Bloqueur de puberté – Qui est responsable de la mutilation des enfants ?
03.12.2022 www.kla.tv/24294
Le thème de la Journée mondiale de l'enfance de cette année, le 20 septembre 2022, était « Ensemble pour les droits de l'enfant ». Les enfants ont droit à la protection et aux soins de leurs parents et doivent être protégés contre les violences physiques, psychologiques ou sexuelles. Mais on peut se demander si le ministère allemand de la Famille prend lui aussi au sérieux la protection et les soins de nos enfants.
Car c'est précisément cet organisme public, qui se nomme ministère de la "Famille", qui encourage les enfants à prendre des bloqueurs de puberté avant la puberté, afin qu'ils aient suffisamment de temps pour réfléchir au sexe qu'ils veulent avoir.
A lire sur le site regenbogenportal.de du ministère de la « Famille ». Dans cette émission, nous allons examiner si cette offre du ministère de la Famille est « cool » ou pas « cool ».
1. Le blocage de la puberté est un dommage corporel
La Société allemande de médecine sexuelle, de thérapie sexuelle et de sexologie attire surtout l'attention sur l'automatisme statistiquement prouvé selon lequel un traitement par des bloqueurs de puberté, une fois initié chez les enfants, conduit presque toujours à la fin à des mesures chirurgicales. Les bloqueurs de puberté peuvent donc être considérés comme un dommage physique, car ils peuvent entraîner des dommages sur la croissance osseuse et le développement du cerveau, ainsi que des troubles psychologiques et la stérilité. Jusqu'à présent, les enfants mineurs étaient protégés par la loi en ce sens que certaines décisions, dont ils ne pouvaient pas évaluer la portée à long terme, étaient prises par leurs parents. Dans la loi envisagée de l'autodétermination, les associations de transsexuels et les Verts souhaitent que les enfants, à l'aide de bloqueurs de puberté, puissent changer de sexe et de nom chaque année, sans l'accord de leurs parents.
2. De graves effets secondaires liés aux bloqueurs de puberté
Le magazine en ligne canadien The Post Millennial a publié dans un article des informations provenant du Gender Pathway Service (GPS) de l'hôpital pour enfants de London /Ontario. Il est recommandé aux enfants mineurs souffrant de trouble psychique de l’identité de genre, ou dysphorie de genre, d'utiliser des bloqueurs de puberté sans évaluation initiale préalable par des médecins spécialistes. Comme on peut le lire sur le site web du médicament Lupron Depot, ce médicament est autorisé pour le traitement de nombreuses maladies, telles que le cancer de la prostate, l'endométriose ou la puberté précoce. Par contre une utilisation comme bloqueur de puberté n'est pas mentionnée. Certains effets secondaires de ce médicament, qui devrait être administré même aux jeunes enfants, sont l'amincissement des os, les saignements vaginaux, les convulsions, la dépression et la prise de poids. Ce qui est effrayant, c'est que malgré les effets secondaires graves, ce médicament est également administré à des tout-petits, sans même savoir s'il est efficace. Car sur la notice explicative, on peut lire : « On ne sait pas si Lupron Depot-PED est sûr et efficace chez les enfants de moins de 2 ans » !
3. Stérilisation de l'enfant par blocage de la puberté
Chacun a le droit d'être ce qu'il souhaite et personne ne doit l'en empêcher, quelles qu'en soient les conséquences graves à long terme.
Avec cette idéologie à la Fifi Brindacier, chaque médecin, qui conduit un enfant à un traitement précoce avec des bloqueurs de puberté et qui risque ainsi de causer des dommages physiques massifs à l'enfant et de le rendre durablement stérile, est désormais impuni. En revanche, un médecin est punissable s'il tente d'empêcher l'enfant de prendre des inhibiteurs de puberté, même s'il donne des conseils sans préjuger des résultats.
La Société allemande de médecine sexuelle, de thérapie sexuelle et de sexologie fait remarquer que les bloqueurs de puberté ouvrent très tôt la voie à l'infertilité, par stérilisation ou fausses couches répétées, alors que cela est strictement interdit chez les enfants par d'autres lois. Car aussi bien le paragraphe 2 de la loi sur la castration que le paragraphe 1631c du Code civil allemand interdit aux parents ou à l'enfant de consentir à une stérilisation !
4. Les bloqueurs de puberté interdits au Royaume-Uni
La Haute Cour du Royaume-Uni a interdit les bloqueurs de puberté suite à la plainte d'une jeune femme qui avait d'abord choisi de prendre des bloqueurs de puberté à l'adolescence, puis de « changer de sexe », et qui regrette aujourd'hui sa décision. Keira Bell, 23 ans, a déclaré que les bloqueurs de puberté qui lui avaient été prescrits lorsqu'elle était adolescente avaient causé des dommages irréparables à son corps. Lorsqu'elle a pris cette décision à l'adolescence, elle ne pouvait pas prévoir les risques ou les conséquences à long terme. Les juges ont approuvé ce point dans leur décision :
Il est « douteux qu'un enfant de 14 ou 15 ans puisse comprendre et évaluer les risques et les conséquences à long terme de l'administration de bloqueurs de puberté ».
Jugez par vous-même du sérieux avec lequel le ministère allemand de la Famille prend en compte la protection et les soins de nos enfants lorsqu'il encourage les enfants à prendre des bloqueurs de puberté et qu'il oblige quasiment les médecins à les prescrire sur demande. Si vous avez l'impression que le ministère de la Famille ne se soucie pas vraiment du bien-être de la population, prenez vous-mêmes vos responsabilités et diffusez cette émission afin d’éviter de graves dommages.
de tz. Sources / Liens : 1. Pubertätsblocker = Körperverletzung https://www.nzz.ch/meinung/transkids-england-macht-eine-beispielhafte-kehrtwende-ld.1598408
Ces mutilations ou 'changement de sexe' (impossible) portent le nom d'excisions. Elles sont là pour supprimer la jouissance (interdite en religion) et ne garder que le mauvais côté de l'être humain handicapé.
« Changer de sexe une fois par an » Qui se cache derrière cette nouvelle loi sur l'autodétermination ?
30.08.2022 www.kla.tv/23469
La ministre fédérale de la Famille, Lisa Paus, et le ministre fédéral de la Justice, le Dr Marco Buschmann, ont présenté ensemble le 30 juin les points essentiels de la nouvelle loi sur l'autodétermination. La loi devra être adoptée avant la fin de l'année. Elle remplacera la loi sur les transsexuels de 1980.
La nouveauté de la loi est que, désormais et une fois par an, chacun pourra faire modifier de manière autonome son inscription de genre et son nom.
Les expertises psychologiques et médicales ne seront plus nécessaires. En d'autres termes, toute personne âgée de 14 ans et plus pourra à l'avenir changer de sexe et de nom sur simple demande. Les jeunes de moins de 18 ans ont certes encore besoin de l'accord de leurs parents. Mais si les parents devaient ne pas donner leur accord, le gouvernement prévoit des possibilités juridiques pour les adolescents.
Le politologue Uwe Steinhoff s'est penché en détail sur le contenu des nouveaux projets de loi. Il a constaté que les interventions chirurgicales de modification des organes génitaux sont clairement prévues et peuvent également être imposées contre la volonté des parents par le biais des tribunaux familiaux.
Citation d'un projet de loi de juin 2020 : « Si les personnes ayant l'autorité parentale devaient refuser leur consentement, c’est le juge aux affaires familiales qui donnera l’autorisation... ». En ce qui concerne le traitement hormonal, ni le consentement des parents ni celui du tribunal des affaires familiales ne sont exigés, comme l'indique expressément le projet de loi à la rubrique « Avenant 3 ». De nombreux médecins critiquent ce projet. Ils mettent en garde contre le fait qu'à l'avenir, des milliers d'adolescents sans identité stable, mais confortés par la nouvelle carte d'identité dans leur poche, exigeront et imposeront également le changement de sexe médical. Aujourd'hui déjà, rien qu'en Allemagne, des milliers de jeunes filles explosent les listes d'attente des cliniques de genre parce qu'elles veulent changer de sexe.
Pourquoi n'y a-t-il pas, comme d’ailleurs aussi dans de nombreux autres domaines, de débat ouvert sur le sujet ?
Pourquoi ici également, les voix critiques ne sont-elles pas entendues ?
Le Dr Paul R. McHugh est médecin-chef en psychiatrie à la clinique universitaire Johns Hopkins de Baltimore considère le transsexualisme comme un trouble psychique de la perception, similaire à l'anorexie par exemple.
Il s'agit de traiter ce trouble et non de l'affirmer. La professeure de médecine américaine Lisa Littmann parle elle aussi de phénomènes de contagion sociale. Le point commun décisif, outre la contagion sociale, serait toutefois des maladies psychiques telles que les dépressions ou les troubles anxieux, qui auparavant ont été diagnostiquées chez la plupart des jeunes filles. Parmi elles, de nombreuses jeunes filles n'ont pas de lien solide avec leurs parents et ne disposent pas d'un espace familial de repli stable. La sexologue Aglaja Stirn parle d'un véritable engouement pour la transidentité qui ne s'explique pas du point de vue médical. Renate Försterling, spécialiste berlinoise de la médecine des genres, se trouve de plus en plus souvent devant des patientes avec un désir spontanée pour se faire remarquer et qui souhaitaient des noms fantaisistes et extravagants. Elle parle d'une augmentation, au cours des dernières années, de dix à vingt fois le nombre de filles qui aimeraient changer leur corps. Des observations comparables se complètent dans l'ensemble du monde occidental.
Un rapport de la Fondation Rockefeller datant de 1984 montre par exemple que toutes ces évolutions ne sont pas fortuites, mais même voulues.
Il en ressort qu'il existe depuis des décennies des programmes visant à modifier les rôles des hommes et des femmes.
Leur objectif est de réduire la population.
En 2010, l'organisation des Nations unies UN-WOMAN a été créée à cet effet, avec pour objectif d'imposer l'égalité des sexes à l'échelle mondiale et de manière contraignante. Dans la pratique, cela s'avère toutefois être une couverture perfide pour la destruction de l'identité sexuelle naturelle. L'infertilité et l'absence d'enfants en seront les conséquences, au service de l'objectif de réduction de la population dans le monde entier.
Nos politiques, consciemment ou inconsciemment, mettent en œuvre des plans intégrant la transsexualité, que d'autres ont écrits pour eux. Ils ne servent ainsi ni les personnes concernées, ni le peuple dans son ensemble, mais un agenda mondial secret. Celui-ci doit être démasqué et son influence sur la politique et la société doit absolument être rendue transparente.
de ah./rw. Sources / Liens : Pressekonferenz zum geplanten Selbstbestimmungsgesetz https://www.bmfsfj.de/bmfsfj/aktuelles/alle-meldungen/eckpunkte-fuer-das-selbstbestimmungsgesetz-vorgestellt-199378
Geschlechtermedizinerin Renate Försterling FAZ 30. Juni 2022
Dr. Paul R McHugh https://www.auf1.tv/nachrichten-auf1/angriff-auf-unsere-kinder-transsexuellen-propaganda-in-schulen
En premier les merdias et les écoles vont inciter l'enfant à changer de sexe alors qu'il s'agit là d'une impossibilité physiologique. Mais par contre un garçon sans sexe ne peut plus être appelé garçon ni fille mais appelé 'une merde' !
La Commission européenne rend la santé globale plutôt qu'individuelle avec le concept "One Health"
4 décembre 2022 du Dr. Peter F. Mayer
La pandémie de Corona de l'OMS a montré que la peur des maladies peut être utilisée pour faire d'excellentes affaires. Des mesures totalitaires peuvent ainsi être mises en œuvre qui, autrement, se heurteraient à une résistance farouche. Le grand succès a apparemment encouragé l'extension et l'expansion du concept. Ce concept est actuellement vendu sous le nom de One Health par l'OMS, le WEF et trois autres organisations des Nations Unies. Bien entendu, l'UE est également impliquée, mais pas la vôtre. Le communiqué de presse suivant est paru sur le portail de presse de l'UE le 30 novembre :
« Aujourd'hui, la Commission a adopté une nouvelle stratégie de santé mondiale de l'UE pour renforcer la sécurité sanitaire mondiale et parvenir à une meilleure santé pour tous dans un monde en mutation. Avec cette stratégie, l'UE renforce son rôle de chef de file et réaffirme sa responsabilité de s'attaquer de front aux grands défis mondiaux et aux inégalités en matière de santé: les défis sanitaires mondiaux à venir et la lutte contre les menaces sanitaires à l'ère de la pandémie.»
Charabia vide, mais assez intéressant, cela se résume toujours aux vaccinations, à la destruction de la communauté agricole par l'utilisation de plantes génétiquement modifiées et brevetées et à la production largement industrielle de viande, de lait, de fromage, etc.
Il continue en disant :
« La stratégie propose un large éventail de mesures pour faire face à ces menaces :
un accès plus équitable aux vaccins et aux traitements médicaux en renforçant les systèmes locaux de médicaments et les capacités de fabrication des règles internationales solides et contraignantes pour les pandémies une surveillance accrue et une meilleure détection des agents pathogènes un concept global qui prend en compte tous les liens entre environnement, santé animale/végétale et santé humaine (concept « One Health »)
Comme indiqué récemment, One Health est promu par l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), l'Organisation mondiale de la santé animale (OIE), le Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE) et l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Il y a aussi le plan d'action mondial conjoint One Health (2022-2026) (OH JPA), que la Commission européenne est en train de prescrire pour l'UE.
Bien que dans le premier paragraphe, un rôle de leadership soit toujours revendiqué pour l'UE, plus bas, il est question d'arriéré :
« La stratégie vise à combler l'écart dans la mise en œuvre des objectifs de couverture sanitaire universelle fixés dans le cadre de l'Agenda 2030 et de ses objectifs de développement durable. La stratégie se concentre donc sur la réalisation de la couverture sanitaire universelle, le renforcement des soins de santé primaires et la lutte contre les causes qui affectent la santé, telles que la pauvreté et les inégalités sociales.
Pourtant, c'est le contraire des belles annonces qui se passe en ce moment. Tout est actuellement fait pour pousser "la pauvreté et les inégalités sociales" à des sommets inconnus depuis 1945. Avec les confinements, la campagne de vaccination, la déréglementation de l'approvisionnement énergétique et les sanctions, le coût de la vie et l'inflation ont été massivement poussés à la hausse d'une part et Big Pharma, le complexe numérique-financier et militaro-industriel, d'autre part, a amené des milliards de bénéfices à une échelle sans précédent.
Il ne s'agit plus de personnes individuelles ou du moins de nations et de pays entiers, tout doit être passé au peigne fin de l'industrie pharmaceutique et du complexe agrochimique. La dictature mondialiste est exercée par les propriétaires des grandes entreprises et les organisations qu'ils contrôlent telles que l'OMS, le WEF, l'OMC, le FMI, la Banque mondiale, la FAO, le G7, le G20, l'OTAN, etc.
Et voici comment l'UE l'imagine :
À une époque où un nouvel ordre mondial de la santé émerge, la stratégie définit la manière dont l'UE peut contribuer à façonner cet ordre grâce à un engagement plus ciblé, déterminé et efficace.
Soutenir une nouvelle politique de santé mondiale robuste, dont le monde a besoin dans un environnement géopolitique complexe. Il s'agit notamment d'une OMS plus forte, plus efficace et responsable, financée de manière durable et au cœur du système multilatéral, et d'une collaboration renforcée au sein du G7 et du G20 et avec d'autres partenaires mondiaux, régionaux et bilatéraux.
Le G7 et le G20, qui ont récemment réclamé à nouveau le certificat sanitaire international, sont bien sûr en retard sur les règles mondiales avec le certificat sanitaire international. La globalité est à l'opposé de la santé individuelle, elle doit être mise en place et contrôlée par la coercition, les vaccinations et le génie génétique chez l'homme, l'animal et la nutrition. Les animaux domestiques seront alors également enregistrés et vous ne pourrez voyager que si votre chien a reçu les vaccins requis.
RADIATION : Au tour du dr Marc Girard éminent expert auprès des tribunaux. Personne n’échappe à la chasse aux sorcières. Jusqu’à quand ?
Par Dre Nicole Delépine Mondialisation.ca, 04 décembre 2022
- voir clips sur site -
HOMMAGE AUX PERSONNELS SUSPENDUS PAR MARC GIRARD (sur son site)
« Le contraste entre la misère objective où se trouvent acculés les soignants (les petits, surtout : aides-soignants, femmes de ménage et personnel de service) et le ridicule du prétexte sanitaire (se défendre contre les rhumes) en dit tristement long sur l’état de sauvagerie où en sont arrivés tous ceux qui, sous prétexte de soins, se voient dépositaires d’une mission sacrée : tenir à distance la maladie (sinon la mort) et, surtout, faire preuve d’autorité à l’endroit des plus faibles. »
INLASSABLE LANCEUR D’ALERTE DEPUIS LES ANNÉES 90, le Dr Marc Girard a informé ceux qui ont accepté de l’écouter (car la pensée unique ne date pas d’aujourd’hui) sur le distilbène, l’hormone de croissance, le vaccin contre l’hépatite B1, la dangerosité du vaccin H1N1, les dangers du Gardasil inutile et dangereux2, les inconvénients de la mammographie, du dépistage du cancer de la prostate par le PSA, sur la mascarade du procès mediator etc.. sur les risques des imprégnations hormonales des femmes… et bien sûr sa critique clairvoyante de la gestion du rhume covid.3 Son parcours émaillé de la révélation de tant de scandales médicaux-sociaux l’ont conduit à son propre drame personnel par la persécution des autorités depuis de longues décennies. Son roman de vie mériterait un volume en soi qui éclairerait son parcours personnel en le remerciant, mais surtout l’état de la pharmacovigilance en France depuis les années 90. 4
Que de sujets tabous a-t-il abordé au grand jour à l’heure où les médias étaient un peu moins fermés qu’aujourd’hui bien que déjà travaillés au corps par big pharma. Je l’ai rencontré sur le plateau de C dans l’air en 2011 environ, alors qu’il présentait un livre sur les dangers des médicaments et que j’étais invitée à propos de mon livre « la face cachée des médicaments ». Nous étions en phase, encore tolérés sur les plateaux (à peine) et cela ne m’étonne pas que ce médecin instruit, pionnier de la pharmacovigilance française, déterminé, honnête, d’un autre monde finalement, ait été persécuté jusqu’à la radiation… 5
INSUPPORTABLE une nouvelle fois, après la censure et l’interdiction d’exercer la médecine de nos parlementaires6, on apprend ce jour la radiation du Dr Marc Girard, en même temps que fleurissent à nouveau sur nos antennes (on va casser nos télés avant longtemps) des pseudo médecins statisticiens, généralistes, urgentistes ou autres qui en plus des mensonges avérés qu’ils recrachent, insultent les médecins. Le pseudovax éviterait les formes graves contre toutes les évidences statistiques. Ils traitent les collègues vaccino prudents de « rien », de déchets ou autres galanteries. Quand les citoyens les poursuivront-ils pour mensonges, intoxication aux conséquences dangereuses et insultes discriminatoires de leurs collègues médecins ? 7
Radiation définitive du Dr Marc Girard – Le site du Dr Marc Girard (rolandsimion.org) 8
Qui est le docteur Marc Girard ? Voilà la description de son parcours sur son site fort instructif qu’il faut lire, en particulier pour ceux qui s’intéressent au scandale précurseur de la vaccination contre l’hépatite B (encore obligatoire chez les nourrissons suite à la loi de Mme Buzyn), mais aussi à l’histoire cocasse du médiator, etc..
Ses livres, tous riches en informations bien cachées par les médias sont sûrement autant d’aiguillons qui ont heurté les représentants de notre profession qui ne se préoccupent plus que de la censure contre tout ce qui n’est pas la doxa des pouvoirs publics au service de Big Pharma, lui-même serviteur parmi les plus « zélés » du Nouvel Ordre Mondial.
Et cerise sur le gâteau, à l’heure de la retraite, lorsqu’il déménage, l’ordre « perd » son dossier.
« Il refournit tous les documents, mais au lieu de délivrer la carte professionnelle en s’excusant, il est réévalué par des nuls et est radié ! »
La question à poser est jusqu’à quand la passivité des citoyens ? Ils pleurent (à juste raison) à l’arrivée des services d’urgence quand ils attendent des heures sans boire, sans manger, sans soulagement, mais laissent nos médecins compétents, solides se faire virer sans ménagement… y compris les courageux médecins suspendus pour avoir eu le courage de leurs opinions, quand les ministres qui les insultent avouent eux-mêmes ne pas être injectés ou que beaucoup de leurs collègues députés ou sénateurs ne le sont pas. Et chaque jour, une nouvelle radiation ou nouvelle suspension pour avoir trop parlé !9
Si vous voulez que renaisse la médecine, il faut nous aider, vous tous citoyens et ne pas tourner la tête, à reconquérir notre pouvoir médical et supprimer celui des instances bureaucratiques et singulièrement celui des agences régionales de santé qui gèrent financièrement la médecine.
Pourtant la médecine n’est pas une marchandise et faire des pubs télé pour les pseudovax comme pour des parfums est insupportable.
Une réflexion déjà ancienne sur la médicalisation et ce qu’elle dissimule : la vie, la sexualité, la mort…
Étudiant en mathématiques, Marc Girard était frappé de voir que les collégiens mis en échec par les « math modernes » étaient naturellement adressés à des médecins, alors que ces derniers se targuaient plutôt d’avoir été formés aux « humanités ». En cette époque où la conscience écologique naissante s’exerçait sur le scandale du « veau aux hormones », il ne comprenait pas non plus pourquoi saturer le corps fascinant des contemporaines avec ces mêmes hormones sous prétexte de contraception devait être tenu pour une « émancipation ».
Devenu médecin non par vocation, mais par engagement politique à l’encontre d’un métier dont le potentiel totalitaire était déjà patent, il a cru bon mettre sa compétence de spécialiste du médicament au service de la justice, avant de constater qu’entre sanctionner les criminels de la santé et ceux qui les dénonçaient, la justice avait choisi la seconde option.
Le présent site récapitule les réflexions nées de ces interrogations anciennes, mais dont l’actualité serait difficile à ignorer. »
ET VOICI SA RÉACTION SUR SON SITE À CETTE MONSTRUEUSE INTERDICTION DE MÊME SE PRESCRIRE UN ANTIBIOTIQUE OU UN ANTICOAGULANT
Radiation définitive du Dr Marc Girard 30 novembre 2022
Eh bien ! Ça y est, c’est fait ! Je ne suis plus médecin. Plus du tout. Plus jamais. Définitivement radié de l’Ordre. Donc interdit de prescrire même des antalgiques banals, même des médicaments contre le rhume, même des somnifères réputés anodins…
Parce que je me suis lancé sur un sujet hautement polémique, comme le Covid, comme telle ou telle vaccination, comme la mammographie, comme le dépistage du cancer de la prostate, comme les nouveaux anticancéreux ? Que nenni ! Je suis radié parce que je mets en danger même mes proches, a fortiori des patients, par mon incompétence apparemment criante — en dépit du fait facilement vérifiable qu’en 40 ans de pratique intensive, je n’ai pas eu un seul sinistre…
Radiation d’autant plus sidérante que, aussi bien chez les experts judiciaires que chez les médecins, je n’ai quasiment jamais vu de suspension, si motivée fût-elle, qui ne soit temporaire : même après une faute grave, on tend presque toujours à passer l’éponge après un certain temps. Mais le Dr Girard, ça doit soulager de le virer définitivement.10 11
Sans me fourvoyer dans la doléance égocentrique, je crois qu’il est utile d’entrer un peu dans l’historique de cette situation. Après des études brillantes, menées dans un CHU prestigieux (Necker EM) et couronnées par un prix de thèse, j’ai eu une pratique intensive de médecin généraliste, pas intéressé par l’internat (concours dont la débilité m’est toujours apparue flagrante). Domicilié dans les Yvelines, j’étais dûment inscrit à l’Ordre de ce département durant 35 ans. En 2018, ayant décidé de me replier dans la Mayenne natale pour ma retraite, je me tournais naturellement vers l’Ordre de ce département pour obtenir le transfert de mon dossier et mon inscription en Mayenne. Là, première surprise : mon dossier s’est révélé introuvable. Après un moment de panique, j’ai retrouvé — et fourni — tous les documents attestant mon parcours et authentifiant mes titres : ils n’avaient pas été obtenus à la sauvette ou moyennant finance.
Comme un con, j’ai imaginé que le problème était résolu, et j’ai commencé à attendre mon caducée, ma nouvelle carte professionnelle et mes ordonnances. Mais au lieu de s’excuser pour cette gabegie dans son archivage, l’Ordre mayennais s’est mis en tête de m’évaluer. Malheureusement, surtout quand on est un médecin nourri de presse médicale type Le Quotidien du médecin, on n’évalue pas le Dr Girard sans avoir autant réfléchi que lui : sans apercevoir l’incongruité du propos, l’un des « experts » autoproclamés chargés de m’évaluer n’avait aucune notion des objections qu’on peut — qu’on doit — adresser aux statines et à leurs prescripteurs ; un autre refusait même l’idée qu’au-delà de trois médicaments par personne — surtout chez une vieille dame de 85 ans — on nage dans l’inconnu (outre les trois principes actifs, on a la bouteille à l’encre de tous les métabolites) — mais peut-être mes évaluateurs ignorent-ils ce qu’est un métabolite. On peut également alléger une ordonnance : l’expérience atteste que diminuer le nombre de médicaments prescrits tue rarement le patient concerné, alors que l’inverse n’est pas vrai.
Il est notoire pourtant que certaines régions françaises (la Mayenne, justement) souffrent d’une pénurie grave de médecins, conduisant à recruter soit des étudiants ayant échoué au concours, soit même des médecins étrangers baragouinant un français approximatif, mais ayant obtenu — Europe oblige — le titre de médecin dans un pays étranger au terme d’études non moins approximatives, par exemple en Bulgarie où la pègre fait sa loi et où, si l’on en croit Le Figaro (02/10/22), « la corruption est endémique ». Voici quelques semaines, la presse locale faisait état des files d’attente occasionnées par la réinstallation d’un médecin retraité (qui avait dû finir par s’ennuyer), à côté desquelles celles occasionnées par l’enterrement récent de la Reine d’Angleterre avaient l’allure d’un aimable pique-nique. Il est non moins notoire qu’Internet fourmille de menaces sanitaires et d’offres de soins plus que douteuses qui devraient appeler une réaction ferme et coordonnée des professionnels.
Bon, bref. Je ne compte pas me laisser faire ni prendre des cours de français. Mais il me paraît utile d’informer les gens de ce qui m’arrive et qui dit beaucoup du milieu médical français (à l’égard duquel j’ai toujours eu une position très critique). J’invite tous mes lecteurs à retransmettre cette histoire exemplaire à leurs proches, à la presse, à leurs responsables politiques…
L’Ordre n’a qu’à bien se tenir…
Sur le coup, c’est vexant d’être radié. Mais est-il si flatteur d’en être ? »
QUELQUES RÉFLEXIONS DE TWITTOS SCANDALISÉS
@FabriceMegrot #radiation du Dr Marc GIRARD. Encore un grand médecin maltraité. À lire, ses travaux et son site Internet riche @BanounHelene 1er déc.
Encore un médecin compétent et courageux radié par l’Ordre : il s’est opposé à Big Pharma depuis bien longtemps ! C’est un expert en pharmacovigilance https://rolandsimion.org/radiation-definitive-du-dr-marc-girard/
Dès 2009, le Dr Marc Girard a contesté les affirmations de Madame Bachelot alors ministre de la Santé, ancienne pharmacienne sur la vaccination H1N1. Elle défendait son vaccin anti H1N1 avec les mêmes mots qu’elle a défendu la vax anticovid. Jouer sur la peur, on prend les mêmes et on recommence. Les représentants du pouvoir ont été beaucoup plus efficaces avec le covid dans la désinformation ; mais n’ont pas pardonné au Dr Marc Girard sa clairvoyance.
En 2020, il a alerté à nouveau la population et rappelé les techniques de manipulation utilisées par le gouvernement, qui auraient dû rendre prudents les citoyens.
Parmi les méthodes de promotion mensongère, on relève « la dramatisation de l’anecdotique » (p. 173), une « rhétorique de globalisation » (p. 175) et la collusion des professionnels de santé (p. 177), plus prompts à amplifier de leur autorité les sornettes glanées à la télé qu’à parler sérieusement de ce dont ils ont une expérience effective (qui se résume parfois à très peu). »
Et ce chapitre de réflexion générale : « Élever le débat en 2009, c’était — exemple parmi bien d’autres — créer les conditions pour que, sans éprouver le besoin d’en modifier la moindre ligne, ce livre soit remis dans l’actualité après “la divine surprise” (pour les patrons…) de Macron-président et son coup d’État du 16 mars 2020.
Élever le débat, c’est proposer des événements une triple lecture, politique, scientifique, morale.
Omniprésente dans les pages qui ont précédé, la lecture politique rappelle que la menace qui pèse le plus sur l’expertise, ce n’est pas celle des liens d’intérêts (à la révélation desquels je pense pourtant avoir puissamment contribué) : c’est celle de l’incompétence. La lecture scientifique, c’est comprendre que la recherche clinique en général, et l’évaluation des médicaments en particulier, n’ont rien (ou pas grand-chose) à voir avec le travail dit classiquement “scientifique”, centré sur une épistémologie tirée des sciences physiques ou, à la rigueur, de la biologie. Rien à voir, donc, avec les références intellectuelles de tous “les sages et les savants” qui se prévalent bruyamment d’une agrégation, d’un doctorat d’État ou de quelque autre affiliation censément prestigieuse (CNRS, INSERM…), mais peu pertinente pour l’espèce. La lecture morale, enfin, c’est comprendre que la faute des autres, pour patente qu’elle soit, ne saurait résumer à elle seule la misère du monde : se demander, par conséquent, en quoi les engagements personnels participent du processus général de récupération par lequel, pourtant condamné à mort par application des lois sacrées du “matérialisme historique”, le capitalisme renaît chaque fois de ses cendres, et chaque fois plus fort. Dans un livre consacré aux ravages de la médicalisation, c’est une invitation à y inclure les fausses “alternatives” des médecines douces, holistiques, homéopathiques, parallèles, ainsi que les emprunts aux traditions thérapeutiques du monde qui fascinent d’autant plus que, voyage organisé parmi d’autres, elles sont exotiques (et qu’elles n’impliquent évidemment rien des contraintes culturelles qui donneraient du sens à cette forme de tourisme…). »
L’imposture de la grippe A dévoilée sur la chaîne « La Locale » Emission du 25 Octobre 2009 — 23 h. Intervenants sur « La Locale » :
—Christian Cotten (Journaliste), —Dr Vercoutere (Docteur), —Jean-Frédéric (citoyen), Intervenants sur France 24 : —Jennifer Knock (Spécialiste Santé à France24), —Marc Girard (Médecin) C*0*V*I*D* : TOUTES RESSEMBLANCES AVEC DES ÉVÉNEMENTS RÉCENTS NE SERAIENT QUE PUR HASARD ! (lol si le hasard existe, bien sûr)
Le Dr Marc Girard a aussi combattu les effets secondaires des vaccins comme le Gardasil contre le HPV @FrancoisTribun 23 nov.
