- ENTREE de SECOURS -



mercredi 25 septembre 2019

Deepfakes: « Nous ne sommes plus qu’à 6 à 12 mois de fausses vidéos totalement crédibles »

https://www.youtube.com/watch?time_continue=20&v=b5AWhh6MYCg

32 commentaires:

  1. Deepfakes: « Nous ne sommes plus qu’à 6 à 12 mois de fausses vidéos totalement crédibles »


    Dominique Dewitte
    25 septembre 2019


    Nous ne sommes plus qu’à un maximum de 6 à 12 mois avant l’arrivée de deepfakes (des vidéos truquées) totalement crédibles et pratiquement indétectables. C’est ce qu’a expliqué le spécialiste chinois du deepfake Hao Li en marge d’une conférence organisée par le Massachusetts Institute of Technology.

    Bien que le danger posé par les deepfakes ne peut être estimé à sa juste valeur, les conséquences potentielles restent énormes. Dans son livre « 21 leçons pour le XXIe siècle », le philosophe et penseur israélien Yuval Harari écrit que la démocratie repose sur la prise de décisions rationnelles. Nos cerveaux confrontent le bien et le mal et se forment ensuite une opinion. Sur cette base, nous donnons notre vote à un parti ou à un autre.

    Mais le 21ème siècle entrera dans l’histoire comme le début d’une ère où les possibilités de manipuler la vérité atteignent un niveau sans précédent. Les Deepfakes n’en sont qu’un exemple. Le degré d’ingéniosité dont font preuve les gens, les entreprises et les gouvernements pour nous bombarder de fausses informations est invisible. L’illusion que notre instinct nous montrera le droit chemin s’évanouit.

    Un autre exemple de deepfake est une vidéo dans laquelle la tête de l’actrice Alison Brie a été remplacée par celle de l’acteur Jim Carrey.

    Hao Li avait précédemment déclaré que les deepfakes parfaits se trouvaient encore à des années-lumières, mais les récents développements, y compris la percée de la populaire application chinoise Zao, l’ont obligé à réviser cette prédiction.

    «En 2025, personne ne saura ce qui est vrai ou faux sur Internet. Facebook, Twitter et Google cesseront d’exister »
    A la fin de l’année dernière, le guide pessimiste 2018 de l’agence de presse Bloomberg contenait des prévisions remarquables pour l’avenir. «En 2025, personne ne saura ce qui est vrai ou faux sur Internet. Facebook, Twitter et Google cessent d’exister.” Mais cela ne devrait finalement pas prendre autant de temps.

    Lors de la conférence du MIT, Li lui-même a présenté une vidéo truquée du président russe Poutine. Il ne voulait pas induire le public en erreur, mais plutôt montrer à quel point la technologie est avancée aujourd’hui.

    La manipulation devient de plus en plus facile

    « En fait, nous savons déjà comment fabriquer ces deepfakes [parfaits]« , a déclaré Li Hao. « Perfectionner la manipulation des images n’est qu’une question de temps et de ressources, et cela devient de plus en plus facile. Nous assistons à une course aux armements entre la manipulation d’images numériques et les moyens de la démasquer », a-t-il déclaré dans le Financieele Dagblad. « Et les deux parties s’appuient sur le développement d’algorithmes à intelligence artificielle. »

    La mauvaise nouvelle est que Li pense qu’il finira par gagner la course. « Et le moment venu, nous devons être bien conscients que toutes les vidéos que nous voyons ne sont pas nécessairement vraies. »

    Les conséquences de cette technologie sur ce que nous supposons être vrai ou faux restent une question sans réponse. Mais peut-être que nous ferions bien de commencer à y penser.

    https://fr.express.live/deepfakes-credibles-menace/

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    1. Ce sont presque tous les métiers du cinéma qui seront touchés (-coulés ?). Ne demeureront que les scénaristes oubliés volontairement aux génériques par le 7è Art !

      Achèteriez-vous un livre où seulement le nom de l'éditeur/imprimeur et le titre figurent ? Certainement pas, or, au cinéma, le nom du scénariste ne figure même pas en-tête d'affiche !

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  2. Une «guerre des drones» fait-elle rage entre la police et la gendarmerie françaises ?


    22:47 25.09.2019


    Lors du sommet du G7, un drone de surveillance de la Police aux frontières a été neutralisé. Celle-ci en accuse la gendarmerie nationale, révèle LCI.

    Une affaire datant du sommet du G7 génère des tensions entre la police et la gendarmerie nationales, selon LCI. Le 24 août à Hendaye, gendarmes et policiers étaient à leur poste pour éviter des débordements au vu des manifestants anti-G7 à proximité. D’après plusieurs sources de la chaîne française, c’est la Police aux frontières (PAF) qui était en charge, à l’aide d’un drone, de surveiller la bourgade et ses environs.

    D’après le média, peu après 13 heures, l’armée de l’air a signalé la présence dans le ciel d’un drone non-identifié. Selon les règles énoncées en marge du sommet, seul un drone de la PAF était autorisé à survoler la zone. C’est alors que les versions commencent à diverger. D’abord, le drone est identifié comme celui des militaires de la gendarmerie. Ceux-ci démentent et craignent alors qu’il s’agisse d’un drone «ennemi», visant à potentiellement commettre un attentat.

    Vers 13h15, le pilote du drone de la PAF perd soudainement le contrôle de l’engin. Il parvient tout de même à le faire poser sans l’abîmer, car l’appareil coûte quand même 30.000 euros. Le drone a vraisemblablement reçu de puissantes ondes électriques visant à le neutraliser. La PAF en est certaine: ce sont les gendarmes qui ont ordonné le tir.

    Les gendarmes, quant à eux, ont affirmé à LCI avoir alerté la police qu’ils s’apprêtaient à neutraliser un drone non-identifié.

    Toujours selon la chaîne d’informations, un deuxième drone policier au-dessus de Biarritz a également été «brouillé», sans aucune autre explication. L’armée, les forces de l’ordre et le Secret Service américain nient toute implication dans cet incident.

    Depuis cette histoire, gendarmerie et police rejettent la faute l’une sur l’autre, assure LCI. D’après plusieurs sources policières, une plainte pourrait être déposée devant la justice pour faire la lumière sur cette affaire.

    https://fr.sputniknews.com/france/201909251042159261-une-guerre-des-drones-fait-elle-rage-entre-la-police-et-la-gendarmerie-francaises/

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  3. En Jordanie, la pénurie d’eau devient catastrophique, et une menace pèse sur la mer Morte


    21:35 25.09.2019


    La Jordanie est le 5e pays du monde le plus pauvre en eau. La pénurie d’eau s’y est aggravée, entre autres, par le changement climatique, l’ensablement du Jourdain, la croissance démographique et l’afflux de migrants. Sputnik a discuté du problème avec des spécialistes jordaniens.

    Avec son climat aride, la Jordanie est en déficit permanent d’eau potable, et la situation y devient chaque année plus critique. Les précipitations sont rares et très inégalement réparties sur le territoire du royaume. Par ailleurs, elles varient fortement d’une année à l’autre. L'eau se raréfie de plus en plus, alors que les besoins augmentent. Aussi, la Jordanie développe-t-elle des stratégies pour collecter, stocker et distribuer toutes les sources d'eau dont elle dispose.

    Dessalement de l'eau

    «La désalinisation est la seule issue de la situation. Elle pourrait résoudre le problème d’approvisionnement en eau des régions éloignées. Néanmoins, c’est un projet très compliqué qui nécessite d’immenses investissements, de puissantes sources d’énergie et la mise en place d’une nouvelle infrastructure», a indiqué à Sputnik Ilyas Salamah, professeur à l’université de Jordanie.

    Gaida al Abdallat, spécialiste jordanienne en matière de ressources hydrauliques et d’environnement, a annoncé à Sputnik que des projets étaient actuellement à l’étude pour retraiter des eaux usées, dessaler l’eau de mer et revoir les accords sur les quotas pour les eaux du Jourdain entre la Syrie, la Jordanie et Israël.

    «La Jordanie est en droit d’en revendiquer le même quota que ses pays voisins. Il est tout aussi important d’implanter dans l’agriculture les dernières technologies de dépense d’eau», a souligné la Jordanienne.

    La mer Morte est menacée

    Selon cette dernière, la pénurie d’eau se répercute aussi sur l’état de la mer Morte qui est un lac salé du Proche-Orient, partagé entre Israël, la Jordanie et la Palestine et alimenté par le Jourdain.

    Selon les rapports des organisations jordaniennes de protection de l’environnement, le niveau d’eau de la mer Morte baisse chaque année de 1,5 mètre. Les experts constatent que le projet israélien visant à détourner les eaux du Jourdain vers le désert du Néguev a beaucoup affecté la mer Morte.

    La Jordanie est en bout de chaîne et est par conséquent dépendante de ses voisins, les eaux du Jourdain étant en partie captées en amont par Israël. Le manque d'eau en Jordanie est tel que le pays traite les eaux usées dans des stations d’épuration pour les réutiliser. La population jordanienne a pris l'habitude de récolter l'eau de pluie sur les toits plats des maisons. Mais cette récolte n'est qu'une petite goutte d'eau pour le pays.

    https://fr.sputniknews.com/sci_tech/201909251042159078-en-jordanie-la-penurie-deau-devient-catastrophique-et-une-menace-pese-sur-la-mer-morte-/

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    1. (...) Néanmoins, c’est un projet très compliqué qui nécessite d’immenses investissements, de puissantes sources d’énergie et la mise en place d’une nouvelle infrastructure», a indiqué à Sputnik Ilyas Salamah, professeur à l’université de Jordanie. (...)

      Ce qui est totalement FAUX ! Faux car, elle possède des centrales électrique à pétrole qui dessalent gratuitement des millions de litres d'eau sales par jour !

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  4. Les contrôles de protection sociale deviennent mortels: vous voudrez peut-être réfléchir à deux fois avant d'appeler les flics


    par Tyler Durden
    Mer., 25/09/2019 - 23:50
    Écrit par John Whitehead via le Rutherford Institute,


    «Toute personne qui s’occupe d’une personne ayant une déficience intellectuelle, ainsi que des personnes handicapées [vit] tous les jours dans la crainte que leur comportement ne soit mal interprété comme suspect, intoxiqué ou hostile par les forces de l’ordre.»

