- ENTREE de SECOURS -



mardi 3 septembre 2019

Brève. Emmanuel Macron champion de la « fake-news » !

le 3 septembre 2019


Par l’intermédiaire du blog de Donna Laframboise j’ai trouvé cet article qui prouve que le pourfendeur des « fake-news », le Président de la République française Emmanuel Macron, répand lui-même des fausses nouvelles. Si ce monsieur a osé renier ses propres convictions lors de la réunion du G7 on est en droit de se poser quelques questions sur sa légitimité comme occupant du Palais de l’Elysée. Je ne suis pas Emmanuel Todd et je n’en dirai pas plus.



Source : Donna Laframboise et Spike


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On entend dire par tout ce beau monde politique et médiatique en ce moment que la forêt amazonienne est le poumon de la planète et les incendies qui y ont lieu donnent l’occasion aux hommes politiques et associations écologistes de tous poils de s’invectiver copieusement. Mais tout cela est stérile et vain. La forêt amazonienne n’est pas le poumon de la planète. D’abord un poumon absorbe de l’oxygène et rejette du gaz carbonique et de la vapeur d’eau. Ensuite, les forêts contribuent très peu à l’oxygène atmosphérique. C’est un truc qui est du niveau de première, cours de sciences naturelles. Ca nous donne une idée du niveau d’instruction générale pitoyable des écolos de Greenpeace ou des énarques comme Macron.

1 – La forêt amazonienne produit peu d’oxygène net :
« L'oxygène de l’atmosphère provenant des arbres n’est, en fait, dû qu’à la biomasse produite et non encore métabolisée, la matière organique fossilisée et la matière organique sédimentée. Dans une forêt vierge, le volume de matière en croissance est pratiquement égal au volume en décomposition. Au total, la quantité d’oxygène produite est égale à la quantité consommée qui se transforme sur le sol en humus. Il n’y a pas de surplus d’oxygène. Une forêt ne peut donc produire de l’oxygène que si elle devient de plus en plus étendue. » (1)

2 – Contribution du Sahara à la santé de la forêt amazonienne :
Sans désert Saharien, pas de forêt amazonienne. En effet, peu de gens le savent mais grâce aux sables du Sahara transportés par les vents, l’apport d’engrais (phosphore surtout) permet la luxuriance de la forêt amazonienne. Bien entendu, il faut un climat très humide pour compléter le tout.

3 – Qu’est-ce qui produit alors l’oxygène de notre atmosphère ?
C’est essentiellement le plancton photosynthétique, autrement certains micro-organismes comme les cyanobactéries qui produisent dans les mers et les océans plus de 50 % de notre oxygène atmosphérique. Le reste de l’oxygène provient de plantes qui ont une activité photosynthétique plus forte que leur activité respiratoire. Pour protéger notre atmosphère, nous devons donc protéger nos mers et nos océans en priorité et oublier le baratin toxique des écologistes politiques.

(1) https://www.sciencealert.com/there-s-one-wrong-statistic-everyone-s-sharing-about-the-devastating-amazon-fires


extrait de:

74 commentaires:

  1. Un ambassadeur brésilien insulte Emmanuel Macron: «J'ai rencontré beaucoup de gays plus virils que cet imbécile»


    10:54 03.09.2019


    Après les affrontements écrits et verbaux entre Jair Bolsonaro et Emmanuel Macron, l'ambassadeur brésilien du Tourisme et combattant de MMA Renzo Gracie a jeté de l’huile sur le feu, qualifiant le dirigeant français de «clown» et menaçant de l’étouffer lui et son «cou de poulette».

    Tandis que les relations franco-brésiliennes traversent une crise sur fond de gestion des incendies en Amazonie, Monsieur et Madame Macron se trouvent de nouveau dans le viseur des proches du Président Bolsonaro.

    Cette fois, c’est l'ambassadeur brésilien du Tourisme et par ailleurs combattant de MMA Renzo Gracie qui a relancé les hostilités. Dans une vidéo diffusée sur la Toile, il a menacé d’étouffer Emmanuel Macron et l’a qualifié de «clown» qui a un «cou de poulette».

    «Le seul feu qui continue est le feu dans les cœurs brésiliens et le cœur de notre Président, espèce de clown. Viens ici, tu seras attrapé par le cou, ton cou de poulette. Tu ne me trompes pas. Le fait qu'il couche avec un dragon [mot d'argot insultant en brésilien, ndlr] ne fait pas de lui un expert en incendie, elle est moche», a déclaré le ministre, 52 ans, en faisant référence aux polémiques autour des feux en Amazonie.

    «Bien sûr, plusieurs seront étonnés, ils penseront que je l'ai traité de poulet femelle parce que sa virilité est douteuse, mais non. J'ai rencontré beaucoup de gays plus virils que cet imbécile», a encore lancé le responsable.

    «Tu ne me fais pas peur, non. Ici, nous sommes chauds», a-t-il continué dans une interview accordée à UOL.

    Insultes contre les Macron

    L’attaque homophobe de M. Gracie est survenue une semaine après que M. Macron a condamné M. Bolsonaro pour ses «commentaires extrêmement irrespectueux» au sujet de sa femme.

    Sous la publication d’un internaute qui attaquait Brigitte Macron sur son physique, le Président brésilien avait en effet laissé un commentaire moqueur au sujet de la Première dame française. De nombreux utilisateurs de Twitter avaient soutenu Brigitte Macron, exprimant la honte qu’ils ressentaient pour leur Président. Ce dernier a finalement retiré son commentaire afin «d'éviter une mauvaise interprétation», a noté son porte-parole mercredi 28 août.

    Emmanuel Macron a de plus été insulté dimanche 25 août sur Twitter par le ministre brésilien de l'Éducation.

    https://fr.sputniknews.com/international/201909031042032348-un-ambassadeur-bresilien-insulte-emmanuel-macron-jai-rencontre-beaucoup-de-gays-plus-virils-que-cet/

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  2. Amazonie : l'Obs tout feu tout flamme... infâme


    3 Septembre 2019
    par Seppi


    1.100 hectares détruits...

    Avec « Quel est l’impact des feux en Amazonie sur le climat ? », Mme Audrey Garric et M. Gary Dagorn, du Monde Planète, ont proposé une entrée en matière intéressante :

    « L’Amazonie brûle sans discontinuer, enflammant les arbres, les réseaux sociaux et les relations diplomatiques. »

    Ces auteurs ont toutefois oublié de citer les médias, y compris, du reste, le leur.

    Dans le Monde, une tribune végétarienne

    Que penser, par exemple, d'une tribune intitulée : « La forêt amazonienne brûlée par l’industrie de l’élevage », avec pour chapô :

    « Dans une tribune au "Monde", Elodie Vieille Blanchard et Frédéric Mesguich, de l’Association végétarienne de France, considèrent que nous sommes également responsables des incendies en Amazonie, car la viande que nous mangeons provient d’animaux nourris au soja produit au Brésil. »

    Accuser ainsi « l’industrie de l’élevage » – dans sa globalité – et prétendre que notre viande « provient d’animaux nourris au soja produit au Brésil », sans nuance, il faut oser... Il faut oser l'écrire – même si ça vient de l'Association Végétarienne de France ; mais il faut aussi oser publier...

    Il n'est évidemment pas question de préconiser une police de la pensée. Mais un journal comme le Monde s'honorerait à faire un tri dans ses choix rédactionnels et à décliner la publication d'allégations aussi grotesques. Faire un tri... ou refléter la pluralité des opinions.

    Or... Gageons qu'une tribune qui dirait que le Président Jair Bolsonaro n'est pas pour grand-chose dans les incendies amazoniens n'aurait guère de chance d'être publiée par le Monde...

    Dans l'Obs... n'importe quoi !

    Insultes et incohérence

    Ni dans l'Obs qui a publié « Bolsonaro est responsable de l’Amazonie qui brûle. Mais nous, les riches, aussi ». C'est fou ce que cette autoflagellation fait vendre... Mais il n'y a pas que cela. En chapô :

    « On aimerait croire que l’infâme Jair Bolsonaro, héraut des multinationales, porte seul la destruction de la forêt brésilienne. Mais nos appétits de consommateurs occidentaux n’y sont pas étrangers. »

    Fallait-il vraiment traiter M. Jair Bolsonaro d' « infâme » ? et de « héraut des multinationales » ? L'accuser de « porte[r] seul la destruction de la forêt brésilienne » ? Tout en trouvant d'autres coupables ? On peut avoir toutes les raisons de détester ce personnage, mais cette littérature ne fait pas avancer le dossier et signe en fait le déshonneur d'une certaine classe journalistique.

    Comme tout est simple !

    Mais ce n'est pas tout. En résumé :

    « Le constat tient en trois phrases : les animaux d’élevage se nourrissent de soja. La France n’a pas de soja ou du moins pas assez, et donc elle en importe. Pour répondre à cette demande et cultiver la graine si précieuse, les paysans brésiliens déforestent massivement. Le phénomène est d’ailleurs mondial. Selon la FAO, 70 % des terres agricoles de la planète sont utilisées directement (les monocultures) ou indirectement (le pâturage) pour produire de quoi nourrir les bêtes d’élevage, soit trois fois plus que dans les années 1960. »

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  3. Non, les animaux d'élevage ne se nourrissent pas de soja. Leur alimentation est diversifiée, à base d'herbe et de maïs dans le cas de bovins, et complémentée par des protéines, notamment du soja.

    Non, les paysans ne déforestent pas – ou plus – massivement pour produire du soja (voir le graphique « drivers of deforestation » ici).

    La suite est un coq-à-l'âne. Et on peut être ébahi devant les affirmations. Les pâturages serviraient « indirectement » à nourrir les « bêtes d'élevage » ?

    Une touche d'anticapitalisme

    L'anticapitalisme primaire n'est pas loin :

    « C’est à l’orée des Trente Glorieuses que les « petits » paysans se sont mis à travailler la terre partout sur la planète, non pour nourrir leurs familles, mais pour répondre, et contre une rétribution de misère, aux appétits d’une industrie de plus en plus productiviste. »

    Pleurez dans les chaumières... euh non... dans les beaux quartiers à bobos...

    Et voici la « cause animale »

    Là, la pollution d'un article de l'Obs par l'obsession idéologique de son auteure devient manifeste :

    « L’insémination à la chaîne et des bricolages hormonaux (effrayants) ont permis d’"harmoniser les chaleurs" des femelles – pour qu’elles soient fécondables en même temps. »

    La nouvelle zootechnie est ensuite au rendez-vous :

    « Les ventres sont devenus plus fertiles, ce qui a entrainé une augmentation massive des naissances, laquelle a entrainé une demande massive de soja. En un demi-siècle, la production mondiale a crû de 751 %. »

    Ne rien y entraver, mais dégoiser quand même...

    On embraye sur la technologie agroalimentaire, avec des liens vers... Wikipedia :

    « Près de 85% est transformée en nourriture animale alors même qu’il s’agit d’un oléagineux naturellement riches [sic] en protéine [resic] et en huile utilisé [re-resic] dans l’alimentation humaine depuis des millénaires. »

    Chut ! Ne dites pas à Mme Anne Crignon que le tourteau de soja donné aux animaux, c'est le résidu de l'extraction de l'huile...

    Que l'huile est bien utilisée dans l'alimentation humaine, mais aussi transformée en biocarburant ou affectée à des usages industriels.

    Quand les cons voleront...

    On fait un détour par l'Argentine – et ses 8 % d'enfants dénutris, comme si c'était la faute du soja – et la Chine :

    « […] Le soja argentin n’est pas consommé sur place. Il prend l’avion pour la Chine où il va engraisser poissons et cochons. »

    Sainte Greta Thunberg, faites quelque chose !

    D'où sortent ces statistiques ?

    On pourrait s'arrêter là, mais il est nécessaire d'éreinter cet article jusqu'au bout (enfin pour autant qu'on héberge l'espoir que l'Obs saisira l'ampleur du désastre). Les statistiques ?

    « Au Brésil, la culture est passée en cinquante ans de zéro à plus de 60 millions d’hectares et la surface sacrifiée a augmenté d’environ 50 % ces quatre dernières années. »

    Selon la FAO, les surfaces récoltées sont passées de 612.115 hectares en 1967 à 33.936.223 en 2017. Ce n'était pas zéro... et on est loin des 60 millions d'hectares aujourd'hui.

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  4. Quant à la « surface sacrifiée », on aimerait savoir à quoi cela se rapporte.

    En 2013, on a récolté au Brésil 27.906.675 hectares de soja. L'augmentation de la surface, ainsi mesurée, serait de quelque 22 %. Encore faut-il savoir que le soja peut se cultiver en dérobé – ou remplacer une autre culture – de sorte que cette augmentation des emblavements ne correspond pas à une mise en culture de terres défrichées.

    En 2016, les « terres arables » représentaient 80.976.000 hectares. En 2012, c'était 72.607.000 d'hectares, soit une augmentation de 11,5 %.

    Énorme ? Les « terres agricoles » n'ont progressé que de quelque 3 %, de 275.607.000 à 283.546.000 millions d'hectares.

    Bien sûr, cette évolution ne peut qu'être considérée comme affligeante dans Boboland, qui croit que l'Amazonie est le « poumon de la Planète » et que nous aurions un droit de regard sur l'utilisation qui en est faite par les pays de la région. C'est peut-être difficile à comprendre pour des gens repus, nageant dans l'opulence, mais il se trouve que ces pays aspirent à se développer... et pour le Brésil, l'agriculture est un enjeu stratégique. Et le soja une formidable opportunité.

    Toujours selon la FAO, la surface en forêts a diminué de 0,8 % entre 2012 et 2016 (de 496.490.000 à 492.554.000 hectares). Pour les forêts primaires, les statistiques de la FAO affichent une stabilité (!) à 202.691.000 hectares pour le Brésil.

    Quelle surface a brûlé (et brûlera d'ici la reprise des pluies) ? Apparemment on a des difficultés à produire des statistiques à ce stade. La Bolivie semble beaucoup plus touchée que le Brésil. Nice Matin a produit un intéressant résumé historique des grands feux de forêts... de quoi remettre les choses en perspective et à ne pas mettre entre les mains de M. Jair Bolsonaro...

    Et voici le lyrisme abscons !

    Il a fallu lire et relire avant de saisir :

    « Martyriser la première de nos forêts primaires et ses peuples fragiles pour nourrir des millions d’animaux artificiellement, et avec une cruauté systémique indéniable, mis au monde est l’une des réalités les plus triviales et les plus emblématiques de ce "monde à l’envers" dans lequel nous flottons et qui provoque un malaise croissant. »

    On en est à Martine à la ferme ou à l'agriculture vue par une personne qui n'a jamais traversé le périph'. Complémenter une alimentation avec du tourteau de soja, ce serait donc « nourrir […] artificiellement » ! Et ce sont en fait les animaux qui seraient mis au monde « avec une cruauté systémique indéniable ». Cela dépasse l'entendement.

    L'auteure s'abstient cependant de conclure selon ses convictions :

    « Manger de la viande trois ou quatre fois par semaine et pas plus est l’acte I. Le plus simple pour protéger l’Amazonie et ses hôtes, et commencer à remettre le monde à l’endroit. »

    Non sans avoir fait référence très partiellement à une étude qui semble conforter le point de vue – « Reducing food’s environmental impacts through producers and consumers » (réduire les impacts environnementaux de l'alimentation à travers les producteurs et les consommateurs) de J. Poore1 et T. Nemecek.

    Et non sans avoir affirmé que remplacer « la moitié des produits animaux [...] par des équivalents végétaux » (des équivalents, vraiment ?) se traduirait par le fait que « [l]a famine en serait diminuée drastiquement ».

    C'est merveilleux l'ignorance, les illusions et les fantasmes.

    http://seppi.over-blog.com/2019/09/amazonie-l-obs-tout-feu-tout-flamme.infame.html

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  5. « L’ascension incertaine des fermes verticales » sur Paysan Breton


    3 Septembre 2019
    par Seppi
    Glané sur la toile 388


    « L’ascension incertaine des fermes verticales » sur 'Paysan Breton' est un excellent article. Il remet quelques pendules à l'heure, pour autant que l'on puisse obtenir des données fiables.

    En chapô :

    « Les fermes high tech se développent rapidement dans les centres urbains d’Asie, d’Amérique du Nord et d’Europe occidentale. Quelques 400 installations en activité sont recensées dans le monde. »

    Et plus loin :

    « Pas de grand saut de productivité

    Pour l’heure, ces fermes indoor s’inscrivent encore dans une économie de « promesses technoscientifiques, de startup et de capital-risque », résume Florent Bidaud, dans une analyse du Centre d’études et de prospective du ministère de l’Agriculture (1).

    «Des communiqués des entreprises impliquées dans ces modes de production invitent à l’optimisme, certaines se prévalant de productions 120 fois supérieures à la culture de pleine terre (Agricool, production de fraises), voire 350 fois supérieures (Aerofarms, légumes-feuilles) ». Reste que l’interprétation de ces résultats doit tenir compte du nombre de cycles de cultures et d’étages de l’installation comparativement à la culture en pleine terre. « Les études sur le sujet font état de niveaux de production proches de ceux obtenus avec les itinéraires techniques habituels, plutôt qu’un grand saut de productivité », expose l’analyse du Centre d’études et de prospective. »

    L'analyse citée, « Les fermes maraîchères verticales » est ici (quatre pages). En résumé :

    « Équipements jusqu’à maintenant très exceptionnels, les fermes verticales high tech se développent rapidement dans les centres urbains d’Asie, d’Amérique du Nord et d’Europe occidentale. Pour autant, leur viabilité économique et leur intérêt agronomique, par rapport aux cultures de plein champ ou en serres, sont loin d’être établis. Pourquoi certains acteurs s’engagent-ils dans cette voie ? Quelles sont les solutions techniques mises en œuvre ? Avec quels business models et quelles perspectives d’avenir ? Cette note, basée sur des exemples concrets, apporte des éléments de réponse à ces questions.

    Il y a un intertitre intéressant : « Une agriculture techno-industrielle »... Les contempteurs de l'agriculture qui nous nourrit et adorateurs du bio – par axiome naturel et sain – se laisseront-ils séduire par une telle forme de production, certes de quelques produits seulement comme les laitues, fraises et herbettes, où tout est artificiel ?

    Quelles seront les réactions quand on montrera des plantes sous une lumière violette ?

    Il y a cependant, pour ces productions « techno-industrielles », un créneau porteur : le cannabis…

    http://seppi.over-blog.com/2019/09/l-ascension-incertaine-des-fermes-verticales-sur-paysan-breton.html

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    1. De plus en plus des 'fruits & légumes et fleurs' venus du Nord de l'Europe font leur apparition en supermarchés se prétendant être des 'fruits & légumes et fleurs' ! Houlala !
      Les fruits et légumes n'ont que l'aspect d'en être quant aux fleurs... autant abandonner l'espoir d'en garder en pot car, sorties de serres, elles crèvent dans les 24 h !

      L'artificiel (vanté par les supermarchés et sites de trolls de Bruxelles) ne rivalise aucunement avec les vraies tomates de France mûries au soleil de Provence ! Je ne parle pas ici des 'Champignons de Paris' ou du 'Jambon de Paris' qui ne sont que des imaginations pour bobos.

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  6. Equipement de plongée utilisé par un groupe de yakuza pour une opération de braconnage

    POLICE PRÉFECTURELLE DE NAGASAKI
    VIA KYODO


    Poisson pêché illégalement par le yakuza vendu au restaurant sashimi de Nagasaki

    KYODO
    3 septembre 2019


    NAGASAKI - Un restaurant de la ville de Nagasaki a vendu des bols de riz sashimi à prix réduit à partir de poisson pêché dans le cadre d'une opération de braconnage illégale menée par un groupe du crime organisé, a annoncé mardi la police locale.

