samedi 22 août 2015

Qu'est ce qu'un 'écologiste' ?


Avant tout, un 'écologiste' n'est pas un scientifique, ni un instituteur et encore moins un professeur. Mais, il se permet du haut du son non-savoir de donner des conseils ! Conseils qui sont suivis par les gouvernements !! De sorte que sont nés des associations fantômes comme 'greenpeace' ou le 'GIEC' qui ne rassemblent aucune tête pleine mais leur objectif est d'être cités par les merdias gouvernementaux et interviewés afin de remplacer les scientifiques ! (interdits de plateaux-télé ou de studios-radios comme de colonnes aux journaux !).

Donc, au départ, leurs impressions étaient parrainées par les gouvernements comme l'a été le présentateur-télé Al Gore qui n'est pas un scientifique mais qui s'est permis de rassembler plusieurs centaines de scientifiques à Kyoto (en 1998) afin qu'ils lui remettent leurs rapports sur le climat à venir. Chose faite, il leur demanda alors de monter tous ensemble sur l'estrade pour la photo. Chose faite, les scientifiques allèrent s'asseoir et, le discours d'Al Gore commença.

Or, les propos qu'il tint alors ne tenaient en rien des rapports déposés par les scientifiques et parlaient de 'Global Warming' ! C'est alors que tous les scientifiques de la grande salle commencèrent à s'agiter, à se regarder et à se poser question sur lequel de tous avait émis un tel rapport !

A cette époque, ce n'était pas encore tous les scientifiques qui avaient Internet surtout les scientifiques hors États-Unis. Donc, ils échangèrent leurs cartes de visites en se promettant de s'écrire ou de se téléphoner. Ce mic-mac pris du temps à ce centraliser et ce au point d'émettre une pétition visant à dénoncer les mensonges - dits sur scène par le candidat socialiste/démocrate (perdant prochainement aux élections contre GW Bush Novembre 2000) - et à porter plainte contre cette escroquerie qui elle n'entendait pas en rester là !

Or, si 'elle n'entendait pas en rester là', l'escroquerie a effectivement fait du chemin depuis ! Al Gore poussait jusqu'à être reçu par les chefs d'États 'au nom des scientifiques' ! et à leurs débiter des idioties aussi grosses que lui jusqu'aux hypothèses de meurtres qui pourraient être retenues envers les opposants qui - plus tard - seront nommés des 'sceptiques' !! 'Sceptique' étant un qualificatif d'une personne qui douterait des rapports cités par Al Gore, alors qu'il n'y a JAMAIS eu de 'sceptiques' mais des réponses franches face à l'escroc-menteur qui disait se référer aux informations émises par des scientifiques. D'ailleurs, ces propos d'extermination des opposants ont été repris par nombre de personnes (Congressistes inclus !) qui désiraient mettre un terme à celles et ceux qui n'étaient pas d'accord avec eux !


L’UE va financer des agents pour contrer les eurosceptiques sur Internet
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L'atteinte à la vérité

Outre le côté publicitaire mis en avant par les assassins, il y a une atteinte à la vérité. Cette atteinte ne se fait pas à l'insu du plus grand nombre ou à celui du Q.I. le plus élevé mais celui de la force des armes où celle ou celui qui ne serait pas d'accord serait exterminé ! Ainsi, les scientifiques hautement qualifiés ne feraient plus références au profit de petits dictateurs de merde qui entendent se passer de la vérité et de répéter entre ligne que 'toute vérité ne serait pas bonne à dire' !!!

Ainsi, outre le fait réel que les Etats-Unis sont (depuis longtemps) maître du climat mondial grâce aux progrès scientifiques développés à Gakona (AK), et que les pluies (trombes d'eau, inondations) comme les sécheresses n'ont plus de secrets pour eux, ils demandent seulement (par la petite porte) que soient justifiés par cette très haute technologie l'emploi du scalaire et de ses applications en option sans en prononcer le nom !

Or, il n'y a pas que les États-Unis qui possède cette avancée technologique issu de Nikola Tesla, car, à SURA (Russie) on sait faire 'de même'. Et, c'est - semble t-il - ce qui gêne.

Mais, passons si vous le voulez bien aux explications de cette technologie merveilleuse, sans rivale et totalement de la plus haute défense comme celle d'attaque. L'emploi des ondes électromagnétique permet entr'autres de repérer une nappe de pétrole à 4000 m de fond, d'en afficher sa longueur, largeur, épaisseur et profondeur mais aussi d'afficher sa consistance, sa pression et ses meilleurs graphiques pour l'extraire. Donc, vous pensez bien qu'un sous-marin ennemi qui serait 'planqué' quelque part dans les profondeurs océaniques n'aurait guère de chance de lui échapper. C'est aussi pour cela que depuis plus de 50 ans la bombe atomique (remise sur la table lors de conflits ! Hahahaha !) est obsolète et que ses fûts de départ fussent-ils enterrés 'quelque part' serait détruits s'ils venaient à lever le petit doigt !

Mais de cela - cela prouve bien que la presse internationale est bien entre les mains de quelqu'un ! - il ne faut surtout pas en parler comme du pétrole abiotique ou de la tour n°7 au WTC ou encore des facétieux hologrammes qui ont bêtement refusé de fonctionner après seulement quelques heures de bons et loyaux services en ce 11 Septembre 2001 ! Hahahaha !

L'emploi du scalaire peut aussi être pacifique !

Pensez donc ! La découverte savantissime du jeune croate aurait pu en premier lieu: pousser les nuages ! 'Pousser les nuages' ! C'est-à-dire faire pleuvoir là où il ne pleut jamais ou pas suffisamment ou, empêcher la pluie de tomber dans telle ou telle région afin d'éviter les inondations !
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Voilà une idée qu'elle est bonne ! Donner de l'eau aux déserts ! C'est-à-dire aussi: favoriser l'agriculture dans TOUS les pays et donc... donner à manger aux milliards d'humains sur Terre et à venir ! (à l'heure où justement les chemtrails sont là pour la dépopulation !). Et oui, alors que l'info aurait dû faire les gros titres, c'est tout juste si elle n'a pas été effacé !!! La constatation plus qu'un peu trop abondante de nano-particules d'aluminium dans le pistil des fleurs a porté - l'Université anglaise à laquelle cette découverte était rapportée - à s'intéresser au miel des abeilles dont ils en étudiaient la mortalité. Effectivement, le miel était forcément autant alzheimerien que tout autre produit ! Mais d'où venaient ces 'nano-particules d'aluminium' en l'absence de mines à ciel ouvert dans les environs ? Elles provenaient d'épandages par avions ! Ces fameux chemtrails dont certaines personnes mal intentionnées décriraient comme étant de la vapeur d'eau !!

La maladie d'Alzheimer

Un contrail est un trait blanc de vapeur d'eau (d'1 km env.) qui suit et s'efface derrière l'avion. Un chemtrail est un trait qui fait des centaines de kilomètres, s'épaissit au fil des heures et de sa descente et contient divers métaux lourds létaux. Par exemple en France, il y a plus de 7 000 avions qui la traverse chaque jour. Un bon 200 passe donc sur votre tête. Combien comptez-vous de chemtrails ?... 1 ? 2 ? ou 3 ?! Hahahaha ! Et pourquoi seulement 1, 2 ou 3 ?



 


27 commentaires:

  1. WTI crude est inférieure à 40 $ première fois depuis 2009

    21 août 2015 23:35

    Indice de référence américain WTI crude brièvement glissé au-dessous de 40 $us le baril pour la première fois depuis 2009, montrant un huitième baisse hebdomadaire de droite, la plus longue série en près de 30 ans.

    Pendant le trading intraday à New York, le prix de pétrole brut WTI repère a chuté aussi bas que 39,86 $ le baril avant de s'installer à 40,45 $, une baisse de 2,1 % en une seule journée. En même temps la référence mondiale de Brent est tombé à 2,5 % jusqu'à 45,46 $ par baril.

    L'huile coule à 40 $, ouvre une session plus longue hebdomadaire défaites en 29 ans : http://t.co/a23cdDQ6PCpic.twitter.com/orckuTFuyP
    — Jesse Colombo (@TheBubbleBubble) 21 août 2015

    Le dossier métiers bas a eu lieu après que les données de Baker Hughes ont montré une augmentation du nombre de huile de plates-formes aux Etats-Unis pour la cinquième semaine de droite. Le nombre d'exploitation pétrolière américaine de plates-formes se trouve maintenant au 674.

