tag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post4421923861364491631..comments2024-03-28T02:35:28.591-07:00Comments on Le vert bavoir: Une nouvelle étude pourrait semer le trouble dans l'avenir de l'énergie éoliennehuemaurice5http://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comBlogger74125tag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-28750534950231398992018-12-28T09:55:49.960-08:002018-12-28T09:55:49.960-08:00Pareillement que pour les voitures électrique qui ...Pareillement que pour les voitures électrique qui prennent feux ou batteries de portables.<br />huemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-51748066929929924902018-12-28T09:55:16.742-08:002018-12-28T09:55:16.742-08:00Qu'est-il arrivé à ces projets de règles AS / ...Qu'est-il arrivé à ces projets de règles AS / NZS 5139 d'il y a 18 mois ? Après un peu de panique de la part de l'industrie et des plaintes, Standards Australia a accepté de revoir les choses, puis en décembre dernier, a adopté des «normes internationales». Ce n’est pas comme si nous vivions dans un pays sujet aux incendies avec des saisons de risque d’incendie prolongées, de grandes maisons et beaucoup de panneaux solaires, je suppose…<br /><br />Apparemment, Standards Australia était accusé d '«exagération totale» pour avoir suggéré que les personnes installant un risque d'incendie connu le placent dans un bunker.<br /><br />Ben Potter, revue financière australienne<br /><br />Standards Australia pourrait être privé de son pouvoir d'établir des normes pour les batteries domestiques telles que la Tesla Powerwall 2 après que l'industrie des batteries a rejeté un projet de norme exigeant que les batteries au lithium ionique soient enfermées dans des bunkers en béton comme étant «surpuissantes».<br /><br />L’organisme de normalisation travaille sur la norme depuis un an, mais son projet de norme est si lourd que les installateurs de batteries estiment que cela pourrait tuer leur industrie et le fabricant allemand de batteries Sonnen a suspendu ses projets de production locale jusqu’à ce que l’impasse soit résolue.<br /><br />Imaginez-vous accusés d’avoir surmené par la même équipe qui veut sauver la Terre avec des globes lumineux, des panneaux et des moulins à vent.<br /><br />h / t Pat<br /><br />http://joannenova.com.au/2018/12/fireman-warns-solar-powered-batteries-may-cause-ferocious-fires/huemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-86093606873782705902018-12-28T09:54:59.519-08:002018-12-28T09:54:59.519-08:00Fireman avertit que les piles solaires peuvent pro...Fireman avertit que les piles solaires peuvent provoquer des incendies féroces<br /><br /><br />December 28th, 2018 <br />Channel Seven News.<br /><br /><br />Conséquences inattendues: lorsque votre assurance pour arrêter la planète brûlée brûlera votre maison à la place.<br />Stocker toute cette énergie dans une petite boîte à la maison. Qu'est ce qui pourrait aller mal ?<br /><br />Les équipes de pompiers avertissent que les batteries solaires peuvent provoquer des incendies qui se déplacent rapidement et brûlent avec «férocité».<br /><br />Avertissement concernant la batterie solaire domestique après l'incendie à Brisbane<br />Brisbane Times, Toby Crockford<br /><br />Le propriétaire a déclaré aux journalistes qu'ils avaient connecté des panneaux solaires à des batteries au lithium-ion et soupçonné que l'incendie s'était déclaré à proximité, une opinion partagée par le pompier Malcolm Muscat.<br /><br />«[Il y avait] environ trois banques de batteries, les batteries au plomb-acide au lithium-ion brûlent avec une férocité qui se déplace rapidement dans la maison», a déclaré M. Muscat.<br /><br />Rappelez-vous: lorsque l’avenir de la planète est en jeu, il n’existe pas trop d’assurance.<br /><br />Nous espérons juste que les propriétaires ont eu beaucoup.<br /><br />Les amis et la famille peuvent être rassurés que la maison ait été sacrifiée pour une bonne cause à la mode.<br /><br />Notez que ceci est la cause «suspectée» de cet incendie, mais des panneaux solaires ont été associés à de nombreux autres incendies dans les maisons.<br /><br />Votre maison a-t-elle besoin d'un «bunker de feu»?<br />«Des années pour comprendre» le risque d’incendie des systèmes d’énergie solaire<br />À partir du 12 juillet 2017, Greg Brown, The Australian<br /><br />Les pompiers métropolitains de Victoria ont réagi à plus de 40 incendies causés par des systèmes d’énergie solaire domestiques au cours des cinq dernières années et ont averti qu’il faudrait des années pour comprendre le risque d’incendie que pose le stockage par batterie au lithium ionique.<br /><br />Le MFB a déclaré que les installations solaires étaient vulnérables aux défaillances de leurs systèmes, notamment des commutateurs d'isolement, des onduleurs et du câblage installé, ainsi que des composants en détérioration.<br /><br />Les chiffres alarmants interviennent alors que le secteur du stockage de batteries solaires pousse à supprimer de nouvelles réglementations qui obligeraient les propriétaires à construire un boîtier séparé «pare-feu» pour les installations de batteries.<br /><br />Crikey! Découvrez le libellé des projets de normes de sécurité:<br />Selon le projet de règles publié par Standards Australia, les batteries au lithium ionique sont classées dans la «Classe incendie 1» et ne seraient pas autorisées à l'intérieur ou à moins d'un mètre des habitations domestiques. L'industrie aura jusqu'au 15 août pour réagir au projet de règlement.<br /><br />Neil Fraser, directeur d'Energy Safe Victoria à Victoria, a déclaré qu'au moins huit modèles de panneaux solaires avaient été retirés du marché au cours des cinq dernières années pour des raisons d'incendie.huemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-72900524176679676222018-12-28T09:54:37.060-08:002018-12-28T09:54:37.060-08:00La BBC a même trouvé des statistiques sur les feui...La BBC a même trouvé des statistiques sur les feuilles de thé:<br /><br />Les recherches publiées à l'époque ont montré que les pluies accompagnant l'ouragan Florence étaient 50% plus graves qu'elles ne l'auraient été sans le réchauffement climatique.<br /><br />Mais les précipitations auraient pu être 50 % meilleures si elles avaient été calculées sur des modèles qui ont fonctionné. On ne saura jamais.<br /><br />Remarquez comment les «années les plus chaudes jamais enregistrées» ont grimpé de «l'année la plus chaude» aux cinq années les plus chaudes, les dix les plus chaudes, les 20 premières maintenant:<br /><br />Les Nations Unies ont déclaré le mois dernier que les 20 années les plus chaudes jamais enregistrées avaient été enregistrées au cours des 22 dernières années. 2018 devrait être la quatrième plus chaude.