    - Steve Silberman, le New York Times

    Réfléchissez bien avant d'appeler les flics pour procéder à une vérification de l'aide sociale d'un être cher.

    Surtout si cette personne est autiste, malentendante, malade mentale, âgée, atteinte de démence, handicapée ou si son état de santé l’empêche de comprendre, de communiquer ou de se conformer immédiatement à une ordonnance.

    Surtout si vous appréciez la vie de cette personne.

    À un moment où de plus en plus de personnes non armées sont tuées pour avoir simplement tenu une certaine manière, ou bougé d'une certaine manière, ou détenu quelque chose - n'importe quoi - que la police pourrait interpréter à tort comme une arme à feu, ou suscitant une peur centrée sur la gâchette l'esprit d'un policier qui n'a rien à voir avec une menace réelle pour sa sécurité, même les rencontres les plus bénignes avec la police peuvent avoir des conséquences fatales.

    Malheureusement, la police - formée dans le pire des cas et donc prête à tirer et à poser des questions plus tard - pose de plus en plus de risques pour les personnes aux prises avec une crise de santé mentale ou ayant des besoins particuliers et dont les incapacités peuvent ne pas apparaître immédiatement ou nécessiter plus de finesse que la situation habituelle. tactique de gel ou de tir employée par les forces de police américaines.

    Récemment récemment, en effet, Gay Plack, une Virginie âgée de 57 ans qui souffrait de trouble bipolaire en Virginie, a été tuée après que deux policiers - envoyés en vue de vérifier son bien-être - soient entrés chez elle sans y être invités, ont erré dans la maison en criant son nom. ouvrit la porte de sa chambre verrouillée, découvrit la femme terrifiée qui se cachait dans une salle de bains sombre et brandissait une petite hache. Quatre secondes plus tard, elle lui tira une balle dans le ventre.

    Quatre secondes

    C’est tout le temps qu’il a fallu aux deux policiers chargés de contrôler Plack de décider d’utiliser une force meurtrière contre elle (les deux policiers ont ouvert le feu sur la femme), plutôt que d’utiliser des options non létales (un policier avait un Taser, pas tenté d’utiliser) ou de tenter de désamorcer la situation.

    Le chef de la police a défendu les actes de ses officiers, affirmant qu'ils n'avaient "pas d'autre choix" que de tirer sur une femme atteinte du syndrome du canal carpien de 5 pieds 4 pouces qui a dû quitter son travail dans un magasin d'encadrement parce que sa main était trop faible pour pouvoir l'utiliser. machine qui coupe les tapis. "

    C'est ce qui se passe lorsque vous donnez à la police le pouvoir d'agir en tant que juge, jury et bourreau.

    C’est ce qui se produit lorsque vous incitez la police à croire que sa vie et sa sécurité sont primordiales pour quiconque.

    Tout à coup, tout le monde et tout le reste est une menace qui doit être neutralisée ou éliminée.

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  5. À la lumière des derniers efforts du gouvernement pour prédire qui pourrait constituer une menace pour la sécurité publique sur la base de données de capteurs de santé mentale (suivis par des données portables telles que FitBits et Apple Watches et surveillés par des agences gouvernementales telles que HARPA, la «Health Advanced Research Projects Agency». ”), Les contacts avec la police pourraient devenir encore plus meurtriers, surtout si ceux-ci sont atteints d'une maladie mentale ou d'un handicap.

    En effet, les personnes handicapées représentent entre le tiers et la moitié des personnes tuées par des agents de la force publique.

    Selon une étude de la Fondation de la famille Ruderman, «les personnes handicapées constituent la majorité des personnes tuées dans des cas de recours à la force qui attirent une grande attention. Cela est vrai tant pour les cas considérés comme illégaux ou contraires à la politique que pour ceux dans lesquels les agents sont finalement totalement exonérés (…) De nombreux autres civils handicapés subissent des violences non létales et des abus de la part d'agents des forces de l'ordre.

    Par exemple, Nancy Schrock a appelé le 911 pour obtenir de l’aide après que son mari, Tom, qui souffrait de problèmes de santé mentale, a commencé à traquer dans la cour arrière, renversant des chaises et criant au sujet des démons. Plusieurs fois auparavant, la police avait transporté Tom à l'hôpital, où il avait été soigné et renvoyé chez lui après 72 heures. Cette fois, Tom a été électrocuté à deux reprises. Il s'est effondré, a perdu connaissance et est décédé.

    En Caroline du Sud, un grand-père âgé de 86 ans aurait commencé à se débarrasser de la démence au pistolet paralysant alors qu'il se mettait à faire du jogging. C'est ce qui s'est passé après qu'Albert Chatfield ait conduit la police dans une poursuite en voiture, allumant des feux rouges et tournant au hasard. Cependant, au moment où la police a choisi de choquer le vieil homme avec des charges électriques, il était sorti de la voiture, debout, et dépassé en nombre par des policiers beaucoup plus jeunes que lui.

    En Géorgie, la police du campus a abattu un étudiant de 21 ans qui souffrait d'une crise de santé mentale. Scout Schultz a été touché au cœur par la police du campus quand il s'est approché de quatre d'entre eux tard dans la nuit alors qu'il tenait un couteau de poche, criant «Tirez-moi!» Bien que la police puisse avoir craint pour leur vie, la lame était toujours dans sa position fermée.

    Dans l'Oklahoma, la police a abattu un homme sourd de 35 ans vu qu'il tenait un tuyau en métal de deux pieds sous son porche (il l'a utilisé pour repousser les chiens errants tout en marchant). Malgré le fait que des témoins ont averti la police que Magdiel Sanchez ne pouvait pas entendre - et donc se conformer - à leurs ordres criés de laisser tomber le tuyau et de se mettre à terre, la police a tiré sur l’homme alors qu’il se trouvait à une quinzaine de mètres de lui.

    Dans le Maryland, la police (employant des gardes de sécurité au noir) a eu recours à une force extrême pour expulser un homme de 26 ans atteint du syndrome de Down et d'un QI bas d'un cinéma après que celui-ci eut insisté pour assister à la deuxième projection d'un film. Les résultats de l'autopsie indiquent qu'Ethan Saylor est décédé des suites d'une asphyxie, probablement due à un étranglement.

    En Floride, des policiers armés de fusils d'assaut ont tiré trois coups de feu sur un homme autistique de 27 ans, non verbal et qui était assis par terre et qui jouait avec un camion jouet. La police a raté l'homme autiste et a tiré sur son thérapeute du comportement, Charles Kinsey, qui tentait de le ramener dans son foyer de groupe. Le thérapeute, qui saignait d'une blessure par balle, a ensuite été menotté et laissé couché sur le sol pendant 20 minutes.

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  6. Au Texas, la police a menotté, utilisé un pistolet Taser puis a utilisé un bâton pour mater un élève de 7 ans atteint d'un TDAH sévère et d'un trouble de l'humeur. Les conseillers scolaires ayant été occupés, les responsables de l’école ont appelé la police et la mère de l’enfant après que Yosio Lopez eut commencé à se cogner la tête contre un mur. La police est arrivée en premier.

    Au Nouveau-Mexique, la police a utilisé un pistolet Taser, puis a ouvert le feu sur un sans-abri de 38 ans souffrant de schizophrénie, dans le but de faire sortir James Boyd d'un campement improvisé. La mort de Boyd a provoqué une vague de protestations contre les tactiques lourdes des forces de l'ordre.

    Dans l'Ohio, la police a subjugué de force une femme bipolaire âgée de 37 ans, vêtue d'une chemise de nuit par temps glacial et qui n'était ni armée, ni violente, ni intoxiquée ni soupçonnée d'activités criminelles. Après avoir été claquée sur le trottoir, menottée et laissée inconsciente dans la rue, Tanisha Anderson est décédée des suites de son maintien en position couchée sur le ventre.

    Et en Caroline du Nord, un soldat d'état a tué et tué un automobiliste sourd âgé de 29 ans après qu'il n'ait pas réussi à s'arrêter lors d'un contrôle routier. Daniel K. Harris a été abattu après être sorti de sa voiture, apparemment parce que le soldat craignait qu'il ne cherche une arme.

    Ces cas, ainsi que des centaines, voire des milliers, de sans-papiers chaque année témoignent d’une crise des services de police, car les forces de l’ordre ne parviennent pas à évaluer, désamorcer et gérer de manière adéquate les personnes ayant des besoins spéciaux ou des personnes handicapées.

    Bien que la recherche soit relativement rare, ce qui s'est passé est révélateur.

    En six mois, la police a abattu toutes les 36 heures une personne en crise mentale.

    Parmi les 124 homicides de police analysés par le Washington Post, dans lesquels la maladie mentale semblait être un facteur, «c'étaient en majorité des hommes, dont plus de la moitié étaient blancs. Neuf sur dix étaient armés d'une sorte d'arme et la plupart sont morts près de chez eux.

    Mais il y avait aussi des distinctions importantes, rapporte le Post.

    «Ce groupe était plus susceptible de porter une arme moins meurtrière qu'une arme à feu. Six avaient des fusils jouets; 3 personnes sur 10 portaient une lame, telle qu'un couteau ou une machette - des armes qui s'avèrent rarement mortelles pour les policiers. Selon les données conservées par le FBI et d'autres organisations, seuls trois officiers ont été tués avec une arme blanche au cours de la dernière décennie. Selon la police ou des membres de la famille, près d'une douzaine de personnes décédées mentalement étaient des vétérans de l'armée, dont beaucoup souffrent d'un trouble de stress post-traumatique du fait de leur service. Un autre était un ancien officier de la California Highway Patrol qui avait été contraint de prendre sa retraite après avoir été sévèrement battu lors d’un contrôle routier qui l’avait laissé souffrir de dépression et de TSPT. Et dans 45 cas, la police a été appelée pour aider une personne à se faire soigner, ou après que cette personne ait essayé de ne pas se faire soigner par elle-même ».

    Comme on pouvait s'y attendre, la Cour suprême des États-Unis a jusqu'à présent continué à immuniser la police contre des accusations d'actes répréhensibles en matière de recours à la force contre des personnes souffrant de maladie mentale.