    Les restes de marché sensibles à tout changement d'alimentation après que plus tôt cette semaine, l'Energy Information Administration a annoncé US fournitures a augmenté de 2,62 millions de barils à 456,21 m de barils la semaine dernière, les plus hauts niveaux de l'inventaire en huit décennies.

    Les compagnies pétrolières américaines, malgré une vague de faillites ou des rachats après une année de baisse des prix, largement prévue ont réussi à augmenter les coûts de slash et de l'argent des investisseurs, en se concentrant sur les puits plus productifs et montrant plus que les niveaux de production escomptés.

    Alors que la demande reste forte, rétrécissement du secteur manufacturier chinois et de la récente dévaluation du yuan ont envoyé une onde de choc sur les marchés mondiaux, non seulement l'huile un. Le Dow Jones industrial average et le Nasdaq Composite ont subi leurs plus grandes pertes hebdomadaires depuis septembre 2011.

    Brut près de 6 ans faible sur les données de Japon sombres, l'OPEP et é sortie
    Pendant ce temps les pays de l'OPEP sont aussi pompage du pétrole à des niveaux quasi record – environ 32 millions de barils par jour (bpj) en juillet, selon diverses sources, ce qui est de 2 millions de barils/jour plus que la cible de l'OPEP de 30 millions.

    L'Organisation des pays exportateurs de pétrole devrait largement seulement augmenter la production de brut malgré la surabondance sur le marché mondial du pétrole. Production de volonté seule augmentation des sanctions une fois sur Téhéran sont supprimés, permettant à l'Iran d'inonder le marché avec de l'huile encore plus loin.

    http://www.rt.com/business/313079-crude-oil-record-low/

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    1. Les stocks n'en finissent plus et, comme il demeure très cher à la pompe...

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  2. Otan: des ”elfes” pour lutter contre les ”trolls” russes

    Actualités 14:37 22.08.2015

    Afin de lutter contre la désinformation propagée par la Russie et l’Etat islamique (EI), l’Otan envisage de former une armée d’”elfes” capables de faire face aux ”trolls” russes sur Internet, rapporte la chaîne finlandaise Yle.
    D'après la classification des "trolls politiques" proposée par l'Institut des relations internationales de Lettonie, ce type d'internautes se résume principalement à deux profils bien distincts: les "propagandistes", qui accusent les Etats-Unis de tous les maux et les "blondes" qui posent des questions stupides afin de recevoir des réponses "appropriées", écrit Yle.

    Quand les "trolls russes" compliquent la vie des espions américains
    "Il est indispensable de créer une armée d'elfes afin de lutter contre les trolls russes", a fait remarquer Rebecca Goolsby, spécialiste en anthropologie et réseaux sociaux du département d'investigation de l'US Navy. Avec ses collègues, elle mène des études au centre de renseignement de l'Otan Stratcom à Riga.

    Selon Simone Rupert West, officier de l'Otan, il est crucial à ces fins d'appréhender la technologie de l'adversaire et d'effectuer une analyse psychologique en profondeur. Parmi d'autres mesures à prendre, certains experts proposent de dresser une carte de la propagation de la désinformation, ce qui s'avère être une tâche difficile étant donné la structure ramifiée des réseaux "ennemis", notamment de l'EI.

    "Il ne s'agit pas de contrepropagande, mais d'un regard critique sur l'information", a souligné Raimonds Vejonis, le président de la Lettonie.
    "C'est une question de culture médiatique et de réaction prompte aux événements. La capacité de repérer la désinformation et d'en prévenir les citoyens aussi vite que possible est une clé de voûte", ajoute l'Yle.

    Certains médias américains ont déjà évoqué à plusieurs reprises les "trolls russes" qui sapent le travail des espions américains en déformant l'opinion publique. Cependant, le Kremlin a démenti toute liaison avec l'Agence d'investigation de l'internet, plus connue sous le nom de l'"usine à trolls".
    "Le Kremlin n'a rien à voir avec cette Agence d'investigation de l'internet", a assuré le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov.
    L'officine œuvrant sur internet à la propagande pro-Kremlin a été condamnée par la justice russe au profit d'une militante de l'information qui s'y était infiltrée.

    http://fr.sputniknews.com/actualite/20150822/1017712136.html

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    1. C'est tout de même un comble que les Etats-Unis qui ont la NSA qui repèrerait, suivrait et tuerait tous les 'terroristes' ne puisse éliminer voire seulement citer... UN troll ! Hahahahaha ! ni dire où il habite exactement plutôt que d'énoncer idiotement 'Russie' ou 'Chine' ! Hahahaha !

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  3. Semaine noire pour les grands de ce monde

    16:35 22.08.2015

    La fortune des milliardaires a souffert de l'effondrement du marché boursier mondial.

    Selon les statistiques du Bloomberg Billionaires Index, les 400 personnes les plus riches du monde ont perdu 182 milliards de dollars en seulement une semaine suite à l'effondrement du marché boursier. C'est le pire résultat constaté depuis septembre 2014, quand Bloomberg a lancé le suivi de l'évolution de la fortune des milliardaires.

    Ainsi, les avoirs des personnes les plus riches du monde ont baissé vendredi de 76 milliards de dollars dans le sillage de l'indice boursier Standard&Poor's 500, qui a dévissé en-dessous de 2.000 points.

    Il semblerait que ce soit l'investisseur américain Warren Buffet qui a le plus souffert de l'effondrement du marché — sa fortune a chuté de 3,6 milliards de dollars. Les actions de la compagnie Berkshire Hathaway, dont il est l'actionnaire principal, ont perdu plus de 5% de leur valeur.

    Dans le même temps, selon certains experts, la situation n'est pas catastrophique.

    "182 milliards de dollars est une somme considérable, mais pour eux (milliardaires, ndlr) elle n'est pas si énorme que cela. Les semaines comme celle-ci sont très désagréables. Mais si on regarde les choses de façon rétrospective, on réalise que ce n'est pas une catastrophe", a expliqué John Collins, directeur de la compagnie de conseil en investissements Aspiriant.

    La bourse américaine a dégringolé dans le sillage des marchés d'Europe et d'Asie, déstabilisés par la situation négative en Chine — l'activité industrielle chinoise a atteint son plus bas niveau depuis six ans.

    En outre, le moral des investisseurs influencé par les attentes concernant la Réserve fédérale des Etats-Unis, qui devrait augmenter le taux d'intérêts de base lors de sa prochaine session qui se tiendra en septembre

    http://fr.sputniknews.com/international/20150822/1017714323.html

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    1. Pourquoi 'semaine noire' ? Si des milliardaires perdent de l'argent, d'autres n'en reçoivent-ils pas ?? Bizarre qu'ils soient inconnus !

      Voudraient-ils dire par là que l'argent ne fait pas le bonheur ?

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  4. La Chine choisit ses armes


    Soumis par Tyler Durden le 22/08/2015 19:28 -0400
    Par Alasdair Macleod de monnaie d'or


    Ces dernières mini-dévaluations de la Chine avaient moins à voir avec les défis économiques de son montage et plus à voir avec une déclaration du FMI le 4 août, qu'elle propose de reporter la décision d'inclure l'yuan dans les DTS jusqu'en octobre prochain

    Excuse du FMI était d'éviter des changements à la fin d'année civile et pour permettre aux utilisateurs de l'époque de DTS pour « ajuster à une composition de panier changement potentiel ». C'était une mauvaise explication qui n'était guère crédible, étant donné que les utilisateurs SDR ont déjà eu cinq ans pour se préparer ; mais la décision confirmant le retard a finalement été libérée par le FMI dans un communiqué mercredi 19.

    On ne peut blâmer la Chine pour estimant que ceux-ci sont de retarder les tactiques visant à maintenir le yuan à et si ce soupçon tombe sur les États-Unis comme instigateurs. L'Amérique a le plus à perdre, car si le yuan est accepté en DTS les future hégémonie du dollar sera compromise, et tout le monde le sait. La décision finale quant à savoir si l'yuan sera inclus n'est pas due à prendre jusqu'à plus tard cette année, alors que la Chine a encore le temps de convaincre, par tous les moyens à sa disposition, tous les membres du FMI à s'entendent pour inclure l'yuan dans les DTS proposé à l'origine, même si son inscription est temporairement reportée.

