jeudi 16 juillet 2020

Castex annonce l'obligation du port du masque dans les lieux publics clos dès «la semaine prochaine»

16 juil. 2020, 09:59 


Au lendemain de sa prise de parole devant les députés pour sa première déclaration de politique générale, le Premier ministre se présente devant les sénateurs pour le même exercice. Après son discours de politique générale la veille à l'Assemblée nationale, qui a suscité de nombreuses réactions aussi bien au sein de la majorité que dans l'opposition, Jean Castex se plie au même exercice ce 16 juillet dès 10h, mais cette fois-ci devant les sénateurs. Dans sa déclaration, le Premier ministre a fait savoir que le port du masque allait être obligatoire dans les lieux publics clos, et ce dès «la semaine prochaine». 

Lire aussi Castex provoque des remous à l'Assemblée en évoquant la souveraineté industrielle de la France «Nous envisagions une entrée en vigueur de ces dispositions le 1er août», a expliqué le Premier ministre, ajoutant : «J'ai compris que cette échéance apparaissait tardive [...] le décret entrera donc en vigueur la semaine prochaine.» 

Face aux députés, le nouveau locataire de Matignon avait évoqué la crise sanitaire due à la pandémie de coronavirus, la lutte contre le chômage, le plan de relance de l'économie proposé par Emmanuel Macron ou encore la transition écologique. Contrairement à la veille, aucun «vote de confiance» n'est prévu au palais du Luxembourg. A l'Assemblée nationale, le Premier ministre avait obtenu la confiance de 345 députés, soit moins que son prédécesseur Edouard Philippe (370 en juillet 2017 et 363 en juin 2019).

80 commentaires:

  1. (...) Dans sa déclaration, le Premier ministre a fait savoir que le port du masque allait être obligatoire dans les lieux publics clos, et ce dès «la semaine prochaine». (...)

    Le port du masque NON-ANTIVIRUS sera désormais obligatoire faute d'avoir des masques FFP2 (SEULS masques antivirus). D'où les ventes exponentielles de masques de Zorro, Mickey, masques (bleus) dits 'chirurgicaux', filets de pommes de terre, ou même masques invisibles qui ne peuvent qu'être qu'ACCEPTÉS vue qu'il n'EXISTE PAS DE MASQUE ANTIVIRUS PROPOSÉS EN FRANCE !

    Depuis des mois c'est le Carnaval en France !! Des masques anti-poussières (FFP1 ou masques dits 'médicaux ou chirurgicaux' ou masques 'faits-maison' !) sont proposés à la vente pour les carnavaliers en vue de faire peur aux virus d'un micron (µ) qui passent par 10 000 au travers des mailles ! HAHAHAHAHA !

    L'objectif est donc d'empêcher 30 % de l'oxygène d'être inspiré et d'être contrait à inspirer le gaz carbonique refoulé grâce au masque !
    Cela se traduira donc par des pertes de connaissance, maux de tête et lésions pulmonaire pour tous ! car, un masque QUEL QU'IL SOIT ne DOIT PAS ÊTRE PORTÉ PLUS DE 20 MINUTES !

    Veuillez demander aux médecins, scientifiques, pharmaciens ou infirmières qu'est-ce qu'un masque antivirus (FFP2). S'ils venaient (j'en doute !) à dire le contraire de ce que j'ai notifié ci-dessus ils seraient rayés par le Conseil de l'Ordre.

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    1. Grosseur d'une poussière:
      [................................................................]

      Ecart entre mailles d'un masque bleu (dit 'masque chirurgicaux) ou masque anti-poussières:
      [....................................................]

      Grosseur d'un virus:
      [.]

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  2. Etats-Unis : George Soros va investir 220 millions de dollars pour défendre «l'égalité raciale»


    15 juil. 2020, 18:14


    Le milliardaire américano-hongrois va investir massivement aux Etats-Unis pour «renforcer le pouvoir dans les communautés noires». Ce faisant, il entend aider les associations et les personnalités qui se battent contre le «racisme systémique». Le controversé milliardaire américano-hongrois George Soros, champion des causes progressistes, a annoncé une nouvelle série de financements. Alors que la mort de George Floyd, cet Afro-Américain tué par un policier blanc, a soulevé une vague d'indignation aux Etats-Unis, George Soros a annoncé qu'il allait investir 220 millions de dollars pour combattre le «racisme systémique».

    Dans un message posté sur Twitter, il a assuré que cet investissement viendrait «renforcer le pouvoir dans les communautés noires et les nouvelles politiques antiracistes» outre-Atlantique, et renvoyé vers un communiqué de son organisation Open Society pour davantage d'informations. Mettre fin au «maintien de l'ordre tel que nous le connaissons aujourd'hui»

    Dans celui-ci, l'ONG explique que la majeure partie de cet investissement, 150 millions de dollars, se fera via «des subventions sur cinq ans à des organisations dédiées à la justice dirigées par des Noirs qui ont contribué à créer et à maintenir l'effort vers l'égalité raciale».

    Parmi les organisations citées, «certaines se battent pour mettre au fin au maintien de l'ordre tel que nous le connaissons aujourd'hui», précise le communiqué.

    «Il est inspirant et puissant de vivre ce moment de transformation du mouvement de justice raciale», s'enthousiasme le président de l’Open Society Patrick Gaspard, soulignant que la lutte contre le «racisme systémique» doit se mener à tous les niveaux : «[le racisme systémique] existe depuis l'aube de la république jusqu'à aujourd'hui, et est ancré à tous les niveaux du gouvernement, ainsi que dans notre système pénal et judiciaire.»

    L'ONG explique qu'elle va en outre s'implanter dans le tissu politique et associatif local pour «faire progresser la justice raciale», puisque 70 millions de dollars seront consacrées à promouvoir des «stratégies audacieuses et prometteuse» pour ré-imaginer la sécurité publique dans les municipalités.

    Parmi les initiatives soutenues, des projets visant à «nourrir l'engagement civique des jeunes, dont beaucoup se sont engagés pour la première fois dans l'activisme en réponse à ce moment politique extraordinaire de l'histoire de notre pays», et un appui «aux efforts en cours pour lutter contre la répression et la désinformation des électeurs et garantir la sûreté et la sécurité des élections en pleine pandémie».

    Donald Trump, opposé de longue date à George Soros, estime que le financier cherche à déstabiliser sa présidence : il vient notamment de l'accuser – au même titre que deux autres «milliardaires gauchistes» Michael Bloomberg, et Tom Steyer – d'aider le camp démocrate à mettre en place des mesures visant à «truquer» l'élection, telles que la généralisation du vote par courrier ou le fait de pouvoir voter sans présenter de carte d'identité.

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  3. Il y a quelques mois Donald Trump avait accusé le milliardaire de financer les manifestants contre la confirmation à la Cour suprême du juge Brett Kavanaugh. Dans le passé plusieurs associations partenaires et un des hauts responsables de la Women's March contre le chef d'Etat avaient eu des liens financiers avec George Soros.

    https://francais.rt.com/international/76902-etats-unis-george-soros-va-investir-220-millions-dollars-defendre-egalite-raciale

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    1. (...) Le milliardaire américano-hongrois va investir massivement aux États-Unis pour «renforcer le pouvoir dans les communautés noires» (...)

      voir son contraire dans la phrase plus après:

      (...) George Soros a annoncé qu'il allait investir 220 millions de dollars pour combattre le «racisme systémique». (...)

      La mention de 'racisme systémique' renvoie au système. C'est-à-dire le système (merdias/politique) mis en place par les 'autorités. Tandis que de designer une personne par le qualificatif de noire ou blanche renvoie donc à la différenciation appelés [par Soros] des races.

      (...) «[le racisme systémique] existe depuis l'aube de la république jusqu'à aujourd'hui, (...)

      Effectivement une république est le contraire d'une Démocratie.

      Va t-on interdire les vacanciers - à se faire bronzer sous le soleil - de vouloir changer de race ?

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  4. Effets indésirables induits par le vaccin Moderna COVID-19 chez «plus de la moitié» des participants à l'essai


    par Tyler Durden
    Mer, 15/07/2020 - 14:41
    Écrit par Daniel Payne via JustTheNews.com,


    Un essai clinique très attendu pour un vaccin potentiel COVID-19 géré en partie par la société pharmaceutique américaine Moderna a entraîné des effets indésirables chez plus de la moitié des participants à l'essai, un groupe d'essai signalant des symptômes "graves".

    L'essai, qui est également parrainé par l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses, a administré le vaccin "sous la forme d'une injection de 0,5 ml dans le muscle deltoïde" en deux injections espacées d'environ un mois. Deux groupes distincts ont reçu des doses de 25 microgrammes et 100 microgrammes, respectivement. Un troisième groupe avec une dose de 250 microgrammes a ensuite été ajouté.

    Le vaccin "a induit des réponses immunitaires anti – SARS-CoV-2 chez tous les participants", a rapporté mardi l'équipe de recherche dans le New England Journal of Medicine. Les chercheurs ont déclaré qu '"aucun problème de sécurité limitant les essais n'a été identifié". Pourtant, une majorité de participants ont encore signalé au moins un effet secondaire.

    "Les événements indésirables sollicités qui se sont produits chez plus de la moitié des participants comprenaient de la fatigue, des frissons, des maux de tête, des myalgies et des douleurs au site d'injection", indique le rapport. De la fièvre, des douleurs articulaires et des nausées ont également été signalées.

    Les effets secondaires sont devenus plus courants avec des injections plus nombreuses (et plus importantes), les scientifiques écrivent:

    "Les événements indésirables systémiques étaient plus fréquents après la deuxième vaccination, en particulier avec la dose la plus élevée, et trois participants (21%) dans le groupe recevant 250 µg ont signalé un ou plusieurs événements indésirables graves."

    Notamment, chaque participant dans les deux groupes à dose plus élevée a signalé des effets indésirables après leurs deuxièmes injections. Un participant à l'étude du groupe recevant la plus petite dose, quant à lui, a été retiré en raison du développement d'une urticaire après la première série d'injections.

    Les scientifiques ont déclaré qu'en raison de l'état d'avancement du projet, ils ne sont pas encore "en mesure d'évaluer la durabilité des réponses immunitaires" générées par le vaccin, mais qu'ils ont l'intention de suivre les participants "pendant 1 an après la deuxième vaccination" et examiner des échantillons de sang réguliers pour surveiller les effets du vaccin.

    Un grand essai "prévu pour évaluer une dose de 100 µg" devrait "commencer au cours de l'été 2020", indique le rapport.

    https://www.zerohedge.com/political/moderna-covid-19-vaccine-induced-adverse-reactions-more-half-trial-participants

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    1. Pareillement que tous les décès du soi-disant 'corona' était des personnes précédemment vaccinées contre la grippe !

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  5. Comment un faux récit d'hydroxychloroquine a été créé


    Par Joseph Mercola
    Mercola.com
    16 juillet 2020


    Les controverses entourant la pandémie de COVID-19 ne manquent pas, mais la controverse sur l'hydroxychloroquine est peut-être l'une des plus perplexes et frustrantes. Les médecins et les experts de la santé du monde entier se sont prononcés pour et contre l'utilisation du médicament, certains signalant des avantages spectaculaires1 tandis que d'autres mettent en garde contre les dangers mortels.2

    Changeur de jeu ou traitement mortel ?

    Dans un sondage international3 auprès de 6 227 médecins dans 30 pays, 37% ont classé le médicament antipaludique hydroxychloroquine comme «la thérapie la plus efficace» pour COVID-19. Le sondage a été réalisé par Sermo, la plus grande société de collecte de données sur les soins de santé au monde et plateforme sociale pour les médecins.

    En Espagne, où le médicament a été utilisé par 72% des médecins, il a été classé «traitement le plus efficace» par 75% d'entre eux. La dose typique utilisée par la majorité des médecins était de 400 milligrammes par jour.

    Didier Raoult, fondateur et directeur de l'hôpital de recherche Institut Hospitalo-Universitaire Méditerranée Infection, 4 microbiologiste et expert français des maladies infectieuses, a rapporté5,6 qu'une combinaison d'hydroxychloroquine et d'azithromycine, administrée immédiatement après le diagnostic, a conduit à une guérison et à une «virologie». »- non-détection du SRAS-CoV-27 dans les écouvillons nasaux - chez 91,7% des patients.

    Selon Raoult, la combinaison de médicaments «évite l'aggravation et élimine la persistance et la contagiosité du virus dans la plupart des cas». Aucune toxicité cardiaque n'a été observée en utilisant une dose de 200 mg trois fois par jour pendant 10 jours, avec 500 mg d'azithromycine le jour 1, puis 250 mg par jour pendant les quatre jours suivants. Le risque de toxicité cardiaque a été amélioré par un dépistage minutieux des patients et la réalisation d'électrocardiogrammes en série.

    Tel que rapporté par The Highwire (voir la vidéo ci-dessus), le 2 juillet 2020, Raoult est cité comme disant que le fait de ne pas prescrire d'hydroxychloroquine à un patient COVID-19 "devrait être un motif de faute professionnelle". Pendant ce temps, les enquêteurs de l'Université d'Oxford affirment que le médicament est inutile et ne devrait pas du tout être prescrit chez les patients hospitalisés8.

    Les négationnistes de l'hydroxychloroquine "sont coupables de meurtre de masse". ~ Dr Vladimir Zelenko.

    Un site Web intéressant sur les essais d'hydroxychloroquine est c19study.com.9 Il répertorie plus de 40 études et méta-analyses montrant des résultats positifs du médicament, contre neuf qui ont abouti à une conclusion négative.

    Le régime Zelenko

    Le Dr Vladimir Zelenko, un médecin de soins primaires à Monroe, New York, a également rapporté d'excellents résultats en utilisant le médicament. Il a déclaré à l'animateur de radio Sean Hannity qu'il avait eu un taux de réussite proche de 100% en utilisant l'hydroxychloroquine, l'azithromycine et le sulfate de zinc pendant cinq jours. "J'ai vu des résultats remarquables; cela empêche vraiment la progression de la maladie et les patients vont mieux », a-t-il déclaré à Hannity.

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  6. Dans la vidéo ci-dessus, Del Bigtree interviewe Zelenko sur les critiques qui lui ont été adressées pour avoir encouragé l'usage de la drogue. Selon Zelenko, les négationnistes de l'hydroxychloroquine "sont coupables de meurtre de masse".

    Il souligne que l'hydroxychloroquine est utilisée depuis des décennies et qu'elle est sans danger même pour les femmes enceintes et allaitantes, il s'est donc senti très à l'aise de la prescrire hors AMM. Il a prescrit 200 mg d'hydroxychloroquine deux fois par jour, 500 mg d'azithromycine une fois par jour et 220 mg de zinc une fois par jour, pendant cinq jours.

    Le traitement a été instauré dans les cinq premiers jours suivant les symptômes cliniques de COVID-19, sur la base d'une «suspicion clinique» d'infection par le SRAS-CoV-2 (pas de tests confirmés en laboratoire, car les résultats des tests ont pris trois jours et la charge virale explose généralement au jour 6). ).

    Le 30 juin 2020, Zelenko et deux coauteurs ont publié une étude, 10 en cours de prépublication, qui a révélé que le traitement des patients COVID-19 qui avaient confirmé des résultats de test positifs «le plus tôt possible après l'apparition des symptômes» avec du zinc, de l'hydroxychloroquine à faible dose et l'azithromycine «était associée à un nombre d'hospitalisations significativement moins élevé et à cinq fois moins de décès toutes causes confondues».

    Comme l'a noté Zelenko dans l'interview de Bigtree, le véritable tueur de virus dans cette combinaison est en fait le zinc. L'hydroxychloroquine agit simplement comme un transporteur de zinc, lui permettant de pénétrer dans la cellule. L'antibiotique, quant à lui, aide à prévenir les infections secondaires.

    Effort coordonné et coordonné pour empêcher l'utilisation de médicaments efficaces ?

    Selon le Dr Meryl Nass, les opinions très divergentes sur l'hydroxychloroquine semblent avoir peu à voir avec son innocuité et son efficacité contre le COVID-19, et davantage avec un effort concerté et coordonné pour empêcher son utilisation. Dans la vidéo11 ci-dessus, Chris Martensen Ph.D., passe également en revue le «profond manque d'intégrité» que nous constatons actuellement en ce qui concerne l'hydroxychloroquine.

    En effet, il existe plusieurs raisons pour lesquelles certaines personnes et certaines entreprises pourraient ne pas vouloir qu'un médicament générique bon marché puisse lutter contre cette pandémie. (Un approvisionnement de 14 jours ne coûte que 2 $ à fabriquer12 et peut coûter aussi peu que 20,13 $)

    L'une des raisons les plus évidentes est qu'elle pourrait éliminer le besoin d'un vaccin ou d'un autre médicament antiviral actuellement en cours de développement.14 Des centaines de millions de dollars ont déjà été investis, et les fabricants de vaccins espèrent un salaire de plusieurs milliards, sinon des milliers de milliards de dollars. dollars. Dans un article de blog du 27 juin 2020, Nass souligne: 15

    «Il est remarquable qu'une série d'événements ayant eu lieu au cours des trois derniers mois aient produit un message unifié sur l'hydroxychloroquine et produit des politiques similaires sur le médicament aux États-Unis, au Canada, en Australie, en Nouvelle-Zélande et en Europe occidentale16.

    Le message est que l'hydroxychloroquine générique et peu coûteuse est dangereuse et ne doit pas être utilisée pour traiter une maladie potentiellement mortelle, le COVID-19, pour laquelle il n'existe aucun (autre) traitement fiable.

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  7. L'hydroxychloroquine est utilisée en toute sécurité depuis 65 ans chez plusieurs millions de patients. Et donc le message a été conçu que le médicament est sûr pour ses autres utilisations, mais dangereux lorsqu'il est utilisé pour COVID-19. Cela n'a pas de sens, mais cela semble avoir fonctionné. Ces actes ont-ils été soigneusement orchestrés ? Tu décides.

    Ces événements auraient-ils pu être planifiés pour maintenir la pandémie ? Vendre des médicaments et des vaccins coûteux à une population captive ? Ces actes pourraient-ils entraîner des difficultés économiques et sociales prolongées, transférant éventuellement la richesse de la classe moyenne aux très riches ? »

    La lutte contre l'hydroxychloroquine peut également avoir des fondements politiques. Comme l'a noté le journaliste d'investigation Sharyl Attkisson dans un rapport Full Measure du 18 mai 2020, «jamais auparavant une discussion sur les choix de médicaments n'avait été aussi lacunaire avec des connotations politiques.»

    Des essais minent la sécurité et l'efficacité en utilisant des doses toxiques

    L’article 17 de Nass énumère ce qui s’est produit jusqu’ici en ce qui concerne l’hydroxychloroquine, l’intention étant de la conserver en tant que document évolutif qui sera ajouté au fil du temps.

    Nass dit qu'elle l'a écrit de telle manière qu'il pourrait être lu comme une «liste de choses à faire… à exécuter par ceux qui tirent sur les ficelles», dans le but de supprimer l'utilisation de la drogue. Au moment d'écrire ces lignes, la liste de Nass18 contient 27 entrées de puces. Je recommande fortement de le lire, car je n'en soulignerai que quelques-uns ici.

    Plusieurs éléments de la liste de Nass détaillent les différentes manières dont l’utilisation sûre et efficace de la drogue a été compromise, ce qui a permis d’établir un faux récit du danger.

    Par exemple, Nass souligne que trois grands essais cliniques randomisés multicentriques ont tous utilisé des doses excessives connues pour être toxiques19. Elle discute également de ces essais dans d'autres articles de fond: 20,21,22

    • The UK Recovery Trial23,24,25 - Financée en partie par la Fondation Bill & Melinda Gates, Wellcome Trust et le gouvernement britannique par le biais de l'Université d'Oxford26, cette étude a assigné au hasard des patients aux soins habituels ou à l'un des cinq principaux traitements médicamenteux: le lopinavir -ritonavir; un corticostéroïde (dexaméthasone à faible dose); l'hydroxychloroquine; tociizumab; ou l'azithromycine. Ils ont également utilisé du plasma convalescent.

    Les patients ont reçu 2400 mg d'hydroxychloroquine au cours des 24 premières heures, soit trois à six fois plus que la dose quotidienne recommandée27, puis 400 mg toutes les 12 heures pendant neuf jours de plus pour une dose cumulée de 9200 mg sur 10 jours. Le procès a mis fin à son bras hydroxychloroquine le 4 juin, signalant «aucun avantage».

    • L'essai Solidarity28 - Lancé par l'Organisation mondiale de la santé et financé par 43 pays et 203 000 personnes et organisations29, cet essai compare également la norme de soins à quatre options de médicaments, dont l'hydroxychloroquine, chez des patients de 35 pays.

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  8. Curieusement, l'OMS ne précise pas la dose quotidienne utilisée dans l'essai. Cependant, l'enregistrement des parties canadienne30 et norvégienne31 de l'essai indique une posologie de 2000 mg le premier jour et une dose cumulée de 8800 mg sur 10 jours. Cela représente seulement 400 mg de moins que la dose toxique du procès de récupération U.K.32.

    Le bras hydroxychloroquine a été arrêté le 25 mai 33 suite à la publication de l'étude Surgisphere34 dans The Lancet. Le 3 juin, après qu'une énorme controverse avait été soulevée au sujet de la véracité de l'étude, et un jour avant que l'étude ne soit rétractée pour l'utilisation de données fabriquées, 35,36 (et ce malgré le fait d'avoir fait l'objet d'un examen par les pairs), le bras hydroxychloroquine a été redémarré37.

    Le 17 juin 2020, le bras hydroxychloroquine a de nouveau été arrêté, cette fois «sur la base des preuves du procès Solidarity, du procès Recovery du Royaume-Uni et d'une revue Cochrane d'autres preuves sur l'hydroxychloroquine 38».

    • L'essai REMAP-CAP (essai randomisé, embarqué, plateforme adaptative multifactorielle pour la pneumonie communautaire) 39 - Ici, les patients n'ont rien reçu, une combinaison de lopinavir et de ritonavir, ou d'hydroxychloroquine seule ou en combinaison avec du lopinavir et du ritonavir.

    Le REMAP a utilisé la même dose toxique que l'essai de récupération, mais pendant six jours au lieu de 10. De plus, seuls les patients hospitalisés gravement malades ont été inclus dans cet essai. Nass aborde également d'autres préoccupations dans son blog du 19 juin40 sur cette étude.

    La médecine de sauvetage est-elle suspendue pour garantir des bénéfices ?

    Qu'est-ce qui a poussé les concepteurs et les enquêteurs de ces trois vastes essais cliniques à utiliser de telles doses exagérées? L'hydroxychloroquine est sur le marché depuis 65 ans et les dosages toxiques et efficaces pour diverses affections sont bien documentés. Les médecins qui ont rapporté d'excellents résultats de traitement dans le domaine sont restés dans les doses recommandées d'hydroxychloroquine.

    Essayaient-ils de saboter délibérément ces essais en utilisant des doses connues pour être toxiques? Les médecins ont également signalé que les meilleurs résultats sont observés lorsque le médicament est administré tôt, alors que les symptômes sont encore légers ou modérés, mais dans ces essais, le médicament n'a été administré que trop tard.

    Une analyse rétrospective réalisée le 1er juillet 202041,42,43 sur 2541 patients du système hospitalier Henry Ford à Detroit, Michigan, a révélé que l'utilisation de l'hydroxychloroquine seule réduisait la mortalité de plus de moitié, de 26,4% à 13,5%. (L'hydroxychloroquine ™ en association avec l'azithromycine avait un taux de mortalité de 20,1%, et l'azithromycine seule avait un taux de mortalité de 22,4%.)

    Plus de 90% des patients avaient reçu le ou les médicaments dans les 48 heures suivant leur admission à l'hôpital. Aucun événement indésirable lié au cœur n'a été observé chez ceux qui ont reçu de l'hydroxychloroquine.

    Les trois essais ci-dessus utilisant des doses toxiques d'hydroxychloroquine - Récupération, Solidarité et REMAP - n'ont pas non plus inclus le zinc, qui semble être un facteur clé. Comme indiqué par Zelenko ci-dessus, l'hydroxychloroquine n'est vraiment utilisée que pour entraîner le zinc dans les cellules. Nass observe: 44

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  9. «Les conclusions à tirer sont effrayantes:

    L'OMS et d'autres agences nationales de la santé, des universités et des organisations caritatives ont mené de grands essais cliniques conçus pour que l'hydroxychloroquine ne soit pas efficace dans le traitement de Covid-19, peut-être à l'avantage de concurrents et de vaccins beaucoup plus chers en cours de développement.
    Ce faisant, ces organismes et organismes de bienfaisance ont conspiré de facto à augmenter le nombre de décès dans ces procès.
    Ce faisant, ils ont conspiré pour priver des milliards de personnes de potentiellement bénéficier d'un médicament sûr et peu coûteux, lorsqu'il est utilisé correctement, pendant une pandémie majeure. Cela pourrait contribuer à prolonger la pandémie, à des pertes économiques massives et à une augmentation du nombre de cas et de décès. »

    Facettes qui doivent être discutées

    Mis à part cela, il y a deux autres facettes de ce qui se passe qui ne sont pas encore discutées:

    1.Ce que nous voyons en ce moment, c'est que les patients sont transformés en masse en cobayes. Au 16 juin 2020, la Food and Drug Administration des États-Unis a déclaré que la seule façon pour un patient de recevoir de l'hydroxychloroquine était de s'inscrire à un essai clinique.45

    De même, au Royaume-Uni, les médecins traitants ont été invités à inscrire tous les patients COVID-19 hospitalisés dans les essais Recovery et REMAP. Au 9 juillet 2020, Recovery avait inscrit plus de 12 000 sujets46.

    Cela signifie que des milliers de patients voient leur traitement sélectionné par randomisation par ordinateur plutôt que par le choix de traitement de leur propre médecin. Soit dit en passant, le Royaume-Uni a déjà l'un des taux de mortalité COVID-19 les plus élevés d'Europe.47 En supprimant le choix du traitement par les médecins et les patients, le nombre de décès pourrait finir par être bien pire qu'il ne devrait l'être.

    Surtout, cette tendance se poursuivra-t-elle après COVID ? Maintenant que les médecins sont préparés à accepter que leurs patients soient traités par randomisation plutôt qu'avec le traitement qu'un médecin donné estime être le meilleur, inscriront-ils leurs futurs patients non-COVID comme sujets tout aussi facilement ?

