- ENTREE de SECOURS -



vendredi 5 octobre 2018

Evolution récente de la végétation planétaire : « reverdissement » généralisé

le 5 octobre 2018


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Une étude réalisée par Météo-France (Toulouse, France) a utilisé les récentes observations satellitaires permettant d’étudier très finement l’index de surface végétale (Leaf Area Index, LAI) à près de 10 m² de résolution (équivalent d’un pixel d’une photo prise par satellite) sur l’ensemble de la planète. Cette étude a été réalisée au cours des 17 dernières années et elle indique ce que les grands médias baignés dans l’idéologie des désastres provoqués par le réchauffement climatique oublient de mentionner : la Terre « reverdit » partout dans le monde. Les données disponible auprès de l’organisme européen Copernicus Global Land Service ont été obtenues par les satellites SPOT de 1999 à 2014 et PROBA-V depuis 2014 sur des périodes de 10 jours au cours de chaque année d’observation. L’évolution des couleurs avec les saisons sur un large spectre visible et proche infra-rouge permet de différencier les différents types de végétations à l’aide d’algorithmes que je suis bien incapable de décrire.

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Il apparait que les forêts de conifères sont en excellente santé et s’étendent partout dans les zones climatiques qui leur sont favorables. Le tapis herbeux a aussi eu tendance à progresser dans de nombreuses régions du monde en dépit des feux saisonniers pratiqués dans de nombreux pays pour apporter des sels minéraux aux sols. Le résultat le plus inattendu et contraire à la propagande écologiste est que les forêts tropicales d’Indonésie se portent très bien et mieux qu’il y a 17 ans. Il est un fait indéniable que la déforestation d’une partie de la forêt amazonienne s’est étendue pour atteindre une surface équivalente à celle de l’Espagne mais en contre partie le reste de ce territoire montre une tendance générale de « verdissement ». L’illustration représente l’ensemble des récoltes d’été et d’hiver ainsi que les zones de pâturage et les différents types de forêts. Il est notamment intéressant de constater que dans l’ensemble du territoire de la Chine ce même reverdissement est très net. Le LAI est exprimé en centièmes de m² de « verdissement par m². Les zones blanches ou très pâles correspondent à des évolutions non significatives ou à des sols nus comme c’est le cas au Sahara et dans les déserts d’Arabie, d’Asie centrale et du centre de l’Australie. Les croix rouges représentent la localisation des sites de validation sur le terrain des données satellitaires. Globalement et gràce l’augmentation du taux de gaz carbonique atmosphérique l’état de la végétation planétaire n’est pas du tout aussi dégradé qu’il n’y paraît dans l’esprit des sauveteurs de la Terre et de son climat. Le reverdissement est en effet propice au développement et à la sauvegarde des écosystèmes et de leur biodiversité, un autre aspect des bienfaits du gaz carbonique qui est tout simplement ignoré des écologistes.

Source : Remote Sensing, doi : 10.3390:rs10030424

28 commentaires:

  1. L'économie partout, la politique nulle part: les six pistes de la Suisse vers l'espoir de la civilisation occidentale


    par Tyler Durden
    Vendredi 10/05/2018 - 05:00
    Écrit par Hunter Hastings via CenterForIndividualism.org,


    Y a-t-il un espoir dans le monde occidental que des citoyens individuels puissent gagner une partie de la croissance sans relâche et emprisonnée du gouvernement ? Aux États-Unis, les dépenses gouvernementales, un substitut raisonnable de leur pouvoir sur nous, augmentent chaque année, à quelques exceptions près. La situation des citoyens devient de plus en plus grave. Nous avons peu de pouvoir précieux et peu d’influence sur nos impôts, nos soins de santé, nos sources d’énergie et d’eau, ainsi que nos coûts, sans parler des règles sociales avec lesquelles le gouvernement nous contraint. Le nombre de règles et de réglementations, utilisant le proxy des pages du Federal Register, augmente également chaque année et très peu de règles sont supprimées. Le gouvernement nous bloque de plus en plus chaque jour.

    Il y a un pays occidental que nous pourrions examiner pour entrevoir un espoir. Ce pays est la Suisse. Dans un petit pays sans littoral disposant de très peu de ressources naturelles, à l'exception de l'eau, le peuple a créé un haut niveau de prospérité basé sur l'innovation et le capitalisme créatif.

    100% économie, zéro% politique.

    Avant sa constitution de 1848, la Suisse était une confédération d'Etats, chacun souverain et indépendant, liés par un traité de défense mutuelle contre les agressions extérieures. En tant que pays, il était le plus développé économiquement d'Europe. C'était très diversifié sur le plan religieux et ethnique, très novateur et très productif. Les huguenots expulsés de France lors de guerres de religion ont lancé l'industrie horlogère suisse, et des protestants allemands fuyant l'oppression catholique ont fondé d'importantes entreprises industrielles. L'accent était mis sur la connaissance et l'éducation pour compenser le manque de ressources naturelles, et les Suisses étaient des commerçants dynamiques et en réseau.

    «L'économie était partout et la politique nulle part» était une expression utilisée pour décrire cette nation commerçante productive, énergique, innovante et décentralisée du milieu du XIXe siècle. Quelle description merveilleuse de la liberté économique non grevée d'extraction politique est évoquée par cette description.

    La Suisse a su conserver certaines de ces caractéristiques malgré les prédations du XXe siècle. Elle est restée sur un étalon or jusqu'en 1999 et a résisté à l'internationalisation jusqu'à son adhésion à l'ONU en 2002. En fait, l'internationalisation est ce qui a érodé le caractère unique de la Suisse en tant que nation. L’afflux de MBA à vocation internationale et de la mafia McKinsey entraîne la Suisse vers le plus petit dénominateur commun de l’état et de l’interventionnisme. L'UE veut faire signer à la Suisse un accord bilatéral qui conduira inévitablement à ce que Bruxelles impose progressivement son socialisme multiculturel, tout comme elle l'a fait au Royaume-Uni.

    Néanmoins, la Suisse dispose d'au moins six avantages structurels qui lui permettront de rester en avance sur ses concurrents médiocres.

    1) la décentralisation.

    La Suisse reste une confédération de 26 cantons. Il est plus centralisé qu'avant 1848, mais les fonctions du gouvernement central sont limitées. Il existe une constitution nationale, une force militaire et de sécurité nationale, une monnaie unique et une banque centrale, ainsi qu’une politique étrangère nationale. Mais le peuple a été capable de maintenir les pouvoirs du gouvernement central plus étroitement que ceux des États-Unis. James Madison a promis, mais sa constitution était incapable de livrer. Les Suisses ont fait mieux.

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  2. 2) la subsidiarité

    La subsidiarité est le principe de résolution de tous les problèmes et questions au plus bas niveau. La plupart des taxes sont imposées aux niveaux municipal et cantonal. La part du gouvernement fédéral est limitée à environ 20 % du total des paiements d’impôts. Cela affame la bête du gouvernement central. Les citoyens sont plus engagés auprès de leurs administrations locales et de leurs décisions en matière de taxes et de dépenses. Et ils peuvent voter avec leurs pieds, en se déplaçant dans une autre ville ou un autre canton s'ils estiment que cela améliorera leur situation.

    3) Démocratie directe

    En Suisse, le peuple est souverain. L'un des moyens de préserver leur souveraineté consiste à organiser des référendums réguliers, au cours desquels les citoyens votent sur des questions de politique nationale, de lois et de changements constitutionnels proposés. Le taux de participation à ces référendums est généralement élevé et les citoyens prennent très au sérieux le contrôle démocratique direct de leur gouvernement.

    4) libre échange

    Il y a peu de débat sur le libre-échange en Suisse. C’est un impératif. C’est un pays fortement dépendant des importations de produits de base - énergie, aliments, produits de base. Il a donc développé une stratégie pour le secteur exportateur: des produits et services uniques à forte valeur ajoutée répondant à la demande mondiale. Les montres sont l'exemple célèbre. Aujourd’hui, c’est la biotechnologie et d’autres technologies. Depuis toujours, le libre-échange est la condition indispensable à la prospérité de la Suisse.

    5) la neutralité

    En politique étrangère et en diplomatie, la Suisse est réputée neutre et non agressive. Cela va avec le libre-échange mondial - créer des ennemis serait contre-productif. La Suisse a un service militaire obligatoire et obligatoire, mais uniquement pour se défendre contre les envahisseurs extérieurs. La guerre est le principal obstacle au progrès économique et la reconstruction politique après la guerre est souvent un désastre plus grave que la destruction physique de la guerre elle-même. La Suisse a évité tout cela.

    6) Innovation entrepreneuriale

    La Suisse occupe une place relativement importante dans la liste des pays favorisant la facilité de faire des affaires, bien que son classement se soit détérioré au XXIe siècle. Il est facile de créer une entreprise, la fiscalité est relativement basse et les lois transparentes. De nombreuses sociétés internationales choisissent la Suisse pour leur siège. L’innovation est intégrée dans l’éducation et dans un réseau de centres de recherche représentant des investissements dans les ressources humaines et le savoir. C’est dans la psyché individuelle et dans les institutions de la nation.

