le 27 août 2018
Inutile de disserter sur l’activité d’Amazon communément appelée « e-commerce » que tout le monde connaît. En quelques chiffres concernant seulement les USA Amazon détient 49 % de toutes les activités de e-commerce loin devant eBay (6,6 %) ou Apple avec seulement 3,9 % et c’est à peu près la même situation en Europe ou au Japon. Cette activité d’Amazon comprend les ventes directes et celles d’autres sociétés qui utilisent Amazon comme plateforme. C’est dans cette dernière catégorie représentant 69 % de toute l’activité de ventes qu’Amazon réaliserait le plus de profits apparents.
En réalité ce n’est pas le cas car Amazon est aussi leader mondial dans le domaine de ce qui est appelé en anglais le « Web Service ». Les services offerts par Amazon dans ce secteur, via sa filiale Alexa, comprennent le « Cloud », les offres vidéo et les objets connectés.
Ce positionnement nouveau d’Amazon peut être considéré comme inquiétant car cette société contrôle déja 33 % de l’infrastructure du Cloud loin devant Microsoft, 13 %, et Google, 6 %. Enfin l’autre aspect inquiétant de cet état de choses est que les technologies de l’information et du commerce en ligne sont dominées par des entreprises nord-américaines et il ne fait aucun doute qu’il existe une porosité entre toutes ces entreprises et les services de renseignements américains quand on sait que par exemple le Pentagone va finaliser en septembre prochain un accord pluriannuel de 10 milliards de dollars avec Amazon Web Services (AWS) détronant ainsi Azure de Microsoft, Google-Cloud et SmartCloud d’IBM. Ce contrat est appelé JEDI, acronyme de Joint Enterprise Defense Infrastructure, ça ne s’invente pas et ce n’est pas de la fiction …
«Vous êtes fous ?» Le leader des Pink Floyd avertit contre une guerre avec la Russie
RépondreSupprimer14:20 27.08.2018
«Qu'est-ce qu’ils vous ont fait de mal ?» Sur fond des nouvelles sanctions adoptées par Washington contre Moscou suite à l'utilisation présumée par la Russie d'armes chimiques à Salisbury, Roger Waters, membre fondateur du groupe Pink Floyd, a déconseillé au monde entier de déclencher une guerre contre la Russie.
À la veille de son concert en Russie, Roger Waters, musicien et membre fondateur des Pink Floyd, a déclaré au journal russe Izvestia que seules les personnes qui n'avaient pas d'hémisphères cérébraux pouvaient croire à l'«attaque russe contre les Skripal».
«Je voudrais dire au monde entier: voulez-vous commencer une guerre contre les Russes ? Vous êtes fous ? Savez-vous même à qui vous avez affaire ? Les Russes vous ont libérés des fascistes au prix de la vie de 20 millions de leurs citoyens ! Et vous voulez les combattre ? Qu'est-ce qu'ils vous ont fait de mal? De quoi parlez-vous ?», s'est exclamé Roger Waters cité par le journal.
Les nouvelles sanctions US contre Moscou entrent en vigueur
Le musicien est également persuadé les Casques blancs diffusent de fausses informations et que l'attaque chimique contre Douma en Syrie n'était qu'une mise en scène. Pourtant, selon l'artiste, cela n'a pas empêché les politiciens occidentaux de lancer une attaque conjointe contre la Syrie.
Les nouvelles sanctions adoptées par Washington contre Moscou suite à l'utilisation présumée par la Russie d'armes chimiques dans la ville britannique de Salisbury, sont entrées en vigueur le 27 août à minuit (GMT-4) en conformité avec le règlement du Federal Register américain publié vendredi. Le ministère russe des Affaires étrangères a qualifié les projets de la Maison-Blanche d'introduire de nouvelles sanctions de «collusion entre les États-Unis et le Royaume-Uni» et a promis une réponse de la part de Moscou.
https://fr.sputniknews.com/international/201808271037831284-pink-floyd-russie-guerre-avertissement/
Quitter la bourse, une menace bien pratique
RépondreSupprimerPAR YVES GENIER
27 Août 2018
Qu’il est tentateur, pour un entrepreneur, d’agiter la menace d’un «going private». Cela permet de mesurer son audience auprès des marchés, voire de faire remonter la valeur de son action
Les marchés n’en reviennent toujours pas de cette folle journée boursière du 7 août dernier. Sur le coup de midi, heure de New York, Elon Musk, intrépide et imprévisible fondateur et patron de Tesla, lâche sa bombe sous la forme d’un petit tweet où il annonce sa volonté de sortir sa société de la bourse. Et affirme que «le financement est assuré». Avant la fin de la séance, l’action du fabricant automobile de Fremont en Californie a regagné 11%, déjouant les scénarios des vendeurs à découvert et ravissant les aficionados de la marque en T.
«Annoncer un retrait de la bourse de cette manière s’avère un bon moyen d’attirer l’attention du marché sur votre titre. C’est une manière de créer et d’entretenir le buzz, de faire parler de votre société», observe Dominique Freymond, administrateur indépendant et consultant en gestion d’entreprise. Une stratégie qui est du reste appelée à déployer ses effets pendant un certain temps encore, puisque le caractère intempestif de cette annonce a incité la SEC, l’autorité américaine de surveillance de la bourse, à exiger des explications de la part de Tesla et de son remuant fondateur, procédure qui sera à n’en pas douter suivie étroitement par la presse financière.
La bourse pestiférée
Elon Musk n’est pas le premier patron à brandir la menace d’un «delisting», ou «going private», pour se soustraire à une pression des investisseurs jugée insupportable. Nick Hayek, patron de Swatch Group, l’avait fait avant lui. En janvier 2015, il avait fait savoir par une interview au Sonntagsblick que sa société réfléchissait à un retrait car elle «vend des montres, pas des actions». Le dirigeant avait même lourdement insisté sur les travers des marchés financiers et leur supposée déconnexion avec la réalité que l’industrie était censée incarner: «Les cours se sont depuis longtemps éloignés du monde réel»; ou encore: s’il pouvait changer quelque chose, il obligerait la bourse à s’appeler «casino».
Nick Hayek intervenait quelques jours après la décision de la BNS de mettre fin au cours-plancher entre le franc et l’euro, décision qui avait provoqué un minikrach à la Bourse suisse, où le cours de Swatch avait plongé de 22% en quelques heures. Un plongeon qui avait engendré des pertes en millions de francs pour le pool Hayek, actionnaire prépondérant du groupe. Néanmoins, l’homme fort n’a pas répété ses propos par la suite. L’action est remontée à un cours proche de son niveau du début du mois de janvier, effaçant l’essentiel de la moins-value boursière.
