- ENTREE de SECOURS -



jeudi 11 janvier 2018

Le jeûne, une nouvelle thérapie ?


VIDÉO CENSURÉE POUR CAUSE DE SUCCÈS ANTI-MÉDICAL
https://www.youtube.com/watch?v=8Eu1hH5PCj4

44 commentaires:

  1. La biométrie inclue dans les cartes bancaires et notre vie quotidienne ?

    le 11 janvier 2018

    Dans un pays qui compte quelques 100 meurtres chaque jour – le Mexique – la banque centrale vient d’instaurer de nouvelles régulations sécuritaires obligeant les banques à inclure dans les cartes de crédit et les machines de distribution de billets une reconnaissance biométrique, empreintes digitales et iris des yeux. On en arrive donc comme pour les passeports à un contrôle minutieux de chaque individu. Et cette initiative est motivée par la criminalité galopante qui mine le pays tout entier. Mais à quelque chose le malheur est bon, il est plus que probable qu’une telle initiative va être reprise par de nombreux pays en particulier en Europe, du moins ceux qui refusent d’opter pour une suppression du cash – pour l’instant – les distributeurs de billets devenant de plus en plus des guichets bancaires anonymes.

    Il s’installe donc progressivement un contrôle de chaque individu mais les pays européens, au moins, sont encore en retard sur la Chine, le pays de toutes les initiatives les plus délirantes. Dans les toilettes publiques des gares ferroviaires et des aéroports mais également dans les bâtiments administratifs pour pouvoir utiliser du papier hygiénique il faut s’identifier avec sa carte d’identité biométrique ! Il y a en Chine près de 200 millions de caméra de vidéo-surveillance installées un peu partout. Ces caméras sont intelligentes car elle analysent les visages et envoient les données en temps réel à de monstrueux serveurs qui peuvent identifier également en temps réel n’importe quel passant dans la rue ou au volant d’une voiture. Ça laisse carrément rêveur !

    Il reste un « petit » problème que les politiciens n’ont pas encore réglé : la porosité extrême des bases de données biométriques gouvernementales qui peuvent à tout moment être « hackées » par des personnages malveillants. C’est ce qui est arrivé récemment à l’organisme de crédit américain Equifax. Un autre exemple : la reconnaissance digitale des derniers modèles d’iPhones a été très rapidement décryptée comme cela arrivera avec le dernier ordinateur portable de Windows qui reconnait le visage de l’utilisateur … et s’il en devenait de même pour les cartes de crédit, qu’adviendrait-il au final de notre vie privée ? Et tout se passe sans qu’à aucun moment les citoyens aient été consultés. Il est donc évident que les supposées démocraties (je ne parle pas de la Chine ici) installent progressivement un totalitarisme électronique global … À en frémir d’horreur !

    Source : LeeRockwell

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2018/01/11/la-biometrie-inclue-dans-les-cartes-bancaires-et-notre-vie-quotidienne/

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  2. Dans combien de temps seront-nous tous remplacés par des robots ?

    Arnaud Lefebvre
    10 janvier 2018

    Malgré les craintes de pertes massives d’emplois consécutives à la robotisation et à l’automatisation, il faudra probablement encore attendre 125 ans avant que les ordinateurs ne soient suffisamment développés pour être plus performants que les humains pour toutes les fonctions imaginables, indique un rapport de scientifiques des universités d’Oxford et de Yale.

    Les scientifiques reconnaissent toutefois qu’un nombre important de tâches pourront rapidement être assumées par les machines.

    Pour aboutir à leurs conclusions, les chercheurs des deux universités ont interrogé des centaines de participants lors de deux conférences sur l’intelligence artificielle.

    Selon ce rapport, l’homme sera utile pour toute une série de fonctions pendant encore longtemps.

    Dans les années 70 et 80, de nombreuses prédictions en ce qui concerne le contrôle de la planète par les machines ont été réalisées. Toutefois, ces anticipations se sont vite révélées prématurées.

    Poker
    « Cependant, il faut reconnaître que l’apprentissage automatique connaît une croissance rapide », admet Katja Grace, chercheuse du Machine Intelligence Research Institute de Berkeley. Par exemple, l’intelligence artificielle créé par Deepmind, une filiale de Google, a battu le champion humain du jeu de Go en 2015.

