le 20 septembre 2023
Il est nécessaire de mentionner ici quelques rappels au sujet de ce qui fait l’objet de cet article : les tests PCR. Mise au point par Kary Mullis cette technique envahit tous les laboratoires du monde impliqués dans la biologie moléculaire au milieu des années 1980. L’idée était d’utiliser une DNA polymérase résistante à la température nécessaire pour que la structure en double hélice de l’ADN soit fragilisée afin que cette DNA polymérase puisse fonctionner sans encombre. Le véritable secret de cette technique résidait dans le fait qu’une fois les deux brins d’ADN séparés, la présence d’un petit morceau d’ADN complémentaire présent dans le milieu réactionnel permettait alors la poursuite du fonctionnement de l’ADN polymérase orientée alors pour copier l’ADN présent en refroidissant le milieu réactionnel puis en chauffant à nouveau pour obtenir de l’ADN simple brin etc, …
J’ai moi-même utilisé cette technique pour « aller à la pêche » au gène d’un enzyme d’origine végétale dont quelques amino-acides avaient été déterminés en position N-terminale. Le nombre de cycles d’amplification utilisé était alors une quinzaine, nombre évitant d’introduire un bruit de fond parasite risquant de compliquer la suite des investigations. Kary Mullis avait bien précisé que cette technique ne pouvait en aucun cas être utilisée comme outil de diagnostic médical. Et pourtant …
Dès le mois d’avril 2020 la technique de Kary Mullis fut adaptée à l’identification de l’ARN du SARS-CoV-2 en ajoutant une transcriptase réverse qui copiait l’ARN du virus en ADN double brin pour que la technique PCR puisse être opérationnelle. Dans le but d’augmenter le nombre de « cas » positifs afin d’entretenir la panique, il fut convenu que le nombre de cycles d’amplification serait d’au moins 40, une décision politique mais une aberration scientifique « chimiquement pure ». Les autorités de santé dont le CDC aux USA validèrent l’utilisation à grande échelle du test PCR + transcriptase réverse ou RT-PCR pour différencier dès l’apparition des premiers symptômes entre une grippe à virus influenza et la maladie coronavirale elle-même tant redoutée puisqu’il n’existait pas de traitement existant car dans le même temps l’hydroxychloroquine avait été déclarée hautement toxique mais pourtant la seule molécule porteuse d’espoir. La communauté médicale savait en effet depuis le début des années 2000 que cette molécule utilisée comme anti-malaria dans le monde entier était efficace pour traiter les malades victimes du SRAS, l’ancêtre du SARS-CoV-2. Tout allait donc très bien pour les laboratoires producteurs de tests.
Le petit problème qui subsistait avec ces tests était qu’ils n’étaient pas à la portée du grand public car il fallait disposer d’un équipement spécifique. Ces même laboratoires mirent donc au point un test dit « antigénique » consistant à faire migrer le long d’une piste en polymère un échantillon de salive ou un prélèvement effectué dans les fosses nasales qui allait rencontrer des anticorps dirigés contre la protéine de la capside du virus dont les propriétés antigéniques sont très peu variables d’une souche à l’autre. Une bande colorée devait apparaître au cours de cette migration indiquant que le test était positif. Cette mise au point du test dit antigénique fut inspirée de celle des tests « SIDA » pratiquée à grande échelle lors de la « panique SIDA » des années 1980. Avec un petit encouragement du CDC indiquant que ces tests « antigéniques » étaient plus fiables que les tests RT-PCR (normal puisque le nombre de cycles d’amplification était juste délirant) une véritable mine d’or fut offerte aux laboratoires impliqués dans la production de ces tests antigéniques.
En Mars 2021 la FDA approuva les tests antigéniques et les autorité européennes de santé suivirent quelques jours plus tard. Les entreprises impliquées dans la production des tests antigéniques vendus par les pharmaciens et achetés préalablement par les gouvernements comblèrent de satisfaction tous les acteurs de cette gigantesque arnaque qui rapporta au bas mot plus d’une centaine de milliards de dollars répartis à des firmes comme Abbott, BTNX, Roche, Merck, Boehringer, Biomérieux et bien d’autres.
Il faut être réaliste. Un test PCR revient pour le fabricant de réactifs, enzymes, nucléotides, milieu réactionnel, polymérase transcriptase y compris les tubes dans lesquels l’addition d’eau distillée reconstituera le milieu réactionnel revient à environ 50 centimes de dollar. Il est acheté une douzaine de dollars par les gouvernements et au passage les laboratoires d’analyse médicale et autres officines réalisent au passage un bénéfice non négligeable. Au final on comprend quelle fut l’ampleur de ce que l’on peut appeler une mine d’or peut-être d’une ampleur supérieure à celle réalisée avec les ARN messagers de Moderna, Pfizer et les autres. Et le monde politique était complice et pour cause, lisez la suite de cet article.
Le résultat espéré par le monde politique avec ces tests était bien là : le nombre de cas confirmé par les tests antigéniques explosa lorsque le variant omicron apparut car même antérieurement à l’apparition de ce dernier variant, les tests PCR puis antigéniques avaient contribué à rendre la « vaxxination » obligatoire malgré le fait que les producteurs de cette thérapie génique étaient parfaitement au fait de la totale inefficacité de leur mixture pour enrayer l’épidémie outre son caractère dangereux comme de nombreuses révélations l’ont indiqué plus tard et jusqu’à ces mois derniers. Cette fausse pandémie fut donc un vaste complot organisé avec trois approches, les tests PCR, les tests antigéniques et cette thérapie génique qui a probablement entraîné plus de décès que le virus lui-même afin d’assurer des profits insolents aux divers laboratoires acteurs eux-mêmes de ce complot. Finalement ce sont au moins deux générations de contribuables qui paieront pour ce scandale …
Tout fut organisé par les financiers comme indiqué maintenant : cette finance transnationale, BlackRock et Vanguard, le fond souverain norvégien et les gestionnaires de fond à la recherche, précisément durant cette épidémie coronavirale, recherchait des opportunités d’investissement et cette opportunité leur fut également offerte par les décideurs politiques car ils sont les principaux actionnaires des divers laboratoires pharmaceutiques et de produits d’analyse biologique, et être avides de profits c’est leur métier. Pour se ménager des profits futurs encore plus stratosphériques ils ont obtenu que l’OMS, dont le principal contributeurs (véritable actionnaire) est Bill Gates et ses diverses fondations, s’arroge le droit d’émettre des alertes épidémiques que tous les gouvernements devront appliquer selon l’autorité de cet organisme onusien de mettre en œuvre de nouvelles mesures similaires à celles décrites ci-dessus. L’épidémie coronavirale a été un tel succès pour eux qu’ils en redemandent !
Ainsi la financiarisation de la santé conduira à un asservissement des peuples selon l’arbitraire hors de contrôle des puissances financières pour la plus grande satisfaction des tenants d’un totalitarisme à la mode de ce mégalomane de Klaus Schwab et avec un fou dépravé comme Bill Gates qui contrôle l’OMS … George Orwell n’aurait jamais pu imaginer un tel scenario ! Maintenant si on croit que je suis complotiste, ce n’est pas le cas : je dénonce au contraire un complot dont peu d’analystes ont évoqué l’ampleur …
Source partielle : https://michelchossudovsky.substack.com/p/there-never-pandemic-covid-mandates-invalid?utm_source=post-email-title&publication_id=1910355&post_id=137118245&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=emsng&utm_medium=email
(...) Cette fausse pandémie fut donc un vaste complot organisé avec trois approches, les tests PCR, les tests antigéniques et cette thérapie génique qui a probablement entraîné plus de décès que le virus lui-même afin d’assurer des profits insolents aux divers laboratoires acteurs eux-mêmes de ce complot. (...)
RépondreSupprimerRappel qu'un virus EST UNE POUSSIÈRE et non un microbe ! (Un microbe est une bactérie - qui change de nom - lorsque celle-ci est porteuse de maladie).
Donc, comprenons bien: Comme le microbe (appelé 'corona' ou 'cocovide19' etc) N'EXISTE PAS dans l'air que nous respirons ont été utilisés des stratagèmes d'anachronismes et de similitudes d'effets afin que le public confonde le microbe avec une poussière (appelée 'virus') !
La poussière annoncée (il y a 3 ans) est un POISON (sous forme de poudre de dimensions nanométriques introduite par des écouvillons dans les fosses nasales). Un poison est contrarié par l'arrivée d'un contre-poison (çà, on le sait). Mais l'expérimentation génique d'essais (appelée faussement et criminellement 'vaccin') n'est PAS un contrepoison ! D'où le nombre de personnes en très bonne santé appelée 'positives' dès l'introduction du poison (par écouvillons ou seringues). L’hydroxychloroquine joue ici un rôle d'antipoison.
N'oublions pas que les faux tests dits 'RT-PCR' ne sont pas là pour analyser quoi que ce soit mais pour DÉPOSER des nano-particules d'oxyde de graphène en fosses nasales (comme le font également les inoculations de ces nano-particules en seringues).
Le but est à la fois la dépopulation et, pour les 'plus résistants' d'être asservis via les nano-particules d'oxyde de graphène qui servent de relais entre les téléphones portables (même éteints) et le cerveau. Le cerveau reçoit dont des messages d'aller se faire inoculer ! Une fois, deux fois, trois fois, etc si résistances.
Ignorer le cœur du problème : comment la myocardite est devenue le scandale silencieux de la vaccination contre le COVID-19.
RépondreSupprimerJUSTIN HART
20 SEPTEMBRE 2023
Tout a commencé lentement au début – un filet de rapports inquiétants selon lesquels quelque chose n’allait pas. En janvier 2021, quelques semaines seulement après le déploiement des vaccins contre la COVID-19, des cas de myocardite ont commencé à apparaître.
La myocardite – inflammation du muscle cardiaque – n’avait jamais été associée aux vaccins auparavant. Ainsi, lorsque 28 cas ont été signalés au système américain de déclaration des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) [1] ce mois-là, cela a fait sourciller.
En février, le filet était devenu un ruisseau. Le VAERS a reçu 64 rapports supplémentaires, dont deux décès [2]. Puis, en mars, Israël [3] et l’armée [4] ont également commencé à signaler des cas.
Il se passait quelque chose d’étrange. Mais les autorités l'ont ignoré.
En mars, la FDA a autorisé le vaccin Johnson & Johnson sans l’ombre d’une myocardite [5]. Le CDC l'a rapidement recommandé à tous les adultes [6]. Les collèges et les entreprises ont commencé à rendre obligatoires les injections [7]. C'était à toute vitesse.
Pourtant, à huis clos, la sonnette d’alarme retentit. Le CDC a rencontré les militaires pour discuter des cas de myocardite chez les jeunes soldats [8]. Israël signalait des dizaines de cas, notamment chez des adolescents [9]. La FDA savait grâce à Pfizer qu’il y avait déjà près de 60 cas dans sa base de données [10].
Mais en public, c’était le déni et le rejet. La directrice du CDC a affirmé qu'elle n'était au courant d'aucun cas militaire [11]. Pfizer a caché les numéros de ses bases de données [12]. Et la FDA a approuvé en mai l’autorisation du vaccin Pfizer pour les adolescents sans mention de myocardite [13].
Alors que les rapports de myocardite affluaient dans le VAERS par centaines au cours de l’été [14], les jeunes et les personnes en bonne santé ont continué à subir des pressions pour se faire vacciner. Mandats déployés à travers le pays [15]. Les autorités ont déclaré au public que les avantages dépassaient les risques [16].
RépondreSupprimerMais les patients ont commencé à partager leurs histoires d’hospitalisation pour problèmes cardiaques après la vaccination [17]. Les chercheurs ont commencé à publier des rapports de cas dans des revues médicales [18]. Et pourtant, le CDC a publiquement minimisé ses inquiétudes [19].
Derrière des portes closes, les responsables ont élaboré une stratégie pour surveiller les rapports alarmants [20]. Ils ont élargi les critères d'identification des cas de myocardite [21]. Davantage d'hôpitaux ont confirmé avoir vu des cas inhabituels chez des jeunes vaccinés [22].
En juin, la FDA a discrètement ajouté des avertissements concernant la myocardite aux fiches d’information sur les vaccins [23]. La nouvelle s’est répandue lentement selon laquelle les conseillers du CDC reconnaissaient désormais une « association probable » [24].
Mais l’ampleur de ce phénomène restait obscurcie. Les autorités s’accrochaient au discours selon lequel les avantages l’emportaient sur les risques [25]. Ils ont utilisé des données incomplètes et des hypothèses optimistes pour affirmer que les vaccins en valaient toujours la peine pour les jeunes [26].
Des millions d’adolescents ont continué à subir des pressions pour se faire vacciner tout au long de l’été et de l’automne [27]. Il est devenu malheureusement évident que la campagne en faveur d’une vaccination généralisée avait préséance sur la transparence et la prudence.
Ce n’est qu’en octobre 2021 que les avertissements ont été pris plus au sérieux. Les pays nordiques ont limité le vaccin Moderna en raison de problèmes de myocardite [28]. La FDA et le CDC ont été contraints d’aborder les risques plus ouvertement lors de réunions [29].
Mais ils ont quand même continué en élargissant les injections aux plus jeunes [30]. Les enfants de cinq ans ont commencé à se faire vacciner en novembre malgré une absence totale de données de sécurité [31]. Des doses de rappel ont été promues pour les adolescents contre l'avis de leurs homologues européens [32].
Les preuves ont continué à s’accumuler jusqu’en 2022 selon lesquelles les vaccins enflammaient les cœurs [33]. Les jeunes, presque tous des hommes, souffraient de graves conséquences [34]. La FDA a entièrement approuvé les vaccins Moderna et Pfizer avec à peine une mention de la myocardite [35].
Les régulateurs du monde entier ont réduit leurs recommandations concernant les rappels chez les jeunes à mesure que de nouveaux signaux de sécurité apparaissaient [36]. Mais les États-Unis ont pris les devants, autorisant même une quatrième dose avant que les données des essais ne soient disponibles (37).
RépondreSupprimerTrois ans et plus de 1 600 rapports VAERS confirmés plus tard [38], le CDC a finalement admis publiquement que les vaccins à ARNm provoquaient une myocardite [39]. Mais les autorités continuent de maintenir la position selon laquelle les avantages l’emportent sur les risques dans tous les groupes [40].
Pourtant, alors que les chercheurs rapportent avoir découvert des anomalies cardiaques des mois plus tard [41], il n’est pas clair si l’ensemble des risques est connu. Certains experts affirment que la société a perdu de vue le principe « d’abord, ne pas nuire » dans la précipitation visant à vacciner toute une population contre le COVID-19 [42].
Pourquoi les premiers signes avant-coureurs ont-ils été ignorés ? Combien ont été blessés à cause de signaux ignorés ou cachés [43] ? Et pourquoi le débat sur la prudence en matière de vaccination reste-t-il tabou malgré l’accumulation de preuves condamnant des politiques de vaccination trop larges [44] ?
Cette histoire est loin d'être terminée. À mesure que de nouvelles études examinent les effets à long terme et les décès potentiellement causés par la myocardite induite par le vaccin [45], les questions continueront de tourbillonner.