Citons également le cas d’André Kudelski. En 2002, le patron de la firme technologique vaudoise dénonçait la manipulation du cours du titre par les fonds spéculatifs, et pointait les pratiques parfois agressives qui caractérisent les ventes à découvert. Il laissait entendre qu’il n’était pas loin d’envisager une action en justice.
Et la suite, pour Tesla ? Tandis que les marchés financiers bruissent d’interrogations sur la substance des plans d’Elon Musk, certains spécialistes s’inquiètent de la méthode retenue. Annoncer un retrait de la Bourse par un simple tweet? Cela ressemble beaucoup à la manière de communiquer de Donald Trump, particulièrement lorsque le président américain veut dénoncer une situation qui lui déplaît: «Il y a une altération des modèles de comportement des leaders», soulève Didier Cossin, professeur de management à l’IMD à Lausanne et Singapour.
Pour ce spécialiste des conseils d’administration d’entreprises internationales, «Elon Musk met à risque sa réputation dans une opération sans doute bien calculée, mais qui pose beaucoup de questions sur l’avenir de la gouvernance de Tesla.» Autrement dit: en convoquant le fonds souverain d’Arabie saoudite pour racheter tout ou partie du flottant d’une société valorisée plus de 60 milliards de dollars sans dire clairement ce qu’il va en faire, l’entrepreneur sud-africain met dans la balance sa réputation de créateur engagé d’une startup qui a donné un sévère coup de vieux à l’industrie automobile dans son ensemble.
RépondreSupprimerDressant ce même parallèle, Dominique Freymond s’accorde même à penser qu’une telle annonce est du «populisme financier». Autrement dit, qu’elle actionne les mêmes ressorts émotionnels que ceux utilisés par Donald Trump et ses semblables européens: s’adresser directement au grand public, désigner sans nuances la source de leurs problèmes (en l’occurrence: la bourse et les marchés financiers) et livrer une solution sans nuances (sortie de la bourse). Mais sans livrer de détails sur les manières de procéder. Comme si un «delisting» allait résoudre tous les problèmes.
Le coût de la bourse
Pourtant, sortir une société de la bourse est une démarche courante depuis, au moins, les années 1980. «La question se pose très régulièrement dans les nombreux conseils d’administration avec qui je suis en contact, et cela dans les deux sens: faut-il entrer en bourse ou, au contraire, en sortir?», relève Didier Cossin.
L’avantage principal de la bourse, pour les entreprises, est connu: accéder facilement à des capitaux frais en vendant des actions au grand public. Ses inconvénients le sont tout autant: de nombreuses règles précises à respecter, notamment en matière d’annonces, de transparence et de traitement équivalent des actionnaires, le risque d’OPA agressives, et le sentiment pour une équipe de direction de travailler constamment sous le regard parfois inquisiteur des actionnaires et la pression des échéances.
«L’apport d’idées externes, notamment celles des analystes financiers, peut être bénéfique à une entreprise, mais il peut aussi agacer certains patrons, notamment ceux qui ont une forte personnalité», relève Dominique Freymond. Sans parler du coût engendré par le respect des diverses prescriptions : un million de francs par an pour une PME.
Financements surabondants
Le retrait du marché est devenu d’autant plus facile que les financements alternatifs sont eux aussi devenus faciles comme jamais, grâce à la surabondance de liquidités et à la multiplication des fonds, notamment souverains, prêts à placer leurs avoirs dans ces entreprises. Si le fonds souverain d’Arabie saoudite se dit prêt à racheter des titres Tesla, l’acteur le plus connu pour cette activité est Temasek, l’un des deux fonds de Singapour. «Il n’y a plus besoin de recourir agressivement au crédit comme lors des décennies précédentes», remarque Didier Cossin.
Quantité de sociétés honorablement connues se sont récemment retirées de la cote. L’an dernier, elles étaient près de quinze à le faire, rien qu’à la Bourse suisse. La plupart du temps, ces décisions résultaient d’acquisitions ou de fusions, comme dans le cas de Syngenta ou de Charles Voegele. Mais certains investisseurs se souviennent du retrait de Hero Group, société familiale argovienne cotée depuis 1914, et qui a préféré poursuivre son développement dans la discrétion.
L’exemple le plus classique de «going private» est néanmoins celui du géant informatique Dell. En février 2013, Michael Dell, iconique patron de la société qui porte son nom, décide de se retirer du marché. Son action ne vaut plus que 13 dollars après avoir tutoyé les 50 dollars au tournant du millénaire. «Le but était de restructurer la société dans une certaine opacité», poursuit Didier Cossin.
RépondreSupprimerDell n’a cependant pas boudé le marché très longtemps: il y est revenu en juillet dernier en rachetant une société déjà cotée, VMware, ce qui lui a permis d’éviter la procédure parfois lourde de l’introduction en bourse traditionnelle. Elle est loin d’être un exemple isolé. Les introductions en bourse sont actuellement en plein boom: rien qu’en Suisse, elles sont six à avoir choisi cette option depuis le premier janvier de cette année, soit autant que le maximum de n’importe laquelle des dix dernières années pleines. Même si certains patrons manifestent à haute voix leur volonté de la quitter, la bourse a encore de beaux jours devant elle.
http://www.bilan.ch/economie-plus-de-redaction/quitter-bourse-une-menace-bien-pratique?mc_cid=cbd63436e7&mc_eid=76fa28326a
Comme TOUTES les actions en Bourses et MP sont truquées (depuis TOUJOURS), les investisseurs reprennent leurs billes.
SupprimerLe VRAI marché n'est pas celui qui passe par les 'NSA' mais a celui qui veut aider une entreprises sans escroquerie à la clé !
Les primes d'assurance automobile plus basses que jamais
RépondreSupprimerPAR AWP
23 Août 2018
Les primes ont nettement baissé ces dix dernières années selon Comparis. Grâce à la concurrence et aux offres en ligne, les baisses de prix par rapport à 2008 vont de -17 % à -38 %.
Les primes d'assurance automobile ont nettement baissé ces dix dernières années, d'après le portail comparatif Comparis.ch. La concurrence accrue entre assureurs et l'avènement des offres en ligne explique cette tendance.
Le coût d'une assurance casco complète pour une voiture de petit et moyen gabarit a reculé en moyenne de 18% depuis 2008. Les jeunes conducteurs âgés de moins de 25 ans ont vu leurs primes chuter de 22%, a détaillé Comparis.ch dans un communiqué. Selon Andrea Auer, du portail internet, "la guerre des prix s'est nettement accentuée ces dernières années avec l'entrée sur le marché des assureurs directs".