    2. Deuxièmement, trois articles récents48,49,50 soutiennent que les doses excessives d'hydroxychloroquine utilisées dans l'essai de récupération n'étaient pas réellement toxiques. Cela crée une grave contradiction qui n'a pas encore été résolue. Comme l'a noté Nass dans un e-mail à moi:

    "Par souci d’argument, dites qu’ils ont raison, et même des doses élevées sont sûres. Eh bien, pourquoi la FDA, l'Agence européenne des médicaments, les conseils de pharmacie, les gouverneurs, etc. limitent-ils ce médicament si sûr que vous pouvez même en surdoser et que tout va bien ?

    Soit le médicament est si toxique à des doses normales qu'il ne peut pas être utilisé pour une maladie mortelle, soit il est parfaitement sûr à des doses extrêmement élevées. Vous ne pouvez pas jouer sur les deux tableaux. "

    Le zinc est une clé cruciale

    En conclusion, revenons à notre point de départ - avec les rapports de réussite du traitement. Une étude51 publiée sur le serveur de prépublication medRxiv, le 8 mai 2020, a comparé les résultats chez des patients hospitalisés COVID-19 traités soit avec de l'hydroxychloroquine et de l'azithromycine seules, soit avec le schéma triplet de Zelenko d'hydroxychloroquine, d'azithromycine et de zinc.

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  10. Bien que l'ajout de sulfate de zinc n'ait eu aucun impact sur la durée d'hospitalisation, la durée des soins intensifs ou la durée de la ventilation, une analyse univariée a montré qu'il était associé à d'autres effets positifs:

    Augmentation de la fréquence des sorties des hôpitaux
    Diminué le besoin de ventilation
    Baisse des taux d'admission en USI
    Diminution du taux de transfert en hospice pour les patients non réanimés
    Diminution de la mortalité
    Comme l'ont noté les auteurs: 52

    «Après avoir ajusté le moment auquel le sulfate de zinc a été ajouté à notre protocole, une fréquence accrue de renvois à domicile (OR 1,53…), la réduction de la mortalité ou le transfert à l'hospice est restée significative (OR 0,449…). Cette étude fournit la première preuve in vivo que le sulfate de zinc en combinaison avec l'hydroxychloroquine peut jouer un rôle dans la gestion thérapeutique de COVID-19. »

    En bref, pour maximiser l'efficacité, vous avez besoin de zinc. Comme expliqué dans «La quercétine est-elle une alternative plus sûre à l'hydroxychloroquine?» l'hydroxychloroquine agit comme un ionophore du zinc, 53,54 ce qui signifie qu'elle transfère le zinc dans vos cellules, et le zinc semble être un «ingrédient magique» nécessaire pour empêcher la réplication virale55.

    S'il est administré tôt, le zinc et un ionophore de zinc devraient, au moins théoriquement, aider à réduire la charge virale et éviter que le système immunitaire ne soit surchargé. Comme indiqué dans le document préimprimé, "La supplémentation en zinc améliore-t-elle l'efficacité clinique de la chloroquine / hydroxychloroquine pour gagner la bataille d'aujourd'hui contre COVID-19?" publié le 8 avril 2020: 56

    «Outre les effets antiviraux directs, CQ / HCQ [chloroquine et hydroxychloroquine] ciblent spécifiquement le zinc extracellulaire sur les lysosomes intracellulaires où il interfère avec l'activité de l'ARN polymérase ARN dépendante et la réplication des coronavirus.

    Comme une carence en zinc se produit fréquemment chez les patients âgés et chez ceux souffrant de maladies cardiovasculaires, de maladies pulmonaires chroniques ou de diabète, nous émettons l'hypothèse que CQ / HCQ plus la supplémentation en zinc pourraient être plus efficaces pour réduire la morbidité et la mortalité COVID-19 que CQ ou HCQ en monothérapie. Par conséquent, le CQ / HCQ en association avec le zinc doit être considéré comme un bras d'étude supplémentaire pour les essais cliniques COVID-19. »

    Jusqu'à présent, aucun essai clinique majeur n'a pris la peine de suivre ce conseil plutôt sensé. Malheureusement, en raison de la corruption et de la politisation de la science à ce sujet, il est difficile de proposer des recommandations claires. En fin de compte, cela dépend probablement de qui vous avez confiance.

    Quercetin — An All-Natural Safe Home Alternative

    Cela dit, si vous pensez que vous avez contracté COVID-19, cela ne ferait probablement pas de mal d'essayer une version du régime de Zelenko, au premier signe de symptômes. Comme expliqué dans «La quercétine est-elle une alternative plus sûre à l'hydroxychloroquine ?» la quercétine est également un ionophore et a le même mécanisme d'action que l'hydroxychloroquine - elle améliore l'absorption du zinc par vos cellules.

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  11. Donc, vous pourriez ne pas avoir besoin du médicament. Vous pouvez également remplacer l'antibiotique par un antibactérien naturel tel que la feuille d'olivier ou l'huile d'origan. Vous pouvez trouver plus d'informations à ce sujet dans «Comment améliorer l'absorption de zinc avec la quercétine pour améliorer la santé immunitaire».

    Personnellement, je prends de la quercétine et du zinc au coucher comme prophylactique chaque jour. La raison pour laquelle il est préférable de les prendre le soir, plusieurs heures après votre dernier repas et avant le long jeûne de dormir, est que la quercétine est également un sénolytique (c'est-à-dire qu'elle tue sélectivement les cellules sénescentes ou vieilles, endommagées) qui est activée par jeûne. Alors, pourquoi ne pas maximiser le moment et l'utilisation de la quercétine ?

    Sources and References

    1 Townhall.com April 6, 2020
    2, 8 The Guardian June 5, 2020
    3 Sermo April 2, 2020
    4 Institut Hospitalo-Universitaire Méditerranée Infection
    5 Travel Medicine and Infectious Disease May-June 2020; 35: 101738
    6 New York Times May 12, 2020
    7 J Med Virol. 2020 May 3
    9 c19study.com
    10 Preprints.org June 30, 2020; 2020070025, DOI: 10.20944/preprints202007.0025.v1
    11 Youtube, Garbage Science: Be Wary of What You’re Being Told
    12 Science Magazine April 10, 2020
    13 Good Rx Hydroxychloroquine
    14 Gates Notes April 30, 2020
    15, 17, 18, 19 Anthraxvaccine.blogspot.com June 27, 2020
    16 Reuters May 27, 2020
    20, 44 Anthraxvaccine.blogspot.com June 14, 2020
    21, 37 Age of Autism June 16, 2020
    22, 40 Anthraxvaccine.blogspot.com June 19, 2020
    23 Recovery Trial
    24 BMJ 2020;369:m1626
    25 Science Translational Medicine June 5, 2020
    26 Recovery Trial Protocol 2020
    27 Uptodate.com Hydroxychloroquine
    28 The Solidarity Trial
    29 World Health Organization March 27, 2020
    30 Clinicaltrials.gov Identifier: NCT04330690, CATCO Solidarity
    31 Clinicaltrials.gov Identifier: NCT04321616
    32 ClinicalTrials.gov July 7, 2020
    33 NBC News May 25, 2020
    34 The Lancet May 22, 2020 DOI: 10.1016/S0140-6736(20)31180-6
    35 Anthraxvaccine.blogspot.com May 29, 2020
    36 Zendo May 28, 2020 Open Letter to Mehra et al and The Lancet
    38 WHO.int Solidarity Clinical Trial for COVID-19 Treatments
    39 REMAP-CAP, COVID-19 Antiviral Therapy (PDF)
    41 International Journal of Infectious Diseases July 1, 2020 DOI: 10.1016/j.ijid.2020.06.099
    42 Epoch Times July 2, 2020
    43 Just the News July 3, 2020
    45 NIH.gov Covid-19 Treatment Guidelines
    46 Recoverytrial.net June 16, 2020
    47 The Guardian May 29, 2020
    48 medRxiv June 23, 2020
    49 medRxiv June 16, 2020
    50 Moru Tropical Health Network June 20, 2020
    51, 52 medRxiv May 8, 2020 DOI: 10.1101/2020.05.02.20080036 (PDF)
    53 PLOS ONE 2014; 9(10): e109180
    54, 55, 56 Preprints April 6, 2020 DOI: 10.20944/preprints202004.0124.v1

    https://www.lewrockwell.com/2020/07/joseph-mercola/how-a-false-hydroxychloroquine-narrative-was-created-2/

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  12. Une brève histoire de la liberté d'expression en Amérique


    Judge Andrew P. Napolitano
    le 16 juil.2020


    "Je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites mais je défendrai à mort votre droit de le dire." - Voltaire (1694-1778)

    Lorsque Thomas Jefferson a écrit la Déclaration d'indépendance, il y a inclus une liste des griefs des colons avec le gouvernement britannique. Aucune plainte n'a été notée selon laquelle le gouvernement britannique aurait porté atteinte à la liberté d'expression.

    À cette époque, le discours était aussi acerbe qu'aujourd'hui. Si des mots visaient le Parlement, tous les mots étaient licites. S'ils visaient directement et personnellement le roi - comme ceux de Jefferson dans la Déclaration - ils constituaient une trahison.

    Inutile de dire que Jefferson et les 55 autres signataires de la Déclaration auraient tous été pendus pour discours de trahison si les Britanniques avaient prévalu.

    Bien sûr, les colons ont gagné la guerre et, six ans après, les 13 États ont ratifié la Constitution. Deux ans après la ratification, la Constitution a été modifiée par l'ajout de la Déclaration des droits. Le premier amendement ratifié interdisait au Congrès de faire ce que les colons ne se plaignaient jamais sérieusement du gouvernement britannique - portant atteinte à la liberté d'expression.

    James Madison, qui a rédigé la Déclaration des droits, a insisté pour désigner le discours comme "la" liberté d'expression, afin de souligner qu'il préexistait au gouvernement. Si vous aviez pu demander à Madison d'où il croyait la liberté d'expression, il aurait répondu que c'était l'un des droits inaliénables dont Jefferson parlait dans la Déclaration.

    Autrement dit, chacun des signataires de la Déclaration et des ratificateurs de la Déclaration des droits a manifesté par écrit sa conviction sans ambiguïté que la liberté d'expression est un droit naturel - personnel à chaque être humain. Cela ne vient pas du gouvernement. Cela vient de nous. Il ne peut pas être supprimé par une loi ou un commandement exécutif.

    Pourtant, à peine sept ans plus tard, sous la présidence de John Adams, le Congrès a promulgué les lois sur les étrangers et la sédition, qui punissaient les discours critiquant le gouvernement.

    Alors, comment la même génération - dans certains cas, les mêmes êtres humains - qui a interdit la violation du discours par le Congrès a-t-elle promulgué une loi qui punissait le discours ?

    Pour certains des rédacteurs - les fédéralistes qui voulaient un grand gouvernement comme nous l’avons aujourd’hui - violer la liberté de parole signifiait la faire taire avant qu’elle ne soit prononcée. Aujourd'hui, c'est ce qu'on appelle la restriction préalable, et la Cour suprême l'a essentiellement interdite.

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  13. Pour les antifédéralistes - ou démocrates-républicains, comme ils s'appelaient eux-mêmes - le premier amendement interdisait au Congrès d'interférer ou de punir tout discours.

    Le ministère de la Justice d'Adams a inculpé et poursuivi et condamné des antifédéralistes - parmi eux un membre du Congrès - pour leur discours critique.

    Lorsque Jefferson a remporté la présidence et que les antifédéralistes ont pris le contrôle du Congrès, les fédéralistes ont abrogé les parties de suppression de la parole des Alien and Sedition Acts à la veille de leur départ du contrôle du Congrès, de peur qu'il ne soit utilisé contre eux.

    Pendant la guerre civile, le président Abraham Lincoln a enfermé des centaines de journalistes dans le Nord qui critiquaient ses efforts de guerre. Pendant la Première Guerre mondiale, le président Woodrow Wilson - que mon alma mater Princeton University tente d'effacer de sa mémoire - a arrêté des gens pour avoir lu à haute voix la Déclaration d'indépendance ou chanté des chansons de la bière allemande.

    Lincoln a fait valoir que la préservation de l'Union était plus importante que la préservation du premier amendement, et Wilson a fait valoir que le premier amendement restreignait seulement le Congrès, pas le président. Les deux arguments ont depuis été rejetés par les tribunaux.

    Dans les années 1950, les autorités ont poursuivi avec succès les dissidents de la guerre froide sur la théorie que leur discours était dangereux et pouvait avoir tendance à la violence. Certaines des victimes de cette justification tortueuse sont mortes en prison.

    Le respect du gouvernement pour la parole a grandi et s'est affaibli. Il est à son plus bas niveau en temps de guerre. Bien sûr, la dissidence en temps de guerre - qui remet en question l'utilisation de la force par le gouvernement pour tuer - est souvent le discours le plus important et le plus opportun.

    Ce n'est qu'en 1969, dans une affaire appelée Brandenburg c. Ohio, que la Cour suprême nous a donné une définition moderne de la liberté d'expression. Le Brandebourg a harangué une foule dans le comté de Hamilton, en Ohio, et les a exhortés à marcher vers Washington et à reprendre le gouvernement fédéral aux Noirs et aux Juifs, qui selon lui étaient aux commandes. Il a été reconnu coupable par un tribunal d'État de l'Ohio de syndicalisme criminel - essentiellement, l'utilisation de la parole pour inciter les autres à la violence.

    La Cour suprême a infirmé à l'unanimité sa condamnation et a jugé que tout discours inoffensif est absolument protégé, et tout discours est inoffensif lorsqu'il est temps pour plus de discours de le réfuter. La même Cour suprême venait de statuer dans Times c. Sullivan que le but premier du premier amendement est d'encourager et de protéger un discours ouvert, large, robuste, voire caustique et débridé.

    Le discours que nous aimons n'a pas besoin de protection. Le discours que nous détestons fait. Le gouvernement n'a pas le pouvoir d'évaluer le discours. Comme les rédacteurs l'ont compris, toute personne a le droit naturel de penser comme nous le souhaitons et de dire et publier ce que nous pensons. Même les discours haineux, blessants et nuisibles sont des discours protégés.

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  14. Pourtant, en des temps périlleux comme le présent, nous avons vu des efforts pour recourir aux tribunaux pour bloquer la publication de livres peu flatteurs. Nous avons vu des gouverneurs d'État utiliser la police pour protéger des rassemblements de manifestants avec le message desquels ils étaient d'accord et pour débourser des manifestants critiques. Nous avons vu des foules faire taire des orateurs tandis que la police n'a rien fait.

    Punir le discours est l'affaire la plus dangereuse car il n'y aura pas de fin. Le remède aux discours haineux ou menaçants n'est pas le silence ou les punitions; c'est plus la parole - la parole qui interpelle le locuteur.

    Pourquoi les gens du gouvernement veulent-ils faire taire leurs opposants ? Ils craignent une atteinte à leur pouvoir. Les dissidents pourraient présenter des arguments plus attrayants qu'eux. St. Augustine a enseigné que presque tous les membres du gouvernement veulent dire aux autres comment vivre.

    Et si nous disions tous ce que nous voulons et que le gouvernement nous laisse seuls ?

    http://www.judgenap.com/post/a-brief-history-of-the-freedom-of-speech-in-america

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  15. Lettre de démission du rédacteur en chef du NYT, Bari Weiss: «Le nouveau maccarthysme»


    15 juillet 2020
    par Eric Worrall


    Lorsque le président Trump a gagné de manière inattendue en 2016, le New York Times a réalisé qu'il avait perdu le contact avec une grande partie du peuple américain. L'écrivain d'opinion Bari Weiss a été embauché pour aller au-delà de la population démographique de plus en plus étroite du NYT. Mais Weiss a maintenant démissionné, après avoir décidé qu'il lui était impossible de faire son travail.

    Cher A.G.,

    C'est avec tristesse que j'écris pour vous dire que je démissionne du New York Times.

    J'ai rejoint le journal avec gratitude et optimisme il y a trois ans. J'ai été embauché dans le but d'amener des voix qui n'apparaîtraient pas autrement dans vos pages: des écrivains débutants, des centristes, des conservateurs et d'autres qui ne penseraient pas naturellement au Times comme leur maison. La raison de cet effort était claire: le fait que le journal n’ait pas anticipé le résultat des élections de 2016 signifiait qu’il ne connaissait pas bien le pays qu’il couvrait. Dean Baquet et d'autres l'ont admis à plusieurs reprises. La priorité dans Opinion était d'aider à remédier à cette lacune critique.

    J'ai été honoré de participer à cet effort, dirigé par James Bennet. Je suis fier de mon travail d'écrivain et d'éditeur. Parmi ceux que j'ai aidé à mettre sur nos pages: le dissident vénézuélien Wuilly Arteaga; le champion iranien d'échecs Dorsa Derakhshani; et le démocrate chrétien de Hong Kong Derek Lam. Aussi: Ayaan Hirsi Ali, Masih Alinejad, Zaina Arafat, Elna Baker, Rachael Denhollander, Matti Friedman, Nick Gillespie, Heather Heying, Randall Kennedy, Julius Kerin, Monica Lewinsky, Glenn Loury, Jesse Singal, Ali Soufan, Chloe Valdary, Thomas Chatterton Williams, Wesley Yang et bien d'autres.

    Mais les leçons qui auraient dû suivre l'élection - des leçons sur l'importance de comprendre les autres Américains, la nécessité de résister au tribalisme et la centralité du libre échange d'idées dans une société démocratique - n'ont pas été apprises. Au lieu de cela, un nouveau consensus a émergé dans la presse, mais peut-être surtout dans cet article: cette vérité n'est pas un processus de découverte collective, mais une orthodoxie déjà connue de quelques éclairés dont le travail consiste à informer tout le monde.

    Twitter n'est pas sur la bannière du New York Times. Mais Twitter est devenu son éditeur ultime. Comme l'éthique et les mœurs de cette plateforme sont devenues celles du papier, le papier lui-même est devenu de plus en plus une sorte d'espace de performance. Les histoires sont choisies et racontées de manière à satisfaire le public le plus étroit, plutôt que de permettre à un public curieux de lire sur le monde et de tirer ses propres conclusions. On m'a toujours enseigné que les journalistes étaient chargés d'écrire le premier brouillon de l'histoire . Maintenant, l'histoire elle-même est une chose éphémère de plus modelée pour répondre aux besoins d'un récit prédéterminé.

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  16. Mes propres incursions dans Wrongthink m'ont fait l'objet d'intimidation constante par des collègues qui ne sont pas d'accord avec mes opinions. Ils m'ont traité de nazi et de raciste; J'ai appris à balayer les commentaires sur la façon dont «j'écris à nouveau sur les Juifs». Plusieurs collègues perçus comme étant amis avec moi ont été harcelés par des collègues. Mon travail et mon personnage sont ouvertement dégradés sur les chaînes Slack à l'échelle de l'entreprise où les rédacteurs en chef de file pèsent régulièrement. Là, certains collègues insistent sur le fait que je dois être éliminé si cette entreprise doit être vraiment «inclusive», tandis que d'autres publient des emojis de hache à côté de mon nom. D'autres employés du New York Times me salissent publiquement en tant que menteur et fanatique sur Twitter, sans crainte que le harcèlement ne me fasse l'objet de mesures appropriées. Ils ne le sont jamais.

    Il y a des conditions à tout cela: discrimination illégale, environnement de travail hostile et licenciement constructif. Je ne suis pas un expert juridique. Mais je sais que c'est faux.

    Je ne comprends pas comment vous avez permis à ce type de comportement de se poursuivre au sein de votre entreprise, à la vue de l’ensemble du personnel du journal et du public. Et je ne peux certainement pas voir comment vous et les autres dirigeants du Times vous êtes tenus debout tout en me félicitant en privé pour mon courage. Se présenter au travail en tant que centriste dans un journal américain ne devrait pas nécessiter de courage.

    Une partie de moi souhaite pouvoir dire que mon expérience a été unique. Mais la vérité est que la curiosité intellectuelle - sans parler de la prise de risques - est maintenant un handicap au Times. Pourquoi éditer quelque chose de difficile pour nos lecteurs, ou écrire quelque chose en gras seulement pour passer par le processus d'engourdissement de le rendre idéologiquement casher, alors que nous pouvons nous assurer de la sécurité de l'emploi (et des clics) en publiant notre 4000ème éditorial faisant valoir que Donald Trump est un danger unique pour le pays et le monde? Et donc l'autocensure est devenue la norme.

    Quelles règles qui restent à The Times sont appliquées avec une extrême sélectivité. Si l’idéologie d’une personne est conforme à la nouvelle orthodoxie, elle et son travail restent dépourvus de contrôle. Tout le monde vit dans la peur du coup de tonnerre numérique. Le venin en ligne est excusé tant qu'il est dirigé vers les cibles appropriées.

    Des éditoriaux qui auraient facilement été publiés il y a seulement deux ans auraient désormais de sérieux problèmes pour un éditeur ou un écrivain, sinon renvoyés. Si une pièce est perçue comme susceptible d'inspirer un contrecoup interne ou sur les réseaux sociaux, l'éditeur ou l'écrivain évite de la lancer. Si elle se sent assez forte pour le suggérer, elle est rapidement dirigée vers un sol plus sûr. Et si, de temps en temps, elle réussit à faire publier un article qui ne promeut pas explicitement les causes progressistes, cela ne se produit qu'après que chaque ligne est soigneusement massée, négociée et mise en garde.

    Il a fallu deux jours et deux travaux au journal pour dire que l’opinion de Tom Cotton «n’était pas à la hauteur de nos normes». Nous avons joint une note de l'éditeur sur un récit de voyage sur Jaffa peu de temps après sa publication, car il "n'a pas abordé les aspects importants du maquillage de Jaffa et de son histoire." Mais il n'y a toujours pas d'annexe à l'interview de Cheryl Strayed avec l'écrivain Alice Walker, une fière antisémite qui croit au lézard Illuminati.

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  17. Le document officiel est, de plus en plus, le dossier de ceux qui vivent dans une galaxie éloignée, dont les préoccupations sont profondément éloignées de la vie de la plupart des gens. Il s'agit d'une galaxie dans laquelle, pour ne citer que quelques exemples récents, le programme spatial soviétique est loué pour sa «diversité»; le doxxing d'adolescents au nom de la justice est toléré; et les pires systèmes de castes de l'histoire humaine comprennent les États-Unis aux côtés de l'Allemagne nazie.

    Même maintenant, je suis convaincu que la plupart des gens du Times ne partagent pas ces opinions. Pourtant, ils sont intimidés par ceux qui le font. Pourquoi ? Peut-être parce qu'ils croient que le but ultime est juste. Peut-être parce qu'ils croient qu'on leur accordera une protection s'ils hochent la tête alors que la monnaie de notre royaume - le langage - est dégradée au service d'une liste de blanchisserie toujours changeante de bonnes causes. Peut-être parce qu'il y a des millions de chômeurs dans ce pays et qu'ils se sentent chanceux d'avoir un emploi dans une industrie en sous-traitance.

    Ou peut-être est-ce parce qu'ils savent que, de nos jours, défendre les principes du journal ne gagne pas les applaudissements. Il met une cible sur le dos. Trop sage pour publier sur Slack, ils m'écrivent en privé sur le «nouveau maccarthysme» qui a pris racine dans le journal officiel.

    Tout cela augure mal, en particulier pour les jeunes écrivains et éditeurs à l'esprit indépendant qui prêtent une attention particulière à ce qu'ils devront faire pour progresser dans leur carrière. Règle 1: exprimez votre opinion à vos risques et périls Règle 2: Ne risquez jamais de commander une histoire qui va à l'encontre du récit. Troisième règle: ne croyez jamais un éditeur ou un éditeur qui vous exhorte à aller à contre-courant. Finalement, l'éditeur cédera à la foule, l'éditeur sera renvoyé ou réaffecté, et vous serez suspendu pour sécher.

    Pour ces jeunes écrivains et éditeurs, il y a une consolation. Alors que des endroits comme The Times et d'autres grandes institutions journalistiques trahissent leurs normes et perdent de vue leurs principes, les Américains ont toujours soif de nouvelles exactes, d'opinions vitales et de débats sincères. J'entends ces gens tous les jours. «Une presse indépendante n'est pas un idéal libéral ou un idéal progressiste ou un idéal démocratique. C’est un idéal américain », vous avez dit il y a quelques années. Je ne pourrais pas être plus d'accord. L'Amérique est un grand pays qui mérite un grand journal.

    Rien de tout cela ne signifie que certains des journalistes les plus talentueux du monde ne travaillent toujours pas pour ce journal. Ils le font, ce qui rend l'environnement illibéral particulièrement déchirant. Je serai, comme toujours, un lecteur dévoué de leur travail. Mais je ne peux plus faire le travail que vous m'avez amené ici pour faire - le travail qu'Adolph Ochs a décrit dans cette célèbre déclaration de 1896: «faire des colonnes du New York Times un forum pour l'examen de toutes les questions d'importance publique , et à cette fin, inviter une discussion intelligente de toutes les nuances d'opinion. »

    L'idée d'Ochs est l'une des meilleures que j'ai rencontrées. Et je me suis toujours conforté avec l'idée que les meilleures idées l'emportent. Mais les idées ne peuvent pas gagner seules. Ils ont besoin d'une voix. Ils ont besoin d'une audition. Surtout, ils doivent être soutenus par des personnes désireuses de vivre avec elles.

    Sincerely,

    Bari

    Source: https://www.bariweiss.com/resignation-letter

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  18. L'intolérance décrite par Weiss semble terriblement familière. À mon avis, il s'agit probablement d'une autre manifestation du même narcissisme auto-justifié et de la culture d'annulation qui semble envahir bon nombre de nos institutions scientifiques et universitaires, la corruption qui permet et sanctifie les attaques personnelles viles et le harcèlement des scientifiques en désaccord avec leurs collègues.

    Mais la montée du fascisme intellectuel n'a rien de nouveau.

    Annuler La culture domine la recherche climatique, annulant la méthode scientifique

    H. Sterling Burnett
    14 juillet 2020 Mis à jour: 14 juillet 2020

    Contrairement à la perception populaire, «annuler la culture», dans laquelle les gens ou leurs opinions sont honteux et exclus de la discussion lorsqu'ils ne se conforment pas à ce que croient ceux qui crient le plus fort ou les émeutes dans les rues, n'est pas un phénomène nouveau.

    Depuis plus de deux décennies, des climatologues politiquement connectés dirigent le mouvement d'annulation de la culture.



    Examinons seulement quelques exemples de cas où les conférences universitaires et les titres des médias ont donné un consensus, annulons la place des sciences culturelles dans les faits lorsqu'il s'agit de déclarations alarmantes sur le climat.