    Pas parfait, mais meilleur.

    La Suisse n’est nullement parfaite en tant qu’État-nation. Le concept même d'États-nations est préjudiciable à la vie individuelle des personnes qui y vivent et les forment, et qui appelle de nombreuses innovations perturbatrices. C’est peut-être les Suisses, avec leur tradition de décentralisation, de subsidiarité, d’initiative individuelle et de libre-échange d’idées qui seront ceux qui mettront en œuvre l’innovation. Autrement dit, s’ils ne sont pas submergés par les internationalistes de l’UE, de l’ONU, du FMI et de McKinsey avant de pouvoir éclater. C’est l’économie contre la politique. Nous espérons des économies partout et des politiques nulle part, mais il s’est avéré impossible à maintenir. Le fait que l'économie prévalait jadis en Suisse laisse espérer que nous pourrons rétablir sa primauté.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-10-04/economics-everywhere-politics-nowhere-switzerlands-six-pointers-towards-hope

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    1. (...) L'UE veut faire signer à la Suisse un accord bilatéral qui conduira inévitablement à ce que Bruxelles impose progressivement son socialisme multiculturel, tout comme elle l'a fait au Royaume-Uni. (...)

      C'est pas nouveau ! Il y a même des merdias étrangers installés en Suisse (seule Démocratie au monde !) qui font TOUT pour faire choir la Démocratie ! Avec des campagnes vertes pour installer des escroqueries à l'éolienne et panneaux solaires entr'autres !

      A savoir que plus de 50 % des Suisses ignorent le nom... du chef de l'État !!
      (Le chef de l'État change toutes les années du 1 Janvier au 31 Décembre. Cette année c'est Alain Berset (2018), 2017: Doris Leuthard.

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  3. Critiquer le terrorisme est-il une "maladie mentale" ?


    par Tyler Durden
    Vendredi 10/05/2018 - 02:00
    Écrit par Guy Milliere via le Gatestone Institute,


    Un rapport de 615 pages a récemment été publié, rédigé par un conseiller du président Emmanuel Macron, Hakim El Karoui, chargé de concevoir les nouvelles institutions d'un "islam de France". Le rapport définit l'islamisme comme "une idéologie totalement distincte de l'islam" et n'aborde jamais les liens entre l'islamisme et le terrorisme. Le rapport insiste également sur le besoin urgent de répandre le "véritable islam" en France et d'adopter l'enseignement de l'arabe dans les lycées publics.

    La demande du tribunal, qui demande à Marine Le Pen de se soumettre à une évaluation psychiatrique afin de déterminer si elle est saine d'esprit, indique que les autorités françaises pourraient rétablir le vieil usage soviétique de la "psychiatrie" pour réduire au silence les dissidents ou les opposants politiques.

    L’offensive légale contre Marine Le Pen s’est en fait ajoutée à l’offensive financière. Même si Le Pen n'est pas envoyé en prison, la loi semble avoir été utilisée pour ouvrir la possibilité de la déclarer inéligible aux élections au Parlement européen prévues pour mai 2019.

    Le 16 décembre 2015, un journaliste français d'une station de radio traditionnelle a comparé le parti de droite du Front national contre l'État islamique (ISIS) en France, affirmant qu'il existe une "communauté d'esprit" entre eux et que tous deux poussent ceux qui les soutiennent de "se replier dans leur propre identité". Marine Le Pen, présidente du parti du Front national, a parlé d'un "glissement verbal inacceptable", demandant à la station de radio le droit de répondre. Elle a ensuite publié sur Twitter des images montrant les corps des victimes de l'État islamique et ajoutant: "ISIS is this!"

    Les médias français l'ont immédiatement accusée d'avoir diffusé des images "indécentes" et "obscènes", et peu après, le gouvernement français a ordonné au ministère de la Justice de l'inculper. Le 8 novembre 2017, l'Assemblée nationale française a également levé son immunité parlementaire.

    Quelques mois plus tard, un juge mandaté par le gouvernement français a accusé Marine Le Pen de "diffusion d'images violentes", citant l'article 227-24 du code pénal français, qui définit le crime de:

    "... diffuser ... un message de nature violente, incitant au terrorisme, à caractère pornographique ou susceptible de porter gravement atteinte à la dignité humaine ou d'inciter les mineurs à participer à des jeux qui les mettent physiquement en danger ou à commercialiser un tel message."

    Dans le cadre de la procédure, Marine Le Pen a reçu une lettre du tribunal lui ordonnant de se soumettre à une évaluation psychiatrique afin de déterminer si elle était saine d'esprit. Elle a refusé, affirmant que montrer les horreurs commises par l'État islamique ne constituait pas une incitation à l'assassinat et que les images de victimes du terrorisme ne pouvaient être assimilées à de la pornographie.

    La demande du tribunal indique que les autorités françaises pourraient rétablir le vieil usage soviétique de la "psychiatrie" pour faire taire les dissidents ou les opposants politiques.

    Pour le moment, Le Pen peut être arrêté n'importe où, à tout moment et peut être condamné à cinq ans de prison.

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  4. En tant que candidate à la présidence en mai 2017, elle a obtenu 34 % des voix au deuxième tour. L'envoyer en prison pourrait provoquer la colère de ses partisans, donc son arrestation n'est pas attendue.

    Ce qui semble plus probable est un effort pour l'intimider et, si possible, pour la détruire politiquement. Il y a quelques semaines, le gouvernement français a demandé aux magistrats chargés d'enquêter sur les "crimes financiers" de saisir deux millions d'euros (2,3 millions de dollars) de fonds publics alloués au parti de Marine Le Pen, qui a depuis cessé toute activité publique. L’offensive légale contre Marine Le Pen s’est en fait ajoutée à l’offensive financière. Même si Le Pen n'est pas envoyé en prison, la loi semble avoir été utilisée pour ouvrir la possibilité de la déclarer inéligible aux élections au Parlement européen prévues pour mai 2019.

    Le président français Emmanuel Macron sait qu'aujourd'hui le parti de Le Pen est sa principale opposition en France et qu'il est son principal adversaire politique. Il se décrit comme le champion de la vision "progressiste" de l'Europe et le principal ennemi de ceux qui veulent résister à l'islamisation, à l'immigration incontrôlée et qui veulent défendre la souveraineté nationale - points de vue qu'il a décrits comme "la lèpre" et les "vents pervers" . Il a verbalement critiqué le vice-Premier ministre et ministre de l'Intérieur italien, Matteo Salvini, ainsi que le Premier ministre hongrois, Viktor Orbán, qui créent une alliance européenne de mouvements nationalistes comprenant le parti de Le Pen. Au contraire, Macron soutient les sanctions européennes contre la Hongrie et la Pologne s’ils refusent d’accepter plus de migrants.

    Macron voit qu'une victoire de l'alliance Salvini-Orban ne serait pas seulement une humiliation pour lui, mais qu'une victoire du parti de Le Pen en France pourrait signifier l'effondrement final de sa présidence en ruine (sa cote d'approbation, qui a chuté de 6 points en le dernier mois, se situe maintenant à 23 %). Il ne peut pas écraser l'alliance Salvini-Orban, mais il peut influer sur le processus politique en France.

    La position de Macron contre Le Pen pourrait également être une tentative de son gouvernement de conjurer davantage de violence islamique en France. À l'heure actuelle, les livres et les publications faisant référence à la dimension violente inhérente à l'islam sont boycottés et absents des librairies (le Coran est toutefois encore largement disponible). Les organisations qui luttent contre l'islamisation de la France et de l'Europe sont juridiquement harcelées. Pierre Cassen et Christine Tasin, dirigeantes du principal site Web français anti-islamisation, Riposte Laïque ("Réponse laïque"), doivent passer un temps démesuré devant les tribunaux et se voient infliger régulièrement des amendes. Pour éviter la fermeture de leur site Web, ils ont dû déplacer leur site Web hors de France et de l'Union européenne.

    Un rapport de 615 pages a récemment été publié, rédigé par un conseiller de Macron, Hakim El Karoui, chargé de concevoir les nouvelles institutions d’un "islam de France". Le rapport définit l'islamisme comme "une idéologie totalement distincte de l'islam" et n'aborde jamais les liens entre l'islamisme et le terrorisme. Le rapport insiste également sur le besoin urgent de répandre le "véritable islam" en France et d'adopter l'enseignement de l'arabe dans les lycées publics.

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  5. Dans les médias français, toute mention des liens entre l'Islam et la violence a maintenant été presque complètement éliminée. Lorsqu'un musulman commet une attaque au couteau et crie "Allahou Akbar" ("Allah est le plus grand"), le message officiel publié avant même qu'une enquête ne déclare invariablement que ce qui s'est passé n'a "rien à voir avec l'Islam" et "pas de caractère terroriste". Tous les médias citent alors le message à l'aveuglette. Lors de la dernière attaque de ce type, le 9 septembre à Paris, sept personnes ont été blessées, dont quatre grièvement.

