- ENTREE de SECOURS -



mercredi 19 décembre 2018

Peut on effacer la dette d'un pays ?

https://www.youtube.com/watch?v=CMIx8U-sssw

52 commentaires:

  1. La dette américaine approcherait du point de non-retour


    Timothy A. Clary
    18:11 18.12.2018


    Une nouvelle catastrophe économique pourrait se produire si l'endettement mondial continuait sa course folle. Selon le Fonds monétaire international, le total des dettes mondiales atteint aujourd'hui 184.000 milliards de dollars, soit 225 % du PIB mondial ou 86.000 dollars par personne.

    Quel pays est le plus endetté ? Quelles pourraient être les répercussions possibles d'un endettement important et qui doit s'en inquiéter dès aujourd'hui ?

    Des débiteurs incorrigibles

    Les dernières estimations du FMI dépassent celles d'octobre de près de 2.000 milliards de dollars. Le nouvel indice prend en considération les données de la fin de l'année 2017 sur la base des informations présentées par 190 pays depuis 1950.
    Environ un tiers de l'endettement total est détenu par des entreprises non-financières, et celui des sociétés financières atteint 60.000 milliards de dollars. Les gouvernements du monde entier affichent un endettement de 70.000 milliards de dollars.

    Les principaux débiteurs mondiaux sont les États-Unis, la Chine et le Japon, qui ont accumulé plus de la moitié de la dette globale selon le rapport du FMI. C'est-à-dire que leur dette est supérieure à leur part dans la production mondiale.
    La dette extérieure russe est l'une des moins élevées du monde: 525 milliards de dollars (18,7% du PIB). Selon les calculs du FMI, cet indice devrait atteindre 20,4% du PIB d'ici 2023, ce qui constitue un endettement assez modéré. Qui plus est, la Russie n'affiche aucun déficit budgétaire. En 2017, ses dépenses ont dépassé ses revenus de 1,5% du PIB, et le solde devrait être positif en 2018 également.
    Les économistes constatent que le volume total de la dette mondiale dans le secteur public et privé a augmenté de 60% en dix ans. Ce qui serait dangereux.

    Le FMI avait déjà prévenu en octobre que la dette totale des pays du monde pourrait provoquer une nouvelle crise.
    Si la dette globale se chiffrait à 36% du PIB mondial en 2008, cette part représente actuellement plus de 50%. Les experts du Fonds soulignent que cette situation s'explique par les décisions politiques adoptées après la faillite de Lehman Brothers.

    Il est encore possible d'éviter l'effondrement en réformant le système financier, mais les progrès dans ce domaine sont pour l'instant insuffisants.

    «Les autorités de la plupart des pays du monde ont fait échouer pratiquement toutes les réformes visant à protéger le système bancaire, notamment face aux actions risquées et irréfléchies des financiers qui avaient provoqué la réaction en chaîne et la chute majeure de l'économie mondiale il y a dix ans», affirment les spécialistes.

    Selon le FMI, les régulateurs ont tiré certaines conclusions depuis dix ans. Ils ont notamment augmenté les réserves bancaires et renforcé le contrôle du secteur financier. Mais les mesures adoptées sont manifestement insuffisantes.

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  2. L'une des sources de la nouvelle crise pourrait être la Chine, où l'on constate une croissance redoutable du secteur du «shadow banking» — ou «finance de l'ombre». Ainsi, les banques chinoises financent de plus en plus activement des institutions non-bancaires, c'est-à-dire des sociétés de courtage et des prêteurs jouant le rôle d'intermédiaires entre les banques et les entreprises. Le FMI estime que cette bulle est en mesure de torpiller l'économie du pays et de lancer une nouvelle crise asiatique similaire d'une ampleur comparable à celle de 1997.

    La valeur des actifs en hausse

    Parallèlement à la croissance de l'endettement mondial, on constate une hausse de la valeur des actifs publics.

    31 pays représentant 61% de la production mondiale disposent de leurs propres capitaux, et ils sont considérables. La valeur totale de leurs actifs est estimée à 110.000 milliards de dollars — le double du PIB cumulé de ces États. En même temps, la gestion de ces actifs serait souvent peu efficace.

    «Les revenus des entreprises non-financières et publiques, ainsi que des actifs financiers étatiques peuvent atteindre 3% du PIB — ce qui est équivalent aux impôts sur les sociétés dans les pays disposant d'une économie développée», fait remarquer le FMI.

    Ainsi, il est pour le moment prématuré de prédire une catastrophe économique imminente sur la base des données globales sur l'endettement, soulignent les experts de l'Institut des finances internationales. Il serait plus pertinent d'étudier des foyers d'endettement plus concrets, dont le principal est les États-Unis: la possibilité d'une crise de la dette dans ce pays est la plus importante, ce qui a déjà été reconnu par les congressistes américains.
    Une dette américaine incontrôlable

    L'endettement américain, déjà énorme (21.500 milliards de dollars), pourrait devenir absolument incontrôlable à cause de la croissance du déficit budgétaire. Ce fait a été évoqué dès cet été par le congressiste républicain Andy Biggs, qui a considéré les dépenses budgétaires trop élevées comme de l'huile jetée sur l'«incendie de la dette». Il a également rappelé que les versements budgétaires ne devaient pas dépasser 700 milliards de dollars mais qu'ils avaient déjà atteint 1.300 milliards en 2018.

    «Le pays dépense plus qu'il ne gagne, et il est donc obligé d'emprunter. Ce déficit structurel forme un «effet d'ornière». Je pense que nous sommes au bord du précipice», a souligné Andy Biggs.

    Selon ses estimations, il reste aux autorités américaines moins de dix ans pour résoudre le problème car le fonds d'assurance maladie pour les personnes âgées (Medicare) sera probablement épuisé d'ici 2026.

    «On pourra alors dévaloriser la monnaie, annoncer le défaut de paiement ou tenter d'augmenter les taxes et tuer l'économie nationale. Telles sont nos perspectives dans huit ou dix ans», a constaté le congressiste.

    Une récession en vue ?

    Il semble qu'il ne faut pas compter sur une amélioration de la situation du budget américain. Sous l'administration de Donald Trump, la dette publique affiche une croissance record depuis six ans: elle a augmenté de 1.900 milliards de dollars depuis deux ans et pourrait augmenter d'encore 4.400 milliards d'ici deux ans, d'après les analystes de Bloomberg.

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  3. Le FMI souligne spécialement que les actifs publics américains sont concentrés dans des fonds de pension publics, ainsi que dans des crédits immobiliers et étudiants. Selon le scénario qui prévoit des taux d'intérêt plus importants à long terme et une chute rapide des prix de l'immobilier et des titres, le capital public des États-Unis pourrait chuter à 26% du PIB d'ici 2020.

    Le milliardaire Ray Dalio, l'un des financiers américains les plus réputés et fondateur du fond d'investissement le plus important au monde, Bridgewater Associates, affirme que l'économie américaine est tout simplement incapable d'éviter une récession à cause d'un «triple déficit»: du budget, de la balance commerciale et des comptes courants. Selon Ray Dalio, cela dissuadera les acteurs étrangers d'acheter des bons du Trésor, ce qui se soldera par une croissance explosive de leur rendement et une chute de 30% de la valeur du dollar.

    https://fr.sputniknews.com/economie/201812181039352688-dette-us-catastrophe-dollar-fmi/

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  4. La Turquie vise-t-elle à diriger une union islamique mondiale gouvernée par la charia ?


    par Tyler Durden
    Mer., 19/12/2018 - 02:00
    Écrit par Uzay Bulut via le Gatestone Institute,


    Le Centre turc de recherche stratégique sur les défenseurs de la justice envisage d'organiser un "Congrès international de l'Union islamique" chaque année jusqu'en 2023 pour s'attaquer à "l'État confédéral islamique" qu'il vise à établir dans le monde musulman.

    "Allez en Syrie, en Irak, en Afrique du Nord, au Moyen-Orient ou dans les Balkans, et demandez aux gens ce qu'ils pensent de la Turquie et des Turcs. Vous n'entendrez jamais de mots comme colonialisme, invasion, persécution ou massacre. Vous entendrez plutôt expressions de remerciement devenues un symbole, par exemple: "Le loyal Turc était ici." ... Oui, cela fait un siècle que nous avons quitté ces terres, mais l'attente et l'espoir des habitants de la région n'ont jamais pris fin ... Vous savez, je dis: "Le monde est plus grand que cinq" [faisant référence aux cinq membres permanents du Conseil de sécurité des Nations unies]. Et la Turquie est plus grande que la Turquie; sachez simplement que nous ne pouvons pas être bloqués à l'intérieur de 780 000 kilomètres [la superficie totale de la Turquie]. " - Le président turc Recep Tayyip Erdogan, 10 novembre 2016.

    Comme l'a démontré le Congrès annuel de l'Union islamique internationale, le président turc Recep Tayyip Erdogan semble déterminé à ramener l'empire ottoman et un califat régi par la charia. Sur la photo: Erdogan s'adresse au parlement turc le 23 octobre 2018 à Ankara. (Photo de Getty Images)

    La Turquie semble accélérer ses efforts pour mettre en place un gouvernement islamique de style ottoman englobant plusieurs pays musulmans. Un de ces efforts était apparent début novembre lors du deuxième "Congrès international de l'Union islamique" à Istanbul. La conférence est parrainée principalement par le Centre de recherche stratégique sur les défenseurs de la justice (ASSAM), dirigé par le conseiller militaire en chef du président turc Recep Tayyip Erdogan, Adnan Tanriverdi, lieutenant général à la retraite islamiste.

    Parmi les autres organisateurs du congrès, dont le prochain se tiendra en décembre 2019, figurent l'Association des défenseurs de la justice (ASDER), l'Université d'Üsküdar (ÜÜ) d'Istanbul, l'Union des ONG du monde islamique (UNIW), l'Association internationale des savants musulmans (UMAD) et l'Union internationale des savants musulmans (IUMS).

    L’objectif déclaré du congrès est "de prendre des décisions théoriques et politiques sur les problèmes actuels de la politique mondiale, en particulier dans la géographie du monde islamique, et de proposer des solutions aux décideurs".

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  5. Lors de l'événement de novembre, Tanriverdi et d'autres sympathisants d'Erdogan ont promu la création d'un marché économique musulman commun. Les participants ont déclaré vouloir créer une "superpuissance de l'avenir islamique sur des terres islamiques appartenant à 60 pays islamiques et peuplée de 1,6 milliard de musulmans" sur 19 millions de km2, "constituant" 55,5% des réserves mondiales de pétrole et 45,6% de sa production. , 64,1% des réserves de gaz naturel et 33% de sa production. "

    Le vice-ministre turc des Finances, Nurettin Nebati, a suggéré dans son discours aux conférences qu'Erdogan - à qui il avait qualifié le "imam de premier plan de la oumma [nation islamique]" - souhaitait que le "monde musulman soit en désarroi". présider cette future confédération islamique.

    "Y a-t-il quelqu'un dont le pouvoir serait suffisant pour vaincre celui qui s'appuie sur Allah?" il a demandé rhétoriquement.

    Le théologien égyptien Yusuf al-Qaradawi, président de l'Union internationale des érudits musulmans liée aux Frères musulmans - connu pour son plaidoyer en faveur des attentats suicides à la bombe - a exprimé les mêmes sentiments:

    "La Turquie est confrontée aux complots de ceux qui n'aiment pas voir cette nation [s'élever] et de l'Occident. Ils auraient réussi [dans leurs complots] sans le soutien d'Allah au président Recep Tayyip Erdogan et à ses frères. Allah aidera Erdogan. sortir victorieux tant que les vrais musulmans le soutiendront. "

    Lors de la première conférence de l'ASSAM en novembre 2017, les participants ont approuvé l'objectif de "l'unité de l'islam" en créant la "Confédération des pays islamiques". Sa déclaration a été approuvée par l’ASSAM et 109 ONG - dont 70 de Turquie - de 29 pays.

    La déclaration se lit en partie comme suit:

    "Les pays islamiques doivent s'unir sous une volonté commune et un" Parlement des pays islamiques "qui mènera des activités permanentes doit être créé de toute urgence. [La confédération vise à inclure] soixante et un pays islamiques ... dans l'unité de l'Islam à condition qu'ils décider librement et accepter les conditions générales de l'unité ".

    En outre, un modèle de constitution a été rédigé, selon lequel la capitale de la confédération islamique est Istanbul; la souveraineté "appartient à la charia [loi islamique]"; et quatre des États membres - principalement l'Albanie, la Bosnie-Herzégovine, le Kosovo et la Macédoine - devraient être des pays européens à majorité musulmane.

    Le premier congrès a également conclu que "chaque pays islamique devrait créer un" ministère de l'Union islamique "au sein de son conseil des ministres".