    Le restaurant devant la gare de Nagasaki, qui a récemment fermé ses portes, était populaire parmi les touristes et les travailleurs pour ses plats, notamment un bol de riz à 500 ¥ de fruits de mer.

    Il était dirigé par un membre de la famille du groupe yakuza et ses ventes annuelles avaient atteint 300 millions de yens, a ajouté la police.

    Le chef du crime et d'autres membres du syndicat ont été inculpés pour braconnage dans les eaux au large de Nagasaki à partir de 2016 environ. Les enquêteurs ont par la suite découvert qu'ils avaient approvisionné le restaurant en poisson, tel que la dorade rouge.

    Le gang a emprunté du matériel de plongée à Nagasaki. Selon la police, certains membres ont été désignés pour pêcher et d'autres pour conduire les bateaux ou servir de guetteurs.

    Les enquêteurs ont trouvé environ 200 kilogrammes de filets de poisson congelés emballés sous vide qui avaient été envoyés au restaurant lors d’un raid dans un centre d’information situé dans le quartier de divertissement pour adultes du centre-ville. Le centre était sous le contrôle du chef du groupe yakuza, a annoncé la police.

    «Je suis allé au restaurant plusieurs fois parce que c'était bon marché, mais je n'avais jamais imaginé qu'un groupe du crime organisé y soit impliqué», a déclaré un homme d'affaires de 20 ans.

    Alors qu’une loi de 1992 visant le crime organisé a conduit à la répression de nombreux types d’activités illégales de gangsters, le braconnage est peut-être devenu la source de revenus du groupe, a déclaré la police.

    https://www.japantimes.co.jp/news/2019/09/03/national/crime-legal/illegal-fish-yakuza-nagasaki-sashimi/#.XW5cYSlFmQA

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  7. Abe remaniera le 11 septembre les dirigeants du Cabinet et du PDL, et Motegi devrait se présenter au ministre des Affaires étrangères


    KYODO, JIJI
    3 septembre 2019


    Le Premier ministre Shinzo Abe a annoncé mardi qu'il remodéliserait son gouvernement et ses dirigeants au sein de son parti libéral démocrate au pouvoir le 11 septembre.

    "Je vais procéder à un remaniement du personnel afin de créer une gamme puissante pour assurer la stabilité et relever les défis", a déclaré Abe lors d'une réunion des dirigeants du LDP mardi.

    S'exprimant lors d'une conférence de presse tenue à l'issue de la réunion, le secrétaire général du LDP, Toshihiro Nikai, a exprimé son espoir que le parti se réunisse pour tenter de gérer sans heurts les affaires de l'État et de répondre aux attentes de la population.

    La première refonte depuis octobre 2018 était initialement prévue pour le 10 septembre, mais Abe avait apparemment pris en compte son calendrier diplomatique chargé pour décider de la date.

    Abe a une visite en Russie prévue plus tard cette semaine pour un forum économique et un sommet avec le président russe Vladimir Poutine.

    Malgré les changements importants attendus dans la composition du Cabinet, les poids lourds qui soutiennent Abe depuis son retour au pouvoir en 2012, en particulier le secrétaire général du Cabinet, Yoshihide Suga, et le vice-Premier ministre et ministre des Finances, Taro Aso, devraient conserver leurs portefeuilles.

    Certains membres de l'administration s'attendent à ce que M. Abe récompense le ministre de la Revitalisation économique, Toshimitsu Motegi, pour son travail en tant que principal négociateur du pays dans les négociations commerciales bilatérales avec les États-Unis, éventuellement en l'instituant à un poste clé tel que celui de ministre des Affaires étrangères.

    Lundi soir, Abe et Motegi se sont entretenus seuls au bureau du Premier ministre pendant environ 40 minutes. "Nous avons discuté de la situation intérieure et de la situation à l'étranger", a déclaré Motegi aux journalistes.

    Le large accord sur le commerce bilatéral a été conclu peu après le début des négociations commerciales au niveau ministériel en avril.

    «Le Motegi a apporté de grandes contributions cette fois-ci et le Premier ministre accorde une grande importance à cela», a déclaré une source gouvernementale.

    "Il est probable qu'il soit ministre des affaires étrangères", a déclaré un collaborateur de Abe.

    Dans le même temps, certains membres du gouvernement et du bloc au pouvoir ont déclaré que Motegi devrait rester en charge des négociations commerciales jusqu'à ce qu'un accord commercial entre le Japon et les États-Unis obtienne l'approbation de la Diète.

    Si les gouvernements japonais et américain signaient un accord commercial en septembre, comme ils l’espéraient, cet accord serait présenté à la Diète lors d’une session extraordinaire qui devrait commencer en octobre. Les partis d'opposition sont sur le point de faire griller le gouvernement à ce sujet.

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  8. On s'attend à ce qu'Abe étudie attentivement les options pour le Motegi, notamment en le conservant à son poste actuel ou en le faisant doubler en tant que ministre des Affaires étrangères.

    Pour ce qui est du ministre des Affaires étrangères, Taro Kono, la faction du LDP appelle à lui attribuer un poste au sein du parti au pouvoir.

    Le destin de Nikai, qui occupe le poste de secrétaire général du parti depuis trois ans, et de Fumio Kishida, président du LDP Policy Research Council, considéré comme un candidat possible pour succéder à Abe, devrait être au centre de la réforme. de l'équipe de direction du parti.

    https://www.japantimes.co.jp/news/2019/09/03/national/politics-diplomacy/abe-reshuffle-motegi-foreign-minister/#.XW5dDClFmQA

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  9. Choc des cultures alors que les cow-boys d'Amazonie se rapprochent des terres autochtones


    PAR JORDI MIRO
    3 septembre 2019
    ÉTAT DE RONDONIE, BRÉSIL -


    À quelques kilomètres et un monde de l'autre côté de la délicate fracture existentielle de la forêt tropicale, des cow-boys à cheval rassemblent le bétail à la limite d'un vaste ranch.

    «Nous n'avons aucun problème avec eux», a déclaré Awapy Uru-eu-wau-wau, le jeune chef de la communauté forestière de 19 personnes située dans le centre de l'État de Rondonia.

    C’est une expression rare de bonne volonté dans une région où les mondes de riches propriétaires terriens et de tribus indigènes se heurtent et se bousculent pour l’avenir de la plus grande forêt pluviale de la planète.

    La réserve indigène de 1,8 million d’hectares riche en ressources de la tribu - une superficie presque deux fois supérieure à celle du Liban - est constamment assiégée par les propriétaires terriens, les marchands de bois, les propriétaires fonciers et les mineurs, qui dépendent de la déforestation pour exploiter ses richesses.

    «Je fais face à cette invasion depuis l’âge de 19 ou 20 ans et ces gars-là nous menacent parce que nous leur faisons face», déclare Awapy, 38 ans. «Je n’ai pas peur de risquer ma vie. C'est la seule solution."

    Les quelques centaines d'habitants de la réserve, répartis en sept hameaux, ont une longue histoire de résistance. Pour aider à surveiller la forêt et à se protéger, les soi-disant gardiens de la nature vivent principalement le long des limites de leur territoire, délimité au début des années 90.

    Le village d’Awapy comprend une demi-douzaine de petites habitations, certaines en bois avec un toit en paille, d’autres en ciment avec des toits de tuiles. Les cinq familles ici vivent presque entièrement dans la jungle, où elles s’aventurent quotidiennement pour chasser et, le cas échéant, repousser les envahisseurs - des groupes souvent organisés - dans des affrontements qui deviennent souvent violents, dit-il.

    Dans cette zone située au sud de la ville de Porto Velho, les clairières et les prairies fraîches sont évidents, des signes de déforestation toujours plus nombreux, annoncés par les feux de forêt qui se sont répercutés à l’échelle mondiale ces dernières semaines.

    L’absence de l’État de la terre a fait de telles zones un terrain fertile pour les gangs et encourage l’occupation de terres qui finissent souvent par être intégrées à des fermes d’élevage, ont déclaré des ONG.

    Les procureurs ont porté plainte contre des producteurs ruraux pour avoir occupé, divisé et vendu des terres dans cette réserve et ailleurs.

    Les Uru-eu-wau-wau soutiennent que les envahisseurs se sentent protégés depuis l'arrivée au pouvoir du président Jair Bolsonaro, en janvier, qui a soutenu l'ouverture des terres protégées à l'agriculture et aux activités minières. Lors de son entrée en fonction, il a déclaré que les peuples autochtones devaient être intégrés à la société et ne pas vivre dans des réserves "comme s'ils étaient des animaux dans un zoo".

    «Ce n’était pas comme ça dans le passé, mais aujourd’hui, ils défrichent tout», a déclaré Awapy, dans son salon ou salle de réunion de famille, entouré de villageois allongés dans des hamacs.

    Une heure et demie plus loin, sur une route forestière, dans la petite ville de Monte Negro, le secteur de l'agroalimentaire montre ses forces lors d'un rodéo. Une vingtaine de cow-boys affichent leur talent, chevauchant le taureau le plus longtemps possible

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  10. Vêtus de chapeaux stetson, de jeans et de bottes de cow-boy, ils travaillent dans certains des vastes ranchs de bétail de la région qui ont coupé la forêt pendant des décennies.

    Les spectateurs profitent du spectacle et rient fort d’un croquis d’interlude dans lequel un clown poursuit un cerf - un veado en portugais qui est également un terme dénigrant pour les homosexuels.

    C'est un Brésil rural et conservateur - un fief du bolonarisme - dont les habitants appartiennent à ce que l'on appelle le groupe démographique BBB. L'ensemble «Beef, Bible and Bullet» est le triomphe de puissants intérêts qui ont permis à Boslonaro de prendre le pouvoir. le secteur agroalimentaire, les églises évangéliques et le lobby pro-armes au Congrès.

    Les propriétaires fonciers, arrogants et circonspects envers les étrangers, sont accusés par des activistes de l'environnement d'être en partie responsables de la propagation des ruines en Amazonie, profitant au détriment des terres publiques et des réserves indigènes.

    Ils maintiennent qu'ils respectent les limites de leurs terres, revendiquent leur droit de les développer et rappellent l'importance de l'expansion de l'agriculture pour l'économie brésilienne.

    «Les gens doivent respecter le fait que ce qui est réserve est ce qui est réserve, ce qui est autochtone est autochtone», a déclaré Marconi Silvestre, propriétaire d'une ferme à Monte Negro et organisateur du rodéo.

    Un autre propriétaire venu vendre des taureaux d’élevage déclare en privé que les autochtones eux-mêmes déboisent et vendent du bois et des terres.

    "Ils font la même chose que Pedro Alvares Cabral quand il est arrivé", a-t-il déclaré, évoquant le pionnier portugais qui, en 1500, a atterri sur la côte du futur Brésil. "Ils échangent de la richesse contre des miroirs."

    Plusieurs propriétaires ont affirmé que les médias avaient exagéré la portée des feux de forêt et se sont moqués du président français Emmanuel Macron, qui a appelé le mois dernier à «internationaliser» la protection de la forêt amazonienne.

    "L'Amazonie est la nôtre", a déclaré l'un des propriétaires. "Dis ça à Macron !"

    https://www.japantimes.co.jp/news/2019/09/03/world/social-issues-world/clash-cultures-amazon-cowboys-close-indigenous-lands/#.XW5eNSlFmQA

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    1. C'est vrai que chaque année la surface d'un département français disparait de l'agriculture française pour remplir les poches des escrocs de l'immobilier.

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  11. Pêche à la baleine


    Le retour du Japon à la chasse commerciale à la baleine suscite les critiques de défenseurs de l'environnement et les louanges d'acteurs de l'industrie


    PAR SAKURA MURAKAMI
    ÉCRIVAIN DU PERSONNEL
    30 JUIN 2019


    Au milieu des controverses internationales, une flotte de navires quittera le port de Shimonoseki lundi.
    Après avoir quitté le port de la préfecture de Yamaguchi, ils entameront une mission qui enragera beaucoup de monde, mais en encouragera peut-être d'autres. Les supporters pourraient appeler cela un jour qui durait depuis 30 ans. Les détracteurs vont appeler cela un pas en arrière pour les efforts de conservation des baleines.

    Dans un mouvement de polarisation, le Japon reprendra la chasse commerciale à la baleine lundi après son retrait de la Commission baleinière internationale, rompant ainsi avec le moratoire mondial sur la chasse à la baleine adopté par cette organisation il y a plus de 30 ans.

    «Nous avons travaillé d'arrache-pied pour reprendre la chasse à la baleine commerciale. À cet égard, nous sommes très heureux que cet objectif spécifique ait été atteint», a déclaré Konomu Kubo, porte-parole de Kyodo Senpaku Co., qui vend de la viande de baleine.

    La reprise de la chasse commerciale à la baleine entraîne un sens des responsabilités, a-t-il ajouté, soulignant que "nous ne voulons pas laisser les efforts de nos ancêtres se perdre à tout jamais".

    Le gouvernement a vigoureusement défendu la chasse à la baleine, en invoquant son importance culturelle et historique. Certaines régions ont une longue tradition de chasse à la baleine et le goût de sa viande a été gravé dans l’esprit du public à la suite de la guerre, alors que c’était la principale source de protéines du pays.

    La chasse à la baleine commerciale ne sera reprise que dans la zone économique exclusive du pays, soit à 200 milles marins de ses côtes.

    En vertu de l’interdiction de la chasse à la baleine imposée par la CBI, les navires avaient chassé dans des zones telles que la haute mer de l’océan Antarctique, dans le cadre d’une collecte de données aux fins de la conservation et de la durabilité. La «recherche scientifique» a été largement critiquée à l’échelle internationale comme une couverture pour la chasse commerciale et la viande de baleine capturée était ensuite vendue pour être consommée au public.

    La CBI autorise la chasse à des fins scientifiques, mais la Cour internationale de Justice a statué en 2014 que les pratiques du Japon ne pouvaient pas être considérées comme une recherche scientifique au sens de la Convention internationale pour la réglementation de la chasse à la baleine.

    Tokyo a continuellement reproché à la CBI de ne pas avoir respecté ses principes fondateurs adoptés en 1946, arguant que l'organe international se concentrait uniquement sur la conservation sans permettre une «gestion durable» des ressources marines - comme indiqué dans la convention.

    "À notre grand regret, il est apparu clairement que la CBI n'avait pas l'intention d'atteindre les objectifs énoncés dans sa Convention appelant à une croissance durable du secteur de la chasse à la baleine et qu'il n'y avait pas de place pour des opinions et positions divergentes au sein de l'organisation", a déclaré le secrétaire général du Cabinet, Yoshihide Suga, dans une déclaration publiée en décembre dernier, à la suite de l'annonce par le Japon de son intention de quitter la CBI.

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  12. En effet, les États membres de la CBI étaient en désaccord sur l'orientation de l'organisation, frustrant à la fois les camps pro- et anti-chasse à la baleine.

    «J’ai assisté aux réunions de la CBI dans le passé, mais nous ne nous parlions qu’entre eux… et je n’ai pas eu l’impression qu’il y avait de l’espoir de faire beaucoup de progrès», a déclaré Kubo.

    Certains ont salué la sortie du Japon comme une initiative diplomatique adroite qui permettrait à la CBI de se concentrer sur les efforts de conservation plutôt que de s’enfermer dans une impasse sur la question de la chasse commerciale à la baleine.

    «La CBI est en train de migrer d’un club de baleiniers à un club de conservation des baleines», a déclaré Patrick Ramage, directeur de la conservation marine au Fonds international pour la protection des animaux (IFAW). «La reconnaissance de cela par le Japon fait partie de ce qui les a poussés à sortir. Par leur sortie, ils facilitent et accélèrent cette transition. "

    Cela étant dit, Tokyo continuera à rester en tant qu'observateur à la CBI, ce qui, selon le gouvernement, lui permettra de remplir les obligations qui lui incombent en vertu de la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer de «travailler par le biais des organisations internationales appropriées» pour la conservation et la conservation. gestion des baleines.

    Certains experts ont des opinions divergentes.

    La convention est basée sur le principe que les opérations de chasse à la baleine seront menées «conformément aux obligations légales et aux réglementations imposées par les organisations internationales», a déclaré Atsushi Ishii, professeur associé à l'Université de Tohoku et expert des questions relatives à la chasse à la baleine.

    Étant donné que le Japon - sous son statut d'observateur - ne s'acquittera pas de ces obligations légales, Ishii pense que les opérations de chasse à la baleine entreprises par le pays seront illégales au regard de la convention américaine.

    «Un aspect important de la question de la chasse à la baleine qui semble manquer au Japon, c’est que les baleines qui nagent en haute mer appartiennent à l’ensemble de l’humanité» et non à la partie qui les chasse, a déclaré Ishii.

    "Si le Japon veut continuer la chasse commerciale à la baleine, il doit le faire en vertu du consensus et de la compréhension de la société internationale en général, étant donné que le Japon prendra quelque chose qui appartient à tous."

    Le gouvernement a insisté sur le fait qu'ils feraient leur part pour assurer la promotion de «l'utilisation durable des ressources biologiques aquatiques fondée sur des preuves scientifiques».

    L’agence pour les pêches envisage de reprendre la chasse commerciale afin de tirer le meilleur parti de cette ressource maritime - comme tout autre type de ressource maritime - mais selon des "règles permettant une chasse durable à la baleine", a déclaré un responsable de la division chasse à la baleine.

    Néanmoins, malgré l'assurance du gouvernement que leurs opérations de chasse à la baleine seront durables, les militants ont exprimé leurs critiques.

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  13. Hisayo Takada, directeur de programme de Greenpeace Japon, a déclaré: "Nous sommes heureux que le gouvernement japonais ait annoncé la fin de sa chasse à la baleine dans l'Antarctique", mais a ajouté: "Nous sommes inquiets de s'éloigner de l'organisme international de conservation, le IWC. "

    «Les baleines sont directement touchées par les changements climatiques, la pollution par les plastiques, l'exploration pétrolière, la pêche industrielle et la perte d'habitat. Bien que ces problèmes nécessitent du temps pour être résolus, certaines menaces peuvent être immédiatement éliminées, telles que la chasse commerciale à la baleine, interdite depuis plus de 30 ans au niveau international », a-t-elle ajouté avant de demander au gouvernement de poursuivre ses discussions avec la communauté mondiale. .

    "Le Japon quittant la CBI et défiant le droit international de poursuivre ses ambitions commerciales de chasse à la baleine est renégat, rétrograde et myope, il porte atteinte à sa réputation internationale pour une industrie dont le nombre de jours est si clairement défini, de produire un produit pour lequel la demande s'est effondrée" Kitty Block, président de Humane Society International.

    La question reste certainement de savoir à quel point le Japon est friand de viande de baleine.

    À son apogée dans les années 1960, la consommation de viande de baleine atteignait plus de 200 000 tonnes.

    Alors que le pays adoptait un régime alimentaire plus occidental en phase avec sa croissance économique, la consommation de baleines diminuait progressivement. Au cours des dernières années, la consommation a été négligeable. Certaines statistiques montrent que seulement 36 grammes par jour sont consommés par personne.

    Les partisans de la chasse à la baleine soutiennent que la baisse a été causée par une pénurie d’offre.

    "Je ne pense pas nécessairement que la demande ait diminué - la diminution de l'offre est ce qui a poussé les gens à ne plus manger de viande de baleine", a déclaré Kubo, de Kyodo Senpaku.