    Éric Zemmour a récemment évoqué à la télévision la forte proportion de jeunes musulmans parmi les détenus français et l’intensification de l’antisémitisme musulman dans les banlieues françaises. Le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA), l'autorité française de régulation de la télévision et de la radio, a déclaré à la chaîne que Zemmour avait prononcé des "propos stigmatisants à l'égard des musulmans" et que la chaîne subirait d'énormes conséquences s'il les répétait jamais. Un animateur de talk-show français a commencé à faire circuler une pétition exigeant que Zemmour soit totalement exclue des médias français. La pétition a attiré plus de 300 000 signatures en une semaine.

    Zemmour se demandait si le goulag soviétique devrait être rouvert spécialement à sa place ou s'il devait choisir de s'exiler lui-même. Il a reçu tellement de menaces de mort crédibles qu'il est maintenant sous la protection de la police 24 heures sur 24.

    Le politologue Jean-Yves Camus a déclaré que, bien qu'il ne partage pas le point de vue de Marine Le Pen, "Partout et toujours, dire d'un adversaire politique qu'il est" fou "ouvre les portes du totalitarisme".

    Régis de Castelnau, avocat, a écrit dans le mensuel Causeur:

    "Il existe un pays en Europe où le principal parti d'opposition, après la saisie de ses ressources financières, voit son président prié de se soumettre à une évaluation psychiatrique judiciaire. S'agit-il de la Russie de Poutine ou de la Hongrie d'Orban ? Non, c'est la France".

    Castelnau a ajouté que la loi utilisée pour inculper Marine Le Pen est généralement utilisée pour inculper des "pervers" et des "psychopathes", et que "l'expertise en psychiatrie" n'était demandée que parce que leurs condamnations pénales étaient souvent assorties d'une obligation de traitement psychiatrique.

    "Tous ceux qui se moquent des ennuis de leurs opposants politiques", a-t-il déclaré, "serait sage de se rappeler que s'ils acceptaient des atteintes aux libertés politiques, ce serait bientôt leur tour."

    https://www.zerohedge.com/news/2018-10-04/criticizing-terrorism-mental-illness

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  6. Une des filles de Marine Le Pen frappée dans une rixe à Nanterre


    14:59 05.10.2018


    Une des filles de la présidente du Rassemblement national et un de ses neveux ont reçu plusieurs coups lors d’une bagarre à Nanterre dans la nuit du 4 au 5 octobre. L’origine de la rixe n’est pour l’heure pas établie, selon des sources policières rapportées par l’AFP.

    Ce 5 octobre, vers 2h40 du matin, l'une des filles de Marine Le Pen et l'un de ses neveux se trouvaient à la sortie d'un bowling situé à proximité de la préfecture et du tribunal de Nanterre. Les deux cousins ont été frappés au visage d'après des sources policières citées par l'AFP. La jeune femme a passé le reste de la nuit à l'hôpital après y avoir été transportée par les pompiers «avec une suspicion de fracture du nez», toujours selon la même source.

    Deux hommes, âgés de 32 et 47 ans, ont été interpellés dans la foulée et placés en garde à vue au commissariat de Nanterre qui est chargé de l'enquête. Toujours d'après les policiers cités par l'AFP, le neveu de Marine Le Pen a porté plainte dans la nuit. Quant à sa fille, elle devrait le faire dans la journée.

    https://fr.sputniknews.com/france/201810051038381950-filles-marine-le-pen-nanterre/

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  7. Quand la France vend les bijoux de famille pour nourrir une hypothétique cagnotte


    19:08 05.10.2018
    Maxime Perrotin


    Les députés ont approuvé la privatisation d’ADP et de la FDJ, mesure emblématique du projet de loi Pacte. Derrière tout éventuel «cadeau» à des entreprises, dénoncé par certains élus d’opposition, ces privatisations reflètent le manque de vision stratégique de l’État. Pire, leur recette ne pourraient-elles pas tomber dans des caisses… américaines ?

    Le projet de loi Pacte refait parler de lui à l'Assemblée nationale où il était examiné cette semaine. Et pour cause, ce texte «fourre-tout» prévoit notamment de lever les contraintes légales qui obligent l'État à détenir la majorité des parts des Aéroports de Paris (ADP), de la Française des jeux (FDJ) et le tiers du capital d'Engie (ex-GDF Suez). Ainsi, son adoption par le Parlement autoriserait le gouvernement à privatiser ces trois compagnies historiques.

    Mais au-delà des trois cas directement concernés par cette loi, l'exécutif a entamé ses cessions d'actifs dans d'autres grandes entreprises françaises. Ainsi, le 1er octobre, l'État cédait-il 10,4 millions d'actions de Safran, soit 2,35% du capital de l'équipementier aéronautique. Une opération devant rapporter 1,24 milliard d'euros, une somme qui servira à financer le fameux fonds pour l'innovation et l'industrie. Un fonds doté 10 milliards d'euros, devant servir à financer les «innovations de rupture».

    Troquer des actifs industriels pour un fonds spéculatif semble s'inscrire dans la logique d'Emmanuel Macron, qui depuis le début de son quinquennat met un point d'honneur à favoriser les actifs mobiles face à leurs pendants immobiles. Cependant, l'opération déplaît fortement à l'opposition de gauche comme de droite, qui crie à la vente des bijoux de famille.

    «On va vendre des actions d'entreprises qui sont rentables et qui rapportent davantage que ce que coûte un emprunt. Donc, en fait, on va se priver d'une rentabilité autour de 10% pour éviter d'avoir à payer des taux d'intérêt inférieur à 1%. C'est absurde, c'est-à-dire que —concrètement- c'est forcément une mauvaise opération financière»,

    explique l'économiste David Cayla, maître de conférences à l'université d'Angers et membre des Économistes atterrés, au micro de Sputnik. S'il ne remet nullement en question la nécessité de l'État d'accompagner les entreprises à travers l'innovation, notre intervenant s'indigne quant au fait que l'État ait pu privilégier la cession d'actifs à l'endettement, soulignant que les taux d'emprunt sont bien plus bas que le rendement des entreprises qui seront cédées.

    Dans l'hémicycle, c'est le député Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout La France, qui a ouvert le bal des hostilités à l'encontre de la loi, interpellant le 25 septembre le ministre de l'Économie, fustigeant une «absurdité financière totale». L'élu de l'Essonne souligne notamment que les trois entreprises concernées par cette future privatisation (ADP, FDJ, Engie) ont rapporté en 2017 près de 850 millions d'euros de dividendes à l'État (1,4 milliard et 1,5 milliard respectivement en 2016 et 2012), soit bien plus que les 300 millions d'euros annuels de rendement espéré du fonds financé par leur vente. Des éléments qu'il exposait le 1er octobre dans une tribune publiée par Marianne.

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  8. «Là, vous vous surpassez, vous allez faire la plus mauvaise affaire de votre vie après l'affaire des privatisations des autoroutes!» lançait le député, depuis la tribune de l'Assemblée nationale.

    La cession des autoroutes, «l'une des plus graves escroqueries financières que les Français ont subies» estime le député. Pour rappel, après avoir été amorti grâce aux péages, 80% du réseau autoroutier est finalement cédé par les gouvernements Jospin et de Villepin, entre 2002 et 2006, à des compagnies privées. 10 ans plus tard, jouissant d'une situation monopolistique, les tarifs ont bondi de 20% le tout pour une «rentabilité exceptionnelle» de 20 à 24% épinglée par l'Autorité de la Concurrence.

    Pour l'anecdote, lors de leur cession le ministre de l'Économie d'alors, Thierry Breton, avait assuré que l'État garderait la main sur les tarifs de péages. En 2015, moins de 10 ans plus tard et face à leur emballement, Ségolène Royale, alors ministre de l'Écologie, avait décidé de les geler.
    Un geste contraire aux termes du contrat liant l'État aux sociétés gestionnaires, par conséquent le manque à gagner de 500 millions d'euros pour ces dernières sera répercuté sur des hausses entre 2019 et 2023. Aujourd'hui, pour éviter «de commettre deux fois la même erreur», l'actuel ministre de l'Économie, Bruno Le Maire, a promis que l'État garderait la main sur les tarifs.

    «Nous prévoirons dans le cahier des charges de cette opération ADP un système de régulation sur les tarifs pour que l'Etat garde la possibilité de réviser les tarifs», a déclaré Bruno le Maire à la presse le 4 octobre.

    Bruno Le Maire qui a également pu compter sur la communication PowerPoint, façon start-up, des jeunes Marcheurs de l'Assemblée pour vanter les mérites escomptés de cette cession.

    Ce qui est encore plus inquiétant que de toute notion de rendement ou d'emprunt, c'est le caractère stratégique de certains actifs en passe d'être vendus, ce qui est justement le cas des aéroports parisiens, véritables portes d'entrée du pays par lesquels transitent plus de 100 millions de passagers chaque année. Un partage entre l'État et des sociétés privées qui entraîne déjà un surcoût dans l'exploitation des infrastructures, tout particulièrement dans le cas d'ADP, à en croire David Cayla.