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  7. Dans un arrêt de 2015, la Cour a déclaré que la police ne pouvait pas être poursuivie pour avoir pénétré de force dans la chambre d’un groupe de femmes atteintes de troubles mentaux et l’avoir abattue à cinq reprises alors qu’elle s’approchait avec un couteau. Les juges ne se sont pas demandé si la police devait prendre des précautions particulières lors de l'arrestation de personnes souffrant de troubles mentaux. (La loi sur les Américains handicapés) exige des «aménagements raisonnables» pour les personnes atteintes de maladie mentale, ce qui dans ce cas aurait peut-être été moins tactique de confrontation.)

    Où cela nous laisse-t-il ?

    Pour commencer, nous avons besoin d’une meilleure formation de la police dans tous les domaines, mais surtout en ce qui concerne les tactiques de désescalade et l’intervention en cas de crise.

    Une étude de l'Institut national de la santé mentale a révélé que les agents formés en CIT (équipe d'intervention en cas de crise) effectuaient moins d'arrestations, utilisaient moins de force et connectaient plus de personnes avec des services de santé mentale que leurs pairs non formés.

    Comme le souligne le Washington Post:

    «Bien que les nouvelles recrues passent généralement près de 60 heures à apprendre à manipuler une arme à feu, selon un sondage récent du Forum de recherche sur les cadres de la police, elles ne reçoivent que huit heures de formation pour atténuer les situations de tension et huit stratégies d’apprentissage pour gérer . Autrement, les policiers apprendront à employer des tactiques contre-productives lors de telles rencontres, ont déclaré des experts. Par exemple, la plupart des officiers sont entraînés à prendre le contrôle s’ils traitent avec un suspect armé, souvent par l’ordre, par des ordres criés. Mais crier et braquer des armes à feu, c’est «comme si on jetait de l’essence sur un feu quand on fait cela avec des malades mentaux», a déclaré Ron Honberg, directeur des politiques à l’Alliance nationale contre la maladie mentale.

    Deuxièmement, la police doit apprendre à ralentir les affrontements au lieu d’accroître la tension (et le bruit).

    Dans le Maryland, les recrues de la police doivent suivre un cours de quatre heures dans lequel elles apprennent les «tactiques de désescalade» pour traiter avec les personnes handicapées: parlez calmement, donnez de l'espace, soyez patient.

    Un officier responsable des «équipes d’intervention mentale» du département de police de Los Angeles suggère qu’au lieu de se précipiter pour placer une personne en garde à vue, la police devrait essayer de ralentir les choses et de persuader la personne de les accompagner.

    Troisièmement, avec tous les fonds discutables versés aux services de police ces jours-ci, pourquoi ne pas utiliser une partie de ces fonds pour établir ce qu'un activiste des droits des personnes handicapées décrit comme «un numéro de type 911 dédié à la gestion des urgences de santé mentale, avec une réponse communautaire en cas de crise» équipes à la place plutôt que des policiers. "

    En fin de compte, bien que nous devions rendre les rencontres avec les policiers plus sûres pour les personnes souffrant de maladie mentale ou de handicaps, nous avons vraiment besoin - comme je le souligne dans mon livre intitulé Battlefield America: La guerre contre le peuple américain - de faire en sorte que Les rencontres avec la police sont plus sûres pour tous les individus.

    https://www.zerohedge.com/political/welfare-checks-turn-deadly-you-might-want-think-twice-calling-cops

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  8. Écoutez: Fremont Cop demande de l'aide après la mort de sa batterie Tesla au cours d'une poursuite à grande vitesse


    par Tyler Durden
    Mer., 25/09/2019 - 22:10


    La police de Fremont, Tesla, engagée dans une poursuite à haute vitesse vendredi dernier a épuisé ses batteries alors qu'elle était à la recherche d'un "véhicule du crime", selon le journal Mercury News.

    Le modèle S du ministère était à la recherche d'un véhicule et se déplaçait à une vitesse pouvant atteindre 120 km / h sur la route lorsque l'agent qui la conduisait a annoncé par radio qu'il ne pourrait peut-être pas poursuivre la poursuite qu'il dirigeait.

    L'officier Jesse Hartman a dit à des officiers voisins:

    «Je n'ai plus que six milles de batterie sur la Tesla, alors je risque de la perdre ici dans une seconde. Si quelqu'un d'autre est capable, peuvent-ils accéder à la première place ?

    Mais l'officier a eu de la chance: peu de temps après avoir alerté la batterie par radio, la personne qu'il poursuivait a commencé à conduire sur l'épaule et la police a dû interrompre la chasse pour des raisons de sécurité.

    Alors que le reste des officiers rentrait au quartier général, Hartman dut faire un arrêt au stand.

    «Je dois essayer de trouver une station de recharge pour la Tesla afin de pouvoir retourner en ville», a déclaré Hartman.

    Il a finalement trouvé un chargeur à San Jose et a pu retourner au siège. La Tesla n'aurait apparemment pas été rechargée après son dernier travail avant que Hartman l'ait prise vendredi, de sorte que le niveau de la batterie était "inférieur à ce qu'il aurait normalement été", a déclaré une porte-parole de la police de Fremont.

    "Hartman surveillait l'accusation et notifiait de manière responsable son statut", a déclaré la porte-parole.

    Rappelons-le, le service de police de Fremont a fait les gros titres de la première agence de police du pays à intégrer Teslas à sa flotte. Le modèle S 2014 utilisé est considéré comme faisant partie d'un "programme pilote" visant à déterminer si les Teslas peuvent ou non être utilisés par la police à plus grande échelle.

    La Model S, âgée de quatre ans, coûtait au ministère 61 000 dollars lors de son achat en 2018, soit 20 000 dollars de plus qu'un nouveau véhicule de police Ford Explorer que le ministère utilise pour ses autres véhicules de patrouille.

    Vous pouvez écouter l'audio de la chasse ici:

    - voir sur site :

    https://www.zerohedge.com/technology/listen-fremont-cop-radios-help-after-his-tesla-battery-dies-during-high-speed-chase

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  9. RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE (suite)

    "Entièrement englouti par les flammes": le camion transportant des véhicules Tesla brûle spontanément sur l'I-80


    par Tyler Durden
    Mer. 25/09/2019 - 17h30


    Un camion qui transportait des véhicules Tesla sur l'I-80 a pris feu mardi soir et a obligé la patrouille routière du Nevada à fermer l'autoroute au trafic en direction est, a rapporté le quotidien Elko Daily Free Press.

    L'incident a été signalé à la patrouille routière vers 21 h 10, heure locale, mardi soir, et la cargaison de véhicules Tesla du camion aurait été "complètement engloutie par les flammes".

    La patrouille routière du Nevada a publié l'image suivante du camion:

    Après la fermeture de l'autoroute mardi soir, les travaux de nettoyage des débris se sont poursuivis jusqu'à mercredi matin.

    Quatre autorités distinctes ont réagi à l'incendie, y compris le bureau du shérif Eureka, le service d'incendie de Carlin, le district de protection contre les incendies du comté d'Elko et la ville d'Elko et la société Lee Engine.

    Au fur et à mesure que plus d'informations sur l'incendie du camion seront disponibles, nous mettrons à jour cette histoire.

    Rappelons-nous, en juin, nous avions signalé que Tesla avait admis qu'une Model S dont la combustion spontanée dans un garage de stationnement de Shanghai avait été causée par un "dysfonctionnement du module de batterie unique".

    Tesla a alors déclaré qu'elle n'avait pas trouvé de "faille systématique" après son enquête sur la batterie, le logiciel et les données de fabrication de la voiture (autres que la voiture en feu, sans provocation, au hasard ?)

    Auparavant, Tesla avait contesté les conclusions d'une enquête préliminaire concluant que l'incendie avait été provoqué par un court-circuit dans la batterie.

    Nous avons été le premier média à souligner l'apparition de l'incendie sur Twitter lorsque nous en avons parlé à la fin du mois d'avril, battant CNBC, entre autres réseaux financiers et autres médias. Quelques heures plus tard, une pléthore de reportages et de reportages dans les médias grand public ont suivi, de nombreux médias - dont Phil Lebeau de CNBC - se demandant si la vidéo était réelle ou non.

    Nous sommes impatients de voir le dernier incident survenu dans le Nevada par Phil. Peut-être que le chauffeur du camion a jeté un mégot de cigarette allumé par la fenêtre et sur la batterie de l'un des Teslas derrière lui, pas vrai Phil?

    https://www.zerohedge.com/technology/fully-engulfed-flames-truck-hauling-tesla-vehicles-spontaneously-combusts-i-80

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  10. Watch: Drone Airdrops Drugs to Détenus à la prison de l'Ohio


    par Tyler Durden
    Mer., 25/09/2019 - 20:50


    Le bureau du procureur du comté de Cuyahoga a publié une nouvelle vidéo dans une prison de l'Ohio qui montre le moment où un drone de consommateur a bourdonné au-dessus de la tête et a laissé tomber un sac de drogue à un détenu, a rapporté WTHR Indianapolis News.

    La vidéo, capturée sur un système de télévision en circuit fermé de la prison du comté de Cuyahoga, située à Cleveland, dans l'Ohio, montre plusieurs détenus dans une cour clôturée en train de jouer à un trou de foudre.

    On voit un détenu se promener dans la cour, la tête en l'air, alignant apparemment une goutte de l'opérateur du drone. Le détenu tient une chemise comme un gant de capture alors que l'opérateur du drone lâche le sac depuis une altitude inconnue. Le détenu maladroit a raté la chute et a trébuché sur le trou de cornière, alors que le sac basculait dans la cour. Quelques secondes plus tard, il récupère le sac et s'en va.

    Les autorités ont indiqué à WTHR que l'incident s'était produit pendant l'été et que le contenu du sac contenait de la marijuana et un smartphone. Les procureurs ont déclaré que l'affaire était "en cours d'examen", bien qu'aucune accusation pénale n'ait été déposée.

    Une carte de l'espace aérien ci-dessous montre qu'il est interdit aux drones de survoler la prison du comté de Cuyahoga, située au 1215 W 3rd St, à Cleveland, dans l'Ohio. La zone est clairement marquée en rouge, indiquant que le pilote du drone a enfreint les lois de la Federal Aviation Administration.

    - voir plan et clip sur site -

    L'incident du drone fait suite à plusieurs cas d'introduction de drogue en contrebande dans l'établissement. Dans un exemple, les autorités ont découvert un trou dans l'une des cellules de la prison.

