castration chimique des jeunes garçons au nom du «progressisme» LGBT est considérée comme une chose positive par ces fous, mais castrer un taureau sera bientôt un acte criminel.
Comme je l'explique dans le podcast d'aujourd'hui, si vous voulez vraiment mettre fin à la souffrance dans le monde, commencez à protéger les bébés humains contre le massacre par Planned Parenthood. Et arrêtez de voter pour des démocrates fous qui veulent détruire tout ce qui fait vibrer la civilisation humaine.
Brighteon.com/55e897fd-36ac-479c-b8e0-992d5d0c6d6a
- voir clip sur site -
Trouvez un nouveau podcast HRR chaque jour sur:
https://www.brighteon.com/channels/hrreport
https://www.naturalnews.com/2021-04-27-total-war-on-food-targeting-ranchers-to-outlaw-all-forms-of-meat.html
Une Québécoise morte d’une thrombose liée au vaccin d’AstraZeneca
RépondreSupprimermardi 27 avril 2021
Combien de cas d'effets indésirables graves liés aux vaccins seront rapportés, d'abord, par les soignants?
Combien d'effets indésirables graves seront reconnus et rapportés par les autorités alors que l'adhésion à la vaccination est chambranlante, surtout dans les prochaines tranches d'âges à être vaccinées?
Permettez-moi de croire que seul un infime pourcentage d'accidents post-vaccinaux sera rapporté par les autorités de Santé publique pour ne pas créer la crainte et l'aversion envers les vaccins.
https://www.lapresse.ca/covid-19/2021-04-27/une-quebecoise-morte-d-une-thrombose-liee-au-vaccin-d-astrazeneca.php
Dr Vernon Coleman : "tous les vaccinés commenceront à mourir à l’automne"
RépondreSupprimer27 avril 2021
Si vous lisez mes articles depuis un certain temps, vous savez que je n’exagère jamais. Vous savez également que, depuis un an, mes prévisions, évaluations et interprétations se sont montrées exactes.
Maintenant, plus que jamais, j’ai besoin de votre aide. Si nous ne travaillons pas ensemble, nous sommes condamnés. J’ai besoin de votre aide parce que nous devons toucher des millions de personnes avec cet article. Et comme les grandes plateformes et les grands médias m’ont banni, je ne peux pas atteindre ces millions de personnes sans vous.
Je crois que cet article est le plus important que vous n'aurez jamais lu. Vous devez le partager.
Vous souvenez-vous de cette vidéo dans laquelle Bill et Melinda Gates, assis et souriants, expliquaient que la prochaine pandémie ferait réagir les gens ?
Eh bien, je pense savoir ce qui va se passer. Nous savons tous que l’élite maléfique, les promoteurs de l’Agenda 21 et du Great Reset, ont depuis le début l’intention de tuer entre 90 et 95 % de la population mondiale.
Malheureusement, je crains qu’il soit probablement trop tard pour sauver beaucoup de ceux qui ont été vaccinés. Des millions de personnes sont condamnées et je crains que beaucoup ne meurent au prochain contact avec le coronavirus.
Quelque chose a sérieusement mal tourné dans les plans de l’élite
Et le résultat est que maintenant, ceux d’entre nous qui n’ont pas été vaccinés semblent également être en grand danger. Nous devons maintenir notre système immunitaire en parfait état en mangeant sainement et en prenant des suppléments de vitamine D. Nous devrons peut-être, à un moment donné, nous tenir à l’écart de ceux qui ont été vaccinés. Je pense qu’ils représentent désormais un danger très réel pour la survie de l’espèce.
Depuis plus longtemps que je n’aime y penser, je mets en garde contre les dangers des vaccins contre le covid-19. Je sais qu’ils ne devraient pas vraiment être appelés vaccins (bien qu’une définition officielle ait été modifiée pour les accueillir) mais si je les appelle thérapie génique, les personnes que nous essayons d’atteindre, à qui l’on a dit qu’il s’agissait de vaccins, ne sauront pas de quoi je parle.
Il y a presque exactement un an, j’ai prévenu que la raison pour laquelle le risque de coronavirus était exagéré était en partie la mise en place d’un programme de vaccination obligatoire.