    «Ces privatisations de services publics donnent lieu en général à des contrats extrêmement épais, des partenariats public-privé qui sont extrêmement coûteux dans leur gestion même.

    Quelle va être la responsabilité de l'État, car c'est lui qui contrôle les douanes? Quelle va être la responsabilité de l'aéroport, car c'est lui qui contrôle les commerces, etc. Qui va recruter les gens qui vont travailler dans l'aéroport? Est-ce que cela va être soumis au contrôle de l'État?»

    Notons également que cette privatisation d'ADP —un choix dont la pertinence économique, comme le rappellent Les Échos, «n'allait pas de soi dans les rangs de l'exécutif»- ne sera pas sans coût pour les finances publiques.

    En effet, en changeant la loi qui fixe le niveau minimum de participation de l'État et en ramenant à 70 ans la concession de l'exploitation de Roissy et Orly, le gouvernement s'expose au mécontentement des actionnaires minoritaires, doublé d'un risque juridique, ces derniers menaçant de contentieux.

    Par conséquent, l'État français devra leur verser un milliard d'euros d'indemnités afin de compenser leur potentiel manque à gagner sur l'exploitation des aéroports parisiens… au-delà de 2088. La somme à débourser risque d'être tout aussi importante que tous les voyants concernant l'évolution —l'explosion- du transport aérien sont au vert.

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  9. Une cession d'actifs stratégiques qui là encore en rappelle d'autres, Alcatel et Alstom. Si les deux entités privées de l'ancien conglomérat ont été dispersées entre leurs concurrents sur leurs secteurs d'activité respectifs, la vente de ces entreprises autrefois dans le giron de l'État français relevait toujours de sa responsabilité, comme le souligne David Cayla.

    «Depuis la loi Montebourg, l'État a un droit de regard sur certaines cessions d'entreprises stratégiques et il peut du coup bloquer des cessions. Clairement, il ne l'a pas fait. Pourquoi? Parce que je pense sincèrement qu'il s'en fiche. Concrètement, il n'a pas de vision stratégique, il n'a pas de politique industrielle.»

    Une absence de stratégie industrielle qui dans un pays comme la France, où le rôle de l'État dans le développement des grands groupes qui soutiennent singulièrement son économie constitue un réel problème. «L'État français a toujours fait ça, depuis Colbert qui avait créé Saint-Gobain à l'occasion de la construction de la galerie des Glaces à Versailles,» souligne l'économiste.

    «Le problème, c'est que cela veut dire que c'est une politique industrielle, j'ai envie de dire, à la godille, c'est-à-dire qui concrètement n'a pas de cap,» ajoute notre intervenant.

    Pour lui, chercher des connivences entre le gouvernement et certains capitaines d'industrie serait aller trop loin. Selon l'économiste, c'est bien ce manque de vision à long terme en matière d'industrie qui est le centre du problème, un manque de stratégie «en amont» qui rend aujourd'hui les décideurs politiques influençables dès lors qu'un problème survient et non pas une volonté de faire d'éventuels «cadeaux» à qui que ce soit.

    «Depuis quelques années, pas uniquement depuis Macron, on a l'impression qu'il n'y a plus du tout de vision à long terme. On est victime des pressions des uns et des autres, on sait que dans l'affaire Alstom, il y a aussi les pressions de la justice américaine et on fonctionne finalement un peu par des réseaux d'amitié.»

    Pour David Cayla, les racines de cette «régression absolue» du leadership français en matière industrielle puisent dans les traités européens tels que l'Acte unique de 1986. Ce dernier fixe pour objectif l'achèvement du marché intérieur impliquant, à travers la liberté de circulation des marchandises et des services (l'une des quatre libertés), l'ouverture des marchés publics.

    «La politique industrielle est une politique qui vise à favoriser certains secteurs ou certaines entreprises et comme c'est interdit par les règles européennes, on se retrouve face à des États qui sont dépossédés- au nom de la concurrence libre et non faussée —de toutes leurs interventions publiques dans l'industrie et donc finalement, ils arrêtent.»

    Une situation européenne qui contraste avec les politiques menées tant aux États-Unis, qu'en Chine ou au Japon «dans lesquelles l'État intervient et va aider ses propres entreprises,» souligne l'économiste.

    «Je me souviens par exemple de Nicolas Sarkozy qui avait voulu sauver Alstom, éviter la faillite en procédant à une nationalisation. Il a quand même fallu plusieurs semaines de négociations avec Bruxelles pour que la Commissaire européenne à la concurrence autorise l'État français a racheter Alstom, parce que cela pouvait éventuellement entraîner un dysfonctionnement de la concurrence libre et non faussée. Donc, quand on en est réduit à ça, bien sûr que l'État se dit qu'il ne va rien faire, sinon il va se faire taper sur les doigts par Bruxelles.»

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  10. Sous la présidence Hollande, Manuel Valls avait bloqué les ambitions d'Emmanuel Macron concernant ADP, ce qui n'empêcha pas son ministre de l'économie de vendre les aéroports de Toulouse, Nice et Lyon (le quatrième du pays) à des consortiums privés et dans deux cas, étrangers. Des premières mondiales. Aujourd'hui, le tir est visiblement corrigé.

    Reste à savoir si la somme d'argent récoltée lors de ces précédentes cessions, devant notamment «contribuer au financement d'autres opérations stratégiques, notamment dans la filière nucléaire, ainsi qu'au désendettement de l'Etat», selon Bercy, ne partira pas simplement en fumée afin d'éponger la possible amende record qui attend Areva aux États-Unis.

    Avec une épée de Damoclès pouvant peser jusqu'à 24 milliards d'euros, si celle-ci venait à s'abattre sur le groupe public français, l'équivalent de plus du double des recettes des ventes des aéroports et des entreprises aujourd'hui concernées par le projet de loi Pacte finirait dans les caisses américaines.

    Un coup de pouce certainement apprécié lorsqu'on sait que l'amende de la BNP avait notamment permis à la ville de New York d'offrir des tablettes et smartphones à tous ses policiers, le tout sans avoir à augmenter les impôts. Notons que dans cette tempête judiciaire qui se prépare outre-Atlantique, Édouard Philippe, alors directeur des affaires publiques du groupe tricolore, pourrait être également emporté.

    https://fr.sputniknews.com/international/201810051038388254-loi-pacte-privatiser-entreprises-franaises/

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  11. Œil pour œil: la Chine prépare la plus grande vente d'obligations américaines


    16:42 05.10.2018


    La Chine, qui a déjà réduit ses investissements dans la dette publique américaine jusqu'à son minimum depuis six mois, est prête à prendre des mesures supplémentaires.

    Selon le Wall Street Journal, Pékin compte se débarrasser en octobre de 3 milliards de dollars d'obligations américaines supplémentaires, ce qui constituera l'une des plus grandes ventes depuis 2004. En cause: la dégradation des relations avec Washington à cause de la guerre commerciale. Qu'arriverait-il si les Chinois utilisaient l'arme de la dette à pleine puissance ?

    Vous étiez prévenus

    La Chine est le plus grand créancier étranger de l'économie américaine. La Banque centrale chinoise possède actuellement plus de 1.000 milliards de dollars de bons du Trésor, soit presque 20% de toute la dette publique de Washington possédée par des étrangers.

    Fin 2016-début 2017, les Chinois avaient réduit leurs placements dans ces titres pour compenser le renforcement du yuan, avant de rétablir leur portefeuille d'obligations.

    L'économie chinoise est affectée par les agissements des USA: le préjudice de la guerre commerciale déclenchée par Washington se chiffre déjà en milliards de dollars. Depuis le début de l'année, l'indice de la bourse chinoise Shanghai Composite a chuté de 15%.

    Pékin a averti plusieurs fois que si cette situation perdurait, la Chine devrait se débarrasser de la dette publique américaine pour des raisons économiques. Elle est aujourd'hui passée des paroles aux actes.

    En six mois la Chine, a déjà réduit ses investissements dans les obligations américaines de 7,7 milliards de dollars. Une vente plus massive pourrait déstabiliser le cours du dollar et de ralentir l'économie des USA.

    Mais Washington ne comprend visiblement pas les insinuations de Pékin. Fin septembre, le président américain Donald Trump a décrété de nouvelles taxes de 10% sur 200 milliards de dollars de produits chinois et promis d'augmenter ces taxes jusqu'à 25% en 2019.

    La riposte

    De son côté, la Chine est déterminée. «Lors de la prochaine vente de dette publique américaine qui devrait commencer la semaine prochaine, les investissements dans les obligations américaines sur 5, 10 et 30 ans seront réduits de 3 milliards de dollars», note le Wall Street Journal.

    Les experts financiers craignent que cela coûte cher à l'économie américaine. Si Pékin vendait une grande partie de ses obligations américaines, leur valeur chuterait et leur rendement monterait en flèche. Cela augmenterait automatiquement le prix des emprunts pour les USA — aussi bien pour les compagnies que pour les consommateurs — et porterait un coup dur à la croissance économique. L'émission d'obligations deviendrait plus difficile pour la Maison blanche.