    La prison du comté de Cuyahoga installera probablement des systèmes de fabrication de filets de contrebande conçus pour dissuader, atténuer ou empêcher les drops de drogue via des drones.

    https://www.zerohedge.com/technology/watch-drone-airdrops-drugs-inmates-ohio-jail

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    1. Il peut aussi transporter des armes, des grenades, une corde et des pop-corn !

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  11. La percée de l'ordinateur quantique de Google n'est pas un risque pour Bitcoin, déclare Dev


    par Tyler Durden
    Mer., 25/09/2019 - 17h50
    Écrit par Wiliam Suberg via CoinTelegraph.com,


    Un cryptographe bien connu a craint que de récents progrès en informatique quantique ne mettent en danger la sécurité de Bitcoin (BTC).

    Rometty, PDG d’IBM, dit que Quantum résoudra les problèmes que les ordinateurs traditionnels ne peuvent pas

    Bitcoin contre «suprématie quantique» de Google

    Lors d'une discussion sur Twitter le 24 septembre, Peter Todd, ancien développeur de Bitcoin Core, a dirigé la critique, qui faisait suite aux affirmations de Google selon lesquelles il aurait atteint la «suprématie quantique».

    Dans un article lu par le Financial Times, le géant de la technologie a déclaré avoir créé un ordinateur qui résoudrait une équation qui prendrait 10 000 ans en 3 minutes 20 secondes.

    "A notre connaissance, cette expérience marque le premier calcul qui ne peut être effectué que sur un processeur quantique", a déclaré le journal.

    L'informatique quantique a déjà constitué une zone de conflit pour les promoteurs de crypto-devises. En 2017, par exemple, les experts ont dissipé les mythes selon lesquels de telles machines pourraient compromettre la sécurité de la blockchain Bitcoin.

    “Nulle part près de briser la cryptographie”

    De même, Todd a maintenant conclu que les obstacles financiers à la toute dernière création de Google empêcheraient Bitcoin d’éventuels problèmes.

    "Cela ne signifie rien, car la percée quantique de Google concerne un type primitif d'informatique quantique qui est loin de casser la cryptographie", a-t-il écrit à propos de cette nouvelle réalisation.

    Il ajouta:

    «Nous ne savons toujours pas s'il est possible de mettre à l'échelle des ordinateurs quantiques; Il est fort possible que l'ajout de qbits ait un coût exponentiel. ”

    Plus tôt ce mois-ci, des détails ont révélé que la National Security Agency (NSA) des États-Unis tentait de rechercher et de créer une cryptographie à résistance quantique.

    https://www.zerohedge.com/crypto/googles-quantum-computer-breakthrough-not-risk-bitcoin-says-dev

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  12. LES NOUVELLES POUPÉES AURONT 2 BITES A LA PLACE DES SEINS !

    Mattel lance une nouvelle gamme de poupées «non sexistes»


    par Tyler Durden
    Mer. 25/09/2019 - 16h30
    Écrit par Paul Joseph Watson via Summit News,


    Le fabricant de jouets Mattel a annoncé le lancement d'une nouvelle ligne de poupées «neutres en termes de genre», poussant certains critiques à accuser la société d'essayer d'ingérer socialement des enfants.

    «Les enfants peuvent personnaliser les nouvelles poupées avec des cheveux longs ou courts, un pantalon ou une jupe, ou les deux. Les poupées sont disponibles en six tons de peau différents », rapporte Fox Business.

    Kim Culmone, vice-président senior de Mattel Fashion Doll Design, a déclaré que les poupées étaient relâchées parce que "les enfants ne veulent pas que leurs jouets soient dictés par les normes de genre".

    «Les jouets sont le reflet de la culture et, alors que le monde continue de célébrer l'impact positif de l'inclusivité, nous avons estimé qu'il était temps de créer une ligne de poupées sans étiquettes», a-t-elle déclaré.

    Une publicité pour le nouveau produit mettait en vedette un garçon aux cheveux violets et un autre portant une boucle d'oreille.

    Certaines personnes interrogées ont accusé la société d'essayer de concevoir socialement des enfants, contribuant ainsi à les rendre confus au sujet du genre.

    «Tout est une question d'ingénierie sociale», a commenté Robbie Starbuck.

    «Si @Mattel voulait fabriquer une poupée sans parties privées définies, tout va bien, cela a déjà été fait plusieurs fois et donne aux enfants des options. Ce n’est pas ce qui se passe ici. C'est de l'ingénierie sociale qui se fait passer pour un jouet. "

    On se demande quel sera le succès de la nouvelle ligne.

    «Réveillez-vous, faites faillite» est un refrain courant, mais la quantité de publicité gratuite dont bénéficie une entreprise en se livrant à des politiques d’identité est généralement considérable.

    https://www.zerohedge.com/political/mattel-launches-new-line-gender-neutral-dolls

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  13. C'est ainsi que 21 célébrités ont réagi lorsqu'elles ont découvert qu'une enquête sur la mise en accusation allait se produire ...


    par Tyler Durden
    Mer., 25/09/2019 - 10:20
    Créé par Michael Snyder via le blog The End of The American Dream,


    Eh bien, cela a bien vite dégénéré. Plutôt que d’attendre la fin de la semaine, la présidente de la Chambre des députés, Nancy Pelosi, a décidé d’annoncer qu’une enquête de destitution était en cours. Inutile de dire que les célébrités de gauche partout en Amérique se sont grandement réjouies de cette nouvelle. En fait, pour beaucoup d’entre eux, c’était essentiellement l’équivalent de Thanksgiving, de Noël, d’une fête d’anniversaire, du Super Bowl et de la victoire à la loterie, en une seule et même célébration. Après avoir «tant souffert» depuis que Donald Trump a remporté les élections en novembre 2016, cette annonce surprise a donné à nombre d'entre eux l'espoir d'être bientôt débarrassés de leur bourreau aux cheveux orange. Bien sûr, au bout du compte, la seule chose qui compte vraiment est ce que les 53 républicains au Sénat décident de faire une fois que la Chambre votera inévitablement pour mettre en accusation, mais pour le moment, l’élite d’Hollywood ne pourrait être plus heureuse.

    Voici comment 21 célébrités ont répondu sur Twitter lorsqu'elles ont découvert qu'une enquête de destitution allait effectivement avoir lieu…

    - voir tweets sur site -

    Il reste encore beaucoup à faire sur les marchés d’actions américains, déclare Carmignac’s Crowl

    Sensationnel.

    Nous n’avons pas vu autant d’euphorie à Hollywood depuis la légalisation de la marijuana par l’État de Californie.

    Bien sûr, si Trump n’est finalement pas mis en accusation et remporte les élections de 2020, Hollywood deviendra un gouffre d’amertume et de désespoir comme jamais auparavant.

    Alors peut-être qu'ils ne devraient pas célébrer trop pour l'instant. Le jeu est loin d'être terminé et de nombreux rebondissements sont encore à venir.

    Alors que je réfléchissais à la manière dont ces célébrités ont réagi aux derniers développements politiques à Washington, une question très profonde a surgi dans mon esprit.

    À quoi doivent s'attendre ces célébrités ultra-libérales dans les années à venir ?

    Pour beaucoup d'entre eux, le sommet de leur carrière est déjà passé. Oui, ils peuvent peut-être prolonger leur carrière quelques années de plus, mais leur apparence est en déclin et les gros producteurs les oublient un peu plus chaque jour. Alors que les conséquences de l'âge pèsent lourdement sur leur sort, beaucoup d'entre elles sont confrontées à un avenir caractérisé par une dégradation de leur santé, une baisse de leur renommée et leur incapacité à faire tout ce qu'elles ont tant aimé quand elles étaient jeunes.

    Et pour ce qui est du bout du chemin, la plupart des célébrités préfèrent ne pas y penser du tout.

    Honnêtement, quel est le meilleur scénario pour ces célébrités vieillissantes ?

    Je sais que j'ai été un peu dure, mais je voulais simplement souligner le vide complet et total de la vision du monde que ces célébrités épousent si fièrement.

    Une des principales raisons pour lesquelles ils sont si enthousiastes à l'idée de prendre Trump, c'est qu'ils n'ont pas grand-chose d'autre à faire.

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  14. D'autre part, l'avenir est extrêmement prometteur pour ceux qui ne vivent pas uniquement pour les plaisirs temporels du moment. Lorsque vous commencez à vous concentrer sur ce qui compte vraiment, la vie a plus de sens et de sens que la plupart de ces célébrités vieillissantes n'oseraient jamais imaginer.

    Mais pour le moment, les célébrités de gauche du pays se réjouissent et la plupart d’entre elles croient réellement que leur camp va gagner.

    Malheureusement, ce qui va se passer va déchirer ce pays et personne ne va gagner à la fin.

    https://www.zerohedge.com/political/how-21-celebrities-reacted-when-they-found-out-impeachment-inquiry-going-happen

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  15. Ecologie, haine de l'autre et progrès


    mercredi, 25 septembre 2019 18:11


    L’homme évolue peu, en fait il évolue au rythme de la nature.

    Lors de sa naissance, celle-ci lui colle les tares de ses ancêtres et très peu de leurs acquisitions.

    La nature vit au jour le jour, se contentant de reproduire en l’état.

    La cause n’est pas un déficit d’intelligence mais de capital.

    Rappelons que capitaliser c’est : accumuler et transmettre.

    La nature n’accumule pas, elle consomme et transforme uniquement. Elle ne capitalise pas ne transmettant que très peu.

    L’homme, lui, capitalise ses expériences, les transmet, générant ainsi le progrès à tous les niveaux.

    Sans pour autant que ce progrès ait une direction morale ou pratique définie. Il est, un point c’est tout.

    Comparativement à l’immobilisme de la nature, le progrès généré par la capitalisation des hommes est spectaculaire.

    L’immobilisme de la nature et le progressisme de l’homme sont-ils complémentaire ou conflictuels ? Nul ne peut le savoir par anticipation.

    C’est ici que débarquent les « Écolos ».

    Ils surfent sur le pire à partir d’une spécificité de la capitalisation : la capitalisation économique.

    Il n’y a aucune différence pratique entre celle-ci et les autres — scientifiques, culturelles, etc…– sauf que le résultat est, comme en toute accumulation, entre les mains des spécialistes. C’est aussi le cas du capital scientifique ou culturel.