« Je partage le travail de Dr Marc Girard, pionnier de la pharmacovigilance. Il expose le danger réel d’effets secondaires graves pour des vaccins comme le Gardasil (HPV). Si un casque peut vous étrangler alors son usage devient aberrant. »
En 2020 il croyait qu’on pouvait discuter ensemble des vaccins, etc..12 il avait beaucoup d’illusions comme la suite du scénario covid l’a démontré
Plongez-vous dans son site, vous ne perdrez pas votre temps, car Marc Girard a été précurseur de la réflexion sur la conduite à tenir sur les sujets qui nous agitent depuis 2020. Par exemple
« Principe de précaution Le quatrième chapitre est peut-être celui qui m’a le plus coûté compte tenu du débraillé terminologique qui règne à ce sujet, tout autant chez les “experts”, chez les présumés sachants (tels que les avocats), chez les victimes, chez les intarissables blaireaux de la Toile : “prudence”, “prévention”, “précaution”…
Ma réticence initiale à traiter du sujet venait du fait que le concept de précaution est né d’une réflexion sur la protection de l’environnement : il s’imposait d’autant moins en médecine que les médecins ont un concept bien plus ancien et bien plus fort, celui de prudence. D’où mon constat tiré d’une expérience assez intensive et dont la pertinence s’est démesurément confirmée depuis les quelque vingt ans où j’ai commencé de griffonner sur le sujet : quand, en médecine, on vous parle de “précaution”, commencez par rechercher le cadavre de la prudence — et retrouvez les assassins. »
Et même si Marc a parfois la dent dure, c’est un honnête homme, un tendre qui aime profondément les autres humains et refuse toute concession au politiquement correct et au langage diplomatique.
« Nous en arrivons à la conclusion de ce livre publié en septembre 2009
« La triste réalité, c’est qu’il n’est simplement pas possible d’être un professionnel du médicament sans devenir farouchement anti-européen au constat des éléments suivants dont les effets se font sentir à chaque instant : l’effarante efficacité des lobbies, l’impuissance rare des politiques, leur ignoble complaisance et leur déprimante incompétence(…) »
Alors chers concitoyens, si vous ne voulez pas collaborer à l’enterrement définitif de la médecine française, et la disparition de ses représentants authentiques les plus courageux, défendez bec et ongles les soignants, médecins, personnels administratifs, pompiers, enseignants13, etc. suspendus contre TOUTE LOGIQUE SANITAIRE. Ne laissez pas notre belle France devenir un état totalitaire où seules des injections « préventives » seraient proposées contre toutes les maladies.
Notes :
1 Vaccin contre l’hépatite B : l’urgence d’une ré-évaluation – Le site du Dr Marc Girard (rolandsimion.org) https://www.rolandsimion.org/wp-content/uploads/2004/09/vaccin_hepatite_B_URGENCE.pdf
2 Gardasil et questions de tolérance – Le site du Dr Marc Girard (rolandsimion.org)
3 Un exemple de dictature médicale – Le site du Dr Marc Girard (rolandsimion.org)
4 L’exemple récent du dr amine umlil : Les experts de santé ont-ils droit à la liberté d’expression ? Le pharmacien Amine Umlil que nous avons eu l’occasion de recevoir dans les débriefings voit son poste menacé au Centre hospitalier de Cholet, dans le Maine-et-Loire. Son président, Pierre Vollot le dénonce au CNG (Centre national de gestion) le menaçant de « sanctions disciplinaires » ainsi que de « poursuites pénales ». Le Dr Amine Umlil, pharmacologue et juriste, intimidé par sa direction | FranceSoirDr Amine Umlil au Sénat : « Le seul critère juridique pour imposer le vaccin, c’est que le vaccin empêche la transmission virale » (lemediaen442.fr)24 mai 22 « depuis décembre 2020, date du lancement de la campagne de vaccination, la preuve n’a pas été donnée de l’efficacité du vaccin sur les formes graves et la transmission virale. Le rapport, étant donné qu’il s’agit de personnes en bonne santé, est forcément défavorable. On a oublié d’informer les gens que l’essai clinique était toujours en cours et qu’il s’agissait d’un produit expérimental.
5 « Fin septembre 2009, en pleine panique “pandémique” (dûment attisée, entre autres, par des “experts” dont certains sévissent encore au Conseil scientifique COVID-19 réuni autour du président Macron), un éditeur, intrigué par le contenu antagoniste de mon blog, vint me demander d’écrire un livre sur la grippe H1N1. Je tins scrupuleusement le délai de 8 jours qu’il m’avait laissé pour lui remettre le manuscrit, et le livre parut le 8 octobre 2009, sous le titre “Alertes grippales. Comprendre et choisir”.
Dès l’Introduction, je posais que les gens avaient parfaitement senti que les autorités cherchaient à leur faire peur, mais que le scepticisme populaire autour de la menace H1N1 attendait qu’un professionnel (un vrai…) leur fournisse les mots “pour organiser un contre-discours rigoureux” : le présent livre, disais-je, est destiné à soutenir les “citoyens qui ne veulent pas se laisser faire”. D’où la question centrale, éminemment démocratique et que mes fidèles reconnaîtront sans peine :
“Lorsqu’on est profane, est-il possible d’auditer le discours des experts ?”. Alertes grippales — comprendre et choisir — Le site du Dr Marc Girard (rolandsimion.org)
6 A. houpert et M. Wonner
7 vidéo à écouter et partager !
8 Le site de Rolandsimion est le site du DR Marc Girard en hommage à son oncle résistant :
« Roland Simion était un jeune ouvrier de la France d’en bas, qui refusa de partir pour le STO institué par l’occupant durant la seconde guerre mondiale. Il resta durant des années dans le maquis aux alentours d’Evreux. Il fut capturé et immédiatement assassiné par les soldats allemands juste le jour précédant la libération de sa ville. Il était âgé de 20 ans.
Pour un spécialiste du médicament (cf. 29), il est moins héroïque de rester indépendant tout en s’astreignant à rester compétent — ce qui requiert forcément de travailler avec les fabricants : mais, dans un monde où “l’industrie pharmaceutique a fait main basse sur les autorités sanitaires” (Brit Med J, 16 Nov 2002), c’est aussi une forme de résistance.
Ce site est dédié à la mémoire de Roland, qui fut — et qui reste mon oncle. Il sera le lieu d’une réflexion sur la médicalisation, et sur tout ce que dissimule cette aliénation : la vie, la sexualité, la mort… »
9 L’Ordre des Médecins va juger le Docteur Loridan parce qu’il a entièrement raison sur les masques — AIMSIB :
« Après la sanction révoltante infligée par la Chambre disciplinaire de l’Ordre des Médecins du Grand Est contre l’ancienne Députée et médecin psychiatre Martine Wonner (*), c’est au tour du Dr Éric Loridan de se confronter à ses pairs vendredi 2 décembre. Son crime ? Il a eu le malheur de démontrer de manière parfaitement scientifique que le simple port d’un masque facial en polypropylène ne représentait absolument aucune protection contre la pénétration-expulsion respiratoire des virus. Qu’en plus, ce dispositif pouvait facilement menacer la sécurité de ses porteurs. Ce qui va se jouer à Lille sera capital : est-il dit dorénavant qu’en France, un médecin doit penser faux parce que son Ordre le lui commande ? Bonne lecture.
Quid de la liberté de parole dans une société qui, trop souvent, se contente d’un prêt-à-penser bien commode et arrangeant ? »
10 Il y a quelques semaines le dr Gayet médecin hospitalier toujours mesuré dans ses interventions fut aussi radié contre toute évidence. « Dr Stéphane Gayet Médecin infectiologue et hygiéniste.
« J’ai été radié de l’Ordre des médecins pour des prescriptions faites qui n’ont causé aucun accident médicamenteux, ont amélioré la santé des patients, étaient peu onéreuses et ne m’ont rien rapporté ».
11 « Pour être précis, comme expert judiciaire, je n’ai pas été viré (ce qui m’aurait ouvert la porte d’un appel), mais non réinscrit (l’inscription sur les listes n’étant pas un droit, il n’y avait aucun appel possible) »
Il s'agit d'un système qui en est arrivé au point où le gouvernement et les médias d'entreprise nous traitent tous comme de l'eau à moudre afin de renforcer le récit qu'ils veulent faire passer. Donc, ça aide de ne pas le prendre personnellement, même si ça peut être un peu douloureux de temps en temps.
Lien vidéo "Les mensonges que mon gouvernement m'a dits"
Comme l'a expliqué Malone, la structure de base de "The Lies My Government Told Me" ressemble à celle de l'approche d'un médecin envers un nouveau patient.
«Lorsque le patient vient à vous pour la première fois, vous voulez comprendre son principal problème, sa principale plainte, prendre une anamnèse et faire un examen physique. Ensuite, vous passez par un processus de détermination d'un diagnostic. Qu'est-ce qui ne va vraiment pas avec eux ? Qu'est-ce qui les pousse à se plaindre ? Ensuite, vous proposez un plan de traitement.
C'était l'idée de base de la structure du livre. Le premier tiers est constitué d'anecdotes personnelles de personnes - moi-même, Meryl Nass, Paul Marik, Pierre Kory et bien d'autres qui ont vécu directement la censure, le déplatformage, la perte de licence, toutes ces choses, afin que les gens puissent avoir une idée de comment ça s'est vraiment passé au premier plan ; ce que les gens ont vécu…
La deuxième partie est une excursion, essayant de donner du sens, qui a vraiment commencé avec le podcast Dark Horse de Bret Weinstein, lorsqu'il m'a posé la question, ainsi qu'à Steve Kirsch, "Qu'y a-t-il vraiment derrière tout cela ?" Y a-t-il un grand complot, un seul complot, ou s'agit-il d'un phénomène émergent ? »
Je pense qu'en fin de compte, après avoir passé des mois et des mois à parcourir tous ces petits terriers, ces trous de lapin du Forum économique mondial (WEF), les banques centrales, Tony Fauci, le DOD et tout ça, je suis venu à la conclusion que c'est vraiment multifactoriel, et que c'est une situation où, j'en suis sûr, il y avait des mauvais acteurs infâmes derrière tout ça.
Mais en plus, il y avait beaucoup d'opportunisme et des gens profitaient d'un système dans une situation d'une manière qu'ils avaient en quelque sorte planifiée auparavant, que quand quelque chose comme ça se produisait, ils en profiteraient.
Des gens comme Ed Dowd… [ont clairement indiqué] qu'il y avait d'importants problèmes de liquidité financière dans ce domaine, et que cette opportunité a été exploitée pour injecter des quantités massives de capitaux et restructurer l'économie d'une manière que nous commençons tout juste à apprécier. alors que nous rencontrons l'inflation et le cycle de stagflation dans lequel nous nous trouvons. Donc, la partie médiane consiste à donner un sens [à la situation].
Créer un avenir meilleur grâce à la décentralisation
La dernière partie du livre se concentre sur le sous-titre du titre du livre, qui concerne la création d'un avenir meilleur et plus humain. Comme l'a noté Malone, après tout ce que nous avons traversé au cours de ces trois dernières années, il peut être difficile d'envisager un avenir qui n'implique pas un gouvernement mondial totalitaire, rempli de protocoles d'eugénisme forcé, comme l'envisageait le fondateur du WEF, Karl Schwab. et son gourou de la philosophie transhumaniste Yuval Noah Harari.
Mais il y a un moyen. La réponse est essentiellement l'inverse du problème. Étant donné que le problème, moteur du totalitarisme, est la centralisation et la gouvernance descendante, la réponse réside dans la création de systèmes décentralisés autonomes et d'auto-gouvernance.
"Comment envisagez-vous un avenir meilleur lorsque vous affrontez les sombres marmonnements de Harari et Schwab, parlant de transhumanisme et de la quatrième révolution industrielle, de la fusion de l'homme et de la machine, de l'excès de travail excédentaire, de la nécessité d'un revenu de base garanti, la logique derrière 'Vous ne posséderez rien et serez heureux.'
Qui a en fait un modèle commercial derrière lui – lorsque vous acceptez la volonté de notre gouvernement de suspendre la Déclaration des droits et les voies fondamentales, et la volonté de notre gouvernement de ne pas tenir compte des normes de bioéthique établies depuis des générations ? …
Comment imaginer un avenir meilleur quand on est confronté à ce qui est clairement une poussée vers un contrôle totalitaire ? … Comment envisagez-vous un avenir où il y a une force aussi massive qui pousse vers un totalitarisme d'économie centralisée et dirigée, basé sur les concepts de l'utilitarisme marxiste ?
La réponse est mieux capturée dans l'un des derniers chapitres d'un groupe en Italie … IppocrateOrg. Ils, comme le Conseil mondial de la santé sous Tess Lori, ont été très attachés à une vision de décentralisation et de communautés intentionnelles. Ils donnent d'excellents exemples de ce qu'ils ont fait, ce qui, je pense, est une opportunité fantastique pour le monde d'apprendre grâce à leur expérience.
Les médecins en Italie ont été censurés au moins aussi mal que les médecins ici aux États-Unis. Des centaines de personnes ont perdu leur licence, leur capacité à pratiquer, pour le péché de fournir un traitement précoce et de sauver des vies.
Ils se sont réunis et ont formé cette organisation, et ils commencent maintenant leur propre école de médecine, Ippocrate, et ils ont fait des choses très nouvelles, comme des groupes communautaires locaux réunis dans des villes et des villages à travers l'Italie qui s'engagent dans la formation. Cela comprend la mise en place de programmes de formation pour que les médecins se déspécialisent.
Ainsi, des médecins qui étaient hospitaliers, qui se concentraient sur des spécialités très étroites, apprennent et ont mis en place un mentorat avec des médecins de soins primaires pour apprendre les outils du métier pour leur permettre de revenir à la médecine à l'ancienne, de traiter les patients , d'où vient une grande partie de la joie.
Toutes les choses auxquelles ils ont été soumis, tout comme beaucoup de médecins ici aux États-Unis, les ont amenés à conclure que la médecine d'entreprise n'est tout simplement pas l'endroit où ils veulent être…
J'espère que ce que nous pouvons faire, c'est retrouver nos âmes et avancer vers un avenir où nous respectons l'importance de la dignité humaine et nous engageons à agir dans l'intégrité, avec transparence. Ce sont les choses que nous avons perdues.
Je pense que ce que le livre met vraiment en évidence, c'est que tout au long du système de gouvernance… nous avons perdu l'intégrité. Les gens sont prêts à mentir, à déformer et à se cacher derrière leurs conflits d'intérêts et à ne pas les divulguer. D'une manière ou d'une autre, nous devons revenir dans un espace où ce n'est pas acceptable.
Comment gagner sur un terrain de jeu inégal
Comme Malone, je crois que nous pouvons gagner en créant de nouveaux systèmes décentralisés pour remplacer, à nos propres conditions, les systèmes qui s'effondrent actuellement. Un moyen infaillible de perdre nos libertés et tout le reste est de ne rien faire et d'attendre simplement que la cabale centrée sur l'eugénisme les remplace pour nous. Parce qu'ils le feront.
Ils ont des décennies d'avance sur nous en termes de planification et ils ont déjà de nouveaux systèmes centralisés descendants prêts à fonctionner. Les monnaies numériques programmables de la banque centrale, l'identité numérique et un passeport international pour les vaccins ne sont que quelques exemples qui seront mis en œuvre très prochainement.
Le terrain de jeu n'est en aucun cas égal. Mais nous pouvons encore surmonter leurs plans, pour la simple raison que les « gens moyens » sont plus nombreux que la cabale mondialiste par millions contre un. Ils ont besoin de notre coopération, sinon leur nouveau système d'asservissement ne fonctionnera pas. Nous l'avons vu avec les mandats de vaccination.
Personne, du moins pas aux États-Unis, n'a jamais été retenu et injecté sous la menace d'une arme. Ils ont utilisé toutes les méthodes de coercition imaginables et inconcevables, oui, mais ils ne pouvaient pas utiliser la force physique.
Une des raisons à cela est que nous sommes trop nombreux. Ils ont besoin que nous entrions dans leur système par choix, même si c'est un choix forcé. Ainsi, notre plus grande arme est tout simplement le refus, de dire non, même si cela nous coûte à court terme, et d'entrer et de soutenir à la place des systèmes alternatifs parallèles émergents.
Un exemple en est l'émergence de plates-formes alternatives de médias sociaux de libre expression et de systèmes de paiement en ligne pour remplacer Google, Facebook, Twitter, PayPal, GoFundMe ou EventBrite.
Plus personne ne « doit » utiliser l'une de ces plateformes, car il existe des alternatives qui n'exploiteront pas et ne vendront pas vos données personnelles, ne censureront pas vos points de vue, ne vous infligeront pas d'amende pour mauvaise pensée ou dicteront à qui vous pouvez et ne pouvez pas envoyer d'argent. Alors, faites le changement le plus tôt possible. Soutenez les alternatives qui surgissent plutôt que de nourrir une bête qui a l'intention de vous avaler tout entier.
Nos défis immédiats
Certes, certains de nos défis immédiats seront en effet difficiles et nécessiteront notre participation. La mise en place prévue d'un passeport international pour les vaccins est imminente. L'Organisation mondiale de la santé cherche également à obtenir la seule autorité pour dicter la réponse mondiale aux pandémies déclarées. Un modèle décentralisé peut-il réussir face à la cabale mondiale qui poursuit ses efforts pour éliminer nos libertés ? Malone répond :
«Je suis frappé par de multiples demandes de commentaires de presse sur cette nouvelle position que le G20 a prise en faveur des certificats de santé d'identité personnelle pour restreindre les voyages dans le monde. Je crains que les choses aient tellement progressé que nous ne soyons pas en mesure de surmonter l'élan auquel nous sommes confrontés.
Il est proposé que la modification des réglementations sanitaires internationales soit soutenue par l'Organisation mondiale du commerce en tant qu'organe d'exécution de l'Organisation mondiale de la santé, afin qu'elle puisse imposer des sanctions aux pays non conformes.
Si nous avions eu une grande vague rouge [in the midterm] élections, j'aurais été plus optimiste. Mais je crains que cela ne soit imposé sous cette administration cet été… Je suis d'avis que dans une large mesure, ils réussiront avec nous. Alors, que faites-vous face à cela ? Que faire face à ce mal profond ? …
Je reviens tout juste d'une réunion de trois jours à Mexico avec un groupe de gens très intelligents qui sont très actifs dans les affaires et l'investissement, et beaucoup d'entre eux établissent leurs propres communautés intentionnelles locales. Mon sentiment est qu'il y a une chance raisonnable que nous voyions ces collections de consortiums locaux de communautés intentionnelles apparaître partout dans le monde.
L'opportunité est de créer un moyen pour eux de se rassembler et de former leur propre réseau, leur propre matrice. Ce qui m'inquiète, c'est qu'en ce moment nous dépendons tellement d'un Internet soumis à des modifications arbitraires et capricieuses de la part du comité de l'ICANN [la gouvernance de l'Internet] ou d'autres. Il y a des problèmes fondamentaux que nous devons résoudre, mais je pense qu'il y a des façons d'aborder cela.
La solution ne peut être imposée ou créée par une seule personne ou même un petit groupe de personnes, car alors nous finirons par tomber exactement dans le même piège. Je pense qu'il doit émerger de manière organique, à partir de nombreux groupes différents du monde entier, en interaction les uns avec les autres.
Mais je pense que ce que nous pouvons faire, c'est envisager un processus pour le permettre. Je pense que ce processus commence par la définition du besoin. De quoi avons-nous besoin en tant que communauté de penseurs indépendants et de réseaux ?
Je pense que nous pouvons envisager un processus où des personnes clés se réunissent, représentant leurs communautés, et définissent ce que nous voulons voir dans un monde décentralisé, et quels sont les problèmes pour y arriver. Une fois que nous aurons défini ce que sont ces problèmes, nous pourrons alors commencer à trouver des solutions à cet ensemble de problèmes. »
Comment éviter les pièges de la pensée de groupe
Malone suggère que nous tirions les leçons présentées dans le livre d'Irving Janis "Victims of Groupthink", dans lequel il souligne que le moyen le plus efficace d'éviter les types de fiascos politiques dans lesquels le gouvernement américain se retrouve régulièrement est de créer des groupes de résolution de problèmes qui n'interagissent pas les uns avec les autres.
Chaque groupe reçoit un ensemble commun de problèmes (c'est pourquoi nos problèmes doivent être définis), et chaque groupe propose ensuite ses propres solutions. Ce n'est qu'alors que les groupes se réunissent pour partager leurs idées.
"De cette façon, vous avez des solutions indépendantes provenant d'un large éventail de personnes différentes de cultures et d'États-nations différents", dit-il. « Ensuite, [nous] nous réunissons et voyons si nous pouvons trouver un terrain d'entente entre eux. Je pense que c'est un processus qui pourrait fonctionner. Mais je me méfie beaucoup de quiconque pense avoir la réponse en ce moment.
Je pense que je pourrais peut-être aider à faciliter [un tel] processus, donc, ce sur quoi j'essaie de me concentrer, c'est comment pourrions-nous y arriver ? Ne pas dire: "Oh, je connais la réponse, nous devons faire ceci ou faire cela."
Il y a beaucoup de pièges classiques dans lesquels le mouvement de liberté médicale commence à se retrouver, et l'un d'entre eux est le piège des cultes de la personnalité. Il est facile de se laisser prendre par la célébrité et l'adulation, mais je pense que nous devons vraiment lutter contre cela et nous unir d'une manière qui ne place personne en tête pour être le leader, mais nous permet plutôt à tous d'être des leaders. ”
Plus d'information
Pour en savoir plus, assurez-vous de vous procurer un exemplaire de "Lies My Government Told Me: And the Better Future Coming". Malone a également une excellente sous-stack, où il publie un à deux articles par jour, et un compte GETTR incroyablement actif. Vous pouvez également le trouver sur Gab et TRUTH Social.
Sources and References
1 Trial Site News May 30, 2021 2 Bitchute June 13, 2021
Le grand public ignore les pressions pour normaliser la pédophilie dans la culture et le milieu universitaire : conseiller
Une maman qui traque les pédophiles dit qu'il est impensable de les appeler "personnes attirées par les mineurs"
Par Darlene McCormick Sanchez 5 décembre 2022
Lydia Lerma, maman du Colorado, se sent frappée lorsqu'elle entend le nouveau terme à la mode "personne attirée par les mineurs". Rien que de penser aux dommages qu'un pédophile a infligés à son fils, qui avait six ans à l'époque, ça fait mal.
Créer un terme à consonance polie pour désigner une personne sexuellement attirée par les enfants la met en colère.
Toute poussée pour normaliser la pédophilie ou la désigner comme une autre orientation sexuelle à tolérer est « inadmissible », a déclaré Lerma à Epoch Times.
"C'est un tas de [expletive]!" elle a dit des universitaires poussant l'acceptation de la pédophilie.
«Ils vont faire face à la plus grande résistance qu'ils aient jamais vue. La société ne laissera pas cela se produire.
Mais dans les milieux universitaires, certains ont commencé à soutenir que la pédophilie devrait être considérée comme une autre orientation sexuelle, et non comme un trouble mental.
Et un thérapeute qui traite les pédophiles a déclaré à Epoch Times qu'il pensait que la pédophilie était en passe de se normaliser.
"Comme toute autre orientation sexuelle"
En 2018, l'étudiante en médecine Mirjam Heine, qui a déclaré avoir une formation en psychologie, a fait une présentation intitulée "La pédophilie est une orientation sexuelle naturelle" lors d'un événement TEDx à l'Université de Würtzberg en Allemagne. Un guide de programme pour TEDx a déclaré qu'elle était principalement guidée par les travaux du professeur Dr. Klaus Michael Beier, directeur de l'institut de sexologie et de médecine sexuelle de l'hôpital universitaire de Berlin, et du réseau de prévention "Kein Täter Werden".
Dans ses remarques, Heine a déclaré que la pédophilie est une "orientation sexuelle immuable", tout comme l'hétérosexualité.
« Personne ne choisit d'être pédophile ; personne ne peut cesser d'en être un », a expliqué Heine lors de son discours. "La différence entre la pédophilie et les autres orientations sexuelles est que vivre cette orientation sexuelle se terminera par un désastre."
La plupart des pays du monde, y compris les États-Unis, interdisent aux adultes d'avoir des contacts sexuels ou des rapports sexuels avec des enfants dans la plupart des situations.
Le terme personne attirée par les mineurs a fait la une des journaux après que le professeur Allyn Walker l'ait utilisé lors d'une discussion sur les pédophiles en novembre 2021. Walker, une femme qui est passée à la vie d'homme, parlait de son livre : et leur poursuite de la dignité.
Dans l'interview avec la Prostasia Foundation - une organisation de San Francisco axée sur les abus sexuels sur les enfants - Walker a déclaré qu'il était moins stigmatisant d'utiliser le terme personne attirée par les mineurs que pédophile lorsqu'il s'agit de personnes "qui n'agissent pas selon leur envie d'avoir des relations sexuelles avec enfants."
L'interview a suscité de vives critiques. En quelques semaines, Walker a démissionné de son poste de professeur adjoint de sociologie et de justice pénale à l'Université Old Dominion en Virginie.
Après avoir démissionné, Walker a déclaré dans une déclaration préparée que ses recherches avaient été "mal interprétées" par certains médias. Walker a imputé le tollé public à l'intolérance de son identité transgenre et a déclaré que la recherche visait à prévenir les abus sexuels sur les enfants.
Plus tard, l'Université Johns Hopkins a embauché Walker pour travailler au Moore Center for Prevention of Child Sexual Abuse à Baltimore. Elle n'a pas immédiatement répondu à un e-mail d'Epoch Times via le Moore Center demandant un commentaire.
Deux anciens collègues d'Old Dominion ont défendu Walker dans le journal de l'American Society of Criminology.
"Notre amie et collègue, le Dr Allyn Walker, a été victime d'une attaque à la traîne contre ses recherches et sa personne, qui a entraîné la perte de son poste à l'Université Old Dominion (ODU)", ont écrit Ruth Triplett et Mona Danner.
Les attaques, ont-ils écrit, étaient « centrées sur la désinformation et les liens avec l'identité du Dr Walker en tant que non binaire, transgenre et juif ».
Acceptation culturelle croissante
La maison de couture Balenciaga a récemment fait face à un contrecoup après avoir lancé une campagne publicitaire représentant des petites filles tenant un ours en peluche portant des vêtements de bondage. Une annonce affiche des pages d'une décision de justice relative à la pornographie juvénile. Balenciaga s'est ensuite excusé pour l'annonce.
Un titre de novembre d'une critique de théâtre du Washington Post disait : « ‘Downstate’ est une pièce sur les pédophiles. C'est aussi génial." La pièce de théâtre off-Broadway caractérise les pédophiles comme des victimes compliquées et troublées de punitions sévères.
Jon Uhler est un conseiller vétéran de 30 ans qui a travaillé avec des délinquants sexuels dans les systèmes pénitentiaires de Pennsylvanie et de Caroline du Sud. Tout au long de sa carrière, il a évalué des centaines de pédophiles.
Uhler, membre de l'Association pour le traitement des agresseurs sexuels (ATSA), a déclaré qu'il craignait que la pédophilie ne soit sur la voie de la normalisation.
Les spécialistes du traitement des délinquants sexuels sont désormais formés pour considérer les délinquants sexuels comme des victimes de traumatismes, a-t-il déclaré.
L'idée est que les pédophiles reproduisent leur traumatisme en choisissant une victime de l'âge qu'ils avaient lorsqu'ils ont été maltraités, a déclaré Uhler. Mais ce n'est pas exact, a-t-il ajouté.
Les chercheurs tirent des informations d'entretiens avec des pédophiles et les considèrent comme vraies, au lieu de se rendre compte qu'ils ont affaire aux "plus grands trompeurs du monde", a déclaré Uhler.
Même ainsi, les idées de Walker ont imprégné les cercles de traitement des délinquants sexuels, a-t-il déclaré. Walker a pris la parole lors de la conférence ATSA de cette année.
La normalisation de la pédophilie pourrait finalement conduire à un changement culturel majeur, élevant la pédophilie au rang de classe protégée.
"Ils vont faire pression pour qu'elle soit reconnue comme une orientation sexuelle, ce qui lui accorderait le statut de droits civiques", a déclaré Uhler.
Si cela se produit, les employeurs ne pourraient plus discriminer les pédophiles dans des domaines tels que l'emploi, a-t-il déclaré.
Et si les adolescents ont le droit légal de décider s'ils veulent subir une opération de changement de sexe ou prendre des hormones pour essayer d'apparaître comme l'autre sexe, cela pourrait aider à rendre légal pour les pédophiles d'agir sur leurs pulsions sexuelles, a-t-il prédit.
Si les enfants peuvent légalement décider ce qu'ils peuvent faire de leur corps, alors les pédophiles pourraient faire valoir qu'ils devraient pouvoir consentir à une relation sexuelle, a-t-il déclaré.
"Ce sont des chacals qui se nourrissent des carcasses de ces enfants", a-t-il déclaré. "L'intérêt du prédateur est finalement d'abaisser l'âge du consentement."
Le grand public ne comprend pas ce qui se passe, a-t-il dit. C’est l’un des problèmes déterminants de notre époque, a-t-il ajouté.
Scott Clark, un pasteur qui enseigne l'histoire de l'Église et la théologie historique au Westminster Seminary en Californie, a qualifié la déstigmatisation de la pédophilie de la dernière étape de la «révolution sexuelle néo-païenne».
Clark héberge le podcast Heidelcast et écrit The Heidelblog. Les deux abordent les problèmes religieux et moraux auxquels la société moderne est confrontée.
"Il y a un mouvement assez évident pour normaliser la pédophilie", a-t-il déclaré. « Cela vient invariablement des adultes. Cela ne vient pas des enfants.
Il estime que les chercheurs universitaires préparent la dernière étape d'une société dans laquelle il n'y a pas de police, pas de prisons et pas de stigmatisation pour être sexuellement attiré par les enfants.
"Tout cela revient à notre manque de connexion avec la nature", a-t-il déclaré. "Une fois la nature disparue, nous n'avons plus de frontières et tout est possible."
La première étape de la révolution sexuelle s'est produite avec l'introduction du féminisme. Le second est venu avec la légalisation de l'avortement, qui a coïncidé avec l'entrée de plus en plus de femmes sur le marché du travail, a-t-il déclaré.
La troisième étape a commencé en 2015 lorsque la Cour suprême des États-Unis a statué dans une décision 5-4 que le 14e amendement obligeait les États à accorder les mariages homosexuels.
L'homosexualité était considérée comme un trouble mental jusqu'à ce que l'American Psychiatric Association vote en 1973 pour le retirer de la liste. Clark a déclaré que la décision était politique et non scientifique.
La pédophilie reste sur la liste des troubles mentaux, mais Clark pense que ce n'est qu'une question de temps avant que la désignation ne soit supprimée.
"Tout cela n'est qu'une partie d'une longue marche vers la normalisation de tout", a-t-il déclaré.
Comme Uhler, Clark pense que le but ultime est d'abaisser l'âge auquel un mineur peut consentir à des relations sexuelles.
"La culture est, à mon avis, en train de sombrer dans une sorte d'âge sombre", a déclaré Clark.
Vers la dépénalisation de la pédophilie L'avocat de Floride, Jeff Childers, qui a lutté contre les mandats de masque et aidé les parents à s'opposer à la sexualisation dans les écoles, a déclaré que le fait de regarder en arrière comment l'homosexualité a été reconnue comme une orientation peut donner un aperçu de ce qui pourrait arriver.
Une fois que l'homosexualité s'est normalisée, elle a conduit à l'abrogation des lois sur la sodomie, a noté Childers.
"C'est comme ça que ça s'est passé pour l'homosexualité. Je vous parie un dîner de steak que les pédophiles ont observé comment cela s'est passé pour les homosexuels », a-t-il déclaré.