<br /><br />Imaginez de manière hypothétique que le dernier réchauffement a été cyclique. Pour continuer à utiliser le mot «le plus chaud», les hackers des relations publiques devraient créer une progression en expansion au fur et à mesure que le réchauffement atteignait son point culminant, se stabilisait, puis se ralentissait. Juste dire…<br /><br />http://joannenova.com.au/2018/12/in-2018-climate-change-caused-disastrous-loss-of-0-1-of-world-gdp/huemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-53768077070005789472018-12-28T09:54:20.154-08:002018-12-28T09:54:20.154-08:00En 2018, le changement climatique a provoqué une p...En 2018, le changement climatique a provoqué une perte «désastreuse» de 0,1% du PIB mondial<br /><br /><br />December 29th, 2018 <br /><br /><br />Attention: si vous utilisez des modèles qui ne fonctionnent pas, extrapolez, exagérez et tournez les runes correctement, au pire, le changement climatique provoqué par l'homme a causé «100 milliards de dollars de dégâts» en 2018. C'est un autre moment BIN (un grand nombre non pertinent).<br /><br />Pour mettre cela en perspective, le GWP (Produit mondial brut) avoisine les 100 billions de dollars. Ainsi, tous les dégâts climatiques gonflés qui nous ont plu et 99,9% de l’économie mondiale ne l’auraient même pas remarquée.<br /><br />Un désastre induit par le changement climatique a coûté au moins 100 milliards de dollars aux nations en 2018<br />Nouvelles, AFP, AAP, BBC, peut-être ABC, CBC, CNN, CBC, tous ceux qui ont une chaîne.<br /><br />Comme rapporté par les mêmes personnes qui disent "Si vous voulez une chirurgie cardiaque, demandez à un médecin."<br /><br />La facture pour les catastrophes liées au climat en 2018 est estimée à plus de 100 milliards de dollars selon une organisation de secours britannique.<br /><br />Un organisme de secours a additionné ces chiffres. Ils ne pourraient rien avoir à gagner en les gonflant, n'est-ce pas ?<br /><br />Des inondations aux chaleurs extrêmes, 10 des pires catastrophes liées au climat de 2018 ont causé au moins 20,8 milliards de dollars de dommages, a déclaré une étude publiée par l'association Christian Aid.<br /><br />Je ne pense pas qu’ils voulaient nous dire que l’Antarctique allait bien…<br /><br />Selon une organisation britannique de secours, les intempéries provoquées par le changement climatique ont touché tous les continents peuplés cette année, prévenant qu'une action urgente s'imposait pour lutter contre le réchauffement de la planète.<br /><br />"Ce rapport montre que pour de nombreuses personnes, le changement climatique a actuellement un impact dévastateur sur leur vie et leurs moyens de subsistance", a déclaré Kat Kramer, responsable des travaux de Christian Aid sur les questions climatiques, dans un communiqué publié jeudi.<br /><br />Oui, c’était la plus forte tempête depuis une tempête encore plus puissante il y a 50 ans:<br /><br />En tête de liste figurent les ouragans Florence et Michael, qui ont causé des dommages estimés à 24 milliards de dollars et à 21 milliards de dollars, respectivement.<br /><br />Michael a été la plus forte tempête qui ait frappé les États-Unis continentaux depuis 1969 et a tué 45 personnes aux États-Unis et au moins 13 au Honduras, au Nicaragua et au Salvador.<br /><br /> En 1969, les niveaux de gaz carbonique étaient de 322 ppm, soit une réduction remarquable de 80 ppm par rapport à aujourd'hui. Si seulement nous pouvions revenir à cela et avoir des tempêtes… tout comme Michael.huemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-27888459511498394432018-12-28T09:44:25.717-08:002018-12-28T09:44:25.717-08:00Le 'GIEC' (ou IPCC) ne regroupe AUCUN scie...Le 'GIEC' (ou IPCC) ne regroupe AUCUN scientifique ! Il s'agit UNIQUEMENT d'un nano-groupuscule d'incompétents qui sont pris comme référence par les escrocs (journalistes, politichiens, etc).huemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-81919894289174512182018-12-28T09:43:39.864-08:002018-12-28T09:43:39.864-08:00Il ajoute que nous devons «éliminer la pauvreté» e...Il ajoute que nous devons «éliminer la pauvreté» et réduire les inégalités entre les pays. Dans le cadre de ces efforts, les gouvernements doivent imposer des taxes draconiennes sur le carbone et d'autres mesures pour mettre un terme à la production d'énergie existante, réorienter les financements vers des énergies alternatives et transférer les richesses des pays développés vers les pays moins développés. Les individus doivent modifier leur régime alimentaire et leurs «choix de mode de vie» pour devenir «durables». Tout cela en une décennie environ. C’est un appel à la planification centrale mondiale et à la redistribution des revenus - une sorte de «socialisme allégé» déguisé en développement durable.<br /><br />Mais le fait est que le GIEC, l’ONU et les gouvernements nationaux ne sont pas en mesure d’éliminer la pauvreté. Ils ne savent pas comment. Les gens sont pauvres quand ils ne peuvent pas produire de la richesse. Cesser l’activité économique, subventionner des alternatives qui ne peuvent pas créer assez de valeur pour réussir par eux-mêmes, et transférer des revenus ne rendra pas le monde plus riche. Et les gouvernements ne peuvent pas gérer efficacement l'économie. Un siècle d'échecs constants du socialisme le montre bien.<br /><br />Et, comme le montre le rapport sur la liberté économique du Fraser Institute Institute, il existe une relation positive systématique entre liberté économique et prospérité humaine dans le monde entier. Un système de marché libre, et non une planification centrale, fait beaucoup plus pour réduire la pauvreté et générer un bien-être économique. Les propositions du GIEC sont fondées sur une idéologie verte et non sur une analyse économique scientifique.<br /><br />Le rapport offre-t-il des solutions au problème qu’il aborde apparemment, à savoir le réchauffement climatique causé par l’homme? Pas vraiment. Même si l’on accepte les estimations du GIEC sur l’ampleur du réchauffement planétaire, une analyse économique approfondie suggère qu’aucune mesure drastique n’est nécessaire. Les solutions proposées dans le rapport pour lutter contre le changement climatique échouent aux analyses coûts-avantages.<br /><br />Lire l'histoire complète ici.<br /><br />Charles N. Steele est titulaire de la chaire Herman A. et Suzanne S. Dettwiler en économie du Hillsdale College.<br /><br />https://wattsupwiththat.com/2018/12/28/climate-doom-ahead-think-twice/huemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-67653038097652247062018-12-28T09:43:23.985-08:002018-12-28T09:43:23.985-08:00Le climat à venir ? Pensez deux fois.