    L’ASSAM envisage d’organiser chaque année jusqu’en 2023 un "Congrès international de l’Union islamique", afin de s’attaquer à "l’État confédéral islamique" qu’il vise à établir dans le monde musulman. L'année prochaine, les participants discuteront de "coopération dans le secteur de la défense"; en 2020, ils visent à définir un "système de défense commun"; en 2021, ils se concentreront sur une "politique étrangère commune"; en 2022, l'ordre du jour est un "système de justice commun"; et en 2023, il est prévu de définir "l'assistance et la sécurité communes" de l'Union islamique.

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  6. Ironiquement, 2023 marquera le centenaire de l'établissement de la République turque en 1923. Compte tenu des déclarations antérieures d'Erdogan à la gloire de l'empire ottoman, il apparaît que les objectifs des congrès de l'ASSAM correspondent parfaitement à sa vision de l'avenir.

    Lors d'un discours public en 2016, par exemple, Erdogan a fait une distinction entre les "frontières physiques" de la Turquie et les "frontières de notre cœur [turc]":

    «Nos ancêtres ont toujours prospéré et prospéré partout où ils sont allés. Nous avons une tradition d’État qui a instauré un environnement de sécurité et de paix dans une vaste région géographique, allant de l’Europe centrale à l’Afrique pendant des siècles.

    "Les efforts de ceux qui essaient de décrire ce corpus de connaissances comme une invasion de style occidental sont vains. Allez en Syrie, en Irak, en Afrique du Nord, au Moyen-Orient ou dans les Balkans, et demandez aux habitants de ce qu'ils pensent de la Turquie et des Turcs. Vous n'entendra jamais de mots tels que colonialisme, invasion, persécution ou massacre, mais des expressions de remerciement devenues un symbole, par exemple: "Le loyal Turc était ici."

    "Laissez-moi vous raconter une histoire vraie. Une équipe de TIKA [l'Agence turque de coopération et de coordination] se rend dans un village montagneux de Macédoine après de longs efforts et de nombreux défis. Une personne très âgée, munie d'une canne, s'approche de l'équipe. Le drapeau turc sur le véhicule, il attrape le responsable de la TIKA avec sa canne et lui demande: "Pourquoi êtes-vous si tard ? ... Nous vous attendons depuis 100 ans."

    Evoquant l'effondrement de l'empire ottoman et le retrait des forces turques des autres nations, Erdogan a déclaré:

    "Oui, cela fait un siècle que nous avons quitté ces terres, mais l'attente et l'espoir de ses habitants n'ont jamais pris fin. Hier, nous y étions en tant qu'État. Nous y sommes aujourd'hui avec nos organisations caritatives, éducatives et de santé Nos projets de développement. Vous savez, je dis: "Le monde est plus grand que cinq" [faisant référence au pouvoir de veto des cinq États membres permanents du Conseil de sécurité des Nations Unies.] Et la Turquie est plus grande que la Turquie; sachez simplement que Nous ne pouvons pas être pris au piège à l'intérieur de 780 000 kilomètres [la superficie totale de la Turquie]. Nos frontières physiques sont différentes de celles de notre cœur. Nos frères à Mossoul, Kirkuk [en Irak], à Al-Hasakah, Alep, Homs [en Syrie] , Misrata [en Libye], Skopje [en République de Macédoine], la Crimée [en Fédération de Russie] et le Caucase sont peut-être hors de nos frontières physiques, mais ils se trouvent tous à l'intérieur des frontières de notre cœur."

    En bref, comme le démontrent les congrès de l’ASSAM, Erdogan semble déterminé à ramener l’empire ottoman et un califat régi par la charia.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-12-18/turkey-aiming-head-global-islamic-union-governed-sharia

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  7. «Stratégie de choc»? Matignon fait volte-face sur des concessions aux Gilets jaunes


    07:33 19.12.2018


    En quelques heures, l’exécutif a choqué les Français à deux reprises. En effet, ayant annulé certaines mesures visant à atténuer les conséquences de la transition énergétique, le gouvernement les a rétablies un peu plus tard, s’attirant alors les foudres de la population connectée.

    Le 18 décembre, le gouvernement français a annoncé le renoncement à certaines mesures prises à la mi-novembre en concession au début du mouvement des Gilets jaunes, a informé l'AFP mardi en fin d'après-midi. Matignon voulait ainsi économiser jusqu' à 130 millions d'euros sur les 500 millions au total que devaient coûter ces premières mesures, parmi lesquelles l'extension du chèque énergie à deux millions de foyers supplémentaires, le relèvement du barème kilométrique et le doublement de la prime à la conversion.

    Mais quelques heures plus tard, le gouvernement a affirmé que ces mesures seraient quand même maintenues.

    «Après discussion avec les parlementaires de la majorité, le gouvernement maintient l'ensemble des mesures annoncées par le Premier ministre en novembre […] On n'allait pas être compris, on a appris de nos erreurs et on a rapidement abandonné cette décision», a déclaré un conseiller du gouvernement, cité par l'AFP.

    Ce revirement n'est pas passé inaperçu des internautes. Certains d'entre eux estiment que le gouvernement n'aurait pas de cap.

    D'autres lui reprochent son «amateurisme».

    Quelques internautes ont qualifié cette volte-face du gouvernement de «quelque chose de trop intelligent, trop technique, trop subtil», en citant Gilles Le Gendre, le président du groupe LREM à l'Assemblée nationale, qui s'était ainsi prononcé sur les mesures en faveur du pouvoir d'achat.

    D'autres encore ont emprunté le mot «carabistouille» au vocabulaire de Jean-Luc Mélenchon, afin de décrire ce revirement.

    Un internaute a toutefois suggéré qu'il s'agissait de «manipulation mentale».

    https://fr.sputniknews.com/france/201812191039355886-gouvernement-annulation-maintien-mesures-gilets-jaunes/

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  8. La ville de Paris demande la suppression d'une affiche "sexiste"


    18 DÉCEMBRE 2018
    Dominique Dewitte


    La ville de Paris a exigé que le célèbre grand magasin Les Galeries Lafayette retire de sa façade une grande affiche de la marque de lingerie française Aubade.

    Depuis le 5 décembre, on pouvait apercevoir un grand panneau publicitaire sur la devanture des Galeries Lafayette orné de la photo d'un fessier de femme dont le visage n'apparaît pas. La campagne était accompagnée du texte "Parlez-vous Aubade ?"

    La maire adjointe de Paris, Hèlène Bidard (Parti communiste français), responsable de tout ce qui concerne l'égalité des sexes dans la ville lumière, a qualifié cette campagne publicitaire de "sexiste" et a exigé le retrait immédiat du panneau.

    "Sérieusement les Galeries Lafayette ?!"

    "Sérieusement les Galeries Lafayette, en 2018, en pleine vague #Metoo et à quelques jours de Noël, vous n'avez rien de mieux à afficher que les fesses d'une femme sans visage ?!", a écrit Hélène Bidard sur Twitter.

    Sur la chaîne d'information française BFM, Bidard a déclaré qu'il s'agissait clairement d'une campagne sexiste "qui réduit la femme à une partie de son corps et à un objet sexuel, dans le seul but de vendre". Selon la maire adjointe, plusieurs associations se sont plaintes auprès la haute autorité sur les publicités du sexisme de cette publicité.

    Le mercredi 12 décembre, la publicité a finalement été retirée, non pas sous pression de la mairie, mais simplement parce que la campagne touchait à sa fin.

    Après Londres ... Paris ?

    La ville de Paris a donc adopté la même attitude que Sadiq Khan, le maire de Londres, en 2016. A cette époque, le nouveau maire de Londres avait déclaré qu'il ne voulait plus voir de publicités montrant des corps de mannequins susceptibles de donner des complexes aux autres femmes dans les transports publics. Khan avait donc annoncé que les annonces visant à culpabiliser les gens avec leur corps n’apparaîtraient plus dans les couloirs du métro londonien, ni sur les flancs des bus de la capitale britannique.

    "En tant que père de deux filles adolescentes, je me soucie beaucoup de ce type de publicités qui peuvent nuire aux gens, en particulier aux femmes, et leur donner honte de leur corps. Il est grand temps que cela cesse. Personne ne devrait se sentir forcé de se conformer à des attentes irréalistes concernant son corps quand on voyage dans le métro ou le bus, et je veux donner un signal clair à l’industrie de la publicité”, avait-il déclaré.

    https://fr.express.live/2018/12/18/la-ville-de-paris-demande-la-suppression-dune-affiche-sexiste

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    1. Face à la dictature étrangère des excisés ('réfugiés climatique' !), la charia se met en place en France allant même à interdire aux femmes d'être femmes et au devoir de se cacher sous une burqa !

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  9. Faire don de milliards n'est pas facile

    18 DÉCEMBRE 2018
    Arnaud Lefebvre


    Plusieurs milliardaires américains consacrent une partie importante de leur fortune à la philanthropie. Toutefois, les Américains les plus riches accumulent de la richesse plus rapidement qu'il n'en cèdent, écrit David Callahan, rédacteur en chef du site d'information spécialisé Inside Philanthropy. Selon Callahan, il est souvent très compliqué pour ces riches philanthropes de céder des capitaux importants et ce, pour plusieurs raisons.

    Lorsque Michael Bloomberg a achevé ses trois mandats en tant que maire de New York en 2014, il a commencé à s'intéresser à la philanthropie. Depuis lors, Bloomberg a fait don de plus de 2 milliards de dollars. Néanmoins, malgré tous ses dons, Bloomberg est actuellement plus riche qu'il ne l'était quand il a laissé son poste.

    Ses actifs sont estimés à 48 milliards de dollars, soit une hausse de plus de 50 % en quatre ans, a indiqué Forbes. D'autres signataires de l'initiative Giving Pledge, un acte qui engage les personnes riches signataires à léguer la majorité de leur fortune à des œuvres de charité, se sont également enrichis.

    Profits

    Bill Gates et Warren Buffet, les fondateurs de Giving Pledge, ont également vu leur fortune croître depuis 2010. Bill Gates disposait de 54 milliards de dollars au début de cette décennie, contre 97 milliards de dollars aujourd'hui. La richesse de Warren Buffet a également presque doublé depuis cette époque et atteint aujourd'hui 90 milliards de dollars.

    Ainsi, les Américains les plus riches accumulent des capitaux plus rapidement qu'ils n'en donnent. Selon une étude réalisée par le groupe Bridgespan, les familles américaines les plus fortunées ont donné 1,2% de leurs actifs à des œuvres de bienfaisance en 2017, ce qui est nettement inférieur au rendement moyen des investissements à long terme sur leurs actifs.

    Etant donné les gains moyens sur le marché boursier, une famille très fortunée aurait besoin de donner plus de 11% de ses actifs pour pouvoir utiliser la moitié de son patrimoine en deux décennies, soit près de dix fois plus que ce que les super-riches donnent actuellement.

    Selon Bridgespan, si les Américains les plus riches doublaient leurs dons à 2,4% de leurs actifs, cela représenterait 45 milliards de dollars supplémentaires en dons de charité par an, soit une hausse de 11%.

    "Cela serait suffisant pour que 4.500 organisations à but non lucratif récolent une contribution de 10 millions de dollars ou pour que 4,5 millions d'Américains à faible revenu bénéficient d'un transfert en espèces ou d'une bourse d'études chaque année", écrivent les auteurs.

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  10. Élitiste

    Cependant, selon Callahan, il existe plusieurs raisons pour lesquelles le groupe de la population riche dépense moins en dons qu'on ne le pense ou qu'on espère. Il existe un fossé entre les dons actuels des milliardaires et leurs aspirations publiques, explique Callahan. Par exemple, bien que Warren Buffet souhaite faire don de toute sa fortune et qu'il ait déjà donné des milliards de dollars, il s'enrichit de plus en plus à mesure qu'il vieillit. La raison est que la cession de ses actions n'arrive pas à contrebalancer ses gains sur le marché boursier.

    En outre, au cours des dernières années, la majeure partie des dons des milliardaires philanthropes n'est pas allée au secours d'Américains ou d'Africains en difficulté. Elle est allée à des instituions d'élite – universités, hôpitaux ou centres culturels.

    "Les efforts susceptibles de stimuler le changement social dans des causes telles que les services sociaux/humains, et le développement international suscitent relativement peu d'intérêt", explique Bridgespan.

    Par ailleurs, il n'est pas facile d'investir beaucoup d'argent dans les initiatives de changement social. Les problèmes sont complexes. De nombreuses organisations à but non lucratif n'ont pas la capacité d'absorber des dons importants et ont un manque de connaissance du secteur.