Donc, si les pédophiles obtenaient le statut d'orientation sexuelle, ils pourraient travailler à la dépénalisation des relations sexuelles entre mineurs et adultes, a-t-il déclaré.
Mais il y a une différence significative entre les lois sur la sodomie et les lois sur les délinquants sexuels, ce qui signifie qu'il serait beaucoup plus difficile de les affaiblir, a-t-il déclaré. L'un des arguments utilisés pour invalider les lois sur la sodomie était qu'elles étaient désuètes et peu utilisées. Cela ne peut pas être dit pour les lois sur les agressions sexuelles contre les enfants.
Childers a déclaré qu'il semble y avoir une érosion de la peine pour pédophilie en Californie. Il a fait référence à un exposé du Daily Mail qui montrait que des milliers de pédophiles condamnés en Californie étaient libérés de prison moins d'un an après avoir été reconnus coupables de viol, de sodomie et d'abus sexuels sur des enfants de moins de 14 ans.
Le projet de loi 145 du Sénat californien, adopté en 2020, a élargi une loi permettant aux juges de décider si les personnes ayant des relations sexuelles homosexuelles avec des mineurs doivent s'enregistrer comme délinquants sexuels.
Dans un précédent projet de loi adopté en Californie en 1944, les juges étaient autorisés à faire cet appel, mais uniquement lorsque le crime impliquait des relations sexuelles vaginales avec un mineur. Les juges ont toujours eu le pouvoir d'exclure une personne de l'enregistrement si elle n'avait pas plus de 10 ans de plus que le mineur.
Déclaration sur la baisse de la natalité dans le procès contre Swissmedic
5 décembre 2022 du Dr. Peter F. Mayer
Lors de l'homologation des médicaments, et en particulier des vaccins, qui sont administrés à des personnes en bonne santé, les organismes d'homologation doivent être extrêmement attentifs à vérifier qu'aucun dommage n'est causé et qu'un bénéfice mesurable peut être attendu. Ni l'un ni l'autre ne s'est produit lorsque les vaccins corona ont été approuvés. En particulier, aucune conséquence à long terme n'a été déterminée, mais celles-ci se manifestent désormais sous la forme d'une surmortalité et d'une baisse significative des naissances.
Il existe également une confirmation quasi-officielle de l'Institut fédéral allemand de recherche sur la population concernant la baisse observée du nombre de naissances. Cela montre une baisse du taux de natalité de 14 % pour l'Allemagne et de 10 % pour la Suède. Et la cause est également claire, car il existe "une forte association entre le démarrage des programmes de vaccination et la baisse de la fertilité neuf mois après le début de ces programmes".
Une étude chinoise a clairement montré que l'insémination artificielle réussissait beaucoup moins bien chez les femmes vaccinées que chez les femmes non vaccinées. Les auteurs invités du TKP, le Dr. Hans-Joachim Kremer et Ulf Lorré ont examiné l'étude de manière critique et ont à nouveau évalué statistiquement les données en détail.
Le traitement de fécondation in vitro (FIV) offre d'excellentes opportunités pour étudier les effets exogènes sur la fertilité féminine. Après tout, il existe une sélection de femmes qui souhaitent actuellement avoir des enfants et elles sont sous surveillance médicale étroite. En règle générale, ces femmes subissent une "stimulation ovarienne contrôlée (COS)", qui stimule la formation de follicules et permet ainsi l'aspiration de plusieurs ovocytes, c'est-à-dire les ovules femelles. 3 à 5 jours après la fécondation avec du sperme mâle, les embryons sont transférés dans l'utérus dans l'espoir qu'un ou deux d'entre eux s'implantent dans le placenta.
Comme il est maintenant courant dans les études médicales, les auteurs déforment leurs conclusions de manière à nuire le moins possible à l'industrie pharmaceutique, car leur existence scientifique dépend des subventions financières de cette même industrie.
A partir des données, Kremer et Lorré calculent une réduction des taux de grossesse de 19 % et 11 % à 26 %, ce qui est très bien dans la fourchette de la baisse de la natalité, comme les statisticiens professionnels pour l'Allemagne (14 %) et la Suède (11 %) trouvé comme décrit ci-dessus avoir. Par conséquent, les découvertes chinoises peuvent à elles seules expliquer la baisse observée du taux de natalité. En effet, contrairement aux conclusions trompeuses des auteurs, l'étude chinoise ne fournit aucune preuve d'une normalisation des taux de grossesse dans les 150 jours suivant la vaccination.
Ils concluent de la réévaluation minutieuse des données par Shi et al. 2022 :
Les taux de grossesse par FIV étaient d'environ 19 % inférieurs chez les vaccinés que chez les non vaccinés.
La cause est à rechercher dans l'implantation défectueuse de l'embryon dans le placenta.
L'augmentation des taux d'avortements spontanés chez les personnes vaccinées jusqu'à la fin du premier trimestre n'explique pas les résultats, mais pourrait être un risque supplémentaire dans la vie réelle.
Le délai entre la vaccination et la FIV n'a pas d'importance. La réduction des taux de grossesse persiste 3 à 5 mois après la vaccination.
L'article est un exemple typique de la façon dont les évaluations et les interprétations d'articles dans des revues scientifiques respectées sont actuellement déformées afin de dissimuler au moins quelque peu le désastre entourant la vaccination.
Dans la déclaration envoyée au tribunal par l'avocat Philipp Kruse pour expliquer la plainte pénale contre Swissmedic et certains vaccinateurs, les conclusions – résumé analytique :
« La référence citée par SwissMedic comme n°1 confirme clairement le lien entre la baisse de la natalité et la campagne de vaccination avec un décalage d'environ 9 mois.
Les données sur les effets des vaccins Covid sur la fertilité masculine sont contradictoires. On ne peut exclure que ces vaccinations aient un effet négatif, ni qu'un tel effet soit durable. Un feu vert ne peut pas encore être donné. Les vaccins modRNA provoquent très probablement une épididymite (inflammation des testicules), bien que rare.
La fertilité féminine peut être mesurée de manière assez fiable à l'aide des données de fécondation in vitro. Il n'y avait pas de problèmes évidents jusqu'au "transfert d'embryons".
Le principal problème est évidemment la nidation de l'embryon dans le placenta, ce qui peut s'expliquer par des modifications biochimiques ou morphologiques du placenta, voire durables, causées par les vaccinations. L'implantation défectueuse devrait déjà expliquer suffisamment la chute de la natalité, mais peut-être pas complètement.
Les troubles et les changements menstruels peuvent également altérer la fertilité féminine. Les troubles menstruels sont des effets secondaires très clairs et aussi courants. Les avortements spontanés sont survenus plus fréquemment après Comirnaty et doivent être classés comme un effet secondaire. Cependant, leur signification quantitative reste incertaine.
Les résultats basés sur les recensements de la population sont si forts que les études exploratoires ne peuvent en aucune façon les nier ; vues sobrement, ces études tendent en fait à étayer la crainte d'effets nocifs. Sans exception, les analyses des études référencées sont de qualité douteuse et ne pourraient donc en aucun cas disculper les vaccins. Les données brutes, en revanche, étayent les effets défavorables des vaccinations.
Après tout, c'est comme ça : simplement parce que vous n'avez pas encore compris une cause physiologique en détail, vous ne devriez pas remettre en question les conclusions claires sur la baisse des taux de natalité. Ou : le phénotype bat le génotype.
La déclaration complète de 42 pages soigneusement rédigée peut être lue ici :
La guerre contre les mots - Les grands trucs de propagande d'aujourd'hui Changer le sens des mots (Les jeux d'esprit sournois des bâtards manipulateurs menteurs expliqués)
Par Milan Adams Preppgroup 5 décembre 2022
La propagande par la redéfinition des mots est un dispositif de base très utilisé par les bâtards manipulateurs malhonnêtes depuis que les premiers cultes de contrôle ont décidé que ce serait une respiration sifflante splendide d'avoir un grand nombre d'êtres humains comme bétail ou esclaves. Son utilisation par les ennemis de l'humanité lors de la psyop Covid fournit de beaux exemples contemporains qui illustrent amplement comment cela se fait. Comprendre comment ces jeux d'esprit sont joués vous libère du contrôle de l'esprit.
Une meilleure compréhension est l'antidote au lavage de cerveau et être alerte et capable de former vos propres idées plutôt que d'être l'effet de celles insérées astucieusement dans votre cerveau est plus sûr, plus de survie professionnelle et plus amusant que d'être joué par des têtes de bouton sournois.
La guerre des mots
Que signifie réellement le mot vaccin ? Lorsqu'un président, un gouverneur ou un premier ministre fait référence à un vaccin, signifient-ils ce que vous pensez qu'ils veulent dire ? La langue change naturellement avec le temps, mais parfois ces changements ne sont pas organiques, et lorsque cela se produit, cela peut être considéré comme une guerre contre les mots.
Nous avons vu beaucoup de choses changer au cours des deux dernières années, de la façon dont nous interagissons les uns avec les autres à la façon dont nous passons notre temps. Certains de ces changements sont impossibles à ignorer tandis que d'autres ont été subtils et plus difficiles à identifier, comme un changement dans le sens des mots et la façon dont ces mots sont utilisés.
Bien qu'ils puissent sembler subtils, ces changements sont importants. Non contrôlés, ils peuvent semer la confusion, induire en erreur et même causer du tort. C'est pourquoi il est si crucial d'être vigilant, d'identifier ces changements et d'agir. Avant d'explorer certains des mots et des termes qui sont devenus des armes au cours des deux dernières années, nous devons comprendre et apprécier pourquoi cela est si important.
La langue est l'un des attributs uniques de l'être humain. Aucun autre animal sur cette planète n'emploie de mots pour transmettre un sens ou n'a même la physiologie pour le faire. Les langues elles-mêmes évoluent, les mots construisant un sens au fil du temps. Les mots peuvent déclencher des pensées, des émotions, des souvenirs et des idées particulières. C'est pourquoi le langage est si puissant. Le langage façonne notre façon de penser et de ressentir et même notre perception du monde.
De nombreuses traditions religieuses vénèrent la langue comme le moteur de la création. C'est certainement pourquoi les gouvernements et les partis politiques cherchent à manipuler le pouvoir du langage par la propagande. S'ils peuvent manipuler la façon dont les gens utilisent et comprennent certains mots, ils peuvent littéralement modifier la façon dont les gens perçoivent la réalité.
C'est pourquoi, chaque fois qu'il y a un effort conscient pour exploiter ou manipuler les mots, il est important d'y prêter attention. Et nous devons faire attention en ce moment. Au cours de la pandémie, nous avons assisté à une nouvelle guerre contre les mots dans le but de contrôler des populations entières et de les « pousser » dans certaines actions ou certains comportements. Cela a été fait de deux manières : soit en exploitant les puissantes connotations d'un mot particulier et en saccageant son sens, soit en modifiant complètement la définition d'un mot.
Mots et phrases attaqués
Petit tour d’horizon de quelques termes qui ont été exploités ces deux dernières années :
Sûr et efficace
Dans ce cas, les politiciens et les organismes de santé publique ont coopté des mots à forte connotation positive pour leurs propres fins. Sûr et efficace est rapidement devenu un mantra utilisé pour décrire les vaccins Covid-19 à une époque où les données pour étayer l'utilisation de ce terme n'étaient pas encore disponibles. Aujourd'hui encore, face aux données officielles démontrant que les injections sont en réalité risquées et inefficaces, ce mantra est toujours utilisé. Ce n'est pas parce que quelqu'un dit à plusieurs reprises que quelque chose est sûr et efficace qu'il l'est.
Vaccin
Avant septembre 2021, le Center for Disease Control (CDC) des États-Unis définissait un vaccin comme «un produit qui stimule le système immunitaire d'une personne pour produire une immunité contre une maladie spécifique, protégeant la personne de cette maladie».
La plupart reconnaîtraient qu'il s'agit là d'une définition appropriée. Cependant, selon cette définition, les nouvelles piqûres d'ARNm ne pourraient techniquement pas être définis comme des vaccins. Ils n'ont jamais été conçus pour produire une immunité contre Covid-19, uniquement pour réduire la gravité des symptômes. Plutôt que d'appeler les technologies d'ARNm quelque chose de plus précis, le CDC a simplement changé la définition du vaccin en "Une préparation qui est utilisée pour stimuler la réponse immunitaire du corps contre les maladies".
En procédant à ce changement, le CDC a fait valoir qu'il s'agissait simplement d'éviter toute suggestion selon laquelle les vaccins offrent une immunité à 100 %. Lorsque Merriam-Webster a choisi de modifier sa propre définition du dictionnaire du vaccin, ils ont reconnu que c'était en partie pour incorporer la technologie de l'ARNm dans le sens. Mais qui décide de ce que signifie vaccin ? Il y a de bonnes raisons d'affirmer que puisque les technologies d'ARNm ne fonctionnent pas de la même manière que les vaccins précédents, elles ne devraient pas être définies comme telles.
Cas Covid
Voir des rapports quotidiens sur le nombre de cas de Covid dans nos pays respectifs est devenu normal pour beaucoup d'entre nous. Mais qu'est-ce qu'un cas Covid exactement ? Les nombres de cas que nous voyons sont basés sur le nombre de personnes testées positives pour le virus SARS-CoV-2. C'est le virus qui cause la maladie connue sous le nom de Covid-19 - ce n'est pas le Covid-19 lui-même. Une personne peut être porteuse du SRAS-CoV-2 et ne pas avoir le Covid-19, tout comme une personne peut être porteuse du virus varicelle-zona qui peut entraîner le zona, sans jamais avoir de zona. L'hypothèse selon laquelle un test positif pour le SRAS-CoV-2 signifie que vous avez Covid-19 est tout simplement inexacte. Cette inexactitude suggère également que les chiffres des cas de Covid sont extrêmement gonflés.
Entièrement vacciné
Cette définition est devenue une sorte de cible mouvante. Que vous soyez considéré comme complètement vacciné ou non dépend de l'endroit où vous vivez et du moment où vous le demandez. Dans certains pays, deux piqûres suffisent encore pour qu'une personne soit considérée comme totalement vaccinée contre le Covid-19. En Autriche, la barre a été relevée à trois coups, et de nombreux pays comme le Royaume-Uni, la Croatie, la Suisse et la Grèce ont l'intention de faire de même. En Israël, où un quatrième vaccin est déjà disponible, chaque injection de rappel ne prolonge le statut entièrement vacciné d'une personne que de six mois.
Dans le monde d'aujourd'hui, les gouvernements semblent dicter ce que signifie complètement vacciné et exploiter leur pouvoir pour modifier la définition à leur guise.
Utilisons les termes de la bonne manière
L'utilisation abusive de ces termes – et de bien d'autres – est devenue monnaie courante. En conséquence, de nombreuses personnes croient encore que les «vaccins» à ARNm offrent une immunité durable simplement parce qu'ils sont définis comme des vaccins et que c'est ce que les vaccins sont censés faire. Les gens s’inquiètent naturellement du nombre de cas de Covid, sans se rendre compte qu’en fait, bon nombre de ces « cas » ne sont pas du tout des cas de Covid. De même, les gens considèrent ces nouvelles technologies d'ARNm comme sûres et efficaces, même si les dernières données suggèrent le contraire.
Ce n'est cependant pas chose faite. Il est temps pour nous tous de faire l'effort conscient d'utiliser ces termes correctement et, le cas échéant, de corriger gentiment ceux qui les utilisent à mauvais escient. Ce faisant, nous apportons une image plus précise de la façon dont les choses sont vraiment - et avec la clarté vient l'autonomisation et la compréhension.
Par exemple vous êtes pauvre mais l'on vous dit que vous êtes asymptomatique et ne connaissez pas la richesse que vous avez !! ("Vous n'aurez rien et serez heureux" !) Vous êtes con à vous faire piquer mais l'on vous dit que vous êtes asymptomatique et ne connaissez pas votre intelligence ! (ou le contraire). Ou plus communément vous êtes en bonne santé (ou en très bonne santé) et l'on vous dit que vous êtes asymptomatique et ne connaissez pas la maladie cachée à l'intérieur de vous qui peut tuer votre voisin ! ÔH PUTAING !! Et là vous est proposé la-piqûre-qui-tue (l'expérimentation génique d'essais frauduleusement et criminellement appelée 'vaccin' !!) qui va vous faire du bien !!
Mais il y a aussi un mot qui est plus ancien et que personne ne s'attarde à vérifier ce qu'il veut dire c'est le mot 'virus'. Prenez un dictionnaire. Ce mot désigne depuis toujours une poussière mais est employé au sens large jusqu'à infecter les ordinateurs !! (Mettre un antivirus !) ou est employé plus fréquemment pour décrire une passion ! "Le virus du football", "Le virus du cinéma", "Le virus de la bonne bouffe", etc, etc.
Verrouillages climatiques à venir ? Vous serez suivi dans votre banlieue et heureux.
Par Jo Nova December 3rd, 2022 |
La ville en 15 minutes est un plan de l'ONU et du WEF, car ils se soucient de vous et veulent que vous conduisiez moins.
- voir croquis sur site -
Un dessin du WEF rien que pour vous braves filles et garçons :
15 Minute City, WEF, ONU.
Selon les propres mots du WEF, ce réaménagement des villes concerne absolument le changement climatique : Alors que le changement climatique et les conflits mondiaux provoquent des chocs et des stress à des intervalles plus rapides et de plus en plus graves, la ville de 15 minutes deviendra encore plus critique.
Et la solution était la pandémie (ils disent vraiment ça) :
La réponse évidente, mais incomplète, est la pandémie…. avec COVID-19 et ses variantes gardant tout le monde à la maison (ou plus près de chez soi que d'habitude), la ville de 15 minutes est passée d'un "agréable à avoir" à un cri de ralliement. Répondre à tous ses besoins à une distance de marche, de vélo ou de transport en commun était soudainement une question de vie ou de mort.
Et puis apparaît la main noire des managers totalitaires, comme James Woudhuysen, averti dans Spiked fin octobre :
La folie de la « ville 15 minutes » L'agenda vert s'inspire des jours illibéraux du confinement.
À cette fin, le conseil du comté d'Oxfordshire, qui est dirigé par les travaillistes, les libéraux démocrates et le parti vert, souhaite diviser la ville d'Oxford en six districts de «15 minutes». Dans ces quartiers, dit-on, la plupart des produits ménagers de première nécessité seront accessibles en un quart d'heure à pied ou à vélo, et les habitants n'auront donc pas besoin de voiture.
En surface, ces quartiers de 15 minutes peuvent sembler agréables et pratiques. Mais il y a un bord coercitif. Le conseil prévoit de réduire l'utilisation de la voiture et les embouteillages en imposant des règles strictes sur les trajets en voiture.
Les résidents devront enregistrer leurs voitures auprès du conseil et ils seront suivis pour compter leurs trajets à travers les principales passerelles. C'est le système de crédit social qui commence avec votre voiture et fonctionne comme des points anti-grand voyageur.
Selon les nouvelles propositions, si l'un des 150 000 habitants d'Oxford conduit en dehors de son district désigné plus de 100 jours par an, il pourrait être condamné à une amende de 70 £.
Le concept de la ville en 15 minutes est né avec « C40 ». Présidé aujourd'hui par le maire de Londres Sadiq Khan, le C40 se définit comme un "réseau de maires de près de 100 villes de premier plan au monde collaborant pour fournir l'action urgente nécessaire dès maintenant pour faire face à la crise climatique".
Cela semble un peu ridicule de suggérer un verrouillage « pour le climat », mais écoutez la BBC. Ils travaillent terriblement dur pour nous persuader – ils pensent évidemment que les électeurs ne voudront pas cela. Ici, ils connectent la "ville de 15 minutes" au plaisir des verrouillages covid, et mettent cela en place comme s'il était tout à fait normal que le gouvernement décide qui sont vos amis :
Comment les «villes de 15 minutes» vont changer notre façon de socialiser
Et en plus les confinements à Paris ont été de grands moments sociaux où nous nous sommes tous fait des amis. Qui savait à quel point ce serait amusant de se faire dire que vous ne pouviez pas conduire loin ?
.. pour Fraioli, le confinement de deux mois qui a débuté le 17 mars – la confinant dans un rayon de 1 km autour de son domicile – lui a donné une vision nuancée et enrichissante de son quartier. "J'ai découvert qu'il était possible de se sentir dans un petit village de Paris", dit-elle. « Pour connaître ses voisins, entretenir de bons liens avec les commerçants, privilégier les artisans et commerces locaux aux grandes surfaces. J'ai même rejoint un mouvement citoyen où les gens préparent des paniers de nourriture pour les sans-abri. Je pensais que j'aurais du mal à vivre le confinement, mais j'étais parfaitement chez moi, au calme.
Je ne semble pas me souvenir de "faire connaissance avec les voisins" comme faisant partie d'un verrouillage n'importe où ?
Et attention - la ville de 15 minutes n'est pas seulement Oxford, mais aussi Brisbane, Melbourne, Barcelone, Paris, Portland et Buenos Aires. Il y en a partout.
Logo de l'ONU sur les changements climatiques
Le conseil municipal d'Oxford avance plus vite que les autres
Apparemment, pas assez de gens prennent le bus ou font du vélo. Mais au lieu de rendre cela plus attrayant, les totalitaires le forceront par le biais d'un suivi et d'amendes. L'Oxfordshire vient d'approuver, le 29 novembre, l'essai des "filtres de trafic" qui transformera la ville en une "ville à quinze minutes". Le procès débutera en janvier 2024.
C'est une zone surpeuplée, l'Oxfordshire, et personne n'aime les embouteillages, mais dans un monde libre, le problème se limite d'eux-mêmes car les conducteurs en ont assez des retards et des frais de stationnement exorbitants, et ils font du covoiturage ou choisissent de prendre le bus ou de prendre le bus. un vélo. Mais dans l'État de Big Nanny, les dirigeants locaux commencent à établir des règles sur qui peut et ne peut pas visiter et à quelle fréquence, et ils veulent que votre voiture soit enregistrée sur leur propre liste spéciale avec des caméras pour vous suivre et des amendes pour vous punir. Ils offrent bien sûr des exemptions, mais vous devez ensuite en faire la demande et obtenir la permission.
Le conseil du comté d'Oxfordshire a adopté un «essai» de verrouillage climatique pour commencer en 2024 Vision News, 30 novembre
Le conseil municipal d'Oxford avance plus vite que les autres
Apparemment, pas assez de gens prennent le bus ou font du vélo. Mais au lieu de rendre cela plus attrayant, les totalitaires le forceront par le biais d'un suivi et d'amendes. L'Oxfordshire vient d'approuver, le 29 novembre, l'essai des "filtres de trafic" qui transformera la ville en une "ville à quinze minutes". Le procès débutera en janvier 2024.
C'est une zone surpeuplée, l'Oxfordshire, et personne n'aime les embouteillages, mais dans un monde libre, le problème se limite d'eux-mêmes car les conducteurs en ont assez des retards et des frais de stationnement exorbitants, et ils font du covoiturage ou choisissent de prendre le bus ou de prendre le bus. un vélo. Mais dans l'État de Big Nanny, les dirigeants locaux commencent à établir des règles sur qui peut et ne peut pas visiter et à quelle fréquence, et ils veulent que votre voiture soit enregistrée sur leur propre liste spéciale avec des caméras pour vous suivre et des amendes pour vous punir. Ils offrent bien sûr des exemptions, mais vous devez ensuite en faire la demande et obtenir la permission.
Le conseil du comté d'Oxfordshire a adopté un «essai» de verrouillage climatique pour commencer en 2024 Vision News, 30 novembre
Le conseil du comté d'Oxfordshire a approuvé hier des plans visant à enfermer les résidents dans l'une des six zones pour «sauver la planète» du réchauffement climatique. La dernière étape du programme de la «ville en 15 minutes» consiste à placer des portails électroniques sur les routes principales à l'intérieur et à l'extérieur de la ville, confinant les résidents dans leurs propres quartiers.
Dans le cadre du nouveau programme, si les résidents veulent quitter leur zone, ils auront besoin de l'autorisation du Conseil qui décide qui est digne de liberté et qui ne l'est pas. Dans le cadre du nouveau programme, les résidents seront autorisés à quitter leur zone un maximum de 100 jours par an, mais pour même gagner cela, chaque résident devra enregistrer les détails de sa voiture auprès du conseil qui suivra ensuite ses mouvements via des caméras intelligentes autour du ville.
Chaque résident devra enregistrer sa voiture auprès du conseil de comté qui surveillera ensuite le nombre de fois qu'il quitte son quartier via des caméras de reconnaissance de plaque d'immatriculation.
En fin de compte, ces programmes surgérés de manière agressive signifient plus de paperasse, plus de suivi, plus d'emplois pour les bureaucrates et plus de laissez-passer gratuits pour les «amis» du Big Government.
Plus vous avez de règles, plus le système devient corrompu. Par exemple, certains pâtés de maisons sont inclus dans la liste des favoris avec 100 laissez-passer, tandis que d'autres n'en obtiennent que 25 - de sorte que les valeurs de propriété des adresses du cercle intérieur augmentent. En prime, dans les années à venir, les promoteurs immobiliers «au courant» et sur la liste des favoris de certains conseillers peuvent organiser le rezonage le bon jour (celui après l'achat de la propriété) et le tour est joué - c'est une belle plus-value pour eux
« Reconnecting Oxford » veut mettre fin à ces blocages artificiels Carte des filtres de trafic d'Oxford. De « Reconnecting Oxford » –– un mouvement de protestation pour arrêter les filtres et les fermetures de routes.
Les conseillers ont tenu un important processus de consultation, mais connaissaient apparemment le résultat. Cela en dit long sur l'attitude d'un conseiller qui a dit que cela allait de l'avant, que cela plaise ou non.
Les filtres de circulation diviseront la ville en six quartiers de «15 minutes», convient le conseiller des autoroutes Courrier d'Oxford, 24 octobre
Les blocs ROAD empêchant la plupart des automobilistes de traverser le centre-ville d'Oxford diviseront la ville en six quartiers de «15 minutes», a déclaré un chef des voyages du conseil de comté.
Et il a insisté sur le fait que le plan controversé irait de l'avant, que les gens l'apprécient ou non.
Les entreprises d'Oxford ne sont pas impressionnées :
L'hôtelier Jeremy Mogford, propriétaire du Old Bank Hotel à High Street et du Old Parsonage Hotel and Gees, tous deux à Banbury Road, a qualifié le plan de désastreux pour les affaires.
Il avait précédemment déclaré à l'Oxford Mail: «Ce que nous avons, ce sont des gens qui prennent des décisions qui ne vivent pas dans le centre-ville ou ne passent pas beaucoup de temps dans la ville.
"Le conseil a adopté la position que le changement climatique est réel" Le météorologue sceptique et à long terme Piers Corbyn s'est adressé au conseil pour l'avertir :
[Piers Corbyn a dit] "Le fait est que la base de ces documents est fausse - le changement climatique d'origine humaine n'existe pas et si vous ne me croyez pas, regardez le ciel. Vous devriez avoir une réunion spéciale pour discuter de l'existence ou non d'un changement climatique d'origine humaine.
Répondant aux affirmations de M. Corbyn, le conseiller Andrew, membre du cabinet du conseil pour la gestion des autoroutes, a déclaré: «M. Corbyn a déclaré que le changement climatique n'est pas réel – ce conseil a officiellement adopté une position selon laquelle le changement climatique est réel.
"Monsieur Corbyn, vous avez tort, nous avons raison."
Bon c'est ça alors. Les conseils contrôlent la météo. Si cela n'avait rien à voir avec le changement climatique, ils auraient pu dire "nous verrons" et le renvoyer quand même. Mais ils doivent croire...
Le conseil d'Oxfordshire a déjà exaspéré les entreprises locales plus tôt cette année avec des fermetures de routes et des mesures d'apaisement de la circulation qui ont considérablement réduit la clientèle. Les chauffeurs ont détruit 20 bornes en moins de trois semaines, et un propriétaire de café frustré a installé un panneau d'affichage géant en signe de protestation disant "Voilà pour la démocratie". Même les cyclistes n'aiment pas les mesures de ralentissement de la circulation, affirmant que leurs trajets routiers sont plus dangereux. Il y a au moins un groupe de protestation d'Oxford qui semble avoir réussi à arrêter les fermetures de routes.
Alors, qui veut les filtres de trafic ? L'Université d'Oxford et les compagnies de bus, et le conseil qui s'attend à gagner 1,1 million de livres sterling en infligeant des amendes aux conducteurs errants.
Sur la page de consultation du conseil municipal d'Oxford, nous voyons que le plan consiste à réduire les trajets que vous jugez nécessaires, mais pas les conseillers.
Pourquoi introduisons-nous des filtres de trafic d'essai ?
Dans tout notre département, nous voulons réduire les déplacements inutiles en véhicules privés et faire de la marche, du vélo, des transports publics et partagés le premier choix naturel.
Cela nous aidera à fournir un système de transport abordable, durable et inclusif qui permet au comté de prospérer tout en protégeant l'environnement et en faisant de l'Oxfordshire un meilleur endroit où vivre pour tous les résidents.
Et il s'agit de "protéger l'environnement" en vous traquant et en résistant à vos déplacements.
Canterbury prévoit quelque chose d'étrangement similaire –– diviser la ville en cinq quartiers différents avec des conducteurs incapables de traverser les zones sans être condamnés à une amende. L'ancien système de quadrillage des villes offrait des distances plus courtes et plus de choix. Le nouveau système n'offre que plus d'obstacles et moins de liberté.
h/t David Maddison, John Connor II et Tonyb
MISE À JOUR: le message a été réédité pour clarifier exactement ce qui se passe à Oxford et pour préciser le lien entre le plan «villes de 15 minutes» et le changement climatique et les fermetures pandémiques, grâce aux commentaires de Tonyb.
Il n'y a aucune raison de diminuer voire de s'astreindre à consommer de l'énergie. Quelle vienne de la combustion de pétrole, de charbon, de gaz ou du nucléaire rien ne manque à notre planète depuis des milliers d'années et, leurs combustions se recyclent à 100 %. Tout est abiotique.
Énergie : s’appuyer sur les erreurs passées pour construire l’avenir
Seule une analyse honnête des fautes du passé permet la justesse du diagnostic présent et la mise en place des mesures correctrices salvatrices.
le 5 décembre 2022 Par Jean-Pierre Riou et Michel Gay.
Notre système énergétique serait bien meilleur aujourd’hui sans l’impéritie des dirigeants de ces 25 dernières années. Il est nécessaire de reconnaître les fautes passées afin de donner aux jeunes l’envie de faire autrement et de fournir les efforts nécessaires pour construire un monde plus confortable pour tous car la décroissance n’est pas une fatalité.
Interroger le passé
Seule une analyse honnête des fautes du passé permet la justesse du diagnostic présent et la mise en place des mesures correctrices salvatrices. Interroger le passé permet d’éclairer l’avenir.
Le potentiel d’alternatives aux énergies fossiles, et notamment le nucléaire, a été sacrifié sur l’autel d’un électoralisme honteux au lieu de mettre en avant l’intérêt général consistant à diminuer notre dépendance au gaz et au pétrole.
La future raréfaction des ressources fossiles exige un regard nouveau sur l’utilisation des autres sources disponibles, surtout lorsqu’elles sont décarbonées comme le nucléaire et l’hydraulique.
L’énergie finale consommée ne représente qu’une partie minoritaire (un tiers) de l’énergie primaire produite dont les deux autres tiers sont actuellement relâchés stérilement dans l’environnement sous forme de chaleur.
L’énergie dans le monde
En 2021, les trois quarts de la production mondiale d’énergie primaire proviennent des énergies fossiles (79 %) dont le remplacement par d’autres sources sera difficile.