28 décembr...<br />Le climat à venir ? Pensez deux fois.<br /><br /><br />28 décembre 2018<br />De la vraie énergie claire<br />Par Charles N. Steele<br /><br /><br />C’est un mot - mais cela pourrait changer le cours du monde pour les décennies à venir.<br /><br />Les discussions lors des négociations de l'ONU sur les changements climatiques qui se sont tenues à Katowice, en Pologne, ont récemment atteint une impasse. Le problème? Un rapport du Groupe intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) publié plus tôt cette année, intitulé «Rapport spécial 15» (SR-15). La plupart des pays participant à la conférence souhaitent «accueillir» ce rapport, mais les États-Unis, la Russie, l’Arabie saoudite et le Koweït souhaitent simplement «noter» sa publication.<br /><br />Cela peut sembler une sotte querelle sur la sémantique, mais c’est loin de là. SR-15 affirme qu'il ne nous reste que douze ans pour éviter une catastrophe climatique et appelle à une transformation fondamentale de la société et à la fin de l'utilisation de combustibles fossiles. Le souscrire est une étape cruciale vers son adoption, et son adoption changerait pratiquement tous les éléments de la société civile telle que nous la connaissons aujourd'hui.<br /><br />Sans surprise, les États-Unis ont beaucoup insisté dans la presse pour leur refus d’approuver le rapport. Les critiques qualifient le mouvement de politique et motivé par une ignorance volontaire. Mais le fait est qu’il y a de bonnes raisons d’être sceptique. Les environnementalistes sont connus pour adopter à la hâte des données erronées au nom d'un agenda politique - et SR15 ne fait pas exception.<br /><br />Pour le dire franchement, il y a beaucoup moins ici que ce que l’on voit. Le rapport affirme que l'objectif de Paris d'une augmentation de 1,5 ° C est supérieur à l'objectif de 2 ° C. Mais plus on lit, plus il semble que le rapport du GIEC ne traite pas vraiment du changement climatique. Il s’agit moins d’un rapport scientifique que d’une plate-forme politique, animée par une idéologie et non par la science.<br /><br />Cela semblerait une accusation sauvage, mais pour deux choses. Premièrement, le SR15 n’essaie pas de quantifier les coûts possibles du réchauffement ni le coût qu’il en coûterait pour les éviter. En fait, aucune tentative sérieuse, pas même de montrer les conséquences probables des actions proposées; il est simplement supposé qu'ils vont travailler et être souhaitable.<br /><br />Deuxièmement, SR15 propose clairement une transformation radicale et globale de la société. Il appelle à «des transitions rapides et profondes dans les domaines de l'énergie, des terres, des villes et des infrastructures (y compris les transports et les bâtiments) et des systèmes industriels…», «sans précédent en termes d'échelle…», de «transitions et transformations fondamentales des sociétés et des systèmes…. ”Ce sont des citations directes du GIEC. Que signifient-ils ?<br /><br />À regarder de plus près, ces transformations fondamentales concernent moins le réchauffement climatique que la promotion de la «justice sociale», comme l’incarnent les «objectifs de développement durable» de l’ONU. Le rapport ne cherche pas à le cacher; dans le résumé, il soutient que «la justice sociale et l'équité sont des aspects essentiels des voies de développement résilientes au changement climatique pour un changement social transformationnel».huemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-49584189632347993912018-12-28T09:43:04.074-08:002018-12-28T09:43:04.074-08:00Faut dire qu'aux States il y a une politique e...Faut dire qu'aux States il y a une politique et une colline qui ne vote pas pour elle !huemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-69059711397355966812018-12-28T09:42:48.513-08:002018-12-28T09:42:48.513-08:00Le Sénat ne reprendra l'examen d'une loi b...Le Sénat ne reprendra l'examen d'une loi budgétaire que mercredi 2 janvier, à partir de 16h00. Les républicains n'ont que 51 sièges au Sénat quand il en faut 60 pour l'adoption de ce texte. A partir du 3 janvier, ils en auront 53 mais deviendront minoritaires à la Chambre des représentants.<br /><br />Conséquences concrètes<br /><br />Si le «shutdown» n'est que partiel, touchant 25% des ministères et administrations fédérales, ses conséquences sont déjà concrètes.<br /><br />Les employés fédéraux devraient être compensés une fois que le gouvernement rouvrira mais, en attendant, certains craignent de ne pas pouvoir payer leurs factures. Pour les aider, le bureau chargé des ressources humaines du gouvernement fédéral a présenté sur internet des exemples de lettres pour négocier des reports de paiements.<br /><br />Mes «revenus ont été sévèrement réduits et je suis dans l'incapacité de payer l'intégralité de mes factures mensuelles», peut-on notamment lire. «J'apprécie (...) votre compréhension en ces temps difficiles».<br /><br />Mais les contractuels, notamment le personnel chargé du nettoyage, des cantines ou les gardiens de sécurité, devraient eux perdre tout bonnement les revenus de ces jours de chômage forcé.<br /><br />Au coeur de Washington, les poubelles débordaient vendredi sur le «Mall», un parc qui dépend d'un ministère affecté. Et les célèbres musées Smithsonian, ainsi que son zoo, ont annoncé qu'ils fermeraient à partir du 2 janvier si la paralysie continuait.<br /><br />Ce «shutdown» est le troisième de l'année, après janvier (trois jours) et février (quelques heures). Le précédent, en octobre 2013, avait duré 16 jours. Le record, de 21 jours, remonte à 1995-96. (afp/nxp)<br /><br />https://www.lematin.ch/monde/ameriques/trump-menace-fermer-frontiere-mexique/story/20186086huemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-47508724131676936932018-12-28T09:42:28.622-08:002018-12-28T09:42:28.622-08:00ETATS-UNIS - TRUMP MENACE DE FERMER LA FRONTIÈRE A...ETATS-UNIS - TRUMP MENACE DE FERMER LA FRONTIÈRE AVEC LE MEXIQUE<br /><br />Faute de trouver un financement pour un mur qui devra séparer les USA du Mexique, le président américain a menacé de fermer les frontières.<br /><br />28.12.2018, 13h40<br /><br /><br />Donald Trump a menacé de fermer la frontière entre les Etats-Unis et le Mexique si les démocrates n'acceptaient pas de financer la construction d'un mur. Aucune issue ne semble se dessiner avant 2019 quant au «shutdown» paralysant partiellement l'administration.<br /><br />«Nous allons être contraints de fermer la Frontière Sud complètement si les Démocrates obstructionnistes ne nous donnent pas l'argent pour terminer le mur», a tweeté le président américain.<br /><br />Le milliardaire a ensuite dit qu'il considérerait une telle fermeture comme une «opération rentable», arguant du fait que «les Etats-Unis perdent tellement d'argent en faisant du commerce avec le Mexique avec l'Aléna, plus de 75 milliards par an (sans inclure l'Argent de la Drogue qui serait plusieurs fois ce montant)».<br /><br />L'Accord de libre-échange nord-américain (Aléna) qui lie le Canada, le Mexique et les Etats-Unis a été régulièrement dénoncé par Donald Trump. Un nouvel accord visant à le remplacer a été signé fin novembre, mais doit encore être ratifié par le Congrès.<br /><br />Pas de réaction mexicaine<br /><br />Donald Trump avait déjà menacé à l'automne de fermer la frontière avec le Mexique pour lutter contre l'immigration clandestine. Le président mexicain Andrés Manuel Lopez Obrador a préféré vendredi ne pas réagir à ces nouvelles menaces.<br /><br />«Nous ne voulons pas être imprudents, nous n'estimons pas que nous devons participer à ce débat», a-t-il déclaré en conférence de presse.<br /><br />Dans la même avalanche de tweets, Donald Trump a affirmé s'apprêter à «supprimer toutes les aides» destinées aux Honduras, Guatemala et Salvador, des pays rongés par la pauvreté et la criminalité d'où viennent de nombreux candidats à l'immigration aux Etats-Unis. En octobre, Donald Trump avait annoncé une réduction immédiate des aides à ces trois pays.