    Mais le capital économique donne l’impression d’être utilisable par tous.

    Chacun, comme toujours pour toutes les capitalisations, en profite à son niveau. Mais, la particularité du capital économique est que chacun pense pouvoir être capable de le gérer au plus haut niveau, ce qui est moins le cas des autres capitalisations.

    Depuis des lustres les hommes ordinaires, restés exclusivement naturels, entretiennent une haine tenace contre tous ceux qui participent à une capitalisation, donc au progrès. Dans notre monde matérialiste, cette haine se développe tout particulièrement envers les acteurs de la capitalisation économique. Dans un monde religieux c’est plutôt la capitalisation scientifique qui est visée.

    Les « écolos » sont l’étape ultime de cette haine.

    Après avoir détruit sporadiquement, ici ou ailleurs, la capitalisation économique et de ce fait produit la misère, les hommes ordinaires, hermétiques à l’accumulation, à son transfert et au capital, se prétendent — ce qui est exact — les représentants de la nature et de son immobilisme. Qu’ils affirment comme l’unique voie.

    Les écolos, leurs représentants actuels, haïssent le progrès, la capitalisation, ses acteurs, ils dénoncent ceux qui en profitent.

    Se déclarant les représentants de l’immobilisme naturel, ils ne se donnent aucune limite dans leur haine contre la capitalisation vecteur du progrès.

    Ils profitent de l’inconnu accompagnant le progrès pour propager des terreurs dont le véritable objet est exclusivement leur haine inconsidérée et insignifiante du capital économique

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  16. J’aurais tendance à dire : tout ça pour ça.

    Toute cette haine, visible sur le visage défiguré de cette jeune « asperger » — finalement maltraitée — déguisée en amour de la nature, est désolante. Alors qu’il ne s’agit que d’une haine du progrès, focalisée sur la capitalisation économique qui n’est qu’un élément de l’ensemble progressif.

    Mais, plus grave, elle finit par porter l’idée de deux humanités qui seraient en conflit, l’une menaçant mortellement l’autre.

    Nature et progrès seraient mortellement incompatibles et justifieraient que les tenants de l’un éliminent les tenants de l’autre. Au point que la multiplication des hommes par le progrès serait remise en question et même que l’abattage du surplus, non naturel, est pratiquement envisagé.

    Nous savons où mènent de telles dérives de la pensée.

    Le monde se réveillera anéanti, détruit, tout étonné d’avoir pu générer et adhérer, pour 99% des hommes, à de telles inepties.

    Un ou deux lampistes trinqueront et les hommes « naturels », hermétiques à la capitalisation et aux progrès, jureront leurs grands dieux qu’ils n’y ont été pour rien, alors que ce sont eux qui auront été à la base de tout.

    Bien à vous

    http://www.objectifeco.com/economie/politiques-economiques/liberalisme/ecologie-haine-de-l-autre-et-progres.html

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  17. Les « guerriers du climat » vaincus par la banquise


    25 septembre 2019
    Association des climato-réalistes
    Par Rémy Prud’homme, Professeur des Universités (émérite)


    Tous les savants du monde, d’Al Gore à Greta, le savent et le disent : la banquise du pôle nord fond rapidement. En fait, elle a déjà fondu. En 2007, Al Gore, conjointement avec l'IPCC, recevait le prix Nobel (de la paix, pas de science, mais passons), et il déclarait à Oslo : « La banquise est en chute libre … Une étude récente nous avertit qu’elle pourrait avoir complètement disparu l’été dans sept ans seulement ». Dans sept ans, en 2014 donc. Les membres de l'IPCC présents avaient chaleureusement applaudi ce magnifique discours prophétique.

    Armés de beaucoup de courage, et surtout d’argent, 17 guerrier/ère/s du climat (c’est ainsi qu’ils se nomment) ont donc, fin août 2019, affrété un bateau de croisière suédois spécialisé, le Malmo, fonctionnant au mazout, et sont partis vers le pôle nord. Ils voulaient voir par eux mêmes la mort de la banquise, et la filmer pour l’éducation des masses encore ignorantes.

    Ils ont vu. Arrivé aux iles Svalbard, à 1400 km du pôle, le Malmo a été bloqué, puis encerclé par les glaces, comme dans un roman de Jules Verne. La banquise-qui-n’existe-plus avait gagné. Plus moyen d’avancer, ni de reculer. Les ours blancs, qui-ont-également- disparu, nombreux dans ces parages, et affamés, pouvaient venir manger nos valeureux et savants combattants. Ces derniers ont du être secourus par hélicoptère (toujours au mazout). On ne sait pas si cette retraite stratégique a été filmée par l’équipe de cinéastes embarquée.

    Bien entendu, cette histoire hilarante ne prouve rien du tout sur l’évolution du climat à moyen ou long terme. Mais elle renseigne sur l’instrumentalisation de la science de l’environnement.

    L’évolution de la banquise arctique, qui est un phénomène complexe, est en fait étudiée et bien connue. L’Institut Météorologique Danois, ou le Centre de données sur la neige et la glace arctique de l’Université du Colorado, par exemple, permettent de suivre les évolutions en temps réel. Si au lieu de crier avec les loups nos militants cherchaient à s’informer, ils sauraient que la banquise du pôle nord, qui s’est beaucoup réduite dans les années 1990, a tendance à se stabiliser depuis une quinzaine d’années : en septembre 2019, elle est certes moins étendue qu’en 1990, mais elle est plus étendue (d’environ un million de km carrés, excusez du peu) qu’en 2012. Et ils auraient fait preuve d’un peu plus de prudence.

    La mésaventure du Malmo a été systématiquement cachée par les grands médias (radios, journaux, télévision) français et étranger.

    Elle n’aura certainement pas entamée les certitudes de nos hélitreuillés. Comme dit Proust : « Les faits ne pénètrent pas dans le monde où vivent nos croyances, ils n’ont pas fait naître celles-ci, ils ne les détruisent pas ; ils peuvent leur infliger les plus constants démentis sans les affaiblir ».

    https://www.climato-realistes.fr/le-bateau-des-guerriers-du-climat-vaincus-par-la-banquise/

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    1. Les banquises (pôles Nord & Sud) fondent par en dessous. C'est le cas prouvé de l'Antarctique où encore de nouvelles sources chaudes ont été découvertes. Mais, Rémy Prud’homme, Professeur des Universités (émérite), n'en a su traiter la vérité.

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  18. 240 miles cubes (1e+12) de Magma viennent d'être découverts sous le supervolcan de Californie


    Par Trevor Nace
    Forbes.com
    26 septembre 2019


    L'un des plus grands supervolcans du monde se trouve sous la Californie, en sommeil depuis 100 000 ans. Les chercheurs ont maintenant un meilleur aperçu de ce qui se trouve sous le supervolcan de Long Valley, découvrant 240 kilomètres cubes de magma assis sous la Californie.

    Il est important de commencer par dire que cela ne signifie absolument pas qu’il y a un danger imminent. Des experts de la United States Geological Society (USGS) surveillent activement le supervolcan et, même si l'activité a légèrement augmenté au cours des quatre dernières décennies, rien ne laisse présager d'une éruption.

    Qu'est-ce que le supervolcan Long Valley?

    Bien que vous ayez peut-être entendu parler du supervolcan assis sous le parc national de Yellowstone, vous ne connaissez peut-être pas un autre supervolcan majeur aux États-Unis, la Caldera de Long Valley. La Caldera Long Valley se situe dans l'est de la Californie, à proximité de Mammoth Mountain et mesure 20 milles de long sur 11 milles de large.

    Une caldeira est fondamentalement une dépression formée après l'éruption de magma à la surface. Au fur et à mesure que le magma remplit la chambre magma sous un volcan, il élargit la croûte et le volcan grandit. Après une éruption, il y a une quantité énorme de volume qui a été soudainement déplacée, ce qui provoque l'enfoncement du sol dans une dépression en forme de bol, que nous appelons une caldera.

    La caldeira de Long Valley est la dépression formée par l'éruption du supervolcan il y a 760 000 ans, qui a éjecté des cendres chaudes, de la lave et des gaz toxiques. L'éruption a eu lieu il y a 760 000 ans. 140 miles cubes de matériaux provenant du supervolcan. Pour mettre cela en perspective, l'éruption du mont St. Helens en 1980 a provoqué une éruption de matériaux de 0,29 mille cube, ce qui signifie que l'éruption de Long Valley a éjecté près de 500 fois cette quantité de matériau.

    Si tous les 240 kilomètres cubes de magma trouvés sous le supervolcan de Long Valley devaient éclater, il éjecterait 800 fois plus de volume de matériau que l’éruption du mont St. Helen de 1980. C’est la raison pour laquelle les géologues de l’USGS surveillent en permanence les supervolcans dormant sous l’Amérique. Si et quand on éclate, cela déclenchera une destruction catastrophique et des pertes de vies humaines. Heureusement, il est extrêmement peu probable qu'une éruption de supervolcan se produise au cours de notre vie. Ces éruptions se produisent très rarement, mais quand elles se produisent, le monde le remarque.

    https://www.lewrockwell.com/2019/09/no_author/240-cubic-miles-of-magma-was-just-discovered-beneath-californias-supervolcano/

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  19. Les premiers intervenants exhortent le Congrès à rouvrir l'enquête du 11 septembre


    Par Arjun Walia
    Evolution collective
    26 septembre 2019


    Si le 11/9 était une démolition contrôlée, cela aurait d’énormes conséquences. Nous avons assisté à de nombreuses attaques terroristes sous «faux drapeau», en particulier au cours des dernières décennies. Les attaques de gaz chimiques en Syrie ont été un bon exemple. Jamais auparavant dans l'histoire des attaques sous fausse bannière il n'y avait eu autant de preuves à l'appui de cette conclusion. Les attaques sous fausse bannière se produisent lorsqu'un groupe crée, finance et planifie une attaque, tout en blâmant cette attaque sur un autre groupe. Il est utilisé pour un certain nombre de raisons, principalement pour justifier l’infiltration et l’invasion d’un autre pays au nom de la «lutte contre le terrorisme» alors qu’en réalité, c’est pour des raisons inavouées. C’est la raison pour laquelle le candidat à la présidence, Tulsi Gabbard, a présenté il ya quelques années le Stop Arming Terrorist Act, qui stipulait: Levant Front, Fursan al Ha et d’autres alliés de Jabhat, Fateh al-Sham, al-Qaïda et ISIS, ou à des pays fournissant un soutien direct ou indirect à ces mêmes groupes. "Gabbard a également déclaré que la" CIA avait également acheminant des armes et de l'argent via l'Arabie saoudite, la Turquie, le Qatar et d'autres qui apportent un soutien direct et indirect à des groupes tels que l'Etat islamique et Al-Qaïda. Ce soutien a permis à Al-Qaïda et à ses organisations terroristes de créer des bastions dans toute la Syrie, y compris à Alep. »Il existe de nombreuses preuves à cet égard également, raison pour laquelle elle a présenté le projet de loi dès le départ.