    Cependant, Bridgespan entrevoit un certain nombre de solutions. "En premier lieu, nous pourrions travailler avec des fonds sociaux qui pourraient collecter des dons provenant de pays très riches", estime le groupe. "En outre, il faudrait également créer un environnement dans lequel les riches donateurs pourraient obtenir le soutien nécessaire pour leurs efforts caritatifs."

    https://fr.express.live/2018/12/18/faire-don-de-milliards-nest-pas-facile

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    1. La rançon du progrès ne s'appelle plus l'esclavagisme des humains ou des animaux mais la performance de l'esprit humain qui a su fabriquer des machines ! Les ordinateurs et machines-outils ne cessent de travailler et ne réclament aucun salaire ni repos ! C'est ainsi que ceux qui en ont ont pu accroître leur fortune. Contrairement aux humains les robots n'ont pas de pays. Ils s'adaptent immédiatement et tournent aussi vite et bien dans l'Est que dans l'Ouest.

      Mais là où l'avenir du monde est à ausculter est le placement de cette fortune gagnée ! Car, elle peut servir le bien comme le mal, nous avons tous vu cette migration immédiate de centaines de millions de personnes dites fauchées qui ont tout-à-coup de l'argent pour partir à des milliers de kilomètres !! Cette invasion n'EST PAS TOURISTIQUE mais UNIQUEMENT destinée à l'aboutissement en guerre civile où les morts se compteront par dizaines de millions puis par centaines !!

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  11. Brexit : Le Credit Suisse recommande à ses clients fortunés de retirer leurs actifs du Royaume-Uni


    18 DÉCEMBRE 2018
    Dominique Dewitte


    Les gérants de fortune du Credit Suisse conseillent à leurs clients les plus fortunés du Royaume-Uni de retirer leur fortune d'ici janvier, rapporte le Financial Times.

    Selon les banquiers, l'incertitude en ce qui concerne le Brexit avant le vote de l'accord sur le Brexit le 14 janvier peut entraîner des troubles sociaux. La Grande-Bretagne a vu des milliers de millionnaires quitter le pays au cours des derniers mois.

    Personne ne semble comprendre ce que le Brexit va donner

    Le Credit Suisse tire la sonnette d'alarme quant au manque de clarté entourant le Brexit prévu pour le 29 mars 2019. Ces derniers jours,on a pu lire toutes sortes de choses dans les commentaires et analyses concernant le Brexit. Personne ne semble comprendre à quoi mènera le Brexit. A commencer par la classe politique britannique, qui semble complètement perdue. Un possible report de la date du Brexit semble être aujourd'hui l'hypothèse la plus probable.

    Cela a incité les gérants de fortune du Credit Suisse à contacter leurs principaux clients et à les informer que de nombreux clients ont déjà choisi de placer leurs actifs en dehors du Royaume-Uni, en leur proposant de faire de même.

    Le Credit Suisse a fait cette proposition après que la Première ministre britannique, Theresa May, ait décidé de reporter le vote sur l'accord sur le Brexit après le Nouvel an, ce qui, selon la banque, ne ferait que prolonger la période d'agitation.

    Le journal The Sun affirme que le gouvernement britannique demandera mardi aux entreprises de se préparer à un «no-deal Brexit» avec effet immédiat.

    Vols pour un «impôt riche»

    Selon un porte-parole du Credit Suisse, la suggestion de certains de ses banquiers ne reflète pas la position officielle de la banque. Il n'en reste pas moins que la perspective d'un Brexit potentiellement sans-accord et/ou d'une prise de pouvoir par Jeremy Corbyn a déclenché une tendance selon laquelle de plus en plus de super-riches quittent le pays. Corbyn a déjà menacé d'introduire un «impôt sur la fortune» s'il devenait Premier ministre. Il s'agit d'une recette socialiste éprouvée, également mise en œuvre par l'ancien président français François Hollande, avec des conséquences catastrophiques. Depuis 2000, pas moins de 60 000 millionnaires français ont claqué la porte de leur pays, selon les recherches du New Wealth Group, pour s'installer dans des nations telles que la Belgique et la Suisse.

    Un rapport récent de New World Wealth, un consultant en migration auprès des personnes très fortunées, a récemment révélé que quelque cinq mille super-riches, détenant un patrimoine d'au moins 1 million de dollars, auraient déjà quitté la capitale britannique, Londres, l'année dernière.

    https://fr.express.live/2018/12/18/brexit-le-credit-suisse-recommande-ses-clients-fortunes-de-retirer-leurs-actifs-du

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    1. Cela n'a jamais été une bonne idée que de placer son argent dans une dictature !

      Rendez-vous compte des contrats de dupe qui inondent le monde ! Pour signer il ne faut qu'une seconde, mais pour divorcer... des années à des coûts autant monstrueux que mortels ! 4 ans pour les USA pour se retirer du 'Traité de Paris sur le climat' ! 4 ans ! Mais, heureusement pour les Americains, ils peuvent toujours assister aux réunions et prendre la parole mais sans rien devoir payer ! OUF !

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  12. Doublures numériques : les producteurs de cinéma les adorent, mais pas les acteurs


    14 DÉCEMBRE 2018
    Audrey Duperron


    Les productions cinématographiques font de plus en plus appel aux doublures numériques, c'est-à-dire des images de synthèse remplaçant les acteurs dans certaines scènes, en particulier les cascades. Mais au fil du temps, leur champ d'utilisation s'étend, au grand dam des acteurs.

    L'acteur américain Josh Brolin incarne le super-vilain Thanos (notre photo de couverture) du prochain opus de la série Avengers, Avengers : Infinity War, et pour incarner ce personnage gigantesque à la carnation mauve et au menton plissé, l'acteur a accepté de se plier à une séance de photographie au cours de laquelle des centaines d'appareils photo ont pris des clichés de lui, tandis qu'il parlait, se mouvait, et adoptait des expressions faciales associées à différents registres émotionnels.

    Une base d'images pour créer des images de synthèse

    L'objectif est de créer ce que les techniciens des effets spéciaux appellent un « modèle de formation informatique », c'est-à-dire une vaste bibliothèque de versions de lui-même qui pourront être manipulées digitalement pour recréer des images de synthèse réalistes qui pourront être intégrées au film, donnant l'illusion qu'il a lui-même participé au tournage de ces scènes. Dans le cas d'espèce, ces images épargneront à l'acteur et à la production des séances de maquillage éprouvantes, chronophages et coûteuses, et permettront de le mettre en scène dans des scènes d'action spectaculaires (et improbables), tout en assurant une homogénéité à l'ensemble du film.

    Ces images sont aussi de plus en plus utilisées pour améliorer l'aspect physique des acteurs, en éliminant leurs rides, un ventre un peu trop arrondi, ou en leur redonnant une impressionnante musculature, grâce à des retouches numériques, par exemple.

    Le champ d'application des doublures numériques ne fait que s'étendre

    Mais le champ d'application de ces « doublures numériques » ne fait que s'étendre, et selon Darren Hendler, directeur du Groupe humain numérique de la société Digital Domain, en charge de la conception de ces effets spéciaux, la difficulté, c'est que sa société ne sait pas toujours quelle sera l'utilisation qui en sera faite au moment où elle organise ces prises de vues.

    Par exemple, Disney envisage d'utiliser les images de l'actrice Carrie Fisher, maintenant décédée, pour incarner la princesse Leia Organa dans le prochain opus de la série Star Wars, Star Wars : épisode IX. Et c'est bien là le problème. Selon un cadre de haut niveau d'un studio américain, les doublures numériques sont de plus en plus utilisées comme substituts en cas d'absence ou d'indisponibilité des acteurs (parce qu'ils sont en cure de désintoxication, par exemple).

    Les acteurs n'ont aucun contrôle sur la destination de ces photos, alors qu'elles sont de plus en plus souvent obligatoires

    Désormais, la plupart des grands studios de cinéma exigent même des acteurs principaux du film qu'ils se soumettent obligatoirement à ces séances photos, quitte à remettre en cause les contrats des réfractaires. « Nous ne savons pas toujours si nous en aurons besoin. (...) C'est pour y faire référence plus tard », explique Ben Morris, qui a supervisé les effets spéciaux de Star Wars: The Last Jedi, une production de Lucasfilm.

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  13. Ce flou concernant la destination finale des clichés, et le fait qu'ils ne la contrôlent pas mettent certains acteurs mal à l'aise. L'actrice Jessica Chastain explique qu'il y a 2 ans, elle a refusé de se faire photographier en adoptant les expressions faciales qu'on lui commandait de prendre pour les inclure dans une base d'images à des fins de numérisation. « Je ne savais même pas comment ils allaient les utiliser », a-t-elle dit au site Vulture. Parfois, les réticences portent sur les images de synthèse qui résulteront de ces clichés : tel acteur ne voudra pas que son visage soit associé numériquement au corps d'un body double, celui du cascadeur, par exemple. D'autres s'inquiètent d'une utilisation post-mortem de leurs images.

    Le risque de perdre la propriété intellectuelle

    En 1998, Jet Li, la superstar des films d'arts martiaux chinois, avait déjà décliné un rôle dans The Matrix de peur que l'équipe de productions ne s'arroge la propriété de ses prises de kung-fu. « Pendant 6 mois, ils voulaient enregistrer et copier tous mes gestes dans une librairie numérique. À la fin de l'enregistrement, les droits sur ces mouvements auraient pu leur revenir. J'ai pensé que je m'étais entraîné toute ma vie. Et nous, les maîtres des arts martiaux, nous ne pouvons que vieillir. Pourtant, ils auraient pu s'emparer définitivement des droits sur la propriété intellectuelle de mes mouvements. Alors, j'ai dit que je ne pouvais pas faire ça ».

    Le risque de fuites compromettantes

    Enfin, certains acteurs redoutent que les véritables images d'eux-mêmes, prises sous toutes leurs coutures alors qu'ils ne sont souvent pas maquillés, et qu'ils portent un costume de Lycra d'une élégance discutable, ne fassent l'objet d'une fuite et se retrouvent parmi les images les plus partagées des réseaux sociaux. Ils veulent donc obtenir des garanties que les seules personnes qui y auront accès seront celles qui en auront effectivement besoin pour les nécessités de l'œuvre.

    Darren Hendler se veut rassurant, et selon lui, nous ne sommes pas prêts de voir des productions ne comprenant que des acteurs de synthèse : « Ce qui rend Josh Brolin aussi épatant dans le rôle de Thanos, c'est le jeu de Josh. Si je joue le rôle de Thanos, laissez-moi vous dire que ce ne sera jamais aussi captivant. Personne n'accepterait de donner de l'argent pour aller voir ça... »

    - voir clip sur site:

    https://fr.express.live/2018/12/14/doublures-numeriques-les-producteurs-de-cinema-les-adorent-mais-pas-les-acteurs

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    1. Des acteurs refusent de se faire doubler ? Tant pis, ils seront remplacés par une autre tête 100 % numérique aux expressions uniques !

      C'est-à-dire qu'après des scénarios nuls, des 'metteurs-en-scène' nuls, et des comédiens aux ordres du nul arrivent 'Les remplaçants' !

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  14. L’hécatombe au sein de la police française semble ne pas vouloir freiner


    10:46 19.12.2018


    Les forces de l’ordre sont de nouveau endeuillées. Un policier, secrétaire national du syndicat SCSI, s’est donné la mort lundi dernier, selon la presse locale. Cette mort fait partie d’une série de 36 décès survenus cette année au sein de la police française.

    Un officier de la police nationale s'est suicidé ce lundi, selon le portail Actu17. Âgé de 50 ans, il était secrétaire national du syndicat d'officier de police SCSI (Syndicat des Cadres de la Sécurité Intérieure), appartenant à la CFDT.

    C'est loin d'être la première fois depuis le début de l'année qu'un membre des forces de l'ordre se donne la mort. Lundi matin, un gendarme s'est donné la mort avec son arme de service à la caserne de la brigade territoriale de Saint-Astier, en Dordogne, qui abrite aussi le centre européen d'entraînement de la gendarmerie nationale, relate l'AFP, en se référant à une source de l'institution.

    Dimanche dernier encore, un gendarme adjoint volontaire de la communauté de brigades d'Ambérieu-en-Bugey, dans l'Ain, s'est donné la mort, selon l'Essor. Le militaire a retourné son arme de service contre lui.

    En comptabilisant celui d'aujourd'hui, il s'agirait du 36ème policier à se donner la mort cette année. En 2017, 49 policiers et 16 gendarmes ont mis fin à leurs jours, selon les données disponibles.

    https://fr.sputniknews.com/france/201812191039357426-france-policiers-hecatombe/

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    1. C'est très difficile d'obéir aux ordres de tuer quelqu'un sans défense ! C'est un assassinat pas une défense !

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  15. Étude post-séralinienne GMO90+ : mute news, fake news, fourberie, complaisance et autosatisfaction


    18 Décembre 2018
    par Seppi

    Où est le témoin ?


    L'étude GMO90+ a été accueillie par les médias généralistes avec une belle indifférence, malgré une dépêche de l'AFP publiée dans la foulée des communiqués de presse de l'INRA et de l'INSERM produits, de manière inhabituelle, deux jours après la publication de l'étude.