<br /><br />Impasse<br /><br />Le président républicain a fait de la construction d'un mur sur toute la longueur de la frontière sud des Etats-Unis l'une de ses priorités pour endiguer l'immigration clandestine et les trafics.<br /><br />Il exige cinq milliards de dollars pour le construire, sans quoi il ne signera pas les lois de financement des administrations paralysées depuis le 22 décembre à minuit. Les démocrates s'y opposent fermement.<br /><br />Et l'impasse budgétaire ne semble pas prête d'être résolue. «Les démocrates ont tout simplement clos les discussions», a affirmé vendredi matin Mick Mulvaney, prochain chef de cabinet de Donald Trump, sur Fox News.<br /><br />En face, les démocrates accusent la Maison Blanche de présenter des demandes fluctuantes, qui rendent impossible toute négociation. La balle est dans le camp du Sénat, où le chef de la majorité républicaine Mitch McConnell a délégué les négociations aux démocrates et à la Maison Blanche.huemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-68907209609905222782018-12-28T09:04:26.844-08:002018-12-28T09:04:26.844-08:00SVP, passons des 'maillots jaunes' aux man...SVP, passons des 'maillots jaunes' aux manteaux blancs pour être honnêtes car: on se les gèle !<br /><br />Les produits pétroliers sont encore dix fois trop cher !<br /><br />Alors, arrêtons de faire chier le monde avec des produits polluants car, depuis que le monde est monde il y a eu des milliards de milliards d'éruptions volcaniques (terrestres ou sous-marines) et, si la pollution ne se recyclait pas: l'homme ne serait même pas apparut sur Terre !<br /><br />TOUS LES GAZ SE RECYCLENT ! TOUS !huemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-36553342056744548252018-12-28T08:58:40.910-08:002018-12-28T08:58:40.910-08:00Regardons bien les choses en face ! Des escrocs on...Regardons bien les choses en face ! Des escrocs ont prêté de l'argent qu'ILS N'AVAIENT PAS et veulent être remboursés en... billets de banques !! C'est ce qui est appelé 'la dette'.<br /><br />C'est pourquoi ils parlent désormais d'annuler la dette comme s'il s'agissait aux banquiers de se serrer la ceinture voire de crever de faim !! NON ce n'est PAS un cadeau qu'ils font !<br /><br />Il ne faut pas croire que les 'banquiers' en savent plus que quiconque ! Les ministres sortis de l'ENA (A coups de pieds au cul ?) ne font QUE des gouffres, des dettes et des discours d'idiots grâce à la dictature mise en place.huemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-1039463247167239412018-12-28T08:58:06.009-08:002018-12-28T08:58:06.009-08:00Le scénario de Saxo Banque dépasse de très (très) ...Le scénario de Saxo Banque dépasse de très (très) loin le simple dérapage budgétaire. C'est une véritable mise en commun des risques qui verrait l'avenir budgétaire allemand se lier avec celui de la Grèce. On a du mal à l'imaginer. Pourtant, c'est du domaine du possible. Et Saxo Banque ne dit pas autre chose:<br /><br />«Ces prévisions ne constituent pas les prévisions de marché officielles de Saxo Bank pour 2019, mais elles constituent un avertissement quant à une possible mauvaise répartition du risque pour les investisseurs qui ne voient généralement qu'1% de probabilité que ces événements se réalisent.»<br /><br />https://fr.sputniknews.com/economie/201812281039470248-union-europenne-crise-economique-dette-banque-krach/huemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-90311861651434764682018-12-28T08:57:50.553-08:002018-12-28T08:57:50.553-08:00La gestion du niveau des taux d'intérêts direc...La gestion du niveau des taux d'intérêts directeurs est un véritable casse-tête pour la Banque centrale européenne. Les augmenter, même légèrement, pourrait avoir des incidences sur l'économie car cela limiterait le crédit. Un problème dans une économie déjà fragile. D'un autre côté, la BCE ne pourra effectuer une remontée suffisante pour dégager des marges de manœuvre en cas de crise, les taux actuels étant historiquement bas.<br /><br />Un contexte délicat comme le rappelait récemment dans nos colonnes Philippe Béchade, le président des Econoclastes:<br /><br />«La BCE n'a aucune marge de manœuvre en termes de niveaux de taux. Et ces derniers ne devraient pas bouger avant la fin septembre 2019. Ensuite, on ne sait pas. Reste les opérations de refinancement à plus long terme ciblées ou TLTRO (targeted longer-term refinancing operations) qui sont grosso modo des paquets d'argents que l'on crée ex nihilo et que les banques peuvent utiliser pour soutenir l'activité de crédit. Mais il ne sert à rien de mettre de l'argent dans le système s'il n'existe pas de demande de crédit.»<br /><br />Nouriel Roubini, président de Roubini Global Economics et respecté dans le milieu pour avoir anticipé la crise des Subprimes, a récemment publié un article dans Les Échos intitulé «Les cinq ingrédients qui préparent la crise de 2020». Il s'inquiétait notamment du peu d'options disponibles pour les gouvernements et les banques centrales afin de relancer la machine: «La marge de relance budgétaire dans le monde est d'ores et déjà réduite par une dette publique massive. La possibilité de nouvelles politiques monétaires non conventionnelles sera limitée par des bilans hypertrophiés, et par un manque de capacité à réduire les taux directeurs.»<br /><br />Voici le dénouement de l'histoire imaginée par Saxo Banque:<br />«L'Allemagne et le reste de l'Europe centrale, qui refuse de laisser la zone euro s'effondrer, n'ont d'autre choix que de soutenir la monétisation. L'Union économique et monétaire confie à la BCE un mandat de monétisation de la dette pour tous les niveaux d'endettement supérieurs à 50 % du PIB et garantit le reste par un système d'euro-obligations tout en déplaçant les objectifs controversés de croissance et de stabilité. Les pays de l'Union économique et monétaire adoptent une nouvelle règle budgétaire autorisant la mutualisation des premiers 3% du PIB en déficit en 2020, le reste étant soumis à un examen périodique par la Commission européenne lié à la situation économique de l'UE.»<br /><br />Si Saxo Banque rappelle que «contrairement à ce que la crise de la dette grecque, observée depuis 2010, pourrait laisser entendre, l'annulation de la dette est très fréquente en Europe», la réalisation d'une telle hypothèse ferait l'effet d'un véritable séisme. On voit mal comment les pays du Nord, Allemagne en tête, pourrait accepter une telle mutualisation-monétisation de la dette quand l'on sait à quel point ils tiennent à la rigueur budgétaire. Encore dernièrement, Jens Weidmann, le président de la Banque fédérale d'Allemagne, a critiqué les mesures prises par Emmanuel Macron pour calmer la fronde des Gilets jaunes. «Le président Macron veut continuer son cours des réformes, c'est une bonne nouvelle», mais «dans l'ensemble, cela devrait être conçu de manière à être conforme aux règles budgétaires européennes convenues d'un commun accord», a-t-il déclaré au journal Welt am Sonntag.huemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-23780415708908935772018-12-28T08:57:09.906-08:002018-12-28T08:57:09.906-08:00Revenons maintenant sur la «hausse des taux d'...Revenons maintenant