    Basé uniquement sur les affirmations non étayées de chercheurs sur le climat, les médias ont été inondés d'histoires affirmant que le changement climatique d'origine humaine est à l'origine de la famine et de la famine.

    Fin juin 2020, Cornell Alliance for Science a affirmé que les agriculteurs d'Afrique subsaharienne étaient désespérés de trouver de nouvelles technologies agricoles et de nouvelles cultures pour lutter contre le déclin de la production agricole induit par le changement climatique qui, selon l'Alliance, «poussait des millions [d'Africains] à la faim». Pourtant, les données de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture montrent que la production de céréales vivrières (de base) à travers l'Afrique australe a augmenté de manière substantielle et assez régulière depuis au moins les années 1960. En outre, les 10 dernières années ont fourni les 10 rendements agricoles les plus élevés de l'histoire de l'Afrique subsaharienne.



    Trop de climatologues sont devenus des fripouilles qui espèrent vendre au grand public l'idée dangereuse que donner aux experts gouvernementaux un plus grand contrôle sur nos vies nous permettra de contrôler le temps et de faire du monde une utopie. Demandez aux habitants de Cuba, de Hong Kong, de la Corée du Nord, du Venezuela, comment cela fonctionne pour eux.

    En savoir plus: https://www.theepochtimes.com/cancel-culture-dominates-climate-research-cancelling-the-scientific-method_3424575.html

    Comment en est-on arrivé à cette situation diabolique ?

    Le regretté auteur Michael Crichton a affirmé dans sa célèbre conférence Caltech que la pourriture intellectuelle a commencé dans les années 1960, avec le projet SETI. Les scientifiques voulaient vraiment, vraiment chercher des signaux radio provenant d'extraterrestres intelligents, donc personne n'a pris la parole pour contester les hypothèses floconneuses qui ont été utilisées pour justifier les dépenses du projet SETI.

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  19. … En 1960, Drake organise la première conférence SETI et propose la désormais célèbre équation de Drake: N = N * fp ne fl fi fc fL

    [où N est le nombre d'étoiles dans la galaxie de la Voie lactée; fp est la fraction avec les planètes; ne est le nombre de planètes par étoile capables de soutenir la vie; fl est la fraction des planètes où la vie évolue; fi est la fraction où évolue la vie intelligente; et fc est la fraction qui communique; et fL est la fraction de la vie de la planète pendant laquelle vivent les civilisations communicantes.]

    Cette équation d'apparence sérieuse a donné à SETI une assise sérieuse en tant qu'enquête intellectuelle légitime. Le problème, bien sûr, est qu'aucun des termes ne peut être connu, et la plupart ne peuvent même pas être estimés. La seule façon de travailler l'équation est de remplir les suppositions. Et les suppositions - pour que nous soyons clairs - ne sont que des expressions de préjugés.

    Il ne peut pas non plus y avoir de «suppositions éclairées». Si vous devez indiquer combien de planètes avec la vie choisissent de communiquer, il n'y a tout simplement aucun moyen de faire une supposition éclairée. C’est tout simplement un préjugé.

    Par conséquent, l'équation de Drake peut avoir n'importe quelle valeur de «milliards et milliards» à zéro. Une expression qui peut signifier n'importe quoi ne veut rien dire. Pour parler avec précision, l'équation de Drake n'a littéralement aucun sens et n'a rien à voir avec la science. Je pense que la science implique la création d'hypothèses testables. L'équation de Drake ne peut pas être testée et donc SETI n'est pas de la science. SETI est incontestablement une religion. …

    En savoir plus: https://wattsupwiththat.com/2010/07/09/aliens-cause-global-warming-a-caltech-lecture-by-michael-crichton/

    Une fois qu'un groupe entier a adopté l'idée que la fin justifie les moyens, si la fin semble suffisamment importante, une fois qu'il a accepté qu'un modèle plein de suppositions sauvages puisse être traité comme un guide d'action, il peut être difficile de renoncer à l'habitude . Il n'y a pas de fin à la liste des causes nobles et des équations dénuées de sens qui peuvent être utilisées par les malhonnêtes pour justifier leur malhonnêteté et leur intimidation. Faire des trucs est plus facile que de faire du vrai travail.

    Une telle malhonnêteté intellectuelle et l'intolérance à laquelle elle a conduit sont finalement vouées à l'échec, même si elles peuvent faire beaucoup de dégâts pendant qu'elles durent. Si l'intolérance et les doubles standards allégués au New York Times continuent et s'aggravent, au final, les seules personnes qui voudront lire le NYT seront le personnel. Et peut-être même pas eux.

    «De toutes les tyrannies, une tyrannie sincèrement exercée pour le bien de ses victimes peut être la plus oppressante. Il vaudrait mieux vivre sous des barons voleurs que sous des corps moraux omnipotents. La cruauté du baron voleur peut parfois dormir, sa cupidité peut à un moment donné être rassasiée; mais ceux qui nous tourmentent pour notre bien nous tourmenteront sans fin car ils le font avec l'approbation de leur propre conscience. » - C.S. Lewis

    https://wattsupwiththat.com/2020/07/15/nyt-editor-bari-weiss-resignation-letter-the-new-mccarthyism/

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  20. Nouveau record de puissance en Ontario: 895 jours d'énergie nucléaire fiable et ininterrompue 24 × 7 zéro carbone


    15 juillet 2020
    par Eric Worrall


    Alors que les exploitants d'énergies renouvelables trouvent des excuses à l'infini pour leurs échecs, les exploitants de centrales nucléaires continuent d'établir de nouveaux records pour la production d'énergie totalement fiable et zéro carbone.

    L'unité Candu établit un record d'exploitation en Amérique du Nord

    10 juillet 2020

    L'unité 1 de Darlington a établi un nouveau record nucléaire canadien et nord-américain avec 895 jours consécutifs d'exploitation ininterrompue. Le réacteur Candu d'Ontario Power Generation (OPG) est maintenant en ligne depuis le 26 janvier 2018 sans qu'il soit nécessaire de le mettre hors service pour maintenance ou réparation.

    «Le parcours remarquable de l’unité 1 est le reflet du dévouement et de l’engagement solides de nos employés à générer un rendement efficace et robuste de nos unités de production au profit de tous les Ontariens», a déclaré le chef de la direction nucléaire d’OPG, Sean Granville. «Cette réussite témoigne de la fiabilité de la station de Darlington, qui produit de l'électricité propre 24 heures par jour, sept jours par semaine.»



    En savoir plus: https://world-nuclear-news.org/Articles/Candu-unit-sets-North-American-operating-record

    Aucun réseau solaire ou éolien terrestre n'atteindra jamais ce niveau de stabilité et de prévisibilité. Les avancées technologiques n’aideront pas. Aucune amélioration de la technologie éolienne ne peut réparer une baisse prolongée inattendue du vent, tout comme aucune amélioration de la technologie solaire ne peut réparer un temps anormalement couvert.

    https://wattsupwiththat.com/2020/07/15/new-ontario-power-record-895-days-reliable-uninterrupted-24x7-zero-carbon-power/

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  21. Un juge fédéral restreint la Californie sur l'étiquetage du glyphosate


    16 Juillet 2020
    par Seppi
    AGDAILY Reporters*


    Un juge fédéral a empêché la Californie d'exiger que le Roundup, un désherbant à base de glyphosate, porte une étiquette de mise en garde contre le cancer.

    La National Association of Wheat Growers (NAWG), principal plaignant de la coalition nationale de l'agriculture qui lutte contre l'exigence erronée et trompeuse de la Californie en matière d'étiquetage de la Prop 65 pour le glyphosate, se félicite de la décision rendue hier [le 22 juin 2020] par le juge William Shubb du tribunal de district américain pour le district Est de la Californie. Le juge Shubb s'est prononcé en faveur de la coalition en rendant un jugement sommaire et en émettant une injonction permanente interdisant l'exigence d'avertissement de la Proposition 65 concernant le glyphosate.

    Il y a deux ans, Shubb a reconnu que « pratiquement toutes les agences gouvernementales et les organisations de santé qui ont examiné les études sur [le glyphosate] ont constaté qu'il n'y avait aucune preuve qu'il causait le cancer », et sur cette base, Shubb avait conclu qu'il serait « au mieux trompeur » de forcer les parties à déclarer sur les produits contenant du glyphosate que les produits étaient « connus de l'État pour causer le cancer ».

    Dans le jugement d'hier, Shubb a consolidé sa décision, notant que les développements intervenus depuis lors « ne modifient pas la conclusion de la Cour selon laquelle l'exigence de la Proposition 65 en matière d'avertissement pour le glyphosate est trompeuse » et que, par conséquent, le Premier Amendement interdit à la Californie d'exiger que les produits contenant du glyphosate soient étiquetés de cette manière.

    « Dès le début, nous avons fondé notre argumentation sur des faits et des données scientifiques et c'est une grande victoire pour les producteurs de blé et les agriculteurs de tous les États-Unis », a déclaré Dave Milligan, président de la NAWG et producteur de blé de Cass City, dans le Michigan. « Soutenu par plus de quarante ans de données sur la sécurité, le glyphosate est l'un des herbicides les plus étudiés et les plus étroitement surveillés au monde. »

    Dans sa décision, Shubb a estimé que les plaignants devaient obtenir gain de cause dans leur demande au titre du premier amendement parce qu'une étiquette d'avertissement obligatoire fausse ne sert pas directement les intérêts de l'État. En effet, « les déclarations trompeuses sur la cancérogénicité du glyphosate [...] ne servent pas directement cet intérêt [à protéger les citoyens contre les substances véritablement cancérigènes] ». Il a conclu une fois de plus que « le lourd poids de la preuve dans le dossier est que le glyphosate n'est pas connu pour causer le cancer. »

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  22. « Ces dernières années, nous avons constaté une augmentation drastique de l'intérêt des consommateurs pour le changement climatique et le public a appelé l'agriculture à utiliser des pratiques plus respectueuses de l'environnement », a poursuivi M. Milligan. « Le glyphosate est un outil qui peut aider à atteindre ces objectifs. Il est devenu très efficace pour protéger les sols contre l'érosion et améliore également la fertilité des sols et la qualité de l'eau grâce à un recours accru à l'agriculture de conservation et aux pratiques agricoles sans labour. »

    Parmi les autres plaignants il y avait l'Agribusiness Association of Iowa, l'Agricultural Retailers Association, les Associated Industries of Missouri, l'Iowa Soybean Association, la Chambre de Commerce et d'Industrie du Missouri, CropLife America, le Missouri Farm Bureau, la National Corn Growers Association, la North Dakota Grain Growers Association, la South Dakota Agri-Business Association et la United States Durum Growers Association.

    ____________

    * Source : https://www.agdaily.com/news/federal-judge-restricts-california-how-labels-glyphosate/

    http://seppi.over-blog.com/2020/07/un-juge-federal-restreint-la-californie-sur-l-etiquetage-du-glyphosate.html

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    1. (...) Il y a deux ans, Shubb a reconnu que « pratiquement toutes les agences gouvernementales et les organisations de santé qui ont examiné les études sur [le glyphosate] ont constaté qu'il n'y avait aucune preuve qu'il causait le cancer », et sur cette base, Shubb avait conclu qu'il serait « au mieux trompeur » de forcer les parties à déclarer sur les produits contenant du glyphosate que les produits étaient « connus de l'État pour causer le cancer ». (...)

      Enfin la Justice fait face à la Science !
      Ce n'est pas la première fois que des organisations criminelles des traders se voient démontées par la Justice !
      L'objectif des criminels était d'empêcher le désherbant 'Round'Up' d'effectuer une élimination des herbes empêchant toutes moissons afin que la famine du monde entier ait raison des 7 milliards d'habitants qui osent encore vivre au 21 è sicle !
      Le Juge a pris la défense de l'humanité et de ses scientifiques !

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  23. Poirée, c'est devenu bette !


    16 Juillet 2020
    par Seppi


    Une poirée... ou une bette.

    Peut-on prendre l'Arrêté du 16 juin 2020 relatif aux nouvelles dénominations des espèces de plants de légumes publié au Journal Officiel du 4 juillet 2020 sur le mode humoristique ? Bien sûr, mais c'est pourtant très sérieux.

    En bref, comme l'indique le titre, pour une fois bref et explicite, des espèces changent de nom.

    Elles sont référencées dans le décret n°94-510 du 23 juin 1994 relatif à la commercialisation des jeunes plants de légumes, des plantes fruitières et des matériels de multiplication de toutes ces plantes et modifiant le décret n° 81-605 du 18 mai 1981 pris pour l'application de la loi du 1er août 1905 sur la répression des fraudes en ce qui concerne le commerce des semences et plants (version à jour ici, version antérieure ici).

    L'arrêté apporte deux douzaines de modifications sur trois douzaines d'entrées.

    Le céleri n'est plus branché... oups ! branche... mais simplement « céleri ». La poirée devient « Bette (poirée ou carde) ». Le chou cabus est fait « chou blanc ». L'endive disparaît, ne laissant subsister que « chicorée witloof » ; vous ferez pompeux en disant de quelqu'un qu'il a un teint de chicorée witloof... Et pour bien le distinguer de certaines œuvres audiovisuelles, celui que l'on mange s'appelle désormais « navet-légume » dans la littérature législative.

    Il y a une modification plus importante sur le plan botanique : la citrouille passe de Cucurbita maxima Duchesne à Cucurbita pepo L. (L. pour Linné), une espèce dont les représentants dans notre alimentation sont : « Courge, y compris la citrouille mature et le pâtisson, ou courgette, y compris le pâtisson immature ».

    On l'aura peut-être compris : l'arrêté fait suite à un texte communautaire, la Directive d'exécution (UE) 2019/990 de la Commission du 17 juin 2019 modifiant la liste des genres et des espèces figurant à l'article 2, paragraphe 1, point b), de la directive 2002/55/CE du Conseil, à l'annexe II de la directive 2008/72/CE du Conseil et.

    Contrairement à ce que pourraient penser les europhobes et eurosceptiques, cette directive n'est pas le fruit d'un caprice :

    « (4) Le Code international pour la nomenclature des plantes cultivées (CINPC) a introduit la catégorie officielle de «Groupe» pour classer les variétés des espèces cultivées. La catégorie de «Groupe» est un instrument approprié pour déterminer les variétés appartenant à une espèce donnée relevant du champ d'application des directives 2002/55/CE et 2008/72/CE.

    (5) Afin de spécifier si toutes les variétés d'une espèce de légume ou seuls certains Groupes sont couverts, il convient de modifier les tableaux des espèces figurant dans les directives 2002/55/CE et 2008/72/CE. Les noms botaniques respectifs des espèces de légumes et les noms de Groupe qui leur sont rattachés devraient être présentés de manière hiérarchique afin d'éliminer toute ambiguïté éventuelle quant à l'éventail des variétés des espèces concernées.

    Ces travaux sur le plan international sont très importants : assurer la compréhension mutuelle, tant pour les noms latins que pour les noms communs des plantes.

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  24. Les premiers sont régis par le Code International de Nomenclature pour les Algues, les Champignons et les Plantes, les seconds, par le Code International pour la Nomenclature des Plantes Cultivees.

    Les règles sont complexes, mais précises. La réalité est complexe... Dans une autre vie, je compilais chaque année la liste des « espèces protégées » (ou taxons, le nom générique des éléments de la nomenclature) dans les États membres de l'Union Internationale pour la Protection des Obtentions Végétales (dernière version en date), à une époque où bon nombre d'États membres avaient des listes limitées plutôt que d'appliquer leur régime de protection à l'ensemble du règne végétal (cultivé).

    Cela pouvait être un travail de Sherlock Holmes. Deux noms latins sont-ils synonymes ? À quoi correspond un nom commun, avec des pièges comme le bleuet canadien qui est une myrtille en francophonie européenne... Les fameuses courges et citrouilles, et pumpkin et squash... Passionnant et parfois chronophage.

    Et parfois avec des implications économiques non négligeables. Qu'est-ce que l'échalote par rapport à l'oignon ? En 2016, le Monde avait titré « L’échalote de semis sème la zizanie ». Allium ascalonicum L. ou Allium cepa L. var. aggregatum G. Don. ?

    C'est là qu'on peut se rendre compte de l'utilité des travaux d'harmonisation.

    http://seppi.over-blog.com/2020/07/poiree-c-est-devenu-bette.html

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  25. Les modélisateurs du climat peuvent se tromper pendant les trente prochaines années tout en ayant raison


    July 16th, 2020


    La variabilité naturelle est la carte de sortie de prison pour les modélisateurs du climat qui dure 30 ans

    Qu'est-ce qu'un climatologue dit quand il ne peut pas prédire le climat à l'échelle locale, régionale ou continentale, dans un avenir proche ou dans le passé historique, et qu'il ne peut pas faire de pluie, de nuages, d'humidité ou de sécheresse ?

    Ils disent que les modèles sont meilleurs que jamais et que tout écart n'est qu'une variabilité naturelle.

    Les modélisateurs du climat sont maintenant prêts pour 30 années d'échec supplémentaires:

    «La majeure partie du globe» pourrait connaître «aucun réchauffement» pendant 30 ans en raison de la variabilité interne liée à la température
    Par Kenneth Richard le 13 juillet 2020, NoTricksZone

    Une nouvelle étude documente la dominance de la variabilité interne des changements de température à l'échelle décennale et suggère que nous pourrions connaître une tendance au refroidissement mondial au cours des 15 ou même 30 prochaines années malgré l'augmentation des gaz à effet de serre.

    Maher et al. (2020) reconnaissent que la variabilité interne des variations mondiales de température de surface est «un concept difficile à communiquer» car nous avons très peu d'observations de son impact et nous devons donc nous baser sur des hypothèses sur le fonctionnement du système climatique.

    Extrait du journal:

    Nous confirmons qu'à court terme, les projections de tendance des températures de surface sont dominées par la variabilité interne, avec peu d'influence des différences de modèle structurel ou de la voie de réchauffement. De plus, nous démontrons que ce résultat est indépendant de l'estimation dépendante du modèle de l'ampleur de la variabilité interne.

    La variabilité interne est le terme approuvé, mais si vous dites plutôt la variabilité naturelle, nous devrons vous arrêter.

    En effet, et peut-être contre-intuitivement, dans tous les modèles, un manque de réchauffement, voire une tendance au refroidissement, a pu être observé à tous les points du globe, même sous les plus fortes émissions de gaz à effet de serre.

    Échauffement. Refroidissement. Peu importe. C’est tout le succès.

    Si seulement les climatologues avaient des preuves - ils n'auraient pas besoin de s'accrocher au bruit aléatoire des tempêtes, des incendies et des inondations.

    RÉFÉRENCE

    Maher et al., (2020) Quantifier le rôle de la variabilité interne de la température que nous prévoyons observer dans les prochaines décennies, Environmental Research Letters, Volume 15, Number 5

    http://joannenova.com.au/2020/07/climate-modelers-can-be-wrong-for-the-next-thirty-years-and-still-be-right/

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    1. Nul au monde (scientifique ou pas) ne peut prédire le temps qu'il va faire compte tenu que PERSONNE ne sait quand aura lieu la prochaine éruption (magmatique sous-marine) ni où.

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  26. AUTOROUTES : L'ITALIE NATIONALISE ET BAISSE LES PÉAGES


    par PAOLO GAROSCIO
    16/07/2020


    La reconstruction du pont Morandi de Gênes aura coûté 202 millions d'euros.

    Alors que les concessions autoroutières sont régulièrement pointées du doigt, en France, pour leur rentabilité, et que les péages augmentent tous les ans souvent plus que l’inflation, l’Italie a profité de la chute du pont Morandi pour renationaliser ses autoroutes. À la clé : un contrôle par l’État et… une baisse des péages.

    Chute, reconstruction et renationalisation

    La question de la renationalisation des autoroutes en Italie a été mise sur la table lors du malheureux événement d’août 2018 lorsque le pont Morandi, à Gênes, s’est écroulé. Mal entretenu depuis des années, son écroulement avait causé la mort de 43 personnes, un bilan au final très léger, car la chute est survenue en pleine tempête et en plein mois d’août, soit un moment de basse affluence.

    Depuis lors, le gouvernement italien a décidé qu’il voulait reprendre en main la gestion des autoroutes, à commencer par la reconstruction du pont, qui sera réalisée en un temps record : l’inauguration est prévue pour août 2020, soit deux ans seulement après la catastrophe. Le célèbre architecte Renzo Piano, originaire de Gênes, l'a conçu gratuitement.

    Pour le gouvernement Conte, la victoire est sur toute la ligne : outre la reconstruction, il a annoncé avoir trouvé un accord pour renationaliser la société Autostrade per l’Italia, gestionnaire du réseau, le 15 juillet 2020.

    Garantie d’État et baisse des péages

    Pour réussir un tel exploit, le gouvernement italien a dû batailler avec la holding Atlantia, détenue par la très puissante famille Benetton. L’accord annoncé le 15 juillet 2020 prévoit l’abandon de la part des Benetton de tout recours en justice concernant la nationalisation ainsi qu’un dédommagement de 3,4 milliards d’euros pour la chute du pont.

    La Caisse des dépôts et prêts italienne montera à 51% du capital d’Autostrade per l’Italia, ce qui en fera tout d’abord une société publique, puis une société cotée en Bourse.

    Pour les automobilistes, le changement d’actionnariat est une aubaine : désormais détenues par l’État, et donc garanties par lui, les autoroutes devraient voir les péages chuter, l’État n’ayant pas d’intérêt à faire des bénéfices record. Un véritable bond dans le pouvoir d’achat des automobilistes italiens. Le gouvernement a évoqué une baisse entre 3 et 5%... avant l’accord.

    http://www.economiematin.fr/news-autoroutes-peages-baisse-prix-tarif-italie-nationalisation

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  27. COMBIEN COÛTE UN FEU D'ARTIFICE ?


    par LUDIVINE CANARD
    13/07/2020


    Le tir d'un feu d'artifice coûte au minimum 2000 euros pour une petite commune.

    Que serait le 14 juillet sans son traditionnel feu d’artifice ? Et bien, cette année, il faudra faire sans. À l’exception de Paris, de nombreuses grandes villes comme Lyon, Marseille, Lille et Bordeaux ont annulé le spectacle pyrotechnique de la fête nationale de l’édition 2020. Pour des raisons sanitaires, les rassemblements de plus de 5.000 personnes restent interdits, mais également pour des raisons financières. En effet, un feu d’artifice peut coûter cher aux contribuables.

    Combien coûte un feu d’artifice pour les collectivités ?

    Chaque année, les mairies prévoient un budget pour le traditionnel feu du 14 juillet. Le prix d’un feu dépend de plusieurs paramètres : le nombre de feux d’artifice, la durée du spectacle, la qualité chorégraphique, le lieu …. En plus du prix de la matière première : les bombes d’artifices, il faut également compter le prix de la main d’œuvre : assistants, direction artistique, équipe de sécurité, mais également le prix du transport et le stockage. Le plus souvent, les collectivités font appel à des sociétés extérieures. En 2018, la mairie de Paris a déboursé près de 700.000€ pour s’offrir un feu d’artifice au pied de la tour Eiffel dont 350.000 euros pour la pyrotechnie et 400.000 euros pour le personnel, la mise en scène et la sécurité. Dans les autres grandes villes, le budget consacré au feu d’artifice se situe entre 100.000 et 200.000 euros. Le feu d’artifice de Lyon a coûté 80.000 euros en 2018 et celui de Marseille 400.000 euros.

    La plupart des communes de plus 10 000 habitants ont leur propre spectacle pyrotechnique. Un événement qui a un coût, entre 8.000 et 20.000 euros. Dans les communes de moins de 5.000 habitants, la facture s'élève entre 2.000 et 5.000 euros, si c'est en zone touristique. Pour réduire la facture, de nombreuses communes ont décidé de mutualiser leur coût et de regrouper leur commune avec un seul feu d’artifice.

    Combien coûte un feu d’artifice pour un particulier ?

    Si vous voulez faire un feu d'artifice chez vous, pour un événement spécial comme mariage ou un anniversaire, il faudra compter entre 140 euros, pour un spectacle de 2 minutes avec 128 coups à 2.300 euros pour 12 minutes de show avec plus de 2.500 coups. Tout comme les collectivités, il est également possible de faire appel à une société pour organiser un feu d’artifice. En fonction de la société et de la prestation, il faudra compter entre 500 et 2.500 euros, en fonction de la durée et du nombre de tirs.

    À noter que si le tir a lieu sur un terrain privé, aucune demande administrative n’est en effet à prévoir. En revanche, il est recommandé d'informer ses voisins pour éviter tout conflit ainsi que votre mairie.

    http://www.economiematin.fr/news-Cout-feu-artifice-14juillet

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  28. Comment 36 journalistes nous ont apporté la démolition explosive de tours jumelles le 11 septembre


    Par Ted Walter et le professeur Graeme MacQueen
    ae911truth.org
    16 juillet 2020


    Note de l'éditeur: Dès la publication de cet article, Architects & Engineers for 9/11 Truth attend une décision du National Institute of Standards and Technology (NIST) concernant la demande de correction d'AE911Truth et de dix membres de la famille des victimes du 11/9. soumis au NIST le 15 avril 2020. La demande vise à obtenir des corrections dans huit informations distinctes du rapport de 2008 du NIST sur l'effondrement du World Trade Center Building 7, qui obligeraient le NIST à revenir sur sa conclusion selon laquelle les incendies ont causé la destruction du bâtiment .

    Le 12 juin 2020, le NIST a informé AE911Truth qu'il n'était pas en mesure d'atteindre son objectif de réponse dans les 60 jours. Selon la procédure régissant ces demandes, le NIST doit rendre une décision dans les 120 jours suivant la soumission, ce qui tomberait le 13 août 2020. Si le NIST choisit de ne pas prendre les mesures correctives recherchées, AE911Truth et ses collègues demandeurs disposeraient alors de 30 jours. pour faire appel auprès du NIST. Si le NIST ne parvient en aucune manière à se conformer à la procédure régissant les demandes ou s'il ne parvient pas à rectifier les violations de la qualité des informations documentées dans la demande, AE911Truth et ses collègues demandeurs sont prêts à intenter une action en justice.

    Entre-temps, AE911Truth fait un pas de plus vers la correction du dossier de la destruction des tours jumelles avec la publication de cet article. Cet examen exhaustif de 70 heures de couverture des actualités du 11 septembre révèle que l'hypothèse d'explosions faisant tomber les tours jumelles était non seulement répandue parmi les journalistes couvrant les événements de New York le 9/11 mais était, en fait, l'hypothèse dominante.