Les familles changées à jamais veulent des comptes. Reconnaissance du fait que les programmes de vaccination de masse n'ont pas réussi à respecter le consentement éclairé [46]. Et l’assurance que « suivre aveuglément la science » ne primera plus sur la santé des individus [47].
La myocardite s’est avérée n’être que la pointe de l’iceberg lorsqu’il s’agissait de risques vaccinaux sous-estimés [48]. Seul le temps nous dira toute l’ampleur des vies bouleversées et perdues dans la course à la vaccination du monde [49].
Bravo à Epoch Times pour sa chronologie détaillée de tout cela !
[1] https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2021-06/03-COVID-Shimabukuro-508.pdf
RépondreSupprimer[2] https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2021-02/28-03-01/05-covid-Shimabukuro.pdf
[3] https://www.fda.gov/media/144416/download
[4] https://childrenshealthdefense.org/defender/cdc-ignore-inquiry-military-covid-vaccine-injuries/
[5] https://www.fda.gov/news-events/press-announcements/fda-issues-emergency-use-authorization-third-covid-19-vaccine
[6] https://www.cdc.gov/media/releases/2021/s0303-COVID-19-Vaccines.html
[7] https://www.nytimes.com/2021/05/06/us/rutgers-vaccine-mandate.html
[8] https://childrenshealthdefense.org/wp-content/uploads/fauci-redacted-emails-041321.pdf
[9] https://www.fda.gov/media/148542/download
[10] https://www.cdc.gov/media/releases/2021/s0426-covid-19-vaccination-young-people.html
[11] https://childrenshealthdefense.org/defender/cdc-ignore-inquiry-military-covid-vaccine-injuries/
[12] https://www.fda.gov/news-events/press-announcements/coronavirus-covid-19-update-fda-authorizes-pfizer-biontech-covid-19-vaccine-emergency-use
[13] https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2021-06/03-COVID-Shimabukuro-508.pdf
[14] https://www.nytimes.com/2021/07/01/us/college-vaccine-mandates.html
[15] https://www.cdc.gov/vaccines/acip/recs/grade/covid-19-pfizer-biontech-vaccine.html
[16] https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2779731
[17] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33975157/
[18] https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2021-05/05-COVID-Shimabukuro-508.pdf
[19] https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/min-archive/min-2021-05.pdf
[20] https://brightoncollaboration.us/brighton-collaboration-case-definition-myocarditis-published/#:~:text=On%20May%2030%2C%202021%20the,case%20definition%20for%20myocarditis%20globally.
[21] https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/min-archive/min-2021-05-508.pdf
[22] https://www.fda.gov/media/150054/download
[23] https://www.fda.gov/news-events/press-announcements/coronavirus-covid-19-update-june-25-2021
[24] https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2021-06/03-COVID-Shimabukuro-508.pdf
[25] https://www.cdc.gov/mmwr/volumes/70/wr/mm7027e2.htm?s_cid=mm7027e2_w
[26] https://www.cdc.gov/media/releases/2021/s0506-Pfizer-BioNTech.html
[27] https://www.reuters.com/world/europe/sweden-pauses-use-moderna-covid-vaccine-cites-rare-side-effects-2021-10-06/
[28] https://www.fda.gov/media/153409/download
[29] https://www.fda.gov/news-events/press-announcements/fda-authorizes-pfizer-biontech-covid-19-vaccine-emergency-use-children-5-through-11-years-age
[30] https://www.fda.gov/media/153086/download
[31] https://www.theguardian.com/world/2021/sep/03/uk-reportedly-reconsiders-giving-second-jabs-to-teens
[32] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34931745/
[33] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34519242/
[34] https://www.fda.gov/media/151710/download
[35] https://www.gov.uk/government/news/jcvi-issues-updated-advice-on-covid-19-vaccination-of-children-aged-12-to-15
[36] https://www.whitehouse.gov/briefing-room/statements-releases/2022/03/29/fact-sheet-the-biden-administration-launches-covid-gov-one-stop-shop-for-americans-to-get-covid-19-tests-treatments-vaccines-and-high-quality-masks/
RépondreSupprimer[37] https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2022-02/02-COVID-Su-508.pdf
[38] https://www.cdc.gov/coronavirus/2019-ncov/vaccines/safety/myocarditis.html
[39] https://www.cdc.gov/vaccines/acip/recs/grade/covid-19-pfizer-biontech-vaccine.html
[40] https://journals.lww.com/pidj/Fulltext/2022/11000/Seven_Month_Follow_up_of_Symptoms_and_Health.1.aspx
[41] https://www.wsj.com/articles/cdc-covid-19-vaccine-kids-payment-physicians-committee-ethics-newsom-california-mandate-school-11663518249
[42] https://trialsitenews.com/did-pfizer-fail-to-perform-industry-standard-testing-prior-to-requesting-eua-from-the-fda/?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter
[43] https://www.bmj.com/content/376/bmj.o102
[44] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35713431/
[45] https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2203965
[46] https://blogs.bmj.com/bmj/2022/09/28/ignored-and-denied-how-officials-have-failed-vaccine-injured-people/
[47] https://www.thelancet.com/journals/landia/article/PIIS2213-8587(22)00251-0/fulltext
[48] https://www.ahajournals.org/doi/10.1161/CIRCEP.121.010666
[49] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35713431/
https://covidreason.substack.com/p/ignoring-the-heart-of-the-matter?utm_source=post-email-title&publication_id=64295&post_id=137227959&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=9atnc&utm_medium=email
Neuralink recrute ses premiers cobayes
RépondreSupprimerFrance-Soir
le 20 septembre 2023 - 17:00
DÉPÊCHE — Neuralink a reçu l'autorisation de lancer ses premiers essais cliniques sur l'Homme. Malgré tous les débats auxquels ce projet de "cerveau-ordinateur" peut donner naissance, l'entreprise de neurotechnologie d'Elon Musk a officiellement lancé le recrutement de ses premiers cobayes le 19 septembre dernier.
Pour rappel, l'objectif de Neuralink est de mettre au point des implants cérébraux connectés aux machines afin de permettre l'utilisation d'outils numériques par la pensée. Sur le papier, il s'agirait d'aider essentiellement des personnes atteintes de maladies graves que l'on n'arrive pas à soigner (Parkinson, Alzheimer, paraplégie...) "Les interfaces de cerveau-ordinateur ont le potentiel de changer des vies pour le meilleur", peut-on lire sur le site de l'entreprise.
Depuis 2018, Neuralink mène ses tests sur cochons, singes et rats ; cela créait déjà de nombreuses controverses. Et pour cause ! D'après Reuters, quelque 1.500 animaux seraient morts à cause de chirurgies précipitées.
Malgré tout, c'est au tour de l'Homme de faire avancer la science ! Mardi 19 septembre, Neuralink a publié son annonce de recrutement pour l'étude PRIME (Precise Robotically Implanted Brain-Computer Interface). Ces premières expériences visent à "évaluer la sécurité de notre implant (N1) et de notre robot chirurgical (R1) et à évaluer la fonctionnalité initiale de notre interface cerveau-ordinateur pour permettre aux personnes paralysées de contrôler des dispositifs externes par la pensée".
Les volontaires devraient être (très) suivis pendant plus de cinq ans, à raison de deux sessions d'une heure par semaine et quelques visites médicales en plus. Il n'y a rien à gagner, et voici les critères de recrutements :
Résider aux États-Unis ;
Avoir 18 ans ou 22 ans (selon l’âge de la majorité dans l’État) ;
Être atteint de conditions médicales spécifiques : quadriplégie, paraplégie, sclérose latérale amyotrophique (la maladie de Charcot), perte de vision, perte d’audition, incapacité à parler et/ou amputation majeure d’un membre...
À l'inverse, il y a aussi des critères excluants :
Avoir des appareils implantés, comme un pacemaker ;
Avoir déjà eu des crises d’épilepsie ;
Devoir subir une ou plusieurs IRM ;
Être sous traitement pour des troubles musculo-squelettiques.
https://www.francesoir.fr/societe-science-tech/neuralink-recrute-ses-premiers-cobayes
France – Conseil de l’Ordre contre Henri Joyeux, la condamnation de trop ?
RépondreSupprimerPar Augustin de Livois
Mondialisation.ca,
20 septembre 2023
Le 1er septembre dernier, le Conseil national de l’ordre des médecins a prononcé une interdiction d’exercer la médecine à l’encontre du Pr Henri Joyeux(1).
Cette sanction commence à partir du 1er janvier 2024.
Il ne s’agit pas d’une radiation.
Le Pr Joyeux est à la retraite depuis longtemps. C’est pour cela qu’il a pu affirmer dans les médias “comme je n’exerce plus, cela ne change rien à ma vie, je reste joyeux !”(2)
L’Ordre règne par la terreur sur les médecins
Mais cette condamnation n’est pas que pour lui. Elle vise à servir d’avertissement à tout médecin qui oserait aller à l’encontre de la doxa médicale officielle.
Elle s’ajoute à une longue série de décisions de l’Ordre contre ses médecins(2).
Et, une fois de plus, cette décision est profondément injuste et dangereuse.
Il y a deux grandes raisons à cela :
1/ elle porte atteinte à la liberté d’expression,
2/ elle s’appuie sur une qualification des faits inexacte, ce qui est, à mon sens, beaucoup plus grave.
Le retour de l’arbitraire
En effet, la transformation des faits et des dires par des juges signifie le retour de l’arbitraire dans notre pays.Cela est d’autant plus marqué que les médias conventionnels vont dans le sens de cette fausse analyse du conseil de l’Ordre.
On accuse le Pr Joyeux d’avoir été antivax. Rien n’est plus faux !
Et cela lui a du reste été reproché par ceux qui sont contre les vaccins. Mais c’est un autre sujet.
L’alerte donnée par le Pr Joyeux
En mai 2015, le Pr Henri Joyeux lance une pétition pour alerter les citoyens sur la disparition du vaccin DTP (Diphtérie-Tétanos-Poliomyélite) qui a été retiré des pharmacies en France(3,4). Il explique que ce vaccin était sûr et bon marché. Il ne coûtait que 6,54 €.
Il correspondait parfaitement à l’obligation vaccinale de l’époque qui ne concernait que ces trois vaccins.
Ce vaccin DTP, défendu par le Professeur Joyeux, a été remplacé subrepticement par un autre produit qui coûte 6 fois plus cher !
Voilà une manière, ni vu, ni connu d’augmenter ses profits ! Heureusement que quelqu’un a su relever l’anomalie !
RépondreSupprimerPassage en force pour un vaccin suspecté de provoquer la sclérose en plaques
Le nouveau vaccin imposé aux foules à l’époque contient 6 souches, dont l’hépatite B, qui est controversée.La Cour de cassation a reconnu en 2009, qu’il pouvait y avoir un lien de causalité entre le vaccin hépatite B et la sclérose en plaques(5).
Sans surprise, depuis cette décision, beaucoup de personnes ont moins envie de se faire vacciner contre cette maladie sexuellement transmissible.
Comme par hasard, le vaccin DTP, qui correspondait à l’obligation vaccinale, a été supprimé et remplacé par un hexavalent contenant l’hépatite B de manière concomitante.
En intégrant ce vaccin dans les six vaccins regroupés dans un seul produit, l’industrie pharmaceutique a trouvé une belle entourloupe pour faire passer son vaccin litigieux.
Qui a dénoncé ce scandale ? Le Pr Joyeux.
1 million de soutiens
L’appel du Pr Joyeux a été entendu par de nombreux Français.Sa pétition a réuni d’abord 750 000 signatures puis plus d’1 million(3,4).
Et cela a suscité des débats et d’autres initiatives.
3 500 citoyens ont décidé de saisir le Conseil d’État avec Maître Jacqueline Bergel(6).
Le Conseil d’État a validé l’analyse du Pr Joyeux
Deux requêtes ont été formulées. L’une contestait la vente forcée de trois vaccins.L’obligation vaccinale, à l’époque, couvrait trois vaccins. L’industrie ne donnait pas d’autre choix que d’en prendre six.
La deuxième refusait l’usage de l’aluminium, un dangereux neurotoxique, comme adjuvant(6).
Sur la première question, le Conseil d’État a donné raison au Pr Joyeux.
Le 8 février 2017, le Conseil d’État reconnaissait en effet que(7,8) :
“depuis plusieurs années, aucun vaccin correspondant aux seules obligations légales de vaccination des enfants de moins de dix-huit mois, prévues par les articles L. 3111-2 et L. 3111-3 du code de la santé publique, n’est commercialisé en France.”
Sur la deuxième, la plus haute juridiction administrative française s’est contentée de dire qu’en l’état actuel des recherches scientifiques, elle ne pouvait pas se prononcer.
Antivax ? Qui est antivax ?
Le Pr Joyeux est condamné pour avoir “manqué de prudence” et les médias l’accusent d’être antivax. On parle tout de même d’une action menée en défense du vaccin DTP !
Mais antivax est un mot pratique, un peu comme complotiste. On accuse un citoyen d’être antivax et cela permet de lui nier le droit de participer au débat public.
RépondreSupprimerLa vérité est que très peu de personnes osent être antivax en France.
La couverture vaccinale, je parle des vaccins obligatoires, est supérieure à 90 %(9) !
Les 5 % à 10 % qui restent sont ceux qui ont dû faire face à des effets secondaires des vaccins.
Et ceux-là, menacez tant que vous voudrez, ils ne changeront pas d’avis.
Un médecin qui s’est battu pour la prévention
En l’occurrence, on parle ici d’un médecin dont les états de service sont impeccables.Un médecin qui a, dans l’ensemble, suivi fidèlement les conventions de sa profession bien qu’il ait davantage insisté sur la prévention que les autres.
En lançant ses pétitions, son seul tort est d’avoir dénoncé un dysfonctionnement de la politique sanitaire de son pays et d’avoir souligné la dangereuse collusion qui existe entre les intérêts de l’industrie pharmaceutique et ceux de l’État.
La décision à son encontre, et la campagne médiatique qui a suivi, n’ont eu qu’un seul but : discréditer la parole d’un courageux lanceur d’alerte !
Il faut dissoudre ou réformer le Conseil national de l’Ordre des médecins !
Le Pr Joyeux est accusé d’avoir été alarmiste sur la question des vaccins.Ce reproche est surréaliste. Il est d’autant plus cocasse que nous sortons d’une période de terreur sanitaire avec le covid 19.
Et l’Ordre des médecins a joué son rôle dans cette tragi-comédie.
Les médecins ayant cherché des solutions contre le covid 19 ont systématiquement été poursuivis.
Cela a été le cas, par exemple, pour les médecins lorrains ayant utilisé avec succès de l’azithromycine contre le Sars CoV 2(10).
On ne leur a pas reproché les bons résultats qu’ils obtenaient mais le fait d’en avoir parlé !
L’Ordre ne poursuit pas les charlatans. Il poursuit spécifiquement deux types de médecins :
ceux qui innovent en dehors des voies tracées par l’industrie pharmaceutique ou l’administration ;
RépondreSupprimerceux qui soulignent les failles du système.