sur la «hausse des taux d'intérêt de la Banque centrale européenne», la «diminution des liquidités» et la «croissance lente» mentionnées dans le scénario de Saxo Banque. Pour ce qui est de la première projection, elle n'est pas d'actualité comme l'a rappelé Mario Draghi le 13 décembre. En plus d'un engagement à réinvestir ses stocks de dette arrivant à échéance, et ce pour une «période prolongée», l'institut francfortois a déclaré que les taux directeurs ne devraient pas augmenter jusqu'à la fin de l'été 2019. Une annonce de taille a cependant été faite le même jour concernant «la diminution des liquidités». Mario Draghi a annoncé la fin du programme de rachat d'actifs ou «quantitative easing» (QE). C'est à fin décembre 2018 que l'institut francfortois cessera d'acheter de nouveaux titres de dette privée et publique. Cette stratégie avait pour but de fournir en liquidités les marchés et ainsi soutenir l'économie. La BCE aura tout de même injecté le pactole de 2.600 milliards d'euros en l'espace de trois ans et demi. <br /><br />Parlons maintenant «croissance lente». Toujours le 19 décembre, la Banque centrale européenne a dû se résoudre à baisser les prévisions de croissance de la zone euro pour 2018 et 2019. Devant les difficultés traversées par l'économie, la hausse du PIB pour cette année devrait être de 1,9% contre 2,0% lors des dernières projections fournies en septembre. Même chose pour 2019 avec +1,7% contre +1,8% précédemment. Mario Draghi a parlé de «dynamique de croissance plus faible qu'auparavant».<br /><br />«L'Italie est le principal pays concerné, car elle est confrontée à un énorme mur d'échéances qui devrait atteindre environ 300 milliards d'euros de refinancement en 2019 en raison de la flambée des taux d'intérêt», nous dit la «Prédiction choc» de Saxo Banque.<br /><br />Retour dans le monde réel. L'accord trouvé le 19 décembre entre Rome et l'Union européenne sur le budget italien après des semaines de bras de fer n'a pas totalement convaincu Bruxelles. Le vice-président de l'exécutif européen, Valdis Dombrovskis, a parlé d'une solution «pas idéale». L'exécutif transalpin a accepté de ramener le déficit public à 2,04% du PIB, contre 2,4% au départ, principalement en ayant reporté deux mesures phares de la coalition La Ligue-Mouvement 5 Etoiles: la réforme des retraites et la mise en place du revenu de citoyenneté pour les plus défavorisés. Après avoir été fortement remaniées dans la loi de finance validée par le Sénat le 24 décembre, ces réformes seront lancées par le gouvernement italien en avril 2019. <br /><br />Durant les semaines de lutte acharnée entre Rome et Bruxelles, le marché obligataire avait vivement réagi. Le 14 novembre, l'Italie refusait de présenter un nouveau budget à la Commission européenne qui avait refusé le premier soumis le 23 octobre: une première. Une décision qui avait fait grimper en flèche le spread Italie-Allemagne qui avait alors atteint 314 points de base. Quelques semaines avant, il battait déjà un record vieux de cinq ans et demi. Cette donnée économique indique l'écart de taux pour les emprunts à 10 ans sur les marchés entre l'Italie et l'Allemagne, emprunteur de référence. Plus il est haut, plus il indique une défiance du marché. Une situation qui a avait fortement inquiété les banques italiennes. <br /><br />Et Saxo Banque continue de déployer son scénario catastrophe:<br /><br />«Rapidement, la contagion italienne affaiblit les banques européennes alors que l'UE s'enfonce dans la récession. La BCE recourt à un nouveau TLTRO et à de nouvelles directives pour limiter les dégâts, mais ce n'est pas suffisant et lorsque la contagion s'étend à la France, les responsables politiques comprennent que l'UE est au bord du gouffre.»huemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-65124621053351026522018-12-28T08:56:49.190-08:002018-12-28T08:56:49.190-08:00Saxo Banque imagine «l’UE au bord du gouffre»: et ...Saxo Banque imagine «l’UE au bord du gouffre»: et si on annulait les dettes en 2019 ? <br /><br /><br />16:56 28.12.2018<br />Fabien Buzzanca<br /><br /><br />Selon la tradition, Saxo Banque a publié ses «Prévisions choc» pour la prochaine année. Parmi les scénarios envisagés par la banque danoise pour 2019, on trouve une annulation d’une partie conséquente de la dette des pays de la zone euro. Pour les auteurs, c’est un scénario très improbable. Mais du domaine du possible.<br /><br />Une hypothèse aux allures de cauchemar pour les afficionados de l'orthodoxie budgétaire. Depuis plusieurs années, Saxo Banque publie début décembre ses scénarios explosifs ou «Prévisions choc» pour le prochain millésime économique. Vous les avez peut-être vues passer ces derniers jours sur votre fil d'actualité. En 2019, parmi le rachat de Tesla par Apple ou l'entrée en récession de l'Allemagne, la banque danoise a imaginé l'annulation d'une grande partie des dettes des pays de la zone euro. Attention, les économistes de Saxo Banque rappellent qu'il ne s'agit que d'hypothèses volontairement choc mais envisageables:<br /><br />«Il s'agit plutôt de risques peu probables qui sont encore sous-évalués et qui pourraient modifier radicalement les perspectives d'investissement et l'économie au cours des douze à vingt-quatre prochains mois, s'ils venaient à se réaliser.»<br /><br />Les auteurs soulignent que «depuis la Babylone antique à l'Europe des années 1930, les annulations de dettes ont été beaucoup plus fréquentes que ce que pensent la plupart d'entre nous». Et que ces dernières «ont également joué un rôle important dans la résolution des crises financières». Alors que des économistes de renom tel que Nouriel Roubini annonce un prochain drame sur la planète éco, Bruxelles et la BCE seront-ils contraints à une telle décision ?<br />«L'UE est au bord du gouffre»<br /><br />Tout d'abord, jetons un œil au tableau d'ensemble imaginé par Saxo Banque et qui pourrait conduire à un tel choix:<br /><br />«En 2019, le niveau insoutenable de la dette publique, la montée du populisme, une hausse des taux d'intérêt de la Banque centrale européenne, une diminution des liquidités et une croissance lente ont rouvert le débat européen sur la manière de se préparer à une nouvelle crise.»<br /><br />L'expression «niveau insoutenable de la dette publique» peut être parfaitement illustrée par l'infographie ci-dessous. Plusieurs pays de la zone euro doivent composer avec des ratios dette/PIB supérieurs à 100%. C'est très largement le cas pour la Grèce, l'Italie ou le Portugal, mais c'est également une réalité pour la Belgique et selon toute vraisemblance, bientôt pour la France.