    Kubo espère que les prix vont baisser avec la reprise de la chasse commerciale à la baleine et que de nouveaux canaux d'approvisionnement s'ouvriront, rendant la viande de baleine plus accessible au grand public.

    Reste à savoir si la chasse commerciale à la baleine peut devenir une activité économiquement viable et certains doutent de l'avenir à long terme du secteur.

    «La chasse à la baleine est un perdant économique depuis des années. … Des subventions gouvernementales avaient été détournées pour soutenir cette industrie défaillante et, malgré tout, les Japonais ont montré qu'ils n'avaient pas de yen pour la viande de baleine », a déclaré Ramage, directeur d'IFAW.

    Ce manque d'appétit pour la viande de baleine pourrait également refléter un sentiment plus général de la chasse à la baleine parmi le public japonais.

    Ramage a déclaré que les Japonais ne sont ni favorables ni défavorables à la chasse à la baleine, mais qu’ils "sont anti-anti-chasse à la baleine", soulignant une enquête menée par IFAW et Greenpeace en 2000.

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  14. Le sondage a révélé que 55% des 1185 répondants étaient neutres à propos de la chasse commerciale à la baleine, alors que 14% s’y opposaient et 11% l’appuyaient fermement.

    Les incidents impliquant le groupe militant anti-chasse à la baleine Sea Shepherd en 2006, lorsque l’organisation s’est opposée aux navires japonais, sont devenus un incident symbolique qui a en grande partie conduit à la montée du sentiment «anti-anti-chasse à la baleine», a déclaré Ishii, de l’Université de Tohoku.

    Mais cela sous-tend un désintérêt fondamental pour la question, a-t-il ajouté.

    "Les électeurs pourraient répondre favorablement aux sondages, mais le problème ne les concernera probablement pas beaucoup dans un cas ou dans l'autre", a-t-il déclaré.

    "Peu de gens mangent plus de viande de baleine, après tout."

    https://www.japantimes.co.jp/news/2019/06/30/reference/japan-resumes-commercial-whaling-amid-criticism-conservationists-praise-industry-stakeholders/#.XW5goilFmQA

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    1. Les bateaux baptisés 'The Brigitte Bardot and Michel Sardou Japanese laughing' pêcheront les dernières baleines qui emmerdent les navigateurs et font peur aux maquereaux et morues de tous les pays !.

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  15. Les thermageddonites nous "étudient". Ayez peur, ayez très peur


    le 2 septembre 2019
    Par Christopher Monckton de Brenchley


    Mon attention a récemment été attirée sur l'existence d'une entité pseudo-universitaire vraiment répugnante - le "Centre d'études sur le déni du changement climatique" de la "Université" Chalmers à Gothenborg, en Suède. L'image impropaganda ci-dessous déshonore sa page d'accueil:

    L'idéologie politique de cette «université» fastueuse, comme si le nom empli de haine de son «Centre d'études sur le déni» n'était pas un don mort, peut être évaluée à partir du style de son logo:

    - voir sur site francmaçon -

    L’Université Chalmers a été fondée en 1829. Elle était une école maternelle pour enseigner à des enfants pauvres à lire et à écrire. Il a été fondé par le colonel éponyme William Chalmers, qui avait tiré profit de son mandat d'administrateur de la Compagnie suédoise des Indes orientales.

    Le texte publicitaire pour le nid de vipères au sein de «l'Université» commence ainsi:

    «Avec la Chalmers University of Technology, Suède, comme plaque tournante, le premier réseau mondial de recherche sur le déni du changement climatique a maintenant été mis en place.

    «La conscience scientifique et politique de l'effet de serre et de l'influence humaine sur le climat existe depuis plus de trois décennies. Au cours des années 1980, il y avait un fort mouvement environnemental et un consensus politique sur la question, mais ces dernières années, le déni du changement climatique - le fait de nier que les changements climatiques sont dus à l'influence humaine sur l'environnement - a augmenté, ce qui plaide en faveur de comprendre pourquoi il en est ainsi.

    «Le projet global, pourquoi ne prenons-nous pas le changement climatique au sérieux ? Une étude sur le déni du changement climatique rassemble à présent les principaux chercheurs mondiaux dans ce domaine. Dans le cadre du projet, le réseau examinera les idées et les intérêts qui sous-tendent le négationnisme face au changement climatique, en accordant une attention particulière au nationalisme de droite, aux industries extractives et aux groupes de réflexion conservateurs. L’objectif est d’améliorer la compréhension du déni du changement climatique et de son influence sur la prise de décision politique, mais également de sensibiliser le grand public, les représentants du pouvoir, les instituts de recherche et l’industrie ».

    Notez qu'il n'y a aucune focalisation sur les vraies raisons pour lesquelles les sceptiques sont sceptiques:

    Première raison: le monde se réchauffe à un tiers du taux prédit

    - voir graphique sur site -

    Réchauffement observé de 1850 à 2011 (échelle inférieure) correspondant à la sensibilité de Charney projetée (IPCC 2013 et CMIP5 2012: échelle supérieure). La projection de milieu de gamme CMIP5 à 3,35 K (curseur rouge) implique un réchauffement transitoire de 2,4 K de 1850 à 2011, trois fois le réchauffement observé de 0,75 K (curseur vert) et 2,4 fois le réchauffement à l’équilibre prévu pour la période de 1 K sur la base du forçage anthropique net estimé déséquilibre radiatif jusqu'en 2011 (curseur orange). L'intervalle de sensibilité de Charney révisé (zone vert pâle) trouvé après correction des erreurs de physique dans les modèles actuels est cohérent avec l'observation et les prévisions.

    Projection par rapport à l'observation: l'IPCC (1990, p. Xxiv) avait prévu un réchauffement transitoire de 0,33 K -1, avec un réchauffement prévu entre 1990 et 2025 (ibid., P. Xii). Cependant, alors que seulement 0,35 K étaient survenus en juin 2012 (HadCRUT4: Morice et al. 2012), l'IPCC (2013) a réduit de moitié ses prévisions de réchauffement transitoire à 0,17 décennie – 1, sans toutefois réduire ses projections [1,5, 4,5] K Intervalle de sensibilité de Charney, qui est resté dans l'IPCC (2013) comme dans l'IPCC (1990) et dans Charney (1979).

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  16. Projection par rapport aux attentes: le forçage radiatif anthropique moyen à la moyenne jusqu’en 2011 est de 2,3 W m – 2 (IPCC 2013, fig. SPM.5), dont un déséquilibre radiatif de 0,6 W m – 2 (Smith et al. 2015) subsistait en 2011; doit tomber à zéro à l'équilibre. Par conséquent, en 2011, 17/23, ou 74%, du forçage anthropique net de 2,3 W m – 2 étaient reflétés dans le réchauffement de l'ère industrielle de 0,75 K K de 1850 à 2011 (HadCRUT4: Morice et al., 2012). La sensibilité d’équilibre de période implicite était alors de 0,75 / 0,74, ou 1 K, et le facteur de gain système implicite ou en boucle ouverte était de 23/17, ou 1,35. Étant donné que la sensibilité de référence (sensibilité avant prise en compte du retour) en réponse au gaz carbonique doublé est de 1,04 K dans l’ensemble de la cinquième génération du projet de comparaison de modèles climatiques (CMIP5: dérivé des données d’Andrews et al. 2012), la sensibilité implicite de Charney de milieu de gamme La réponse en retour des unités invariantes avec la température est de 1,35 x 1,04, ou 1,4 K. L'estimation à la moyenne de 3,35 K clip_image008 [4] de la sensibilité de Charney est dérivée ibid. par conséquent dépasse les attentes par un facteur de 2,4.

    Étant donné que le réchauffement climatique ne se produit pas à un rythme comparable à celui prévu, les inconvénients imaginés du réchauffement climatique ne se produisent pas non plus aux taux prévus.

    Deuxième raison: leurs prédictions étaient fausses parce que leur science était fausse

    La climatologie officielle a commis une erreur élémentaire de la physique. Il imagine que la rétroaction triplera le réchauffement direct inoffensif de 1 K provoqué par un doublement du gaz carbonique (ou même, au maximum, le décupler). Mais il définit à tort le retour d'information comme répondant uniquement aux changements du signal d'entrée, qui correspond, dans le climat, à la température d'émission de 255-274 K provoquée par le fait que le soleil brille. Comme le dit sans ambages le professeur Ray Bates, "La définition du retour d’information donnée par le IPCC est absurde".

    La majeure partie de la réaction en retour provient de la température d’émission, mais cette réponse en retour est mal attribuée et ajoutée à la minuscule réponse en réaction au réchauffement provoqué par les gaz à effet de serre naturels. J’ai récemment demandé à un autre théoricien du contrôle ce qu’il pensait de l’erreur d’IPeCaC, sur une échelle de 1 à 10. «C’est un 10», at-il haleté, étonné de la magnitude de l’erreur.

    En raison de cette erreur importante de la physique, la climatologie officielle imagine, à tort, que le réchauffement direct causé par les gaz à effet de serre entraîne une réaction en retour bien plus grande qu’elle-même. En résumé, c’est la principale raison pour laquelle on prévoit beaucoup plus de réchauffement planétaire que ce qui a été observé.

    Mais il y a plus. La semaine dernière, j'ai passé quelque temps en Irlande avec Michael Connolly et son fils Ronan. Les Connollys père et fils sont deux des esprits les plus vifs et les plus vivants que j'ai eu le privilège de rencontrer. Ils sont tellement fascinés par la science qu’ils m’ont rappelé la description faite par Quintilian selon laquelle Thucydides, historien athénien, était un semper sibi instans, qui trébuchait toujours dans son excitation face aux merveilles de la nature. Passer du temps avec eux revient à rappeler l'âge classique de la physique, où les mots «je me demande» - exprimant à la fois crainte et curiosité - prévalaient, plutôt que le «je crois» ou le frisson «tu croiras, sinon ! ”De la pseudo-science totalitaire moderne.

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  17. Chaque fois que je posais une question faible et profane (et que je devais m'excuser par avance pour la stupidité totale de certaines des questions que je poserais), ils se lancaient dans diverses délicieuses tangentes scientifiques en s'interrompant constamment. Une fois, j'ai dû poser la même question six fois avant qu'ils ne se soient déjà arrêtés avec les tangentes. Soudain, ils se concentrèrent et répondirent brillamment à la question.

    Depuis cinq ans, les Connolly travaillent patiemment à un résultat d'une beauté à couper le souffle, si étonnant, si inattendu et si merveilleux que c'est le premier résultat climatologique que je connaisse qui mérite le prix Nobel de physique.

    Les Connollys m'ont gentiment rencontré à mon arrivée à l'aéroport et ont porté mes bagages pour moi, car je m'étais cassé le pied alors que j'enseignais à des adolescents chrétiens dans un camp d'été dans une région rurale du Massachusetts le mois dernier. J'étais attaché dans une botte géante ne fonctionne pas pour moi comme une déclaration de mode, ou d'ailleurs comme une botte.

    Sur le chemin de la voiture, ils ont présenté leurs excuses les plus charmantes pour être socialistes. «Et moi aussi, sur la politique sociale», ai-je répondu, mais nous avons convenu que sur la politique économique, nous étions tous libertaires.

    Ces deux sont des gars pratiques. Ils ont construit leur propre maison de leurs propres mains et, pendant les quelques instants où ils ne font pas de science, ils gèrent leur empire immobilier. Ils ont le sens de l'humour irlandais à la pelle. Michael a écrit un article très perspicace appelé The Greenpeace Business Model, qui mérite d'être lu.

    Les Connolly sont aussi expérimentés dans le domaine scientifique que dans la construction de leurs maisons. Michael m'a montré une valise dans le coffre de sa voiture où il a gardé ce qu'il a décrit, avec un large sourire, comme «la plus longue paille en plastique d'Irlande». Elle mesure 100 pieds de long et il l’utilise dans ses conférences publiques pour montrer comment l’énergie se déplace dans l’air.

    Donc, au résultat de Connollys. Ils ont étudié les 20 millions de disques de radiosondage accumulés dans le monde entier depuis le milieu du siècle dernier. Chaque enregistrement est un profil de la température atmosphérique, de la pression, de l'humidité et de la direction du vent à différentes altitudes depuis la couche limite (où nous vivons, bougeons et sommes) jusqu'à la stratosphère moyenne. Les enregistrements de radiosondage donnent une image plus détaillée de ce qui se passe dans l'atmosphère que des mesures prises depuis le sol ou par des satellites.

    Les deux passionnés ont voulu savoir dans quelle mesure l’atmosphère se comportait comme un gaz idéal. Un gaz idéal est un gaz qui obéit à la loi des gaz parfaits (1), qui, comme le sait tout écolier, incarne les lois de Boyle, de Charles et d’Avogadro. P est la pression, V est le gaz en volume, n est le nombre de molécules, R est effectivement une constante de mise à l'échelle et T est la température.

    P V = n R T (1)

    Un gaz idéal est un gaz en équilibre thermodynamique. Quand on trace (1) des radiosondes, une courbe exaspérément stochastique (c'est-à-dire ondulée de façon imprévisible) se dessine. Michael en a déduit qu'il pourrait être intéressant de réorganiser les termes dans (1) pour donner (2), où la densité molaire D est liée au rapport pression-température -

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  18. D = n / V = ??P / RT (2)

    Si la densité molaire est représentée par rapport à la pression barométrique, la courbe stochastique disparaît et trois lignes distinctes très droites apparaissent: une pour la couche limite dans laquelle nous vivons, nous nous déplaçons et avons notre être, une pour le reste de la région active du climat. l’un pour la tropopause et aussi loin dans la stratosphère que les ballons iront:

    - voir graphique sur site -

    La densité molaire par rapport à la pression barométrique à diverses altitudes de l'atmosphère.

    Les droites sont si droites que le coefficient de détermination R2 est au moins égal à 0,9997. Quand Michael les a découverts, il est allé dans le laboratoire de Ronan et lui a montré. Ronan a déclaré: «Je ne crois pas cela!». Ils ont donc passé le reste de la nuit à vérifier des enregistrements aléatoires. Chaque enregistrement a montré des résultats similaires. Et ce que les résultats signifient, c'est que l'atmosphère est en équilibre thermodynamique.

    Mais voici la chose. Les Connolly s'inspirent d'un article publié par Albert Einstein il y a exactement 100 ans pour affirmer que, tant qu'un gaz est en équilibre thermodynamique, comme ils l'ont maintenant montré, l'effet de serre - bien qu'il soit présent - ne peut pas provoquer de réchauffement (à l'exception d'un effet de photo-émission minuscule s'appliquant à seulement 4% des émissions de particules en collision avec des photons qui passent.

    Naturellement, j'ai demandé où le réchauffement observé s'était produit. Il y a deux réponses à cela. L'une est la variabilité naturelle, car le réchauffement observé est suffisamment faible pour être cohérent. L’autre est qu’une augmentation du rayonnement solaire entre 1925 et 1995 environ, selon une analyse effectuée par les Connolly de 16 reconstructions distinctes publiées sur un siècle de variabilité solaire, aurait pu provoquer quelque part le réchauffement observé.

    Mais si les Connolly ont raison sur le fait que l'atmosphère est en équilibre thermodynamique, et s'ils ont raison, l'effet de serre d'un gaz idéal ne peut pas provoquer de réchauffement, l'arnaque climatique prend fin, car les gaz à effet de serre ne provoquent pas de réchauffement et ne le peuvent pas.

    Troisième raison: les arguments économiques en faveur de l'inaction climatique sont accablants

    Les conséquences économiques de l'acceptation actuelle de prévisions de réchauffement de la planète qui se sont avérées excessives sont graves. Stern (2006), lors de la première tentative d'un fonctionnaire de justifier la folie héroïque consistant à dépenser quoi que ce soit pour atténuer le réchauffement planétaire, pour le compte du gouvernement socialiste britannique de l'époque, estimait le réchauffement à 3 K à mi-parcours en: 2100 comme entraînant une perte de bien-être de 0 à 3% du PIB mondial (voir 0,2 à 2% dans IPCC 2013). La borne supérieure de 11 K de Stern (2006), supposant un taux d’actualisation pur à 0,1% qui donnait «une chance sur dix que la planète ne voie pas ce siècle» (Dietz et al. 2007), a conduit 20% de perte d'extinction au niveau du PIB. En ajoutant 1,3% de croissance de la consommation par habitant sans changement climatique, on obtient un taux d'actualisation social moyen de 1,4% (cf. 1,35% dans Garnaut 2008), contre un taux d'actualisation minimal du marché de 5% (Murphy 2008; Nordhaus 2008).

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  19. Étant donné que la probabilité d'extinction est en réalité nulle, les taux d'actualisation des sous-marchés tels que ceux-ci sont totalement injustifiables. Au taux moyen d'actualisation commerciale de 7% appliqué au 21ème siècle, la perte de bien-être de 3% du PIB de Stern ne serait plus que de 0,3% (ou 0,1% sans perte nette tant que la température préindustrielle n'aura pas été dépassée de 2 K), tandis que ses 20% perte de bien-être haut de gamme dans le PIB ne tomberait plus qu'à 2% (0,6%).

    Il faut ensuite prendre en compte le fait que l’augmentation de la concentration de gaz carbonique sauve des vies, comme l’a consterné la tyrannie européenne quand il a commandé des recherches pour tenter de prouver que le réchauffement climatique tuerait ses sujets en grand nombre. Les résultats de la recherche sont présentés ci-dessous. Beaucoup plus de décès dus au froid ont été évités que de décès causés par le chaud.

    - voir graphique sur site -

    Même s’il y avait un réchauffement de près de 1 K par décennie entre 2020 et 2080, soit environ sept fois le taux observé, les calculs effectués pour les Kommissars détestés et non élus qui détiennent tous le pouvoir dans l’UE ont montré qu’il y aurait 94 000 autres sujets à obéir et de servir leurs successeurs en 2080 avec un réchauffement climatique de 5,4 K par rapport à aujourd'hui sans lui:

    - voir graphique sur site -

    La Banque mondiale a invoqué le réchauffement climatique pour justifier son refus de financer en principe des projets liés au charbon, au pétrole et au gaz dans les pays en développement, où refuser de l'électricité à 1,3 milliard de personnes réduit la durée de vie de 15 ans.

    Quatrième raison: la science ne se fait pas par consensus - et il n'y a pas de consensus

    L'existence même des «études de déni» repose sur l'hypothèse erronée selon laquelle il existe un «consensus» scientifique sur le réchauffement planétaire. Le «consensus» est une construction politique totalitaire qui ne joue aucun rôle dans la vraie science. La notion qu'il faut s'en remettre à une ligne de parti transmise par un groupe prétendument quasi-unanime d '«experts» [x, une quantité inconnue; spurt, un goutte-à-goutte sous pression] est une fusion de deux idées logiques aristotéliciennes: argument de dénombrement et argument de recours à l'autorité (ou, comme les surnommaient les écoliers médiévaux, argumentum ad populum et argumentum ad verecundiam).

    En tout état de cause, la proposition officielle de «consensus» telle que définie par IPeCaC ne dit même pas que le réchauffement global non atténué serait dangereux. Cela ne dit pas plus que le réchauffement récent est principalement dû à l'homme. Pourtant, même cette proposition de «consensus» ne bénéficie que d'un soutien négligeable dans les revues à comité de lecture consacrées au climat et aux sciences connexes. Comme Legates et al. (2015) ont démontré que sur 11 944 articles sur le climat publiés au cours des 21 années comprises entre 1991 et 2011, 41 seulement, soit 0,3%, ont déclaré que le réchauffement récent était principalement dû à l'homme, ou à des mots similaires. Il n'y a pas de «consensus».