    La Chine a d'abord rejetée dans cette quête en 2010 et depuis puis a travaillé dur pour corriger les lacunes soulevées à l'époque par le Conseil d'administration du FMI. C'est le contexte de la nouvelle politique de change de la Chine et ce qui ressemble aussi à devenir fréquentes mises à jour sur son or des réserves. Il convient de répéter que ces mouvements n'avaient rien à voir avec ses conditions économiques nationale, pour les raisons suivantes :

    • Pour avoir un effet économique une dévaluation substantielle serait nécessaire. Ce n'est pas ce qui se passe. En outre, dévaluation comme une solution économique est essentiellement une proposition keynésienne et c'est loin de leadership clair de la Chine embrasse l'économie keynésienne.

    • Avec la Russie par le biais de l'Organisation de coopération de Shanghai, Chine envisage une révolution d'infrastructure qui englobe l'ensemble de l'Asie, qui va répliquer le développement économique post-1980 de la Chine, mais sur une plus grande échelle. C'est pourquoi « ces dans le savoir » a sauté sur l'occasion de participer à des possibilités de financement par le biais de la Banque d'investissement Infrastructure asiatique, qui sera le principal canal de financement.

    • Stratégie de la Chine dans les décennies à venir est d'être le fournisseur des produits haut de gamme et des services à l'ensemble du continent eurasiatique, évolution de son état actuel tant qu'un fabricant de faible coût pour le reste du monde.

    (suite en dessous:)

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  5. Les dirigeants chinois ont une vision, et c'est une erreur de penser à la Chine uniquement dans le contexte d'un pays dont l'économie est sur le mauvais bout d'un cycle de crédit. C'est vrai et crée d'énormes problèmes, mais le gouvernement prévoit de réaffecter les ressources capital des industries héritées de futurs projets. Avec raison ou à tort et à la différence de n'importe quel gouvernement occidental à ce stade dans un cycle de crédit, la Chine accepte qu'une bulle de crédit dégonflage est une conséquence nécessaire d'une politique délibérée qui prend en charge ses plans pour l'avenir. Elle est prête à vivre avec et de gérer les retombées de la baisse des valorisations des actifs et des faillites d'entreprise, facilitées par l'étatisation des banques.

    Au lieu de cela, pour comprendre pourquoi elle change le taux du yuan-dollar il faut regarder monnaies du point de vue de la Chine. La Chine est la plus grande puissance de fabrication du monde de loin et peut dire pour contrôler le commerce mondial des prix en conséquence. Il devient alors évident que la Chine n'est pas tellement de dévaluer l'yuan, mais provoquant une réévaluation du dollar vers le haut par rapport au prix du commerce international. Elle est consciente que l'économie américaine est en difficultés et que la Fed s'inquiète de la perspective de la déflation des prix, donc plus bas prix à l'importation sont la dernière chose que la Fed a besoin. Déménagement de monnaie de la Chine commence maintenant à faire sens.

    Les mini-dévaluations étaient un signal à Washington et dans le reste du monde que si elle le souhaite la Chine peut dicter les perspectives économiques mondiales à travers les marchés des changes. La Chine pense, avec raison, qu'elle est plus politiquement et économiquement solide et a une meilleure prise sur les actions de ses propres citoyens, que les économies de bien-être de l'Ouest dans le cas d'un ralentissement économique. Par conséquent, elle poursuit sa politique de change d'une position de force. Et les incréments qui seront désormais ajoutés aux réserves d'or par mois sont un signal que la Chine pense qu'elle peut déstabiliser le dollar par l'intermédiaire de son contrôle du marché de l'or physique, car elle nous rappelle doucement d'une question sans réponse toujours esquivée par le Trésor américain: quelle preuve y a-t-il de l'état des Etats-Unis de réserves d'or ?

    La Chine vivrait probablement d'obtenir un report de l'adhésion de son DTS pour une année supplémentaire, s'il y a une décision définitive en octobre d'inscrire sa devise dans le panier du Dts. Cela étant le cas, la Chine doit être tentée pour augmenter la pression sur tous les membres du FMI avant la réunion d'octobre. La stratégie donc passe de moins de passivité à l'agression plus sur des taux de change et sur or propriété au cours des huit prochaines semaines. On peut s'attendre à la Chine de serrer la vis si nécessaire.

    Les enjeux sont élevés, et la dévaluation de la Chine de seulement quelques pour cent a causé suffisamment de chaos sur les marchés financiers pour l'instant. Mais si la réponse éventuelle, c'est que l'yuan ne pourront pas rejoindre le panier du DTS, il sera dans l'intérêt de la Chine à accélérer le rythme de développement de la nouvelle banque de BRICS plutôt avec sa propre version d'un SDR, vente des réserves de dollars et qui sous-tendent les bons du Trésor pour financer. La menace que la Chine deviendra son dos sur le système financier de l'après-guerre et le FMI aussi minerait la crédibilité de cette institution plus rapidement peut-être que l'hégémonie du dollar si l'yuan a été accepté. Et si un FMI sous contrôle américain perd sa crédibilité, même alliés seront désert, comme ils le faisaient pour rejoindre la Banque d'investissement Infrastructure asiatique il y a quelques mois.

    (suite en dessous:)

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  6. Il allait toujours être aux Etats-Unis qui fait face à une situation de puissance économique de croissante de la Chine. Elle a choisi de bluffer dehors au lieu d'accepter gracieusement les vents du changement, comme la Grande-Bretagne l'a fait sur son empire il y a soixante ans. Changement dans l'ordre économique de picage se passe encore une fois qu'on le veuille ou non et la Chine aura son chemin.

    * * *

    Et, comme un rappel à partir de 2013, là encore, c'est le « US vs Chine guerre des devises pour les nuls »

    http://www.zerohedge.com/news/2015-08-22/china-chooses-her-weapons

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  7. Productivité en Amérique maintenant au même niveau que l'économie agraire esclave


    Soumis par Tyler Durden le 22/08/2015 18:29 -0400
    Soumis par Eugen Bohm-Bawerk


    Dans premier épisode, nous avons montré comment les États-Unis sont devenus une tertiarisation de secteur basé insoutenable depuis les années 1970 à partir où emploi service dans le secteur ont divergé de fabrication sans une augmentation correspondante de la productivité. Dans deuxième épisode nous avons énoncé les conséquences que la transition a eu sur le travail en ce qui concerne les bas salaires et avantages sociaux. En outre, nous avons réitéré notre argument que la politique monétaire est devenue esclave au secteur des services que celle-ci a devenir liée à le beaucoup vanté effet de richesse (consommation de capital) qui fait maintenant partie intégrante du cycle conjoncturel américain.

    Maintenant il est temps de regarder de plus près à la productivité, mesurée en termes de PIB par habitant. Alors que ce n'est pas un moyen tout à fait correct pour mesurer la productivité, il n'adhère pas aux nouvelles théories de modèle de croissance classique qui postulent que dans une économie développée, atteinte l'état d'équilibre, la seule façon d'augmenter le PIB par habitant est à travers une augmentation de productivité globale. En langage clair, la croissance du PIB est par habitant égal à la croissance de la productivité. La raison pour laquelle que nous utilisons ce concept plutôt que les mesures de productivité plus avancées est d'obtenir une assez longue série temporelle afin de bien comprendre les forces fondamentales sous-jacentes, faire avancer la société.

    Dans notre graphique principal, nous avons essayé de voir à travers tout le bruit sous-jacente dans les données annuelles en regardant une moyenne mobile sur 10 ans et une courbe de tendance polynomiale.

    Dans la période précédant la guerre de 1812, la croissance de la productivité aux États-Unis a été terne que l'économie était principalement motivée par l'agriculture et les esclaves (esclaves n'ont pas intérêt à travailler dur ou innover, seulement à travailler juste assez fort pour éviter d'être battu). De 1790 à 1840 croissance annuelle moyenne de 0,7 % seulement.

    Comme la première révolution industrielle a commencé à s'installer dans la croissance de la productivité au nord-est, ont augmenté rapidement, et encore plus au cours de la seconde révolution industrielle qui propulse l'économie américaine pour devenir le plus grand du monde et, éventuellement, l'hégémon global (voir tableau des bonus à la fin).

    Comme note latérale, il est intéressant de noter que tandis que les États-Unis est devenu la plus grande économie mondiale déjà en 1871, la Grande-Bretagne s'agrippent au rôle comme une puissance hégémonique mondiale jusqu'en 1945. Appliqué à la situation actuelle étant donné que la Chine est, dans une certaine mesure, déjà la plus grande économie de la planète, cela ne signifie pas qu'il gouvernera les sept mers de sitôt. À notre avis, ils ne seront probablement jamais, mais c'est une histoire pour une autre fois.