<br /><br />Pour ce qui est de «la montée du populisme», les sondages pour les élections européennes de mai 2019 ne doivent pas rassurer dans le camp des européistes. À travers le Vieux Continent, de nombreuses formations qualifiées de «populistes» par leurs détracteurs sont créditées de hautes intentions de vote. En Allemagne, l'Alternative pour l'Allemagne (AfD) est placée en quatrième position par une enquête Insa datée du 12 décembre. En France, c'est encore plus inquiétant pour Bruxelles. Marine Le Pen est largement en tête avec 24% des intentions de vote selon un sondage Ipsos pour L'Opinion. Selon la même enquête, La République en Marche d'Emmanuel Macron serait distancée avec 18%. Et l'Italie, encore elle, fait décidément figure de casse-tête pour l'Union européenne. Une enquête de Der (europäische) Föderalist datée du 19 novembre 2018 place La Ligue de Matteo Salvini et le Mouvement 5 Etoiles de Luigi Di Maio très largement en tête au niveau des projections de sièges. Les deux formations eurosceptiques en obtiendraient respectivement 28 et 24 au Parlement européen.huemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-8104351725566081062018-12-28T08:56:18.669-08:002018-12-28T08:56:18.669-08:00«J'assume parfaitement que la fiscalité due au...«J'assume parfaitement que la fiscalité due au diesel soit au niveau de celle de l'essence et je préfère la taxation du carburant à la taxation du travail», a déclaré Emmanuel Macron au cours d'une interview avec les journalistes du groupe EBRA.<br /><br />La contestation ne faiblissant pas et l'argument de la non-taxation du travail ne prenant pas auprès des Gilets jaunes, un second argument a par la suite été utilisé par le Président de la République.<br /><br />«Les mêmes qui râlent sur la hausse du carburant, réclament aussi qu'on lutte contre la pollution de l'air parce que leurs enfants souffrent de maladies», a poursuivi Emmanuel Macron le 4 novembre.<br /><br />L'écologie et l'impact des gaz d'échappement sur l'environnement et la santé ont été la seconde justification du gouvernement pour ne pas céder à la pression du mouvement des Gilets jaunes. Le 27 novembre, 10 jours après l'acte 1, Emmanuel Macron a justifié la hausse des prix du carburant dans une allocution destinée aux manifestants:<br /><br />«On ne peut pas le lundi être pour l'environnement et le mardi contre la hausse du prix du carburant», a défendu le Président de la République.<br /><br />Face au mouvement continu des Gilets jaunes, le chef de l'État a finalement renoncé à appliquer la hausse des taxes sur les carburants initialement prévue dans le projet de loi de finances pour 2019. Et il l'aura fait sans jamais pointer du doigt l'Union européenne comme la responsable de l'augmentation des taxes sur les carburants, alors même que Laurent Martel le proposait à Alexis Kohler en novembre 2016.<br /><br />«On pourra toujours raconter une histoire: alignement sur la moyenne européenne de l'écart essence/diesel, division par deux de l'écart, convergence complète mais très progressive…», écrivait l'actuel conseiller pour la fiscalité d'Emmanuel Macron et d'Édouard Philippe à Alexis Kohler.<br /><br />Le gouvernement, dans sa campagne de communication, ne semble pas avoir convaincu les Gilets jaunes avec ses «histoires».<br /><br />https://fr.sputniknews.com/france/201812281039469352-etat-menteur-taxes-carburants-raconte-histoires/huemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-58758794691570394352018-12-28T08:56:00.195-08:002018-12-28T08:56:00.195-08:00État menteur: pour les taxes sur les carburants, «...État menteur: pour les taxes sur les carburants, «on pourra raconter une histoire» <br /><br /><br />17:08 28.12.2018<br />Elliot Lelievre<br /><br /><br />«On pourra toujours raconter une histoire»: c'est ce qu'écrivait en 2016 un actuel conseiller d'Emmanuel Macron pour expliquer que l'augmentation des taxes sur les carburants pourrait être justifiée de plusieurs manières. Ce que n'a pas manqué de faire le chef de l'État face aux Gilets jaunes. Même si ces derniers ne l'ont pas cru.<br /><br />La hausse des prix du carburant, cette étincelle qui a fait naître le mouvement des Gilets jaunes, était-elle vraiment liée à la transition énergétique? L'hypothèse, déjà peu crédible pour pléthore de manifestants, a pris un peu (plus) de plomb dans l'aile le 26 décembre, lorsque le site WikiLeaks a ressorti un échange de mails datant de novembre 2016 et ayant fuité lors des MacronLeaks.<br /><br />Passés inaperçus jusqu'à maintenant, les mails ayant fuité dévoilent une conversation entre Laurent Martel, alors inspecteur des finances ainsi que membre de la Direction générale des finances publiques (DGFIP), devenu depuis conseiller pour la fiscalité du Président de la République et Alexis Kohler, actuel secrétaire général de l'Élysée.<br /><br />Le sujet de la conversation: la hausse des prix du carburant dans le but de dégager des fonds qui seraient «affectés à des allègements de cotisation sociale jusqu'à 1,6 SMIC», comprenez un allègement des charges patronales. Bien loin de la justification écologique avancée par le gouvernement, donc.<br /><br />Au début du mouvement des Gilets jaunes, le projet de loi de finance pour 2019 prévoyait une hausse de la fiscalité sur les carburants, que ce soit de l'essence (+2,9 centimes d'euro par litre) ou le diesel (+6,5 centimes par litre). Soit environ 3,85 milliards, à en croire le calcul qu'a fait Laurent Martel, qui explique dans l'un des e-mails dévoilés qu'une augmentation d'un centime sur le diesel entraîne un gain de 410 millions d'euros.<br /><br />On apprend également dans ces e-mails que la composante carbone est, d'après Laurent Martel, le «seul levier disponible» pour obtenir les «six à huit milliards d'euros» nécessaires au financement de la baisse de charges patronales, qui est le véritable objectif.<br /><br />Et, effectivement, si l'on regarde les raisons invoquées par le gouvernement pour justifier une hausse des prix à la pompe depuis que cette dernière a été remise au goût du jour en novembre, la baisse des cotisations patronales n'est jamais mentionnée. Et la raison est clairement expliquée par Laurent Martel dans un des e-mails publiés par WikiLeaks et daté du 15 novembre 2016.<br /><br />«Ce raisonnement suppose toutefois de comparer une mesure qui pèse directement sur le pouvoir d'achat des ménages (la hausse du prix des carburants) avec une mesure qui n'est pas directement une mesure "ménages" (la baisse des cotisations patronales), ce qui est un peu tiré par les cheveux.»<br /><br />Le 4 novembre, soit près de deux semaines avant l'acte 1 du mouvement des Gilets jaunes, le Président de la République avait donc choisi de justifier autrement la hausse des taxes sur le carburant et avait déclaré que cette décision avait été prise pour limiter la hausse des taxes sur le travail.huemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-83460407289898598532018-12-28T08:54:36.800-08:002018-12-28T08:54:36.800-08:00La mondialisation dans le sens porté par les polit...La mondialisation dans le sens porté par les politique ne peut que PAS marcher. On ne déplace pas les gens comme on déplace des produits ! Les robots peuvent travailler immédiatement dans n'importe quel pays. Les humains non.<br />Les humains ont besoin de s'adapter, de se plaire là où ils sont, bref c'est à EUX de choisir et seulement à eux !<br /><br />Les humains peuvent aller en des îles du Pacifique au sable fin et cocotiers avec poissons à volonté ils s'y plairont. Mais, les vacances finies... ils repartent ! ILS ABANDONNENT LE 'PLUS BEAU PAYS DU MONDE' !! Pourquoi ?! Parce qu'ils sont d'une autre culture et ne tolèrent pas que les routes serpentent au lieu d'aller tout droit, qu'ils n'aient pas l'eau au robinet mais au puits, quant à l'électricité... Houlala !