La fausse pandémie de covid-19 a été créée, en partie, pour trouver un prétexte à la vaccination, afin que le vaccin soit proposé comme la solution à la prétendue menace posée par le covid-19.
Depuis des mois je préviens que les vaccins expérimentaux sont dangereux et produisent de nombreux effets secondaires potentiellement mortels. Les célébrités, et de nombreux médecins, ont tort de se montrer rassurants. J’ai suggéré que les vaccins pourraient tuer plus de personnes que le covid-19.
Mais il semble maintenant probable que les vaccins puissent être responsables aussi de la mort de centaines de millions de personnes qui n’ont pas été vaccinées.
Sur le long terme, j’ai toujours pensé que la fraude du covid-19 avait été planifiée dans un but précis : tuer le plus grand nombre possible de personnes âgées et fragiles et introduire les vaccinations obligatoires. C’est ce que j’ai dit dans ma première vidéo à la mi-mars 2020. Il y avait aussi, bien sûr, le plan de détruire puis de réinventer l’économie pour satisfaire aux exigences de l’Agenda 21 et de la Grande Réinitialisation.
RépondreSupprimerQuelques jours après la première parution de cette vidéo, j’ai été furieusement attaqué sur Internet. Ma fiche Wikipédia a été radicalement modifiée. Les détails de tous mes livres, séries télévisées et chroniques ont été supprimés. J’ai été décrit comme un théoricien de la conspiration. J’ai réalisé une vidéo expliquant comment ma fiche Wikipedia a été modifiée pour me diaboliser et me discréditer. Beaucoup d’autres personnes qui ont remis en question la ligne officielle sur le covid-19 ont subi les mêmes tourments. Et, bien sûr, la BBC et la presse nationale se sont jointes à eux en attaquant ceux qui osent remettre en question la ligne officielle en diffusant des vérités irrecevables.
Mais je crains maintenant que les fous génocidaires, les cavaliers de l’Apocalypse qui ont planifié cette fraude, nous conduisent à l’Armageddon.
J’ai longtemps cru que les architectes de cette fraude s’attendaient à ce que des millions de personnes meurent.
Cependant, je crois maintenant que les esprits maléfiques qui ont créé cette fraude ont dramatiquement sous-estimé le danger des vaccins expérimentaux qu’ils ont promus avec tant de vigueur. Des millions de personnes qui ont reçu l’un des vaccins covid-19 peuvent mourir à la suite de ces vaccinations. Je vais expliquer comment et pourquoi.
La fraude a commencé avec les prédictions délirantes de Ferguson, de l’Imperial College. Ferguson est un modélisateur mathématique dont les antécédents sont épouvantables. Les personnes qui ont organisé la fraude savaient que les prédictions de Ferguson étaient absurdes. Ils devaient savoir que les antécédents de Ferguson étaient déplorables. Mais ses prédictions ont néanmoins été utilisées comme prétexte pour les confinements, l’éloignement social, les masques et la fermeture des écoles et des services hospitaliers. C’était de la folie pure. La chose logique à faire était d’isoler les personnes atteintes de l’infection – de la même manière qu’on dit aux personnes atteintes de la grippe de rester chez elles – et de protéger les personnes les plus vulnérables, principalement les personnes âgées souffrant de troubles cardiaques ou thoraciques. Mais les politiciens et les conseillers ont tout fait de travers. Et ceux qui ont remis en question ce qui se passait ont été diabolisés et réduits au silence.
Le fait est que le système immunitaire des personnes en bonne santé est renforcé par les interactions avec les autres. Les enfants et les jeunes adultes en bonne santé ont un système immunitaire très puissant. Seules les personnes âgées sont les plus susceptibles d’être menacées par un nouveau virus.
Et pourtant, les politiciens du monde entier et leurs conseillers nous ont délibérément entraînés dans un programme de vaccination de masse.
À l’origine, on a assuré au public que seul un vaste programme de vaccination lui permettrait de regagner certaines de ses libertés perdues. Cela a toujours été un dangereux non-sens.
