Alors, maintenant vous êtes vacciné contre COVID-19.
40 000 milliards de paquets d'ARN ont été injectés qui induisent des changements irréversibles dans vos vaisseaux sanguins.
Maintenant quoi ?
Selon la source d'information à laquelle vous pensez, votre vie est en jeu si vous prenez la mauvaise décision concernant la vaccination contre le COVID-19.
Un problème avec ce que j'écris aujourd'hui est que les informations ci-dessous, qui sont essentielles à connaître pour maintenir la santé après la vaccination COVID-19, peuvent induire plus de peur et d'anxiété, ce qui est à l'origine de la pandémie et des décisions mal orientées concernant la vaccination COVID-19. J'expliquerai plus à ce sujet ci-dessous.
Selon Our World Data au 20 juillet 2021, 161 millions d'Américains sont entièrement vaccinés sur une population d'environ 328 millions (49,1 %).
Il est difficile de comprendre pourquoi quelqu'un immuniserait, non pas avec un vaccin, mais une arme biologique à gain de fonction 5 fois, ce que sont les vaccins ARN/ADN COVID-19. Mais les médias d'information mènent une campagne de peur qui pousse les gens à prendre des décisions en matière de santé par peur.
Des milliards de paquets de gènes de protéines de pointe libérés
Immédiatement après la vaccination, des milliards de paquets de gènes seront libérés du muscle deltoïde où l'aiguille du vaccin a pénétré dans votre bras, et finiront par faire des ravages dans vos vaisseaux sanguins.
Le cardiologue canadien, le Dr Charles Hoffe, explique la menace de coagulation du sang que représentent ces vaccins : « Les caillots de sang dont nous entendons parler et dont les médias prétendent être très rares sont les gros caillots de sang qui sont ceux qui provoquent les accidents vasculaires cérébraux et qui apparaissent sur les tomodensitogrammes, l'IRM, etc. Les caillots dont je parle sont microscopiques et trop petits pour être trouvés sur n'importe quel scan. Ils ne peuvent donc être détectés qu'à l'aide du test des D-dimères.
Plus de la moitié des patients du Dr Hoffe ont eu des tests D-dimères anormaux après une injection d'ARN COVID-19. Un test D-dimère mesure la quantité de fibrine dégradée dans le sang qui, avec les plaquettes sanguines, scelle les plaies.
Le Dr Hoffe prévient que ces micro-caillots endommagent les tissus du cerveau, des poumons, de la moelle épinière et du cœur, des tissus et des organes qui ne peuvent pas se régénérer. Des dommages permanents en résultent.
Dr Hoffe (paraphrasé) : « Lorsque le vaccin COVID est injecté dans votre bras, nous savons maintenant que seulement 25% reste dans votre bras (muscle deltoïde) et les 75% restants sont littéralement collectés par le système lymphatique et introduits dans le la circulation sanguine. Ces paquets d'ARN messager, dans une seule dose de vaccin Moderna, par exemple, il y a 40 000 milliards de ces paquets d'ARN messager injectés dans votre système. Ces particules s'absorbent dans les capillaires sanguins. (Les capillaires sont les connecteurs entre les tuyaux rouges (artères) et les tuyaux bleus (veines).
Le corps détecte ces paquets de gènes qui pénètrent dans les cellules et chaque gène peut générer des protéines de pointe. Votre système de vaisseaux sanguins est anormalement transformé en une usine de fabrication de protéines de pointe. Votre corps reconnaît ces protéines de pointe comme étrangères et fabrique des anticorps contre elles. La protéine de pointe devient alors une partie permanente de la paroi cellulaire qui tapisse vos vaisseaux sanguins (appelée endothélium vasculaire).
Ces protéines hérissées ressortent, des globules blancs (lymphocytes) et des anticorps arrivent qui attirent ensuite les plaquettes sanguines pour former un caillot autour d'eux.
Ces protéines de pointe peuvent être révélées par un test aux D-dimères qui révélera ces micro-caillots. Le test aux D-dimères ne révèle que des micro-caillots récemment formés.
Les critiques disent que les caillots sont rares chez les patients post-vaccins, mais ce sont les gros caillots qui entraînent des accidents vasculaires cérébraux et des crises cardiaques. Selon le Dr Hoffe, un test des D-dimères dans les 4 à 7 jours suivant la vaccination montre que 62 % des patients immunisés par le vaccin à ARN ont un test des D-dimères anormal. Ces patients s'essoufflent facilement.
Votre cœur pompe maintenant plus fort pour pousser le sang à travers ces capillaires bloqués, explique le Dr Hoffe. Cela induit une insuffisance cardiaque droite dans les 3 ans.
(Pour info : le côté gauche du cœur pompe le sang oxygéné vers les organes et les tissus du corps ; le côté droit du cœur accepte le sang désoxygéné et le pompe à travers les poumons afin que l'hémoglobine des globules rouges puisse se fixer à l'oxygène et le transporter vers le côté gauche du cœur ; les personnes atteintes d'insuffisance cardiaque droite signalent généralement des symptômes de réveil nocturne avec essoufflement, essoufflement lors de l'exercice, toux, respiration sifflante, étourdissements, fatigue, manque de concentration, manque d'appétit, nausées, prise de poids soudaine, rétention d'eau dans les chevilles et les jambes.)
C'est une préoccupation terrifiante. Le pire est encore à venir, déclare le Dr Hoffe. Les dégâts seront cumulatifs à chaque tir. La revaccination devient potentiellement mortelle.
Un microbiologiste réputé règne pour éduquer les patients vaccinés
Le microbiologiste Dr. Sucharit Bhakdi affiche ce qui se passe dans un graphique en ligne visuel. L'ARN injecté dans votre corps va entrer dans les cellules qui tapissent les vaisseaux sanguins. Il souligne la protéine de pointe épineuse que ces cellules généreront et feront saillie vers l'extérieur pour attirer les plaquettes sanguines et former des micro-caillots. Quelques jours après la vaccination, les globules blancs appelés lymphocytes ainsi que les anticorps commenceront à attaquer ces cellules. Si vous osez répéter cela (obtenez le deuxième jab), « Dieu vous aide » avertit le Dr Bhakdi.
Le Dr Bhakdi pointe du doigt les lymphocytes (L) et les anticorps (AB) qui commencent à attaquer vos propres vaisseaux sanguins après la vaccination ARN/ADN COVID-19.
Des preuves spectaculaires sont présentées pour montrer comment la protéine de pointe induit des micro-caillots rendus visibles par un colorant fluorescent (ci-dessous).
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Microcaillots prouvés dans plusieurs rapports
Diverses sources en ligne condamnent la présentation du Dr Bhakdi comme de la désinformation. Mais il est incontestable que la menace des micro-caillots sanguins existe. Une étude d'autopsie de 20 patients COVID-19 a trouvé des micro-caillots dans six de leurs cerveaux.
Un autre rapport faisant autorité publié dans la revue PLoS One déclare (paraphrasé) : « Sur 676 patients COVID-19 (140 non-survivants et 536 survivants), le test D-Dimer (test de fibrine dégradée) était anormalement élevé (83,2 % de non -survivants) contre 44,9% des survivants) et ils avaient un test de protéine C-réactive (CRP) élevée qui mesure l'inflammation (50,4% des non-survivants contre 6,0% des survivants).
Les D-dimères continuent d'augmenter chez les non-survivants, ce qui prédit la mortalité. Les D-dimères augmentent dans tous les groupes d'âge avec COVID-19. Des anticoagulants préventifs (anticoagulants) sont suggérés pour ces patients.
Regardons-nous les symptômes d'une infection virale ou d'une carence en vitamines ?
Les patients atteints de COVID-19 présentent des manifestations de maladie cardiovasculaire, comme en témoignent des taux de troponine élevés (31,6 % des patients atteints de COVID-19 sévères) et une baisse de la fraction d'éjection (moins de sang pompé par le cœur).
Une carence en thiamine-B1 peut entraîner des niveaux élevés de troponine (les troponines sont des protéines du muscle cardiaque qui régularisent la contraction musculaire) et une diminution de la fraction d'éjection.
En réponse au besoin de cicatrisation des plaies, le corps fabrique le facteur de croissance endothélial vasculaire (VEGF), qui est un signe distinctif de la gravité du COVID-19, et est considéré comme un indicateur plus important de la gravité du COVID-19 que les D-dimères. Le VEGF favorise la coagulation du sang (caillots).
Pourtant, le béribéri, la maladie qui émane d'une carence en vitamine B1, peut également élever les niveaux de VEGF, faisant croire aux médecins qu'ils sont en train de regarder une maladie cardiovasculaire émanant d'un virus.
Ces symptômes surviennent 3 à 25 jours après la vaccination initiale. Un autre rapport déclare : « La découverte initiale la plus frappante des tests sont des niveaux de D-dimères très élevés. »
Le graphique ci-dessous révèle le problème de survie à mesure que les niveaux de D-dimères augmentent.
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Le zinger : Est-ce vraiment un virus qui cause vos symptômes ?
Près d'un tiers des patients COVID-19 récupérés retournent à l'hôpital dans les cinq mois et 1 sur 8 décède. Des symptômes inexplicablement prolongés, affectant en grande partie le système nerveux, persistent chez des milliers de patients. C’est ce qu’on a appelé le COVID long-courrier, « notre prochaine catastrophe sanitaire nationale ».
Les symptômes comprennent, sans s'y limiter, la fatigue, l'essoufflement, la toux, la perte de l'odorat ou du goût (et la faim), des douleurs musculaires (muscle du mollet), des vomissements, des pleurs, de la fièvre, de la constipation, un engourdissement des extrémités, des pieds brûlants (au nuit), rythme cardiaque rapide (tachycardie), perte de réflexes, transpiration, pied tombant, convulsions, coma et troubles et troubles mentaux.
Ces symptômes de Long-COVID sont les mêmes symptômes d'une carence en vitamine B1 (thiamine).
Étant donné que les taux de thiamine sont très bas dans le sang et que les taux d'urine ne sont pas fiables, le déficit en thiamine doit être confirmé par une activité enzymatique (transcétolase).
Contrairement à tous les autres virus du rhume corona, ou à tout autre virus, le COVID-19 est censé produire les mêmes symptômes que le béribéri, une carence franche en vitamine B1. Inexplicablement, COVID-19 constitue une menace pour l'ensemble du système nerveux. Une carence en B1 peut produire une thrombose veineuse, des caillots sanguins dans les veines.
L'apport quotidien de 200 milligrammes de vitamine B1 (thiamine) par voie intraveineuse aux soins intensifs a permis de réduire de 75 % le risque absolu de mortalité chez les patients hospitalisés. La thérapie B1 a réduit le risque de thrombose (caillots sanguins) de 81 % !
La récurrence du COVID-19 suite à la vaccination s'explique par un déficit en thiamine B1.
Les médecins voient COVID-19 à travers le prisme du profit
Les médecins voient COVID-19 à travers le prisme des codes de facturation d'assurance qu'ils peuvent utiliser. Les médicaments sur ordonnance sont préférés aux remèdes naturels. Les traitements coûteux qui génèrent des profits plus importants pour les médecins sont préférés.
Un exemple de la façon dont les médecins pillent des patients désespérés pour tirer profit des cas de COVID à long terme a récemment été diffusé sur YouTube. Un médecin salue un autre médecin, affirmant qu'il mérite un prix Nobel, pour avoir pris des patients déficients en vitamine B1 et avoir géré une entreprise de sur-test et de vente d'un médicament à 1650 $ à la place. Ce n'est qu'un autre des nombreux programmes lucratifs que les médecins proposent.
Dans un rapport publié dans Frontiers in Immunology, le médecin affirme qu'un marqueur protéique à la surface des globules blancs, CCR5, dicte la gravité et la létalité de COVID-19, un problème qui est résolu par un médicament à 1600 $. Les patients tombent amoureux du médicament de ce médecin parce qu'ils ne sont pas assez avertis pour comprendre qu'il existe des alternatives plus sûres et moins chères, comme décrit ici.
Tous les symptômes que le médecin cite comme couramment rapportés chez les patients COVID-19 de longue durée sont les mêmes symptômes causés par une carence en vitamine B1.
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Cet auteur a rassemblé des preuves sans équivoque qui associent les symptômes attribués au COVID-19 à une carence en vitamine B1 provoquée par des changements de régime alimentaire pendant le confinement restrictif, à savoir une augmentation de 500 % de la consommation d'alcool à la maison s'accompagne d'une consommation accrue de sucre. les aliments et en raison de l'insomnie, les boissons contenant de la caféine (café, thé), tous les facteurs liés aux aliments et aux boissons qui bloquent l'absorption ou l'utilisation de la vitamine B1.
« Plus la gravité d'une pandémie est élevée, plus la quantité d'alcool consommée par une population est importante. »
Fait intéressant, un patient qui vivait avec des lattes de café mélangés congelés (molécules dans l'utilisation du bloc de café de la vitamine B1) a développé les mêmes symptômes que ceux observés chez les patients COVID-19 longue distance.
En d'autres termes, le verrouillage et la peur et l'anxiété associées ont entraîné une épidémie pire, beaucoup plus mortelle que COVID-19.
La grande mascarade : produit des symptômes de toutes les autres maladies
Une carence sévère en vitamine B1 est connue sous le nom de béribéri et produit un éventail de symptômes qui se font passer pour un grand nombre de maladies. Combiné à un test d'anticorps peu fiable pour COVID-19 qui produit de nombreux tests faussement positifs, donne à de nombreuses personnes la fausse impression qu'elles ont une infection virale plutôt qu'une carence alimentaire.
B1 contrôle le système nerveux
La vitamine B1 contrôle le système nerveux autonome, les fonctions corporelles qui fonctionnent automatiquement telles que la respiration, le rythme cardiaque, la digestion/l'élimination et l'immunité. Une carence en B1 peut induire via l'hypothalamus dans le cerveau, de la fièvre, des vomissements, de la diarrhée et un essoufflement, symptômes couramment associés à la grippe ou à une infection virale.
Le fait que les cas de COVID-19 ne produisent exceptionnellement pas de tempête de cytokines dans les poumons comme le font la pneumonie et la tuberculose, suggère qu'il ne s'agit pas d'une épidémie virale. Les médecins sont perplexes face à ces symptômes récurrents mais ne peuvent imaginer qu'il s'agit d'une maladie de carence alimentaire induite par la peur, l'anxiété et le confinement.
Généralement, les infections virales des voies respiratoires supérieures et inférieures induisent des anticorps spécifiques après 7 à 10 jours et l'infection disparaît.
Une carence en vitamine B1 qui va et vient expliquerait les rechutes symptomatiques inhabituelles signalées par les patients COVID-19. Une étude sur des patients atteints de COVID-19 présentant des symptômes graves a révélé que 15,6% étaient déficients en vitamine B1 (26,3% parmi les diabétiques atteints de COVID-19), suffisamment suffisant pour déclencher une pandémie.
La maladie de carence en thiamine est associée à une augmentation de près de 50 % de la mortalité. La vitamine B1 doit être systématiquement administrée aux patients gravement malades.
Pour soulager vos peurs, vous n’avez peut-être pas du tout de COVID. Un test PCR positif pour COVID-19 pose de nombreux problèmes. Arrêtez tout alcool, café, thé et prenez des suppléments de vitamine B1, de préférence sous forme liposoluble (benfotiamine, allithiamine), comme indiqué sur la bouteille. Ne vous laissez pas berner par une carence en thiamine-B1 comme le sont les médecins.
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Quelles leçons tirer de ces informations ?
1 - Évitez le 2e coup si vous ne l'avez pas déjà fait. 2 - Je ne recommande pas un test D-dimère dans les 4 à 7 jours suivant la vaccination, car cela ne fera qu'augmenter l'anxiété. La meilleure chose à faire est de prendre des mesures préventives. Reconnaître que le système de santé n'a pas assez de médicaments anticoagulants problématiques ou la capacité de traiter 161 millions d'Américains vaccinés qui ont été vaccinés avec les vaccins ARN/ADN.
Les individus en bonne santé ont des taux de D-dimères inférieurs à 0,5 microgramme/millilitre de sang. Le COVID-19 résiste à la dégradation normale de la fibrine qui, combinée aux plaquettes sanguines, bouche les plaies saignantes.
2 - Agissez par vous-même pour empêcher la formation de micro-caillots dans les vaisseaux sanguins de votre corps, comme suit :
Régime anticoagulant
Il a été démontré qu'un régime composé d'ail, d'oignon, de tomate, de shiitake, de son de riz, de chou frisé, de myrtille, d'ananas et/ou de poudre de curcuma réduit les niveaux de D-dimères. L'huile de poisson et l'ail inhibent l'agglutination des plaquettes sanguines, mais ne réduisent pas nécessairement les D-dimères.
Il n'est pas surprenant d'apprendre que la molécule de vin rouge resvératrol, qui a été identifiée comme un élément clé du paradoxe français (le fait que les Français mangeaient des aliments plus gras et avaient des taux de cholestérol sanguin plus élevés mais des taux de mortalité par maladie cardiaque beaucoup plus faibles) a été attribuée à sa capacité à inhiber les caillots sanguins dans les artères coronaires. Le resvératrol est identifié comme un agent préventif primaire, en particulier en ce qui concerne les niveaux élevés de D-dimères. Le resvératrol réduit également les niveaux de VEGF. Le resvératrol bloque remarquablement toutes les voies connues de la morbidité et de la mortalité liées au COVID-19.
Buse de caillot enzymatique : nattokinase
Une façon la plus remarquable de réduire les micro-caillots est de les briser par voie enzymatique. Si vous êtes dans une ambulance avec un blocage potentiellement mortel d'une artère coronaire qui alimente votre cœur en oxygène, un ambulancier peut vous injecter une enzyme/un médicament, la streptokinase, pour briser ce caillot potentiellement mortel.
Une enzyme standard qui brise les caillots sanguins est la nattokinase et est aussi efficace et sûre que la streptokinase.
La nattokinase est dérivée du fromage natto de soja fermenté, populaire au Japon. Nattokinase est disponible comme remède naturel dans les magasins de santé. Une dose unique (2000 unités fibrinolytiques ou UF) agit jusqu'à 8 à 12 heures après l'ingestion orale et est supérieure à certains égards aux médicaments anticoagulants. En milligrammes, une dose de 200 à 400 mg est suffisante et brise directement les caillots de fibrine qui constituent ce qui est mesuré dans le test D-Dimer.
Idéalement, la nattokinase doit être prise à jeun sans autres médicaments ou compléments alimentaires d'accompagnement. Il est intéressant de noter que les niveaux de D-dimères peuvent augmenter artificiellement lors de la prise de nattokinase en raison de son action enzymatique pour briser les caillots sanguins. Informez-en votre médecin s'il demande des analyses de sang.
Vitamine C et caillots sanguins
En 1990, le lauréat du prix Nobel Linus Pauling et Matthias Rath (toujours vivant) ont publié un rapport sur une découverte selon laquelle les humains, qui ne produisent pas de vitamine C en interne comme le font la plupart des autres animaux, ne parviennent pas à réparer correctement les cellules endothéliales qui tapissent les vaisseaux sanguins et qu'un une protéine grasse circulante appelée lipoprotéine (a), un type de particule de cholestérol à basse densité (LDL), agit comme substitut de la vitamine C dans la paroi artérielle. Le problème est que la lipoprotéine (a) est un « pansement collant ». Il attire les plaquettes sanguines pour former des caillots sanguins. Le Dr Rath a même publié un livre montrant que les animaux qui produisent de la vitamine C en interne ne développent pas de crises cardiaques par caillots sanguins comme le font les humains.
La nécessité d'employer de la vitamine C pour prévenir les caillots sanguins dans les artères s'intensifie chez les sujets vaccinés par ARN/ADN.
Une personne n'essaie pas de réduire son taux de Lp(a), elle maintient simplement des taux sanguins élevés de vitamine C afin que la Lp(a) ne colle pas aux parois artérielles. Les animaux convertissent leur glycémie (glucose fabriqué dans le foie) en vitamine C par voie enzymatique dans le foie, mais une enzyme clé manque chez l'homme (gulonolactone oxydase). Ainsi, les humains doivent totalement compter sur leur alimentation pour la vitamine C.
Seuls les utilisateurs de suppléments de vitamine C ont des taux sanguins de vitamine C suffisamment élevés pour se rapprocher de ce que les humains produisaient autrefois en interne avant qu'une mutation génétique n'empêche ce processus.
Chez les personnes en bonne santé (ne prenant aucun médicament réduisant la vitamine C comme l'aspirine ou les stéroïdes) et n'ayant pas d'infections virales ou bactériennes qui augmentent la demande en vitamine C), 500 milligrammes de suppléments vitaminiques pris en doses fractionnées toutes les 4 heures maintiendraient des niveaux sains de vitamine C. Plus est nécessaire en cas de maladie ou de lutte contre un problème chronique comme les protéines de pointe induites par le vaccin.
Une avancée récente développée par cet auteur est un nutraceutique qui double les niveaux internes de vitamine C, corrigeant théoriquement la mutation génétique héréditaire, sans avoir à prendre de vitamine C elle-même. Des analyses d'urine et de sang menées par le chercheur indépendant Dr Tom Levy, l'autorité en matière de vitamine C, ont prouvé que les niveaux de vitamine C sont élevés avec un produit appelé FORMULA-216. Le Dr Levy décrit la protéine de pointe comme étant semblable aux piquants de porc-épic.
Étant donné que les humains ne peuvent pas prendre de suppléments de vitamine C pendant le sommeil, ce serait une aubaine pour les personnes vaccinées qui souhaitent éviter la formation de caillots sanguins pendant le sommeil. Une dose au coucher est suggérée.
N'attendez pas que les médecins vous sauvent la vie. Si vous êtes vacciné avec des vaccins ARN/ADN COVID-19, vous devez prendre des mesures préventives pour maintenir votre santé, pour le reste de votre vie.
Par Paul Craig Roberts PaulCraigRoberts.org 22 juillet 2021
Les presstituées continuent de nous programmer des informations peu fiables sur la menace Covid. Par exemple, considérons ces deux rapports du Miami Herald :
DeSantis est tellement au-dessus de la pandémie de COVID en Floride. Il ne devrait pas l'être. Voici pourquoi | Éditorial
(L'éditorial ci-dessus a été supprimé ou le système d'URL du Miami Herald a développé un bogue. L'éditorial est reproduit à la fin de cette colonne.)
L'augmentation rapide du nombre de patients COVID conduit les hôpitaux de Floride à limiter les visiteurs et à se préparer au pire.
Penses-y. Il pourrait s'agir simplement de politique avec des préstitués démocrates dénigrant un gouverneur républicain. Mais cette possibilité mise à part, le dernier battage médiatique de Covid est conçu pour accélérer les vaccinations ou rétablir les fermetures comme moyen de forcer la vaccination.
La Floride, comme tous les États, a un pourcentage important de sa population vaccinée, assez selon certaines estimations du pourcentage en constante évolution de la population vaccinée pour atteindre «l'immunité collective». Alors pourquoi l'épidémie soudaine signalée?
L'épidémie est attribuée à une nouvelle variante plus contagieuse. Pourtant, le directeur du CDC a assuré que « si vous êtes complètement vacciné, vous êtes protégé contre le COVID sévère, l'hospitalisation et la mort, et êtes même protégé contre les variantes connues, y compris la variante delta, circulant dans ce pays ». Soit le CDC se trompe, soit il y a une autre explication à l'épidémie signalée.
Une explication que l'establishment médical et les magistrats ne mentionnent jamais est une explication que des experts indépendants mentionnent : la nouvelle « épidémie » consiste en des réactions indésirables au vaccin. L'«épidémie» pourrait également être causée par «l'excrétion» des personnes vaccinées.
Le Dr Robert Malone, qui a été le pionnier de la technologie de l'ARNm, a fourni des données qui montrent clairement que les pays avec le plus petit pourcentage de leur population vaccinée ont le moins de nouveaux cas de Covid. Les pays avec les pourcentages les plus élevés de population vaccinée ont un nombre croissant de nouveaux cas de Covid.
Comment se peut-il? Seulement si c'est le vaccin qui produit une nouvelle épidémie composée d'effets indésirables. N'oubliez pas qu'une action en justice a été déposée sur la base d'informations publiées par un dénonciateur du CDC selon lesquelles le CDC sous-estime sciemment les décès dus aux vaccins d'un facteur 5. En d'autres termes, les décès causés par les vaccins connus du CDC sont de cinq fois supérieur au chiffre publié.
Ne vous attendez pas à ce que les presstitués ou l'établissement médical corrompu enquêtent sur toute réclamation qui ne relève pas du récit officiel.
Mais sachez que le récit officiel fait l'objet d'attaques bien informées et totales et pas seulement d'attaques spécifiques de la part de nombreux scientifiques et médecins, tels que le Dr Robert Malone. Le Dr David Martin a une attaque totale sur tous les aspects du récit. Il est au-delà de ma capacité d'évaluer la validité de l'exposé du Dr David Martin, mais je suis capable de voir que son attaque est basée sur la connaissance et repose sur des recherches approfondies et à long terme. Je vous le recommande afin que vous soyez au moins conscient de la possibilité que vous ayez été trompé par ceux en qui vous aviez confiance à tort et que vous puissiez payer pour la tromperie avec votre santé et votre vie. Voici l'exposé de David Martin sur la déception de Covid.
Éditorial du Miami Herald :
DeSantis est tellement au-dessus de la pandémie de COVID en Floride. Il ne devrait pas l'être. Voici pourquoi | Éditorial
Par le comité de rédaction du Miami Herald20 juillet 2021 06:00 AM,
En avril, des centaines de manifestants se sont rassemblés sur la plage de Fort Lauderdale pour protester contre les mandats de masque COVID. Daniel A. Varela dvarela@miamiherald.com
Il y a deux réalités différentes en Floride.
Dans le manoir du gouverneur et le Capitole de l'État, la Floride a vaincu la pandémie de COVID-19. Le vrai problème, ce sont le Dr Anthony Fauci et les mandats de masque, pas le pic hallucinant de nouveaux cas au cours des dernières semaines.
Dans le reste de l'État, en particulier dans les points chauds comme le comté de Miami-Dade, les hôpitaux voient une vague de patients. La Floride représente 20% de toutes les nouvelles infections à coronavirus dans le pays, la variante delta la plus transmissible trouvant des personnes vulnérables, principalement celles qui n'ont pas été vaccinées.
Dans ce choc des réalités, ceux d'entre nous dans ces points chauds n'ont plus grand-chose pour lutter contre le virus. En effet, en mai, le gouverneur DeSantis a suspendu toutes les restrictions locales liées au COVID-19 et signé une loi rendant pratiquement impossible pour les villes et les comtés d'en adopter de nouvelles.
Lorsque cela s'est produit, le comité de rédaction du Herald a proclamé qu'en liant les mains des responsables locaux, DeSantis et la législature disaient aux communautés "pas de chance".
Dans les semaines qui ont suivi, il semblait que nous avions peut-être réagi de manière excessive.
Les vaccins sont devenus largement disponibles et nous en avons appris davantage sur leur efficacité à prévenir les maladies graves. Le nombre de cas a baissé. « Delta » n'était rien de plus que le nom d'une compagnie aérienne ou la quatrième lettre de l'alphabet grec. Les gens ont rapidement laissé tomber le port de masques à l'intérieur – et les Centers for Disease Control and Prevention ont déclaré que c'était OK tant que vous êtes complètement vacciné. Les gouvernements locaux ont assoupli les restrictions.
C'était censé être notre été de liberté.
Il s'avère que nous n'avons pas réagi de manière excessive.
L'État a désormais le quatrième taux d'hospitalisation par habitant le plus élevé du pays (selon le CDC, presque toutes les hospitalisations et tous les décès concernent des personnes non vaccinées). Les vaccinations ont ralenti, ce qui était prévu car de plus en plus de personnes se sont fait vacciner, mais des millions de Floridiens éligibles ont choisi de ne pas se faire vacciner par peur, idéologie, désinformation, complaisance ou manque d'accès.
Lorsqu'on lui a demandé lundi ce qu'il prévoyait de faire pour obtenir plus de coups dans les bras des Floridiens, DeSantis a blâmé les "experts entre guillemets" pour la méfiance à l'égard des vaccinations et "la désinformation et beaucoup de mauvais conseils qui ont été donnés par certains de ces experts au cours de la l'année dernière », a rapporté le Sun Sentinel.
La réponse de DeSantis ne fait rien pour aider les communautés à lutter contre l'augmentation des infections et ne fait que rendre certains groupes plus méfiants envers les autorités sanitaires.
« Mesures d'atténuation »
Le chirurgien général américain Vivek Murthy a déclaré à ABC News au cours du week-end qu'il était "très raisonnable" pour les endroits avec de faibles taux de vaccination et un nombre croissant de cas d'adopter "plus de mesures d'atténuation" telles que le mandat de masque que le comté de Los Angeles, en Californie, a rétabli le week-end. Il a ajouté que cela ne serait pas "contradictoire aux directives émises par le CDC" sur les masques.
Il semble raisonnable de permettre à Miami Beach de contrôler la taille de la foule dans les discothèques et les bars locaux ou au comté de reconsidérer un mandat de masque et des mesures de distanciation sociale si nous continuons à voir des cas augmenter.
Mais "pas de chance" - cela n'arrivera pas.
La loi que DeSantis a signée en mai, SB 2006, lui donne le pouvoir d'invalider une ordonnance d'urgence locale qui « restreint inutilement les droits ou les libertés individuelles ». La campagne du gouverneur a vendu des t-shirts et des boissons koozies arborant «Ne Fauciez pas ma Floride» – il ne fait aucun doute qu'il exercerait cette autorité avec enthousiasme.