    Par ailleurs, de nombreuses entreprises s’intéressent actuellement à l’intelligence artificielle, ce qui est susceptible d’accélérer les développements dans ce secteur.

    L’équipe de scientifiques de Yale et Oxford a également calculé que d’ici la fin de cette décennie, un robot serait en mesure de gagner les World Series of Poker. Dans environ une demi-décennie, les machines pourraient mieux plier le linge que les humains. Actuellement, les machines intelligentes éprouvent davantage de difficultés pour les tâches physiques que pour les tâches intellectuelles abstraites.

    Les conducteurs de camions seront obsolètes d’ici une dizaine d’années, tandis que les travailleurs du commerce de détail le seront d’ici 15 ans

    Dans trois décennies, les robots devraient même être capables d’écrire des livres qui figureront dans les liste de best-sellers.

    Cependant, selon les chercheurs, ces prédictions sont basées sur des moyennes.

    En Asie, les experts pensent que les humains seront totalement obsolètes et remplacés par les robots d’ici 104 ans. Aux États-Unis, les estimations sont plus prudentes. On évoque ainsi un délai de 169 ans.

    Enfin, selon le rapport, l’acquisition de compétences en intelligence artificielle pourrait être la tâche la plus compliquée pour les robots.

    https://fr.express.live/2018/01/10/combien-de-temps-seront-remplaces-robots/

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  3. Que faire ? L'abêtissement des Français (mais pas seulement des Français) est en progression


    Agoravox
    mer., 10 jan. 2018 15:14 UTC


    D'où, l'absolue nécessité de remplacer rapidement l'inflation galopante de la bêtise naturelle par l'intelligence artificielle. "Intelligence" entre guillemets, cela va de soi, car c'est bien l'homme qui a créé la machine à "réfléchir" à notre place. Comment ne pas remarquer les nombreuses études scientifiques censées nous prouver que les neurones des Français déclinent inexorablement d'année en année.

    Est-ce vrai ?
    Ce qui devrait nous mettre la puce à l'oreille sur la finalité de ce qui se trame dans les hautes sphères du pouvoir. On voudrait nous conditionner pour que nous acceptions sans rechigner le grand remplacement de l'humain par le robot, avec en prime un revenu universel maigrelet, que nos élites ne s'y prendraient pas autrement.

    Encore une théorie conspirationniste fumeuse ou un fake news pour faire plus connecté, me direz-vous ! Et vous aurez probablement raison. L'idée complètement saugrenue de faire porter la responsabilité de la crétinerie ambiante aux nouvelles technologies et plus précisément à notre cerveau de poche (le smarphone), est encore un complot anti-jeunes. Alors est-ce la faute des media, avec ou sans "s", de l'internet ou de l'Education Nationale, des perturbateurs endocriniens ou de la pollution, voire pourquoi pas du grand satan américain ?

    Tenez, justement, parlons-en des Américains et de leurs frères de Grande-Bretagne. D'après la même étude qui tue l'intelligence française, "menée en 2015 par Edward Dutton, de l'université d'Oulu (Finlande), et Richard Lynn, de l'université d'Ulster (Royaume-Uni)". Dans les pays de l'Oncle Sam et de la locataire très provisoire du 10 Downing Street, le QI progresse (faiblement). Remarquez, qu'il doit y avoir au moins une exception aux Etat-Unis, un homme mûr qui se prétend un "génie très stable" mentalement, ce qui n'est pas toujours une évidence. Pourtant, les Français(e) copient avec beaucoup d'assiduité les comportements alimentaires de Donald Trump ; MacDo et Coca. Donc, la responsabilité de l'abêtissement généralisée n'incombe pas seulement à la malbouffe.