    Les 36 journalistes qui nous ont apporté la démolition explosive des tours jumelles le 11 septembre sont, par réseau, George Stephanopoulos d’ABC et Cynthia McFadden; Harold Dow, Tom Flynn, Mika Brzezinski et Carol Marin de CBS (apparaissant sur WCBS); Pat Dawson et Anne Thompson de NBC; Aaron Brown, Rose Arce, Patty Sabga et Alan Dodds Frank de CNN; David Lee Miller et Rick Leventhal de Fox News; Ashleigh Banfield et Rick Sanchez de MSNBC; John Bussey, Ron Insana et Bob Pisani de CNBC; N.J. Burkett, Michelle Charlesworth, Nina Pineda, Cheryl Fiandaca et Joe Torres de WABC; John Slattery du WCBS, Marcella Palmer, Vince DeMentri et Marcia Kramer; Walter Perez de WNBC; Kristen Shaughnessy de New York 1, Andrew Siff, John Schiumo et Andrew Kirtzman; USA Today, Jack Kelley; et deux journalistes non identifiés (1 et 2) qui ont assisté à une conférence de presse avec le maire Giuliani et le gouverneur Pataki. Des clips vidéo des déclarations de chaque journaliste le 11 septembre peuvent être visionnés ci-dessous.

    La croyance largement répandue que les tours jumelles se sont effondrées à la suite des impacts de l'avion et des incendies qui en résultent est, à l'insu de la plupart des gens, une théorie révisionniste. Parmi les personnes qui ont été témoins de l'événement, l'hypothèse la plus répandue était que les tours jumelles avaient été renversées par des explosions massives.

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  29. Cette observation a été faite pour la première fois il y a 14 ans dans l’article «118 témoins: le témoignage des pompiers sur les explosions dans les tours jumelles». Un examen des entretiens menés avec 503 membres du service d'incendie de New York (FDNY) dans les semaines et les mois qui ont suivi le 11 septembre ont révélé que 118 d'entre eux ont décrit avoir été témoins d'explosions ce jour-là. Seuls 10 membres du FDNY ont été trouvés décrivant la destruction de manière à soutenir l'hypothèse de l'effondrement induit par le feu.

    Les interviews du prévôt des incendies John Coyle et du pompier Christopher Fenyo soutiennent explicitement cette conclusion. Coyle a fait remarquer dans son interview: «Je pensais que ça explosait, en fait. C’est ce que j’ai pensé pendant des heures après. . . . Tout le monde à ce moment-là, je pense, pensait toujours que ces choses avaient explosé. » De même, Fenyo a rappelé dans son interview: «À ce stade, un débat a commencé à faire rage [sur l'opportunité de poursuivre les opérations de sauvetage dans l'autre tour encore debout] parce que la perception était que le bâtiment avait l'air d'avoir été retiré avec des accusations. . "

    Les journalistes constituent un autre groupe de personnes qui ont été témoins de l'événement et dont les comptes rendus ont été publiquement documentés. Alors que de nombreuses personnes ont vu sur Internet de nombreux clips d'actualité dans lesquels des journalistes décrivent des explosions, il n'y a jamais eu, à notre connaissance, de tentative systématique de collecter ces clips et de les analyser.

    Nous avons décidé de nous charger de cette tâche pour deux raisons. Premièrement, nous voulions savoir à quel point l'hypothèse d'explosion était répandue parmi les journalistes. Deuxièmement, anticipant que ce serait l'hypothèse la plus répandue, nous avons voulu déterminer exactement comment elle a été supplantée par l'hypothèse de l'effondrement induit par le feu.

    Dans cet article, nous présentons nos résultats liés à la première question. Dans un article ultérieur, nous examinerons comment l'hypothèse de l'effondrement induit par le feu a si rapidement supplanté l'explosion à l'origine dominante

    Dans cet article, nous présentons nos résultats liés à la première question. Dans un article ultérieur, nous examinerons comment l'hypothèse de l'effondrement induit par le feu a si rapidement supplanté l'hypothèse d'explosion à l'origine dominante.

    Couverture télévisuelle compilée

    Pour déterminer dans quelle mesure l'hypothèse de l'explosion était répandue parmi les journalistes, nous avons entrepris d'examiner autant de couverture d'information continue que nous pouvions en trouver dans les principaux réseaux de télévision, les chaînes d'information par câble et les affiliés des réseaux locaux couvrant les événements de New York.

    Grâce à des recherches sur Internet, nous avons trouvé une couverture continue des nouvelles de 11 réseaux de télévision différents, des chaînes d'information par câble et des affiliés des réseaux locaux. Il s'agit notamment des réseaux ABC, CBS et NBC; les chaînes d'information par câble CNN, Fox News, MSNBC et CNBC; et les affiliés du réseau local WABC, WCBS et WNBC. Nous avons également intégré la couverture de New York One (NY1), une chaîne d'information par câble basée à New York appartenant à Time Warner (maintenant Spectrum), que nous avons regroupée avec les affiliés du réseau local dans une catégorie de chaîne locale.

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  30. Malheureusement, nous n'avons pas pu trouver de couverture couvrant la majeure partie de la journée pour chaque chaîne. Ainsi, bien que la collection de reportages que nous avons compilée soit vaste, elle n'est pas complète. Pour combler les lacunes dans la mesure du possible, nous avons inclus des extraits de couverture qui ont été diffusés plus tard dans la journée si nous avons jugé cette couverture pertinente. Nous avons également inclus un extrait de la couverture d’USA Today que nous avons jugé pertinent et trois extraits d’une conférence de presse de l’après-midi avec le maire Rudolph Giuliani et le gouverneur George Pataki, diffusée sur presque toutes les chaînes. En général, les heures auxquelles ces extraits ont été diffusés sont inconnues, bien que dans certains cas, nous ayons pu identifier une heure approximative.

    La couverture médiatique que nous avons compilée et examinée a totalisé environ 70 heures.

    Tableau 1: Couverture télévisuelle compilée

    Réseaux
    ABC de 8 h 50 à 18 h 07
    CBS de 8h52 à 12h00 + un extrait à ~ 12h15
    NBC de 8 h 51 à 18 h 30
    Chaînes de télévision par câble
    CNN 8 h 32 à 00 h 00 (minuit)
    Fox News de 8 h 51 à 17 h 00
    MSNBC 8 h 52 à 13 h 42
    CNBC 8 h 50 à 16 h 16
    Chaînes locales
    WABC 8 h 50 à 10 h 50 + neuf extraits de différentes époques
    WCBS de 8h50 à 23h33, de 11h40 à 12h04 + six extraits d'horaires divers
    WNBC 8 h 50 à 10 h 30 (bascule en permanence sur le réseau NBC à 10 h 30)
    NY1 8 h 50 à 11 h 20
    -

    Remarque: Nous invitons tous ceux qui ont une partie de la couverture télévisée que nous n'avons pas pu trouver à nous les envoyer à info@AE911Truth.org. Nous incorporerons tout ce que nous recevrons et mettrons à jour cet article en conséquence. Pour tous ceux qui souhaitent reproduire notre travail, l'intégralité de la collection d'images peut être téléchargée ici.

    Critères de définition des déclarants «Explosion» versus «Non-Explosion»

    Nous avons cherché à répondre à une question principale dans notre examen de la couverture des nouvelles: combien de journalistes ont décrit la survenue d'explosions - à la fois le nombre brut de journalistes et en pourcentage de tous les journalistes qui ont couvert la destruction des tours jumelles - et quelle était la nature de leurs rapports? Pour répondre à cette question, nous devions établir des critères clairs pour identifier ce que nous appellerons les «rapporteurs d'explosion» et les «rapporteurs non explosifs».

    Nous devons préciser que cet article ne traite que des déclarations des journalistes et ne traite pas des déclarations des ancres, sauf dans le cas d’une ancre (Aaron Brown de CNN) qui avait une vue directe sur les tours jumelles. Dans notre prochain article, nous aborderons les déclarations faites par des ancres, qui interprétaient également la destruction des tours jumelles, mais sans en avoir été témoin de première main.

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  31. Parce que les impacts de l'avion étaient souvent appelés explosions, nous avons pris soin d'exclure tout cas où il n'était pas absolument clair que le journaliste ne faisait référence qu'à la destruction des tours jumelles.

    Alors que nous étudiions la couverture des nouvelles et commençions à reconnaître les tendances dans la façon dont la destruction des tours jumelles était signalée, nous avons développé trois catégories distinctes de reportages qui classeraient quelqu'un comme un «reporter d'explosion»: (1) reportage de témoin oculaire, (2) reportage narratif , et (3) des rapports basés sur les sources. Ci-dessous, nous fournissons des définitions de chacun.

    Rapports de témoins oculaires

    Le «rapport de témoin oculaire» est lorsqu'un journaliste est un témoin oculaire ayant une vue directe sur ou à proximité de la destruction de l'une ou des deux tours jumelles et perçoit une explosion ou des explosions en même temps que la destruction - ou perçoit un ou les deux tours comme exploser, exploser, souffler ou éclater. Bien que nous excluions généralement le mot «boom», qui pourrait s'appliquer à une explosion ou à un effondrement, nous l'avons inclus dans un cas parce que la totalité de ce que la journaliste (Nina Pineda) a décrit indiquait qu'elle considérait l'événement comme une explosion - basé.

    Nous n'avons pas inclus les journalistes qui ont décrit uniquement un «tremblement» ou un «tremblement» du sol. La perception du tremblement de terre était répandue et constitue une preuve oculaire importante, mais elle ne révèle pas nécessairement grand-chose sur la façon dont le journaliste a interprété ce dont il était témoin. Parmi les journalistes qui ont mentionné la démolition, nous avons exclu ceux qui comparaient simplement la destruction à une démolition chaque fois qu'il était clair que le journaliste pensait qu'il s'agissait d'un effondrement causé par une défaillance structurelle. Nous avons également exclu les journalistes qui utilisaient le mot «imploser» ou «implosion» chaque fois qu'il était clair que le journaliste l'utilisait pour décrire le bâtiment s'effondrant sur lui-même, par opposition à une démolition.

    Voici un exemple de rapport de témoin oculaire:

    David Lee Miller, Fox News, 10 h 01: «Soudain, alors que je parlais à un officier qui m'interrogeait sur mes références de presse, nous avons entendu une explosion très forte, une explosion. Nous avons levé les yeux et le bâtiment a littéralement commencé à s'effondrer devant nous. . . . On ne sait pas maintenant pourquoi cette explosion a eu lieu. Est-ce à cause des avions que, euh, deux avions, des attaques doubles ce matin, ou y a-t-il eu une autre attaque, qui est - on en a parlé ici dans la rue. »

    Rapports narratifs

    Le «reportage narratif» est lorsqu'un journaliste fait référence à la destruction des tours jumelles comme un événement basé sur une explosion lorsqu'il en parle au cours de son reportage. Il peut s'agir d'un journaliste qui a été témoin oculaire de la destruction ou d'un journaliste qui aurait autrement compris que la destruction était un événement basé sur une explosion.

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  32. La principale distinction entre le rapport de témoin oculaire et le rapport narratif est que le rapport de témoin oculaire implique un témoin oculaire décrivant ses perceptions directes, les exprimant souvent spontanément, tandis que le rapport narratif implique une interprétation et / ou une influence extérieure, l'une ou l'autre informant le journaliste en train de développer un récit de ce qui a été pris. endroit. (Dans plusieurs cas, les journalistes passent de la production de rapports de témoins oculaires au moment de la destruction à la production de rapports narratifs plus tard, leurs perceptions directes informant leur développement du récit).

    Cette distinction n'est pas censée impliquer qu'un type de rapport est plus utile ou fiable qu'un autre. Dans cette analyse, les rapports de témoins oculaires nous disent ce que les journalistes ont perçu et immédiatement interprété pendant ou peu de temps après l'événement. Il nous donne ainsi plus d'informations sur l'événement réel. Les rapports narratifs, en revanche, nous disent comment les journalistes ont interprété l'événement après avoir eu plus de temps pour traiter leurs perceptions et pour synthétiser des informations supplémentaires à partir d'autres sources. Le reportage narratif nous renseigne ainsi sur le récit collectif qui se développait parmi les reporters couvrant l'événement.

    Voici un exemple de rapport narratif:

    George Stephanopoulos, ABC, 12:27 PM: «Eh bien, Peter, je vais vous donner une sorte de rapport de piscine de plusieurs de nos correspondants ici-bas sur essentiellement ce qui s'est passé ici au centre-ville de New York entre 9h45 et 10h : 45 lorsque les deux explosions et l'effondrement du World Trade Center se sont produits. À l'époque, j'étais en fait dans le métro en direction du World Trade Center, juste autour de Franklin Street. Et après la première explosion, la station de métro a commencé à se remplir de fumée. Les voitures de métro ont commencé à se remplir de fumée et les métros se sont en fait arrêtés. Ils nous ont ensuite détournés du World Trade Center vers Park Place, qui est un arrêt au-delà du World Trade Center. Nous sommes arrivés à cette gare vers 10 h 35, Peter, et c'était une scène que je n'avais jamais vue auparavant de toute ma vie. "

    Rapports basés sur la source

    Le «reportage basé sur la source», c'est quand un journaliste rend compte de l'utilisation possible d'explosifs sur la base d'informations provenant de responsables gouvernementaux qui ont dit qu'ils soupçonnaient que des explosifs avaient été utilisés pour faire tomber les tours jumelles.

    Le rapport basé sur la source est similaire au rapport narratif en ce qu'il implique une influence extérieure. La principale distinction est que les rapports basés sur les sources sont basés sur des informations provenant de sources gouvernementales. Les informations provenant de sources gouvernementales indiquent de manière inhérente comment les agences gouvernementales interprétaient l'événement et reçoivent parfois un poids supplémentaire de la part des journalistes et des téléspectateurs.

    Voici un exemple de rapport basé sur la source:

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  33. Pat Dawson, NBC, 11 h 55: «Il y a quelques instants, j'ai parlé au chef de la sécurité du service d'incendie de New York. . . [Il] m'a dit que peu de temps après 9 heures, il avait environ 10 alarmes, environ 200 hommes dans le bâtiment essayant de secourir certains de ces civils qui se trouvaient là-bas, et que, fondamentalement, il a reçu le mot d'une possibilité d'un secondaire appareil - c'est-à-dire, une autre bombe explosant. Il a essayé de faire sortir ses hommes le plus rapidement possible, mais il a dit qu'une autre explosion s'était produite. Et puis une heure après le premier coup ici, le premier crash qui a eu lieu, il a dit qu'il y avait une autre explosion qui avait eu lieu dans l'une des tours ici. Donc, évidemment, selon sa théorie, il pense qu'il y avait en fait des appareils qui ont été plantés dans le bâtiment. . . . Mais l'essentiel est que, selon le chef de la sécurité du service d'incendie de New York, il dit qu'il a probablement perdu beaucoup d'hommes dans ces explosions secondaires. Et il a dit qu'il y avait littéralement des centaines sinon des milliers de personnes dans ces deux tours lorsque les explosions ont eu lieu. »

    Reporters non explosifs

    Le critère principal que nous avons développé pour classer une personne en tant que «journaliste non-explosion» était qu'elle ou il avait signalé la destruction d'une ou des deux tours jumelles et n'avait procédé à aucun des types de rapports d'explosion définis ci-dessus. Pour être considéré comme un journaliste non explosif, il n'était pas nécessaire que le journaliste articule explicitement l'hypothèse de l'effondrement induit par le feu. La simple absence de rapport d'explosion a suffi à classer quelqu'un comme reporter non-explosion.

    Le défi ici ne réside pas dans l'identification de l'absence de rapport d'explosion mais dans la définition de ce qui constitue un «rapport sur la destruction». En fin de compte, nous avons décidé que cela devait signifier que le journaliste devait décrire l'événement de la destruction et non simplement le mentionner en passant.

    Il convient de noter que l’utilisation par un journaliste du mot «effondrement» ne qualifiait pas nécessairement cette personne de journaliste non explosif. De nombreux reporters sur les explosions ont décrit l'occurrence d'une explosion suivie d'un effondrement et ils ont utilisé le mot «effondrement» dans leurs reportages (David Lee Miller, cité ci-dessus, en est un excellent exemple). Ainsi, l'utilisation du mot «effondrement» n'est pas incompatible avec le fait d'être un journaliste d'explosion et n'a pas qualifié quelqu'un de journaliste non explosif.

    De plus, si un journaliste a fait une déclaration qui l'a qualifié de journaliste d'explosion puis a ensuite fait une déclaration appuyant explicitement l'hypothèse de l'effondrement induit par le feu (ce qui est le cas de Joe Torres de WABC), nous avons classé ce journaliste comme un journaliste d'explosion. parce qu'il ou elle s'est engagé dans un rapport d'explosion à un moment donné de la journée. Dans cette analyse, le fait d'être classé comme «reporter d'explosion» n'implique pas une position permanente. Cela signifie plutôt qu’à un certain moment de la journée, il a signalé la survenance d’explosions ou l’utilisation possible d’explosifs en relation avec la destruction des tours jumelles.

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  34. Avant de passer à la section suivante, il est important de noter que parce que les rapporteurs non-explosion devaient décrire l'événement de la destruction et non simplement le mentionner en passant, la seule façon de faire une comparaison numérique valide entre les rapporteurs d'explosion et les non -Les rapporteurs d'explosion ne doivent inclure que ceux qui se sont livrés à des reportages de témoins oculaires. Selon les critères que nous avons élaborés, les rapporteurs d'explosion qui se livraient à des reportages narratifs ne décrivaient pas l'événement de la destruction mais se référaient plutôt à lui comme un événement basé sur une explosion au cours de leur reportage, c'est-à-dire en passant. Il n’existe pas de classification comparable pour les journalistes non explosifs, car nous avons exclu ceux qui n’ont mentionné l’événement qu’en passant (en utilisant le plus souvent le mot «effondrement»).

    Analyse numérique des rapporteurs «Explosion» et «Non-Explosion»

    Au total, nous avons identifié 36 reporters sur les explosions et quatre reporters sur les non-explosions dans les quelque 70 heures de couverture médiatique que nous avons examinées. Les 36 rapporteurs d'explosion et leurs déclarations sont énumérés à l'annexe A. Les quatre rapporteurs non-explosion et leurs déclarations sont énumérés à l'annexe B. En outre, il y avait trois cas limites qui, selon nous, ne pouvaient pas être clairement classés comme explosifs ou non. journalistes d'explosion. Ces cas sont énumérés à l'annexe C.

    Sur les 36 rapporteurs d'explosion, 21 d'entre eux ont participé à des reportages de témoins oculaires, 22 d'entre eux à des reportages narratifs et trois d'entre eux à des reportages basés sur la source. Rappelant nos définitions ci-dessus, cela signifie ce qui suit:

    21 journalistes ont été témoins de ce qu'ils ont perçu comme une explosion ou des explosions lors de la destruction des tours jumelles ou ils ont perçu les tours jumelles comme explosant, explosant, explosant ou éclatant.

    22 journalistes (dont huit appartiennent également à la catégorie des témoins oculaires) ont qualifié la destruction des tours jumelles d’explosion ou d’événement basé sur une explosion lorsqu’ils en ont parlé au cours de leur rapport.
    Trois journalistes (dont deux entrent également dans la catégorie des rapports narratifs) ont rendu compte de l'utilisation possible d'explosifs sur la base d'informations provenant de responsables gouvernementaux qui ont dit qu'ils soupçonnaient que des explosifs avaient été utilisés pour faire tomber les tours jumelles.

    Quatre journalistes ont rendu compte de la destruction des tours jumelles et n'ont signalé aucune explosion (soit en étant témoin d'explosions, ayant interprété la destruction comme un événement basé sur une explosion, soit ayant été informés par des responsables gouvernementaux de l'utilisation possible d'explosifs) .
    En termes de pourcentage de rapporteurs d'explosion et de non-explosion, 21 des 25 journalistes qui ont directement assisté à la destruction des tours jumelles, ou 84%, ont soit perçu une explosion ou des explosions, soit ils ont perçu les tours jumelles comme explosant, explosant, soufflant ou éclatant. En comparaison, quatre des 25 journalistes qui ont été directement témoins de la destruction des tours jumelles, soit 16%, n'ont signalé aucune explosion.

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  35. Les tableaux ci-dessous répertorient chaque déclarant et chaque instance de signalement en fonction de l'heure à laquelle chaque signalement a été effectué.

    Table 2A: Eyewitness Reporting by Explosion Reporters

    Reporter Channel Times of Reports
    Ashleigh Banfield MSNBC 9:59 AM
    Aaron Brown CNN 9:59 AM, 10:02 AM
    N.J. Burkett WABC 9:59 AM
    Walter Perez WNBC 9:59 AM, 10:00 AM, 10:27 AM
    Kristen Shaughnessy NY1 9:59 AM
    David Lee Miller Fox News 10:01 AM, 10:32 AM
    Harold Dow CBS 10:05 AM
    Rick Leventhal Fox News 10:05 AM, 10:06 AM, 10:12 AM
    Michelle Charlesworth WABC 10:10 AM
    Andrew Siff NY1 10:12 AM
    Nina Pineda WABC 10:17 AM
    Rose Arce CNN 10:29 AM, 10:43 PM
    Cheryl Fiandaca WABC 10:38 AM, unknown time shortly after 10:38 AM
    Patty Sabga CNN 10:57 AM
    Tom Flynn CBS 11:03 AM
    Mika Brzezinski CBS 11:15 AM
    John Bussey CNBC 11:52 AM
    Ron Insana CNBC 12:41 PM, 1:08 PM
    Anne Thompson NBC 12:43 PM
    Joe Torres WABC Unknown time
    Marcella Palmer WCBS Unknown time


    Tableau 2B: Rapports narratifs des déclarants d'explosion

    Journaliste Channel Times of Reports
    Michelle Charlesworth * WABC 10 h 10
    Nina Pineda *
    WABC 10:18 AM, 10:19 AM, heures inconnues
    John Schiumo NY1 10 h 18
    Cheryl Fiandaca *
    WABC Heure inconnue peu après 10 h 38
    Kristen Shaughnessy *
    NY1 10h42, 10h43, 10h45
    Rose Arce *
    CNN 10:50 AM, 12:26 PM
    Rick Sanchez MSNBC 10 h 52, 11 h 26, 12 h 09
    Ashleigh Banfield *
    MSNBC 10 h 54, 10 h 55, 13 h 35, 13 h 36, 13 h 37
    Carol Marin (journaliste CBS) WCBS 10h59
    Patty Sabga *
    CNN 10 h 59
    Alan Dodds Frank CNN 11 h 07
    Andrew Kirtzman NY1 11 h 11, 11 h 12
    John Slattery WCBS 11:44 AM
    John Bussey *
    CNBC 11 h 55
    George Stephanopoulos ABC 12:27 PM
    Bob Pisani CNBC 14 h 42
    1er reporter non identifié Toutes les chaînes 14h43 (conférence de presse de Giuliani et Pataki)
    Marcia Kramer Toutes les chaînes 14h44 (conférence de presse Giuliani et Pataki)
    2nd Unidentified Reporter Toutes les chaînes 14h54 (conférence de presse de Giuliani et Pataki)
    Pat Dawson NBC 15h02
    Vince DeMentri WCBS Heure inconnue vers 17h00
    Cynthia McFadden ABC 17 h 56
    * Ces journalistes ont également participé à des reportages de témoins oculaires.

    Tableau 2C: Rapports basés sur la source par les rapporteurs d'explosion

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  36. Journaliste Channel Times of Reports
    Pat Dawson * NBC 11 h 55
    Rick Sanchez *
    MSNBC 12:07 PM
    Jack Kelley USA Today Vers 17h30
    * Ces journalistes ont également participé à des reportages narratifs.

    Tableau 2D: Reporters non explosifs

    Journal du réseau des journalistes
    Don Dahler ABC 10h00
    Bob Bazell NBC 10 h 08
    John Zito MSNBC 10 h 36
    Drew Millhon ABC 11 h 09
    -

    Comment les journalistes ont signalé la destruction des tours jumelles

    L'image qui émerge incontestablement est que la grande majorité des journalistes qui ont été témoins de la destruction des tours jumelles ont soit perçu une explosion, soit perçu les tours comme explosant. Cette hypothèse de destruction des tours jumelles a ensuite continué à prévaloir parmi les journalistes couvrant l'événement, qui considéraient essentiellement la destruction des tours comme une attaque basée sur une explosion après les frappes de l'avion. Nous apprenons des sources que la même hypothèse était également retenue par des responsables du FDNY, du New York Police Department (NYPD) et du Federal Bureau of Investigation (FBI) - trois des agences les plus importantes impliquées dans la réponse. aux attaques. En particulier, en ce qui concerne le FBI, on nous dit que l'hypothèse d'explosion était la «théorie de travail» de l'agence en fin d'après-midi du 11 septembre.

    Contrairement aux membres du FDNY, dont la plupart ont fourni leurs témoignages lors d'entretiens menés des semaines ou des mois après l'événement, il incombait aux journalistes de communiquer spontanément leur perception et leur interprétation des événements. Ainsi, lorsque leurs rapports sont compilés en un seul enregistrement, nous nous retrouvons avec un compte rendu collectif riche et largement non filtré de ce qui s'est passé. Considérées parallèlement aux histoires orales du FDNY, ces déclarations de journalistes constituent, selon nous, de solides preuves corroborant que des explosifs ont été utilisés pour détruire les tours jumelles.

    En ce qui concerne les quatre reporters non explosifs, en plus du fait qu'ils soient si peu nombreux, nous constatons que leurs comptes individuels ajoutent peu de soutien à l'hypothèse d'effondrement induit par le feu.

    Deux des journalistes étaient assez loin des tours jumelles au moment de leur destruction par rapport à la plupart des journalistes d'explosion: Drew Millhon était «à environ 10 à 12 pâtés de maisons au nord du World Trade Center», à l'intersection de Varick Street et Canal Street, tandis que Bob Bazell était à l'hôpital St. Vincent sur West 12th Street, à environ trois kilomètres du World Trade Center. Pendant ce temps, Don Dahler, le seul journaliste qui a explicitement formulé l'hypothèse de l'effondrement induit par le feu, a néanmoins comparé la destruction de la tour sud à une démolition contrôlée, en disant: «L'ensemble du bâtiment vient de s'effondrer comme si une équipe de démolition partait - quand vous voyez le démolitions anciennes de ces vieux bâtiments. Le quatrième journaliste non-explosion, John Zito, était assez proche de la tour sud lorsqu'elle est tombée. Il n'a pas décrit d'explosion, mais il n'a pas non plus attribué la destruction à un effondrement provoqué par un incendie. Il convient de noter que Ron Insana, avec qui Zito était, a décrit de façon éclatante avoir vu le bâtiment "exploser" et "souffler" et entendre un "bruit associé à une implosion".