    «L'économie serait bouleversée par les taux d'intérêts élevés, ce qui aurait un puissant effet de ralentissement», explique Jeff Mills, stratège d'investissement chez PNC Financial Services Group.

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  12. Le Japon en approche

    Les craintes des observateurs sont également liées aux positions du deuxième plus grand créancier des États-Unis: le Japon. En juin, le portefeuille de bons du Trésor japonais a baissé jusqu'à 1.030 milliards de dollars, son niveau le plus bas depuis sept ans.

    La Chine et le Japon ne sont pas les seuls à vendre leurs obligations américaines. La Russie et la Turquie, visées par la pression économique de Washington, ont déjà quitté le top-30 des détenteurs d'obligations américaines.

    D'ailleurs, Moscou s'est débarrassé de pratiquement tout son portefeuille: en avril-mai, la Banque centrale russe a réduit ses investissements dans la dette américaine à la somme dérisoire de 15 milliards de dollars (alors qu'elle dépassait 100 milliards de dollars début 2018).

    Des détenteurs plus modestes comme le Mexique, l'Inde et Taïwan vendent également leurs obligations américaines.

    «Les créanciers étrangers sont cruciaux pour l'économie américaine. Nous ne pouvons pas exister avec une telle croissance économique et les pronostics affligeants sur le déficit budgétaire sans capital étranger», indiquent les responsables de la société de gestion américaine Loomis, Sayles & Company.

    Pendant ce temps, la tendance générale à la vente des obligations se renforce. Selon les estimations de l'agence de presse Reuters, le rythme auquel les investisseurs se débarrassent actuellement des obligations américaines est le plus intensif depuis octobre 2016.

    Et pour cause: la politique agressive de Washington réduit le nombre de volontaires désireux d'investir dans l'économie américaine, et incite de plus en plus de pays à exclure le dollar de leurs paiements.

    La «tyrannie» du dollar

    L'agence Bloomberg écrit que le rôle dominant du dollar touche à sa fin, que le statut actuel de la monnaie américaine est une «tyrannie» et qu'il est «temps de changer de régime».

    Bloomberg indique qu'à l'heure actuelle, la situation du système financier est paradoxale. D'un côté, le dollar est une monnaie mondiale qui représente plus de la moitié des paiements, et de l'autre, le Président américain affirme l'exclusivité de son pays. C'est pourquoi les autres acteurs internationaux revoient rapidement leur attitude par rapport au dollar.

    La Russie réduit notamment ses actifs en dollars à cause des risques croissants liés aux virements internationaux, tandis que la Chine lance un défi au dollar sur les marchés énergétiques mondiaux en signant des contrats en yuans.

    https://fr.sputniknews.com/international/201810051038385636-chine-vente-obligations-americaines/

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  13. FAILLE DE FACEBOOK - LES DONNÉES DE 5 MILLIONS D'EUROPÉENS PIRATÉES

    Des pirates ont profité d'une faille du réseau social pour accéder aux informations sur les profils de 50 millions de comptes dans le monde.


    02.10.2018


    La récente faille de sécurité révélée par le réseau social Facebook aurait touché quelque 5 millions d'Européens, a indiqué mardi à l'AFP la commissaire européenne en charge de la Justice, Vera Jourova. Au total, 50 millions de comptes ont été affectés.

    Cette faille, qui a été «réparée» jeudi selon le patron du réseau social Mark Zuckerberg, a permis à des pirates d'accéder aux informations figurant sur les profils des utilisateurs (noms, genre, ville...). «J'en saurai plus dans quelques heures ou quelques jours (mais) d'après ce que l'on sait, cinq millions d'Européens ont été touchés sur ces 50, ce qui est un nombre incroyable», a dit Mme Jourova, interrogée lors d'une réunion européenne à Luxembourg.

    Le piratage de grande ampleur de Facebook a ravivé les critiques contre le réseau social. Celui-ci avait déjà été sérieusement ébranlé par plusieurs controverses, en particulier autour de la protection des données personnelles.

    Entreprise difficile à gérer

    «C'est une question pour la direction (de Facebook) de savoir si elle a la situation en main», a dit Mme Jourova. La taille de l'entreprise «la rend très difficile à gérer, mais ils doivent le faire parce qu'ils recueillent les données et qu'ils gagnent énormément d'argent en utilisant notre vie privée comme marchandise», a-t-elle ajouté.

    Mme Jourova a estimé que la révélation rapide de l'affaire par Facebook a démontré que les nouvelles règles européennes sur la protection des données, entrées en vigueur cette année, fonctionnaient.

    Cette nouvelle réglementation de l'UE - le règlement général sur la protection des données (RGPD) - donne aux régulateurs européens de nouveaux pouvoirs de contrôle et de sanctions en cas de violations par les entreprises récoltant des données personnelles. (ats/nxp)

    https://www.lematin.ch/high-tech/donnees-5-millions-europeens-piratees/story/26090775

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  14. BRAS D'HONNEUR À L'ÉCOLOGIE: LES VENTES DE PICK-UP SONT EN HAUSSE

    Les pick-up sont lourds, gourmands, polluants, énormes mais ils séduisent toujours plus, en Suisse comme en France.
    Ces géants ne sont plus réservés aux routes américaines, de plus en plus de Suisses les adoptent.


    PAR RENAUD MICHIELS
    05.10.2018, 08h01


    «La Terre brûle, mais les Français se ruent sur les pick-up», titre «L’Obs». Les Suisses aussi, peut-on ajouter. Résultat: le pick-up représente le symbole monté sur roues de «nos contradictions sur la question écologique», souligne l’hebdo français sur son site.

    Quelque 10 litres au 100

    Étrange en effet: tout le monde ou presque dit se soucier de la planète mais les pick-up ont la cote. «L’Obs» rappelle pourtant la longue liste des reproches que l’on peut adresser à ces modèles. Ils sont gloutons, avec une consommation avoisinant souvent les 10 litres aux 100 kilomètres. Lourds, ce qui pèse également sur les émissions de CO2. Encombrants et longs, aussi: ils dévorent donc de l’espace public.

    Ce sera tout? Non: la plupart des modèles ont un moteur diesel, qui émet davantage de particules fines. Et aux États-Unis en tout cas, on suspecte même que la hausse du nombre de piétons tués est liée à l’augmentation des tailles des véhicules.

    Une aberration française

    Malgré tout ça, les chiffres sont là. 14 000 pick-up s’étaient vendus en France en 2015. 17 000 en 2016. et 20 000 l’an dernier. «Des taux de croissance à deux chiffres», souligne l’hebdomadaire.

    Comment l’expliquer ? Par l’attrait pour les voitures massives et hautes, qui donnent un sentiment de sécurité – le succès des SUV en est la preuve. Et à cause d’une aberration française: considérés comme des utilitaires à usage professionnel les pick-up échappent au malus écologique dans l’Hexagone…

    Ventes presque triplées en Suisse

    Et en Suisse ? Organe faîtier réunissant les professionnels de l’automobile, Auto-Suisse nous a fourni des statistiques détaillées pour la période de 2010 à 2017. Pour les 11 modèles qui ont été vendus en Suisse durant cette période la hausse est constante. 1403 pick-up écoulés en 2010. 3694 l’an dernier. Près du triple. Ford Ranger, Toyota Hilux, Nissan Navara et VW Amarok étant les quatre modèles les plus prisés.

    En Suisse comme en France, le marché reste marginal. Ici, quelque 317 000 voitures ont été vendues l’an dernier, les pick-up ne représentent donc qu’à peine plus de 1% du marché. Reste qu’ils ont clairement le vent en poupe et qu’il n’y a plus besoin de filer aux États-Unis pour en croiser. Et même les amoureux des ces modèles peuvent admettre que cet engouement ressemble quand même un peu à un bras d’honneur à l’écologie.

    (Le Matin)

    https://www.lematin.ch/economie/bras-honneur-lecologie-ventes-pickup-hausse/story/17806077

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  15. Militaires russes: des dizaines de personnes ont été tuées par une arme à feu biologique déguisée en recherche sur des médicaments


    par Tyler Durden
    Vendredi 10/05/2018 - 23:55
    Écrit par Mac Slavo via SHTFplan.com,


    Le ministère russe de la Défense accuse les États-Unis d'avoir tué des dizaines de Géorgiens avec une arme biologique après l'avoir déguisée en recherche sur la drogue. Les documents ont enregistré la mort de 73 personnes sur une courte période, indiquant un test «d'agents chimiques ou biologiques hautement toxiques et ayant un taux de létalité élevé».

    Selon RT, l'armée russe a soulevé jeudi la question de savoir ce qui aurait vraiment pu se passer dans l'installation de recherche secrète financée par les États-Unis et hébergée par la Géorgie, voisine du sud de la Russie, après avoir étudié des fichiers publiés en ligne par un ancien ministre géorgien. Igor Kirillov, commandant de la branche militaire russe chargée de la défense des troupes contre les armes radiologiques, chimiques et biologiques, a déclaré qu'il ne s'agissait pas d'une recherche de drogue, mais d'une arme chimique ou biologique qui a tué les 73 Géorgiens.