Les jeunes conducteurs masculins ont le plus profité de la dégringolade des primes d'assurance, avec une baisse de 38%, alors que les trentenaires n'ont vu leurs primes reculer que de 19% sur la même période. L'écart de prix entre jeunes conducteurs et pilotes confirmés tend également à se réduire. Alors que les jeunes permis payaient en 2013 encore 80% de plus que leurs homologues âgés de 30 ans et plus, la différence de coûts a été ramenée à 66%.
Les femmes restent cependant avantagées par les assureurs, bénéficiant de primes inférieures de 16% à leurs homologues masculins âgés de plus de 30 ans. Pour les jeunes conductrices, l'écart est de 9%. En moyenne sur les dix dernières années, les primes ont baissé de 17% pour les femmes.
Mais la différence de primes entre hommes et femmes a diminué ces cinq dernières années. Alors que l'écart se situait encore à 30 % en 2013, il a été ramené à 19 % l'année dernière.
http://www.bilan.ch/economie/primes-dassurance-automobile-plus-basses-jamais
Faut dire qu'il est difficile d'avoir un accident à 30 km/h aujourd'hui et que le Net y est pour quelque chose !
SupprimerLa défaite écrasante de l’Allemagne à la Coupe du Monde 2018 serait expliquée
RépondreSupprimer14:04 27.08.2018
Lors de la Coupe du Monde 2018 en Russie, les footballeurs allemands auraient échoué à cause de la division de leur équipe en deux camps: celui des «étrangers» et celui des «Allemands typiques», comme le rapporte le journal allemand Bild.
Selon le journal allemand Bild, lors de la Coupe du monde 2018 en Russie, les joueurs de l'équipe nationale allemande auraient été divisés en deux camps, celui des «étrangers» et celui des «Allemands typiques».
L'un des groupes de l'équipe nationale aurait été constitué de joueurs d'origine étrangère. Parmi ceux-ci figuraient Mesut Ozil, Jérôme Boateng, Ilkay Gündogan. Ces joueurs se seraient distingués par leurs goûts musicaux (hip-hop), leur attrait pour les bijoux coûteux et leur préférence pour les voitures luxueuses.
Leurs manières auraient été ridiculisées et parodiées par le représentant du camp des «Allemands typiques», Thomas Muller. Les footballeurs d'origine allemande, en revanche, auraient eu un comportement plus modeste.
Les deux groupes se seraient appelés par des surnoms dévalorisants. Les footballeurs d'origine étrangère auraient été étiquetés d'un surnom péjoratif désignant les migrants sans-papiers: «Kanaken» (les Kanaks).
Les «Allemands typiques» auraient également été appelés «Kartoffeln»(les pommes de terre), un surnom moqueur, souvent utilisé par les Turcs afin de désigner les Allemands. Il est à noter que les deux camps se seraient plaints à l'entraîneur principal de la Mannschaft Joachim Löw de sa sélection de joueurs pour le Mondial. Les étrangers se seraient indignés à propos de l'absence de Leroy Sané. Les «Allemands typiques», à leur tour, auraient perçu négativement celle de Sandro Wagner.
L'équipe nationale d'Allemagne n'a pas pu dépasser la phase de groupes de la Coupe du Monde pour la première fois depuis 80 ans. Dans le dernier match du groupe, les Allemands ont perdu face à l'équipe sud-coréenne avec un score de 2 buts à zéro.
https://fr.sputniknews.com/international/201808271037832836-cdm-allemagne-defaite-bild-cause-division/
SupprimerComme dans TOUTES les 'équipes' internationale maintenues hors de l'eau à coups de milliards promis au vainqueur, aucune n'a 100 % des joueurs natifs et implantés depuis x génération !
Un été inattendu fait des ravages sur les plans de vacances
RépondreSupprimerAnthony Watts
26 août 2018
Un nombre surprenant de neiges inattendues se produit cet été dans l'hémisphère nord, voici un recueil de reportages et de vidéos du Montana, du Wyoming et de l'Idaho, ainsi que de l'Allemagne, de l'Autriche, de l'Italie et de la Slovénie.
26 août 2018 - Août se termine par un avant-goût de l'hiver alors que la neige recouvre les Rocheuses du Nord
Le service météorologique national a publié des bulletins météorologiques hivernaux pour des parties des Rocheuses du Montana et du Wyoming, où le NWS a déclaré que quelques centimètres de neige mouillée sont possibles tôt lundi tôt mardi au-dessus de 6 000 pieds d'altitude.
La neige accumulée est attendue dans les plus hauts sommets du nord-ouest du Wyoming, dans le sud et l'ouest du Montana et dans les parties adjacentes de l'Idaho.
Mais ne vous inquiétez pas. C'est normal. "La neige n'est pas rare dans les hautes altitudes du nord des Rocheuses à la fin du mois d'août", explique weather.com.
Bien sûr, ils sont les mêmes qui continuent à parler de «réchauffement climatique».
Lequel est-ce?
https://weather.com/storms/winter/news/2018-08-26-winter-weather-advisory-snow-montana-wyoming
Chute de neige un mois plus tôt que d'habitude.
26 août 2018 - Des photos incroyables sur les réseaux sociaux montrent de la neige dans les deux pays, avec une température tombant à 15 degrés.
Les paysages d'hiver règnent à Salzbourg. Selon WetterOnline, il a neigé à moins de 1000 m d’altitude. Par exemple, les habitants de la ville de ski de Bad Gastein, au sud de Salzbourg, se sont branlés les yeux avec une surprise dimanche, car les pelouses vertes et les arbres étaient recouverts d’une couche de neige de 5 cm. Les habitants de Obertauern, Rauris, Sankt Jakob à Defereggental ou Hintertux ont dû se procurer des casquettes et des vestes, où la première neige est tombée un mois plus tôt que d'habitude.
Cependant, la plus grande attaque hivernale a eu lieu en Autriche, où 40 cm de neige sont tombés de samedi à dimanche,
https://krolowasuperstarblog.wordpress.com/2018/08/26/w-kalendarzu-sierpien-a-w-niemczech-i-austrii-sypnelo-sniegiem/
Les vents polaires froids amènent la neige précoce en Italie
30 cm de neige dans la vallée de Badia
10 cm à Cortina d'Ampezzo dans les Dolomites
"Des manches courtes aux raquettes," lit le titre. "C'est Noël!"
https://www.google.com/amp/s/www.ilfattoquotidiano.it/2018/08/26/cortina-a-fine-agosto-e-gia-inverno-10-centimetri-di-neve-e- 4-gradi-dalle-maniche-corte-alle-ciaspole / 4582386 / amp /
Merci au géologue Dr Mirco Poletto en Italie pour ces liens
"Après un mois de chaleur africaine", explique le Dr Poletto. "Est-ce que petit âge de glace commence?"