Le nucléaire en a fourni 5 % et l’usage traditionnel de la biomasse 4 %.
Les 12 % « autres » restants sont inégalement répartis dans un fourre-tout trompeur incluant les bioénergies modernes (7 %), l’hydraulique (3 %), l’éolien (1 %) et le solaire (1 %).
Faute de pétrole, de charbon et de gaz dans le sous-sol français, l’atout de la production d’énergie nucléaire saute aux yeux dans l’illustration ci-dessous provenant du ministère de l’Écologie :
« À la suite de la mise en place du programme nucléaire, la production française d’énergie primaire est passée de 514 TWh en 1973 (dont 9 % de nucléaire) à 1423 TWh en 2020 (dont 75 % de nucléaire ».
- voir graph sur site -
Le gâchis d’énergie primaire
Les données de RTE sont exprimées en énergie finale après que les deux tiers de l’énergie primaire nucléaire ont été utilisés pour la produire.
La notion d’énergie primaire reste fondamentale pour évaluer la quantité d’énergie nécessaire à la source avant transformation en énergie finale (celle qui est payée).
Or, des technologies permettent de limiter ce gâchis. Il existe également de nombreuses applications non électriques de cette filière nucléaire (chauffage urbain, dessalement d’eau de mer, chaleur industrielle, hydrogène…).
Ainsi par exemple, la cogénération nucléaire peut faire passer le rendement d’une centrale électrique de 33 % à plus de 80 %, avec des pertes thermiques de 2 % sur une distance de 100 km pour chauffer des agglomérations.
Le véritable prix du nucléaire
La prolongation du nucléaire français existant est de loin la plus rentable de toutes les filières de production d’électricité avec notamment un coût de production à moins de 40 euros/MWh pour une prolongation de 10 ans et à environ 30 euros/MWh pour 20 ans.
Le taux d’intérêt de l’emprunt joue un grand rôle dans le coût de production nucléaire de l’électricité. Avec un taux passant de 7 % à 3 %, le coût du nucléaire français de génération III (EPR2), déjà compétitif, diminuerait d’environ 71 euros/MWh à 45 euros/MWh.
Cette évaluation de la rentabilité de l’EPR2 est cohérente avec les chiffres publiés par le gouvernement en septembre 2022 qui évalue sa production à 100 euros/MWh pour un coût du capital de 7 % et à 40 euros/MWh pour un taux de 1 %.
Avec ce taux de 3 %, une centrale à gaz se trouverait disqualifiée par l’augmentation actuelle du prix du gaz qui l’amènerait à une production d’environ 100 dollars/MWh. (Ce coût concerne une centrale belge, à défaut de données disponibles concernant un projet de centrale française à gaz).
L’AIE attire aussi l’attention sur les comparaisons de compétitivité entre les différentes filières en raison des coûts induits sur le système électrique par l’intermittence de certaines productions (renforcement du réseau, besoins supplémentaires de flexibilité avec des centrales à gaz ou au charbon, moyens de stockage). Ces surcoûts doivent être intégrés dans les MWh produits sans corrélation avec les besoins.
La variabilité fatale et l’intermittence de l’éolien et du photovoltaïque fragilisent le système électrique.
En décembre 2021, le gestionnaire du réseau européen (ENTSOE) avait rappelé l’importance de l’inertie dynamique permise par les masses des turboalternateurs des centrales conventionnelles. Elles tournent de façon synchrone sur le réseau européen à 50 Hz pour en stabiliser l’équilibre afin d’éviter des incidents sévères :
« La diminution des niveaux d’inertie – en raison de l’intégration à grande échelle des sources renouvelables – pose des défis à long terme pour la stabilité des fréquences du système de transport, avec des impacts possibles sur la résilience du futur système ».
Le 15 novembre 2022, General Electric vient de presser l’Allemagne de réaliser les 30GW supplémentaires de centrales à gaz nécessaires avant 2030 pour stabiliser rapidement les variations de sa production.
En France le gestionnaire du réseau n’ignore pas que l’introduction des énergies renouvelables intermittentes (EnRI) est « un vrai challenge que RTE devra relever ».
En mai 2021, l’Agence internationale de l’énergie (AIE) montrait la difficulté de « garantir un approvisionnement fiable et durable en éléments vitaux pour les véhicules électriques, les réseaux électriques, les éoliennes et d’autres technologies clés » de notre modèle intermittent de transition énergétique bien plus gourmand en minéraux que le système conventionnel.
Le rendez-vous raté
Il s’agit de prendre aujourd’hui toute la mesure des rendez-vous ratés des 25 dernières années marquées par l’accord du Parti socialiste avec les verts en 1996 et la scandaleuse fermeture de Superphénix en 1998. Ce réacteur, dont ASTRID aurait pu prendre la suite mais qui a été abandonné en 2019, aurait permis de développer la technologie de surgénération pour laquelle la France dispose de 5000 ans de combustible en réserve sous forme d’uranium appauvri.
Une politique visionnaire et courageuse aurait prolongé l’épopée nucléaire d’EDF après l’année 1996 et permit à la France de profiter d’un parc nucléaire intégralement remboursé par EDF grâce à la seule vente de sa production d’électricité parmi les moins chères d’Europe. Cette véritable rente aurait ainsi assuré le renouvellement du parc et l’amélioration des centrales existantes.
Mais au contraire, l’État s’est ingénié :
à spolier EDF de sa « rente nucléaire », en décidant en 2013 de mettre cette entreprise à contribution pour financer la transition énergétique fondée sur des éoliennes et des panneaux photovoltaïques ; à contraindre EDF depuis 2011 à céder 100 TWh (120TWh aujourd’hui) à ses concurrents par l’obligation de l’ARENH ; à vouloir diminuer la puissance de son parc, y compris en fermant des réacteurs en parfait état de fonctionnement, comme Fessenheim ; à démobiliser la filière en l’incitant à changer de métier pour démanteler ses réacteurs.
Dégradation de l’indépendance énergétique allemande
En Allemagne, les énergies renouvelables ne représentent que 15,7 % de la consommation d’énergie primaire (contre 12,9 % en France selon le ministère).
De plus, la part des énergies renouvelables dans la consommation finale d’énergie en Allemagne (celle réellement consommée) est strictement la même que celle de la France (19,3 %).
Pourtant, la Commission européenne menace la France d’une lourde amende (500 millions d’euros) pour n’avoir pas atteint ses objectifs en matière d’énergies renouvelables, ce qui consacre sa confusion entre objectifs et moyens. La Commission souligne surtout sa propre politique illusoire et brouillonne de sortie du nucléaire et son gâchis d’argent public engagé dans une impasse dogmatique.
L’Allemagne a consommé 286 millions de tonnes équivalent pétrole (Mtoe) d’énergie primaire en 2021 pour une production de 102 Mtoe. La France en a consommé 235 Mtoe pour une production de 128 Mtoe, soit une production nationale de 54,5 % de sa consommation pour la France et de 35,7 % pour l’Allemagne.
L’Allemagne produisait 53,1 % de son énergie primaire en 1990. Ce pays n’en produit plus que 40,3 % en 2000. Ce pays prouve ainsi l’incapacité de ses EnRI à améliorer son indépendance énergétique.
La France devrait tirer des leçons de cet échec allemand.
La souveraineté énergétique ne consiste pas à inonder (en le fragilisant) le réseau électrique européen dès que le vent souffle et que le soleil brille.
Les erreurs du passé soutiendront l’avenir
Il importe de prendre la mesure du potentiel nucléaire décarboné sacrifié sur l’autel d’un électoralisme honteux au lieu de le soutenir courageusement pour diminuer la dépendance de la France au gaz et au pétrole.
Même si le temps presse, la conscience des rustines éparses (éolien, PV) appliquées dans le plus grand désordre depuis près de 30 ans, ainsi que le diagnostic des opportunités manquées et des plaies béantes du mix énergétique d’aujourd’hui sont indispensables avant le développement d’une vision de long terme.
En délaissant la proie du nucléaire pour l’ombre des renouvelables intermittentes, la France commence seulement à comprendre qu’elle ne pourra pas se passer de l’électricité abondante, bon marché, propre et pilotable du nucléaire.
Il est urgent de mesurer la gravité du danger de la fragilisation du système électrique par les EnRI et de reconnaître enfin les fautes du passé. Il s’agit de les corriger avant de relancer vigoureusement le nucléaire pour faire renaître cette filière et, avec elle, toute l’industrie française et européenne.
Cette vérité évoquée par Jean-Pierre Riou et Michel Gay nous la connaissons toutes et tous et n'est donc pas celle que nous attendions. Car, chez les mongoliens qui dirigent, ils ont aussi cette connaissance ! Mais alors pourquoi ? Voila la question.
Faut voir que c'est Vanguard et Black Rock qui sont propriétaire... de la planète !
Seules DEUX Entreprises, Vanguard et BlackRock, contrôlent la planète tandis que les 1% les plus riches du monde détiennent 82% (100 % en 2024) de la richesse mondiale.
Qui possède BlackRock ? Actionnaires:
Wellington Management 2,95 % China Investment Corporation 1,99 % BlackRock Fund Advisors 1,84 % Norges Bank Investment Management 1,80 % Merrill Lynch, Pierce, Fenner & Smith 1,51 %
BlackRock est le plus grand gestionnaire d'actifs au monde, détenant près de 7 800 milliards de dollars d'encours en octobre 2020 [1]. Son modèle repose sur la gestion et le placement d'argent provenant de fonds de pension, d'assurances et de petits épargnants.
The Vanguard Group est une société américaine de fonds d'investissement. Le groupe est basé à Malvern en Pennsylvanie et offre différents types de placements et autres produits financiers pour des individus, des sociétés ou des investisseurs institutionnels.
Dès lors que l'on prend connaissance de cette situation ci-dessus l'on comprend qu'ils peuvent fermer des usines qui leur appartiennent comme des millions d'autres entreprises (d'engrais, d'électricité, etc, etc). A Klaus Schwab et autres trisomiques d'inventer la science du gaz carbonique, de l'azote, des faux vaccins et virus et autres renouvelables-bio-sans-ogm-et-décarbonés ! Il n'y a plus d'élections, il n'y a que des politiques qui gèrent l'armée, la police et les Vanguard et Black Rock qui se disent de posséder le sol sous vos pieds !
"Quand on a pas de pétrole faut avoir des idées !" Cet hiver vos idées ont intérêt à être chaudes et lumineuses !
La Norvège et l'Allemagne demandent à l'OTAN de protéger les gazoducs sous-marins
PAR TYLER DURDEN LUNDI 05 DÉCEMBRE 2022 - 10:15 Via Remix News,
Le chancelier allemand Olaf Scholz et le Premier ministre norvégien Jonas Haar Støre ont appelé l'OTAN à protéger les pipelines sous-marins et les câbles de communication en créant une structure spéciale de coordination, selon Deutsche Welle.
« Les pipelines, les câbles téléphoniques et Internet sont des communications vitales pour nos États ; leur sécurité devrait être la priorité absolue », a déclaré Scholz à la suite de sa rencontre avec le Premier ministre norvégien Jonas Gahr Støre à la veille de la Conférence de Berlin sur la sécurité.
Il a ajouté que les récentes attaques contre les pipelines Nord Stream et Nord Stream 2 ont montré à quel point les risques sont élevés dans ce domaine.
Le secrétaire général de l'OTAN, Jens Stoltenberg, a salué l'initiative.
"Nous avons renforcé les mesures de sécurité à la suite du récent sabotage du Nord Stream, et il est vital que nous fassions encore plus pour nous assurer que notre infrastructure maritime est protégée contre de futures attaques", a déclaré Stoltenberg.
Le Premier ministre norvégien a également déclaré que son pays consacrerait une partie de ses revenus d'exportation de gaz à aider l'Ukraine et d'autres pays touchés par la crise énergétique mondiale. La hausse des prix de l'énergie causée par l'invasion de l'Ukraine par la Fédération de Russie a apporté des bénéfices supplémentaires à la Norvège.
Scholz a remercié la Norvège pour l'augmentation de 10 % des livraisons de gaz à l'Allemagne, alors que Berlin tente de compenser la réduction des livraisons en provenance de Russie. Scholz a également déclaré que son pays continuerait d'être un leader dans la défense de l'Europe et des libertés européennes.
"Aucun agresseur ne devrait douter que nous ayons la ferme intention de défendre chacun de nos alliés et chaque centimètre carré du territoire de l'alliance avec toutes les forces à notre disposition", a déclaré la chancelière allemande.
Pendant ce temps, le ministre allemand de la Justice, Marco Buschmann, a avoué que l'Allemagne avait peut-être contribué à l'agression de la Russie contre l'Ukraine parce qu'elle soutenait le gazoduc Nord Stream 2.
"Sachant ce que nous savons aujourd'hui, la décision de poursuivre Nord Stream 2 après l'annexion de la Crimée en 2014 a été la contribution de l'Allemagne au déclenchement de la guerre en Ukraine", a déclaré Buschmann dans un discours de bienvenue lors d'une réunion des ministres de la justice du G7 à Berlin.
Il a ajouté qu'il était du devoir de l'Allemagne de "confronter directement cette vérité" et d'en "tirer les bonnes conclusions".
La Chine et l'Inde achètent du brut russe avec une remise de 40 % par rapport aux pays de l'UE
dimanche 04 décembre 2022 par : Kevin Hughes
(Natural News) Alors que les membres de l'Union européenne ne parviennent pas à s'entendre sur le prix plafond du brut russe, les pays asiatiques que sont la Chine et l'Inde l'achètent avec une remise de 40 %.
Un rapport du 27 novembre de Julian Lee, stratège pétrolier pour Bloomberg, a déclaré que le pétrole brut russe phare de l'Oural s'échangeait 33,28 $ de moins le baril par rapport au pétrole brut international Brent. Il y a un an, l'Oural se négociait à un rabais beaucoup plus faible de 2,85 $.
Le rapport de Lee est sorti le jour même où l'Union européenne a de nouveau échoué à parvenir à un accord sur un plafonnement des prix du pétrole russe. Les membres les plus à l'est du bloc, dont la Pologne, l'Estonie, la Lettonie et la Lituanie, se sont opposés à la proposition de 60 à 70 dollars le baril de brut russe. Ils soutiennent qu'il est trop généreux et bien supérieur aux tarifs que la Russie vend actuellement du brut.
"Si vous fixez un plafond de prix trop élevé, cela ne mord pas vraiment", a déclaré le vice-président de la Commission européenne Valdis Dombrovskis dans une interview à Bloomberg TV. "Le pétrole est la plus grande source de revenus pour le budget russe, il est donc très important de bien faire les choses afin que cela ait vraiment un impact sur la capacité de la Russie à financer cette guerre."
D'après les calculs de Bloomberg, l'effet de la guerre russo-ukrainienne pourrait coûter à Moscou environ 4 milliards de dollars par mois en revenus énergétiques. En réponse, Moscou serait en train de rédiger un décret présidentiel interdisant aux sociétés pétrolières russes et aux négociants de vendre du brut à quiconque s'engageant dans un plafonnement des prix. (Connexe: la Russie va arrêter les exportations de pétrole vers les pays qui imposent un plafond de prix sur le brut russe.)
Pendant ce temps, la secrétaire américaine au Trésor, Janet Yellen, a fait remarquer que le brut russe acheté par Pékin ou New Delhi n'alarme pas du tout Washington.
"Si le pétrole russe va se vendre à des prix avantageux, nous sommes heureux que l'Inde obtienne cette aubaine, ou l'Afrique ou la Chine", a-t-elle déclaré à Reuters. "C'est bon."
Le brut de l'Oural a trouvé un marché à l'Est
Bien qu'elle doive importer 80 % de son pétrole, l'Inde n'a jamais ressenti le besoin d'importer d'énormes quantités de brut russe. Une grande partie de ses importations de pétrole provient d'Irak, d'Arabie saoudite, des Émirats arabes unis et du Nigeria.
En 2021, l'Inde a importé un total de 12 millions de barils de brut russe. Mais un rapport de mai 2022 a montré une "augmentation significative" des expéditions de pétrole russe vers l'Inde. Le pays d'Asie du Sud a dépensé 5,1 milliards de dollars en pétrole, gaz et charbon russes au cours des trois premiers mois après le déclenchement de la guerre russo-ukrainienne – plus de cinq fois le montant qu'il a dépensé en 2021 selon Bloomberg.
Samir Kapadia, responsable des relations commerciales du cabinet de conseil en relations gouvernementales Vogel Group, a expliqué pourquoi l'Inde n'a pas tardé à profiter de la baisse des prix du brut russe.
« Aujourd'hui, les motivations du gouvernement indien sont économiques et non politiques. L'Inde cherchera toujours un accord dans sa stratégie d'importation de pétrole", a-t-il déclaré à CNBC dans un e-mail. "Il est difficile de ne pas bénéficier d'une remise de 20% sur le brut lorsque vous importez 80 à 85% de votre pétrole, en particulier dans la foulée de la pandémie et du ralentissement de la croissance mondiale."
La Chine reste cependant le plus gros acheteur de produits énergétiques russes. Pékin a dépensé au total 18,9 milliards de dollars entre mars et mai 2022, les trois premiers mois après le déclenchement de la guerre russo-ukrainienne. C'est presque le double du montant dépensé par la Chine par rapport à l'année précédente.
FuelSupply.news a plus d'histoires sur le pétrole brut russe.
Regardez ce reportage de G News qui explique pourquoi les importations chinoises de pétrole en provenance de Russie ont atteint des niveaux record en mai.
Cette vidéo provient de la chaîne chinoise EVIL CCP sur Brighteon.com.
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Les multinationales agrochimiques et la grande transformation alimentaire
Par Birsen Filip Mises.org 5 décembre 2022
En juillet 2022, le gouvernement canadien a annoncé son intention de réduire « les émissions provenant de l'application d'engrais de 30 % par rapport aux niveaux de 2020 d'ici 2030 ». Le mois précédent, le gouvernement des Pays-Bas a déclaré publiquement qu'il mettrait en œuvre des mesures visant à réduire « la pollution par l'azote dans certaines zones jusqu'à 70 % d'ici 2030 », afin de respecter les stipulations du « Green Deal » européen, qui vise pour « rendre les politiques de l'UE en matière de climat, d'énergie, de transport et de fiscalité aptes à réduire les émissions nettes de gaz à effet de serre d'au moins 55 % d'ici 2030, par rapport aux niveaux de 1990 ».
En réponse, "les organisations agricoles et agricoles néerlandaises ont déclaré que les objectifs n'étaient pas réalistes et ont appelé à une manifestation", ce qui a conduit les agriculteurs et leurs partisans à se soulever à travers le pays. Le Green Deal conçu artificiellement est l'un des objectifs de l'Agenda 2030, qui a été adopté par 193 États membres des Nations Unies (ONU) en 2015.
Outre l'ONU, l'Agenda 2030 est également soutenu par un certain nombre d'autres organisations et institutions internationales, notamment l'Union européenne, le Forum économique mondial (WEF) et les institutions de Bretton Woods, qui comprennent la Banque mondiale, le Fonds monétaire international Fonds monétaire international (FMI) et l'Organisation mondiale du commerce (OMC). Il est également approuvé par certaines des multinationales agrochimiques les plus puissantes au monde, telles que BASF, Bayer, Dow Chemical, DuPont et Syngenta, qui, ensemble, contrôlent plus de 75 % du marché mondial des intrants agricoles. Ces dernières années, "l'acquisition de Syngenta par ChemChina et la fusion de Bayer et Monsanto" ont "refaçonné l'industrie mondiale des semences". De plus, "DuPont de Nemours a été formé par la fusion de Dow Chemical et DuPont en 2017." Cependant, "dans les 18 mois suivant la fusion, la société a été scindée en trois sociétés cotées en bourse axées sur les domaines suivants : l'agriculture avec Corteva, la science des matériaux avec Dow et les produits spécialisés avec DuPont".
Au cours des dernières années, toutes ces sociétés ont publié des déclarations suggérant que le secteur agricole subira des changements majeurs au cours des trois prochaines décennies et qu'elles se sont engagées à faire leur part pour accélérer la transition vers des politiques dites vertes. En conséquence, ils plaident pour que les gouvernements réorientent les finances publiques de l'agriculture conventionnelle vers l'agriculture régénérative et les sources alternatives de protéines, y compris l'élevage d'insectes et les viandes cultivées en laboratoire.
De plus, BASF, Syngenta et Bayer sont membres de la « European Carbon+ Farming Coalition », qui comprend un certain nombre « d'organisations et d'acteurs tout au long de la chaîne de valeur alimentaire », tels que « COPA-COGECA, Crop In, European Conservation Agriculture Federation (ECAF ), Institut européen d'innovation et de technologie (EIT) Food, HERO, Planet Labs », « Swiss Re, Université de Glasgow, Yara, Zurich et le Forum économique mondial ». À l'origine, cette "coalition est née d'un partenariat entre la plateforme 100 millions d'agriculteurs du Forum économique mondial et son groupe d'action des PDG pour le Green Deal européen".
Son objectif est de « décarboniser le système alimentaire européen » en accélérant la transformation des agricultures et des pratiques agricoles. Plus précisément, la European Carbon+ Farming Coalition vise à atteindre « une expansion brute nulle de la superficie des terres cultivées pour la production alimentaire d'ici 2025, une réduction du total des territoires utilisés pour l'élevage d'environ un tiers d'ici 2030 et une libération conséquente de près de 500 millions d'hectares de terres pour la restauration des écosystèmes naturels à la même date. Selon le WEF, en plus de bénéficier à l'environnement, de tels changements seront également avantageux sur le plan économique, car "changer la façon dont nous produisons et consommons les aliments pourrait créer 4,5 billions de dollars par an en nouvelles opportunités commerciales".
Afin d'accélérer la transformation de l'agriculture au cours des prochaines décennies, BASF appelle à exiger que "les agriculteurs réduisent leur impact environnemental" en réduisant "les émissions de CO2 par tonne de récolte de 30%" et en appliquant "les technologies numériques à plus de 400 millions d'hectares". de terres agricoles. » BASF soutient également l'utilisation à grande échelle d'un certain nombre de nouveaux produits, notamment des « produits de gestion de l'azote », des herbicides, des « nouvelles variétés de cultures », des « inoculants biologiques et des solutions numériques innovantes », afin de rendre les agriculteurs « plus efficaces en matière de carbone et plus résistants aux agressions volatiles ». conditions météorologiques." On estime que de tels changements "contribueraient de manière significative à l'objectif du groupe BASF de 22 milliards d'euros de chiffre d'affaires d'ici 2025".
Pendant ce temps, Syngenta, la deuxième plus grande entreprise agrochimique au monde (après Bayer), qui appartient à une société d'État chinoise appelée ChemChina, se concentre sur "l'agriculture neutre en carbone" sous prétexte de "lutter contre le changement climatique". Plus précisément, il soutient « la fourniture de technologies, de services et de formations aux agriculteurs », ainsi que la poursuite du développement de nouvelles semences génétiquement modifiées qui réduiraient les émissions de gaz carbonique. Selon Syngenta, les "cultures génétiquement modifiées" seront largement utilisées et cultivées dans le monde entier "d'ici 2050".
Cette entreprise promeut également « une transformation vers une agriculture régénérative », qui est censée « conduire à plus de nourriture cultivée sur moins de terres ; réduction des émissions de gaz à effet de serre agricoles ; augmentation de la biodiversité; et l'amélioration de la santé des sols », bien qu'il existe peu de preuves scientifiques ou de données à long terme pour étayer ces affirmations. Néanmoins, Syngenta soutient que le monde a besoin « des gouvernements et des médias… pour encourager l'adoption généralisée » des pratiques régénératives par autant d'agriculteurs que possible.
Bayer plaide également en faveur d'une agriculture régénérative pour aider "les agriculteurs à réduire considérablement la quantité de gaz à effet de serre émis par leurs activités, tout en éliminant le carbone de l'atmosphère". Il affirme en outre qu'il est nécessaire "de passer à une approche régénérative et de rendre les cultures plus résistantes aux impacts climatiques". De plus, tout comme Syngenta, Bayer soutient le développement de "nouvelles technologies d'édition de gènes" afin de réduire "l'empreinte environnementale de l'agriculture mondiale". Pour l'avenir, Bayer prévoit que "dans l'agriculture, la biotechnologie sera un catalyseur essentiel" qui sera utilisé pour "nourrir les 10 milliards de personnes qui seront sur la planète d'ici 2050 tout en luttant contre l'impact du changement climatique".
Semblable à Bayer, BASF et Syngenta, DuPont cherche également à contribuer à réduire "la dépendance aux combustibles fossiles et à protéger la vie et l'environnement". Sa réponse se concentre principalement sur la facilitation de la production et de la consommation de sources alternatives de protéines capables de reproduire "la texture et l'apparence des fibres de viande, et pouvant être utilisées pour prolonger ou remplacer la viande ou le poisson". DuPont a souligné qu'« en 2016, les Américains consommaient environ 26 kg de bœuf par habitant, dont au moins la moitié était consommée sous forme de hamburger. Remplacer seulement la moitié de la viande de hamburger américaine par la protéine SUPRO® MAX », qui a une empreinte carbone jusqu'à quatre-vingts fois inférieure à celle des protéines laitières et de viande, équivaut à retirer « plus de 15 millions de voitures de taille moyenne de la route ».
Certaines des sociétés agrochimiques multinationales les plus puissantes du monde ont immensément profité des accords commerciaux internationaux qui placent leurs intérêts avant ceux des petites et moyennes exploitations, ainsi que des masses, lorsqu'il s'agit de transformer les secteurs de l'alimentation et de l'agriculture. En particulier, l'accord de l'Organisation mondiale du commerce sur les aspects des droits de propriété intellectuelle qui touchent au commerce (ADPIC), qui a été adopté en 1994, a joué un rôle majeur dans la destruction des moyens de subsistance de nombreux agriculteurs, tout en s'avérant lucratif pour les géants de l'agrochimie tels que BASF, Bayer, Dow Chemical, DuPont et Syngenta. C'est principalement parce que l'Accord sur les ADPIC a autorisé le brevetage des semences et des plantes.
En conséquence, des herbes et des plantes indigènes dans un certain nombre de pays différents, dont beaucoup étaient auparavant cultivées depuis des générations, sont devenues la propriété exclusive de puissantes multinationales agrochimiques. Une fois que les plantes et les herbes ont été brevetées, il est interdit aux agriculteurs locaux de s'engager dans les pratiques traditionnelles et de longue date consistant à conserver et à replanter leurs propres semences. Au lieu de cela, ils sont tenus de payer les sociétés détentrices de brevets pour les mêmes semences qu'ils avaient auparavant produites, conservées, replantées et échangées sans frais.
De puissantes multinationales agrochimiques ont également favorisé leurs propres intérêts et programmes en exerçant une influence sans précédent sur la recherche et le développement dans l'industrie alimentaire, tout en ignorant toute découverte démontrant que leurs pratiques commerciales étaient nocives pour l'environnement naturel. En particulier, certaines de ces grandes entreprises agrochimiques ont concentré leurs efforts et leurs ressources sur l'étude des «organismes génétiquement modifiés (OGM), la création de pesticides et d'engrais synthétiques plus puissants et la défense des performances de ces produits».
Ils ont également soutenu l'expansion des cultures OGM en sachant que leur culture implique "l'application de plus grandes quantités" d'"engrais et de pesticides synthétiques", ce qui a conduit à de grandes quantités de produits chimiques toxiques contaminant le sol et les sources d'eau. Fondamentalement, ces sociétés agrochimiques ont été en grande partie responsables de la création de nombreux problèmes environnementaux qui, selon elles, doivent être résolus de toute urgence par le biais de l'Agenda 2030.
Il existe une possibilité réelle que les transformations radicales et à grande échelle de l'ensemble de l'industrie alimentaire et des habitudes alimentaires humaines poussées par les ingénieurs sociaux de l'Agenda 2030 conduisent les masses vers une baisse spectaculaire du niveau de vie. Les leçons des régimes totalitaires du XXe siècle ont révélé qu'il est très difficile de réparer les grosses erreurs attribuées à la planification centralisée à grande échelle des ingénieurs sociaux, car cela nécessite souvent une "transformation sociale majeure" ou le "remodelage de l'ensemble de la société, » qui peut entraîner des conséquences ou des événements imprévus généralisés, des résultats destructeurs majeurs et des « inconvénients pour de nombreuses personnes », selon les mots de Karl R. Popper.
L'effort international intense et coordonné visant à faciliter une transformation artificiellement conçue de l'industrie alimentaire mondiale, sur la base de l'Agenda 2030, témoigne du fait que nous assistons au retour du pendule de la civilisation dans de nombreuses sociétés avancées, où les efforts pour parvenir à une situation confortable la vie pourrait rapidement être remplacée par une lutte pour le strict nécessaire à un niveau d'existence inférieur, ce qui n'est pas censé se produire dans les sociétés avancées.
Il faut faire comprendre aux masses que les ingénieurs sociaux de l'Agenda 2030 sont de "faux prophètes", qui les égarent au point où ils seront "hantés par le spectre de la mort par famine". Cela pourrait bien conduire à l'émergence de «dissensions irréconciliables au sein de la société», où les émeutes de la faim, les conflits et la violence pourraient inévitablement «entraîner une désintégration complète de tous les liens sociaux», comme l'a dit Ludwig von Mises.
Note: The views expressed on Mises.org are not necessarily those of the Mises Institute.
Bloqueur de puberté – Qui est responsable de la mutilation des enfants ?
RépondreSupprimer03.12.2022
www.kla.tv/24294
Le thème de la Journée mondiale de l'enfance de cette année, le 20 septembre 2022, était « Ensemble pour les droits de l'enfant ». Les enfants ont droit à la protection et aux soins de leurs parents et doivent être protégés contre les violences physiques, psychologiques ou sexuelles.
Mais on peut se demander si le ministère allemand de la Famille prend lui aussi au sérieux la protection et les soins de nos enfants.
Car c'est précisément cet organisme public, qui se nomme ministère de la "Famille", qui encourage les enfants à prendre des bloqueurs de puberté avant la puberté, afin qu'ils aient suffisamment de temps pour réfléchir au sexe qu'ils veulent avoir.
A lire sur le site regenbogenportal.de du ministère de la « Famille ». Dans cette émission, nous allons examiner si cette offre du ministère de la Famille est « cool » ou pas « cool ».
1. Le blocage de la puberté est un dommage corporel
La Société allemande de médecine sexuelle, de thérapie sexuelle et de sexologie attire surtout l'attention sur l'automatisme statistiquement prouvé selon lequel un traitement par des bloqueurs de puberté, une fois initié chez les enfants, conduit presque toujours à la fin à des mesures chirurgicales. Les bloqueurs de puberté peuvent donc être considérés comme un dommage physique, car ils peuvent entraîner des dommages sur la croissance osseuse et le développement du cerveau, ainsi que des troubles psychologiques et la stérilité. Jusqu'à présent, les enfants mineurs étaient protégés par la loi en ce sens que certaines décisions, dont ils ne pouvaient pas évaluer la portée à long terme, étaient prises par leurs parents. Dans la loi envisagée de l'autodétermination, les associations de transsexuels et les Verts souhaitent que les enfants, à l'aide de bloqueurs de puberté, puissent changer de sexe et de nom chaque année, sans l'accord de leurs parents.