Le taux de cas de Miami-Dade est passé à 242 pour 100 000 personnes la semaine dernière contre 150 la semaine précédente, et la positivité des tests est passée de 5,4% à 7,4% malgré le comté ayant le plus grand pourcentage de personnes ayant reçu au moins une dose de vaccin (75%) . [ Les rédacteurs du Miami Herald ne remarquent pas le problème d'une nouvelle épidémie dans une zone avec 75 % de la population vaccinée ! ]
Les experts soupçonnent des groupes à faible taux de vaccination, tels que les jeunes, d'être à l'origine de cette augmentation. Mais le savoir est certainement difficile car l'État ne publie pas d'informations démographiques comté par comté sur les vaccinations. L'État a également cessé de classer les décès par comté, de publier des données hospitalières et de signaler quotidiennement les nombres de coronavirus, passant à des rapports hebdomadaires. Cela a rendu plus difficile l'obtention d'une image réelle de la pandémie, mais c'est peut-être l'intention. Enterrer les statistiques COVID-19 de la Floride est le MO du gouverneur, comme ce fut le cas tout au long de 2020.
Donc, si quelqu'un le demande, la Floride a vaincu le virus.
Bien sûr, plus de 38 000 Floridiens sont morts depuis le début de la pandémie.
Mais appelons ça une note de bas de page.
Des manifestants anti-masques descendent la plage de Las Olas à Fort Lauderdale
Des militants se rassemblent pour participer à un rassemblement « End Of The Pandemic March South Florida » à Las Olas Beach à Fort Lauderdale, en Floride, le samedi 15 août 2020. Par Matias J. Ocner
où il explique que tous les inoculés sont désormais des condamnés à mort ! Des personnes qui sont décédées à la première injection, d'autres à la seconde et, les 'passés au travers' le seront par signal 5G où en prenant l'avion (seuls le personnel de bord n'est pas autorisé à se faire inoculer !). De toutes façons, les nano-particules injectées suppriment toute immunité d votre organisme ! Dès lors, au moindre rhume ou grippe, sans protection vous...
Catastrophe « Zéro COVID » : les nations participantes voient de nouveaux records à tous les niveaux
PAR TYLER DURDEN MERCREDI 21 JUIL 2021 - 20:40 Rédigé par Jordan Schachtel via la sous-pile 'Dossier',
Zero Covid, l'idée que des décrets gouvernementaux musclés et des contrôles de population peuvent éliminer définitivement un coronavirus d'un pays, échoue maintenant de manière spectaculaire partout où il est tenté.
Vous n'avez peut-être pas lu à ce sujet dans les agences de presse d'entreprise occidentales, mais les pays Zero Covid voient des explosions de cas de Covid-19 dans tous les domaines. Les pays de « success story » largement salués qui ont suivi l’idéologie radicale qu’est Zero Covid n’ont non seulement pas réussi à contenir un virus, mais assistent maintenant à la propagation incontrôlée de ce virus dans leurs centres de population. Les gouvernements engagés dans cette aventure pseudo-scientifique et totalitaire se bousculent pour trouver des options et réagissent en verrouillant leurs nations et en violant davantage les droits de leurs citoyens. Le couvercle s'est envolé de l'autocuiseur Zero Covid, révélant les lacunes d'une entreprise idéologique aussi imprudente.
Jetons un coup d’œil à la façon dont les nations « Zero Covid » tiennent le coup :
Australie
L'Australie est sans doute la grande nation la plus dévouée à une stratégie Zero Covid. Le pays est fermé à la grande majorité du monde depuis le début de COVID Mania. Même de nombreux citoyens australiens n'ont pas pu entrer ou sortir du pays.
L'Australie a poursuivi tellement de blocages qu'il est pratiquement impossible de savoir à quel nombre nous en sommes actuellement. Zero Covid a été un désastre absolu, car la stratégie d'élimination de Canberra n'a sans surprise pas réussi à déplacer définitivement les cas vers zéro.
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Jeudi, Melbourne et Sydney, les deux plus grandes villes d'Australie, ont décrété un nouveau verrouillage. Ce sera le cinquième confinement de Melbourne en un an et demi.
Les blocages australiens ont été tristement impitoyables. Dans certains endroits, les fermetures signifiaient que les citoyens n'étaient autorisés à quitter leur domicile qu'une heure par jour et qu'ils n'étaient pas autorisés à sortir d'un certain rayon autour de leur domicile. Dans de nombreux endroits, l'acte de protester est illégal, et il sera accueilli par la police anti-émeute. L'Australie a également mis en place des camps de quarantaine obligatoires pour les citoyens suffisamment privilégiés pour être autorisés à rentrer dans le pays.
Qualifiée de « success story » Zero Covid par la presse corporate pour ses politiques ultra strictes, les affaires explosent désormais au Vietnam.
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Le gouvernement, en pleine panique, a réagi en verrouillant les grandes villes, seulement pour que le nombre de cas continue d'augmenter.
Corée du Sud
Séoul a mis en place l'un des régimes de surveillance Covid les plus intrusifs au monde. Applaudie par les autoritaires comme un pays qui avait ses priorités en ordre, la Corée du Sud était censée être la nation modèle de « recherche des contacts ». Aujourd'hui, la Corée du Sud enregistre des chiffres record dans tous les domaines.
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Cette semaine, le pays a enregistré un nombre record de cas. Zero Covid a échoué et le gouvernement a réagi en restreignant encore plus les droits.
Singapour
Autrefois une nation Zero Covid en règle avec l'idéologue radical « experts en santé publique », le gouvernement de Singapour a pris les devants et a décidé le mois dernier d'abandonner l'idée d'éliminer à jamais un virus endémique peu menaçant.
Chine
La Chine ment sur ses chiffres COVID et à peu près tout le reste. Le Parti communiste chinois prétend être un participant à Zero Covid, mais en réalité, Pékin trompe le monde sur les « succès » d’atténuation et de suppression depuis le premier jour de Covid Mania.
Thaïlande
La Thaïlande, une « success story » largement saluée pour ses blocages stricts et ses autres politiques draconiennes dans la poursuite de Zero Covid, établit ses propres records de cas Covid.
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Nouvelle-Zélande
La Nouvelle-Zélande, qui est en état d'auto-assise depuis le début de l'année 2020, reste totalement engagée dans sa stratégie d'élimination Zero Covid. Comme l'Australie, le pays a mis en place des camps de quarantaine pour les personnes qui ont obtenu l'accès à la nation. En raison de la « dette d’immunité » de Covid liée à l’isolement, le pays connaît une montée en flèche des hospitalisations chez les enfants, qui ne sont pas menacés par Covid-19.
Indemnes de Covid (pour l'instant), les salles d'urgence seraient à un "point de rupture" dans le pays, le pays faisant face à une "maladie hivernale" inconnue. Il semble que les fanatiques de Zero Covid aient oublié qu'il existe encore d'autres façons de tomber malade.
Les responsables de Kiwi n'ont même pas entamé de discussions sur la durée pendant laquelle ils resteront attachés à leur stratégie d'auto-siège. Leurs frontières fermées ont entraîné une pénurie massive de personnel hospitalier.
Résumé
Chaque pays qui a adopté la notion radicale de Zero Covid a fini par ne pas contenir un virus et/ou ne pas accepter que les coûts de la tentative de contenir un virus ont été exponentiellement pires que les avantages de contenir le virus. Les « remèdes » promis ont été infiniment pires que la maladie. Il n'y a plus de "success stories" impliquant des nations utilisant des moyens tyranniques pour tenter d'arrêter un virus. Zero Covid, comme toute personne rationnelle aurait pu le prédire il y a longtemps, a échoué de manière spectaculaire.
D'un côté chaque mois sont balancés par drones ou chemtrails quelques épouvantails rouge, vert, bleu ou noir pour faire crier au secours et, de l'autre, sont proposés les mains généreuses d'anti-épouvantails sortis de laboratoires qui tiennent le poison mortel !
C'est l'HÉGÉMONIE MONDIALE non-pas par le corona (mini grippette) mais par les inoculations d'expérimentations géniques d'essais proposés aux abrutis dégénérés incapables de réfléchir !!
Combien de milliards de victimes ? Le saura t-on un jour ?
L'Indonésie et le don d'ivermectine que le gouvernement a détruit...
Le peuple indonésien semble avoir trouvé un moyen de gérer les choses sans le gouvernement, l'OMS ou l'ONU.
July 22nd, 2021
Classez-le sous: Big-Government tue
L'Indonésie compte 270 millions d'habitants et très peu de Covid - ou du moins, ce n'était pas le cas. Il s'avère qu'un philanthrope distribuait de l'ivermectine sur l'un des "plus grands marchés d'ivermectine au monde". Ensuite, le gouvernement a pris le relais, a insisté sur les essais cliniques et l'a ralenti, comme le font les gouvernements. Les cas sont passés de 7 000 cas par jour le 12 juin à 50 000 cas par jour le 18 juillet.
En regardant le succès de Covid en Inde, au Mexique et au Pérou également, combien de jours de confinement auraient pu être évités si l'Australie utilisait des antiviraux bon marché ? Non seulement la dernière épidémie de NSW a pu être écrasée plus tôt, mais si un chauffeur de limousine avait utilisé de l'ivermectine, cela n'aurait peut-être jamais commencé.
À quel point la Big-Bureaucracy déteste-t-elle les médicaments bon marché et non brevetés ?
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Indonésie Cas Cas indonésiens de Covid. Graphique. OWID
Deux semaines après le début des essais cliniques, l'ivermectine et toute une série de médicaments antiviraux ont soudainement été approuvées d'urgence. Peut-être y a-t-il eu panique ?
15 juillet ; Le BPOM approuve l'ivermectine comme médicament thérapeutique contre le Covid-19
Mais les bureaucrates doivent subir beaucoup de pression alors que le monde les regarde. Il y a quelques heures à peine, ils ont ajouté un qualificatif alambiqué disant que tout cela était temporaire pour des raisons d'urgence, et que l'ivermectine avait encore besoin d'essais, et que seuls leurs fonctionnaires pouvaient le distribuer. Nous ne le saurons jamais, mais si un représentant de Big Pharma craignait que le monde assiste à un autre succès de l'ivermectine, nous pourrions l'imaginer tirer les ficelles pour la sécurité (et le profit). C'est le genre de déclaration brumeuse qui faciliterait la vie des trolls de Big Pharma. BPOM ne l'a pas approuvé. L'ivermectine a encore besoin d'essais...
La politique du pouvoir et des vaccins conduit-elle à l'usurpation par l'État de la licence d'ivermectine ? TrialSiteNews, 13 juillet
Il s'avère que l'Indonésie, pendant la pandémie, a abrité l'un des marchés illégaux d'ivermectine les plus importants, les plus dynamiques et à la limite du monde, ciblant la pandémie de SRAS-CoV-2. C'est parce qu'un entrepreneur entreprenant et bien connu dans les années 70 a capitalisé sur la demande croissante dans le quatrième pays le plus peuplé du monde avec le début de la pandémie il y a plus d'un an. Dans ce qui semble être une décision accidentelle et presque fortuite du gouvernement central d'exploiter la croissance positive des ventes du médicament, il semble en réalité qu'il s'agit bien davantage d'usurper le contrôle du marché - et des personnes - de restreindre l'accès au médicament et, surtout, d'apaiser les influenceurs mondiaux, comme l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et divers gouvernements qui peuvent positionner des vaccins, par exemple. Sinon, comment une telle histoire de montagnes russes peut-elle se dérouler, une histoire où ce qui semble être un approvisionnement sain d'ivermectine pour traiter les personnes COVID-19 couplé à une gestion étonnamment stable de la pandémie de COVID-19 dans un cas où l'approvisionnement est devenu absolument limité directement parallèlement au pic le plus massif de la pandémie à partir de juin 2021.
Au lieu d'une médaille, le gouvernement indonésien a donné du fil à retordre au donateur :
Rebecca Weisser, spectateur
… en Indonésie où un philanthrope entreprenant, Haryoseno, est passé à l'action et a mis l'ivermectine à la disposition des masses gratuitement ou à faible coût. En conséquence, l'Indonésie a eu un taux de mortalité Covid extrêmement faible. C'est jusqu'à ce que le ministère de la Santé décide, conformément à la recommandation de l'OMS, que l'ivermectine ne serait utilisée que dans un essai clinique. Haryoseno a été menacé d'une amende et d'une peine de dix ans de prison et l'approvisionnement en ivermectine s'est tari. Résultat ? Le nombre de décès par million a quintuplé depuis le retrait de l'ivermectine le 12 juin.
Il est légal pour les médecins australiens de prescrire de l'ivermectine "hors AMM" (c'est-à-dire pour des utilisations non standard). Même le ministre de la Santé l'a dit :
Hunt sort du script avec de l'ivermectine Le ministre de la Santé approuve le droit des médecins à traiter Covid
Rebecca Weisser, spectateur
En Australie, l'un des rares médecins assez courageux pour utiliser le médicament pour traiter des patients et sauver des vies, le Dr Mark Hobart, a été signalé à l'Australian Health Practitioner Regulation Agency (AHPRA). Heureusement, l'AHPRA a indiqué qu'il n'y avait eu aucune infraction. En effet, le ministre fédéral de la Santé, Greg Hunt, a écrit à l'un des médecins australiens qui prescrivent de l'ivermectine, confirmant qu'il était au courant que certains médecins prescrivent de l'ivermectine hors indication pour Covid et qu'ils étaient tout à fait dans leur droit car la pratique de prescrire des médicaments enregistrés à l'extérieur de leurs indications approuvées n'est pas réglementée ou contrôlée par la Therapeutic Goods Administration (TGA), elle est à la discrétion du médecin prescripteur. Pourtant, le silence persiste. L'ivermectine est le médicament qui n'ose pas prononcer son nom.
Certains médecins prescrivant de l'ivermectine sont membres du Covid Medical Network. Ils peuvent être contactés via leur site Web et fournir des ordonnances de prophylaxie et de traitement partout dans le pays (covidmedicalnetwork.com)
Partagez ce message avec votre médecin généraliste pour lui donner l'assurance qu'il prescrit légalement de l'ivermectine « hors indication » en Australie. Préparez-vous à les défendre, Mark Holden et tout autre docteur, et Thomas Borody, ou même Greg Hunt. Il y a tellement d'argent en jeu. Chaque médecin qui propose un traitement antiviral ou préventif répartit le risque et rend l'acceptation générale beaucoup plus probable. Nous avons ici une fenêtre d'opportunité.
Donnez-nous le choix. Donnez le choix à nos médecins.
Les choses se sont-elles améliorées grâce aux anti-viraux ? Si les antiviraux étaient approuvés le 15 juillet, nous pourrions assister à un ralentissement.
Cas de Covid en Indonésie, graphique OWID Indonésie
Aucun médicament ne devrait être obligatoire, surtout pas un médicament expérimental.
Le médicament miracle qui a disparu Mon résumé de l'ivermectine
Si vous envoyez un seul lien par e-mail à vos amis, faites-en cette histoire. C'est le plus grand scandale médical depuis 1850. Pourquoi un médicament sûr et bon marché est-il ignoré ? Se pourrait-il qu'il n'y aurait pas d'urgence médicale et qu'il n'y aurait pas besoin de précipiter d'autres nouveaux traitements plus risqués qui sont encore classés comme «expérimentaux» s'il existait une alternative sûre? Il y a des milliards de raisons de poser cette question, mais les journaux ne publieraient pas l'histoire. En désespoir de cause, certains Américains vont devant les tribunaux pour obtenir des décisions ordonnant aux médecins d'utiliser l'ivermectine sur leurs proches. Même s'ils gagnent, les hôpitaux refusent parfois de l'utiliser sur des patients avec peu d'options. Une famille a loué un hélicoptère pour emmener sa mère des soins intensifs dans un hôpital qui a refusé de donner de l'ivermectine (et a eu une fin heureuse). Le débat est tellement étouffé qu'il y a des rumeurs selon lesquelles le président américain aurait été traité en secret l'année dernière.
Pour les études évaluées par des pairs, lisez: The BIG Ivermectin Review: Cela peut prévenir 86% des cas de Covid.
L'ivermectine a également été utilisée, avec un succès apparent en Inde, au Pérou et au Mexique (et bien d'autres endroits). Les cas de Covid sont tombés dans les États indiens qui ont approuvé l'utilisation de l'ivermectine mais ont augmenté dans le Tamil Nadu où cela n'était pas autorisé. Malgré le succès, le département indien de la Santé a soudainement arrêté l'utilisation d'ivermectine et les Indiens poursuivent l'OMS avec dégoût. Au Pérou, l'ivermectine a réduit de 75 % le nombre de décès par covid en 6 semaines.
La FDA et d'autres diront qu'il y a peu de preuves de succès jusqu'à présent, mais c'est un scandale en soi. Pourquoi n'y a-t-il pas de grands procès ? Et pourquoi d'autres médicaments comme le Remdesivir sont-ils approuvés avec un seul essai ? L'ivermectine est si sûre que 3,7 milliards de doses ont déjà été utilisées dans le monde. Les inventeurs ont remporté un prix Nobel pour sa découverte en 2015. Nous savons que cela pourrait être utile depuis avril de l'année dernière, lorsqu'un groupe australien a recherché parmi de nombreux médicaments sûrs et bon marché à la recherche de ceux qui pourraient aider contre Covid. La nouvelle était alors "Un autre remède possible contre le coronavirus, trouvé dans la trempette de mouton: l'ivermectine". Il ne s'agissait que d'une étude de laboratoire, et cela suggérait que les doses devraient être trop élevées. Même ainsi, les succès continuent de se produire dans le monde réel ? En juillet de l'année dernière, il y avait déjà des signes que l'ivermectine pourrait économiser jusqu'à 50%. Pourquoi de grands essais n'ont-ils pas alors été lancés ? Le procès britannique est entravé dès le départ.
L'avocat américain de Frontline Doctors intente une action en justice contre le gouvernement américain pour 45 000 décès dus au vaccin covid
Mercredi 21 juillet 2021 par : Ethan Huff
(Natural News) L'avocat de l'Ohio, Thomas Renz, poursuit le gouvernement fédéral pour avoir poussé des "vaccins" contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) qui auraient causé au moins 45 000 décès jusqu'à présent.
Lors d'une récente conférence à Anaheim, en Californie, Renz a annoncé qu'un initié dénonciateur avait soumis une déclaration sous serment attestant du fait que le complexe militaro-industriel américain tentait de dissimuler un nombre massif de décès dus aux coups qui ne sont pas rendus publics. .
"Je dépose des documents devant un tribunal fédéral aujourd'hui", a déclaré Renz à un public enthousiaste – vous pouvez regarder le clip ci-dessous.
« Jane Doe m'a donné des informations, c'est une initiée, c'est une dénonciatrice. Nous soumettons aujourd'hui au tribunal fédéral, sur la base d'une déclaration sous serment, sous peine de parjure, cette femme en a attesté, et c'est une experte. Nous savons, d'après ce qu'elle a dit, qu'il y a eu au moins 45 000 décès à cause de ce vaccin. »
Renz dit que le dénonciateur a vu «à l'intérieur des systèmes» où des blessures et des décès liés au vaccin sont signalés qu'au moins 45 000 personnes aux États-Unis sont décédées dans les trois jours suivant l'injection – et ce n'est qu'un système qui rend compte au gouvernement fédéral.
De manière réaliste, plus d'un demi-million d'Américains sont maintenant morts à cause des vaccins contre le covid Selon Renz, il existe jusqu'à 12 systèmes différents qui signalent au gouvernement les décès et les blessures causés par les vaccins. Cela signifie que le nombre réel de décès par injection de virus chinois pourrait être plus proche de 540 000 personnes.
« Combien sont vraiment morts ? » demanda Renz. « Et pourquoi le cachent-ils ? Ces gens tuent des gens. C'est de la complicité au minimum. Les gens doivent être en prison.
Sachant que Big Tech serait prompt à censurer son discours sur YouTube et les plateformes de médias sociaux - ne vous inquiétez pas, vous trouverez toujours ce type de contenu sur Brighteon.com qui n'est jamais censuré - Renz avait également un message pour la cabale technologique.
"Vous êtes complice d'avoir causé la mort, et j'ai hâte de vous poursuivre encore et encore", a déclaré Renz, faisant référence à des sociétés multinationales comme Google, Facebook et Twitter, qui sont toutes engagées dans une dissimulation massive de la vérité.
Renz a remercié les médecins de première ligne de l'Amérique de lui avoir permis de porter plainte en Alabama. Il s'est personnellement adressé au Dr Simone Gold et à d'autres membres de l'organisation qui se sont prononcés au cours de l'année dernière contre les efforts de l'État médical profond pour faire taire les faits tout en faisant la promotion de la désinformation médicale.
"Merci à vous tous qui faites cela", a déclaré Renz.
Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis, quant à eux, affirment, sur la base de ce qui est rapporté publiquement dans le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), que seulement environ 11 000 personnes sont décédées des vaccins contre la grippe Fauci. Beaucoup d'entre eux ont été signalés bien au-delà du délai de trois jours après l'injection évalué par le dénonciateur.
Le Dr Judy Mikovits et le Dr Andrew Wakefield étaient tous deux présents au même événement, qui a averti que Tony Fauci est une « belette luciférienne » qui ne doit pas être prise au sérieux.
"Je prierai très fort pour la sécurité du dénonciateur et pour le discernement de l'équipe juridique", a écrit un commentateur sur Brighteon.com.
« Il ne se passe pas un jour sans qu'un aveu de trahison, de meurtre, de vol de l'argent des contribuables, de fraude électorale et d'autres crimes contre le peuple des États-Unis ne laisse tomber ce faux gouvernement non élu », a écrit un autre.
"On dirait que le dépeuplement se produit plus rapidement qu'initialement divulgué", commente un autre. « Je peux imaginer Bill Gates et ses acolytes criant : « A toute vitesse ! » »
Alors que les corps continuent de s'accumuler à cause des injections de virus chinois, nous en rendrons compte sur ChemicalViolence.com.
Top 7 des MENSONGES sur la santé et la sécurité auxquels plus de 200 millions d'Américains croient aujourd'hui
Wednesday, July 21, 2021 by: S.D. Wells
(Natural News) En tant qu'Américain, peu importe à quel point vous êtes intelligent, vous avez subi un lavage de cerveau depuis votre enfance pour croire que le système immunitaire humain est très fragile, de la naissance à la mort, et que vous avez besoin d'au moins 75 vaccins juste rester en vie. En tant qu'Américain, vous avez subi un lavage de cerveau pour croire que toute affection, maladie, trouble ou maladie dont vous pourriez souffrir ne peut être traitée (mais jamais guérie) que par une médecine chimique créée dans un laboratoire et prescrite par quelqu'un qui a fait des études de médecine pendant huit ans. ans pour apprendre à rédiger votre commande « spécialisée ».
Vous êtes également soumis à un lavage de cerveau pour croire que vous devez consommer de la viande, du lait et du pain tous les jours afin de remplir les « apports quotidiens recommandés » pour que votre corps fonctionne. Ce sont la base des plus grands mensonges perpétués dans un pays où les investisseurs investissent dans votre grave manque de connaissances sur l'alimentation, les médicaments et les vaccins.
Presque toutes les épiceries et tous les supermarchés regorgent de « produits alimentaires » contaminés, transformés, chargés de produits chimiques et pathogènes, qui sont bon marché et conçus pour vous rendre malade, lentement au fil du temps. Les défenseurs de la santé naturelle le savent, mais le reste de la population de consommateurs, environ 200 millions de personnes ou plus, n'en a aucune idée. De plus, nos agences de réglementation, y compris l'EPA, la FDA et le CDC, sont « all-in » sur le programme « Ponzi » pour la mauvaise santé, et elles investissent également dans votre disparition, si vous êtes si naïf et mal informé.
À combien de ces 7 principaux MENSONGES sur la santé et la sécurité votre famille, vos amis, vos voisins et vos collègues croient-ils ?
MENSONGE #1 : La FDA et le CDC essaient d'empêcher les Américains de mourir de nourriture et de maladies.
MENSONGE #2 : Vous avez besoin de vaccins pour avoir une chance de survivre à la rougeole, à la grippe annuelle, ainsi qu'à Covid-19 et ses variantes.
MENSONGE #3 : Il n'y a rien de mal avec la nourriture conventionnelle, tant que vous n'en mangez pas trop.
MENSONGE #4 : Les médicaments sur ordonnance vous aident à guérir des maladies et des affections corporelles, prolongeant ainsi la vie.
MENSONGE #5 : Lorsque vous « vieillissez », vous perdez la mémoire, votre corps se décompose et vous avez besoin de beaucoup de médicaments et d'opérations juste pour rester en vie et fonctionner.
MENSONGE #6 : Tous les germes et bactéries sont mauvais et nous devons nous protéger toute la journée en utilisant des masques, des produits antibactériens, de l'eau de Javel et des désinfectants chimiques en permanence pour rester en bonne santé.
MENSONGE # 7 : Google, Alexa et Wikipedia sont de bons moyens de rechercher des sujets de santé car ils ont des vérificateurs de faits.
La plupart des médecins font fortune en vous disant que tous vos problèmes de santé sont « génétiques » et « hérités de vos parents et grands-parents », de cette façon vous accepterez toutes les formes de médicaments qu'ils recommandent et prescrivent, y compris la chimiothérapie toxique et les tests de diagnostic dangereux. .
Les pires et les plus dangereux « traitements » proposés sont les vaccins, car ce sont des injections de toxines et de manipulateurs génétiques qui contournent tous les filtres normaux de votre corps, y compris votre peau, votre système digestif et vos voies respiratoires.
Maintenant, la technologie mélangée à des inoculations insidieuses a produit des humains qui peuvent être contrôlés par la pharma. Comment, demandez-vous ? Regardez cette vidéo ci-dessous et vous pourrez commencer à comprendre ce qui se passe réellement avec les vaccins en ce moment, en Amérique.
Faites-vous partie de « l'internet de tout ? » Avez-vous reçu un jab d'ARNm de Moderna ou de Pfizer ? Votre corps peut maintenant communiquer avec tout, des téléphones portables aux ordinateurs en passant par les postes de police, avec des données sur vos signes vitaux, vos émotions et si vous mentez ou non à propos de quelque chose. Vous pouvez déjà, grâce à la nanotechnologie dans ces vaccins, être connecté à « l'internet de tout ».
Serez-vous arrêté pour des « crimes de pensée » qui vous sont venus à l'esprit mais que vous n'avez jamais commis ? Regardez cette vidéo informative dans laquelle un médecin géorgien dénonce et elle est très informée sur la « technologie » des vaccins.
Le danger du vaccin…
Si votre travail ou vos proches vous ont d'une manière ou d'une autre amené à vous faire piquer avec les inoculations de la coagulation sanguine de Covid et que vous souffrez du syndrome de CoVax, alors signalez-le au VAERS. Consultez également Pandemic.news pour des mises à jour sur ces crimes contre l'humanité et le prochain holocauste vaccinal.
Vous voulez vous informer sur la santé naturelle et la guérison naturelle? Commencez par les 10 meilleurs remèdes indigènes et revenez à partir de là. Prendre plaisir. Il s'agit d'une annonce de service public de Natural News.
L'avocat américain de Frontline Doctors intente une action en justice contre le gouvernement américain pour 45 000 décès dus au vaccin covid
Mercredi 21 juillet 2021 par : Ethan Huff
(Natural News) L'avocat de l'Ohio, Thomas Renz, poursuit le gouvernement fédéral pour avoir poussé des "vaccins" contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) qui auraient causé au moins 45 000 décès jusqu'à présent.
Lors d'une récente conférence à Anaheim, en Californie, Renz a annoncé qu'un initié dénonciateur avait soumis une déclaration sous serment attestant du fait que le complexe militaro-industriel américain tentait de dissimuler un nombre massif de décès dus aux coups qui ne sont pas rendus publics. .
"Je dépose des documents devant un tribunal fédéral aujourd'hui", a déclaré Renz à un public enthousiaste – vous pouvez regarder le clip ci-dessous.
« Jane Doe m'a donné des informations, c'est une initiée, c'est une dénonciatrice. Nous soumettons aujourd'hui au tribunal fédéral, sur la base d'une déclaration sous serment, sous peine de parjure, cette femme en a attesté, et c'est une experte. Nous savons, d'après ce qu'elle a dit, qu'il y a eu au moins 45 000 décès à cause de ce vaccin. »
Renz dit que le dénonciateur a vu «à l'intérieur des systèmes» où des blessures et des décès liés au vaccin sont signalés qu'au moins 45 000 personnes aux États-Unis sont décédées dans les trois jours suivant l'injection – et ce n'est qu'un système qui rend compte au gouvernement fédéral.
De manière réaliste, plus d'un demi-million d'Américains sont maintenant morts à cause des vaccins contre le covid Selon Renz, il existe jusqu'à 12 systèmes différents qui signalent au gouvernement les décès et les blessures causés par les vaccins. Cela signifie que le nombre réel de décès par injection de virus chinois pourrait être plus proche de 540 000 personnes.
« Combien sont vraiment morts ? » demanda Renz. « Et pourquoi le cachent-ils ? Ces gens tuent des gens. C'est de la complicité au minimum. Les gens doivent être en prison.
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Sachant que Big Tech serait prompt à censurer son discours sur YouTube et les plateformes de médias sociaux - ne vous inquiétez pas, vous trouverez toujours ce type de contenu sur Brighteon.com qui n'est jamais censuré - Renz avait également un message pour la cabale technologique. .