    (suite en dessous:)

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  8. - voir graphique sur site -

    Réglage pour l'anomalie de WWII (qui nous dit que le PIB n'est pas une bonne mesure de la prospérité d'un pays) nous croissance de la productivité a atteint un sommet en 1972 – soit dit en passant un an après que Nixon a pris les Etats-Unis au large de l'or. La productivité baisse vu depuis lors est sans précédent. Malgré la courte durée boom des années 1990 nous productivité croissance moyenne de seulement 1,2 % de 1975 jusqu'à aujourd'hui. Si nous isolons les 15 dernières années, nous la croissance de la productivité est comparable à ce qu'un esclave agraire, l'économie a pu atteindre il y a 200 ans.

    En outre, au cours des 15 dernières années également vu une énorme contribution au PIB de finances. Si nous regardons le PIB des États-Unis par apport de valeur ajoutée par l'industrie que nous voyons clairement comment finance se distingue dans ce qui aurait été une économie très diversifiée.

    - voir graphique sur site -

    Avec le recul, nous savons que la finance a fait plus de mal que de bien alors nous pouvons déduire prudente de finances dans les calculs du PIB et ce faisant, on essentiellement aboutit à aucune croissance par habitant du tout sur une longueur de plus de 15 ans! PIB réel aux États-Unis par habitant moins contribution de finances a augmenté en moyenne annuelle de 0,3 % entre 2000 et 2015. Depuis 2008, la moyenne annuelle a été négatif de 0,5 % !

    En d'autres termes, nous avons vu un progressif (calembour prévu) affaiblissement de l'économie américaine depuis les années 1970 et la raison est simple, assez quand on sait que la politique monétaire broken down à sa plus simple est une transaction de rien (monnaie fiduciaire) pour quelque chose (production réelle de biens et services). Politique monétaire moderne, ce qui viole le principe plus sacré dans une économie de marché ; à savoir que la production crée sa propre demande. Uniquement par le biais de la production précédente, soit votre propre ou emprunté, peut un express vrai pouvoir d'achat sur le marché.

    La Banque centrale n'a pas besoin de s'inquiéter des choses triviales. Elles peuvent fabriquer le moyen d'échange à zéro coût et le pouvoir d'achat explicite sur le même niveau que le producteur. Toutefois, la consommation de biens et services payés avec l'argent de zéro coût réels doit par définition être pure consommation de capital.

    Cela sur une grande échelle, sur une longue période de temps, même une économie riche capitale, comme les Etats-Unis vont finir par baisser. Capital par travailleur tombe par rapport à des concurrents à l'étranger, coût remonte et chutes de compétitivité (pense que la ceinture de la rouille). Structures de production ne peuvent être correctement financés et l'économie doit régresser pour aligner le financement avec son niveau de spécialisation.

    (suite en dessous:)

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  9. Dans sa phase finale, investissement céder la place à la spéculation, et tout à coup la finance est la plus importante industrie, tirant le meilleur et le plus brillant de tous les coins du globe, juste pour trouver des moyens plus ingénieux pour optimiser la consommation de capital.

    Comme l'économie de l'esclave a obtenu perverti par des mesures incitatives non ne pas pour travailler, fait ainsi l'économie spéculative fiat basé, qui par conséquent créer des serfs de la dette sur une grande échelle.

    Tableau de bonus :
    - voir graphique sur site -

    http://www.zerohedge.com/news/2015-08-22/productivity-america-now-par-agrarian-slave-economy

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  10. Venezuela annonce la loi martiale en état-frontière, dépêches 1500 soldats

    Soumis par Tyler Durden le 22/08/2015 14:28 -0400


    Alors que l'effondrement du Venezuela à une singularité socialiste mieux défini par la dévastation économique totale a été relaté ici au fil des ans...
    jusqu'au point où l'hyperinflation du ni pays, ni total effondrement de sa monnaie...

    - voir graphique sur site -

    n'a pas son retour à une économie de troc, ni même le fait qu'il est à court de préservatifs, fausses seins, ou bière engendrent une grande partie d'une réaction, peut-être la seule chose que les lecteurs semblent sensibles à quelle sera la tête de l'implosion sociale renouvelée politique des tensions qui entraînera probablement un autre renversement politique violent, qui peut ou ne peut pas impliquer l'armée locale.

    Aujourd'hui Venezuela a fait un pas dans cette direction quand son président Maduro a déclaré l'état d'urgence dans une région frontalière près de Colombie suite à une attaque par des contrebandiers dans laquelle trois soldats et un civil ont été blessés, résultant dans les 60 jours de la loi martiale dans cinq municipalités de l'Etat de Tachira. Il a également dit la fermeture de la frontière, a annoncé jeudi, sera prolongée jusqu'à nouvel ordre.

    - voir graphique sur site -

    Passeurs d'essence et la nourriture ont plus en plus se sont affrontés avec les agents. Selon la BBC, Maduro a déclaré des groupes paramilitaires colombiens voyagent régulièrement au Venezuela, génératrices de chaos et la pénurie pour déstabiliser la révolution.

    Beaucoup spéculent ouvertement que l'explication officielle est bidon, et Maduro veut simplement un prétexte pour déployer l'armée tout d'abord sur un État dans lequel les tensions sociales ont conduit à la violence et la mort comme un test, puis partout ailleurs où les sentiments hostiles au gouvernement est à la hausse.
    Maduro, a déclaré qu'un supplémentaire de 1 500 soldats sont arrivés pour renforcer la zone. « Ce décret fournit assez de puissance pour les autorités civiles et militaires pour rétablir la paix, » il a dit lors d'une émission sur la télévision d'Etat.

    Il autorise également l'armée pour faire face à la population, comme il l'entend, et en général de confirmer que la société Venezuela est rapidement spirale hors de contrôle.

    Mercredi, trois officiers de l'armée vénézuélienne et un civil ont été blessés dans des émeutes avec des trafiquants colombiens.

    Venezuela a fermé sa frontière avec la Colombie pour la première fois l'année dernière.

    Le président colombien Juan Manuel Santos a critiqué le déménagement. M. Santos a dit les gens ordinaires des deux côtés de la frontière, y compris les enfants, souffriraient le plus. "Si nous coopérons, les seuls à perdre sont les criminels, mais si la frontière est fermée, il n'est aucune coordination et les seuls à gagner sont les criminels", a déclaré M. Santos.

    (suite en dessous:)

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  11. Les tensions courent élevées le long de la frontière poreuse de (1 370 milles) 2 200 kilomètres.

    Et à moins que le prix du pétrole se retourne en quelque sorte, Venezuela, dont l'économie dépend entièrement des exportations de pétrole, va sûrement voir les tensions migrer vers la capitale Caracas, où une fin beaucoup plus violente est assurée, ainsi que par défaut l'inévitable du pays. Rappeler depuis quelques semaines, selon le marché du CD que Stéphane a été établie à l'état plus susceptible de faire défaut dans les prochains mois.

    - voir carte sur site -

    À ce stade la question est peut-être pas si Maduro perdront le contrôle - il sera - mais quels intérêts bancaires cuites au U.S. devra intervenir pour arracher le contrôle de l'industrie du pétrole vénézuélien de l'État, et à quel point cela s'appliquera ?

    http://www.zerohedge.com/news/2015-08-22/venezuela-announces-martial-law-border-state-dispatches-1500-soldiers

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    1. Précautions conséquentes à l'effondrement imminent du dollar.

      Analyser seulement la pression faite actuellement pour abandonner l'argent-papier au profit du fric-électrique !

      C'est vrai aussi que la frontière poreuse andine est une catastrophe, et, que les conflits armés venus de l'extérieur de la Colombie seront certainement de passer par là contre (comme toujours) les yeux fermés sur le marché très lucratif de la drogue.

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  12. 7 millions de personnes n'ont pas fait un remboursement de prêt étudiant dans au moins un an


    Soumis par Tyler Durden le 22/08/2015 11:43 -0400


    C'est peut-être toutes les discussions sur l'annulation de la dette globale ou peut-être le montant total de l'endettement étudiant exceptionnel a simplement grandi si grand ($ 1,3 billions) que même ceux qui ont aucune conception de combien d'argent qui est en fait se rendre compte que c'est tout simplement never Gonna payé retour donc il n'y a pas de point se soucier de, mais quoi qu'il en soit, le niveau général d'inquiétude au sujet de la bulle de la dette étudiante de l'Amérique ne semble pas être du tout proportionné à la taille du problème.