    Avons-nous vu le même type de terrorisme sous faux drapeau pendant le 11 septembre ? Les preuves suggèrent que nous l'avons fait et que le gouvernement américain, ou ses marionnettistes, a refusé de reconnaître la pléthore de preuves suggérant que le 11/9 était en fait une démolition contrôlée et que des avions seuls n'avaient pas abattu les trois tours ce jour tragique.

    Les appels à la préservation des preuves par de nombreux responsables de la ville de New York sont passés inaperçus, les responsables ayant enlevé et détruit la quasi-totalité des débris après l'attaque. Cela a empêché la tenue d'une enquête médico-légale appropriée. En conséquence, le WTC 7 est devenu le premier immeuble à structure en acier à s’effondrer uniquement à la suite d’un incendie dans un bureau.

    Certaines des dernières nouvelles viennent de l'Université de l'Alaska, Fairbanks, où le professeur et directeur du département de génie civil et environnemental, M. Leroy Hulsey, a publié une nouvelle étude prouvant qu'elle était «définitive», selon les architectes et ingénieurs du 9/11. fondateur Richard Gage, cet incendie n’a pas causé la destruction du bâtiment 7 du World Trade Center le 9/11.

    Le 3 septembre, Architects & Engineers a publié cette déclaration:

    Aujourd'hui, chez Architects & Engineers for 9/11 Truth, nous sommes heureux de nous associer à l'Université d'Alaska Fairbanks (UAF) pour la publication du rapport préliminaire d'une étude de modélisation informatique sur quatre ans de l'effondrement du WTC 7 menée par des chercheurs du département de Génie civil et environnemental. Le rapport UAF WTC 7 conclut que l’effondrement du WTC 7 le 11 septembre n’a pas été causé par un incendie, mais plutôt par la défaillance quasi simultanée de toutes les colonnes du bâtiment.

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  20. Télécharger le rapport

    L’idée qu’il y avait des explosifs prémontés à l’intérieur du bâtiment est une idée à laquelle beaucoup de familles de victimes, scientifiques, physiciens, ingénieurs, etc. ont réfléchi. Le commissaire aux incendies de Franklin Square et Christopher Gioia, premier intervenant du 11/9, ont récemment évoqué le fait que son district des incendies a récemment adopté une résolution historique appuyant une nouvelle enquête sur les événements du 11 septembre.

    Le 11 septembre de cette année, il était présent à une conférence de presse au National Press Club. Deux des collègues de Gioia souffrent de problèmes de santé chroniques liés au travail à Ground Zero, et l’un des membres du département, Thomas J. Hetzel, qui était également membre du FDNY, a été tué dans l’accomplissement de sa tâche ce jour-là.

    Le quartier des pompiers de Franklin Square et de Munson est maintenant le fer de lance des efforts déployés dans tout l'État de New York et dans tout le pays pour unir les services d'incendie derrière leur appel au Congrès pour la réouverture de l'enquête du 11 septembre. L’enquête du Congrès qu’ils demandent serait menée parallèlement à l’enquête en cours devant le grand jury ouverte par le procureur américain du district sud de New York, Geoffrey Berman.

    Bob et Helen McIlvaine, dont le fils Bobby a été tué au World Trade Center, se sont joints à M. Gioia à la conférence de presse. Au cours des deux dernières années, M. McIlvaine a mené une campagne, au nom de son fils, en vue de présenter et de promulguer un projet de loi créant un comité restreint du Congrès chargé de réexaminer la destruction du World Trade Center. Étaient également présents David Meiswinkle, président du comité des avocats pour l'enquête sur le 11 septembre, et l'architecte Richard Gage, fondateur de Architects & Engineers pour 9/11 Truth.

    M. Meiswinkle a évoqué le litige en cours au sein de son organisation contre le ministère de la Justice des États-Unis et le F.B.I. M. Gage a présenté les résultats récemment publiés d'une étude de modélisation informatique de quatre ans sur l'effondrement du World Trade Center Building 7 menée par des chercheurs de l'Université d'Alaska Fairbanks (UAF), financée par AE911Truth.

    Le groupe s'est ensuite rendu à Capitol Hill pour rencontrer plusieurs membres du Congrès, leur demandant de revoir l'étude UAF WTC 7 et de présenter la loi Bobby McIlvaine. Kathleen Rice, représentante du district de Long Island où se trouve Franklin Square, et la sénatrice américaine Kirsten Gillibrand, de New York, ont visité les bureaux qu’elles ont visités.

    À emporter

    On pourrait penser qu’avec toutes les preuves présentées au fil des ans, y compris les témoignages de milliers d’architectes, ingénieurs, scientifiques, pompiers et familles de victimes et dénonciateurs, une nouvelle enquête aurait été ouverte.

    Le fait que les médias traditionnels et de nombreuses personnalités influentes au sein du gouvernement aient laissé entendre que toutes les personnes qui remettent en question ce qui s’est passé ce jour-là sont des «théoriciens du complot» est très préoccupant. Les preuves ont été complètement ignorées et tout ce qui a été utilisé pour y répondre est ridicule.

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  21. Cela étant dit, de nombreuses personnes créent une prise de conscience, à l'instar des personnes mentionnées dans cet article. Que le gouvernement et les principaux médias reconnaissent ou couvrent un sujet, la vérité continue d'exploser aux masses. En conséquence, la perception collective de notre monde est en train de changer.

    Reprinted with permission from Collective Evolution.

    https://www.lewrockwell.com/2019/09/no_author/first-responders-urge-congress-to-reopen-9-11-investigation/

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  22. Nous sommes menacés par la création de fausses réalités


    Par Paul Craig Roberts
    PaulCraigRoberts.org
    26 septembre 2019


    "Le moyen le plus efficace de détruire des personnes est de nier et de détruire leur propre compréhension de leur histoire." - George Orwell

    En Amérique aujourd'hui, il est difficile de dire la vérité sans être accusé de divers péchés et marginalisé. Quand dire la vérité n'est plus efficace, il n'y a pas de raison de la dire. C'est la raison pour laquelle les diseurs de vérité sont marginalisés. C'est un moyen de faire taire la vérité, ce qui, bien sûr, permet aux oligarques au pouvoir de contrôler facilement les explications afin de réaliser leurs objectifs.

    La politique d'identité est basée sur la haine. Ce n'est pas différent de la guerre de classe marxiste. Il serait naïf d’attendre un résultat différent de celui de la guerre de classes de Lénine qui en a exterminé beaucoup. La leçon de l’histoire est que celui qui est diabolisé est dépossédé ou tué. C'est la manière humaine. Lorsque la haine est déchaînée, elle suit son cours.

    En pensant à mes articles récents sur la perspective d'un génocide blanc, la haine des Blancs qui a montré sa tête laide est en réalité volcanique. Comment expliquer autrement l'irruption nationale de discours de haine par les médias, les sites Web, le Parti démocrate et les universités contre le président Trump et les Blancs à la minute où la fusillade d'El Paso a été rapportée? Il n’ya pas eu de désaccord, sauf Tucker Carlson, et il a été envoyé en «vacances» pour avoir prétendu que la suprématie blanche était un canular.

    La suprématie blanche est un canular. Pourquoi le canular a-t-il été créé pour ne pas être utilisé pour diaboliser les Blancs ? Si des gens, y compris de nombreux Blancs, ne croyaient pas à ce canular, comment Carranza, l'américano-mexicain à la tête du système scolaire de la ville de New York, pourrait-il utiliser le système scolaire public pour mener une campagne contre «la culture de la suprématie blanche toxique» ? utiliser l'argent public pour purger l'Amérique de la "culture blanche toxique". Alors, comment sont les Blancs suprêmes quand les "valeurs blanches" sont en train d'être purifiées de la culture?

    Pourquoi le NY Times ne s'engage-t-il pas à améliorer les reportages après le fiasco de la Russie, mais à «reformuler» l'Amérique en tant que pays raciste à partir de 1619? Pour les personnes intelligentes, cela semble idiot. Mais pour le New York Times, cela est réel. Le rédacteur en chef du NY Times estime qu’il incombe au Times de diaboliser les Américains d’origine britannique et européenne et de les présenter sous un faux prétexte comme des racistes qui ont construit un pays sur l’esclavage.

    Le rédacteur en chef du New York Times, Dean Baquet, a déclaré aux employés du Times que le Times était en train de se concentrer de plus en plus sur Russiagate et sur Trump the the Racist. Notez pourquoi Baquet qualifie Trump de raciste. Trump est un raciste parce que les États-Unis ont des lois sur l'immigration et que le président a le devoir de faire respecter les lois des États-Unis. Si Trump n'appliquait pas les lois sur l'immigration, il manquerait à ses obligations. Selon Baquet, Trump est un raciste simplement parce qu'il applique les lois sur l'immigration des États-Unis.

    Si Baquet n’apprécie pas les lois sur l’immigration, pourquoi n’utilise-t-il pas le NY Times pour mener une campagne visant à abroger les lois sur l’immigration au lieu de mener une campagne visant à faire connaître Trump et le peuple américain comme racistes ? Si le Parti démocrate n’aime pas les lois sur l’immigration, pourquoi ne présente-t-il pas des projets de loi visant à abroger les lois au lieu d’empêcher le président de faire appliquer les lois ? Si nous n’avons pas besoin de frontières, nous n’avons pas besoin d’une armée.