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  37. Conclusion

    Revenant à la première question posée en haut de cet article, nous concluons que l'hypothèse d'explosions faisant tomber les tours jumelles était non seulement répandue parmi les journalistes mais était, en fait, l'hypothèse dominante.

    En outre, les 21 cas de rapport de témoins oculaires, qui contiennent tous des descriptions spontanées des phénomènes dont les journalistes ont été témoins, corroborent fortement les preuves scientifiques accablantes selon lesquelles des explosifs ont été utilisés pour détruire les tours jumelles.

    Dans un article ultérieur, nous examinerons comment l'hypothèse de l'effondrement induit par le feu a si rapidement supplanté l'hypothèse d'explosion à l'origine dominante.

    Annexe A: Déclarations de 36 rapporteurs d'explosion

    Ces déclarations sont organisées par canal dans le même ordre que celui présenté dans le tableau 1. Dans chaque canal, elles sont organisées chronologiquement en fonction de l'heure de la première déclaration notée par chaque journaliste. Une vidéo contenant toutes les déclarations des 36 rapporteurs d'explosion est disponible ici.

    1. George Stephanopoulos, ABC

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    12 h 27, Rapports narratifs

    "Eh bien, Peter, je vais vous donner une sorte de rapport de piscine de plusieurs de nos correspondants ici-bas sur ce qui s'est passé ici-bas au centre-ville de New York entre 9h45 et 10h45 lorsque les deux explosions et l'effondrement de le World Trade Center est arrivé. À l'époque, j'étais en fait dans le métro en direction du World Trade Center, juste autour de Franklin Street. Et après la première explosion, la station de métro a commencé à se remplir de fumée. Les voitures de métro ont commencé à se remplir de fumée et les métros se sont en fait arrêtés. Ils nous ont ensuite détournés du World Trade Center vers Park Place, qui est un arrêt au-delà du World Trade Center. Nous sommes arrivés à cette gare vers 10 h 35, Peter, et c'était une scène que je n'avais jamais vue auparavant de toute ma vie. Alors que nous essayions de sortir de la station de métro et de monter dans la rue, il faisait noir, minuit, il neige tout le long du centre-ville de Manhattan. C'était à environ deux pâtés de maisons du World Trade Center. Vous ne pouviez pas voir un pied devant votre visage à ce moment-là. "

    2. Cynthia McFadden, ABC

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    17 h 56, compte rendu narratif

    «On nous a dit que toutes les victimes qui ont été emmenées hors du site de l'explosion vont d'abord être emmenées ici. . . . Une partie du problème était au départ que lorsque les premiers secouristes sont entrés - et nous avons parlé à certains d'entre eux, certains de la deuxième vague de secouristes - la première vague de secouristes qui sont entrés a été piégée, beaucoup d'entre eux tués par le deuxième souffle. . . . Comme vous le constatez, il y a eu des centaines de personnes dans les hôpitaux de la région. Mais ils ne croient pas que le poids de tout cela ait encore été découvert, qu'il y ait des centaines et des milliers de personnes qui ont été blessées dans cette explosion, et que ce sont les personnes qu'ils comptent amener ici. »

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  38. - voir photo ou clip sur site -

    3. Harold Dow, CBS

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    10 h 05, rapport d'un témoin oculaire

    «Oui, je suis arrivé sur les lieux il y a environ une heure et demie. Croyez-le ou non, il y a eu une autre explosion majeure. Le bâtiment lui-même, littéralement le sommet, est tombé, envoyant de la fumée et des débris partout. J'ai essayé de courir pour m'éloigner de tous les débris. Un certain nombre d'autres personnes ici sont coincées dans le métro ici dans un magasin de chaussures, essayant de s'éloigner de la plupart des débris. C'est juste un spectacle incroyable. "

    4. Tom Flynn, CBS

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    11 h 03, rapport d'un témoin oculaire

    «À ce moment-là, peut-être 45 minutes après l'enregistrement que nous faisions, ce qui était peut-être une demi-heure après, il y avait - c'était une explosion. C'était bien là où était le feu. Et tout le bâtiment à ce moment-là est tombé en flammes, et tout le monde a couru. »

    5. Mika Brzezinski, CBS

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    11 h 15, rapport d'un témoin oculaire

    «Dan, nous sommes à trois pâtés de maisons de la scène et nous avons tout vu après les deux premiers succès. Nous avons vu l'explosion et aussi l'effondrement de la tour. »

    6. Pat Dawson, NBC

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    11 h 55, rapports basés sur les sources

    «Il y a quelques instants, j'ai parlé au chef de la sécurité du service d'incendie de New York, qui était évidemment l'une des premières personnes ici sur les lieux après que ces deux avions se sont écrasés sur le côté - nous supposons - des tours du World Trade Center , qui était derrière moi là-bas. Le chef Albert Turi m'a dit qu'il était ici juste 10 ou 15 minutes après les événements de ce matin, c'est-à-dire le premier crash. . . . [Il] m'a dit que peu de temps après 9 heures, il avait environ 10 alarmes, environ 200 hommes dans le bâtiment essayant de secourir certains de ces civils qui se trouvaient là-bas, et que, fondamentalement, il a reçu le mot d'une possibilité d'un secondaire appareil - c'est-à-dire, une autre bombe explosant. Il a essayé de faire sortir ses hommes le plus rapidement possible, mais il a dit qu'une autre explosion s'était produite. Et puis une heure après le premier coup ici, le premier crash qui a eu lieu, il a dit qu'il y avait une autre explosion qui avait eu lieu dans l'une des tours ici. Donc, évidemment, selon sa théorie, il pense qu'il y avait en fait des appareils qui ont été plantés dans le bâtiment. Un des dispositifs secondaires qu'il pense avoir eu lieu après l'impact initial, pense-t-il, aurait pu se trouver dans l'avion qui s'est écrasé dans l'une des tours. Le deuxième appareil qu'il pense, spécule-t-il, a probablement été planté dans le bâtiment. C'est donc ce que nous a dit Albert Turi, qui est le chef de la sécurité du service d'incendie de New York. Il me l'a dit il y a quelques instants. . . . Mais l'essentiel est que, selon le chef de la sécurité du service d'incendie de New York, il dit qu'il a probablement perdu beaucoup d'hommes dans ces explosions secondaires. Et il a dit qu'il y avait littéralement des centaines sinon des milliers de personnes dans ces deux tours lorsque les explosions ont eu lieu. »

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    15 h 02, Rapports narratifs

    Dawson demande à un officier de police: «Comment décririez-vous vos efforts pour organiser les secours maintenant, étant donné que nous avons vu une séquence d'événements ce matin? Une séquence d'accidents, puis d'explosions, et puis l'effondrement. »

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  39. 7. Anne Thompson, NBC

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    12 h 43, rapport d'un témoin oculaire

    «Et je marchais sur Broadway à Fulton, et soudain nous avons entendu une explosion. C'était la première tour qui descendait. Et sur Broadway, vous pouviez voir ce mur de débris voler vers nous. . . . Cela ressemblait à une zone de guerre. Débris, poussière jusqu'aux chevilles, voitures en feu, voitures tournées de travers dans l'explosion. . . . Vers 10 h 30, tout semblait clair. J'ai commencé à sortir. J'ai descendu Broadway en direction de Canal. Et nous avons entendu la deuxième explosion. . . . À ce moment-là, un pompier est entré dans le bâtiment et a dit que nous devions tous rester au même endroit. Il nous a ensuite dit à tous de sortir du bâtiment car ils pensaient que s'il y avait une troisième explosion, ce bâtiment serait en danger. »

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    8. Aaron Brown, CNN

    Remarque: Bien qu'Aaron Brown soit un présentateur de nouvelles, nous l'incluons parmi les reporters sur les explosions car il était positionné à l'extérieur et a été témoin direct des événements, et sa perception directe a joué un rôle majeur dans son évolution de l'interprétation de l'événement.

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    9 h 59, rapport d'un témoin oculaire

    "Sensationnel! Jamie. Jamie, j'ai besoin que tu t'arrêtes une seconde. Il y a juste eu une énorme explosion. Nous pouvons voir une fumée tourbillonnante s'élever. Et je ne peux pas - je vais vous dire que je ne peux pas voir cette deuxième tour. Mais il y avait une cascade d'étincelles et de feu et maintenant ça… ça ressemble presque à un nuage de champignons, une explosion, cette énorme fumée tourbillonnante dans la deuxième tour. Ce fut la deuxième des deux tours touchées. Et moi, vous savez, je ne peux pas voir derrière cette fumée évidemment, comme vous ne pouvez pas non plus. La première tour en face n'a pas changé. Et nous voyons cette scène extraordinairement (sic) et effrayante derrière nous de cette deuxième tour maintenant juste enveloppée de fumée. Qu'est-ce qu'il y a derrière… je ne peux pas vous le dire. Mais regardez ça. C'est à peu près aussi effrayant une scène que vous ne le verrez jamais. »

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    10 h 02, rapport d'un témoin oculaire

    «Encore une fois, il y a eu une deuxième explosion ici à Manhattan au Trade Center. Nous recevons des informations selon lesquelles une partie de la tour, la deuxième, un peu plus au sud de nous, s'est effondrée. Nous vérifions cela. . . . Ce que nous pouvons vous dire, c'est qu'au cours des dernières minutes ici - deux ou trois minutes - un deuxième ou un troisième, je suppose, techniquement, un événement extraordinaire s'est produit ici, dans le bas de Manhattan. Vous pouvez voir cet extraordinaire panache de fumée qui est, ou était au moins, la deuxième tour du World Trade Center. »

    9. Rose Arce, CNN

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  40. 10 h 29, rapport d'un témoin oculaire

    "Je suis à environ un pâté de maisons. Et il y avait plusieurs personnes qui pendaient par les fenêtres juste en dessous de l'endroit où l'avion s'est écrasé, quand soudain vous avez vu le haut du bâtiment commencer à trembler, et les gens ont commencé à sauter par les fenêtres du côté nord du bâtiment. Vous avez vu deux personnes plonger au début, puis une troisième, puis tout le haut du bâtiment a explosé, et des éclats de débris tombent dans la rue. »

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    10 h 50, rapport narratif

    «Il semble qu'un gros morceau de ces débris ait frappé un bâtiment tout près, à environ deux pâtés de maisons à côté d'une école primaire, provoquant une autre explosion. . . . Donc, alors que les gens montent dans la rue pour fuir le lieu de cette nouvelle explosion, vous pouvez les voir glisser sur les cendres et avoir littéralement à se traîner dans la rue. »

    Remarque: Nous incluons la déclaration de Rose Arce à 10 h 50 comme rapport narratif, car cela indique qu'elle a d'abord perçu puis continué à interpréter la destruction des tours jumelles comme des explosions.

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    12 h 26, rapport narratif

    «En marchant à travers les cendres, vous pouvez voir des débris de l'intérieur du World Trade Center lui-même, une scène très étrange, des morceaux de papier provenant des bureaux des gens, des fournitures de bureau à de très nombreux pâtés de maisons du site, l'explosion proprement dite où ils craignent maintenant qu'il n'y ait peut être encore une autre explosion en raison de cette fuite potentielle de gaz. "

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    22 h 43, rapport d'un témoin oculaire

    «Les gens se précipitaient vers les fenêtres. Ils prenaient des vêtements - une chose ressemblait à une couverture qu'ils brandissaient - et puis soudain, il y en a eu une autre, une explosion, et vous avez vu des gens commencer à sauter par la fenêtre avant du bâtiment et à plonger. J'ai vu au moins six personnes faire ça. Les gens se poussaient. Certaines personnes criaient au secours et tombaient simplement. »

    10. Patty Sabga, CNN

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    10:57 AM, Eyewitness Reporting

    «Il y a environ une heure, j'étais au coin de Broadway et de Park Place - à environ mille mètres du World Trade Center - lorsque la première tour s'est effondrée. Ce fut une explosion massive. À l'époque, la police tentait désespérément d'évacuer les gens de la région. Lorsque cette explosion s'est produite, c'était comme une scène d'un film d'horreur. »

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    10 h 59, rapport narratif

    «La scène était comme une ville fantôme du quartier financier. Très étrange. Vous avez vu des gens rouler sur des gurneys loin du site de l'explosion. . . . Maintenant, à l'époque j'étais de nouveau au coin de Broadway et Park Place. À ce moment-là, la police a commencé à courir vers nous en disant à tout le monde de bouger qui était resté dans la rue. J'ai levé les yeux et c'est à ce moment-là que j'ai entendu - [tousser] pardonnez-moi - c'est à ce moment que j'ai entendu l'explosion. C’est à ce moment-là que la deuxième tour est tombée. "

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  41. 11. Alan Dodds Frank, CNN

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    11 h 07, Rapports narratifs

    «Aaron, il y a à peine deux ou trois minutes, il y a eu encore un autre effondrement ou explosion. . . . Mais à un quart à 11h00, il y a eu un autre effondrement ou explosion après l'effondrement de 10h30 de la deuxième tour. Et un pompier qui s'est précipité chez nous a estimé que 50 histoires avaient coulé. La rue était remplie de fumée. C'était comme un feu de forêt rugissant dans un canyon. »

    Remarque: Nous incluons la déclaration d'Alan Dodds Frank à 11 h 07 comme rapport narratif, car cela indique qu'il a interprété la destruction des tours jumelles comme pouvant être un événement basé sur une explosion.

    12. David Lee Miller, Fox News

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    10 h 01, rapport d'un témoin oculaire

    «Jon, la scène est horrible. L'une des deux tours s'est littéralement effondrée. Je me dirigeais vers le pied du World Trade Center. Soudain, en parlant à un officier qui m'interrogeait sur mes références de presse, nous avons entendu une explosion très forte, une explosion. Nous avons levé les yeux et le bâtiment a littéralement commencé à s'effondrer devant nous. . . . Et je me tiens maintenant dans un nuage noir de fumée. . . . Je suis sur un téléphone public dans la rue en ce moment et je ne peux littéralement pas voir plus d'un quart de pâté de maisons. C’est l’épaisseur de la fumée. Je suis sur Murray Street et West Broadway pour ceux qui connaissent Lower Manhattan. On ne sait pas maintenant pourquoi cette explosion a eu lieu. Est-ce à cause des avions que, euh, deux avions, deux attaques ce matin, ou y a-t-il eu une autre attaque qui est - on en a parlé ici dans la rue. »

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    10 h 32, rapport d'un témoin oculaire

    «Jon, il y a quelques secondes à peine, il y a eu une énorme explosion, et il semble que la deuxième tour du commerce mondial vient de s'effondrer.»

    13. Rick Leventhal, Fox News

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    10 h 05, rapport d'un témoin oculaire

    Il demande à un policier: "Savez-vous s'il s'agissait d'une explosion ou d'un effondrement d'un bâtiment?"

    Puis il demande: "Combien de personnes diriez-vous étaient au sol lorsque le bâtiment a explosé ou s'est effondré?"

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    10 h 06, rapport d'un témoin oculaire

    «Lorsque le bâtiment s'est effondré - ou quoi que ce soit qui s'est passé - ce fut une énorme explosion, un énorme nuage de fumée et d'incendie grondant est venu traverser la rue Church et a commencé à se gonfler de cette façon. . . Le FBI est là, comme vous pouvez le voir. Ils avaient encordé cette zone. Ils prenaient des photos et sécurisaient cette zone juste avant cette énorme explosion que nous avons tous entendue et ressentie. »

    10:12 AM, Eyewitness Reporting

    «Et nous nous tenions ici quand il y a eu une sorte d'effondrement ou d'explosion et tout le monde a commencé à courir dans cette direction.»

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  42. 14. Ashleigh Banfield, MSNBC

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    9 h 59, rapport d'un témoin oculaire

    Chris Jansing (présentateur de nouvelles): «Il semble qu'il y ait eu une troisième explosion dans la zone du World Trade Center. Un premier avion a heurté l'une des tours jumelles. Un deuxième avion, chacun il y a environ une heure. Et maintenant une troisième explosion. Ashleigh Banfield est à Manhattan. Ashleigh, avez-vous vu ou entendu quelque chose il y a quelques instants? »

    Ashleigh Banfield: «Dieu. Oh mon dieu, Chris, c'est incroyable. Je regarde bien. "

    Jansing: "Que voyez-vous, Ashleigh ?"

    Banfield: "Eh bien, j'ai vu l'explosion, pour commencer."

    Jansing: "Le ressentez-vous ?"

    Banfield: «Je peux le sentir. Tout le monde criait au moment où cela s'est produit. C'est tout simplement incroyable. Je ne vois pas que c'est un autre bâtiment. Il semble presque dans la même position que la deuxième bombe, ou deuxième explosion. C'est incroyable."

    Jansing: "Quelle est la scène autour de vous? Que font les gens?

    Banfield: «La plupart des gens, comme je l'ai dit plus tôt, sont absolument consternés.

    Jansing: "Courent-ils ?"

    Banfield: «Personne ne court. Non, je ne suis pas assez proche à ce stade pour voir ça. Je ne serais pas inondé de débris de ma position ici. Je suis trop loin au nord. Mais j'ai une vue plongeante sur ce qui se passe. L'itinéraire sur lequel je suis est l'itinéraire d'urgence en ce moment, donc tous les véhicules d'urgence passent devant nous. Mais en levant les yeux, j'ai vu toute l'explosion. Cela ressemblait exactement aux deux premiers. Incroyable. Et tous ceux qui l'ont regardé autour de moi ont crié. C'était juste un refrain de «oh mes dieux» de tout le monde autour. Je marche, donc ce que j'entends, c'est beaucoup de gens dont les voitures sont garées, qui ont leurs radios réglées sur les stations de nouvelles locales et qui essaient de rattraper exactement ce qui se passe. Mais maintenant je vois des gens courir. Mais je ne pense vraiment pas qu'ils fuient la région. Nous sommes trop loin pour être dans la ligne directe de tout débris. Mais nous avions certainement le point de vue le plus parfait pour cette explosion. C'était incroyable. Et la fumée est maintenant si épaisse. C'est tout simplement incroyable. "

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    10 h 54, rapport narratif

    «Eh bien, nous venons d'entendre une autre explosion se déclencher il y a quelques minutes, Chris, et nous avons vu beaucoup plus de gens courir de cette façon. Une femme sur son vélo hurlait en partant. Et il y avait un officier de New York en civil qui passait avec une radio. J'ai essayé de l'arrêter pour lui demander ce qui s'était passé. Et tout ce qu’il a dit, c’était «voiture piégée, voiture piégée». Et puis je ne pouvais lui demander aucune information. Il a dit: "Je n'ai pas le temps pour ça." Nous n'avons rien vu depuis. Mais le nuage de fumée est toujours extrêmement épais juste à proximité immédiate du World Trade Center. Je suis maintenant, je dirais - que dites-vous, nous sommes à environ cinq ou 10 pâtés de maisons au nord maintenant? Environ cinq ou 10 pâtés de maisons au nord de celui-ci, et tout simplement incroyable le soleil est sorti. Il y a un ciel bleu au-dessus de nous. Nous avons commencé avec une pure noirceur. Quand ce nuage de débris et de fumée est sorti, quand l'explosion s'est produite, nous ne pouvions rien voir, nous ne pouvions pas respirer. Nous avons essayé de monter quelques pâtés de maisons et nous avons pris contact avec une autre équipe de NBC ici. "

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  43. - voir photo ou clip sur site -

    10 h 55, rapport narratif

    «C'est terrifiant ici, Chris. Quand cette dernière bombe - ou quand ce dernier effondrement s'est produit, et que le nuage est sorti, c'était comme quelque chose d'Hollywood. . . . C'est vraiment étrange de voir les gens qui se sont fait prendre dans cette explosion, parce que tout le monde ressemble à un fantôme. "

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    13 h 35, Rapports narratifs

    "Qu'as-tu vu à l'épicentre quand tu es sorti de cette explosion ?"

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    13 h 36, rapport narratif

    «Au tout début de la journée où cela s'est produit, nous étions en plein dans l'épicentre où se trouvait l'explosion. En ce moment, je suis couvert par les débris et la poussière de l'explosion elle-même. J'ai été frappé par un nuage de débris et de fumée. »

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    1:37 PM, Narrative Reporting

    «C'est le 7 World Trade Center. Apparemment du côté sud, c'est le côté qui ne nous fait pas face, à mi-chemin, il brûle encore assez mal, car il a été secoué par une grande partie de l'explosion de la force des Twin World Trade Centers, quand ils sont descendus. Ce qui va se passer maintenant avec ce bâtiment marron est une grande préoccupation, c'est pourquoi nous continuons à nous déplacer de plus en plus vers le nord. Vous pouvez voir des gens dans la rue se diriger vers nous. Même les médias qui à l'origine étaient autorisés à avoir plus de liberté pour rapporter cette histoire, nous sommes également expulsés, car on craignait qu'il puisse y avoir d'autres explosions, peut-être d'autres bombes. »

    15. Rick Sanchez, MSNBC

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    10 h 52, rapport narratif

    "Vous devez comprendre que lorsque cela s'est produit pour la première fois, ils n’imaginaient certainement pas qu’il y aurait une deuxième ou une troisième explosion. Ils ont donc garé certains de leurs véhicules dans ces zones. Et bon nombre de ces véhicules - des personnes dans ces véhicules ont perdu la vie. »

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    11 h 26, rapport narratif

    "Eh bien, on nous a dit, en fait, il y a quelques instants, d'essayer de sortir de cette zone, parce qu'ils font sortir tout le monde. Et la crainte est, bien sûr, qu'il y ait des fuites de gaz, du gaz naturel dans cette zone qui soit alimenté dans ou hors des bâtiments qui ont explosé. Et maintenant, ces lignes sont ouvertes et peuvent se rompre. »

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    12 h 07, Rapports basés sur les sources

    "Eh bien, je suis dans ce domaine, si vous êtes familier avec ce domaine où West Broadway et Hudson se réunissent, juste à Chambers. Cela nous mettrait à environ un bloc et demi du site où se trouvait l'explosion. Cette zone vient d'être évacuée car la police a trouvé ce qu'elle décrit comme un appareil suspect. Ils craignent que cela ne conduise à une nouvelle explosion. De toute évidence, il y a ici un réel sentiment de prudence de la part de la police. Il y a quelques instants, j'ai parlé avec des policiers, Chris. Et ils m'ont dit qu'ils avaient des raisons de croire qu'une des explosions au World Trade Center - à part celles qui pourraient avoir été provoquées par l'impact de l'avion avec le bâtiment - pourrait avoir été causée par une camionnette qui était stationnée dans le bâtiment qui pouvait contenir un type d'engin explosif. Leur crainte est donc qu'il y ait peut-être eu des engins explosifs plantés dans le bâtiment ou dans la zone adjacente. Et c'est pourquoi ils sont si prudents dans ce voisinage en ce moment. "

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  44. - voir photo ou clip sur site -

    12 h 09, Rapports narratifs

    «C’est pourquoi c’est si difficile pour eux dans ce domaine où nous sommes. Imaginez, ils sont venus ici à l'origine pour faire face à une crise. Ils ont mis en place des centres de commandement et il y avait beaucoup de leurs chefs et de leurs superviseurs dans la zone du bâtiment. Les deuxième et troisième explosions ont littéralement fait des ravages sur ces forces de campagne et ces centres de commandement. Ils ont donc dû reculer. Et maintenant, ils essaient de voir comment ils peuvent l'approcher à nouveau. "

    16. John Bussey, contributeur CNBC, Wall Street Journal Reporter

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    11 h 52, rapport d'un témoin oculaire

    «Je m'apprêtais à parler avec Haines [inaudible], et l'incendie faisait rage dans les deux bâtiments. J'ai levé les yeux vers le bâtiment sud, le deuxième World Trade Center à être touché, et des explosions descendaient le bâtiment. Il semblait que des accusations avaient été portées à chaque étage et qu'elles se succédaient. Maintenant, ce n'est probablement pas ce qui se passait. Cela me semblait juste comme ça. Le bâtiment a explosé étage par étage, et cela a probablement quelque chose à voir avec les dommages structurels causés par les avions qui l'ont percuté. Quand j'ai vu les explosions étage par étage se produire, j'ai plongé du bureau où j'étais parce que les fenêtres donnaient directement sur le World Trade Center. Nous sommes au World Financial Center juste en face de West Street des deux Trade Centers. Au moment où je suis sorti de sous un bureau où j'ai cherché un abri, tout l'étage, toute la pièce où j'étais complètement dense de ciment et de fumée. Vous ne pouviez pas voir. "

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    Remarque: Ici, Bussey a commencé à interpréter les phénomènes dont il a été témoin alors que le bâtiment s'effondrait simplement. Cependant, il ressort clairement de cela et de ses autres récits de l'événement (Source 1, Source 2) que son interprétation initiale était que des explosifs détruisaient le bâtiment.