2. De graves effets secondaires liés aux bloqueurs de puberté
RépondreSupprimerLe magazine en ligne canadien The Post Millennial a publié dans un article des informations provenant du Gender Pathway Service (GPS) de l'hôpital pour enfants de London /Ontario. Il est recommandé aux enfants mineurs souffrant de trouble psychique de l’identité de genre, ou dysphorie de genre, d'utiliser des bloqueurs de puberté sans évaluation initiale préalable par des médecins spécialistes. Comme on peut le lire sur le site web du médicament Lupron Depot, ce médicament est autorisé pour le traitement de nombreuses maladies, telles que le cancer de la prostate, l'endométriose ou la puberté précoce. Par contre une utilisation comme bloqueur de puberté n'est pas mentionnée. Certains effets secondaires de ce médicament, qui devrait être administré même aux jeunes enfants, sont l'amincissement des os, les saignements vaginaux, les convulsions, la dépression et la prise de poids. Ce qui est effrayant, c'est que malgré les effets secondaires graves, ce médicament est également administré à des tout-petits, sans même savoir s'il est efficace. Car sur la notice explicative, on peut lire : « On ne sait pas si Lupron Depot-PED est sûr et efficace chez les enfants de moins de 2 ans » !
3. Stérilisation de l'enfant par blocage de la puberté
Chacun a le droit d'être ce qu'il souhaite et personne ne doit l'en empêcher, quelles qu'en soient les conséquences graves à long terme.
Avec cette idéologie à la Fifi Brindacier, chaque médecin, qui conduit un enfant à un traitement précoce avec des bloqueurs de puberté et qui risque ainsi de causer des dommages physiques massifs à l'enfant et de le rendre durablement stérile, est désormais impuni.
En revanche, un médecin est punissable s'il tente d'empêcher l'enfant de prendre des inhibiteurs de puberté, même s'il donne des conseils sans préjuger des résultats.
La Société allemande de médecine sexuelle, de thérapie sexuelle et de sexologie fait remarquer que les bloqueurs de puberté ouvrent très tôt la voie à l'infertilité, par stérilisation ou fausses couches répétées, alors que cela est strictement interdit chez les enfants par d'autres lois. Car aussi bien le paragraphe 2 de la loi sur la castration que le paragraphe 1631c du Code civil allemand interdit aux parents ou à l'enfant de consentir à une stérilisation !
4. Les bloqueurs de puberté interdits au Royaume-Uni
RépondreSupprimerLa Haute Cour du Royaume-Uni a interdit les bloqueurs de puberté suite à la plainte d'une jeune femme qui avait d'abord choisi de prendre des bloqueurs de puberté à l'adolescence, puis de « changer de sexe », et qui regrette aujourd'hui sa décision. Keira Bell, 23 ans, a déclaré que les bloqueurs de puberté qui lui avaient été prescrits lorsqu'elle était adolescente avaient causé des dommages irréparables à son corps. Lorsqu'elle a pris cette décision à l'adolescence, elle ne pouvait pas prévoir les risques ou les conséquences à long terme. Les juges ont approuvé ce point dans leur décision :
Il est « douteux qu'un enfant de 14 ou 15 ans puisse comprendre et évaluer les risques et les conséquences à long terme de l'administration de bloqueurs de puberté ».
Jugez par vous-même du sérieux avec lequel le ministère allemand de la Famille prend en compte la protection et les soins de nos enfants lorsqu'il encourage les enfants à prendre des bloqueurs de puberté et qu'il oblige quasiment les médecins à les prescrire sur demande. Si vous avez l'impression que le ministère de la Famille ne se soucie pas vraiment du bien-être de la population, prenez vous-mêmes vos responsabilités et diffusez cette émission afin d’éviter de graves dommages.
de tz.
Sources / Liens :
1. Pubertätsblocker = Körperverletzung
https://www.nzz.ch/meinung/transkids-england-macht-eine-beispielhafte-kehrtwende-ld.1598408
https://www.kla.tv/fr
Ces mutilations ou 'changement de sexe' (impossible) portent le nom d'excisions. Elles sont là pour supprimer la jouissance (interdite en religion) et ne garder que le mauvais côté de l'être humain handicapé.
Supprimer« Changer de sexe une fois par an » Qui se cache derrière cette nouvelle loi sur l'autodétermination ?
RépondreSupprimer30.08.2022
www.kla.tv/23469
La ministre fédérale de la Famille, Lisa Paus, et le ministre fédéral de la Justice, le Dr Marco Buschmann, ont présenté ensemble le 30 juin les points essentiels de la nouvelle loi sur l'autodétermination. La loi devra être adoptée avant la fin de l'année. Elle remplacera la loi sur les transsexuels de 1980.
La nouveauté de la loi est que, désormais et une fois par an, chacun pourra faire modifier de manière autonome son inscription de genre et son nom.
Les expertises psychologiques et médicales ne seront plus nécessaires. En d'autres termes, toute personne âgée de 14 ans et plus pourra à l'avenir changer de sexe et de nom sur simple demande. Les jeunes de moins de 18 ans ont certes encore besoin de l'accord de leurs parents. Mais si les parents devaient ne pas donner leur accord, le gouvernement prévoit des possibilités juridiques pour les adolescents.
Le politologue Uwe Steinhoff s'est penché en détail sur le contenu des nouveaux projets de loi. Il a constaté que les interventions chirurgicales de modification des organes génitaux sont clairement prévues et peuvent également être imposées contre la volonté des parents par le biais des tribunaux familiaux.
Citation d'un projet de loi de juin 2020 : « Si les personnes ayant l'autorité parentale devaient refuser leur consentement, c’est le juge aux affaires familiales qui donnera l’autorisation... ». En ce qui concerne le traitement hormonal, ni le consentement des parents ni celui du tribunal des affaires familiales ne sont exigés, comme l'indique expressément le projet de loi à la rubrique « Avenant 3 ».
De nombreux médecins critiquent ce projet. Ils mettent en garde contre le fait qu'à l'avenir, des milliers d'adolescents sans identité stable, mais confortés par la nouvelle carte d'identité dans leur poche, exigeront et imposeront également le changement de sexe médical. Aujourd'hui déjà, rien qu'en Allemagne, des milliers de jeunes filles explosent les listes d'attente des cliniques de genre parce qu'elles veulent changer de sexe.
Pourquoi n'y a-t-il pas, comme d’ailleurs aussi dans de nombreux autres domaines, de débat ouvert sur le sujet ?
Pourquoi ici également, les voix critiques ne sont-elles pas entendues ?
Le Dr Paul R. McHugh est médecin-chef en psychiatrie à la clinique universitaire Johns Hopkins de Baltimore considère le transsexualisme comme un trouble psychique de la perception, similaire à l'anorexie par exemple.
Il s'agit de traiter ce trouble et non de l'affirmer. La professeure de médecine américaine Lisa Littmann parle elle aussi de phénomènes de contagion sociale. Le point commun décisif, outre la contagion sociale, serait toutefois des maladies psychiques telles que les dépressions ou les troubles anxieux, qui auparavant ont été diagnostiquées chez la plupart des jeunes filles. Parmi elles, de nombreuses jeunes filles n'ont pas de lien solide avec leurs parents et ne disposent pas d'un espace familial de repli stable.
RépondreSupprimerLa sexologue Aglaja Stirn parle d'un véritable engouement pour la transidentité qui ne s'explique pas du point de vue médical. Renate Försterling, spécialiste berlinoise de la médecine des genres, se trouve de plus en plus souvent devant des patientes avec un désir spontanée pour se faire remarquer et qui souhaitaient des noms fantaisistes et extravagants. Elle parle d'une augmentation, au cours des dernières années, de dix à vingt fois le nombre de filles qui aimeraient changer leur corps. Des observations comparables se complètent dans l'ensemble du monde occidental.
Un rapport de la Fondation Rockefeller datant de 1984 montre par exemple que toutes ces évolutions ne sont pas fortuites, mais même voulues.
Il en ressort qu'il existe depuis des décennies des programmes visant à modifier les rôles des hommes et des femmes.
Leur objectif est de réduire la population.
En 2010, l'organisation des Nations unies UN-WOMAN a été créée à cet effet, avec pour objectif d'imposer l'égalité des sexes à l'échelle mondiale et de manière contraignante. Dans la pratique, cela s'avère toutefois être une couverture perfide pour la destruction de l'identité sexuelle naturelle. L'infertilité et l'absence d'enfants en seront les conséquences, au service de l'objectif de réduction de la population dans le monde entier.
Nos politiques, consciemment ou inconsciemment, mettent en œuvre des plans intégrant la transsexualité, que d'autres ont écrits pour eux. Ils ne servent ainsi ni les personnes concernées, ni le peuple dans son ensemble, mais un agenda mondial secret. Celui-ci doit être démasqué et son influence sur la politique et la société doit absolument être rendue transparente.
de ah./rw.
RépondreSupprimerSources / Liens :
Pressekonferenz zum geplanten Selbstbestimmungsgesetz
https://www.bmfsfj.de/bmfsfj/aktuelles/alle-meldungen/eckpunkte-fuer-das-selbstbestimmungsgesetz-vorgestellt-199378
Geschlechtermedizinerin Renate Försterling
FAZ 30. Juni 2022
Dr. Paul R McHugh
https://www.auf1.tv/nachrichten-auf1/angriff-auf-unsere-kinder-transsexuellen-propaganda-in-schulen
https://www.hopkinsmedicine.org/profiles/details/paul-mchugh
Express Zeitung; Ausgabe 26. Juli 2019; S. 4-7
https://demofueralle.de/2022/07/01/der-fehldiagnose-transgender-zum-trotz-das-selbstbestimmungsgesetz-soll-kommen/
https://demofueralle.de/der-trans-hype-in-nur-zwei-minuten-erklaert-neues-demofueralle-aufklaerungsvideo/
https://www.kla.tv/TheorieDuGenre/23469&autoplay=true
En premier les merdias et les écoles vont inciter l'enfant à changer de sexe alors qu'il s'agit là d'une impossibilité physiologique. Mais par contre un garçon sans sexe ne peut plus être appelé garçon ni fille mais appelé 'une merde' !
SupprimerLa Commission européenne rend la santé globale plutôt qu'individuelle avec le concept "One Health"
RépondreSupprimer4 décembre 2022
du Dr. Peter F. Mayer
La pandémie de Corona de l'OMS a montré que la peur des maladies peut être utilisée pour faire d'excellentes affaires. Des mesures totalitaires peuvent ainsi être mises en œuvre qui, autrement, se heurteraient à une résistance farouche. Le grand succès a apparemment encouragé l'extension et l'expansion du concept. Ce concept est actuellement vendu sous le nom de One Health par l'OMS, le WEF et trois autres organisations des Nations Unies. Bien entendu, l'UE est également impliquée, mais pas la vôtre.
Le communiqué de presse suivant est paru sur le portail de presse de l'UE le 30 novembre :
« Aujourd'hui, la Commission a adopté une nouvelle stratégie de santé mondiale de l'UE pour renforcer la sécurité sanitaire mondiale et parvenir à une meilleure santé pour tous dans un monde en mutation. Avec cette stratégie, l'UE renforce son rôle de chef de file et réaffirme sa responsabilité de s'attaquer de front aux grands défis mondiaux et aux inégalités en matière de santé: les défis sanitaires mondiaux à venir et la lutte contre les menaces sanitaires à l'ère de la pandémie.»
Charabia vide, mais assez intéressant, cela se résume toujours aux vaccinations, à la destruction de la communauté agricole par l'utilisation de plantes génétiquement modifiées et brevetées et à la production largement industrielle de viande, de lait, de fromage, etc.
Il continue en disant :
« La stratégie propose un large éventail de mesures pour faire face à ces menaces :
un accès plus équitable aux vaccins et aux traitements médicaux en renforçant les systèmes locaux de médicaments et les capacités de fabrication
des règles internationales solides et contraignantes pour les pandémies
une surveillance accrue et une meilleure détection des agents pathogènes
un concept global qui prend en compte tous les liens entre environnement, santé animale/végétale et santé humaine (concept « One Health »)
Comme indiqué récemment, One Health est promu par l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), l'Organisation mondiale de la santé animale (OIE), le Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE) et l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Il y a aussi le plan d'action mondial conjoint One Health (2022-2026) (OH JPA), que la Commission européenne est en train de prescrire pour l'UE.
RépondreSupprimerBien que dans le premier paragraphe, un rôle de leadership soit toujours revendiqué pour l'UE, plus bas, il est question d'arriéré :
« La stratégie vise à combler l'écart dans la mise en œuvre des objectifs de couverture sanitaire universelle fixés dans le cadre de l'Agenda 2030 et de ses objectifs de développement durable. La stratégie se concentre donc sur la réalisation de la couverture sanitaire universelle, le renforcement des soins de santé primaires et la lutte contre les causes qui affectent la santé, telles que la pauvreté et les inégalités sociales.
Pourtant, c'est le contraire des belles annonces qui se passe en ce moment. Tout est actuellement fait pour pousser "la pauvreté et les inégalités sociales" à des sommets inconnus depuis 1945. Avec les confinements, la campagne de vaccination, la déréglementation de l'approvisionnement énergétique et les sanctions, le coût de la vie et l'inflation ont été massivement poussés à la hausse d'une part et Big Pharma, le complexe numérique-financier et militaro-industriel, d'autre part, a amené des milliards de bénéfices à une échelle sans précédent.
Il ne s'agit plus de personnes individuelles ou du moins de nations et de pays entiers, tout doit être passé au peigne fin de l'industrie pharmaceutique et du complexe agrochimique. La dictature mondialiste est exercée par les propriétaires des grandes entreprises et les organisations qu'ils contrôlent telles que l'OMS, le WEF, l'OMC, le FMI, la Banque mondiale, la FAO, le G7, le G20, l'OTAN, etc.
Et voici comment l'UE l'imagine :
À une époque où un nouvel ordre mondial de la santé émerge, la stratégie définit la manière dont l'UE peut contribuer à façonner cet ordre grâce à un engagement plus ciblé, déterminé et efficace.
Soutenir une nouvelle politique de santé mondiale robuste, dont le monde a besoin dans un environnement géopolitique complexe. Il s'agit notamment d'une OMS plus forte, plus efficace et responsable, financée de manière durable et au cœur du système multilatéral, et d'une collaboration renforcée au sein du G7 et du G20 et avec d'autres partenaires mondiaux, régionaux et bilatéraux.
RépondreSupprimerLe G7 et le G20, qui ont récemment réclamé à nouveau le certificat sanitaire international, sont bien sûr en retard sur les règles mondiales avec le certificat sanitaire international. La globalité est à l'opposé de la santé individuelle, elle doit être mise en place et contrôlée par la coercition, les vaccinations et le génie génétique chez l'homme, l'animal et la nutrition. Les animaux domestiques seront alors également enregistrés et vous ne pourrez voyager que si votre chien a reçu les vaccins requis.
https://tkp.at/2022/12/04/eu-kommission-macht-gesundheit-globalistisch-statt-individuell-mit-konzept-eine-gesundheit/
RADIATION : Au tour du dr Marc Girard éminent expert auprès des tribunaux. Personne n’échappe à la chasse aux sorcières. Jusqu’à quand ?
RépondreSupprimerPar Dre Nicole Delépine
Mondialisation.ca,
04 décembre 2022
- voir clips sur site -
HOMMAGE AUX PERSONNELS SUSPENDUS PAR MARC GIRARD (sur son site)
« Le contraste entre la misère objective où se trouvent acculés les soignants (les petits, surtout : aides-soignants, femmes de ménage et personnel de service) et le ridicule du prétexte sanitaire (se défendre contre les rhumes) en dit tristement long sur l’état de sauvagerie où en sont arrivés tous ceux qui, sous prétexte de soins, se voient dépositaires d’une mission sacrée : tenir à distance la maladie (sinon la mort) et, surtout, faire preuve d’autorité à l’endroit des plus faibles. »
INLASSABLE LANCEUR D’ALERTE DEPUIS LES ANNÉES 90, le Dr Marc Girard a informé ceux qui ont accepté de l’écouter (car la pensée unique ne date pas d’aujourd’hui) sur le distilbène, l’hormone de croissance, le vaccin contre l’hépatite B1, la dangerosité du vaccin H1N1, les dangers du Gardasil inutile et dangereux2, les inconvénients de la mammographie, du dépistage du cancer de la prostate par le PSA, sur la mascarade du procès mediator etc.. sur les risques des imprégnations hormonales des femmes… et bien sûr sa critique clairvoyante de la gestion du rhume covid.3 Son parcours émaillé de la révélation de tant de scandales médicaux-sociaux l’ont conduit à son propre drame personnel par la persécution des autorités depuis de longues décennies. Son roman de vie mériterait un volume en soi qui éclairerait son parcours personnel en le remerciant, mais surtout l’état de la pharmacovigilance en France depuis les années 90. 4
Que de sujets tabous a-t-il abordé au grand jour à l’heure où les médias étaient un peu moins fermés qu’aujourd’hui bien que déjà travaillés au corps par big pharma. Je l’ai rencontré sur le plateau de C dans l’air en 2011 environ, alors qu’il présentait un livre sur les dangers des médicaments et que j’étais invitée à propos de mon livre « la face cachée des médicaments ». Nous étions en phase, encore tolérés sur les plateaux (à peine) et cela ne m’étonne pas que ce médecin instruit, pionnier de la pharmacovigilance française, déterminé, honnête, d’un autre monde finalement, ait été persécuté jusqu’à la radiation… 5
INSUPPORTABLE une nouvelle fois, après la censure et l’interdiction d’exercer la médecine de nos parlementaires6, on apprend ce jour la radiation du Dr Marc Girard, en même temps que fleurissent à nouveau sur nos antennes (on va casser nos télés avant longtemps) des pseudo médecins statisticiens, généralistes, urgentistes ou autres qui en plus des mensonges avérés qu’ils recrachent, insultent les médecins. Le pseudovax éviterait les formes graves contre toutes les évidences statistiques. Ils traitent les collègues vaccino prudents de « rien », de déchets ou autres galanteries. Quand les citoyens les poursuivront-ils pour mensonges, intoxication aux conséquences dangereuses et insultes discriminatoires de leurs collègues médecins ? 7
RépondreSupprimerRadiation définitive du Dr Marc Girard – Le site du Dr Marc Girard (rolandsimion.org) 8
Qui est le docteur Marc Girard ? Voilà la description de son parcours sur son site fort instructif qu’il faut lire, en particulier pour ceux qui s’intéressent au scandale précurseur de la vaccination contre l’hépatite B (encore obligatoire chez les nourrissons suite à la loi de Mme Buzyn), mais aussi à l’histoire cocasse du médiator, etc..
Ses livres, tous riches en informations bien cachées par les médias sont sûrement autant d’aiguillons qui ont heurté les représentants de notre profession qui ne se préoccupent plus que de la censure contre tout ce qui n’est pas la doxa des pouvoirs publics au service de Big Pharma, lui-même serviteur parmi les plus « zélés » du Nouvel Ordre Mondial.
Et cerise sur le gâteau, à l’heure de la retraite, lorsqu’il déménage, l’ordre « perd » son dossier.
« Il refournit tous les documents, mais au lieu de délivrer la carte professionnelle en s’excusant, il est réévalué par des nuls et est radié ! »
https://rolandsimion.org/radiation-definitive-du-dr-marc-girard/ 5:28 PM · 1er déc. 2022
La question à poser est jusqu’à quand la passivité des citoyens ?
Ils pleurent (à juste raison) à l’arrivée des services d’urgence quand ils attendent des heures sans boire, sans manger, sans soulagement, mais laissent nos médecins compétents, solides se faire virer sans ménagement… y compris les courageux médecins suspendus pour avoir eu le courage de leurs opinions, quand les ministres qui les insultent avouent eux-mêmes ne pas être injectés ou que beaucoup de leurs collègues députés ou sénateurs ne le sont pas. Et chaque jour, une nouvelle radiation ou nouvelle suspension pour avoir trop parlé !9
Si vous voulez que renaisse la médecine, il faut nous aider, vous tous citoyens et ne pas tourner la tête, à reconquérir notre pouvoir médical et supprimer celui des instances bureaucratiques et singulièrement celui des agences régionales de santé qui gèrent financièrement la médecine.
Pourtant la médecine n’est pas une marchandise et faire des pubs télé pour les pseudovax comme pour des parfums est insupportable.
Une réflexion déjà ancienne sur la médicalisation et ce qu’elle dissimule : la vie, la sexualité, la mort…
Étudiant en mathématiques, Marc Girard était frappé de voir que les collégiens mis en échec par les « math modernes » étaient naturellement adressés à des médecins, alors que ces derniers se targuaient plutôt d’avoir été formés aux « humanités ». En cette époque où la conscience écologique naissante s’exerçait sur le scandale du « veau aux hormones », il ne comprenait pas non plus pourquoi saturer le corps fascinant des contemporaines avec ces mêmes hormones sous prétexte de contraception devait être tenu pour une « émancipation ».
Devenu médecin non par vocation, mais par engagement politique à l’encontre d’un métier dont le potentiel totalitaire était déjà patent, il a cru bon mettre sa compétence de spécialiste du médicament au service de la justice, avant de constater qu’entre sanctionner les criminels de la santé et ceux qui les dénonçaient, la justice avait choisi la seconde option.
RépondreSupprimerLe présent site récapitule les réflexions nées de ces interrogations anciennes, mais dont l’actualité serait difficile à ignorer. »
ET VOICI SA RÉACTION SUR SON SITE À CETTE MONSTRUEUSE INTERDICTION DE MÊME SE PRESCRIRE UN ANTIBIOTIQUE OU UN ANTICOAGULANT
Radiation définitive du Dr Marc Girard
30 novembre 2022
Eh bien ! Ça y est, c’est fait ! Je ne suis plus médecin. Plus du tout. Plus jamais. Définitivement radié de l’Ordre. Donc interdit de prescrire même des antalgiques banals, même des médicaments contre le rhume, même des somnifères réputés anodins…
Parce que je me suis lancé sur un sujet hautement polémique, comme le Covid, comme telle ou telle vaccination, comme la mammographie, comme le dépistage du cancer de la prostate, comme les nouveaux anticancéreux ? Que nenni ! Je suis radié parce que je mets en danger même mes proches, a fortiori des patients, par mon incompétence apparemment criante — en dépit du fait facilement vérifiable qu’en 40 ans de pratique intensive, je n’ai pas eu un seul sinistre…
Radiation d’autant plus sidérante que, aussi bien chez les experts judiciaires que chez les médecins, je n’ai quasiment jamais vu de suspension, si motivée fût-elle, qui ne soit temporaire : même après une faute grave, on tend presque toujours à passer l’éponge après un certain temps. Mais le Dr Girard, ça doit soulager de le virer définitivement.10 11
Sans me fourvoyer dans la doléance égocentrique, je crois qu’il est utile d’entrer un peu dans l’historique de cette situation. Après des études brillantes, menées dans un CHU prestigieux (Necker EM) et couronnées par un prix de thèse, j’ai eu une pratique intensive de médecin généraliste, pas intéressé par l’internat (concours dont la débilité m’est toujours apparue flagrante). Domicilié dans les Yvelines, j’étais dûment inscrit à l’Ordre de ce département durant 35 ans. En 2018, ayant décidé de me replier dans la Mayenne natale pour ma retraite, je me tournais naturellement vers l’Ordre de ce département pour obtenir le transfert de mon dossier et mon inscription en Mayenne. Là, première surprise : mon dossier s’est révélé introuvable. Après un moment de panique, j’ai retrouvé — et fourni — tous les documents attestant mon parcours et authentifiant mes titres : ils n’avaient pas été obtenus à la sauvette ou moyennant finance.
Comme un con, j’ai imaginé que le problème était résolu, et j’ai commencé à attendre mon caducée, ma nouvelle carte professionnelle et mes ordonnances. Mais au lieu de s’excuser pour cette gabegie dans son archivage, l’Ordre mayennais s’est mis en tête de m’évaluer. Malheureusement, surtout quand on est un médecin nourri de presse médicale type Le Quotidien du médecin, on n’évalue pas le Dr Girard sans avoir autant réfléchi que lui : sans apercevoir l’incongruité du propos, l’un des « experts » autoproclamés chargés de m’évaluer n’avait aucune notion des objections qu’on peut — qu’on doit — adresser aux statines et à leurs prescripteurs ; un autre refusait même l’idée qu’au-delà de trois médicaments par personne — surtout chez une vieille dame de 85 ans — on nage dans l’inconnu (outre les trois principes actifs, on a la bouteille à l’encre de tous les métabolites) — mais peut-être mes évaluateurs ignorent-ils ce qu’est un métabolite. On peut également alléger une ordonnance : l’expérience atteste que diminuer le nombre de médicaments prescrits tue rarement le patient concerné, alors que l’inverse n’est pas vrai.
RépondreSupprimerIl est notoire pourtant que certaines régions françaises (la Mayenne, justement) souffrent d’une pénurie grave de médecins, conduisant à recruter soit des étudiants ayant échoué au concours, soit même des médecins étrangers baragouinant un français approximatif, mais ayant obtenu — Europe oblige — le titre de médecin dans un pays étranger au terme d’études non moins approximatives, par exemple en Bulgarie où la pègre fait sa loi et où, si l’on en croit Le Figaro (02/10/22), « la corruption est endémique ». Voici quelques semaines, la presse locale faisait état des files d’attente occasionnées par la réinstallation d’un médecin retraité (qui avait dû finir par s’ennuyer), à côté desquelles celles occasionnées par l’enterrement récent de la Reine d’Angleterre avaient l’allure d’un aimable pique-nique. Il est non moins notoire qu’Internet fourmille de menaces sanitaires et d’offres de soins plus que douteuses qui devraient appeler une réaction ferme et coordonnée des professionnels.
Bon, bref. Je ne compte pas me laisser faire ni prendre des cours de français. Mais il me paraît utile d’informer les gens de ce qui m’arrive et qui dit beaucoup du milieu médical français (à l’égard duquel j’ai toujours eu une position très critique). J’invite tous mes lecteurs à retransmettre cette histoire exemplaire à leurs proches, à la presse, à leurs responsables politiques…
L’Ordre n’a qu’à bien se tenir…
Sur le coup, c’est vexant d’être radié. Mais est-il si flatteur d’en être ? »
QUELQUES RÉFLEXIONS DE TWITTOS SCANDALISÉS
@FabriceMegrot
#radiation du Dr Marc GIRARD. Encore un grand médecin maltraité. À lire, ses travaux et son site Internet riche
@BanounHelene 1er déc.
Encore un médecin compétent et courageux radié par l’Ordre : il s’est opposé à Big Pharma depuis bien longtemps ! C’est un expert en pharmacovigilance
RépondreSupprimerhttps://rolandsimion.org/radiation-definitive-du-dr-marc-girard/
Dès 2009, le Dr Marc Girard a contesté les affirmations de Madame Bachelot alors ministre de la Santé, ancienne pharmacienne sur la vaccination H1N1. Elle défendait son vaccin anti H1N1 avec les mêmes mots qu’elle a défendu la vax anticovid. Jouer sur la peur, on prend les mêmes et on recommence. Les représentants du pouvoir ont été beaucoup plus efficaces avec le covid dans la désinformation ; mais n’ont pas pardonné au Dr Marc Girard sa clairvoyance.
En 2020, il a alerté à nouveau la population et rappelé les techniques de manipulation utilisées par le gouvernement, qui auraient dû rendre prudents les citoyens.
Parmi les méthodes de promotion mensongère, on relève « la dramatisation de l’anecdotique » (p. 173), une « rhétorique de globalisation » (p. 175) et la collusion des professionnels de santé (p. 177), plus prompts à amplifier de leur autorité les sornettes glanées à la télé qu’à parler sérieusement de ce dont ils ont une expérience effective (qui se résume parfois à très peu). »
Et ce chapitre de réflexion générale : « Élever le débat en 2009, c’était — exemple parmi bien d’autres — créer les conditions pour que, sans éprouver le besoin d’en modifier la moindre ligne, ce livre soit remis dans l’actualité après “la divine surprise” (pour les patrons…) de Macron-président et son coup d’État du 16 mars 2020.
Élever le débat, c’est proposer des événements une triple lecture, politique, scientifique, morale.
Omniprésente dans les pages qui ont précédé, la lecture politique rappelle que la menace qui pèse le plus sur l’expertise, ce n’est pas celle des liens d’intérêts (à la révélation desquels je pense pourtant avoir puissamment contribué) : c’est celle de l’incompétence.
La lecture scientifique, c’est comprendre que la recherche clinique en général, et l’évaluation des médicaments en particulier, n’ont rien (ou pas grand-chose) à voir avec le travail dit classiquement “scientifique”, centré sur une épistémologie tirée des sciences physiques ou, à la rigueur, de la biologie. Rien à voir, donc, avec les références intellectuelles de tous “les sages et les savants” qui se prévalent bruyamment d’une agrégation, d’un doctorat d’État ou de quelque autre affiliation censément prestigieuse (CNRS, INSERM…), mais peu pertinente pour l’espèce.
La lecture morale, enfin, c’est comprendre que la faute des autres, pour patente qu’elle soit, ne saurait résumer à elle seule la misère du monde : se demander, par conséquent, en quoi les engagements personnels participent du processus général de récupération par lequel, pourtant condamné à mort par application des lois sacrées du “matérialisme historique”, le capitalisme renaît chaque fois de ses cendres, et chaque fois plus fort. Dans un livre consacré aux ravages de la médicalisation, c’est une invitation à y inclure les fausses “alternatives” des médecines douces, holistiques, homéopathiques, parallèles, ainsi que les emprunts aux traditions thérapeutiques du monde qui fascinent d’autant plus que, voyage organisé parmi d’autres, elles sont exotiques (et qu’elles n’impliquent évidemment rien des contraintes culturelles qui donneraient du sens à cette forme de tourisme…). »
L’imposture de la grippe A dévoilée sur la chaîne « La Locale » Emission du 25 Octobre 2009 — 23 h.
RépondreSupprimerIntervenants sur « La Locale » :
—Christian Cotten (Journaliste),
—Dr Vercoutere (Docteur),
—Jean-Frédéric (citoyen),
Intervenants sur France 24 :
—Jennifer Knock (Spécialiste Santé à France24),
—Marc Girard (Médecin) C*0*V*I*D* : TOUTES RESSEMBLANCES AVEC DES ÉVÉNEMENTS RÉCENTS NE SERAIENT QUE PUR HASARD ! (lol si le hasard existe, bien sûr)
Le Dr Marc Girard a aussi combattu les effets secondaires des vaccins comme le Gardasil contre le HPV
@FrancoisTribun 23 nov.
« Je partage le travail de Dr Marc Girard, pionnier de la pharmacovigilance. Il expose le danger réel d’effets secondaires graves pour des vaccins comme le Gardasil (HPV). Si un casque peut vous étrangler alors son usage devient aberrant. »
En 2020 il croyait qu’on pouvait discuter ensemble des vaccins, etc..12 il avait beaucoup d’illusions comme la suite du scénario covid l’a démontré
https://www.facebook.com/watch/?v=1316075092092376
Plongez-vous dans son site, vous ne perdrez pas votre temps, car Marc Girard a été précurseur de la réflexion sur la conduite à tenir sur les sujets qui nous agitent depuis 2020. Par exemple
« Principe de précaution
Le quatrième chapitre est peut-être celui qui m’a le plus coûté compte tenu du débraillé terminologique qui règne à ce sujet, tout autant chez les “experts”, chez les présumés sachants (tels que les avocats), chez les victimes, chez les intarissables blaireaux de la Toile : “prudence”, “prévention”, “précaution”…
Ma réticence initiale à traiter du sujet venait du fait que le concept de précaution est né d’une réflexion sur la protection de l’environnement : il s’imposait d’autant moins en médecine que les médecins ont un concept bien plus ancien et bien plus fort, celui de prudence. D’où mon constat tiré d’une expérience assez intensive et dont la pertinence s’est démesurément confirmée depuis les quelque vingt ans où j’ai commencé de griffonner sur le sujet : quand, en médecine, on vous parle de “précaution”, commencez par rechercher le cadavre de la prudence — et retrouvez les assassins. »
Et même si Marc a parfois la dent dure, c’est un honnête homme, un tendre qui aime profondément les autres humains et refuse toute concession au politiquement correct et au langage diplomatique.