    "Le Q.I. moyen des Français plafonnerait désormais à 98, alors qu'il tutoyait les 102 points en 1999". Si vous lisez certains forums, il y a peu d'espoir d'amélioration depuis cette date. L'explication serait-elle le niveau trop faible de notre couteuse Education Nationale ? Rassurons-nous (un peu), la France n'est pas le seul cancre des 34 pays membres de l'OCDE. Selon le " Programme international de suivi des acquis des élèves (Pisa)", nous sommes à la 26ème place en sciences. Ouf ! pas encore dernier du classement, mais le constat est accablant, car l'abêtissement est en voie de développement presque partout dans les "pays développés".

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  4. Alors, pourquoi sombrons-nous aussi massivement dans la crétinerie ?

    Voici quelques pistes à lire sur Science et Vie.

    "Pourquoi une inversion aussi brutale, une première alors que la tendance était à l'augmentation régulière de l'indice d'intelligence individuelle ? Le phénomène est trop récent pour être expliqué avec certitude, mais des pistes se dégagent. Citons l'usage croissant des technologies de l'information, qui pourrait éroder concentration, mémoire et réflexion, ou l'évolution des cursus scolaires en mathématiques vers plus d'algèbre et moins d'arithmétique. Les effets de l'immigration de personnes peu éduquées sur le niveau de culture générale, ceux de l'alcool voire des drogues chez les jeunes sont également invoqués, de manière très controversée. Mais aussi l'amélioration au cours du XXe siècle de l'hygiène de vie, de l'alimentation et de la médecine : peut-être a-t-elle permis d'atteindre le niveau maximal de notre intelligence, limitant la possibilité de progrès.

    Une autre piste retient particulièrement l'attention des chercheurs : celle des polluants. Plomb, mercure, particules fines, pesticides, perturbateurs endocriniens : au total, 214 polluants présents dans l'environnement et l'alimentation affecteraient le développement neurologique. Et, potentiellement, nuiraient à notre Q.I., comme le rapporte le récent documentaire "Demain, tous crétins ?".



    Des pistes, mais surtout des interrogations. L'une d'elles attire particulièrement l'attention, nous serions peut-être à notre niveau maximum d'intelligence. Ce qui ne serait pas si grave finalement, sauf si l'évolution cérébrale se fait à reculons pour se terminer dans une cabane dans les arbres, comme le font déjà certains zadistes dans le bocage de Notre-Dame-des-Landes. Ou encore, comme ces décérébrés qui sautent sur le toit du métro en marche pour vanter en vidéo leur inconscience sur Youtube. En attendant, mangeons des noix, c'est bon pour les neurones.

    Commentaire : Lire aussi :
    Idiocracie occidentale confirmée?
    Pourquoi élisons-nous des idiots
    Les hommes seraient de moins en moins intelligents
    Comment l'Europe empoisonne sa propre population

    https://fr.sott.net/article/31641-Que-faire-L-abetissement-des-Francais-mais-pas-seulement-des-Francais-est-en-progression

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    1. Il y a du vrai et il y a du faux. Le remplacement de l'instruction du savoir compter par une calculette a t-il ou peut-il faire tous des cons qui ne connaissent rien aux chiffres si l'EMP vient à paraître ? C'est possible que des gens soient effectivement désorientés par une telle réalité de ne savoir faire une opération. Mais, d'un autre côté, même si la calculette est devenue ordinateur puis robot-le-plus-rapide-du-monde, l'humain ne s'est pas forcément contenté d'observer sans rien faire. Au contraire, depuis l'arrivée de l'Internet (c'est-à-dire la Démocratie-branchée) l'humain s'est instruit intelligemment. Finie l'époque d'apprendre des conneries à l'école, aujourd'hui tous les sujets méritent discussion et se discutent !

      Évidemment, si la dictature ordurière du pouvoir dans les écoles et la vie de tous les jours et remplacée par la même chose sur Internet au prétexte que tout le reste sont des fakes news !... Rappelez-vous du: "afin de protéger la Démocratie libérale,'' !!! Démocratie en dictature ?!!! Cela n'a pas de sens puisque la Démocratie est LE CONTRAIRE de dictature.

      Qu'est-ce que la Démocratie ? La Démocratie c'est le Peuple qui dirige. Combien y a t-il de Démocraties dans le monde ? Un seul pays !!! La Suisse.

      Les Suisses votent LEURS propres lois et votent LEURS propres lois.