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  20. Certes, des sociétés scientifiques du monde entier ont rédigé des dizaines de déclarations de politique climatique, mais la caractéristique commune de ces déclarations est qu'elles ont été concoctées par de petits groupes activistes et n'ont pas été soumises à l'approbation de l'ensemble des membres. En tout état de cause, elles n'ont aucune valeur scientifique, car la plupart de ces sociétés suivent la Royal Society en appliquant la règle absolue selon laquelle elles ne prennent pas position sur des questions scientifiques. Par conséquent, toutes ces prises de position défient et nient le but même des sociétés scientifiques, qui est de stimuler le débat scientifique plutôt que d'essayer de le fermer, pour des raisons de commodité sociale, d'opportunité politique et de profit financier.

    Qu'est-ce que tu peux faire pour aider

    Écrire à Martin Hultman, professeur agrégé en sciences, technologie et études environnementales à la «University» de Chalmers (son adresse électronique, martin.hultman@chalmers.se, est indiquée sur la page d'accueil du «Centre d'études sur le déni du changement climatique»), et expliquez-lui que vous êtes sceptique vis-à-vis de la ligne climatique du Parti communiste, non pas parce que vous êtes un «nationaliste de droite», ni parce que vous êtes payé par le lobby du charbon, du pétrole, du gaz, de l'exploitation forestière ou de l'agriculture, ni parce que vous avez effronterie d'appartenir à un groupe de réflexion non communiste, mais parce que les profiteurs du destin ont exagéré de façon flagrante leurs prédictions, parce qu'ils l'ont fait en perpétrant des erreurs élémentaires en physique lorsqu'ils ont emprunté des mathématiques et des méthodes d'autres disciplines sans comprendre ce qu'ils avaient emprunté, la perte de bien-être résultant de la tentative d'atténuer le réchauffement de la planète est supérieure à la perte de bien-être résultant de l'adaptation à ce dernier par des ordres de grandeur; et parce que le «consensus» tant vanté n’aurait aucune signification scientifique même s’il existait - ce qui n’existe pas.

    Toutes ces raisons solides - et même pressantes - de remettre en question la ligne de parti sur le climat ne doivent rien à la politique et tout à la science. Il est temps que ceux qui infestent le «Centre d'études sur le déni du changement climatique», mal conçu, aient la possibilité de se rendre compte que ce sont eux, pas nous, qui sommes les vrais répudiateurs de la méthode scientifique; Ce sont eux, pas nous, qui laissons leurs prédilections politiques totalitaires se mettre en travers de leur chemin; Ce n’est pas nous qui exploitons au détriment des emplois des travailleurs, de l’existence d’industries à forte intensité énergétique en Occident et de la vie même de dizaines de millions de personnes qui meurent chaque année dans les pays les plus pauvres du monde parce que la Banque mondiale, citant le réchauffement climatique, leur refuse l’accès à l’électricité domestique; Ce ne sont pas nous qui devrions être les objets déplaisants de la curiosité académique.

    Pourquoi est-ce important ? Simple. Si les communistes du climat parviennent à leurs fins, nous serons bientôt réduits au silence pour toujours. Ils se préparent à une frénésie de fureur fabriquée contre nous pour avoir osé soulever des questions scientifiques appropriées et légitimes, telles que celles que j'ai décrites ici.

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  21. Déjà, les Connolly ont subi le même sort que beaucoup d’entre nous: une liste noire pure et simple d’une manière qui n’a pas été vue depuis les années 1930. Lorsque les Connolly ont récemment été invités à prendre la parole devant une université, le climat communiste a protesté auprès du doyen de la faculté et du vice-chancelier et a menacé de recourir à la violence. Ensuite, l'université a déclaré qu'elle ne pourrait autoriser la réunion que si les Connolly, à leurs propres frais, souscrivaient une assurance responsabilité civile. Alors ils l'ont fait. L'université, contrariée, a attendu jusqu'à la fermeture des bureaux le vendredi avant le lundi matin au cours de laquelle les Connolly avaient été invités à prendre la parole et a ensuite annoncé qu'elle avait également besoin d'une assurance de personnes qu'elle savait ne pas pouvoir obtenir à temps.

    Ainsi, c'est peu à peu, par des moyens de mauvaise qualité, par l'inaction honteuse et la faiblesse des politiciens libertaires, que la liberté de recherche scientifique est supprimée. Un nouvel âge sombre est à portée de main. Pour ma part, je propose de lutter pour la lumière et pour la liberté d’investigation, de recherche, de parole, de pensée et d’action, que les totalitaires qui pleuvent maintenant sur le monde l’apprécient ou non.

    https://site-où-la-science-n'apparait-qu'une-fois-sur-dix

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    1. De base scientifique, tout air chaud produit se dirige vers l'air froid. Les chaleurs maritimes & océanique d'origine magmatique ou solaire y compris sur terres, montent vers le 'ciel' où elles perdent env. 1°C par 100 m.
      Cet air chaud s'élevant est remplacé fissa par de l'air froid environnant (ce qui crée des vents).

      Donc, l'été, chaleurs magmatiques en Méditerranée = vents vers le Nord de l'arrière-pays et, l'hiver, chaleurs magmatiques en Méditerranée attirant l'air froid (Mistral) vers le Sud.

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  22. L'énergie solaire nuit gravement à l'environnement. Il doit être taxé et non subventionné


    2 septembre 2019, 10h12
    Sanjeev Sabhlok dans Voir l'invisible
    Inde

    Le gouvernement Modi réinvestit dans l'énergie solaire les maigres ressources des contribuables. Des promesses supplémentaires de 6,5 milliards de dollars ont été promises jusqu'en 2022. Ces subventions s'ajoutent aux subventions indirectes que les citoyens paient avec des factures d'électricité plus élevées grâce aux certificats d'énergie renouvelable. Et bien que Donald Trump ait agi comme il se doit en sortant de l'Accord de Paris, M. Modi y adhère sans réfléchir, et Niti Ayog a vanté les véhicules électriques subventionnés.

    Notre parti n'est pas d'accord avec cette approche. Premièrement, nous nous opposons aux subventions pour toutes les industries. Mais deuxièmement, parce que nous estimons qu’il est très judicieux d’imposer des taxes Pigovian sur l’énergie solaire, compte tenu des dommages économiques et environnementaux qu’elle entraîne.

    L'énergie solaire peut faire quelques choses utiles. Il peut alimenter une radio hors du réseau. Mais cela ne peut pas supporter notre vie quotidienne.

    L’énergie entrante du soleil est extrêmement diluée et nécessite l’utilisation de panneaux répartis sur de vastes étendues de terre pour pouvoir l’absorber, repoussant ainsi les forêts et nuisant à la biodiversité. La centrale solaire de Kamuthi, d’une puissance de 648 MW, située dans le Tamil Nadu, couvre une superficie de dix kilomètres carrés. Un dixième de ces terres aurait suffi pour une installation nucléaire de plus grande capacité.

    Un problème beaucoup plus important est que l’énergie solaire n’est disponible que lorsque le soleil brille. J'ai installé un système sur le toit l'année dernière. Comme prévu, ce système meurt la nuit. Mais c’est une blague complète en hiver, alors qu’il génère moins de 10% de sa capacité plusieurs jours de suite. Ce n'est tout simplement pas adapté.

    Alors que les avantages de l'énergie solaire pour la société sont quasi inexistants, ses coûts sont énormes. En lisant les titres des journaux, vous ne le saurez jamais. La «parité réseau» et le «solaire bon marché» font désormais partie de la propagande intelligemment élaborée par les lobbyistes de l'énergie solaire et les «chercheurs» à l'intention des contribuables. La prochaine fois que vous lirez des informations sur l’énergie solaire bon marché, insistez pour obtenir l’ensemble des coûts.

    Le toit solaire est un drain massif. Mon système de toit est un bon exemple. Même après une subvention des contribuables de 3 888 $, cela m'a coûté 10 730 $. Et après une année d'utilisation, il a généré beaucoup moins d'électricité que ce qui avait été promis. Au lieu d'une période de récupération de 6 ans, il faudra maintenant 11 ans - mais si je ne dépense jamais d'argent pour le maintenir, l'onduleur ne va jamais mal, le système dure 11 ans et les tarifs de rachat ne sont pas réduits. Difficile de penser à un moyen plus efficace de brûler de l'argent.

    Mais qu'en est-il des projets solaires à grande échelle qui produiraient prétendument de l'électricité de pointe le jour à un coût comparable à celui des combustibles fossiles? De telles affirmations sont des demi-vérités et cachent beaucoup plus qu'elles ne révèlent.

    Le seul moyen de comparer les coûts de l’énergie solaire aux sources d’énergie ordinaires consiste à inclure tous les coûts de l’énergie solaire, y compris le stockage de la batterie. Et lorsque cela est fait, l'énergie solaire s'avère être une attaque mortelle contre l'économie.

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  23. Les batteries ne stockent presque pas d’énergie par rapport aux carburants classiques et cela ne va pas beaucoup mieux. Les progrès de la technologie des batteries sont naturellement limités par des lois physiques. Dans un rapport publié en mars 2019, Mark P. Mills, chercheur au Manhattan Institute, montrait qu '«une pile de Tesla d'une valeur de 200 000 dollars, pesant collectivement plus de 20 000 livres, est nécessaire pour stocker l'équivalent énergétique d'un baril de pétrole». Et que «l'équivalent énergétique du carburant d'aviation utilisé par un avion à destination de l'Asie prendrait 60 millions de dollars de batteries de type Tesla pesant cinq fois plus que cet avion». Imaginez le prix du billet pour un tel vol, même si un tel avion pouvait décoller.

    Les processus de production de batteries consomment de grandes quantités d’énergie, «l’équivalent énergétique d’environ 100 barils de pétrole» étant nécessaire «pour fabriquer une quantité de batteries pouvant stocker un seul baril d’équivalent pétrole». Et les ressources naturelles nécessaires aux batteries sont extrêmement rares. Une escalade spectaculaire des activités minières serait nécessaire pour construire un réseau solaire avec ses propres batteries.

    Mais même dans ce cas, cela prendrait mille ans. «La production annuelle de Tesla, Gigafactory, la plus grande usine de batteries au monde, ne stocke [que] trois (3) minutes de demande annuelle en électricité aux États-Unis. Il faudrait 1 000 ans de production pour fabriquer suffisamment de batteries pour répondre à la demande américaine d'électricité pendant deux jours ».

    L'idée de l'adoption massive de véhicules électriques est une hallucination. Les batteries EV peuvent difficilement stocker de l'énergie et ont besoin de beaucoup de temps pour se recharger. Et le temps n'est jamais libre. Ces véhicules ne sont pas adaptés.

    Mais n’avons-nous pas d’énormes avantages environnementaux de l’énergie solaire ? Pas du tout. Au lieu de cela, l’énergie solaire est l’un des pires ennemis de l’environnement, même en excluant la perte massive d’habitat naturel. Les déchets solaires sont extrêmement toxiques. Michael Shellenberger a constaté que «les panneaux solaires génèrent 300 fois plus de déchets toxiques par unité d'énergie que les centrales nucléaires».

    https://site-où-la-science-n'apparait-qu'une-fois-sur-dix

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  24. Bisphénols, phtalates, parabènes... Six polluants présents dans l'organisme de tous les Français


    15:34 03.09.2019


    Bisphénols, phtalates, solvants et parabènes, ces substances chimiques sont présentes dans beaucoup d'objets du quotidien… et dans le corps des Français, alerte un rapport de l’agence nationale de santé publique.

    Une vaste étude publiée mardi montre que six «polluants du quotidien» dont on connaît encore mal les effets «sont présents dans l'organisme de tous les Français», alors que le gouvernement présente sa feuille de route contre les perturbateurs endocriniens, relate l’AFP.

    Pour la première fois, Santé publique France a mesuré les niveaux d'imprégnation de la population française par six familles de substances présentes dans l'environnement et cherché à identifier les sources d'exposition probables - produits ménagers, cosmétiques, emballages alimentaires, etc.

    «Nous nous sommes intéressés à ces substances parce qu'il y a une préoccupation sanitaire, mais en aucun cas on ne peut prédire si les valeurs retrouvées représentent un risque sanitaire pour la population», car on manque encore de connaissances sur le sujet, a précisé à l'AFP Clémence Fillol, responsable de la surveillance biologique à Santé publique France.

    L'organisme public rappelle toutefois que certains de ces produits sont des perturbateurs endocriniens ou des cancérogènes avérés ou suspectés.

    Les substances recherchées sont les bisphénols (A, S et F), les phtalates, les parabènes, les éthers de glycol, les retardateurs de flamme bromés et les composés perfluorés.

    Elles entrent dans la composition d'emballages alimentaires, de peintures, d'ustensiles de cuisine, de cosmétiques ou de produits ménagers. L'usage de certaines est déjà très retreint (bisphénol A, interdit en France dans tous les contenants alimentaires depuis 2015, certains phtalates et composés perfluorés).

    Cette publication intervient à l'occasion de la présentation par la ministre de l'Écologie Élisabeth Borne et la ministre de la Santé Agnès Buzyn de la nouvelle «stratégie nationale sur les perturbateurs endocriniens» (SNPE). Elle vise à renforcer l'information et la protection de la population, ainsi que les connaissances scientifiques sur ces produits.

    L'Agence de sécurité sanitaire (Anses) devra notamment établir une liste de perturbateurs endocriniens, en expertisant au moins six substances en 2020, puis neuf par an à partir de 2021.

    L'agence a déjà publié une série d'avis sur cinq substances en 2017, faisant notamment état «d'un possible effet perturbateur endocrinien» pour le triclocarban, utilisé comme antibactérien et antifongique.

    Les informations sur la présence de perturbateurs dans les produits de consommation courante seront disponibles pour le grand public sur un site sur les produits chimiques, qui doit être lancé avant la fin de l'année.

    Le SNPE vise également à renforcer les mesures de contrôle, notamment dans le cadre de la règlementation européenne, et favoriser la recherche de produits de substitution.

    Les résultats publiés par Santé publique France s'inscrivent dans le cadre d'Esteban - Etude de santé sur l'environnement, la biosurveillance, l'activité physique et la nutrition -, un programme de recherche lancé en 2014 pour suivre l'état de santé de la population, et en particulier son exposition aux polluants.

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  25. Les mesures ont été réalisées entre 2014 et 2016 sur un échantillon représentatif de la population générale, composé d'environ 1.100 enfants et 2.500 adultes habitant en France continentale.

    Pour la plupart des substances, les niveaux d'imprégnation retrouvés sont «comparables à ceux d'autres études menées à l'étranger, notamment aux États-Unis et au Canada». Ils étaient toutefois plus faibles pour les parabènes et les retardateurs de flamme.

    Les participants ont également répondu à des questionnaires sur leurs habitudes de vie, qui permettent de faire des hypothèses sur les sources d'exposition aux polluants.

    Les résultats montrent notamment que «l'utilisation de produits cosmétiques et de soins augmente les niveaux d'imprégnation des parabènes et des éthers de glycol» et que «plus le logement est aéré» fréquemment «plus les niveaux d'imprégnation» en composés perfluorés et en retardateurs de flamme bromés «sont bas».

    Santé publique France souligne aussi que «des niveaux d'imprégnation plus élevés sont retrouvés chez les enfants», ce qui peut s'expliquer par le fait qu'ils touchent et portent davantage les objets à la bouche, qu'ils sont plus exposés aux poussières domestiques ou que leur poids est relativement plus faible par rapport à leurs apport alimentaire.

    Cette «photographie de l'exposition de la population» constitue «une première marche indispensable" pour pouvoir ensuite «construire des valeurs sanitaires», des seuils à ne pas dépasser, souligne Clémence Fillol.

    Deux autres volets de l'étude, portant sur l'exposition aux métaux et aux pesticides, seront publiés ultérieurement.

    https://fr.sputniknews.com/france/201909031042033943-bisphenols-phtalates-parabenes-six-polluants-presents-dans-lorganisme-de-tous-les-francais-/

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  26. Il devient presque aveugle et sourd à cause de la malbouffe


    15:08 03.09.2019


    Un adolescent de la ville britannique de Bristol a presque complètement perdu la vue et l'ouïe après n’avoir mangé que de la malbouffe pendant les dix dernières années. Désormais, il ne peut pas conduire et a des difficultés à lire, à regarder la télévision ou encore à discerner les visages.

    L’alimentation d’un Britannique, composée quasi exclusivement de malbouffe, a mené à une sérieuse carence en vitamines qui a, à son tour, entraîné une perte importante de la vue et de l’ouïe. Ses antécédents médicaux ont été publiés le 3 septembre dans la revue médicale Annals of Internal Medicine.

    Le jeune homme de 17 ans, dont le nom n’est pas révélé, souffrait d’un trouble de l’alimentation sélective. À l'âge de sept ans, il a catégoriquement refusé les fruits et les légumes car il n'aimait pas leur texture.

    Le régime alimentaire de l'enfant consistait exclusivement en des frites, des chips et parfois des hamburgers au bœuf ou au jambon, voire des saucisses.

    En conséquence, l’adolescent est allé chez le médecin à l’âge de 15 ans en se plaignant de problèmes de vision, d'audition, de problèmes d’os et de fatigue chronique. Il a alors reçu des injections de vitamines B12. Bien que son médecin lui ait prescrit des compléments alimentaires et l’ait appelé à varier son alimentation, le Britannique n’a pas suivi ces conseils et son état s’est détérioré.

    Deux ans plus tard, il est devenu presque aveugle et sourd.

    Selon le rapport des médecins publié dans la revue, il souffre de carences en vitamines B12 et D, ainsi que d’une densité minérale osseuse réduite, de faibles concentrations de cuivre et de sélénium ainsi que d’une teneur élevée en zinc.

    «Sa vision périphérique s'est peu à peu estompée. Il ne peut pas conduire et a des difficultés à lire, regarder la télévision ou discerner les visages», a déclaré le médecin du jeune homme. «Mais il peut marcher seul parce qu'il a gardé sa vision périphérique.»

    «Les risques d’une mauvaise santé cardiovasculaire, d’obésité et de cancer, associés à la consommation de malbouffe sont bien connus, mais une mauvaise alimentation peut également endommager de manière permanente le système nerveux, en particulier la vision», a expliqué le rapport.

    https://fr.sputniknews.com/sante/201909031042033505-il-devient-presque-aveugle-et-sourd-a-cause-de-la-malbouffe/

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    1. Faut dire qu'en dictature monarchique si en plus il écoute les merdias...

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  27. "Le statu quo est inacceptable" - Walmart cesse de vendre des munitions après une séance de magasinage


    par Tyler Durden
    Mar, 09/03/2019 - 13:09


    «Il est clair pour nous que le statu quo est inacceptable», a déclaré Doug McMillon, directeur général de Walmart, dans un communiqué, ce matin, après avoir annoncé que le grand détaillant cesserait de vendre certaines munitions et demanderait à ses clients de ne pas ouvrir couloirs à la suite de deux fusillades mortelles dans ses magasins.

    "Dans une situation complexe sans solution simple, nous essayons de prendre des mesures constructives pour réduire le risque que de tels événements se reproduisent."

    Selon Bloomberg, la société cessera de vendre des munitions pour fusils à canon court tels que les calibres .223 et 5.56 une fois vendues dans le cadre de ses engagements actuels en matière de stocks, a annoncé mardi un communiqué aux employés.

