le 4 janvier 2018
En collaboration avec l’Environmental Defense Fund (EDF, http://www.edf.org) le World Economic Forum (WEF), organisme basé à Genève, a passé en revue tous les effets de la consommation outrancière d’énergie de l’humanité produisant donc du gaz carbonique sur l’état de la planète Terre et c’est presque une énumération à la Prévert. Pour le WEF il y a déjà 4 signaux alarmants et quasi irréversibles qui vont accélérer le climat vers la fournaise : la disparition de la banquise arctique, la fonte des glaces du Groenland, la désintégration de la glace de l’Antarctique ouest et la mort des coraux.
1. Pour ce qui est de la banquise arctique les propagandistes zélés du WEF auraient pu revoir leur copie : entre 2007 et 2017 la surface moyenne de la banquise a augmenté de 15 % et son volume de 2000 km-cube (doi : 10.1002/jqs.2929). Pas de commentaire.
2. La fonte des glaces du Groenland ? Ce n’est plus qu’un souvenir de mauvais goût puisque les glaciers recommencent à avancer depuis 5 ans et les températures sont anormalement basses comme par exemple à la station scientifique de Summit (voir un précédent billet sur ce blog).
3. La désintégration de la couche de glace dans l’Antarctique Ouest ? C’est un phénomène naturel dont la cause est essentiellement l’activité volcanique sous-glaciaire. Pour le reste du Continent Antarctique l’augmentation de la masse de glace est continue depuis plus de 100 ans et seulement ces dix dernières années le volume de glace a globalement augmenté de plus de 123 gigatonnes par an. Dans l’ensemble cette augmentation du volume de glace antarctique a conduit à une baisse du niveau des océans de 0,02 mm par décennie contrairement à ce que la propagande « réchauffiste » encouragée par le WEF affirme (source : 10.5194/cp-13-1491-2017).
4. La disparition des coraux ? C’est aussi une vue de l’esprit quand on relie ce phénomène à un changement du climat. En effet les coraux qui blanchissent subissent une attaque virale qui a été bien identifiée et caractérisée par des biologistes de l’Université de l’Oregon (voir sur ce blog : https://jacqueshenry.wordpress.com/2013/09/13/rechauffement-climatique-non-un-virus/ ).
Les points de « basculement » répertoriés par le Forum de Davos pour le plus long terme ont requis de l’imagination car rien n’échappe au « réchauffement climatique d’origine humaine ».
1. Perturbation « irréversible » des courants océaniques. Selon l’étude citée par le WEF la perturbation qui est déjà en cours au niveau du gyre sub-polaire de la Mer du Labrador (voir le billet sur ce blog du 7 décembre 2017) conduirait à une augmentation significative du niveau de l’Océan Atlantique le long de la côte est des USA … Pourquoi pas jusqu’à submerger l’île de Manhattan pendant qu’on y est ? L’article que j’avais cité en référence au sujet de la modification de l’intensité du Gulf Stream ne fait nullement mention d’un tel évènement. Le WEF, qui naturellement ne cite pas ses sources autres que l’EDF (Environmental Defense Fund), en profite pour glisser une bonne couche de mensonges pour bien effrayer les populations.
2. Dégagement de méthane depuis les hydrates dans la profondeur des océans. Le WEF constate que ce processus pourra prendre peut-être un millier d’années pour se concrétiser, pas de commentaire …
3. Anoxie des océans. Idem pour le phosphate rejeté dans la mer par les eaux de ruissellement et provenant des engrais agricoles, la prolifération d’algues risquant d’asphyxier les océans n’est pas non plus pour demain. Il est tout de même intéressant de noter que le WEF en profite pour culpabiliser le monde agricole qui utilise des engrais : c’est potentiellement mauvais pour les océans donc aussi pour le climat qui, se réchauffant, accélérera le lessivage des terres agricoles en raison de précipitations plus abondantes. À n’y rien comprendre puisque les algues dégagent de l’oxygène par photosynthèse et plus il y a de gaz carbonique disponible plus la photosynthèse est active.
Viennent ensuite trois points encore incertains : la mort de la forêt amazonienne, la mort des forêts boréales et l’affaiblissement du piégeage du gaz carbonique par les océans. Aborder ces rubriques relève de la science-fiction ou des films catastrophes d’Hollywood mais les mentionner suggère l’intention évidente du WEF de terroriser les peuples. Puis ce sont des délires contradictoires comme le reverdissement des zones sub-sahéliennes qui risquerait d’être contrecarré par les émissions d’aérosols d’origine industrielle et dans la rubrique « incertaine » la perturbation de la mousson asiatique en raison de ces mêmes aérosols et de l’effet de serre du gaz carbonique qui pourrait provoquer de graves sécheresses en Inde et dans les pays voisins, encore un autre scénario apocalyptique irraisonné.
Je cite pêle-mêle et à la suite quelques points abordés dans ce pamphlet : la fonte annoncée des glaciers himalayens, un El Nino permanent, la fonte du permafrost sibérien, et comme si on voulait mettre une couronne sur le chapeau de la Terre l’apparition d’un trou d’ozone au dessus de l’Arctique. Il ne manquait plus que ça !
Ce type de propagande est pris pour argent comptant par les peuples mais aussi et surtout par les politiciens et les financiers du monde entier qui fréquentent les hôtels de luxe de Davos une fois l’an. Ils fourbissent leurs arguments pour écumer le pékin moyen après l’avoir bien culpabilisé en lui décrivant des scénario d’horreur climatique. Au moins le WEF ne dissimule plus ses intentions : il faudra payer et payer très cher pour sauver le climat de la surchauffe annoncée à grands renforts de propos alarmistes.
Le coût global de la « protection du climat » est estimé par la Banque Mondiale à 3500 milliards de dollars par an pendant 30 ans … Les sites d’informations scientifiques que je consulte chaque jour sont remplis d’annonces catastrophistes car il faut bien stimuler la recherche scientifique dans ce domaine puisqu’il y a urgence et qu’il y a de l’argent à profusion à dépenser dans des milliers de laboratoires pour étayer ce planétaire problème du réchauffement.
À qui va profiter cette pharaonique manne climatique ? Tout simplement aux grands financiers de ce monde, aux banques qui émettent maintenant des obligations vertes, c’est à la mode, ça peut rapporter gros (aux banques) et comme le résultat n’est pas garanti – et pour cause le climat pourrait aussi se refroidir – ce sont les imbéciles d’épargnants pris au piège de cette propagande, souvent à leur insu, qui se retrouveront grugés mais certainement pas les banques ni les grands groupes financiers ni enfin les entreprises corrompues qui réaliseront des profits éhontés soutirés en toute légalité de la poche des contribuables. Le WEF, comme la grande majorité des ONGs impliquées dans ce gigantesque piège, n’abonde dans sa propagande que pour appauvrir ceux qui sont déjà pauvres en leur enfonçant dans le crâne un sentiment de culpabilité pour non plus sauver leur âme comme du temps des indulgences papales mais pour sauver le climat … J’en frémis pour mes petits-enfants !
Source et illustration : World Economic Forum ( http://www.weforum.org/agenda/2017/11 ) paru le 8 novembre 2017 sur le site weforum.org
(...) 3. Anoxie des océans. Idem pour le phosphate rejeté dans la mer par les eaux de ruissellement et provenant des engrais agricoles (...)
RépondreSupprimerA savoir que les phosphates viennent... de la Terre (!! Çà alors !) et non de la lune, et que, les sources sous-marines (annus horribilis en anglais) défèquent chaque jours des millions de fois plus que 'les engrais agricoles vers les eaux sales où les poissons chient dedans !).
Notons juste que les choses se précipitent, non pas dans la nature qui fait un peu se qu'elle veut et n'en a rien à foutre des industries humaines, mais dans l'info imparable qu'est la vérité dite sur Internet. Et donc, le seul réchauffement climatique qu'il puisse y avoir est dans le cœur des humains qui se disent "Çà va cogner ! Çà va saigner, ne te crois pas à l'abri dans ton île à la con !"
SYNTHÈSE AVALANCHES, NOYADES... L'EUROPE SENS DESSUS DESSOUS
RépondreSupprimerLe passage de la tempête Eleanor a causé d'importants dégâts sur le «Vieux Continent», faisant notamment des morts en France et en Espagne.
04.01.2018, 14h48
Le risque d'avalanche était maximal jeudi dans les Alpes françaises, après le passage de la tempête Eleanor sur l'Europe occidentale, qui a fait quatre morts en France et en Espagne, et attisé plusieurs incendies en Corse.
Pendant plus de 24 heures, des vents violents et des bourrasques de pluie ont balayé l'Angleterre, l'Irlande, la Suisse, l'Allemagne, la Belgique, les Pays-Bas, la France et l'Espagne, blessant des dizaines de personnes, perturbant le trafic aérien et privant des milliers de foyers d'électricité.
En France, une femme de 93 ans est morte jeudi dans sa maison inondée par une coulée de boue et d'eau en Isère (sud-est), selon le Dauphiné. La veille, un skieur de 21 ans avait été tué par la chute d'un arbre dans la station alpine du Morillon. Les intempéries ont également fait 29 blessés dont quatre graves.
Risques d'avalanche
Sur l'île méditerranéenne de Corse, plus de 300 pompiers continuaient à batailler contre deux incendies persistants. Des feux d'une intensité «exceptionnelle en plein hiver», selon la préfecture, qui attribue cet événement à la sécheresse des sols mais aussi à la violence des vents. Un peu plus de 29'000 foyers étaient encore privés d'électricité en début de matinée dans tout le pays, dont 11'070 en Corse.
En pleines vacances scolaires, les stations de ski des Alpes, pour la plupart fermées mercredi, redémarraient lentement et mettaient en garde contre les risques d'avalanche. De nombreux massifs ont été placés en alerte 5, le niveau maximal sur l'échelle de risque.
Val d'Isère a reporté l'ouverture de ses pistes et Chamonix interdit l'accès à la majorité des remontées mécaniques. «L'objectif est de mettre tout le monde en sécurité, les clients comme les personnels», a expliqué le président de la section Savoie de Domaines Skiables de France, David Ponson.
Couple noyé en Espagne
En Espagne, la côte basque, balayée par des vents violents, restait en état d'alerte, au lendemain de la mort d'un couple emporté par une vague. Alors qu'ils se trouvaient sur la jetée d'un village côtier, un homme de 67 ans et sa femme de 65 ans sont morts noyés et un jeune homme qui a tenté de leur porter secours a été sauvé de justesse.
Le sexagénaire a perdu conscience presque immédiatement mais sa femme est parvenue à se cramponner à une corde envoyée par des passants avant de lâcher prise, emportée par le courant, a expliqué le maire de la ville voisine de Mutriku, Jose Angel Lizardi, à la télévision basque. «Tous deux étaient sur une jetée, en train de regarder les vagues lorsqu'une grosse lame les a projetés à l'eau. Le courant les a emportés», a-t-il détaillé.
Niveau du Rhin scruté
RépondreSupprimerEn Allemagne, où le service de météorologie Deutsche Wetterdienst (DWD) a levé mercredi soir son alerte aux vents violents, c'est désormais le niveau des eaux qui inquiète les autorités de plusieurs Etats régionaux. Dans l'ouest du pays, la circulation des bateaux sur la Moselle a été interrompue après d'importantes précipitations. «La Moselle est complètement fermée», a indiqué à l'agence de presse allemande DPA Tobias Schmidt, directeur adjoint des services de la navigation de Coblence.
Le niveau du Rhin est également scruté avec attention, notamment à Cologne (ouest), où il devrait atteindre 7 mètres jeudi, et dépasser les 7,7 mètres vendredi, rapporte le quotidien allemand Bild. Le trafic fluvial, déjà restreint mercredi dans le secteur de Cologne, est suspendu à parti de 8,30 m, rappelle DPA. Mercredi, la tempête a mobilisé les secours dans plusieurs régions d'Allemagne, où plusieurs routes ont été coupées et le trafic ferroviaire perturbé.
https://www.lematin.ch/monde/europe/avalanches-noyades-europe/story/15428408
SupprimerLe manque crucial de gaz carbonique empêche donc la nature de se développer. Et, comme TOUTES les plantes ont besoins d'eau, le manque d'arbres et de cultivateurs fait que toute l'eau tombée n'est plus absorbée ! Preuve élémentaire: Lorsqu'il pleut, vous abritez vous sous un arbre ? Oui bien sûr ! Et pourquoi ? Pourquoi les centaines de litres d'eau de pluie ne se contentent-ils pas de ruisseler sur les feuilles et de faire que sous les arbres il pleuvrait autant que plus loin ? Pourquoi ? Parce que les feuilles et les branches agissent comme des buvards. Ces énormes éponges absorbent l'eau des nuages et fait que, par exemple: le platane, perd ses écorces en été. Pourquoi ? Parce qu'il grossit. Ses besoins d'eaux sont impétueux. Il puise dans les nappes phréatique et dévore chaque orage qui peut éclater.
Donc à l'avenir 'Sauvez un arbre. Donnez-lui du gaz carbonique'. Sans lui, [gaz carbonique/arbre] l'oxygène n'existerait même pas ! et, la vie animale n'accompagnerait pas la nature dans son développement communautaire d'échanges.
Eleanor: après le vent, voici les pluies et la neige
RépondreSupprimerSuisse - MeteoSuisse met en en garde contre de fortes pluies et des chutes de neige d'ici à vendredi matin.
Par Pascal Schmuck
04.01.2018, 10h30
La tempête Eleanor/Burglind continue de déployer ses effets en Suisse. Après de puissantes bourrasques de vents mercredi, MeteoSuisse met en garde contre de fortes chutes de neige et des pluies intenses dans les Préalpes et les Alpes.
L'Office fédéral de météorologie et de climatologie a émis une alerte de niveau 4 sur une échelle de 5, prévoyant d'abondantes précipitations ce jeudi et vendredi matin. Sont surtout concernées les régions du sud du Jura, le long du versant nord des Alpes et dans le nord des Grisons ainsi que dans les Préalpes romandes (région Trient, Emosson et Dents-du-Midi).
Les cantons d'Argovie, de Zurich et de Bâle-Campagne gardent le Rhin sous surveillance, craignant des inondations dans certaines zones bien précises.
Des avalanches attendues
De fortes chutes de neige sont également à redouter le long du versant nord des Alpes, le nord des Grisons, et les Alpes Valaisannes orientales. Les vents encore tempétueux dans de nombreux endroits provoqueront des cumuls de neige dans les Alpes bernoises et les Alpes valaisannes occidentales.
Du coup, MeteoSuisse redoute «une situation avalancheuse très critique sur une grande partie du territoire». Dans la crête nord des Alpes, le Valais, le nord des Grisons ainsi que la Basse-Engadine au nord de l'Inn, de nombreuses avalanches de taille moyenne et grande sont attendues, qui pourraient descendre jusque dans les vallées dans certains couloirs connus.
Aux Mayens de Conthey, les chalets demeurent vides. Les quelque 40 habitants évacués mercredi ne pourront pas y retourner avant au moins samedi, a dit à l'ats Philippe Girod, chef d'état-major des Coteaux du Soleil. «Nous espérons un coup de froid entre vendredi et samedi, qui stabiliserait le manteau neigeux.»