En revanche, comme l’a montré un rapport édifiant de la Cour des comptes de 2019, le CNOM s’est montré plutôt laxiste pour poursuivre les confrères accusés d’agressions sexuelles. Les vrais criminels et délinquants sexuels ne sont pas poursuivis(11,12) !Ce rapport dénonce, en outre, de graves défaillances dans la gestion du Conseil de l’Ordre et note qu’une grande partie des médecins qui y siègent sont des hommes à la retraite déconnectés des réalités du terrain(11,12).
Bref, cette institution doit changer.
Ses défaillances empêchent depuis trop longtemps les médecins de soigner.
En effet, comment une profession peut-elle évoluer si elle n’entend aucune critique et n’accepte aucune innovation ?
Il est temps de mettre fin à la chasse aux sorcières !
Enfin, les médecins qui passent devant le Conseil de l’Ordre sont souvent bien mal préparés au traitement qu’ils vont recevoir.On les moque, on ne les écoute pas.
Il faut lire l’excellent livre de Sylvie Simon, Ordres et désordres pour en prendre la mesure ou bien tous les livres de Pierre Lance !
Combien de médecins se sont fait interdire d’exercice, combien ont été radiés, combien ont rendu les armes, voire se sont suicidés à cause de ces attaques injustes ?
Et cela fait des années que cela dure !
Il est temps de transformer l’Ordre, d’en faire une association d’aide aux médecins et non un organisme de chasse aux sorcières.
Pourquoi la justice des médecins se fait-elle en dehors de la justice classique?
On pourrait parfaitement imaginer que seule la justice fût qualifiée pour condamner les médecins qui le mériteraient.L’Ordre aurait simplement un rôle consultatif.
Son vrai rôle serait d’aider les jeunes médecins à s’installer, de faire passer des messages de prévention, de prendre sa liberté face à l’industrie pharmaceutique, d’encourager l’essor d’une médecine humaine, écologique, durable, à l’écoute des patients et des soignants…
Combien de procédures injustes les médecins – et par ricochet leurs patients – devront-ils subir avant que l’on ne se décide à faire évoluer cette institution ?
RépondreSupprimerNaturellement vôtre,
Augustin de Livois
https://www.mondialisation.ca/france-conseil-de-lordre-contre-henri-joyeux-la-condamnation-de-trop/5681461?doing_wp_cron=1695279474.2141320705413818359375
Une nouvelle étude détecte la protéine Spike 6 mois après la vaccination contre le COVID-19
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 20 SEPTEMBRE 2023 - 09H30
Rédigé par Megan Redshaw via The Epoch Times
Selon les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), l'ARNm des vaccins contre le COVID-19 est « décomposé quelques jours après la vaccination et ne dure pas longtemps dans l'organisme » – une position à laquelle ils adhèrent depuis le début de la pandémie. , malgré les recherches suggérant le contraire (pdf). Le CDC qualifie l’ARNm d’« ARN messager », tandis que les documents réglementaires et Pfizer qualifient l’ARNm des vaccins contre la COVID-19 d’« ARN modifié ».
Pourtant, une nouvelle étude publiée le 31 août dans Proteomics Clinical Applications a découvert une protéine de pointe dans les fluides biologiques de personnes ayant reçu un vaccin à ARNm contre la COVID-19 six mois après la vaccination, ce qui suggère que l’ARNm peut être intégré ou retranscrit dans certaines cellules.
Le groupe d'étude comprenait 20 sujets qui ont reçu deux doses d'un vaccin à ARNm contre la COVID-19, 20 qui n'étaient pas vaccinés et ont été testés négatifs pour la COVID-19 ou des anticorps indiquant qu'ils avaient déjà été infectés, et un groupe témoin de 20 participants non vaccinés qui ont été testés positifs pour la COVID-19. COVID 19.
Les chercheurs ont ensuite testé la différenciation des protéines de pointe synthétiques provenant des vaccins à ARNm des protéines de pointe naturelles présentes dans les fluides biologiques, tels que le sang, l'urine, la salive et les liquides de lavage broncho-alvéolaire des participants à l'étude, et ont surveillé les protéines de pointe induites par le vaccin après la vaccination.
La protéine de pointe de l’ARNm diffère de la protéine de pointe post-infectieuse
Selon l’étude, les protéines de pointe provenant de la traduction des vaccins à ARNm diffèrent des protéines de pointe naturelles qui circulent dans les fluides biologiques après l’infection, car deux acides aminés proline ont remplacé les acides aminés lysine et valine pour aider à stabiliser le pic synthétique généré par la vaccination. Cette double variation d’acides aminés a supprimé un site de digestion tryptique (une partie nécessaire à l’absorption des protéines) sur la protéine de pointe naturelle. Pour cette raison, les chercheurs ont déclaré qu’il était possible de faire la différence entre les protéines de pointe naturelles et synthétiques dans les fluides biologiques en utilisant une digestion tryptique suivie d’une analyse par spectrométrie de masse.
En utilisant ces techniques, les chercheurs ont détecté des fragments spécifiques de protéine de pointe synthétique chez environ 50 % des sujets ayant reçu des vaccins à ARNm. La protéine de pointe synthétique a été détectée de 69 à 187 jours après la vaccination. Tous les échantillons du groupe témoin non vacciné se sont révélés négatifs, y compris les 20 personnes qui avaient été testées positives après avoir contracté le COVID-19.
RépondreSupprimer3 hypothèses pour la protéine de pointe synthétique persistante chez les vaccinés
Sur la base des résultats de l’étude, les chercheurs ont suggéré trois hypothèses possibles pour expliquer pourquoi la protéine de pointe synthétique persistait chez les vaccinés :
L’ARNm des vaccins contre la COVID-19 peut être intégré ou retranscrit dans certaines cellules.
Les pseudouridines à une position particulière de la séquence peuvent induire la formation d’une protéine de pointe, bien que les chercheurs aient déclaré qu’il s’agissait d’une possibilité lointaine.
Les nanoparticules contenant l'ARNm peuvent être captées par des bactéries habituellement présentes au niveau basal dans le sang et produire une protéine de pointe.
Bien que les chercheurs aient déclaré que les trois hypothèses nécessitaient une étude plus approfondie, ils ont conclu que leurs observations initiales pourraient aider un individu à prendre une décision quant à l’opportunité de prendre des rappels.
Autres études
Dans un article récemment publié dans Biomedicines, les données montrent que la conception des vaccins à ARNm contre la COVID-19 permet une biodistribution, une durabilité et une biodisponibilité incontrôlées de la protéine de pointe à l’intérieur du corps après la vaccination.
"La matrice lipidique-nanoparticulière permet une biodistribution généralisée des codes génétiques de l'ARNm dans les cellules de la plupart ou de la totalité des organes" et pourrait potentiellement endommager les tissus et provoquer des maladies, ont conclu les chercheurs.
Une étude publiée en novembre 2021 dans le Journal of Immunology a découvert des exosomes exprimant la protéine de pointe 14 jours après la vaccination avec les vaccins à ARNm COVID-19. Une augmentation de la protéine de pointe a été observée quatre mois après la deuxième dose de vaccin et a augmenté après les doses de rappel.
Dans une étude de janvier 2023 publiée dans le Journal of Pathology, Microbiology, and Immunology, les chercheurs ont trouvé une longueur complète ou des traces d'ARNm de pointe du SRAS-CoV-2 dans certains échantillons de patients jusqu'à 28 jours après la vaccination contre le COVID-19, indiquant une protéine de pointe prolongée. production.
RépondreSupprimerUne étude publiée en mars 2022 dans Cell a révélé l'ARNm du vaccin dans les ganglions lymphatiques les jours 7, 16 et 37 après la vaccination, avec des niveaux plus faibles mais toujours appréciables au jour 60. Coloration immunohistochimique pour l'antigène de pointe dans les nanoparticules lipidiques de patients vaccinés par ARNm chez certains individus. a montré une quantité abondante de protéine de pointe 16 jours après la deuxième dose, avec un antigène de pointe « toujours présent jusqu'à 60 jours après la deuxième dose », ont déclaré les chercheurs.
Une étude japonaise de biodistribution de Pfizer a montré que la protéine de pointe du vaccin COVID-19 peut voyager du site d'injection à travers le sang et s'accumuler dans les organes et les tissus, notamment la rate, la moelle osseuse, le foie, les glandes surrénales et les ovaires. L’ARNm du vaccin était présent dès le jour de la vaccination et persistait dans la circulation sanguine pendant des semaines après la vaccination.
Le CDC affirme que les vaccins n’affectent pas l’ADN, malgré des preuves contradictoires
Le CDC, en plus d’affirmer que l’ARNm des vaccins contre la COVID-19 se décompose rapidement dans l’organisme, déclare également sur son site Internet que ces vaccins « n’affectent ni n’interagissent avec notre ADN » – le matériel génétique contenu dans le noyau des cellules – parce que ces vaccins ne « pénètrent pas dans le noyau de la cellule ».
L'agence affirme que les vaccins COVID-19 à « ARN messager » fonctionnent en « fournissant des instructions (matériel génétique) à nos cellules pour commencer à construire une protection » contre le SRAS-CoV-2, et que le corps rejette tous les ingrédients du vaccin après avoir produit une réponse immunitaire tout aussi il supprime « toutes les informations dont les cellules n’ont plus besoin ». Selon le CDC, ce processus fait « partie du fonctionnement normal du corps ».
L’analyse actuelle et les études antérieures remettent en question cette position. Une étude de février 2022 publiée dans Current Issues in Molecular Biology montre la transcription inverse de l’ARNm du vaccin en ADN à l’aide de lignées cellulaires hépatiques humaines. Des études supplémentaires ont montré que l'ARN du SRAS-CoV-2 peut être transcrit de manière inverse et intégré dans le génome de cellules humaines en culture et exprimé dans des tissus dérivés de patients ou par des cellules infectées par un virus.
À ce jour, les données pharmacocinétiques et pharmacodynamiques sur les vaccins à ARNm contre la COVID-19 sont limitées. La pharmacocinétique est l'étude de la façon dont l'organisme réagit aux substances administrées pendant toute la durée de l'exposition. La pharmacodynamie évalue de plus près l’effet du médicament sur l’organisme. Comprendre combien de temps la protéine Spike est produite par l’organisme et combien de temps elle est présente dans les tissus biologiques pourrait expliquer le nombre sans précédent d’événements indésirables qui semblent être associés à la protéine Spike produite par les vaccins.
RépondreSupprimerhttps://www.zerohedge.com/covid-19/new-study-detects-spike-protein-6-months-after-covid-19-vaccination
Flux de réfugiés aux USA et dans l’UE : contrôlés par la CIA et Soros ?
RépondreSupprimer21 septembre 2023
par le Dr. Peter F. Mayer
Récemment, le débarquement de milliers de réfugiés africains à Lampedusa a alarmé l’opinion publique, à tel point que même les dirigeants de l’UE se sont sentis obligés de se rendre personnellement sur l’île. La migration au-delà des frontières ouvertes est également un problème récurrent aux États-Unis. Le patron de X/Twitter, Elon Musk, est récemment entré dans la discussion. Cependant, personne n’explique le contexte de la migration de l’Afrique vers l’Europe.
Le PDG de Tesla, Elon Musk, a déclaré que la politique d'ouverture des frontières du président Joe Biden avait atteint ses limites et il a lancé un avertissement à l'Amérique. Le patron de Twitter/X a également critiqué les médias américains pour avoir ignoré le sujet. Mais Musk a également critiqué le rôle du milliardaire américain George Soros.
Dans un article sur X, Musk a déclaré :
« Il est étrange qu’il n’y ait quasiment aucune couverture médiatique sur cette question.
« Environ 2 millions de personnes – originaires de tous les pays du monde – traversent chaque année la frontière sud des États-Unis.
« Ce nombre augmente rapidement, mais le gouvernement actuel ne prend aucune mesure préventive. »
- voir twitt sur site -
« C’est le chaos total à Eagle Pass en ce moment. Des passages clandestins massifs ont lieu depuis plus d’une heure et demie.
« Près de 2 ans après le jour où nous avons vu plus de 15 000 Haïtiens sous le pont de Del Rio, des milliers de Vénézuéliens se rassemblent désormais sous le pont Eagle Pass.
« Un groupe important d'hommes adultes, pour la plupart célibataires, attendent maintenant d'être traités par la patrouille frontalière.
« De plus en plus de personnes traversent la frontière en ce moment. Serpent infini. Ne vous inquiétez pas des conséquences d'un passage illégal de la frontière. Ils s'attendent à être libérés aux États-Unis après traitement. "
Et qui ou quoi se cache derrière cela en Europe ?
Le message suivant était une réponse à un article antérieur d'Elon Musk dans lequel il affirmait que le réseau du financier américain cherchait à détruire la civilisation occidentale, faisant référence à l'invasion massive de migrants illégaux qui se déroule actuellement en Europe.
- voir twitt sur site -
Elon Musk a récemment menacé de poursuivre George Soros en justice, accusant le milliardaire de menacer la liberté d'expression.
RépondreSupprimerL'eurodéputé Fidesz Balázs Hidvéghi a répondu au message de Musk. Il a évoqué la longue lutte du gouvernement hongrois contre le réseau mondial Soros.
Dans sa publication sur les réseaux sociaux, le député hongrois a écrit :
Les ONG Soros tentent de détruire les sociétés occidentales. Le Premier ministre Viktor Orbán a été le premier à le reconnaître et à y résister. C’est bien de voir d’autres personnes intelligentes emboîter le pas.
- voir twitt sur site -
En fait, le Premier ministre hongrois Viktor Orbán est en désaccord avec George Soros depuis plus d’une décennie parce que le milliardaire soutient ouvertement la migration massive dans le monde entier. Dans le passé, le réseau Soros a été extrêmement actif au Parlement européen et dans la politique européenne, et George Soros est le principal oligarque du monde qui « contrôle les activités politiques à travers un réseau de type mafieux et exerce une influence sur la politique européenne », a déclaré Orban. En réponse, les grands médias européens et américains ont accusé le Premier ministre d'antisémitisme, faisant allusion aux racines juives de Soros, et l'ont décrit comme un extrémiste de droite.
La Hongrie a également expulsé l’ université privée Soros de Budapest, qui a ensuite déménagé à Vienne et tente d’influencer l’Europe de l’Est à partir d’ici.
Contexte de la migration africaine
Cependant, le contexte de la migration africaine vers l’Europe réside dans les conditions de vie et la pauvreté dues à des siècles d’exploitation par les puissances coloniales et à leurs actions guerrières de ces derniers temps. AlArabiya, par exemple, attribue la détérioration des barrages, qui a conduit à la catastrophe majeure en Libye, à la destruction de l'ordre étatique provoquée par les bombardements du pays et le coup d'État contre le gouvernement par l'OTAN et les États-Unis. D’autres médias du Sud voient la même chose.
Au Niger et dans d'autres pays qui sont actuellement en train de se débarrasser de la puissance coloniale française , les ressources naturelles n'ont jamais conduit à une prospérité, même modeste. Le pays n'a reçu que 3 dollars pour son uranium, alors que le prix sur le marché mondial était en moyenne de 23 dollars et s'élève actuellement à 51 dollars.
https://tkp.at/2023/09/21/fluechtlingsstroeme-in-usa-und-eu-gesteuert-von-cia-und-soros/
L'arrivée massive de millions d'immigrants est là pour remplacer les millions de personnes inoculées et décédées.