    Rebond des marchés. Merci Walmart.

    Il cessera également de proposer des munitions pour armes de poing après avoir vendu ses stocks.

    En outre, Walmart mettra fin aux ventes d’armes de poing en Alaska, seul État dans lequel elle les vend encore, et "demande respectueusement" aux clients de ne pas ouvrir le port d’armes à feu dans les États où cela est autorisé.

    McMillon a ensuite noté que:

    «Nous savons que ces décisions vont gêner certains de nos clients et nous espérons qu’ils comprendront», a ajouté:

    "nous avons une longue tradition en tant que société de chasseurs et de sportifs responsables, et nous allons continuer à le faire"

    Le mois dernier, Walmart a révélé qu’elle représentait environ 2% du marché américain des armes à feu, ce qui la placerait en dehors des trois premiers vendeurs; Les mouvements d’aujourd’hui, qui, selon Walmart, ramèneront leur part du marché des munitions à environ 6% à 9%, contre 20% actuellement, représentent les premiers grands pas du détaillant depuis que des attaques dans des magasins du Texas et du Mississippi ont tué 24 personnes.

    Enfin, nous notons un commentaire d'un propriétaire d'armes très expérimenté, selon lequel "personne n'achète de toute façon des munitions trop chères pour [Walmart]".

    Pourtant, la vertu signalée, tout va bien.

    Les stocks de fabricants d'armes ont trébuché sur les nouvelles ...

    - voir graphique sur site -

    Mais a été rapidement répondu.

    https://www.zerohedge.com/news/2019-09-03/status-quo-unacceptable-walmart-stops-selling-some-ammo-after-store-shootings

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    1. Pourquoi les charts sont au plus bas ? PARCE QU'ON LEUR A DEMANDÉ DE SE METTRE A TERRE !
      Ce n'est QUE LE DÉBUT DE LA FIN ! Les bullets vous irez les chercher au Mexique !

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  28. Le maire de New York, De Blasio, n'a enregistré que 7 heures de travail pendant un mois entier


    par Tyler Durden
    Mar, 09/03/2019 - 12:51


    Le maire de la ville de New York, Bill de Blasop, n’a passé que sept heures à l’hôtel de ville au mois de mai - alors qu’il était «au travail», a lancé sa candidature à la Maison-Blanche, selon des informations recensées par le New York Post.

    Le maire s'est présenté seulement six fois en mai pour assister à deux réunions, quatre événements et cinq appels téléphoniques, dont son apparition hebdomadaire à la radio WNYC, selon son calendrier officiel.

    Les 11 rendez-vous ont représenté un maigre cinquième des 50 réunions, conférences téléphoniques et autres événements qui se sont déroulés à l'hôtel de ville au calendrier de Blasio pour mai 2018. Au total, 152 événements municipaux ont été programmés pour le mois. -New York Post

    "S'il essaie de montrer aux New-Yorkais qu'il a trop fait le travail, il le fait bien", a déclaré un ancien conseiller à la poste, tandis qu'un autre membre de "l'initié de Blasio" a qualifié la présence du maire de "très mauvaise", ajoutant " À ce stade, vous devez vous demander à quel point son cœur est vraiment dedans. "

    De Blasio a lancé sa candidature à la Maison Blanche pour 2020 avec 16 apparitions dans l'émission "Good Morning America" de ABC, qui selon le Post a suscité "de vives protestations de groupes aussi divers que la Police Benevolent Association et Black Lives Matter".

    Le maire a également tenu 66 appels ou réunions en "route" ou en se rendant quelque part, selon les dossiers.

    La porte-parole Freddi Goldstein a tenté de minimiser l'importance de ce reportage, affirmant que "que ce soit à l'hôtel de ville, à Gracie Mansion ou sur la route, le maire rendait régulièrement visite à 8,6 millions de New-Yorkais".

    https://www.zerohedge.com/news/2019-09-03/nyc-mayor-de-blasio-logged-just-7-hours-work-entire-month

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  29. "Inondations constituant un danger de mort" - L'ouragan Dorian s'attaque à la côte est tout au long de la semaine


    par Tyler Durden
    Mar., 09/03/2019 - 11:10


    Mise à jour (1100ET): Quelques bonnes nouvelles relatives - AP rapporte que l'ouragan Dorian a été déclassé en une tempête de catégorie 2.

    * * *

    C’est la pire catastrophe naturelle que les Bahamas aient jamais vue.

    L’ouragan Dorian s’est abattu sur les Bahamas sur la côte est des États-Unis

    Pendant des heures et des heures, l'ouragan Dorian est resté presque stationnaire sur les îles et la dévastation est immense. Les poteaux électriques sont cassés comme des brindilles, les véhicules sont ballottés comme des jouets et des milliers de maisons ont déjà été détruites.

    Cependant, comme le note Michael Snyder, de End of The American Dream, alors que la bonne nouvelle est que Dorian n’est plus qu’une tempête de catégorie 4, la mauvaise nouvelle est qu’elle continuera à avancer à un «rythme glacial» pendant le reste de la semaine.

    Des bandes de fortes pluies frappent déjà la Floride et la tempête va lentement ramper sur la côte est dans les prochains jours. En fait, selon les dernières prévisions, la tempête sera toujours au sud de Washington DC vendredi après-midi.

    - voir carte sur site -

    Et rappelez-vous, ceci est juste une prévision. Si la trajectoire de la tempête dévie légèrement vers la gauche, l'ouragan Dorian touchera quelque part le long de la côte est. Ce qui suit est un extrait de la mise à jour que le Centre national des ouragans vient de publier…

    Dorian reste presque stationnaire juste au nord de l'île Grand Bahama. Un mouvement lent ouest-nord-ouest devrait reprendre dans la nuit et se poursuivre au début de mardi. Mardi, on prévoit un tournant vers le nord-ouest, et le mouvement vers le nord-est devrait commencer mercredi soir. Sur cette piste, le noyau extrêmement dangereux de l’ouragan Dorian continuera de frapper l’île de Grand Bahama jusqu’au mardi matin. L'ouragan se déplacera ensuite dangereusement près de la côte est de la Floride de mardi à mercredi soir, puis dangereusement près des côtes de la Géorgie et de la Caroline du Sud mercredi soir et jeudi.

    Cependant, même si rien ne se produit, cette tempête aura tout de même un impact considérable sur les communautés de la côte est au cours de la semaine à venir.

    En fait, des ordres d'évacuation ont été émis pour un million de personnes supplémentaires…

    Les gouverneurs de Caroline du Sud et de Géorgie ont ordonné à au moins 1 million de personnes d’évacuer leurs côtes dès lundi après que l’ouragan Dorian ait dévasté le nord-ouest des Bahamas et s’est dirigé vers la côte est des États-Unis.

    Le gouverneur de la Caroline du Sud, Henry McMaster, et le gouverneur de la Géorgie, Brian Kemp, ont tous deux annoncé que les ordres d'évacuation obligatoires entreraient en vigueur lundi midi avant le passage de l'ouragan de catégorie 5 qui se déplaçait lentement.

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  30. En outre, il a été rapporté que plus de 1200 vols ont été annulés lundi seulement…

    Les compagnies aériennes ont annulé environ 1 275 vols du lundi, à destination, en provenance ou à destination des États-Unis, en raison de l'ouragan Dorian à 16h30. Orientale, selon le voleur FlightAware.

    Les aéroports de la Floride représentent le gros des annulations, l'aéroport international de Fort Lauderdale-Hollywood arrivant en tête de liste après l'annonce annoncée de la fermeture de l'aéroport lundi à midi. Selon FlightAware, il y a 548 annulations de vols à destination et en provenance de Fort Lauderdale, qui abrite d'importantes opérations pour Southwest, Spirit et JetBlue.

    Même si la vitesse du vent a un peu diminué, Dorian reste un ouragan de catégorie 4 extrêmement dangereux, et tout le monde devrait le prendre très au sérieux.

    Il suffit de regarder ce qui se passe aux Bahamas en ce moment. Selon le Daily Mail, le principal aéroport est actuellement «sous cinq pieds d'eau»…

    Aux Bahamas, Dorian a provoqué des rafales de 225 mph et jusqu'à 30 pouces de pluie dimanche, détruit 13 000 foyers, détruit des lignes électriques et laissé l'aéroport international de Grand Bahama à Freeport sous cinq pieds d'eau lundi matin. Les experts ont également mis en garde contre une éventuelle tempête qui pourrait envoyer des vagues destructives sur la côte.

    Dorian est la deuxième tempête atlantique enregistrée et la plus forte jamais enregistrée, après avoir touché les Bahamas avec une vitesse de vent de 185 km / h dimanche.

    Bien sûr, les Bahamas ont déjà été confrontés à de nombreux ouragans, mais depuis tout ce temps, il n’ya jamais eu de tempête aussi semblable à celle-ci…

    Avant le Dorian, sa pire tempête était l’ouragan des Bahamas de 1932, qui passait avec des vents de 160 mph. L’ouragan Andrew de 1992 est également passé juste au sud de la zone d’atterrissage des Bahamians de Dorian, mais n’a pas été aussi puissant que Dorian.

    Des milliers de maisons ont été littéralement englouties par la montée des eaux et même des résidences situées à une distance de 20 à 25 pieds au-dessus du niveau de la mer étaient en danger d'être englouties.

    De nombreux résidents locaux n'ont pas pu échapper aux inondations, notamment un garçon de 8 ans qui a été le tout premier à être rapporté par la tempête.

    En fin de compte, le nombre total de morts devrait être assez élevé, mais cela n'empêche pas certains idiots de sortir au beau milieu de la tempête et d’essayer de réaliser des cascades ridicules pour les médias sociaux…

    Plusieurs vidéos postées sur les réseaux sociaux montrent des Bahamas braver des conditions dangereuses lors de l’ouragan de catégorie 5.

    Un homme a partagé un extrait de lui-même qui luttait contre des vents violents et était trempé par la pluie, affirmant qu'il se trouvait à une centaine de kilomètres de l'œil et qu'il faisait toujours face à un temps horrible.

    Alors que des images auraient été tournées à Marsh Harbour, Nassau, aux Bahamas, montrait un homme qui tentait de naviguer dans un petit bateau dans les eaux agitées.

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  31. La côte est est la prochaine cible de Dorian, et les météorologues nous disent qu’elle frappera le littoral toute la semaine.

    Et cela pourrait éventuellement n'être que le début, car le Centre national des ouragans suit actuellement quatre autres tempêtes…

    Alors que l’ouragan Dorian s’approche de la Floride, le National Hurricane Center surveille quatre systèmes tropicaux potentiels qui pourraient devenir la prochaine dépression tropicale et peut-être même la tempête tropicale Fernand.

    Lundi, à 8 heures, le candidat le plus probable est une vague tropicale formée au large de l’Afrique, qui a fait l’objet de la première enquête vendredi, et qui se trouve maintenant à 300 milles à l’ouest des îles du Cap-Vert. Il se déplace vers le nord-ouest en traversant l’océan Atlantique tropical oriental, a annoncé le centre des ouragans.

    - voir carte sur site -

    Donc, si vous vivez dans le Sud-Est, continuez à vous préparer, car il semble que cela pourrait certainement être «un mois de septembre inoubliable».

    Nous vivons à une époque où les ouragans sont de plus en plus grands et puissants, et les scientifiques nous disent qu’il ne reste plus qu’une question de temps avant qu’un désastre pire que celui de l’ouragan Katrina ne se produise.

    Prions pour qu'un tel désastre soit différé le plus longtemps possible et soyons aussi en prière pour ceux des Bahamas qui souffrent tellement en ce moment.

    https://www.zerohedge.com/news/2019-09-03/life-threatening-inundation-hurricane-dorian-set-hammer-east-coast-all-week-long

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    1. (...) l'ouragan Dorian a été déclassé en une tempête de catégorie 2. (...)

      BRAVO HAARP ! Longue vie à Gakona !

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  32. «Nous nous dirigeons vers une baisse des retraites de l’ordre de 25%», selon Henri Sterdyniak


    18:01 03.09.2019
    Fabien Buzzanca


    Alors que les partenaires sociaux ont de nouveau rendez-vous à Matignon les 5 et 6 septembre pour parler réforme des retraites, le futur «système universel» inquiète certains observateurs, qui craignent une réforme injuste. L’économiste Henri Sterdyniak a livré son analyse à Sputnik et prévoit une baisse future des pensions.

    Déjà 18 mois de discussions. Et ce n’est pas fini. Le futur «système universel» de retraite sera à nouveau le sujet des débats qui auront lieu à Matignon les 5 et 6 septembre prochain. Sera présent Jean-Paul Delevoye, haut-commissaire à la réforme des retraites, pressenti pour faire son entrée au gouvernement. L’accompagneront syndicats, patronat, mais aussi le Premier ministre Édouard Philippe.

    Alors qu’Emmanuel Macron tient «à un grand débat» concernant ce chantier, qui doit incarner «le changement de méthode» suite à la crise des Gilets jaunes, il a également remis en question l’âge de départ à la retraite à taux plein à 64 ans, principale mesure du rapport de Jean-Paul Delevoye. Le locataire de l’Élysée dit préférer «un accord sur la durée de cotisation».

    Du côté des syndicats, seule la réformiste CFDT est favorable au «système universel» voulu par la majorité. Les autres ne veulent pas d’un système unique par points, à l’exemple d’Yves Veyrier, numéro Un de Force ouvrière. Ce dernier ne voit «aucune raison de défaire» le cadre actuel, «qui garantit une retraite convenable». Pour Philippe Martinez, patron de la CGT, «il y a besoin d’améliorer ce système, mais pas de tout changer». Comme d’autres observateurs, il craint un système par points «injuste».

    Sputnik France a demandé à l’économiste Henri Sterdyniak, officiant notamment à l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), son avis sur la question. Pour lui, une telle réforme mènera à une baisse des pensions pour les futurs retraités. Entretien.

    Sputnik France: Quel est l’objectif du gouvernement avec cette réforme ?

    Henri Sterdyniak: «On peut distinguer l’objectif affiché, qui est celui de passer à un nouveau système qui sera universel et plus contributif, de l’objectif réel, qui est celui de garantir que la part des retraites dans le PIB n’augmentera pas dans les années à venir. Le ratio retraités-actifs va obligatoirement évoluer à la hausse. L’objectif est donc de baisser progressivement le niveau des retraites, de l’ordre de 25% d’ici à 2050. L’avantage de passer à un nouveau système est d’accélérer la baisse des retraites.»

    Sputnik France: Quel crédit accordez-vous à la volonté affichée du Président de la République de mettre en place «un grand débat», censé acter le changement de méthode du gouvernement après la crise des Gilets jaunes ?

    Henri Sterdyniak: «Pour qu’un grand débat puisse avoir lieu, il faudrait qu’il soit ouvert. C’est-à-dire que l’on accepte l’idée qu’il faudra peut-être augmenter les ressources du système. Donc accepter la hausse des cotisations et ne pas simplement se dire que le problème est de savoir sur qui va peser la baisse des retraites.»

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  33. Sputnik France: Plusieurs observateurs craignent un futur système par points, qu’ils jugent «injuste», notamment pour les classes sociales les moins aisées. Qu’en pensez-vous ?

    Henri Sterdyniak: «Un système très contributif risque de défavoriser les travailleurs manuels. Si le critère principal pour déterminer le niveau de pension est avant tout l’âge, cela pénalise les travailleurs qui ont du mal à se maintenir en emploi au-delà de 60 ans, soit à cause de l’usure physique, soit à cause de la désindustrialisation du pays qui fait disparaître des métiers et augmenter le chômage. Le risque avec le système envisagé est de favoriser des personnes qui peuvent plus facilement se maintenir en emploi et qui ont une longue espérance de vie, comme les cadres, au détriment des travailleurs à bas salaire.»

    Sputnik France: La question de la pénibilité occupe une partie des débats…

    Henri Sterdyniak: «C’est un problème majeur. Il existe des professions qu’il est difficile de pratiquer au-delà d’un certain âge. Je pense aux aides-soignantes ou aux routiers, par exemple. Il faudrait donc imaginer que pour ces professions, on puisse bénéficier de la retraite plus tôt avec des conditions correspondantes à celles dont ils auraient pu bénéficier en se retirant plus tard de la vie professionnelle. Mais visiblement, on n’en prend pas le chemin. Il faut voir ce que va donner la concertation. Dans l’idéal, il faudrait ouvrir des négociations dans les branches et les entreprises afin de baisser l’âge de l’accès à la retraite à taux plein pour certaines professions.»

    Sputnik France: D’ici quelques mois, à quoi pourra s’attendre un jeune qui rentrera sur le marché du travail à l’âge de 23 ans ?

    Henri Sterdyniak: «Si l’on maintient la durée de cotisation requise à 43 ans, il aura sa retraite à 66 ans. Maintenant, la question est de savoir quelle sera dans 40 ans la situation du marché du travail, la pénibilité des différents emplois, etc. La crainte d’un niveau de retraite plus faible qu’aujourd’hui est légitime. Actuellement, la retraite en France est relativement généreuse, les retraités ont à peu près le même niveau de vie que les actifs. Si le projet du gouvernement passe, on peut s’attendre à un niveau de vie inférieur de 25% pour les retraités du futur. C’est préoccupant. En revanche, il faut rappeler que ce sont les jeunes d’aujourd’hui qui seront aux commandes dans 30, 40 ans et ils pourraient très bien décider de maintenir un niveau satisfaisant de retraite. Rien n’est inscrit dans le marbre.»

    Sputnik France: Que préconisez-vous pour sauver le système des retraites tout en gardant une certaine justice sociale ?

    Henri Sterdyniak: «D’abord, il faut accepter l’idée d’augmenter un peu les taux de cotisation. Il faut maintenir des âges de départ relativement faibles pour les métiers pénibles. Cela devra se faire branche par branche. Il est également nécessaire de se donner des objectifs en termes de taux de remplacement. Le danger du système préconisé par le gouvernement est que ce dernier pourra fixer selon sa volonté la valeur du point d’année en année pour équilibrer le système. Cela veut dire que les travailleurs n’auront aucune garantie sur le niveau de leurs retraites, puisqu’il pourra baisser à la discrétion du gouvernement. La bonne réforme consisterait à se fixer des objectifs afin que les travailleurs avec un salaire moyen aient un taux de remplacement de l’ordre de 75%, quitte à augmenter les ressources du système.»

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  34. https://fr.sputniknews.com/france/201909031042035090-nous-nous-dirigeons-vers-une-baisse-des-retraites-de-lordre-de-25-selon-henri-sterdyniak/

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  35. Le Français ayant trouvé une faille dans le vote en ligne de Moscou revient sur le défi


    18:22 03.09.2019
    Ekaterina Yanson


    Le cryptographe du CNRS Pierrick Gaudry a détecté une faille dans le vote électronique de Moscou, proposé par les autorités au test en vue des élections législatives et municipales à venir. Dans une interview à Sputnik, il énumère les points forts et faibles du vote électronique.

    Il a fallu 20 minutes à ce cryptographe et chercheur français pour déjouer le système de sécurité du vote électronique de Moscou, alors qu’il disposait de 12 heures. Les autorités de la capitale russe ayant proposé à tous ceux qui le souhaitaient d’identifier les vulnérabilités du système à l’approche des élections législatives et municipales en Russie, le 8 septembre, pour les corriger ensuite.

    Dans un entretien à Sputnik, Pierrick Gaudry, du Laboratoire lorrain de recherche en informatique et ses applications (LORIA), précise de quelles connaissances spéciales un pirate informatique devrait disposer pour pirater un système similaire.