Les propriétaires de chalets ont gagné leur domicile principal en plaine. Seule une ou deux personnes ont dû être relogées.
L'institut pour l'étude de la neige et des avalanches (SLF) a également décrit une situation avalancheuse très critique en général. Il estime que les accumulations de neige soufflée grossiront encore jeudi et qu'elles sont instables.
Une situation toujours délicate sur le rail
RépondreSupprimerLe trafic ferroviaire continue d'enregistrer de fortes perturbations jeudi. De nombreuses voies sont interrompues. C'est notamment le cas entre entre Château-d’Œx et Gstaad, en raison d'un glissement de terrain. Le retour à la normale est prévu d'ici à vendredi dans la plupart des cas.
Outre les dégâts dus aux intempéries et des vents toujours tempétueux par région, les CFF évoquent le risque élevé d'avalanche pour expliquer les interruptions de trafic.
https://www.24heures.ch/suisse/eleanor-vent-pluies-neige/story/18737673
Chute de 79 % du nombre de « réfugiés » aux Etats-Unis : Donald Trump montre que la submersion migratoire n’est pas une fatalité
RépondreSupprimerMatthieu Lenoir
3 janvier 2018 15 h 30 min·
La submersion migratoire n’est pas une fatalité, comme le démontrent les premiers résultats de la politique de Donald Trump. Le nombre d’admissions de réfugiés par les Etats-Unis au quatrième trimestre 2017 a chuté de 79 %, à 5.323, par rapport aux 25.671 du quatrième trimestre 2016, dernier de la présidence de Barack Obama. Seuls 13 % des réfugiés admis au quatrième trimestre 2017 étaient musulmans, soit 715, et 60 % étaient chrétiens, selon les données publiées par le Département d’Etat. Au dernier trimestre 2016, 46 % des réfugiés admis étaient musulmans, soit 11.851, et 44 % chrétiens, soit 11.377.
Fin 2017 : Bhoutan, Congo, Birmanie en tête ; fin 2016 : Congo, Syrie, Somalie en tête
Ce renversement s’illustre aussi dans le classement des pays d’origine. Au trimestre dernier, arrivait en tête le Bhoutan (1.535), suivi de la République démocratique du Congo, de la Birmanie, de l’Ukraine et de l’Erythrée. Le nombre de réfugiés provenant de Syrie (33) et de Somalie (128) a diminué de façon vertigineuse. Au dernier trimestre de la présidence Obama, en revanche, les cinq principaux pays d’origine étaient, par ordre décroissant, la République démocratique du Congo (5.179), la Syrie, la Somalie, la Birmanie et le Bhoutan. Au total, durant le dernier trimestre 2017, 298 réfugiés seulement ont été admis aux Etats-Unis en provenance des sept pays (à dominante islamique) dont les ressortissants sont temporairement interdits d’entrée par l’Ordonnance 13679 du président Trump, signée le 27 janvier 2017 : Somalie (128), Irak (77), Syrie (33), Soudan (31), Iran (29), Yémen (0) et Libye (0).
La remarquable réduction du nombre d’admission de réfugiés signe la réalisation de l’engagement de campagne de Donald Trump, qui répondait à une demande pressante de l’électorat face aux dangers d’une infiltration de terroriste dans la cohorte des réfugiés, principalement en provenance de pays à majorité musulmane. Cet engagement était symétriquement et exactement contraire à celui d’Angela Merkel et autres dirigeants ouest-européens qui ont ouvert les portes dès 2015 à une immigration de masse en provenance du Moyen-Orient et d’Afrique sous prétexte humanitaire mais à visée occulte de compensation démographique, de moins-disant salarial et de division religieuse. Avec les conséquences sécuritaires que les Européens ont subies, en particulier les femmes allemandes, néerlandaise et suédoises au tournant de l’année 2016 et les divers attentats qui ont ensanglanté le Vieux Continent.
Trump a fixé un plafond d’admissions de réfugiés aux Etats-Unis à 45.000 par an, la moitié du nombre admis durant la dernière année d’Obama
Aux Etats-Unis, le nombre d’admissions de réfugiés a régulièrement décru depuis 2016, dernière année de la présidence Obama durant laquelle 84.995 réfugiés avaient admis aux Etats-Unis. En septembre 2017, le président Trump avait décidé de plafonner le nombre d’admissions à 45.000 pour l’année fiscale américaine 2018, soit du 1er octobre 2017 au 30 septembre 2018. Notons qu’il s’agit bien d’un plafond et non d’un objectif à atteindre, ce qui suscite évidemment l’ire des opposants au programme. Le nombre de 45.000 répond à la fois aux engagements de Donald Trump vis-à-vis du peuple américain, au financement voté par le Congrès et à la mise en place des nouvelles procédures d’analyse des demandes d’asile. Ces dernières viennent d’être rendues plus sévères, ralentissant le flot potentiel de réfugiés admis sur le sol des Etats-Unis.
RépondreSupprimerSi le rythme se poursuit, le nombre de « réfugiés » devrait chuter à 22.000 en 2018, quand l’Europe est submergée
Si le nombre d’admissions continue à ce rythme pour le reste de l’année fiscale 2018, le total des admissions annuelles de réfugiés devrait chuter à quelque 22.000, moins de la moitié du plafond de 45.000 fixé pour les douze mois en cours. Pendant ce temps en Europe, l’Allemagne tente de digérer son million et demi (chiffre officiel) de « réfugiés » ou prétendus tels accourus depuis mi-2015, et dont l’Europe de l’Est n’entend pas partager la charge malgré les oukases de réallocation imposés par l’Union européenne.
http://reinformation.tv/chute-nombre-refugies-etats-unis-lenoir-78933-2/
La «smart city» de Bill Gates dans l’Arizona suscite la polémique
RépondreSupprimerUne société appartenant à l'homme d'affaires américain va investir 80 millions de dollars dans un projet de ville high-tech à 60 kilomètres de Phoenix, en plein désert
Il n’y a pour l’instant qu’un vaste désert, mais les promoteurs du projet promettent à terme une ville de la superficie de Paris avec une population de 180?000 habitants et 80?000 logements. La communauté de Belmont, à environ 60 kilomètres de Phoenix, l’une des grandes métropoles de l’ouest américain, sera équipée de réseaux internet à très haut débit, de voitures autonomes, de centres de données et de plateformes logistiques autonomes. En d’autres termes, une smart city.
«Une smart city est un lieu connecté, technologiquement avancé, tourné vers l’avenir», définit pour Le Temps Brooks Rainwater, directeur du Centre de recherches appliquées à la National League of Cities. Elle doit par exemple aider à diminuer les temps de transport, optimiser la consommation énergétique ou réduire la pollution. «Elle reste centrée sur les gens. La technologie ne doit pas effacer le facteur humain», ajoute-t-il.
Belmont sortira du sol sur un terrain bon marché (moins de 20?000 dollars l’hectare). «Construire une infrastructure à partir de rien est bien plus aisé et moins cher que de retravailler un tissu urbain existant», explique un porte-parole de Belmont Partners, le groupe immobilier à l’origine du projet.
L’Arizona, Etat ouvert à l’innovation
Belmont Partners est une émanation de Cascade Investment, une holding elle-même en main de Bill Gates. Cascade prévoit d’investir 80 millions de dollars, pariant notamment sur la construction attendue d’une autoroute reliant la région de Phoenix à Las Vegas. Rien ne prouve pour l’instant que le fondateur de Microsoft soit directement impliqué, mais son nom suffit à exciter médias et officiels.
Doug Ducey, le gouverneur de l’Arizona, a déjà fait part de son soutien. Comme nous le relations en début d’année, l’Etat cherche à devenir l’un des centres de l’innovation dans le pays. Uber, Waymo et Intel ont été accueillis à bras ouverts pour tester leurs technologies dans le domaine des voitures autonomes.
Lire aussi: L’Arizona se rêve en alternative à la Silicon Valley
«Le plan de Gates et de ses partenaires permet aux talents et aux atouts de notre Etat de gagner en notoriété à l’échelle du pays, commente pour Le Temps Steve Zylstra, président de l’Arizona Tech Council. Nous entrons dans une nouvelle ère de prospérité pour nos concitoyens et ceux qui peuvent aider la future génération de l’urbanisme.»
Tout le monde ne partage pas cet enthousiasme. Brent Toderian est un consultant en urbanisme à la tête d’UrbanWorks et l’ancien chef urbaniste de la ville de Vancouver. «Dans la perspective des ressources en eau, l’endroit se rapproche de l’inhabitable. En plus, il est déconnecté du centre urbain. C’est doublement idiot», critique-t-il. D’après l’association Western Resource Advocates, le fleuve Colorado qui alimente la région en eau pourrait se retrouver 40% à sec d’ici à 2050.
RépondreSupprimer«Smart city» ou ville idiote?
Brooks Rainwater fait quant à lui confiance à Bill Gates et ses équipes pour optimiser les réserves en eau de la ville. Sa préoccupation est ailleurs. «Plusieurs nouvelles villes ont été construites pour quelques privilégiés et pas pour le plus grand nombre. Dès le départ, cette ville doit donc chercher à créer des logements, des écoles et des services pour toutes les catégories sociales.»
Le marché des technologies des smart cities pourrait représenter 34 milliards de dollars par an en 2020 (33 milliards de francs) selon la Consumer Technology Association. Mais gare à l’effet de mode, prévient Brent Toderian. «La tendance a malheureusement été de définir les smart cities par l’application de la technologie ou la collection de données», regrette l’urbaniste. «Cela vous rend bien informé, pas plus intelligent. Il faut respecter les fondamentaux: l’utilisation des terrains, la mobilité, le développement durable. La technologie aide, mais elle ne remplace pas les fondamentaux.»
Brent Toderian trouve le projet développé par Google plus pertinent parce qu’il se trouve déjà en zone urbaine. La firme de Mountain View a investi 50 millions de dollars pour tester une smart city dans un quartier de Toronto au Canada.
https://www.letemps.ch/economie/2018/01/04/smart-city-bill-gates-larizona-suscite-polemique
Construire un nouvel 'Las Vegas' loin d'un point d'eau et tout-à-fait impossible, du moins tout-à-fait invivable. Because que la 'ville du con' sera uniquement fournie par l'électricité générée par les panneaux solaires, les éoliennes et, les bicyclettes d'appartement (pour supplanter le manque d'énergie promise) offerte clé-en-main à tout acheteur de tombe en plein désert ! Hahahaha !
SupprimerImpopulaire au Tessin, la RSI est menacée par «No Billag»
RépondreSupprimerAndrée-Marie Dussault
jeudi 4 janvier 2018 à 08:42.
Même si la suppression de la redevance TV est balayée le 4 mars, le service public italophone risque d’être repensé. A fortiori si le oui l’emporte dans le canton
Le «viel Glück» de Doris Leuthard pour éviter un oui à la suppression de la redevance radio-TV le 4 mars ne suffira pas au Tessin. A l’heure actuelle, selon plusieurs observateurs, l’initiative «No Billag» passerait dans le canton italophone. Le gouvernement et la plupart des partis se mobilisent contre, mais la Radio Télévision suisse italienne (RSI) semble mal-aimée de la population.
Officiellement, seule la Ligue des Tessinois soutient «No Billag». Directeur de son organe d’information, Il Mattino della Domenica, le conseiller national Lorenzo Quadri affirme qu’il existe un mécontentement général envers la RSI. «Au lieu de remplir son mandat de manière non partisane, sa rédaction est colonisée par des gauchistes dont la propagande ne reflète pas le peuple.» Il ajoute qu’elle est surdimensionnée et trop coûteuse: «Au fil des décennies, elle s’est gonflée de façon disproportionnée par rapport à sa mission. En outre, il y règne un favoritisme de recrutement – l’épouse ou le frère d’un tel – inacceptable pour un service public.»
L’UDC tessinoise pour sa part est divisée, mais son président, Piero Marchesi, est contre «No Billag», «trop extrême» à ses yeux et parce que «le service public demeure essentiel pour la démocratie». Au Tessin, la campagne se résume à pour ou contre le financement de la RSI, laquelle jouit de peu de sympathie auprès du public, considère-t-il. «Sa taille est jugée démesurée; son information, partiale. La population ne pardonne pas.»
«La révolution est lancée»
Le scénario le plus envisageable le 4 mars ? «Je crois que «No Billag» sera rejetée au plan fédéral mais acceptée au Tessin, pronostique Piero Marchesi. Mais quel que soit le résultat, la révolution est lancée. Dans cinq ans, la RSI ne sera plus celle d’aujourd’hui, la situation actuelle ne peut pas durer.» D’autres initiatives, plus modérées, sont déjà annoncées. Comme la redevance annuelle à 200 francs (170 €) pour le financement de l’information et de la culture.
Pour Paolo Bernasconi, avocat et ancien procureur général, la RSI jouit au contraire d’une audience estimable. «Dire oui à «No Billag», c’est dire oui à Christoph Blocher et à son empire médiatique. La campagne est menée par le journal de la Lega, financé par la publicité de Blocher et d’UPC Cablecom [contrôlée par la multinationale anglo-américaine Liberty Global, ndlr], dont le directeur du journal Il Mattino est un lobbyiste.» Si le Tessin vote l’initiative, cela l’isolera encore davantage, estime-t-il.
Syndicaliste et député du Mouvement pour le socialisme (extrême gauche), Matteo Pronzini insiste quant à lui sur le grand malaise socio-économique. «Pour beaucoup de familles, ces quelques centaines de francs annuels de redevance représentent un fardeau.» Selon lui, les Tessinois ne sont pas contre la RSI, mais contre la redevance.
RépondreSupprimerCohésion nationale
Si l’initiative est refusée en Suisse mais acceptée au Tessin, il serait à ses yeux inacceptable que le résultat soit instrumentalisé pour couper le financement de la RSI. La Suisse italienne – 4% des Suisses – paie 50 millions de francs et en reçoit 200, soit un cinquième des ressources nationales. «Il y va de la cohésion nationale. La RSI n’est pas la Radio Télévision du Tessin et des Grisons, mais celle de toute la Suisse italophone, un organe d’information et de débat qui doit être valorisé.»
La réponse de la RSI
Que répond la RSI aux critiques ? «Nous devons être plus agiles, reconnaît son directeur, Maurizio Canetta. La nouvelle façon d’utiliser les médias nous impose cet objectif.» Quelle que soit l’issue de la votation, beaucoup de choses changeront, annonce-t-il. La situation financière et la révolution médiatique en cours l’exigent. Et les journalistes qu’on dit «tous de gauche»? «Certains le sont, d’autres non, répond le directeur. Notre travail consiste à offrir un service professionnel et équilibré. Il faut aussi rappeler que 1600 emplois sont en jeu.»