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  5. Suisse : pas de nationalité pour les bénéficiaires d’aides sociales

    Audrey Duperron
    11 janvier 2018


    En Suisse, une loi entrée en vigueur au 1er janvier de cette année prévoit que les résidents étrangers ne pourront être naturalisés s’ils ont perçu des aides sociales au cours des 3 années précédant leur demande, à moins qu’ils ne remboursent l’argent ainsi perçu à l’Etat.

    En conséquence, les demandeurs d’asile et les migrants qui ont récemment perçu des aides sociales, ne pourront pas obtenir la nationalité suisse, même s’ils répondent au critère de durée de résidence minimum pour faire cette demande.

    Précédemment, les résidents qui demandaient la nationalisation suisse devaient prouver qu’ils ne bénéficiaient pas d’aides sociales au moment du dépôt de leur demande. Mais désormais, même les personnes qui ont déposé leur demande il y a plus de 3 ans, et qui ont perçu entre-temps des aides sociales, ne pourront pas être naturalisées, à moins de rembourser l’argent qu’elles ont reçu.

    Des amis suisses et pas de condamnation pour faits de délinquance

    Les candidats à la naturalisation devront également être titulaires d’un « permis C », qui atteste de leur séjour dans le pays pour une durée comprise entre 5 et 10 ans. En outre, les candidats à la naturalisation suisse devront prouver qu’ils sont bien intégrés, en démontrant qu’ils se sont constitués un cercle d’amis et de connaissances suisses. Les critères en matière de langue varient d’un canton à l’autre, mais la plupart réclament une maîtrise d’un niveau moyen, c’est-à-dire au niveau B1 ou B2, selon le Cadre Européen Commun de Référence pour les Langues (CEFR).

    Enfin, les personnes ayant commis des délits pour lesquels elles ont été condamnées à une sanction minimum de 3 mois de prison avec sursis, ne pourront pas obtenir le passeport suisse.

    Les villes tentent de dissuader les migrants de s’installer
    Un certain nombre de cantons et de villes suisses tentent de dissuader les migrants de s’installer sur leur territoire. Par exemple, la ville de Zurich a voté en fin d’année dernière une loi qui prévoit une réduction importante des aides sociales accordées aux demandeurs d’asile déboutés, mais qui ne peuvent pas être expulsés.

    De plus, beaucoup de migrants arrivés en Suisse ne disposent pas de pièces d’identité, ce qui complique le dépôt d’une demande d’asile, ou leur expulsion pour ceux qui ont été déboutés de leur demande. Selon la conseillère fédérale Simonetta Sommaruga, il est impossible de déterminer la véritable identité de 9 demandeurs d’asile sur 10.

    Rien que sur la ville de Zurich, on a enregistré 6000 demandes de naturalisation en 2017, c’est-à-dire le double par rapport à l’année précédente. Cette forte hausse s’explique sans doute par un courrier que la maire a adressé aux étrangers pour les avertir des modifications apportées à la loi sur l’octroi de la nationalité suisse.

    https://fr.express.live/2018/01/11/suisse-de-nationalite-beneficiaires-daides-sociales/

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  6. Cinq États mexicains sont aussi risqués que des pays en guerre selon les États-Unis

    Frédéric Sergeur
    11 janvier 2018

    Le département d’État américain a placé cinq États mexicains au même rang que des pays en guerre comme l’Irak, le Yémen ou l’Irak. Ce qui signifie qu’il est fortement recommandé aux touristes de ne pas s’y rendre.

    Pour beaucoup, le Mexique est synonyme de vacances, plages, culture ou histoire. Mais le pays est aussi tristement célèbre pour ses meurtres, ses trafiquants de drogue et ses États “en guerre”. Avec plus de 23.000 homicides, 2017 a ainsi été une année record à ce niveau au Mexique.