Supprimer80 % des nouvelles recherches de pointe dans les domaines technologiques avancés VIENNENT DE CHINE
RépondreSupprimer20/09/2023
Arsenio Toledo
La Chine est désormais devenue le leader de la recherche dans environ 80 % de tous les domaines technologiques avancés critiques, soit pratiquement des kilomètres devant toute recherche révolutionnaire menée aux États-Unis.
C’est ce que révèle une étude récemment publiée par l’Australian Strategic Policy Institute (ASPI), un groupe de réflexion non partisan. L'ASPI a constaté que la Chine est devenue le leader de la recherche dans une variété de domaines critiques, notamment les sciences militaires comme les armes hypersoniques et les drones sous-marins, et les technologies clés dites « vertes » comme les véhicules électriques (VE) et la production de batteries. (Connexe : un général de l'armée de l'air met en garde : la Chine renforce ses capacités militaires en recrutant des militaires américains actuels et anciens.)
L'ASPI a examiné quelque 2,2 millions d'articles universitaires évalués par des pairs et publiés entre 2018 et 2022. Le groupe de réflexion a découvert que la Chine représentait 80 % de la production globale de la recherche, dont 73,3 % de la recherche à fort impact sur la détection, le suivi et la caractérisation hypersoniques, et 56,9 % de la recherche sur les drones sous-marins, y compris les communications sous-marines sans fil.
Parmi les 10 % des articles les plus cités publiés au cours de cette période, la Chine a mené des recherches dans 19 des 23 technologies clés. Ces 23 domaines ont été choisis parce qu’ils sont considérés comme essentiels au partenariat de sécurité trilatéral entre les États-Unis, le Royaume-Uni et l’Australie, qui se sont unis pour former le nouveau pacte de sécurité anti-chinois connu sous le nom d’AUKUS.
Les États-Unis ne peuvent rivaliser que dans la recherche sur l’intelligence artificielle et la technologie quantique. Sur les six domaines liés à l’IA, la Chine est en tête dans quatre domaines, dont les drones autonomes. Pendant ce temps, les États-Unis se classent au premier rang sur seulement deux pays et sont à peu près à égalité avec la Chine dans la recherche sur la technologie informatique quantique.
La Chine se développe de manière agressive dans le domaine des véhicules électriques
Dans le secteur émergent des voitures électriques, la Chine a déjà entamé son expansion agressive et la reprise des industries existantes liées aux véhicules électriques.
En 2022, Tesla est resté en tête en termes de part de marché des véhicules électriques, avec 18,9 %. Cependant, trois fabricants chinois de véhicules électriques réunis contrôlent désormais une part combinée plus importante de 27,7 pour cent. La part de marché de Tesla l'année dernière était de 3,4 points de pourcentage inférieure à celle de 2021. En outre, le plus grand fabricant chinois de véhicules électriques, BYD, a désormais conquis la deuxième plus grande part de marché avec 11,5 %, soit près du double des 6,9 % qu'il avait en 2021.
RépondreSupprimerLa Chine domine également la chaîne d’approvisionnement des véhicules électriques. Quatre des cinq principaux producteurs d'isolants pour les batteries lithium-ion nécessaires aux véhicules électriques sont des entreprises chinoises, qui détiennent une part de marché combinée de 63 %.
BYD et d'autres fabricants chinois de véhicules électriques achètent également plus de 60 % des batteries lithium-ion mondiales, et les entreprises chinoises ouvrent désormais des usines de véhicules électriques et de batteries dans le monde entier, notamment en Allemagne et au Brésil.
Nikkei Asia a rapporté qu'en raison de la domination de la Chine dans ce domaine, il est désormais presque impossible pour les pays occidentaux de « se découpler » de la Chine et de « réduire leur dépendance à l'égard des chaînes d'approvisionnement chinoises pour les véhicules électriques et d'autres produits ».
La Chine domine en matière de technologie militaire révolutionnaire
Dans le domaine militaire, la Chine fait également tout ce qui est en son pouvoir pour dominer, notamment en matière de recherche sur les missiles hypersoniques. Ces missiles peuvent voler à une vitesse plus de cinq fois supérieure à celle du son, et une fois qu’ils pourront être fabriqués de manière réaliste à une vitesse utilisable par les armées modernes, ils seront considérés comme une arme potentiellement révolutionnaire.
Le rapport de l’ASPI note que la Chine développe des missiles hypersoniques encore plus rapides que les prototypes actuels et pouvant avoir des trajectoires moins prévisibles – un élément de conception intentionnel qui peut l’aider à pénétrer les réseaux de défense antimissile ennemis.
Compte tenu de son avance sur ses concurrents, le rapport de l’ASPI prévient qu’il existe un risque très élevé que la Chine finisse par dominer cette technologie. Le fait que les principales institutions leaders dans ce domaine et produisant des recherches à fort impact soient presque entièrement situées en Chine n’aide pas.
Un autre domaine de recherche critique ayant des applications militaires potentielles est celui des véhicules sous-marins autonomes. La Chine représente 56,9 % de toutes les recherches importantes dans ce domaine. Les États-Unis, qui occupent la deuxième place, ne représentent que 9,5 %.
RépondreSupprimerApprenez-en davantage sur les dernières nouvelles en provenance de Chine, y compris ses avancées technologiques, sur CommunistChina.news.
Regardez Carl Higbie de Newsmax se demander ci-dessous si les Chinois ont développé la technologie nécessaire pour réussir à pirater un avion de combat F-35.
Cette vidéo provient de la chaîne News Clips sur Brighteon.com.
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TECH PANIC: Biden to start probing China-based Huawei's 7-nanometer smartphone processor, which is YEARS ahead of Apple's latest iPhone technology.
REPORT: Chinese operatives use AI-generated images to spread disinformation and provoke discussion on divisive political issues targeting America.
Chinese military may have been in possession of COVID-19 bioweapons much earlier than thought, scientist says.
Chinese military says it just achieved "huge breakthrough" in laser weapon technology.
Chinese scientists build hypersonic generator capable of powering a range of high-tech weapons (while the US depletes its armory by sending its weapons to Ukraine).
Sources include:
Breitbart.com
Asia.Nikkei.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2023-09-20-china-leading-80-percent-research-technological-fields.html
Ouest-France : « Plus de 1000 scientifiques lancent un appel contre la relance du nucléaire en France »... hilarant et désolant
RépondreSupprimer17 Septembre 2023
Un « appel » au contenu loin d'être scientifique, signé par des « scientifiques »aux pedigrees divers et variés, ultra-majoritairement étrangers à la cause défendue... mais un quotidien en a fait l'article.
Ouest-France – qui s'est doté d'une « charte pour un journalisme au niveau de l'enjeu écologique » – a cru bon de faire l'article, le 12 septembre 2023, pour un « Appel de scientifiques contre un nouveau programme nucléaire ». C'est que cette opération lancée en juin – et rapportée à l'époque par un Reporterre qui se dit : « Le média de l'écologie » – a atteint les 1.000 signatures.
L'appel est illustré par des images bien angoissantes, à commencer par un paysage jonché de bidons jaunes agrémentés par le pictogramme du danger radiologique (voir ci-dessus). Cela caractérise bien la nature de l'appel : une opération de propagande jouant sur le sérieux qu'implique le mot « scientifiques ». Et c'est du niveau de l'escroquerie, au moins intellectuelle.
Voici pour l'origine de l'appel :
« A l'initiative de membres du Groupement de Scientifiques pour l'Information sur l'Energie Nucléaire (GSIEN) et de Global Chance, de médecins, d'enseignantes et d'enseignants, d'ingénieures et d'ingénieurs, d'universitaires et de chercheurs, est lancé cet appel à refuser tout nouveau programme nucléaire, imposé et qui engagerait l'avenir de notre pays sur le très long terme. »
Ah le langage inclusif... non pas de « chercheuses »...
Ouest-France a fait le choix de citer dans son article quelques signataires et des « politiques », les députés Maxime Laisney (LFI) et Julie Laernoes (Europe Écologie Les Verts). Les intertitres donnent le ton : « Une histoire courte jalonnée d’accidents », « Un risque sanitaire établi en cas d’exposition ».
Bref, tremblons...
Entrons toutefois brièvement dans l'appel :
« De vastes zones géographiques ont été ainsi rendues toxiques pour tous les êtres vivants et les irradiations et les contaminations radioactives continuent de faire de nombreuses victimes, y compris autour des installations en fonctionnement "normal". »
RépondreSupprimerAh oui ? Où sont les preuves ? En particulier pour les victimes autour des installations en fonctionnement normal ?
« Rappelons que les conséquences d’accidents majeurs tels que Tchernobyl et Fukushima ne peuvent se réduire à un petit nombre de morts "officiels". Le fait qu’un bilan sanitaire et économique sérieux du drame de Tchernobyl ne soit toujours pas établi devrait interpeller tout esprit scientifique. Un large éventail de morbidités affecte les habitants des territoires contaminés : conditions de vie dégradées, paupérisation et stigmatisation seront leur lot pour des siècles. »
Pas de bilan – certes « sérieux », un mot qui permet à celui qui l'utilise d'écarter toute étude réalisée ? Ces gens ne connaissent pas – feignent de ne pas connaître – le Comité Scientifique des Nations Unies pour l'Étude des Effets des Rayonnements Ionisants (United Nations Scientific Committee on the Effects of Atomic Radiation – UNSCEAR)... Il est vrai que les rapports de l'UNSCEAR ne sont pas du goût des antinucléaires... donc ils ne peuvent pas être « sérieux »
- voir dessin sur site -
L'outrance fait partie du dessin de presse. Mais il y est allé fort...
L'« appel de scientifiques » comporte un onglet « sources ». Intéressant : une bonne dose d'articles militants provenant des organisations initiatrices de l'appel ou d'autres comme le CRIIRAD, une bonne dose d'articles de presse, dont Reporterre (3), et quelques documents officiels...
Cet appel serait donc signé, à l'heure où nous postons, par 1137 « scientifiques » (dont 214 retraité.e.s – je me plie à l'écriture inclusive pour respecter la délicatesse des auteurs de l'appel) et compterait 3373 soutiens (dont 1.217 retraité.e.s) – pourquoi pas « soutien.ne.s » ? Je n'ai évidemment rien contre les retraité.e.s... Mais un tiers de retraité.e.s dans les soutien.ne.s, ça interroge.
Des esprits curieux, notamment le dénommé Watt The Duck sur X (ex Twitter) ont fait un inventaire des « scientifiques ». Le voici, quasi brut de décoffrage, pour augmenter les chances qu'il passe à la postérité :
95 membres à titres divers du CNRS (« Curieux Nid de Réfractaires à la Science », traduit-il) ;
RépondreSupprimer31 sociologues, psychosociologues et assimilés ;
13 philosophes ou profs de philosophie éventuellement des sciences ;
127 médecins ;
8 polytechniciens ;
4 profs de SVT ;
5 dans le business des EnR ;
17 psychologues
331 ingénieurs quand même.
Le détail est encore plus croustillant (la liste est loin d'être complète) :
Sociologue des sciences spécialisé dans le nucléaire [c'est la qualité du premier des signataires, présentés dans l'ordre alphabétique] ;
Ingénieur Polytechnicien, désormais paysan-militant ;
Ingenieur ponts chaussées, ancien directeur d'hôpital, déserteur, psychanalyste ;
1 Maîtresse de conférences à l'université d‘Angers en écologie, analyse spatiale, solutions basées sur la nature ;
1 Ingénieure en impacts sanitaires et écotoxicologiques de l'économie circulaire ;
1 Ingénieur civil des ponts et chaussées, militant altermondialiste ;
1 Économiste, animateur de l’espace thématique Migrations d’Attac, membre de son conseil scientifique, militant pour une éducation populaire altermondialiste (la science à l'état pur) ;
1 archéologue (rien contre le carbone 14 ?)
1 Retraitée de la répression des fraudes sur les produits alimentaires ayant connu la gestion de Tchernobyl !
1 Métallurgiste Retraité Société Industrielle impliquée dans la fabrication Cuve Réacteur EPR Flamanville (si c'est vrai c'est très grave) ;
1 Ex climatologue Météo-France maintenant gérant de Nextpac qui est une entreprise œuvrant à des alternatives climato-compatibles, le froid magnétique en l'occurrence (un affreux techno-solutionniste donc) ;
1 Professeur agrégé de Philosophie, Docteur d'Etat, Président de l'Action des Citoyens pour le Désarmement Nucléaire (ACDN), Membre du Conseil mondial d'Abolition 2000 ;
1 Pédologue Retraité
1 ingénieur de formation Ingénieur en mécanique et énergétique, en analysant la situation du nucléaire, de façon scientifique et techniques le rapport bénéfices/risques interdit la poursuite de cette technique (et hop, circulez!) ;
1 arboriculteur bio ;
1 Ingénieur génie électrique, médiateur, chercheur sur la théorie de la médiation (sauf sur le sujet du nucléaire) ;
1 Professeur agrégé de grammaire honoraire, docteur en celtique ;
1 économiste, poète, homme de théâtre, enseignant universitaire.
Quelques personnes méritent d'être nommément citées :
Bernard LAPONCHE, Polytechnicien, physicien nucléaire (c'est une des figures de proue du mouvement anti-nucléaire) ;
Philippe LAFAYE de MICHEAUX, retraite ancien cadre au Commissariat à l’énergie atomique Pierrelatte ;
Yves COCHET, Ancien ministre de l'environnement, mathématicien ;
Alain LIPIETZ, Economiste
Noël MAMèRE , Écologiste , Doctorat Sciences de l'information et de la communication ;
Michèle RIVASI, Députée européenne, Doctorat didactique des sciences ;
Dominique VOYNET, Médecin - Ancienne ministre de l'Aménagement du Territoire et de l'Environnement.
J'ai aussi repéré 14 INRA(E) et 30 agronomes. Ou encore 19 personnes se prévalant de l'histoire.
Que des gens signent un appel, ici contre le nucléaire, ne me fait aucun souci. Nous vivons (encore) dans une société où règne une large liberté d'expression. En revanche, quand cet appel se prétend de « scientifiques »... Ce n'est hélas pas le seul qui abuse de cette qualification.
Et, hélas, il s'est trouvé un journal qui, sans vérification ni analyse critique, s'en est fait le relai.
Un journal dont la « charte pour un journalisme au niveau de l'enjeu écologique » implique sans doute de diffuser et promouvoir un appel antinucléaire... et anticlimat.
Post scriptum
Libération vient de publier un article avec des critiques similaires (sauf, bien sûr, la mise en cause de l'éthique journalistique).
- voir graph sur site -
(Source des graphiques ci-dessous)
https://seppi.over-blog.com/2023/09/ouest-france-plus-de-1000-scientifiques-lancent-un-appel-contre-la-relance-du-nucleaire-en-france.hilarant-et-desolant.html
(...) Ouest-France : « Plus de 1000 scientifiques lancent un appel contre la relance du nucléaire en France »... hilarant et désolant (...)
SupprimerOuest-France : « Plus de 1000 FAUX scientifiques lancent un appel contre la relance du nucléaire en France »... hilarant et désolant !