Cependant, les vaccins expérimentaux qui ont été approuvés si rapidement n’ont jamais eu l’effet escompté. Ils n’ont pas été conçus pour prévenir l’infection ou la transmission. Les vaccins n’empêchent pas les gens de contracter le covid-19 et ils ne les empêchent pas de le transmettre s’ils le contractent. Les vaccins aident simplement à limiter la gravité des symptômes pour certaines personnes qui ont reçu l’injection. Ce n’est pas ce que la plupart des gens croient, bien sûr. La majorité des personnes qui ont été vaccinées pensent qu’elles ont été protégées contre l’infection. C’était une autre fraude.
RépondreSupprimerEn dehors du fait assez important qu’ils ne font pas ce que les gens pensent qu’ils font, il y a trois énormes problèmes avec les vaccins :
Le premier problème, bien sûr, est que ces vaccins expérimentaux se sont déjà révélés être dangereux – ils ont déjà tué de nombreuses personnes et provoqué des effets secondaires graves chez beaucoup d’autres. On peut juger de l’ampleur de ce problème par le fait que même les autorités admettent que probablement seul un décès et un effet secondaire grave liés aux vaccins sur 100 sera signalé. Il est impossible d’estimer combien mourront de problèmes d’allergies, de troubles cardiaques, d’accidents vasculaires cérébraux, de problèmes neurologiques ou combien seront aveugles ou paralysés. Il existe sur mon site web une liste de personnes dont on sait qu’elles ont été blessées ou malades à cause du vaccin, c’est une liste terrifiante à lire. Le nombre de décès est terrifiant, mais la plupart des autorités continuent d’insister sur le fait qu’il ne s’agit que de coïncidences. Lorsqu’une personne décède dans les 60 ou 28 jours suivant un test positif au covid-19 – même si le résultat du test était faux – elle est automatiquement traitée comme un décès dû au covid-19, pour faire grimper les chiffres. Mais lorsque des jeunes gens en bonne santé meurent quelques heures après avoir été vaccinés, ces décès sont considérés comme de simples coïncidences. Quelles tragiques coïncidences !
Le deuxième problème est celui du système immunitaire, connu sous le nom d’amorçage pathogène ou de tempête de cytokines. Ce qui se passe, c’est que le système immunitaire de la personne qui a été vaccinée, sera préparé à réagir de manière dramatique si cette personne entre en contact avec le virus à l’avenir. Le résultat peut être catastrophique et c’est ce que je crains de voir se produire à l’automne et au cours de l’hiver prochain. Les personnes qui ont été vaccinées vont avoir de gros problèmes lors de leur prochain contact avec un coronavirus. Leur système immunitaire réagira de manière excessive et c’est probablement à ce moment-là qu’il y aura de nombreux décès.
Les patients n’ont pas été officiellement avertis de ce problème, bien que les preuves aient été publiées dans l’International Journal of Clinical Practice d’octobre 2020. L’article s’intitule « Divulgation aux sujets des essais de vaccins, lors du consentement éclairé, du risque d’aggravation de la maladie clinique par les vaccins covid-19 ».
Mais il n’y a pas eu de consentement éclairé pour les patients et je soupçonne que la plupart des médecins restent ignorants des risques.
RépondreSupprimerLes personnes âgées et celles dont le système immunitaire est faible sont particulièrement susceptibles de mourir. Et qu’est-ce qui vous donne un mauvais système immunitaire ? Porter un masque, s’isoler des autres et ne pas prendre suffisamment de soleil sont trois causes évidentes. Boire trop d’alcool et fumer trop de tabac en étant assigné à résidence n’aide pas.
Les décès supplémentaires surviendront probablement à l’automne, lorsque les personnes vaccinées sont le plus susceptibles d’être exposées au virus. C’est en automne et en hiver que le coronavirus se propage le plus rapidement.
En raison de l’épidémie de maladies et de décès qui se produira, les gouvernements commenceront à promouvoir la prochaine série de vaccinations. Il sera beaucoup question de mutations, bien sûr, et de nouveaux vaccins préparés à la hâte seront produits et fortement promus par des célébrités qui ne connaissent rien à la médecine ou aux vaccins. Les médecins qui comprennent les dangers et qui ont des doutes sur les vaccins seront, comme d’habitude, réduits au silence.
Étonnamment, je crois que les personnes à l’origine de cette fraude savaient que cela se produirait. Cela faisait partie de leur plan diabolique.