En cas de victoire le 4 mars, la RSI se retrouverait avec 75 % de soutien public en moins, rappelle encore Maurizio Canetta, ajoutant que les arguments en faveur de «No Billag» sont basés sur les scénarios improbables d’un système privé qui libérerait des ressources économiques. Une «pure illusion»: la Suisse italienne et l’ensemble de la Suisse représentent un marché minuscule. L’initiative profiterait uniquement à des potentats suisses ou étrangers, jugent les responsables de la RSI.
https://www.letemps.ch/suisse/2018/01/04/impopulaire-tessin-rsi-menacee-no-billag
Supprimer(...) «le service public demeure essentiel pour la démocratie». (...)
En Démocratie c'est le Peuple qui décide et non un nano-groupuscule de dictateurs comme aux autres pays !
Un médicament contre la cécité vendu 850.000 dollars aux Etats-Unis
RépondreSupprimerPAR AFP
BIOTECH 4 Janvier 2018
Le Luxturna, un médicament à dose unique contre la dégénérescence héréditaire de la rétine, sera vendu 850.000 dollars aux Etats-Unis, ce qui en fait l'un des traitements les plus chers au monde.
Le Luxturna, un médicament contre la dégénérescence héréditaire de la rétine pouvant évoluer vers la cécité totale, sera vendu 850.000 dollars aux Etats-Unis, ce qui en fait l'un des traitements les plus chers au monde.
Il est administré en dose unique, a précisé son fabricant, la société de biotechnologies Spark Therapeutics, basée à Philadelphie (est).
Dans le détail, il va coûter 425.000 dollars par oeil mais le prix final reste en dessous de un million de dollars envisagé initialement lorsqu'il avait reçu l'autorisation de l'agence américaine du médicament (FDA) mi-décembre.
Cette annonce intervient en plein débat sur la cherté des médicaments aux Etats-Unis, notamment les prix des traitements dits innovants, et ne devrait pas manquer de susciter des polémiques.
Devançant les critiques, Spark a promis de rembourser les malades si le traitement n'était pas efficace et envisage également de demander aux autorités sanitaires d'autoriser un paiement par étapes.
La biotech s'inspire ainsi d'une démarche adoptée récemment par le laboratoire suisse Novartis lors du début de la commercialisation de Kymriah, censé traiter une forme très agressive de leucémie chez des enfants et de jeunes adultes. Le laboratoire suisse s'est engagé à rendre l'argent aux assureurs et malades en cas d'inefficacité de ce traitement, vendu 475.000 dollars.
Luxturna est considéré comme le premier médicament américain issu de la thérapie génique, qui consiste à corriger une anomalie génétique en réparant le gène défectueux. Environ 1.000 cas de personnes souffrant de la dégénérescence héréditaire de la rétine sont recensées actuellement aux Etats-Unis et de 10 à 20 nouveaux cas sont attendus par an dans les prochaines années.
Outre Luxturna, d'autres médicaments avoisinent le million de dollars actuellement même s'ils nécessitent souvent plusieurs doses.
C'est le cas de Spinraza (Nusinersen en Europe), développé par Biogen et Ionis Pharmaceuticals contre l'atrophie musculaire, et de Soliris, fabriqué par Alexion Pharmaceuticals pour traiter une maladie rare des reins. Ils coûtent tous les deux environ 750.000 dollars.
La palme du médicament le plus cher au monde revient toutefois à Glybera, premier médicament génique vendu 1 million de dollars par le groupe néerlandais UniQure.
http://www.bilan.ch/economie/un-medicament-contre-cecite-vendu-850000-dollars-aux-etats-unis
SupprimerLa santé pour les riches la mort pour les pauvres.
(...) Le laboratoire suisse s'est engagé à rendre l'argent aux assureurs et malades en cas d'inefficacité de ce traitement, vendu 475.000 dollars. (...)
A rendre l'argent en cas de défaillance mais pas en cas d'aggravation prouvée (aveugle) !
Solaire allemand: 10 heures de soleil en décembre fait 40 gigawatts de rien
RépondreSupprimerJanuary 4th, 2018
De Pierre Gosselin à No Tricks Zone:
L'Allemagne a besoin de 80GW d'électricité. Il a 40GW de PV solaire installé.
Voir sur site le graphique: La ligne rouge est ce que le pays a utilisé, et les bosses orange sont la contribution solaire.
De toute évidence, l'énergie solaire va prendre le contrôle du monde.
Énergie solaire, Allemagne, décembre 2017
...
En décembre, l'Allemagne a dix heures de soleil. Ce n'est pas un chiffre quotidien, c'est tout le mois. Ainsi, en été par une journée ensoleillée, l'énergie solaire photovoltaïque peut fournir la moitié de l'électricité dont le pays a besoin pour déjeuner. En hiver, presque rien. De cinquante pour cent à cinq pour cent.
Imaginez quel genre de chaos ce genre de flux d'énergie peut faire. Aucune pièce d'équipement d'équipement de base ne peut être retirée, bien que la moitié d'entre elles ne soit pas rentable au hasard en fonction de la couverture nuageuse. Solar PV ronge l'avantage concurrentiel à faible coût. Le capital s'y trouve inutilisé, tournant en attente, tandis que les salaires, les intérêts et les autres coûts continuent de s'accumuler. Donc, les fournisseurs de base bas malchanceux facturent plus pour les heures qu'ils courent, rendant l'électricité plus chère.
Ils ont juste besoin de batteries avec trois mois d'approvisionnement. Ce sera bien une fois que l'Allemagne transformera l'état de Thuringe en une unité redox.
Lisez à ce sujet: Les jours sombres pour l'énergie solaire allemande, le pays n'a vu que 10 heures de soleil en décembre !
Il est rare que les Allemands bousillent une tâche d'ingénierie à une telle échelle.
http://joannenova.com.au/2018/01/german-solar-10-hours-of-sun-in-december-makes-40-gigawatts-of-nothing/
Nouveaux principes pour guider l'investissement des entreprises vers les objectifs climatiques
RépondreSupprimer4 janvier 2018,
Université d'Oxford
Face au changement climatique aujourd'hui, les entreprises et les investisseurs font face à de nombreuses questions éthiques complexes. Les investisseurs devraient-ils continuer à investir dans les combustibles fossiles ou devraient-ils se départir, en envoyant un signal sur l'illégitimité perçue des modèles commerciaux particuliers dans un climat changeant ? De plus, compte tenu des aspirations internationalement reconnues à atteindre des émissions nettes nulles, comment les investisseurs devraient-ils gérer les risques juridiques et financiers de cette transition ?
En réponse à un dilemme moral très différent dans les années 1970, les Principes de Sullivan ont été développés pour aider les investisseurs et les entreprises en fournissant un ensemble pratique de lignes directrices sur la façon de s'engager avec les entreprises dans le régime d'apartheid sud-africain.
Un nouvel ensemble de principes est nécessaire pour relever le défi moral du changement climatique. Ces principes, développés par une équipe de chercheurs de l'Oxford Martin School, et publiés cette semaine dans Nature Climate Change, sont un ensemble d'outils scientifiquement fondés à l'usage des investisseurs et des entreprises pour évaluer la stratégie d'entreprise contre le changement climatique.
Le rôle de la communauté des investisseurs est essentiel au succès de la transition vers une économie à zéro carbone. Il y a un labyrinthe de normes et de critères de divulgation concernant la question du climat. Les Principes d'Oxford Martin fournissent des conseils concis et factuels qui peuvent être largement appliqués aux entreprises.
Les principes sont:
1. S'engager à atteindre les émissions nettes de leurs activités commerciales
2. Développer un modèle d'affaires net zéro plausible et rentable
3. Établir des objectifs quantitatifs à moyen terme compatibles avec leur objectif net zéro
Le document applique ces principes à trois sociétés très différentes - BHP Billiton, Unilever et Statkraft. Le Dr Richard Millar, boursier d'Oxford Martin à l'Université d'Oxford, a déclaré: «Nos études de cas montrent que la plupart des entreprises ne satisferaient probablement pas à tous les principes, mais qu'elles ne seraient pas hors de portée de la plupart des entreprises.
Le professeur Cameron Hepburn, co-directeur de l'initiative d'investissement zéro carbone d'Oxford Martin a ajouté: «Le changement climatique présente une corne d'abondance de risques pour les entreprises: les entreprises doivent réfléchir à leur position stratégique face à l'évolution économique. réglementation mais aussi en termes de chaîne d'approvisionnement. "
Le professeur Myles Allen, également co-directeur de l'Initiative d'investissement zéro carbone d'Oxford Martin, a souligné: «En résumé, les investisseurs doivent savoir comment les entreprises prévoient de prospérer pendant et après la transition vers les émissions nettes nulles.
RépondreSupprimerLe professeur Sir John Beddington, conseiller principal à l'Oxford Martin School, conclut: «La participation du secteur commercial est essentielle si l'on veut atténuer les changements climatiques: la solution simple consistant à ne pas investir dans les entreprises liées aux combustibles fossiles n'est pas la solution, offrir aux investisseurs et aux entreprises un moyen nettement plus sophistiqué de s'engager au-delà de la simple cession. "
https://phys.org/news/2018-01-principles-corporate-investment-climate-goals.html#jCp
SupprimerLes investisseurs-pigeons se rendent enfin compte que leurs contributions à fabriquer des illusions de rentabilité dans 'les nouvelles énergies' ne peuvent demeurer qu'au stade du rêve ! Hahahaha !
En Allemagne ils ont eu 10 heures de soleil en 31 jours ! Hahahaha ! Après un mois à manger de la soupe froide, l'idée des nouveaux fours crématoire est à rediscuter !
NY déclare l'état d'urgence: JFK, La Guardia à cause de l'énorme tempête hivernale
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 01/04/2018 - 11:39
Les vols à l'aéroport JFK ont été temporairement suspendus «en raison des vents violents et des conditions de voile blanc» causés par la tempête hivernale Grayson.
En raison des vents forts et des conditions de voile blanc, les vols à JFK ont été temporairement suspendus. Les voyageurs sont priés de communiquer avec leurs transporteurs aériens pour obtenir des mises à jour sur la reprise du service
"Les voyageurs sont priés de contacter leurs transporteurs aériens pour des mises à jour sur la reprise du service", a conseillé le compte Twitter de JFK.
Le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, a déclaré jeudi une situation météorologique officielle à New York, Long Island et Westchester County, alors que la tempête devrait tomber à un pied de neige à New York.
Presque tous les vols en provenance de La Guardia, l'autre grand aéroport de New York, ont été annulés tard hier soir en prévision de la tempête.
Presque tous les vols de l'aéroport #LGA sont annulés aujourd'hui (4 janvier) en raison de la météo. Pour déterminer si votre opérateur peut encore opérer plus tard ce soir ou quel sera votre statut de vol demain (5 janvier), veuillez les contacter directement. # LaGuardia #Winterstorm #Grayson
L'aéroport de Newark a averti les voyageurs de vérifier l'état de leurs vols parce que beaucoup avaient été annulés.
Les conditions météorologiques affectent de nombreux vols à #EWR. Nous vous invitons fortement à vérifier auprès de votre transporteur l'état de vos vols. Je vous remercie.
Le site de suivi aérien FlightAware rapporte plus de 3 200 vols annulés à l'intérieur, à l'intérieur ou à l'extérieur des États-Unis jeudi, a rapporté l'Associated Press.
La tempête hivernale massive déferle des Carolines au Maine, déversant de la neige le long de la côte et apportant des vents forts.
Le gouverneur du Massachusetts met en garde contre de possibles pannes d'électricité prolongées résultant de la forte tempête de neige qui sévit sur la côte Est, suivie par un froid plus sévère.
Gouverneur Charlie Baker a déclaré jeudi matin que les autorités d'urgence sont prêts à ouvrir des abris dans le sud-est du Massachusetts et Cape Cod, où la neige lourde et les rafales de vent de 60 mph ou plus représentent la plus grande menace de pannes.
Les vents forts pourraient également rendre difficile, voire impossible, les équipes de services publics d'utiliser des camions-citernes pour restaurer rapidement les lignes électriques tombées.
RépondreSupprimerDans le Connecticut, le gouverneur Dannel P. Malloy affirme que plus de 100 centres de réchauffement sont ouverts dans 34 villes. Malloy dit que l'état a 634 camions de labour d'état et 250 entrepreneurs travaillant pour dégager les autoroutes.
Déjà, deux décès en Caroline du Nord sont attribués à la tempête de neige de la côte Est.
Les autorités disent que deux hommes sont morts pendant la tempête hivernale mercredi soir quand leur camionnette s'est renversée dans un ruisseau.
https://www.zerohedge.com/news/2018-01-04/jfk-la-guardia-cancel-all-flights-grayson-hammers-east-coast
Il ne s'agit pas de la démocratie: la fraude au contrôle est au cœur de notre système politique
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 01/04/2018 - 08:50
Auteur de Charles Hugh Smith via le blog OfTwoMinds,
Les nombreux sont finalement en train d'appeler les abuseurs de pouvoir parce qu'il n'y a plus besoin de payer les coûts corruptibles de la centralisation.
Si nous supprimons le prétexte de la démocratie, quel est le noyau de notre système politique ? Réponse: la fraude de contrôle, que je définis comme ceux qui ont le contrôle / le pouvoir dans les institutions centralisées, s'enrichit au détriment des citoyens en modifiant sélectivement ce qui est permis, et ce dans un processus de conformité légale, ie dans la lettre de la loi sinon l'intention de la loi.
J'ai abordé la fraude au contrôle un peu dans Le mécanisme caché de la super-richesse: blanchiment d'argent 2.0 (29 décembre 2017), dans lequel j'ai cité le correspondant JD.
Voici les commentaires supplémentaires de JD sur Money Laundering 2.0, la fraude au contrôle et le processus politique:
Money Laundering 1.0: Vous faites un tas d'argent sale et vous devez trouver un moyen de le rendre légitime. Comment pouvez-vous transformer un tas d'argent de la drogue en investissements appropriés ? C'était un problème pour les bootleggers et persiste dans les temps actuels. Avec la fraude de contrôle, vous cooptez le mécanisme légal et l'utilisez pour voler. Le système protège la tromperie. En 2008, nous avons sauvé les secousses. Les deux sont souvent utilisés ensemble.
Je pense que Money Laundering 2.0 est la deuxième partie de cette équation et la grande tendance mondiale. Avec 2.0, le détenteur de la richesse utilise les rouages du système mondial pour délocaliser les gains (légitimes ou non) vers des endroits sûrs où ils ne peuvent être taxés ou récupérés. Le concept est simple, mais les mécanismes sont par nature complexes pour dissimuler l'affaire. Pensez aux Îles Caïmans, aux Papiers Paradis, aux compagnies de coquillages, etc., etc etc. Jetez de l'argent dans des voitures, maisons, etc. fous. Si les biens physiques ne sont pas faciles, donnez à une fondation ou un politicien et vous serez récompensé avec complicité. date ultérieure.
Soudain, les pièces tombent ensemble. Les Russes ne s'entendaient pas pour lancer une élection; ils étaient aussi surpris le 2 novembre que tout le monde. La collusion ne portait pas sur la politique, mais sur le blanchiment d'argent 2.0.
Le blanchiment d'argent 2.0 utilise les rouages de la comptabilité et du gouvernement pour permettre la délocalisation de la richesse, passant souvent les pertes aux contribuables sous forme de dette.