Car il ne suffit pas d'avoir fait des études scientifiques pour se dire scientifique ! Il faut RESPECTER la science et dire LA vérité ! Si quelqu'un dit le contraire de la science: il n'es PAS un scientifique !
Que les jeux d'esprit commencent : l'été torride et l'enfer brutal des feux de brousse font l'actualité avant même qu'ils ne se produisent
RépondreSupprimerÀ la une des incendies, de la chaleur, de la sécheresse, de l'enfer de l'été.
Par Jo Nova
September 20th, 2023
- voir doc sur site -
C’est comme si les feux de brousse et la chaleur torride étaient déjà là (dans votre esprit, sinon dans la réalité)
C'est comme si nous nous préparions pour Pearl Harbor ou quelque chose comme ça - et si vous n'avez pas peur, vous devriez l'être, et même si cet été n'est pas si sans précédent, vous aurez l'impression que c'est le cas, et si le feu de l'enfer ne se produit pas , il n'y aura pas de gros titres disant « Oups. On a paniqué pour rien !
Après 150 ans d’oscillation du Pacifique, le Pacifique a de nouveau oscillé. Un El Niño a été déclaré, et comme les 27 derniers El Niño depuis la Fédération, il fera probablement plus chaud et plus sec « que la moyenne » en Australie. Mais les Merchants of Panic parlent déjà d’un été marqué par de graves incendies de forêt et des sécheresses. Il n’y a pas encore de flammes, mais Reuters diffuse des photos d’épaves incendiées. SBS a trouvé des experts pour nous pousser à élaborer un « plan contre la canicule » – sérieusement, comme si les Australiens avaient besoin de trois mois pour se rappeler ce qu’est l’été. Non vraiment – Le directeur exécutif de Sweltering Cities (quoi que ce soit), dit que vous devriez acheter ces bacs à glaçons supplémentaires maintenant et connaître les signes d'épuisement dû à la chaleur. Préparez votre maison – comme quoi, trouver la télécommande du climatiseur ?
Même en France, apparemment, le risque d’un incendie de brousse et d’une sécheresse qui pourraient, peut-être potentiellement, se produire méritent désormais la une des journaux. Vous voyez comment cela fonctionne ? Même si le monde se refroidissait, il y a toujours un endroit où un été chaud pourrait arriver, et lorsque le monde entier fera la une des journaux sur l'enfer, les gens auront l'impression que l'enfer climatique est vraiment là, même si le temps était exactement ce qu'il a toujours été.
À titre de perspective, voici les 147 dernières années de variations dans le Pacifique, juste pour que les gens puissent comprendre à quel point cela n’est pas extraordinaire. Il s’agit d’un graphique BOM, réalisé par une agence qui reçoit un million de dollars par jour des Australiens pour comprendre notre climat, mais d’une manière ou d’une autre, nos agences de presse publiques qui pèsent un milliard de dollars ne parviennent pas à le trouver, et la BOM a oublié de le mentionner dans le communiqué de presse.
'El niño' est un phénomène de dégazage de la combustion magmatique. Il se situe 'habituellement pour l'instant' dans l'Est du Pacifique (à ne pas confondre avec 'La Nina' qui est par son absence d'émissions apporte du froid).
RépondreSupprimerAujourd'hui c'est le printemps dans l'hémisphère Sud.
L'Europe importe en masse du gaz naturel liquéfié (GNL) de Russie
RépondreSupprimer21 Septembre 2023
Olaf Zinke, AGRARHEUTE*
Les pays de l'UE achètent désormais la majorité des approvisionnements russes, assurant ainsi l'une des principales sources de revenus du Kremlin. Entre janvier et juillet 2023, l'UE a acheté 52 % de toutes les exportations russes de GNL, contre 49 % en 2022 et 39 % en 2021.
Les pays de l'Union européenne achètent nettement plus de gaz naturel liquéfié (GNL) à la Russie qu'avant la guerre en Ukraine. Selon l'enquête de Global Witness, l'Espagne et la Belgique se placent juste derrière la Chine en tant que premiers acheteurs.
L'Espagne est désormais le deuxième plus gros acheteur de GNL russe dans le monde, suivie par la Belgique. La France, les Pays-Bas, la Grèce, le Portugal, la Finlande, l'Italie et la Suède ont également été répertoriés comme consommateurs actuels de GNL russe.
Entre janvier et juillet 2023, les pays de l'UE ont acheté 22 millions de mètres cubes de GNL, contre 15 millions de mètres cubes sur la même période en 2021, soit une augmentation de 40 %.
En utilisant les prix du GNL russe estimés par le Center for Research on Energy and Clean Air sur la base des valeurs spot et des valeurs commerciales mensuelles, Global Witness prévoit que les achats de l'UE représenteront 5,29 milliards d'euros en 2023.
Il s'agit d'une augmentation bien plus importante que la hausse moyenne mondiale des importations de GNL russe, qui est de 6 %. Les pays de l'UE achètent désormais la majeure partie des livraisons russes, assurant ainsi l'une des principales sources de revenus du Kremlin.
Entre janvier et juillet 2023, l'UE a acheté 52 % de toutes les exportations russes de GNL, contre 49 % en 2022 et 39 % en 2021.
L'Europe est le plus grand importateur
Alors que les flux de gaz par gazoduc ont été drastiquement réduits, les citernes de GNL russe semblent débarquer en masse dans les ports européens.
En mars 2023, la commissaire européenne à l'énergie Kadri Simson a demandé aux États membres et aux entreprises de l'UE de cesser d'acheter du GNL russe. Et la ministre espagnole de l'énergie, Teresa Ribera, a demandé aux acheteurs espagnols de ne pas signer de nouveaux contrats de GNL russe, qualifiant la situation d'« absurde ».
Des recherches récentes menées par Global Witness ont révélé que Shell et TotalEnergies ont continué à faire du commerce avec le GNL russe après l'invasion. Une analyse réalisée par Global Witness en juillet 2023 a révélé que Total était le plus gros acheteur non russe de GNL du pays et qu'il avait acheté près de 4,2 millions de mètres cubes de GNL russe depuis le début de l'année.
Et une analyse précédente de Global Witness a révélé que Shell avait acheté et vendu 12 % de toutes les exportations russes, soit plus de 7,5 millions de mètres cubes de GNL, entre mars et décembre 2022.
RépondreSupprimerL'Espagne est désormais le deuxième plus gros acheteur de GNL russe au monde, suivie par la Belgique. Au cours des sept premiers mois de 2023, l'Espagne a représenté 18 % des ventes totales de la Russie, contre 17 % pour la Belgique. La Chine en a acheté 20 %.
Pas de gaz par gazoduc – mais par méthanier
La France, les Pays-Bas, la Grèce, le Portugal, la Finlande, l'Italie et la Suède ont également été répertoriés par Global Witness comme consommateurs actuels de GNL russe.
Les chiffres sont basés sur les données d'expédition de Kpler, une société d'analyse. Depuis le début de la guerre, l'UE a interdit les importations de charbon russe et de pétrole marin russe, mais a épargné les importations de gaz russe.
Alors que les flux de gaz par gazoduc ont été drastiquement réduits par des dispositions nationales et par le dynamitage du gazoduc Nordstream, les citernes de GNL russe semblent débarquer en masse dans les ports européens.
« L'achat de gaz russe a les mêmes conséquences que l'achat de pétrole russe. Les deux financent la guerre en Ukraine, et chaque euro dépensé signifie plus de sang versé. Alors que les pays européens condamnent la guerre, ils mettent de l'argent dans les poches de Poutine », a déclaré M. Jonathan Noronha-Gant de Global Witness dans un communiqué.
Avec du matériel de globalwitness
https://seppi.over-blog.com/2023/09/l-europe-importe-en-masse-du-gaz-naturel-liquefie-gnl-de-russie.html
Gaz : d’où viennent désormais les importations ?
RépondreSupprimerDans le sillage de la crise ukrainienne, la France diversifie ses sources d’approvisionnement en gaz et s’oriente massivement vers l’Algérie. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : une augmentation de 92,1% des importations de gaz algérien en seulement six mois. Ce nouvel élan dans les relations énergétiques franco-algériennes pourrait-il être une aubaine pour les deux pays ?
Par Grégoire Hernandez
le 20 septembre 2023 à 17h02
La renaissance du commerce franco-algérien
Depuis le début de la crise ukrainienne, l'Europe se retrouve face à un défi majeur : la sécurisation de son approvisionnement en gaz. La France ne fait pas exception. Elle a su rapidement trouver une alternative au gaz russe. Selon un récent rapport des douanes françaises, les importations de gaz algérien en France ont grimpé de 92,1% en l'espace de six mois. Cette augmentation est loin d'être anecdotique ; elle représente quasiment la moitié de tout le gaz importé par la France.
Le bond dans les importations de gaz algérien n'est que la partie émergée de l'iceberg. Les échanges globaux entre la France et l'Algérie se portent également très bien, avec une hausse de 17,6 %, s'élevant à 5,8 milliards d'euros pour le premier semestre de cette année. « Ce n'est pas simplement une affaire de gaz, c'est une dynamique commerciale globale qui s'est enclenchée ». La nature diversifiée de ces échanges montre que les relations franco-algériennes gagnent en profondeur.
Une nouvelle course énergétique
Au-delà du gaz, l'Algérie se profile comme un fournisseur polyvalent en hydrocarbures. C'est effectivement une politique claire du côté algérien. Elle consiste à ne plus simplement exporter du pétrole brut, mais aussi à soutenir les activités de raffinage. « La valeur des exportations algériennes d'hydrocarbures a connu une hausse de 35,1 %, frôlant les 3 milliards d'euros », indique le rapport. Cette tendance s'inscrit dans une volonté algérienne de valoriser ses ressources énergétiques et elle trouve un partenaire de choix en France pour cette diversification.
La France n'est pas la seule à avoir flairé l'opportunité algérienne. L'Italie aussi montre un intérêt croissant, engendrant une concurrence pour les précieuses ressources énergétiques. Néanmoins, Paris n'a aucune intention de céder sa place. "La France planifie une augmentation de près de 50 % de ses importations de gaz algérien". Cette démarche ambitieuse s'inscrit dans une politique plus large de diversification des sources d'énergie, toujours dans l'optique de réduire la dépendance au gaz russe.
RépondreSupprimerhttps://www.economiematin.fr/publiciésquiempêchentlalecture
Les tornades fortes et violentes ont diminué depuis 1950
RépondreSupprimer21 septembre 2023
par le Dr. Peter F. Mayer
L'un des arguments du Intergovernmental Panel on Climate Change (Comité Intergouvernemental sur le Changement Climatique) de l'ONU est que des situations météorologiques extrêmes, et donc dangereuses, se produisent plus fréquemment parce que l'air est devenu plus chaud à cause du gaz carbonique d'origine humaine. Et cela rendrait tous les événements météorologiques plus graves, plus fréquents et plus dangereux.
Cependant, il faut d’abord garder à l’esprit que de 1950 à 2020, le nombre de molécules de gaz carbonique pour 100 000 molécules d’air est passé de 31 à 42, soit seulement 11 molécules de plus.
Néanmoins, de tels paragraphes peuvent encore être trouvés encore et encore dans les médias d'État et d'entreprise, que l'ORF, par exemple, a ajoutés à la fin de presque tous les articles de l'été sur les conditions météorologiques, même légèrement inhabituelles. C’est la méthode propagandiste de répétition constante que nous connaissons ad nauseam depuis mars 2020 :
« Bien que les événements extrêmes individuels ne puissent pas être directement attribués à une cause spécifique, selon l'IPCC, une chose est claire : la crise climatique rend les événements météorologiques extrêmes tels que les inondations, les tempêtes et la chaleur plus fréquents et plus intenses. Cela signifie que les précipitations et les tempêtes deviennent plus fortes, les vagues de chaleur de plus en plus chaudes et les sécheresses de plus en plus sèches.»
Aux États-Unis, la NOAA (National Oceanic and Atmospheric Administration) de Boulder, Colorado, est l'autorité responsable de tout ce qui concerne la météo. Et voici les données sur les tornades de la NOAA . On peut simplement préciser l'année souhaitée (dans le coin supérieur gauche) et la statistique « EF2+ » s'affichera dans le coin inférieur gauche (en rouge).
Et c’est la tendance à long terme depuis 1950 :
- voir graph sur site -
Nous constatons que les tornades ont été les plus violentes entre 1955 et 1975. Dans tous les cas, il n’y a aucun lien apparent avec la teneur en gaz carbonique de l’air. Mais une tornade un peu plus violente suffit pour que les grands médias prétendent qu’il s’agit d’un « changement climatique ». Non, c'est la météo.
https://tkp.at/2023/09/21/starke-und-heftige-tornados-sind-seit-1950-weniger-geworden/
(...) Cependant, il faut d’abord garder à l’esprit que de 1950 à 2020, le nombre de molécules de gaz carbonique pour 100 000 molécules d’air est passé de 31 à 42, soit seulement 11 molécules de plus. (...)
SupprimerMais à quelle altitude sont-elles prises ? A 1 km ? à 100 m ? à 50 m ?
Il y a 2 zones de gaz carbonique: La zone de haute altitude est alimentée UNIQUEMENT par les éruptions volcaniques qui l'y projettent. Malgré que le gaz carbonique soit le plus lourd de tous les gaz il y est comme 'satellisé'. Il n'a bien sûr aucune incidence sur un réchauffement terrestre qui refuse de venir ! La seconde zone est au ras du sol (là où les plantes poussent). Là encore aucun réchauffement en vue puisqu'il est responsable des gelées ! Il n'est bien sûr non plus un poison pour l'être humain, vous pouvez vous allonger par terre, dormir sur la plage, aucun mort, aucun effet !
Les satellites à défilement sont à 830 km d'altitude (les géostationnaires à 36 000 km) et, toutes les '3h' (102 mn) envoient des cartes dites 'météo'. Or, ne sont mémorisées que des images d'aperçus terrestres et maritimes qui présentent des faits et non des avenirs !
RépondreSupprimerC'est pour cela-même que les 'météorologistes' proposent des temps qui devraient faire (jusqu'à... 15 jours !!) et se trompent quotidiennement ! Car, RIEN ne peut présenter des situations à venir ! RIEN ! Mais, ils se basent sur des mémoires où - il y a 1 mois, 1 an sinon plus - où des présentations étaient identiques à celles d'aujourd'hui et copient les changements qui se sont produits !!
Pourquoi est-il impossible de prévoir le temps qu'il va faire ?
Parce que la météo est régie par le magma. Et PERSONNE ne peut dire quand il y aura telle ou telle éruption sous-marines des sources chaudes (mini-volcans 'éphémères')
Gaz : gare à la hausse des prix d’octobre 2023 !
RépondreSupprimerLe mois d’octobre 2023 s’annonce difficile pour les consommateurs de gaz en France. Selon les dernières données de la Commission de régulation de l’énergie (CRE), les tarifs du gaz naturel vont connaître une hausse. Ce changement tarifaire intervient dans un contexte déjà tendu, marqué par des augmentations récurrentes des coûts de l’énergie.
Par Paolo Garoscio
le 22 septembre 2023 à 7h00
Le MWh de gaz affichait 15 euros sur les marchés de gros fin 2019.