    Et ce n'est pas seulement la taille de la pile de dette qui est inquiétante. Il y a aussi les effets d'entraînement, telles que formation ménage retardée et la préposé auxiliaires pressions à la baisse sur les taux d'accession à la propriété et bien sûr l'hyperinflation dans le marché de la location.

    Bien sûr que personne n'est pris de panique - encore - fait que la gravité du problème est masquée par le taux de délinquance artificiellement supprimés. Comme nous avons documenté dans les moindres détails, si on exclut les prêts en ajournement et abstention de numérateur dans le calcul de la délinquance, mais inclut ces prêts dans le dénominateur, alors le taux de délinquance sera faussement faible. En tout état de cause, comme le Wall Street Journal rapporte, même si l'on regarde quelque chose de très simple comme, disons, le nombre d'emprunteurs qui n'ont pas effectué un versement en un an, l'image n'est pas assez et il s'aggrave tout le temps. Voici plusieurs :

    Presque 7 millions d'Américains sont allés au moins une année sans faire un paiement sur leurs prêts fédéraux, un énorme niveau de défaut qui met en lumière comment la dette étudiante continue à charge des ménages malgré un amélioration du marché du travail.

    À compter de juillet, 6,9 millions d'américains avec les prêts étudiants n'avait pas envoyé un paiement au gouvernement au moins 360 jours, les données trimestrielles du ministère de l'éducation a montré cette semaine. Qui a augmenté de 6 %, soit 400 000 emprunteurs, à l'année précédente.

    Les chiffres traduisent environ 17 % de tous les emprunteurs avec des prêts fédéraux étant gravement souffrance — et cette part serait encore plus élevée si les emprunteurs actuellement à l'école ont été exclus. En outre, des millions d'autres emprunteurs qui n'ont pas atteint le seuil de 360 jours que le gouvernement définit par défaut sont mois derrière sur leurs paiements.

    Chaque nouvelle récolte des élèves connaît les mêmes problèmes"à rembourser, a déclaré Mark Kantrowitz, un expert de l'enseignement supérieur et l'éditeur du site d'informations Edvisors.com. "L'ensemble de la situation n'est pas mieux en mieux".

    La mise au point porte grandes implications pour les emprunteurs, les contribuables et l'économie. Les économistes ont averti de défaut de paiement de dette étudiante endommageant la solvabilité des emprunteurs, qui nuirait à leur capacité d'emprunt pour des choses comme les voitures et maisons. Qui à son tour cela nuirait à l'économie, qui s'appuie fortement sur les achats des consommateurs pour l'activité économique. Délinquances également drainer les recettes publiques, qui servent à accorder des prêts futurs.

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  13. Alors, quelle est la solution que vous demandez ? Selon le gouvernement, la réponse est le revenu selon le plan de remboursement. Voici Le Journal nouveau:

    Secrétaire à l'Education Arne Duncan dit baisses [dans certaines catégories de délits] résultant de la participation croissante dans les plans de remboursement fondé sur le revenu, qui abaissent les factures mensuelles des emprunteurs en liant les paiements à leurs revenus. Inscription dans les plans ont bondi de 56 % l'an dernier chez les emprunteurs de prêts directs.

    L'administration a encouragé instamment les plans, principalement par le biais de courriers électroniques à des emprunteurs, au cours des deux dernières années dans le but d'endiguer les valeurs par défaut. Des versements d'ensemble des plans 10 % ou 15 % de leur revenu discrétionnaire, défini comme un revenu brut ajusté moins 150 % du seuil de pauvreté fédéral.

    Les plans comportent des risques, bien que, pour les emprunteurs et le gouvernement. Paiements de nombreux emprunteurs ne sont pas suffisants pour couvrir les intérêts sur leur dette, qui a accueilli leurs soldes de croître et menaçant de piéger au titre de la dette pour les années.

    Dans le même temps, le gouvernement pourrait être laissé en pardonnant les énormes quantités de dette si les emprunteurs restent dans les plans. Le gouvernement pardonne soldes après 10, 20 ou 25 ans de paiements à temps, selon le plan.

    - voir graphiques sur site -

    Mais à part le fait que ces plans seront les contribuables coût un estimatif $ 39 milliards durant la prochaine décennie - et que de juste compter ceux qui sont censés s'inscrire dans les plans d'avenir et en ignorant les $ 200 milliards, ou alors en prêts déjà inscrits dans un plan IBR - la chose la plus absurde sur réclamation de Duncan est que, comme nous avez montré, programmes de rhinotrachéite infectieuse bovine ne baisser les taux de délinquance , ils suffit de changer le sens du terme « paiement » :

    - voir fac similé sur site -

    Voir comment cela fonctionne ? Si vous ne pouvez pas se permettre de payer, il suffit de dire le ministère de l'éducation et ils vont vous inscrire dans un plan de rhinotrachéite infectieuse bovine où votre « paiements » peuvent être entre 0 $ et vous ne sera pas considéré comme délinquant.

    Si nous supposons que nous devrions rentrer la déclaration que nous avons fait ci-dessus. Vous êtes correct M. Duncan, ces plans sont effectivement très efficaces pour faire baisser la délinquance et la méthode est remarquablement simple : le gouvernement vient de s'arrêter couting délinquant emprunteur comme des délinquants.

    http://www.zerohedge.com/news/2015-08-22/7-million-people-havent-made-single-student-loan-payment-least-year

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  14. France, Libye et migration : considérations sur une énigme catastrophique

    De Defensa
    sam., 22 août 2015 05:05 UTC

    RT-France (Russia Today) s'est adressé à un expert incontestable des affaires méditerranéennes, reconnu en France comme tel et unanimement respecté, Kader A. Abderrahim (chercheur associé à l'Iris, spécialiste du Maghreb et de l'islamisme, maître de conférences à Sciences-Po Paris, auteur de divers ouvrages, etc.). Le thème proposé est celui de la crise migratoire (ce que nous nommons GCM pour Grande crise Migratoire), et notamment les rapports de cette GCM avec l'intervention du bloc BAO, France incontestablement en tête, en Libye en 2011. Le verdict de monsieur Abderrahim ne fait aucun doute, puisqu'il le répète à deux reprises : «Il y a une relation directe, de cause à effet... [...] Donc oui, encore une fois, il y a une relation directe, de cause à effet, entre les interventions militaires occidentales depuis 30 ans, le chaos qui a été provoqué et la situation actuelle des migrants.»

    La France et ses acolytes ont donc accumulé les sottises, dont ils paient aujourd'hui les effets. Ce qui paraît peu ordinaire au chercheur, c'est l'espèce de paralysie dans laquelle se trouvent plongés ces pays, et particulièrement la France, qui encaissent sans broncher la crise migratoire sans chercher ni à comprendre, ni à agir. Abderrahim juge en effet qu'il y a diverses actions possibles, ne serait-ce que l'organisation d'un blocus des côtes libyennes pour empêcher le trafic du pétrole libyen, qui sert principalement à la trésorerie de Daesh et alimente le désordre libyen, lequel constitue le principal moteur de l'émigration massive du pays. Les termes employés par Abderrahim sont très caractéristiques, notamment un terme comme "tétanisé", qui concerne notamment la France dont l'expert nous dit pour terminer que son comportement est une énigme (« La question fondamentale est de comprendre pourquoi la France ne pèse pas de tout son poids, de toute son histoire, de tout l'appareil diplomatique dont elle dispose pour résoudre cette crise après avoir provoqué cette guerre. C'est une grande énigme pour moi mais malheureusement je n'ai pas de réponse... »). L'on sent bien, avec de tels propos, que l'on ne se trouve pas sur le champ habituel de la politique, avec ses erreurs, ses succès, etc. Non, il semble bien qu'il y ait quelque chose d'autre, ce qui est qualifié effectivement de "grande énigme", - et nous acceptons sans aucun doute cette sorte de propos. La sottise et l'aveuglement des dirigeants en place, bien qu'elle soient absolument considérables, n'expliquent pas tout.

    Notre hypothèse, nul ne s'en étonnera, est que nous nous trouvons bel et bien devant une direction politique qui s'est transmutée en une direction-Système au sens le plus large du mot, c'est-à-dire une direction qui n'a plus aucune capacité principielle, plus aucune référence renvoyant à un principe qui fonde la légitimité et l'autorité d'une direction politique ; et, dans ce cas, l'intelligence de la situation évolue à mesure...