"Vous êtes complice d'avoir causé la mort, et j'ai hâte de vous poursuivre encore et encore", a déclaré Renz, faisant référence à des sociétés multinationales comme Google, Facebook et Twitter, qui sont toutes engagées dans une dissimulation massive de la vérité.
Renz a remercié les médecins de première ligne de l'Amérique de lui avoir permis de porter plainte en Alabama. Il s'est personnellement adressé au Dr Simone Gold et à d'autres membres de l'organisation qui se sont prononcés au cours de l'année dernière contre les efforts de l'État médical profond pour faire taire les faits tout en faisant la promotion de la désinformation médicale.
"Merci à vous tous qui faites cela", a déclaré Renz.
Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis, quant à eux, affirment, sur la base de ce qui est rapporté publiquement dans le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), que seulement environ 11 000 personnes sont décédées des vaccins contre la grippe Fauci. Beaucoup d'entre eux ont été signalés bien au-delà du délai de trois jours après l'injection évalué par le dénonciateur.
Le Dr Judy Mikovits et le Dr Andrew Wakefield étaient tous deux présents au même événement, qui a averti que Tony Fauci est une « belette luciférienne » qui ne doit pas être prise au sérieux.
"Je prierai très fort pour la sécurité du dénonciateur et pour le discernement de l'équipe juridique", a écrit un commentateur sur Brighteon.com.
« Il ne se passe pas un jour sans qu'un aveu de trahison, de meurtre, de vol de l'argent des contribuables, de fraude électorale et d'autres crimes contre le peuple des États-Unis ne laisse tomber ce faux gouvernement non élu », a écrit un autre.
"On dirait que le dépeuplement se produit plus rapidement qu'initialement divulgué", commente un autre. « Je peux imaginer Bill Gates et ses acolytes criant : « A toute vitesse ! » »
Alors que les corps continuent de s'accumuler à cause des injections de virus chinois, nous en rendrons compte sur ChemicalViolence.com.
Convergence effondrée : inondations, sécheresses, famine, guerre biologique vaccinale et implosion mondiale de monnaie fiduciaire… ils les « empilent » pour une dévastation maximale
Mercredi 21 juillet 2021 par : Mike Adams
(Natural News) La première chose que nous devons tous reconnaître, c'est que les catastrophes sont conçues.
L'arme biologique covid a été créée dans un laboratoire. Le vaccin a été développé pour réaliser intentionnellement la dépopulation. La « grande remise à zéro » du système financier est planifiée par les riches banquiers. Même les inondations, les sécheresses et les mauvaises récoltes sont pour la plupart le résultat d'armes météorologiques.
La deuxième chose que nous devons tous reconnaître, c'est qu'ils « empilent » les catastrophes les unes sur les autres afin d'obtenir une dévastation maximale.
Alors que de nombreuses personnes peuvent survivre à une crise à la fois – comme une pénurie alimentaire ou une inondation à court terme – très peu de personnes sont prêtes à survivre à un groupe de catastrophes multicouches et conçues qui se déchaînent les unes sur les autres. Les blocages malveillants ont également détruit une grande partie du tampon financier dont disposait autrefois la classe moyenne, poussant ces personnes de plus en plus vers la misère. (Tous par conception, bien sûr.)
Malgré tout ce pessimisme, la préparation permet de survivre. Parce que les humains préparés sont difficiles à tuer.
Les mondialistes réalisent que la plupart des humains ne sont absolument pas préparés et inconscients des menaces qui pèsent maintenant sur eux Étonnamment, les mondialistes qui tentent d'exterminer la plus grande partie de la race humaine ont déjà réalisé que la plupart des gens sont vraiment faciles à tuer pour la simple raison que la plupart des gens n'ont aucune préparation. L'être humain moyen vivant aujourd'hui n'a presque pas d'argent disponible, très peu de nourriture disponible, pas de carburant, d'or, d'argent ou même un moyen d'autodéfense de base. Il suffit d'un événement contrôlé vers le bas du réseau pour que les mondialistes exterminent peut-être 70 % de la population américaine en quelques mois. S'ils ajoutent à cela une implosion contrôlée de la bombe de la dette et une pénurie alimentaire artificielle, ils pourraient théoriquement atteindre des taux d'extermination de 80 % ou même 90 % (ce qui semble être ce qu'ils veulent).
J'enseigne les principes de préparation et de survie depuis deux décennies maintenant, et je me prépare personnellement depuis au moins 1995. Mais maintenant, mon message urgent pour tous ceux qui souhaitent survivre est que nous devons nous préparer à des événements d'effondrement simultanés et artificiels qui sont programmés pour une destruction maximale. Les tueurs de masse démoniaques en charge de notre planète en ce moment essaient délibérément d'éliminer autant d'êtres humains que possible, et les vaccins contre la dépopulation ne sont qu'un début. Beaucoup plus sera déchaîné contre l'humanité dans les mois et les années à venir.
Obtenez toute l'histoire dans le podcast Situation Update d'aujourd'hui via Brighteon.com, et le podcast de demain se concentrera sur les étapes de préparation pratiques pour vous aider à vous préparer :
5 522 personnes décédées dans les 28 jours suivant un vaccin contre le Covid-19 en Écosse
le 22/07/2021 à 10:20 - Mise à jour à 10:33
Secret médical ?
La campagne de vaccination fonctionne à pleine vitesse avec des thérapies géniques toujours en phase 3 d’essais cliniques. De nombreux médecins spécialistes, comme le Pr Peter McCullough, se sont élevés contre cette campagne jugée trop rapide avec des produits expérimentaux. Le Pr Montagnier, prix Nobel de médecine, a aussi émis l’avis qu’il « était temps de stopper cette campagne » pendant que Christian Vélot déclarait : « il ne faudrait pas que le remède soit pire que le mal ». En France, rappelons que les parlementaires n’ont pas reçu de rapport ni de présentation détaillée sur les EI et EIG (effets indésirables et effets indésirables graves). Un vrai problème si l’on écoute le docteur en pharmacie Amine Umlil puisque cela entraine une violation du consentement libre et éclairé.
Ce problème n’est pas seulement français, puis qu’aux États-Unis des rapports alarmants apparaissent sur le nombre de décès liés à la vaccination dans la base de données de pharmaco vigilance VAERS qui mesure les EI/EIG. Un analyste informatique a fourni un témoignage sous serment dans une procédure juridique comme quoi les décès pourraient être de 45 000 alors que le chiffre officiel est de 9 000. (source TrialSiteNews)
- voir doc sur site -
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Le Dailyexpose, un média indépendant, rapporte quant à lui que le département de Santé Publique en Ecosse, recense 5 522 personnes décédées dans les 28 jours suivant un vaccin contre le covid-19. Un chiffre important rapporté à la population écossaise de 5,454 millions d’habitants, avec un recensement de 7 820 décès covid-19 depuis le début de la pandémie.
« En raison de dizaines de demandes d'accès à l'information, demandant à Public Health Scotland (PHS) de fournir le nombre total actuel de décès de toute personne décédée dans les 28 jours suivant le vaccin covid-19, PHS a décidé que la meilleure voie à suivre était de publier les informations de manière routinière et périodique dans leur rapport statistique covid-19. »
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Les chiffres les plus récents publiés par PHS dans le rapport du 23 juin 2021, révèlent qu'entre le 8 décembre 2020 et le 11 juin 2021 un nombre total de 5,522 personnes sont mortes dans les 28 jours suivant une dose d'un vaccin covid-19.
Le rapport fourni par PHS comprend le nombre de décès par type de vaccin et leur date d’occurrence :
1 877 décès suivent à l’injection ARNm de Pfizer 3 643 décès suivent l’injection à vecteur viral AstraZeneca 2 décès suivent l’injection d'ARNm de Moderna En moyenne, 920 décès surviennent chaque mois suite au vaccin covid-19 rien qu'en Écosse. Ce chiffre dépasse ainsi le nombre moyen de personnes décédées de covid-19 en Écosse de 866 par mois.
Le 30 janvier 2021, une lettre de demande d'accès à l'information, envoyée au gouvernement écossais, demandait de révéler le nombre total de personnes qui étaient mortes de covid-19 depuis mars 2020.
Le 11 mars 2021, le gouvernement écossais répondait :
« 596 décès impliquant COVID-19 ont été enregistrés alors qu'il n'y avait pas de problème de santé préexistant entre mars 2020 et janvier 2021 compris. »
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Malgré de nombreuses demandes d’individus, le département de Santé publique Anglais (PHE : Public Health England) a jusqu'à présent refusé de publier des données sur le nombre de décès survenus dans les 28 jours suivant la vaccination en Angleterre.
Des dizaines de demandes d'accès à l'information ont été adressées à PHE posant cette question critique. La réponse de PHE est constante et déclare que « Public Health England peut confirmer qu'elle ne détient pas les informations que vous avez demandées. » Autant dire une fin de non-recevoir. Si PHE ne détient pas les informations, qui les détient alors ?
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En se basant sur les données écossaises du nombre de décès dus aux vaccins covid-19, il a été possible, rapporte le DailyExpose, d’estimer le nombre probable de décès dus aux injections en Angleterre. En appliquant le taux de décès écossais à la population d’Angleterre, le chiffre réel estimé de décès dus à l’injection au cours des 6 derniers mois pourrait atteindre 57 470.
Ce chiffre à lui seul pourrait-il être précisément la raison pour laquelle PHE « prétend » ne pas détenir ces informations ?
C’est une ARME biologique contre l’Humanité !! : Dr David Martin (2:10)
Le Dr David Martin lors d’une conférence tenue en Californie en mai 2021.
Il aborde l'histoire du développement de l'arme biologique du SRAS, initialement financée pour la recherche sur le SIDA/VIH en 1999, et il a lâché cette bombe sur le public :
Dr Fauci a dépensé , écoutez bien 191 milliard de dollars. . Pas 3,7 millions, pas 30 millions, 191 milliards de dollars de fonds alloués pour l’armement biologique contre l’Humanité. Ceci est un programme d’arme biologique pour nous tuer. Voila ce que c’est. Et ce n’est pas que pour nous tuer, c’est pour procéder à une dépopulation massive. Vous avez un virus, vous avez une arme biologique.
En 1999, cet armement a été évoqué explicitement dans le premier rapport NIAID. Et DURC était impliqué, tout comme un tas d’agences de La Défense. Ce qui a été fait spécifiquement en 1999, l’épithélium du poumon humain était visé pour la première fois car le Coronavirus était plutôt inoffensif pour la plupart des humains. Mais l’epithelium du poumon humain est explicitement visé afin que cela devienne pathogène pour le poumon humain. Nous avons construit le SARS. Les humains ont construit le SARS et ce sont les contribuables américains qui ont payé cela. En 1999, nous avons construit une arme biologique. J’ai écrit mon premier briefing en 2001, et j’ai mentionné les armes biologiques et la sécurité globale. En 2003, en Slovénie . En 2004, en République Islamique d’Iran à la Conférence sur les armes biologiques en Iran. Ce sont des faits historiques qui ne sont pas nouveaux. C’était connu, et en 2005, ils ont fondé l’initiative DARPA . 2005.
Ema Krusi : Pass Sanitaire et astuce pour le personnel soignant
Ema Krusi — Odysee Sott.net mar., 20 juil. 2021 19:11 UTC
Dans cette vidéo, je me penche sur les conditions d'obtention du pass sanitaire en France et en Suisse et appelle les services gouvernementaux afin d'y voir plus clair.
En théorie, avec une « attestation de rétablissement », vous pouvez obtenir votre pass sanitaire sans aucune injection supplémentaire. En pratique, pour avoir cette « attestation de rétablissement », vous devrez faire face aux incohérences des directives, ce qui nous amène une fois de plus à dénoncer les décisions administratives loin de la logique scientifique et du discernement.
- voir clip sur site -
Liste des ingrédients du « vaccin » Pfizer : https://www.gov.uk/government/publications/regulatory-approval-of-pfizer-biontech-vaccine-for-covid-19/information-for-healthcare-professionals-on-pfizerbiontech-covid-19-vaccine#pharmaceutical-particulars Vidéo concernant l'identité numérique annoncée depuis septembre 2020 : https://emakrusi.com/video/20-25-09-2020-covidpass-la-nouvelle-prison-2-0/ Vidéo sur les appels aux labos concernant l'efficacité des tests PCR : https://emakrusi.com/video/23-23-10-2020-appels-aux-labos/ Vidéo concernant les cycles d'amplification : https://emakrusi.com/video/21-30-09-2020-tests-pcr-vous-avez-dit-contagieux/ Vidéo sur « la tambouille à Mémé ! » et l'immunité cellulaire : https://emakrusi.com/video/35-11-06-2021-vaccin-et-immunite-cellulaire/ Source de la vidéo sur le site d'Ema Krusi Source de la vidéo sur Odysee
Ne paniquez pas !Il n'est pas forcément nécessaire d'être un héros pour échapper à l'injection expérimentale forcée !
Alain Tortosa. Nouveau Monde mar., 20 juil. 2021 18:58 UTC
Je fais partie de celles et ceux qui pensent qu'il suffit de dire « non » pour échapper à une mesure qui nous semble totalement inacceptable. J'ai d'ailleurs refusé le confinement, le port du masque, mes enfants ont dû quitter l'école, car ils n'étaient pas acceptés sans masque malgré un certificat médical. Le problème de la vaccination obligatoire ou du pass sanitaire ne se posent donc pas pour moi. Je n'aurai pas de passeport sanitaire, je ne me ferai pas un test PCR quand bien même il serait obligatoire pour faire des courses et mes enfants ne seront pas vaccinés pour aller en fac. Et hormis sous la menace d'une arme (et encore, car si cela devait arriver j'aurais probablement la mienne), ni ma famille ni moi-même ne serons injectés par ces produits inefficaces et dangereux... Il suffit de lire la littérature scientifique et ce qu'il se passe à l'étranger pour s'en convaincre...
Oui je pense qu'il suffit d'affirmer « je suis libre de... » pour échapper aux mesures dictatoriales. Oui, mais... je ne suis pas tout le monde ! Il suffit de voir comment l'immense majorité des enfants ont été masqués à l'école y compris l'immense majorité des enfants des « résistants ». Dans les faits, il n'est pas si simple de dire « non » et d'autant plus dans une société qui nous a appris à tout accepter au nom de la « sécurité ».
Il est urgent d'attendre !
Rappel sur l'obligation vaccinale ou le pass vaccinal.
Il n'existe strictement aucune obligation vaccinale Covid pour qui que ce soit en France.
À ce jour le pass sanitaire n'est obligatoire que pour certains concerts ou grands événements et pour partir à l'étranger et en Corse... Et c'est tout !
J'écrirai « pass vaccinal », car dès lors que les tests deviendraient payants et valables 24 h, vous comprendrez bien que l'on ne peut pas prévoir un budget de 10 000 euros par mois pour vivre.
Coup de bluff
Macron a fait croire que l'extension des premières obligations se ferait à partir du 21 juillet !
Ce qui est présenté comme « faits » n'est que « projets ». C'est un coup de bluff formidable parce qu'il va falloir voter des lois à l'assemblée, puis passage au Sénat, puis retour à l'assemblée. Il va aussi y avoir de nombreux amendements déposés. Il va falloir aussi que l'on statue sur l'aspect constitutionnel de ces lois et si elles ne vont pas à l'encontre de règlements européens, de traités internationaux ou autres. Sans compter tous les recours lancés tous azimuts par les défenseurs des droits de l'homme...
Bref, cela va prendre des semaines pour ne pas dire des mois et rien ne dit que cela aboutisse !
Ce qui fait le plus peur, c'est l'obligation vaccinale pour travailler ou se rendre à son travail.
Les restaurants, concerts et autres cinémas n'auront qu'à mourir s'ils s'abaissent à vouloir faire respecter ces lois iniques introduisant l'apartheid en France et des citoyens de seconde zone.
Il n'y a strictement aucune raison de se précipiter pour se faire injecter ces substances expérimentales en cours de test. Les français qui se sont précipités suite à l'annonce du dictateur ont affirmé que leurs vacances aux Caraïbes ou en Corse de cette année avaient plus de valeur que leur vie. Leurs précieuses vacances valaient bien de jouer à la roulette russe, quitte à avoir un cancer provoqué par cet ARNm dans 10 ou 20 ans ou des problèmes de fertilité ! Cela me semble fou, au regard des 10 000 décès reconnus de la vaccination (donc largement minimisés) aux USA et les centaines de milliers d'effets secondaires, dont certains à vie !
Alors quelles sont les stratégies possibles ?
L'impossibilité vaccinale !
Il va bien y avoir des médecins militants et courageux qui feront honnêtement leur travail en délivrant des certificats médicaux aux personnes qui ne peuvent se vacciner pour raison de santé. Il est de plus évident que les causes psychiatriques sont à prendre en compte, comment vacciner une personne phobique qui pourrait aller jusqu'à se faire du mal si on lui imposait l'injection ?
Le « prouve-moi que ta démarche est légale ! »
Dès lors qu'une autorité ou un commerce va vous dire de présenter un pass sanitaire ou un certificat de vaccination, vous êtes en droit que lui demander sur quels textes de loi elle base son affirmation.
Je n'aborderai pas l'aspect juridique qui va être largement développé par Carlo Brusa, président de réaction 19. Vous pourrez donc soit dire que la demande est illégale si elle relève purement d'un texte qui n'est pas une loi et le menacer de plainte au pénal. Et si d'aventure une loi avait vu le jour, vous pourrez lui signifier que cette loi est en contradiction totale avec des lois et traités existants et donc qu'elle n'a pas valeur légale. À ce titre, je ferais référence à une soignante résistante italienne qui, dans l'obligation de se vacciner, s'est rendue au centre de vaccination avec son avocat. L'obligation vaccinale étant imposée au nom de la solidarité et du contrôle de l'épidémie, celle-ci a demandé au médecin de lui signer un document indiquant que l'injection permettait d'empêcher la contamination et la propagation du virus. Bien évidemment, le médecin n'a pas signé et aucun médecin ne signera jamais un tel document parce que c'est faux. Sur ce, l'avocat a fait appel à la police pour faire constater le refus de signature du document. Cette femme a ainsi réussi à gripper le système : d'un côté une obligation vaccinale au nom de la solidarité et de l'autre une preuve que le vaccin n'est pas un vaccin, mais une thérapie...
La loi
Une procédure de licenciement ne se fait pas comme ça et il faudra probablement des mois pour qu'elle aboutisse si elle devait aboutir. Il est important de se faire conseiller en fonction des situations, de son emploi, etc.. En tout état de cause, j'imagine que tout document qui n'est pas envoyé en recommandé avec accusé de réception n'existe pas... Si la tournure devient juridique, frapper un grand coup le plus tôt possible et essayer de renverser la vapeur « Je vais porter plainte contre vous » afin de refroidir quelques ardeurs.
Je vous rappelle aussi que les juges de prud'hommes sont certainement moins aux bottes de l'État.
Tout ce qui pourrait faire peur à la hiérarchie d'un point de vue juridique ET d'un point de vue médiatique pourrait donc être de nature à les faire réfléchir...
Les « NON » je ne suis pas d'accord !
Le « non » peut prendre plusieurs formes... Un « non je ne me ferais pas vacciner et ce n'est pas négociable... ». Un « non je ne te dirai pas si je suis vacciné ou pas, cela ne te regarde pas, tu n'es pas mon médecin » qui peut aussi être formulé comme « mon information vaccinale relève du secret médical. » Les stratégies de l'usure
Je vous rappelle que si cette mesure voit le jour, elle prendra probablement des semaines ou des mois pour passer de la théorie au décret d'application et qu'il est fort possible, s'il reste un peu d'État de droit, que la mesure passe aux oubliettes. Il n'est pas non plus impossible que si cette mesure devient obligatoire sur le papier, que soit elle ne sera jamais appliquée, soit les textes ne prévoiront pas de sanctions. Donc l'important est de tenir !
« Oui je vais me vacciner ! »
Laisser pourrir... Un jour vous dites que vous avez pris rendez-vous, un jour vous dites que vous hésitez entre deux vaccins, etc. Vous dites « oui », mais vous faites « non » ! Grâce à cette stratégie, vous pouvez gagner quelques semaines...
« Demain, je te passe les papiers ! »
Vous dites que vous êtes vacciné, même si c'est entièrement faux et là aussi vous faites pourrir la situation... Plusieurs formulations existent comme « Je l'ai posé hier sur ton bureau » ou « je l'ai donné à Michel » (qui est en congé pour un mois). À noter que si c'est une administration qui le demande ou qu'il y a plusieurs responsables à ce poste dans l'entreprise, pourquoi ne pas changer d'interlocuteur. Par exemple mardi je vais m'inscrire en fac, on me demande la preuve de vaccination, je reviens mercredi où une autre personne me recevra qui sera peut-être résistante et n'exigera pas le document...
« Je vais créer un groupe de réflexion ! »
Ceci n'est possible que dans les grandes entreprises qui adorent faire des réunions qui ne servent strictement à rien. Dans cette hypothèse vous allez proposer de créer un groupe de réflexion sur la vaccination, groupe qui aura pour objectif de déterminer quel est le meilleur vaccin, par exemple celui qui ne risque pas de diminuer la productivité...
La prise de conscience... « Tu veux le résultat de mon dernier frottis vaginal ? »
Mettre en place un dialogue qui permette à l'autorité qui vous fait cette demande à quel point elle est délirante, contraire aux droits de l'homme et relève de l'intime. Lui demander par exemple pourquoi il ne demande pas si vous êtes séropositif et lui demander si c'est un monde comme ça qu'il désire pour ses enfants...
Si d'aventure ces lois scélérates rentraient en application, elles ne pourraient pas le rester pendant 10 ans. Autant on pourrait peut-être rendre l'obligation pendant un ou deux ans, mais pendant dix ans pour combattre un virus qui ne tue pas avec un vaccin qui ne marche pas, c'est compliqué. Sans compter que les remontées d'effets secondaires sur les personnes vaccinées de force seront obligatoirement plus efficaces, sans compter les multiples procès.
Un « mon fils est mort alors que la vaccination n'est pas obligatoire » n'aura pas le même impact judiciaire que « mon fils est mort alors que vous l'avez obligé à se vacciner ! ».
Si on vous menace de vous mettre à l'écart, prenez le placard, cela vous permettra enfin d'écrire le livre que vous rêvez d'écrire depuis dix ans. Si on vous place en télétravail, alors acceptez !
En revanche, le cadeau qu'il ne faut surtout pas leur accorder est le « je vais démissionner ! ». Si vous deviez les provoquer, dites plutôt : « Allez ! Virez-moi ! Vous allez voir le procès et la publicité que vous allez vous prendre dans le cul ! » En conclusion ?
Bien malin celui qui sait ce qu'il va se passer demain. Cela va dépendre non seulement de la résistance du peuple français, mais aussi de la résistance et des politiques des pays étrangers et européens. Croyez bien que la France ne peut pas devenir plus dictatoriale que la Chine ou la Corée du Nord sans que cela pose problème.
Donc même si vous n'allez pas au conflit frontal, il est certainement possible d'adopter des stratégies d'évitement, stratégies qui seront adaptées selon l'évolution de sa situation personnelle. Les appels au boycott, les entreprises de la honte, la médiatisation sont aussi des armes redoutables.
Personnellement, je prône le boycott des entreprises ou services publics qui feront la promotion et mettront en œuvre le passeport vaccinal ou la vaccination obligatoire non seulement pour la durée de la dictature, mais aussi à vie !
Il n'est pas un secret que je ne remettrai jamais les pieds dans mon magasin Botanic, car il refuse l'accès à des personnes sans masque munies d'un certificat médical ou dans Burger King qui vient d'annoncer à ses salariés qu'ils seront virés s'ils ne sont pas vaccinés alors que ce n'est qu'un projet de loi.
Tous ces collabos adorateurs de l'apartheid doivent comprendre que leurs actes les engagent à vie !
Un député australien déclare que les personnes non vaccinées « doivent être contrôlées et restreintes »
PAR TYLER DURDEN JEUDI 22 JUIL 2021 - 11:15 Rédigé par Paul Joseph Watson via Summit News,
Le député australien Frank Pangallo a déclaré que ce que les personnes non vaccinées sont autorisées à faire dans la communauté « devra être contrôlé et limité » par les autorités.
Le législateur du SA-Best Party a appelé le gouvernement australien, qui a indiqué qu'il ne rendra pas le passeport vaccinal obligatoire, à le rendre obligatoire pour l'accès aux "lieux d'accueil, lieux publics, lieux de travail et pour les voyages", rapporte Reclaim the Net.
Pangallo affirme que les « vaxports » (passeports vaccinaux) seront cruciaux pour éviter que le pays ne subisse une « catastrophe sanitaire et économique ».
"Bien que les gens puissent toujours avoir le choix de se faire vacciner ou non, ce qu'ils peuvent faire dans la communauté devra être contrôlé et limité", a déclaré le député.
En d'autres termes, ceux qui refusent de se faire vacciner devraient devenir des citoyens de seconde zone, être discriminés et rester de facto indéfiniment bloqués.
Citant la menace de nouvelles variantes, Pangallo a déclaré: "Je comprends que les gens penseront qu'il s'agit d'une étape plutôt drastique et draconienne, mais cette pandémie continue d'évoluer de manière et de vagues que personne ne peut prédire."
Bien que seulement 13% de la population australienne ait été vaccinée jusqu'à présent, Pangallo a déclaré que les "vaxports" étaient une nécessité afin "d'empêcher tout le pays de se verrouiller".
L'Australie poursuit une politique "zéro COVID" radicalement stupide qui a conduit à la fermeture de villes entières après la découverte d'une seule infection.
Comme nous l'avons souligné hier, les responsables de la santé publique disent désormais aux citoyens qu'ils ne devraient même pas s'engager dans une conversation (même s'ils portent des masques) au nom de l'arrêt de la propagation du virus.
Les autorités ont également supervisé l'application la plus brutale du verrouillage de tous les pays développés.
Une femme enceinte a été arrêtée dans sa propre maison pour avoir planifié une manifestation contre le verrouillage sur Facebook, tandis que l'État s'est également donné le pouvoir de saisir les enfants de leurs parents et d'entrer dans les maisons sans mandat en vertu des règles COVID-19.
La vérité peut libérer l'Afrique et vaincre l'insécurité alimentaire
21 Juillet 2021 Bill Crabtree*
En parcourant l'Afrique et en discutant avec ses agriculteurs, j'ai pu constater de près les dangers de l'insécurité alimentaire. Je pense avoir découvert un moyen de discuter des promesses des technologies sûres et de donner aux habitants du continent les moyens de se nourrir eux-mêmes.
Pendant une génération, ils n'ont entendu que des mensonges fabriqués de toutes pièces sur la science et la technologie des OGM et de la protection des cultures. Il est temps pour eux d'entendre la vérité.
Je sais ce que c'est que de produire des aliments dans un environnement difficile. Je suis né et j'ai grandi dans une ferme en Australie Occidentale – l'une des régions agricoles les plus sèches du monde – et j'ai vu ces difficultés de première main. Je suis ensuite devenu un chercheur, puis un communicateur spécialisé dans l'agriculture sans labour. À l'âge de 47 ans, je suis redevenu agriculteur et j'ai cultivé du blé, du canola, des pois chiches et d'autres denrées.
Après avoir participé à la table ronde mondiale des agriculteurs en 2018, je me suis rendu en Afrique et j'ai pris conscience de ses défis. Je voulais faire quelque chose pour y remédier. J'ai vendu ma ferme, lancé Arise African Agriculture et déménagé. Je suis actuellement basé en République Démocratique du Congo, où je discute avec des agriculteurs, des agronomes et des scientifiques des méthodes modernes de production alimentaire courantes dans le monde.
Dans le riche Occident, les gens font souvent l'éloge de l'agriculture biologique, qu'ils considèrent comme un moyen pur et immaculé de produire des aliments sans produits chimiques. Ils sont libres de croire ce qu'ils veulent et de manger comme ils l'entendent, mais les petits exploitants agricoles africains ne bénéficient pas des mêmes choix. Ce sont souvent des agriculteurs biologiques pour la simple raison qu'ils n'ont pas accès à la technologie et qu'on leur a fait miroiter la peur de certaines technologies. En conséquence, ils souffrent beaucoup et luttent pour produire suffisamment de nourriture, de ce dont ils ont besoin pour leurs enfants.
Regardez les épis de maïs dans cette vidéo que j'ai enregistrée près de la ville de Lubumbashi, dans le sud-est de la RDC. Ils sont endommagés par la chenille légionnaire d'automne, puis ils sont infectés par des champignons et des bactéries. Ces parasites réduisent le potentiel du maïs en tant que source sûre de nourriture. Ils menacent la santé humaine et animale, car ils produisent une substance chimique hautement toxique, la fumonisine, qui représente un risque pour la consommation, surtout pour les femmes enceintes.
Une solution évidente à ce problème est la culture du maïs Bt, un OGM sûr et efficace depuis 25 ans qui tue la chenille légionnaire et empêche les maladies de se déclarer. Les agriculteurs de bon nombre de pays du monde considèrent cet outil comme acquis. Combiné à des méthodes de lutte contre les mauvaises herbes sans labour, il permet de produire des récoltes abondantes en Afrique, un continent affamé.