    À un bel article de M. Stéphane Foucart dans le Monde Planète (si, si...) fait face une article fourbe sur les procédures d'évaluation... prétendument des OGM.

    FR3 Normandie tend le micro au régional de l'étape, M. Gilles-Éric Séralini, lequel a aussi produit une défense Chewbacca dans les commentaires sous l'article de M. Sylvestre Huet dans un blog du Monde.

    Quant à l'Obs, par lequel une grande partie du scandale est arrivé, il reste fidèle à sa ligne du parti pris avec une tentative de justification obscène.

    Rappels, en partie douloureux

    Trois études de grande envergure, dont l'une vient d'être publiée...

    Plus d'une semaine s'est maintenant écoulée depuis la mise en ligne par la revue Toxicology Sciences, le 10 décembre 2018, de « The GMO90+ project: absence of evidence for biologically meaningful effects of genetically modified maize based-diets on Wistar rats after 6-months feeding comparative trial » (le projet GMO90+ : absence de preuves d'effets biologiquement significatifs des régimes alimentaires à base de maïs génétiquement modifiés sur des rats Wistar après un essai comparatif d'alimentation d'une durée de 6 mois) de Xavier Coumoul et al.

    Nous l'avons évoqué, en produisant une traduction de son résumé, dans « Gros clap de fin scientifique et petit clap de fin médiatique (pour l'instant) pour l'"affaire Séralini" », un billet dont l'objet principal a été un excellent article de blog de M. Sylvestre Huet, « OGM-poisons ? La vraie fin de l’affaire Séralini », publié le 11 décembre 2018.

    Rappelons que cette étude GMO90+ de grande ampleur, financée par la France, fait partie d'une série de trois méga-projets, les deux autres étant financés par l'Union Européenne, le tout pour un montant total de quelque 15 millions d'euros. Les deux autres sont GRACE (GMO Risk Assessment and Communication of Evidence – évaluation des risques des OGM et communication des preuves) et G-TwYST (Genetically modified plants Two Year Safety Testing – examen de la sécurité des plantes génétiquement modifiées d'une durée de deux ans). Nous les avons évoquées sur ce site ici (un article de Mme Layla Katirae), ici et ici.

    Il y a aussi eu le projet MARLON (Monitoring of Animals for Feed-related Risks in the Long Term – suivi d'animaux pour les risques à long terme liés à l'alimentation).

    ...qui font suite à une étude « infameuse » de Séralini et al.

    Ces études avaient été commandées à la suite de l'« infameuse » étude de Séralini et al. sur les rats de septembre 2012 – « Long term toxicity of a Roundup herbicide and a Roundup-tolerant genetically modified maize » (toxicité à long terme d'un herbicide Roundup et d'un maïs génétiquement modifié tolérant le Roundup) – publiée dans Food & Chemical Toxicology, rétractée et republiée dans une revue de ligue inférieure, Environmental Sciences Europe.

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  16. Bien que concluant qu'une alimentation comportant une partie importante de maïs GM – NK603, tolérant le glyphosate, ou MON810, résistant à des insectes grâce à un gène de Bacillus thuringiensis – n'ait pas montré d'effets nocifs sur la santé des rats, l'étude GMO90+ n'infirme pas expressément l'« étude » Séralini et al. ; il en est de même pour les deux autres, ce qui permet à la mouvance anti-OGM et anti-pesticides d'ergoter et de désinformer à loisir.

    Pour infirmer, il aurait fallu répéter à l'identique une expérience dont le protocole, même de l'avis fort euphémique d'amis pétitionnaires de M. Gilles-Éric Séralini, « présente des défauts qui font débat au sein de la communauté scientifique » (la pétition est aussi ici, avec la liste des signataires). C'est hors d'imagination pour tout scientifique sérieux ! Idem pour l'analyse statistique (ou l'absence d'analyse) qui n'a apparemment trouvé grâce que chez un académicien, M. Paul Deheuvels.

    Mais ces nouvelles études apportent des clous de plus pour un cercueil qui a pris forme dès les premiers jours et mois qui ont suivi la publication Séralini, le 19 septembre 2012. Elle – et la formidable campagne de communication – avait été démolie ou vertement critiquée dans les jours ou les deux mois qui ont suivi par :

    un grand nombre de scientifiques des domaines pertinents, non seulement en France mais aussi ailleurs ;

    des scientifiques qui se sont exprimés à titre individuel, par des prises de position collectives ou par l'intermédiaire de leurs associations ;

    des scientifiques qui se sont exprimés dans la presse générale, sur des blogs ou encore par des lettres à l'éditeur de l'« étude » ;

    les agences d'évaluation et de sécurité sanitaire allemande, australo-néozélandaise, belge, brésilienne, canadienne, danoise, françaises (l'ANSES et le HCB), européenne (dans un avis préliminaire) et néerlandaise ;

    des instances compétentes en matière d'éthique scientifique, notamment pour l'expérimentation animale ;

    des journalistes scientifiques, de journaux réputés ;

    des associations de journalistes ;

    les Académies nationales (françaises) d’Agriculture, de Médecine, de Pharmacie, des Sciences, des Technologies, et Vétérinaire, par un avis et un communiqué de presse communs, une démarche qui est à notre connaissance unique dans les annales de ces prestigieuses institutions ;

    Monsanto, le producteur de l'événement NK 603.

    M. Marcel Kuntz a tenu pendant un temps une liste de réactions, plus complète, sur son blog.

    En fait, dès le lendemain de la publication de l'« infameuse » étude, le toxicologue Gérard Pascal après rendu un verdict cinglant, mais ô combien pertinent, dans le Figaro : « Cela ne vaut pas un clou ».

    Tout cela n'allait bien sûr pas décourager la mouvance anti-OGM et anti-pesticides, ni le fan club de M. Gilles-Éric Séralini. Il y a d'ailleurs des réponses simples : ils sont tous vendus à Monsanto... et, par exemple, M. Gérard Pascal est devenu après sa retraite de l'INRA consultant pour l'industrie (lisez ce mot avec une profonde marque de mépris dans vos yeux) et membre de l'ILSI (là, vous pouvez vomir...).

    Ces trois études récentes sont donc les bienvenues.

    GMO90+ : quel impact médiatique ?

    Des communiqués de presse qui viennent en retard

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  17. Nos instituts de recherche sont prompts à communiquer sur des études vite relayées dans la presse car porteuses de mauvaises nouvelles – généralement au conditionnel ou avec de sérieux bémols – pour la population et sa santé... mauvaises nouvelles qui sont d'excellentes nouvelles pour des médias avides de sensationnalisme.

    Ici, l'INRA et l'INSERM ont mis deux jours pour sortir leurs communiqués de presse.

    Retard à l'allumage ? Tentative d'étouffer ces résultats ? Problème de coordination et d'accord sur le contenu de « Maïs OGM MON 810 et NK603 : pas d’effets détectés sur la santé et le métabolisme des rats »? Quoi qu'il en soit, cela fait désordre.

    Une dépêche de l'AFP sans impact notable

    Oui, il y a eu une dépêche de l'AFP, qui aura rempli sa mission.

    Nous le savons par Atlantico, qui titre le 12 décembre 2018 : « Pas d'effet délétère de deux maïs OGM sur la santé de rats (étude) » ; par le journal suisse le Temps qui, le 13 décembre 2018, a titré : « Une étude montre que deux maïs OGM n'ont pas d'effet délétère sur la santé des rats », avec en chapô : « Une enquête de l'Institut français de recherche agronomique contredit une recherche très polémique du professeur Gilles-Eric Séralini, sur la toxicité d'un maïs modifié » ; et la Croix, pour qui c'est : « Rats nourris au maïs OGM, une nouvelle étude réfute toute anomalie ».

    À part ca ? Apparemment rien ou pas grand-chose... Les « mute news »...

    Des rats qui restent en bonne santé en mangeant des OGM, c'est manifestement une mauvaise nouvelle pour les médias généralistes.

    Un bel article de M. Stéphane Foucart dans le Monde Planète...

    Ben oui, ça arrive... C'est « OGM : six ans après l’"affaire Séralini", une étude conclut à l’absence de toxicité sur les rats » sur la toile et « OGM : deux maïs testés sans effets sur les rats ».

    En chapô, respectivement : « En 2012, les photos de rongeurs déformés par des tumeurs avaient provoqué l’émoi et la controverse. Une étude d’ampleur prouve finalement l’innocuité des maïs transgéniques », et : « Une étude d'ampleur conclut, au contraire de ce qui avait été avancé en 2012, à l'absence de toxicité de ces plantes ».

    Il y a là une emphase en partie indue, car « absence de preuve ne vaut pas preuve de l'absence », mais M. Stéphane Foucart a interrogé « le biologiste Robin Mesnage (King's College de Londres), coauteur de l'étude controversée de 2012 et qui n'a pas participé à ces derniers travaux ». Celui-ci salue « une belle étude ». Et :

    « De l'eau a coulé sous les ponts depuis notre étude chronique de 2012 [...]. Il y a maintenant assez de preuves pour conclure que les OGM tolérants au Roundup n'ont pas d'effets sur la santé, mais cela n'élimine pas les questions sur la toxicité du Roundup lui-même. »

    Une étape sur le chemin de Damas, M. Robin Mesnage ?

    Quant à M. Stéphane Foucart, s'il semble avoir tiré un trait sur la prétendue nocivité des OGM (ceux qui sont commercialisés et médiatisés) ou tout au moins l'« étude » de Séralini et al ., il n'a pas abandonné les thèses sur la nocivité du glyphosate (et la méchanceté de Monsanto).

    ...vite bémolisé

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  18. C'était le 13 décembre 2018, à l'heure du laitier, sur la toile. Le même jour, à l'heure où certains commencent à penser à l'apéro, sort un éditorial : « OGM : l’expertise sanitaire en progrès », avec en chapô :

    « Une publication scientifique vient de prouver que les conclusions d’une étude controversée sur les OGM du biologiste Gilles-Eric Séralini, en 2012, étaient erronées. Malgré cela, l’inquiétude demeure. »

    Il avait donc été urgent de recréer le doute... pour maintenir un fil médiatiquement rémunérateur ou pour entretenir la ligne militante anti-OGM ? Probablement pour les deux...

    Mme Emmanuelle Ducros a opiné sur Twitter :

    « Cet édito est particulièrement fourbe. "On a relayé des conneries sur Séralini, mais faut nous comprendre, les agences officielles, on peut douter... Vu qu'elles ne vont pas dans notre sens" »

    C'est en effet particulièrement fourbe :

    « Cette nouvelle publication, la première à explorer aussi rigoureusement la question, rectifiera-t-elle l’idée erronée qui a pris racine dans l’opinion ? Sans doute pas et, à l’évidence, les médias ont leur responsabilité dans cette situation. Mais l’emballement qui a suivi la publication de M. Séralini dit aussi quelque chose de la défiance considérable qui s’est installée entre l’opinion et le monde de l’expertise réglementaire. »

    Notez que c'est « les médias », pas (seulement) le Monde... Et quelle est la suite ?

    « Amiante, Mediator, Dépakine, perturbateurs endocriniens, pesticides et tout dernièrement dispositifs médicaux implantables : ces dernières années, les exemples se sont accumulés, suggérant que les pouvoirs publics ne peuvent lutter contre l’influence des industriels. Et, en définitive, que leur volonté de préserver la santé publique est bien souvent mise en balance avec celle de préserver l’activité économique. »

    Et ainsi de suite...

    L'Obs, toujours aussi obscène

    « "L’Obs" a-t-il vraiment écrit n’importe quoi sur le maïs OGM ? », s'interroge M. Arnaud Gonzague le 14 décembre 2018.

    Paraît-il, « [n]ous [la rédaction de l'Obs] étions prêts à publier un mea culpa », et ce, si nous avons bien compris, après la publication d'une série d'articles par le Figaro le 3 juillet 2018, dont « OGM : une manipulation scientifico-médiatique soigneusement préparée » qui avait mis le Nouvel Observateur en cause pour sa complaisante instrumentalisation pour une gargantuesque intoxication médiatique... La rédaction aura donc été prête à faire amende honorable pendant plus de cinq mois... Si, si, il faut croire l'auteur...

    Un auteur qui avait pourtant tendu le micro à M. Gilles-Éric Séralini, le 4 juillet 2018, pour un « Séralini : "On détourne des fonds publics pour discréditer mes travaux sur les OGM !" » que nous avions trouvé proprement scandaleux. Alors admettons qu'ils étaient prêts à partir du 5 juillet plutôt que du 3 ou du 4...