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  15. Ce propos vaut essentiellement pour les deux ailes du "parti unique", - ce que les opposants nomment UMPS, - et il vaut pour les autres pays de l'UE en général, comme il vaut pour les USA où l'on trouve également ce "parti unique" avec ses deux ailes, démocrates et républicains. L'évolution vers la situation présente a pris un certain temps et, pour la France, la présidence Sarkozy a constitué une partie importante du développement du processus. Au reste, il est heureux pour la démonstration que l'attaque contre la Libye ait eu lieu sous la présidence Sarko, et que sa conséquence dans le fait de cet aspect libyen de la GCM se manifeste sous la présidence Hollande ; il est ainsi d'autant plus démonstratif qu'aucune allusion, jusqu'à la plus minime, ne soit fait au sein de la direction-Hollande pour charger la direction-Sarko, qui a entrepris l'attaque contre la Syrie, de sa responsabilité première dans la crise migratoire actuelle. Les deux directions sont totalement solidaires en l'occurrence dans la responsabilité originelle, et d'ailleurs cette responsabilité est nulle et non avenue puisque l'expédition contre la Libye continue à être considérée, officiellement mais aussi fondamentalement, à la fois comme totalement justifiée, à la fois comme un succès complet, quelque chose dont la France doit être absolument fière... Sottise et aveuglement, même dans le registre des tonnes de cette sorte de traits de l'esprit, ne suffisent vraiment pas à expliquer ce qui se passe.

    La situation actuelle des directions-Système, et celle de la France en particulier, - car elle est, dans ce registre, certainement l'une des plus performantes, - est celle d'un autisme compliqué d'une compartimentation extrême de l'instrument du jugement. Ce qui a été présenté sous la forme d'une narrative triomphante avec l'apparat habituel (en général une pièce ou un film-documentaire de BHL) ne peut être contredit par quelque réserve que ce soit, suivant en cela l'impératif déterminisme-narrativiste. Ainsi n'a-t-on envisagé il y a quelques mois, pour un temps et pas très longtemps car la paralysie "tétanisée" est partout présente, qu'une action militaire contre les passeurs de migrants, ce qui conduisait à circonscrire l'action à la seule question de la migration, sans interférer en aucune façon sur la cause de cette migration.

    Ce que propose Abderrahim, par contre, sort de la seule sphère de la migration en abordant un sujet (Daesh en Libye, se finançant avec le pétrole libyen) qui pourrait conduire l'un ou l'autre esprit qui s'aventure encore sur le territoire terriblement dangereux de l'enchaînement de cause à effet à observer que l'un des effets de l'intervention en Libye a été d'ouvrir à Daesh, - qui s'est développé entretemps l'on sait comment, - une source de financement dégagée par l'intervention. (Pensez donc ! Certains mauvais esprits avaient été jusqu'à conclure qu'on attaquait la Libye pour que les pétroliers occidentaux puissent disposer à volonté du pétrole libyen.)

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  16. Si l'on prend le problème sous cet angle, on arrive aisément à la conclusion que la "grande énigme" de l'inexistence de la France dans cette crise qui la concerne directement et dont elle est directement la cause n'en est plus une. L'explication revient simplement à admettre que la France telle que nous l'avons connue ("tout son poids, [...] toute son histoire, [...] tout l'appareil diplomatique dont elle dispose") n'existe plus. La France s'est littéralement volatilisée. Désormais, elle s'en remet à l'UE, éventuellement à l'ONU, éventuellement avec empressement aux États-Unis, mais elle trouve dans toutes ces instances, et notamment dans cette crise des migrants, bien autant de paralysie qu'elle en montre elle-même. Désormais, la France n'a plus d'histoire, elle n'a plus d'appareil diplomatique qui ne soit autre chose qu'une chambre d'enregistrement des différentes consignes-Système, elle n'a plus de poids et flotte dans l'atmosphère, dans les gaz divers, comme une sorte d'objet éventuellement non identifié puisque les diverses mémoires consultées, fixées bien entendu dans l'instant présent (le "grand Now"), n'ont strictement rien qui puisse tenir lieu de souvenir de ce que fut la France.

    Cette absence complète de vision, de prévision, d'appréciation, cette absence complète de stratégie qui rejoint effectivement le même vide que l'on a constaté à propos des USA (voir le 15 août 2015), conduisent d'une façon assez naturelle, sans tapage excessif dirions-nous, à des situations catastrophiques par rapport à ce qu'on attendait de grandes difficultés dans la période, en ramenant toute l'action humaine à des automatismes-Système. Ainsi les diverses "politiques" et autres "stratégies" d'apparence humaine, ne sont plus en réalité que des éléments qui s'insèrent dans l'évolution eschatologique générale que l'on a implicitement envisagée au début du siècle en même temps que l'on commençait à mesurer les conséquences concrètes et opérationnelles de l'énorme crise de l'environnement/crise climatique. Le gouvernement des hommes, dans tous les cas de cette partie-humaine-là (le bloc BAO), devient une partie intégrante de l'évolution eschatologique générale que connaît notre civilisation, en l'accélérant bien entendu, en en rapprochant les échéances de manière catastrophique.

    Ainsi, ce jugement que nous faisions le 4 août 2015 sur la question de la migration peut-il être repris, mais en le complétant avec l'hypothèse fortement affirmée que les acteurs humains ne le sont plus vraiment. Les acteurs humains, qu'on peut désormais décrire comme des figurants robotisés, sont vraiment devenus des instruments du système, et par conséquent des instruments au service de la Grande Crise générale dont on espère avec ferveur qu'elle est celle de l'effondrement du Système, certes ; ils observent la Grande Crise de la Migration sans rien en dire de particulier, en causant du nombre de tentes disponibles pour loger les migrants, de la nourriture éventuellement à leur distribuer, et surtout, surtout, des sentiments humanitaires qu'il faut continuer à entretenir avec ferveur ; en effet, il nous reste, en France, la seule chose qu'on n'ait pas perdue d'elle, ce qu'ils nomment l'"esprit du 11 janvier" ...

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  17. « Les prévisionnistes les plus pessimistes de cette fin de siècle/début de siècle, ceux qui élaboraient des scénarios catastrophiques au niveau du climat, de l'eau, des ressources, etc., n'annonçaient pas cette GCM avant 2025-2030. (Les finauds de la CIA offraient effectivement 2025.) Les cas envisagés flirtaient avec l'apocalypse, comme la disparition sous les eaux, du fait de la montée des océans, de zones extrêmement peuplées, entraînant une migration massive. Le fait est qu'ils se trompaient tous, que la GCM les a tous pris de court, grâce à l'activité humaine la plus convenue, celle dont le bloc BAO (car il s'agit bien de lui) est le plus fier, - qui est la politique d'interventionnisme humanitariste, selon notre jargon, prônée avec un inlassable enthousiasme par les neocons plutôt à droite et les R2P (acronyme pour illettrés et diplomates postmodernes-BAO de Right To Protect) presque "plutôt à gauche", rassemblés dans une vertueuse union qui supprime les clivages archaïques gauche-droite comme l'on dit dans les discours. [Le président chèque] Zeman, qui présente en général un visage assez bougon, ne prend pas de pincettes pour dire leur fait aux grands inspirateurs de cette politique interventionniste que sont les USA, la France, le Royaume-Uni, l'Allemagne, l'UE, la pensée-BHL, etc., pour ne citer que les plus essentiels. Il situe justement ce qu'on pourrait nommer lestement "la mère de toutes les conneries" dans le fait de la guerre irakienne de 2003, dont les USA continuent à montrer une certaine fierté. Pour autant, Zeman devrait appuyer avec plus d'insistance sur la date de 2010, la constitution décisive du bloc BAO, l'entraînement zélé des puissances occidentales à entrer dans la guerre-contre-Assad, à conchier l'Iran, à liquider Kadhafi dans les conditions humanistes qu'on sait pour libérer la Libye et la laisser à ses tendances naturelles de la démocratie créative ; parallèlement et pour compléter l'arsenal de leurs performances, l'activisme zélé du bloc BAO pour promouvoir, équiper, encourager, armer, etc., tout ce qui peut s'imaginer de plus extrémiste en fait d'islamisme, pour déboucher sur le Frankenstein-parfait qu'est Daesh/État Islamiste. L'ensemble a constitué bien entendu l'espèce de bombe même pas à retardement puisque l'effet est direct, qu'il est suffisant pour déclencher ce mouvement de migration massive, émigration des innombrables pays touchés, immigration vers les pays européens essentiellement, tout cela pouvant et devant être considéré comme le coup d'envoi de la Grande Crise de la Migration, notablement en avance sur l'horaire. »
    ... Voici donc l'interview de Kader Abderrahim par RT-France :