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    11 h 55, rapport narratif

    «Nous étions si près du bâtiment que vous pouviez le sentir frapper votre épaule pendant qu'il pleuvait. Mais nous étions du côté sûr du bâtiment - beaucoup, beaucoup plus sûrs que là où les pompiers étaient de l'autre côté du bâtiment, exposés directement à l'explosion. »

    17. Ron Insana, CNBC

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    12 h 41, rapport d'un témoin oculaire

    «Eh bien, je me dirigeais vers le bas après avoir appris cela, vers 9 h ou 8 h 55 ce matin, j'avais appelé pour voir si nous devions descendre et aider à la couverture. Et j'étais en train de descendre. Nous nous sommes approchés assez près du bâtiment, et je suis tombé sur un caméraman de MSNBC et nous essayions de traverser la ville après le World Trade Center jusqu'à la Westside Highway, qui est dans le coin sud-ouest inférieur de Manhattan pour rencontrer nos collègues de CNBC. Et alors que nous traversions l'une des zones réglementées, le bâtiment a commencé à exploser, je suppose que la seule façon de le décrire. Il était difficile de dire s'il s'agissait d'une véritable explosion, mais le bâtiment a commencé à s'effondrer. . . . Nous avons entendu, nous avons entendu - je n'appellerais pas cela une explosion. Nous avons remarqué que le bâtiment a commencé à exploser au sommet et que les matériaux ont commencé à descendre. . . . Et comme nous nous sommes tournés pour courir, le matériel a juste commencé à tomber. Et comme cette scène du Jour de l'Indépendance, où le vent venait de fouetter la rue à la suite d'une explosion, c'est exactement ce que nous avons vécu. Il est descendu dans la rue, a courbé dans les coins et a soufflé avec une bonne intensité, encore une fois, Tyler, jusqu'à ce que le ciel soit complètement noir. »

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  45. - voir photo ou clip sur site -

    13 h 08, Reportage d'un témoin oculaire (apparaissant sur NBC)

    «Alors que nous nous dirigions vers le bâtiment, nous avons vu le sommet commencer à souffler dans un panache de fumée. Et nous avons entendu le bruit associé à une implosion. »

    18. Bob Pisani, CNBC

    14 h 42, Rapports narratifs

    «Et la vraie panique, je pense dans mon esprit, s'est produite, Maria, j'étais dehors quand tu étais quand la deuxième explosion s'est produite, parce que tant de gens avaient été attirés par ce qui se passait. L'explosion a jeté des débris sur beaucoup de gens. C'est à ce moment que la véritable panique a commencé. »

    19. N.J. Burkett, WABC

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    9 h 59 (temps d'antenne inconnu), rapport d'un témoin oculaire

    «Et vous pouvez voir les deux tours - une énorme explosion qui pleut maintenant des débris sur nous tous! Nous ferions mieux de nous éloigner! »

    20. Michelle Charlesworth, WABC

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    10 h 10, Témoignage et rapport narratif

    «Je ne peux qu'espérer que les gens sont sortis de la zone sur les trottoirs sous la tour sud avant qu'elle ne s'écroule. Mais il a littéralement explosé et est tombé comme s'il avait été touché. Des panaches de fumée se déplaçant dans le port. . . . Pour vous donner une idée d'où je suis, je suis à environ 20, 30 pâtés de maisons de l'endroit où cette dernière explosion vient de se produire. "

    21. Nina Pineda, WABC

    10 h 17, rapport d'un témoin oculaire

    Bill Ritter: «Nina, je veux que vous décriviez une fois de plus ce que vous avez ressenti lorsque cette tour s'est effondrée. Qu'avez-vous ressenti sur le terrain là-bas? »

    Nina Pineda: «Nous nous tenions probablement à environ trois pâtés de maisons de là pour avancer vers la scène pour essayer de rassembler des photos et des vidéos. Et c'était comme si tout le sol tremblait. C'était comme ce que ça fait d'être dans un tremblement de terre. Le sol tremblait, suivi de panaches et de panaches de fumée écrasante et de débris volants, de cendres et de morceaux du bâtiment. Alors que le sol tremblait. . . "

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    Lori Stokes: “Was there sound?”

    Pineda: «Il y a eu un son formidable en plein essor, et ensuite ça a ressemblé à un grondement. Mais cela ne ressemblait pas à une explosion. Cela ressemblait à un grondement bruyant. Et puis la prochaine chose que nous avons vue était les rues - la façon dont les rues avaient l'air était juste surmontée par la fumée, juste des panaches et des panaches de fumée comme une bombe avait explosé, montant dans la rue alors que les gens couraient pour se placer devant ces nuages de fumée, et de ne pas faire un trop bon travail. "

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    10 h 18, rapports narratifs

    «Et ce qui se passait lorsque l'explosion s'est produite, c'était de tirer des morceaux de l'avion. Il y a des morceaux de l'avion sur Church Street. »

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  46. - voir photo ou clip sur site -

    10 h 19, Rapports narratifs

    «Quelques secondes avant l'explosion, il y avait un autre type d'intérêt renouvelé pour vraiment éloigner les gens. Parce que, bien sûr, par curiosité, tout le monde essaie d’obtenir des photos du World Trade Center en feu. Ils ont commencé à crier: «Revenez! Revenir! Il y a une autre explosion qui se produit. "Je suppose qu'ils ont été avertis sur leurs radios que le sommet allait tomber, car il brûlait pendant une bonne partie de la demi-heure. Et ils ont crié pour ramener les gens. Ils ont commencé à crier: «Quittez Manhattan si possible. Tout le monde quitte Manhattan si possible. »»

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    Heure inconnue, rapport narratif

    Pineda: "Les dames qui m'accompagnaient étaient au World Trade Center dans le premier bâtiment et se sont échappées par le hall où elles rapportent qu'elles pensent qu'il y avait une bombe dans le hall."

    Michelle Scott (témoin): «Et même le tourniquet a été brûlé et il collait. Et ils nous ont juste dit de courir. »

    Igarlow Sweezer (témoin): «Et nous sortions, nous sommes passés devant le hall, il n'y avait pas de lobby. Je pense donc que la bombe a frappé le hall en premier, puis quelques secondes et le premier avion a frappé. »

    Heure inconnue, rapport narratif

    «Si vous pouvez voir derrière moi, il y a un instant, vous pouviez voir tout au long. Mais à partir de cette dernière explosion dont Jeff Rossen nous parlait, il fait de nouveau sombre. C'était étrangement et étrangement calme ici dans le quartier financier parce que tout a été évacué. »

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    Heure inconnue, rapport narratif

    "La seule chose qui reste dans la rue, ce sont les chaussures des gens qui ont épuisé leurs chaussures pour échapper aux bombes incendiaires et aux explosions."

    22. Cheryl Fiandaca, WABC

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    10 h 38, rapport d'un témoin oculaire

    «J'étais juste à côté de la tour sud. J'étais à environ deux pâtés de maisons. Ce n'était qu'une petite explosion, puis des roches et des débris et tout a commencé à couler. »

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    Heure inconnue peu après 10 h 38, témoignage oculaire et rapport narratif

    «D'accord, nous étions à environ deux pâtés de maisons lorsque la deuxième explosion a frappé. Et tout ce que nous avons entendu n'était qu'une petite explosion. Et puis nous avons vu un rugissement d'explosion, et toutes sortes de fumées qui sortaient, des débris tombaient, des gens couraient, les pompiers et la police criaient à tout le monde de courir alors que les débris descendaient et frappaient les gens. »

    23. Joe Torres, WABC

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    Temps d'antenne inconnu, rapport de témoin oculaire

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  47. «À dix heures ce matin, le photographe Glenn Mayrose et moi-même, ainsi que des agents du FBI, des policiers et des pompiers, nous pensions tous qu'une bombe allait exploser sous nos pieds à l'extérieur du 7 World Trade Center. Nous avons décollé en courant vers le nord sur Church Street. Nous ne savions pas que le sommet de l'une des tours jumelles venait d'exploser. . . . Alors que d'autres regardaient en arrière sous le choc et l'horreur, nous avons commencé une autre entrevue avec un ingénieur de l'autorité portuaire qui travaillait au World Trade Center et nous a parlé de la force et de l'intégrité des gratte-ciel. Puis, soudain, la deuxième tour a éclaté sous nos yeux. »

    24. Carol Marin, CBS Reporter apparaissant sur WCBS

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    10 h 59, rapport narratif

    Carol Marin: «Après la chute de la deuxième tour, j'essayais de me diriger vers une équipe CBS ou d'essayer d'aider les équipes CBS si je le pouvais. Et puis, je ne sais pas ce que c'était, John. Mais une autre explosion, un coup de feu roulant, une colonne de feu qui roule vers nous. Mon respect pour le feu et la police ne connaissaient déjà aucune limite compte tenu du danger, il dépasse maintenant ce que je pensais pouvoir, car un pompier m'a jeté dans le mur d'un immeuble, m'a couvert de son corps alors que les flammes s'approchaient de nous. Et un autre policier de New York, Brendan Duke, où qu'il soit, m'a fait sortir de la fumée qu'aucun de nous ne pouvait voir à plus d'un pied devant nous. Il y a encore du monde là-dedans. Excusez-moi, j'ai respiré une bonne quantité de suie. Le personnel, la police et les pompiers qui y travaillent le font contre toute attente vraiment dangereuse. Et ils ne savent toujours pas s'il reste quelque chose à exploser, John. "

    John Slattery: «Où étiez-vous à l'époque ?

    Marin: "Je n'étais pas New-Yorkais, vous devrez m'aider ici. J'ai fait le tour du lycée Stuyvesant et de cette rue à l'extrémité nord. Et je suis venu et j'ai demandé si quelqu'un avait vu une équipe CBS. Et j'ai été dirigé par un pompier qui a dit: «Descendez au milieu de la route, parce que vous ne savez pas ce qui va descendre.» À ce moment-là, nous avons entendu un grondement comme je ne l'ai jamais entendu auparavant, et un pompier a couru vers moi. Nous avons couru aussi vite que possible. J'ai perdu mes chaussures. Je suis tombé. Il est venu me chercher et m'a cogné contre un mur et m'a recouvert de lui jusqu'à ce que nous puissions le rendre plus sûr. »

    John Slattery: "Était-ce du premier coup de tonnerre ou du second ?"

    Carol Marin: «John, j'ai regardé ma montre. Il était environ 10h44, c'est ce que disait ma montre. C'était donc après la deuxième tour, je pense que la deuxième explosion de la tour. »

    Remarque: Le récit de Marin se concentre sur l'une des nombreuses explosions largement corroborées qui se sont produites entre 10 h 38 et 11 h 30 après la chute des deux tours. Cependant, le reportage de Marin la qualifie de journaliste d'explosion en ce qui concerne les tours jumelles parce qu'elle fait référence à «la deuxième explosion de la tour», et il est clair qu'elle interprète la destruction des tours comme un événement basé sur une explosion.

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  48. 25. John Slattery, WCBS

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    11 h 44, rapport narratif

    «Il y a eu beaucoup de larmes. Il y avait énormément d'angoisse. Et puis, avec les explosions qui ont suivi, et quand une partie du World Trade 1 a touché le sol, il y a eu une énorme explosion, un nuage de fumée et de débris qui a commencé à se déplacer vers le nord. »

    26. Marcella Palmer, WCBS

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    Heure inconnue, rapport d'un témoin oculaire

    Marcella Palmer: «Nous avons entendu une autre explosion. Et je suppose que c'est celui qui est venu du niveau inférieur, car il y en avait deux. "

    Ancre non identifiée: "D'accord, parce que c'était à 18 minutes d'intervalle?"

    Palmer: «Eh bien, c'est - non, la première explosion, puis il y a eu une deuxième explosion dans le même bâtiment. Il y a eu deux explosions. »

    27. Vince DeMentri, WCBS

    Heure inconnue, rapport narratif

    «Très difficile à respirer, mais regardez autour de vous. Ce devait être Ground Zero où cette chose a explosé. Voiture après voiture après voiture, bus, complètement brûlés et effacés jusqu'à l'acier. »

    28. Walter Perez, WNBC

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    9 h 59, rapport d'un témoin oculaire

    «Nous ne savons pas exactement ce qui s'est passé, mais ce fut une autre explosion de l'autre côté de l'un des bâtiments d'où nous nous trouvons. La réverbération - et une autre explosion sur le côté droit! Un autre bâtiment est monté sur le côté droit de la route. Les gens courent maintenant dans la rue. Nous ne savons pas s'il s'agissait d'une autre explosion ou s'il s'agissait de débris avancés. "

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    10:00 AM, Eyewitness Reporting

    «À ce stade, comme vous pouvez le constater, il y a un pandémonium absolu dans ce domaine à cause de ce qui vient de se produire. Exactement quoi, je ne peux pas confirmer. Mais de l'autre côté du bâtiment, il semblait y avoir une autre explosion et également du côté droit, il y avait aussi une autre explosion. Nous ne savons pas si c'était une réverbération supplémentaire par rapport à ce qui s'est passé au World Trade Center ou s'il s'agissait d'une explosion supplémentaire. À ce stade, il y a beaucoup de fumée, d'énormes panaches de fumée qui tombent du bâtiment de l'autre côté de la rue. Les gens qui couraient dans la rue ou qui marchaient s'enfuient maintenant. Nous ne disposons d'aucune information sur les réverbérations les plus récentes. Mais à deux rues de là, on pouvait sentir ce qui s'était passé. »

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  49. - voir photo ou clip sur site -

    10 h 27, rapport d'un témoin oculaire

    «Comme vous pouvez l'imaginer, c'était une scène assez frénétique ici. Il y a quelques instants, je dirais il y a environ 20 minutes, nous ne savons pas exactement ce que c'était, nous ne l'avons pas confirmé. Mais quelque chose a explosé ou est tombé du côté du bâtiment qui a été attaqué et a provoqué un énorme panache de fumée. »

    29. Kristen Shaughnessy, NY1

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    9 h 59, rapport d'un témoin oculaire

    «Oh, ça vient juste de tomber, Pat. Il vient de tomber. Ça explose. C'est gonflé. Pat, les débris volent. Je vais courir."

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    10 h 42, rapport narratif

    «Bonjour encore une fois, Pat. Je suis en fait juste en face de l'hôtel de ville, je n'ai pas à vous le dire. Avec cette deuxième explosion, la poussière ne semblait pas aussi mauvaise. »

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    10 h 43, rapport narratif

    "C'est incroyable parce que vous entendez ces explosions. En fait, je viens d'en entendre un autre - je ne sais pas si c'était comme un effet secondaire ou pas - juste pendant que vous parliez au téléphone des fermetures d'écoles. Ce n'était pas aussi gros, évidemment, que les autres. Mais ça a encore fait trembler tout le monde ici, et je suis évidemment de l'autre côté du World Trade Center, de l'autre côté de la ville. Et c'est tout simplement incroyable. "

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    10 h 45, rapport narratif

    Kristen Shaughnessy: "J'entends une autre explosion, juste pour que vous sachiez. J'entends un autre grondement. Ce n'est pas aussi mauvais que les autres. Mais je ne sais pas si vous avez des photos. "

    Sharon Dizenhuz: «Nous avons une photo et nous ne voyons rien au-delà des énormes bouffées de fumée qui ont été là. Mais pas de rafales supplémentaires de notre point de vue. "

    Shaughnessy: "D'accord, je ne voulais pas vous interrompre, Sharon. Ce que vous pouvez ressentir lorsque ces tremblements surviennent, c'est que cela remonte littéralement sous vos pieds. C’est comme ça. C’est la meilleure façon que je connaisse pour le décrire. "

    30. Andrew Siff, NY1

    10 h 12, rapport d'un témoin oculaire

    Sharon Dizenhuz: «Andrew, quand vous avez vu cela se produire, à quoi cela vous a-t-il ressemblé de près? Parce que pour nous, cela ressemblait presque à des dominos, vous savez, aller étage par étage. »

    Andrew Siff: «C'était un peu difficile de dire au début pour comprendre ce qui se passait. Nous avons entendu une explosion. Nous avons entendu soit une explosion, soit le bruit de quelque chose qui avait un impact. Nous étions au milieu. J'étais avec l'assistant de presse Jason Post et nous marchions dans West Street. Et quand nous avons entendu le son, nous nous sommes retournés et avons vu juste un flambement de la tour. Et il semblait juste qu'il s'était effondré en lui-même. On pouvait juste voir le sommet de la tour s'effondrer. Nous ne pouvons pas dire ce qui est arrivé à la moitié inférieure de la tour d'ici. "

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  50. 31. John Schiumo, NY1

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    10 h 18, rapports narratifs

    "Il y a une autre explosion alors que nous parlons!"

    Remarque: Bien que le phénomène décrit par Schiumo se produise entre la destruction des deux tours, qui est arrivée à la tour sud à 9 h 59 et à la tour nord à 10 h 28, nous le classons comme reporter d'explosion parce qu'il l'appelle « une autre explosion »- suggérant ainsi qu'il comprenait la destruction de la tour sud comme un événement basé sur une explosion - et parce que l'explosion qu'il décrit peut provenir de la tour nord et être liée à sa destruction éventuelle 11 minutes plus tard.

    32. Andrew Kirtzman, NY1

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    11:11 AM, Narrative Reporting

    «Le maire Giuliani est apparu il y a environ 45 minutes sur Chambers Street, près de Church Street. Nous avons commencé à remonter Church Street lorsque le deuxième bâtiment s'est effondré, et un énorme panache de fumée a volé dans les airs, est monté dans les airs, et le maire et son groupe ont commencé à courir sur la 6e Avenue. Un détective en civil a jeté son bras autour du maire Giuliani lorsque nous avons décollé, ne sachant pas quelles seraient les répercussions d'une deuxième explosion. »

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    11 h 12, rapport narratif

    «Et pendant environ 10 minutes, ils ont essayé de pénétrer par effraction dans la caserne des pompiers alors que le maire se tenait à côté et que le commissaire de police attendait pour installer un centre d'opérations. C’est - je voulais en quelque sorte brosser un tableau du type d’opération du siège du pantalon qu’ils ont été forcés de construire ici à cause de l’explosion du centre-ville. "

    33. Jack Kelley, USA Today

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    Heure inconnue, apparemment vers 17 h 30, rapports basés sur la source

    Jack Kelley: «Apparemment, ce qui semble s'être produit, c'est qu'en même temps deux avions ont percuté le bâtiment, que le FBI pense très probablement qu'il y avait une voiture ou un camion rempli d'explosifs sous le bâtiment qui a également explosé en même temps et les a fait tomber tous les deux.

    USA Today Anchor: «Maintenant, c'est la première fois que nous entendons cela. Donc, deux avions et explosifs qui étaient dans le bâtiment, est-ce exact ? »

    Kelley: «C'est la théorie de travail à ce stade. Cela n'est pas encore confirmé, mais c'est ce que le FBI se passe actuellement. »

    34. Premier journaliste non identifié à la conférence de presse de Giuliani et Pataki

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    14 h 43, Rapports narratifs

    «Savez-vous quoi que ce soit sur la cause des explosions qui ont fait tomber les deux bâtiments ? Cela a-t-il été causé par les avions ou par autre chose ? Ces deuxièmes explosions. "

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  51. 35. Marcia Kramer, WCBS, à la conférence de presse de Giuliani et Pataki

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    14 h 44, Rapports narratifs

    "Monsieur. Maire, pourriez-vous nous dire, vous attendez-vous à de nouvelles attaques contre New York? Y a-t-il quelque chose qui indique qu'il pourrait y avoir plus de bombes, plus d'avions là-bas ? Je sais qu'au départ, il y avait un rapport selon lequel huit avions avaient été détournés. Quatre seulement ont été comptabilisés. Et les quatre autres ? Et est-il possible qu'il y ait des bombes au sol plantées par quelqu'un ? »

    Remarque: Kramer était dans le studio lorsque la destruction des tours jumelles a eu lieu, mais est ensuite allé sur le terrain pour mener des reportages, notamment en assistant à la conférence de presse de l'après-midi avec le maire Giuliani et le gouverneur Pataki. Tout en regardant la destruction de la première tour du studio dans la matinée, Kramer a émis l'hypothèse qu'elle était causée par une explosion ou une bombe, ce qui explique la raison de ses questions lors de la conférence de presse.

    À 10 h 02, trois minutes après la destruction de la première tour, elle a déclaré: «En ce moment, la police doit déterminer si cette explosion a été causée par l'impact initial de l'avion ou si c'est quelque chose qui a explosé au sol. . D'une manière générale, pour qu'un bâtiment s'effondre sur lui-même comme cela, cela semblerait indiquer - évidemment, ce n'est qu'une spéculation précoce - mais cela semblerait indiquer qu'il pourrait y avoir eu une explosion, une bombe posée au sol, que ferait l'effondrement du bâtiment en lui-même. " Puis, à 10 h 14, elle a déclaré: «Eh bien, nous avons un certain nombre de mises à jour. Numéro un: CNN rapporte maintenant qu'il y a eu une troisième explosion au World Trade Center, probablement une explosion du sol qui a fait s'effondrer le World Trade Center 1. Encore une fois, il y a eu une troisième explosion. On ne sait pas exactement ce qui l'a causé, s'il s'agissait d'une bombe ou si le premier avion qui s'est écrasé dans la tour avait été piégé d'une manière ou d'une autre avec une bombe qui a été programmée pour exploser plus tard après le crash. Mais CNN rapporte qu'une troisième explosion a provoqué l'effondrement du World Trade Center 1, puis l'effondrement d'autres bâtiments environnants. »

    Ceci est un bref aperçu de la façon dont CNN et l'une des ancres du WCBS ont interprété la destruction des tours jumelles. Dans notre prochain article, nous approfondirons la façon dont les ancres de chacun des réseaux ont interprété la destruction des tours jumelles.

    36. Deuxième journaliste non identifié à la conférence de presse de Giuliani et Pataki

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    2:54 PM, Narrative Reporting

    "Donc, la seule garde nationale que nous verrons sera dans le Lower Manhattan dans la zone du site de la bombe, ils ne patrouilleront pas dans le reste de Manhattan?"

    Annexe B: Déclarations de quatre rapporteurs non-explosion

    1. Don Dahler, ABC

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    10:00 DU MATIN

    Peter Jennings: «[Don] Dahler de Good Morning America d’ABC est dans les environs. [Don], pouvez-vous nous dire ce qui vient de se passer ? »

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  52. Don Dahler: «Oui, Peter. C'est Don Dahler ici-bas. Je suis à quatre pâtés de maisons au nord du World Trade Center. Le deuxième bâtiment qui a été touché par l'avion vient de s'effondrer complètement. L'ensemble du bâtiment vient de s'effondrer comme si une équipe de démolition partait - quand vous voyez les anciennes démolitions de ces vieux bâtiments. Il s'est replié sur lui-même et il n'est plus là. »

    Jennings: "Merci beaucoup, [Don]."

    Dahler: "Il s'est complètement effondré."

    Jennings: "Tout le côté s'est effondré ?"

    Dahler: "L'ensemble du bâtiment s'est effondré !"

    Jennings: "L'ensemble du bâtiment s'est effondré ?"

    Dahler: «Le bâtiment s'est effondré.»

    Jennings: "C'est la tour sud dont vous parlez ?"

    Dahler: «Exactement. Le deuxième bâtiment que nous avons vu entrer dans l'avion a été - la moitié supérieure avait été entièrement impliquée dans la flamme. Il s'est juste effondré. Il y a de la panique dans les rues. Des milliers de personnes qui courent sur Church Street, c'est ce que je regarde, essayant de fuir. Mais l'ensemble - du moins pour autant que je puisse voir, la moitié supérieure du bâtiment - au moins la moitié, je ne peux pas voir en dessous - la moitié a juste commencé avec un gigantesque grondement, replié sur lui-même, et s'est effondré dans un énorme panache de fumée et de poussière. »

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    10 h 02

    Jennings: «La tour sud, à 10 heures, heure de l'Est ce matin, s'effondre sur elle-même. C'est un endroit où travaillent des milliers de personnes. Nous n'avons aucune idée de ce qui a causé cela. Si vous souhaitez amener - quiconque a déjà vu un bâtiment en train d'être démoli délibérément sait que si vous voulez le faire, vous devez vous rendre sous l'infrastructure d'un bâtiment et le faire tomber. "

    Dahler: "Peter ?"

    Jennings: "Oui, Dan."

    Dahler: «Ce qui semblait se produire de mon point de vue, la partie supérieure du bâtiment était totalement impliquée dans le feu, et il ne semblait y avoir aucun effort possible pour éteindre ce feu. Il semblait que la partie supérieure du bâtiment était tellement affaiblie par le feu que son poids s'est effondré sur le reste du bâtiment. C’est ce qui semblait arriver. Je n'ai rien vu se passer au pied du bâtiment. Tout semblait commencer par le haut puis s'effondrer simplement par le poids de celui-ci. Il n'y a pas eu d'explosion ni rien à sa base. Mais j'ai vu que la partie supérieure de celui-ci a commencé à s'effondrer. Les murs ont commencé à gonfler, des objets en verre sortaient. Et puis il s'est effondré sur lui-même. Et puis il a semblé se replier à partir de là, tout en haut. »

    Jennings: "Merci beaucoup, Don."

    2. Drew Millhon, ABC

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  53. 11 h 09

    «J'étais au coin de Varick et Canal, qui est à environ 10 à 12 pâtés de maisons au nord du World Trade Center, où environ 300 à 400 personnes étaient rassemblées pour regarder les flammes et la fumée des deux World Trade Centers traverser l'air. Et j'ai commencé à traverser la rue et j'ai entendu un cri collectif de ce groupe de personnes. Et j'ai levé les yeux et le premier World Trade Center qui s'est effondré tombait. Le cri a duré assez longtemps. Et puis beaucoup de ces gens sont tombés en larmes, pleurant et sanglotant. «Je ne sais pas où est ma mère. Je ne sais pas où sont mes amis. "Ce genre de chose a été entendu tout autour de cette foule."

    3. Bob Bazell, NBC

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    10 h 08

    «J'étais en fait debout et j'ai vu cet effondrement. Et tout le monde ici [à l'hôpital Saint-Vincent sur la 12e rue Ouest] a eu le souffle coupé. Même les travailleurs médicaux et les ambulanciers, lorsqu'ils ont vu cela, des gens habitués à la tragédie, se sont saisis et se sont étreints. Et certains ont commencé à pleurer. "

    4. John Zito, MSNBC

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    10:36 AM

    Chris Jansing: "Avez-vous pu sentir l'effondrement de cette deuxième tour ?"

    John Zito: «La deuxième tour, non. Mais la première tour qui est tombée, j'étais très proche, je dirais à environ cinq pâtés de maisons. Et Ron Insana de CNBC et moi essayions de brancher un camion ou de trouver un contact NBC là-bas. Et nous étions très proches lorsque cette tour est tombée. Et les débris sont tombés sous la pluie, et Ron et moi avons couru tous les deux à couvert. J'ai réussi à pénétrer dans une alcôve de bâtiments. Et tous les échafaudages autour de moi s'effondrent devant moi et cassent la fenêtre à côté de moi. Et je suis monté à l'intérieur et je suis resté là pendant environ 10 minutes. Je ne pouvais pas sortir de là. Il faisait très noir dehors. »

    Annexe C: cas limites

    Cette annexe contient trois cas limites qui, selon nous, ne pouvaient pas être clairement classés comme rapporteurs d'explosion ou de non-explosion.

    1. Minah Kathuria, NBC

    Kathuria est un cas limite car il n'est pas clair si elle soupçonne la destruction de la tour sud d'avoir été une démolition ou si elle compare simplement la destruction à une démolition dans son apparence. Dans le cas de Don Dahler, qui est inscrit à l'annexe B en tant que journaliste non-explosion, il est clair qu'il a finalement interprété la destruction comme un effondrement provoqué par un incendie, même s'il a comparé la destruction à une démolition dans son apparence.