Merci, JD. J'ajouterai qu'une fois que les oligarques, les kleptocrates, les fonctionnaires corrompus, les entreprises et les ploutocrates politiquement puissants (c'est-à-dire les élites) garent leurs richesses dans des paradis étrangers, protégés contre les impôts, ils forcent le plus grand nombre. imposition) pour supporter plus de fardeaux fiscaux, c'est-à-dire payer des impôts plus élevés.
RépondreSupprimerLe point important ici n'est pas que la fraude de contrôle est permise par les institutions centralisées; c'est que la fraude de contrôle est le seul résultat possible de la centralisation. J'ai discuté de cette dynamique dans mes livres. Pourquoi les choses s'effondrent-elles et que pouvons-nous faire? Résistance, Révolution, Libération: la centralisation concentre le pouvoir dont les initiés ont besoin pour se faire bénéficier aux dépens de tout le monde.
Voici un pouvoir centralisé à l'œuvre: le mécanisme visant à enrichir davantage les élites riches et les initiés politiques n'est pas un accident malheureux du pouvoir centralisé, c'est le seul résultat possible du pouvoir centralisé.
- voir graphique sur site -
On nous dit que le pouvoir centralisé est la seule façon possible d'organiser la société humaine, qu'elle est aussi inévitable que les marées. Mais ce n'est plus vrai. Cette affirmation sert bien les initiés, car elle donne l'impression que leurs abus de pouvoir personnels ne sont pas légitimes alors inévitables.
Mais les organisations centralisées peuvent maintenant être remplacées par des réseaux décentralisés. Nous n'avons plus besoin de bosses, d'empires ou d'empereurs, ou de leurs équivalents modernes (exécutifs de la zone euro, du Politburo et du Fédéral, etc.) ou même des monnaies contrôlées centralement, qui sont la forme ultime de fraude au contrôle.
Les nombreux sont finalement en train d'appeler les abuseurs de pouvoir parce qu'il n'y a plus besoin de payer les coûts corruptibles de la centralisation. Les avantages de la centralisation ont été épuisés au 20ème siècle, et maintenant les conséquences négatives s'accumulent, étouffant la planète et ses habitants. Nous glissons sur la courbe en S de la centralisation, prenant de l'ampleur:
- voir graphique sur site -
Le pouvoir centralisé n'est jamais sur la démocratie ou le consentement des gouvernés; ce ne sont que de simples accessoires pour cacher la fonction essentielle du pouvoir centralisé: contrôler la fraude qui profite à quelques-uns au détriment de la majorité.
https://www.zerohedge.com/news/2018-01-04/its-not-about-democracy-control-fraud-core-our-political-system
SupprimerAussi idiot que cela puisse paraître, comme pour les escroqueries sur la mer qui va monter et le public tout con de le croire sans réfléchir, les étatsuniens ne s'aperçoivent qu'aujourd'hui que, la Démocratie n'existe pas chez eux !!! Çà alors ! Pourtant tous les jours les politichiens en parlent ! et, il y a même un 'parti démocrate' ! Hahahaha !
Un parti démocrate ANTI Démocratie !!
La «faille» de la puce informatique suscite un débat sur la sécurité au milieu d'une brouille
RépondreSupprimer4 janvier 2018
Une vulnérabilité nouvellement découverte dans les puces d'ordinateur a soulevé des inquiétudes mercredi que les pirates pourraient accéder à des données sensibles sur la plupart des systèmes modernes, car les entreprises technologiques ont cherché à minimiser les risques de sécurité.
Le géant des puces Intel a publié une déclaration répondant à une avalanche d'avertissements apparus après que des chercheurs eurent découvert le trou de sécurité qui pourrait permettre la fuite de données stockées en privé dans des ordinateurs et des réseaux.
Intel étiqueté comme des rapports incorrects décrivant un «bug» ou «défaut» unique à ses produits.
Le directeur général d'Intel, Brian Krzanich, a déclaré à CNBC que "tous les processeurs modernes de toutes les applications" utilisent ce processus connu sous le nom de "mémoire d'accès", découvert par les chercheurs de Google et confidentiel au fil des remèdes.
Google, quant à lui, a publié les résultats de ses chercheurs en sécurité qui ont suscité les inquiétudes, disant qu'il a rendu les résultats publics jours en avance sur le calendrier parce qu'une grande partie de l'information avait été dans les médias.
L'équipe de sécurité a découvert de graves failles de sécurité dans les périphériques alimentés par les puces Intel, AMD et ARM et les systèmes d'exploitation qui les exécutaient et a noté que si une partie non autorisée lisait des informations sensibles dans la mémoire du système telles que mots de passe, clés de chiffrement ou des informations sensibles ouvertes dans les applications. "
"Dès que nous avons appris cette nouvelle classe d'attaque, nos équipes de sécurité et de développement de produits se sont mobilisées pour défendre les systèmes de Google et les données de nos utilisateurs", a déclaré Google dans un blog sur la sécurité.
«Nous avons mis à jour nos systèmes et les produits concernés afin de les protéger contre ce nouveau type d'attaque.Nous avons également collaboré avec des fabricants de matériel et de logiciels de toute l'industrie pour protéger leurs utilisateurs et le Web en général.
Spectre et Meltdown
L'équipe de Google a indiqué que les vulnérabilités, intitulées "Spectre" et "Meltdown", affectaient un certain nombre de puces d'Intel ainsi que certaines d'AMD et d'ARM, spécialisées dans les processeurs pour appareils mobiles.
Intel a déclaré qu'il travaillait avec AMD et ARM Holdings et avec les fabricants de logiciels d'exploitation pour «développer une approche sectorielle pour résoudre ce problème rapidement et de manière constructive».
RépondreSupprimerJack Gold, un analyste indépendant de la technologie, a déclaré qu'il avait été informé lors d'une conférence téléphonique avec Intel, AMD et ARM sur la question et que les préoccupations des trois entreprises étaient exagérées.
"Toutes les puces sont conçues de cette façon", a déclaré Gold.
Les entreprises travaillaient sur des remèdes après que "certains chercheurs ont trouvé un moyen d'utiliser l'architecture existante et d'entrer dans des zones protégées de la mémoire de l'ordinateur et de lire certaines données", a t-il ajouté.
Microsoft a déclaré dans un communiqué n'avoir aucune information suggérant des données compromises mais "publiant des mises à jour de sécurité aujourd'hui pour protéger les clients Windows contre les vulnérabilités".
Mais un porte-parole d'AMD a déclaré qu'en raison des différences dans l'architecture des processeurs AMD, "nous pensons qu'il y a un risque quasi nul pour les produits AMD en ce moment".
Pendant ce temps, ARM a déclaré qu'il travaillait «en collaboration avec Intel et AMD» pour résoudre les problèmes potentiels «dans certains processeurs haut de gamme, y compris certains de nos processeurs Cortex-A».
"Nous avons informé nos partenaires de silicium et nous les encourageons à mettre en œuvre les mesures d'atténuation logicielles développées si leurs puces sont impactées", a déclaré la société détenue par SoftBank.
Ralentissez ?
Plus tôt cette semaine, certains chercheurs ont déclaré que toute solution - qui devrait être manipulée par un logiciel - pourrait ralentir les systèmes informatiques, peut-être de 30% ou plus.
La déclaration d'Intel a indiqué que ces inquiétudes, aussi, étaient exagérées.
"Contrairement à certains rapports, les impacts sur les performances dépendent de la charge de travail et, pour l'utilisateur moyen, ne devraient pas être significatifs et seront atténués au fil du temps", indique le communiqué.
Tatu Ylonen, chercheur en sécurité chez SSH Communications Security, a déclaré que les correctifs "seront efficaces", mais qu'il sera essentiel d'améliorer tous les réseaux et services de cloud computing, a déclaré M. Ylonen.
Le chercheur britannique en matière de sécurité, Graham Cluley, a également exprimé sa préoccupation "que les attaquants puissent exploiter la faille sur les systèmes vulnérables pour accéder à des parties de la mémoire de l'ordinateur qui pourraient stocker des informations sensibles.
RépondreSupprimerMais il a dit dans un article de blog que c'était une "bonne nouvelle" que le problème ait été gardé secret pour permettre aux systèmes d'exploitation tels que ceux de Microsoft et Apple de faire des mises à jour de sécurité avant que la faille ne soit malicieusement exploitée.
https://phys.org/news/2018-01-google-flaws-intel-chips.html#jCp
SupprimerAprès avoir développé une nouvelle escroquerie sur 'La mer qui refuse de monter' en expliquant qu'en fait l'eau s'enfonce dans les planchers océanique et risque de passer au travers de la terre (HAHAHAHAHA !), (la mer ne grossit pas d'en haut et en large mais seulement d'en bas ! Hahahaha !) il n'y en a pas pour longtemps avant qu'ils avouent que toutes leurs élucubrations sur le réchauffement climatique qui refuse d'arriver viennent de la puce Intel ! Hahahahaha !
Anatomie d'un Crypto-Nightmare: CEO Ripple est maintenant plus riche que Zuckerberg
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 01/04/2018 - 09:21
Après avoir grimpé de 36 000 % l'an dernier et poursuivi sa course folle en 2018 ...
Ripple a bondi devant Ethereum en tant que deuxième crypto-monnaie par ...
Bitcoin 246 $
Ondulation 143bn
Ethereum $ 97BN
- voir graphiquer sur site -
image avec l'aimable autorisation de CoinTelegraph
Laissant Mike Novogratz haletant la folie ... comme PDG de Ripple est maintenant le 5ème homme le plus riche du monde ...
Total $ XRP vaut maintenant $ 380 milliards ... rend les laboratoires Ripple d'une valeur de 225 milliards $ .. dixième plus grande entreprise par capitalisation boursière dans le monde ... fait Chris Larsen valeur de 55 milliards $ liant Mark Zuckerburg en tant que 5ème homme le plus riche du monde ... ..
À un moment de la bulle immobilière japonaise de 1989, on disait que le palais impérial au Japon valait plus que tout l'état de la Californie, les choses qui n'ont pas de sens ne durent pas ... faites attention là-bas
Mais c'est Tom Luongo qui est le plus concerné par ce "crypto-cauchemar" et pour cause ...
Au milieu de toutes les discussions haussières sur les cryptomonnaies, nous savons que le système bancaire et ses propriétaires sont en train de riposter. En fait, l'attaque telle que je la vois est bien engagée.
Et cela a commencé avec l'attaque sur la crédibilité de Bitcoin Cash et ça continue avec la pompe folle de Ripple et n'importe quelle pièce qui a des liens directs avec de l'argent ancien. Ce que je veux poser aujourd'hui est de savoir comment le prochain krach sur les marchés de la crypto-monnaie peut et va probablement se jouer.
Pour exposer cela, vous devez croire que certaines choses sont vraies.
Les principales banques de centres financiers ont toutes pendant longtemps commercialisé du Bitcoin et d'autres pièces alt. Ils ont des livres substantiels pour pousser et tirer le prix.
Le marché à terme est utilisé pour contrôler le prix pendant les heures de jour aux États-Unis et en Europe.
L'échec de Bitcoin à implémenter «Segwit 2x» et son dysfonctionnement actuel était intentionnel pour que Blockstream puisse offrir une «solution» à un «problème» qui n'aurait pas dû exister.
Lightning Network est simplement un plan de contrôle de sauvegarde dans le cas où Ripple n'est pas adopté par le marché comme couche de crypto-règlement et d'échange. Il crée une deuxième couche de centralisation hors-chaîne.
RépondreSupprimerÀ ce jour, la législation et la réglementation ont été conçues pour permettre à l'argent de pénétrer dans les crypto-marchés sans pour autant en ressortir.
Ripple, autrement connu comme «BanksterCoin» parmi nous crypto-amateurs est le cheval de traquage de l'industrie de la cryptomonnaie. La hausse fulgurante des prix coïncide avec le pic de Bitcoin et les méandres subséquents. Il a été fait, au moment opportun, de voir des articles comme ceux-ci (ici, ici et ici) écrits à l'approche de la nouvelle année.
Le piège de Bitcoin
Regardez la situation dans Bitcoin. Après l'échec de la mise en œuvre de l'accord de New York, quelque chose qui ne devait pas nécessairement être une proposition de tout ou rien, Bitcoin est passé de 5000 $ à près de 20 000 $ en moins d'un mois. Les frais de transaction ont grimpé, les échanges sont devenus illiquides, il est difficile d'obtenir des pièces de monnaie excédentaires, car beaucoup se sont révélés (du moins à court terme) ne pas avoir les actifs sous-jacents que les gens «négocient».
Des services comme Changelly et Shapeshift ont des listes beaucoup plus petites de pièces disponibles pour un échange facile qu'il y a un mois. Essayez d'acheter des jetons comme WAVES, STEEM, Golem, NEO ou Komodo sur ces services. Tu ne peux pas. Ils ne peuvent pas rechercher des jetons réels ou les passerelles pour les échanger sont en panne.
La meilleure façon de tuer un marché est d'amener les investisseurs particuliers à acheter le maximum et à vendre. Telle est la matière dont sont faits les marchés d'ours. Il est impératif de réduire la confiance des investisseurs particuliers. C'est ainsi que les marchés sont mis au pas. Ensuite, vous quittez ce marché pour le prochain marché que vous voulez promouvoir. C'est ce que fait l'industrie bancaire avec son «analyse» côté vente.
J'ai une règle, quand Goldman-Sachs dit "Acheter" je vends et vice versa. Dans mon univers, à tort ou à raison, Goldman et ses semblables continuent de négocier contre ses recommandations et ses clients. Et si ce n'est plus permis de le faire * wink * * wink * à cause de Dodd-Frank alors dans les crypto-marchés non réglementés, vous devriez parier qu'ils, J.P. Morgan et le reste d'entre eux sont.
Donc, il est facile de croire en une pompe irrationnelle de Bitcoin à 20 000 $ et la rotation subséquente en Ripple, en augmentant son prix et son profil, tout en laissant «the newbz» suspendu au sommet. Ajouter dans le commerce à terme Bitcoin pour aider la queue wag le chien, les frais de transaction fous qui ont tout le monde se demande ce qui est si grand sur ce Bitcoin si cela coûte 30 $ pour déplacer 100 $ et vous avez un set-up pour le carnage.
Le pic à 20 000 $, à mon avis, a été créé par le déploiement très hinckey de son rival Bitcoin Cash par Coinbase le mois dernier. L'objectif était de semer la confusion et de miner Bitcoin Cash comme une alternative à Bitcoin. Encore une fois, si vous voulez contrôler l'ensemble du marché, vous le faites en éliminant la concurrence réelle.
Voir, les gens, toute cette confusion et le carnage vient de ne pas avoir un contrôle centralisé. Mais, hé, il y a cette nouvelle chose cool appelée Ripple qui résout tout cela et le prix va bonkers !
Piège
RépondreSupprimerÀ Ethereum et au-delà
C'est le passé. C'est là où nous sommes en 2018. Maintenant quoi ?