Le problème est que de nombreux Africains ont entendu dire que les OGM et les outils de protection des cultures ne sont pas sûrs – un endoctrinement servi par des groupes non gouvernementaux qui, pour des raisons idéologiques, ne veulent pas que les agriculteurs africains adoptent l'agriculture moderne. Ils ne se soucient manifestement pas non plus de la vérité ni de la faim que leur idéologie continue d'infliger à l'Afrique et à ses enfants.
Ils ont besoin d'entendre la vérité, mais le mensonge est tellement ancré qu'il faut parfois adopter une approche moins directe. Il est nécessaire de construire une base solide et fondée sur les connaissances.
Pour leur faire comprendre la valeur des OGM dans l'agriculture, j'ai appris que la meilleure approche consiste à parler de chimie de base, de molécules et de gènes pour expliquer ce qu'ils sont et ce qu'ils ne sont pas. Je constate souvent que le public est surpris et satisfait lorsque j'arrive à décomposer une idée complexe qui va à l'encontre de ce qu'il a été amené à croire et à la présenter sous la forme d'éléments logiques de connaissances qu'il sait être vraies.
D'abord, je prends du recul et je demande : « Qu'est-ce qu'un produit chimique ? » Je définis le mot et explique ensuite que même l'eau est un produit chimique. Elle entretient la vie, mais elle peut aussi apporter la mort, si elle est consommée en trop grande quantité, ce qui entraîne une toxicité par osmose. Le problème n'est pas le produit chimique mais la taille de la dose. Je dis ensuite que l'essence est également un produit chimique important – mais nous ne la buvons pas et nous ne mettons pas d'eau dans la voiture.
Après avoir établi ces concepts, je peux commencer à établir des liens entre les produits chimiques et l'agriculture, notamment le fait que les produits de protection des plantes font appel à des produits chimiques. Nous ne devons pas les craindre, mais plutôt les utiliser de manière appropriée, ce qui inclut la protection des exploitations contre les mauvaises herbes et les parasites.
En cours de route, je m'efforce d'établir ma crédibilité en tant que courtier honnête de la science agricole. Je prends soin de souligner que je n'ai jamais vendu de produits chimiques ni de génétique pour gagner ma vie. Je leur dis aussi sincèrement que je suis un chrétien sincèrement intéressé à partager mes connaissances pour leur mieux-être. Enfin, j'encourage les questions et la discussion.
Rien n'est infaillible et mes méthodes ne font pas toujours mouche. Tel est le niveau de scepticisme que les ennemis de la science ont construit en Afrique.
Pourtant, je crois aussi qu'il est possible d'ouvrir les cœurs et les esprits à de nouvelles idées sur la production alimentaire – et sur la manière dont les Africains peuvent éliminer leur insécurité alimentaire grâce à des technologies sûres.
Comme le dit le bon livre, « vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira. ». ______________
Bill Crabtree, agriculteur, Australie Occidentale
Possède 2.800 hectares de terres arables en Australie Occidentale, à la limite de l'Outback. Cette année, il a loué 2.800 hectares supplémentaires pour 6 ans. Il cultive du blé et du canola. Partisan et chercheur de longue date de l'accès des agriculteurs aux technologies innovantes. Agronome professionnel.
Source : The Truth Can Set Africa Free and Defeat Food Insecurity – Global Farmer Network
Les Américains ont dépensé 1,1 billion de dollars en nourriture en 2019 – mais le coût réel de la nourriture est en réalité trois fois plus élevé
Mercredi 21 juillet 2021 par : Arsenio Toledo
(Natural News) Les Américains ont dépensé plus de 1,1 billion de dollars en nourriture en 2019. Mais le coût réel de la nourriture est en réalité trois fois plus élevé.
Les 1,1 billion de dollars américains dépensés en nourriture comprennent les coûts de production, de transformation, de vente et d'achat de la nourriture. Cette étiquette de prix a été incluse dans le rapport de la Fondation Rockefeller intitulé « Coût réel de l'alimentation : mesurer ce qui compte pour transformer le système alimentaire américain ».
"Notre système alimentaire génère d'immenses" coûts cachés "de son impact sur la santé humaine, l'environnement et les inégalités sociales et économiques", ont écrit les auteurs du rapport.
Selon le rapport, si les Américains prenaient en considération une variété de « coûts externalisés », le montant total dépensé pour la nourriture augmenterait de plus de 2 100 milliards de dollars. Cela signifie que les Américains ont en fait dépensé au moins 3,2 billions de dollars en nourriture en 2019. Certains des coûts externalisés pris en compte par la Fondation Rockefeller incluent les impacts sur la santé, la pollution, l'insécurité alimentaire, la biodiversité, les conditions de travail et les moyens de subsistance et même la résistance aux antimicrobiens entraînée par l'utilisation généralisée de antibiotiques en agriculture.
Écoutez cet épisode de mise à jour de la situation du rapport Health Ranger, un podcast de Mike Adams, le Health Ranger, alors qu'il explique comment la sécheresse que connaît l'ouest de l'Amérique du Nord contribue à l'effondrement inévitable de l'approvisionnement alimentaire.
Les Américains paient les coûts externes de la nourriture par d'autres moyens Selon le rapport de la Fondation Rockefeller, les « coûts cachés » que les Américains paient pour leur nourriture ne figurent pas sur les reçus.
« Et, si nous ne changeons pas notre système alimentaire, les générations futures paieront également des coûts élevés », a écrit la fondation.
Le coût externalisé le plus important est la santé. Les Américains ont dépensé plus de 1 000 milliards de dollars chaque année en frais de santé. Environ 604 milliards de dollars de ces dépenses supplémentaires peuvent être attribués à des maladies liées à l'alimentation et à l'alimentation telles que le diabète, l'hypertension et le cancer. Après avoir pris en compte les coûts médicaux directs attribuables à l'alimentation et à la perte de productivité, l'obésité à elle seule a entraîné 359 milliards de dollars supplémentaires de coûts externalisés supplémentaires pour les soins de santé. L'agriculture et l'élevage modernes, qui entraînent la pollution de l'air et des sols et la dégradation des sols, ont représenté environ 350 milliards de dollars de coûts externalisés. Les problèmes liés à l'appauvrissement de la biodiversité ont coûté aux Américains 455 milliards de dollars supplémentaires.
Les Américains ajoutent encore 134 milliards de dollars au coût réel de la nourriture en raison des coûts de subsistance non comptabilisés. Cela inclut les personnes occupant des emplois avec des salaires « invivables » et des avantages sociaux inadéquats, y compris l'assurance maladie et la garde d'enfants. Les risques professionnels chez les travailleurs de l'alimentation sont également pris en compte à cet égard.
"Ne pensez pas que nous obtenons une bonne affaire ici", a déclaré l'organisation dans une vidéo qu'elle a publiée sur ses comptes de médias sociaux qui ont annoncé le rapport. « En fait, nous sommes pressés. La société paie ce solde non pas de nos poches mais par d'autres moyens. » (Connexe : Les supermarchés s'approvisionnent en nourriture en prévision des perturbations de la chaîne d'approvisionnement, de l'inflation des prix.)
Les communautés minoritaires souffrent davantage d'un système alimentaire non durable La Fondation Rockefeller a souligné que les « communautés de couleur » supportaient un « fardeau disproportionné » des coûts externalisés. Selon le rapport, les taux de diabète par rapport aux Américains blancs sont 1,7 fois plus élevés pour les communautés hispaniques et 1,5 fois plus élevés pour les communautés afro-américaines.
Les communautés afro-américaines sont beaucoup plus durement touchées. Les Noirs américains sont 25 % plus exposés à la pollution que la moyenne nationale et 41 % plus exposés à la pollution que les communautés blanches. De plus, les communautés amérindiennes étaient 19 fois plus susceptibles d'avoir un accès réduit à l'eau et à l'assainissement que les Américains blancs.
« Ce rapport est un signal d'alarme », a déclaré Rajiv J. Shah, président de la Fondation Rockefeller. « Le système alimentaire américain tel qu’il est actuellement affecte négativement notre environnement, notre santé et notre société. »
« Pour résoudre un problème, nous devons d'abord comprendre son étendue. Les données de ce rapport révèlent non seulement les impacts négatifs du système alimentaire américain, mais aussi les mesures que nous pouvons prendre pour le rendre plus équitable, résilient et nourrissant. »
Apprenez-en plus sur les différentes vulnérabilités des systèmes alimentaires des États-Unis en lisant les derniers articles sur FoodCollapse.com.
Une étude suit à la trace la valeur des aliments de la ferme à l'assiette dans le monde entier
21 Juillet 2021 AGDAILY reporters*
Dès qu'un épi de maïs est arraché de sa tige, ou qu'une pomme de terre est arrachée du sol, il parcourt une distance de quelques kilomètres, voire traverse plusieurs continents, et subit parfois une multitude de processus qui le transforment en aliments que nous consommons.
Ces kilomètres et ces processus contribuent tous à ce que l'on appelle la chaîne de valeur alimentaire (CVA), le long de laquelle, comme on peut s'y attendre, la valeur du produit augmente. Cependant, la plupart des recherches et de l'attention accordées jusqu'à présent à la chaîne de valeur alimentaire se situent aux extrémités de la chaîne – dans la ferme et dans l'assiette du consommateur.
On en sait moins sur tous les autres maillons de la chaîne, en partie à cause du manque de données et de méthodes normalisées pouvant être appliquées universellement. De nombreuses études ont été réalisées sur des produits individuels ou dans un seul pays, mais l'élaboration d'une méthode internationale d'analyse des chaînes de valeur ajoutée a été difficile jusqu'à présent.
Une équipe de chercheurs – dirigée par M. Chris Barrett, titulaire de la chaire Stephen B. et Janice G. Ashley à la Charles H. Dyson School of Applied Economics and Management, et M. Miguel Gómez, titulaire de la chaire Robert G. Tobin à Dyson – a mis au point la méthode du « Global Food Dollar », qui répartit le dollar d'achat net du consommateur entre toutes les activités agricoles et au-delà.
L'étude « The Overlooked Magnitude of Post-Farmgate Food Value Chains » (l'importance négligée de la chaîne de valeur alimentaire au-delà de la ferme) a été rédigée et développée dans le cadre d'un partenariat avec le Service de Recherche Économique (ERS) du Département Américain de l'Agriculture, dirigé par M. Patrick Canning, co-auteur de l'étude.
« L'élément clé, de mon point de vue, est que l'immense majorité de la valeur ajoutée se produit au-delà de l'exploitation agricole », a déclaré M. Barrett. « Les gens en viennent à penser que les questions alimentaires sont des questions agricoles. Et les questions agricoles sont importantes, mais elles sont comparativement moins importantes que la plupart des gens ne le pensent. Et elles perdent de plus en plus d'importance au fil du temps. »
Leur méthodologie s'appuie sur la « série des dollars alimentaires » de l'ERS, publiée chaque année depuis 1947 mais mise à jour par M. Canning en 2011 pour inclure les intrants modernes. M. Gómez travaille depuis plusieurs années avec M. Canning à l'élargissement de la série des dollars alimentaires américains afin d'y inclure les flux de ressources naturelles et les impacts environnementaux, comme l'eau ou les émissions de gaz à effet de serre. Les récents travaux de M. Barrett sur l'évolution des chaînes de valeur agroalimentaires à l'échelle mondiale ont conduit à cette collaboration pour développer et appliquer une nouvelle méthode.
« Les gens ne comprennent vraiment pas comment l'argent des consommateurs est réparti, que ce soit entre les propriétaires des terres et de la propriété intellectuelle et les travailleurs, ou entre les acteurs des différentes étapes de la chaîne de valeur », a déclaré M Barrett. « Et ils ne savent pas comment cela diffère selon les pays. [...] Combien êtes-vous susceptible d'obtenir si vous êtes un Sysco et que vous envisagez d'entrer sur un marché pour servir d'intermédiaire dans la livraison de nourriture en gros ? »
« Nous avons beaucoup de données sur la production alimentaire et la consommation alimentaire », a déclaré M. Gómez, « mais pas beaucoup entre les deux. Et c'est important, car 80 % à 85 % de la valeur est créée au-delà de la ferme. »
Pour cette recherche, l'équipe a utilisé des données recueillies de 2005 à 2015 dans 61 pays, représentant 90 pour cent de l'économie mondiale. Ils ont estimé la part de l'agriculture nationale dans les dépenses des consommateurs nationaux en matière de « nourriture à domicile », de « nourriture et tabac à domicile » et de « nourriture et hébergement hors domicile », à l'aide d'un modèle de multiplicateur d'entrées-sorties.
Ils ont constaté que les agriculteurs reçoivent, en moyenne, 27 % des dépenses de consommation sur les aliments consommés à domicile, et un pourcentage beaucoup plus faible, à peine 7 %, sur les aliments consommés à l'extérieur (dans les restaurants, par exemple). Et plus le revenu des pays augmente, plus cette part diminue.
- voir graphiques sur site -
Leurs conclusions mettent en évidence deux constantes dans les économies alimentaires :
Plus les revenus des consommateurs augmentent, plus les gens gravitent vers les villes et s'éloignent des fermes, et plus ils sont disposés à payer pour la commodité et d'autres attributs non nutritionnels, ce qui modifie la structure de la demande.
La physiologie humaine dicte que les gens auront toujours besoin d'aliments nutritifs, quel qu'en soit le prix. En conséquence, écrivent les auteurs, « les gains de productivité à la ferme font généralement baisser les prix à la production ».
L'effet de la CVA sur la main-d'œuvre après la sortie de la ferme reflète l'effet économique : en 2017, l'industrie des services alimentaires représentait environ cinq fois plus d'emplois que le secteur agricole.
L'une des principales conclusions, selon M. Barrett, est qu'il faut mener davantage de recherches sur tous les maillons du milieu de la chaîne de valeur.
« Les grands acteurs économiques de la nourriture que nous consommons ne sont pas en fait les producteurs primaires des exploitations agricoles », a déclaré M. Barrett. « Ainsi, lorsque nous réfléchissons aux questions alimentaires, nous devrions peut-être passer un peu plus de temps à réfléchir à ce qui se passe dans la chaîne de valeur après la sortie de l'exploitation, avec les transformateurs, les fabricants, les grossistes, les détaillants et les restaurants. » ______________
* Source : Study tracks food’s value from farm to plate globally | AGDAILY
Les économies de monnaie fiduciaire sont construites sur des mensonges
Mercredi 21 juillet 2021 par : rédacteurs en chef
(Natural News) De temps en temps, il est utile de prendre du recul pour avoir une perspective plus large sur les choses, de regarder au-delà de l'actualité financière quotidienne, de voir à travers les hauts et les bas à court terme du marché pour savoir ce qui est vraiment au coeur du sujet. Si nous faisons cela, nous ne manquerons pas le fait que nous vivons à l'ère des monnaies fiduciaires, un monde dans lequel fondamentalement tout porte leurs empreintes : le système économique et financier, la politique - même les normes culturelles, les valeurs et la morale des gens pas échapper aux conséquences plus larges des monnaies fiduciaires.
(Article de Thorsten Polleit republié à partir de Mises.org)
Vous ne le remarquerez peut-être pas dans votre utilisation quotidienne des monnaies fiduciaires - c'est-à-dire, par exemple, lorsque vous recevez des salaires, achetez des biens et services, remboursez des hypothèques, déposez de l'argent à la banque à des fins d'épargne - que quelque chose ne va vraiment pas avec les monnaies fiduciaires, que ce soit sous la forme du dollar américain, de l'euro, du renminbi chinois, du yen japonais, de la livre sterling ou du franc suisse. Cependant, la vérité est que toutes ces monnaies fiduciaires souffrent de graves défauts économiques et éthiques, qui ne sont en fait pas difficiles à comprendre.
Les monnaies Fiat sont produites par les banques centrales et l'expansion du crédit des banques commerciales. En fait, les banques centrales de mèche avec les banques commerciales augmentent l'encours de la masse monétaire en accordant des prêts aux entreprises, aux ménages privés et aux entités gouvernementales. Cela revient à créer de l'argent à partir de rien ou, en quelque sorte, de la contrefaçon. L'émission de nouvelles monnaies fiduciaires déclenche un boom, une illusion de prospérité. La consommation et l'investissement se développent, l'économie bénéficie d'une augmentation des bénéfices des entreprises, d'une augmentation de l'emploi, de la hausse des stocks, des prix des logements, etc.
Tôt ou tard, le boom doit se transformer en buste. Pourquoi ? Eh bien, l'émission de nouvelles monnaies fiduciaires fondée sur le crédit fausse les taux d'intérêt du marché. Elle abaisse artificiellement le taux d'intérêt du marché en dessous de son « niveau naturel », faisant baisser l'épargne, augmenter la consommation et, en plus, déclencher des investissements supplémentaires. Rien de tout cela ne se serait produit de cette manière sans l'injection de nouvelle monnaie fiduciaire dans le système économique et financier, basée sur le crédit. Le boom amène la surconsommation et le mauvais investissement ; l'économie vit au-dessus de ses moyens.
À un moment donné, le boom s'effondre, quel qu'en soit le déclencheur, les banques durcissant leurs normes de prêt, les emprunteurs faisant défaut sur leur dette, les entreprises accusant des pertes, une crise géopolitique faisant paniquer les gens. Pour éviter que le système de monnaie fiduciaire ne s'effondre dans une telle situation, les banques centrales abaissent encore plus les taux d'intérêt et injectent de nouveaux crédits et de l'argent dans le système financier. L'astuce fonctionne le plus souvent, et le buste qui se déploie est transformé en un autre boom. Cela a cependant un prix : la grande majorité de la population souffrira d'une inflation encore plus élevée des prix des biens.
La monnaie fiduciaire ne provoque pas seulement des crises financières et économiques ; il est également très inflationniste. L'expansion incessante de la quantité de monnaie fiduciaire entraîne une baisse du pouvoir d'achat de l'unité monétaire au fil du temps. De plus, augmenter la quantité de monnaie fiduciaire crée des gagnants et des perdants, ce n'est pas un jeu gagnant-gagnant : les premiers receveurs de la nouvelle monnaie en profitent au détriment des receveurs tardifs. Elle conduit à une répartition injuste et asociale des revenus et des richesses au sein de la société. Enfin et surtout, la monnaie fiduciaire rend les économies toujours plus endettées.
Les gouvernements, en particulier, profitent de leur accès pratiquement illimité au crédit et à la monnaie fournis par les banques centrales. Leur autonomisation financière permet de financer toutes sortes d'extravagances politiques – dépenses sociales et de guerre – rendant l'État toujours plus grand et plus puissant au détriment des libertés et des libertés de l'individu. La vérité est que la monnaie fiduciaire est l'élixir même pour que l'État devienne vraiment grand et vraiment profond. Malheureusement, cette vérité a tendance à rester cachée au grand public ; elle n'est pas abordée dans les manuels d'économie et les séminaires universitaires.
Il existe toutes sortes de motifs à l'œuvre lorsqu'il s'agit d'analyser et d'évaluer les mérites du régime de la monnaie fiduciaire, de l'ignorance aux mensonges purs et simples. Cependant, une économie saine révèle que l'utilisation de monnaies fiduciaires cause des problèmes majeurs : il peut parfois être possible de reporter l'inévitable effondrement, si, par exemple, les banques centrales abaissent les taux d'intérêt du marché à pratiquement zéro pour cent et garantissent les marchés du crédit. Mais ce faisant, les problèmes sous-jacents ne seront pas résolus ; ils deviendront encore plus gros, mais les gens sont trompés sur ce qui se passe réellement.
Dans ce contexte, nous ne parlons pas seulement de la récurrence des crises financières et économiques. L'économiste autrichien Ludwig von Mises (1881-1973) prévoyait que l'utilisation de la monnaie fiduciaire (il parlait de moyens fiduciaires) détruirait le marché libre et l'ordre sociétal (ou le peu qu'il en reste) : « Ce serait une erreur de supposer que l'organisation moderne de l'échange doit continuer d'exister. Elle porte en elle le germe de sa propre destruction ; le développement du support fiduciaire doit nécessairement conduire à sa rupture. »1
Il est difficile de prédire comment le système financier, économique et politique mondial se développera, surtout au vu des problèmes considérables que pose l'utilisation de la monnaie fiduciaire. Ce que nous savons, cependant, c'est que les banques centrales ont créé un empire de la tromperie en matière de politique monétaire. L'investisseur prudent a donc de bonnes raisons de s'attendre à plus d'inflation à terme, c'est-à-dire à une baisse accélérée du pouvoir d'achat de la monnaie, qui se manifestera sous la forme d'une hausse des prix des biens de consommation et/ou des actifs, car l'augmentation de l'inflation être considérée comme la politique du moindre mal du point de vue des gouvernants et des gouvernés.
En fin de compte, la politique de gonflage de la masse monétaire est une stratégie visant à saper le marché libre et le système sociétal, pour ses effets négatifs : augmentation des prix de la nourriture, de l'énergie et du logement ; croissance économique plus faible; la baisse du niveau de vie de la majorité des gens – sera très probablement, à tort ou avec perfidie, imputée au « capitalisme ». Ceci, à son tour, permettra à l'État de détruire davantage le peu qui reste du système de marché libre via les impôts, la réglementation, etc. Compte tenu de la réémergence des idées socialistes-marxistes dans le monde occidental, il ne devrait donc pas être considéré comme un surprise que les banques centrales adoptent de plus en plus la politique de hausse de l'inflation.
Le prix de l’électricité a augmenté de 50 % en 10 ans, davantage que l’inflation, et plus particulièrement ces 3 dernières années.
Par Michel Gay. 22 JUILLET 2021
Après la hausse de 10 % des prix du gaz pour les particuliers au 1er juillet 2021, et celle de 0,48 % de l’électricité prévu pour le 01 août 2021, la facture d’électricité pourrait augmenter de 6 % début 2022. Le gouvernement et le régulateur de l’énergie s’inquiètent enfin…
LE GOUVERNEMENT S’ALARME… POUR LA PRÉSIDENTIELLE
Les prix sur le marché de l’électricité étaient restés relativement bas ces dernières années, autour de 50 euros par mégawattheure (MWh). Mais ils ont dernièrement grimpé de 50 % pour atteindre 75 euros/MWh, dans le sillage de ceux du pétrole et du prix du carbone. Cette tendance haussière devrait se poursuivre. Un prix de 100 euros/MWh est même envisagé à la fin 2021.
Or, le mois de décembre 2021 servira de référence dans le calcul du prix qui sera appliqué au 1er février 2022, et les tarifs pourraient encore augmenter de 6 % en février 2022 par rapport à cette année.
Cette forte hausse des tarifs de l’électricité en pleine campagne présidentielle ne serait pas du meilleur effet… alors que l’électricité devient de plus en plus vitale. Le sujet est donc sensible « en haut lieu ».
Hors TVA, les taxes pèsent aujourd’hui trois fois plus sur le prix de l’électricité qu’en 2008.
Les ministères réfléchissent à plusieurs solutions pour masquer « un certain temps » les véritables coûts de la transition énergétique gouvernementale fondée à tort sur les énergies renouvelables intermittentes (EnRI).
L’une d’elle consisterait à baisser la taxe « contribution au service public de l’électricité » (CSPE) qui, jusqu’en 2016, finançait essentiellement les éoliennes et les panneaux solaires. Elle est aujourd’hui bloquée à 2,25 c€/kWh, et versée directement dans le budget de l’Etat.
Le ministère de l’Écologie semble favorable à cette baisse de la CSPE, alors que le ministère de l’Économie traîne des pieds car le déficit budgétaire explose à cause de la Covid-19.
Ces « folies renouvelables » devant bien être financées par quelqu’un, ces taxes pour les subventionner sont dorénavant réparties sur tous les produits pétroliers (carburants, gaz…) pour être mieux dissimulées…
La CSPE ne sert donc plus à financer les énergies renouvelables car cette taxe trop visible gonflait à vue d’œil les factures d’électricité (+ 550 % (!) entre 2002 et 2015).
De plus, ces dernières années, les cours mondiaux faibles ont masqué l’augmentation des taxes. Mais si l’offre se raréfie en Europe (fermeture de centrales à charbon et de deux réacteurs nucléaires en parfait état de fonctionnement à Fessenheim) et que la demande augmente, ainsi que les subventions aux EnRI, alors les prix vont grimper !
Certains « décroissants » qui n’aspirent qu’à une réduction de la consommation par la contrainte (des prix élevés dissuasifs en sont une) vont se réjouir…
Paradoxalement, l’augmentation des prix de marché diminue le montant des subventions distribuées aux opérateurs d’énergies renouvelables (tout de même 5 milliards d’euros prélevés sur les consommateurs cette année contre 7 milliards l’an passé).
Mais si le prix de marché est plus élevé, où est le bénéfice pour le consommateur de la baisse d’une taxe compensée par une hausse des prix ?
Le sujet promet d’échauffer les esprits, surtout lorsqu’il faudra expliquer les véritables raisons de cette hausse que les militants écologistes antinucléaires s’empresseront d’attribuer comme d’habitude au nucléaire.
Déjà, début 2017, quelques mois avant l’élection présidentielle, la ministre de l’Écologie Ségolène Royal avait tenté sans succès de bloquer une augmentation de prix car elle pense toujours que la politique est plus forte que l’économie…
DÉPOSSÉDER ENCORE DAVANTAGE EDF ?
Une autre fausse « solution » consisterait à augmenter la quantité d’électricité nucléaire vendue par EDF à ses concurrents « verts » (Total, Engie…). Aujourd’hui, la loi oblige EDF à céder un quart de sa production nucléaire, soit 100 TWh, au prix bas de 42 euros/MWh, inférieur au prix actuel de marché.
Cette « option » appauvrirait encore davantage EDF au profit de ses concurrents sans aucun bénéfice pour les consommateurs puisque la production d’électricité, et donc l’offre, restera la même.
Quel est l’intérêt de cette pseudo-solution destinée uniquement à éviter la faillite des concurrents d’EDF qui ne produisent rien, ou presque ?
L’entreprise EDF serait spoliée de sa production et financièrement pénalisée. Elle aimerait certainement profiter de ses propres investissements judicieux dans le nucléaire et garder sa production d’électricité nucléaire à bas coûts pour la revendre au prix élevé du marché et engranger le résultat de ses efforts.
La hausse des prix sera inévitable, soit sur l’électricité, soit diluée sur une multitude d’autres produits courants comme le carburant par exemple afin de masquer le gâchis des milliards d’euros dilapidés chaque année dans les orientations énergétiques délirantes des gouvernements français successifs depuis 15 ans…
Le prix de l’électricité a augmenté de 50 % en 10 ans, davantage que l’inflation, et plus particulièrement ces trois dernières années.
Alors que le coût de production des centrales nucléaires est resté faible, comment expliquer cette faramineuse augmentation que certains attribuent « évidemment » à la Covid ?
Serait-il politiquement incorrect de suggérer, comme l’a fait la Cour des comptes en 2018, que les coûts gigantesques du développement des énergies renouvelables (hors hydroélectricité) n’y est pas étranger ?
L’augmentation du prix de l’électricité, « en retard sur l’Allemagne » dont le prix pour les particuliers est encore le double de celui de la France, risque de donner un coup de chaud au gouvernement, au moins jusqu’au printemps 2022…
Jab Remords
RépondreSupprimerPar Bill Sardi
22 juillet 2021
Alors, maintenant vous êtes vacciné contre COVID-19.
40 000 milliards de paquets d'ARN ont été injectés qui induisent des changements irréversibles dans vos vaisseaux sanguins.
Maintenant quoi ?
Selon la source d'information à laquelle vous pensez, votre vie est en jeu si vous prenez la mauvaise décision concernant la vaccination contre le COVID-19.
Un problème avec ce que j'écris aujourd'hui est que les informations ci-dessous, qui sont essentielles à connaître pour maintenir la santé après la vaccination COVID-19, peuvent induire plus de peur et d'anxiété, ce qui est à l'origine de la pandémie et des décisions mal orientées concernant la vaccination COVID-19. J'expliquerai plus à ce sujet ci-dessous.
Selon Our World Data au 20 juillet 2021, 161 millions d'Américains sont entièrement vaccinés sur une population d'environ 328 millions (49,1 %).
Il est difficile de comprendre pourquoi quelqu'un immuniserait, non pas avec un vaccin, mais une arme biologique à gain de fonction 5 fois, ce que sont les vaccins ARN/ADN COVID-19. Mais les médias d'information mènent une campagne de peur qui pousse les gens à prendre des décisions en matière de santé par peur.
Des milliards de paquets de gènes de protéines de pointe libérés
Immédiatement après la vaccination, des milliards de paquets de gènes seront libérés du muscle deltoïde où l'aiguille du vaccin a pénétré dans votre bras, et finiront par faire des ravages dans vos vaisseaux sanguins.
Le cardiologue canadien, le Dr Charles Hoffe, explique la menace de coagulation du sang que représentent ces vaccins : « Les caillots de sang dont nous entendons parler et dont les médias prétendent être très rares sont les gros caillots de sang qui sont ceux qui provoquent les accidents vasculaires cérébraux et qui apparaissent sur les tomodensitogrammes, l'IRM, etc. Les caillots dont je parle sont microscopiques et trop petits pour être trouvés sur n'importe quel scan. Ils ne peuvent donc être détectés qu'à l'aide du test des D-dimères.
Plus de la moitié des patients du Dr Hoffe ont eu des tests D-dimères anormaux après une injection d'ARN COVID-19. Un test D-dimère mesure la quantité de fibrine dégradée dans le sang qui, avec les plaquettes sanguines, scelle les plaies.
Le Dr Hoffe prévient que ces micro-caillots endommagent les tissus du cerveau, des poumons, de la moelle épinière et du cœur, des tissus et des organes qui ne peuvent pas se régénérer. Des dommages permanents en résultent.