<br /><br />Donc: il faut laisser faire chacun pour voir s'il aime ou pas.<br /><br />Maintenant, regardons les immigrés. Ils viennent mais, s'habillent comme dans leur pays, ne mangent que de la nourriture importée de leur pays et parlent la langue de leur pays. De celui-là, on ne pourra rien en tirer. Il est inutile au pays, même après x générations.<br /><br />Faut en premier ÉCOUTER ce que les gens veulent. Cela s'appelle la Démocratie. Et, quand on sait qu'il n'y a qu'UN SEUL PAYS en Démocratie au monde !... On sent que çà va être difficile de faire plaisir à tous le monde !<br /><br />Donc: cessons d'importer des problèmes ! Un produit que l'on aime pas: on le jette.<br />On peut mettre des animaux exotiques en zoos en Scandinavie ils vivront ! Mais ils souffriront d'être en prison. C'est pourquoi l'importation de viandes vives ne devrait pas exister !huemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-88993130175903487692018-12-28T08:53:36.095-08:002018-12-28T08:53:36.095-08:00La démondialisation est un phénomène au long cours...La démondialisation est un phénomène au long cours. On l'avait décrit déjà en 2011. Mais, le rythme s'en est indiscutablement accéléré. En un sens, le mouvement des Gilets Jaunes en est un nouvel avatar. Ce qui s'annonce donc, pour 2019, est la prise de conscience généralisée que la globalisation, ou la mondialisation, est un phénomène global, une totalité qui fait système. Et c'est pourquoi la revendication de la souveraineté ne peut être seulement une revendication politique, mais qu'elle est aussi une revendication économique et sociale. Si l'année 2018 a vu la démondialisation prendre corps, l'année 2019 pourrait bien être celle de la souveraineté des peuples et des nations.<br /><br />https://fr.sputniknews.com/points_de_vue/201812281039470755-demondialisation-souverainete-usa-tafta/huemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-29852007144687336712018-12-28T08:53:20.105-08:002018-12-28T08:53:20.105-08:00L'impact de la globalisation financière
Mais ...L'impact de la globalisation financière<br /><br />Mais le libre-échange n'est que l'un des aspects de la globalisation. La dimension financière est, elle aussi, fondamentale. D'une part, le métier de la banque tend à s'éloigner des activités de crédit, qui impliquent une connaissance et un lien réciproques entre le banquier et son client, pour s'orienter de plus en plus vers des activités dites « de marché », c'est-à-dire des activités de spéculation.<br /><br />De l'autre, des «quasi-banques» se forment à partir des fonds d'investissement et des hedge funds ou fonds spécialisés dans les opérations spéculatives. Les grandes entreprises elles-mêmes, dont on a suivi précédemment la «multinationalisation» découvrent à travers la gestion de leur trésorerie la possibilité de réaliser de nouveaux profits. Tout semble alors partir de la finance et y revenir.<br /><br />Outre des profits, les entreprises y gagnent une souplesse considérable qui leur permet de soustraire une large partie de leurs profits aux systèmes fiscaux de leur pays d'origine en profitant des différents «paradis fiscaux» qui existent sur la planète. Ce phénomène n'aurait jamais pu voir le jour sans le processus de déréglementation que l'on a connu depuis maintenant plus de trente ans. Or, cette internationalisation de la finance se heurte désormais à la suspicion qu'entraine les diverses mesures de contraintes imposées par les Etats-Unis, et en particulier dans le domaine monétaire. Cette suspicion a déjà fragmenté le marché mondial des titres et des dettes.<br /><br />Un processus explosif<br /><br />À chacune de leurs étapes, les diverses mesures liées à la globalisation ont imposé leurs lots de violences et de guerres. Nous en voyons aujourd'hui le résultat: une marche généralisée à la régression, tant économique que sociale, qui frappe d'abord les pays dits «riches» mais aussi ceux que l'on désigne comme des pays «émergents». Elle a conduit à une surexploitation des ressources naturelles plongeant plus d'un milliard et demi d'êtres humains dans des crises écologiques qui vont chaque jour empirant.<br /><br />Elle a provoqué la destruction du lien social dans un grand nombre de pays et confronté là aussi des masses innombrables au spectre de la guerre de tous contre tous, au choc d'un individualisme forcené qui laisse présager d'autres régressions, bien pires encore. De fait, la démondialisation ou déglobalisation est à la fois une réaction contre les conséquences économiques et sociales de ce processus ET une réaction politique. Les mouvements qui, en Europe et dans le monde, remettent en cause la mondialisation sont aussi, et parfois avant tout, des mouvements qui cherchent à rétablir la souveraineté des peuples, le contrôle de ces derniers sur leur propre destin.<br /><br />C'est cette combinaison de revendications économiques et sociales (contre les délocalisations, mais aussi contre les fameux «travailleurs détachés») et de revendications politiques (concernant la souveraineté et la démocratie), qui a pris désormais un caractère explosif. Et, de plus en plus, les peuples comprennent que la revendication de souveraineté est indissolublement liée avec les revendications concernant l'emploi ou le niveau de vie. C'est sans doute en cela que l'année 2018 aura marqué un changement important.huemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-45089344533414223092018-12-28T08:52:59.021-08:002018-12-28T08:52:59.021-08:002018, année de la démondialisation, 2019, année de...2018, année de la démondialisation, 2019, année de la souveraineté ? <br /><br /><br />16:50 28.12.2018<br />Jacques Sapir<br /><br /><br />Alors que 2019 se termine et que 2019 s'annonce, il est désormais évident que le monde est entré dans une phase accélérée de «démondialisation».<br /><br />Les actions des Etats-Unis, pays qui pourtant avait été à la pointe de la «mondialisation», ont beaucoup compté. Certaines de ses actions ont été directement des attaques contre le libre-échange généralisé. La politique de Donald Trump en est un exemple. Après avoir fait capoter le TAFTA (Traité transatlantique de libre-échange), il a contraint le Mexique et le Canada à renégocier le traité couvrant les échanges de ces trois pays (le NAFTA), puis il s'est engagé dans un bras de fer spectaculaire avec la Chine.<br /><br />Mais, lier cette tendance à la «démondialisation» au seul Donald Trump serait une erreur. Les précédents présidents des Etats-Unis, de Georges W Bush à Barak Obama avaient portés des coups très durs, même s'ils pouvaient passer pour involontaires, à la globalisation des échanges. Qu'il s'agisse des mécanismes des «sanctions», ou de l'extra-territorialité du droit des Etats-Unis, avec les conséquences que l'on a constatées sur de nombreuses entreprises, les mesures n'ont pas manqué depuis ces dix dernières années. De ce point de vue, la politique de Donald Trump s'inscrit plus dans une continuité que dans une rupture. Pourtant, sa politique marque cependant un tournant. La globalisation est ainsi contestée en son centre même.