    Les documents relatifs au laboratoire secret ont été publiés le mois dernier par l'ancien ministre géorgien de la Sécurité d'État, Igor Giorgadze, qui aurait obtenu 100 000 pages de données dénonçant des pratiques discutables aux États-Unis.

    Kirillov doute que les tests, qui ont été effectués par le Centre Richard Lugar pour la recherche en santé publique près de la capitale géorgienne, Tbilissi, et impliquent des essais cliniques d'un médicament appelé Sovaldi, destiné au traitement de l'hépatite C, étaient en réalité fait sur le médicament. Le producteur de ce médicament est Gilead Sciences, une société biomédicale basée en Californie qui a recruté l’ancien secrétaire américain à la Défense, Donald Rumsfeld, membre du conseil d’administration en 1988, entre ses deux mandats à la tête du Pentagone.

    - voir carte de l'Europe Sud France-Italie en rouge -

    «Les documents ont montré de nombreux résultats mortels chez les patients. Malgré la mort de 24 personnes rien qu'en décembre 2015, les essais cliniques ont été poursuivis, en violation des normes internationales et des souhaits des patients », a déclaré Kirillov selon RT. "Cela a entraîné la mort de 49 personnes supplémentaires."

    RT
    @RT_com
    Un centre médical financé par les États-Unis en Géorgie pourrait servir de couverture pour un laboratoire d’armes biologiques utilisé pour troubler des expériences interdites aux États-Unis https://on.rt.com/9edr
    10h55 - 16 septembre 2018

    Expériences meurtrières: un ancien ministre géorgien affirme qu'une installation financée par les États-Unis pourrait être un laboratoire d'armes biologiques - RT World ...
    En Géorgie, un établissement médical financé par les États-Unis pourrait recouvrir un laboratoire d'arme à feu utilisé pour perturber des expériences interdites aux États-Unis, a déclaré un ancien ministre de la Sécurité géorgien ....
    rt.com

    Le porte-parole du Pentagone, Eric Pahon, a répondu aux allégations de la Russie, affirmant à RIA Novosti que les États-Unis n’avaient pas mené de recherche sur les armes biologiques en Géorgie et avait qualifié les déclarations du ministère russe de "campagne de désinformation russe dirigée contre l’Occident".

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  16. La Russie entreprendra une "action diplomatique et militaire" en réponse à la menace présumée des laboratoires américains, a déclaré Vladimir Chamanov, président de la commission de la défense du parlement russe. Il commentait les accusations du ministère de la Défense. "Nous ne pouvons pas simplement fermer les yeux sur ce qui se passe près de nos frontières méridionales et qui affecte directement notre sécurité", a-t-il déclaré à l'agence de presse TASS.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-10-05/russian-military-us-killed-dozens-bioweapon-disguised-drug-research

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  17. Arme Biologique ? Les scientifiques sonnent l'alarme lorsque la DARPA envisage de propager des virus à l'aide d'insectes


    par Tyler Durden
    Vendredi 10/05/2018 - 21:35


    Une équipe de scientifiques tire la sonnette d'alarme dans un nouveau rapport du Science Policy Forum sur un mystérieux programme du gouvernement américain qui développe des virus génétiquement modifiés qui seraient dispersés dans l'environnement à l'aide d'insectes. Les insectes «Frankenstein» infectés par le virus sont mis au point pour contrer les menaces potentielles naturelles et artificielles qui pèsent sur l'approvisionnement alimentaire américain. Le programme, géré par la DARPA (Agence de recherche avancée sur les projets de défense du Pentagone), pourrait être perçu comme une tentative de développer une toute nouvelle catégorie d’armes biologiques qui inciterait d’autres pays à rechercher des armes similaires, a t-il averti.

    Les chercheurs de l'Institut Max Planck de biologie évolutive et de l'Université de Fribourg en Allemagne, ainsi que de l'Université de Montpellier en France, suggèrent que le programme de la DARPA pourrait constituer une violation de la Convention sur les armes biologiques, le premier traité de désarmement multilatéral interdisant le développement, la production et le stockage. des armes biologiques et à toxines.

    Surnommé le programme "Insect Allies", la DARPA a commencé à modifier les insectes en 2017, avec le plan visant à produire des cultures plus résilientes pour aider les agriculteurs à faire face au changement climatique, à la sécheresse, au gel, aux inondations, à la salinité et aux maladies, a déclaré Gizmodo. La technologie au centre du programme est une méthode entièrement nouvelle de modification génétique des cultures. Au lieu de modifier les semences dans un laboratoire, les agriculteurs envoyaient des essaims d'insectes dans leurs cultures, où les insectes génétiquement modifiés infecteraient les plantes avec un virus transmettant les nouveaux gènes de résilience, un processus connu sous le nom d'altération génétique horizontale. D’où le nom de cette technologie: HEGAA (Horizontal Environmental Alteration Agents).

    Pour que HEGAA fonctionne, Gizmodo explique que les laboratoires de la DARPA développent un virus qui est inséré dans le chromosome de l'organisme cible. Les scientifiques utilisent des cicadelles, des aleurodes et des pucerons génétiquement modifiés en laboratoire à l'aide de CRISPR, ou d'une variante d'un système d'édition de gènes, pour transporter le virus dans les cultures. Chaque plante serait alors infectée par l'insecte, ce qui aurait pour effet de protéger les cultures des menaces naturelles ou causées par l'homme.

    Cependant, l'auteur principal du rapport, Richard Guy Reeves du Département de génétique évolutive de l'Institut Max Planck de biologie évolutive, a déclaré que le programme Insect Allies de la DARPA est troublant et constitue un exemple de recherche à double usage dans laquelle le gouvernement américain pour aider les cultures des agriculteurs, développe également une arme biologique.

    Les insectes alliés seraient soutenus par un financement de 27 millions de dollars. Selon Gizmodo, quatre équipes de chercheurs universitaires travaillent actuellement sur le projet, notamment des chercheurs du Boyce Thompson Institute à New York, de la Pennsylvania State University, de l'Ohio State University et de l'Université du Texas à Austin. La DARPA affirme que "tout le travail est effectué dans des laboratoires fermés, des serres ou d'autres installations sécurisées" et que les insectes ont une durée de vie intégrée pour limiter leur propagation. En 2020 ou 2021, la DARPA prévoit de tester les insectes infectés par le virus sur les cultures dans les serres dans des endroits non divulgués.

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  18. Reeves a déclaré que l'utilisation d'insectes en tant que véhicule de modification génétique est une idée horrible car ils ne peuvent pas être contrôlés et indique que les pulvérisations aériennes traditionnelles pour délivrer des HEGAA constituent le pari le plus sûr. Selon la DARPA, les insectes sont la seule solution pratique, car la pulvérisation en surface des HEGAA nécessiterait une infrastructure agricole accrue, ce qui n'est pas disponible pour tous les agriculteurs.

    Le rapport précise qu’il n’existe actuellement aucun cadre réglementaire mondial pour prendre en charge cette nouvelle méthode de transport des HEGAA vers les cultures, qui, si elles ne sont pas correctement supervisées, pourraient entraîner des accidents.

    Les scientifiques du rapport interprètent le programme de la DARPA sur les insectes comme "une intention de développer un moyen de fournir des HEGAA à des fins offensives", telles que la conduite d'une guerre biologique.

    Ces insectes génétiquement modifiés pourraient être implantés avec une maladie mortelle que l’administration Trump pourrait déclencher sur des terres agricoles au Venezuela, en Syrie, en Iran, en Corée du Nord, en Russie et même en Chine, qui décimerait l’approvisionnement en nourriture du pays.

    Les scientifiques soutiennent que l'introduction de cette technologie potentiellement dangereuse ouvrirait la voie à une classe entièrement nouvelle d'armes biologiques, expédiées par des insectes, qui pourraient être considérées comme des armes de destruction massive. Les scientifiques avertissent que cette technologie inciterait les nations rivales à développer des programmes similaires pour les insectes.

    En réponse à une question de Gizmodo, un porte-parole de la DARPA a déclaré qu'il se félicitait du dialogue universitaire sur le programme Insect Allies, mais critique la conclusion du rapport, le qualifiant de "trompeur et parsemé d'inexactitudes".

    Blake Bextine, responsable du programme DARPA pour les insectes alliés, rejette bon nombre des affirmations de Reeves.

    "La DARPA ne produit pas d'armes biologiques et nous rejetons le scénario hypothétique", a déclaré Bextine à Gizmodo.

    "Nous acceptons et acceptons les préoccupations relatives à la double utilisation potentielle de la technologie, un problème qui concerne pratiquement toutes les nouvelles technologies puissantes. C’est précisément pour ces raisons que nous avons structuré le programme Insect Allies de la manière dont nous l’avons fait, de manière transparente, dirigée par une université, recherche fondamentale qui bénéficie de la participation active des régulateurs et des éthiciens et d’une communication proactive avec les décideurs politiques ", a déclaré Bextine.

    Le programme Insect Allies, a-t-il déclaré, est de préparer une nouvelle ère de menaces émergentes pour l'agriculture américaine. La brextine a ajouté que la DARPA évaluait les impacts potentiels des HEGAA sur l'environnement.