28 août 2018 - Snow ferme la route de Mangart et blanchit Kredarico.
https://wattsupwiththat.com/2018/08/26/unexpected-summer-snows-wreaking-havoc-on-vacation-plans/
Kredarica a déjà de la neige, alors que la pluie et la neige se mélangent à Vršic. Selon le centre d’information routière (PIC), la route menant à Mangart est fermée en raison de la route enneigée. Les précipitations vont empirer pendant la journée
RépondreSupprimerLe Triglav Lodge à Kredarica, situé à 2.515 m d'altitude, est le plus haut refuge de Slovénie et la plus haute station météorologique du pays.
La neige à cette altitude en Slovénie est-elle inhabituelle? Je ne sais pas. Mais je pense que les Slovènes ne doivent pas s'inquiéter du réchauffement climatique cette année.
http://www.rtvslo.si/okolje/novice/sneg-zaprl-cesto-na-mangart-in-pobelil-kredarico/464169
https://wattsupwiththat.com/2018/08/26/unexpected-summer-snows-wreaking-havoc-on-vacation-plans/
Il suffit que des sources chaudes sous-océaniques se ferment pour supprimer les douceurs ressenties sur certains rivages comme il suffit que d'autres s'ouvrent pour faire un appel d'air en direction de cette source de chaleur montante. D'où les effets capricieux des vents polaires siphonnés depuis leur univers glacial qui se dirigent vers les points chauds en passant sur des terres qu'ils refroidissent.
SupprimerTÉLÉPHONIE: FIXES BIENTÔT LA FIN DES LIGNES
RépondreSupprimerpar MARIE-EVE WILSON-JAMIN
7/08/2018
Aujourd'hui, sur les 20 millions d'utilisateurs du fixe, 9,4 millions possédent encore une ligne traditionnelle.
Orange (FranceTélécom proprio des lignes) a annoncé qu'il allait progressivement cesser de commercialiser les abonnements de lignes fixes traditionnelles. En 2023, tous les utilisateurs du téléphone fixe prennent une boîte.
Orange a annoncé la fin progressive des lignes fixes
Une page peut-être se tourner dans la téléphonie. En effet, il n'y a plus d'aura plus de lignes fixes: l'opérateur historique Orange a annoncé qu'il allait progressivement couper le réseau téléphonique commuté (RTC), support des services de téléphonie traditionnelle. En résumé, il faut avoir une boîte pour appeler depuis une année fixe. Au final, les appareils ne doivent pas, à terme, plus être branchés directement sur une prise T.
Une précision d'importance tout de même: les lignes ne seront pas coupées pour autant ! Mais dès le 15 novembre, Orange va commercialiser les abonnements pour le téléphone fixe traditionnel. Les nouveaux clients ou ceux qui déménagent n'auront plus le choix et les conditions pour opter pour une offre avec un accès à Internet.
Puis, à partir de 2023, l'opérateur commence à couper le RTC, groupe de communes par groupe de communes. Tous les utilisateurs du téléphone fixe doivent donc prendre une case. Pour effectuer ce changement plutôt radical pour certains, l'opérateur promu «des équipements simples pour les personnes âgées», rassure Laurent Benatar, directeur du système d'information chez Orange dans Le Parisien. Une décision prise par l'opérateur à des équipements obsolètes.
En effet, les commutateurs ont été installés dans un quarantenaire pour remplacer les opérateurs et Orange pour trouver des pièces de rechange en cas de panne. «L'Etat est le garant de ce service pour que chaque français ait accès à un service téléphonique de qualité à un prix raisonnable. Plus tard, rien n'oblige à ce que ce service utilise la technologie RTC, l'Orange est libre d'utilisation de la technologie de son choix », explique Delphine Gény-Stephann, secrétaire d'État auprès du ministre de l'économie, au Parisien. A ce jour, sur les 20 millions d'utilisateurs fixes, 9,4 millions d'enchères encore une ligne traditionnelle.
http://www.economiematin.fr/news-telephonie-bientot-fin-lignes-fixes
Faut dire que le filiaire (ordis câblés, souris et clavier câblés)
Supprimerévite les trop fréquentes attaques sur le net, because que la 'box' se met en route le 1er jour par un envoi SMS au portable. D'où la relation faite entre le téléphone portable (à côté de la box) servant de wifi et conservant donc les possibilités de films en continu et son et enregistrement !
Donc: tel sous papier d'aluminium (et box masquée).
Les néo-soviets
RépondreSupprimerle août 27, 2018
par Michel de Rougemont
Quels sont les dogmes de l’écologisme[1] ?
Tout d’abord celui que l’action humaine conduit inexorablement à la ruine de sa propre espèce (la défaite de l’Homme) par les agressions qu’elle opère sur une Nature innocente dont nous pillions et empoisonnons les ressources.
Ensuite que les modèles économiques en place, orientés vers le productivisme, produisent à répétition des crises sans limites avec des victimes manquant de tout : désagrégation sociale, chaos environnementaux et climatiques, mondialisation injuste.
Nous sommes donc tous les prolétaires d’un environnement insupportable, victimes de l’action égoïste d’un monde économique conduit par une oligarchie, devant nous tenir prêts à nous libérer pour atteindre un avenir radieux de simplicité, d’harmonie entre nous et avec la Nature.
Une action alternative est nécessaire –un projet global– fondée sur l’action locale et mutualisée par une nouvelle gouvernance mondiale, ayant comme objectif la « mutation écologique de la société » afin de la rendre durable et juste, sans privilèges ni victimes.
Organisé en cellules locales, coordonné par une puissante Internationale, le monde soviétique savait assurer sa mainmise sur le politiquement correct de son époque, malgré les controffensives de la propagande yankee. Par compagnons de route interposés et en instrumentalisant bon nombre d’idiots utiles, la méthode soviéto-marxiste s’est imposée comme guide stratégique et moral de l’action politique. Et l’on n’est pas prêt à en être libéré, le relais étant pris par cette doxa écologiste qui s’est imposée en l’espace d’un demi-siècle. Mêmes buts, le matérialisme en moins et la Nature en plus, même combat, mêmes méthodes : l’histoire nous l’enseigne mais nous n’apprenons pas.