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    10h11

    «Nous sommes au coin de Duane et de West Broadway en descendant vers les tours jumelles, et ça s'est effondré. Cela ressemblait à un - cela ressemblait un peu au bâtiment qui venait d'être démoli. De la fumée, des nuages - je veux dire, des nuages de fumée partout. »

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  54. 2. Brian Palmer, CNN

    Palmer est un cas limite, car Aaron Brown de CNN lui a demandé si cela ressemblait à une explosion ou simplement au bruit de l'effondrement lui-même, et il ne favorise pas une interprétation par rapport à l'autre, et il décrit le son comme un «boom». ce qui n'était pas assez fort à notre avis pour le classer comme reporter d'explosion. Nous considérons Palmer comme étant distinct d'Alan Dodds Frank, qui, bien qu'il ne se soit pas engagé sur une interprétation plutôt que sur l'autre, a facilement affirmé la possibilité que la destruction des tours soit un événement basé sur une explosion.

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    10h41

    Aaron Brown: "Brian, est-ce que ça ressemblait à une explosion avant le deuxième effondrement, ou est-ce que le bruit s'est effondré lui-même?"

    Brian Palmer: «Eh bien, de notre distance, je n'ai pas pu distinguer entre une explosion et l'effondrement. Nous étions à plusieurs centaines de mètres. Mais nous avons clairement vu le bâtiment s'effondrer. J’ai entendu votre rapport sur une quatrième explosion: je ne peux pas le confirmer. Mais nous avons entendu un «boom» puis le bâtiment s'est replié sur lui-même. »

    3. Maria Bartiromo, CNBC

    Bartiromo est un cas limite car elle utilise à plusieurs reprises le mot «explosion» et sa description de ce qu'elle a vu corrobore l'hypothèse d'explosion, mais bien qu'elle utilise le mot «explosion» pour décrire ce qu'elle a vu, elle l'attribue au bruit des bâtiments s'effondrer.

    10 h 14

    Maria Bartiromo: «Maintenant, je me tiens sur le sol de l'échange. Mais je reviens de l'extérieur et je suis couvert de suie. En gros, j'étais dehors quand cette troisième explosion s'est produite. . . . Toute la zone est devenue noire lorsque cette troisième explosion s'est produite. . . . Je ne sais pas si vous pouvez voir ma veste et mes chaussures, mais je suis complètement recouvert de fumée blanche de cette troisième explosion. "

    Ancre non identifiée: "Maria, savez-vous ce qu'était cette explosion ?"

    Bartiromo: "C'était environ 10 - je dirais il y a 15 minutes."

    Ancre non identifiée: "Mais savez-vous ce qui en est la cause ?"

    Bartiromo: "Non, je ne le fais pas."

    Mark Haines: «Pour le moment, Maria - et pour les personnes avec vous - pour le moment, il y a des témoins oculaires qui sentent qu'un autre avion, un troisième avion. . . "

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    Bartiromo: «Oui, certaines personnes disent cela. . . "

    Haines: «. . . a frappé la base de la tour sud. "

    Bartiromo: «J'avais l'impression que ce n'était que l'effondrement réel du bâtiment. Mais certaines personnes spéculent sur cela. Je ne voulais pas dire ça parce que. . . . "

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  55. Haines: «Nous avions - au moment où cela s'est produit - nous avions le signal de MSNBC, et nous pouvions entendre des gens crier« un troisième avion, un troisième avion. »Et puis il y a eu une explosion -« un autre avion, un autre avion », et il y a eu une explosion. »

    Bartiromo: "C'est vrai. Et j'étais dehors pendant cette explosion. »

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    10 h 49

    «La deuxième explosion dont j'ai été témoin a eu lieu vers 10 heures du matin, et ce fut, rétrospectivement, l'effondrement de cette tour. Et encore une fois, des débris sont venus sur nous. Toute la zone est devenue noire. Tout ce que nous pouvions voir, c'était de la fumée. Nous ne pouvions même pas respirer pratiquement. Nous fermions les yeux. En fait, je suis allé sous le bâtiment de la Bourse de New York. »

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    12 h 24

    «Je suis sorti il ??y a quelque temps. Il y a de la poussière, de la poussière blanche, aussi épaisse sur le sol. Débris et fumée se déposent juste après les explosions. Je vous ai dit plus tôt dans la couverture que j'ai moi-même été témoin de deux des explosions. Le premier que j'ai vu, c'est quand le deuxième avion est entré dans la deuxième tour. Et vraiment c'était sorti d'un film. Cet avion va droit dans le trou et fait un trou dans la deuxième tour. La deuxième chose dont j'ai moi-même été témoin, c'est l'effondrement de l'une des tours. Et cet énorme coup sur Wall Street. Tout le monde a couru pour sauver leur vie. »

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    13 h 01

    «J'étais dehors il y a quelque temps. On dirait presque qu'il y a de la neige au sol. Il y a des tas, et vraiment juste une épaisse feuille de poussière - blanche, poussière blanche - de l'explosion. . . . Puis environ 15 minutes plus tard, je suis retourné dehors, pensant que c'était à nouveau en sécurité. Et voilà que j'ai assisté à la troisième explosion, qui était bien sûr le bruit de l'effondrement de la tour. Et à ce moment-là, quand j'ai entendu la tour s'effondrer - encore une fois, c'était un bruit de bruit et d'explosion énorme, énorme. Vous regardez la scène en ce moment. Et c'est ce que nous regardions tous. Le bâtiment s'est effondré. Nous avons tous couru pour nos vies. Du métal, des papiers et des débris nous filaient au visage. »

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    13 h 37

    «Puis, 10 minutes ou 15 minutes plus tard, je suis reparti en pensant que, vous savez, nous avions vu le pire. Et, bien sûr, il y a eu une troisième explosion. Et cette troisième explosion était le bruit de l'effondrement de la deuxième tour. »

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    14 h 42

    "Bob et moi avons fait une promenade ensemble à l'extérieur et nous sommes revenus vraiment, vraiment couverts avec ça plus tôt, quand j'ai été témoin de cette troisième explosion, la troisième explosion étant l'effondrement de l'une des tours."

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  56. La source originale de cet article est ae911truth.org,

    Ted Walter est le directeur de la stratégie et du développement pour AE911Truth. Il est l'auteur de la publication de 2015 d'AE911Truth Beyond Misinformation: What Science Says About the Destruction of World Trade Center Buildings 1, 2, and 7 and its 2016 publication World Trade Center Physics: Why Constant Acceleration Disproves Progressive Collapse and co-author of AE911Truth's 2017 évaluation préliminaire de l'effondrement du bâtiment Plasco à Téhéran. Il est titulaire d'une maîtrise en politique publique de l'Université de Californie à Berkeley.

    Graeme MacQueen a obtenu son doctorat. en études bouddhistes de l'Université Harvard et a enseigné au Département des études religieuses de l'Université McMaster pendant 30 ans. Pendant son séjour à McMaster, il est devenu directeur fondateur du Center for Peace Studies de McMaster, après quoi il a aidé à développer le B.A. programme d'études sur la paix et supervisé l'élaboration de projets de consolidation de la paix au Sri Lanka, à Gaza, en Croatie et en Afghanistan. D'autres travaux dans le corpus de recherches historiques de MacQueen sur le 11 septembre comprennent: 118 témoins: le témoignage des pompiers sur les explosions dans les tours jumelles; Waiting for Seven: WTC 7 Collapse Warnings in the FDNY Oral Histories; La terre a-t-elle tremblé avant que la tour sud ne touche le sol ?; Témoignage oculaire de la destruction explosive des tours jumelles; et Prédiction de l'effondrement du bâtiment 7.

    https://www.lewrockwell.com/2020/07/no_author/757810-2/

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  57. Que se passe-t-il au dessus de nos têtes ?


    le 16 juillet 2020


    En ce début du mois de juillet 2020 tous les Européens qui ont regardé le ciel à la nuit tombante ont peut-être observé un phénomène spatial qui devient de plus en plus fréquent, la présence de nuages de très haute altitude encore éclairés par le Soleil pourtant disparu derrière la ligne d’horizon. De Budapest à Paris et à la côte dalmate ces nuages ont pu être observés avec une intensité stupéfiante. Il ne s’agit pas d’aurores boréales mais bien de nuages constitués de cristaux de glace se trouvant à une altitude d’environ 80 kilomètres.

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    Les images prises au début de la nuit du 5 au 6 juillet confirment qu’il se passe quelque chose d’inhabituel au dessus de nos têtes. Il y a d’abord la présence d’espèces ionisées générées par une plus profonde pénétration des rayons cosmiques dans l’atmosphère en raison de la faiblesse relative du champ magnétique solaire. À ce phénomène s’ajoute la tendance à une plus grande humidité de l’air situé en dessous de cette frontière atmosphérique que constitue la mésopause, humidité favorisée par une évaporation plus intense des eaux océaniques, cette humidité se répartissant par les puissantes boucles de convection de Hadley partant de la zone intertropicale vers les latitudes proches de 45 °N. À la conjonction de ces deux paramètres s’ajoute le fait que la mésopause où se forment les nuages noctilucents est actuellement anormalement froide – aux alentours de moins 90 °C – amplifiant de ce fait la formation de cristaux de glace qui forment un excellent miroir pour le rayonnement solaire au cours de la journée même si ces nuages sont invisibles.

    Les nuages noctilucents peuvent aussi présenter des ondulations attestant de vents violents à ces hautes altitudes :
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    https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/07/16/que-se-passe-t-il-au-dessus-de-nos-tetes/

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    1. Résumé SOTT des changements terrestres - Juin 2020 - Conditions météorologiques extrêmes, révolte de la planète et boules de feu


      Les Éditeurs
      Sott.net
      sam., 11 juil. 2020 12:18 UTC


      Des trombes d'eau, des inondations et des chutes de grêle ont provoqué des dévastations partout dans le monde et il a neigé dans l'hémisphère nord... en juin.

      Résumé SOTT juin 2020

      L'incroyable quantité de précipitations au cours des derniers mois s'explique par la proportion croissante de particules chargées dans les couches supérieures de l'atmosphère.

      Lorsque des météores et des météorites traversent notre basse atmosphère, ou lorsque notre planète passe à travers un courant de poussière de comète, des particules chargées s'accumulent entre l'ionosphère et la surface terrestre, ce qui provoque une intensification des tempêtes, la formation de nuages et une augmentation des précipitations pluvieuses. Les feux de forêt et les éruptions volcaniques, par exemple, contribuent également à cette accumulation de particules.

      La pluie peut de façon simultanée conduire la charge électrique accumulée depuis l'ionosphère vers le sol, ce qui augmente l'occurrence d'autres phénomènes électriques, comme les tornades, les ouragans et les formations de plasma.

      L'accumulation d'aérosols électriquement chargés et les températures de plus en plus froides dans les couches supérieures de l'atmosphère — causées par l'actuel minimum solaire — peuvent également être responsables de la quantité croissante dans le monde de grêle et de neige hors saison.

      Les particules électriquement chargées influencent les conditions météorologiques d'une manière plus marquée que ce qui est généralement admis.

      Les fortes précipitations et les inondations dévastatrices ont fait des centaines de morts et des millions de sinistrés dans le sud de la Chine, et ont détruit près de mille cinq cents maisons et trois ponts dans la province de Gorontalo, en Indonésie. L'État d'Assam en Inde a subi de fortes inondations qui ont coûté la vie à seize personnes et fait plus de 253 000 sinistrés.

      Pendant que la Roumanie enregistrait son deuxième jour le plus froid en juin, un cumul de neige de trente centimètres a été observé dans le Montana et un autre de quinze centimètres dans le sud-est du Wyoming... juste au début de l'été.

      La Sibérie a quant à elle connu des conditions climatiques extrêmes, comprenant des tornades et des inondations ainsi que des variations de température brutales.

      Un tremblement de terre d'une magnitude de 7,5 a secoué de vastes étendues du sud et du centre du Mexique, causant la mort d'au moins cinq personnes. Aucun dommage majeur n'a par ailleurs été signalé.

      Les criquets continuent de ravager l'Afrique, l'Inde, le Brésil, l'Argentine et le Moyen-Orient, sans aucun signe apparent que ces invasions puissent s'arrêter dans un avenir proche.

      Tout cela et bien d'autres choses encore dans le résumé SOTT des changements terrestres de ce mois-ci.

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    2. Commentaire : Jetez un coup d'œil aux autres résumés publiés : lien pour les autres résumés disponibles également à la rubrique Changements Terrestres

      Pour mieux comprendre les événements en cours, consultez l'ouvrage Les changements terrestres et la connexion anthropocosmique, que nous avons publié en français.

      Regardez les épisodes précédents de cette série — maintenant traduite dans plusieurs langues — et d'autres vidéos de SOTT ici ou ici.

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      https://fr.sott.net/article/35906-Resume-SOTT-des-changements-terrestres-Juin-2020-Conditions-meteorologiques-extremes-revolte-de-la-planete-et-boules-de-feu

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  58. Mauvaise nouvelle pour Moderna: de nouvelles preuves montrent que les anticorps COVID-19 disparaissent peu de temps après l'infection


    par Tyler Durden
    Jeu, 16/07/2020 - 10:45


    À la suite des résultats des essais publiés hier montrant que le candidat-vaccin de Moderna pourrait ne pas être sûr pour la consommation humaine - apparemment, le candidat a provoqué des réactions «indésirables» chez environ 50% des patients qui ont participé à une étude récente - les dizaines d'entreprises, d'universités et de gouvernements travaillant sur COVID -19 candidats au vaccin viennent de recevoir une autre nouvelle décourageante: un nombre croissant de preuves tirées de la recherche sur le virus suggère que les anticorps peuvent ne pas offrir de protection pendant plus de 2-3 mois, pour de nombreuses personnes.

    Maintenant, une étude produite par des chercheurs du King’s College de Londres montre que les anticorps des patients récupérés ont diminué de manière significative dans les mois suivant l’infection, ce qui soulève la question cruciale de savoir si un vaccin pourrait jamais offrir une protection durable. Le candidat-vaccin de Moderna a montré sa capacité à produire des anticorps chez les sujets testés, mais on ne sait toujours pas exactement combien de protection cela pourrait fournir.

    L'Université de Nottingham, professeur émérite en immunologie Herb Sewell, qui a consulté sur l'étude, a déclaré qu'il semblait montrer que les anticorps dirigés contre le virus disparaissaient plus rapidement que les anticorps dirigés contre le MERS et d'autres coronavirus. Des virus comme le SRAS ont provoqué une réponse immunitaire qui a duré au moins quelques années.

    Cela suggère que l'éventuel vaccin COVID-19 pourrait devoir être administré chaque année pour offrir un niveau de protection fiable.

    "Si la réponse au vaccin diminue comme la réponse naturelle, cela signifie que nous devrons en répéter", a-t-il déclaré.

    Mais ce n'est pas gravé dans le marbre - du moins, pas encore. Comme le souligne le FT, on s'attend généralement à un certain déclin de l'efficacité. Cela ne signifie pas que le corps ne pourra pas reproduire ces mêmes anticorps plus rapidement la prochaine fois qu'il sera infecté.

    Les chercheurs ont apparemment également trouvé des preuves montrant un lien entre l'intensité des symptômes et la durabilité des anticorps. Plus les symptômes sont légers, plus le niveau d'immunité apparente est faible.

    Il est normal de voir une certaine diminution des charges d'anticorps après un vaccin, qui sera toujours efficace si le corps peut par la suite produire des anticorps plus rapidement lorsqu'il est à nouveau exposé au virus. Surtout, le corps ne répond pas toujours de la même manière à un vaccin qu'à une infection. Tal Zaks, médecin en chef de Moderna, a déclaré qu'il pensait qu'il était «tout à fait plausible» que les anticorps s'estompent, mais que cela pourrait être dû au fait que ces patients étaient asymptomatiques ou ont commencé avec des niveaux d'anticorps inférieurs.

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  59. "Ils semblent les perdre plus rapidement, ce qui témoigne probablement de la qualité et du type de réponse immunitaire", a-t-il déclaré. "Il est rassurant de voir que nous obtenons des anticorps neutralisants qui sont constamment au-dessus de ce que vous voyez chez les personnes qui ont effectivement été malades, alors nous nous attendons à ce qu'ils soient protégés."

    Plusieurs études de haut niveau ont soulevé des doutes quant à savoir si ces anticorps sont permanents ou efficaces ou non. Mais seuls des essais cliniques à grande échelle finiront par conduire l'humanité à la vérité, même si les autorités locales s'appuient sur des tests de détection d'anticorps d'une qualité douteuse pour essayer d'estimer le nombre de personnes dans une zone qui ont contracté le virus.

    Seuls des essais cliniques à grande échelle mèneront éventuellement l'humanité à la vérité.

    "La confirmation de la corrélation entre les titres d'anticorps [concentration] et la protection contre Covid-19 ne sera possible que dans une grande étude d'efficacité clinique", a-t-elle écrit dans un article d'opinion qui accompagnait la publication des données examinées par les pairs sur le vaccin candidat de Moderna.

    Et alors que les scientifiques tentent de laisser toutes leurs options ouvertes, certains des vaccins en développement examinent la réponse des cellules T du corps à l'infection, ce que les chercheurs soupçonnent pourrait aider à détenir la clé du développement d'un vaccin réussi.

    M. Raffat a déclaré qu'il avait entendu dire qu'AstraZeneca montrerait une réponse robuste des cellules T et des anticorps au vaccin qu'il développe avec l'Université d'Oxford. AstraZeneca n'a pas répondu à une demande de commentaire. Lors de l'appel aux investisseurs mercredi, M. Raffat a déclaré: "Si je veux prendre un vaccin en janvier, je voudrai probablement prendre Astra pour une réponse des lymphocytes T et Moderna ou Pfizer BioNTech pour une réponse en anticorps neutralisants."

    Si les stocks continuent de baisser, nous imaginons que nous verrons des nouvelles de vaccins plus positives dans un avenir très proche.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/bad-news-moderna-more-evidence-shows-covid-19-antibodies-disappear-after-infection

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    1. Et comme il y a plus de 3000 virus 'corona' différents... ils faudrait administrer plus de 3000 vaccins !!!

      https://huemaurice5.blogspot.com/2020/07/cdl45-lhypothese-effrayante-du-virus.html

      D'où l'absence VOULUE de masques antivirus FFP2 !

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  60. Georgia Gov Kemp poursuit le maire d'Atlanta pour une ordonnance de masque obligatoire "illégale": mises à jour en direct


    par Tyler Durden
    Jeu, 16/07/2020 - 20:19

    Résumé:

    Brian Kemp poursuit Keisha Bottoms
    Le Texas subit un nombre record de décès dus au COVID-19
    Le Brésil passe 2MN de cas
    Porto Rico ferme ses bars et ses plages
    Rumeur sur les surfaces de fermeture imminentes du Texas
    Le Colorado devrait délivrer un mandat de masque à l'échelle de l'État
    La Russie nie le piratage de vaccins
    De nouvelles restrictions imposées en Pennsylvanie
    Les morts en Californie grimpent
    Le nombre de patients sous respirateurs atteint un nouveau record
    New York annonce ses derniers chiffres
    Arizona voit une nouvelle baisse de nouveaux cas
    La Floride fait état de 156 décès, nouveau record quotidien
    Les cas mondiaux dépassent 13,5 millions
    HK rapporte 63 nouveaux cas pour le 3ème record en une semaine
    Les États-Unis signalent plus de 65 000 cas; 2e décompte quotidien le plus élevé
    L'Indonésie ordonne que des contrevenants à la distanciation sociale soient punis
    Tokyo fait un bond record
    Victoria rapporte plus de 300 nouveaux cas jeudi
    Les décès en réanimation diminuent dans le monde
    Le Texas annonce un record quotidien hier

    * * *

    Mise à jour (2000ET): Alors que les affaires quotidiennes de la Géorgie grimpent et que la pression monte sur les gouverneurs pour autoriser plus de restrictions et appliquer des règles de distanciation sociale, il fait plutôt le contraire et a décidé de poursuivre Atlanta contre l'ordre de masque obligatoire du maire Keisha Bottom.

    Dans un tweet, Kemp a affirmé qu'il agissait au nom des propriétaires de petites entreprises et des employés qui travaillent dur.

    Cette action en justice est intentée au nom des propriétaires d'entreprises d'Atlanta et de leurs employés assidus qui luttent pour survivre en ces temps difficiles. (1/4) https://t.co/vxiOmteHaH

    - Gouverneur Brian P. Kemp (@GovKemp) 16 juillet 2020
    Il y a une semaine, lorsque Bottoms est devenu l'un des premiers à imposer de manière indépendante l'ordre de masque obligatoire, Gov Kemp est intervenu pour insister sur le fait qu'il était inapplicable et que les individus se réservaient le droit de ne pas les porter, s'ils le souhaitaient.

    L'action du maire d'Atlanta @KeishaBottoms aujourd'hui est simplement une orientation - à la fois non contraignante et juridiquement inapplicable. Comme indiqué clairement dans mes décrets, aucune action locale ne peut être plus ou moins restrictive, et cette règle s'applique à l'échelle de l'État. (1/3) https://t.co/3pQdB0pI70

    - Gouverneur Brian P. Kemp (@GovKemp) 10 juillet 2020
    Il y a quelques jours, Kemp a émis un ordre "encourageant fortement" les Géorgiens à porter des masques et du public et à suivre les directives en matière de distanciation sociale.


    Pour aplatir la courbe, j'exhorte tous les élus locaux à faire respecter les termes de cet arrêté. Ensemble, nous continuerons de combattre # COVID19, résisterons à cette tempête et sortirons plus forts que jamais.https: //t.co/CKFdrW4C3M

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  61. - Gouverneur Brian P. Kemp (@GovKemp) 16 juillet 2020
    Alors que des poursuites ont été déposées dans divers États rouges, dont le Texas, par diverses parties, les masques sont devenus un point d'éclair politique majeur tandis que le Dr Fauci exhorte les Américains à abandonner la partisanerie polarisante et à simplement suivre les directives.

    Il a également déclaré que certains États devraient réimposer un ordre de verrouillage, contre la volonté explicite du président, qui craint que le verrouillage ne lui coûte les élections.

    "Nous devons nous regrouper, appeler un temps mort", a déclaré le Dr Fauci en direct dans une interview avec le PDG de Facebook, Mark Zuckerberg.

    En Asie, le ministère japonais de l'Agriculture a décidé de suspendre les appels d'offres pour les sous-traitants de sa campagne "Go To Eat" visant à renforcer les restaurants en difficulté alors que le nombre de nouveaux cas augmente à Tokyo.

    * * *

    Mise à jour (1755ET): Un jour après que le Lone Star State ait publié un record de nouveaux cas et de décès, il a suivi jeudi un autre décompte record de décès liés à des virus. Le nombre de morts au Texas a grimpé de 129 à 3 561, éclipsant le saut de 110 par rapport à mercredi.

    - voir graphique sur site -

    Bien que les 10 291 cas de jeudi n'atteignent pas le record d'hier d'environ 500 cas, cela a marqué la troisième journée consécutive de 10 000 nouveaux cas au Texas.

    Alors que les Hispaniques représentent 40% des patients infectés au Texas, les jeunes dans la vingtaine et la trentaine constituent les groupes d'âge les plus importants de patients.

    - voir graphique sur site -

    Bien que la ventilation des données sur les décès raconte une histoire très différente.

    - voir graphique sur site -

    Comme les décès semblent s'éloigner de leurs plus bas pour la première fois depuis le début de la dernière vague le mois dernier, le taux de positivité s'est établi jeudi à 17,8% (dans l'ensemble, le chiffre est de 10,8%).

    Les hospitalisations restent près de records.

    - voir graphique sur site -

    Pendant ce temps, des rumeurs tournent autour du fait que Gov Abbott pourrait ramener le Texas à la phase 1 de sa réouverture, voire un verrouillage partiel - ou complet -.

    À Porto Rico, le gouverneur de l'île vient d'annoncer son intention de fermer les bars et autres zones où le virus pourrait se propager.

    PUERTO RICO BARS DE FERMETURE, THÉÂTRES DE CINÉMA, CASINOS, GYMS
    GOUVERNEUR DE PUERTO RICO: DES PLAGES FERMÉES POUR DES GROUPES, DES BAINS DE SOLEIL
    Alors que le CDC tombe rapidement en disgrâce dans l'aile ouest, l'agence a annoncé jeudi qu'elle prolongerait sa commande de bateaux de croisière «sans voile» jusqu'en septembre.

    CDC: NAVIRE DE CROISIÈRE AUCUN ORDRE DE VOILE PROLONGÉ JUSQU'À SEPT 2020
    Et au Brésil, le nombre de nouveaux cas a poussé le total à 2 millions.

    LE BRÉSIL SURPASSE 2 MILLIONS DE CAS COVID-19

    * * *

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  62. Mise à jour (1540ET): Comme nous l'avons mentionné précédemment, la Floride a pris la tête des cas quotidiens de COVID-19 par habitant en Arizona.

    La FLORIDE a pris les devants pour les nouveaux cas quotidiens de COVID * par habitant *

    Suivi par:
    ARIZONA
    LOUISIANE
    CAROLINE DU SUD
    ALABAMA pic.twitter.com/Ke9SwDwnRN

    - Steven Dennis (@StevenTDennis) 16 juillet 2020

    * * *

    Mise à jour (1520ET): le gouverneur de l'Arkansas Asa Hutchinson vient de déclarer que le port du masque sera obligatoire dans tout l'État.

    L'annonce a été faite lors du briefing de jeudi.

    EN DIRECT: le gouverneur Hutchinson fournit la mise à jour COVID-19 (7.16.20): https://t.co/mmUfaR1Bgi

    - Gouverneur Asa Hutchinson (@AsaHutchinson) 16 juillet 2020

    * * *

    Mise à jour (1445ET): Nous entendons des rumeurs selon lesquelles le gouverneur du Texas, Greg Abbott, est sur le point de fermer le Texas après une vague de nouveaux cas hier et au cours de la semaine dernière.


    Annonce de la fermeture de la rumeur TX demain

    - zerohedge (@zerohedge) 16 juillet 2020

    L'ARRÊT DU TEXAS SERA ANNONCÉ DEMAIN: SOURCES

    - FXHedge (@Fxhedgers) 16 juillet 2020
    Texas Gov Abbott a rejeté ces rumeurs, mais elles persistent. Il y a quelques jours, le Texas Tribune a rapporté que les hôpitaux de l'État manquaient de tout, de médicaments, d'EPI, de lits, de ventilateurs et même de personnel.

    * * *

    Mise à jour (1430ET): Le Denver Post rapporte que le gouverneur du Colorado Jared Polis devrait délivrer un mandat de masque à l'échelle de l'État jeudi après-midi après avoir subi la pression de plusieurs de ses collègues démocrates. Le Post a cité plusieurs sources non identifiées connaissant les décisions du gouverneur. Environ 40 villes et comtés avaient déjà imposé l'interdiction des masques.