En réponse à cela, Ethereum commence une autre poussée vers 1000 $. Maintenant, Ethereum a ses propres problèmes qui sont basés sur la technologie. En fin de compte, sa blockchain est seulement aussi sécurisée que le code des jetons émis dessus.
Nous avons vu cela en réalité à quelques reprises, y compris le piratage à cause de mauvais code qui a forcé une fourche de la chaîne de blocs Etherum qui a créé Ethereum Classic (ETC) et Ethereum (ETH).
Alors que je crois sincèrement qu'un (ou plusieurs) de ces projets basés sur Ethereum est susceptible de créer un autre événement comme celui-là, le cynique pur en moi dit: «Pourquoi attendre?
Si vous étiez les méchants ne serait-ce pas votre plan en premier lieu ? Créez un projet crypto en utilisant des jetons ERC-20 qui résolvent et libèrent la chaîne de blocs Ethereum dans le but de la casser. Invitez l'argent des investisseurs, disons cinquante millions de dollars. Un montant d'argent raisonnable, mais pas fou.
Ensuite, laissez le code s'exécuter jusqu'à ce que cela cause un dommage maximal à Ethereum et à toute la crypto-communauté. Le jeton remonte quatre ou cinq fois parce que c'est simplement ce qui se passe dans l'espace.
À ce stade, vous avez créé une fusion de plus de 200 millions de dollars et des titres à gros titres négatifs.
À ce stade, Bitcoin est neutralisé et contrôlé, Ethereum est discrédité et quelque chose comme ça causerait une panique majeure qui est exploitée par les mêmes bureaux de négociation de prop qui ont fait exploser la bulle en premier lieu.
Si vous le faites avec un pic de Ripple, la pièce acceptable pour le banquier, et que vous l'écrasez aussi, vous supprimerez la majeure partie de l'industrie en un rien de temps. Les dégâts psychologiques d'un scénario comme celui-ci vont créer un marché baissier qui ne ressemble pas à celui créé après la bulle Dot-Com.
Et comme ce buste, seules les entreprises qui sont disposées à jouer au ballon avec Wall Street et Washington DC seront promus et autorisés à prospérer.
Piège Sprung.
Si vous ne pensez pas que Wall Street ne pense pas en ces termes, vous n'êtes pas un crypto-investisseur sérieux. C'est le scénario du cauchemar, ou un semblable.
La solution Slipstream
C'est pourquoi je continue à parler de la nécessité d'échanges décentralisés où le genre de manipulation décrit ci-dessus est plus difficile, sinon impossible, à réussir. Fondamentalement, je ne crois pas que la majeure partie de la «liquidité» qui existe sur les échanges comme HitBTC, Bittrex, GDAX, etc. existe.
Entre la fausse liquidité créée par Tether et le potentiel de gestion des réserves fractionnaires, il n'est pas difficile de poser des questions. Il ne prend pas le poids de l'ensemble du marché Bitcoin pour augmenter le prix. Il suffit d'un gars prêt à acheter la demande. Une fois que les vendeurs ont soulevé leurs offres en réponse à une vague d'achats, les choses vont vite, surtout avec le trading programmatique, basé sur l'algo.
Ces bourses qui ne détiennent pas tous les dépôts comme des contrats intelligents hors bourse avec des réserves à 100% + comme BitShares sont vulnérables à des hausses de prix importantes créant des problèmes de liquidité, ce qui ne fait qu'ajouter à l'idée que l'industrie est amateur.
RépondreSupprimerUne autre solution à part Bitshares est le BarterDEX de Komodo, qui se négocie exclusivement par le biais de swaps atomiques inter-chaînes et n'a pas besoin d'un intermédiaire tiers. Les deux représentent pour moi l'endroit où l'industrie doit aller pour éviter que Ripple et Goldman ne se retrouvent à la tête de l'émission.
Rappelez-vous, personne n'utilise l'échange de BitShares. C'est complètement basé sur blockchain. Il s'agit d'un OBITS à but lucratif entièrement négociable, qui distribue les bénéfices mensuels de l'échange aux détenteurs de jetons (le rendement actuel est d'environ 4%). Il n'y a pas de pool central de liquidité qui nécessite des liens de plus en plus étroits avec les fournisseurs de crédit. Le réseau ne gère que les actifs qui y ont été déposés.
Des projets comme AriseBank (divulgation complète que j'ai acheté dans son ICO), je pense, méritent un coup d'oeil. AriseBank s'est associée à BitShares pour fournir la technologie back-end afin de faciliter les échanges de devises et les services de courtage. Elle se présente elle-même comme la première banque véritablement décentralisée au monde, conçue pour concurrencer directement les grandes banques et offrir un nouveau modèle d'affaires pour les banques.
Ainsi, à mesure que 2018 évoluera, nous, commerçants et investisseurs, devons être conscients des dangers de la liquidité centralisée et retirer notre liquidité d'eux, en soutenant des projets qui construiront le type d'infrastructure que la conception initiale de Bitcoin était supposée soutenir.
Tant de personnes qui se sont lancées dans les cryptocurrences en 2017 n'auront pas de stratégie de sortie en 2018 lorsque le fan sera touché. Comme nous l'avons vu au sommet de décembre, l'entrée ou la sortie de Coinbase était un cauchemar.
Regarder la structure du marché à travers cette lentille fournit un moyen de siphonner une partie de l'énergie que les banques fournissent aux cryptos pour gonfler non seulement vos portefeuilles, mais aussi apporter de la validité et de la stabilité aux marchés et aux entreprises qui continueront à combattre. de "Rencontrez le nouveau patron, même que l'ancien patron."
https://www.zerohedge.com/news/2018-01-04/anatomy-crypto-nightmare-ripple-ceo-now-richer-zuckerberg
Tout est conçu pour créer la confusion la plus parfaite. D'une part un propriétaire doit encore payer son terrain chaque année !! + sa maison chaque année !! et, s'il a un véhicule, celui-ci est également imposé par diverses taxes, vignettes et complèments tout aussi illégaux.
SupprimerD'autre part, la prochaine disparition de la monnaie papier & ferraille ne permettra plus à quiconque de conserver chez lui 'de l'argent sous le matelas'. Et, comme l'or n'est pas et n'a JAMAIS été une référence (étalon bidon) et que son prix affiché n'est pas celui reflétant les transactions dans le monde mais seulement la décision d'un nano-groupuscule de voleur qui déterminent deux fois par jour le prix de l'once, à qui se fier ? A personne !
C'est toute la différence entre une dictature et une Démocratie.
Notez aussi que les 'hackers' (agents NSA) font ce qu'ils veulent; et, si demain votre compte est vide, votre banque dira que ce n'est pas elle qui la vidé mais des hackers !
Pourquoi Hackers Hack: Visualiser les motivations derrière les cyberattaques
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ve, 01/05/2018 - 01:00
Les cyberattaques ont causé des dommages de 450 milliards de dollars à l'économie mondiale en 2016, et ce nombre devrait continuer à augmenter à mesure que nous continuons d'ajouter plus d'appareils connectés au réseau.
Comme le souligne Jeff Desjardins, Visual Capitalists, l'ampleur de cet impact ne doit pas être sous-estimée. Il est plus grand que les économies notables comme les EAU (371 milliards de dollars) ou la Norvège (370 milliards de dollars). C'est pourquoi il n'est pas surprenant de voir des organisations mobiliser des ressources importantes pour renforcer leurs défenses internes et réduire les risques de menaces.
Mais si les origines de ce boom de la cybersécurité peuvent être claires, ce qui est moins évident, c'est pourquoi tout ce piratage se produit en premier lieu.
Pourquoi les hackers piratent-ils, et quels sont les motifs derrière ces puissantes cyberattaques ?
POURQUOI HACKERS HACK
L'infographie d'aujourd'hui nous vient de Raconteur, et elle décompose les statistiques de quelques grandes études mondiales sur la cybersécurité.
- voir graphique sur site -
Courtoisie de: Visual Capitaliste
L'un des premiers jeux de données présentés provient de Radware, montrant les raisons pour lesquelles les hackers piratent:
Rançon (41%)
Menace d'initié (27%)
Raisons politiques (26%)
Concurrence (26%)
Cyberguerre (24%)
Utilisateur en colère (20%)
Motif inconnu (11%)
Il est intéressant de noter que la rançon est le principal motif à 41 % - mais d'autres raisons telles que la politique, la concurrence et la cyberguerre se sont également réparties équitablement dans le mélange.
Verizon, dans son rapport Data Breach Investigations 2017, décompose les motivations des hackers d'une manière différente. En utilisant les trois catégories plus larges de "Financier", "Espionnage" et "Amusement, Idéologie, ou Grudge (FIG)", voici comment les cyberattaques se présentent au fil du temps:
- voir graphique sur site -
https://www.zerohedge.com/sites/default/files/inline-images/20180104_hack.jpg
Plus particulièrement, l'espionnage semble être à la hausse.
C'est important, car plus de 50 % des hacks proviennent déjà de groupes criminels organisés et près de 20 % proviennent d'acteurs affiliés à l'État. L'espionnage devenant un motif plus commun, il suggère que les cyberattaques continueront à être plus sophistiquées et délibérées, et que des équipes spécialisées de pirates exécutent un pourcentage croissant des attaques.
RépondreSupprimer(Pour une vision en temps réel de cet espionnage en action, assurez-vous de regarder la cyber-guerre se dérouler en temps réel.)
QUI ET POURQUOI ?
Les pirates piratent pour une multitude de raisons différentes.
Cependant, il semble que les acteurs et les motivations du piratage évoluent progressivement au fil du temps. Moins de cyberattaques aujourd'hui ont des motivations FIG (fun, idéologie, rancune), et plus d'attaques sont de plus en plus liées à l'espionnage.
Avec plus d'attaquants délibérés, déterminés, sophistiqués et basés sur l'équipe, il n'est pas étonnant que l'industrie de la cybersécurité croisse à un rythme annuel de 9,5 %.
https://www.zerohedge.com/news/2018-01-04/why-hackers-hack-visualizing-motives-behind-cyberattacks
Un conte de deux Amériques: Où les riches deviennent plus riches et les pauvres vont en prison
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 01/04/2018 - 23:25
Rédigé par John Whitehead via The Rutherford Institute,
C'est l'histoire de deux Amériques, où les riches deviennent plus riches et les pauvres vont en prison.
https://www.zerohedge.com/sites/default/files/inline-images/20180104_rich.png
Aidé et encouragé par le procureur général Jeff Sessions - un homme qui ne reconnaîtrait pas la Constitution si elle le frappait au visage - le rêve américain est devenu le plan américain: les riches deviennent plus riches et plus puissants, tandis que tous ceux qui n'appartient pas à l'élite de pouvoir devient plus pauvre et plus impuissant pour faire n'importe quoi au sujet de la glissière régulière de la nation vers le fascisme, l'autoritarisme et un état de police motivé par le profit.
Non content de se plier aux forces de l'ordre et d'ajouter à ses largesses militaires des armes et des équipements conçus pour la guerre, Sessions a fait un effort concerté pour élargir le pouvoir de l'État policier de fouiller, dépouiller, saisir, voler, arrêter et emprisonner. pour n'importe quelle infraction, peu importe comment insignifiant.
Maintenant, Sessions a donné le feu vert aux tribunaux de l'État pour qu'ils reprennent leur pratique d'emprisonnement des personnes qui ne sont pas en mesure de payer les lourdes amendes imposées par l'État policier américain. Ce faisant, Sessions s'est montré une fois de plus non seulement un shill pour l'État profond mais un ennemi du peuple.
Tout d'abord, certains antécédents sur les prisons des débiteurs, qui emprisonnent les personnes qui ne peuvent pas se permettre de payer les amendes exorbitantes qui leur sont imposées par les tribunaux et d'autres organismes gouvernementaux.
Le Congrès a interdit les prisons des débiteurs en 1833.
En 1983, la Cour suprême des États-Unis a jugé la pratique inconstitutionnelle en vertu de la clause d'égalité de protection du quatorzième amendement.
Là où les choses ont commencé à changer, selon The Marshall Project, c'était avec la montée de «l'incarcération de masse» lorsque nous avons commencé à emprisonner plus de gens pour des crimes mineurs.
À la fin des années 1980 et au début des années 1990, [traduction] «le nombre de peines d'emprisonnement pouvant entraîner une incapacité à rembourser la dette en matière de justice pénale a considérablement augmenté». Au cours des années 2000, les tribunaux ont commencé à encaisser en utilisant la menace d'une peine d'emprisonnement - établie dans ces lois - pour extorquer de l'argent aux petits débiteurs.
Avance rapide jusqu'à nos jours, ce qui nous confronte non seulement à des prisons privées à but lucratif et à un complexe pénitentiaire, mais aussi, comme le remarque Eli Hager, «la naissance d'une nouvelle justice« financée par les délinquants ». "
Suivez la piste de l'argent. Cela montre toujours le chemin.
Que vous parliez de la guerre du gouvernement contre le terrorisme, de la guerre contre la drogue ou d'un autre danger fantôme imaginé par des bureaucrates entreprenants, il y a toujours une incitation au profit.
RépondreSupprimerLa même chose vaut pour la guerre au crime.
À un moment donné, le système pénal américain fonctionnait sous l'idée que les criminels dangereux devaient être mis sous clé pour protéger la société. Aujourd'hui, le «système de justice» américain défectueux mais rétributif est remplacé par une forme de châtiment de masse encore plus imparfaite et insidieuse basée sur le profit et l'opportunisme.
Le dernier jeu de Sessions joue dans les mains de ceux qui font des profits en emprisonnant des Américains.
Dans un tel système, le sort de l'Américain moyen est mesuré en dollars et en cents.
Ce n'est pas la justice.
C'est encore un autre exemple de la façon dont la cupidité et les incitations au profit ont non seulement perverti la police en Amérique, mais ont corrompu tout le système de justice pénale.
Malheureusement, le système de justice pénale fonctionne comme une entreprise à but lucratif depuis des années, se cachant secrètement dans ses poches grâce à des programmes visant à maximiser les revenus plutôt qu'à assurer la sécurité publique.
Tous ces agents de police qui travaillent dur et agents d'application de la loi et agents de circulation et agents de la circulation distribuent des tickets après billet: ils ne travaillent pas à rendre vos communautés plus sûres - ils ont des quotas à remplir.
Il en va de même pour les tribunaux, qui en viennent à compter sur des amendes, des frais et des pénalités de retard exorbitantes pour accroître leurs recettes. Le pouvoir de ces tribunaux, amplifié ces dernières années par l'introduction de tribunaux spécialisés au-delà de votre tribunal de la circulation (tribunal de la drogue, tribunal des sans-abri, tribunal des anciens combattants, tribunal de la santé mentale, tribunal pénal, tribunal pour adolescents, tribunal de la prostitution, tribunal communautaire, tribunal de la violence conjugale, tribunal de l'absentéisme), «remodèle le système juridique américain - avec peu de surveillance», conclut le Boston Globe.