Les néo-soviets, cellules de base du mouvement, sont les associations écologistes, souvent préoccupées par une défense ou une protection allant du lombric au grand mammifère, d’un biotope particulier à la flore et la faune d’une région entière, ou soucieuses de conserver la biodiversité ou de régler le climat global, etc. Il y a aussi les militants anti-quelque chose –nucléaire, chimie, biotech, béton– ou prônant leur schmilblick –véganisme, LGBT, panneaux solaires et éoliennes, agriculture bio. Bien que cela ressemble à un inventaire à la Prévert les fondements de ces entreprises se trouvent partiellement ou entièrement dans les dogmes cités plus-haut. Avocats et chiens de garde, ces groupes animent la scène en exprimant des revendications ou en réagissant à tout évènement ou publication leur paraissant scandaleux. Les arguments factuels et rationnels faisant défaut, l’opposant ou le déviant a droit à des attaques ad hominem pour le disqualifier ou l’accuser de crimes imaginaires. Les programmes scolaires en ont été envahis. Les enfants n’en sont pas encore à dénoncer les mauvais comportements de leurs parents, mais la tentation est grande de les y inciter.
Or il est bien connu que les petites racines doivent nourrir de grands arbres. Des fédérations globalisées sont en place qui disposent de moyens énormes, bien supérieurs à ceux que des associations d’industries engagent dans leur lobbying. Leurs noms sont Greenpeace, WWF, Friend of the Earth, Sierra Club, Climate Action Network, et d’autres encore. Quoique dénommées ONG elles jouissent d’un statut quasi gouvernemental, avec des agents infiltrés ayant accès aux préparations et délibérations de conférences internationales qui s’assurent de la rectitude politique des experts publiant des rapports de synthèse pour les décideurs.
RépondreSupprimerC’est une sorte de Komintern virtuel qui fonctionne, maître de l’agenda politique donnant le ton et le rythme, sachant parfaitement user des médias et du levier des réseaux dits sociaux de l’internet. Ni un Pape, ni un comité directeur, ni une académie écolo-climatique ne sont nécessaires, la syntonisation est devenue automatique. Comme tout producteur d’électricité ne peut se connecter que si sa fréquence et sa phase sont parfaitement synchronisées avec le réseau, tout écart provoque un rejet immédiat du fautif et à sa destruction s’il persiste.
Les compagnons de route sont les habituels collectivistes et planificateurs de bonheur au prix de la liberté individuelle, les étatistes distributeurs d’impôts trop perçus, soutenus par des administrations trouvant là une raison d’exister et de perdurer. Les médias y participent aussi, voulant se donner des airs de maîtres à penser mais en réalité subordonnés à un politiquement correct qu’ils aident à imposer. Ils n’aiment pas savoir qu’ils sont les idiots utiles de la farce, pourtant leur conformisme discipliné prouve leur manque d’opinion propre et d’esprit critique.
La réponse à ce néo-soviétisme est quasiment absente ou muette : ceux qui s’y opposent sont isolés et désorganisés. Dans le monde francophone un Claude Allègre, pourtant socialiste, a été réduit au silence et ridiculisé, les Luc Ferry et autres Pascal Bruckner s’expriment avec talent mais ne disposent d’aucun relai médiatique ou politique pour amplifier leur message, au contraire de n’importe quel incompétent –Président d’une grande république, cheffe d’un département fédéral, ministre d’État, animateur TV ou vedette pop et éphémère– répétant le mantra écologiste avec splendeur. Pas de place non plus pour un Bjorn Lomborg, considéré comme traitre à la cause écologiste parce qu’il propose une méthode fondée sur les faits et les priorités des peuples concernés plutôt que de s’aligner aveuglément au courant dominant et aux solutions toutes faites des « sachants ».
La fibre écologiste a maintenant été phagocytée par tous les partis traditionnels, tant d’un bord que d’un autre, bien que, à l’exception du dogmatisme vert, n’ayant aucune opinion structurée à propos de la gestion de l’environnement, le monde politique reste fidèle à lui-même : suiveur et opportuniste. À gauche, le néo-soviétisme bat son plein, bis repetita placent, cette fois sous la métaphore de la pastèque. À droite, personne ne conçoit rien pour s’y opposer ni même n’entrevoit les dérives totalitaires que cela entraînera ; la sidération devant l’avènement de l’État social, percepteur et redistributeur se poursuit face à l’écologisme. Alors que dans le bon vieux mauvais temps le communisme pouvait mobiliser une opposition déterminée, le néofascisme écologiste ne semble effrayer personne. Même aux USA les Républicains ne mettent pas en cause les causes écologistes mais s’attachent à préserver des avantages politiques et financiers à plutôt court terme, celui de la prochaine élection. Le monde de la finance semble aussi y trouver son beurre, peu lui chaut l’illibéralisme que cela implique.
Faudrait-il alors se résoudre, une fois de plus, à subir les « visions » d’un monde promis comme meilleur, à accepter l’omniprésence d’une propagande qui vend cet avenir radieux au prétexte mensonger que le présent serait des plus horribles, le pire de l’histoire, à obéir à l’ardeur normative et planificatrice contraignant nos besoins et nos désirs, nous imposant des comportements et des croyances absurdes ainsi que des taxes toujours plus élevées ? Faut-il se soumettre au mensonge[2] organisé et permanent, à cette contrainte moralisante ? Non, bien sûr !
RépondreSupprimerMais comment faire, alors que les soviets et leurs commissaires politiques sont d’ores et déjà en place à tous les niveaux, que les gardes du temple y font de magnifiques affaires et que la mise à l’index n’a jamais été aussi efficace ?
Il serait plus confortable de se planquer, de rester coi. C’est certainement ce que fait cette majorité silencieuse dont on dit qu’elle sait tout mais ne l’exprime pas. Comment faire pour la réveiller, la secouer ? Je n’en sais rien mais je commence en écrivant ce billet de blog ; ma petite dizaine de lecteurs est priée de prendre le relai, à moins qu’elle aussi préfère rester coite.
_________________
[1] Afin d’éviter toute confusion il faut rappeler que l’écologisme n’a rien à voir avec l’écologie, qui est une discipline scientifique. Par définition un « -isme » procède d’une idéologie, avant tout politique, fondé sur un ou plusieurs dogmes. C’est de cela dont il est question ici. Le très court résumé dogmatique qui est présenté a été tiré des déclarations de partis écologistes.
[2] La place manque ici pour démontrer l’inanité, donc le mensonge, du message catastrophiste à propos des malheurs sans précédents des temps modernes. Voir mon livre « Réarmer la raison » et ses chapitres consacrés à l’écologie et au développement.
https://blog.mr-int.ch/?p=4677&lang=fr
(...) Tout d’abord celui que l’action humaine conduit inexorablement à la ruine de sa propre espèce (la défaite de l’Homme) par les agressions qu’elle opère sur une Nature innocente dont nous pillions et empoisonnons les ressources.(...)