Dr Hoffe (paraphrasé) : « Lorsque le vaccin COVID est injecté dans votre bras, nous savons maintenant que seulement 25% reste dans votre bras (muscle deltoïde) et les 75% restants sont littéralement collectés par le système lymphatique et introduits dans le la circulation sanguine. Ces paquets d'ARN messager, dans une seule dose de vaccin Moderna, par exemple, il y a 40 000 milliards de ces paquets d'ARN messager injectés dans votre système. Ces particules s'absorbent dans les capillaires sanguins. (Les capillaires sont les connecteurs entre les tuyaux rouges (artères) et les tuyaux bleus (veines).
Le corps détecte ces paquets de gènes qui pénètrent dans les cellules et chaque gène peut générer des protéines de pointe. Votre système de vaisseaux sanguins est anormalement transformé en une usine de fabrication de protéines de pointe. Votre corps reconnaît ces protéines de pointe comme étrangères et fabrique des anticorps contre elles. La protéine de pointe devient alors une partie permanente de la paroi cellulaire qui tapisse vos vaisseaux sanguins (appelée endothélium vasculaire).
RépondreSupprimerCes protéines hérissées ressortent, des globules blancs (lymphocytes) et des anticorps arrivent qui attirent ensuite les plaquettes sanguines pour former un caillot autour d'eux.
Ces protéines de pointe peuvent être révélées par un test aux D-dimères qui révélera ces micro-caillots. Le test aux D-dimères ne révèle que des micro-caillots récemment formés.
Les critiques disent que les caillots sont rares chez les patients post-vaccins, mais ce sont les gros caillots qui entraînent des accidents vasculaires cérébraux et des crises cardiaques. Selon le Dr Hoffe, un test des D-dimères dans les 4 à 7 jours suivant la vaccination montre que 62 % des patients immunisés par le vaccin à ARN ont un test des D-dimères anormal. Ces patients s'essoufflent facilement.
Votre cœur pompe maintenant plus fort pour pousser le sang à travers ces capillaires bloqués, explique le Dr Hoffe. Cela induit une insuffisance cardiaque droite dans les 3 ans.
(Pour info : le côté gauche du cœur pompe le sang oxygéné vers les organes et les tissus du corps ; le côté droit du cœur accepte le sang désoxygéné et le pompe à travers les poumons afin que l'hémoglobine des globules rouges puisse se fixer à l'oxygène et le transporter vers le côté gauche du cœur ; les personnes atteintes d'insuffisance cardiaque droite signalent généralement des symptômes de réveil nocturne avec essoufflement, essoufflement lors de l'exercice, toux, respiration sifflante, étourdissements, fatigue, manque de concentration, manque d'appétit, nausées, prise de poids soudaine, rétention d'eau dans les chevilles et les jambes.)
C'est une préoccupation terrifiante. Le pire est encore à venir, déclare le Dr Hoffe. Les dégâts seront cumulatifs à chaque tir. La revaccination devient potentiellement mortelle.
Un microbiologiste réputé règne pour éduquer les patients vaccinés
Le microbiologiste Dr. Sucharit Bhakdi affiche ce qui se passe dans un graphique en ligne visuel. L'ARN injecté dans votre corps va entrer dans les cellules qui tapissent les vaisseaux sanguins. Il souligne la protéine de pointe épineuse que ces cellules généreront et feront saillie vers l'extérieur pour attirer les plaquettes sanguines et former des micro-caillots. Quelques jours après la vaccination, les globules blancs appelés lymphocytes ainsi que les anticorps commenceront à attaquer ces cellules. Si vous osez répéter cela (obtenez le deuxième jab), « Dieu vous aide » avertit le Dr Bhakdi.
https://rumble.com/vjtrjb-un-message-urgent-du-professeur-sucharit-bhakdi.html?fbclid=IwAR3Da1KOihNze7uhBXC5eIFUIiNCqhu0oYXiPEjAVpPfpqJXDPb8T41MJTg
RépondreSupprimerLe Dr Bhakdi pointe du doigt les lymphocytes (L) et les anticorps (AB) qui commencent à attaquer vos propres vaisseaux sanguins après la vaccination ARN/ADN COVID-19.
Des preuves spectaculaires sont présentées pour montrer comment la protéine de pointe induit des micro-caillots rendus visibles par un colorant fluorescent (ci-dessous).
- voir photos sur site -
Microcaillots prouvés dans plusieurs rapports
Diverses sources en ligne condamnent la présentation du Dr Bhakdi comme de la désinformation. Mais il est incontestable que la menace des micro-caillots sanguins existe. Une étude d'autopsie de 20 patients COVID-19 a trouvé des micro-caillots dans six de leurs cerveaux.
Un autre rapport faisant autorité publié dans la revue PLoS One déclare (paraphrasé) : « Sur 676 patients COVID-19 (140 non-survivants et 536 survivants), le test D-Dimer (test de fibrine dégradée) était anormalement élevé (83,2 % de non -survivants) contre 44,9% des survivants) et ils avaient un test de protéine C-réactive (CRP) élevée qui mesure l'inflammation (50,4% des non-survivants contre 6,0% des survivants).
Les D-dimères continuent d'augmenter chez les non-survivants, ce qui prédit la mortalité. Les D-dimères augmentent dans tous les groupes d'âge avec COVID-19. Des anticoagulants préventifs (anticoagulants) sont suggérés pour ces patients.
Regardons-nous les symptômes d'une infection virale ou d'une carence en vitamines ?
Les patients atteints de COVID-19 présentent des manifestations de maladie cardiovasculaire, comme en témoignent des taux de troponine élevés (31,6 % des patients atteints de COVID-19 sévères) et une baisse de la fraction d'éjection (moins de sang pompé par le cœur).
Une carence en thiamine-B1 peut entraîner des niveaux élevés de troponine (les troponines sont des protéines du muscle cardiaque qui régularisent la contraction musculaire) et une diminution de la fraction d'éjection.
En réponse au besoin de cicatrisation des plaies, le corps fabrique le facteur de croissance endothélial vasculaire (VEGF), qui est un signe distinctif de la gravité du COVID-19, et est considéré comme un indicateur plus important de la gravité du COVID-19 que les D-dimères. Le VEGF favorise la coagulation du sang (caillots).
Pourtant, le béribéri, la maladie qui émane d'une carence en vitamine B1, peut également élever les niveaux de VEGF, faisant croire aux médecins qu'ils sont en train de regarder une maladie cardiovasculaire émanant d'un virus.
- voir graphique sur site -
RépondreSupprimerCes symptômes surviennent 3 à 25 jours après la vaccination initiale. Un autre rapport déclare : « La découverte initiale la plus frappante des tests sont des niveaux de D-dimères très élevés. »
Le graphique ci-dessous révèle le problème de survie à mesure que les niveaux de D-dimères augmentent.
- voir graphique sur site -
Le zinger : Est-ce vraiment un virus qui cause vos symptômes ?
Près d'un tiers des patients COVID-19 récupérés retournent à l'hôpital dans les cinq mois et 1 sur 8 décède. Des symptômes inexplicablement prolongés, affectant en grande partie le système nerveux, persistent chez des milliers de patients. C’est ce qu’on a appelé le COVID long-courrier, « notre prochaine catastrophe sanitaire nationale ».
Les symptômes comprennent, sans s'y limiter, la fatigue, l'essoufflement, la toux, la perte de l'odorat ou du goût (et la faim), des douleurs musculaires (muscle du mollet), des vomissements, des pleurs, de la fièvre, de la constipation, un engourdissement des extrémités, des pieds brûlants (au nuit), rythme cardiaque rapide (tachycardie), perte de réflexes, transpiration, pied tombant, convulsions, coma et troubles et troubles mentaux.
Ces symptômes de Long-COVID sont les mêmes symptômes d'une carence en vitamine B1 (thiamine).
Étant donné que les taux de thiamine sont très bas dans le sang et que les taux d'urine ne sont pas fiables, le déficit en thiamine doit être confirmé par une activité enzymatique (transcétolase).
Contrairement à tous les autres virus du rhume corona, ou à tout autre virus, le COVID-19 est censé produire les mêmes symptômes que le béribéri, une carence franche en vitamine B1. Inexplicablement, COVID-19 constitue une menace pour l'ensemble du système nerveux. Une carence en B1 peut produire une thrombose veineuse, des caillots sanguins dans les veines.
L'apport quotidien de 200 milligrammes de vitamine B1 (thiamine) par voie intraveineuse aux soins intensifs a permis de réduire de 75 % le risque absolu de mortalité chez les patients hospitalisés. La thérapie B1 a réduit le risque de thrombose (caillots sanguins) de 81 % !
La récurrence du COVID-19 suite à la vaccination s'explique par un déficit en thiamine B1.
Les médecins voient COVID-19 à travers le prisme du profit
Les médecins voient COVID-19 à travers le prisme des codes de facturation d'assurance qu'ils peuvent utiliser. Les médicaments sur ordonnance sont préférés aux remèdes naturels. Les traitements coûteux qui génèrent des profits plus importants pour les médecins sont préférés.
RépondreSupprimerUn exemple de la façon dont les médecins pillent des patients désespérés pour tirer profit des cas de COVID à long terme a récemment été diffusé sur YouTube. Un médecin salue un autre médecin, affirmant qu'il mérite un prix Nobel, pour avoir pris des patients déficients en vitamine B1 et avoir géré une entreprise de sur-test et de vente d'un médicament à 1650 $ à la place. Ce n'est qu'un autre des nombreux programmes lucratifs que les médecins proposent.
Dans un rapport publié dans Frontiers in Immunology, le médecin affirme qu'un marqueur protéique à la surface des globules blancs, CCR5, dicte la gravité et la létalité de COVID-19, un problème qui est résolu par un médicament à 1600 $. Les patients tombent amoureux du médicament de ce médecin parce qu'ils ne sont pas assez avertis pour comprendre qu'il existe des alternatives plus sûres et moins chères, comme décrit ici.
Tous les symptômes que le médecin cite comme couramment rapportés chez les patients COVID-19 de longue durée sont les mêmes symptômes causés par une carence en vitamine B1.
- voir graphique sur site -
Cet auteur a rassemblé des preuves sans équivoque qui associent les symptômes attribués au COVID-19 à une carence en vitamine B1 provoquée par des changements de régime alimentaire pendant le confinement restrictif, à savoir une augmentation de 500 % de la consommation d'alcool à la maison s'accompagne d'une consommation accrue de sucre. les aliments et en raison de l'insomnie, les boissons contenant de la caféine (café, thé), tous les facteurs liés aux aliments et aux boissons qui bloquent l'absorption ou l'utilisation de la vitamine B1.
« Plus la gravité d'une pandémie est élevée, plus la quantité d'alcool consommée par une population est importante. »
Fait intéressant, un patient qui vivait avec des lattes de café mélangés congelés (molécules dans l'utilisation du bloc de café de la vitamine B1) a développé les mêmes symptômes que ceux observés chez les patients COVID-19 longue distance.
En d'autres termes, le verrouillage et la peur et l'anxiété associées ont entraîné une épidémie pire, beaucoup plus mortelle que COVID-19.
La grande mascarade : produit des symptômes de toutes les autres maladies
Une carence sévère en vitamine B1 est connue sous le nom de béribéri et produit un éventail de symptômes qui se font passer pour un grand nombre de maladies. Combiné à un test d'anticorps peu fiable pour COVID-19 qui produit de nombreux tests faussement positifs, donne à de nombreuses personnes la fausse impression qu'elles ont une infection virale plutôt qu'une carence alimentaire.
B1 contrôle le système nerveux
La vitamine B1 contrôle le système nerveux autonome, les fonctions corporelles qui fonctionnent automatiquement telles que la respiration, le rythme cardiaque, la digestion/l'élimination et l'immunité. Une carence en B1 peut induire via l'hypothalamus dans le cerveau, de la fièvre, des vomissements, de la diarrhée et un essoufflement, symptômes couramment associés à la grippe ou à une infection virale.
Le fait que les cas de COVID-19 ne produisent exceptionnellement pas de tempête de cytokines dans les poumons comme le font la pneumonie et la tuberculose, suggère qu'il ne s'agit pas d'une épidémie virale. Les médecins sont perplexes face à ces symptômes récurrents mais ne peuvent imaginer qu'il s'agit d'une maladie de carence alimentaire induite par la peur, l'anxiété et le confinement.
RépondreSupprimerGénéralement, les infections virales des voies respiratoires supérieures et inférieures induisent des anticorps spécifiques après 7 à 10 jours et l'infection disparaît.
Une carence en vitamine B1 qui va et vient expliquerait les rechutes symptomatiques inhabituelles signalées par les patients COVID-19. Une étude sur des patients atteints de COVID-19 présentant des symptômes graves a révélé que 15,6% étaient déficients en vitamine B1 (26,3% parmi les diabétiques atteints de COVID-19), suffisamment suffisant pour déclencher une pandémie.
La maladie de carence en thiamine est associée à une augmentation de près de 50 % de la mortalité. La vitamine B1 doit être systématiquement administrée aux patients gravement malades.
Pour soulager vos peurs, vous n’avez peut-être pas du tout de COVID. Un test PCR positif pour COVID-19 pose de nombreux problèmes. Arrêtez tout alcool, café, thé et prenez des suppléments de vitamine B1, de préférence sous forme liposoluble (benfotiamine, allithiamine), comme indiqué sur la bouteille. Ne vous laissez pas berner par une carence en thiamine-B1 comme le sont les médecins.
- voir cadre sur site -
Quelles leçons tirer de ces informations ?
1 - Évitez le 2e coup si vous ne l'avez pas déjà fait.
2 - Je ne recommande pas un test D-dimère dans les 4 à 7 jours suivant la vaccination, car cela ne fera qu'augmenter l'anxiété. La meilleure chose à faire est de prendre des mesures préventives. Reconnaître que le système de santé n'a pas assez de médicaments anticoagulants problématiques ou la capacité de traiter 161 millions d'Américains vaccinés qui ont été vaccinés avec les vaccins ARN/ADN.
Les individus en bonne santé ont des taux de D-dimères inférieurs à 0,5 microgramme/millilitre de sang. Le COVID-19 résiste à la dégradation normale de la fibrine qui, combinée aux plaquettes sanguines, bouche les plaies saignantes.
2 - Agissez par vous-même pour empêcher la formation de micro-caillots dans les vaisseaux sanguins de votre corps, comme suit :
Régime anticoagulant
Il a été démontré qu'un régime composé d'ail, d'oignon, de tomate, de shiitake, de son de riz, de chou frisé, de myrtille, d'ananas et/ou de poudre de curcuma réduit les niveaux de D-dimères. L'huile de poisson et l'ail inhibent l'agglutination des plaquettes sanguines, mais ne réduisent pas nécessairement les D-dimères.
Resvératrol
RépondreSupprimerIl n'est pas surprenant d'apprendre que la molécule de vin rouge resvératrol, qui a été identifiée comme un élément clé du paradoxe français (le fait que les Français mangeaient des aliments plus gras et avaient des taux de cholestérol sanguin plus élevés mais des taux de mortalité par maladie cardiaque beaucoup plus faibles) a été attribuée à sa capacité à inhiber les caillots sanguins dans les artères coronaires. Le resvératrol est identifié comme un agent préventif primaire, en particulier en ce qui concerne les niveaux élevés de D-dimères. Le resvératrol réduit également les niveaux de VEGF. Le resvératrol bloque remarquablement toutes les voies connues de la morbidité et de la mortalité liées au COVID-19.
Buse de caillot enzymatique : nattokinase
Une façon la plus remarquable de réduire les micro-caillots est de les briser par voie enzymatique. Si vous êtes dans une ambulance avec un blocage potentiellement mortel d'une artère coronaire qui alimente votre cœur en oxygène, un ambulancier peut vous injecter une enzyme/un médicament, la streptokinase, pour briser ce caillot potentiellement mortel.
Une enzyme standard qui brise les caillots sanguins est la nattokinase et est aussi efficace et sûre que la streptokinase.
La nattokinase est dérivée du fromage natto de soja fermenté, populaire au Japon. Nattokinase est disponible comme remède naturel dans les magasins de santé. Une dose unique (2000 unités fibrinolytiques ou UF) agit jusqu'à 8 à 12 heures après l'ingestion orale et est supérieure à certains égards aux médicaments anticoagulants. En milligrammes, une dose de 200 à 400 mg est suffisante et brise directement les caillots de fibrine qui constituent ce qui est mesuré dans le test D-Dimer.
Idéalement, la nattokinase doit être prise à jeun sans autres médicaments ou compléments alimentaires d'accompagnement. Il est intéressant de noter que les niveaux de D-dimères peuvent augmenter artificiellement lors de la prise de nattokinase en raison de son action enzymatique pour briser les caillots sanguins. Informez-en votre médecin s'il demande des analyses de sang.
Vitamine C et caillots sanguins
En 1990, le lauréat du prix Nobel Linus Pauling et Matthias Rath (toujours vivant) ont publié un rapport sur une découverte selon laquelle les humains, qui ne produisent pas de vitamine C en interne comme le font la plupart des autres animaux, ne parviennent pas à réparer correctement les cellules endothéliales qui tapissent les vaisseaux sanguins et qu'un une protéine grasse circulante appelée lipoprotéine (a), un type de particule de cholestérol à basse densité (LDL), agit comme substitut de la vitamine C dans la paroi artérielle. Le problème est que la lipoprotéine (a) est un « pansement collant ». Il attire les plaquettes sanguines pour former des caillots sanguins. Le Dr Rath a même publié un livre montrant que les animaux qui produisent de la vitamine C en interne ne développent pas de crises cardiaques par caillots sanguins comme le font les humains.
La nécessité d'employer de la vitamine C pour prévenir les caillots sanguins dans les artères s'intensifie chez les sujets vaccinés par ARN/ADN.
Une personne n'essaie pas de réduire son taux de Lp(a), elle maintient simplement des taux sanguins élevés de vitamine C afin que la Lp(a) ne colle pas aux parois artérielles. Les animaux convertissent leur glycémie (glucose fabriqué dans le foie) en vitamine C par voie enzymatique dans le foie, mais une enzyme clé manque chez l'homme (gulonolactone oxydase). Ainsi, les humains doivent totalement compter sur leur alimentation pour la vitamine C.
Seuls les utilisateurs de suppléments de vitamine C ont des taux sanguins de vitamine C suffisamment élevés pour se rapprocher de ce que les humains produisaient autrefois en interne avant qu'une mutation génétique n'empêche ce processus.
RépondreSupprimerChez les personnes en bonne santé (ne prenant aucun médicament réduisant la vitamine C comme l'aspirine ou les stéroïdes) et n'ayant pas d'infections virales ou bactériennes qui augmentent la demande en vitamine C), 500 milligrammes de suppléments vitaminiques pris en doses fractionnées toutes les 4 heures maintiendraient des niveaux sains de vitamine C. Plus est nécessaire en cas de maladie ou de lutte contre un problème chronique comme les protéines de pointe induites par le vaccin.
Une avancée récente développée par cet auteur est un nutraceutique qui double les niveaux internes de vitamine C, corrigeant théoriquement la mutation génétique héréditaire, sans avoir à prendre de vitamine C elle-même. Des analyses d'urine et de sang menées par le chercheur indépendant Dr Tom Levy, l'autorité en matière de vitamine C, ont prouvé que les niveaux de vitamine C sont élevés avec un produit appelé FORMULA-216. Le Dr Levy décrit la protéine de pointe comme étant semblable aux piquants de porc-épic.
Étant donné que les humains ne peuvent pas prendre de suppléments de vitamine C pendant le sommeil, ce serait une aubaine pour les personnes vaccinées qui souhaitent éviter la formation de caillots sanguins pendant le sommeil. Une dose au coucher est suggérée.
N'attendez pas que les médecins vous sauvent la vie. Si vous êtes vacciné avec des vaccins ARN/ADN COVID-19, vous devez prendre des mesures préventives pour maintenir votre santé, pour le reste de votre vie.
https://www.lewrockwell.com/2021/07/no_author/jab-remorse/
La tromperie de Covid exposée
RépondreSupprimerPar Paul Craig Roberts
PaulCraigRoberts.org
22 juillet 2021
Les presstituées continuent de nous programmer des informations peu fiables sur la menace Covid. Par exemple, considérons ces deux rapports du Miami Herald :
DeSantis est tellement au-dessus de la pandémie de COVID en Floride. Il ne devrait pas l'être. Voici pourquoi | Éditorial
(L'éditorial ci-dessus a été supprimé ou le système d'URL du Miami Herald a développé un bogue. L'éditorial est reproduit à la fin de cette colonne.)
L'augmentation rapide du nombre de patients COVID conduit les hôpitaux de Floride à limiter les visiteurs et à se préparer au pire.
Penses-y. Il pourrait s'agir simplement de politique avec des préstitués démocrates dénigrant un gouverneur républicain. Mais cette possibilité mise à part, le dernier battage médiatique de Covid est conçu pour accélérer les vaccinations ou rétablir les fermetures comme moyen de forcer la vaccination.
La Floride, comme tous les États, a un pourcentage important de sa population vaccinée, assez selon certaines estimations du pourcentage en constante évolution de la population vaccinée pour atteindre «l'immunité collective». Alors pourquoi l'épidémie soudaine signalée?
L'épidémie est attribuée à une nouvelle variante plus contagieuse. Pourtant, le directeur du CDC a assuré que « si vous êtes complètement vacciné, vous êtes protégé contre le COVID sévère, l'hospitalisation et la mort, et êtes même protégé contre les variantes connues, y compris la variante delta, circulant dans ce pays ». Soit le CDC se trompe, soit il y a une autre explication à l'épidémie signalée.
Une explication que l'establishment médical et les magistrats ne mentionnent jamais est une explication que des experts indépendants mentionnent : la nouvelle « épidémie » consiste en des réactions indésirables au vaccin. L'«épidémie» pourrait également être causée par «l'excrétion» des personnes vaccinées.
Le Dr Robert Malone, qui a été le pionnier de la technologie de l'ARNm, a fourni des données qui montrent clairement que les pays avec le plus petit pourcentage de leur population vaccinée ont le moins de nouveaux cas de Covid. Les pays avec les pourcentages les plus élevés de population vaccinée ont un nombre croissant de nouveaux cas de Covid.
Comment se peut-il? Seulement si c'est le vaccin qui produit une nouvelle épidémie composée d'effets indésirables. N'oubliez pas qu'une action en justice a été déposée sur la base d'informations publiées par un dénonciateur du CDC selon lesquelles le CDC sous-estime sciemment les décès dus aux vaccins d'un facteur 5. En d'autres termes, les décès causés par les vaccins connus du CDC sont de cinq fois supérieur au chiffre publié.
Ne vous attendez pas à ce que les presstitués ou l'établissement médical corrompu enquêtent sur toute réclamation qui ne relève pas du récit officiel.
RépondreSupprimerMais sachez que le récit officiel fait l'objet d'attaques bien informées et totales et pas seulement d'attaques spécifiques de la part de nombreux scientifiques et médecins, tels que le Dr Robert Malone. Le Dr David Martin a une attaque totale sur tous les aspects du récit. Il est au-delà de ma capacité d'évaluer la validité de l'exposé du Dr David Martin, mais je suis capable de voir que son attaque est basée sur la connaissance et repose sur des recherches approfondies et à long terme. Je vous le recommande afin que vous soyez au moins conscient de la possibilité que vous ayez été trompé par ceux en qui vous aviez confiance à tort et que vous puissiez payer pour la tromperie avec votre santé et votre vie. Voici l'exposé de David Martin sur la déception de Covid.
Éditorial du Miami Herald :
DeSantis est tellement au-dessus de la pandémie de COVID en Floride. Il ne devrait pas l'être. Voici pourquoi | Éditorial
Par le comité de rédaction du Miami Herald20 juillet 2021 06:00 AM,
En avril, des centaines de manifestants se sont rassemblés sur la plage de Fort Lauderdale pour protester contre les mandats de masque COVID. Daniel A. Varela dvarela@miamiherald.com
Il y a deux réalités différentes en Floride.
Dans le manoir du gouverneur et le Capitole de l'État, la Floride a vaincu la pandémie de COVID-19. Le vrai problème, ce sont le Dr Anthony Fauci et les mandats de masque, pas le pic hallucinant de nouveaux cas au cours des dernières semaines.
Dans le reste de l'État, en particulier dans les points chauds comme le comté de Miami-Dade, les hôpitaux voient une vague de patients. La Floride représente 20% de toutes les nouvelles infections à coronavirus dans le pays, la variante delta la plus transmissible trouvant des personnes vulnérables, principalement celles qui n'ont pas été vaccinées.
Dans ce choc des réalités, ceux d'entre nous dans ces points chauds n'ont plus grand-chose pour lutter contre le virus. En effet, en mai, le gouverneur DeSantis a suspendu toutes les restrictions locales liées au COVID-19 et signé une loi rendant pratiquement impossible pour les villes et les comtés d'en adopter de nouvelles.
Lorsque cela s'est produit, le comité de rédaction du Herald a proclamé qu'en liant les mains des responsables locaux, DeSantis et la législature disaient aux communautés "pas de chance".
Dans les semaines qui ont suivi, il semblait que nous avions peut-être réagi de manière excessive.
Nous sommes en danger
Les vaccins sont devenus largement disponibles et nous en avons appris davantage sur leur efficacité à prévenir les maladies graves. Le nombre de cas a baissé. « Delta » n'était rien de plus que le nom d'une compagnie aérienne ou la quatrième lettre de l'alphabet grec. Les gens ont rapidement laissé tomber le port de masques à l'intérieur – et les Centers for Disease Control and Prevention ont déclaré que c'était OK tant que vous êtes complètement vacciné. Les gouvernements locaux ont assoupli les restrictions.
RépondreSupprimerC'était censé être notre été de liberté.
Il s'avère que nous n'avons pas réagi de manière excessive.
L'État a désormais le quatrième taux d'hospitalisation par habitant le plus élevé du pays (selon le CDC, presque toutes les hospitalisations et tous les décès concernent des personnes non vaccinées). Les vaccinations ont ralenti, ce qui était prévu car de plus en plus de personnes se sont fait vacciner, mais des millions de Floridiens éligibles ont choisi de ne pas se faire vacciner par peur, idéologie, désinformation, complaisance ou manque d'accès.
Lorsqu'on lui a demandé lundi ce qu'il prévoyait de faire pour obtenir plus de coups dans les bras des Floridiens, DeSantis a blâmé les "experts entre guillemets" pour la méfiance à l'égard des vaccinations et "la désinformation et beaucoup de mauvais conseils qui ont été donnés par certains de ces experts au cours de la l'année dernière », a rapporté le Sun Sentinel.
La réponse de DeSantis ne fait rien pour aider les communautés à lutter contre l'augmentation des infections et ne fait que rendre certains groupes plus méfiants envers les autorités sanitaires.
« Mesures d'atténuation »
Le chirurgien général américain Vivek Murthy a déclaré à ABC News au cours du week-end qu'il était "très raisonnable" pour les endroits avec de faibles taux de vaccination et un nombre croissant de cas d'adopter "plus de mesures d'atténuation" telles que le mandat de masque que le comté de Los Angeles, en Californie, a rétabli le week-end. Il a ajouté que cela ne serait pas "contradictoire aux directives émises par le CDC" sur les masques.
Il semble raisonnable de permettre à Miami Beach de contrôler la taille de la foule dans les discothèques et les bars locaux ou au comté de reconsidérer un mandat de masque et des mesures de distanciation sociale si nous continuons à voir des cas augmenter.
Mais "pas de chance" - cela n'arrivera pas.
La loi que DeSantis a signée en mai, SB 2006, lui donne le pouvoir d'invalider une ordonnance d'urgence locale qui « restreint inutilement les droits ou les libertés individuelles ». La campagne du gouverneur a vendu des t-shirts et des boissons koozies arborant «Ne Fauciez pas ma Floride» – il ne fait aucun doute qu'il exercerait cette autorité avec enthousiasme.
Le taux de cas de Miami-Dade est passé à 242 pour 100 000 personnes la semaine dernière contre 150 la semaine précédente, et la positivité des tests est passée de 5,4% à 7,4% malgré le comté ayant le plus grand pourcentage de personnes ayant reçu au moins une dose de vaccin (75%) . [ Les rédacteurs du Miami Herald ne remarquent pas le problème d'une nouvelle épidémie dans une zone avec 75 % de la population vaccinée ! ]
RépondreSupprimerLes experts soupçonnent des groupes à faible taux de vaccination, tels que les jeunes, d'être à l'origine de cette augmentation. Mais le savoir est certainement difficile car l'État ne publie pas d'informations démographiques comté par comté sur les vaccinations. L'État a également cessé de classer les décès par comté, de publier des données hospitalières et de signaler quotidiennement les nombres de coronavirus, passant à des rapports hebdomadaires. Cela a rendu plus difficile l'obtention d'une image réelle de la pandémie, mais c'est peut-être l'intention. Enterrer les statistiques COVID-19 de la Floride est le MO du gouverneur, comme ce fut le cas tout au long de 2020.
Donc, si quelqu'un le demande, la Floride a vaincu le virus.
Bien sûr, plus de 38 000 Floridiens sont morts depuis le début de la pandémie.
Mais appelons ça une note de bas de page.