« Nous en arrivons à la conclusion de ce livre publié en septembre 2009
RépondreSupprimer« La triste réalité, c’est qu’il n’est simplement pas possible d’être un professionnel du médicament sans devenir farouchement anti-européen au constat des éléments suivants dont les effets se font sentir à chaque instant : l’effarante efficacité des lobbies, l’impuissance rare des politiques, leur ignoble complaisance et leur déprimante incompétence(…) »
Alors chers concitoyens, si vous ne voulez pas collaborer à l’enterrement définitif de la médecine française, et la disparition de ses représentants authentiques les plus courageux, défendez bec et ongles les soignants, médecins, personnels administratifs, pompiers, enseignants13, etc. suspendus contre TOUTE LOGIQUE SANITAIRE. Ne laissez pas notre belle France devenir un état totalitaire où seules des injections « préventives » seraient proposées contre toutes les maladies.
Notes :
1 Vaccin contre l’hépatite B : l’urgence d’une ré-évaluation – Le site du Dr Marc Girard (rolandsimion.org)
https://www.rolandsimion.org/wp-content/uploads/2004/09/vaccin_hepatite_B_URGENCE.pdf
2 Gardasil et questions de tolérance – Le site du Dr Marc Girard (rolandsimion.org)
3 Un exemple de dictature médicale – Le site du Dr Marc Girard (rolandsimion.org)
4 L’exemple récent du dr amine umlil : Les experts de santé ont-ils droit à la liberté d’expression ? Le pharmacien Amine Umlil que nous avons eu l’occasion de recevoir dans les débriefings voit son poste menacé au Centre hospitalier de Cholet, dans le Maine-et-Loire. Son président, Pierre Vollot le dénonce au CNG (Centre national de gestion) le menaçant de « sanctions disciplinaires » ainsi que de « poursuites pénales ». Le Dr Amine Umlil, pharmacologue et juriste, intimidé par sa direction | FranceSoirDr Amine Umlil au Sénat : « Le seul critère juridique pour imposer le vaccin, c’est que le vaccin empêche la transmission virale » (lemediaen442.fr)24 mai 22 « depuis décembre 2020, date du lancement de la campagne de vaccination, la preuve n’a pas été donnée de l’efficacité du vaccin sur les formes graves et la transmission virale. Le rapport, étant donné qu’il s’agit de personnes en bonne santé, est forcément défavorable. On a oublié d’informer les gens que l’essai clinique était toujours en cours et qu’il s’agissait d’un produit expérimental.
5 « Fin septembre 2009, en pleine panique “pandémique” (dûment attisée, entre autres, par des “experts” dont certains sévissent encore au Conseil scientifique COVID-19 réuni autour du président Macron), un éditeur, intrigué par le contenu antagoniste de mon blog, vint me demander d’écrire un livre sur la grippe H1N1. Je tins scrupuleusement le délai de 8 jours qu’il m’avait laissé pour lui remettre le manuscrit, et le livre parut le 8 octobre 2009, sous le titre “Alertes grippales. Comprendre et choisir”.
Dès l’Introduction, je posais que les gens avaient parfaitement senti que les autorités cherchaient à leur faire peur, mais que le scepticisme populaire autour de la menace H1N1 attendait qu’un professionnel (un vrai…) leur fournisse les mots “pour organiser un contre-discours rigoureux” : le présent livre, disais-je, est destiné à soutenir les “citoyens qui ne veulent pas se laisser faire”. D’où la question centrale, éminemment démocratique et que mes fidèles reconnaîtront sans peine :
“Lorsqu’on est profane, est-il possible d’auditer le discours des experts ?”.
RépondreSupprimerAlertes grippales — comprendre et choisir — Le site du Dr Marc Girard (rolandsimion.org)
6 A. houpert et M. Wonner
7 vidéo à écouter et partager !
8 Le site de Rolandsimion est le site du DR Marc Girard en hommage à son oncle résistant :
« Roland Simion était un jeune ouvrier de la France d’en bas, qui refusa de partir pour le STO institué par l’occupant durant la seconde guerre mondiale. Il resta durant des années dans le maquis aux alentours d’Evreux. Il fut capturé et immédiatement assassiné par les soldats allemands juste le jour précédant la libération de sa ville. Il était âgé de 20 ans.
Pour un spécialiste du médicament (cf. 29), il est moins héroïque de rester indépendant tout en s’astreignant à rester compétent — ce qui requiert forcément de travailler avec les fabricants : mais, dans un monde où “l’industrie pharmaceutique a fait main basse sur les autorités sanitaires” (Brit Med J, 16 Nov 2002), c’est aussi une forme de résistance.
Ce site est dédié à la mémoire de Roland, qui fut — et qui reste mon oncle. Il sera le lieu d’une réflexion sur la médicalisation, et sur tout ce que dissimule cette aliénation : la vie, la sexualité, la mort… »
9 L’Ordre des Médecins va juger le Docteur Loridan parce qu’il a entièrement raison sur les masques — AIMSIB :
« Après la sanction révoltante infligée par la Chambre disciplinaire de l’Ordre des Médecins du Grand Est contre l’ancienne Députée et médecin psychiatre Martine Wonner (*), c’est au tour du Dr Éric Loridan de se confronter à ses pairs vendredi 2 décembre. Son crime ? Il a eu le malheur de démontrer de manière parfaitement scientifique que le simple port d’un masque facial en polypropylène ne représentait absolument aucune protection contre la pénétration-expulsion respiratoire des virus. Qu’en plus, ce dispositif pouvait facilement menacer la sécurité de ses porteurs. Ce qui va se jouer à Lille sera capital : est-il dit dorénavant qu’en France, un médecin doit penser faux parce que son Ordre le lui commande ? Bonne lecture.
Quid de la liberté de parole dans une société qui, trop souvent, se contente d’un prêt-à-penser bien commode et arrangeant ? »
10 Il y a quelques semaines le dr Gayet médecin hospitalier toujours mesuré dans ses interventions fut aussi radié contre toute évidence. « Dr Stéphane Gayet Médecin infectiologue et hygiéniste.
« J’ai été radié de l’Ordre des médecins pour des prescriptions faites qui n’ont causé aucun accident médicamenteux, ont amélioré la santé des patients, étaient peu onéreuses et ne m’ont rien rapporté ».
https://odysee.com/$/embed/@Cielvoile:e/gayetr:4?r=6rKHgmeCEdX1bto9c7WSjHtJta1RbQZy
11 « Pour être précis, comme expert judiciaire, je n’ai pas été viré (ce qui m’aurait ouvert la porte d’un appel), mais non réinscrit (l’inscription sur les listes n’étant pas un droit, il n’y avait aucun appel possible) »
RépondreSupprimer12 https://www.lelibrepenseur.org/les-experts-sont-les-hommes-de-paille-des-lobbys-financiers-par-le-dr-marc-girard/
13 voit twit
La source originale de cet article est nouveau-monde.ca
https://www.mondialisation.ca/radiation-au-tour-du-dr-marc-girard-eminent-expert-aupres-des-tribunaux-personne-nechappe-a-la-chasse-aux-sorcieres-jusqua-quand/5673251
Il s'agit d'un système qui en est arrivé au point où le gouvernement et les médias d'entreprise nous traitent tous comme de l'eau à moudre afin de renforcer le récit qu'ils veulent faire passer. Donc, ça aide de ne pas le prendre personnellement, même si ça peut être un peu douloureux de temps en temps.
RépondreSupprimerLien vidéo
"Les mensonges que mon gouvernement m'a dits"
Comme l'a expliqué Malone, la structure de base de "The Lies My Government Told Me" ressemble à celle de l'approche d'un médecin envers un nouveau patient.
«Lorsque le patient vient à vous pour la première fois, vous voulez comprendre son principal problème, sa principale plainte, prendre une anamnèse et faire un examen physique. Ensuite, vous passez par un processus de détermination d'un diagnostic. Qu'est-ce qui ne va vraiment pas avec eux ? Qu'est-ce qui les pousse à se plaindre ? Ensuite, vous proposez un plan de traitement.
C'était l'idée de base de la structure du livre. Le premier tiers est constitué d'anecdotes personnelles de personnes - moi-même, Meryl Nass, Paul Marik, Pierre Kory et bien d'autres qui ont vécu directement la censure, le déplatformage, la perte de licence, toutes ces choses, afin que les gens puissent avoir une idée de comment ça s'est vraiment passé au premier plan ; ce que les gens ont vécu…
La deuxième partie est une excursion, essayant de donner du sens, qui a vraiment commencé avec le podcast Dark Horse de Bret Weinstein, lorsqu'il m'a posé la question, ainsi qu'à Steve Kirsch, "Qu'y a-t-il vraiment derrière tout cela ?" Y a-t-il un grand complot, un seul complot, ou s'agit-il d'un phénomène émergent ? »
Je pense qu'en fin de compte, après avoir passé des mois et des mois à parcourir tous ces petits terriers, ces trous de lapin du Forum économique mondial (WEF), les banques centrales, Tony Fauci, le DOD et tout ça, je suis venu à la conclusion que c'est vraiment multifactoriel, et que c'est une situation où, j'en suis sûr, il y avait des mauvais acteurs infâmes derrière tout ça.
Mais en plus, il y avait beaucoup d'opportunisme et des gens profitaient d'un système dans une situation d'une manière qu'ils avaient en quelque sorte planifiée auparavant, que quand quelque chose comme ça se produisait, ils en profiteraient.
Des gens comme Ed Dowd… [ont clairement indiqué] qu'il y avait d'importants problèmes de liquidité financière dans ce domaine, et que cette opportunité a été exploitée pour injecter des quantités massives de capitaux et restructurer l'économie d'une manière que nous commençons tout juste à apprécier. alors que nous rencontrons l'inflation et le cycle de stagflation dans lequel nous nous trouvons. Donc, la partie médiane consiste à donner un sens [à la situation].
Créer un avenir meilleur grâce à la décentralisation
RépondreSupprimerLa dernière partie du livre se concentre sur le sous-titre du titre du livre, qui concerne la création d'un avenir meilleur et plus humain. Comme l'a noté Malone, après tout ce que nous avons traversé au cours de ces trois dernières années, il peut être difficile d'envisager un avenir qui n'implique pas un gouvernement mondial totalitaire, rempli de protocoles d'eugénisme forcé, comme l'envisageait le fondateur du WEF, Karl Schwab. et son gourou de la philosophie transhumaniste Yuval Noah Harari.
Mais il y a un moyen. La réponse est essentiellement l'inverse du problème. Étant donné que le problème, moteur du totalitarisme, est la centralisation et la gouvernance descendante, la réponse réside dans la création de systèmes décentralisés autonomes et d'auto-gouvernance.
"Comment envisagez-vous un avenir meilleur lorsque vous affrontez les sombres marmonnements de Harari et Schwab, parlant de transhumanisme et de la quatrième révolution industrielle, de la fusion de l'homme et de la machine, de l'excès de travail excédentaire, de la nécessité d'un revenu de base garanti, la logique derrière 'Vous ne posséderez rien et serez heureux.'
Qui a en fait un modèle commercial derrière lui – lorsque vous acceptez la volonté de notre gouvernement de suspendre la Déclaration des droits et les voies fondamentales, et la volonté de notre gouvernement de ne pas tenir compte des normes de bioéthique établies depuis des générations ? …
Comment imaginer un avenir meilleur quand on est confronté à ce qui est clairement une poussée vers un contrôle totalitaire ? … Comment envisagez-vous un avenir où il y a une force aussi massive qui pousse vers un totalitarisme d'économie centralisée et dirigée, basé sur les concepts de l'utilitarisme marxiste ?
La réponse est mieux capturée dans l'un des derniers chapitres d'un groupe en Italie … IppocrateOrg. Ils, comme le Conseil mondial de la santé sous Tess Lori, ont été très attachés à une vision de décentralisation et de communautés intentionnelles. Ils donnent d'excellents exemples de ce qu'ils ont fait, ce qui, je pense, est une opportunité fantastique pour le monde d'apprendre grâce à leur expérience.
Les médecins en Italie ont été censurés au moins aussi mal que les médecins ici aux États-Unis. Des centaines de personnes ont perdu leur licence, leur capacité à pratiquer, pour le péché de fournir un traitement précoce et de sauver des vies.
Ils se sont réunis et ont formé cette organisation, et ils commencent maintenant leur propre école de médecine, Ippocrate, et ils ont fait des choses très nouvelles, comme des groupes communautaires locaux réunis dans des villes et des villages à travers l'Italie qui s'engagent dans la formation. Cela comprend la mise en place de programmes de formation pour que les médecins se déspécialisent.
RépondreSupprimerAinsi, des médecins qui étaient hospitaliers, qui se concentraient sur des spécialités très étroites, apprennent et ont mis en place un mentorat avec des médecins de soins primaires pour apprendre les outils du métier pour leur permettre de revenir à la médecine à l'ancienne, de traiter les patients , d'où vient une grande partie de la joie.
Toutes les choses auxquelles ils ont été soumis, tout comme beaucoup de médecins ici aux États-Unis, les ont amenés à conclure que la médecine d'entreprise n'est tout simplement pas l'endroit où ils veulent être…
J'espère que ce que nous pouvons faire, c'est retrouver nos âmes et avancer vers un avenir où nous respectons l'importance de la dignité humaine et nous engageons à agir dans l'intégrité, avec transparence. Ce sont les choses que nous avons perdues.
Je pense que ce que le livre met vraiment en évidence, c'est que tout au long du système de gouvernance… nous avons perdu l'intégrité. Les gens sont prêts à mentir, à déformer et à se cacher derrière leurs conflits d'intérêts et à ne pas les divulguer. D'une manière ou d'une autre, nous devons revenir dans un espace où ce n'est pas acceptable.
Comment gagner sur un terrain de jeu inégal
Comme Malone, je crois que nous pouvons gagner en créant de nouveaux systèmes décentralisés pour remplacer, à nos propres conditions, les systèmes qui s'effondrent actuellement. Un moyen infaillible de perdre nos libertés et tout le reste est de ne rien faire et d'attendre simplement que la cabale centrée sur l'eugénisme les remplace pour nous. Parce qu'ils le feront.
Ils ont des décennies d'avance sur nous en termes de planification et ils ont déjà de nouveaux systèmes centralisés descendants prêts à fonctionner. Les monnaies numériques programmables de la banque centrale, l'identité numérique et un passeport international pour les vaccins ne sont que quelques exemples qui seront mis en œuvre très prochainement.
Le terrain de jeu n'est en aucun cas égal. Mais nous pouvons encore surmonter leurs plans, pour la simple raison que les « gens moyens » sont plus nombreux que la cabale mondialiste par millions contre un. Ils ont besoin de notre coopération, sinon leur nouveau système d'asservissement ne fonctionnera pas. Nous l'avons vu avec les mandats de vaccination.
Personne, du moins pas aux États-Unis, n'a jamais été retenu et injecté sous la menace d'une arme. Ils ont utilisé toutes les méthodes de coercition imaginables et inconcevables, oui, mais ils ne pouvaient pas utiliser la force physique.
Une des raisons à cela est que nous sommes trop nombreux. Ils ont besoin que nous entrions dans leur système par choix, même si c'est un choix forcé. Ainsi, notre plus grande arme est tout simplement le refus, de dire non, même si cela nous coûte à court terme, et d'entrer et de soutenir à la place des systèmes alternatifs parallèles émergents.
RépondreSupprimerUn exemple en est l'émergence de plates-formes alternatives de médias sociaux de libre expression et de systèmes de paiement en ligne pour remplacer Google, Facebook, Twitter, PayPal, GoFundMe ou EventBrite.
Plus personne ne « doit » utiliser l'une de ces plateformes, car il existe des alternatives qui n'exploiteront pas et ne vendront pas vos données personnelles, ne censureront pas vos points de vue, ne vous infligeront pas d'amende pour mauvaise pensée ou dicteront à qui vous pouvez et ne pouvez pas envoyer d'argent. Alors, faites le changement le plus tôt possible. Soutenez les alternatives qui surgissent plutôt que de nourrir une bête qui a l'intention de vous avaler tout entier.
Nos défis immédiats
Certes, certains de nos défis immédiats seront en effet difficiles et nécessiteront notre participation. La mise en place prévue d'un passeport international pour les vaccins est imminente. L'Organisation mondiale de la santé cherche également à obtenir la seule autorité pour dicter la réponse mondiale aux pandémies déclarées. Un modèle décentralisé peut-il réussir face à la cabale mondiale qui poursuit ses efforts pour éliminer nos libertés ? Malone répond :
«Je suis frappé par de multiples demandes de commentaires de presse sur cette nouvelle position que le G20 a prise en faveur des certificats de santé d'identité personnelle pour restreindre les voyages dans le monde. Je crains que les choses aient tellement progressé que nous ne soyons pas en mesure de surmonter l'élan auquel nous sommes confrontés.
Il est proposé que la modification des réglementations sanitaires internationales soit soutenue par l'Organisation mondiale du commerce en tant qu'organe d'exécution de l'Organisation mondiale de la santé, afin qu'elle puisse imposer des sanctions aux pays non conformes.
Si nous avions eu une grande vague rouge [in the midterm] élections, j'aurais été plus optimiste. Mais je crains que cela ne soit imposé sous cette administration cet été… Je suis d'avis que dans une large mesure, ils réussiront avec nous. Alors, que faites-vous face à cela ? Que faire face à ce mal profond ? …
Je reviens tout juste d'une réunion de trois jours à Mexico avec un groupe de gens très intelligents qui sont très actifs dans les affaires et l'investissement, et beaucoup d'entre eux établissent leurs propres communautés intentionnelles locales. Mon sentiment est qu'il y a une chance raisonnable que nous voyions ces collections de consortiums locaux de communautés intentionnelles apparaître partout dans le monde.
L'opportunité est de créer un moyen pour eux de se rassembler et de former leur propre réseau, leur propre matrice. Ce qui m'inquiète, c'est qu'en ce moment nous dépendons tellement d'un Internet soumis à des modifications arbitraires et capricieuses de la part du comité de l'ICANN [la gouvernance de l'Internet] ou d'autres. Il y a des problèmes fondamentaux que nous devons résoudre, mais je pense qu'il y a des façons d'aborder cela.
RépondreSupprimerLa solution ne peut être imposée ou créée par une seule personne ou même un petit groupe de personnes, car alors nous finirons par tomber exactement dans le même piège. Je pense qu'il doit émerger de manière organique, à partir de nombreux groupes différents du monde entier, en interaction les uns avec les autres.
Mais je pense que ce que nous pouvons faire, c'est envisager un processus pour le permettre. Je pense que ce processus commence par la définition du besoin. De quoi avons-nous besoin en tant que communauté de penseurs indépendants et de réseaux ?
Je pense que nous pouvons envisager un processus où des personnes clés se réunissent, représentant leurs communautés, et définissent ce que nous voulons voir dans un monde décentralisé, et quels sont les problèmes pour y arriver. Une fois que nous aurons défini ce que sont ces problèmes, nous pourrons alors commencer à trouver des solutions à cet ensemble de problèmes. »
Comment éviter les pièges de la pensée de groupe
Malone suggère que nous tirions les leçons présentées dans le livre d'Irving Janis "Victims of Groupthink", dans lequel il souligne que le moyen le plus efficace d'éviter les types de fiascos politiques dans lesquels le gouvernement américain se retrouve régulièrement est de créer des groupes de résolution de problèmes qui n'interagissent pas les uns avec les autres.
Chaque groupe reçoit un ensemble commun de problèmes (c'est pourquoi nos problèmes doivent être définis), et chaque groupe propose ensuite ses propres solutions. Ce n'est qu'alors que les groupes se réunissent pour partager leurs idées.
"De cette façon, vous avez des solutions indépendantes provenant d'un large éventail de personnes différentes de cultures et d'États-nations différents", dit-il. « Ensuite, [nous] nous réunissons et voyons si nous pouvons trouver un terrain d'entente entre eux. Je pense que c'est un processus qui pourrait fonctionner. Mais je me méfie beaucoup de quiconque pense avoir la réponse en ce moment.
Je pense que je pourrais peut-être aider à faciliter [un tel] processus, donc, ce sur quoi j'essaie de me concentrer, c'est comment pourrions-nous y arriver ? Ne pas dire: "Oh, je connais la réponse, nous devons faire ceci ou faire cela."
Il y a beaucoup de pièges classiques dans lesquels le mouvement de liberté médicale commence à se retrouver, et l'un d'entre eux est le piège des cultes de la personnalité. Il est facile de se laisser prendre par la célébrité et l'adulation, mais je pense que nous devons vraiment lutter contre cela et nous unir d'une manière qui ne place personne en tête pour être le leader, mais nous permet plutôt à tous d'être des leaders. ”
RépondreSupprimerPlus d'information
Pour en savoir plus, assurez-vous de vous procurer un exemplaire de "Lies My Government Told Me: And the Better Future Coming". Malone a également une excellente sous-stack, où il publie un à deux articles par jour, et un compte GETTR incroyablement actif. Vous pouvez également le trouver sur Gab et TRUTH Social.
Sources and References
1 Trial Site News May 30, 2021
2 Bitchute June 13, 2021
https://www.lewrockwell.com/2022/12/joseph-mercola/lies-my-government-told-me-and-the-better-future-coming/
Le grand public ignore les pressions pour normaliser la pédophilie dans la culture et le milieu universitaire : conseiller
RépondreSupprimerUne maman qui traque les pédophiles dit qu'il est impensable de les appeler "personnes attirées par les mineurs"
Par Darlene McCormick Sanchez
5 décembre 2022
Lydia Lerma, maman du Colorado, se sent frappée lorsqu'elle entend le nouveau terme à la mode "personne attirée par les mineurs". Rien que de penser aux dommages qu'un pédophile a infligés à son fils, qui avait six ans à l'époque, ça fait mal.
Créer un terme à consonance polie pour désigner une personne sexuellement attirée par les enfants la met en colère.
Toute poussée pour normaliser la pédophilie ou la désigner comme une autre orientation sexuelle à tolérer est « inadmissible », a déclaré Lerma à Epoch Times.
"C'est un tas de [expletive]!" elle a dit des universitaires poussant l'acceptation de la pédophilie.
«Ils vont faire face à la plus grande résistance qu'ils aient jamais vue. La société ne laissera pas cela se produire.
Mais dans les milieux universitaires, certains ont commencé à soutenir que la pédophilie devrait être considérée comme une autre orientation sexuelle, et non comme un trouble mental.
Et un thérapeute qui traite les pédophiles a déclaré à Epoch Times qu'il pensait que la pédophilie était en passe de se normaliser.
"Comme toute autre orientation sexuelle"
En 2018, l'étudiante en médecine Mirjam Heine, qui a déclaré avoir une formation en psychologie, a fait une présentation intitulée "La pédophilie est une orientation sexuelle naturelle" lors d'un événement TEDx à l'Université de Würtzberg en Allemagne. Un guide de programme pour TEDx a déclaré qu'elle était principalement guidée par les travaux du professeur Dr. Klaus Michael Beier, directeur de l'institut de sexologie et de médecine sexuelle de l'hôpital universitaire de Berlin, et du réseau de prévention "Kein Täter Werden".
Dans ses remarques, Heine a déclaré que la pédophilie est une "orientation sexuelle immuable", tout comme l'hétérosexualité.
« Personne ne choisit d'être pédophile ; personne ne peut cesser d'en être un », a expliqué Heine lors de son discours. "La différence entre la pédophilie et les autres orientations sexuelles est que vivre cette orientation sexuelle se terminera par un désastre."
La plupart des pays du monde, y compris les États-Unis, interdisent aux adultes d'avoir des contacts sexuels ou des rapports sexuels avec des enfants dans la plupart des situations.
Le terme personne attirée par les mineurs a fait la une des journaux après que le professeur Allyn Walker l'ait utilisé lors d'une discussion sur les pédophiles en novembre 2021. Walker, une femme qui est passée à la vie d'homme, parlait de son livre : et leur poursuite de la dignité.
Dans l'interview avec la Prostasia Foundation - une organisation de San Francisco axée sur les abus sexuels sur les enfants - Walker a déclaré qu'il était moins stigmatisant d'utiliser le terme personne attirée par les mineurs que pédophile lorsqu'il s'agit de personnes "qui n'agissent pas selon leur envie d'avoir des relations sexuelles avec enfants."
L'interview a suscité de vives critiques. En quelques semaines, Walker a démissionné de son poste de professeur adjoint de sociologie et de justice pénale à l'Université Old Dominion en Virginie.
Après avoir démissionné, Walker a déclaré dans une déclaration préparée que ses recherches avaient été "mal interprétées" par certains médias. Walker a imputé le tollé public à l'intolérance de son identité transgenre et a déclaré que la recherche visait à prévenir les abus sexuels sur les enfants.
Plus tard, l'Université Johns Hopkins a embauché Walker pour travailler au Moore Center for Prevention of Child Sexual Abuse à Baltimore. Elle n'a pas immédiatement répondu à un e-mail d'Epoch Times via le Moore Center demandant un commentaire.
Deux anciens collègues d'Old Dominion ont défendu Walker dans le journal de l'American Society of Criminology.
RépondreSupprimer"Notre amie et collègue, le Dr Allyn Walker, a été victime d'une attaque à la traîne contre ses recherches et sa personne, qui a entraîné la perte de son poste à l'Université Old Dominion (ODU)", ont écrit Ruth Triplett et Mona Danner.
Les attaques, ont-ils écrit, étaient « centrées sur la désinformation et les liens avec l'identité du Dr Walker en tant que non binaire, transgenre et juif ».
Acceptation culturelle croissante
La maison de couture Balenciaga a récemment fait face à un contrecoup après avoir lancé une campagne publicitaire représentant des petites filles tenant un ours en peluche portant des vêtements de bondage. Une annonce affiche des pages d'une décision de justice relative à la pornographie juvénile. Balenciaga s'est ensuite excusé pour l'annonce.
Un titre de novembre d'une critique de théâtre du Washington Post disait : « ‘Downstate’ est une pièce sur les pédophiles. C'est aussi génial." La pièce de théâtre off-Broadway caractérise les pédophiles comme des victimes compliquées et troublées de punitions sévères.
Jon Uhler est un conseiller vétéran de 30 ans qui a travaillé avec des délinquants sexuels dans les systèmes pénitentiaires de Pennsylvanie et de Caroline du Sud. Tout au long de sa carrière, il a évalué des centaines de pédophiles.
Uhler, membre de l'Association pour le traitement des agresseurs sexuels (ATSA), a déclaré qu'il craignait que la pédophilie ne soit sur la voie de la normalisation.
Les spécialistes du traitement des délinquants sexuels sont désormais formés pour considérer les délinquants sexuels comme des victimes de traumatismes, a-t-il déclaré.
L'idée est que les pédophiles reproduisent leur traumatisme en choisissant une victime de l'âge qu'ils avaient lorsqu'ils ont été maltraités, a déclaré Uhler. Mais ce n'est pas exact, a-t-il ajouté.
Les chercheurs tirent des informations d'entretiens avec des pédophiles et les considèrent comme vraies, au lieu de se rendre compte qu'ils ont affaire aux "plus grands trompeurs du monde", a déclaré Uhler.
Même ainsi, les idées de Walker ont imprégné les cercles de traitement des délinquants sexuels, a-t-il déclaré. Walker a pris la parole lors de la conférence ATSA de cette année.
Création d'une classe protégée
RépondreSupprimerLa normalisation de la pédophilie pourrait finalement conduire à un changement culturel majeur, élevant la pédophilie au rang de classe protégée.
"Ils vont faire pression pour qu'elle soit reconnue comme une orientation sexuelle, ce qui lui accorderait le statut de droits civiques", a déclaré Uhler.
Si cela se produit, les employeurs ne pourraient plus discriminer les pédophiles dans des domaines tels que l'emploi, a-t-il déclaré.
Et si les adolescents ont le droit légal de décider s'ils veulent subir une opération de changement de sexe ou prendre des hormones pour essayer d'apparaître comme l'autre sexe, cela pourrait aider à rendre légal pour les pédophiles d'agir sur leurs pulsions sexuelles, a-t-il prédit.
Si les enfants peuvent légalement décider ce qu'ils peuvent faire de leur corps, alors les pédophiles pourraient faire valoir qu'ils devraient pouvoir consentir à une relation sexuelle, a-t-il déclaré.
"Ce sont des chacals qui se nourrissent des carcasses de ces enfants", a-t-il déclaré. "L'intérêt du prédateur est finalement d'abaisser l'âge du consentement."
Le grand public ne comprend pas ce qui se passe, a-t-il dit. C’est l’un des problèmes déterminants de notre époque, a-t-il ajouté.
Scott Clark, un pasteur qui enseigne l'histoire de l'Église et la théologie historique au Westminster Seminary en Californie, a qualifié la déstigmatisation de la pédophilie de la dernière étape de la «révolution sexuelle néo-païenne».
Clark héberge le podcast Heidelcast et écrit The Heidelblog. Les deux abordent les problèmes religieux et moraux auxquels la société moderne est confrontée.
"Il y a un mouvement assez évident pour normaliser la pédophilie", a-t-il déclaré. « Cela vient invariablement des adultes. Cela ne vient pas des enfants.
Il estime que les chercheurs universitaires préparent la dernière étape d'une société dans laquelle il n'y a pas de police, pas de prisons et pas de stigmatisation pour être sexuellement attiré par les enfants.
"Tout cela revient à notre manque de connexion avec la nature", a-t-il déclaré. "Une fois la nature disparue, nous n'avons plus de frontières et tout est possible."
La première étape de la révolution sexuelle s'est produite avec l'introduction du féminisme. Le second est venu avec la légalisation de l'avortement, qui a coïncidé avec l'entrée de plus en plus de femmes sur le marché du travail, a-t-il déclaré.
La troisième étape a commencé en 2015 lorsque la Cour suprême des États-Unis a statué dans une décision 5-4 que le 14e amendement obligeait les États à accorder les mariages homosexuels.
RépondreSupprimerL'homosexualité était considérée comme un trouble mental jusqu'à ce que l'American Psychiatric Association vote en 1973 pour le retirer de la liste. Clark a déclaré que la décision était politique et non scientifique.
La pédophilie reste sur la liste des troubles mentaux, mais Clark pense que ce n'est qu'une question de temps avant que la désignation ne soit supprimée.
"Tout cela n'est qu'une partie d'une longue marche vers la normalisation de tout", a-t-il déclaré.
Comme Uhler, Clark pense que le but ultime est d'abaisser l'âge auquel un mineur peut consentir à des relations sexuelles.
"La culture est, à mon avis, en train de sombrer dans une sorte d'âge sombre", a déclaré Clark.
Vers la dépénalisation de la pédophilie
L'avocat de Floride, Jeff Childers, qui a lutté contre les mandats de masque et aidé les parents à s'opposer à la sexualisation dans les écoles, a déclaré que le fait de regarder en arrière comment l'homosexualité a été reconnue comme une orientation peut donner un aperçu de ce qui pourrait arriver.
Une fois que l'homosexualité s'est normalisée, elle a conduit à l'abrogation des lois sur la sodomie, a noté Childers.
"C'est comme ça que ça s'est passé pour l'homosexualité. Je vous parie un dîner de steak que les pédophiles ont observé comment cela s'est passé pour les homosexuels », a-t-il déclaré.