La CRE alerte : le prix du gaz augmente
Depuis la fin des tarifs réglementés en juin 2023, la CRE publie chaque mois un prix repère pour le gaz naturel. Dernier en date, celui pour octobre 2023, publié début septembre 2023. Pour le mois d'octobre 2023, la CRE indique que la part variable hors taxes d'un consommateur type augmentera de 9,21 euros/MWh.
Cette augmentation est principalement attribuée à la remontée des prix de gros du gaz, qui avaient connu une baisse au printemps et à l'été 2023. Mais attention : ce prix repère n'est pas contraignant pour les fournisseurs d'énergie, qui restent libres de fixer leurs tarifs. Certains clients pourraient donc payer plus… et d’autres moins.
Tarifs du gaz : les consommateurs piégés ?
Les consommateurs ont déjà été confrontés à des augmentations de factures, parfois hallucinantes. Des cas de régularisations atteignant jusqu'à 5.185 euros ont été rapportés. Des millions de clients sont concernés par des régularisations majeures.
Contrairement à l'électricité, le gaz ne bénéficie pas d'un bouclier tarifaire. Selon Bruno Le Maire, en effet, les tarifs du gaz seraient retombés à des niveaux normaux. Ce qui justifierait, aux yeux du gouvernement, la fin des aides aux ménages. La CRE encourage donc les consommateurs à comparer les offres des différents fournisseurs pour trouver des tarifs plus avantageux.
Et le choix est loin d’être simple : il existe plus de 30 fournisseurs de gaz naturel en France. Certains proposent des offres à des prix en dessous du marché. Mais pour dégoter la perle rare, il faut parfois faire quelques recherches. Ou bien se faire aider par un des nombreux comparateur qui existent sur le marché.
Mais ce n’est pas tout. La Commission de Régulation de l’Énergie (CRE) a fixé des prix de référence pour l’abonnement au gaz. Pour un contrat de type chauffage, l’abonnement atteint 257,18 euros par an. Et pour la cuisson et l'eau chaude il passe à 102,94 euros. Des tarifs applicables aux clients raccordés au réseau de distribution de GRDF.
Réduire sa consommation pour réduire sa facture
RépondreSupprimerLa hausse continue des prix du gaz, et de l’énergie en général, ne laisse guère de choix. La seule solution viable à long terme semble être la réduction de sa consommation d'énergie. Des gestes simples au quotidien peuvent contribuer à faire baisser le montant des factures.
Pour le gaz, les ménages chez qui des gestes simples pourront faire la différence seront surtout ceux utilisant le gaz pour le chauffage. Moins chauffer permet de moins consommer... Et donc de moins payer. Sans tomber dans l’extrême, baisser le chauffage de un ou deux degrés a déjà un impact significatif sur la facture mensuelle.
https://www.economiematin.fr/gaz-hausse-prix-octobre-2023-cre-facture-energie
La Chine possède désormais la PLUS GRANDE MARINE au monde et construit PLUS DE NAVIRES DE GUERRE chaque mois
RépondreSupprimer21/09/2023
Richard Brown
Quel pays a la plus grande marine ? Si vous pensez que ce sont les États-Unis, détrompez-vous.
La Chine détient désormais cette distinction avec 355 navires dans sa flotte, comme le rapporte un rapport de 2021 de l'Institut naval des États-Unis. En comparaison, la marine américaine exploite une flotte plus petite de 296 navires, selon le Centre d'études stratégiques et internationales.
Mais ce qui suscite des inquiétudes au sein de la marine américaine, c’est la capacité croissante de construction navale de la Chine.
Selon des informations divulguées par la marine américaine, les chantiers navals chinois ont une capacité stupéfiante de plus de 23,2 millions de tonnes, soit plus de 232 fois supérieure à la capacité américaine de moins de 100 000 tonnes. Cet avantage numérique important dans la construction navale constitue un défi considérable pour la marine américaine.
Dans son rapport annuel 2022 sur les projets de développement militaire de la Chine, le Pentagone a déclaré que la flotte navale chinoise continuerait de croître, pour atteindre 400 navires d'ici 2025 et 440 navires d'ici 2030. Cependant, malgré l'avance numérique de la Chine, la marine américaine reste largement reconnue comme la marine la plus importante au monde puissant.
Même si les États-Unis arrêtaient de construire des navires, l’ancien secrétaire américain à la Défense, Mark Esper, a affirmé en 2020 qu’il faudrait des années à la Chine pour égaler les capacités de la marine américaine. Cela est attribué à l’expertise et à la sophistication technologique de la marine américaine.
Pourtant, certains des navires que la Chine produit ont une puissance de feu supérieure à celle de certains de ses homologues américains.
Le Type 055 chinois, le premier destroyer au monde, en est un excellent exemple. Il est plus gros que les destroyers classiques et a un formidable punch. Il dispose de 112 cellules de système de lancement vertical (VLS) qui tirent des missiles sol-air et antinavires, soit plus que les 96 du plus récent des destroyers de classe Arleigh Burke de la marine américaine. Il dispose également de systèmes d’armes radio et anti-sous-marins sophistiqués.
RépondreSupprimerLes États-Unis pourraient exploiter les capacités de construction navale de la Corée du Sud et du Japon
Pour relever le défi posé par la construction navale rapide de la Chine, les experts ont suggéré une solution potentielle : exploiter les capacités de construction navale des alliés américains dans la région, en particulier la Corée du Sud et le Japon. Les deux pays ont démontré leur capacité à construire des navires militaires de haute qualité à des prix compétitifs.
"Leurs navires de guerre sont "certainement à la hauteur de leurs homologues (chinois)", a déclaré Blake Herzinger, chercheur au Centre d'études américain en Australie. Les concepteurs de navires de guerre japonais "sont parmi les meilleurs au monde", selon Carl Schuster, ancien directeur. des opérations au Joint Intelligence Center du Commandement américain du Pacifique à Hawaï.
Cependant, la loi américaine interdit actuellement à la marine d’acquérir des navires construits à l’étranger, même auprès de pays alliés, ou de construire ses navires dans des chantiers navals étrangers. Cette restriction sert à protéger les intérêts de sécurité nationale et l’industrie nationale de la construction navale.
Même si les experts reconnaissent la nécessité d'équilibrer ces préoccupations, ils estiment qu'il est peut-être temps de reconsidérer ces réglementations afin de renforcer plus rapidement les capacités de la marine américaine.
Les destroyers japonais de la classe Maya et les destroyers sud-coréens de la classe Sejong the Great sont présentés comme des exemples de navires susceptibles de renforcer la force de la marine américaine. Ces navires possèdent une technologie de pointe, une puissance de feu impressionnante et des prix compétitifs.
Les avantages potentiels d'un partenariat avec la Corée du Sud et le Japon dans la construction navale incluent la réduction plus rapide de l'écart avec la puissance navale croissante de la Chine. Les processus efficaces de construction navale du Japon, le contrôle des coûts et le strict respect des prévisions budgétaires sont considérés comme des facteurs contribuant à sa compétitivité.
Néanmoins, toute modification des lois existantes nécessiterait un examen attentif pour sauvegarder la sécurité nationale tout en exploitant les avantages de l’accès à des navires rentables et de haute qualité provenant d’alliés de confiance. L’approche proposée offre l’opportunité d’un arrangement mutuellement avantageux face à l’évolution des défis dans le domaine maritime.
RépondreSupprimerVisitez NationalSecurity.news pour plus d’histoires comme celle-ci.
Regardez cette vidéo sur la marine américaine souhaitant se doter d’une flotte de robots-navires.
Cette vidéo provient de la chaîne zolnareport.com sur Brighteon.com.
Plus d'histoires connexes:
Général Robert Spalding : L’Amérique et la Chine ont déclenché une nouvelle guerre froide.
Le milliardaire prévient que les États-Unis et la Chine sont « au bord de la guerre ».
Le commandant sortant de la NAF, Atsugi, met en garde : les États-Unis et leurs alliés sont confrontés à des TEMPS DANGEREUX dans le Pacifique occidental.
Les sources incluent :
BusinessInsider.com
Édition.CNN.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2023-09-21-china-worlds-largest-navy-building-more-warships.html
Déboiser les forêts pour les éoliennes ? Les habitants du Waldviertel ont besoin de soutien !
RépondreSupprimer22 septembre 2023
par le Dr. Peter F. Mayer
Le Waldviertel est trop vert pour les Verts autrichiens. C'est pourquoi les forêts doivent être abattues pour permettre l'installation d'éoliennes. On parle alors d’« énergie renouvelable », bien que cela n’ait aucun sens physique, car l’énergie ne peut être que convertie, mais ni consommée ni renouvelée – selon la loi de conservation de l’énergie. Une plus grande quantité de gaz carbonique dans l’air accélérerait en fait la croissance des forêts.
En revanche, des initiatives citoyennes se sont formées dans le Waldviertel et appellent à signer une pétition : L'IG Waldviertel, une coopération d'initiatives citoyennes non partisanes, demande à la population de signer une pétition contre les projets de parcs éoliens à Waidhofen. dans le district de Thaya. Une brochure d'information détaillée et une fiche de pétition sont disponibles sur leur site Internet. Ceux du bureau de Basse-Autriche. La pétition adressée au gouvernement du Land doit être envoyée à l'IG Waldviertel au plus tard le 30 septembre (également scannée/photographiée par e-mail).
Toutes les informations ici :
https://www.igwaldviertel.at/
Appel de l' Initiative Scientifique pour la Santé Autriche
Le nord du Waldviertel est l'une des régions les plus saines d'Autriche. Sain comme écosystème, mais aussi sain pour les humains. Aujourd’hui, des zones forestières considérables doivent être sacrifiées pour construire d’immenses parcs éoliens dotés des installations industrielles éoliennes les plus élevées au monde. Ceci malgré la grande résistance de la population qui y vit.
Il faut laisser cela fondre dans votre bouche : afin de (soi-disant) « sauver » le climat, la forêt naturelle régulatrice du climat doit être détruite et dégradée en une zone industrielle avec des feux clignotants et des routes d'accès à fort trafic. Cependant, si l’on veut vraiment poursuivre la protection de l’environnement, il faudra faire exactement le contraire : à savoir préserver les forêts intactes !
L’énergie éolienne – pas à n’importe quel prix
L’énergie éolienne pourrait peut-être devenir une forme complémentaire de production d’électricité. Mais seulement si chaque système est soigneusement vérifié au préalable pour voir si les avantages dépassent clairement les dommages causés. Et ce n’est évidemment pas le cas, surtout dans le Waldviertel :
Dans le district de Waidhofen an der Thaya, toutes les principales forêts vont actuellement être détruites par un total de 48 éoliennes. Les éoliennes, qui mesurent jusqu'à 285 mètres de haut, consomment chacune environ 1 hectare de terrain, routes d'accès comprises. Au total, la forêt perd non seulement environ 48 hectares de superficie : les sentiers créés lors des travaux détruisent également tout l'écosystème végétal et animal. Des espèces sensibles telles que les cigognes noires, les hiboux et le rare busard Saint-Martin se reproduisent encore dans ces forêts.
En plus de détruire des écosystèmes intacts, les éoliennes peuvent même être mortelles pour certaines espèces, comme les chauves-souris et les aigles. Les forêts naturelles d'origine et les paysages intacts constituent également un espace de loisirs important pour nous, les humains, et la principale raison pour laquelle les voyageurs viennent au Waldviertel. De plus, les effets sur la santé des personnes vivant à proximité des éoliennes n'ont pas encore été suffisamment étudiés (par exemple exposition aux infrasons, etc.). Même si les exploitants d’éoliennes affirment le contraire.
RépondreSupprimerLes méthodes habituelles
L'énergie éolienne est un gros business en ce moment, pas étonnant que la machinerie du lobby soit en marche : les éoliennes sont même décrites comme des « boosters de santé » avec des arguments discutables (nous examinerons séparément les fondements scientifiques de cette thèse audacieuse), la protection des animaux et la préservation de l'environnement. la biodiversité n'a soudainement plus d'importance, la protection de l'environnement est ridiculisée, les « enquêtes auprès des citoyens » sont déformées. Et cela malgré le fait que l'efficacité de ces parcs éoliens dans le Waldviertel, pauvre en vent, est plus que discutable.
Conclusion
Des parcs éoliens surdimensionnés dans le Waldviertel représenteraient un gain pour leurs exploitants, mais une perte pour la nature, les habitants et les petites entreprises touristiques de la région. Du point de vue de la médecine bio-psycho-sociale, cette approche est irresponsable et peut causer de graves dommages à la santé à court et à long terme.
Vous aussi, vous pouvez soutenir la préservation des écosystèmes intacts, des paysages culturels et naturels de l'Autriche !
Dans le Waldviertel, des personnes engagées se battent pour que la population soit pleinement informée des projets et de leurs effets et pour qu'un référendum soit organisé pour chaque projet éolien.
Bien entendu, nous avons signé la pétition IG-Waldviertel. Peu importe où vous vivez en Autriche : veuillez soutenir les habitants du Waldviertel avec votre signature afin que cette question importante soit prise au sérieux par les hommes politiques :
www.igwaldviertel.at
Téléchargez simplement le formulaire, signez-le et envoyez-le par courrier ou numérisé par e-mail à l'IG Waldviertel au plus tard le 30 septembre 2023.
Chaque vote compte.
Cordialement
L'Initiative scientifique pour la santé pour l'Autriche
https://tkp.at/2023/09/22/waldrodung-fuer-windraeder-die-waldviertler-brauchen-unterstuetzung/
La guerre contre les agriculteurs et l’agriculture indépendante dans l’UE – à l’exemple des Pays-Bas et de l’Ukraine
RépondreSupprimer22 septembre 2023
par le Dr. Peter F. Mayer
Les céréales ukrainiennes suscitent à nouveau beaucoup d’enthousiasme. La Pologne, la Slovaquie et la Hongrie ont fait campagne pour leurs agriculteurs et pour le maintien d'une agriculture fonctionnelle afin de garantir l'approvisionnement alimentaire. Les politiciens de l’UE et du Parti vert allemand s’y opposent. Cela n’est pas sans rappeler la lutte menée par les Pays-Bas et l’UE contre les agriculteurs néerlandais.
Comme chacun le sait, 3 000 agriculteurs aux Pays-Bas devraient perdre leurs moyens de subsistance et leurs fermes. Apparemment, cela vise à réduire les émissions de NO2 et ainsi à préserver le climat. D’un autre côté, des luttes acharnées ont eu lieu entre les agriculteurs et le pouvoir de l’État, qui ont finalement fait tomber le gouvernement Rutte.
Parallèlement aux expropriations d'agriculteurs décrétées par l'UE et poursuivies intensément par le gouvernement Rutte, des usines sont construites avec des milliards d'euros qui... Cultiver de la viande dans un tube à essai.
Cependant, le contexte temporel donne matière à réflexion. Il va de soi que l’UE et le gouvernement néerlandais, au nom des investisseurs dans les usines de viande de laboratoire, font tout ce qu’ils peuvent pour éliminer la concurrence de la vraie viande. Surtout quand la viande de laboratoire est certainement malsaine et que le bétail en Hollande et ailleurs ne changera pas le climat. Comme cela est expliqué à maintes reprises, le soleil en est le principal responsable, tout comme les mouvements des planètes et des autres corps célestes du système solaire. Et sur Terre, les nuages, les océans et la vapeur d'eau dans l'atmosphère.