    « On ne peut pas provoquer la guerre et s'étonner ensuite du désordre »

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  18. RT France : « Y-a-t-il un lien direct entre la crise migratoire que connaît l'Europe et les interventions occidentales, notamment en Libye ? »

    Kader Abderrahim : « Il y a une relation directe, de cause à effet. Plus on intervient dans des situations qu'on ne connaît pas bien ou qu'on ne maîtrise pas suffisamment, plus le risque d'ajouter du désordre et de la confusion est grand. C'est ce qui s'est passé avec la Libye et l'intervention franco-britannique de 2011. Evidemment, on a fait tomber une dictature mais on n'a pas imaginé ou même réfléchi à ce que pourrait être une transition démocratique après Kadhafi. Pendant cette guerre, on a eu d'abord, dans un premier temps, une espèce de verve révolutionnaire. Ensuite, on eu le règne des milices qui ont mis le pays en coupe réglée. Il y a eu, certes, deux élections qui ont permis aux Libyens de s'exprimer avec un Conseil national de transition. Mais le pays a basculé dans un chaos généralisé et la guerre civile que l'on connaît. C'est cette situation d'instabilité chronique qui fait de ce pays une espèce de havre pour tous les trafics et tous les trafiquants.

    Le trafic d'êtres humains, avec les passeurs de migrants, est ainsi devenu un trafic comme un autre. Les services de renseignements américains estiment qu'il y a entre 600 000 et 800 000 immigrants clandestins qui sont sur le territoire libyen et qui sont prêts à partir en direction de l'Europe avec qui voudra bien les embarquer. Ils montent sur des bateaux de fortune sur lesquels ils ont plus de chances de finir noyés que d'atteindre l'Eldorado qu'est l'Europe, telle qu'ils se l'imaginent. Donc oui, encore une fois, il y a une relation directe, de cause à effet, entre les interventions militaires occidentales depuis 30 ans, le chaos qui a été provoqué et la situation actuelle des migrants. »

    RT France : « Pourquoi l'Europe semble-t-elle traiter cette question migratoire en dehors de tout lien de cause à effet avec l'intervention en Libye ? »

    Kader Abderrahim : « Pour une raison assez simple : il est toujours très compliqué pour des pays, des États, des gouvernements de reconnaître leurs erreurs. Cette guerre de 2011 en Libye était, de fait, une erreur. On le voit désormais. N'ayant pas réfléchi à ce que pourrait être l'après-solution politique, on a beaucoup de mal à imaginer quelle pourrait être une solution globale. Si on ne remet pas un peu d'ordre dans le chaos mondial, notamment en Libye et au Moyen-Orient, il y a peu de chance qu'on arrive à résoudre ou à résorber la question des flux migratoires. La majorité des réfugiés sont aujourd'hui Syriens, et leur nombre constitue un sixième de la population du pays. Mais d'autres pays sont aussi concernés: l'Irak, l'Erythrée, le Yémen, la Somalie.

    L'Afrique et le Moyen-Orient sont aujourd'hui des zones durablement déstabilisées à cause des interventions militaires occidentales. La question à poser aux gouvernements occidentaux est la suivante : comment tenter d'enrayer ces migrations pour éviter que les opinions publiques occidentales ne deviennent un peu trop réactives. Car l'Europe traverse, elle aussi, une crise, économique et un afflux massif d'immigrés pourrait provoquer une progression des extrêmes droites, voire de mouvements ouvertement néo-nazis. Il y donc un vrai risque pour les démocraties européennes de se voir attaquer sur cette question migratoire car en amont, il y a des problèmes politiques et diplomatiques qui n'ont pas été traités comme il aurait fallu qu'ils le soient. »

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  19. RT France : « Cette crise touche-t-elle d'autres zones que l'Europe ? »

    Kader Abderrahim : « La situation de la Libye est spectaculaire et très médiatisée. Mais d'autres pays sont également concernés, comme l'Algérie, la Tunisie ou le Maroc car la pression migratoire vient de plus en plus loin à l'intérieur du continent africain, une pression qui inquiète aussi ces pays. On voit des gens qui, après avoir traversé toute l'Afrique à pied, échouent dans la ville de Tanger, par exemple, avec l'hypothétique espoir de traverser la Méditerranée pour aller en Europe. »

    RT France : « Comment remettre de l'ordre dans ce chaos généralisé. Diplomatiquement ? Militairement ? »

    Kader Abderrahim : « Des choses pourraient être entreprises très rapidement. En Libye, par exemple, je ne comprends pas pourquoi la France ne prend pas l'initiative diplomatique de tenter de ramener la paix civile afin de constituer un front commun contre Daesh. On sait que Daesh tire l'essentiel de ses ressources du pétrole qu'il vend sur le marché noir international. Pourquoi les Européens ne décident-ils pas du blocus des côtes libyennes pour éviter que des embarcations ne viennent charger ce pétrole bon marché. On sait que cet argent ne va pas dans les caisses de la Libye et ne sert pas bien-être collectif du pays.

    Pourtant la France a d'excellentes relations avec tous les protagonistes de cette crise libyenne, que ce soit l'Algérie, l'Egypte, le Qatar, la Turquie ou l'Arabie saoudite. Paris a donc les moyens d'engager un marathon diplomatique pour faire pression sur ces acteurs et ceux qui se font la guerre, à savoir le gouvernement de Tobrouk et le gouvernement de Tripoli afin qu'ils forment un front commun contre Daesh. Ainsi, on trouverait une solution durable. Aujourd'hui on observe pourtant l'inverse. On a l'impression que l'Europe est totalement paralysée, tétanisée par les bêtises qu'elle a faite. On ne peut provoquer la guerre et s'étonner ensuite du désordre. Une fois que celui-ci est là, c'est trop tard. Je suis très pessimiste sur le court terme d'ailleurs. »

    RT France : « Pourquoi la France n'entreprend-elle pas ce marathon diplomatique dont vous parlez ? »

    Kader Abderrahim : « Je pense que la France est aujourd'hui tétanisée par l'idée qu'il faudrait agir mais elle ne sait pas comment. Il y a donc très peu de réflexion sur les initiatives diplomatiques possibles. Ensuite, ce qui la bloque aussi, c'est la question de savoir si elle peut agir seule ou pas. Elle pourrait pourtant soutenir, sans résolution préalable, le processus engagé sous les auspices de Bernardino León, le représentant spécial de l'ONU pour la Libye. Ce dernier a engagé plusieurs rounds de négociations entre les différents acteurs libyens, au Maroc et à Genève encore récemment. Mais pour le moment il n'y a aucune avancée.

    La question fondamentale est de comprendre pourquoi la France ne pèse pas de tout son poids, de toute son histoire, de tout l'appareil diplomatique dont elle dispose pour résoudre cette crise après avoir provoqué cette guerre. C'est une grande énigme pour moi mais malheureusement je n'ai pas de réponse... »

    http://fr.sott.net/article/26234-France-Libye-et-migration-considerations-sur-une-enigme-catastrophique

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  20. Quand l’imprimante 3D révolutionne la société

    Par Nafy-Nathalie,
    le 23 août 2015 dans Technologies

    Le développement des imprimantes 3D est en train de bouleverser notre société.

    Le bouleversement du domaine de la santé est assez incroyable. Des examens et des opérations sont réalisés à distance. On imagine tout à fait que le reset musculaire possible chez les souris le deviendra assez vite chez l’Homme. La bio impression nous promet des avancées spectaculaires de la médecine. C’est dans ce contexte qu’arrive l’impression d’une prothèse 3D au coût modique de 50 euros. Si elle reste simpliste pour le moment, elle assure malgré tout des gestes de préhension encore basiques mais qui amélioreront considérablement la vie de ceux qui la porteront. Les fichiers pour la réaliser sont accessibles gratuitement sur le net et des projets sont en train de voir le jour un peu partout avec des coûts très limités. Les possibilités semblent infinies et pouvoir bénéficier aux pays émergents.