Des manifestants anti-masques descendent la plage de Las Olas à Fort Lauderdale
Des militants se rassemblent pour participer à un rassemblement « End Of The Pandemic March South Florida » à Las Olas Beach à Fort Lauderdale, en Floride, le samedi 15 août 2020. Par Matias J. Ocner
https://www.lewrockwell.com/2021/07/paul-craig-roberts/the-covid-deception-exposed/
Voir "Un message URGENT du professeur Sucharit Bhakdi"
Supprimerhttps://huemaurice5.blogspot.com/2021/07/un-message-urgent-du-professeur.html
où il explique que tous les inoculés sont désormais des condamnés à mort ! Des personnes qui sont décédées à la première injection, d'autres à la seconde et, les 'passés au travers' le seront par signal 5G où en prenant l'avion (seuls le personnel de bord n'est pas autorisé à se faire inoculer !). De toutes façons, les nano-particules injectées suppriment toute immunité d votre organisme ! Dès lors, au moindre rhume ou grippe, sans protection vous...
Catastrophe « Zéro COVID » : les nations participantes voient de nouveaux records à tous les niveaux
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 21 JUIL 2021 - 20:40
Rédigé par Jordan Schachtel via la sous-pile 'Dossier',
Zero Covid, l'idée que des décrets gouvernementaux musclés et des contrôles de population peuvent éliminer définitivement un coronavirus d'un pays, échoue maintenant de manière spectaculaire partout où il est tenté.
Vous n'avez peut-être pas lu à ce sujet dans les agences de presse d'entreprise occidentales, mais les pays Zero Covid voient des explosions de cas de Covid-19 dans tous les domaines. Les pays de « success story » largement salués qui ont suivi l’idéologie radicale qu’est Zero Covid n’ont non seulement pas réussi à contenir un virus, mais assistent maintenant à la propagation incontrôlée de ce virus dans leurs centres de population. Les gouvernements engagés dans cette aventure pseudo-scientifique et totalitaire se bousculent pour trouver des options et réagissent en verrouillant leurs nations et en violant davantage les droits de leurs citoyens. Le couvercle s'est envolé de l'autocuiseur Zero Covid, révélant les lacunes d'une entreprise idéologique aussi imprudente.
Jetons un coup d’œil à la façon dont les nations « Zero Covid » tiennent le coup :
Australie
L'Australie est sans doute la grande nation la plus dévouée à une stratégie Zero Covid. Le pays est fermé à la grande majorité du monde depuis le début de COVID Mania. Même de nombreux citoyens australiens n'ont pas pu entrer ou sortir du pays.
L'Australie a poursuivi tellement de blocages qu'il est pratiquement impossible de savoir à quel nombre nous en sommes actuellement. Zero Covid a été un désastre absolu, car la stratégie d'élimination de Canberra n'a sans surprise pas réussi à déplacer définitivement les cas vers zéro.
- voir graphique sur site -
Jeudi, Melbourne et Sydney, les deux plus grandes villes d'Australie, ont décrété un nouveau verrouillage. Ce sera le cinquième confinement de Melbourne en un an et demi.
Les blocages australiens ont été tristement impitoyables. Dans certains endroits, les fermetures signifiaient que les citoyens n'étaient autorisés à quitter leur domicile qu'une heure par jour et qu'ils n'étaient pas autorisés à sortir d'un certain rayon autour de leur domicile. Dans de nombreux endroits, l'acte de protester est illégal, et il sera accueilli par la police anti-émeute. L'Australie a également mis en place des camps de quarantaine obligatoires pour les citoyens suffisamment privilégiés pour être autorisés à rentrer dans le pays.
Viêt Nam
RépondreSupprimerQualifiée de « success story » Zero Covid par la presse corporate pour ses politiques ultra strictes, les affaires explosent désormais au Vietnam.
- voir graphique sur site -
Le gouvernement, en pleine panique, a réagi en verrouillant les grandes villes, seulement pour que le nombre de cas continue d'augmenter.
Corée du Sud
Séoul a mis en place l'un des régimes de surveillance Covid les plus intrusifs au monde. Applaudie par les autoritaires comme un pays qui avait ses priorités en ordre, la Corée du Sud était censée être la nation modèle de « recherche des contacts ». Aujourd'hui, la Corée du Sud enregistre des chiffres record dans tous les domaines.
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Cette semaine, le pays a enregistré un nombre record de cas. Zero Covid a échoué et le gouvernement a réagi en restreignant encore plus les droits.
Singapour
Autrefois une nation Zero Covid en règle avec l'idéologue radical « experts en santé publique », le gouvernement de Singapour a pris les devants et a décidé le mois dernier d'abandonner l'idée d'éliminer à jamais un virus endémique peu menaçant.
Chine
La Chine ment sur ses chiffres COVID et à peu près tout le reste. Le Parti communiste chinois prétend être un participant à Zero Covid, mais en réalité, Pékin trompe le monde sur les « succès » d’atténuation et de suppression depuis le premier jour de Covid Mania.
Thaïlande
La Thaïlande, une « success story » largement saluée pour ses blocages stricts et ses autres politiques draconiennes dans la poursuite de Zero Covid, établit ses propres records de cas Covid.
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Nouvelle-Zélande
La Nouvelle-Zélande, qui est en état d'auto-assise depuis le début de l'année 2020, reste totalement engagée dans sa stratégie d'élimination Zero Covid. Comme l'Australie, le pays a mis en place des camps de quarantaine pour les personnes qui ont obtenu l'accès à la nation. En raison de la « dette d’immunité » de Covid liée à l’isolement, le pays connaît une montée en flèche des hospitalisations chez les enfants, qui ne sont pas menacés par Covid-19.
Indemnes de Covid (pour l'instant), les salles d'urgence seraient à un "point de rupture" dans le pays, le pays faisant face à une "maladie hivernale" inconnue. Il semble que les fanatiques de Zero Covid aient oublié qu'il existe encore d'autres façons de tomber malade.
Les responsables de Kiwi n'ont même pas entamé de discussions sur la durée pendant laquelle ils resteront attachés à leur stratégie d'auto-siège. Leurs frontières fermées ont entraîné une pénurie massive de personnel hospitalier.
Résumé
Chaque pays qui a adopté la notion radicale de Zero Covid a fini par ne pas contenir un virus et/ou ne pas accepter que les coûts de la tentative de contenir un virus ont été exponentiellement pires que les avantages de contenir le virus. Les « remèdes » promis ont été infiniment pires que la maladie. Il n'y a plus de "success stories" impliquant des nations utilisant des moyens tyranniques pour tenter d'arrêter un virus. Zero Covid, comme toute personne rationnelle aurait pu le prédire il y a longtemps, a échoué de manière spectaculaire.
https://www.zerohedge.com/covid-19/zero-covid-catastrophe-participating-nations-see-new-records-across-board
D'un côté chaque mois sont balancés par drones ou chemtrails quelques épouvantails rouge, vert, bleu ou noir pour faire crier au secours et, de l'autre, sont proposés les mains généreuses d'anti-épouvantails sortis de laboratoires qui tiennent le poison mortel !
SupprimerC'est l'HÉGÉMONIE MONDIALE non-pas par le corona (mini grippette) mais par les inoculations d'expérimentations géniques d'essais proposés aux abrutis dégénérés incapables de réfléchir !!
Combien de milliards de victimes ? Le saura t-on un jour ?
L'Indonésie et le don d'ivermectine que le gouvernement a détruit...
RépondreSupprimerLe peuple indonésien semble avoir trouvé un moyen de gérer les choses sans le gouvernement, l'OMS ou l'ONU.
July 22nd, 2021
Classez-le sous: Big-Government tue
L'Indonésie compte 270 millions d'habitants et très peu de Covid - ou du moins, ce n'était pas le cas. Il s'avère qu'un philanthrope distribuait de l'ivermectine sur l'un des "plus grands marchés d'ivermectine au monde". Ensuite, le gouvernement a pris le relais, a insisté sur les essais cliniques et l'a ralenti, comme le font les gouvernements. Les cas sont passés de 7 000 cas par jour le 12 juin à 50 000 cas par jour le 18 juillet.
En regardant le succès de Covid en Inde, au Mexique et au Pérou également, combien de jours de confinement auraient pu être évités si l'Australie utilisait des antiviraux bon marché ? Non seulement la dernière épidémie de NSW a pu être écrasée plus tôt, mais si un chauffeur de limousine avait utilisé de l'ivermectine, cela n'aurait peut-être jamais commencé.
À quel point la Big-Bureaucracy déteste-t-elle les médicaments bon marché et non brevetés ?
- voir graphique sur site -
Indonésie Cas
Cas indonésiens de Covid. Graphique. OWID
Deux semaines après le début des essais cliniques, l'ivermectine et toute une série de médicaments antiviraux ont soudainement été approuvées d'urgence. Peut-être y a-t-il eu panique ?
15 juillet ; Le BPOM approuve l'ivermectine comme médicament thérapeutique contre le Covid-19
Mais les bureaucrates doivent subir beaucoup de pression alors que le monde les regarde. Il y a quelques heures à peine, ils ont ajouté un qualificatif alambiqué disant que tout cela était temporaire pour des raisons d'urgence, et que l'ivermectine avait encore besoin d'essais, et que seuls leurs fonctionnaires pouvaient le distribuer. Nous ne le saurons jamais, mais si un représentant de Big Pharma craignait que le monde assiste à un autre succès de l'ivermectine, nous pourrions l'imaginer tirer les ficelles pour la sécurité (et le profit). C'est le genre de déclaration brumeuse qui faciliterait la vie des trolls de Big Pharma. BPOM ne l'a pas approuvé. L'ivermectine a encore besoin d'essais...
La politique du pouvoir et des vaccins conduit-elle à l'usurpation par l'État de la licence d'ivermectine ?
TrialSiteNews, 13 juillet
Il s'avère que l'Indonésie, pendant la pandémie, a abrité l'un des marchés illégaux d'ivermectine les plus importants, les plus dynamiques et à la limite du monde, ciblant la pandémie de SRAS-CoV-2. C'est parce qu'un entrepreneur entreprenant et bien connu dans les années 70 a capitalisé sur la demande croissante dans le quatrième pays le plus peuplé du monde avec le début de la pandémie il y a plus d'un an. Dans ce qui semble être une décision accidentelle et presque fortuite du gouvernement central d'exploiter la croissance positive des ventes du médicament, il semble en réalité qu'il s'agit bien davantage d'usurper le contrôle du marché - et des personnes - de restreindre l'accès au médicament et, surtout, d'apaiser les influenceurs mondiaux, comme l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et divers gouvernements qui peuvent positionner des vaccins, par exemple. Sinon, comment une telle histoire de montagnes russes peut-elle se dérouler, une histoire où ce qui semble être un approvisionnement sain d'ivermectine pour traiter les personnes COVID-19 couplé à une gestion étonnamment stable de la pandémie de COVID-19 dans un cas où l'approvisionnement est devenu absolument limité directement parallèlement au pic le plus massif de la pandémie à partir de juin 2021.
Au lieu d'une médaille, le gouvernement indonésien a donné du fil à retordre au donateur :
RépondreSupprimerRebecca Weisser, spectateur
… en Indonésie où un philanthrope entreprenant, Haryoseno, est passé à l'action et a mis l'ivermectine à la disposition des masses gratuitement ou à faible coût. En conséquence, l'Indonésie a eu un taux de mortalité Covid extrêmement faible. C'est jusqu'à ce que le ministère de la Santé décide, conformément à la recommandation de l'OMS, que l'ivermectine ne serait utilisée que dans un essai clinique. Haryoseno a été menacé d'une amende et d'une peine de dix ans de prison et l'approvisionnement en ivermectine s'est tari. Résultat ? Le nombre de décès par million a quintuplé depuis le retrait de l'ivermectine le 12 juin.
Il est légal pour les médecins australiens de prescrire de l'ivermectine "hors AMM" (c'est-à-dire pour des utilisations non standard). Même le ministre de la Santé l'a dit :
Hunt sort du script avec de l'ivermectine
Le ministre de la Santé approuve le droit des médecins à traiter Covid
Rebecca Weisser, spectateur
En Australie, l'un des rares médecins assez courageux pour utiliser le médicament pour traiter des patients et sauver des vies, le Dr Mark Hobart, a été signalé à l'Australian Health Practitioner Regulation Agency (AHPRA). Heureusement, l'AHPRA a indiqué qu'il n'y avait eu aucune infraction. En effet, le ministre fédéral de la Santé, Greg Hunt, a écrit à l'un des médecins australiens qui prescrivent de l'ivermectine, confirmant qu'il était au courant que certains médecins prescrivent de l'ivermectine hors indication pour Covid et qu'ils étaient tout à fait dans leur droit car la pratique de prescrire des médicaments enregistrés à l'extérieur de leurs indications approuvées n'est pas réglementée ou contrôlée par la Therapeutic Goods Administration (TGA), elle est à la discrétion du médecin prescripteur. Pourtant, le silence persiste. L'ivermectine est le médicament qui n'ose pas prononcer son nom.
Certains médecins prescrivant de l'ivermectine sont membres du Covid Medical Network. Ils peuvent être contactés via leur site Web et fournir des ordonnances de prophylaxie et de traitement partout dans le pays (covidmedicalnetwork.com)
Partagez ce message avec votre médecin généraliste pour lui donner l'assurance qu'il prescrit légalement de l'ivermectine « hors indication » en Australie. Préparez-vous à les défendre, Mark Holden et tout autre docteur, et Thomas Borody, ou même Greg Hunt. Il y a tellement d'argent en jeu. Chaque médecin qui propose un traitement antiviral ou préventif répartit le risque et rend l'acceptation générale beaucoup plus probable. Nous avons ici une fenêtre d'opportunité.
Donnez-nous le choix. Donnez le choix à nos médecins.
Les choses se sont-elles améliorées grâce aux anti-viraux ?
Si les antiviraux étaient approuvés le 15 juillet, nous pourrions assister à un ralentissement.
Ce n'est peut-être rien….
- voir graphique sur site -
RépondreSupprimerCas de Covid en Indonésie, graphique
OWID Indonésie
Aucun médicament ne devrait être obligatoire, surtout pas un médicament expérimental.
Le médicament miracle qui a disparu
Mon résumé de l'ivermectine
Si vous envoyez un seul lien par e-mail à vos amis, faites-en cette histoire. C'est le plus grand scandale médical depuis 1850. Pourquoi un médicament sûr et bon marché est-il ignoré ? Se pourrait-il qu'il n'y aurait pas d'urgence médicale et qu'il n'y aurait pas besoin de précipiter d'autres nouveaux traitements plus risqués qui sont encore classés comme «expérimentaux» s'il existait une alternative sûre? Il y a des milliards de raisons de poser cette question, mais les journaux ne publieraient pas l'histoire. En désespoir de cause, certains Américains vont devant les tribunaux pour obtenir des décisions ordonnant aux médecins d'utiliser l'ivermectine sur leurs proches. Même s'ils gagnent, les hôpitaux refusent parfois de l'utiliser sur des patients avec peu d'options. Une famille a loué un hélicoptère pour emmener sa mère des soins intensifs dans un hôpital qui a refusé de donner de l'ivermectine (et a eu une fin heureuse). Le débat est tellement étouffé qu'il y a des rumeurs selon lesquelles le président américain aurait été traité en secret l'année dernière.
Pour les études évaluées par des pairs, lisez: The BIG Ivermectin Review: Cela peut prévenir 86% des cas de Covid.
L'ivermectine a également été utilisée, avec un succès apparent en Inde, au Pérou et au Mexique (et bien d'autres endroits). Les cas de Covid sont tombés dans les États indiens qui ont approuvé l'utilisation de l'ivermectine mais ont augmenté dans le Tamil Nadu où cela n'était pas autorisé. Malgré le succès, le département indien de la Santé a soudainement arrêté l'utilisation d'ivermectine et les Indiens poursuivent l'OMS avec dégoût. Au Pérou, l'ivermectine a réduit de 75 % le nombre de décès par covid en 6 semaines.
La FDA et d'autres diront qu'il y a peu de preuves de succès jusqu'à présent, mais c'est un scandale en soi. Pourquoi n'y a-t-il pas de grands procès ? Et pourquoi d'autres médicaments comme le Remdesivir sont-ils approuvés avec un seul essai ? L'ivermectine est si sûre que 3,7 milliards de doses ont déjà été utilisées dans le monde. Les inventeurs ont remporté un prix Nobel pour sa découverte en 2015. Nous savons que cela pourrait être utile depuis avril de l'année dernière, lorsqu'un groupe australien a recherché parmi de nombreux médicaments sûrs et bon marché à la recherche de ceux qui pourraient aider contre Covid. La nouvelle était alors "Un autre remède possible contre le coronavirus, trouvé dans la trempette de mouton: l'ivermectine". Il ne s'agissait que d'une étude de laboratoire, et cela suggérait que les doses devraient être trop élevées. Même ainsi, les succès continuent de se produire dans le monde réel ? En juillet de l'année dernière, il y avait déjà des signes que l'ivermectine pourrait économiser jusqu'à 50%. Pourquoi de grands essais n'ont-ils pas alors été lancés ? Le procès britannique est entravé dès le départ.
https://joannenova.com.au/2021/07/indonesia-and-the-ivermectin-donation-the-goverment-wrecked/#more-78481
L'avocat américain de Frontline Doctors intente une action en justice contre le gouvernement américain pour 45 000 décès dus au vaccin covid
RépondreSupprimerMercredi 21 juillet 2021
par : Ethan Huff
(Natural News) L'avocat de l'Ohio, Thomas Renz, poursuit le gouvernement fédéral pour avoir poussé des "vaccins" contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) qui auraient causé au moins 45 000 décès jusqu'à présent.
Lors d'une récente conférence à Anaheim, en Californie, Renz a annoncé qu'un initié dénonciateur avait soumis une déclaration sous serment attestant du fait que le complexe militaro-industriel américain tentait de dissimuler un nombre massif de décès dus aux coups qui ne sont pas rendus publics. .
"Je dépose des documents devant un tribunal fédéral aujourd'hui", a déclaré Renz à un public enthousiaste – vous pouvez regarder le clip ci-dessous.
« Jane Doe m'a donné des informations, c'est une initiée, c'est une dénonciatrice. Nous soumettons aujourd'hui au tribunal fédéral, sur la base d'une déclaration sous serment, sous peine de parjure, cette femme en a attesté, et c'est une experte. Nous savons, d'après ce qu'elle a dit, qu'il y a eu au moins 45 000 décès à cause de ce vaccin. »
Renz dit que le dénonciateur a vu «à l'intérieur des systèmes» où des blessures et des décès liés au vaccin sont signalés qu'au moins 45 000 personnes aux États-Unis sont décédées dans les trois jours suivant l'injection – et ce n'est qu'un système qui rend compte au gouvernement fédéral.
De manière réaliste, plus d'un demi-million d'Américains sont maintenant morts à cause des vaccins contre le covid
Selon Renz, il existe jusqu'à 12 systèmes différents qui signalent au gouvernement les décès et les blessures causés par les vaccins. Cela signifie que le nombre réel de décès par injection de virus chinois pourrait être plus proche de 540 000 personnes.
« Combien sont vraiment morts ? » demanda Renz. « Et pourquoi le cachent-ils ? Ces gens tuent des gens. C'est de la complicité au minimum. Les gens doivent être en prison.
Sachant que Big Tech serait prompt à censurer son discours sur YouTube et les plateformes de médias sociaux - ne vous inquiétez pas, vous trouverez toujours ce type de contenu sur Brighteon.com qui n'est jamais censuré - Renz avait également un message pour la cabale technologique.
"Vous êtes complice d'avoir causé la mort, et j'ai hâte de vous poursuivre encore et encore", a déclaré Renz, faisant référence à des sociétés multinationales comme Google, Facebook et Twitter, qui sont toutes engagées dans une dissimulation massive de la vérité.
RépondreSupprimerRenz a remercié les médecins de première ligne de l'Amérique de lui avoir permis de porter plainte en Alabama. Il s'est personnellement adressé au Dr Simone Gold et à d'autres membres de l'organisation qui se sont prononcés au cours de l'année dernière contre les efforts de l'État médical profond pour faire taire les faits tout en faisant la promotion de la désinformation médicale.
"Merci à vous tous qui faites cela", a déclaré Renz.
Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis, quant à eux, affirment, sur la base de ce qui est rapporté publiquement dans le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), que seulement environ 11 000 personnes sont décédées des vaccins contre la grippe Fauci. Beaucoup d'entre eux ont été signalés bien au-delà du délai de trois jours après l'injection évalué par le dénonciateur.
Le Dr Judy Mikovits et le Dr Andrew Wakefield étaient tous deux présents au même événement, qui a averti que Tony Fauci est une « belette luciférienne » qui ne doit pas être prise au sérieux.
"Je prierai très fort pour la sécurité du dénonciateur et pour le discernement de l'équipe juridique", a écrit un commentateur sur Brighteon.com.
« Il ne se passe pas un jour sans qu'un aveu de trahison, de meurtre, de vol de l'argent des contribuables, de fraude électorale et d'autres crimes contre le peuple des États-Unis ne laisse tomber ce faux gouvernement non élu », a écrit un autre.
"On dirait que le dépeuplement se produit plus rapidement qu'initialement divulgué", commente un autre. « Je peux imaginer Bill Gates et ses acolytes criant : « A toute vitesse ! » »
Alors que les corps continuent de s'accumuler à cause des injections de virus chinois, nous en rendrons compte sur ChemicalViolence.com.
Les sources de cet article incluent :
Rechercheglobale.ca
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2021-07-21-americas-frontline-lawsuit-government-covid-vaccine-deaths.html
Top 7 des MENSONGES sur la santé et la sécurité auxquels plus de 200 millions d'Américains croient aujourd'hui
RépondreSupprimerWednesday, July 21, 2021
by: S.D. Wells
(Natural News) En tant qu'Américain, peu importe à quel point vous êtes intelligent, vous avez subi un lavage de cerveau depuis votre enfance pour croire que le système immunitaire humain est très fragile, de la naissance à la mort, et que vous avez besoin d'au moins 75 vaccins juste rester en vie. En tant qu'Américain, vous avez subi un lavage de cerveau pour croire que toute affection, maladie, trouble ou maladie dont vous pourriez souffrir ne peut être traitée (mais jamais guérie) que par une médecine chimique créée dans un laboratoire et prescrite par quelqu'un qui a fait des études de médecine pendant huit ans. ans pour apprendre à rédiger votre commande « spécialisée ».
Vous êtes également soumis à un lavage de cerveau pour croire que vous devez consommer de la viande, du lait et du pain tous les jours afin de remplir les « apports quotidiens recommandés » pour que votre corps fonctionne. Ce sont la base des plus grands mensonges perpétués dans un pays où les investisseurs investissent dans votre grave manque de connaissances sur l'alimentation, les médicaments et les vaccins.
Presque toutes les épiceries et tous les supermarchés regorgent de « produits alimentaires » contaminés, transformés, chargés de produits chimiques et pathogènes, qui sont bon marché et conçus pour vous rendre malade, lentement au fil du temps. Les défenseurs de la santé naturelle le savent, mais le reste de la population de consommateurs, environ 200 millions de personnes ou plus, n'en a aucune idée. De plus, nos agences de réglementation, y compris l'EPA, la FDA et le CDC, sont « all-in » sur le programme « Ponzi » pour la mauvaise santé, et elles investissent également dans votre disparition, si vous êtes si naïf et mal informé.
À combien de ces 7 principaux MENSONGES sur la santé et la sécurité votre famille, vos amis, vos voisins et vos collègues croient-ils ?
MENSONGE #1 : La FDA et le CDC essaient d'empêcher les Américains de mourir de nourriture et de maladies.
MENSONGE #2 : Vous avez besoin de vaccins pour avoir une chance de survivre à la rougeole, à la grippe annuelle, ainsi qu'à Covid-19 et ses variantes.
MENSONGE #3 : Il n'y a rien de mal avec la nourriture conventionnelle, tant que vous n'en mangez pas trop.
MENSONGE #4 : Les médicaments sur ordonnance vous aident à guérir des maladies et des affections corporelles, prolongeant ainsi la vie.
MENSONGE #5 : Lorsque vous « vieillissez », vous perdez la mémoire, votre corps se décompose et vous avez besoin de beaucoup de médicaments et d'opérations juste pour rester en vie et fonctionner.
MENSONGE #6 : Tous les germes et bactéries sont mauvais et nous devons nous protéger toute la journée en utilisant des masques, des produits antibactériens, de l'eau de Javel et des désinfectants chimiques en permanence pour rester en bonne santé.
MENSONGE # 7 : Google, Alexa et Wikipedia sont de bons moyens de rechercher des sujets de santé car ils ont des vérificateurs de faits.
La plupart des médecins font fortune en vous disant que tous vos problèmes de santé sont « génétiques » et « hérités de vos parents et grands-parents », de cette façon vous accepterez toutes les formes de médicaments qu'ils recommandent et prescrivent, y compris la chimiothérapie toxique et les tests de diagnostic dangereux. .
RépondreSupprimerLes pires et les plus dangereux « traitements » proposés sont les vaccins, car ce sont des injections de toxines et de manipulateurs génétiques qui contournent tous les filtres normaux de votre corps, y compris votre peau, votre système digestif et vos voies respiratoires.
Maintenant, la technologie mélangée à des inoculations insidieuses a produit des humains qui peuvent être contrôlés par la pharma. Comment, demandez-vous ? Regardez cette vidéo ci-dessous et vous pourrez commencer à comprendre ce qui se passe réellement avec les vaccins en ce moment, en Amérique.
Faites-vous partie de « l'internet de tout ? »
Avez-vous reçu un jab d'ARNm de Moderna ou de Pfizer ? Votre corps peut maintenant communiquer avec tout, des téléphones portables aux ordinateurs en passant par les postes de police, avec des données sur vos signes vitaux, vos émotions et si vous mentez ou non à propos de quelque chose. Vous pouvez déjà, grâce à la nanotechnologie dans ces vaccins, être connecté à « l'internet de tout ».
Serez-vous arrêté pour des « crimes de pensée » qui vous sont venus à l'esprit mais que vous n'avez jamais commis ? Regardez cette vidéo informative dans laquelle un médecin géorgien dénonce et elle est très informée sur la « technologie » des vaccins.
Le danger du vaccin…
Si votre travail ou vos proches vous ont d'une manière ou d'une autre amené à vous faire piquer avec les inoculations de la coagulation sanguine de Covid et que vous souffrez du syndrome de CoVax, alors signalez-le au VAERS. Consultez également Pandemic.news pour des mises à jour sur ces crimes contre l'humanité et le prochain holocauste vaccinal.
Vous voulez vous informer sur la santé naturelle et la guérison naturelle? Commencez par les 10 meilleurs remèdes indigènes et revenez à partir de là. Prendre plaisir. Il s'agit d'une annonce de service public de Natural News.
Les sources de cet article incluent :
Pandémie.nouvelles
NaturalNews.com
WikiVérité.org
https://www.naturalnews.com/2021-07-21-top-7-lies-health-and-safety-200-million-americans-believe.html
L'avocat américain de Frontline Doctors intente une action en justice contre le gouvernement américain pour 45 000 décès dus au vaccin covid
RépondreSupprimerMercredi 21 juillet 2021
par : Ethan Huff
(Natural News) L'avocat de l'Ohio, Thomas Renz, poursuit le gouvernement fédéral pour avoir poussé des "vaccins" contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) qui auraient causé au moins 45 000 décès jusqu'à présent.
Lors d'une récente conférence à Anaheim, en Californie, Renz a annoncé qu'un initié dénonciateur avait soumis une déclaration sous serment attestant du fait que le complexe militaro-industriel américain tentait de dissimuler un nombre massif de décès dus aux coups qui ne sont pas rendus publics. .
"Je dépose des documents devant un tribunal fédéral aujourd'hui", a déclaré Renz à un public enthousiaste – vous pouvez regarder le clip ci-dessous.
« Jane Doe m'a donné des informations, c'est une initiée, c'est une dénonciatrice. Nous soumettons aujourd'hui au tribunal fédéral, sur la base d'une déclaration sous serment, sous peine de parjure, cette femme en a attesté, et c'est une experte. Nous savons, d'après ce qu'elle a dit, qu'il y a eu au moins 45 000 décès à cause de ce vaccin. »
Renz dit que le dénonciateur a vu «à l'intérieur des systèmes» où des blessures et des décès liés au vaccin sont signalés qu'au moins 45 000 personnes aux États-Unis sont décédées dans les trois jours suivant l'injection – et ce n'est qu'un système qui rend compte au gouvernement fédéral.
De manière réaliste, plus d'un demi-million d'Américains sont maintenant morts à cause des vaccins contre le covid
Selon Renz, il existe jusqu'à 12 systèmes différents qui signalent au gouvernement les décès et les blessures causés par les vaccins. Cela signifie que le nombre réel de décès par injection de virus chinois pourrait être plus proche de 540 000 personnes.
« Combien sont vraiment morts ? » demanda Renz. « Et pourquoi le cachent-ils ? Ces gens tuent des gens. C'est de la complicité au minimum. Les gens doivent être en prison.
- voir clip sur site -
Sachant que Big Tech serait prompt à censurer son discours sur YouTube et les plateformes de médias sociaux - ne vous inquiétez pas, vous trouverez toujours ce type de contenu sur Brighteon.com qui n'est jamais censuré - Renz avait également un message pour la cabale technologique. .
"Vous êtes complice d'avoir causé la mort, et j'ai hâte de vous poursuivre encore et encore", a déclaré Renz, faisant référence à des sociétés multinationales comme Google, Facebook et Twitter, qui sont toutes engagées dans une dissimulation massive de la vérité.