    Une attaque «relativement simple»

    «Un attaquant un peu débrouillard et avec de bonnes bases de cryptographie aurait pu sans trop de souci monter le même décryptage que moi. Cela lui aurait certainement pris plus de temps que moi au début, mais une fois familiarisé avec nos outils, il aurait lui aussi pu faire ça en 20 minutes», raconte le Nancéien.

    Selon lui, «toute personne ayant les connaissances suffisantes en cryptographie peut identifier le type d'opérations à faire, et ensuite grâce à une recherche Internet, trouver le logiciel CADO-NFS» élaboré par son équipe et permettant de casser ce type de clef rapidement. Bien que cette partie du logiciel soit encore expérimentale, elle est tout de même suffisamment documentée pour qu'un utilisateur raisonnablement débrouillard puisse s'en servir.

    Dans son rapport est présenté en annexe l’algorithme des opérations à faire sur une machine Linux standard pour rejouer l'attaque, qui est «relativement simple», fait-il remarquer.

    Pour l’avoir réussi, le Français a obtenu une récompense d’un million de roubles, soit quelque 14.000 euros, du chef du comité d’observation des élections de Moscou, Alexeï Venediktov.

    Forces et faiblesses du vote en ligne

    Pour le chercheur du CRNS, il n'existe pas actuellement de système de vote par Internet qui apporte autant de garanties qu'un vote à l'urne traditionnel.

    Ce dernier type de scrutin possède de nombreux avantages qu'il est difficile d'offrir simultanément de manière électronique, souligne M.Gaudry: ce sont le secret du vote, le fait que tout le monde puisse vérifier que son vote est bien pris en compte et qu'il n'a pas été modifié, que le dépouillement est fidèle, mais aussi que chacun a pu voter librement, sans pression et sans pouvoir vendre son vote.

    Inversement, lorsqu’il s’agit d’un scrutin pour des expatriés ou des militaires en mission pour qui le vote à l'urne est difficile à organiser, le vote électronique bien organisé «apporte plus de garanties» que le vote par correspondance. Mais, si l'enjeu de l’élection est fort, mieux vaut ne pas passer au vote électronique, estime-t-il.

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  36. D’après le chercheur, le vote par Internet sera «de plus en plus utilisé dans ces contextes non-politiques, à enjeu modéré, où l'on a souvent une part importante de vote par correspondance». Puis, l'usage de machines à voter peut s'avérer presque indispensable dans les cas de questions complexes, de choix multiples et de dépouillement sujet à erreur.

    Approche suisse

    Globalement, «il n'y a pas de réponse universelle pour ou contre le vote électronique», est persuadé M.Gaudry. «Cela dépend fortement du contexte». Et les différences en fonction des pays sont grandes s’agissant des élections.

    Or, quelles que soient leurs particularités, l’important est que «chaque État définisse clairement ce qui est attendu d'un bon système de vote électronique, éventuellement avec divers niveaux d'exigences selon les enjeux de l'élection concernée», explique-t-il. «Charge ensuite aux concepteurs de produire un système qui réponde à ces attentes».

    C’est le procédé adopté par la Suisse, précise le cryptographe lorrain.

    «La méthode suisse reste la bonne approche selon moi: une réglementation la plus claire possible, avec des exigences élevées, et ensuite un long processus de certification des produits proposés par les industriels ou les services publics. Cette certification doit impliquer le plus possible les spécialistes du domaine, aussi bien au niveau de la conception que de la validation a posteriori», affirme M.Gaudry.

    En ce qui concerne la France, la Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL) vient de mettre à jour ses recommandations sur le vote électronique, rappelle-t-il:

    «Il y a de nets progrès par rapport aux recommandations précédentes, même s'il faut encore attendre un peu la mise en œuvre pour voir à quel point les industriels présents sur le marché français vont devoir monter le niveau de sécurité de leurs logiciels».

    https://fr.sputniknews.com/international/201909031042035707-le-francais-ayant-trouve-une-faille-dans-le-vote-en-ligne-de-moscou-revient-sur-le-defi/

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    1. C'est pourquoi même en Suisse les anti Suisse Démocratie veulent mettre des votes électronique de partout !

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  37. PROJET D'EXTERMINATION DES SUISSES QUI OSENT RESPIRER :

    ENVIRONNEMENT LES BÂTIMENTS SERONT SOUMIS À UNE VALEUR LIMITE DE GAZ CARBONIQUE DÈS 2023

    Afin de parvenir à réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 50% d'ici à 2030, la commission du Conseil des Etats s'est prononcé en faveur de la révision de la loi sur le gaz carbonique, ce mardi.


    03.09.2019

    La Suisse devrait introduire dès 2023 une valeur limite pour les émissions de gaz carbonique des bâtiments existants. La commission de l'environnement du Conseil des Etats propose à son plénum d'aller plus loin que le Conseil fédéral dans ce domaine.

    Par 11 voix contre 0 et 1 abstention, elle a adopté le projet de révision totale de la loi sur le gaz carbonique au vote sur l'ensemble, mais a également ajouté des mesures supplémentaires, ont indiqué mardi les services du Parlement.

    Mi-décembre, le Conseil national avait enterré le projet après dix heures de débat. Sans réforme, la Suisse ne parviendra pas à réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 50 % d'ici à 2030 comme visé.

    La commission du Conseil des Etats a ainsi décidé par 7 voix contre 6 d'introduire dès 2023 une valeur limite d'émission de gaz carbonique pour les bâtiments existant dont le chauffage doit être remplacé. Ils ne devraient pas générer plus de 20 kg d'émission de gaz carbonique au mètre carré de surface au cours d'une année. La valeur limite serait réduite tous les cinq ans.

    Technologies présentes

    Pour la majorité, cette mesure permettra aux cantons d'atteindre l'objectif de réduction de 80% des émissions de gaz carbonique dans le domaine des bâtiments d'ici à 2050. L'échéance de 2023 garantit la sécurité en matière de planification. Les technologies pour atteindre ces objectifs existent déjà, argumente-t-elle.

    Le Conseil fédéral aurait voulu une réglementation subsidiaire. La valeur limite de 12 kg ou 20 kg de gaz carbonique par mètre carré de surface de référence ne s'appliquerait dès 2028 que si les émissions des bâtiments ne diminuaient pas suffisamment. Cette valeur serait réduite de 5 kg tous les cinq ans.

    Deux minorités soutiennent l'idée d'une réglementation subsidiaire. Elles estiment que les efforts doivent se concentrer aussi sur l'amélioration de l'efficience énergétique. Trop proche, la date butoir de 2023 poserait des problèmes pour la mise en œuvre au niveau cantonal, ajoutent-elles.

    Postulat déposé

    La commission a aussi déposé un postulat en vue d'une simplification des règles d'assainissement énergétique des bâtiments. Pour réduire les émissions dans le domaine de bâtiments, il faudrait faciliter autant que possible la mise en œuvre de projets d'assainissement et de construction. Il existe parfois des conflits d'objectifs entre réduction des émissions et protection du paysage et des sites construits, selon elle.

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  38. Enfin, la commission propose une hausse des contributions globales de la Confédération aux cantons pour financer des mesures dans le domaine des bâtiments. La contribution complémentaire de Berne pourrait aller jusqu'au triple du crédit annuel accordé par le canton.

    Neutralité visée

    Par 6 voix contre 5 et 2 abstentions, la commission propose encore de compléter l'étude de l'impact sur l'environnement par une évaluation des incidences sur le climat. Les émissions de gaz à effet de serre des nouveaux projets d'installation soumis à cette étude pourraient être réduites en conséquence.

    La commission veut imposer une neutralité climatique. Les nouvelles installations soumises à l'étude d'impact sur l'environnement ne devraient plus générer d'émissions dans l'ensemble, faute de quoi des mesures de compensation devraient être prises. Cette mesure est nécessaire pour atteindre les objectifs de l'Accord de Paris sur le climat, selon la majorité.

    À l'inverse, pour une minorité, il n'est pas judicieux d'intégrer une telle réglementation dans la loi sur le gaz carbonique. Elle constituerait une entrave aux investissements.

    A la mi-août, la commission de l'environnement du Conseil des Etats a déjà pris d'autres mesures concernant la loi sur le climat. Elle prévoient une taxe sur les billets d'avion et un renchérissement de l'essence. Le Conseil des Etats s'attaquera à la loi sur le gaz carbonique le 23 septembre. (ats/nxp)

    https://www.lematin.ch/suisse/valeur-limite-c02-btiments-2023/story/15876714

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    1. La facture va passer de très lourde à facture-mortelle pour tous les petits suisses au frigo ou devant le poêle !

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  39. Le crépuscule de l'ordre global


    par Tyler Durden
    Mer., 09/04/2019 - 00:10
    Écrit par Ana Palacio via Project Syndicate,


    Nous vivons à une époque d’hyperbole, dans laquelle les récits saisissants de triomphes monumentaux et de catastrophes dévastatrices ont préséance sur des discussions réalistes sur les progrès et l’érosion progressifs. Mais dans les relations internationales, comme dans n'importe quoi, les crises et les avancées ne sont qu’une partie de l’histoire; si nous ne remarquons pas non plus les tendances moins sensationnelles, nous risquons de nous retrouver dans une situation délicate - potentiellement après qu’il soit trop tard pour s’échapper.

    Le récent sommet du G7 à Biarritz, en France, en est un exemple. En dépit de certains développements positifs, le président français Emmanuel Macron, par exemple, a été félicité pour la maîtrise de son homologue américain, Donald Trump, qui n'a guère abouti. Et au-delà de la question des résultats concrets, la structure du sommet laisse présager une érosion progressive de la coopération internationale - une réduction lente et constante de l’ordre mondial.

    Il est quelque peu ironique que le G7 présage l’avenir, car c’est à bien des égards une relique du passé. Formé dans les années 1970, au plus fort de la guerre froide, il devait servir de forum aux principales économies développées: le Canada, la France, l'Allemagne, l'Italie, le Japon, le Royaume-Uni et les États-Unis.

    Après la chute de l'Union soviétique, le G7 a continué de façonner la gouvernance mondiale sur des questions allant de l'allégement de la dette aux opérations de paix et à la santé mondiale. En 1997, le G7 est devenu le G8, avec l’ajout de la Russie. Pourtant, le corps incarnait une ère de prééminence occidentale dans un ordre mondial libéral institutionnalisé en pleine floraison.

    Cette époque est révolue. La crise financière de 2008 a entravé les principaux membres de cet organisme, qui, conjugué à la montée en puissance des économies émergentes, en particulier de la Chine, signifiait que le groupe ne possédait plus la masse critique nécessaire pour guider les affaires mondiales.

    Le G20, plus vaste et plus diversifié, formé en 1999, a donc peu à peu dépassé le G8, remplaçant officiellement ce dernier en tant que forum économique international permanent 10 ans plus tard. Dans un environnement mondial de plus en plus complexe et divisé, le style de politique souple du G20, qui privilégiait les engagements non contraignants, était considéré comme plus viable que les méthodes rigides des anciennes institutions multilatérales.

    Le G8 a évolué comme un simple caucus. Lorsque les membres russes du G8 ont été suspendus en 2014 - en réponse à leur invasion de l’Ukraine et à l’annexion de la Crimée -, ils sont devenus encore moins pesants, bien que plus cohérents, leurs membres partageant une vision du monde plus cohérente. (Certains, y compris Trump, appellent maintenant à la réintroduction de la Russie dans le groupe.)

    Mais même ce léger avantage a été démoli avec l'élection de Trump en 2016. Son administration a commencé à attaquer des alliés et à rejeter des règles, normes et valeurs partagées. La situation a atteint son paroxysme lors du Sommet du G7 de 2018 à Québec, où le pétulant Trump a critiqué son hôte, le Premier ministre canadien Justin Trudeau, et a publiquement désavoué le communiqué final du sommet dès sa publication.

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  40. Dans ce contexte, le sommet de cette année à Biarritz a suscité une vive inquiétude. Avec peu d’espoir de parvenir à un consensus sur les questions en découlant, les organisateurs français de la réunion se sont attachés à préserver les apparences, préférant l’opportunité à l’impact. Les objectifs étaient vagues. En fait, Macron a annoncé avant l'événement qu'il n'y aurait pas de déclaration finale, déclarant que «personne ne lit les communiqués».

    Mais cette décision a représenté une perte majeure. Les communiqués finaux sont des documents de politique fournissant des signaux importants de compromis importants à la communauté internationale. La déclaration de 2018, que Trump a rejetée, comptait 4 000 mots et identifiait un ensemble de priorités communes et d’approches communes pour les traiter.

    Le sommet de Biarritz, en revanche, s'est terminé par une déclaration de 250 mots si vague et anodine qu’elle n’a aucun sens. En ce qui concerne l'Iran, par exemple, les dirigeants du G7 n'ont pu que s'accorder sur le fait qu'ils partageaient pleinement deux objectifs: faire en sorte que l'Iran n'acquière jamais d'armes nucléaires et promouvoir la paix et la stabilité dans la région. »À Hong Kong, ils ont réaffirmé« l'existence et l'importance de la déclaration commune sino-britannique de 1984 sur Hong Kong "et appelait cruellement" à ce que la violence soit évitée ". Sur l'Ukraine, la France et l'Allemagne ont promis d'organiser un sommet" pour obtenir des résultats tangibles ".

    Certes, des mesures positives ont été prises à Biarritz. L’apparition surprise du ministre iranien des Affaires étrangères Mohammad Javad Zarif a créé une ouverture potentielle pour les futurs pourparlers américano-iraniens. Des pressions ont été exercées sur le Brésil pour qu'il réponde aux incendies qui déciment l'Amazonie. Et les États-Unis et la France ont sorti une impasse française sur les géants de la technologie. Mais tout rassemblement international de haut niveau produit ce type d’actions limitées, simplement en facilitant l’interaction entre les dirigeants mondiaux.

    Beaucoup ont reconnu les faiblesses du dernier sommet du G7. Mais, attirés par la calamité comme nous le sommes si souvent, les évaluations portent principalement sur l’effondrement éventuel du corps l’année prochaine, lorsque le sommet du G7 sera organisé aux États-Unis par Trump, qui ira loin des efforts que Macron a tenus pour la dernière fois. un ensemble. (Au contraire, l’intérêt de Trump pour le sommet semble tourner autour de son désir de le garder dans son club de golf en difficulté de Doral, en Floride.)

    Mais cette perspective ne reconnaît pas toutes les implications du sommet de Biarritz: elle signale un changement plus général de la gouvernance internationale qui s'éloigne de la coopération politique concrète pour adopter des déclarations vagues et des solutions ad hoc. Dans une certaine mesure, le G20 a été le pionnier de cette approche, mais il avait au moins une vision et une direction bien définies. Cela ne peut plus être attendu.

    À moins que les dirigeants ne fassent le point sur la tendance actuelle, la conclusion du sommet de Biarritz marquera l’avenir de l’ordre mondial - elle ne s’achèvera pas en beauté, mais avec un gémissement.

    https://www.zerohedge.com/news/2019-09-03/twilight-global-order

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    1. Quand les dictateurs se mêlent de ce qui ne les regarde pas, aucune approche de suggestion de Démocratie n'était à l'ordre du jour !

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  41. NTSB: Le pilote Tesla "regardait vers le bas" avec le pilote automatique activé avant de casser dans un camion de pompiers lors d'une épave en 2018


    par Tyler Durden
    Mar., 09/03/2019 - 15:50


    De nouveaux détails importants sont apparus dans le cas d'un accident survenu à Tesla en 2018, où un conducteur s'est écrasé à l'arrière d'un camion de pompiers dans le sud de la Californie. Ce conducteur aurait désormais "regardé vers le bas" de "ce qui semblait être un téléphone portable" alors que le pilote automatique de la voiture était activé, selon Bloomberg.

    Le NTSB - qui était en train d'examiner plusieurs accidents impliquant un pilote automatique dans Tesla - a révélé dans des rapports préliminaires mardi qu'une déclaration d'un témoin de la collision de janvier corroborait cette conclusion, qui était également corroborée par des données supplémentaires communiquées par les enquêteurs.

    À ce moment-là, le chauffeur avait déclaré aux enquêteurs qu'il n'utilisait pas son téléphone et qu'il était impatient, mais qu'il aurait pu tenir "un café ou un bagel".

    Mais le conducteur avait activé le pilote automatique, qui était actif depuis 13 minutes et 48 secondes avant l’accident. Les mains du conducteur n'étaient pas sur le volant pendant la "majorité du temps", selon les données de Tesla fournies au NTSB.

    Le NTSB prévoit d’annoncer la cause probable de l’accident mercredi.

    Bien que le conducteur n'ait pas été blessé, le NTSB enquête sur les implications en matière de sécurité de "l'utilisation croissante de l'automatisation des véhicules" (ou, dans le cas de Tesla, de son absence). Il étudie également comment les batteries de Tesla ont pris feu après de graves impacts.

    Un témoin au moment de l’accident a déclaré que la Tesla s’était enfoncée à l’arrière du camion de pompiers sans freiner:

    "Je pouvais voir le chauffeur et je voyais sa tête se pencher très en avant, alors qu'il semblait regarder un téléphone portable ou un autre appareil qu'il tenait dans la main gauche", selon la déclaration écrite du témoin publiée par le NTSB. "La position du conducteur m'a semblé étrange et inquiétante, car il était clair pour moi qu'il était très concentré sur son téléphone et ne surveillait pas du tout la route, même s'il s'approchait rapidement de la machine à incendie arrêtée."

    Le NTSB n'avait trouvé aucune indication que le conducteur envoyait un SMS ou passait un appel à ce moment-là. Le téléphone peut avoir été utilisé à d’autres fins, cependant. Le conducteur affirme qu'il suivait un gros camion ou un VUS qui le gênait. Lorsque le camion s'est écarté de la route, il a affirmé qu'il n'avait pas eu le temps de reconnaître le camion de pompiers et de s'écarter du chemin.

    Nous avons documenté les détails de l'accident lorsqu'il s'est produit, indiquant que, à l'époque, il était impossible de savoir si la fonction de pilote automatique était activée.

    Nous connaissons au moins 3 accidents mortels impliquant le pilote automatique. Nous nous demandons depuis longtemps pendant combien de temps le NTSB et la NHTSA vont permettre à cette farce de pilote automatique de se poursuivre: combien d'accidents supplémentaires devront être commis? Combien de personnes vont-elles mourir ?

    Nous aurons peut-être plus de réponses mercredi.

    https://www.zerohedge.com/news/2019-09-03/ntsb-tesla-driver-looking-down-autopilot-smashing-fire-truck-2018-wreck

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  42. L'armée américaine entoure le Venezuela avec un nouveau déploiement en Guyana


    par Tyler Durden
    Mar., 09/03/2019 - 13:50


    L’armée américaine a effectivement encerclé le Venezuela, en prévision d’une éventuelle intervention militaire.

    Nous avons signalé dans le passé que le Pentagone travaillait conjointement avec la Colombie, le Brésil et d'autres partenaires régionaux sur la manière de briser l'économie vénézuélienne afin que le président Nicolás Maduro se retire.

    Il y a maintenant un nouveau rapport selon lequel l'armée américaine a été déployée dans le Guyana, un pays d'Amérique du Sud appauvri, pour la première fois depuis une décennie. Le pays est situé sur la côte nord-atlantique de l'Amérique du Sud et borde le Venezuela à l'ouest.

    Ce déploiement de quatre mois, dirigé par l'US Air Force, s'appelle New Horizons. Il est destiné à servir de "tremplin vers une relation prolongée" avec les forces militaires guyanaises, a rapporté Military.com.