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  23. Le New York Times devrait parler de la création de la haine en Amérique et de sa propre contribution à la création de la haine raciale et sexiste qui divise le peuple américain. Pourquoi le New York Times prêche-t-il la haine ? Pourquoi le New York Times est-il un propagandiste de la politique d'identité, de l'idéologie du parti démocrate et du parti libéral / progressiste / de gauche prêchant la haine, alors qu'il est supposé être un journal ?

    Différents peuples peuvent vivre ensemble de manière pacifique, comme l'ont fait les juifs, les chrétiens et les musulmans dans certaines régions du Moyen-Orient, jusqu'à ce que les sionistes israéliens radicalisent les Arabes. Lorsque des extrémistes et des fauteurs de troubles arrivent sur les lieux, tout change. Les Blancs et les Noirs sud-africains coexistaient plus ou moins sous la domination noire jusqu'à ce qu'un deuxième parti noir apparaisse et se batte pour le pouvoir en préconisant des mesures plus punitives à l'encontre de la population blanche.

    Dans le sud des États-Unis, Reconstruction (1865-1877) met les relations entre Blancs et Noirs d'un mauvais œil. Pour les fanatiques du Nord qui détestaient le Sud, la reconstruction ne consistait pas à restaurer les infrastructures et la production alimentaire. Il s'agissait de reconstruire des Blancs qui avaient été diabolisés et de reconstruire leur société diabolisée. L'histoire de la reconstruction a été écrite par les vainqueurs et cache l'abus des populations du Sud qui a conduit à la montée du KKK en tant que mouvement de résistance. Le Nord était tellement déterminé à punir le Sud que le Nord a négligé le tort causé par la reconstruction aux relations raciales dans le Sud. Les lois de Jim Crow qui séparaient les races ont été adoptées immédiatement après la reconstruction et reflétaient l’amertume du Sud envers la reconstruction. Pendant 12 ans, les Sudistes ont vécu sous la domination noire avec le soutien de l’armée de l’Union et ont subi des humiliations encouragées par des officiers de l’Union vindicatifs. Les lois de Jim Crow étaient les conséquences imprévues de la reconstruction.

    Au fil du temps, les Blancs et les Noirs ont commencé à établir des relations viables, l'amertume des Blancs s'est estompée et les races se sont plus ou moins bien entendues jusqu'à ce que les libéraux du Nord, plus saint que vous, prêchent la haine dans les années 1950 et au début des années 1960 et apportent une nouvelle Reconstruction.

    Les parents du sud ayant des enfants scolarisés ont connu la déségrégation scolaire forcée comme une seconde reconstruction. Soudain, les enfants qui pouvaient aller à l'école en 10 minutes étaient transportés pendant des heures dans des quartiers inconnus afin que les enfants noirs puissent aller à l'école avec des enfants blancs. L’idée des libéraux du Nord selon laquelle les Noirs ne pourraient réussir qu’en étant associés aux Blancs me semblait toujours très raciste. Quoi qu’il en soit, le résultat fut la destruction de l’enseignement public. Des salles de classe homogènes remplies d'étudiants ayant à peu près la même motivation et les mêmes valeurs ont été remplacées par des tours de babel pleines de classes, de races, de motivations et de valeurs différentes. Les normes ont dû être abaissées pour tenir compte d'un mélange si inégal. Les enseignants ont perdu le contrôle des salles de classe. Les associations parents-enseignants ont cessé de fonctionner car les écoles se sont éloignées de chez elles. Cela a détruit la coopération entre parents et enseignants et ils sont devenus des ennemis plutôt que des alliés. La discipline est tombée en panne et la police est devenue un incontournable dans les écoles publiques. Les nombreuses différences entre les élèves ont intensifié l’intimidation et suscité un antagonisme racial. Les enfants ont perdu du temps libre en raison de longs trajets en bus.

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  24. Quand je compare l’éducation publique actuelle à celle que j’ai eue, il n’ya aucune ressemblance. On nous a appris à penser par nous-mêmes et qu'un pays libre a besoin d'un esprit libre. Aujourd'hui, un esprit libre est la dernière chose que permet une école publique.

    Les libéraux du nord ne comprenaient pas, ou ne voulaient pas comprendre, que les écoles du sud étaient des écoles de quartier et que les quartiers étaient séparés non par race, mais par classe économique. Les enfants de la classe moyenne sont allés à l'école avec des enfants de la classe moyenne. Ils ne connaissaient ni les enfants riches ni les enfants pauvres. Il y avait des écoles du sud intégrées dans les quartiers pauvres. Rappelez-vous «The Little Rascals». Il y avait quelques quartiers du Sud intégrés. J'habitais deux personnes: le quartier français de la Nouvelle-Orléans et la vieille ville d'Alexandre, en Virginie.

    Les fontaines et les bus séparés ont leur origine en partie dans les lois de Jim Crow et en partie dans des raisons médicales et des considérations pratiques. Les maladies infectieuses étaient un problème avant les antibiotiques. Les Noirs, étant généralement plus pauvres, vivaient dans des conditions moins hygiéniques. La séparation des fontaines était une mesure visant à réduire la transmission de maladies infectieuses, de même que les lois interdisant de cracher dans la rue. Ces lois auraient pu être médicalement inefficaces, mais elles reflétaient des croyances de l'époque. À mon époque, c'était simplement une pratique établie et personne n'y pensait. Pourquoi est-ce un privilège pour les Blancs d'avoir leurs propres fontaines, alors que ce n'est pas un privilège pour les Noirs d'avoir leurs propres fontaines?

    Si les maladies infectieuses étaient un sujet de préoccupation, la séparation des restaurants et des hôtels s’expliquerait par les mêmes préoccupations que les fontaines. N'oubliez pas qu'aujourd'hui, les gens essaient d'éviter les hôpitaux connus pour être contaminés par des bactéries résistantes aux antibiotiques. Je me souviens de l'époque où les femmes redoutaient les déplacements en voiture, car les toilettes des stations-service étaient rarement propres et les gens pensaient que l'on pouvait attraper une maladie vénérienne des sièges de toilette.

    À cette époque, les transports en commun étaient largement utilisés. Les dames ne vont pas au centre-ville pour faire leurs courses (il n'y a pas de centres commerciaux et peu, voire aucune, de familles à deux voitures) à moins d'être bien habillées. Je me souviens de ma grand-mère: chapeau à voile, gants blancs, costume, bas, talons hauts. Dans le même bus se trouvaient des ouvriers noirs qui creusaient des fossés pour les conduites d’eau et d’égout et effectuaient divers travaux qui les salissaient, ainsi que leurs vêtements. S'ils étaient confinés dans la moitié arrière de l'autobus à cause des lois de Jim Crow, les sièges étaient séparés pour des raisons pratiques. La saleté associée aux emplois de travailleurs noirs est venue à bord avec eux et souvent laissée sur les sièges d'autobus. À cette époque, l'argent était rare, les factures de nettoyage étaient élevées et aucune femme ne voulait faire ses courses ou rentrer chez elle avec des vêtements souillés. À Atlanta, la ligne séparant les courses en bus était variable. Cela dépendait du nombre de Noirs et de Blancs dans le bus. "Back of the bus" a reçu un sens qu'il n'avait pas. Si les compagnies de bus avaient fait preuve de clairvoyance, elles auraient réservé l’arrière du bus pour les Blancs.

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  25. Je ne sais pas si les explications que j’ai entendues dans les années 1940 sur les fontaines isolées et les sièges pour les transports en commun sont vraies ou constituent-elles un prétexte pour couvrir le racisme. Tout ce que je sais, c'est que les gens les ont crus. En outre, il semblerait que si le racisme était si endémique, il serait inutile d'inventer des arguments rationnels pour le dissimuler. A quoi cela servirait il ?

    À cette époque, même pour la classe moyenne inférieure, les femmes de ménage noires remplaçaient les appareils ménagers d’aujourd’hui. Notre amie noire s'appelait Carrie. Mère et Carrie ont travaillé ensemble. Ils se relayaient sur le tableau de lavage sur les genoux pour laver le linge dans la baignoire. Si la mère avait quelques heures de congé pour aller prendre un café ou avoir un rendez-vous chez le médecin, Carrie était la patronne. Nous lui avons parlé exactement comme nous avons parlé à nos parents et elle a mangé à la table avec nous.

    Chaque matin, mon père donnait 2 dollars à sa mère pour lui fournir les repas de la journée. Carrie était plus efficace pour tirer le meilleur parti de l'argent, alors maman a confié la responsabilité à elle.

    À cette époque, les choses n'étaient pas si chères. En outre, les médecins du Sud avaient pour pratique de fournir aux pauvres des soins médicaux gratuits ou à un prix minime et de surcharger les riches pour les payer. Les familles qui en avaient les moyens aidaient financièrement les domestiques, qui les avaient aidées à long terme au fil des ans, dans leurs soins médicaux et leur grand âge. Tout le monde ne pouvait pas faire grand chose, mais beaucoup ont fait quelque chose.

    Je sais que cela ressemble à un conte de fées, mais je l'ai vécu.

    Tout cela a changé lorsque les libéraux du Nord sont venus prêcher la haine et inciter les Noirs à l'oppression. En effet, tout le Sud, noir et blanc, était opprimé par la Reconstruction dont les effets économiques destructeurs, amplifiés par la Grande Dépression, durèrent jusque dans les années 1950 dans le Sud.

    La véritable histoire n'existe plus aux États-Unis. L’expérience américaine a été transformée en crimes et injustices. Il ne fait aucun doute que la politique étrangère américaine est responsable de nombreux crimes et de nombreuses injustices. J'écris souvent à ce sujet. Mais le peuple était unifié. Ils ne se détestaient pas. Oui, il y avait un racisme de bas niveau de vie contre les Noirs, mais la population blanche du sud des classes moyenne et supérieure l'a désapprouvé. Dans le sud, les familles blanches ont recours à l'aide noire. Nous les connaissions. Les Blancs font confiance aux Noirs avec leurs enfants, leurs repas, leur budget familial. Qui ferait confiance à leurs enfants, à leur nourriture et à leur foyer à des gens qu'ils détestaient ?

    La haine a été fabriquée. Il sert un agenda: la désunion.