    Cinq régions “interdites”
    Et ce ne sont pas les recommandations du département d’État américain (l’équivalent du ministère des Affaires étrangères) qui sont de nature à rassurer avant de réserver : il est recommandé aux touristes de ne pas se rendre dans les États de Colima, Michoacan, Sinaloa, Tamaulipas et Guerrero (dans lequel on retrouve notamment la célèbre station balnéaire d’Acapulco). C’est le genre de recommandations que les États-Unis donnent aussi pour des pays en guerre comme la Syrie, l’Irak, la Corée du Nord ou encore le Yémen ou la Somalie. Ambiance…

    La Belgique, de son côté, est moins alarmiste avec ses ressortissants mais prévient tout de même: “De nombreux autres États du Mexique souffrent d’une insécurité importante liée à la criminalité organisée (trafic de drogues, d’armes, blanchiment d’argent et traite des êtres humains) et à la délinquance qui en découle. Le gouvernement fédéral mène campagne contre les cartels de drogue qui s’entredéchirent mais qui réagissent aussi aux opérations gouvernementales par des représailles très violentes. La vigilance est donc recommandée dans l’ensemble du pays. Dans les états spécifiquement indiqués, les voyages non essentiels sont déconseillés”, peut-on lire sur sur le site de la diplomatie belge.

    Les cinq régions “interdites” par les États-Unis sont également citées côté belge, même si les voyages sont “fortement déconseillés” ici seulement.

    Guerre des gangs
    Une réalité difficile à encaisser pour le président Enrique Pena Nieto, élu en 2012 et qui lutte depuis (comme son prédécesseur Felipe Calderon) contre les narco-trafiquants qui gangrènent son pays. Mais cette lutte s’accompagne de violences, et les guerres de gangs continuent de faire rage. Rien que le week-end dernier, 18 personnes ont été tuées lors d’affrontements armés entre la police et des civils dans des stations balnéaires, dont Acapulco…

    A titre de comparaison, le pays possède toutefois un taux d’homicides (pour 100.000 habitants) inférieur à des pays comme le Salvador, le Honduras ou le Guatemala, qui se situent également en Amérique Centrale.

    https://fr.express.live/2018/01/11/cinq-etats-mexicains-risques-pays-guerre-selon-etats-unis/

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  7. Congrès complot pour couper un trou dans le 4ème amendement, encore une fois

    Judge Andrew P. Napolitano
    le 11 janv. 2018

    Caché sous la controverse suscitée la semaine dernière par la publication d'un livre intitulé "Fire and Fury", un point de vue très critique de la Maison Blanche Trump que le président a non seulement dénoncé à la télévision nationale mais a également essayé d'empêcher d'être publié. distribué, sont les efforts de l'administration Trump et de la direction du Congrès pour contourner le quatrième amendement à la Constitution.

    Voici l'histoire arrière.

    Après les excès du Watergate, au cours desquels l'administration Nixon a illégalement utilisé le FBI et la CIA pour espionner sans mandat les opposants politiques réels et imaginaires du président, le Congrès a adopté la Foreign Intelligence Surveillance Act. La FISA a interdit toute surveillance nationale à l'exception de celle qui découle de mandats signés par des juges fédéraux.

    Le Quatrième amendement - qui garantit la vie privée de nos personnes, maisons, papiers et effets - permet au gouvernement d'envahir cette vie privée seulement lorsqu'un juge a signé un mandat autorisant la surveillance, la perquisition ou la saisie. Et les juges ne peuvent émettre des mandats que lorsqu'ils ont des raisons probables de croire que la surveillance du gouvernement ou l'atteinte à la vie privée de la cible produira des preuves de comportement criminel. Le Quatrième amendement exige en outre que le mandat judiciaire décrive spécifiquement le lieu à perquisitionner ou la personne ou la chose à saisir.

    Toutes ces exigences sont dans l'amendement afin d'empêcher toute cour d'émettre des mandats généraux. Avant la Constitution, des mandats généraux étaient délivrés par des tribunaux britanniques qui se réunissaient en secret à Londres. Ils n'ont pas été délivrés sur la base de la cause probable du crime, mais émis sur la base du désir du gouvernement d'envahir la vie privée de tous les Américains vivant dans les colonies pour trouver les plus rebelles parmi eux. C'était le roi et la version du Parlement de la protection de la sécurité nationale.