Renz a remercié les médecins de première ligne de l'Amérique de lui avoir permis de porter plainte en Alabama. Il s'est personnellement adressé au Dr Simone Gold et à d'autres membres de l'organisation qui se sont prononcés au cours de l'année dernière contre les efforts de l'État médical profond pour faire taire les faits tout en faisant la promotion de la désinformation médicale.
RépondreSupprimer"Merci à vous tous qui faites cela", a déclaré Renz.
Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis, quant à eux, affirment, sur la base de ce qui est rapporté publiquement dans le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), que seulement environ 11 000 personnes sont décédées des vaccins contre la grippe Fauci. Beaucoup d'entre eux ont été signalés bien au-delà du délai de trois jours après l'injection évalué par le dénonciateur.
Le Dr Judy Mikovits et le Dr Andrew Wakefield étaient tous deux présents au même événement, qui a averti que Tony Fauci est une « belette luciférienne » qui ne doit pas être prise au sérieux.
"Je prierai très fort pour la sécurité du dénonciateur et pour le discernement de l'équipe juridique", a écrit un commentateur sur Brighteon.com.
« Il ne se passe pas un jour sans qu'un aveu de trahison, de meurtre, de vol de l'argent des contribuables, de fraude électorale et d'autres crimes contre le peuple des États-Unis ne laisse tomber ce faux gouvernement non élu », a écrit un autre.
"On dirait que le dépeuplement se produit plus rapidement qu'initialement divulgué", commente un autre. « Je peux imaginer Bill Gates et ses acolytes criant : « A toute vitesse ! » »
Alors que les corps continuent de s'accumuler à cause des injections de virus chinois, nous en rendrons compte sur ChemicalViolence.com.
Les sources de cet article incluent :
Rechercheglobale.ca
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2021-07-21-americas-frontline-lawsuit-government-covid-vaccine-deaths.html
Convergence effondrée : inondations, sécheresses, famine, guerre biologique vaccinale et implosion mondiale de monnaie fiduciaire… ils les « empilent » pour une dévastation maximale
RépondreSupprimerMercredi 21 juillet 2021
par : Mike Adams
(Natural News) La première chose que nous devons tous reconnaître, c'est que les catastrophes sont conçues.
L'arme biologique covid a été créée dans un laboratoire. Le vaccin a été développé pour réaliser intentionnellement la dépopulation. La « grande remise à zéro » du système financier est planifiée par les riches banquiers. Même les inondations, les sécheresses et les mauvaises récoltes sont pour la plupart le résultat d'armes météorologiques.
La deuxième chose que nous devons tous reconnaître, c'est qu'ils « empilent » les catastrophes les unes sur les autres afin d'obtenir une dévastation maximale.
Alors que de nombreuses personnes peuvent survivre à une crise à la fois – comme une pénurie alimentaire ou une inondation à court terme – très peu de personnes sont prêtes à survivre à un groupe de catastrophes multicouches et conçues qui se déchaînent les unes sur les autres. Les blocages malveillants ont également détruit une grande partie du tampon financier dont disposait autrefois la classe moyenne, poussant ces personnes de plus en plus vers la misère. (Tous par conception, bien sûr.)
Malgré tout ce pessimisme, la préparation permet de survivre. Parce que les humains préparés sont difficiles à tuer.
Les mondialistes réalisent que la plupart des humains ne sont absolument pas préparés et inconscients des menaces qui pèsent maintenant sur eux
Étonnamment, les mondialistes qui tentent d'exterminer la plus grande partie de la race humaine ont déjà réalisé que la plupart des gens sont vraiment faciles à tuer pour la simple raison que la plupart des gens n'ont aucune préparation. L'être humain moyen vivant aujourd'hui n'a presque pas d'argent disponible, très peu de nourriture disponible, pas de carburant, d'or, d'argent ou même un moyen d'autodéfense de base. Il suffit d'un événement contrôlé vers le bas du réseau pour que les mondialistes exterminent peut-être 70 % de la population américaine en quelques mois. S'ils ajoutent à cela une implosion contrôlée de la bombe de la dette et une pénurie alimentaire artificielle, ils pourraient théoriquement atteindre des taux d'extermination de 80 % ou même 90 % (ce qui semble être ce qu'ils veulent).
J'enseigne les principes de préparation et de survie depuis deux décennies maintenant, et je me prépare personnellement depuis au moins 1995. Mais maintenant, mon message urgent pour tous ceux qui souhaitent survivre est que nous devons nous préparer à des événements d'effondrement simultanés et artificiels qui sont programmés pour une destruction maximale. Les tueurs de masse démoniaques en charge de notre planète en ce moment essaient délibérément d'éliminer autant d'êtres humains que possible, et les vaccins contre la dépopulation ne sont qu'un début. Beaucoup plus sera déchaîné contre l'humanité dans les mois et les années à venir.
RépondreSupprimerObtenez toute l'histoire dans le podcast Situation Update d'aujourd'hui via Brighteon.com, et le podcast de demain se concentrera sur les étapes de préparation pratiques pour vous aider à vous préparer :
Brighteon.com/96b41e73-89e8-4435-96f4-a1d0896bd919
Trouvez un nouveau podcast Situation Update chaque jour sur :
https://www.brighteon.com/channels/hrreport
https://www.naturalnews.com/2021-07-21-collapse-convergence-floods-droughts-famine-vaccine-biowar-devastation.html
5 522 personnes décédées dans les 28 jours suivant un vaccin contre le Covid-19 en Écosse
RépondreSupprimerle 22/07/2021 à 10:20 - Mise à jour à 10:33
Secret médical ?
La campagne de vaccination fonctionne à pleine vitesse avec des thérapies géniques toujours en phase 3 d’essais cliniques. De nombreux médecins spécialistes, comme le Pr Peter McCullough, se sont élevés contre cette campagne jugée trop rapide avec des produits expérimentaux. Le Pr Montagnier, prix Nobel de médecine, a aussi émis l’avis qu’il « était temps de stopper cette campagne » pendant que Christian Vélot déclarait : « il ne faudrait pas que le remède soit pire que le mal ». En France, rappelons que les parlementaires n’ont pas reçu de rapport ni de présentation détaillée sur les EI et EIG (effets indésirables et effets indésirables graves). Un vrai problème si l’on écoute le docteur en pharmacie Amine Umlil puisque cela entraine une violation du consentement libre et éclairé.
Ce problème n’est pas seulement français, puis qu’aux États-Unis des rapports alarmants apparaissent sur le nombre de décès liés à la vaccination dans la base de données de pharmaco vigilance VAERS qui mesure les EI/EIG. Un analyste informatique a fourni un témoignage sous serment dans une procédure juridique comme quoi les décès pourraient être de 45 000 alors que le chiffre officiel est de 9 000. (source TrialSiteNews)
- voir doc sur site -
usa_reported_death.jpg
Le Dailyexpose, un média indépendant, rapporte quant à lui que le département de Santé Publique en Ecosse, recense 5 522 personnes décédées dans les 28 jours suivant un vaccin contre le covid-19. Un chiffre important rapporté à la population écossaise de 5,454 millions d’habitants, avec un recensement de 7 820 décès covid-19 depuis le début de la pandémie.
« En raison de dizaines de demandes d'accès à l'information, demandant à Public Health Scotland (PHS) de fournir le nombre total actuel de décès de toute personne décédée dans les 28 jours suivant le vaccin covid-19, PHS a décidé que la meilleure voie à suivre était de publier les informations de manière routinière et périodique dans leur rapport statistique covid-19. »
- voir doc sur site -
Les chiffres les plus récents publiés par PHS dans le rapport du 23 juin 2021, révèlent qu'entre le 8 décembre 2020 et le 11 juin 2021 un nombre total de 5,522 personnes sont mortes dans les 28 jours suivant une dose d'un vaccin covid-19.
Le rapport fourni par PHS comprend le nombre de décès par type de vaccin et leur date d’occurrence :
RépondreSupprimer1 877 décès suivent à l’injection ARNm de Pfizer
3 643 décès suivent l’injection à vecteur viral AstraZeneca
2 décès suivent l’injection d'ARNm de Moderna
En moyenne, 920 décès surviennent chaque mois suite au vaccin covid-19 rien qu'en Écosse. Ce chiffre dépasse ainsi le nombre moyen de personnes décédées de covid-19 en Écosse de 866 par mois.
Le 30 janvier 2021, une lettre de demande d'accès à l'information, envoyée au gouvernement écossais, demandait de révéler le nombre total de personnes qui étaient mortes de covid-19 depuis mars 2020.
Le 11 mars 2021, le gouvernement écossais répondait :
« 596 décès impliquant COVID-19 ont été enregistrés alors qu'il n'y avait pas de problème de santé préexistant entre mars 2020 et janvier 2021 compris. »
- voir doc sur site -
Malgré de nombreuses demandes d’individus, le département de Santé publique Anglais (PHE : Public Health England) a jusqu'à présent refusé de publier des données sur le nombre de décès survenus dans les 28 jours suivant la vaccination en Angleterre.
Des dizaines de demandes d'accès à l'information ont été adressées à PHE posant cette question critique. La réponse de PHE est constante et déclare que « Public Health England peut confirmer qu'elle ne détient pas les informations que vous avez demandées. » Autant dire une fin de non-recevoir. Si PHE ne détient pas les informations, qui les détient alors ?
- voir doc sur site -
En se basant sur les données écossaises du nombre de décès dus aux vaccins covid-19, il a été possible, rapporte le DailyExpose, d’estimer le nombre probable de décès dus aux injections en Angleterre. En appliquant le taux de décès écossais à la population d’Angleterre, le chiffre réel estimé de décès dus à l’injection au cours des 6 derniers mois pourrait atteindre 57 470.
Ce chiffre à lui seul pourrait-il être précisément la raison pour laquelle PHE « prétend » ne pas détenir ces informations ?
https://www.francesoir.fr/societe-sante/5-522-personnes-sont-decedees-dans-les-28-jours-suivant-un-vaccin-contre-le-covid-19
RépondreSupprimerC’est une ARME biologique contre l’Humanité !! : Dr David Martin (2:10)
Le Dr David Martin lors d’une conférence tenue en Californie en mai 2021.
Il aborde l'histoire du développement de l'arme biologique du SRAS, initialement financée pour la recherche sur le SIDA/VIH en 1999, et il a lâché cette bombe sur le public :
Dr Fauci a dépensé , écoutez bien 191 milliard de dollars. . Pas 3,7 millions, pas 30 millions, 191 milliards de dollars de fonds alloués pour l’armement biologique contre l’Humanité. Ceci est un programme d’arme biologique pour nous tuer. Voila ce que c’est. Et ce n’est pas que pour nous tuer, c’est pour procéder à une dépopulation massive. Vous avez un virus, vous avez une arme biologique.
En 1999, cet armement a été évoqué explicitement dans le premier rapport NIAID. Et DURC était impliqué, tout comme un tas d’agences de La Défense. Ce qui a été fait spécifiquement en 1999, l’épithélium du poumon humain était visé pour la première fois car le Coronavirus était plutôt inoffensif pour la plupart des humains. Mais l’epithelium du poumon humain est explicitement visé afin que cela devienne pathogène pour le poumon humain. Nous avons construit le SARS. Les humains ont construit le SARS et ce sont les contribuables américains qui ont payé cela. En 1999, nous avons construit une arme biologique. J’ai écrit mon premier briefing en 2001, et j’ai mentionné les armes biologiques et la sécurité globale. En 2003, en Slovénie . En 2004, en République Islamique d’Iran à la Conférence sur les armes biologiques en Iran. Ce sont des faits historiques qui ne sont pas nouveaux. C’était connu, et en 2005, ils ont fondé l’initiative DARPA . 2005.
https://odysee.com/@PhilippeLeBel:4/C’est-une-arme-biologique-contre-l’Humanité-!-Dr-David-Martin:3?
Ema Krusi : Pass Sanitaire et astuce pour le personnel soignant
RépondreSupprimerEma Krusi — Odysee
Sott.net
mar., 20 juil. 2021 19:11 UTC
Dans cette vidéo, je me penche sur les conditions d'obtention du pass sanitaire en France et en Suisse et appelle les services gouvernementaux afin d'y voir plus clair.
En théorie, avec une « attestation de rétablissement », vous pouvez obtenir votre pass sanitaire sans aucune injection supplémentaire. En pratique, pour avoir cette « attestation de rétablissement », vous devrez faire face aux incohérences des directives, ce qui nous amène une fois de plus à dénoncer les décisions administratives loin de la logique scientifique et du discernement.
- voir clip sur site -
Liste des ingrédients du « vaccin » Pfizer : https://www.gov.uk/government/publications/regulatory-approval-of-pfizer-biontech-vaccine-for-covid-19/information-for-healthcare-professionals-on-pfizerbiontech-covid-19-vaccine#pharmaceutical-particulars
Vidéo concernant l'identité numérique annoncée depuis septembre 2020 : https://emakrusi.com/video/20-25-09-2020-covidpass-la-nouvelle-prison-2-0/
Vidéo sur les appels aux labos concernant l'efficacité des tests PCR : https://emakrusi.com/video/23-23-10-2020-appels-aux-labos/
Vidéo concernant les cycles d'amplification : https://emakrusi.com/video/21-30-09-2020-tests-pcr-vous-avez-dit-contagieux/
Vidéo sur « la tambouille à Mémé ! » et l'immunité cellulaire : https://emakrusi.com/video/35-11-06-2021-vaccin-et-immunite-cellulaire/
Source de la vidéo sur le site d'Ema Krusi
Source de la vidéo sur Odysee
https://fr.sott.net/article/37565-Ema-Krusi-Pass-Sanitaire-et-astuce-pour-le-personnel-soignant
Ne paniquez pas !Il n'est pas forcément nécessaire d'être un héros pour échapper à l'injection expérimentale forcée !
RépondreSupprimerAlain Tortosa.
Nouveau Monde
mar., 20 juil. 2021 18:58 UTC
Je fais partie de celles et ceux qui pensent qu'il suffit de dire « non » pour échapper à une mesure qui nous semble totalement inacceptable. J'ai d'ailleurs refusé le confinement, le port du masque, mes enfants ont dû quitter l'école, car ils n'étaient pas acceptés sans masque malgré un certificat médical. Le problème de la vaccination obligatoire ou du pass sanitaire ne se posent donc pas pour moi. Je n'aurai pas de passeport sanitaire, je ne me ferai pas un test PCR quand bien même il serait obligatoire pour faire des courses et mes enfants ne seront pas vaccinés pour aller en fac. Et hormis sous la menace d'une arme (et encore, car si cela devait arriver j'aurais probablement la mienne), ni ma famille ni moi-même ne serons injectés par ces produits inefficaces et dangereux... Il suffit de lire la littérature scientifique et ce qu'il se passe à l'étranger pour s'en convaincre...
Oui je pense qu'il suffit d'affirmer « je suis libre de... » pour échapper aux mesures dictatoriales. Oui, mais... je ne suis pas tout le monde ! Il suffit de voir comment l'immense majorité des enfants ont été masqués à l'école y compris l'immense majorité des enfants des « résistants ». Dans les faits, il n'est pas si simple de dire « non » et d'autant plus dans une société qui nous a appris à tout accepter au nom de la « sécurité ».
Il est urgent d'attendre !
Rappel sur l'obligation vaccinale ou le pass vaccinal.
Il n'existe strictement aucune obligation vaccinale Covid pour qui que ce soit en France.
À ce jour le pass sanitaire n'est obligatoire que pour certains concerts ou grands événements et pour partir à l'étranger et en Corse... Et c'est tout !
J'écrirai « pass vaccinal », car dès lors que les tests deviendraient payants et valables 24 h, vous comprendrez bien que l'on ne peut pas prévoir un budget de 10 000 euros par mois pour vivre.
Coup de bluff
Macron a fait croire que l'extension des premières obligations se ferait à partir du 21 juillet !
Ce qui est présenté comme « faits » n'est que « projets ». C'est un coup de bluff formidable parce qu'il va falloir voter des lois à l'assemblée, puis passage au Sénat, puis retour à l'assemblée. Il va aussi y avoir de nombreux amendements déposés. Il va falloir aussi que l'on statue sur l'aspect constitutionnel de ces lois et si elles ne vont pas à l'encontre de règlements européens, de traités internationaux ou autres. Sans compter tous les recours lancés tous azimuts par les défenseurs des droits de l'homme...
Bref, cela va prendre des semaines pour ne pas dire des mois et rien ne dit que cela aboutisse !
Ce qui fait le plus peur, c'est l'obligation vaccinale pour travailler ou se rendre à son travail.
Les restaurants, concerts et autres cinémas n'auront qu'à mourir s'ils s'abaissent à vouloir faire respecter ces lois iniques introduisant l'apartheid en France et des citoyens de seconde zone.
En premier lieu, ATTENDRE !
Il n'y a strictement aucune raison de se précipiter pour se faire injecter ces substances expérimentales en cours de test. Les français qui se sont précipités suite à l'annonce du dictateur ont affirmé que leurs vacances aux Caraïbes ou en Corse de cette année avaient plus de valeur que leur vie. Leurs précieuses vacances valaient bien de jouer à la roulette russe, quitte à avoir un cancer provoqué par cet ARNm dans 10 ou 20 ans ou des problèmes de fertilité ! Cela me semble fou, au regard des 10 000 décès reconnus de la vaccination (donc largement minimisés) aux USA et les centaines de milliers d'effets secondaires, dont certains à vie !
RépondreSupprimerAlors quelles sont les stratégies possibles ?
L'impossibilité vaccinale !
Il va bien y avoir des médecins militants et courageux qui feront honnêtement leur travail en délivrant des certificats médicaux aux personnes qui ne peuvent se vacciner pour raison de santé. Il est de plus évident que les causes psychiatriques sont à prendre en compte, comment vacciner une personne phobique qui pourrait aller jusqu'à se faire du mal si on lui imposait l'injection ?
Le « prouve-moi que ta démarche est légale ! »
Dès lors qu'une autorité ou un commerce va vous dire de présenter un pass sanitaire ou un certificat de vaccination, vous êtes en droit que lui demander sur quels textes de loi elle base son affirmation.
Je n'aborderai pas l'aspect juridique qui va être largement développé par Carlo Brusa, président de réaction 19. Vous pourrez donc soit dire que la demande est illégale si elle relève purement d'un texte qui n'est pas une loi et le menacer de plainte au pénal. Et si d'aventure une loi avait vu le jour, vous pourrez lui signifier que cette loi est en contradiction totale avec des lois et traités existants et donc qu'elle n'a pas valeur légale. À ce titre, je ferais référence à une soignante résistante italienne qui, dans l'obligation de se vacciner, s'est rendue au centre de vaccination avec son avocat. L'obligation vaccinale étant imposée au nom de la solidarité et du contrôle de l'épidémie, celle-ci a demandé au médecin de lui signer un document indiquant que l'injection permettait d'empêcher la contamination et la propagation du virus. Bien évidemment, le médecin n'a pas signé et aucun médecin ne signera jamais un tel document parce que c'est faux. Sur ce, l'avocat a fait appel à la police pour faire constater le refus de signature du document. Cette femme a ainsi réussi à gripper le système : d'un côté une obligation vaccinale au nom de la solidarité et de l'autre une preuve que le vaccin n'est pas un vaccin, mais une thérapie...
La loi
Une procédure de licenciement ne se fait pas comme ça et il faudra probablement des mois pour qu'elle aboutisse si elle devait aboutir. Il est important de se faire conseiller en fonction des situations, de son emploi, etc.. En tout état de cause, j'imagine que tout document qui n'est pas envoyé en recommandé avec accusé de réception n'existe pas... Si la tournure devient juridique, frapper un grand coup le plus tôt possible et essayer de renverser la vapeur « Je vais porter plainte contre vous » afin de refroidir quelques ardeurs.
Je vous rappelle aussi que les juges de prud'hommes sont certainement moins aux bottes de l'État.
Tout ce qui pourrait faire peur à la hiérarchie d'un point de vue juridique ET d'un point de vue médiatique pourrait donc être de nature à les faire réfléchir...
RépondreSupprimerLes « NON » je ne suis pas d'accord !
Le « non » peut prendre plusieurs formes...
Un « non je ne me ferais pas vacciner et ce n'est pas négociable... ».
Un « non je ne te dirai pas si je suis vacciné ou pas, cela ne te regarde pas, tu n'es pas mon médecin » qui peut aussi être formulé comme « mon information vaccinale relève du secret médical. »
Les stratégies de l'usure
Je vous rappelle que si cette mesure voit le jour, elle prendra probablement des semaines ou des mois pour passer de la théorie au décret d'application et qu'il est fort possible, s'il reste un peu d'État de droit, que la mesure passe aux oubliettes. Il n'est pas non plus impossible que si cette mesure devient obligatoire sur le papier, que soit elle ne sera jamais appliquée, soit les textes ne prévoiront pas de sanctions.
Donc l'important est de tenir !
« Oui je vais me vacciner ! »
Laisser pourrir... Un jour vous dites que vous avez pris rendez-vous, un jour vous dites que vous hésitez entre deux vaccins, etc. Vous dites « oui », mais vous faites « non » ! Grâce à cette stratégie, vous pouvez gagner quelques semaines...
« Demain, je te passe les papiers ! »
Vous dites que vous êtes vacciné, même si c'est entièrement faux et là aussi vous faites pourrir la situation... Plusieurs formulations existent comme « Je l'ai posé hier sur ton bureau » ou « je l'ai donné à Michel » (qui est en congé pour un mois). À noter que si c'est une administration qui le demande ou qu'il y a plusieurs responsables à ce poste dans l'entreprise, pourquoi ne pas changer d'interlocuteur. Par exemple mardi je vais m'inscrire en fac, on me demande la preuve de vaccination, je reviens mercredi où une autre personne me recevra qui sera peut-être résistante et n'exigera pas le document...
« Je vais créer un groupe de réflexion ! »
Ceci n'est possible que dans les grandes entreprises qui adorent faire des réunions qui ne servent strictement à rien. Dans cette hypothèse vous allez proposer de créer un groupe de réflexion sur la vaccination, groupe qui aura pour objectif de déterminer quel est le meilleur vaccin, par exemple celui qui ne risque pas de diminuer la productivité...
La prise de conscience... « Tu veux le résultat de mon dernier frottis vaginal ? »
Mettre en place un dialogue qui permette à l'autorité qui vous fait cette demande à quel point elle est délirante, contraire aux droits de l'homme et relève de l'intime. Lui demander par exemple pourquoi il ne demande pas si vous êtes séropositif et lui demander si c'est un monde comme ça qu'il désire pour ses enfants...
Le « placard »
RépondreSupprimerSi d'aventure ces lois scélérates rentraient en application, elles ne pourraient pas le rester pendant 10 ans. Autant on pourrait peut-être rendre l'obligation pendant un ou deux ans, mais pendant dix ans pour combattre un virus qui ne tue pas avec un vaccin qui ne marche pas, c'est compliqué. Sans compter que les remontées d'effets secondaires sur les personnes vaccinées de force seront obligatoirement plus efficaces, sans compter les multiples procès.
Un « mon fils est mort alors que la vaccination n'est pas obligatoire » n'aura pas le même impact judiciaire que « mon fils est mort alors que vous l'avez obligé à se vacciner ! ».
Si on vous menace de vous mettre à l'écart, prenez le placard, cela vous permettra enfin d'écrire le livre que vous rêvez d'écrire depuis dix ans. Si on vous place en télétravail, alors acceptez !
En revanche, le cadeau qu'il ne faut surtout pas leur accorder est le « je vais démissionner ! ». Si vous deviez les provoquer, dites plutôt :
« Allez ! Virez-moi ! Vous allez voir le procès et la publicité que vous allez vous prendre dans le cul ! »
En conclusion ?
Bien malin celui qui sait ce qu'il va se passer demain. Cela va dépendre non seulement de la résistance du peuple français, mais aussi de la résistance et des politiques des pays étrangers et européens. Croyez bien que la France ne peut pas devenir plus dictatoriale que la Chine ou la Corée du Nord sans que cela pose problème.
Donc même si vous n'allez pas au conflit frontal, il est certainement possible d'adopter des stratégies d'évitement, stratégies qui seront adaptées selon l'évolution de sa situation personnelle. Les appels au boycott, les entreprises de la honte, la médiatisation sont aussi des armes redoutables.
Personnellement, je prône le boycott des entreprises ou services publics qui feront la promotion et mettront en œuvre le passeport vaccinal ou la vaccination obligatoire non seulement pour la durée de la dictature, mais aussi à vie !
Il n'est pas un secret que je ne remettrai jamais les pieds dans mon magasin Botanic, car il refuse l'accès à des personnes sans masque munies d'un certificat médical ou dans Burger King qui vient d'annoncer à ses salariés qu'ils seront virés s'ils ne sont pas vaccinés alors que ce n'est qu'un projet de loi.
Tous ces collabos adorateurs de l'apartheid doivent comprendre que leurs actes les engagent à vie !
https://fr.sott.net/article/37562-Ne-paniquez-pas-Il-n-est-pas-forcement-necessaire-d-etre-un-heros-pour-echapper-a-l-injection-experimentale-forcee
Oui MAIS... Aujourd'hui J'AI publié le clip du Dr Martin !
SupprimerUn député australien déclare que les personnes non vaccinées « doivent être contrôlées et restreintes »
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 22 JUIL 2021 - 11:15
Rédigé par Paul Joseph Watson via Summit News,
Le député australien Frank Pangallo a déclaré que ce que les personnes non vaccinées sont autorisées à faire dans la communauté « devra être contrôlé et limité » par les autorités.
Le législateur du SA-Best Party a appelé le gouvernement australien, qui a indiqué qu'il ne rendra pas le passeport vaccinal obligatoire, à le rendre obligatoire pour l'accès aux "lieux d'accueil, lieux publics, lieux de travail et pour les voyages", rapporte Reclaim the Net.
Pangallo affirme que les « vaxports » (passeports vaccinaux) seront cruciaux pour éviter que le pays ne subisse une « catastrophe sanitaire et économique ».
"Bien que les gens puissent toujours avoir le choix de se faire vacciner ou non, ce qu'ils peuvent faire dans la communauté devra être contrôlé et limité", a déclaré le député.
En d'autres termes, ceux qui refusent de se faire vacciner devraient devenir des citoyens de seconde zone, être discriminés et rester de facto indéfiniment bloqués.
Citant la menace de nouvelles variantes, Pangallo a déclaré: "Je comprends que les gens penseront qu'il s'agit d'une étape plutôt drastique et draconienne, mais cette pandémie continue d'évoluer de manière et de vagues que personne ne peut prédire."
Bien que seulement 13% de la population australienne ait été vaccinée jusqu'à présent, Pangallo a déclaré que les "vaxports" étaient une nécessité afin "d'empêcher tout le pays de se verrouiller".
L'Australie poursuit une politique "zéro COVID" radicalement stupide qui a conduit à la fermeture de villes entières après la découverte d'une seule infection.
Comme nous l'avons souligné hier, les responsables de la santé publique disent désormais aux citoyens qu'ils ne devraient même pas s'engager dans une conversation (même s'ils portent des masques) au nom de l'arrêt de la propagation du virus.
Les autorités ont également supervisé l'application la plus brutale du verrouillage de tous les pays développés.
Une femme enceinte a été arrêtée dans sa propre maison pour avoir planifié une manifestation contre le verrouillage sur Facebook, tandis que l'État s'est également donné le pouvoir de saisir les enfants de leurs parents et d'entrer dans les maisons sans mandat en vertu des règles COVID-19.
https://www.zerohedge.com/political/australian-mp-says-unvaccinated-people-need-be-controlled-and-restricted
La vérité peut libérer l'Afrique et vaincre l'insécurité alimentaire
RépondreSupprimer21 Juillet 2021
Bill Crabtree*
En parcourant l'Afrique et en discutant avec ses agriculteurs, j'ai pu constater de près les dangers de l'insécurité alimentaire. Je pense avoir découvert un moyen de discuter des promesses des technologies sûres et de donner aux habitants du continent les moyens de se nourrir eux-mêmes.
Pendant une génération, ils n'ont entendu que des mensonges fabriqués de toutes pièces sur la science et la technologie des OGM et de la protection des cultures. Il est temps pour eux d'entendre la vérité.
Je sais ce que c'est que de produire des aliments dans un environnement difficile. Je suis né et j'ai grandi dans une ferme en Australie Occidentale – l'une des régions agricoles les plus sèches du monde – et j'ai vu ces difficultés de première main. Je suis ensuite devenu un chercheur, puis un communicateur spécialisé dans l'agriculture sans labour. À l'âge de 47 ans, je suis redevenu agriculteur et j'ai cultivé du blé, du canola, des pois chiches et d'autres denrées.
Après avoir participé à la table ronde mondiale des agriculteurs en 2018, je me suis rendu en Afrique et j'ai pris conscience de ses défis. Je voulais faire quelque chose pour y remédier. J'ai vendu ma ferme, lancé Arise African Agriculture et déménagé. Je suis actuellement basé en République Démocratique du Congo, où je discute avec des agriculteurs, des agronomes et des scientifiques des méthodes modernes de production alimentaire courantes dans le monde.
Dans le riche Occident, les gens font souvent l'éloge de l'agriculture biologique, qu'ils considèrent comme un moyen pur et immaculé de produire des aliments sans produits chimiques. Ils sont libres de croire ce qu'ils veulent et de manger comme ils l'entendent, mais les petits exploitants agricoles africains ne bénéficient pas des mêmes choix. Ce sont souvent des agriculteurs biologiques pour la simple raison qu'ils n'ont pas accès à la technologie et qu'on leur a fait miroiter la peur de certaines technologies. En conséquence, ils souffrent beaucoup et luttent pour produire suffisamment de nourriture, de ce dont ils ont besoin pour leurs enfants.