SupprimerNon ! Pas plus que les autres animaux. Le 'poison' * vient... de la Terre (et non de la lune) et, les millions (milliards ?) de sources chaudes sous-marines et sous-océaniques déversent perpétuellement des milliards de tonnes de produits toxiques par ses volcans sous l'eau (les poissons y vivent dedans !) ou terrestres.
* Qu'est-ce qu'un 'poison' ? Sinon un produit élaboré pour lutter contre les maladies et servant de remèdes ! Donc, rien à voir avec le 'bio' où les fruits & légumes ne sont pas défendus/protégés contre les maladies !
Vous en mangeriez de la viande de 'vache folle' ? Non ? Alors pourquoi mangez vous du 'bio' comme il y a des siècles où n'existaient pas de produits de traitement et le monde subissait les maladies et famine. TOUS les fruits & légumes comme TOUS les animaux sont victimes de maladies. Le lapin a la myxomatose, le mildiou ou oïdium de la vigne, tomate, etc. Tout doit être préservé sain.
NON je n'ai pas dit que vous allez attraper la myxomatose ou le mildiou, mais... qui sait ? Qui ?
Martin Armstrong craint les "fanatiques du réchauffement climatique": les "pierres de la faim" sont apparues
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun, 08/27/2018 - 11:55
Auteur de Martin Armstrong via ArmstrongEconomics.com,
Alors que les fanatiques de Global Warming sont en position de dire "voyez" que la chaleur en Europe est causée par des humains qui conduisent leur voiture, ils continuent à ignorer l'histoire ... La chaleur extrême en Europe cette année fait partie d'un cycle.
Les oscillations entre la chaleur extrême et le froid extrême ne sont pas inconnues. Un autre élément de preuve historique qu'ils ignorent est connu sous le nom de Pierres de la faim.
C'est à Decin, en République tchèque. Au fil des siècles, il y a eu ces cycles de chaleur extrême suivis d'un froid extrême. De tels événements ont été enregistrés lorsque la sécheresse a entraîné le faible niveau d’eau de l’Elbe.
La sécheresse de cette année en Europe a encore une fois exposé les pierres de la faim qui ont été utilisées pendant des siècles pour commémorer les sécheresses historiques qui mettent en garde contre leurs conséquences lorsque vous reverrez ces pierres. Les pierres de la faim sont à nouveau visibles sur la rivière Elbe. C'est un grand fleuve qui commence en République tchèque et traverse l'Allemagne. Il y a plus d'une douzaine de pierres de la faim qui servent de registre des sécheresses précédentes, établissant que la chaleur et la sécheresse extrêmes de cette année ne sont en aucun cas propres à l'histoire.
Les diverses pierres de la faim enregistrent des sécheresses qui ont entraîné la famine et la flambée des prix de la nourriture. Les sécheresses qui ont été enregistrées sur les pierres remontent à 1417, 1616, 1707, 1746, 1790, 1800, 1811, 1830, 1842, 1868, 1892 et 1893 et ??couvrent une période de 476 ans. Cela produit une moyenne de 39,6 ans. Le simple fait d'appliquer cette moyenne vous amènerait à 2012. Toutefois, nous devons regarder de plus près. Notez que deux années 1892 et 1893 sont consécutives. Cela ne reflète pas deux sécheresses distinctes, mais le pic d'intensité. Au lieu de deux sécheresses distinctes, il en va de même pour la simple extension. Cela signifie qu'il y a eu vraiment 11 événements au cours de cette période de 476 ans d'histoire et de bas, et cela change la moyenne à 43,27 ans. Cela correspond effectivement à notre fréquence du modèle de confiance économique de 8,6 ans / 2 = 4,3.
En fait, des preuves supplémentaires sont ignorées par la foule de Global Warming qui semble vouloir conduire la société à sa perte en ignorant complètement le passé. Des recherches approfondies ont également été effectuées sur les cernes des arbres dans le centre-nord de l’Europe. Cette étude a révélé qu’il existait un modèle de "mégadroughs" aux XV e et XIX e siècles. Ils ont classé 1893 comme la "Grande sécheresse de 1893" où les précipitations diminuent de 30 à 90% dans diverses régions d'Europe. Ils ont également constaté que la famine irlandaise de 1740-1741 était le résultat d'une période de refroidissement qui, selon eux, avait entraîné des températures hivernales et printanières exceptionnellement basses en 1740, qui avaient entraîné des mauvaises récoltes et une famine massive ultérieure. Ils soulignent qu'il y a eu cinq grandes "mégadrought" en 1540, 1590, 1616, 1718 et 1719. Une fois encore, nous voyons des événements consécutifs en 1718 et 1719 qui, dans notre analyse, reflètent une accumulation de intensité plutôt que deux événements distincts. La réduire à 4 fois nous redonne une moyenne de 44,75 ans, ce qui est très proche de la fréquence Pi. Si nous traçons cela sérieusement, nous arrivons à 2020.
Il semble qu'au lieu d'un événement consécutif en 2019, cela peut devenir la pire période d'intensité et produire trois années de sécheresse en 2020. Plus le nombre de volcans en éruption est élevé, plus il peut augmenter d'intensité pendant cette période. Nous devons nous préoccuper de l'activité volcanique apparaissant aux Antilles, qui comprend la Soufrière sur Saint-Vincent. C'est l'événement de type stratovolcan qui peut changer la météo. Ce sont des volcans connus sous le nom de volcan composite, un volcan conique constitué de plusieurs couches (strates) de lave durcie, de téphra, de pierre ponce et de cendre. Quand ils éclatent, cela envoie une quantité énorme de matière dans l'atmosphère, ce qui réduit la lumière du soleil et refroidit les températures.
RépondreSupprimerLorsque nous avons analysé les données sur la sécheresse à l'aide de nos modèles, non seulement il était en corrélation avec l'ECM, mais aussi avec la première éruption historique du volcan en 1718 et une éruption subséquente en 1812. - 1718/1719. Lorsque nous avons géré le modèle, l'année 1816, connue sous le nom d'Année sans été. Le climat devint extrêmement froid et il neige en juillet à New York. Cela a entraîné d'importantes pénuries alimentaires dans l'hémisphère nord. Notez que la deuxième éruption était 1812.