Céréales d'Ukraine
On dit que les céréales ukrainiennes aident les affamés d’Afrique. Étonnamment, l’Ukraine insiste sur le fait qu’elle souhaite également livrer ses produits aux pays d’Europe de l’Est qui disposent encore d’une communauté agricole très forte, capable d’approvisionner elle-même leur pays.
L'embargo imposé par l'UE contre le dumping ukrainien a expiré le 15 septembre. Cependant, la Pologne, la Hongrie et la Slovaquie prolongent l'embargo pour protéger leur agriculture. L'Ukraine a alors déposé une plainte auprès de l'Organisation mondiale du commerce.
Comme indiqué, le gouvernement hongrois souligne que les « agriculteurs ukrainiens » ne sont pas des résidents du pays, mais sont en réalité des entreprises et des investisseurs américains, saoudiens et néerlandais. « Il s'agit d'une prise de contrôle du marché sous couvert politique », a souligné le ministre hongrois de l'Agriculture.
On sait que le gouvernement ukrainien a conclu un accord avec le plus grand gestionnaire d'actifs au monde, BlackRock, pour « reconstruire » l'Ukraine . La vente de vastes superficies agricoles à des investisseurs occidentaux a également été rendue possible grâce à un changement de loi en 2021.
Et aujourd’hui, les agriculteurs d’Europe de l’Est sont contraints de quitter le marché à cause des céréales et d’autres aliments bon marché. Et en plus, les entrepôts peuvent également être bloqués par des produits ukrainiens. Cela accroît les problèmes des agriculteurs.
Vous pouvez certainement voir ici des parallèles avec ce qui se passe aux Pays-Bas. Les oligarques américains comme Rockefeller et Ford combattent les agriculteurs du monde entier par divers moyens depuis les années 1950. Les deux oligarques ont également financé le développement des premières plantes génétiquement modifiées et breveté les graines. Il y avait aussi les Peace Corps et les Bérets verts, censés aider à convaincre les agriculteurs des avantages de l’asservissement. Plus d'informations à ce sujet ici dans cet article du TKP .
RépondreSupprimerOn soupçonne que les céréales ukrainiennes servent désormais également à ces fins. Les gestionnaires d'actifs depuis BlackRock et les grandes entreprises agricoles américaines disposent de milliards de dollars prêts à acheter de bonnes terres arables en Europe de l'Est.
https://tkp.at/2023/09/22/der-krieg-gegen-bauern-und-selbstaendige-landwirtschaft-in-der-eu-am-beispiel-holland-und-ukraine/
Le cadre de prise de pouvoir de ces psychopathes dirigeants est toujours basé sur le prototype du problème-réaction-solution, dont tous sont de faux événements prémédités et de fausses urgences ; des complots en fait, destinés à susciter la peur, la haine ou la confusion, afin que l’État puisse prétendre venir au secours de sa malheureuse classe d’esclaves. Cette stratégie a fonctionné à chaque fois qu’elle a été essayée jusqu’à présent, et le troupeau continue simplement de suivre, indépendamment de la rhétorique erronée proférée selon laquelle cette population est en train de gagner. Ce n’est pas le cas, et tant que l’État poursuivra et réussira dans sa volonté de refaire et de transformer la société, que ce soit psychologiquement, financièrement ou économiquement, le pouvoir de la classe dirigeante et son système de gouvernement favoriseront ses transferts de richesses, son monopole monétaire. , et ses efforts de dépeuplement.
RépondreSupprimerLa manipulation et le contrôle psychologiques sont nécessaires pour que les voyous de l’État puissent accomplir leur mission de conquête du monde, mais le contrôle financier et économique est obligatoire. Cela nous amène à la vraie question : à qui appartient et contrôle ce monde ? Ce sont certainement les grands cartels bancaires, y compris toutes les banques centrales, les grands magnats du monde des affaires, les fondations d’ONG protégées par le gouvernement et, bien sûr, l’ensemble du secteur mondial des actifs, qui, en 2020, contrôlaient bien plus de 100 000 milliards de dollars. Mais qui possède et contrôle toutes ces entités ? Qui a un intérêt majoritaire dans tout sur terre ? Il s'agit de Blackrock et de The Vanguard Group, et comme je l'ai expliqué il y a un an :
« Il existe quelques milliers de sociétés d’investissement institutionnel qui possèdent chaque grande banque, chaque grande entreprise, chaque grande société d’investissement, chaque « média », chaque grande entreprise de communication, chaque grande société pharmaceutique, chaque grande entreprise de transport ; en d’autres termes, presque toutes les grandes entreprises du monde appartiennent à ces investisseurs institutionnels. À leur tour, les petites sociétés d’investissement institutionnelles appartiennent à de plus grandes sociétés d’investissement institutionnelles, et les plus grandes sociétés d’investissement appartiennent à des sociétés d’investissement encore plus grandes. Les deux sociétés d'investissement institutionnelles qui sont les principaux propriétaires et contrôleurs de toutes les autres sociétés dans le monde sont Vanguard Holdings et Blackrock, et Vanguard est le plus grand actionnaire (propriétaire) de Blackrock. Cela signifie que Vanguard et Blackrock possèdent et contrôlent cette planète.
En traitant chaque indiscrétion comme indépendante du véritable agenda recherché, rien n’est fait pour arrêter l’État dans ses efforts pour contrôler pleinement tous les peuples de la planète. En participant au processus politique et de « vote » ; un processus conçu et mis en œuvre dans le seul but de contrôler, en se concentrant sur les spectacles politiques, en tentant d'utiliser des tribunaux gouvernementaux corrompus pour obtenir réparation contre des manœuvres tyranniques, en acceptant le système au pouvoir comme légitime, en permettant à la Réserve fédérale et à toutes les banques la capacité de surveiller et de contrôler les actifs grâce à une numérisation complète, les gens modestes creusent leurs propres tombes.
RépondreSupprimerIl est peut-être déjà trop tard pour poursuivre cet exercice stupide et futile, car peu de classes dirigeantes contrôlent les systèmes qui leur permettront de mener à bien leur complot de prise de contrôle. La seule réponse à cette tentative néfaste de nous détruire en faveur de quelques-uns des plus puissants est de nier tout gouvernement, de nier et d'abolir le système de réserve fédérale, de refuser tout contrôle des cartels bancaires, de mettre un terme à tous les efforts monopoliser les efforts du système économique et monétaire pour créer et mettre en œuvre des monnaies numériques de banque centrale, et ne pas accepter toute nouvelle urgence feinte concernant la santé, le faux « changement climatique », les menaces de guerre, les événements contre nature ou tout autre acte criminel intentionnel destiné à provoquer une peur injustifiée parmi un prolétariat apparemment impuissant.
Le peuple ne gagne pas ; ils sont en train de perdre, mais cet assaut meurtrier contre l’humanité peut encore être inversé si même une petite majorité se lève et assume la responsabilité de sa propre vie et de sa liberté. Si la tendance actuelle se poursuit, si la majeure partie de cette population persiste à se cacher de la vérité, si la plupart s’attendent à ce que les autres les sauvent, tout sera perdu, mais si un véritable réveil concret et massif devient évident, l’État s’effondrera. Cela n’arrivera jamais avec aucune élection, et aucun politicien ne peut changer le cap dans lequel nous sommes, car dépendre d’un maître participant à ce système de gouvernement maléfique est la quintessence de l’échec et ne peut conduire qu’à un asservissement éternel.
« La seule chose que l’homme craint, c’est l’inconnu. Face à ce scénario, les droits individuels seront volontairement abandonnés pour la garantie de leur bien-être qui leur est accordée par un gouvernement mondial, un nouvel ordre mondial."
RépondreSupprimer~ Henry A. Kissinger
https://www.lewrockwell.com/2023/09/gary-d-barnett/this-long-plotted-world-takeover-scheme-is-more-advanced-than-any-normal-human-can-fathom/
Climat et causalité : analyse stochastique et mise en pièces « façon puzzle » du dogme du réchauffement du climat d’origine humaine de l’IPCC !
RépondreSupprimerle 21 septembre 2023
La causalité constitue un concept central dans toutes sortes de disciplines, qu’il s’agisse de science, de philosophie, de technologie, de politique et d’économie y compris dans la vie réelle de chaque individu. Il est possible d’approcher ce concept de causalité en considérant des procédés et non pas des évènements et ces procédés (ou processus) traités alors par une approche stochastique autorisant la détermination de la causalité d’un effet observé incluant la causalité classique, la causalité potentielle et l’anti-causalité. Le traitement de la causalité, à partir de ce principe stochastique, peut être atteint à l’aide d’algorithmes applicable à des systèmes complexes constitués de multiples variables indépendantes ou non les unes des autres puisque c’est un processus qui est analysé et non plus une variable du système complexe prise isolément.
Deux publications récentes dans les Proceedings of the Royal Society ont abordé ce traitement mathématique du concept de la causalité https://doi.org/10.1098/rspa.2021.0835 (et .836), le deuxième article abordant certains concepts de causalité rencontrés en géophysique, en particulier dans les domaines de l’hydrologie et de la climatologie publiés le 25 mai 2022. Dans le cadre de ce dernier domaine de la science, la climatologie, qui a revêtu une ampleur planétaire, ce concept de causalité a fait l’objet d’un autre travail par les mêmes auteurs publié cette fois le 13 septembre 2023 dans la revue Science en accès libre : https://doi.org/10.3390/sci5030035et je conseille aux lecteurs curieux de ce blog de lire cet article passionnant abordant le concept de causalité dans le cadre de l’évolution de la température et du taux de gaz carbonique dans l’atmosphère. Ce concept mis en avant par l’organisme onusien en charge de la perturbation d’origine anthropique du climat a fait l’objet durant les dernières décennies d’innombrables études, de publications tonitruantes, de réunions médiatisées partout dans le monde, de décisions politiques coercitives et enfin d’investissements pharaoniques partant d’un principe de causalité qui s’est révélé faux, fallacieux (comme vous voudrez) après traitement stochastique par la petite équipe de mathématiciens dirigés par le Docteur Demetris Koutsoyiannis de l’Université technique d’Athènes.
Sans entrer dans détails du traitement des données toutes disponibles publiquement relatives aux températures et à l’évolution de la teneur en gaz carbonique dans l’atmosphère, [gaz carbonique], le texte de la publication dans la revue Science étant assez facilement compréhensible, la conclusion de l’étude est sans appel, la relation de causalité : croissance de [gaz carbonique] → croissance de T est « anti-causale ». En d’autres termes c’est l’augmentation de la température qui provoque une augmentation de la teneur en gaz carbonique de l’atmosphère et non l’inverse. Puisque ces deux paramètres observables sont la résultante de processus multifactoriels l’analyse stochastique de leur évolution est la seule applicable et toute autre approche analytique conduit à des résultats faux. Pour que mes lecteurs ne se méprennent pas il faut revenir sur la définition d’un processus stochastique et son traitement par une approche statistique aussi appelée probabiliste. Pour les anglophones il y a une excellente définition de cette approche ( https://en.wikipedia.org/wiki/Stochastic_process ). De nombreux domaines sont analysés selon cette approche et dans le cas du climat et de son évolution il s’agit d’une nécessité car l’ensemble Terre (comprenant les océans, les terres émergées et l’atmosphère) est soumis à un processus tellement complexe qu’il est impossible de l’analyser sans faire appel à un traitement stochastique.
RépondreSupprimerLa première conséquence d’un tel traitement est donc de démontrer sans ambiguïté que l’augmentation de la teneur atmosphérique du gaz carbonique qui est lui-même un processus stochastique car multifactoriel dépend en premier lieu d’un dégazage des océans qui ont traversé une période froide de plus de 3 siècle, période qui fut suivie d’un relatif réchauffement à partir du milieu du dix-neuvième siècle. Selon la loi de Henry qui décrit que la solubilité des gaz, et pas que le gaz carbonique, dans l’eau est inversement proportionnelle à la température de cette dernière. Les études ayant permis la reconstruction de l’évolution des températures avec les carottes glaciaires déduites du δ²H exprimé en ‰ de deutérium par rapport à l’hydrogène 1H en regard de la teneur en gaz carbonique dans les micro-bulles emprisonnées dans la glace ont indiqué que l’augmentation de la [gaz carbonique] suivait toujours l’augmentation de la température. Cependant l’estimation de la latence entre ces deux paramètres varie selon les auteurs entre 1000 et 10 000 ans. Coïncidence ou pas 10 000 ans correspond à l’optimum du climat de l’Holocène et 1000 ans correspond au début de l’optimum du climat médiéval. Rappel de l’illustration insérée dans ce blog il y a quelques jours :
- voir schéma sur site -
De plus les émissions de combustibles fossiles s’élèvent à 9,4 GtC/an, soit seulement 4 % des émissions totales de gaz carbonique de toutes les sources. En revanche, la nature (respiration, dégazage d’eau douce, incendie, volcanisme, etc.) produit des émissions de CO de 216 GtC/an. On suppose que le cycle du carbone est, dans son état naturel (sans interférence humaine), en équilibre perpétuel, avec des émissions de sources naturelles presque parfaitement équilibrées par des puits naturels. Cette présomption est cependant erronée, car les puits naturels ne décident pas d’absorber uniquement 216 GtC/an à partir de sources naturelles, car ils n’absorbent pas simultanément 9,4 GtC/an à partir des activités humaines. Les 216 GtC/an de la nature et les 9,4 GtC/an provenant des combustibles fossiles sont instantanément combinés, et les puits de la nature absorbent les émissions proportionnellement du total, ~225 GtC/an.
RépondreSupprimerDans l’annexe ( https://www.mdpi.com/article/10.3390/sci5030035/s1) Koutsoyiannis et al. ont utilisé la chimie de base pour montrer que le dégazage océanique dû au réchauffement et à la respiration de tous les êtres vivants, depuis les bactéries jusqu’aux végétaux, peut produire des taux d’émissions de 31,6 GtC/an. C’est 3,4 fois plus que les émissions annuelles des combustibles fossiles (9,4 GtC/an) ! Ainsi, l’observation que la température peut potentiellement être une cause de l’augmentation des concentrations de gaz carbonique semble être soutenable par l’observation. Une partie importante de l’élévation moderne du gaz carbonique peut donc être naturelle. Et c’est ce que montre l’illustration incluse dans cet article (HOE : « Hen or Egg? », la poule ou l’oeuf ?) :
- voir graph sur site -
Le dégazage des océans contribue à hauteur de 50 % dans l’augmentation de la teneur en ce gaz dans l’atmosphère. En conclusion la causalité proclamée par l’IPCC et reprise mondialement est fausse, c’est de la fausse science, un dogme de nature politique. Il est nécessaire de faire circuler cet article largement et d’en tirer les conclusions. Est-ce la poule qui a pondu l’oeuf ou l’oeuf qui a fait la poule ? Ça ressemble au discours de l’IPCC sorti d’un chapeau : « pile je gagne, face tu perds » et pour ces experts en tromperie peu importe dans quel ordre puisque ils ne sont pas et de loin des statisticiens ni des scientifiques du climat … Finie la théorie de l’effet de serre du gaz carbonique, finis les critères ESG, terminé le bannissement des véhicules automobiles avec moteur à combustion interne, finies les dépenses d’isolation des logements, terminés les rêves de « villes-quinze minutes », fin des moulins à vent et des panneaux solaires, etc, etc … car cette analyse stochastique détruit totalement le dogme du réchauffement du climat provoqué par l’activité humaine inventé par l’IPCC et repris par les gouvernements et les financiers pour instituer un totalitarisme climatique, malheureusement pour cette mafia des scientifiques honnêtes ont débusqué la fraude et quand les peuples auront pris conscience de l’existence de cette tromperie planétaire ça ne pourra que très mal finir. L’oeuf ou la poule …
https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/09/21/climat-et-causalite-analyse-stochastique-et-mise-en-pieces-facon-puzzle-du-dogme-du-rechauffement-du-climat-dorigine-humaine-de-lipcc/
Dans une pièce fermée la réunion de personnes traduit très vite une augmentation de la température. Vrai. Oui mais dehors... c'est différent. Différent dans le sens où la chaleur monte, s'élève dans l'atmosphère (comme le font les vapeurs brûlantes émises par le magma et qui - au fil des galeries qui s'élèvent vers les monts - se transforment en eau qui perd 1°C tous les 100 m).