Et pour ceux qui n'ont pas les moyens de payer les amendes additionnelles (302 $ pour jaywalking, 531 $ pour une cour envahie ou 120 $ pour arriver quelques minutes en retard au tribunal), il y a la probation (gérée par profit) les entreprises qui appliquent leurs propres frais, qui sont souvent plus du double de l'amende initiale) ou les peines d'emprisonnement (dirigées par des entreprises à but lucratif qui imposent des frais à tous les détenus, de la nourriture et du logement aux appels téléphoniques). les fardeaux financiers de ceux qui sont déjà incapables de naviguer dans un état carcéral coûteux.
Posez-vous la question suivante: à une époque où les taux de criminalité à travers le pays restent à des niveaux historiquement bas (malgré les affirmations inexactes de Sessions à l'effet contraire), pourquoi la population carcérale continue-t-elle de croître ?
RépondreSupprimerLa population carcérale continue de croître en raison d'une surabondance de lois qui criminalisent des activités qui ne devraient certainement pas être interdites, et encore moins entraîner des peines d'emprisonnement. La surcriminalisation continue de peser sur le pays en raison des législateurs qui travaillent main dans la main avec les entreprises pour adopter des lois qui favorisent le bilan de l'entreprise. Et en ce qui concerne l'incarcération, le bilan des entreprises pèse lourdement en faveur de l'enfermement de plus de personnes dans les prisons gérées par le gouvernement et les prisons privées.
C'est un cercle vicieux qui devient de plus en plus vicieux chaque jour.
Maintenant, vous pouvez ignorer tout cela à la suite d'un crime, mais cela ne suffit pas. Surtout quand les Américains moyens sont emprisonnés pour de prétendus crimes comme manger des SpaghettiOs (la police les a pris pour de la méthamphétamine), ne pas porter de ceinture de sécurité, jeter des déchets, faire du jaywalking, avoir du savon fait maison, du blasphème le sol, péter, flâner et twerk.
Il n'y a pas de place dans l'État policier américain pour l'autosatisfaction. Pas quand nous sommes tous coupables jusqu'à preuve d'innocence.
Comme je le précise dans mon livre Battlefield America: La guerre contre le peuple américain, ce n'est plus un gouvernement «du peuple, par le peuple, pour le peuple».
Il devient rapidement un gouvernement «des riches, par l'élite, pour les corporations», et son ascension au pouvoir est basée sur l'enchaînement du contribuable américain à une prison de débiteurs gardée par une phalange de politiciens, de bureaucrates et de policiers militarisés. espoir de libération conditionnelle et aucune chance d'évasion.
https://www.zerohedge.com/news/2018-01-04/tale-two-americas-where-rich-get-richer-and-poor-go-jail
SupprimerLes camps FEMA et les millions de cercueils 'grands formats' (comme les fakes news terroristes) n'ont pas été créés pour rien. Réfléchissez.
Attendez-vous encore moins à la liberté d'Internet en 2018
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 01/04/2018 - 18:45
Rédigé par Philip Giraldi via The Strategic Culture Foundation,
Les utilisateurs des médias sociaux ont de plus en plus signalé que leurs comptes ont été censurés, bloqués ou suspendus au cours de l'année écoulée. Initialement, certains croyaient que les incidents pouvaient être de nature technique, avec des serveurs surchargés luttant pour suivre le nombre grandissant de comptes, mais il est finalement apparu que l'ingérence était délibérée et ciblait les individus et les groupes impliqués dans les affaires politiques. ou des activités sociales considérées comme controversées.
À la fin de l'année dernière, un certain nombre de comptes russes sur Facebook et ailleurs ont été suspendus suite aux allégations selon lesquelles les médias sociaux avaient été utilisés pour répandre de prétendues fausses nouvelles susceptibles d'avoir affecté matériellement l'élection présidentielle de 2016 aux États-Unis. Même s'il s'est avéré impossible de démontrer que les efforts relativement inoffensifs de la Russie ont eu un impact par rapport à l'énorme investissement publicitaire et de propagande des deux principaux partis, les médias sociaux ont rapidement réagi à la publicité négative.
Aujourd'hui, on apprend que les principaux fournisseurs de médias sociaux et de services Internet ont, au cours de l'année écoulée, rencontré secrètement les gouvernements des États-Unis et d'Israël pour retirer du contenu et bannir les titulaires de comptes de leurs sites. Les États-Unis et Israël n'ont pas légalement le droit de dire aux entreprises privées quoi faire, mais il est clairement entendu que les deux gouvernements peuvent rendre les choses très difficiles pour les fournisseurs de services qui ne respectent pas les règles. Israël a menacé de limiter l'accès à des sites tels que Facebook ou de l'interdire complètement tandis que le département de la Justice des États-Unis peut utiliser une législation terroriste, même si elle n'est pas plausible, pour forcer la conformité. Washington a récemment forcé Facebook à annuler le compte du dirigeant de la République tchétchène Ramzan Kadyrov, un loyaliste de Poutine que la Maison Blanche a récemment "sanctionné".
Il n'est pas étonnant qu'Israël soit le plus actif dans ses patrouilles sur Internet, car il tient à ne pas montrer de sympathie matérielle à la cause palestinienne ou à critiquer le traitement israélien des Arabes. Ses services de sécurité analysent les histoires en cours et s'adressent aux fournisseurs de services pour demander que le matériel soit supprimé ou bloqué en raison de la proposition douteuse que cela constitue une «incitation» à la violence. Facebook aurait collaboré 95% du temps pour supprimer du matériel ou fermer des comptes. Les groupes palestiniens, qui utilisent les réseaux sociaux sur Internet pour communiquer, ont été particulièrement touchés, avec la suppression des comptes des dix principaux administrateurs en 2017. Les comptes israéliens, y compris ceux qui menacent de tuer des Arabes, ne sont pas censurés.
Microsoft, Google, YouTube, Twitter et Facebook sont également sous pression pour coopérer avec des groupes privés pro-israéliens aux Etats-Unis, y compris la puissante Anti-Defamation League (ADL). L'ADL cherche à «inventer de nouvelles solutions pour arrêter le cyberhate» en bloquant le «langage haineux», qui inclut toute critique d'Israël qui pourrait même être invraisemblablement interprétée comme de l'antisémitisme. L'extension des restrictions à ce qui est défini comme un «discours de haine» deviendra sans doute une pratique courante dans les médias sociaux et, plus généralement, sur Internet en 2018.
Internet, largement considéré comme une autoroute où tout le monde pouvait communiquer et partager librement ses idées, est en réalité une route à péage de plus en plus gérée par un groupe de très grandes entreprises qui, agissant à l'unisson, contrôlent ce qui est vu et non vu. Les moteurs de recherche sont déjà configurés pour donner la priorité aux informations provenant des «sponsors» payants, qui apparaissent souvent mais qui n'ont souvent rien à voir avec le matériel le plus pertinent. Et le rôle des gouvernements intrusifs dans la dictée à Facebook et à d'autres sites qui seront entendus et qui seront réduits au silence devrait également être troublant, car cela signifie que l'information qui bénéficierait au public pourrait ne jamais être vue, particulièrement si elle est embarrassante . Et en parlant d'intérêts puissants, des groupes comme l'ADL avec des agendas partisans seront sans doute capables de dicter des normes de comportement aux fournisseurs de services, conduisant à encore plus de perte de contenu et de pertinence pour ceux qui cherchent des informations.
RépondreSupprimerTout compte fait, l'année 2018 sera difficile pour ceux qui luttent pour maintenir Internet comme source d'information relativement libre. Les gouvernements et les groupes d'intérêt ont vu la menace que représente cette liberté et y réagissent. Ils feront de leur mieux pour le contrôler.
https://www.zerohedge.com/news/2018-01-04/expect-even-less-freedom-internet-2018
Trump annonce une expansion massive dans le forage offshore; Les écologistes indignés
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 01/04/2018 - 14:28
En décembre 2017, au cours des derniers jours de l'administration précédente, Barack Obama a officiellement bloqué le forage pétrolier et gazier dans la majeure partie de l'océan Atlantique et de l'océan Arctique en réponse à un appel des environnementalistes qui disent que le gouvernement Il faut en faire plus pour empêcher le forage dans les zones écologiquement sensibles des océans contrôlés par les États-Unis.
Le mouvement n'était pas surprenant: Obama devait prendre l'action en invoquant une disposition dans une loi de 1953 qui régit les baux offshore Outer Continental Shelf, et il a fait cela pour bloquer le forage dans les eaux fédérales dans la mer de Tchoukotka et la plupart de ses Mer de Beaufort Il a également protégé 21 canyons sous-marins dans l'océan Atlantique contre le forage.
À l'époque, nous avons dit que le «mouvement sera probablement renversé rapidement par l'administration de Donald Trump». Et, un peu plus d'un an plus tard, c'est précisément ce qui s'est passé jeudi après-midi lorsque l'administration Trump a annoncé qu'elle allait élargir considérablement les zones de forage pétrolier et gazier offshore, y compris au large des côtes pacifique et atlantique.
S'adressant aux journalistes, le secrétaire d'Etat à l'Intérieur, Ryan Zinke, a déclaré que "l'administration Trump propose de rendre disponible plus de 90% du plateau continental américain pour le leasing pétrolier", ajoutant qu'il "propose 25 des 26 zones de planification sur le plateau continental extérieur. «La quasi-totalité du plateau continental extérieur est envisagée pour le forage, y compris au large des côtes du Maine, de la Californie, de la Floride et de l'Alaska», dans la première étape importante vers l'expansion promise de l'administration forage.
La proposition, que les écologistes ont immédiatement qualifiée de catastrophe environnementale et de subvention à l'industrie des combustibles fossiles, est beaucoup plus vaste que ce qu'avait prévu l'ordre du président Trump l'année dernière pour un nouveau plan d'enchères de droits de forage offshore. Cet ordre a demandé à Zinke d'envisager des expansions de forage dans les océans Atlantique et Arctique, selon The Hill.
Le plan fait partie du programme de Trump visant à stimuler la production nationale de pétrole et de gaz naturel pour créer une «dominance énergétique» et débloquer la «grande richesse énergétique» de la nation.
L'annonce de jeudi n'est que l'une des trois mesures majeures que l'administration doit prendre pour rédiger un nouveau plan de vente de droits de forage offshore. Après avoir recueilli des commentaires publics sur la proposition, les fonctionnaires doivent la réviser et présenter une nouvelle proposition, puis la finaliser, un processus qui pourrait prendre plus d'un an.
À chacune de ces étapes, l'Intérieur peut supprimer des zones pour le forage, mais ne peut pas créer de nouvelles zones.
RépondreSupprimer* * *
Immédiatement après l'annonce, les écologistes ont claqué la proposition comme un cadeau à l'industrie pétrolière.
«L'expansion spectaculaire du forage pétrolier offshore de l'administration Trump est audacieuse», a déclaré Alex Taurel, vice-directeur législatif de la League of Conservation Voters. «Les communautés balnéaires, les entreprises et les élus des deux parties se sont toujours opposés aux forages offshore risqués. C'est une grave menace pour leur mode de vie, notre climat et les économies locales qui dépendent du tourisme et de la pêche », a-t-il déclaré, cité par The Hill.
«Ce forage offshore radical est un exemple clair de politique sur les gens, ignorant l'opposition généralisée des autorités locales et étatiques», a déclaré Diane Hoskins, directrice de campagne chez Oceana.
L'annonce a également recueilli une certaine opposition républicaine. Gouverneur de la Floride Rick Scott (R) a déclaré qu'il allait se battre pour tenter de forage près de son état. "J'ai déjà demandé de rencontrer immédiatement le secrétaire Zinke pour discuter des préoccupations que j'ai avec ce plan et de la nécessité cruciale de retirer la Floride de son examen", a déclaré Scott dans un communiqué.
https://www.zerohedge.com/news/2018-01-04/environmentalists-outraged-after-trump-announces-massive-expansion-offshore
SUISSE ELEANOR: LA CARTE DES DANGERS VIRE AU ROUGE
RépondreSupprimerMeteoSuisse met en en garde contre de fortes pluies et des chutes de neige d'ici à vendredi matin.
PAR PASCAL SCHMUCK
ZURICH
04.01.2018
Inondations, crues, risques d'avalanche: la tempête Burglind a laissé dans son sillage une nuée de stigmates en Suisse. La carte des dangers restait fixée sur le rouge jeudi soir en Valais, qui a connu une nouvelle évacuation. D'autres cantons étaient aux aguets.
Pour le Valais, la Confédération a lancé une alerte de niveau 4 annonçant de fortes chutes de neige à toutes les altitudes jusqu'à vendredi matin. L'alerte était de même degré pour les pluies diluviennes qui s'abattaient au nord et à l'ouest du canton de Vaud ainsi que dans le Chablais et dans le Val-de-Travers (NE).
Risque d'avalanche
Le risque d'avalanche élevé en Valais a entraîné une seconde évacuation jeudi à Orsières, après celle des Mayens de Conthey la veille. Environ 100 personnes ont dû quitter leurs chalets dudit Plateau de la Neuve, secteur du village de La Fouly, et des hameaux du Clou et de Ferret, selon Joachim Rausis, président de la commune. L'évacuation est maintenue «jusqu'à nouvel ordre».
Aux Mayens de Conthey, les chalets demeuraient vides. Les quelque 40 habitants évacués mercredi ne pourront pas y retourner avant au moins samedi, a indiqué Philippe Girod, chef d'état-major des Coteaux du Soleil. «Nous espérons un coup de froid entre vendredi et samedi, qui stabiliserait le manteau neigeux.» Les propriétaires de chalets ont gagné leur domicile principal en plaine.
Des coulées
Outre les avalanches et les glissements de terrain, la pluie inquiétait les forces de l'ordre: ces dernières ont dû déjà intervenir dans des dizaines de caves à cause d'inondations. Par endroits, la pluie durait depuis 24 heures. Certains torrents ont débordé, mais le Rhône était lui hors de danger, selon la police.
En raison des fortes pluies, la Vièze à Monthey (VS) était sous haute surveillance, d'après la ville chablaisienne. Une cinquantaine de personnes étaient en fin d'après-midi sur le terrain pour sécuriser ses abords. La situation s'est stabilisée en début de soirée.
Les précipitations étaient aussi à l'origine de plusieurs coulées en Valais et au centre de la Suisse: ainsi à Savièse, un glissement de terrain a entraîné la terrasse d'une maison, selon une vidéo du Nouvelliste. Dans l'Oberland bernois, où il a plu entre 50 et 70 litres par mètre carré en 24 heures selon SRF Meteo, plusieurs glissements de terrain ont coupé routes et voies ferrées.
De fortes crues
RépondreSupprimerLes fortes pluies ont aussi entraîné des inondations dans la région de Nyon (VD). Une soixantaine de sapeurs-pompiers ont été engagés pour poser des barrages ou pomper l'eau. Les deux principales interventions ont été menées sur la rivière le Boiron avec le dépôt de sacs de sable et sur l'Asse où des moyens lourds ont été nécessaires pour limiter les dégâts à la ferme de Paléo.