Ils savaient qu’il y aurait une augmentation des décès à l’automne et l’hiver prochain. Ils ont toujours prévu de mettre ces décès sur le compte d’une nouvelle version du covid-19 – l’une des milliers de mutations qui existeront à l’automne. Je soupçonne depuis longtemps qu’ils finiront par promouvoir les vaccinations tous les deux mois – ou même plus fréquemment, tous les mois ou presque. À l’origine, j’ai utilisé le mot « canular » pour critiquer la réaction à une infection virale de type grippal. La réponse a été exagérée.
Je soupçonne que c’est ce qui faisait sourire Bill et Melinda Gates lorsqu’ils ont laissé entendre que nous ne prendrions peut-être pas la première pandémie au sérieux, mais que nous traiterions la prochaine pandémie bien plus sérieusement.
Et je crois qu’eux, et tous les autres impliqués dans cette fraude, ont supposé qu’ils seraient parfaitement en sécurité parce qu’ils n’auraient pas réellement les vaccins. Je soupçonne qu’une partie de l’élite, et des célébrités les plus importantes, ont reçu un placebo au lieu d’un des vaccins expérimentaux.
Ils ne risqueront pas de mourrir du vaccin, d’être gravement malades ou de développer une pathologie – et d’être ensuite incroyablement vulnérables la prochaine fois qu’ils entreraient en contact avec un virus.
Je pense que l’élite pensait qu’elle était en sécurité. Je pense qu’ils ont conçu un plan qui entraînerait des millions de morts mais qui ne leur ferait pas de mal.
Je crois qu’ils ont fait une énorme et cruciale erreur
Et cela nous amène au troisième problème – un problème auquel il ne s'attendaient pas.
Ce problème vient d’être exposé par le Dr Geert Vanden Bossche, un éminent spécialiste des vaccins. En fait, j’étais initialement sceptique quant à ses propos, car le Dr Bossche a travaillé auparavant avec GAVI et la Fondation Gates. Il est la dernière personne au monde qui serait opposée à la vaccination.
RépondreSupprimerLe Dr Bossche a souligné que les vaccins utilisés actuellement ne sont pas les bonnes armes à utiliser dans la guerre contre cette infection virale.
En vaccinant des millions de personnes, nous poussons le virus à muter et à devenir plus fort et plus mortel. Essayer de concevoir de nouveaux vaccins pour de nouvelles mutations ne fait qu’aggraver la situation, car les scientifiques ne peuvent pas devancer les virus mutants. Et les personnes qui ont été vaccinées partagent maintenant des virus mutés avec leur entourage. Les mutations deviennent plus fortes et plus mortelles.
La fin des mesures de confinement sera parfaitement synchronisée pour garantir que les nouvelles mutations du virus covid-19 se répandent largement.
Il y a aussi un autre problème associé.
Normalement, notre corps contient des globules blancs qui nous aident à vaincre les infections. Des cellules appelées cellules NK – NK signifie natural killers (tueurs naturels) – aident à éliminer les mauvaises cellules qui nous envahissent. Une fois que les cellules NK ont fait leur travail, les anticorps apparaissent et nettoient les dégâts.
Cependant, le Dr Bossche explique que les vaccins contre le covid-19 déclenchent la production d’anticorps très spécifiques qui entrent en compétition avec les défenses naturelles des personnes qui ont reçu les vaccins.
Les systèmes de défense naturels des personnes vaccinées sont supprimés parce que les anticorps spécifiques qui ont été produits par le vaccin prennent le dessus.
Et ces anticorps spécifiques, ceux produits par les vaccins, sont permanents. Ils sont là pour toujours dans le corps des vaccinés.
Le résultat désastreux est que le système immunitaire naturel des dizaines ou centaines de millions de personnes qui sont vaccinées est effectivement détruit.
Leur système immunitaire ne sera pas en mesure de combattre une quelconque variation mutée du virus qui se développe dans leur corps. Et ces virus mutés peuvent se propager dans la communauté. Je pense que c’est la raison pour laquelle de nouvelles variations du virus apparaissent dans les régions où le vaccin a été administré à un grand nombre de personnes.