Lorsque nous avons corrélé toute cette période, il en est résulté une augmentation spectaculaire de l’activité volcanique, également liée à la baisse de la production d’énergie du soleil. Notre modèle a averti que l’activité volcanique commencerait
Lorsque nous avons corrélé toute cette période, il en est résulté une augmentation spectaculaire de l’activité volcanique, également liée à la baisse de la production d’énergie du soleil. Notre modèle a averti que l'activité volcanique augmenterait à partir d'ici en 2018 en corrélation avec une baisse de la production d'énergie du soleil qui aurait dû commencer en 2015. Notez que les pierres de la faim marquent également l'année 1811. Bien que cela soit un an avant l'éruption aux Antilles, en 1812, il y a ce qu'on a appelé l'éruption volcanique mystérieuse de 1808/1809 qui semble avoir déclenché un mini-âge glaciaire au début des années 1800. Il s’agit d’une éruption volcanique monumentale de la gamme VEI 6 qui semble avoir eu lieu à la fin de 1808. Cet événement a précédé l’éruption du mont Tambora (VEI 7) en 1815 qui a produit l’Année sans été en 1816.
- voir graphique sur site -
Il y avait l'époque où les climatologues appelaient le petit âge glaciaire, ils croyaient avoir lieu à partir de 1650 environ. Ceci était principalement dû à la baisse de la production d'énergie solaire reflétée par le déclin drastique de l'activité des taches solaires. Ce que nous examinons ici est une correction radicale de la terminologie du marché qui a eu lieu au début des années 1800. Une étude des carottes de glace du Groenland et de l'Antarctique dans les années 1990 a révélé des preuves d'une éruption volcanique massive survenue au début de 1809. Le problème auquel tout le monde était confronté était qu'il n'y avait pas de traces humaines d'un tel événement. Cela signifiait que cela devait être dans une région où les humains n'enregistraient pas l'événement. Des recherches supplémentaires ont révélé, à partir de données sur les cernes d’arbres, qu’il y avait eu une éruption majeure en 1808. Maintenant, deux sources indépendantes indiquaient une mystérieuse éruption - mais où ?
Le mystère était simplement qu'une telle éruption catastrophique de cette ampleur aurait dû être remarquée par quelqu'un. Ils ont commencé à parcourir les disques du monde entier en espérant que quelqu'un a enregistré l'événement quelque part. Enfin, en 2014, un doctorat Les étudiants Alvaro Guevara-Murua et Caroline Williams de l'Université de Bristol ont découvert un récit d'événements atmosphériques en accord avec un tel événement du scientifique colombien Francisco José de Caldas qui a enregistré un nuage transparent massif qui obstruait la lumière du soleil La nouvelle enquête a révélé que le nuage avait été observé pour la première fois le 11 décembre 1808. De Caldas a signalé des conditions compatibles avec un nuage volcanique qui a altéré le temps, le rendant inhabituellement froid, avec des gelées même amères en Colombie.
RépondreSupprimerDe nouvelles enquêtes au sud du Pérou ont produit une autre observation d'un médecin du nom de Hipólito Unanue de Lima. La combinaison de ces deux observations a conduit à la conclusion que la fenêtre de l'éruption se trouvait dans les 14 jours du 4 décembre 1808. La seule zone sous les tropiques à l'ouest de la Colombie et au Pérou avec des volcans possibles était également située dans l'océan Pacifique Sud-Ouest. entre l'Indonésie et les Tonga. À l’époque, il n’y avait pratiquement aucun reportage en provenance de cette région dépourvue d’établissements européens. La région de Rabaul a connu de telles éruptions VEI 6+, mais les archives ne datent que du milieu du XIXe siècle.
Cependant, cette éruption catastrophique VEI6 + n'est pas le seul volcan à avoir éclaté. C’est pourquoi nous avons prévenu que la période cyclique des éruptions volcaniques a augmenté avec 2018. En 1808, de nouvelles éruptions ont eu lieu à Urzelina, aux Açores, du 1er au 4 mai, et au volcan Taal, aux Philippines, en mars. cette année. Il y avait aussi le volcan chilien Putana qui a connu une éruption majeure de 1808 à 1810 (les chiffres ne sont pas précis). Cette période est suivie par une éruption massive du mont Tambora dans les Indes néerlandaises. Celui-ci est attribué à la création de l'Année sans été car il s'agit de la plus grande éruption enregistrée depuis au moins 1 300 ans. Cet événement a été suivi par l'éruption de Mayon aux Philippines en 1814, qui semble avoir contribué aux changements climatiques dus au refroidissement, créant un événement cumulatif.
- voir graphique sur site -
Nos modèles ont identifié une autre période de ce genre qui a peut-être envoyé la civilisation humaine dans l'âge des ténèbres. Il y avait une période similaire avec les volcans et les événements météorologiques extrêmes de 535-536. Des chercheurs du laboratoire Los Alamos ont publié une thèse (LA-UR 004608). Dans cette étude, ces chercheurs ont mis au point un modèle recréant une éruption volcanique d'une telle ampleur qu'elle ébranle l'esprit humain. Cette éruption est connue sous le nom d'éruption Proto-Krakatau. Il s'est produit en l'an 536 après JC dans le pays actuel d'Indonésie. Ce prédécesseur ou éruption du Krakatau du même nom et du même nom, datant de 1815, était beaucoup plus grand. La preuve de la présence de ces scientifiques est que l'explosion résultante de ce super volcan avec sa caldeira (chambre de magma) s'effondrant sous lui a formé le détroit de Sunda entre les îles de Sumatra et de Java. Avant cette éruption explosive, ces deux îles étaient une masse terrestre. Les données bathymétriques indiquent que cette caldera a un diamètre d'environ 40 à 60 km. Michael le Syrien: "Le soleil est devenu noir et ses ténèbres ont duré dix-huit mois. Chaque jour, il brillait environ quatre heures et, encore, cette lumière n'était qu'une faible ombre, les fruits ne mûrissaient pas et le vin avait un goût de raisin aigre.
Cela semble être l'éruption du volcan Krakatoa est situé sur Rakata, dans le Pacifique, entre Java et Sumatra, en Indonésie. Nous connaissons le nom de l'éruption majeure du 26 août 1883, qui fut l'une des plus catastrophiques de l'histoire moderne. Auparavant, nous connaissions une éruption plus modérée en 1680. Les historiens contemporains ont enregistré des événements. En 536, Procopius écrivait: "Au cours de cette année, un événement très inquiétant a eu lieu. Car le soleil émettait sa lumière sans éclat… et il semblait excessivement semblable au soleil en éclipse, car les rayons qu’il déversait n’étaient pas clairs. »John Lydian, ou John Lydus, était un administrateur byzantin du 6ème siècle et un historien aussi en 536AD: "Le soleil est devenu sombre ... pendant presque toute l'année ... de sorte que les fruits ont été tués à une époque hors saison."