    De plus, PA Gov Tom Wolf a déclaré une "escalade alarmante" dans les cas de virus et a imposé une nouvelle règle jeudi, y compris la fermeture des discothèques et des bars tout en limitant la capacité d'accueil des restaurants à 25%.

    Pendant ce temps, un responsable russe a nié les accusations du Royaume-Uni (ainsi que des États-Unis et du Canada) selon lesquelles les agences de renseignement d'État du pays piratent des centres de recherche internationaux qui travaillent à développer le vaccin.

    * * *

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  63. Mise à jour (1415ET): les cas de COVID-19 en Californie augmentent de 8 544 (+ 3,3%), contre 11 126 précédemment, ont enregistré 118 décès mercredi, bien au-dessus de la moyenne mobile de 84 jours sur 84. Le taux de positivité moyen au cours des 2 dernières semaines a été 7,2%, ce qui est peu changé depuis hier. L'augmentation de jeudi a poussé le total de l'État à 347 634, à une distance frappante de 350 km. Le nombre de morts dans l'État est de 7 227. Plus de 5,75 millions de tests ont été effectués.

    - voir graphique sur site -

    Voici le récapitulatif des cas par comté:

    - voir graphique sur site -

    Le nombre de patients hospitalisés a diminué de 9, après avoir ajouté 41 auparavant. Le nombre de patients confinés aux soins intensifs a diminué de 10 (contre une augmentation de 21 par rapport à la veille).

    * * *

    Mise à jour (1334ET): Suite aux chiffres décourageants de Floride plus tôt, Miami vient de confirmer que le nombre de patients sous respirateurs a atteint un nouveau record.

    MIAMI-DADE A RECORD 257 PATIENTS COVID-19 SUR LES VENTILATEURS
    PATIENTS DE L'USI COVID-19 DE MIAMI-DADE AU RECORD 472; PREV. 431

    * * *

    Mise à jour (1145ET): le gouverneur de New York Andrew Cuomo a publié la mise à jour COVID-19 d'aujourd'hui ....


    Mise à jour d'aujourd'hui sur les chiffres:

    72 685 tests ont été effectués hier. 769 tests sont revenus positifs (1,06% du total).

    Le nombre total d'hospitalisations est tombé à 813.

    Malheureusement, il y a eu 14 morts COVID hier. pic.twitter.com/rg5UUJYl0L

    - Andrew Cuomo (@NYGovCuomo) 16 juillet 2020
    .... avec un tweet montrant la générosité de son état envers les habitants de Houston.


    NY n'a pas attendu que Houston appelle - nous avons offert de l'aide à @houmayor et à la ville de Houston.

    Nous avons des équipes sur le terrain pour mettre en place des sites de test désormais opérationnels.

    Nous sommes reconnaissants pour ce que les gens à travers les États-Unis ont fait pour NY. Nous ne l’oublierons jamais et nous le payons à l’avance. pic.twitter.com/nuGiY7yPip

    - Andrew Cuomo (@NYGovCuomo) 16 juillet 2020
    Houston est sur le point de franchir le seuil de 70k.

    - voir graphique sur site -

    Cuomo a ajouté que NYC se dirigeait toujours vers la `` phase 4 '' qui débutera lundi, bien que la décision finale ne soit prise que vendredi. Il a également mis en garde contre les risques que courent les voyageurs en provenance de points chauds extérieurs à l'État pour rallumer l'épidémie dans son État.

    À titre de comparaison, voici les chiffres d'hier.

    Mise à jour d'aujourd'hui sur les chiffres:

    63 598 tests ont été effectués hier. 831 tests sont revenus positifs (1,30% du total).

    Le nombre total d'hospitalisations est de 831.

    Malheureusement, il y a eu 9 morts COVID hier. pic.twitter.com/mvgTEFa7bj

    - Andrew Cuomo (@NYGovCuomo) 15 juillet 2020

    * * *

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  64. Mise à jour (1130ET): l'Arizona a signalé 3 259 (+ 2,5%) nouveaux cas jeudi, contre une moyenne de 2,8% sur 7 jours.

    - voir graphique sur site -

    Les hospitalisations ont diminué de 39 (-1,12%) par rapport à la veille à 3 454; les autorités ont signalé 58 nouveaux décès (+ 2,4%), ce qui porte le nombre de morts à 2 492 dans tout l'État. Le nombre total de cas est passé à 134 613.

    Dans le comté de Maricopa, qui abrite Phoenix et la partie la plus touchée de l'État, il y a maintenant plus de 86 000 nouveaux cas de coronavirus et plus de 1 200 décès.

    Le pourcentage de lits de soins intensifs occupés a légèrement diminué pour s'établir à 89%.

    Le taux de positivité total de l'État est tombé à 12,1%.

    * * *

    Mise à jour (1040ET): La Floride était l'une des rares doublures en argent hier. Alors que la Californie et le Texas affichaient de nouveaux records, le Sunshine State a signalé environ 10 000 nouveaux cas, son plus bas total en jours. Mais cela s'est inversé jeudi, alors que l'État a signalé près de 14 000 nouveaux cas, un total quotidien presque record.

    Mais cela a changé jeudi, alors que la Floride a signalé 13 837 (+ 4,6%) nouveaux cas au cours des dernières 24 heures, selon le département de la Santé de l'État (contre une moyenne de 4,4% sur 7 jours) et un autre nombre record de nouveaux décès quotidiens. .

    - voir graphique sur site -

    Le nombre total de cas en Floride a dépassé 300 000 en début de semaine; actuellement, il s'élève à 315 775 après l'augmentation de jeudi (tous les cas sont signalés avec un retard de 24 heures).

    Mais un titre plus décourageant jeudi était le nombre de morts, qui a atteint un record de 156 jeudi, battant le dernier record de plus de 30 cas. Cela a porté le nombre de morts à l'échelle de l'État à 4 677, et intervient alors que les médias mettent en garde contre le risque de décès dans les jours et les semaines à venir en raison du «retard de mort». Le pourcentage de tests positifs est de 15,4%.

    - voir graphique sur site -

    Alors que l'épidémie de l'Arizona continue de ralentir (tout comme Goldman l'avait prévu), probablement en raison au moins en partie de l'action agressive de Gov Ducey, la Floride a consolidé sa position de leader des coronavirus pour l'ensemble des États-Unis.

    - voir graphique sur site -

    Les experts blâment le pic des touristes dans les points chauds comme Miami, ignorant les réglementations sur la distanciation sociale et propageant le virus depuis d'autres parties des États-Unis.

    Quelle que soit la cause ou les causes, cela augmentera sans aucun doute la pression sur le gouverneur Ron DeSantis pour rendre le port du masque obligatoire en public.

    * * *

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  65. Quelques jours après avoir adopté ses mesures plus restrictives pour lutter contre le COVID-19, Hong Kong a signalé un bond record d'une journée dans les cas nouvellement confirmés, son troisième décompte record en une semaine.

    Un nombre record de 63 cas locaux ont été signalés jeudi. Parmi eux, 35 étaient d'origine inconnue, selon le service de santé de la ville. La nouvelle épidémie de la ville-état a infecté plus de 300 personnes en moins de deux semaines, avec plus d'un tiers des infections sans lien apparent avec les épidémies préexistantes.

    - voir graphique sur site -

    Pendant ce temps, aux États-Unis, alors que le nombre de morts à l'échelle nationale dépassait les 140 000, le nombre de nouveaux cas signalés hier (rappelez-vous que ces chiffres viennent avec un retard de 24 heures) était le deuxième plus élevé à ce jour, avec plus de 65 000.

    - voir graphique sur site -

    Hier, le Texas et la Californie ont tous deux enregistré de nouveaux records d'une journée, ce qui a certainement contribué à faire grimper le total.

    Alors qu'une autre vague d'infections traverse l'Asie du Sud-Est, l'Indonésie prévoit d'amender les contrevenants aux règles de distanciation sociale en vertu d'une nouvelle loi alors que le président Joko Widodo s'efforce de contenir une épidémie que son gouvernement a délibérément tenté d'ignorer et de rejeter comme inexistante, malgré la menace posée. à son peuple.

    Ailleurs dans la région Asie-Pacifique, Tokyo a également signalé un autre record quotidien de 286 nouveaux cas de coronavirus alors que les Japonais s'inquiètent de l'épidémie dans la capitale, qui est désormais sous alerte COVID-19 de niveau 4, la plus élevée possible. Le gouvernement essaie maintenant de décourager les voyages et les déplacements domicile-travail, abandonnant une campagne pour promouvoir le tourisme intérieur. Bien que le dernier cluster de la ville ait été retracé dans des boîtes de nuit, les responsables estiment qu'il a maintenant parcouru beaucoup plus loin.

    Pendant ce temps, le deuxième État australien, Victoria, a également enregistré 317 nouveaux cas, son plus gros pic à ce jour, alors que l'État peine à réprimer une soudaine réapparition d'infections qui menacent de se propager dans toute l'Australie. Le saut intervient une semaine après Melbourne et une partie de la zone environnante est entrée dans un nouveau verrouillage partiel.

    La moyenne sur 7 jours des décès par COVID-19 aux États-Unis a grimpé à des niveaux jamais vus en 2 semaines alors que le schéma semble se stabiliser. Les États-Unis ont fait état d'environ 1 000 morts jeudi.

    - voir graphique sur site -

    À l'échelle mondiale, les États-Unis ont signalé 230 000 nouveaux cas et plus, et un peu moins de 5 000 décès, entraînant le total mondial de cas au nord de 13,5 millions (total exact: 13 727 388 par Worldometer).

    - voir graphique sur site -

    Mais alors que les chiffres sur le graphique semblent montrer une légère hausse, le déluge d'avertissements pour HSH selon lequel le délai de mort est très, très réel semble avoir presque bouleversé le refus de leurs auteurs de reconnaître plusieurs facteurs - y compris l'âge médian inférieur des personnes infectées et des stratégies de traitement plus efficaces - qui pourraient empêcher les décès de revenir à leurs sommets après le pic de New York. Ou 3000 morts par jour, comme le NYT l'avait prédit.

    Cependant, les dernières données de Bloomberg montrent que la mortalité globale continue de baisser. Globalement, les décès en USI sont tombés à un peu moins de 42% fin mai, contre près de 60% en mars, selon la première analyse systématique de deux douzaines d'études impliquant plus de 10 000 patients sur trois continents. Ces nouvelles sont heureuses compte tenu de la "demande sans précédent" que le virus a imposée à ces services.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/hong-kong-suffers-3rd-record-jump-new-covid-19-cases-global-total-tops-135-million

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    Réponses
    1. PRIMO: Il n'y a PAS de vaccins et il n'y en aura forcément JAMAIS ! car, il y a plus de 3000 coronavirus identifiés ce qui porterait à faire à chaque personne plus de 3000 vaccins !

      SECUNDO: Il n'y a PAS de masque antivirus N95 (équivalent du FFP2 en Europe) de disponible pour tous ! IBM en fabrique 25 millions mais sont pour les services hospitaliers quotidiens.

      TERTIO: La Chine à la capacité politique et intellectuelle de la très haute technologie permettant de fabriquer des masques antivirus au maillage inférieur au micron (µ = 1 millième de millimètre, 1 millionième de centimètre, 1 milliardième de mètre). Or, après les atteintes envers la Chine (accusée entr'autres d'avoir créé !! le virus en Décembre/alors qu'il était présent en Italie en Novembre 2019 et en Espagne début 2019 !) et toutes les attaques monstrueuses et criminelles des merdias gouvernementaux en Europe et en Amériques, la Chine a décidé en premier lieu de servir SON pays et a distribué les masques antivirus à 1 milliard 400 millions de chinoises et chinois, puis les pays honnêtes et amis. Ce qui a résulté que la France (entr'autres) qui aurait dû (comme prévu) recevoir les masques antivirus fin juin... ne les a pas reçu faute à des insultes qui n'en finissent pas envers la Chine au travers de leurs merdias (télés, radios & journaux).

      La France, s'est donc contenté (sous la risée du monde !) de faire défiler des militaires (14 Juillet) avec des masques bleus anti-poussières !! HAHAHAHA ! et (parce que ce n'est pas fini !!), a décidé que TOUTES les françaises et TOUS les français (sauf les 'réfugiés climatique' ?) devront porter ce masque de carnaval dès le 1er Août !!! HAHAHAHAHA ! faute d'avoir des masques antivirus !!!

      Autant dire que les couches pour bébés, les filtres Mélitta, pq, sopalin et filets à patates vont avoir du succès !

      Navrant, dangereux et criminel que de demander à des dizaines de millions de personnes de porter des masques inutiles face au virus, qui empêchent 30 % de l'oxygène d'entrer et refoule intérieurement le gaz carbonique expiré !

      QUEL QUE SOIT LE MASQUE, IL NE DOIT PAS ÊTRE PORTÉ PLUS DE 20 MINUTES !

      Mais, rassurez-vous, 99 % des décès ne sont PAS dû au virus de la grippette corona et, les décès sont TOUS enregistrés sous l'étiquette 'corona' (puis brûlés ! pour éviter les analyses ultérieures) pour toucher beaucoup d'argent !

      PS: Au 17 Juillet dans le monde IL N'Y A PAS de test 'antivirus' valables et peuvent donc dire n'importe quoi !! (pour gagner de l'argent, vous mettre sous respirateur et vous tuer !).

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  66. Le masque facial Placebo


    Par Bill Sardi
    17 juillet 2020


    ÉVOLUTION MASSIVE DE LA STUPIDITÉ PUBLIQUE EN TANT QUE LES MASSES PORTENT DE MANIÈRE FORTE DES MASQUES FACIAUX INEFFICACES DANS LE BESOIN DE SOULAGER LEUR ANXIÉTÉ INDUITE PAR COVID-19.

    Les autorités sanitaires admettent que les masques faciaux n’arrêtent pas l’infectiosité mais les masses redoutables ont besoin de quelque chose pour gérer l’anxiété du public. Même le New England Journal of Medicine admet la futilité de porter des masques pour se protéger contre le coronavirus COVID-19.

    Ce dont on a désespérément besoin, ce sont des masques faciaux à base de valium avec des inserts à base de médicament pour faciliter la distribution continue d'aérosols de médicaments anti-anxiété directement dans les poumons. L'anxiété du public face à une menace artificielle d'un coronavirus muté fait que les masses agissent comme des moutons effrayés.

    Tu veux dire que les masques ne vont pas me protéger contre le redoutable coronavirus COVID-19? Réponse: Ils ne le sont pas.

    Vous voulez dire que les masques faciaux ne m'empêchent pas vraiment de transmettre l'infection aux autres ? Réponse: non

    Voici des citations directes du rapport du New England Journal of Medicine du 1er avril 2020 sur le masque facial universel pour se protéger contre la transmission du coronavirus COVID-19:

    «Nous savons que le port d'un masque à l'extérieur des établissements de santé offre peu ou pas de protection contre les infections…

    «La chance d'attraper Covid-19 d'une interaction passagère dans un espace public est… minime….

    «… Pendant la prise en charge d'un patient avec Covid-19 non reconnu…. Un masque seul dans ce cadre ne réduira cependant que légèrement le risque, car il ne protège pas des gouttelettes qui peuvent pénétrer dans les yeux ou des fomites sur le patient ou dans l'environnement que les prestataires peuvent ramasser sur leurs mains et porter sur leurs muqueuses. membranes (en particulier compte tenu du fait que les porteurs de masques peuvent avoir une tendance accrue à toucher leur visage)… ..

    «… Le masquage universel n'est pas à lui seul une panacée….

    «L'ampleur des avantages marginaux du masquage universel au-delà de ces mesures fondamentales est discutable….

    «La plus grande contribution des protocoles de masquage élargis pourrait être de réduire la transmission de l'anxiété.»

    En fait, en portant des masques, vous retardez peut-être les autres de développer des anticorps de mémoire pour une protection durable contre les infections virales afin que notre société puisse revenir à la normale.

    Les pénuries de nourriture prévues d'employés craintifs ne se présentant pas au travail et la fermeture de restaurants réduisant la demande de denrées alimentaires, entraînant le rejet de tonnes de nourriture, pourraient être plus une menace pour la vie humaine que le virus.

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  67. La médecine moderne a émis des directives absurdes dans l'échec des efforts visant à contrôler la propagation du coronavirus COVID-19. Mais les masses inconscientes vont-elles jamais comprendre ?

    Les gens qui portent des masques faciaux lorsqu'ils marchent seuls sur le trottoir ou lorsqu'ils conduisent une automobile seuls sont devenus des exemples de stupidité stupide. Avec personne à moins d'une douzaine de pieds,
    les masses ignorantes portent des masques faciaux.

    Les médias donnent l'impression que les masques faciaux sont obligatoires (selon la loi), mais à moins qu'une loi n'ait été adoptée par une législature d'État, ce n'est qu'une directive.

    Les autorités sanitaires reconnaissent désormais que les mesures prescrites pour stopper la propagation de ce virus muté ne visent qu'à assurer la tranquillité d'esprit - les masques faciaux ne sont qu'un analgésique. En deçà des prescriptions de masse de valium ou de xanax pour tous, les masques feront l'affaire. Mais imaginez simplement s'il y a une pénurie de masques faciaux ? Que feront alors les masses ?

    La désinfection des chariots d'épicerie est également inutile. Le CDC a publié un bulletin tardif selon lequel le virus COVID-19 ne se propage pas par contact avec des surfaces contaminées. Les virus ne sont même pas vivants. Vous ne pouvez pas les tuer comme vous le pouvez pour les bactéries. Ils ne se reproduisent qu'une fois à l'intérieur d'une cellule vivante de votre corps.

    Ce qui est requis pour la transmission du virus à partir d'une autre personne infectée est une très grande proximité pour faciliter la transmission aéroportée d'un poumon infecté à un poumon non infecté. Et même alors, chez les personnes en bonne santé, l'infection devrait activer les anticorps et les cellules T mémoire pour produire une immunité durable. Jusqu'à ce que cela se produise, le public est un canard assis pour un virus qui ne produit souvent aucun symptôme. Hmmm…

    Ce que la médecine moderne tire la laine sur les yeux du public, c'est que la tuberculose, une autre infection pulmonaire avec des symptômes similaires au coronavirus COVID-19, est une menace bien plus grande pour la vie, mais la médecine moderne n'a jamais recommandé de masques pour empêcher sa propagation. Il y a un agenda caché.

    Il y a 13 millions d'épandeurs potentiels de tuberculose qui se promènent en Amérique avec une tuberculose latente (dormante) dans leurs poumons qui pourrait éclater et infecter d'autres personnes si leur système immunitaire venait à tomber en panne, comme après être resté à l'intérieur dans une enceinte et privé de soleil vitamine D.

    La tuberculose infecte 2 milliards de personnes sur la planète et en tue 1,3 million par an. Et COVID-19 est beaucoup moins transmissible que la rougeole, la variole et la polio. Par groupe d'âge, COVID-19 n'est considéré comme mortel que chez les 80 ans et plus.

    Il n'y a aucune preuve que le coronavirus COVID-19 tue indépendamment. Il s'agit peut-être simplement d'un virus secondaire.

    Les pays qui ont un taux de 90% + de port de masque ne signalent aucune baisse significative des décès liés au COVID-19.

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  68. Les voyous du département de la santé publique sont partout, fermant les entreprises américaines au point de les ruiner. Les restaurants sont l'endroit où les Américains passent leurs anniversaires, anniversaires et vacances pour profiter de la vie américaine. Il n'est pas étonnant que l'anxiété se développe avec le temps.

    Il semble que toute directive de santé publique à moins de demander au public américain de se coller la tête dans les toilettes sera respectée.

    https://www.lewrockwell.com/2020/07/no_author/the-face-mask-placebo/

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  69. La panique des faux positifs sur COVID-19


    Par Neil A. Kurtzman, MD
    Mises.org
    17 juillet 2020


    Imaginez un chef articulé lemming se vantant que non seulement ses disciples ont sauté d'une falaise, mais qu'ils l'ont fait en bien plus grand nombre que toute autre tranche de rongeurs. Telle est la position occupée par les États-Unis en ce qui concerne les tests pour COVID-19.Nous avons effectué plus de tests que tout autre pays et nous nous en sommes beaucoup vantés; mais personne ne semble avoir survécu pour donner une interprétation correcte des résultats.

    Pour commencer, les tests actuellement utilisés ne testent pas l'intégralité du virus, ils en testent simplement divers fragments. Beaucoup de résultats sont donc faux, parfois faux positifs et parfois faux négatifs. Cela signifie qu'il faut interpréter leurs résultats avec prudence. Nos autorités médicales, pour ne rien dire de nos autorités politiques, ne semblent pas en mesure de le faire.

    Tous les étudiants en médecine apprennent les rudiments du dépistage dans leur cours d'introduction aux statistiques. Le problème est que la plupart d’entre eux n’ont pas suivi le cours ou n’ont pas dormi. Les autres ont immédiatement oublié ce qu'ils avaient appris.

    Lors d'un test, un professionnel de la santé doit connaître la valeur prédictive positive (VPP) du test ainsi que la valeur prédictive négative. Je vais me concentrer sur le premier.

    Afin de connaître le PPV, c'est-à-dire le pourcentage de probabilité qu'un test positif soit un vrai positif, la sensibilité du test doit être connue ainsi que la prévalence de la maladie, au moins à un degré approximatif. Selon un récent article du New England Journal of Medicine, la sensibilité des tests pour COVID-19 est d'environ 70%. La prévalence dans aucune des populations testées n'est encore connue, nous ne pouvons donc pas calculer le PPV, bien que nous puissions le calculer à n'importe quel niveau de prévalence que nous voulons supposer. J'y reviendrai ci-dessous.

    Un test pour COVID-19 qui est sensible à 70 pour cent n'attrapera que 70 pour cent des sujets testés atteints de la maladie. Par conséquent, 30 pour cent seront faussement négatifs. De plus, le théorème de Bayes, dont la simple mention défait la numératie de tous les médecins, sauf les plus résolus, dit qu'un test sensible à 70% sera positif dans 30% de la population testée qui n'a pas la maladie. (Je suppose une spécificité qui est également de 70 pour cent. La spécificité des différents tests utilisés n'a pas été donnée.) Envisagez de tester le COVID-19 chez 1 million de sujets, dont aucun ne contient le virus. Trois cent mille seront positifs.

    C'est la raison pour laquelle je doute de ce rapport des Asturies, en Espagne, qui nous dit que la région a passé quatorze jours sans enregistrer un seul nouveau cas de COVID-19. Soit ils ont arrêté les tests - vous ne pouvez pas obtenir zéro test positif sur une population importante avec un test sensible à 70% - soit ils ne disent pas la vérité.

    Le tracker Johns Hopkins COVID-19, largement utilisé et cité, considère qu'un test confirmé est égal à un test positif. Il s'agit d'une erreur de dimensions épiques pour les raisons qui viennent d'être exposées.

    Les départements d'athlétisme professionnel et collégial font la même erreur. Ils testent leurs athlètes quotidiennement ou tous les deux jours en utilisant un test qui n'est pas meilleur que 70% sensible. Finalement, tous les joueurs seront positifs. Ils seront isolés pendant quatorze jours, après quoi ils pourront de nouveau être testés à l'infini.

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  70. Comment peut-on estimer le PPV d'un test COVID-19? À 70% sensible, il n'est pas nécessaire de le faire. Un tel test est tellement contaminé à la fois par des faux positifs et des négatifs que son utilisation est pratiquement sans utilité. Supposons que nous ayons eu un test qui était sensible et spécifique à 95%. Le PPV est le nombre de vrais positifs divisé par la somme des vrais et des faux positifs. Pour effectuer ce calcul, nous devons supposer une prévalence du virus dans le groupe échantillonné. Commençons par une prévalence de 1%. Si nous testons 10 000 sujets, 100 porteront le virus. Parmi ceux-ci, 95 seront positifs. Le théorème de Bayes dit que 495 (5% des 9 900 patients) sans le virus auront également un résultat positif. C'est 495 faux tests positifs. Le PPV dans cet échantillon hypothétique est de 95/95 + 495, soit environ 16%.

    Supposons maintenant que notre population (encore 10 000 sujets) a 50% de vrais positifs. Ici, notre PPV est de 95% (4700/4700 + 250). La relation entre la VPP et la prévalence est donnée dans la figure ci-dessous. Notez que même avec un test sensible à 95%, nous serons submergés de résultats faussement positifs si notre population testée a une faible prévalence du virus. Plus nous testons, plus nous aurons de faux positifs si nos tests ne sont pas ciblés.

    - voir sur site -

    Il devrait être évident à partir des données ci-dessus que tous les tests que nous avons effectués et continuons de faire ont probablement confondu plus qu'éclairé. Le virus est réel et sauvage. Comment devons-nous y faire face efficacement? Le meilleur indicateur de notre statut est le nombre de personnes hospitalisées en raison d'un diagnostic clinique de pneumonie virale. Plus précisément, combien sont dans l'USI. Notez que les tests ici ne sont pas nécessaires, car l'hypothèse aujourd'hui est que tout cas de pneumonie virale est causé par le coronavirus.

    Si notre situation concernant l'épidémie s'améliore, des tests généralisés n'auront joué aucun rôle dans cette amélioration. Pourquoi une amélioration? Nous avons reconnu qui était la population à risque et ils se sont réfugiés et continuent de le faire. Les Centers for Disease Control and Preventon (CDC) estiment que la mortalité due au COVID-19 chez les patients de moins de 50 ans est de 0,05%. La quasi-totalité de cette mortalité chez les patients plus jeunes provient de ceux souffrant de comorbidité. Nous avons également amélioré le traitement des patients atteints de pneumonie sévère causée par le coronavirus.

    Le virus est susceptible d'être avec nous pendant un certain temps. Les épidémies prennent fin soit lorsque les personnes les plus sensibles au pathogène y ont été exposées, soit lorsqu'un vaccin efficace et sûr est disponible. Nous n'avons pas un tel vaccin. Il est difficile de savoir quand ou si l'un sera disponible. Et la logistique de fabrication et d'administration de milliards de doses est formidable. En attendant, nous devons coexister avec elle sans pour autant détruire la société, socialement et économiquement. Nous devrons également admettre que notre régime actuel de tests a alarmé la planète sans apporter de bénéfice pour la santé.

    Note: The views expressed on Mises.org are not necessarily those of the Mises Institute.

    https://www.lewrockwell.com/2020/07/no_author/the-false-positive-panic-over-covid-19/

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