    Et maintenant nous avons la politique d'identité. La politique d'identité prend la place de la guerre de classe marxiste. La lutte n'est plus la classe ouvrière contre la classe capitaliste. La lutte concerne les «peuples opprimés» contre les Blancs qui les opprimeraient prétendument. Cela aurait semblé étrange à Carrie, mais, comme on dit, sa conscience n’avait pas encore été correctement formée. Elle était sans le bénéfice des conférences qu'elle était opprimée et exploitée et qu'elle avait besoin d'être en colère, de nous haïr et de cracher dans notre café.

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  26. Si une personne vivante est capable de mémoire, la guerre de classe exterminait des millions de personnes diabolisées comme des ennemis de classe. La guerre de classes en Russie et en Chine a été le véritable holocauste. Aujourd'hui, ce sont les Blancs qui sont diabolisés comme des ennemis de la race par Identity Politics. Le New York Times a l'intention d'institutionnaliser la diabolisation des Blancs dans le système scolaire public, selon le rédacteur en chef du New York Times.

    Il est dangereux d’écrire des souvenirs du passé, lorsque l’histoire a été reconstruite et falsifiée afin de faire avancer un agenda. Mes souvenirs de Carrie, des écoles de quartier et des raisons pour lesquelles les fontaines séparées et les sièges d’autobus séparés ne sont pas une excuse pour la ségrégation. Je ne m'excuse de rien, je me rappelle simplement comment les choses se passaient.

    Quand j’étais à Georgia Tech, j’ai aidé à amener un groupe d’étudiants en technologie à l’université d’Atlanta pour travailler avec Julian Bond et Lonny King à l’organisation de la première marche pour la défense des droits civiques à Atlanta. Les chiens policiers n'étaient pas en marche et personne ne nous a appelés communistes. Atlanta était trop sophistiqué pour cela. Les restaurants étaient fatigués de devoir refuser les clients noirs. À Georgia Tech, nous étions fatigués de devoir porter nos quelques étudiants étrangers arabes et indiens à la peau sombre vêtus de leurs turbans et de leurs coiffes nationales afin de pouvoir les envoyer dans des salles de cinéma séparées. Les antibiotiques existaient. Il en a été de même pour certaines familles de deux voitures et les centres commerciaux. Les transports en commun étaient en déclin. Les Noirs commençaient à avoir des emplois dans la classe moyenne. La ségrégation allait se dérouler d'elle-même. Le dernier ségrégationniste qui a couru pour le maire d'Atlanta a été défait par le monde des affaires blanc. À ce stade, les reconstructeurs du Nord sont à nouveau arrivés pour empoisonner les relations entre les races.

    Ainsi, un lecteur pourrait se demander si les sudistes blancs ne sont pas des suprémacistes blancs racistes qui détestent les noirs, pourquoi le shérif de l’Alabama Bull Connor a-t-il fait chier les manifestants noirs en 1963?

    Nous pouvons dresser une liste de raisons:

    (1) C’était un raciste qui voulait garder les Noirs à leur place.

    (2) C'était un policier dont l'autorité était contestée. Comme nous le savons tous aujourd’hui, ne défiez jamais la police lors d’un contrôle routier si vous ne voulez pas courir le risque de subir des coups de pistolet paralysant, d’être frappé ou d’être arrêté. La chose la plus dangereuse que quiconque puisse faire, peu importe sa race, son âge ou son sexe, est de défier l'autorité de la police.

    (3) Il a considéré la manifestation comme le début d'un deuxième assaut nord-sud, le début d'une deuxième reconstruction.

    (4) Il pensait affronter des dupes d'un complot organisé par les communistes pour saper l'Amérique. Le pays avait récemment connu l'ère McCarthy et le parti de droite, considéré comme une victoire communiste dans son projet de prise de contrôle de l'Amérique, avait discrédité le Comité de la Chambre sur les activités non américaines. Et ici, dans son propre domaine, l'anarchie a éclaté.

    (5) Il souhaitait se présenter à des postes plus élevés et pensait qu'une position ferme contre l'ingérence du Nord faciliterait son élection.

    (6) Il était trop simple pour comprendre que les Noirs avaient des plaintes légitimes et une protection constitutionnelle pour les exprimer.

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  27. En effet, tous ces facteurs pourraient avoir joué un rôle. Lorsqu'elle est confrontée à des manifestations, la police ne sait jamais où elle va. Si la police perd le contrôle, elle est tenue pour responsable du chaos qui en résulte. Quelle est la différence entre mettre les chiens sur les manifestants et tirer sur les manifestants avec des balles en caoutchouc et des bidons de gaz lacrymogène? N'oubliez pas qu'à l'époque de Bull Connor, les forces de police étaient petites. Ils n'étaient pas militarisés. Il n'y avait pas d'équipes SWAT, ni de chars d'assaut, ni de policiers entièrement armés avec des armes militaires dans des gilets pare-balles debout derrière des boucliers. Peut-être pourrions-nous ajouter à la liste ci-dessus la possibilité que les chiens aient été utilisés comme complément à un petit groupe de policiers non protégés armés uniquement de revolvers à six coups.

    Les sujets tels que ceux sur lesquels j'écris sont accaparés par des gens qui ont un ordre du jour et qui veulent dénoncer, mais ne comprennent pas. Bull Connor a commis une erreur, mais je ne sais pas pourquoi il a commis cette erreur. Je ne sais pas comment nous pouvons savoir quoi que ce soit lorsque le motif primordial est de dénoncer et de diaboliser.

    Il est tout à fait possible que la ségrégation ait eu des conséquences inattendues et fomenté le racisme. Ce serait utile de savoir, mais nous marchons sur des connaissances interdites. Les libéraux du Nord ont tendance à mépriser les Sudistes, ceux-ci confondant leurs propres préjugés avec la preuve de leur supériorité morale. Aujourd'hui, les Noirs ont le même intérêt dans leur victimisation que les Juifs dans le leur. Cela rend peu probable qu'il y ait de la place pour des comptes qui ne supportent pas la victimisation.

    Bien, on pourrait dire ou ne pas dire, mais qu'en est-il de voter ? Les Noirs n’ont pas / ne peuvent pas voter. Cela s'est terminé il y a un demi-siècle. Atlanta a élu un maire noir en 1973, il y a 46 ans, et son gouvernement est noir depuis. Un exploit remarquable pour les personnes qui n’ont pas le droit de voter.

    Mais supposons que les Noirs n’ont pas / ne peuvent pas voter. Pourquoi pensons-nous que le vote compte ? A quoi bon voter la classe ouvrière blanche et la classe moyenne blanche, une majorité en déclin rapide de la population mais toujours la majorité de la population ? Le vote a-t-il empêché leurs emplois et leurs carrières d'être délocalisés en Asie ? Pourquoi les électeurs qui veulent des soins de santé ne peuvent-ils pas l’obtenir, alors que le complexe militaire / sécurité / Israël peut obtenir tout l’argent et les guerres qu’il souhaite ? Comment se fait-il que les gens veuillent mieux protéger l'environnement, alors que la protection existante est en train d'être démantelée ? Trump est blâmé, mais les protections sont en train d'être démantelées par les industries extractives et l'agroalimentaire qui gouvernent à la place des électeurs. Le «vote» fonctionne, mais uniquement pour les groupes d'intérêts très importants qui financent les campagnes politiques. Le vote du lobby bois / mines / énergie ou le vote du complexe forces militaires / de sécurité ou de Wall Street ou du lobby israélien dépasse le vote de l'ensemble de la population votante. Lorsque les Américains votent, ils ne font que couvrir les puissants groupes d’intérêts qui les arnaquent sous le masque de la démocratie et du vote. Comment les Noirs peuvent-ils changer les choses en votant alors que les Blancs ne le peuvent pas ? Nulle part dans le monde occidental le vote ne fonctionne. Les Britanniques ont voté il y a trois ans pour quitter l'Union européenne, mais ils ont encore de moins en moins de chances que le gouvernement britannique respecte le vote de ses électeurs.

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  28. Il est généralement admis que la ségrégation n’existait que dans le Sud. En fait, il y avait de la ségrégation dans le Nord et au sein du gouvernement fédéral. Dans les années qui ont précédé la Première Guerre mondiale, l'administration du président libéral Woodrow Wilson a séparé les bureaux fédéraux et créé des salles à manger et des toilettes séparées sur le plan racial dans les départements ministériels. L'armée américaine a été officiellement mise à l'isolement jusqu'en 1948 et l'est restée jusqu'à la fin de la guerre de Corée. Le mensonge selon lequel la ségrégation est une institution uniquement méridionale est l’un de ces fouets utilisés contre le Sud par les libéraux du Nord, plus holistiques que vous. Le Nord aime minimiser son propre racisme en amplifiant le racisme dans le Sud.

    Ce que j’ai appris au cours des décennies que j’ai passé à expliquer les événements en tant que secrétaire adjointe au Trésor américain, en tant que professeur dans la salle de classe et dans la salle de conférence, rédacteur en chef et chroniqueur pour le Wall Street Journal, la Business Week, le Scripps Howard News Service, Syndicat des créateurs, chroniqueur pour les journaux et magazines européens et rédacteur principal de ce site Web, très peu de gens veulent le savoir. C'est trop de problèmes et prend trop de temps pour que les gens s'informent. Ils n’ont pas l’endurance d’apprendre qu’ils ont été trompés. Ils préfèrent être amusés et avoir leurs croyances existantes confirmées. Les commérages sont plus intéressants pour eux que les faits.

    L'une des conséquences est que les gens ont perdu la capacité de faire la différence entre fiction et réalité. Cela crée un monde parfait pour que les gouvernements soient libres du contrôle des citoyens. Le contrôle passe aux groupes d'intérêts organisés et aux oligarchies qui contrôlent les explications. La «vérité» devient ce qui sert leurs agendas. La vérité est ce que la population insouciante ayant subi un lavage de cerveau entend aux nouvelles.

    Aux États-Unis, dans le monde occidental, le meilleur moyen de vous détruire vous-même est de dire la vérité. Regardez Julian Assange, Ed Snowden, Manning, les lanceurs d’alerte de la CIA.

    Comment la civilisation occidentale se remet-elle de cette situation? Quand il est bien plus avantageux de mentir que de dire la vérité, quand les agendas idéologiques et matériels importent plus que la justice, la moralité et la vérité, que devient la vie ?

    https://www.lewrockwell.com/2019/09/paul-craig-roberts/we-are-jeopardized-by-the-creation-of-false-realities/

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