    L’armée de l’air espère que les relations avec le pays pourront se développer avec l’influence croissante de la Russie et de la Chine dans la région.

    "La Guyana va devenir un acteur plus important dans la région, tant sur le plan économique que politique, il est donc important que nous soyons étroitement liés avec eux", a déclaré le commandant de la 12e Force aérienne, le général Andrew Croft, lors d'un entretien.

    "Ce que nous quittons, c’est une présence physique durable, en plus des partenariats que nous établissons", a déclaré Croft, citant des installations médicales et des écoles construites en 1997 et toujours utilisées de nos jours.

    Le dernier déploiement concerne environ 600 membres du service militaire américain. Conformément à Military.com, leur objectif sera de construire des centres communautaires et un refuge pour femmes.

    "La Guyana est située dans un endroit stratégique au nord de l'Amérique du Sud et dans les Caraïbes", a encore souligné le commandant américain. "C’est ce qui le rend important. De plus, à mesure que les changements politiques se produisent dans le pays et qu’ils se rapprochent de nous, il est important pour nous de nouer ces relations personnelles non seulement par l’ambassade, mais également par les forces de défense militaires et guyanaises, qui compte actuellement environ 3 000 personnes avec l’intention de presque doubler ce chiffre dans les prochaines années. "

    Croft a déclaré que le déploiement, soigneusement planifié par le US Southern Command, pouvait servir de "police d'assurance" si des conflits régionaux éclataient dans la région.

    "Cela jette les bases de l'avenir pour ne pas nous retrouver dans une situation comme au moyen-orient, où nous menons des opérations de combat à part entière", a-t-il ajouté. "Plus nous pouvons les aider à mettre en place des fonctions relatives à l'état de droit, à l'éducation et aux services, plus nous pouvons les aider à établir les fondements d'une main-d'œuvre."

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  43. Croft a mis en garde sur la présence croissante de la Chine et de la Russie en Amérique du Sud, notant que les réseaux de communication guyanais utilisent Huawei.

    Il a également déclaré que les mines de bauxite locales, principalement d'extraction de l'aluminium, pourraient être sous un nouveau contrôle, la Russie et la Chine ayant fortement investi dans ces opérations dans le pays.

    Avec la Guyana sécurisée, l'armée américaine a effectivement encerclé le Venezuela avec la constitution de personnel en Colombie et au Brésil; les deux pays sont frontaliers du Venezuela. Le travail préparatoire à une intervention militaire est en cours de préparation. ce n'est qu'une question de temps avant qu'une invasion puisse être vue.

    https://www.zerohedge.com/news/2019-09-03/us-military-surrounding-venezuela-new-deployment-guyana

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    1. Guyana
      Pays en Amérique du Sud

      DescriptionLe Guyana est situé sur la côte nord-atlantique de l'Amérique du Sud et se caractérise par sa forêt tropicale dense. Cette nation anglophone, mais culturellement reliée aux Caraïbes associe le cricket et la musique calypso. Sa capitale, Georgetown, est connue pour son architecture coloniale britannique, notamment la haute cathédrale anglicane de Saint George, en bois peint. Une grande horloge orne la façade du marché de Stabroek, qui propose des produits locaux.

      Capitale : Georgetown
      Population : 777859 (2017) Banque mondiale
      Devise : Dollar guyanien

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  44. Le danger de l’écologie politique pour la liberté

    Aujourd’hui, l’écologie politique recherche le pouvoir pour faire de bonnes affaires financières. Dans cette optique, elle a besoin d’un système autoritaire qui lui permettra d’imposer sa vision pour le « bien de la Planète ».


    Par Michel Gay et Jean-Pierre Riou1.
    3 SEPTEMBRE 2019


    L’écologie a renoué le lien fondamental et sacré reliant l’environnement à l’Homme qu’avaient perdu les religions dans un contexte d’explosion technologique. Cette communion renouvelée a ouvert la voie à un cortège de gourous et d’affairistes dont le fond de commerce repose, comme souvent, sur la peur.

    Lorsqu’un bateleur médiatique (élu ou non) se pose en défenseur de la transition énergétique au nom de l’écologie, il est persuadé de se trouver du côté des bons et des gentils. Tout ce qu’il promet va dans le sens d’une humanité plus solidaire, plus propre, plus autonome, plus responsable et plus juste. Les vérités premières qu’il assène deviennent une évidence. Ne pas les suivre relèverait de l’imbécillité et de l’égoïsme.

    Les « néo-prédicateurs » de la religion verte ont même leur diable : l’énergie nucléaire.

    LE RETOUR DE L’OBSCURANTISME

    À l’opposé du siècle des Lumières et de son culte de la technique et du progrès, le XXIe siècle naissant affiche désormais sa défiance de la science et scrute, derrière chacune de ses avancées, la main du lobby susceptible de l’avoir manipulée.

    Au nom du dieu Nature, ce siècle marque le retour de la culpabilité de l’Homme, néfaste par essence à son environnement. Sa nécessaire contrition est liée au mythe d’une future apocalypse dont il serait responsable.

    L’écologie politique s’engouffre avec succès dans cette brèche en brandissant à la fois le spectre de la fin du monde et les délices d’un paradis perdu. Elle se contente de manipuler les peurs sans s’embarrasser de bilans.

    L’ÉCOLOGIE, UNE DICTATURE ?

    Le discours de la transition énergétique a des airs de dictature et d’arrangements commerciaux entre amis.

    L’écologie « sympathique » utilise des expressions grandiloquentes (sauver la planète et les futures générations) pour imposer sa volonté au peuple, y compris contre son gré, par l’application de normes toujours plus restrictives et contraignantes, voire liberticides.

    La véritable écologie, c’est-à-dire la protection de l’environnement et l’arrêt du gaspillage des ressources, est une science qui fait appel à la technique, l’industrie, l’économie, ainsi qu’à la recherche.

    Mais la politisation de l’écologie, qui fait de la protection de la planète un projet prioritaire de société, doit être redoutée.

    L’écologie politique ne doit pas être un fondement des relations sociales car les écologistes ne cherchent pas à résoudre les problèmes humains, sociaux ou économiques. Ils veulent avant tout créer une icône supérieure à l’Homme et qui serait la planète. Cette « idole sacrée » déciderait au-dessus de toute autorité humaine du bien et du mal. Il ne s’agit plus d’un projet républicain mais d’une idéologie religieuse fondée sur un arbitraire, au nom de la sainte quête du Graal du développement éco-durable.

    Les scientifiques sont mis au pilori comme menteurs aux ordres des industriels. Adieu la science et la raison pour le développement de l’humanité, adieu même toute espérance de mieux consommer et de moins polluer.

    LA DÉFIANCE DU PROGRÈS

    Les progrès des biotechnologies, et des techniques en général, ont fait reculer la faim dans le monde, mais aussi la maladie et la misère.

    Pourtant, chaque mise au point d’une nouvelle variété de semences mieux adaptée à son environnement, ou de produit phytosanitaire qui évite la destruction des cultures, est désormais perçue a priori comme une invention du diable par l’écologie moderne.

    La constante est de s’opposer à toute forme de science comme d’ailleurs à toute forme de confort ou de progrès

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  45. C’est la raison pour laquelle la défiance envers les vaccins ne cesse d’augmenter en Europe, alors que ceux-ci sauvent entre 2 et 3 millions de vies chaque année.

    L’écologie moderne se méfie de la civilisation et de l’industrie. Elle préfère un repli sur elle-même dans lequel l’auto consommation, la frugalité, et le retour à la nature primitive deviennent un but.

    Elle puise ses racines dans le courant culturel de révolte contre l’autorité établie dont les théoriciens sont généralement issus de milieux nantis « écolo-bobos » assurés de la protection sanitaire et de tous les éléments de confort de cette société industrielle tant honnie.

    UNE DÉVIANCE DE NOS GOUVERNANTS

    Les « déviances écologistes » de nos gouvernants sont inquiétantes pour la démocratie s’ils continuent à élever au rang d’intérêt général la production des énergies renouvelables, sans démontrer qu’elles répondent à ce qu’ils prétendent.

    Ceux qui s’imaginent encore que l’écologie permettra d’aller vers un monde meilleur sont les dupes de l’Histoire. Cette idéologie s’organise pour imposer une réduction du niveau de vie de l’humanité par la contrainte en limitant la production d’énergie abondante et bon marché.

    Le principal facteur de développement social et de compétitivité de toute économie est le caractère bon marché de l’énergie, et en particulier de l’électricité.

    Imposer des énergies renouvelables aléatoirement variables, voire intermittentes et chères au détriment du nucléaire est un bon moyen pour parvenir à effondrer une société industrielle.

    De plus, l’électricité produite par le soleil et le vent peut faire s’écrouler le réseau de transport sans la stabilisation de la fréquence (50 hertz) par l’inertie des « machines tournantes » pilotables, comme les alternateurs des centrales thermiques classiques (gaz, charbon, pétrole), ou nucléaires.

    L’énergie nucléaire incarne le mal absolu, puisqu’elle représente actuellement la seule forme d’énergie propre qui peut être fournie en abondance avec un minimum d’impact sur l’environnement. Elle ouvre des perspectives quasi illimitées grâce aux nouvelles générations de réacteurs.

    De plus, la réduction de la part de production nucléaire préconisée actuellement par le gouvernement s’oppose à la lutte pour le climat et à l’accès à l’énergie pour tous.

    L’échec prévisible de cette politique est désormais dûment constaté dans le suivi de la stratégie nationale bas carbone.

    De même, en Allemagne, le doublon intermittent de plus de 100 000 mégawatts (MW) éolien et solaire n’a toujours par permis de fermer un seul MW pilotable, malgré les milliards d’euros engagés pour l’Energiewende. S’il est facile de fermer autoritairement par idéologie une unité pilotable, c’est ensuite une autre affaire d’assurer la sécurité d’approvisionnement.

    LE PRINCIPE DE RÉALITÉ

    La charge du ministre de l’Écologie stipule : « Au titre de l’énergie et du climat, il élabore et met en œuvre la politique de l’énergie, afin notamment d’assurer la sécurité d’approvisionnement, la lutte contre le réchauffement climatique et l’accès à l’énergie, et de promouvoir la transition énergétique. »

    Or, la mise en œuvre des valeurs de l’écologie politique, via la transition énergétique, menace précisément la sécurité d’approvisionnement et va à l’encontre de la lutte contre le réchauffement climatique.

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  46. L’écologie érigée en religion fait croire aux miracles d’un avenir radieux grâce au vent et au soleil. Mais les épithètes grandiloquentes qui l’accompagnent n’y changeront rien : les énergies intermittentes éoliennes et photovoltaïques, véritables totems modernes, ont montré leur incapacité à remplacer quelque puissance pilotable que ce soit, et à réduire les émissions de gaz carbonique.

    Et ceci, tout particulièrement en France, pour la bonne raison que son système électrique n’émet déjà pas (ou peu, 6 g gaz carbonique/kWh) de gaz à effet de serre.

    Aujourd’hui, l’écologie politique recherche le pouvoir pour faire de bonnes affaires financières. Elle veut obtenir le soutien financier des États, c’est-à-dire de tous les contribuables (ces pécheurs et pécheresses à convertir) et des consommateurs (ces vilains pollueurs). Dans cette optique, elle a besoin d’un système autoritaire qui lui permettra d’imposer sa vision pour le « bien de la Planète ».

    DES MÉTHODES SOURNOISES

    Dans le monde, des écologistes politiques utilisent des méthodes sournoises aux relents dictatoriaux pour s’imposer au peuple récalcitrant. Alors, pour imprégner les esprits, ils déploient une propagande médiatique tous azimuts afin de radicaliser, fanatiser, discréditer, jeter l’anathème, supprimer et interdire, toujours et encore au nom de la Planète.

    L’Occident pourrait devenir le dindon d’une farce que ces nouveaux idéologues écrivent sous le regard intéressé de la Chine, de la Russie et des États-Unis qui avancent leurs pions pour défendre leurs propres intérêts.

    En poussant le raisonnement jusqu’au bout, le meilleur moyen de diminuer l’empreinte écologique de l’Homme sur Terre est de le transformer en humus pour nourrir la Nature.

    Finalement, se suicider serait bon pour la planète. Un bon humain serait donc un humain mort.

    On commence tout de suite ou on attend encore un peu ?

    Et surtout, qui commence ?

    Attention… l’écologie politique est dangereuse pour la démocratie et la liberté !

    1 - Inspiré par la publication L’écologie politique sera scientifique ou ne sera plus dans European Scientist ?

    https://www.contrepoints.org/2019/09/03/352801-le-danger-de-lecologie-politique-pour-la-liberte

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  47. AUSTRALIE - UNE VÉGANE VEUT INTERDIRE LES BARBECUES DE SES VOISINS

    Une Australienne affirme vivre un enfer à cause des odeurs et bruits du voisinage. Elle est remontée jusqu’à la Cour suprême.
    Impossible de dormir si les enfants des voisins jouent au basket, a plaidé Cilla Carden sur 9News.


    04.09.2019, 06h45

    Les Australiens sont de grands adorateurs des barbecues. Mais ce n’est pas le cas de Cilla Carden, une habitante d’une banlieue de Perth, à l’ouest du pays. Elle accumule les actions en justice pour que ses voisins soient interdits de grillades.

    Selon cette végane, massothérapeute de profession, les activités de ses voisins enfreignent les règles imposées aux résidents du quartier. Et de citer les barbecues, mais aussi la fumée de cigarettes et des enfants trop bruyants. Elle exigeait également que d’autres voisins limitent l’éclairage de leur patio et fassent taire leurs animaux domestiques.

    «Ça a été dévastateur»

    «Je ne peux pas profiter de mon jardin, je ne peux pas sortir. Ils ont mis leur barbecue là pour que je sente le poisson, tout ce que je peux sentir c’est l’odeur du poisson», a-t-elle expliqué lundi à la chaîne 9News.

    «Ça a été dévastateur, c’était une tempête, je n’ai pas pu dormir», a-t-elle ajouté à propos des enfants qui jouaient au basket.

    Sèchement déboutée

    Elle a donc décidé de saisir la justice. En février, un tribunal lui a donné tort. Assez sèchement. En estimant qu’autoriser ses enfants à jouer dehors ne constituait pas raisonnablement une nuisance. «Ce qu’ils font, c’est vivre dans leur cour et leur maison en tant que famille», avait tranché la justice. Qui soulignait alors que la famille visée avait interdit à ses enfants de jouer dehors le soir ou encore déménagé leur barbecue par crainte des représailles de la plaignante et pour tenter de l’apaiser.

    Apaisée, Cilla Carden ne l’a pas du tout été. Elle a porté l’affaire devant la Cour suprême de l’État. Qui a rendu une même décision de non entrée en matière en juillet dernier. Le juge avait alors noté en passant que son appel était constitué de quelque 400 pages !

    Nouvelles actions en vue

    L’Australienne a encore recouru contre cette décision, en vain. Malgré trois échecs consécutifs, Cilla Carden n’entend pas jeter l’éponge. Elle vient donc de rendre l’«affaire» publique. Et elle promet de nouvelles actions en justice contre ses voisins.

    Interrogé par la chaîne 9News, l’avocat John Hammond a noté que saisir la Cour suprême était une «option extrême». Puis a glissé que pour ne pas vivre un enfer, le mieux, en cas de conflit de voisinage, reste d’aller voir son voisin et tenter de régler le différend…

    https://www.lematin.ch/monde/vegane-veut-interdire-barbecues-voisins/story/20848671

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    1. Les fans Club de Greta(de l'Assemblée Nationale - France) s'étend jusqu'en Australie !

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  48. BÂLE GRAVEMENT BLESSÉ EN TROTTINETTE ÉLECTRIQUE

    Un homme en état d'ébriété est tombé de sa trottinette électrique sur un trottoir, mardi à Bâle.


    04.09.2019, 05h31


    Un utilisateur de trottinette électrique ivre a été grièvement blessé mardi en fin de journée à Bâle, a indiqué dans un communiqué la police cantonale de Bâle-Ville, qui recherche des témoins. Pour une raison encore inconnue, l'homme est tombé sur un trottoir. Il a été conduit à l'hôpital par une ambulance. Son taux d'alcoolémie atteignait 0,69 mg/l. (ats/nxp)

    https://www.lematin.ch/faits-divers/gravement-blesse-trottinette-electrique/story/28025661

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  49. Que diriez-vous d'écrire un journal intime pour aller mieux ?

    Aurore Aimelet
    Psychologies
    mar., 27 août 2019 20:40 UTC


    Écrire, ça fait du bien. Nous le présentions déjà quand, adolescent, nous noircissions les pages de notre journal intime. Bouleversés par Anne Frank, nous avons été tentés pas l'écriture d'un roman à portée existentielle - portant sur notre propre existence, donc - avant de retrouver la raison.

    Plus humblement, nous nous sommes lancés dans un blog pour raconter notre dernier voyage ou notre quotidien de parent débordé. Plus timidement, nous nous sommes inscrits sur Facebook pour publier notre « humeur » et partage nos « likes ». Ou plus méthodiquement, nous remplissons l'un de ces bullet journal pour « bujoter » c'est à dire mettre de l'ordre dans notre agenda, donc dans nos pensées.

    Bien entendu, en bons partisans de la psychologies positive, nous savons que tenir un journal de la gratitude ou de bonheur, pour y notre nos « trois kiffs par jour-1 », est une riche idée de développement personnel.

    Jusque-là confiné dans nos tiroirs secrets, puis devenu public sur les réseaux sociaux, le journal intime « à l'ancienne » fait un retour en force. Nayla chadiac, docteure en psychopathologie et psychologue clinicienne, explique pourtant que « l'écriture de soi, le journal intime, n'a jamais cessé d'exister ». Après Marc Aurèle et ses pensées, Saint Augustin et ses confessions, ce genre littéraire se développe dès la fin du Moyen Age pour devenir un véritable hobby au XVIIIe siècle.

    Le « Diarisme-2 » est bel et bien une bonne vieille pratique thérapeutique.

    « De nos jours, plus de cinq millions de personnes tiennent des journaux en France », Précise le psychologue, qui a publié Ateliers d'écriture thérapeutique (Elsevier Masson). Le Festival du journal intime a même eu lieu pour la première fois en septembre dernier, sous l'impulsion de Philippe Lejeune, chercheur et auteur d'une quinzaine d'ouvrages sur le sujet, co-fondateur de la bien nommées Association pour l'autobiographie et le patrimoine autobiographe. Selon lui, « tenir un journal est devenu, pour un individu, une manière possible de vivre ou d'accompagner un moment de sa vie ».

    Et pour nous qui, vu la conjoncture, n'allons pas forts en ce moment, ce peut être une aubaine. Stéphanie Assante, coach formée à la programmation neurolinguistique, en convient : « certains n'ont pas envie de se lancer dans une thérapie, mais cherchent à revenir à l'essentiel, à donner du sens, à être plus autonomes. L'écriture, comme toutes les formes d'"auto-développement" nées de la vulgarisation de la psychologie, répond, dans un contexte d'insécurité et de négativité, à un vrai besoin actuel. »

    Aux États-Unis, toujours en avance sur le terrain du feel good, le diarisme connaît un véritable engouement : les applications mobiles - avec verrou intégré pour la plupart - offrent aux hyper-connectés un moyen simple et pratique pour avoir leur dose d'introspection quotidienne. Alors, pourquoi pas nous ?

    Allez, c'est parti : « Cher journal... » Aïe ! La page blanche. Écrire, ça fait vraiment du bien ? Oui, voici pourquoi et comment faire.