Donc, si les pédophiles obtenaient le statut d'orientation sexuelle, ils pourraient travailler à la dépénalisation des relations sexuelles entre mineurs et adultes, a-t-il déclaré.
Mais il y a une différence significative entre les lois sur la sodomie et les lois sur les délinquants sexuels, ce qui signifie qu'il serait beaucoup plus difficile de les affaiblir, a-t-il déclaré. L'un des arguments utilisés pour invalider les lois sur la sodomie était qu'elles étaient désuètes et peu utilisées. Cela ne peut pas être dit pour les lois sur les agressions sexuelles contre les enfants.
Childers a déclaré qu'il semble y avoir une érosion de la peine pour pédophilie en Californie. Il a fait référence à un exposé du Daily Mail qui montrait que des milliers de pédophiles condamnés en Californie étaient libérés de prison moins d'un an après avoir été reconnus coupables de viol, de sodomie et d'abus sexuels sur des enfants de moins de 14 ans.
Le projet de loi 145 du Sénat californien, adopté en 2020, a élargi une loi permettant aux juges de décider si les personnes ayant des relations sexuelles homosexuelles avec des mineurs doivent s'enregistrer comme délinquants sexuels.
Dans un précédent projet de loi adopté en Californie en 1944, les juges étaient autorisés à faire cet appel, mais uniquement lorsque le crime impliquait des relations sexuelles vaginales avec un mineur. Les juges ont toujours eu le pouvoir d'exclure une personne de l'enregistrement si elle n'avait pas plus de 10 ans de plus que le mineur.
Déclaration sur la baisse de la natalité dans le procès contre Swissmedic
RépondreSupprimer5 décembre 2022
du Dr. Peter F. Mayer
Lors de l'homologation des médicaments, et en particulier des vaccins, qui sont administrés à des personnes en bonne santé, les organismes d'homologation doivent être extrêmement attentifs à vérifier qu'aucun dommage n'est causé et qu'un bénéfice mesurable peut être attendu. Ni l'un ni l'autre ne s'est produit lorsque les vaccins corona ont été approuvés. En particulier, aucune conséquence à long terme n'a été déterminée, mais celles-ci se manifestent désormais sous la forme d'une surmortalité et d'une baisse significative des naissances.
Il existe également une confirmation quasi-officielle de l'Institut fédéral allemand de recherche sur la population concernant la baisse observée du nombre de naissances. Cela montre une baisse du taux de natalité de 14 % pour l'Allemagne et de 10 % pour la Suède. Et la cause est également claire, car il existe "une forte association entre le démarrage des programmes de vaccination et la baisse de la fertilité neuf mois après le début de ces programmes".
Une étude chinoise a clairement montré que l'insémination artificielle réussissait beaucoup moins bien chez les femmes vaccinées que chez les femmes non vaccinées. Les auteurs invités du TKP, le Dr. Hans-Joachim Kremer et Ulf Lorré ont examiné l'étude de manière critique et ont à nouveau évalué statistiquement les données en détail.
Le traitement de fécondation in vitro (FIV) offre d'excellentes opportunités pour étudier les effets exogènes sur la fertilité féminine. Après tout, il existe une sélection de femmes qui souhaitent actuellement avoir des enfants et elles sont sous surveillance médicale étroite. En règle générale, ces femmes subissent une "stimulation ovarienne contrôlée (COS)", qui stimule la formation de follicules et permet ainsi l'aspiration de plusieurs ovocytes, c'est-à-dire les ovules femelles. 3 à 5 jours après la fécondation avec du sperme mâle, les embryons sont transférés dans l'utérus dans l'espoir qu'un ou deux d'entre eux s'implantent dans le placenta.
Comme il est maintenant courant dans les études médicales, les auteurs déforment leurs conclusions de manière à nuire le moins possible à l'industrie pharmaceutique, car leur existence scientifique dépend des subventions financières de cette même industrie.
A partir des données, Kremer et Lorré calculent une réduction des taux de grossesse de 19 % et 11 % à 26 %, ce qui est très bien dans la fourchette de la baisse de la natalité, comme les statisticiens professionnels pour l'Allemagne (14 %) et la Suède (11 %) trouvé comme décrit ci-dessus avoir. Par conséquent, les découvertes chinoises peuvent à elles seules expliquer la baisse observée du taux de natalité. En effet, contrairement aux conclusions trompeuses des auteurs, l'étude chinoise ne fournit aucune preuve d'une normalisation des taux de grossesse dans les 150 jours suivant la vaccination.
Ils concluent de la réévaluation minutieuse des données par Shi et al. 2022 :
Les taux de grossesse par FIV étaient d'environ 19 % inférieurs chez les vaccinés que chez les non vaccinés.
La cause est à rechercher dans l'implantation défectueuse de l'embryon dans le placenta.
L'augmentation des taux d'avortements spontanés chez les personnes vaccinées jusqu'à la fin du premier trimestre n'explique pas les résultats, mais pourrait être un risque supplémentaire dans la vie réelle.
RépondreSupprimerLe délai entre la vaccination et la FIV n'a pas d'importance. La réduction des taux de grossesse persiste 3 à 5 mois après la vaccination.
L'article est un exemple typique de la façon dont les évaluations et les interprétations d'articles dans des revues scientifiques respectées sont actuellement déformées afin de dissimuler au moins quelque peu le désastre entourant la vaccination.
Dans la déclaration envoyée au tribunal par l'avocat Philipp Kruse pour expliquer la plainte pénale contre Swissmedic et certains vaccinateurs, les conclusions – résumé analytique :
« La référence citée par SwissMedic comme n°1 confirme clairement le lien entre la baisse de la natalité et la campagne de vaccination avec un décalage d'environ 9 mois.
Les données sur les effets des vaccins Covid sur la fertilité masculine sont contradictoires. On ne peut exclure que ces vaccinations aient un effet négatif, ni qu'un tel effet soit durable. Un feu vert ne peut pas encore être donné. Les vaccins modRNA provoquent très probablement une épididymite (inflammation des testicules), bien que rare.
La fertilité féminine peut être mesurée de manière assez fiable à l'aide des données de fécondation in vitro. Il n'y avait pas de problèmes évidents jusqu'au "transfert d'embryons".
Le principal problème est évidemment la nidation de l'embryon dans le placenta, ce qui peut s'expliquer par des modifications biochimiques ou morphologiques du placenta, voire durables, causées par les vaccinations. L'implantation défectueuse devrait déjà expliquer suffisamment la chute de la natalité, mais peut-être pas complètement.
Les troubles et les changements menstruels peuvent également altérer la fertilité féminine. Les troubles menstruels sont des effets secondaires très clairs et aussi courants. Les avortements spontanés sont survenus plus fréquemment après Comirnaty et doivent être classés comme un effet secondaire. Cependant, leur signification quantitative reste incertaine.
Les résultats basés sur les recensements de la population sont si forts que les études exploratoires ne peuvent en aucune façon les nier ; vues sobrement, ces études tendent en fait à étayer la crainte d'effets nocifs. Sans exception, les analyses des études référencées sont de qualité douteuse et ne pourraient donc en aucun cas disculper les vaccins. Les données brutes, en revanche, étayent les effets défavorables des vaccinations.
Après tout, c'est comme ça : simplement parce que vous n'avez pas encore compris une cause physiologique en détail, vous ne devriez pas remettre en question les conclusions claires sur la baisse des taux de natalité. Ou : le phénotype bat le génotype.
La déclaration complète de 42 pages soigneusement rédigée peut être lue ici :
Bewertung_Referenzen_Swissmedic_Geburtenrückgang-2022-12-01
https://tkp.at/2022/12/05/stellungnahme-zum-geburtenrueckgang-bei-der-klage-gegen-swissmedic/
La guerre contre les mots - Les grands trucs de propagande d'aujourd'hui
RépondreSupprimerChanger le sens des mots (Les jeux d'esprit sournois des bâtards manipulateurs menteurs expliqués)
Par Milan Adams
Preppgroup
5 décembre 2022
La propagande par la redéfinition des mots est un dispositif de base très utilisé par les bâtards manipulateurs malhonnêtes depuis que les premiers cultes de contrôle ont décidé que ce serait une respiration sifflante splendide d'avoir un grand nombre d'êtres humains comme bétail ou esclaves. Son utilisation par les ennemis de l'humanité lors de la psyop Covid fournit de beaux exemples contemporains qui illustrent amplement comment cela se fait. Comprendre comment ces jeux d'esprit sont joués vous libère du contrôle de l'esprit.
Une meilleure compréhension est l'antidote au lavage de cerveau et être alerte et capable de former vos propres idées plutôt que d'être l'effet de celles insérées astucieusement dans votre cerveau est plus sûr, plus de survie professionnelle et plus amusant que d'être joué par des têtes de bouton sournois.
La guerre des mots
Que signifie réellement le mot vaccin ? Lorsqu'un président, un gouverneur ou un premier ministre fait référence à un vaccin, signifient-ils ce que vous pensez qu'ils veulent dire ? La langue change naturellement avec le temps, mais parfois ces changements ne sont pas organiques, et lorsque cela se produit, cela peut être considéré comme une guerre contre les mots.
Nous avons vu beaucoup de choses changer au cours des deux dernières années, de la façon dont nous interagissons les uns avec les autres à la façon dont nous passons notre temps. Certains de ces changements sont impossibles à ignorer tandis que d'autres ont été subtils et plus difficiles à identifier, comme un changement dans le sens des mots et la façon dont ces mots sont utilisés.
Bien qu'ils puissent sembler subtils, ces changements sont importants. Non contrôlés, ils peuvent semer la confusion, induire en erreur et même causer du tort. C'est pourquoi il est si crucial d'être vigilant, d'identifier ces changements et d'agir. Avant d'explorer certains des mots et des termes qui sont devenus des armes au cours des deux dernières années, nous devons comprendre et apprécier pourquoi cela est si important.
Le pouvoir du langage et de la propagande
RépondreSupprimerLa langue est l'un des attributs uniques de l'être humain. Aucun autre animal sur cette planète n'emploie de mots pour transmettre un sens ou n'a même la physiologie pour le faire. Les langues elles-mêmes évoluent, les mots construisant un sens au fil du temps. Les mots peuvent déclencher des pensées, des émotions, des souvenirs et des idées particulières. C'est pourquoi le langage est si puissant. Le langage façonne notre façon de penser et de ressentir et même notre perception du monde.
De nombreuses traditions religieuses vénèrent la langue comme le moteur de la création. C'est certainement pourquoi les gouvernements et les partis politiques cherchent à manipuler le pouvoir du langage par la propagande. S'ils peuvent manipuler la façon dont les gens utilisent et comprennent certains mots, ils peuvent littéralement modifier la façon dont les gens perçoivent la réalité.
C'est pourquoi, chaque fois qu'il y a un effort conscient pour exploiter ou manipuler les mots, il est important d'y prêter attention. Et nous devons faire attention en ce moment. Au cours de la pandémie, nous avons assisté à une nouvelle guerre contre les mots dans le but de contrôler des populations entières et de les « pousser » dans certaines actions ou certains comportements. Cela a été fait de deux manières : soit en exploitant les puissantes connotations d'un mot particulier et en saccageant son sens, soit en modifiant complètement la définition d'un mot.
Mots et phrases attaqués
Petit tour d’horizon de quelques termes qui ont été exploités ces deux dernières années :
Sûr et efficace
Dans ce cas, les politiciens et les organismes de santé publique ont coopté des mots à forte connotation positive pour leurs propres fins. Sûr et efficace est rapidement devenu un mantra utilisé pour décrire les vaccins Covid-19 à une époque où les données pour étayer l'utilisation de ce terme n'étaient pas encore disponibles. Aujourd'hui encore, face aux données officielles démontrant que les injections sont en réalité risquées et inefficaces, ce mantra est toujours utilisé. Ce n'est pas parce que quelqu'un dit à plusieurs reprises que quelque chose est sûr et efficace qu'il l'est.
Vaccin
Avant septembre 2021, le Center for Disease Control (CDC) des États-Unis définissait un vaccin comme «un produit qui stimule le système immunitaire d'une personne pour produire une immunité contre une maladie spécifique, protégeant la personne de cette maladie».
La plupart reconnaîtraient qu'il s'agit là d'une définition appropriée. Cependant, selon cette définition, les nouvelles piqûres d'ARNm ne pourraient techniquement pas être définis comme des vaccins. Ils n'ont jamais été conçus pour produire une immunité contre Covid-19, uniquement pour réduire la gravité des symptômes. Plutôt que d'appeler les technologies d'ARNm quelque chose de plus précis, le CDC a simplement changé la définition du vaccin en "Une préparation qui est utilisée pour stimuler la réponse immunitaire du corps contre les maladies".
RépondreSupprimerEn procédant à ce changement, le CDC a fait valoir qu'il s'agissait simplement d'éviter toute suggestion selon laquelle les vaccins offrent une immunité à 100 %. Lorsque Merriam-Webster a choisi de modifier sa propre définition du dictionnaire du vaccin, ils ont reconnu que c'était en partie pour incorporer la technologie de l'ARNm dans le sens. Mais qui décide de ce que signifie vaccin ? Il y a de bonnes raisons d'affirmer que puisque les technologies d'ARNm ne fonctionnent pas de la même manière que les vaccins précédents, elles ne devraient pas être définies comme telles.
Cas Covid
Voir des rapports quotidiens sur le nombre de cas de Covid dans nos pays respectifs est devenu normal pour beaucoup d'entre nous. Mais qu'est-ce qu'un cas Covid exactement ? Les nombres de cas que nous voyons sont basés sur le nombre de personnes testées positives pour le virus SARS-CoV-2. C'est le virus qui cause la maladie connue sous le nom de Covid-19 - ce n'est pas le Covid-19 lui-même. Une personne peut être porteuse du SRAS-CoV-2 et ne pas avoir le Covid-19, tout comme une personne peut être porteuse du virus varicelle-zona qui peut entraîner le zona, sans jamais avoir de zona. L'hypothèse selon laquelle un test positif pour le SRAS-CoV-2 signifie que vous avez Covid-19 est tout simplement inexacte. Cette inexactitude suggère également que les chiffres des cas de Covid sont extrêmement gonflés.
Entièrement vacciné
Cette définition est devenue une sorte de cible mouvante. Que vous soyez considéré comme complètement vacciné ou non dépend de l'endroit où vous vivez et du moment où vous le demandez. Dans certains pays, deux piqûres suffisent encore pour qu'une personne soit considérée comme totalement vaccinée contre le Covid-19. En Autriche, la barre a été relevée à trois coups, et de nombreux pays comme le Royaume-Uni, la Croatie, la Suisse et la Grèce ont l'intention de faire de même. En Israël, où un quatrième vaccin est déjà disponible, chaque injection de rappel ne prolonge le statut entièrement vacciné d'une personne que de six mois.
Dans le monde d'aujourd'hui, les gouvernements semblent dicter ce que signifie complètement vacciné et exploiter leur pouvoir pour modifier la définition à leur guise.
Utilisons les termes de la bonne manière
L'utilisation abusive de ces termes – et de bien d'autres – est devenue monnaie courante. En conséquence, de nombreuses personnes croient encore que les «vaccins» à ARNm offrent une immunité durable simplement parce qu'ils sont définis comme des vaccins et que c'est ce que les vaccins sont censés faire. Les gens s’inquiètent naturellement du nombre de cas de Covid, sans se rendre compte qu’en fait, bon nombre de ces « cas » ne sont pas du tout des cas de Covid. De même, les gens considèrent ces nouvelles technologies d'ARNm comme sûres et efficaces, même si les dernières données suggèrent le contraire.
Ce n'est cependant pas chose faite. Il est temps pour nous tous de faire l'effort conscient d'utiliser ces termes correctement et, le cas échéant, de corriger gentiment ceux qui les utilisent à mauvais escient. Ce faisant, nous apportons une image plus précise de la façon dont les choses sont vraiment - et avec la clarté vient l'autonomisation et la compréhension.
RépondreSupprimerhttps://preppgroup.home.blog/2022/12/03/the-war-on-words-great-propaganda-tricks-of-today-changing-the-meaning-of-words-the-sly-mind-games-of-lying-manipulative-bastards-explained/
Le top demeure le mot 'asymptomatique'.
SupprimerPar exemple vous êtes pauvre mais l'on vous dit que vous êtes asymptomatique et ne connaissez pas la richesse que vous avez !! ("Vous n'aurez rien et serez heureux" !)
Vous êtes con à vous faire piquer mais l'on vous dit que vous êtes asymptomatique et ne connaissez pas votre intelligence ! (ou le contraire).
Ou plus communément vous êtes en bonne santé (ou en très bonne santé) et l'on vous dit que vous êtes asymptomatique et ne connaissez pas la maladie cachée à l'intérieur de vous qui peut tuer votre voisin ! ÔH PUTAING !!
Et là vous est proposé la-piqûre-qui-tue (l'expérimentation génique d'essais frauduleusement et criminellement appelée 'vaccin' !!) qui va vous faire du bien !!
Mais il y a aussi un mot qui est plus ancien et que personne ne s'attarde à vérifier ce qu'il veut dire c'est le mot 'virus'. Prenez un dictionnaire. Ce mot désigne depuis toujours une poussière mais est employé au sens large jusqu'à infecter les ordinateurs !! (Mettre un antivirus !) ou est employé plus fréquemment pour décrire une passion ! "Le virus du football", "Le virus du cinéma", "Le virus de la bonne bouffe", etc, etc.
Verrouillages climatiques à venir ? Vous serez suivi dans votre banlieue et heureux.
RépondreSupprimerPar Jo Nova
December 3rd, 2022 |
La ville en 15 minutes est un plan de l'ONU et du WEF, car ils se soucient de vous et veulent que vous conduisiez moins.
- voir croquis sur site -
Un dessin du WEF rien que pour vous braves filles et garçons :
15 Minute City, WEF, ONU.
Selon les propres mots du WEF, ce réaménagement des villes concerne absolument le changement climatique :
Alors que le changement climatique et les conflits mondiaux provoquent des chocs et des stress à des intervalles plus rapides et de plus en plus graves, la ville de 15 minutes deviendra encore plus critique.
Et la solution était la pandémie (ils disent vraiment ça) :
La réponse évidente, mais incomplète, est la pandémie…. avec COVID-19 et ses variantes gardant tout le monde à la maison (ou plus près de chez soi que d'habitude), la ville de 15 minutes est passée d'un "agréable à avoir" à un cri de ralliement. Répondre à tous ses besoins à une distance de marche, de vélo ou de transport en commun était soudainement une question de vie ou de mort.
Et puis apparaît la main noire des managers totalitaires, comme James Woudhuysen, averti dans Spiked fin octobre :
La folie de la « ville 15 minutes »
L'agenda vert s'inspire des jours illibéraux du confinement.
À cette fin, le conseil du comté d'Oxfordshire, qui est dirigé par les travaillistes, les libéraux démocrates et le parti vert, souhaite diviser la ville d'Oxford en six districts de «15 minutes». Dans ces quartiers, dit-on, la plupart des produits ménagers de première nécessité seront accessibles en un quart d'heure à pied ou à vélo, et les habitants n'auront donc pas besoin de voiture.
En surface, ces quartiers de 15 minutes peuvent sembler agréables et pratiques. Mais il y a un bord coercitif. Le conseil prévoit de réduire l'utilisation de la voiture et les embouteillages en imposant des règles strictes sur les trajets en voiture.
Les résidents devront enregistrer leurs voitures auprès du conseil et ils seront suivis pour compter leurs trajets à travers les principales passerelles. C'est le système de crédit social qui commence avec votre voiture et fonctionne comme des points anti-grand voyageur.
Selon les nouvelles propositions, si l'un des 150 000 habitants d'Oxford conduit en dehors de son district désigné plus de 100 jours par an, il pourrait être condamné à une amende de 70 £.
Le concept de la ville en 15 minutes est né avec « C40 ». Présidé aujourd'hui par le maire de Londres Sadiq Khan, le C40 se définit comme un "réseau de maires de près de 100 villes de premier plan au monde collaborant pour fournir l'action urgente nécessaire dès maintenant pour faire face à la crise climatique".
Verrouillages climatiques ? Sérieusement ?
RépondreSupprimerCela semble un peu ridicule de suggérer un verrouillage « pour le climat », mais écoutez la BBC. Ils travaillent terriblement dur pour nous persuader – ils pensent évidemment que les électeurs ne voudront pas cela. Ici, ils connectent la "ville de 15 minutes" au plaisir des verrouillages covid, et mettent cela en place comme s'il était tout à fait normal que le gouvernement décide qui sont vos amis :
Comment les «villes de 15 minutes» vont changer notre façon de socialiser
Et en plus les confinements à Paris ont été de grands moments sociaux où nous nous sommes tous fait des amis. Qui savait à quel point ce serait amusant de se faire dire que vous ne pouviez pas conduire loin ?
.. pour Fraioli, le confinement de deux mois qui a débuté le 17 mars – la confinant dans un rayon de 1 km autour de son domicile – lui a donné une vision nuancée et enrichissante de son quartier. "J'ai découvert qu'il était possible de se sentir dans un petit village de Paris", dit-elle. « Pour connaître ses voisins, entretenir de bons liens avec les commerçants, privilégier les artisans et commerces locaux aux grandes surfaces. J'ai même rejoint un mouvement citoyen où les gens préparent des paniers de nourriture pour les sans-abri. Je pensais que j'aurais du mal à vivre le confinement, mais j'étais parfaitement chez moi, au calme.
Je ne semble pas me souvenir de "faire connaissance avec les voisins" comme faisant partie d'un verrouillage n'importe où ?
Et attention - la ville de 15 minutes n'est pas seulement Oxford, mais aussi Brisbane, Melbourne, Barcelone, Paris, Portland et Buenos Aires. Il y en a partout.
Logo de l'ONU sur les changements climatiques
Le conseil municipal d'Oxford avance plus vite que les autres
Apparemment, pas assez de gens prennent le bus ou font du vélo. Mais au lieu de rendre cela plus attrayant, les totalitaires le forceront par le biais d'un suivi et d'amendes. L'Oxfordshire vient d'approuver, le 29 novembre, l'essai des "filtres de trafic" qui transformera la ville en une "ville à quinze minutes". Le procès débutera en janvier 2024.
C'est une zone surpeuplée, l'Oxfordshire, et personne n'aime les embouteillages, mais dans un monde libre, le problème se limite d'eux-mêmes car les conducteurs en ont assez des retards et des frais de stationnement exorbitants, et ils font du covoiturage ou choisissent de prendre le bus ou de prendre le bus. un vélo. Mais dans l'État de Big Nanny, les dirigeants locaux commencent à établir des règles sur qui peut et ne peut pas visiter et à quelle fréquence, et ils veulent que votre voiture soit enregistrée sur leur propre liste spéciale avec des caméras pour vous suivre et des amendes pour vous punir. Ils offrent bien sûr des exemptions, mais vous devez ensuite en faire la demande et obtenir la permission.
Le conseil du comté d'Oxfordshire a adopté un «essai» de verrouillage climatique pour commencer en 2024
RépondreSupprimerVision News, 30 novembre
Le conseil municipal d'Oxford avance plus vite que les autres
Apparemment, pas assez de gens prennent le bus ou font du vélo. Mais au lieu de rendre cela plus attrayant, les totalitaires le forceront par le biais d'un suivi et d'amendes. L'Oxfordshire vient d'approuver, le 29 novembre, l'essai des "filtres de trafic" qui transformera la ville en une "ville à quinze minutes". Le procès débutera en janvier 2024.
C'est une zone surpeuplée, l'Oxfordshire, et personne n'aime les embouteillages, mais dans un monde libre, le problème se limite d'eux-mêmes car les conducteurs en ont assez des retards et des frais de stationnement exorbitants, et ils font du covoiturage ou choisissent de prendre le bus ou de prendre le bus. un vélo. Mais dans l'État de Big Nanny, les dirigeants locaux commencent à établir des règles sur qui peut et ne peut pas visiter et à quelle fréquence, et ils veulent que votre voiture soit enregistrée sur leur propre liste spéciale avec des caméras pour vous suivre et des amendes pour vous punir. Ils offrent bien sûr des exemptions, mais vous devez ensuite en faire la demande et obtenir la permission.
Le conseil du comté d'Oxfordshire a adopté un «essai» de verrouillage climatique pour commencer en 2024
Vision News, 30 novembre
Le conseil du comté d'Oxfordshire a approuvé hier des plans visant à enfermer les résidents dans l'une des six zones pour «sauver la planète» du réchauffement climatique. La dernière étape du programme de la «ville en 15 minutes» consiste à placer des portails électroniques sur les routes principales à l'intérieur et à l'extérieur de la ville, confinant les résidents dans leurs propres quartiers.
Dans le cadre du nouveau programme, si les résidents veulent quitter leur zone, ils auront besoin de l'autorisation du Conseil qui décide qui est digne de liberté et qui ne l'est pas. Dans le cadre du nouveau programme, les résidents seront autorisés à quitter leur zone un maximum de 100 jours par an, mais pour même gagner cela, chaque résident devra enregistrer les détails de sa voiture auprès du conseil qui suivra ensuite ses mouvements via des caméras intelligentes autour du ville.
Chaque résident devra enregistrer sa voiture auprès du conseil de comté qui surveillera ensuite le nombre de fois qu'il quitte son quartier via des caméras de reconnaissance de plaque d'immatriculation.
En fin de compte, ces programmes surgérés de manière agressive signifient plus de paperasse, plus de suivi, plus d'emplois pour les bureaucrates et plus de laissez-passer gratuits pour les «amis» du Big Government.
Plus vous avez de règles, plus le système devient corrompu. Par exemple, certains pâtés de maisons sont inclus dans la liste des favoris avec 100 laissez-passer, tandis que d'autres n'en obtiennent que 25 - de sorte que les valeurs de propriété des adresses du cercle intérieur augmentent. En prime, dans les années à venir, les promoteurs immobiliers «au courant» et sur la liste des favoris de certains conseillers peuvent organiser le rezonage le bon jour (celui après l'achat de la propriété) et le tour est joué - c'est une belle plus-value pour eux
- voir croquis sur site -
« Reconnecting Oxford » veut mettre fin à ces blocages artificiels
RépondreSupprimerCarte des filtres de trafic d'Oxford.
De « Reconnecting Oxford » –– un mouvement de protestation pour arrêter les filtres et les fermetures de routes.
Les conseillers ont tenu un important processus de consultation, mais connaissaient apparemment le résultat. Cela en dit long sur l'attitude d'un conseiller qui a dit que cela allait de l'avant, que cela plaise ou non.
Les filtres de circulation diviseront la ville en six quartiers de «15 minutes», convient le conseiller des autoroutes
Courrier d'Oxford, 24 octobre
Les blocs ROAD empêchant la plupart des automobilistes de traverser le centre-ville d'Oxford diviseront la ville en six quartiers de «15 minutes», a déclaré un chef des voyages du conseil de comté.
Et il a insisté sur le fait que le plan controversé irait de l'avant, que les gens l'apprécient ou non.
Les entreprises d'Oxford ne sont pas impressionnées :
L'hôtelier Jeremy Mogford, propriétaire du Old Bank Hotel à High Street et du Old Parsonage Hotel and Gees, tous deux à Banbury Road, a qualifié le plan de désastreux pour les affaires.
Il avait précédemment déclaré à l'Oxford Mail: «Ce que nous avons, ce sont des gens qui prennent des décisions qui ne vivent pas dans le centre-ville ou ne passent pas beaucoup de temps dans la ville.
"Le conseil a adopté la position que le changement climatique est réel"
Le météorologue sceptique et à long terme Piers Corbyn s'est adressé au conseil pour l'avertir :
[Piers Corbyn a dit] "Le fait est que la base de ces documents est fausse - le changement climatique d'origine humaine n'existe pas et si vous ne me croyez pas, regardez le ciel. Vous devriez avoir une réunion spéciale pour discuter de l'existence ou non d'un changement climatique d'origine humaine.
Répondant aux affirmations de M. Corbyn, le conseiller Andrew, membre du cabinet du conseil pour la gestion des autoroutes, a déclaré: «M. Corbyn a déclaré que le changement climatique n'est pas réel – ce conseil a officiellement adopté une position selon laquelle le changement climatique est réel.
"Monsieur Corbyn, vous avez tort, nous avons raison."
Bon c'est ça alors. Les conseils contrôlent la météo. Si cela n'avait rien à voir avec le changement climatique, ils auraient pu dire "nous verrons" et le renvoyer quand même. Mais ils doivent croire...
Le conseil d'Oxfordshire a déjà exaspéré les entreprises locales plus tôt cette année avec des fermetures de routes et des mesures d'apaisement de la circulation qui ont considérablement réduit la clientèle. Les chauffeurs ont détruit 20 bornes en moins de trois semaines, et un propriétaire de café frustré a installé un panneau d'affichage géant en signe de protestation disant "Voilà pour la démocratie". Même les cyclistes n'aiment pas les mesures de ralentissement de la circulation, affirmant que leurs trajets routiers sont plus dangereux. Il y a au moins un groupe de protestation d'Oxford qui semble avoir réussi à arrêter les fermetures de routes.
RépondreSupprimerAlors, qui veut les filtres de trafic ? L'Université d'Oxford et les compagnies de bus, et le conseil qui s'attend à gagner 1,1 million de livres sterling en infligeant des amendes aux conducteurs errants.
Sur la page de consultation du conseil municipal d'Oxford, nous voyons que le plan consiste à réduire les trajets que vous jugez nécessaires, mais pas les conseillers.
Pourquoi introduisons-nous des filtres de trafic d'essai ?
Dans tout notre département, nous voulons réduire les déplacements inutiles en véhicules privés et faire de la marche, du vélo, des transports publics et partagés le premier choix naturel.
Cela nous aidera à fournir un système de transport abordable, durable et inclusif qui permet au comté de prospérer tout en protégeant l'environnement et en faisant de l'Oxfordshire un meilleur endroit où vivre pour tous les résidents.
Et il s'agit de "protéger l'environnement" en vous traquant et en résistant à vos déplacements.
Canterbury prévoit quelque chose d'étrangement similaire –– diviser la ville en cinq quartiers différents avec des conducteurs incapables de traverser les zones sans être condamnés à une amende. L'ancien système de quadrillage des villes offrait des distances plus courtes et plus de choix. Le nouveau système n'offre que plus d'obstacles et moins de liberté.
h/t David Maddison, John Connor II et Tonyb
MISE À JOUR: le message a été réédité pour clarifier exactement ce qui se passe à Oxford et pour préciser le lien entre le plan «villes de 15 minutes» et le changement climatique et les fermetures pandémiques, grâce aux commentaires de Tonyb.
https://joannenova.com.au/2022/12/oxford-2024-climate-lockdowns-start-you-will-be-tracked-and-trapped-in-your-suburb-and-happy-about-it/#more-88059
Il n'y a aucune raison de diminuer voire de s'astreindre à consommer de l'énergie. Quelle vienne de la combustion de pétrole, de charbon, de gaz ou du nucléaire rien ne manque à notre planète depuis des milliers d'années et, leurs combustions se recyclent à 100 %. Tout est abiotique.
SupprimerÉnergie : s’appuyer sur les erreurs passées pour construire l’avenir
RépondreSupprimerSeule une analyse honnête des fautes du passé permet la justesse du diagnostic présent et la mise en place des mesures correctrices salvatrices.
le 5 décembre 2022
Par Jean-Pierre Riou et Michel Gay.
Notre système énergétique serait bien meilleur aujourd’hui sans l’impéritie des dirigeants de ces 25 dernières années. Il est nécessaire de reconnaître les fautes passées afin de donner aux jeunes l’envie de faire autrement et de fournir les efforts nécessaires pour construire un monde plus confortable pour tous car la décroissance n’est pas une fatalité.