    Mais... Le lecteur de l'Obs a une nouvelle fois droit à une argumentation pathétique ! En résumé : l'étude GMO90+ ne réfute pas point par point l'« étude » de Séralini et al :

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  19. « L'étude GMO90+ est-elle malhonnête ? Non, car elle est financée par des fonds publics et pilotée par le sérieux l'Inra de Toulouse. Pourtant, il faut bien poser la question : reproduit-elle l'expérience de 2012 au point de pouvoir l'invalider scientifiquement ? Eh bien, non. »

    Heureusement qu'elle n'est pas malhonnête car... qu'en est-il à cette aune de l'étude de Séralini et al. financée en son temps, en grande partie, par le biobusiness, dont Carrefour et Auchan (ce que M. Arnaud Gonzague pourra vérifier dans les archives de l'Obs) ? Allons, ne plongeons pas le nez de M. Arnaud Gonzague dans son caca... voici la suite du raisonnement : donc l'« étude » reste valide (d'ailleurs M. Gilles Éric Séralini a dit...)... donc l'Obs a eu raison d'écrire ce qu'il avait écrit, de produire la couverture qu'il avait produite (et dont il reproduit une image), de publier ces photos ignobles de rats difformes (qu'il reproduit).

    M. Gilles Éric Séralini a dit, écrivions-nous ? Par exemple :

    « Il est faux de dire que les biomarqueurs peuvent permettre de diagnostiquer les futures pathologies. C'est jouer au devin !" »

    La profession médicale – et bon nombre de patients – doit être morte de rire ! Mais cela n'a pas choqué le journaliste Arnaud Gonzague...

    Marianne, un article original

    Regrets, regrets, dans « Le "maïs OGM cancérigène" scientifiquement démenti » ...

    « Un procès (entre autres) en diffamation fut d’ailleurs intenté en 2015 à Marianne et à son journaliste spécialisé. Procès que le journal a perdu, malgré le soutien du procureur de la République qui demandait la relaxe devant la 17e chambre correctionnelle de Paris.

    Si l’audience avait lieu aujourd’hui, le résultat serait probablement différent, compte tenu des recherches qui ont été menées à bien depuis, tendant à vérifier l’expérience de Gilles-Eric Séralini et concluant à un résultat négatif. Or un principe de base de la science, qu’on apprend à tous les collégiens, est que toute expérience n’existe que si elle est reproductible. »

    Nous ne serons pas aussi affirmatif que M. Hervé Nathan : la justice est humaine, et les juges baignent aussi dans un océan de désinformation.

    FR3 Normandie tend le micro à M. Gilles-Éric Séralini

    C'est le régional de l'étape pour FR3 Normandie. Mais fallait-il produire une séquence d'archive où M. Gilles-Éric Séralini a affirmé, parlant des « autres », que « l'incompétence et la malhonnêteté ont fait leurs preuves » et qu'« il y a du laxisme organisé au plus haut niveau » ? Un propos qui serait diffamatoire s'il portait sur une personne précise ? Le premier texte, toutefois, s'est fait bien plus critique que d'habitude.

    Fallait-il lui tendre le micro ? Que retiendront les téléspectateurs confrontés à un :

    « Ce n'est pas un désaveu. Ils ont arrêté toutes leurs études à 6 mois. Si nous avions arrêté notre étude à 6 mois, nous n'aurions rien vu. C'est au cours de la deuxième année que les rats ont développé le grand nombre de tumeurs. […] C'est là qu'est le scandale. pourquoi s'arrêter si tôt ? comme si on voulait cacher quelque chose. »

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  20. Petit rappel, au-delà des thèses habituelles du complot et du harcèlement par les lobbys : GMO90+ ne portait pas sur les tumeurs, mais sur les marqueurs biologiques.

    La titre de la vidéo sur Youtube : « Le professeur Seralini répond à ses détracteurs au sujet du maïs OGM ». On ne sort pas de la victimisation...

    L’AFFAIRE SERALINI vue par… SERALINI

    C'est le titre d'une longue réponse postée par M. Gilles-Éric Séralini sur le blog de M. Sylvestre Huet.

    Rien de neuf dans le fond et le style : une défense Chewbacca. Extrait :

    « Il [M. Sylvestre Huet] ne peut pas ignorer les sept procès en diffamations que nous avons faits et gagnés contre les lobbys, infiltrés jusque dans les agences publiques recopiant les dires de la Société Monsanto ces dernières années.

    Il ne peut pas ignorer les "Monsanto papers" notamment sur mon « Affaire » qui ont fait les colonnes et les pages du Monde en 2017 pour montrer les preuves flagrantes des soudoiements et organisations de mes diffamations, rétractation d’un article, pressions sur les journaux scientifiques et grand public, et listes de contre-vérités scientifiques assénées par cette entreprise mondiale, afin de réduire au silence ceux qui découvrent la toxicité de ses produits. »

    Que M. Gilles-Éric Séralini se console : le 30 octobre 2018, il s'est vu remettre à la Westreich Foundation, des mains de Mme Zen Honeycutt, présidente de Moms Across America, le « Healthy Communities Hero Award » 2018, pour son courage extraordinaire et son engagement pour promouvoir la santé et la liberté pour tous. »

    Mme Zen Honeycutt ? Lisez sur ce site ce qu'en dit notre ami David, le Risk-monger...

    La Westreich Foundation ? Pitié... nous ne traduirons pas :

    « The Westreich Foundation is an initiative based private family foundation committed to creating partnerships, collaborations and consortiums whose focus is:

    Health creation, prevention and management of chronic disease through Functional Medicine tenants and matrices, Integrative Medicine’s approach to whole-person healing, Natural Medicine’s clearing the way for the body to heal itself when possible (salutogenesis and homeostasis), and the role that the science of nutrition plays in creating health and managing disease.
    Food safety, including independent testing and research of Genetically Modified crops and the use of herbicides (Roundup) and pesticides on humans, animals, and the planet. Promote the cultivation and sale of locally grown organic crops. Establishment of an independent repository where scientists can come together without fear of reprisal to work collaboratively on relevant independent research grounded in rigorous scientific research methods.

    Vaccine safety for all, including independent testing and research of vaccines and the ingredients they contain, as well as the synchronicity effect of using multiple toxic chemicals together when injected into the human body.

    Cela s'ajoute à d'autres breloques et parchemins... le prestigieux (ironie) prix « Scientifique International de l’Année 2011 »?décerné par le prestigieux International Biographical Centre of Cambridge (Grande-Bretagne) ; le « Prix International du Lanceur d'Alerte 2015 » en 2015 (décerné par la Section Allemande de l'Association Internationale des Juristes contre les Armes Nucléaires (IALANA) et la Fédération des Scientifiques Allemands (VDW)) ; le « Théo Colborn Award 2016 » (mais lequel ?).

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  21. Oups ! Nous avons failli oublier les réactions politiques...

    En fait... rien ! Les ministres Frédérique Vidal et Didier Guillaume – qui s'étaient empressés de saluer l'étude de chercheurs de l'INRA, de l'INSERM, du CNAM et de l'Université Paris-XIII selon laquelle les consommateurs de produits bio auraient un risque 25 % moins élevé de développer un cancer – n'ont apparemment pas trouvé le temps de gazouiller...

    http://seppi.over-blog.com/2018/12/etude-post-seralinienne-gmo90-mute-news-fake-news-fourberie-complaisance-et-autosatisfaction.html

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    1. Tous ces criminels qui gouvernent n'ont que faire de la vérité scientifique, des discours de professeurs et des milliards de preuves irréfutables apportées et démontrées devant eux ! Eux, ce qu'ils veulent c'est voir le monde crever ! Le monde ruiné ! Le monde d'idiots planté devant leurs écrans de télé, leurs oreilles aux radios et à lire des journaux infectes !

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    2. https://leblogdenathaliemp.com/2018/12/18/ogm-et-3-hourras-pour-le-mais-transgenique-de-monsanto/

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  22. Je t'aime! Moi Non Plus ...

    Par Ivan Daraktchiev
    19 décembre 2018


    Voici comment un rédacteur en chef du quotidien influent «Le Figaro» a décrit la situation difficile du président français Emmanuel Macron - et je ne peux pas trouver une meilleure description en une ligne que le titre de l'artiste interprète français Serge Gainsbourg «Je t'aime… ni est-ce que je fais! »Le choc est sorti de nulle part contre le chéri du gang néolibéral (l'outil de l'état profond pour faire avancer son projet NWO / PNAC), alors qu'il a vécu pendant 18 longs mois dans le ciel, au paradis de son fantaisie, ne remarquant même pas qu’il y avait de gros nuages blancs qui cachent la vraie image ci-dessous - et que les nuages s’épaississaient, rendant le résultat optique à ses yeux toujours plus lointain, flou et obscur…

    Le commentaire de l’analyste politique expérimenté a été présenté lors d’une discussion qui s’est tenue dans le studio de télévision national au cours duquel de nombreux observateurs, commentateurs et militants politiques ont été invités à échanger des idées sur l’impact de l’acte terroriste survenu dans le prochain mouvement des «Gilets jaunes». Strasbourg la veille. Car nous avons une semaine assez intense ici:

    Le lundi 10.12.18, E. Macron a comparu à la télévision avec son adresse mal dirigée,

    Mardi soir, un terroriste islamique a tiré sur un groupe de personnes dans les rues du centre de la ville où le Parlement européen se réunit à la fois et aujourd'hui.

    Mercredi, la France est à nouveau dans un mode de discussion frénétique. Le porte-parole des "Gilets jaunes" de Montreuil a déçu le public en déclarant "nous exprimons nos condoléances aux familles des victimes mais nous poursuivrons la manifestation de samedi prochain, comme annoncé, car nous trouvons l'offre du président de loin insuffisante par rapport à nos demandes ..." est un comité central ou une assemblée ou un (des) dirigeant (s) des «Gilets Jaunes», a-t-il dit. «Non, nous sommes une association libre de toutes les assemblées locales. Chacune se décidant pour elle-même, nous ne voulons pas devenir« organisées »(comme partisans) et «structurés» (et contrôlés)… »Il est clair que la base, qui a déjà été trompée, ne cédera pas, même si ce n’est qu’en soupçonnant que l’acte terroriste sera utilisé par le gouvernement pour éteindre le feu - en leur demandant de reporter toute action ultérieure et d’attendre que le calme s’installe à cause de l’usure naturelle. Le jeu du gouvernement joue clairement pour gagner du temps, mais les Cardigans jaunes ne joueront pas au football avec un gouvernement qui dit les avoir entendus, mais agit comme si ce n’était pas le cas!

    Dans un autre public, les participants ont également proposé des observations / opinions / conclusions intéressantes:

    «Les gens ne font pas confiance au gouvernement et aux médias»
    «Il y a une injustice sociale - et le président n'a pas du tout parlé de cela, car il n'a rien fait depuis 18 mois (sauf l'attitude de ses prédécesseurs Hollande et Sarkozy: l'attitude de ses prédécesseurs: en le négligeant, comme si le problème ne l'avait pas été. exister)…"

    «Les partis nationalistes de l'extrême gauche, de l'extrême droite, y gagnent, même sans rien faire eux-mêmes» (ce qui revient à reconnaître que les partis traditionnels - et implicitement l'ensemble politique de l'UE - empruntent le mauvais chemin).

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  23. «Les Français sont en désarroi et doivent être unis, à la fois face au terrorisme / immigration (radicalisation) et face à la profonde injustice sociale qui existe»

    En réfléchissant à cela, je me suis rendu compte qu'il y avait un parallèle entre les «Gilets jaunes», terriblement déçus - en partie parce que leurs propres demandes sont pleines d'attentes irréalistes, dans le contexte d'une économie déjà lourdement endettée - et les travailleurs russes défilent pacifiquement avec une pétition au tsar-batyushka ouverte et dispersée après avoir laissé des dizaines de morts sur la neige blanche du «dimanche sanglant» de janvier 1905 à Saint-Pétersbourg… Cela renforçait ce que j’avais dit auparavant: cette date était le point de départ de Une révolution…

    Si ça sonne assez fort, il pourrait être ramassé par ton prochain. Eh bien, que savez-vous: le réveil que le président Macron n’a pas eu, a été entendu en Espagne! Exactement après la clôture du débat, pendant les principales informations de

    Le jour suivant (20:00 h), la première chose que nous entendons est que le Premier ministre Sanchez a annoncé une augmentation de 22% du salaire minimum - oui, 22%, aucune erreur ici! La première chose à mon sens était «Ce gars devait être un pompier professionnel: quand il y a un feu dans la cour de votre voisin, vous devez prendre une douche immédiatement!»

    La grande question ici n’est pas de savoir où les Espagnols obtiendront l’argent dont tout le monde sait qu’ils ne disposent pas. La grande question est «qui est le prochain?» Portugal? La Grèce (dont nous n'avons pas entendu parler plus de trois mois interminables)?… Et la plus petite question est de savoir quand les Allemands vont crier: «Perdez-vous tous, maudits soeurs!