    "La DARPA est extrêmement sensible aux risques environnementaux et aux effets hors cible, et a structuré le programme Insect Allies pour les identifier et les atténuer", a-t-il déclaré. "La DARPA a imposé de multiples niveaux de biosécurité et de biosécurité à chaque étape du programme."

    Si le programme de la DARPA réussit, ils auront mis au point des traitements à gain de fonction pouvant être administrés aux "bonnes plantes" et au "bon tissu", a-t-il déclaré. En d'autres termes, la DARPA veut des insectes à arme biologique guidés avec précision.

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  19. Jason Delborne, professeur agrégé à la North Carolina State University, expert en génie génétique, déclare que les préoccupations semblent "appropriées".

    "Les implications sociales, éthiques, politiques et écologiques de la production de HEGAA sont importantes et méritent le même niveau d'attention que l'exploration de la science qui sous-tend la technologie potentielle", a déclaré Delborne à Gizmodo.

    "Les auteurs soutiennent que la spécification des insectes en tant que mécanisme de livraison privilégié pour les HEGAA est mal justifiée par une vision des applications agricoles. L'infrastructure et les compétences requises pour pulvériser des champs agricoles, du moins dans le contexte américain, sont bien établies. offrir un meilleur contrôle sur la propagation potentielle d'une HEGAA. "

    La DARPA pourrait être sur le point d’obtenir une nouvelle arme biologique qui serait très certainement utilisée contre le Venezuela, la Syrie, l’Iran, la Corée du Nord, la Russie et même la Chine, afin de paralyser l’approvisionnement en nourriture des pays et d’entraîner un changement de régime sans licenciement. un coup de feu - c'est l'avenir de la guerre.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-10-05/bioweapon-fears-darpa-plans-spread-viruses-using-insects

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  20. Un panel international appelle à la fin de la guerre mondiale contre les combustibles fossiles


    Anthony Watts
    5 octobre 2018


    LE 5 OCTOBRE 2018 - Plus de 100 éminents chercheurs de 12 pays ont publié un rapport affirmant que «la guerre mondiale contre les combustibles fossiles… n’a jamais été fondée sur des principes scientifiques ou économiques sains» et exhortant les décideurs politiques du monde à «reconnaître cette vérité et à mettre fin à cette guerre. ”

    Le Groupe non gouvernemental sur les changements climatiques - The Nongovernmental International Panel on Climate Change (NIPCC), une organisation indépendante fondée en 2003 dans le but de vérifier le travail des Nations Unies sur la question des changements climatiques, a publié aujourd'hui le Résumé à l'intention des décideurs politiques reconsidéré II: les combustibles fossiles. Le résumé de 27 pages donne un aperçu d'un rapport de 1 000 pages qui devrait être publié le 4 décembre lors d'un symposium sur les sciences du climat tenu lors de la Conférence des parties des Nations Unies (COP-24) à Katowice en Pologne.

    Dans le nouveau rapport du NIPCC, 117 scientifiques, économistes et autres experts réfutent les affirmations du Groupe intergouvernemental sur l'évolution du climat des Nations Unies - Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) (GIEC) selon lesquelles les impacts du changement climatique sur le bien-être humain et l'environnement naturel justifient une réduction considérable de la utilisation de combustibles fossiles. Le résumé fournit plus de 100 références à de la littérature évaluée par des pairs, tandis que le rapport complet en fournit près de 3 000.

    Cliquez ici pour lire le rapport Résumé à l'intention des décideurs sous forme numérique (PDF).

    Pour plus d'informations sur le résumé à l'intention des décideurs, du NIPCC et du Heartland Institute - et pour discuter avec les auteurs ou les éditeurs du présent rapport - contactez le directeur des communications, Jim Lakely, à l'adresse jlakely@heartland.org ou au 312 / 731-9364 (cellulaire).

    Parmi les conclusions rapportées dans le résumé à l'intention des décideurs:

    Les combustibles fossiles fournissent une énergie abordable, abondante et fiable, étroitement associée aux mesures clés du développement et du bien-être humains. Il existe une forte relation positive entre les prix bas de l'énergie et la prospérité économique. La prospérité économique est à son tour cruciale pour la santé et le bien-être humains. L'éolien et le solaire ne sont pas en mesure de fournir l'énergie abordable, abondante et fiable fournie par les combustibles fossiles.

    Les combustibles fossiles nécessitent la mise au point de surfaces beaucoup moins importantes que les sources d’énergie renouvelables, sauvant ainsi le précieux habitat faunique. La densité de puissance des combustibles fossiles permet à l’humanité de satisfaire ses besoins en énergie, en nourriture et en ressources naturelles tout en utilisant moins d’espace, sauvant ainsi le précieux habitat de la faune. En 2010, les combustibles fossiles utilisaient à peu près la même surface que celle consacrée aux sources d'énergie renouvelables, tout en fournissant 110 fois plus d'énergie.

    Les impacts des combustibles fossiles sur l'environnement et le bien-être humain sont extrêmement positifs. Seize des 25 impacts identifiés des combustibles fossiles sont nets positifs. Huit sont incertains, un seul est net négatif. Certains des impacts identifiés incluent l'agriculture, la qualité de l'air, les phénomènes météorologiques extrêmes, la santé humaine et la mortalité humaine.

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  21. Réduire l'utilisation des combustibles fossiles pour réduire considérablement les émissions de gaz carbonique causerait d'énormes difficultés économiques. Réduire les gaz à effet de serre de 90 % par rapport aux niveaux de 1990 d'ici 2050 nécessiterait une réduction de 96 % du PIB mondial, ramenant ainsi le PIB par habitant à 30 200 dollars actuellement prévu. Le revenu par habitant serait à peu près équivalent à ce qu'il était aux États-Unis et en Europe occidentale vers 1820 ou 1830, avant la révolution industrielle.

    Des scientifiques et des experts se rendront à Katowice, en Pologne, la semaine du 4 décembre, pour publier le volume complet de Climate Change Reconsidered II: Fossil Fuels. Les médias accrédités sont invités à assister au symposium du 4 décembre pour en savoir plus sur le rapport et interroger certains des scientifiques qui souscrivent à ses conclusions. Les détails sur l'endroit et la date de la tenue de ce symposium seront bientôt disponibles.

    https://wattsupwiththat.com/2018/10/05/international-panel-calls-for-end-to-global-war-on-fossil-fuels/

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    Réponses
    1. La réalité est que, depuis des milliards d'années les volcans (terrestres ou sous-océaniques ou sous-marins) ont rejeté des milliards de milliards de tonnes de produits chimique (et continuent à le faire !) dans l'air comme dans l'eau des mers & océans... sans que ni les poissons, les oiseaux et les humains ne meurent !!! Çà alors !

      TOUS les gaz se recyclent depuis toujours et pour toujours.

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  22. Texas - Robotes de Bordel interdites par le conseil municipal; Les hommes de Houston forcés de se masturber ailleurs


    par Tyler Durden
    Vendredi 10/05/2018 - 23:35


    Un bordel de poupées sexuelles basé à Toronto espérant se glisser à Houston a été submergé par de l'eau froide, après que le conseil municipal a mis à jour mercredi une règle sur les entreprises à caractère sexuel interdisant l'utilisation de ces robes en silicone à des fins de masturbation, rapporte Chron.

    - voir photos sur site -

    Lors de la réunion de mercredi, le conseil a élargi la définition du terme «dispositif d'arcade», utilisé pour afficher le contenu destiné aux adultes, afin d'inclure un «dispositif anthropomorphique» ou présentant des caractéristiques humaines.

    La ville interdit aux entreprises à vocation sexuelle, qui comprennent des «arcades pour adultes», de s’exercer à moins de 1 500 pieds d’églises, d’écoles, de garderies, de parcs et de quartiers résidentiels. L’emplacement proposé par KinkySdollS est situé à quelques centaines de mètres du parc Anderson, appartenant à la ville.

    Le conseil a également interdit aux clients d'utiliser des appareils d'arcade dans les locaux de l'entreprise, même s'il permet toujours aux entreprises de les vendre.

    Le maire Sylvester Turner a déclaré que les amendements visaient à mettre à jour les «échappatoires permettant de rendre l'ordonnance plus actuelle», en particulier en ce qui concerne l'évolution de la technologie. -Chron

    "Je pense que le changement dans l'ordonnance capturera certainement les entreprises de ce type et empêchera les entreprises de fonctionner de la manière décrite ci-dessus", a déclaré Turner, ajoutant que l'ordonnance mise à jour ne ciblait "aucune entreprise en particulier. C'est sur toutes les entreprises qui entrent dans cette catégorie. "

    La construction du magasin de détail KinkySdollS avait déjà été interrompue après que des inspecteurs de la ville auraient découvert des problèmes d'obtention de permis.

    Cela dit, la nouvelle ordonnance n’empêchera peut-être pas KingySdollS de s’installer, car la loi mise à jour éliminerait uniquement l’option «essayez avant d’acheter».