RépondreSupprimerEn Mésopotamie, une source citée par Michael le Syrien (vers 1166-1999) et Bar-Hebraeus1246-1286 enregistre que: "En 848 des Grecs [536 A.D.]. le soleil était sombre et ses ténèbres duraient dix-huit mois, chaque jour il brillait pendant environ quatre heures et, encore, cette lumière n'était qu'une faible ombre. , les fruits n'ont pas mûri et le vin a goûté comme des raisins aigres "
Flavius Magnus Aurelius Cassiodorus, sénateur (vers 485 - vers 585), était un homme d'État romain et un historien. Il a écrit de cette période: "Le soleil ... semble avoir perdu sa lumière habituelle et apparaît de couleur bleuâtre. Nous sommes émerveillés de ne pas voir les ombres de nos corps à midi, sentir la vigueur du soleil perdu dans la faiblesse, et les phénomènes qui accompagnent une éclipse se prolonger pendant presque toute une année. Nous avons eu ... un été sans chaleur ... les récoltes ont été refroidies par les vents du nord ... la pluie est refusée ... "
Les échantillons de carottes de glace montrent clairement deux très grands pics de sulfate qui se produisent avec les volcans. Le premier a eu lieu pendant 537AD et le second a suivi en 541-542AD. Par conséquent, encore une fois, nous pourrions avoir affaire à de multiples éruptions volcaniques. Les deux pics ont approximativement la même taille. C'est le premier événement enregistré en tant que catastrophe. Les historiens contemporains mentionnés ci-dessus ont fourni des comptes rendus contemporains de cette diminution spectaculaire de la luminosité du Soleil en 536 et 537 après JC. Nous avons un autre récit contemporain d'un historien de Constantinople (Hamilton et Brooks, 1899, p. 267), que l'on croit être Zacharius de Mytilène, qui décrit: «En l'an 14 [536], le soleil commença à s'assombrir. le jour et la lune de nuit ... du 24 mars de cette année au 24 juin de l'année suivante 15. "Comme la gradation était moins sévère et plus courte, on suppose généralement que l'atmosphère était bien remplie cendres volcaniques ou la poussière de cet événement. (Rigby et al., 2004; Larsen et al., 2008). Il ne fait aucun doute que les émissions de SO2 provenant des volcans produisent une tendance au refroidissement par temps. Cependant, il a également été démontré qu’il ya un décalage de 6 à 18 mois qui varie en fonction de la hauteur des cendres dans l’atmosphère. Ainsi, il peut y avoir un effet retardé lorsque l'éruption a effectivement lieu.
Pourtant, il y a encore une autre théorie qui entre étrangement en jeu en octobre / novembre. L'argument est que nous traversons une section particulièrement dense du sentier Taurid Meteor tous les 2500 ans et cela a contribué aux légendes et au changement climatique. Chaque année, il y a des pluies de météorites du sud de Tauride qui atteindront leur point culminant du 9 au 10 octobre dans l'hémisphère sud, puis dans l'hémisphère nord.
Cela a fourni la base pour des histoires d'amour et souhaitant une étoile filante. Cependant, il y a eu d'intenses tempêtes de météores qui ont mené à la légende de dragons qui se battaient dans le ciel en respirant des boules de feu. Les documents historiques chinois du 540AD décrivent: "Les dragons se sont battus dans l'étang du K'uho. Ils sont allés vers l'ouest ... aux endroits où ils sont passés, tous les arbres ont été brisés." On prétend qu'un plus gros météore a frappé la Terre à peu près à cette époque et c'est ce qui est décrit comme des dragons se battant dans le ciel.
RépondreSupprimerLa seule grande météorite connue est celle de Tunguska, une grande explosion qui s'est produite en Russie le matin du 30 juin 1908. L'explosion a rasé 2 000 kilomètres carrés de forêt. L'explosion est classée comme un impact, même si aucun cratère d'impact n'a été trouvé. On pense que le météore a explosé au-dessus du sol et s’est désintégré de ce fait à une altitude de 3 à 6 milles avant de heurter le sol. Il s’agit de l’impact le plus important sur la Terre dans l’histoire enregistrée, et non dans l’histoire géologique.
Les impacts des météorites sont de loin parmi les forces les plus destructrices du système solaire. On croit que de tels événements ont entraîné des extinctions massives. Cependant, il y en a d'autres qui suggèrent qu'ils ont peut-être aussi livré les graines de la vie peu après la naissance de la Terre. Le plus ancien cratère d'impact de la Terre est également le plus grand et se situe en Afrique du Sud. Il est connu sous le nom de cratère de Vredefort car il faisait à l'origine 185 milles de diamètre et a frappé il y a 2,02 milliards d'années (photo ici). Il y a un autre impact majeur connu sous le nom de cratère de Chicxulub, situé dans la péninsule du Yucatan au Mexique, qui a 93 milles de diamètre et dont certains affaiblissent les dinosaures avec une explosion égale à l'énergie estimée de 10 milliards de bombes A a eu lieu il y a environ 66 millions d'années.
Sodome et Gomorrhe, qui sont probablement situées à la mer Morte, ont peut-être été détruites par des débris provenant d'une comète, selon de nouvelles recherches archéologiques et astronomiques. La mer Morte est réputée pour sa salinité extrême (34% de sel, soit presque 10 fois plus salée que l’océan) et pour l’élévation la plus basse sur Terre, à 1 407 pieds (429 mètres) au-dessous du niveau de la mer. L'argument reste qu'il y eut une chute simultanée de l'Ancien Empire de l'Egypte ancienne, de la civilisation sumérienne en Mésopotamie et de la civilisation Harrapin de la vallée de l'Indus. Au total, une quarantaine de villes auraient disparu dans une série de catastrophes. De nombreux astronomes pensent que la Terre a été bombardée par une tempête de météorites particulièrement dense sur deux siècles tous les 2500 ans. Les deux dernières occurrences étaient autour de 2200-2000BC et 400-600AD. Une partie de la preuve est que trois régions du Moyen-Orient contiennent toutes un matériau de calcite que l'on trouve uniquement dans les météorites. Ils soutiennent que le récit biblique trouvé dans la Genèse décrit comment «le Seigneur a plu sur Sodome et sur le soufre et le feu de Gomorrhe du Seigneur» qui décrit une tempête de météorites.
En fin de compte, nous pouvons être aussi insignifiants qu’un caillou au fond de l’océan sans comprendre ce qui se trouve au-dessus de nos têtes.
https://www.zerohedge.com/news/2018-08-27/martin-armstrong-dashes-global-warming-doom-loop-fears-hunger-stones-have-appeared