    Tout ceci a un goût de science-fiction, mais pourtant l’imprimante 3D existe depuis longtemps. Née dans les années 1970, elle ne se démocratise qu’aujourd’hui au moment où son prix d’acquisition devient abordable (divisé par 1000). Pouvant s’acheter à partir de 500 euros, elle devient accessible aux PME et surtout aux consommateurs qui peuvent commencer à fabriquer des objets domestiques de même que des pièces de rechange. Si leur utilisation reste laborieuse et les objets fabriqués assez simples encore, cela devrait progresser rapidement et avec cette évolution, un mode de consommation différent, plus écologique, devrait se développer, adapté aux besoins. Le gaspillage ou la surconsommation devrait disparaître. L’objet ne sera plus jetable mais réparable et recyclable puisque l’on imagine sans souci qu’il sera possible de transformer les bouteilles en plastique, ou pourquoi pas certains objets réalisés auparavant en nouvelles bobines pour alimenter les imprimantes 3D.

    On a peu conscience du niveau d’automatisation de notre monde. La réalité montre cependant que l’humain disparaît de plus en plus des chaînes de fabrication, que ce soit par exemple celles des chaussures, vêtements, appareils ou voitures. L’exemple du secteur de l’agro-alimentaire est particulièrement parlant. En 1900, 62% des Américains étaient agriculteurs alors qu’ils ne sont plus que 1,5% aujourd’hui. Le secteur du bâtiment, qui savait pourtant construire en kit ou préfabriqués, résistait encore à la technologie 3D. Aujourd’hui, il commence à se l’approprier à son tour. En septembre à Amsterdam un pont pourait être imprimé en 3D par l’entreprise MX3D. À Nantes construire une mini maison de 9m2 se ferait en 20 mn. En Chine, on imprimerait dix maisons de 200m2 en moins de 24h et pour un prix inférieur à 5000 euros l’unité, de même qu’un immeuble de 5 étages. Dans les Émirats Arabes, l’accueil du premier immeuble de bureaux en 3D pourrait bientôt avoir lieu. Bref, imaginez un peu ce nouveau monde dans lequel il serait possible d’imprimer en quelques heures une maison décorée, avec meubles (ikea), objets domestiques indispensables (vêtements, vaisselle…), et s’y installer. Serait-ce la fin des bidonvilles et cités dégradées ? Notre mode de vie pourrait être totalement transformé ainsi que notre définition de la propriété, notre foyer devenant simplement le lieu où nos ordinateur et imprimante 3D seraient connectés.

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  21. L’impression 3D annonce aussi un paradoxe étonnant. En amenant une 3ème révolution industrielle, elle nous rapproche d’un marché de l’emploi structuré similairement à celui de nos ancêtres. Seuls les « artisans » capables d’excellence (compagnonnage), de répondre à des demandes personnalisées, pourraient survivre. La plus-value créative devrait être également favorisée puisque l’imprimante ne fabrique, au moins dans un premier temps, que ce qui a déjà été conçu. Il y aura également une relocalisation des usines dans les pays d’origine, la délocalisation ne présentant plus d’intérêt (disparition de stocks, d’entrepôts, d’intermédiaires, de main d’œuvre).

    Il ne faut cependant pas nier la question des risques liés à l’imprimante 3D.

    Ceux liés à son utilisation pour la santé sont mis en avant. Il est aussi pointé le fait qu’elle risque de se démocratiser et être « trop facile » d’utilisation.

    Il devrait être rapidement possible de fabriquer tout ce que l’on souhaite à partir de plans accessibles librement sur le net, y compris des armes par exemple. Interdire la possession ou la consommation de produits qui seront libres d’accès n’a aucun sens. Si les libéraux prônent la dépénalisation, les autorités s’inquiètent.

    Les industriels sont soucieux du devenir des droits de propriété intellectuelle et du développement d’une imprimante qui fera de son utilisateur leur concurrent direct.

    Existe aussi la question des risques pour la sécurité, comme ceux que l’on peut rencontrer parfois avec le « made in china ». Les pièces reproduites n’ont pas la fiabilité des pièces « classiques ». Je pense au danger de pièces réalisées imparfaitement, telles les pièces de voiture, les jouets dangereux ou encore les contrefaçons médicamenteuses.

    Plusieurs pistes pourraient être envisagées pour résoudre ces aléas.

    Des normes de production ou d’utilisation de l’imprimante 3D devraient être renforcées pour que son utilisation soit sécurisée.

    L’intermédiation ou les plateformes de téléchargement qui proposent les fichiers 3D pourraient être responsabilisées juridiquement sur le contenu des fichiers proposés et la vérification des droits de propriété intellectuelle.

    Les objets imprimés en 3D, selon les normes, pourraient faire l’objet d’une identification claire sous forme de poinçon inséré dans le fichier d’impression, par exemple.

    (suite en dessous:)

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  22. Comme le remarque, très justement, Thierry Langlois, directeur immobilier de Vivastreet.com, à propos des impressions 3D appliquées au secteur du bâtiment, « le matériau est un mélange de ciment et de déchets de construction faits de béton, de sable et de verre. Et il est sans doute peu conforme à la législation en vigueur dans les pays occidentaux« . Oui… très certainement. La non-conformité des produits créés à la législation en vigueur et à venir est à prévoir. Je reste toutefois persuadée qu’un équilibre pourrait être trouvé assez facilement pour adapter le système 3D et la loi si ne se posait pas également la question des intérêts économiques de certains.

    Réglementer, taxer et interdire vont sans doute être les premiers réflexes de nos politiques ; comme si cela avait déjà pu empêcher quoi que ce soit. Pourtant, cela a déjà commencé. L’exemple de New-York est édifiant à ce titre : alors que les armes sont en vente libre aux États-Unis, il serait question d’interdire la production de celles imprimées en 3D. N’est-ce pas étonnant ? Chacun en tirera ses propres conclusions… Essayer de limiter par la loi l’accès de cette technologie aux particuliers, même au nom du principe de précaution, tout en permettant aux industriels de la développer à leur profit semble être perdu d’avance. Au mieux, cela ralentira son avancée mais ne l’arrêtera pas. On peut d’ailleurs déjà apprendre à utiliser ou même construire des armes pour 300 euros sur un fablab à Montpellier.

    Cette imprimante promet de devenir, au fur et à mesure de son perfectionnement, un vecteur énorme de liberté, d’équité et de progrès social. Le bouleversement de nos modes de consommation et de vie est inévitable et fera peur. Des épisodes comme celui d’Uber laissent pensif sur la manière dont ils pourraient avoir lieu à ce sujet. Il est probable qu’au lieu de se préparer à accueillir les changements, la tendance sera de lutter contre eux, de freiner des deux pieds et finalement de les subir dans la violence et la douleur.

    http://www.contrepoints.org/2015/08/23/218695-quand-limprimante-3d-revolutionne-la-societe

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  23. La Prison américaine système est réellement plus grande que les goulags soviétiques

    Joshua Krause
    Le quotidien Sheeple
    22 août 2015

    Beaucoup d'américains est tout à fait convaincus qu'ils vivent dans l'une des nations plus libres de la planète. Même s'ils ne pensent pas que nous sommes les plus libres, ils croient toujours que notre population a beaucoup plus de droits que la grande majorité de la race humaine. Cependant, ces gens ont tendance à ignorer nos importante population carcérale. Pouvez vous vraiment appeler cela un pays libre lorsque cette nation restreint les libertés de tel un grand pourcentage de sa population, la plupart qui sont condamnés pour des crimes non-violents ?

    Quoi de plus choquant, c'est que notre population carcérale a atteint une étape inquiétante au cours des dernières années. Le nombre d'américains qui étaient en prison et de prison, ou sur la probation et de libération conditionnelle, a été de 7 millions de personnes en 2009. Lorsque vous incluez des anciens détenus qui ont depuis quitté notre système carcéral, vous vous retrouvez avec 19 millions de personnes à partir de 2010. Ce nombre est supérieur à 18 millions de personnes qui ont enduré le système du goulag soviétique, entre 1929 et 1953.

    Alors que les conditions dans les goulags étaient bien pire que les prisons américaines, nos installations utilisent toujours esclaves et des techniques de torture comme cachot pour garder leurs détenus en ligne. Et avec un taux d'incarcération par habitant qui pourrait seulement être dépassé par des pays comme la Corée du Nord et Cuba, il n'y a aucune raison de croire que les Etats-Unis sont toujours parmi les nations libres du monde.

    http://www.thedailysheeple.com/the-us-prison-system-is-actually-larger-than-soviet-gulags_082015

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