Interroger le passé
Seule une analyse honnête des fautes du passé permet la justesse du diagnostic présent et la mise en place des mesures correctrices salvatrices. Interroger le passé permet d’éclairer l’avenir.
Le potentiel d’alternatives aux énergies fossiles, et notamment le nucléaire, a été sacrifié sur l’autel d’un électoralisme honteux au lieu de mettre en avant l’intérêt général consistant à diminuer notre dépendance au gaz et au pétrole.
La future raréfaction des ressources fossiles exige un regard nouveau sur l’utilisation des autres sources disponibles, surtout lorsqu’elles sont décarbonées comme le nucléaire et l’hydraulique.
L’énergie finale consommée ne représente qu’une partie minoritaire (un tiers) de l’énergie primaire produite dont les deux autres tiers sont actuellement relâchés stérilement dans l’environnement sous forme de chaleur.
L’énergie dans le monde
En 2021, les trois quarts de la production mondiale d’énergie primaire proviennent des énergies fossiles (79 %) dont le remplacement par d’autres sources sera difficile.
Le nucléaire en a fourni 5 % et l’usage traditionnel de la biomasse 4 %.
Les 12 % « autres » restants sont inégalement répartis dans un fourre-tout trompeur incluant les bioénergies modernes (7 %), l’hydraulique (3 %), l’éolien (1 %) et le solaire (1 %).
- voir graph sur site -
L’énergie en France
RépondreSupprimerFaute de pétrole, de charbon et de gaz dans le sous-sol français, l’atout de la production d’énergie nucléaire saute aux yeux dans l’illustration ci-dessous provenant du ministère de l’Écologie :
« À la suite de la mise en place du programme nucléaire, la production française d’énergie primaire est passée de 514 TWh en 1973 (dont 9 % de nucléaire) à 1423 TWh en 2020 (dont 75 % de nucléaire ».
- voir graph sur site -
Le gâchis d’énergie primaire
Les données de RTE sont exprimées en énergie finale après que les deux tiers de l’énergie primaire nucléaire ont été utilisés pour la produire.
La notion d’énergie primaire reste fondamentale pour évaluer la quantité d’énergie nécessaire à la source avant transformation en énergie finale (celle qui est payée).
Or, des technologies permettent de limiter ce gâchis. Il existe également de nombreuses applications non électriques de cette filière nucléaire (chauffage urbain, dessalement d’eau de mer, chaleur industrielle, hydrogène…).
Ainsi par exemple, la cogénération nucléaire peut faire passer le rendement d’une centrale électrique de 33 % à plus de 80 %, avec des pertes thermiques de 2 % sur une distance de 100 km pour chauffer des agglomérations.
Le véritable prix du nucléaire
La prolongation du nucléaire français existant est de loin la plus rentable de toutes les filières de production d’électricité avec notamment un coût de production à moins de 40 euros/MWh pour une prolongation de 10 ans et à environ 30 euros/MWh pour 20 ans.
Le taux d’intérêt de l’emprunt joue un grand rôle dans le coût de production nucléaire de l’électricité. Avec un taux passant de 7 % à 3 %, le coût du nucléaire français de génération III (EPR2), déjà compétitif, diminuerait d’environ 71 euros/MWh à 45 euros/MWh.
Cette évaluation de la rentabilité de l’EPR2 est cohérente avec les chiffres publiés par le gouvernement en septembre 2022 qui évalue sa production à 100 euros/MWh pour un coût du capital de 7 % et à 40 euros/MWh pour un taux de 1 %.
Avec ce taux de 3 %, une centrale à gaz se trouverait disqualifiée par l’augmentation actuelle du prix du gaz qui l’amènerait à une production d’environ 100 dollars/MWh. (Ce coût concerne une centrale belge, à défaut de données disponibles concernant un projet de centrale française à gaz).
L’AIE attire aussi l’attention sur les comparaisons de compétitivité entre les différentes filières en raison des coûts induits sur le système électrique par l’intermittence de certaines productions (renforcement du réseau, besoins supplémentaires de flexibilité avec des centrales à gaz ou au charbon, moyens de stockage). Ces surcoûts doivent être intégrés dans les MWh produits sans corrélation avec les besoins.
La fragilisation du réseau électrique
RépondreSupprimerLa variabilité fatale et l’intermittence de l’éolien et du photovoltaïque fragilisent le système électrique.
En décembre 2021, le gestionnaire du réseau européen (ENTSOE) avait rappelé l’importance de l’inertie dynamique permise par les masses des turboalternateurs des centrales conventionnelles. Elles tournent de façon synchrone sur le réseau européen à 50 Hz pour en stabiliser l’équilibre afin d’éviter des incidents sévères :
« La diminution des niveaux d’inertie – en raison de l’intégration à grande échelle des sources renouvelables – pose des défis à long terme pour la stabilité des fréquences du système de transport, avec des impacts possibles sur la résilience du futur système ».
Le 15 novembre 2022, General Electric vient de presser l’Allemagne de réaliser les 30GW supplémentaires de centrales à gaz nécessaires avant 2030 pour stabiliser rapidement les variations de sa production.
En France le gestionnaire du réseau n’ignore pas que l’introduction des énergies renouvelables intermittentes (EnRI) est « un vrai challenge que RTE devra relever ».
En mai 2021, l’Agence internationale de l’énergie (AIE) montrait la difficulté de « garantir un approvisionnement fiable et durable en éléments vitaux pour les véhicules électriques, les réseaux électriques, les éoliennes et d’autres technologies clés » de notre modèle intermittent de transition énergétique bien plus gourmand en minéraux que le système conventionnel.
Le rendez-vous raté
Il s’agit de prendre aujourd’hui toute la mesure des rendez-vous ratés des 25 dernières années marquées par l’accord du Parti socialiste avec les verts en 1996 et la scandaleuse fermeture de Superphénix en 1998. Ce réacteur, dont ASTRID aurait pu prendre la suite mais qui a été abandonné en 2019, aurait permis de développer la technologie de surgénération pour laquelle la France dispose de 5000 ans de combustible en réserve sous forme d’uranium appauvri.
Une politique visionnaire et courageuse aurait prolongé l’épopée nucléaire d’EDF après l’année 1996 et permit à la France de profiter d’un parc nucléaire intégralement remboursé par EDF grâce à la seule vente de sa production d’électricité parmi les moins chères d’Europe. Cette véritable rente aurait ainsi assuré le renouvellement du parc et l’amélioration des centrales existantes.
Mais au contraire, l’État s’est ingénié :
à spolier EDF de sa « rente nucléaire », en décidant en 2013 de mettre cette entreprise à contribution pour financer la transition énergétique fondée sur des éoliennes et des panneaux photovoltaïques ;
à contraindre EDF depuis 2011 à céder 100 TWh (120TWh aujourd’hui) à ses concurrents par l’obligation de l’ARENH ;
à vouloir diminuer la puissance de son parc, y compris en fermant des réacteurs en parfait état de fonctionnement, comme Fessenheim ;
à démobiliser la filière en l’incitant à changer de métier pour démanteler ses réacteurs.
Dégradation de l’indépendance énergétique allemande
RépondreSupprimerEn Allemagne, les énergies renouvelables ne représentent que 15,7 % de la consommation d’énergie primaire (contre 12,9 % en France selon le ministère).
De plus, la part des énergies renouvelables dans la consommation finale d’énergie en Allemagne (celle réellement consommée) est strictement la même que celle de la France (19,3 %).
Pourtant, la Commission européenne menace la France d’une lourde amende (500 millions d’euros) pour n’avoir pas atteint ses objectifs en matière d’énergies renouvelables, ce qui consacre sa confusion entre objectifs et moyens. La Commission souligne surtout sa propre politique illusoire et brouillonne de sortie du nucléaire et son gâchis d’argent public engagé dans une impasse dogmatique.
L’Allemagne a consommé 286 millions de tonnes équivalent pétrole (Mtoe) d’énergie primaire en 2021 pour une production de 102 Mtoe. La France en a consommé 235 Mtoe pour une production de 128 Mtoe, soit une production nationale de 54,5 % de sa consommation pour la France et de 35,7 % pour l’Allemagne.
L’Allemagne produisait 53,1 % de son énergie primaire en 1990. Ce pays n’en produit plus que 40,3 % en 2000. Ce pays prouve ainsi l’incapacité de ses EnRI à améliorer son indépendance énergétique.
La France devrait tirer des leçons de cet échec allemand.
La souveraineté énergétique ne consiste pas à inonder (en le fragilisant) le réseau électrique européen dès que le vent souffle et que le soleil brille.
Les erreurs du passé soutiendront l’avenir
Il importe de prendre la mesure du potentiel nucléaire décarboné sacrifié sur l’autel d’un électoralisme honteux au lieu de le soutenir courageusement pour diminuer la dépendance de la France au gaz et au pétrole.
Même si le temps presse, la conscience des rustines éparses (éolien, PV) appliquées dans le plus grand désordre depuis près de 30 ans, ainsi que le diagnostic des opportunités manquées et des plaies béantes du mix énergétique d’aujourd’hui sont indispensables avant le développement d’une vision de long terme.
En délaissant la proie du nucléaire pour l’ombre des renouvelables intermittentes, la France commence seulement à comprendre qu’elle ne pourra pas se passer de l’électricité abondante, bon marché, propre et pilotable du nucléaire.
Il est urgent de mesurer la gravité du danger de la fragilisation du système électrique par les EnRI et de reconnaître enfin les fautes du passé. Il s’agit de les corriger avant de relancer vigoureusement le nucléaire pour faire renaître cette filière et, avec elle, toute l’industrie française et européenne.
https://www.contrepoints.org/2022/12/05/444769-energie-sappuyer-sur-les-erreurs-passees-pour-construire-l-avenir
Cette vérité évoquée par Jean-Pierre Riou et Michel Gay nous la connaissons toutes et tous et n'est donc pas celle que nous attendions. Car, chez les mongoliens qui dirigent, ils ont aussi cette connaissance ! Mais alors pourquoi ? Voila la question.
SupprimerFaut voir que c'est Vanguard et Black Rock qui sont propriétaire... de la planète !
Seules DEUX Entreprises, Vanguard et BlackRock, contrôlent la planète tandis que les 1% les plus riches du monde détiennent 82% (100 % en 2024) de la richesse mondiale.
Qui possède BlackRock ?
Actionnaires:
Wellington Management 2,95 %
China Investment Corporation 1,99 %
BlackRock Fund Advisors 1,84 %
Norges Bank Investment Management 1,80 %
Merrill Lynch, Pierce, Fenner & Smith 1,51 %
BlackRock est le plus grand gestionnaire d'actifs au monde, détenant près de 7 800 milliards de dollars d'encours en octobre 2020 [1]. Son modèle repose sur la gestion et le placement d'argent provenant de fonds de pension, d'assurances et de petits épargnants.
The Vanguard Group est une société américaine de fonds d'investissement. Le groupe est basé à Malvern en Pennsylvanie et offre différents types de placements et autres produits financiers pour des individus, des sociétés ou des investisseurs institutionnels.
Dès lors que l'on prend connaissance de cette situation ci-dessus l'on comprend qu'ils peuvent fermer des usines qui leur appartiennent comme des millions d'autres entreprises (d'engrais, d'électricité, etc, etc).
A Klaus Schwab et autres trisomiques d'inventer la science du gaz carbonique, de l'azote, des faux vaccins et virus et autres renouvelables-bio-sans-ogm-et-décarbonés !
Il n'y a plus d'élections, il n'y a que des politiques qui gèrent l'armée, la police et les Vanguard et Black Rock qui se disent de posséder le sol sous vos pieds !
"Quand on a pas de pétrole faut avoir des idées !" Cet hiver vos idées ont intérêt à être chaudes et lumineuses !
La Norvège et l'Allemagne demandent à l'OTAN de protéger les gazoducs sous-marins
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 05 DÉCEMBRE 2022 - 10:15
Via Remix News,
Le chancelier allemand Olaf Scholz et le Premier ministre norvégien Jonas Haar Støre ont appelé l'OTAN à protéger les pipelines sous-marins et les câbles de communication en créant une structure spéciale de coordination, selon Deutsche Welle.
« Les pipelines, les câbles téléphoniques et Internet sont des communications vitales pour nos États ; leur sécurité devrait être la priorité absolue », a déclaré Scholz à la suite de sa rencontre avec le Premier ministre norvégien Jonas Gahr Støre à la veille de la Conférence de Berlin sur la sécurité.
Il a ajouté que les récentes attaques contre les pipelines Nord Stream et Nord Stream 2 ont montré à quel point les risques sont élevés dans ce domaine.
Le secrétaire général de l'OTAN, Jens Stoltenberg, a salué l'initiative.
"Nous avons renforcé les mesures de sécurité à la suite du récent sabotage du Nord Stream, et il est vital que nous fassions encore plus pour nous assurer que notre infrastructure maritime est protégée contre de futures attaques", a déclaré Stoltenberg.
Le Premier ministre norvégien a également déclaré que son pays consacrerait une partie de ses revenus d'exportation de gaz à aider l'Ukraine et d'autres pays touchés par la crise énergétique mondiale. La hausse des prix de l'énergie causée par l'invasion de l'Ukraine par la Fédération de Russie a apporté des bénéfices supplémentaires à la Norvège.
Scholz a remercié la Norvège pour l'augmentation de 10 % des livraisons de gaz à l'Allemagne, alors que Berlin tente de compenser la réduction des livraisons en provenance de Russie. Scholz a également déclaré que son pays continuerait d'être un leader dans la défense de l'Europe et des libertés européennes.
"Aucun agresseur ne devrait douter que nous ayons la ferme intention de défendre chacun de nos alliés et chaque centimètre carré du territoire de l'alliance avec toutes les forces à notre disposition", a déclaré la chancelière allemande.
Pendant ce temps, le ministre allemand de la Justice, Marco Buschmann, a avoué que l'Allemagne avait peut-être contribué à l'agression de la Russie contre l'Ukraine parce qu'elle soutenait le gazoduc Nord Stream 2.
"Sachant ce que nous savons aujourd'hui, la décision de poursuivre Nord Stream 2 après l'annexion de la Crimée en 2014 a été la contribution de l'Allemagne au déclenchement de la guerre en Ukraine", a déclaré Buschmann dans un discours de bienvenue lors d'une réunion des ministres de la justice du G7 à Berlin.
Il a ajouté qu'il était du devoir de l'Allemagne de "confronter directement cette vérité" et d'en "tirer les bonnes conclusions".
https://www.zerohedge.com/geopolitical/norway-germany-ask-nato-protect-underwater-gas-pipelines
La Chine et l'Inde achètent du brut russe avec une remise de 40 % par rapport aux pays de l'UE
RépondreSupprimerdimanche 04 décembre 2022
par : Kevin Hughes
(Natural News) Alors que les membres de l'Union européenne ne parviennent pas à s'entendre sur le prix plafond du brut russe, les pays asiatiques que sont la Chine et l'Inde l'achètent avec une remise de 40 %.
Un rapport du 27 novembre de Julian Lee, stratège pétrolier pour Bloomberg, a déclaré que le pétrole brut russe phare de l'Oural s'échangeait 33,28 $ de moins le baril par rapport au pétrole brut international Brent. Il y a un an, l'Oural se négociait à un rabais beaucoup plus faible de 2,85 $.
Le rapport de Lee est sorti le jour même où l'Union européenne a de nouveau échoué à parvenir à un accord sur un plafonnement des prix du pétrole russe. Les membres les plus à l'est du bloc, dont la Pologne, l'Estonie, la Lettonie et la Lituanie, se sont opposés à la proposition de 60 à 70 dollars le baril de brut russe. Ils soutiennent qu'il est trop généreux et bien supérieur aux tarifs que la Russie vend actuellement du brut.
"Si vous fixez un plafond de prix trop élevé, cela ne mord pas vraiment", a déclaré le vice-président de la Commission européenne Valdis Dombrovskis dans une interview à Bloomberg TV. "Le pétrole est la plus grande source de revenus pour le budget russe, il est donc très important de bien faire les choses afin que cela ait vraiment un impact sur la capacité de la Russie à financer cette guerre."
D'après les calculs de Bloomberg, l'effet de la guerre russo-ukrainienne pourrait coûter à Moscou environ 4 milliards de dollars par mois en revenus énergétiques. En réponse, Moscou serait en train de rédiger un décret présidentiel interdisant aux sociétés pétrolières russes et aux négociants de vendre du brut à quiconque s'engageant dans un plafonnement des prix. (Connexe: la Russie va arrêter les exportations de pétrole vers les pays qui imposent un plafond de prix sur le brut russe.)
Pendant ce temps, la secrétaire américaine au Trésor, Janet Yellen, a fait remarquer que le brut russe acheté par Pékin ou New Delhi n'alarme pas du tout Washington.
"Si le pétrole russe va se vendre à des prix avantageux, nous sommes heureux que l'Inde obtienne cette aubaine, ou l'Afrique ou la Chine", a-t-elle déclaré à Reuters. "C'est bon."
Le brut de l'Oural a trouvé un marché à l'Est
Bien qu'elle doive importer 80 % de son pétrole, l'Inde n'a jamais ressenti le besoin d'importer d'énormes quantités de brut russe. Une grande partie de ses importations de pétrole provient d'Irak, d'Arabie saoudite, des Émirats arabes unis et du Nigeria.
En 2021, l'Inde a importé un total de 12 millions de barils de brut russe. Mais un rapport de mai 2022 a montré une "augmentation significative" des expéditions de pétrole russe vers l'Inde. Le pays d'Asie du Sud a dépensé 5,1 milliards de dollars en pétrole, gaz et charbon russes au cours des trois premiers mois après le déclenchement de la guerre russo-ukrainienne – plus de cinq fois le montant qu'il a dépensé en 2021 selon Bloomberg.
RépondreSupprimerSamir Kapadia, responsable des relations commerciales du cabinet de conseil en relations gouvernementales Vogel Group, a expliqué pourquoi l'Inde n'a pas tardé à profiter de la baisse des prix du brut russe.
« Aujourd'hui, les motivations du gouvernement indien sont économiques et non politiques. L'Inde cherchera toujours un accord dans sa stratégie d'importation de pétrole", a-t-il déclaré à CNBC dans un e-mail. "Il est difficile de ne pas bénéficier d'une remise de 20% sur le brut lorsque vous importez 80 à 85% de votre pétrole, en particulier dans la foulée de la pandémie et du ralentissement de la croissance mondiale."
La Chine reste cependant le plus gros acheteur de produits énergétiques russes. Pékin a dépensé au total 18,9 milliards de dollars entre mars et mai 2022, les trois premiers mois après le déclenchement de la guerre russo-ukrainienne. C'est presque le double du montant dépensé par la Chine par rapport à l'année précédente.
FuelSupply.news a plus d'histoires sur le pétrole brut russe.
Regardez ce reportage de G News qui explique pourquoi les importations chinoises de pétrole en provenance de Russie ont atteint des niveaux record en mai.
Cette vidéo provient de la chaîne chinoise EVIL CCP sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées :
Le plafonnement des prix entre les États-Unis et l'UE sur le pétrole russe menace les importations de brut et la croissance économique de l'Inde.
Les prix du gaz en Europe augmentent alors que la Russie réduit l'approvisionnement des principaux acheteurs de l'UE.
L'UE sape ses propres sanctions contre la Russie en achetant autant de diesel russe que possible avant le début de l'interdiction.
Les sources comprennent :
ZeroHedge.com
Bloomberg.com
Markets.BusinessInsider.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-12-04-china-india-buying-russian-crude-40-percent-discount.html
Les multinationales agrochimiques et la grande transformation alimentaire
RépondreSupprimerPar Birsen Filip
Mises.org
5 décembre 2022
En juillet 2022, le gouvernement canadien a annoncé son intention de réduire « les émissions provenant de l'application d'engrais de 30 % par rapport aux niveaux de 2020 d'ici 2030 ». Le mois précédent, le gouvernement des Pays-Bas a déclaré publiquement qu'il mettrait en œuvre des mesures visant à réduire « la pollution par l'azote dans certaines zones jusqu'à 70 % d'ici 2030 », afin de respecter les stipulations du « Green Deal » européen, qui vise pour « rendre les politiques de l'UE en matière de climat, d'énergie, de transport et de fiscalité aptes à réduire les émissions nettes de gaz à effet de serre d'au moins 55 % d'ici 2030, par rapport aux niveaux de 1990 ».
En réponse, "les organisations agricoles et agricoles néerlandaises ont déclaré que les objectifs n'étaient pas réalistes et ont appelé à une manifestation", ce qui a conduit les agriculteurs et leurs partisans à se soulever à travers le pays. Le Green Deal conçu artificiellement est l'un des objectifs de l'Agenda 2030, qui a été adopté par 193 États membres des Nations Unies (ONU) en 2015.
Outre l'ONU, l'Agenda 2030 est également soutenu par un certain nombre d'autres organisations et institutions internationales, notamment l'Union européenne, le Forum économique mondial (WEF) et les institutions de Bretton Woods, qui comprennent la Banque mondiale, le Fonds monétaire international Fonds monétaire international (FMI) et l'Organisation mondiale du commerce (OMC). Il est également approuvé par certaines des multinationales agrochimiques les plus puissantes au monde, telles que BASF, Bayer, Dow Chemical, DuPont et Syngenta, qui, ensemble, contrôlent plus de 75 % du marché mondial des intrants agricoles. Ces dernières années, "l'acquisition de Syngenta par ChemChina et la fusion de Bayer et Monsanto" ont "refaçonné l'industrie mondiale des semences". De plus, "DuPont de Nemours a été formé par la fusion de Dow Chemical et DuPont en 2017." Cependant, "dans les 18 mois suivant la fusion, la société a été scindée en trois sociétés cotées en bourse axées sur les domaines suivants : l'agriculture avec Corteva, la science des matériaux avec Dow et les produits spécialisés avec DuPont".
Au cours des dernières années, toutes ces sociétés ont publié des déclarations suggérant que le secteur agricole subira des changements majeurs au cours des trois prochaines décennies et qu'elles se sont engagées à faire leur part pour accélérer la transition vers des politiques dites vertes. En conséquence, ils plaident pour que les gouvernements réorientent les finances publiques de l'agriculture conventionnelle vers l'agriculture régénérative et les sources alternatives de protéines, y compris l'élevage d'insectes et les viandes cultivées en laboratoire.
De plus, BASF, Syngenta et Bayer sont membres de la « European Carbon+ Farming Coalition », qui comprend un certain nombre « d'organisations et d'acteurs tout au long de la chaîne de valeur alimentaire », tels que « COPA-COGECA, Crop In, European Conservation Agriculture Federation (ECAF ), Institut européen d'innovation et de technologie (EIT) Food, HERO, Planet Labs », « Swiss Re, Université de Glasgow, Yara, Zurich et le Forum économique mondial ». À l'origine, cette "coalition est née d'un partenariat entre la plateforme 100 millions d'agriculteurs du Forum économique mondial et son groupe d'action des PDG pour le Green Deal européen".
Son objectif est de « décarboniser le système alimentaire européen » en accélérant la transformation des agricultures et des pratiques agricoles. Plus précisément, la European Carbon+ Farming Coalition vise à atteindre « une expansion brute nulle de la superficie des terres cultivées pour la production alimentaire d'ici 2025, une réduction du total des territoires utilisés pour l'élevage d'environ un tiers d'ici 2030 et une libération conséquente de près de 500 millions d'hectares de terres pour la restauration des écosystèmes naturels à la même date. Selon le WEF, en plus de bénéficier à l'environnement, de tels changements seront également avantageux sur le plan économique, car "changer la façon dont nous produisons et consommons les aliments pourrait créer 4,5 billions de dollars par an en nouvelles opportunités commerciales".
RépondreSupprimerAfin d'accélérer la transformation de l'agriculture au cours des prochaines décennies, BASF appelle à exiger que "les agriculteurs réduisent leur impact environnemental" en réduisant "les émissions de CO2 par tonne de récolte de 30%" et en appliquant "les technologies numériques à plus de 400 millions d'hectares". de terres agricoles. » BASF soutient également l'utilisation à grande échelle d'un certain nombre de nouveaux produits, notamment des « produits de gestion de l'azote », des herbicides, des « nouvelles variétés de cultures », des « inoculants biologiques et des solutions numériques innovantes », afin de rendre les agriculteurs « plus efficaces en matière de carbone et plus résistants aux agressions volatiles ». conditions météorologiques." On estime que de tels changements "contribueraient de manière significative à l'objectif du groupe BASF de 22 milliards d'euros de chiffre d'affaires d'ici 2025".
Pendant ce temps, Syngenta, la deuxième plus grande entreprise agrochimique au monde (après Bayer), qui appartient à une société d'État chinoise appelée ChemChina, se concentre sur "l'agriculture neutre en carbone" sous prétexte de "lutter contre le changement climatique". Plus précisément, il soutient « la fourniture de technologies, de services et de formations aux agriculteurs », ainsi que la poursuite du développement de nouvelles semences génétiquement modifiées qui réduiraient les émissions de gaz carbonique. Selon Syngenta, les "cultures génétiquement modifiées" seront largement utilisées et cultivées dans le monde entier "d'ici 2050".
Cette entreprise promeut également « une transformation vers une agriculture régénérative », qui est censée « conduire à plus de nourriture cultivée sur moins de terres ; réduction des émissions de gaz à effet de serre agricoles ; augmentation de la biodiversité; et l'amélioration de la santé des sols », bien qu'il existe peu de preuves scientifiques ou de données à long terme pour étayer ces affirmations. Néanmoins, Syngenta soutient que le monde a besoin « des gouvernements et des médias… pour encourager l'adoption généralisée » des pratiques régénératives par autant d'agriculteurs que possible.
Bayer plaide également en faveur d'une agriculture régénérative pour aider "les agriculteurs à réduire considérablement la quantité de gaz à effet de serre émis par leurs activités, tout en éliminant le carbone de l'atmosphère". Il affirme en outre qu'il est nécessaire "de passer à une approche régénérative et de rendre les cultures plus résistantes aux impacts climatiques". De plus, tout comme Syngenta, Bayer soutient le développement de "nouvelles technologies d'édition de gènes" afin de réduire "l'empreinte environnementale de l'agriculture mondiale". Pour l'avenir, Bayer prévoit que "dans l'agriculture, la biotechnologie sera un catalyseur essentiel" qui sera utilisé pour "nourrir les 10 milliards de personnes qui seront sur la planète d'ici 2050 tout en luttant contre l'impact du changement climatique".
RépondreSupprimerSemblable à Bayer, BASF et Syngenta, DuPont cherche également à contribuer à réduire "la dépendance aux combustibles fossiles et à protéger la vie et l'environnement". Sa réponse se concentre principalement sur la facilitation de la production et de la consommation de sources alternatives de protéines capables de reproduire "la texture et l'apparence des fibres de viande, et pouvant être utilisées pour prolonger ou remplacer la viande ou le poisson". DuPont a souligné qu'« en 2016, les Américains consommaient environ 26 kg de bœuf par habitant, dont au moins la moitié était consommée sous forme de hamburger. Remplacer seulement la moitié de la viande de hamburger américaine par la protéine SUPRO® MAX », qui a une empreinte carbone jusqu'à quatre-vingts fois inférieure à celle des protéines laitières et de viande, équivaut à retirer « plus de 15 millions de voitures de taille moyenne de la route ».
Certaines des sociétés agrochimiques multinationales les plus puissantes du monde ont immensément profité des accords commerciaux internationaux qui placent leurs intérêts avant ceux des petites et moyennes exploitations, ainsi que des masses, lorsqu'il s'agit de transformer les secteurs de l'alimentation et de l'agriculture. En particulier, l'accord de l'Organisation mondiale du commerce sur les aspects des droits de propriété intellectuelle qui touchent au commerce (ADPIC), qui a été adopté en 1994, a joué un rôle majeur dans la destruction des moyens de subsistance de nombreux agriculteurs, tout en s'avérant lucratif pour les géants de l'agrochimie tels que BASF, Bayer, Dow Chemical, DuPont et Syngenta. C'est principalement parce que l'Accord sur les ADPIC a autorisé le brevetage des semences et des plantes.
En conséquence, des herbes et des plantes indigènes dans un certain nombre de pays différents, dont beaucoup étaient auparavant cultivées depuis des générations, sont devenues la propriété exclusive de puissantes multinationales agrochimiques. Une fois que les plantes et les herbes ont été brevetées, il est interdit aux agriculteurs locaux de s'engager dans les pratiques traditionnelles et de longue date consistant à conserver et à replanter leurs propres semences. Au lieu de cela, ils sont tenus de payer les sociétés détentrices de brevets pour les mêmes semences qu'ils avaient auparavant produites, conservées, replantées et échangées sans frais.
RépondreSupprimerDe puissantes multinationales agrochimiques ont également favorisé leurs propres intérêts et programmes en exerçant une influence sans précédent sur la recherche et le développement dans l'industrie alimentaire, tout en ignorant toute découverte démontrant que leurs pratiques commerciales étaient nocives pour l'environnement naturel. En particulier, certaines de ces grandes entreprises agrochimiques ont concentré leurs efforts et leurs ressources sur l'étude des «organismes génétiquement modifiés (OGM), la création de pesticides et d'engrais synthétiques plus puissants et la défense des performances de ces produits».
Ils ont également soutenu l'expansion des cultures OGM en sachant que leur culture implique "l'application de plus grandes quantités" d'"engrais et de pesticides synthétiques", ce qui a conduit à de grandes quantités de produits chimiques toxiques contaminant le sol et les sources d'eau. Fondamentalement, ces sociétés agrochimiques ont été en grande partie responsables de la création de nombreux problèmes environnementaux qui, selon elles, doivent être résolus de toute urgence par le biais de l'Agenda 2030.
Il existe une possibilité réelle que les transformations radicales et à grande échelle de l'ensemble de l'industrie alimentaire et des habitudes alimentaires humaines poussées par les ingénieurs sociaux de l'Agenda 2030 conduisent les masses vers une baisse spectaculaire du niveau de vie. Les leçons des régimes totalitaires du XXe siècle ont révélé qu'il est très difficile de réparer les grosses erreurs attribuées à la planification centralisée à grande échelle des ingénieurs sociaux, car cela nécessite souvent une "transformation sociale majeure" ou le "remodelage de l'ensemble de la société, » qui peut entraîner des conséquences ou des événements imprévus généralisés, des résultats destructeurs majeurs et des « inconvénients pour de nombreuses personnes », selon les mots de Karl R. Popper.
L'effort international intense et coordonné visant à faciliter une transformation artificiellement conçue de l'industrie alimentaire mondiale, sur la base de l'Agenda 2030, témoigne du fait que nous assistons au retour du pendule de la civilisation dans de nombreuses sociétés avancées, où les efforts pour parvenir à une situation confortable la vie pourrait rapidement être remplacée par une lutte pour le strict nécessaire à un niveau d'existence inférieur, ce qui n'est pas censé se produire dans les sociétés avancées.
RépondreSupprimerIl faut faire comprendre aux masses que les ingénieurs sociaux de l'Agenda 2030 sont de "faux prophètes", qui les égarent au point où ils seront "hantés par le spectre de la mort par famine". Cela pourrait bien conduire à l'émergence de «dissensions irréconciliables au sein de la société», où les émeutes de la faim, les conflits et la violence pourraient inévitablement «entraîner une désintégration complète de tous les liens sociaux», comme l'a dit Ludwig von Mises.
Note: The views expressed on Mises.org are not necessarily those of the Mises Institute.
https://www.lewrockwell.com/2022/12/no_author/multinational-agrichemical-corporations-and-the-great-food-transformation/
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