L’essentiel est que l’administration des vaccins donne au virus l’occasion de devenir infiniment plus dangereux. Chaque personne vaccinée a le potentiel de devenir un meurtrier de masse car son corps devient un laboratoire de fabrication de virus mortels. Et pire encore, certains des individus vaccinés peuvent devenir des porteurs asymptomatiques – propageant des virus mortels autour d’eux.
Et les personnes qui ont reçu le vaccin ne pourront pas réagir aux mutations parce que leur système immunitaire a été pris en charge par un système de défense artificiel, qui leur a été donné par le vaccin et qui a été conçu pour combattre la forme originale du virus covid-19. Les individus vaccinés vont être très exposés lorsque les nouvelles mutations commenceront à se propager. Leur corps est en permanence et exclusivement orienté vers la défense contre une forme du virus qui devient rapidement obsolète.
RépondreSupprimerL’administration de nouveaux vaccins ne servira à rien, car le virus muté ne sera pas vulnérable. Les scientifiques qui fabriquent les vaccins ne seront pas en mesure de devancer les mutations du virus. Cela aurait dû être prévu. C’est pourquoi les vaccins contre la grippe sont souvent inefficaces.
Les politiciens et leurs conseillers vont mentir et accuser ceux qui n’ont pas été vaccinés d’être responsables du développement de nouvelles mutations et de l’augmentation du nombre de décès qui va se produire.
Mais si le Dr Bossche a raison, et je le crois, ce sont les personnes vaccinées qui vont menacer l’humanité. Ils seront une menace majeure pour tous ceux qui ont été vaccinés. Mais ils seront également une menace majeure pour les personnes non vaccinées, car les virus qu’ils excrètent sont plus dangereux que le virus original.
Nous sommes en territoire très dangereux
Si nous n’arrêtons pas ce programme de vaccination maintenant, il n’est pas exagéré de dire que l’avenir même de l’humanité est en danger.
C’est à cela que pensaient ceux qui ont essayé de nous vendre la Grande Réinitialisation ?
Je ne sais pas.
Peut-être que leur but depuis le début était de tous nous tuer.
Ou peut-être que leur complot diabolique est devenu incontrôlable. Au Royaume-Uni, Ferguson, Hancock, Whitty et Vallance m’ont toujours semblé être les mauvaises personnes pour diriger la réponse de la nation. Aux États-Unis, je pense que le Dr Fauci n’était pas la bonne personne.
J’ai toujours craint qu’ils aient été choisis parce qu’ils ne sont pas les bonnes personnes. Tout ce qu’ils ont fait était mauvais pour nous, mais bon pour eux et pour la cabale diabolique qui promeut l’Agenda 21 et la Grande Réinitialisation.
L’insistance à supprimer le libre débat nous a conduit directement dans cet abîme. Aucune de ces personnes n’aurait dû être autorisée à exercer un tel contrôle sur nos vies, mais en supprimant toute opposition interrogative d’une manière jamais vue auparavant et en supprimant les faits, les médias grand public et les géants de l’Internet ont rendu les choses infiniment pires. Pensent-ils qu’ils vont être en sécurité ?
RépondreSupprimerIl existe un risque réel qu’au lieu de tuer 90 à 95 % des gens, comme l’élite maléfique le souhaitait à l’origine, ils tuent tout le monde par erreur; ils pourraient anéantir l’humanité.
Nous avons très peu de temps pour nous sauver. Nous devons renforcer notre système immunitaire et, ironiquement, il est possible que nous devions nous tenir à l’écart des personnes qui ont été vaccinées. Je rédigerai un article d’ici une semaine sur la façon dont vous pouvez renforcer votre système immunitaire.
Maintenant, voyez-vous pourquoi cet article est le plus important que j’ai écrit sur le covid-19 et le plus important que vous ayez jamais vu ?
Je ne peux pas atteindre les médias grand public qui suppriment tout simplement la vérité et refusent tout débat ou discussion. YouTube, par exemple, n’accepte pas les vidéos qui remettent en question tout ce qui est promu par l’establishment du mal.
Envoyez donc cet article aux médecins et aux journalistes, aux amis et aux parents. Partagez, partagez, partagez. Peut-être pourrons-nous persuader les personnes au pouvoir qu’elles ne sont pas à l’abri du désastre qui s’annonce. Vous pouvez partager facilement à partir d'ici.