    Et oui, ce que j’ai oublié de vous dire, c’est qu’ici en Belgique, les Jackets locaux organisaient des manifestations à Bruxelles et ailleurs deux samedis de suite, s’engageant à continuer - dans un geste de solidarité avec les Français mais avec leurs propres revendications. ainsi que.

    Nomenklatura (Grande-Bretagne) a perdu la même cause que le maréchal Grouchy dans le brouillard autour de Waterloo. Quelle nuit c'est ce mercredi 12.12.2018 ! La prochaine nouvelle est le vote de confiance au Premier ministre britannique Theresa May. Détournement total de la tâche confiée au Parti conservateur pour accomplir - ou plutôt diriger l’accomplissement de. Ensuite, le même blâme doit être attribué à tous les autres grands partis, dans un Parlement désuni composé de Nomenklaturchiks qui ne sont intéressés que par l'opportunité que ce gâchis leur offre pour leur avancement personnel. La question de BREXIT a donc été politisée à des sommets incroyables! Et tous ces gens ne peuvent même pas voir ce qui se passe dans l’épave, ils ont la chance d’avoir commencé par abandonner les premiers… Agonisant pour «un mauvais accord ou pas d’accord» avec une créature mourante ?

    Jeudi, nous apprenons que l’idée des «Gilets jaunes» est apparue en Pologne. Pour le moment, il semble ne s'agir que d'une protestation locale contre l'importation de produits (meilleur marché) en provenance de l'Ukraine voisine, mais il ne faut pas attendre avant qu'une telle initiative locale ne gonfle: c'est exactement comme un feu dans la steppe pendant la saison sèche - et je crois que l'herbe s'est desséchée il y a longtemps, dans le désert de l'Europe. En effet, le Vieux Continent est devenu une terre stérile pour les idées de justice sociale et de fair-play, les tissus de la paix sociale et de la stabilité. Ainsi, la marée de la colère française - cholére est l’un des mots les plus utilisés sur les affiches portées - risque de se répandre bientôt…

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  24. Vendredi, dans le cadre d’un débat télévisé, un jeune homme portant un gilet jaune est confronté à quatre ou cinq cadres en col blanc qui lui demandent pourquoi ils ne veulent pas cesser de manifester, que veulent-ils, après le geste du président. Il leur dit: «Nous ne gagnons pas assez pour soutenir nos familles», ce qu’ils n’ont manifestement pas encore compris. On lui dit ensuite: «Mais vous savez qu'il n'y a pas d'argent, n'est-ce pas?». «Oui, il y a de l'argent», dit-il - «vous coupez les salaires des officiers trop payés de l'administration, des députés, etc. peut augmenter le salaire minimum: ce serait un bon début. "Et puis il y a une saute de cette jeune beauté qui n'a jamais travaillé pour plus d'une personne à la fois" Vous n'avez pas la moindre idée de la lourdeur de son travail assumer ces responsabilités et travailler sans arrêt… ». Il faut simplement en conclure que ces personnes vivent réellement sur des planètes différentes; Les «Gilets Jaunes» sont ici avec nous sur Terre, mais les autres habitent loin sur une planète lointaine, probablement Nibiru, que j'entends être le lieu de prédilection de tous ceux qui aiment échapper à la réalité…

    Samedi 5 à Paris - et dans le reste de la France également. Cinq semaines après le début de ce mouvement, regarder les débats à la télévision me donne l’impression suivante:

    Outre les représentants du nouveau mouvement, il s’agit principalement de délibérations de personnes qui représentent, représentent ou servent la Nomenklatura - et méprisent toute forme de protestation; maintenant devenir nerveux à la vue de quelque chose de jamais vu et inouï.
    La clé: E. Macron est arrivé au pouvoir avec la promesse de «changer» et il a échoué. Son objectif déclaré était de «rétablir le lien entre la politique et le peuple» - et cela s'est avéré être une rhétorique vide de sens. C’est pourquoi nous pouvons résumer en toute confiance, en répétant les déclarations précédentes, que le «changement» est devenu la chanson du cygne de tous les Nomenklaturchiks.
    Tous reconnaissent que le pouvoir d’achat est en baisse constante depuis assez longtemps.
    Le mouvement est unique en ce sens qu’il n’ya pas de leadership («élite») et qu’il est donc immunisé contre la manipulation, le chantage et / ou la corruption; il doit être reconnu comme un véritable projet populaire, nécessitant une véritable discussion démocratique

    (le gouvernement doit s'asseoir sur la table et discuter avec ses représentants). Le problème de l’établissement est que ses mécanismes bien lubrifiés tels que les «syndicats» (et ses cadres professionnels, étant les Nomenklaturchiks eux-mêmes, c’est-à-dire les leviers des pouvoirs de contrôle de la foule) ne sont pas applicables - d’où toute la classe dirigeante, que ce soit au pouvoir ou en opposition, a été pris au dépourvu, et sans outils…

    En tant que non-syndicalistes et non-politiciens, les «Gilets Jaunes» s’opposent à l’ensemble de la classe politique et expriment l’énorme colère publique suscitée par l’inégalité actuelle.
    "Nous resterons ici et reviendrons (à Paris, de la périphérie) tous les samedis jusqu'à ce que nos demandes soient satisfaites!"
    "La Ve République est à bout de souffle!" Une déclaration remarquable, montrant une meilleure compréhension de la part de la base que les gros coups avec la prétention surdimensionnée de diriger leurs parents.
    "Nous voulons la démission du gouvernement!"
    «Nous voulons que le référendum soit présenté comme une forme de participation publique dans Nous voulons (une forme de) démocratie directe! L’avenir de la France, c’est la commune ». Une dame représentant l’établissement s’est vite empressé de dire ceci:« Une telle démocratie directe et ce type d’ententes communes ne peuvent fonctionner que dans de petites localités; cela ne convient pas à un pays de 67 millions d'habitants !

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  25. "Nous sommes contre les oligarques et les financiers"
    "Les gens ne veulent ni de la politique ni de l'argent pour être le centre de leur gouvernance ..."
    Récapitulation de dimanche: il existe une fracture sociale majeure, qui se traduit principalement par de nombreuses déclarations des transporteurs de la ligne politiquement correcte, mais également par les observations d’indépendants et des «Gilets Jaunes»:

    «Ils ont rejeté l’offre du président; ne savent-ils pas qu'il y a une longue crise économique dans laquelle nous vivons encore aujourd'hui, qu'il n'y a pas de .. »(Il ne se produit pas dans cette belle petite tête bavarde que la crise économique fasse partie de la culpabilité de Nomenklatura. Ce sont les Nomenklaturchiks qui devraient être pénalisés pour cela, au lieu de laisser le public en supporter les conséquences - et continuer à en tirer profit pendant trop longtemps).
    «Nous devons reconnaître que nous avons tous été surpris. nous n'avions pas prévu qu'un tel mouvement pourrait se produire. "
    "Pendant des décennies, la périphérie a été négligée et les grandes régions métropolitaines ont favorisé la vie rurale asphyxiante."
    «Il y a une trentaine d'années, nous étions pauvres mais nous menions une vie heureuse. aujourd'hui nous sommes pauvres et nous ne pouvons même pas survivre!
    «Arrêtez la mondialisation, combattez la grosse finance, redistribuez la richesse, revenez à la politique traditionnelle!»
    "Mouvement sans précédent, il doit passer à un autre niveau, il doit s'organiser!"
    "Nous voulons être entendus, nous sommes le peuple: nous protestons contre l'injustice, contre les inégalités dans ce pays, contre la pauvreté, contre la misère en France ..."
    "Nous voulons réduire les taxes et les accises sur tous les produits de première nécessité!"
    "Nous voulons une diminution des salaires, des avantages et des pensions de tous les élus !"
    "Nous ne voulons pas vivre dans les miettes d’un état boulimique!"
    "Je suis européen mais pas de l’Europe d’aujourd’hui !"

    Le discours des politiciens «d'extrême gauche» et «d'extrême droite» qui ont gagné des points dans les sondages - alors que E. Macron a perdu mal - les a immédiatement accusés de populisme. Comme partout ailleurs où le politiquement correct est le critère pour obtenir un emploi en politique ou dans les médias asservis, seul le crédule l’achète: dans un rex publicum (aka demokratia), populaire, dérive de populus (peuple) et appartient à la fois aux populistes et aux populistes. quelqu'un qui transmet des messages populaires afin d'être élu à une fonction publique; en d'autres termes, les deux aspirent à être aimés par les gens et leur disent donc ce qu'ils veulent entendre. La seule différence entre un fonctionnaire et un populiste (en tant que reproche signifiant par l'opposition) est que le plus souvent, le premier est un menteur qui ne remplit jamais ses promesses, alors que les «populistes» d'aujourd'hui le font: check Les promesses du président Trump (moins certaines dans la politique étrangère qu'il a mises en attente jusqu'à ce qu'elles soient libérées de la menace de destitution imminente), du premier ministre hongrois Victor Orban, du duo italien actuel, etc.

    La Nomenklatura française a bien compris que pendant de nombreuses années, de grandes masses vivaient autour du seuil de pauvreté (et beaucoup en dessous). Certains ont peut-être aussi bien eu l’idée que les gens, les Nomenklaturchiks de toutes sortes, en sont les coupables: élus pour corriger les problèmes, ils ont en fait présidé à leur aggravation constante, année après année. Ce qui signifie qu'elles sont devenues sans objet face à la situation difficile des masses: il n'est pas surprenant que l'attitude la plus fréquemment exprimée soit le manque de confiance en la classe politique.

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  26. Ce que personne ne semble avoir encore compris, c’est que clairement dans ce système socio-économique, la démocratie représentative, la situation va continuer, et qu’un changement radical du système est la seule solution efficace. L'instinct de beaucoup les conduit à proposer des éléments de démocratie directe; cependant, tous envisagent sous cette étiquette le modèle suisse, qui est plutôt une démocratie hybride. Est-ce suffisant pour la France? C'est certainement un pas dans la bonne direction, et seul le temps déterminera le jugement final; Cependant, les rebelles devront tout de même commencer! Les émissaires de l’établissement ont déjà publié un avertissement: "La crise sociale (actuelle) menace le (notre) modèle capitaliste!"

    Tout en les laissant s’inquiéter, comme il se doit, je pense à quelque chose de totalement différent: n’est-il pas symbolique que l’un des anarchistes les plus célèbres, Néstor Mahno, ait terminé son séjour sur Terre à Paris ? C'est lui qui a créé des communes rurales autonomes en Ukraine soviétique pendant la révolution et la guerre civile russes. En effet, il s’agissait de formations anarcho-communistes de courte durée; idéaliste, pourrait-on dire; pourtant, ils ont survécu pendant environ 4 longues années de guerre et de chaos - et ont même soutenu une armée assez puissante pour battre les troupes allemandes et autrichiennes envahissantes, les nationalistes ukrainiens et les Russes blancs. Il me semble que l'esprit inébranlable de Néstor Mahno aurait pu rattraper ceux des Français ordinaires qui vivent au bord de la pauvreté…

    Quoi qu'il en soit, quelle semaine: l'hiver de notre mécontentement est de retour !

    https://www.lewrockwell.com/2018/12/ivan-daraktchiev/je-taime-moi-non-plus/

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    1. Quelles que soient les sorties proposées les humains sur Terre ne seront JAMAIS des hommes préhistoriques. Ce terme de 'préhistorique' est questionnatif à différents degrés du fait-il ou non partie de l'histoire et du pourquoi cette marginalité inscrite à l'attitude de ceux qui vivaient autrefois et de ceux qui vivent dans le 'maintenant' ?! Il n'y a JAMAIS eu de 'jour', d''heure' ou d'''année' voire de siècle séparatif de la construction humaine, de sa morphologie et de ses propres découvertes. Mais, s'inscrirait-il une différence entre les humains normaux qui vivaient normalement et l'époque des humains anormalisés par 'des chefs' qui ont créé des 'personnes' imaginaires qui vivaient dans... le ciel !! et que PERSONNE n'avait vu ni entendu mais qui étaient censés exister !!! HAHAHAHA !

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  27. Le gouvernement belge tombe sur un accord sur la migration conclu avec l'ONU

    par Tyler Durden
    Mer., 19/12/2018 - 05:30


    La Belgique a recommencé à faire ce qu’elle fait de mieux: courir sans gouvernement.

    Après le chaos politique qui a sévi dans une grande partie de l'Europe, le Premier ministre belge Charles Michel est devenu mardi le dernier personnage politique à faire faillite après avoir présenté la démission de son gouvernement lorsque sa coalition dirigée par des libéraux a perdu sa majorité parlementaire et a lancé un appel. les législateurs au Parlement n'ont pas réussi à obtenir l'appui d'une administration minoritaire.


    Le palais royal belge a déclaré dans un tweet que le roi du pays maintenait sa décision d'accepter la démission «en suspens». Le roi pouvait toujours garder Michel comme Premier ministre dans un gouvernement de transition jusqu'à ce qu'un accord sur une nouvelle coalition soit négocié ou que des élections soient organisées.