    Une implication corporelle...

    D'abord, écrire serait presque méditer. Pour Stéphanie Assante, qui a publié La Vie dont vous êtes le héros (Mango), cette activité « débranche le cerveau gauche rationnel pour accéder à un soi plus authentique, créatif, émotionnel, inconscient ». De la même façon que le dessin, le coloriage et même les gribouillages aident à focaliser notre attention et à revenir à l'instant présent, nous plongeons dans un état second.

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  50. Hélène Bah-Ostrowiecki, maître de conférences à l'université de Marne-la-Vallée, consultante et formatrice, insiste, elle, sur la dimension corporelle.

    « Cela exige de la concentration, un engagement physique, une mobilisation consciente du corps, détaille l'auteure de L'Écriture thérapie (Eyrolles). On ne fait rien d'autre, on est en présence de soi. C'est moins l'écrit qui compte que ce qui se joue à ce moment-là, de soi à Soi. »

    Noircir le papier mobilise le corps et l'esprit dans un projet commun et, de ce fait, engendre du plaisir. « Même le rapport au temps se modifie. On est là, dans l'ici et maintenant », note Isabelle Minière, psychologue clinicienne et hypnothérapeute. Un break, en somme, dans nos journées trop remplies.

    ombre de grands écrivains diaristes mettent en évidence la fonction cathartique de l'écriture de soi. Laure d'Astragal coach et professeure de yoga, auteure de J'écris ma vie pour mieux me connaître (Albin Michel), le confirme : « Coucher sur le papier ses émotions et ressentis douloureux soulage. » Ce qui polluait à l'intérieur déménage à l'extérieur de soi. Et ce peut être salutaire. « Ce qui ne s'exprime pas s'imprime dans le corps, renchérit Stéphanie Assante. Le mal-être vient du déni et du refoulement. La parole, comme l'écrit, libère. Cette extériorisation agit comme une purge. » Pourquoi ? Matthew Lieberman, de l'université de Californie, a démontré en 2009 que le fait de décrire ses sentiments diminue l'activité des centres amygdaliens, à l'origine de la peur, de la colère et de la tristesse-3. Selon ses recherches, IRM à l'appui, tenir un journal, et même écrire des poèmes ou de mauvaises chansons, participe à la régulation des émotions.

    Isabelle Minière rappelle aussi à quel point « nous avons besoin d'expression : nous avons intériorisé que certains sujets étaient tabous, que certaines choses ne se disaient pas. Mais ces injonctions socioculturelles étouffent l'individu », remarque l'auteure d'Au pied de la lettre (Serge Safran éditeur). Le carnet est un lieu où l'on peut enfin dire l'indicible.

    virginiaCar se raconter au quotidien, c'est aussi « prendre le temps de poser un regard sur soi, de quitter le "pilotage automatique" », explique Stéphanie Assante. Miroir de soi, ce carnet de bord permet de mieux se connaître, selon Isabelle Minière : « Nous cherchons naturellement nos mots, ceux qui sont justes, authentiques, ceux qui nous reflètent. Avec ce travail de précision, nous nous révélons à nous-mêmes. » Un moyen de se construire ?

    Hélène Bah-Ostrowiecki rappelle que cette page est « un endroit secret, un espace privé, où l'on peut affirmer sa singularité ». C'est tout l'intérêt de ce journal qui demeure « intime ». « À la différence des réseaux sociaux, constate Laure d'Astragal, le carnet offre la possibilité de construire son identité en dehors du regard des autres, de leurs attentes, de leurs jugements. C'est un refuge. » Les diaristes ont en commun de questionner leur identité, comme le titre de l'un des volumes du journal de Julien Green Pourquoi suis-je moi ? (Journal 1993-1996, Fayard).

    Finalement, tenir un journal est moins une façon d'écrire qu'une façon de vivre, car l'exercice est un entraînement mental au bien-être. C'est d'ailleurs l'idée qui se cache derrière les carnets d'optimisme. Isabelle Minière : « Noter chaque soir les cinq événements positifs vécus dans la journée permet de les revivre, bien sûr, et de les laisser infuser. Mais c'est aussi le moyen d'être plus attentif à ce qui arrive de beau, de bien, de bon, de le remarquer sur le moment, d'être plus sensible à un sourire ou un parfum. »

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  51. Être à l'écoute de soi et de son bonheur, tel est le filigrane quotidien. Comme Stendhal, qui confiait dans son Journal (Gallimard) : « J'entreprends d'écrire l'histoire de ma vie jour par jour [...]. Je prends pour principe de ne pas me gêner et de n'effacer jamais. » Créer sans rien effacer. C'est aussi l'un des bienfaits du journal pour Hélène Bah-Ostrowiecki : « Il n'y avait qu'une page blanche et, tout à coup, il y a une trace, comme un pas sur la neige ou dans le sable. » De quoi favoriser notre sentiment d'exister.
    journal

    De l'introspection à la réflexion

    Mais que faire ensuite de tous ces maux/mots ? Philippe Lejeune revient, dans Le Pacte autobiographique (Seuil), sur les raisons qui poussent le diariste à s'atteler quotidiennement à la tâche, et souligne le « besoin d'auto-édification », en mettant en avant la fonction essentielle de la relecture. Laure d'Astragal confirme que le journal permet de revisiter son histoire :

    « L'introspection laisse alors place à une forme de réflexion, qui tend à faire le point, qui pose des questions, qui cherche à comprendre. Pourquoi, dans telle situation, on a persévéré, par exemple, ou quelles frustrations sont récurrentes. »
    Aller mieux... ou pas

    Le journal devient alors un outil pour se mettre en action et avancer, prendre sa vie en main après avoir pris son stylo. Certains doutent, évidemment. Roland Barthes ne mâchait pas ses mots : « Au XVIe siècle, où l'on commençait à en écrire sans répugnance, on appelait ça un diaire : diarrhée et glaire-4. » Oups !

    Il est vrai que l'exercice est souvent qualifié de puéril, narcissique, un brin névrotique, légèrement lâche, littérairement nul et... exclusivement féminin ou presque. Le syndrome Bridget Jones, sans doute. Mais George Sand répondrait sûrement que « la critique est plus facile que la pratique » (Journal intime,Seuil).

    vvvvAlors, thérapeutique, le journal ? D'après James W. Pennebaker, professeur de psychologie à l'université du Texas, pionnier de la writing therapy, oui ! Ses recherches ont démontré qu'écrire environ vingt minutes quotidiennement, durant trois ou quatre jours, sur des événements et des émotions intenses ou difficiles, renforçait le système immunitaire-5. Cela dit, il existe quelques contre-indications. « Le risque est de s'enfermer dans sa souffrance, reconnaît Hélène Bah-Ostrowiecki, d'alimenter son obsession. » Et de se couper des autres en se demandant chaque jour si on est le plus malheureux. Et puis, « si l'écriture est un bon moyen de s'exprimer, affirme Laure d'Astragal, on n'est pas toujours le mieux placé pour l'analyser ». Excellent point de départ ou médiateur thérapeutique, le journal n'est pas un psy ! Pour Nayla Chidiac, qui a mis en place des ateliers d'écriture à l'hôpital Sainte-Anne, à Paris, « prendre la plume est certes libérateur, mais ce n'est qu'une porte ouverte. Sans un travail d'élaboration de la pensée, s'éloigner du point de douleur est difficile. L'écriture est pour moi le sismographe de l'âme permettant de se pencher sur l'assouplissement de la pensée ». Joliment dit, non ? Non, joliment écrit.

    Le cahier intime, mode d'emploi

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  52. Nos experts sont unanimes. L'idée est d'écrire de façon un peu automatique, sans chercher quoi que ce soit, sans travailler la structure, soigner son style ni faire de mots d'esprit. Inutile aussi de retracer la chronologie des événements de la journée. Il s'agit d'exprimer ce qui a été vécu en termes d'émotions, de sensations, de pensées : vos frustrations, vos déceptions, mais aussi vos joies, vos petits moments de bonheur ou encore vos réflexions, vos goûts. L'objectif n'est pas le prix Goncourt, seul le processus compte.

    Vous pouvez tenir un journal intime ou un carnet de gratitude. Si vous êtes en thérapie, rédiger un petit résumé de chaque séance. Ou écrire des lettres que vous n'enverrez pas, ou encore des dialogues avec un autre ou avec une partie de vous-même, comme George Sand qui parlait d'elle au masculin. Vous êtes tenté, mais n'avez aucune idée ? Partez de là. Pourquoi n'en avez-vous pas ? Qu'est-ce que cela vous fait ? Vous verrez que, par magie, les mots courront sur le papier.

    1. En référence au livre de Florence ServanSchreiber, Trois Kifs par jour (Marabout).
    2. Diarisme : terme emprunté à l'anglais diary, introduit en France en 1952 par Michèle Leleu dans Les Journaux intimes (PUF). Il fait aussi référence aux diaires, les livres de raison que l'on tenait en famille autrefois.
    3. « Calm yourself : write in a diary », mars 2009 (en anglais).
    4. Dans Roland Barthes par Roland Barthes (Points).
    5. « The health benefits of journaling », mai 2016 (en anglais).

    https://fr.sott.net/article/34348-Que-diriez-vous-d-ecrire-un-journal-intime-pour-aller-mieux

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    1. Le livre est comme une photo un cerveau qui n'oublie pas.

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  53. Juste une illustration de la secte CLIMAT CHANGE - cela m'a pris moins de 10 minutes de recherches en partant de zéro


    mardi, 03 septembre 2019 23:34


    Vous me dîtes souvent. Où sont mes sources ? Surtout quand j'écris un article de ce genre http://www.objectifeco.com/entreprendre/tendances-sectorielles/le-climat-bidon-qui-se-rechauffe-dans-un-reve-et-les-sources-d-infos.html

    Elles sont partout. On ne sait pas vérifier les émissions de carbone de la nature aujourd'hui. A chaque fois, on obtient des articles du genre https://www.sciencemag.org/news/2018/09/ice-covered-icelandic-volcano-may-emit-more-carbon-dioxide-all-country-s-other

    où il est exposé que les émissions réelles ont l'air d'être beaucoup plus élevées que les émissions théoriques calculées par la secte...

    La vérité, c'est que personne n'a calculé tous les phénomènes naturelles pris ensemble comme ce qui sort de la mer comme le méthane https://worldoceanreview.com/en/wor-1/ocean-chemistry/climate-change-and-methane-hydrates/

    Le climat Change pipo est tellement simpliste par rapport à la réalité ultra complexe du climat qu'on comprend assez rapidement que l'idée, c'est juste d'utiliser la culpabilité pour taxer toujours plus sans soulever de révolutions du peuple.

    Il existe des dizaines et des dizaines de phénomènes naturels interconnectés. Des milliers d'articles font état de ces "soucis" chacun dans leur coin.

    Peu d'auteurs osent dire que finalement mis bout à bout, l'homme ne représente en pourcentage pas tant que cela.

    Si vous réfléchissez juste, la terre n'a jamais changé de quantité d'atomes... on veut nous faire croire que le transfert du carbone du sol à l'atmosphère va tout casser et ce sera la fin du monde qu'on connaît... N'est ce pas prendre la terre et les dieux concepteurs pour des cons.

    On retrouve toujours la même histoire de la peur du déséqulibre exploitée par les élites.

    Les humains souffrent de l'instabilité. Ils se sentent en sécurité quand les conditions ne changent pas. Ce qui n'existe pas sur terre...

    Par exemple, on nous dit qu'on va soigner les méfaits du capitalisme par du socialisme, en corrigeant les cycles...

    Aujourd'hui, on a tellement corrigé les cycles que les marchés obligataires sont détruits et ne peuvent plus fonctionner naturellement.

    C'est pareil avec le climat. On va corriger le cycle en cours du climat...

    C'est pareil avec l'agriculture. On va corriger pour augmenter les rendements. Au final, on crève tous de cancers et allergies, quand ce n'est pas la castration géante en cours du sperme humain qui a lieu.

    Moi je dis TOUS AUX ABRIS car quand l'homme corrige ce qu'il ne peut pas contrôler, on obtient à la fin toujours pire que la nature.

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  54. L'intelligence de la nature est géniale et l'homme est à ce stade loin de l'égaler...

    Maintenant, regardez en face comment on vous manipule en remontant dans le temps et en analysant les "prédictions " de la secte CLIMAT CHANGE. Prenons un article de 2007 qui prévoyait la fin de la glace en 2013 sur la BBC http://news.bbc.co.uk/2/hi/science/nature/7139797.stm

    A un moment vous pouvez lire que les prédictions sont annoncées trop conservatrices hahahhahaha...

    "Our projection of 2013 for the removal of ice in summer is not accounting for the last two minima, in 2005 and 2007," the researcher from the Naval Postgraduate School, Monterey, California, explained to the BBC."So given that fact, you can argue that may be our projection of 2013 is already too conservative."

    En réalité, nous sommes en 2019 et nous avons assisté à une croissance de la glace... https://www.forbes.com/sites/trevornace/2018/12/10/arctic-sea-ice-is-growing-faster-than-before-but-theres-a-catch/#561c75c21ef4

    Quand je vous dis qu'on se fout littéralement de votre gueule...

    Ce qu'on constate, c'est qu'à chaque fois que les prédictions du passé ne sont pas vérifiées, ce qui arrive tout le temps vu que le paradigme de base est totalement faux, on a le droit à un bol d'excuses expliquant non pas l'erreur mais le décalage dans le temps, l'arrivée de nouveaux indicateurs pour expliquer que la prédiction était mauvaise et noyer le poisson et un renouvellement des prédictions du désastre écologique à venir mélangeant pour mieux embrouiller les problématiques de pollution avec celles du climat. L'arnaque est toujours la même. La pollution augmente. Ca, on est tous d'accord. Et il suffit de lier la hausse de la pollution à la température et le tour est joué pour réclamer plus d'impôts. On choisit un metric dont le trend est clair, le carbone, qui devient phare dans la communication pour que madame Michue ne se paume pas en cours de route...

    Evidemment, depuis que la secte a démarré ses salades, que constate t on ? Un simili de hausse de la température réelle (non retraitée statistiquement), genre 0.1 ou 0.2 degrés en 15 ans (réels encore une fois, à la sortie des appareils) qui pourrait s'inverser comme tous les cycles de températures, une hausse réelle de la pollution qui est massive et une hausse réelle des impôts qui est massive... on mélange tout ça et hop le tour est joué. Les gens sont trop cons pour faire la différence et trop paresseux pour vérifier. Et les élites ont raison. Je les comprends parfaitement. Cela marche à merveille. Le peuple est juste bon à être mis en esclavagisme. Cette partie se joue à deux. Un bourreau et un maso. Le bourreau sadique n'existe pas sans son maso.

    Y a que macron pour encore hurler au réchauffement climatique... avec un glacier du Groenland en augmentation https://www.livescience.com/65080-greenland-glacier-growing.html. Notez bien dans cet article l'esprit scientifique... au début on n'y croyait pas... quelle belle citation qui résume la situation... le CLIMAT CHANGE est une religion à laquelle on nous demande de croire... et surtout de contribuer financièrement...

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  55. Cette histoire de climat est pas mon combat. J'observe cela à la marge. Pour ceux qui veulent creuser, c'est facile vu la taille de l'escroquerie à débusquer ! Je n'ai pas dépensé plus de 10 minutes pour trouver ces sources. En posant les questions adéquates, on trouve des réponses non conformes à la secte... il n'y a que les scientifiques CLIMAT CHANGE pour ignorer cela... non seulement, ils se plantent à prévoir le futur du climat catastrophique, mais le retour de cycle va exiger une sacrée imagination à maquiller et minimiser. Je vous invite une énième fois à suivre les publications de la NASA, du Japon, les recherches de la Finlande. La NASA constate que rarement au cours des dernières décennies, des jours entiers sur les sunspots ont été aussi nombreux depuis 2017. Je me permets de vous alerter donc depuis 2018 sur un refroidissement à venir, car ces histoires de sunspots sont beaucoup plus sérieuses que les émissions de carbone de ma porsche et les pets de vaches...

    En novembre 2018, on a eu aux US le pire hiver sur 50 ans. https://weather.com/news/weather/news/2018-12-06-north-america-november-record-snow-cover-2018 C'est le début d'inversion du cyle annoncé par les constats NASA de la même année.

    Il est très clair en plus que la forte hausse des éruptions volcaniques va amplifier l'hiver des températures, aboutissant à la hausse de carbone et la baisse de température, cause probable de l'absence de corrélation sur 600.000 ans entre température et carbone si chère à Al GORE... vous trouverez dans ce doc la confirmation que éruptions volcaniques et refroidissement sont liées pour l'éternité si j'ose dire... https://www.smithsonianmag.com/science-nature/sixth-century-misery-tied-not-one-two-volcanic-eruptions-180955858/ nearly all extreme summer cooling events in the northern hemisphere in the past 2,500 years can be traced to volcanoes... shit shit shit message to Al GORE from CHARLES DEREEPER : AL, WAKE UP and SMOKE this mother fucker, CLOSE his website RIGHT NOW. And call god and ask him to shut down volcanos... or tax will shrink... wake up AL wake up !

    Charles Dereeper

    PS : un lien pour hérétique sur les sources potentiels réelles du réchauffement https://www.sciencedaily.com/releases/2019/07/190703121407.htm
    et un autre “During the last hundred years, the temperature increased by about 0.1°C because of carbon dioxide. The human contribution was about 0.01°C” https://arxiv.org/pdf/1907.00165.pdf Dedans, the basic problem is still the missing experimental evidence of the climate sensitivity. hahahahaha. Aucun modèle sérieux ne parvient à lier carbone à température... zut de zut... qui plus est, plus on augmente la sensibilité carbone dans la température, plus les modèles indiquent le côté aléatoire des résultats... c'est chiant ca hein... cela dit, consultez autour de vous et vous verrez que cela ne pose aucun problème au peuple de croire... croire... croire...

    PS 2 : des scientifiques chinois qui ne pratiquent pas la même science que les scientifiques français alertent sur un refroidissement https://www.scmp.com/news/china/science/article/3022136/china-scientists-warn-global-cooling-trick-natures-sleeve?fbclid=IwAR1FiNc8JmJP3PbGzKXoZjZcPnG9ebJS_r0h7DD67gHjGri_0wKliAviEmE

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  56. PS 3 : en tous les cas, la prochaine fois que vous payez votre voiture 20% plus cher et votre maison vous coûte les yeux de la tête en normes bidons CLIMAT CHANGE, pensez à moi les gars... et n'oubliez jamais un truc. Vous pouvez à chaque instant mettre fin à cette mascarade en désertant le pays qui vous escroque en utilisant ce que vous avez de plus noble, votre innocence. Pour moi, quelqu'un qui viole mon innocence est un porc. Si c'est mon pays, alors mon pays est un porc et je me casse. Comme vous tous, je souhaite un monde plus propre avec un lien homme / terre plus sain. C'est mon innocence. Mais en face, j'ai des monstres. Donc j'agis dans ma vie de tous les jours, mais je ne donne jamais un centime à ces batards pour agir à ma place.

    http://www.objectifeco.com/entreprendre/temoignages/juste-une-illustration-de-la-secte-climat-change-cela-m-a-pris-moins-de-10-minutes-de-recherches-en-partant-de-zero.html

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    1. La hausse d'un glacier au Groenland est que le glacier s'est détaché du fond. Il flotte ! Pareillement qu'un bateau renfloué qui remonte à la surface. Avant: altitude zéro, maintenant: altitude x mètres ! Çà alors !

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