- voir clip sur site -
RépondreSupprimerRegardez les épis de maïs dans cette vidéo que j'ai enregistrée près de la ville de Lubumbashi, dans le sud-est de la RDC. Ils sont endommagés par la chenille légionnaire d'automne, puis ils sont infectés par des champignons et des bactéries. Ces parasites réduisent le potentiel du maïs en tant que source sûre de nourriture. Ils menacent la santé humaine et animale, car ils produisent une substance chimique hautement toxique, la fumonisine, qui représente un risque pour la consommation, surtout pour les femmes enceintes.
Une solution évidente à ce problème est la culture du maïs Bt, un OGM sûr et efficace depuis 25 ans qui tue la chenille légionnaire et empêche les maladies de se déclarer. Les agriculteurs de bon nombre de pays du monde considèrent cet outil comme acquis. Combiné à des méthodes de lutte contre les mauvaises herbes sans labour, il permet de produire des récoltes abondantes en Afrique, un continent affamé.
Le problème est que de nombreux Africains ont entendu dire que les OGM et les outils de protection des cultures ne sont pas sûrs – un endoctrinement servi par des groupes non gouvernementaux qui, pour des raisons idéologiques, ne veulent pas que les agriculteurs africains adoptent l'agriculture moderne. Ils ne se soucient manifestement pas non plus de la vérité ni de la faim que leur idéologie continue d'infliger à l'Afrique et à ses enfants.
Ils ont besoin d'entendre la vérité, mais le mensonge est tellement ancré qu'il faut parfois adopter une approche moins directe. Il est nécessaire de construire une base solide et fondée sur les connaissances.
Pour leur faire comprendre la valeur des OGM dans l'agriculture, j'ai appris que la meilleure approche consiste à parler de chimie de base, de molécules et de gènes pour expliquer ce qu'ils sont et ce qu'ils ne sont pas. Je constate souvent que le public est surpris et satisfait lorsque j'arrive à décomposer une idée complexe qui va à l'encontre de ce qu'il a été amené à croire et à la présenter sous la forme d'éléments logiques de connaissances qu'il sait être vraies.
D'abord, je prends du recul et je demande : « Qu'est-ce qu'un produit chimique ? » Je définis le mot et explique ensuite que même l'eau est un produit chimique. Elle entretient la vie, mais elle peut aussi apporter la mort, si elle est consommée en trop grande quantité, ce qui entraîne une toxicité par osmose. Le problème n'est pas le produit chimique mais la taille de la dose. Je dis ensuite que l'essence est également un produit chimique important – mais nous ne la buvons pas et nous ne mettons pas d'eau dans la voiture.
Après avoir établi ces concepts, je peux commencer à établir des liens entre les produits chimiques et l'agriculture, notamment le fait que les produits de protection des plantes font appel à des produits chimiques. Nous ne devons pas les craindre, mais plutôt les utiliser de manière appropriée, ce qui inclut la protection des exploitations contre les mauvaises herbes et les parasites.
En cours de route, je m'efforce d'établir ma crédibilité en tant que courtier honnête de la science agricole. Je prends soin de souligner que je n'ai jamais vendu de produits chimiques ni de génétique pour gagner ma vie. Je leur dis aussi sincèrement que je suis un chrétien sincèrement intéressé à partager mes connaissances pour leur mieux-être. Enfin, j'encourage les questions et la discussion.
RépondreSupprimerRien n'est infaillible et mes méthodes ne font pas toujours mouche. Tel est le niveau de scepticisme que les ennemis de la science ont construit en Afrique.
Pourtant, je crois aussi qu'il est possible d'ouvrir les cœurs et les esprits à de nouvelles idées sur la production alimentaire – et sur la manière dont les Africains peuvent éliminer leur insécurité alimentaire grâce à des technologies sûres.
Comme le dit le bon livre, « vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira. ».
______________
Bill Crabtree, agriculteur, Australie Occidentale
Possède 2.800 hectares de terres arables en Australie Occidentale, à la limite de l'Outback. Cette année, il a loué 2.800 hectares supplémentaires pour 6 ans. Il cultive du blé et du canola. Partisan et chercheur de longue date de l'accès des agriculteurs aux technologies innovantes. Agronome professionnel.
Source : The Truth Can Set Africa Free and Defeat Food Insecurity – Global Farmer Network
https://seppi.over-blog.com/2021/07/la-verite-peut-liberer-l-afrique-et-vaincre-l-insecurite-alimentaire.html
Les Américains ont dépensé 1,1 billion de dollars en nourriture en 2019 – mais le coût réel de la nourriture est en réalité trois fois plus élevé
RépondreSupprimerMercredi 21 juillet 2021
par : Arsenio Toledo
(Natural News) Les Américains ont dépensé plus de 1,1 billion de dollars en nourriture en 2019. Mais le coût réel de la nourriture est en réalité trois fois plus élevé.
Les 1,1 billion de dollars américains dépensés en nourriture comprennent les coûts de production, de transformation, de vente et d'achat de la nourriture. Cette étiquette de prix a été incluse dans le rapport de la Fondation Rockefeller intitulé « Coût réel de l'alimentation : mesurer ce qui compte pour transformer le système alimentaire américain ».
"Notre système alimentaire génère d'immenses" coûts cachés "de son impact sur la santé humaine, l'environnement et les inégalités sociales et économiques", ont écrit les auteurs du rapport.
Selon le rapport, si les Américains prenaient en considération une variété de « coûts externalisés », le montant total dépensé pour la nourriture augmenterait de plus de 2 100 milliards de dollars. Cela signifie que les Américains ont en fait dépensé au moins 3,2 billions de dollars en nourriture en 2019. Certains des coûts externalisés pris en compte par la Fondation Rockefeller incluent les impacts sur la santé, la pollution, l'insécurité alimentaire, la biodiversité, les conditions de travail et les moyens de subsistance et même la résistance aux antimicrobiens entraînée par l'utilisation généralisée de antibiotiques en agriculture.
Écoutez cet épisode de mise à jour de la situation du rapport Health Ranger, un podcast de Mike Adams, le Health Ranger, alors qu'il explique comment la sécheresse que connaît l'ouest de l'Amérique du Nord contribue à l'effondrement inévitable de l'approvisionnement alimentaire.
Les Américains paient les coûts externes de la nourriture par d'autres moyens
Selon le rapport de la Fondation Rockefeller, les « coûts cachés » que les Américains paient pour leur nourriture ne figurent pas sur les reçus.
« Et, si nous ne changeons pas notre système alimentaire, les générations futures paieront également des coûts élevés », a écrit la fondation.
Le coût externalisé le plus important est la santé. Les Américains ont dépensé plus de 1 000 milliards de dollars chaque année en frais de santé. Environ 604 milliards de dollars de ces dépenses supplémentaires peuvent être attribués à des maladies liées à l'alimentation et à l'alimentation telles que le diabète, l'hypertension et le cancer. Après avoir pris en compte les coûts médicaux directs attribuables à l'alimentation et à la perte de productivité, l'obésité à elle seule a entraîné 359 milliards de dollars supplémentaires de coûts externalisés supplémentaires pour les soins de santé. L'agriculture et l'élevage modernes, qui entraînent la pollution de l'air et des sols et la dégradation des sols, ont représenté environ 350 milliards de dollars de coûts externalisés. Les problèmes liés à l'appauvrissement de la biodiversité ont coûté aux Américains 455 milliards de dollars supplémentaires.
RépondreSupprimerLes Américains ajoutent encore 134 milliards de dollars au coût réel de la nourriture en raison des coûts de subsistance non comptabilisés. Cela inclut les personnes occupant des emplois avec des salaires « invivables » et des avantages sociaux inadéquats, y compris l'assurance maladie et la garde d'enfants. Les risques professionnels chez les travailleurs de l'alimentation sont également pris en compte à cet égard.
"Ne pensez pas que nous obtenons une bonne affaire ici", a déclaré l'organisation dans une vidéo qu'elle a publiée sur ses comptes de médias sociaux qui ont annoncé le rapport. « En fait, nous sommes pressés. La société paie ce solde non pas de nos poches mais par d'autres moyens. » (Connexe : Les supermarchés s'approvisionnent en nourriture en prévision des perturbations de la chaîne d'approvisionnement, de l'inflation des prix.)
Les communautés minoritaires souffrent davantage d'un système alimentaire non durable
La Fondation Rockefeller a souligné que les « communautés de couleur » supportaient un « fardeau disproportionné » des coûts externalisés. Selon le rapport, les taux de diabète par rapport aux Américains blancs sont 1,7 fois plus élevés pour les communautés hispaniques et 1,5 fois plus élevés pour les communautés afro-américaines.
Les communautés afro-américaines sont beaucoup plus durement touchées. Les Noirs américains sont 25 % plus exposés à la pollution que la moyenne nationale et 41 % plus exposés à la pollution que les communautés blanches. De plus, les communautés amérindiennes étaient 19 fois plus susceptibles d'avoir un accès réduit à l'eau et à l'assainissement que les Américains blancs.
« Ce rapport est un signal d'alarme », a déclaré Rajiv J. Shah, président de la Fondation Rockefeller. « Le système alimentaire américain tel qu’il est actuellement affecte négativement notre environnement, notre santé et notre société. »
« Pour résoudre un problème, nous devons d'abord comprendre son étendue. Les données de ce rapport révèlent non seulement les impacts négatifs du système alimentaire américain, mais aussi les mesures que nous pouvons prendre pour le rendre plus équitable, résilient et nourrissant. »
Apprenez-en plus sur les différentes vulnérabilités des systèmes alimentaires des États-Unis en lisant les derniers articles sur FoodCollapse.com.
Les sources comprennent :
EcoWatch.com
Indépendant.co.uk
Statista.com
Fondation Rockefeller.org
https://www.naturalnews.com/2021-07-21-americans-spent-trillions-food-true-cost-bigger.html
Une étude suit à la trace la valeur des aliments de la ferme à l'assiette dans le monde entier
RépondreSupprimer21 Juillet 2021
AGDAILY reporters*
Dès qu'un épi de maïs est arraché de sa tige, ou qu'une pomme de terre est arrachée du sol, il parcourt une distance de quelques kilomètres, voire traverse plusieurs continents, et subit parfois une multitude de processus qui le transforment en aliments que nous consommons.
Ces kilomètres et ces processus contribuent tous à ce que l'on appelle la chaîne de valeur alimentaire (CVA), le long de laquelle, comme on peut s'y attendre, la valeur du produit augmente. Cependant, la plupart des recherches et de l'attention accordées jusqu'à présent à la chaîne de valeur alimentaire se situent aux extrémités de la chaîne – dans la ferme et dans l'assiette du consommateur.
On en sait moins sur tous les autres maillons de la chaîne, en partie à cause du manque de données et de méthodes normalisées pouvant être appliquées universellement. De nombreuses études ont été réalisées sur des produits individuels ou dans un seul pays, mais l'élaboration d'une méthode internationale d'analyse des chaînes de valeur ajoutée a été difficile jusqu'à présent.
Une équipe de chercheurs – dirigée par M. Chris Barrett, titulaire de la chaire Stephen B. et Janice G. Ashley à la Charles H. Dyson School of Applied Economics and Management, et M. Miguel Gómez, titulaire de la chaire Robert G. Tobin à Dyson – a mis au point la méthode du « Global Food Dollar », qui répartit le dollar d'achat net du consommateur entre toutes les activités agricoles et au-delà.
L'étude « The Overlooked Magnitude of Post-Farmgate Food Value Chains » (l'importance négligée de la chaîne de valeur alimentaire au-delà de la ferme) a été rédigée et développée dans le cadre d'un partenariat avec le Service de Recherche Économique (ERS) du Département Américain de l'Agriculture, dirigé par M. Patrick Canning, co-auteur de l'étude.
« L'élément clé, de mon point de vue, est que l'immense majorité de la valeur ajoutée se produit au-delà de l'exploitation agricole », a déclaré M. Barrett. « Les gens en viennent à penser que les questions alimentaires sont des questions agricoles. Et les questions agricoles sont importantes, mais elles sont comparativement moins importantes que la plupart des gens ne le pensent. Et elles perdent de plus en plus d'importance au fil du temps. »
Leur méthodologie s'appuie sur la « série des dollars alimentaires » de l'ERS, publiée chaque année depuis 1947 mais mise à jour par M. Canning en 2011 pour inclure les intrants modernes. M. Gómez travaille depuis plusieurs années avec M. Canning à l'élargissement de la série des dollars alimentaires américains afin d'y inclure les flux de ressources naturelles et les impacts environnementaux, comme l'eau ou les émissions de gaz à effet de serre. Les récents travaux de M. Barrett sur l'évolution des chaînes de valeur agroalimentaires à l'échelle mondiale ont conduit à cette collaboration pour développer et appliquer une nouvelle méthode.
RépondreSupprimer« Les gens ne comprennent vraiment pas comment l'argent des consommateurs est réparti, que ce soit entre les propriétaires des terres et de la propriété intellectuelle et les travailleurs, ou entre les acteurs des différentes étapes de la chaîne de valeur », a déclaré M Barrett. « Et ils ne savent pas comment cela diffère selon les pays. [...] Combien êtes-vous susceptible d'obtenir si vous êtes un Sysco et que vous envisagez d'entrer sur un marché pour servir d'intermédiaire dans la livraison de nourriture en gros ? »
« Nous avons beaucoup de données sur la production alimentaire et la consommation alimentaire », a déclaré M. Gómez, « mais pas beaucoup entre les deux. Et c'est important, car 80 % à 85 % de la valeur est créée au-delà de la ferme. »
Pour cette recherche, l'équipe a utilisé des données recueillies de 2005 à 2015 dans 61 pays, représentant 90 pour cent de l'économie mondiale. Ils ont estimé la part de l'agriculture nationale dans les dépenses des consommateurs nationaux en matière de « nourriture à domicile », de « nourriture et tabac à domicile » et de « nourriture et hébergement hors domicile », à l'aide d'un modèle de multiplicateur d'entrées-sorties.
Ils ont constaté que les agriculteurs reçoivent, en moyenne, 27 % des dépenses de consommation sur les aliments consommés à domicile, et un pourcentage beaucoup plus faible, à peine 7 %, sur les aliments consommés à l'extérieur (dans les restaurants, par exemple). Et plus le revenu des pays augmente, plus cette part diminue.
- voir graphiques sur site -
Leurs conclusions mettent en évidence deux constantes dans les économies alimentaires :
Plus les revenus des consommateurs augmentent, plus les gens gravitent vers les villes et s'éloignent des fermes, et plus ils sont disposés à payer pour la commodité et d'autres attributs non nutritionnels, ce qui modifie la structure de la demande.
La physiologie humaine dicte que les gens auront toujours besoin d'aliments nutritifs, quel qu'en soit le prix. En conséquence, écrivent les auteurs, « les gains de productivité à la ferme font généralement baisser les prix à la production ».
L'effet de la CVA sur la main-d'œuvre après la sortie de la ferme reflète l'effet économique : en 2017, l'industrie des services alimentaires représentait environ cinq fois plus d'emplois que le secteur agricole.
L'une des principales conclusions, selon M. Barrett, est qu'il faut mener davantage de recherches sur tous les maillons du milieu de la chaîne de valeur.
« Les grands acteurs économiques de la nourriture que nous consommons ne sont pas en fait les producteurs primaires des exploitations agricoles », a déclaré M. Barrett. « Ainsi, lorsque nous réfléchissons aux questions alimentaires, nous devrions peut-être passer un peu plus de temps à réfléchir à ce qui se passe dans la chaîne de valeur après la sortie de l'exploitation, avec les transformateurs, les fabricants, les grossistes, les détaillants et les restaurants. »
RépondreSupprimer______________
* Source : Study tracks food’s value from farm to plate globally | AGDAILY
https://seppi.over-blog.com/2021/07/une-etude-suit-a-la-trace-la-valeur-des-aliments-de-la-ferme-a-l-assiette-dans-le-monde-entier.html
Les économies de monnaie fiduciaire sont construites sur des mensonges
RépondreSupprimerMercredi 21 juillet 2021
par : rédacteurs en chef
(Natural News) De temps en temps, il est utile de prendre du recul pour avoir une perspective plus large sur les choses, de regarder au-delà de l'actualité financière quotidienne, de voir à travers les hauts et les bas à court terme du marché pour savoir ce qui est vraiment au coeur du sujet. Si nous faisons cela, nous ne manquerons pas le fait que nous vivons à l'ère des monnaies fiduciaires, un monde dans lequel fondamentalement tout porte leurs empreintes : le système économique et financier, la politique - même les normes culturelles, les valeurs et la morale des gens pas échapper aux conséquences plus larges des monnaies fiduciaires.
(Article de Thorsten Polleit republié à partir de Mises.org)
Vous ne le remarquerez peut-être pas dans votre utilisation quotidienne des monnaies fiduciaires - c'est-à-dire, par exemple, lorsque vous recevez des salaires, achetez des biens et services, remboursez des hypothèques, déposez de l'argent à la banque à des fins d'épargne - que quelque chose ne va vraiment pas avec les monnaies fiduciaires, que ce soit sous la forme du dollar américain, de l'euro, du renminbi chinois, du yen japonais, de la livre sterling ou du franc suisse. Cependant, la vérité est que toutes ces monnaies fiduciaires souffrent de graves défauts économiques et éthiques, qui ne sont en fait pas difficiles à comprendre.
Les monnaies Fiat sont produites par les banques centrales et l'expansion du crédit des banques commerciales. En fait, les banques centrales de mèche avec les banques commerciales augmentent l'encours de la masse monétaire en accordant des prêts aux entreprises, aux ménages privés et aux entités gouvernementales. Cela revient à créer de l'argent à partir de rien ou, en quelque sorte, de la contrefaçon. L'émission de nouvelles monnaies fiduciaires déclenche un boom, une illusion de prospérité. La consommation et l'investissement se développent, l'économie bénéficie d'une augmentation des bénéfices des entreprises, d'une augmentation de l'emploi, de la hausse des stocks, des prix des logements, etc.
Tôt ou tard, le boom doit se transformer en buste. Pourquoi ? Eh bien, l'émission de nouvelles monnaies fiduciaires fondée sur le crédit fausse les taux d'intérêt du marché. Elle abaisse artificiellement le taux d'intérêt du marché en dessous de son « niveau naturel », faisant baisser l'épargne, augmenter la consommation et, en plus, déclencher des investissements supplémentaires. Rien de tout cela ne se serait produit de cette manière sans l'injection de nouvelle monnaie fiduciaire dans le système économique et financier, basée sur le crédit. Le boom amène la surconsommation et le mauvais investissement ; l'économie vit au-dessus de ses moyens.
À un moment donné, le boom s'effondre, quel qu'en soit le déclencheur, les banques durcissant leurs normes de prêt, les emprunteurs faisant défaut sur leur dette, les entreprises accusant des pertes, une crise géopolitique faisant paniquer les gens. Pour éviter que le système de monnaie fiduciaire ne s'effondre dans une telle situation, les banques centrales abaissent encore plus les taux d'intérêt et injectent de nouveaux crédits et de l'argent dans le système financier. L'astuce fonctionne le plus souvent, et le buste qui se déploie est transformé en un autre boom. Cela a cependant un prix : la grande majorité de la population souffrira d'une inflation encore plus élevée des prix des biens.
RépondreSupprimerLa monnaie fiduciaire ne provoque pas seulement des crises financières et économiques ; il est également très inflationniste. L'expansion incessante de la quantité de monnaie fiduciaire entraîne une baisse du pouvoir d'achat de l'unité monétaire au fil du temps. De plus, augmenter la quantité de monnaie fiduciaire crée des gagnants et des perdants, ce n'est pas un jeu gagnant-gagnant : les premiers receveurs de la nouvelle monnaie en profitent au détriment des receveurs tardifs. Elle conduit à une répartition injuste et asociale des revenus et des richesses au sein de la société. Enfin et surtout, la monnaie fiduciaire rend les économies toujours plus endettées.
Les gouvernements, en particulier, profitent de leur accès pratiquement illimité au crédit et à la monnaie fournis par les banques centrales. Leur autonomisation financière permet de financer toutes sortes d'extravagances politiques – dépenses sociales et de guerre – rendant l'État toujours plus grand et plus puissant au détriment des libertés et des libertés de l'individu. La vérité est que la monnaie fiduciaire est l'élixir même pour que l'État devienne vraiment grand et vraiment profond. Malheureusement, cette vérité a tendance à rester cachée au grand public ; elle n'est pas abordée dans les manuels d'économie et les séminaires universitaires.
Il existe toutes sortes de motifs à l'œuvre lorsqu'il s'agit d'analyser et d'évaluer les mérites du régime de la monnaie fiduciaire, de l'ignorance aux mensonges purs et simples. Cependant, une économie saine révèle que l'utilisation de monnaies fiduciaires cause des problèmes majeurs : il peut parfois être possible de reporter l'inévitable effondrement, si, par exemple, les banques centrales abaissent les taux d'intérêt du marché à pratiquement zéro pour cent et garantissent les marchés du crédit. Mais ce faisant, les problèmes sous-jacents ne seront pas résolus ; ils deviendront encore plus gros, mais les gens sont trompés sur ce qui se passe réellement.
Dans ce contexte, nous ne parlons pas seulement de la récurrence des crises financières et économiques. L'économiste autrichien Ludwig von Mises (1881-1973) prévoyait que l'utilisation de la monnaie fiduciaire (il parlait de moyens fiduciaires) détruirait le marché libre et l'ordre sociétal (ou le peu qu'il en reste) : « Ce serait une erreur de supposer que l'organisation moderne de l'échange doit continuer d'exister. Elle porte en elle le germe de sa propre destruction ; le développement du support fiduciaire doit nécessairement conduire à sa rupture. »1
Il est difficile de prédire comment le système financier, économique et politique mondial se développera, surtout au vu des problèmes considérables que pose l'utilisation de la monnaie fiduciaire. Ce que nous savons, cependant, c'est que les banques centrales ont créé un empire de la tromperie en matière de politique monétaire. L'investisseur prudent a donc de bonnes raisons de s'attendre à plus d'inflation à terme, c'est-à-dire à une baisse accélérée du pouvoir d'achat de la monnaie, qui se manifestera sous la forme d'une hausse des prix des biens de consommation et/ou des actifs, car l'augmentation de l'inflation être considérée comme la politique du moindre mal du point de vue des gouvernants et des gouvernés.
RépondreSupprimerEn fin de compte, la politique de gonflage de la masse monétaire est une stratégie visant à saper le marché libre et le système sociétal, pour ses effets négatifs : augmentation des prix de la nourriture, de l'énergie et du logement ; croissance économique plus faible; la baisse du niveau de vie de la majorité des gens – sera très probablement, à tort ou avec perfidie, imputée au « capitalisme ». Ceci, à son tour, permettra à l'État de détruire davantage le peu qui reste du système de marché libre via les impôts, la réglementation, etc. Compte tenu de la réémergence des idées socialistes-marxistes dans le monde occidental, il ne devrait donc pas être considéré comme un surprise que les banques centrales adoptent de plus en plus la politique de hausse de l'inflation.
Read more at: Mises.org and MoneySupply.news.
https://www.naturalnews.com/2021-07-21-fiat-money-economies-are-built-on-lies.html
Coup de chaud sur les tarifs d’électricité
RépondreSupprimerLe prix de l’électricité a augmenté de 50 % en 10 ans, davantage que l’inflation, et plus particulièrement ces 3 dernières années.
Par Michel Gay.
22 JUILLET 2021
Après la hausse de 10 % des prix du gaz pour les particuliers au 1er juillet 2021, et celle de 0,48 % de l’électricité prévu pour le 01 août 2021, la facture d’électricité pourrait augmenter de 6 % début 2022. Le gouvernement et le régulateur de l’énergie s’inquiètent enfin…
LE GOUVERNEMENT S’ALARME… POUR LA PRÉSIDENTIELLE
Les prix sur le marché de l’électricité étaient restés relativement bas ces dernières années, autour de 50 euros par mégawattheure (MWh). Mais ils ont dernièrement grimpé de 50 % pour atteindre 75 euros/MWh, dans le sillage de ceux du pétrole et du prix du carbone. Cette tendance haussière devrait se poursuivre. Un prix de 100 euros/MWh est même envisagé à la fin 2021.
Or, le mois de décembre 2021 servira de référence dans le calcul du prix qui sera appliqué au 1er février 2022, et les tarifs pourraient encore augmenter de 6 % en février 2022 par rapport à cette année.
Cette forte hausse des tarifs de l’électricité en pleine campagne présidentielle ne serait pas du meilleur effet… alors que l’électricité devient de plus en plus vitale. Le sujet est donc sensible « en haut lieu ».
Hors TVA, les taxes pèsent aujourd’hui trois fois plus sur le prix de l’électricité qu’en 2008.
Les ministères réfléchissent à plusieurs solutions pour masquer « un certain temps » les véritables coûts de la transition énergétique gouvernementale fondée à tort sur les énergies renouvelables intermittentes (EnRI).
L’une d’elle consisterait à baisser la taxe « contribution au service public de l’électricité » (CSPE) qui, jusqu’en 2016, finançait essentiellement les éoliennes et les panneaux solaires. Elle est aujourd’hui bloquée à 2,25 c€/kWh, et versée directement dans le budget de l’Etat.
Le ministère de l’Écologie semble favorable à cette baisse de la CSPE, alors que le ministère de l’Économie traîne des pieds car le déficit budgétaire explose à cause de la Covid-19.
Ces « folies renouvelables » devant bien être financées par quelqu’un, ces taxes pour les subventionner sont dorénavant réparties sur tous les produits pétroliers (carburants, gaz…) pour être mieux dissimulées…
La CSPE ne sert donc plus à financer les énergies renouvelables car cette taxe trop visible gonflait à vue d’œil les factures d’électricité (+ 550 % (!) entre 2002 et 2015).
ET LE CONSOMMATEUR ?
RépondreSupprimerDe plus, ces dernières années, les cours mondiaux faibles ont masqué l’augmentation des taxes. Mais si l’offre se raréfie en Europe (fermeture de centrales à charbon et de deux réacteurs nucléaires en parfait état de fonctionnement à Fessenheim) et que la demande augmente, ainsi que les subventions aux EnRI, alors les prix vont grimper !
Certains « décroissants » qui n’aspirent qu’à une réduction de la consommation par la contrainte (des prix élevés dissuasifs en sont une) vont se réjouir…
Paradoxalement, l’augmentation des prix de marché diminue le montant des subventions distribuées aux opérateurs d’énergies renouvelables (tout de même 5 milliards d’euros prélevés sur les consommateurs cette année contre 7 milliards l’an passé).
Mais si le prix de marché est plus élevé, où est le bénéfice pour le consommateur de la baisse d’une taxe compensée par une hausse des prix ?
Le sujet promet d’échauffer les esprits, surtout lorsqu’il faudra expliquer les véritables raisons de cette hausse que les militants écologistes antinucléaires s’empresseront d’attribuer comme d’habitude au nucléaire.
Déjà, début 2017, quelques mois avant l’élection présidentielle, la ministre de l’Écologie Ségolène Royal avait tenté sans succès de bloquer une augmentation de prix car elle pense toujours que la politique est plus forte que l’économie…
DÉPOSSÉDER ENCORE DAVANTAGE EDF ?
Une autre fausse « solution » consisterait à augmenter la quantité d’électricité nucléaire vendue par EDF à ses concurrents « verts » (Total, Engie…). Aujourd’hui, la loi oblige EDF à céder un quart de sa production nucléaire, soit 100 TWh, au prix bas de 42 euros/MWh, inférieur au prix actuel de marché.
Cette « option » appauvrirait encore davantage EDF au profit de ses concurrents sans aucun bénéfice pour les consommateurs puisque la production d’électricité, et donc l’offre, restera la même.
Quel est l’intérêt de cette pseudo-solution destinée uniquement à éviter la faillite des concurrents d’EDF qui ne produisent rien, ou presque ?
L’entreprise EDF serait spoliée de sa production et financièrement pénalisée. Elle aimerait certainement profiter de ses propres investissements judicieux dans le nucléaire et garder sa production d’électricité nucléaire à bas coûts pour la revendre au prix élevé du marché et engranger le résultat de ses efforts.
La hausse des prix sera inévitable, soit sur l’électricité, soit diluée sur une multitude d’autres produits courants comme le carburant par exemple afin de masquer le gâchis des milliards d’euros dilapidés chaque année dans les orientations énergétiques délirantes des gouvernements français successifs depuis 15 ans…
Le prix de l’électricité a augmenté de 50 % en 10 ans, davantage que l’inflation, et plus particulièrement ces trois dernières années.
Alors que le coût de production des centrales nucléaires est resté faible, comment expliquer cette faramineuse augmentation que certains attribuent « évidemment » à la Covid ?
Serait-il politiquement incorrect de suggérer, comme l’a fait la Cour des comptes en 2018, que les coûts gigantesques du développement des énergies renouvelables (hors hydroélectricité) n’y est pas étranger ?
L’augmentation du prix de l’électricité, « en retard sur l’Allemagne » dont le prix pour les particuliers est encore le double de celui de la France, risque de donner un coup de chaud au gouvernement, au moins jusqu’au printemps 2022…
https://www.contrepoints.org/2021/07/22/402052-coup-de-chaud-sur-les-tarifs-delectricite