La Rivière de l'Asse déborde, la Ferme de #Paléo et le Bar des musiciens sont inondés, c'est impressionnant mais les Pompiers sont là pour limiter les dégâts. Merci au SDIS de Nyon
Le dispositif était maintenu jusqu'à la nuit. En parallèle, les sapeurs ont procédé à une trentaine d'interventions pour, entre autres, des caves ou des buanderies qui étaient inondées. Dans le canton de Genève par contre, il ne fallait pas compter sur une crue de l'Arve, d'après les forces de l'ordre.
«Très critique»
Le Jura a également connu des pluies diluviennes. Le Doubs et la Sorne menaçaient de déborder dans la nuit de jeudi à vendredi. La fonte de la neige devait continuer à aggraver la situation, selon le canton. Les débits du Doubs étaient estimés dans l'après-midi à plus de 300 m3/seconde entre minuit et 06h00 vendredi. Les autorités ont prié la population de rester prudente au bord de l'eau.
L'Institut pour l'étude de la neige et des avalanches (SLF) estimait jeudi le danger de glissements de terrain «très critique» après le passage de la tempête Burglind pour plusieurs régions de Suisse. Quant au manteau neigeux, il demeurait instable en maints endroits des Alpes à cause des fortes chutes de neige et des vents qui restaient violents en particulier sur les hauteurs.
Des arbres fauchés
Les centaines d'arbres fauchés par la tempête Burglind ne disent pas grand-chose de la fragilité des forêts suisses, selon le Dr. Thomas Wohlgemuth, de l'Institut fédéral de recherches sur la forêt, la neige et le paysage. Les conifères ont bien plus souffert que les arbres à feuilles. Ceux-ci étaient mieux protégés car, dépouillés de leur manteau vert, ils présentaient moins de surface vulnérable.
Le fait que nombre des arbres déracinés soient des épicéas augmentera le risque d'invasion du bostryche courant 2018. Pendant les chaleurs estivales des prochaines années, ce risque devrait encore augmenter. (nxp)
https://www.lematin.ch/suisse/eleanor-vent-pluies-neige/story/18737673
RépondreSupprimerScènes de désolation après la tempête
05.01.2018
Villages inondés, skieurs bloqués dans les Alpes et incendies en Corse. Les éléments se sont déchaînés
Europe » Le vent ne soufflait plus mais l’eau et la neige perturbaient encore hier une dizaine de départements français après le passage de la tempête Eleanor (dénommée Burglind en Suisse). A Crêts-en-Belledonne, en Isère, une nonagénaire est décédée d’une crise cardiaque dans sa maison inondée par une coulée de boue et d’eau. Le drame s’est produit le long d’une route où la circulation a été coupée, comme sur d’autres axes locaux en raison des précipitations et des éboulements.
Les pluies de la tempête Eleanor ont conduit Météo-France à maintenir le département de l’Isère en alerte inondation, avec les Hautes-Alpes, la Savoie et la Haute-Savoie, le Doubs, le Jura, le Territoire-de-Belfort et la Haute-Saône mais également, plus au nord, la Seine-Maritime, le Pas-de-Calais et la Somme. Des crues étaient à craindre en Gironde, en Seine-Maritime, dans l’Eure et en Franche-Comté.
Neige menaçante
Dans les Alpes du nord, le risque d’avalanche était fort à maximal par endroits alors que les stations sont bondées pour les vacances. Météo-France a mis en garde face aux «gros volumes» de neige qui «pourraient atteindre des routes, voire des habitations exposées».
Cette situation résulte de la conjonction de trois événements: chutes de neige abondantes et soudaines, vents très violents qui ont accumulé la neige en haute altitude et, enfin, un redoux qui a amené des pluies très importantes, ce qui a alourdi le manteau neigeux.
De nombreux domaines skiables étaient fermés ou ouverts seulement sur le bas. Mercredi, premier jour des intempéries, un skieur de 21 ans avait été tué par la chute d’un sapin sur une piste de la station haut-savoyarde de Morillon.
Brasiers en Corse
En montagne, beaucoup d’axes routiers sont coupés par l’eau, des coulées de boue ou de neige. Des villages sont isolés, comme Bouchet-Mont-Charvin, en Haute-Savoie, a confirmé la préfecture. En Savoie, les accès à Tignes-Val-d’Isère étaient perturbés.
Côté coupures électriques, 15?000 foyers restaient privés de courant en France métropolitaine, dont 7000 en Alsace et en Franche-Comté. En Corse, 11?000 foyers ont été touchés.
Mais la Corse a surtout été frappée par des incendies, «d’une intensité exceptionnelle en plein hiver», selon la préfecture, due au cocktail de vents violents et de sols secs. Hier après midi, l’incendie survenu à Sant’Andrea-di-Cotone, en Haute-Corse, ne progressait plus mais n’était pas pour autant maîtrisé. Il avait déjà parcouru près de mille hectares. Des pluies étaient prévues dans les prochains jours.
Un peu plus au sud, à Chiatra, où 650 hectares ont brûlé, trois personnes ont été légèrement blessées. Dix habitations ont été touchées par le feu, dont cinq détruites. Et 300 chèvres ont été tuées, a précisé la préfecture.
RépondreSupprimerL’eau monte outre-Rhin
Les intempéries qui ont frappé le centre de l’Europe depuis mercredi ont également provoqué la mort d’un couple d’Espagnols au Pays basque, emporté par une grosse vague alors qu’il se trouvait sur la jetée d’un village côtier.
Les pluies ont aussi obligé pour la première fois les Pays-Bas à devoir fermer temporairement les cinq grands barrages qui protègent le pays des eaux de la mer du Nord, afin d’éviter les inondations. Des routes ont également été coupées par des chutes d’arbres en Allemagne et des autoroutes fermées en Grande-Bretagne.
Les eaux du Rhin ont dangereusement gonflé en Allemagne, notamment à Cologne. Des cours d’eau pourraient par exemple déborder dans la Hesse (centre) et en Bavière (sud), se sont alarmés les experts. ATS/AFP/DPA
Lire aussi «Fribourg fait le bilan de la tempête»
Evacuation en Valais et tronçon MOB fermé
En Suisse, la tempête Burglind continuait hier de se faire ressentir. Les trafics ferroviaire et routier demeuraient en partie paralysés.
Le risque d’avalanche élevé en Valais à cause de la tempête Burglind a entraîné hier une seconde évacuation, après celle des Mayens de Conthey la veille. Environ 90 personnes ont dû quitter leurs chalets du plateau de l’A Neuve, secteur du village orserain de La Fouly.
Dans le détail, 87 personnes ont dû évacuer La Fouly, pour la plupart des propriétaires de résidences secondaires, a précisé Joachim Rausis, président de la commune d’Orsières, confirmant une information du Nouvelliste. Quatre autres ont dû quitter le hameau du Clou et sept autres Ferret, aussi à cause du risque d’avalanche.
Les vallées haut-valaisannes de Saas, du Lötschental, de Conches et la région de Loèche sont en partie coupées du monde, par endroits depuis la mi-journée ou même avant, selon la police cantonale. De multiples tronçons de route sont condamnés à cause de dégâts provoqués par la tempête Burglind ou de coulées.
D’autre part, après le déraillement d’un de ses wagons mercredi à La Lenk (BE) à cause de la tempête Burglind, la compagnie du Montreux-Oberland bernois (MOB) a fermé hier un tronçon jusqu’à mardi au moins. La voie entre Château-d’Œx (VD) et Zweisimmen (BE) est condamnée à cause de glissements de terrain.
Des bus de remplacement circulent, mais ne pourront pas combler d’importants retards, précise à l’ATS Gabriel Rosetti, responsable du trafic passagers du MOB. Le plus impressionnant glissement de terrain, entre Château-d’Œx et Rougemont, est dû aux fortes pluies et chutes de neige. D’autres coulées ont suivi dans l’Oberland bernois. Personne n’a été blessé.
Dans les Grisons, les Chemins de fer rhétiques ont interrompu le trafic passant par le col de la Bernina à cause des risques d’avalanche. Celui-ci ne devrait reprendre que cet après-midi. Des bus de remplacement circulent pour l’heure entre Pontresina et Poschiavo, mais le temps de trajet est plus long. ATS/AFP
RépondreSupprimerhttps://www.laliberte.ch/news/international/scenes-de-desolation-apres-la-tempete-422337
SupprimerLe non-dragage des ruisseaux et fleuves a fait (comme en Angleterre avec la Tamise) des inondations volontaires pour ruiner les populations.
RépondreSupprimerVisualiser la population mondiale des millionnaires
par Tyler Durden
Ve, 01/05/2018 - 22:05
Quand nous pensons au terme «millionnaire», il est naturel que nos pensées soient biaisées vers les grands hommes d'affaires qui ont amassé des fortunes géantes, comme Jeff Bezos, Elon Musk ou Warren Buffett.
Cependant, comme le fait remarquer Jeff Desjardins, de Visual Capitalist, la réalité est que ces types d'individus à très fort patrimoine (UHNWI) avec des fortunes supérieures à 30 millions de dollars sont des produits assez rares - et quand tout est dit, ils ne représentent qu'un tout petit pourcentage de la population millionnaire dans son ensemble.
La grande majorité des millionnaires (90,0 %) dans le monde ont des fortunes entre 1 million et 5 millions de dollars, et vous ne trouverez probablement pas beaucoup d'entre eux avec un manoir tentaculaire ou une nouvelle Rolls Royce dans le garage.
- voir tableau sur site -
https://www.zerohedge.com/sites/default/files/inline-images/20180105_mill.jpg
En fait, la plupart des millionnaires conduisent une Ford.
MILLIONNAIRES LOCAUX
Alors, où trouverez-vous tous les millionnaires du monde ?
- voir tableau sur site -
Courtoisie de: Visual Capitaliste
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Ils sont plus susceptibles d'être trouvés dans les grandes villes - des endroits où ils peuvent utiliser et afficher leur richesse. Ce sont aussi les endroits où de grandes opportunités ont tendance à être trouvées, il n'est donc pas surprenant de voir des millionnaires se regrouper dans des villes de classe mondiale comme New York, Hong Kong, Londres, Tokyo ou Singapour.
Les régions ci-dessous sont triées en fonction du nombre total de millionnaires dans chaque ville. Les données proviennent du rapport Knight Frank 2017.
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TOP VILLES EN ASIE
https://www.zerohedge.com/sites/default/files/inline-images/20180105_mill1.jpg
Tokyo, Hong Kong et Singapour sont les capitales incontestées de la population millionnaire en Asie, mais la Chine continentale arrive rapidement à la traîne.
Au cours des 10 dernières années, la Chine a augmenté son nombre de millionnaires de 281 % à 719 400 au total - et Pékin (avec 122 100 millionnaires) se classe maintenant parmi les cinq premiers en Asie.
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TOP VILLES EN OCEANIE
https://www.zerohedge.com/sites/default/files/inline-images/20180105_mill2.jpg
Le nombre de millionnaires de l'Australie a grimpé de 85% au cours des 10 dernières années, en partie grâce aux prix de l'immobilier.
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LES MEILLEURES VILLES EN EUROPE
https://www.zerohedge.com/sites/default/files/inline-images/20180105_mill3.jpg
Londres est la capitale millionnaire pour le monde, avec 357.200 d'entre eux.
RépondreSupprimerMalgré sa taille relativement petite par rapport aux poids lourds européens, la Suisse compte également deux villes dans le top cinq: Genève et Zurich.
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TOP VILLES AU MOYEN-ORIENT
https://www.zerohedge.com/sites/default/files/inline-images/20180105_mill4.jpg
Sans surprise, Dubaï est la plus grande destination des ultra-riches au Moyen-Orient.
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TOP VILLES EN AMÉRIQUE LATINE
https://www.zerohedge.com/sites/default/files/inline-images/20180105_mill5.jpg
La ville de Mexico, puis les deux plus grandes au Brésil (São Paulo et Rio), sont des lieux de rassemblement de millionnaires en Amérique latine.
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LES MEILLEURES VILLES EN AMÉRIQUE DU NORD
https://www.zerohedge.com/sites/default/files/inline-images/20180105_mill6.jpg
Les États-Unis comptent 4,3 millions de millionnaires et sont largement dispersés dans tout le pays.
Le rapport de Knight Frank 2017 répertorie cinq villes: NYC, Washington, D.C., San Francisco (y compris Bay Area), Los Angeles et Miami - qui, selon leurs calculs, ont plus de 30 000 millionnaires.
Le Canada de Toronto a également franchi la barre des six chiffres avec plus de 100 000 millionnaires. Cela place la Big Smoke dans une entreprise unique en son genre, puisque seulement 17 villes dans le monde peuvent faire une telle demande
https://www.zerohedge.com/news/2018-01-05/visualizing-global-millionaire-population
SupprimerQuand une machine remplace 10, 50 ou même 200 personnes, le produit fabriqué quitte l'entreprise autant moins cher sans que le prix de vente diminue en magasins. D'où la montée des bénéfices. Il ne s'agit pas de condamner les machines (robots, automobiles, machines à laver, ordinateurs, etc) mais seulement de voir venir. Si l'ex-employé(e) ne reçoit plus de salaire elle ou il ne pourra acheter le produit fabriqué. D'où la solution émergente des allocations universelles crées par ordinateurs (et non en fonction du poids de l'or en soute ! HAHAHAHA !) qui permettent d'acheter les produits en vente.
Glyphosate : l’Europe et la France en particulier s’enfoncent encore une fois dans l’obscurantisme
RépondreSupprimerle 5 janvier 2018
Après la décision de Bruxelles de prolonger pour les 5 années à venir l’utilisation du RoundUp (glyphosate) la France et un ou deux autres pays européens, j’ai oublié lesquels, ne se sont engagés que pour une prolongation de trois ans, renouvelables ? Nul ne le sait, et en premier lieu les agriculteurs qui sont les premiers concernés. Coïncidant avec cette décision de Bruxelles l’EPA américaine (Environmental Protection Agency) a publié un volumineux rapport concernant le glyphosate daté du 12 décembre 2017, rapport de 216 pages dont j’ai lu les passages essentiels et qui avait été commandé par l’Administration Obama après les déclarations plutôt hâtives et tonitruantes de l’IARC (centre international de recherche sur le cancer basé à Lyon en France), agence onusienne en charge de débusquer tout ce qui peut nuire à la bonne santé des bipèdes peuplant la Terre en étant éventuellement potentiellement cancérigène.
Ce rapport étoffé et parfaitement bien documenté a rassemblé un ensemble impressionnant d’études réalisées tant par des laboratoires académiques privés sur leur propres initiatives que par des équipes de biologistes rémunérées par la firme Monsanto au cours des années qui ont suivi la découverte de cet herbicide. Il fallait en effet produire des preuves que cette molécule chimique très simple ne présentait pas d’effets indésirables afin d’obtenir l’autorisation de mise sur le marché. Cette politique des entreprises privées, quelles qu’elles soient, n’est pas un fait isolé : tous les laboratoires pharmaceutiques ou ceux impliqués dans la protection des plantes et des animaux procèdent de la même manière. Ils font entièrement confiance en la probité des chercheurs académiciens. Aux USA tous les pesticides font l’objet d’un renouvellement de leur autorisation de mise sur le marché tous les 15 ans, que ce soient des insecticides, des fongicides, des nématicides, des herbicides ou encore de la simple « mort aux rats », c’est la loi et ces homologations tiennent compte de toutes les nouvelles informations scientifiques parues au cours de ce laps de temps de 15 ans.