    Sans surprise, la raison de la chute du gouvernement était la même qu'une grande partie de la classe politique européenne se trouve bouleversée trois ans après qu'Angela Merkel ait lancé la plus grande menace pour la politique européenne depuis des générations: la migration de masse.

    Plus précisément, la chute du gouvernement belge était la dernière d'une série de crises déclenchées par un accord non contraignant sur la migration, négocié par les Nations Unies. Les gouvernements de Slovaquie, d’Estonie et du Chili ont été pris à partie par un document qui, selon l’ONU, n’encourage pas l’immigration illégale et ne force pas les pays à modifier leurs politiques d’admission, selon Bloomberg.

    Comme au Royaume-Uni, où la migration était l'une des principales raisons du Brexit et du fiasco politique qui a suivi plus de deux ans plus tard, l'annonce de mardi à Bruxelles faisait suite à la présentation d'une motion de censure contre le gouvernement de Michel par les partis d'opposition, y compris les socialistes et les socialistes. Légumes verts. Plus tôt dans la journée, Michel avait juré de continuer avec son gouvernement minoritaire, appelant à une "coalition des volontaires" au Parlement.

    À la fin, les réticents étaient la majorité.

    L’administration de Michel, plus tôt ce mois-ci, a perdu le soutien de l’Alliance néo-flamande de droite (N-VA), son principal partenaire flamand, après que la N-VA s’est opposée au soutien du gouvernement au pacte mondial de l’ONU sur les migrations. Ce départ privait Michel de sa majorité six mois avant la tenue d'élections générales qui devaient se tenir fin mai.

    Heureusement, la Belgique est un vétéran des opérations sans gouvernement et n'est pas étrangère aux crises politiques face aux divisions persistantes entre ses communautés flamande et francophone. Après des élections non concluantes en 2010, le pays s'est embrouillé pendant 589 jours sans gouvernement élu. Au cours de cette période, le pays a enregistré sa plus forte croissance économique de la décennie.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-12-18/belgian-government-falls-over-un-brokered-migration-accord

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  28. LES FRANÇAIS SCEPTIQUES QUANT AUX MESURES ANNONCÉES PAR MACRON ET PHILIPPE


    par MARIE-EVE WILSON-JAMIN
    18/12/2018

    Malgré de nombreuses annonces pour tenter de répondre à la colère des Gilets Jaunes, les Français sont sceptiques : seulement 27 % des personnes interrogées estiment que ces mesures sont « bonnes pour l’économie française ».

    27 % des sondés estiment que les annonces du gouvernement sont bonnes pour l'économie française

    Selon le sondage OpinionWay pour Les Echos et Radio Classique, seulement 27 % des personnes interrogées estiment que ces mesures annoncées par Emmanuel Macron et Edouard Philippe pour répondre au cri de colère des Gilets Jaunes sont « bonnes pour l’économie française », 32 % estiment qu’il s’agit d’un signe de changement de politique économique.

    Pour rappel, le président de la République et le Premier ministre ont annoncé tour à tour une hausse du smic de 100 euros, via une augmentation de la prime d’activité, renoncement à la hausse de la CSG pour les retraités gagnant moins de 2 000 euros, défiscalisation des heures supplémentaires, abandon de la taxe carbone...

    La cote de popularité du Président diminue à 23 % de satifaits

    Pire, seuls 25% des sondés croient que ces mesures de soutien au pouvoir d’achat sont équitables. Les entreprises ont été appelées à jouer le jeu en offrant aux salariés une prime de fin d’année défiscalisée et exonérée des cotisations sociales : 16 % des Français estiment qu’ils pourront en bénéficier. En outre, 26 % des retraités pensent qu’ils profiteront de l’annulation de la hausse de la CSG, et 46 % des retraités aux revenus de moins de 2 000 euros. Alors qu’ils en seront les principaux bénéficiaires…

    Enfin, un autre sondage ne va redonner le moral au président Macron. Selon le baromètre mensuel de l'Ifop pour le JDD réalisé du 7 au 15 décembre, la cote de popularité du Président perd encore deux points en décembre, à 23 % de satisfaits. Le chef de l'Etat enregistre une deuxième baisse consécutive, après celle de 4 points en novembre. Il se trouve désormais à un niveau de popularité comparable à celui de François Hollande au même stade de son mandat (22 % d'opinions favorables).

    http://www.economiematin.fr/news-francais-sceptiques-mesures-annoncees-macron-philippe

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    1. Pour se foutre de la gueule des français, les merdias emploient encore et encore le terme de 'sceptique' alors que les français ne sont PAS dans le doute mais dans l'affirmation catégorique !

      Quant aux 'sondages d'opinions'... alors là... fait quelques minutes avant dans les couloirs d'Elysée/Matignon...

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  29. Climat et environnement : George HW Bush


    le 19 décembre 2018

    À peine avait-il mis un terme à la punition infligée à Saddam Hussein pour avoir envahi le Koweït (première guerre du Golfe (août 1990-février 1991, on se souvient des images de puits de pétrole du petit émirat en feu) le Président américain Georges H. W. Bush, plein de bonnes intentions pour redorer son image, prit l’initiative de défendre l’environnement et le climat le samedi 13 juin 1992 en recevant le Commandant Cousteau lors de la signature du traité sur le réchauffement global. Depuis lors la propagande mondiale a fait du chemin jusqu’à émouvoir les « gilets jaunes » français qui ont parfois de la peine à boucler leurs fins de mois en raison des taxes sur les carburants supposées aider à juguler ce réchauffement que telle soeur Anne du sommet de sa tour nous attendons toujours.

    - voir sur site photo de Cousteau baisant la main de mme la présidente Bush -

    Source : Detroit Free Press via Newspapers.com

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2018/12/19/climat-et-environnement-george-hw-bush/

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  30. « La France aujourd'hui c'est ça »


    TotoRhino
    Agoravox
    mar., 18 déc. 2018 21:04 UTC


    Il a été dénoncé le déploiement très largement démesuré des forces de l'ordre, tant sur le plan matériel qu'humain. Mais le plus marquant des affrontements qui ont eu lieu durant les manifestations des gilets jaunes, a certainement été les violences volontaires qu'ont assénées ces « troupes de guerre » aux manifestants et journalistes.

    Les preuves tombent et Amnisties International vient se mêler à la fête, histoire de donner un peu de dignité et de justice dans ce diktat brutal apporté par le gouvernement français : Clic ! Aujourd'hui, c'est 36 enquêtes de l'IGPN qui seraient en cours pour des violences policières : Clic !

    Attention, scènes dures

    Blessés par tirs de flash-ball, dont deux journalistes du Parisien...

    - voir clip sur site -

    Deux photographes qui travaillaient pour le journal Libération, témoignent des violences du Burger King...

    - voir clip sur site -

    « Fils de P...te, dans ta gueule » quand la police insulte les Gilets jaunes à chaque tir de flashball...

    - voir clip sur site -

    Une femme policière met une grenade entre les jambes d'un gilet jaune...

    - voir clip sur site -

    Gilets jaune interdit et honteux il sort son arme pour dissuader...

    - voir clip sur site -

    Un policier « travesti » en casseur jette un pavé...

    - voir clip sur site -

    un CRS lanceur d'alerte ? En arrêt maladie, un CRS explique pourquoi il a décidé de ne plus réprimer les manifestants...

    - voir clip sur site -

    Et une rétrospective pour finir.

    - voir clip sur site -

    Les informations sur ce sujet vont encore s'accumuler, que ce soit sous forme de vidéos ou de témoignages, et il sera intéressant de surveiller la suite qui sera donnée à toutes ces preuves à charge.

    https://fr.sott.net/article/33257-La-France-aujourd-hui-c-est-ca

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    1. Cela ne sert à rien de s'émouvoir, d'avoir peur et trembler pour son avenir face aux armées les plus destructrices de citoyens qui osent encore aujourd'hui vivre sur Terre et respirer l'air qui ne lui appartient pas !

      Mais, demeure encore l'intelligence indestructible de plus de 7 milliards d'habitants qui peuvent encore marcher pour appliquer d'eux-mêmes la Démocratie à n'importe quel pays envahi par cette crasse religieuse d'escrocs.

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  31. Le président de l'Assemblée nationale française pris en flagrant délit de fake news en Suisse


    13:05 19.12.2018


    Le président de l'Assemblée nationale française, Richard Ferrand, a été pris en flagrant délit de fake news par l’ancien maire de Genève pour avoir tenté de nier ses propos peu flatteurs tenus au sujet du référendum helvétique en juillet 2018. Les internautes n’ont pas tardé à reprendre la polémique sur les réseaux sociaux.

    Guillaume Barazzone, l'ancien maire de Genève, a critiqué sur Twitter les assertions de Richard Ferrand, qui datent de l'été dernier et qui ont été rediffusées le 17 décembre sur France 3, qui ironise alors sur les bienfaits du référendum en Suisse. Le reportage de France 3 faisait en fait référence au dernier revirement du gouvernement français qui se dit désormais prêt à faire évoluer sa position sur le référendum d'initiative citoyenne (RIC) suite aux protestations des Gilets jaunes.

    Le président de l'Assemblée nationale a «formellement» nié l'authenticité de ces assertions sur Twitter:

    - voir twitter sur site -

    Toutefois, le problème est que la vidéo en question — dans laquelle on peut l'entendre faire cette déclaration — est bel et bien disponible sur internet, ce qui n'a pas tardé à provoquer un tollé sur les réseaux sociaux.

    - voir clip à l'Assemblée Nationale sur site -

    «Richard Ferrand commence à perdre la mémoire», a ironisé un internaute sous son tweet.

    - voir twitter sur site -

    D'autres l'ont appelé à présenter ses excuses à la Suisse:

    - voir twitter sur site -

    Dimanche, dans une interview accordée aux Échos, Édouard Philippe a annoncé la tenue d'un débat sur le référendum d'initiative citoyenne (RIC) qui, selon lui, «peut être un bon instrument dans une démocratie mais pas sur n'importe quel sujet ni dans n'importe quelles conditions». Il a ainsi répondu aux revendications des Gilets jaunes qui ont réclamé cette possibilité afin de «rendre au peuple son rôle souverain».

    https://fr.sputniknews.com/france/201812191039358500-president-assemblee-nationale-flagrant-delit-fake-news-suisse/

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    1. C'est toute la bassesse de la dictature en place qui refuse l'existence de la Démocratie comme celle des Suisses !

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  32. Cette fois-ci, Bessan… Un énième péage de Vinci incendié au cours de la nuit (photos)


    12:45 19.12.2018



    Au cours de ces dernières semaines de mobilisation des Gilets jaunes, des péages et autres installations autoroutières ont été dégradés, majoritairement dans le sud de la France, de Perpignan à Orange. Ce mercredi, des Gilets jaunes ont revendiqué avoir mis le feu à un local appartenant au concessionnaire autoroutier Vinci, à Bessan.
    Un bâtiment de Vinci situé à Bessan, dans l'Hérault, à 20 km à l'est de Béziers, a été incendié au cours de la nuit de mardi à mercredi, a-t-on appris auprès des pompiers. Cet immeuble, établi au niveau du péage et qui servait à la fois de local technique et de réfectoire, avait déjà été incendié au cours du week-end précédent.

    Selon un correspondant de l'AFP, des Gilets jaunes ont revendiqué cette action.

    Le groupe Vinci a confirmé à son tour l'incendie tout en précisant que l'évaluation des dégâts était en cours.

    Plusieurs péages et installations de Vinci ont subi des dégradations ces derniers jours dans le sud de la France, notamment à Béziers, Narbonne, Perpignan, Bandol, ou Manosque.

    La barrière de péage de Bandol dans le Var, sur l'autoroute A50, a été incendiée au cours de la nuit de lundi à mardi, a-t-on appris auprès de Vinci Autoroutes, dont les installations ont déjà été visées plusieurs fois en marge du mouvement des Gilets jaunes. Les cabines de péage ont été détruites. Alors que des internautes et certains médias accusent des casseurs, certains rejettent la responsabilité de cet acte sur des Gilets jaunes.

    Dans la nuit de dimanche à lundi, l'aire de péage de l'A51 à Manosque avait également été incendiée à deux reprises, faisant des dégâts et perturbant la circulation.

    Dimanche soir, la statue de la Main jaune installée sur un rond-point de Châtellerault et qui est devenue le symbole de la mobilisation des Gilets jaunes en Poitou-Charentes, a été incendiée par des manifestants avant de partir. En effet, plus tôt dans la journée, ils avaient été priés de libérer le rond-point qu'ils tenaient depuis plusieurs semaines.