J'espère que le Dr Bossche a tort. J'espère que je me trompe.
Mais tout dans cet article doit être examiné. Et si ces craintes ne sont pas rendues publiques et étudiées, alors nous saurons avec certitude que le plan est de tuer autant d'entre nous que possible. Il ne peut y avoir d'autre conclusion.
Dr Vernon Coleman, 13 mars 2021
http://echelledejacob.blogspot.com/2021/04/dr-vernon-coleman-tous-les-vaccines.html
Un astéroïde a frappé la Terre en 2018, et maintenant nous savons d'où il vient.
RépondreSupprimermarseillenews.net
mer., 28 avr. 2021 22:26 UTC
asteroide 2018 vesta
Lorsqu'un morceau de roche spatiale parvient à la surface de la Terre, il y a toujours une question de savoir d'où il provient. Les scientifiques sont devenus assez bons pour retracer la source de divers morceaux de débris spatiaux en fonction de la composition de la roche ainsi que de la position de la Terre et de la direction de la roche dans l'espace lorsqu'elle a rencontré notre planète. En 2018, un astéroïde qui était suivi dans l'espace a entraîné des débris qui ont impacté la Terre au Botswana en Afrique australe. Après la découverte de la roche, les chercheurs ont commencé la tâche de retracer ses origines, et un nouvel article publié dans Meteoritics and Planetary Science fournit leurs conclusions.
Selon les scientifiques, l'astéroïde provient probablement d'un astéroïde massif sur lequel les astronomes surveillent depuis un certain temps. La roche spatiale est connue sous le nom de Vesta, et c'est le deuxième plus grand astéroïde connu de notre système solaire. L'histoire de Vesta est obscurcie par le mystère, mais on pense que les impacts sur la surface de l'astéroïde ont créé de nombreux débris et il semble que l'un de ces morceaux ait trouvé son chemin vers la Terre.
Les morceaux de l'astéroïde qui a atterri au Botswana étaient relativement minuscules. L'astéroïde qui leur a donné naissance est apparu comme un éclair de lumière dans une étude du ciel menée par l'Université de l'Arizona, et lorsqu'il a atteint la Terre, il s'est fragmenté et les débris sont tombés dans la réserve de gibier du Kalahari central. Les chercheurs ont parcouru la zone et ont trouvé un total de 23 météorites.
"La combinaison des observations du petit astéroïde dans l'espace avec les informations glanées des météorites montre qu'il provenait probablement de Vesta, deuxième plus grand astéroïde de notre système solaire et cible de la mission DAWN de la NASA", a déclaré Peter Jenniskens, chef de l'étude, dans un déclaration. «Il y a des milliards d'années, deux impacts géants sur Vesta ont créé une famille d'astéroïdes plus gros et plus dangereux. Les météorites récemment récupérées nous ont donné un indice sur le moment où ces impacts auraient pu se produire. »
Le suivi des débris était un défi car les observations n'ont été faites que peu de temps avant que la roche n'atteigne la Terre. Une fois cela fait, les scientifiques ont dû rechercher des séquences vidéo qui leur offraient des indices sur l'endroit où les débris se posaient.
Une fois les échantillons trouvés, l'étude du matériau rocheux a commencé. Après une longue enquête qui a aidé à vieillir la roche et à réduire ses origines possibles, les chercheurs sont finalement arrivés à la conclusion qu'elle provenait d'un impact avec Vesta. De plus, les débris auraient été arrachés de Vesta lors d'un impact avec un autre corps il y a environ 22 millions d'années.
La science du suivi de la source des astéroïdes s'est développée à pas de géant ces dernières années. Il est incroyable de penser que les chercheurs peuvent réellement retracer l'origine d'une roche spatiale après avoir déjà frappé la Terre. Ces types de projets de recherche nous aident à en apprendre davantage sur notre système solaire et tout le matériel qu'il contient, et pourraient ouvrir de nouvelles voies de recherche sur la formation d'astéroïdes.
https://fr.sott.net/article/37103-Un-asteroide-a-frappe-la-Terre-en-2018-et-maintenant-nous-savons-d-ou-il-vient