À la suite des études réalisées par l’IARC, l’administration Obama a demandé à l’EPA une nouvelle évaluation du glyphosate, ce qui a été fait. Il apparaît – j’ai lu toutes les conclusions, rubriques après rubriques – que le glyphosate n’est pas carcinogène pour les humains, qu’il n’est pas non plus carcinogène potentiel, et qu’il n’existe aucune étude scientifique à ce jour réalisée en respectant les bonnes pratiques de laboratoire qui puisse permettre d’émettre un quelconque doute à ce sujet. En d’autres termes, à la suite des milliers d’études réalisées depuis 1974, il n’y a aucune évidence sérieuse permettant d’affirmer que le glyphosate puisse avoir un quelconque effet néfaste sur la santé humaine ou animale.
Bien que je ne lise pas systématiquement la presse main-stream subventionnée qu’elle soit française ou européenne, si possible en français ou en anglais et à la rigueur en espagnol, je n’ai nulle part noté un quelconque entrefilet ni aucune dépêche d’agence de presse relatant la parution de ce volumineux rapport de l’EPA au sujet du glyphosate. C’est dire à quel point les activistes écologistes ont caviardé les médias afin d’instaurer une omerta absolue sur ce rapport que je tiens à la disposition de mes lecteurs sur leur demande ou qu’ils peuvent se procurer sous format pdf auprès de l’EPA, DP Barcode : D444689 , TXR#: 0057688 .
RépondreSupprimerCette information fait ressortir que les fonctionnaires de Bruxelles sont également caviardés de l’intérieur par les écologistes et ne parlons même pas du gouvernement français qui encore une fois s’est couvert de ridicule en n’autorisant le glyphosate que pour une durée de trois ans faisant planer une incertitude funeste sur la tête de nombreux agriculteurs.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2018/01/05/glyphosate-leurope-et-la-france-en-particulier-senfoncent-encore-une-fois-dans-lobscurantisme/
SupprimerPrimo, il est tout à fait normal et sécuritaire que ce soit le chef de cuisine chez Monsanto qui goûte ses plats avant de les servir.
Secundo, il est tout à fait normal et sécuritaire que des consommateurs itinérants travaillant pour le Guide Michelin ou autre donnent leur avis et attribuent des étoiles.
Or, si c'est le restaurant concurrent qui vient en 'client', même s'il reconnait la très haute qualité des plats consommés, il notera et publiera le contraire afin de tenter d'éliminer l'adversaire.
Nous sommes donc devant une affaire de lobbying et non de santé car, depuis qu'existe le fameux Round'up de Monsanto personne n'a pu prouvé sa nocivité !
Mais, là dessous il faut sous-entendre une autre affaire bien plus grave que celle du cancer imaginé: Sans désherbant l'herbe pousse dans les champs de blé et AUCUNE MOISSON NE PEUT SE FAIRE ! Vous comprenez maintenant le but de ce lobbying ?
Trois actions en justice contre Intel à cause de la vulnérabilité des processeurs
RépondreSupprimer07:07 06.01.2018
Dans le contexte de la révélation de la fragilité sécuritaire des processeurs d’ordinateurs, plusieurs propriétaires de processeurs Intel aux États-Unis ont intenté une poursuite contre la société.
Suite à la publication de l'information sur une vulnérabilité des processeurs d'ordinateurs qui permet à des hackeurs d'obtenir un accès à des fichiers et aux données stockées dans le mémoire des noyaux des processeurs, plusieurs propriétaires de processeurs Intel aux États-Unis ont intenté une poursuite contre la société.
Personne n’est épargné: Windows, Linux et macOS menacés par une vulnérabilité critique
Trois procès ont été intentés par des résidents de l'Oregon, de la Californie et de l'Indiana. Les propriétaires des puces accusent Intel de n'avoir pas réagi de façon appropriée au problème et d'avoir trop longtemps caché cette vulnérabilité, rapporte Gizmodo.
Les plaignants estiment que des mises à jour des systèmes d'exploitation peuvent réduire les performances des ordinateurs, tandis qu'une erreur dans l'architecture des processeurs les rend défectueux. Les demandes ont été déposées avec une différence de 11 minutes.
Auparavant, un article du site The Register a révélé un défaut permettant à des applications ordinaires de «voir» une partie protégée de la mémoire des noyaux et de révéler le lieu de stockage des informations confidentielles. Cela concerne presque tous les processeurs Intel, AMD et ARM qui équipent la plupart des ordinateurs fonctionnant sous Windows, Linux et macOS, ainsi que des smartphones.
Apple reconnaît la fragilité sécuritaire de ses iPhone et de ses ordinateurs
Cet article indique également qu'en plus des ordinateurs personnels, des services Cloud font face à cette menace.
Des développeurs de systèmes d'exploitation sont, d'après le site, capables de réparer le défaut, mais une telle mise à jour d'urgence de ceux-ci pourrait diminuer la performance des dispositifs de 30%.
https://fr.sputniknews.com/sci_tech/201801061034638415-intel-processeurs-actions-justice/
Depuis 2004, ce pays de l’UE a perdu près de 20 % de sa population
RépondreSupprimerAudrey Duperron
5 janvier 2018
Depuis son adhésion à l’UE en 2004, la Lettonie a un grave problème : elle assiste à un exode massif de sa population. En 2000, on recensait 2,38 millions de Lettons dans le pays. Cette année, ils n’étaient plus que 1,95 millions. 18,2 % de la population auraient émigré. Aucun autre pays n’a connu une diaspora de cette ampleur. La Lituanie, voisine de la Lettonie, connaît aussi un très fort exode, puisqu’elle a vu sa 17,5 % de sa population disparaître. La Georgie est aussi affectée, avec une érosion de 17,2 %.
Les Lettons qui ont quitté leur pays ont profité de la libre circulation au sein de l’UE pour trouver un emploi dans des pays plus riches, en particulier le Royaume-Uni, l’Irlande et l’Allemagne. En Lettonie, le salaire moyen mensuel est de 670 €. Dans les régions les plus pauvres, comme la région de Latgale, située à la frontière Sud-Est avec la Russie, il tombe même à la moitié de ce montant. Il n’est donc pas très difficile de comprendre les motivations des candidats au départ.
Mais l’immigration économique n’est pas l’unique raison du déclin de la population lettone. En effet, le petit pays a un faible taux de natalité, combinée à un taux de mortalité élevée.
Pour Vladislavs Stankevics, responsable du développement économique de la région de Latgale, les démonstrations de force entre les armées de l’OTAN et la Russie qui ont mené des exercices militaires dans la région l’année dernière, n’ont rien arrangé. « Toutes ces rhétoriques de guerre, réelle ou non, n’incitent pas spécialement les gens à rester », dit-il, ajoutant qu’elles dissuadent les investissements étrangers.
Un pays en danger
Un tel déclin pose un très grand danger pour la survie du pays, comme l’a expliqué Atis Sjanits, ambassadeur de la république de Lettonie, dont le rôle est de contribuer à juguler l’exode déclenché par l’adhésion du pays à l’UE. En effet, trouver des militaires devient compliqué, et le pays risque de manquer de contribuables. « La Lettonie était déjà un pays avec une faible densité de population. À ce rythme, dans une cinquantaine d’années, la Lettonie pourrait cesser d’être une nation », affirme le célèbre journaliste Otto Ozols.
Cependant, la vague de départs semble se calmer, comme le montrent les chiffres de l’agence statistique de Lettonie. En effet, en 2016, on enregistrait environ 40 % de retours de Lettons émigrés, alors qu’au cours des 3 années précédentes, cette proportion évoluait entre 26 et 37 %.
https://fr.express.live/2018/01/05/lettonie-exode-ue/
SupprimerIls sont appelés 'les réfugiés climatique' !!
SUISSE LA SSR: «UN DÉBAT QUI NE FAIT QUE COMMENCER»
RépondreSupprimerLe directeur général de la SSR revient dans la presse sur l'initiative «No Billag», samedi.
Le natif de Lausanne se dit conscient qu'il «sera toujours plus compliqué d'imposer une redevance contrainte aux futures générations».
06.01.2018, 07h04
Le financement de la SSR «est un vaste débat qui ne fait que commencer», assure Gilles Marchand, directeur général de l'entreprise de service public. Et la SSR est prête «à travailler, à proposer des variantes» à la population.
Le natif de Lausanne se dit conscient qu'il «sera toujours plus compliqué d'imposer une redevance contrainte aux futures générations 'pay per view'», soit plus enclines à ne payer que ce qu'elle consomme. Mais sans celle-ci, il ne sera pas possible de maintenir un financement public pour l'audiovisuel. «C'est un mensonge que de prétendre le contraire», gage Gilles Marchand lors d'un entretien avec Le Temps publié samedi.
Si sa tâche est bien de pérenniser un tel service, il est aussi de «sa responsabilité professionnelle de dire ce qui est possible, réaliste et ce qui ne l'est pas. On ne doit pas jouer avec un tel enjeu, avec le public», résume Gilles Marchand qui appelle à «vraiment lire en détail le texte de l'initiative».
La SSR participe à «une certaine idée de la Suisse (...) qui cultive la solidarité audiovisuelle et culturelle entre régions», relève enfin Gilles Marchand. Ce faisant elle «contribue à cette cohésion nationale, même si elle n'en a pas le monopole.»
«Moins de canaux linéaires»
Selon lui, le nerf de la guerre c'est internet, puisque c'est là où «tout le monde se retrouve (...) à une époque où les journaux vivent une crise de leur modèle d'affaires». C'est donc là aussi que le directeur pense une grande partie du futur de la SSR.
Il imagine «un vaste portail numérique ouvert à tous, à la demande, avec des contenus originaux par thèmes et des archives que nous reproposerons». Il imagine ainsi «moins de canaux linéaires classiques en télévision et en radio. Peut-être un par média, dans les trois grandes régions, avec des rendez-vous, notamment d?information et de sport, en direct».
Interrogé par le quotidien lémanique sur la part de responsabilité que porte la SSR dans le lancement de l'initiative contre la redevance radio-TV, Gilles Marchand concède que «peut-être n'avons nous pas assez dialogué avec la société, expliqué ce que nous faisions et pourquoi».
Rendez-vous le 4 mars
RépondreSupprimerL'initiative «Oui à la suppression des redevances radio et télévision (suppression des redevances Billag)» est soumise au peuple le 4 mars. Elle interdirait à la Confédération de subventionner toute chaîne de télévision ou de radio et de prélever une redevance de réception. Cette dernière fonction ne pourrait pas non plus être déléguée à un tiers.
Pour les partisans de l'initiative, la diversité et la liberté du paysage médiatique seront encouragées en cas de oui à l'initiative «No Billag», assure le comité qui la soutient. Selon lui, la liquidation pure et simple de la SSR n'est pas un scénario crédible. Celle-ci s'auto-financerait notamment grâce à des abonnements ou des donations.
Les opposants romands ont lancé au début du mois de novembre la campagne en vue de la votation fédérale. Leurs pendants alémaniques l'ont fait vendredi sous le slogan: «Moins de diversité, moins de Suisse». Ils rappellent notamment que sans redevance, les émissions d'information des stations régionales ne pourraient plus être financées non plus. Or les programmes régionaux sont un complément idéal à ceux de la SSR, selon le comité. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/suisse/ssr-debat-commencer/story/23601067
La présence d'une redevance imposée est contestée dans les dictature car, elle ne reflète pas l'actualité et ces merdias dits 'publics' non rien d'honnête. Par contre, en Suisse, le Public veut dire le Peuple, car c'est LUI qui dirige et non le ou la chef de l'État. C'est-à-dire que le domaine d'information suisse publique équivaut la liberté d'Internet de diffuser des informations et de pouvoir y ajouter des commentaires.
SupprimerLes employés de la SSR restent exemptés de redevance
RépondreSupprimerAlors que «No Billag» reproche à l’audiovisuel public son coût élevé, des milliers de collaborateurs de la SSR ne paient rien. Cette faveur a même été prolongée d’un an
Boris Busslinger
vendredi 5 janvier 2018 à 20:18.
Attaqué sur Twitter sur le montant de sa contribution au financement du service public, Pascal Crittin, directeur de la RTS, rétorque: «Je paie Billag à 100 %!» Les cadres de l’organisation (8,6 % des employés) sont en effet tenus de s’acquitter de la redevance «depuis quelques années», indique Edi Estermann, porte-parole de la SSR.
Lire également: L'offensive contre «No Billag» est lancée
Des milliers d’employés de la SSR demeurent toutefois exemptés ou bénéficient d’un allégement de leur facture Billag. Sur 6000 collaborateurs, environ 2800 personnes à temps plein ne paient rien, alors que leurs 3200 collègues actifs à temps partiel bénéficient, à choix, de la re´ception gratuite de la radio (165 francs par an) ou de la te´le´vision (286 francs par an). Le montant annuel de ces faveurs s’élèverait à plus de 2 millions de francs.
Lire aussi: Pour ou contre la SSR, la bataille du financement fait rage
«Une faute de la direction»
L’abolition de ces exemptions a pourtant été communiquée vers la fin de 2014, quelques mois avant la votation sur la généralisation de la redevance. Mais la convention collective de travail (CCT) se renégocie tous les quatre ans, et sa dernière mouture est entrée en vigueur en janvier 2014. Aucun changement n’était donc possible avant la version suivante, prévue pour janvier 2018. «Cette annonce était une faute de la direction», déplore Jérôme Hayoz, secrétaire central du Syndicat suisse des mass media (SSM), auquel sont affiliés les employés de la SSR.
Lire également: Doris Leuthard lance la campagne contre «No Billag»
Entre-temps, 2018 a sonné. Et avec lui le changement de régime annoncé en 2014? Pas encore. «Les négociations pour la prochaine CCT viennent juste de commencer», indique Jérôme Hayoz. La convention actuelle a en effet été prolongée d’une année supplémentaire, jusqu’en janvier 2019.
Une décision audacieuse
«Le choix de procéder au changement en 2019 est lié à l’évolution du système prévu la même année», explique sans plus de précisions Edi Estermann. Le Conseil fédéral a en effet annoncé en octobre que le montant de la redevance passerait de 451 à 365 francs par an dès le 1er janvier 2019.
Lire aussi: «No Billag»: à qui profiterait le crime ?
Quatre ans après avoir annoncé la disparition des privilèges autour de la redevance, la SSR semble donc avoir décidé de les prolonger d’une année. A quelques semaines du vote sur «No Billag», la pertinence de cette décision devrait se juger dans les urnes.
https://www.letemps.ch/suisse/2018/01/05/employes-ssr-restent-exemptes-redevance
Cette exemption cause remouds, car, cela équivaut à ne pas payer d'abonnement internet dès lors que l'on contribue à le faire vivre. Notez que les employés de la SNCF en France ne paie pas leur titre de transport comme les employés d'EdF leur électricité !
SupprimerLa justice est pour tous et non pour favoriser un nano-groupuscule.