SupprimerDonc, tous réchauffements au sol (comme au sous-sol) qui s'élèvent devient froid, glacial (notre planète est entourée d'un espace à -270°C).
Donc: Aucun réchauffement (émanant de la masse ferrique incandescente à 30 km sous nos pieds) comme les incendies de forêts ne peut conclure à réchauffer notre atmosphère !
De plus, comme TOUS les gaz émis par la combustion du magma se transforment/se recyclent indéfiniment depuis TOUJOURS (sans quoi la vie sur Terre ne serait JAMAIS APPARUE !), il n'apparaît en rien que la présence humaine ou animale ou industrielle ne peut réchauffer notre atmosphère.
Mais alors d'où vient la chaleur ?
La température lunaire monte pendant la journée à +120°C pour retomber du côté obscur à -180°C environ, la température de la planète Mercure (la planète la plus proche du soleil) est de -180°C la nuit et +430 °C dans la face exposée au soleil). Pourquoi ? Parce que ce sont là des exemples de planètes éteintes de leur masse ferrique. Le fer est brûlant au soleil et glacial en hiver.
La chaleur d'une planète (et non d'une étoile) dépend de 2 cas, soit il y a influence des températures vis-à-vis de l'éloignement ou rapprochement d'une planète d'un étoile (par exemple le soleil), soit des émanations de la combustion de la masse ferrique incandescente de la planète.
Imaginons maintenant le pire: Le soleil éteint ! Plus de lumière ! oui mais encore de la chaleur sur notre planète ! Car la combustion magmatique ne dépend pas d'autre étoiles ou planètes mais d'elle-même. Les courants marins (eau/air) seraient donc l'équivalent d'aujourd'hui.
(...) Le dégazage des océans contribue à hauteur de 50 % dans l’augmentation de la teneur en ce gaz dans l’atmosphère. (...)
Cela reste à prouver car 99,99 % des gaz de notre atmosphère proviennent de la combustion de la masse ferrique incandescente, 86 % de l'eau de mer est constituée d'oxygène (entr'autres).
Sur Vénus le gaz primordial est le gaz carbonique (96 % de l'atmosphère !) faute d'émissions d'autres gaz pour recycler. Mais il ne faut pas en conclure que c'est l'atmosphère (la quantité de gaz qu'il y a) qui la réchauffe ou la refroidit !
Glyphosate et science militante selon le groupe Nature... et le Monde
RépondreSupprimer22 Septembre 2023
Une étude scientifique trouve un lien entre présence d'une substance – les neurofilaments à chaîne légère (NfL) – liée à des maladies dégénératives neuronales dans le sang et la présence de glyphosate dans les urines de quelque 600 personnes aux États-Unis d'Amérique. C'est un lien statistique – et non de cause à effet – « extrêmement surprenant » selon un spécialiste des NfL. Les niveaux de NfL ne sont pas pathologiques...
Mais c'est suffisant pour agiter le spectre d'un désastre sanitaire dans l'article scientifique... et encore plus dans le Monde.
Musardons un peu en guise d'introduction
Vous avez peut-être vu ou entendu parler d'une mise en cause de la « réputée revue Nature » qui serait percutante si l'opération avait été correctement menée. Le Parisien en a rendu compte dans « Changement climatique : un scientifique déclenche un tollé en accusant la réputée revue Nature d’être partiale ».
Selon le chapô :
« "J’ai omis de dire toute la vérité pour que mon article sur le changement climatique soit publié", assure l’expert américain Patrick Brown. Une méthode qui a scandalisé ses pairs. »
Et, en légende d'une photo :
« L'expert américain raconte comment, dans une étude sur les incendies de forêts, il s'est délibérément focalisé sur le rôle du réchauffement climatique dans l'augmentation des risques tout en n'étudiant pas sciemment la contribution d'autres facteurs potentiels, comme la gestion des terres. »
Je n'ai rien vu d'autre dans les médias français – qui se distinguent en l'occurrence de ceux du monde anglophone. Rien en particulier dans le journal qui fut de référence.
RépondreSupprimerUn article scientifique...
En revanche, un des distingués contributeurs des pages « Planète » m'a mis sur la piste de « Association between urinary glyphosate levels and serum neurofilament light chain in a representative sample of US adults: NHANES 2013–2014 » (association entre les niveaux de glyphosate urinaire et de neurofilaments à chaîne légère sériques dans un échantillon représentatif d'adultes américains : NHANES 2013-2014).
C'est d'An-Ming Yang, Pei-Lun Chu, ChiKang Wang et Chien-Yu Lin, une équipe taïwanaise dont trois membres ont déjà attiré notre attention. Et c'est publié dans Journal of Exposure Science & Environmental Epidemiology, du groupe Nature.
C'est derrière un péage, mais voici le résumé :
« Contexte
Le glyphosate, l'herbicide le plus utilisé dans le monde, a été associé à des troubles neurologiques dans certaines études professionnelles. La chaîne légère des neurofilaments (NfL) est une protéine qui est libérée dans la circulation sanguine à la suite de lésions neuroaxonales et qui s'est révélée être un biomarqueur fiable pour divers troubles neurologiques. Toutefois, aucune étude n'a examiné le lien potentiel entre l'exposition au glyphosate et les lésions neurologiques ou les niveaux sériques de NfL dans la population générale.
Objectif de l'étude
L'objectif de cette étude était d'évaluer la corrélation possible entre l'exposition au glyphosate et les niveaux sériques de NfL dans une population représentative des États-Unis.
Méthodes
RépondreSupprimerNous avons analysé les données de 597 adultes (âgés de ≥20 ans) de l'enquête nationale sur la santé et la nutrition (NHANES) de 2013-2014 afin d'explorer la corrélation potentielle entre les niveaux de glyphosate urinaire et les niveaux de NfL sériques.
Résultats
Nous avons trouvé une association positive significative entre les niveaux de glyphosate urinaire et les niveaux sériques de NfL (coefficient ß = 0,110 ; S.E. = 0,040 ; P = 0,015), ce qui indique que des niveaux plus élevés d'exposition au glyphosate peuvent être liés à des niveaux plus élevés de dommages neuroaxonaux. En outre, lorsque les niveaux de glyphosate ont été divisés en quintiles, nous avons observé une tendance significative à l'augmentation des concentrations moyennes de NfL avec des quintiles croissants d'exposition au glyphosate (P pour la tendance = 0,036). Notamment, l'association était plus prononcée dans certains sous-groupes, notamment les personnes âgées de ≥40 ans, les Blancs non hispaniques et les personnes dont l'IMC était compris entre 25 et 30.
Déclaration d'impact
Il s'agit de la première étude suggérant une association entre l'exposition au glyphosate et des biomarqueurs indiquant des dommages neurologiques chez les adultes américains en général. Si la corrélation observée est causale, elle soulève des inquiétudes quant aux effets potentiels de l'exposition au glyphosate sur la santé neurologique des adultes américains. L'étude est remarquable en raison de sa représentation des adultes américains âgés de 20 ans et plus, ainsi que de l'utilisation de données fiables et complètes provenant de la base de données NHANES. »
Faisons dans le complotisme – gardant à l'esprit l'aphorisme de Michel Rocard : « Toujours préférer l'hypothèse de la connerie à celle du complot. La connerie est courante. Le complot exige un esprit rare » ou, ici, la simple coïncidence : publié le 6 septembre 2023, il arrive tout de même drôlement à point nommé...
...militant à mon goût
Je me garderai bien de commenter le fond de l'article, en étant bien incapable.
Quoique... Cela m'intrigue d'apprendre que « l'association était plus prononcée dans certains sous-groupes, notamment les personnes âgées de ≥40 ans, les Blancs non hispaniques et les personnes dont l'IMC était compris entre 25 et 30 ».
Par quel merveilleux et mystérieux mécanisme cela se fait-il ? Le glyphosate et les NfL font-ils une sorte de wokisme ? Et si l'association est fortuite (comme je le suppute), pourquoi ne serait-elle pas aussi fortuite dans l'ensemble de la (somme toute petite) population étudiée ?
Mais il y a une phrase du résumé qui suscite étonnement et, tout compte fait, indignation :
« Si la corrélation observée est causale, elle soulève des inquiétudes quant aux effets potentiels de l'exposition au glyphosate sur la santé neurologique des adultes américains. »
Voilà un échafaudage branlant d'hypothèses. Les auteurs ne savent pas si la corrélation est causale, ils n'ont visiblement pas de données précises sur les effets – qui sont « potentiels » –, ils doivent bien être conscients que leurs résultats doivent être confirmés... mais ils font déjà état d'« inquiétudes ».
C'est totalement gratuit.
RépondreSupprimerMais c'est de nature à favoriser la publication (dans une revue du « prestigieux » groupe Nature...) et l'instrumentalisation de leur article. Bref, c'est du militantisme à l'état pur.
Et voici l'instrumentalisation...
Et ça plaît à M. Stéphane Foucart.
Ça plaît tellement qu'il en a fait un article publié en version électronique le 20 septembre 2023... et qui tombe à pic avec la publication de la proposition de la Commission Européenne de renouveler l'autorisation du glyphosate pour une durée de dix ans (mais peut-être est-ce le timing de l'annonce européenne qui était malencontreux...).
Le titre est suggestif : « Le glyphosate lié à une élévation des marqueurs de dégâts neurologiques, selon une étude ».
Un titre se doit évidemment d'être bref. Mais que comprend le lecteur lambda ? Une relation de cause à effet...
Le chapô est encore plus suggestif :
« Des travaux montrent une association entre l’exposition à la molécule et la présence dans le sang ou les urines de substances sécrétées en cas de lésions neuronales comme les maladies d’Alzheimer, de Parkinson, ou la sclérose en plaques. »
Dans le corps de l'article, l'auteur ajoute encore la maladie de Charcot (sclérose latérale amyotrophique).
Nous ne sommes pourtant pas tous atteints par ces maladies, malgré la présence, prétendument ubiquitaire, du glyphosate sur le marché et dans notre environnement depuis près de cinquante ans, et même dans nos urines. Il convient donc de louvoyer et d'enfumer, avec l'aide des auteurs de l'étude décidément fort militants :
« Chez les patients atteints de certaines maladies neurodégénératives, ou après un accident vasculaire cérébral, les taux de NfL sont très élevés. Ceux relevés sur les individus de la cohorte NHANES ne sont pas pathologiques, mais, en se fondant sur d’autres travaux récents, les chercheurs écrivent que les niveaux de base de ce biomarqueur sont "un facteur prédictif important de la perte future de volume cérébral". "Cela suggère l’existence d’un lien entre les niveaux de NfL et les pathologies cérébrales subcliniques [dont les symptômes majeurs ne sont pas encore visibles]", ajoutent-ils. »
Notez bien que, dans ce paragraphe, il n'est nulle question de glyphosate.
Et, à lire cet article du Quotidien du Médecin, c'est plutôt l'évolution du niveau qui est prédictive...
Les niveaux « ne sont pas pathologiques, mais... »
Godillons encore avec trois spécialistes des NfL, co-auteurs d'une synthèse [manuscrit annoté].
Le premier, M. Jens Kuhle, trouve que « [c]e sont des résultats extrêmement surprenants » et s'exprime avec une grande précaution oratoire. Pour la troisième, Mme Charlotte Teunissen, l’étude est « bien réalisée » et la relation mise au jour est « convaincante ».
Mais, écrit M. Stéphane Foucart :
« Les trois spécialistes interrogés insistent sur le fait qu’une telle étude ne peut que mettre en évidence une corrélation et ne démontre pas formellement la causalité. »
RépondreSupprimerProcédé bien connu... on ne pourra pas dire qu'il n'a pas précisé qu'on reste au niveau de la corrélation.
Procédé bien connu... « ...formellement la causalité » est une formule de marchand de doute, ou de suggestions insistantes, voire de convictions : la preuve n'est pas formelle, mais...
Avec le troisième spécialiste, M. Michael Khalil, il aura décroché la timbale. Celui-ci a précisé, à juste titre (en admettant que la corrélation ne soit pas fortuite et en n'atttendant pas une confirmation), que :
« Il faudrait désormais explorer la causalité grâce à des travaux expérimentaux sur des modèles biologiques. »
Mais il déclare par ailleurs :
« Ces travaux mettent en évidence une corrélation significative et méritent d’être portés à l’attention du public et des autorités chargées de la santé publique. »
Ben voyons ! Créons déjà la panique dans le public... Insistons auprès des autorités... précisément quand l'autorisation du glyphosate est sur la sellette dans l'Union européenne...
Et l'article de M. Stéphane Foucart se termine par des considérations bien anxiogènes se fondant sur des déclarations des auteurs de l'étude et de Mme Charlotte Teunissen.
Conclusion, avec Mme Charlotte Theunissen :
« S’ils soulignent la possibilité que des risques liés à l’herbicide soient jusqu’ici passés sous le radar, ces travaux ouvrent de nombreuses questions. Les niveaux élevés de NfL sont les marqueurs les plus spécifiques de dégâts sur les neurones, souligne ainsi Charlotte Teunissen, mais la zone touchée – système nerveux central ou périphérique – de même que le type de dégât restent à éclaircir. »
Oui... Mais c'est une déclaration très générale. Le résumé de l'article scientifique ne nous précise pas quels sont les niveaux qui ont été relevés – nous devons nous contenter d'un coefficient ß et de deux valeurs de P.
Et M. Stéphane Foucart nous a bien précisé, noyé dans son article, que :
« les taux de NfL [...] relevés sur les individus de la cohorte NHANES ne sont pas pathologiques ».
Oups !
« ...ne sont pas pathologiques, mais... ».
Quel art ! Je tire mon chapeau !
https://seppi.over-blog.com/2023/09/glyphosate-et-science-militante-selon-le-groupe-nature.et-le-monde.html
ENCORE 4 ARTICLES CENSURÉS ! (60 - 4 = 56)
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