<br /><br />Qu'est-ce que la mondialisation ?<br /><br />Mais, qu'appelle-t-on au juste «mondialisation» ou «globalisation»? De fait, la mondialisation que nous avons connue depuis près de quarante ans a résulté de la combinaison de la globalisation financière, qui s'est mise en place avec le détricotage du système hérité des accords de Bretton Woods en 1973, et de la globalisation marchande, qui s'est incarnée dans le libre-échange.<br /><br />C'est bien l'ouverture importante du commerce international, et ce depuis les années 1970 et 1980, qui a marqué les esprits. Ceci a suscité de nombreux fantasmes. Le développement économique aurait, durant les trente dernières années, largement été porté par le commerce international. Tel est le résultat qui a été vulgarisé par une partie des économistes, parfois par ignorance des données sur lesquelles ils travaillaient et parfois par intérêt soit idéologique, soit matériel.<br /><br />On a assisté à des modifications dans la structure de la chaîne de production. Ces modifications nécessitent des réformes, mais elles sont différentes de celles qui sont soutenues par les avocats de la globalisation. Ces réformes ont pour effet d'entraîner une dépossession croissante des producteurs directs au profit des intermédiaires de marché, qui d'ailleurs ne sont pas nécessairement situés dans le pays considéré. C'est le processus des délocalisations. Ainsi non seulement la somme des richesses révélées par le processus de marchandisation peut-elle s'avérer inférieure à la somme totale des richesses existantes au départ, mais aussi le processus de marchandisation soumet-il les acteurs locaux à la volonté de puissances étrangères, publiques ou privées. Il est l'une des raisons de la profonde révolte contre les effets du libre-échange.huemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-75586112363525583602018-12-28T07:06:23.710-08:002018-12-28T07:06:23.710-08:00Dans les autres pays, il y a davantage de chances ...Dans les autres pays, il y a davantage de chances que ce bouton fonctionne. Cependant, sa fonctionnalité est déterminée par le code du bâtiment ou par le client.<br /><br />Thermostats<br /><br />Les thermostats dans les chambres d'hôtels servent en fait à limiter la plage de température disponible pour les utilisateurs afin de réduite les coûts énergétiques. Cependant, parfois, certains thermostats peuvent être trompeurs de par leur conception. Certains modèles incluent même une fonction placebo. "Les recherches sur le confort thermique démontrent que lorsque les personnes perçoivent qu'elles contrôlent la température de leurs espaces, elles peuvent tolérer des niveaux d'inconfort plus élevés", a expliqué Robert Bean de la Société américaine des ingénieurs en chauffage et en climatisation.<br /><br />Si un thermostat (placebo) non fonctionnel ou un thermostat à fonction limitée est installé, le simple fait de pouvoir le manipuler peut affecter la perception de l'utilisateur. Ce type de thermostat est également utilisé dans les bureaux.<br /><br />Selon Langer, les boutons placebo ont un effet positif net sur nos vies, car ils nous donnent l’illusion de contrôle. Ils nous donnent la possibilité de faire quelque chose dans des situations où il n'y a aucune alternative. Cela explique également pourquoi les personnes appuient sur un bouton déjà allumé. Dans le cas des passages pour piétons, ils peuvent même augmenter notre sécurité en nous obligeant à faire attention à notre environnement.<br /><br />Selon la psychologue, c'est une erreur de les nommer "bouton placebo" car ces boutons ont au moins un objectif psychologique et parfois, ils ont un effet.<br /><br />https://fr.express.live/2018/12/27/les-boutons-placebo-le-monde-est-plein-de-boutons-qui-nont-aucun-effethuemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-73695401176284722042018-12-28T07:06:06.521-08:002018-12-28T07:06:06.521-08:00Les boutons placebo : le monde est plein de bouton...Les boutons placebo : le monde est plein de boutons qui n'ont aucun effet<br /><br /><br />27 DÉCEMBRE 2018<br />Arnaud Lefebvre<br /><br /><br />Le monde est rempli de "boutons placebo", des boutons qui ont aspect mécanique et qui peuvent être enfoncés, mais qui n'ont tout bonnement aucune fonctionnalité immédiate. <br /><br />Avez-vous déjà appuyé sur le bouton fixé sur le poteau du feu de circulation à côté du passage pour piétons ? Vous êtes-vous déjà demandé si cela fonctionnait vraiment ? Ou peut-être avez-vous enfoncé le bouton "fermer la porte" dans un ascenseur en vous demandant si cela avait vraiment un effet. Rassurez-vous, vous n’êtes pas le seul à vous poser ce genre de questions.<br /><br />Ellen Langer, une psychologue de Harvard, a expliqué que ces boutons, tout comme les pilules placebo, ont malgré tout une fonction. Pour se référer à ce phénomène, elle emploie le concept connu sous le nom d'"illusion de contrôle".<br /><br />"Ces boutons ont un effet psychologique. Réaliser une action amène les personnes à ressentir un sentiment de contrôle sur une situation. Et cela leur fait du bien au lieu d'être un spectateur passif", a-t-elle expliqué dans un entretien à CNN.<br /><br />Passages piéton<br /><br />A New York, selon le Département des transports, seuls 100 boutons fonctionnent sur les 1.000 passages pour piétons que compte la ville. Ce nombre a diminué au fil des années. En 2004, on comptait 750 boutons opérationnels. Les signaux de passage pour piétons étaient déjà installés avant que la congestion atteigne les niveaux actuels. Au fil du temps, ces signaux ont commencé à interférer avec la coordination complexe des feux de signalisation. La fonction des boutons physiques a été reprise par des systèmes plus avancés tels que les capteurs de trafic. Toutefois, ces boutons ont été conservés plutôt que d'être remplacés pour des raisons budgétaires.<br /><br />Londres compte 6.000 feux de circulation. Lorsque l'on presse le bouton "Piéton", un voyant "Attendre" s'allume, mais cela ne signifie pas que "l'homme vert" apparaîtra plus vite. "Appuyer sur le bouton permet d'accéder à des fonctionnalités supplémentaires", a expliqué le directeur de la gestion du réseau de transport de la ville. Ces fonctionnalités telles que le pavage tactile et les feux de signalisation sonores aident les personnes malvoyantes à traverser la route et ne sont activées que lorsque le bouton est enfoncé.<br /><br />Ascenseurs<br /><br />Qu'en est-il du bouton le plus enfoncé : le bouton pour fermer les portes des ascenseurs ? Aux Etats-Unis, ce bouton ne fonctionne pas. Le public ne sera pas en mesure de fermer les portes plus rapidement en utilisant ce bouton, a expliqué un représentant de la National Elevator Industry. Cependant, il existe une bonne raison à cela. La loi sur les Américains handicapés de 1990 exigeait que les portes des ascenseurs restent ouvertes suffisamment longtemps pour que toute personne à mobilité réduite puisse monter dans l'ascenseur en toute sécurité.huemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.com