    Vinci s'est attiré les foudres des Gilets jaunes, mais aussi du gouvernement en affirmant vouloir faire payer les automobilistes passés gratuitement aux péages devenus, pour ce mouvement populaire, un symbole de taxes indues. Face au tollé, le concessionnaire autoroutier a annoncé mardi soir renoncer à cette procédure de recouvrement.

    https://fr.sputniknews.com/france/201812191039358710-france-peages-incendies-bessan/

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    1. Des autoroutes qui ont été payées déjà un million de fois et qui continuent de devoir être payé par les français rançonnés !

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  33. La Chine accusée de "piratage énorme" de milliers de câbles diplomatiques européens


    par Tyler Durden
    Mer., 19/12/2018 - 08:04


    Côté Russie: le nouvel épouvantail mondial du piratage informatique est désormais officiellement la Chine.

    Quelques jours à peine après que les États-Unis aient accusé Pékin d'avoir piraté des centaines de millions de comptes Marriott et d'avoir extrait les données privées d'innombrables Américains, alors que la querelle diplomatique en cours sur "l'intermédiation" chinoise dans les communications occidentales via Huawei s'intensifie, il y a quelques instants, l'UE a dévoilé que la Chine était désormais aussi le nouveau Wikileaks, accusant un pirate informatique lié à l'Armée populaire de libération du Chine d'un "piratage énorme" de ses câbles diplomatiques et faisant renaître les craintes concernant les vulnérabilités des systèmes de données du bloc des 28 pays.

    Selon les enquêteurs, des pirates informatiques auraient eu accès à des câbles traitant de diverses questions géopolitiques, notamment le terrorisme, les relations transatlantiques, la paix au Moyen-Orient, le contrôle des armements, la mer de Chine méridionale et le groupe de travail Asie et Océanie.

    Au cours d'une campagne remontant au moins à 2015, les pirates informatiques ont eu accès à plus d'une centaine d'organisations, y compris le réseau de communication électronique Coreu de l'UE, a rapporté un journal citant un rapport sur la violation qui devrait être publié mercredi par la société de cybersécurité Area 1 Security. Selon le rapport, les pirates chinois ont utilisé le ministère chypriote des Affaires étrangères comme point d'entrée pour mener le cyberespionnage sur plusieurs années dans l'ensemble du bloc. Parmi les autres cibles figurent des membres de l'ONU et de l'AFL-CIO, une confédération de syndicats américains susceptibles d'intéresser les Chinois car ils ont participé à des négociations commerciales.

    Le secrétariat du Conseil de l'UE a déclaré qu'il "enquêtait activement" sur des allégations de "fuite potentielle d'informations sensibles". "Le secrétariat du Conseil prend très au sérieux la sécurité de ses installations, y compris de ses systèmes informatiques", a-t-il ajouté.

    Les révélations constituent le dernier embarras pour l'UE à un moment de vive inquiétude quant à la capacité des groupes liés à la cyber-guerre perpétuelle, la Russie et d'autres puissances, d'exploiter les maillons faibles de ses réseaux d'information et financiers.

    Mais comment savons-nous que c’est cette fois la Chine et pas, disons, la Corée du Nord, Moscou ou un partisan de Julian Assange qui habite dans les sous-sols? Or, selon Oren Falkowitz, PDG de la zone 1, il avait «une confiance absolue» dans le fait qu'un groupe chinois était derrière les attaques, en raison d'une analyse approfondie de leurs techniques ... de la même manière que CrowdStrike avait «une confiance absolue», la Russie a piraté le Serveur DNC sans, bien entendu, permettre au FBI d’enquêter de manière indépendante. Il a lié ces piratages à la force de soutien stratégique de l’Armée de libération du peuple.

    Dans un piratage rappelant de manière surprenante comment les "Russes" ont eu accès au courrier électronique de John Podesta, la zone 1 a indiqué que les pirates avaient initialement accédé au système en utilisant des techniques de phishing peu sophistiquées, en envoyant un courrier électronique avec un lien malveillant ou une pièce jointe à des personnes au sein du ministère à Chypre.

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  34. "Il suffit d'un contact avec l'une des parties pour révéler tous les autres secrets", a déclaré M. Falkowitz. "Vous venez de casser le maillon le plus faible de la chaîne diplomatique."

    Bien sûr, les cyniques peuvent répondre qu'il ne s'agit que d'un autre arrangement commode destiné à aggraver les tensions entre cyberguerres entre l'ouest et la Chine.

    Le piratage est le dernier en date à impliquer la Chine, dont le gouvernement est parvenu à un accord avec l'administration Obama en 2015 visant à empêcher les sociétés de piratage d'espionnage de voler la propriété intellectuelle ou des données, mais ne s'est pas directement attaqué au cyberespionnage plus conventionnel contre les gouvernements. Alors qu'une guerre commerciale s'intensifie entre les États-Unis et la Chine, l'accord est sous pression.

    Les milliers de documents piratés ont révélé des inquiétudes au sein de l'UE "à propos d'un gouvernement imprévisible [du président Donald] Trump et de ses luttes pour traiter avec la Russie et la Chine et du risque que l'Iran relance son programme nucléaire", selon le New York Times, qui a également accès au trésor.

    En ce qui concerne Chypre utilisée comme point d'entrée, cela aussi n'est pas une coïncidence: l'utilisation présumée de l'île méditerranéenne en tant que "passerelle involontaire" du piratage risque d'intensifier l'attention accordée par certains États de l'UE à la sécurité à Nicosie, après les inquiétudes suscitées par la Russie argent et influence là-bas.

    Comme le note le FT, le bloc cherche séparément à combler les faiblesses de sa supervision financière révélées par des révélations selon lesquelles 200 milliards d’euros de liquidités suspectes - provenant pour la plupart de clients russes et d’anciennes républiques soviétiques - avaient transité par la succursale estonienne de la banque danoise Danske.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-12-19/china-accused-huge-hack-thousands-european-diplomatic-cables

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  35. ENVIRONNEMENT - LES PRODUITS EN PLASTIQUE À USAGE UNIQUE INTERDITS

    Un texte de l'Union européenne, qui doit encore être approuvé par le Parlement et Conseil de l'UE, veut réduire les déchets dans les océans.

    Cotons-tiges, pailles, touillettes à café: ces produits en plastique à usage unique, qui envahissent les océans, seront dans l'avenir interdits dans l'Union européenne, grâce à un accord intervenu dans la nuit.

    Le texte, débattu en un temps record après une proposition initiale de la Commission européenne fin mai, va interdire une dizaine de catégories de produits qui représentent à eux seuls 70 % des déchets échoués dans les océans et sur les plages. Cet accord en «trilogue», selon le jargon européen, est intervenu au petit matin entre les négociateurs du Parlement européen, des Etats membres et de la Commission après plusieurs heures d'ultimes négociations.

    Il devra encore recevoir l'assentiment officiel des deux institutions, Parlement et Conseil de l'UE. Un parcours législatif que l'UE espère conclure au printemps 2019, pour une entrée en vigueur du texte à l'horizon 2021 puis son application dans les Etats de l'Union.

    «Les Européens sont conscients que les déchets plastiques constituent un énorme problème et l'UE dans son ensemble a fait preuve d'un véritable courage en s'y attaquant, faisant d'elle le leader mondial de la lutte contre les déchets plastiques marins», s'est félicité le premier vice-président de la Commission européenne, Frans Timmermans, cité dans un communiqué.

    «Le plus ambitieux au monde»

    La Commission européenne présente sa directive comme «l'instrument juridique le plus ambitieux au monde en matière de déchets marins». Certains produits en plastique à usage unique seront interdits s'il existe des alternatives sans plastique, comme les cotons-tiges, les couverts, les assiettes, les pailles, les agitateurs de boissons ou encore les bâtonnets pour ballons.

    Pour d'autres produits, l'objectif est de réduire leur consommation au niveau national, d'être plus exigeant sur leur conception et leur étiquetage ou encore de fixer des obligations aux producteurs en matière de gestion et de nettoyage des déchets.

    «Mesuré en poids, il y aura plus de plastique que de poissons dans les océans du monde d'ici 2050 si nous continuons à rejeter du plastique dans la mer au rythme actuel. Nous ne pouvons pas laisser cela se produire», a averti Elisabeth Köstinger, ministre autrichienne du Développement durable, dont le pays préside actuellement l'UE.

    Outre la protection des océans, la Commission fait valoir que la directive présente d'autres «avantages environnementaux et économiques». Elle permettra par exemple d'«éviter l'émission de 3,4 millions de tonnes d'équivalent CO2» mais aussi d'«éviter les dommages environnementaux qui coûteraient l'équivalent de 22 milliards d'euros d'ici 2030» et de faire «économiser 6,5 milliards d'euros» aux consommateurs.

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  36. ONG satisfaites mais avec des bémols

    L'alliance Rethink Plastic, qui regroupe des ONG pour un avenir sans plastique, a qualifié le texte de «pas en avant important», mais estimé qu'il ne répondait «pas pleinement à l'urgence de la crise des plastiques».

    «L'UE mérite des éloges pour avoir été la première région à introduire de nouvelles lois visant à réduire la pollution par les plastiques à usage unique et les déchets plastiques dans nos champs, rivières et océans. Ce qui est moins louable, c'est que le lobby du plastique - soutenu par certains gouvernements - a réussi à retarder et à affaiblir son ambition», a affirmé Meadhbh Bolger, de Friends of the Earth Europe au nom de Rethink Plastic. (ats/nxp)

    https://www.lematin.ch/monde/produits-plastique-usage-unique-interdits/story/30010373

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    1. A savoir que ces 'objets en plastique' ne proviennent d'aucun pays d'Europe ou d'Amérique du Nord et que, seuls les sacs poubelle en plastique d'Europe et capotes anglaises figurent dans l'océan !

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  37. Le Conseil fédéral veut ancrer le vote électronique dans la loi
    Du matériel pour le vote électronique dans le canton de Genève.


    Le Conseil fédéral a ouvert mercredi la procédure de consultation permettant d'ancrer l'exploitation du vote électronique dans la loi. Une révision partielle de la loi fédérale sur les droits politiques (LDP) doit mettre fin à la phase d’essai.

    La révision partielle de la LDP mettra un terme à la phase d'essai du vote électronique, en cours depuis 2004. Le Conseil fédéral estime qu'il est temps d'introduire le système à titre de procédure ordinaire, après presque quinze ans de tests.

    Le projet de réforme a été élaboré sur la base des conclusions d'un groupe d'experts qui a confirmé que le système pouvait être proposé en toute confiance. Le vote électronique sera introduit progressivement en favorisant la sécurité plutôt que la vitesse, précise le Conseil fédéral.

    Les cantons décideront

    Les conditions que le vote électronique devra remplir pour pouvoir être utilisé lors des élections et votations fédérales devront être conformes à la loi. Les cantons et les électeurs décideront eux-mêmes s’ils veulent proposer et utiliser le vote électronique ou non.

    Le public aura accès aux informations sur le système et son exploitation. Le code source sera notamment rendu public et l'électeur pourra vérifier et contrôler si son vote a fidèlement été transmis et enregistré.

    Un risque d'ingérence ?

    "Est-ce que la Suisse a besoin d'un autre système? Non. Nous avons un système qui fonctionne parfaitement et il n'y a pas de raisons de se faire vulnérables. Par exemple, aux Etats-Unis, deux ans après l'élection présidentielle, on ne sait pas encore ce qui est arrivé et si les Russes ont essayé d'influencer les votes", a déclaré mercredi le conseiller national Claudio Zanetti (UDC/ZH) dans un débat de l'émission Forum de la RTS.

    "L'expérience genevoise a démontré très clairement qu'il n'y a pas ce problème-là. Il n'y a aucun système qui est parfait. Le système de vote électronique ne remplacera pas les systèmes existants, mais il viendra en plus", lui a répondu le conseiller national Laurent Wehrli (PLR/VD).

    Publié à 18:52
    Le Parlement jurassien refuse finalement le vote électronique

    Mercredi, le Parlement jurassien a refusé en deuxième lecture l'introduction du vote électronique. De nombreux élus avaient déjà émis des doutes sur la fiabilité de ce mode de scrutin lors du premier vote, accepté par deux voix d’écart.

    Dix cantons proposent actuellement le vote électronique en phase d’essai. Cinq d’entre eux (Fribourg, Bâle-Ville, Saint-Gall, Neuchâtel et Genève) admettent aussi bien les électeurs suisses de l’étranger que des électeurs domiciliés sur leur territoire. Dans les autres cantons (Berne, Lucerne, Argovie, Thurgovie et Vaud) seuls les électeurs vivant à l’étranger ont la possibilité de voter par voie électronique.

    https://www.rts.ch/info/suisse/10082721-le-conseil-federal-veut-ancrer-le-vote-electronique-dans-la-loi.html

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    1. Des ANTI-Démocratie veulent imposer les votes piratés, données falsifiées et la dictature en Suisse !
      La porte ouverte à l'escroquerie est la FIN de la Suisse !

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