    Lewis assura à Laster que l'ordonnance modifiée "exclut certains comportements au sein de la boutique" qui "ne seraient généralement pas tolérés dans les entreprises de la ville de Houston".

    Travis a adopté une tactique plus énergique, affirmant que la plupart des gens étaient «consternés et insultés» par l'entreprise. -Chron

    Après avoir récemment exprimé des inquiétudes concernant le trafic sexuel, le membre du conseil municipal, Greg Travis, a suggéré de placer des caméras autour du commerce après qu'une organisation religieuse à but non lucratif a soulevé la proposition, demandant à Travis d'installer des caméras "là où ces personnes vont acheter des poupées."

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  23. - voir photos sur site -

    "Notre plus grande préoccupation est que ce bordel de sexe avec des robots va entraîner des hommes à devenir des violeurs", a déclaré Micah Gamboah avec le groupe religieux anti-traite des personnes, Elijah Rising. "Et ensuite ? Est-ce que ce sont des enfants ? Où est la ligne ? Où est la limite ?"

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    "Nous ne légiférons pas la moralité ici. Ce n'est pas ce que nous faisons", a déclaré Travis. "Peu nous importe ce que les gens font dans leurs chambres. Si quelqu'un veut commander ces poupées et les avoir chez elles, c'est bizarre, c'est bon, ils peuvent le faire." Travis a ensuite déclaré que "le type d'entreprise de KinkiSdollS dégradait notre ville".

    La bataille de Turner contre la maison de poupée a suscité les applaudissements du Conseil des pasteurs de la région de Houston, qui l'a félicité dans un communiqué de presse pour sa "réponse rapide à cette menace pour la décence de la ville".

    https://www.zerohedge.com/news/2018-10-04/texas-robot-brothel-outlawed-city-council-houston-men-forced-masturbate-elsewhere

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    1. (...) "Notre plus grande préoccupation est que ce bordel de sexe avec des robots va entraîner des hommes à devenir des violeurs", a déclaré Micah Gamboah avec le groupe religieux (...)

      Et ce qui ont des armes à feu deviendront-ils des tueurs ?

      Il ne faut pas confondre le bien et le mal dont le premier est condamné par les religieux. Cette phrase: "Faites l'amour pas la guerre", n'est certainement pas prête à figurer au fronton des lieux de religions !

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  24. De nouvelles études choquantes révèlent que les jeunes Américains sont en surpoids, malsains, suicidaires et dépendants de l'alcool et des drogues


    par Tyler Durden
    Vendredi 10/05/2018 - 23:15
    Créé par Michael Snyder via le blog The American Dream,


    Après avoir lu les informations contenues dans cet article, vous vous demanderez probablement si l’Amérique sera capable de survivre plus longtemps, car nos jeunes sont un véritable gâchis. Oui, toutes les générations d'Américains ont eu leurs problèmes, mais cette génération semble être particulièrement foutue. Les taux d'obésité atteignent des sommets sans précédent, un tiers des adolescents américains n'ont lu aucun livre au cours de la dernière année et le lycéen moyen passe six heures par jour sur Internet. En plus de tout cela, nous constatons des niveaux sans précédent de suicides, de surdoses de médicaments et de maladies du foie (dues à une consommation excessive d'alcool) chez nos jeunes.

    Comme d’autres empires de l’histoire du monde, serons-nous défaits par nos propres excès ?

    Commençons par parler de l’obésité. À ce stade, un si grand nombre de nos jeunes sont en surpoids que les recruteurs militaires ont beaucoup de difficulté à trouver suffisamment de «candidats qualifiés pour le service militaire»…

    L’étude, qui compte environ 18 000 participants choisis au hasard dans chacune des branches de services, a montré que près de 66 % des membres des services étaient considérés en surpoids ou obèses, d’après l’indice de masse utilisé par l’armée.

    Bien que le nombre de membres des services faisant de l'embonpoint soit une source de préoccupation, il est en corrélation avec l'épidémie d'obésité qui sévit aux États-Unis, où, en 2015, un jeune adulte sur trois était considéré trop gros pour être recruté, créant un environnement difficile pour les recruteurs candidats appropriés pour le service militaire.

    À l’heure actuelle, le taux d’obésité chez les adultes américains est à son plus haut niveau, et l’une des principales raisons à cela est qu’environ un tiers d’entre nous se gavent quotidiennement de fast-food.

    Ce qui suit provient de ABC News…

    Une étude gouvernementale a révélé que 1 adulte américain sur 3 mange du fast food un jour donné. Cela représente environ 85 millions de personnes.

    C’est la première étude fédérale à examiner la fréquence à laquelle les adultes mangent du fast-food. Une étude antérieure avait révélé qu'une proportion similaire d'enfants et d'adolescents en mangeaient un jour donné.

    J'étais abasourdi quand j'ai vu ça.

    85 millions de personnes par jour mangent des fast food ?

    Pas étonnant que nous ayons un tel problème.

    Une autre étude récente révèle qu'un tiers de tous les adolescents américains n'a lu aucun livre au cours de la dernière année…

    Une nouvelle étude sur les adolescents américains et leurs habitudes de lecture révèle qu’un troisième n’a pas lu un livre - en version papier ou sur un appareil tel que le Kindle - au cours de la dernière année.

    Des chercheurs de la San Diego State University ont examiné les données recueillies au cours de quatre décennies d'une «enquête nationale sur le mode de vie, qui étudie les adolescents», rapporte StudyFinds.com. Au total, plus d'un million d'adolescents ont fourni des informations.

    Pour moi, il s’agit d’une formidable mise en accusation de notre système d’éducation.

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  25. Même si ces enfants ne lisent pas seuls, nos écoles devraient les obliger à lire des livres.

    Cela me touche vraiment parce que j'aime lire. En fait, je ne sais pas où je serais aujourd’hui si je n’avais pas passé énormément de temps à lire des livres tout seul pendant que je grandissais.

    Malheureusement, au lieu de lire des livres, nos lycéens consacrent en moyenne six heures par jour à «des médias sociaux, des SMS, des jeux et une navigation sur le Web»…

    «L'ascension fulgurante des activités sur Internet ne peut pas être sous-estimée: entre médias sociaux, SMS, jeux et navigation sur le Web, le lycéen moyen passait six heures par jour en ligne en 2016, soit le double de temps qu'il avait dix ans plus tôt. La huitième année (4 heures par jour) et la dixième année (5 heures par jour) ne sont pas en reste », indique le rapport.

    Six heures par jour ?

    C'est presque un travail à temps plein.

    C'est l'une des raisons pour lesquelles Internet est au centre de mes travaux. Oui, j'ai écrit quelques livres, mais si nous voulons atteindre la prochaine génération avec la vérité, nous devons les atteindre où ils se trouvent.

    Et où ils sont, c'est sur Internet.

    En plus de tout ce que vous avez lu jusqu'à présent, permettez-moi de partager avec vous certains chiffres tirés d'une étude récente du CDC.

    Selon le CDC, le taux de surdose de drogue chez nos jeunes a été absolument à la hausse…

    Chez les hommes âgés de 24 à 35 ans, les taux de surdose ont augmenté de plus de 25% chaque année entre 2014 et 2016; près de 50 personnes sur 100 000 dans cette population sont décédées des suites d'une surdose en 2016. Les femmes âgées de 45 à 54 ans ont subi le plus grand nombre de surdoses, mais les 15 à 24 ans ont enregistré la plus forte augmentation: environ 19% par an entre 2014 et 2016.

    Et les CDC ont également constaté que les maladies du foie (dues à une consommation excessive d'alcool) augmentaient rapidement chez les jeunes adultes…

    Les maladies du foie ont remplacé le VIH en tant que sixième cause de mortalité chez les adultes âgés de 25 à 44 ans en 2016. Parmi les hommes et les femmes âgés de 25 à 34 ans, les décès dus aux maladies du foie et à la cirrhose ont augmenté respectivement d'environ 11 % et 8 % par an entre 2006 et 2006. 2016. Cependant, les personnes âgées meurent encore beaucoup plus souvent d'une maladie du foie que les jeunes adultes.

    Mais le fait le plus tragique de cette étude est que le suicide est maintenant la deuxième cause de décès chez les Américains de 15 à 24 ans…

    Le suicide est maintenant la deuxième cause de décès chez les 15 à 24 ans, augmentant de 7% dans ce groupe chaque année entre 2014 et 2016. Il est également la troisième cause de décès chez les 25 à 44 ans, faisant près de 17 morts sur 100 000 personnes dans cette population en 2016.

    Qu'on le veuille ou non, les jeunes sont l'avenir de notre pays.

    Oui, notre pays est un désordre énorme aujourd'hui, mais à quoi ressemblera-t-il quand ils deviendront les «leaders de demain» ?

    Pour qu'une nation soit grande, il faut qu'elle soit composée de personnes formidables, et pour le moment, il est très difficile d'être optimiste quant à l'avenir de notre nation ...

    https://www.zerohedge.com/news/2018-10-05/shocking-new-studies-find-young-americans-are-overweight-unhealthy-suicidal

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