    Les mandats généraux ne décrivaient pas l'endroit à perquisitionner ni la personne ou la chose à saisir. Ils ont autorisé le porteur - habituellement un soldat britannique physiquement situé dans les colonies - à chercher où il voulait et à saisir ce qu'il avait trouvé.

    FISA n'a pas interféré avec la compréhension ou l'utilisation standard du Quatrième Amendement par le gouvernement et les tribunaux. Mais cela a ajouté un autre moyen pour le gouvernement d'envahir la vie privée lorsqu'il veut surveiller les gens à des fins de sécurité nationale - un retour aux mandats généraux - plutôt que de recueillir uniquement des preuves de crimes.

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  8. La procédure créée par la FISA, défiant le Quatrième amendement - qui ne fait aucune distinction entre la collecte de preuves gouvernementales et la collecte de renseignements par le gouvernement - permet à un tribunal secret de Washington d'émettre des mandats généraux basés sur le besoin du gouvernement de parmi nous. Il prétend que la norme est la cause probable d'une agence étrangère, mais cela s'est transformé en émission de mandats généraux chaque fois que le gouvernement les veut.

    Depuis 1977, la Cour de surveillance du renseignement étranger a délivré plus de 99 % des mandats que le gouvernement a demandés. Et ces mandats ne décrivent pas spécifiquement le lieu à perquisitionner ni la personne ou la chose à saisir. Un mandat typique délivré par le FISC autorise la surveillance du gouvernement sur toutes les lignes fixes, les appareils mobiles et les ordinateurs de bureau dans une zone donnée ou un code postal. Un tristement célèbre mandat de perquisition délivré par le FISC a permis au gouvernement fédéral de surveiller tous les clients de Verizon aux États-Unis - plus de 115 millions de personnes - sans aucune preuve de crime ou même de soupçon sur aucun d'entre eux.

    Maintenant revenons au travail de l'administration Trump sous le radar. Même à la suite des attentats du 11 septembre, alors que le respect du gouvernement pour les normes constitutionnelles était à un niveau lamentablement bas, le gouvernement a interprété le quatrième amendement comme exigeant que le gouvernement sépare ses fonctions de renseignement de ses activités d'application de la loi. Le gouvernement a reconnu que son déclencheur pour la surveillance de masse - à savoir, la recherche d'un agent étranger parmi la population - était une norme beaucoup plus faible que la cause probable du crime, ce qui est exigé par le quatrième amendement.

    Aujourd'hui, les ordinateurs du gouvernement fédéral sont connectés en permanence aux ordinateurs centraux de tous les fournisseurs de services informatiques et de télécommunications en Amérique, de sorte que l'espionnage est en temps réel. Aujourd'hui, le gouvernement fédéral emploie plus de 60 000 espions domestiques - un espion pour 5 500 Américains. Aujourd'hui, si certains d'entre eux découvrent des preuves de crimes en écoutant vos appels téléphoniques ou en lisant ostensiblement vos textes ou courriels à des fins de renseignement, ils ne peuvent rien y faire.

    Jusqu'à maintenant.

    Maintenant, caché sous la controverse "Fire and Fury" est le son étouffé de l'administration Trump et les dirigeants du Congrès républicain complotant la promulgation d'un ajout à la FISA qui permettrait l'utilisation de preuves de crimes dans la cour fédérale, même quand il est découvert surveillance autorisée par mandat général.

    S'il est adopté, ce trou radical inconstitutionnel dans le Quatrième amendement ramènerait le pays à l'utilisation par le gouvernement de mandats généraux pour harceler et poursuivre - des mandats généraux si odieux à nos ancêtres qu'ils ont pris les armes contre les soldats du roi pour se débarrasser d'eux.

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  9. Je suis surpris que le président Donald Trump appuie cela. Il a lui-même été la cible d'une surveillance étrangère illégale et d'une surveillance interne inconstitutionnelle autorisée par le FISC. "Fire and Fury" cite même l'ancien Premier ministre britannique, Tony Blair, qui a averti Trump à ce sujet. Et maintenant, il veut nous déchaîner tout l'appétit vorace de surveillance qui s'est déchaîné sur lui et nous poursuivre pour ce qui est trouvé, la Constitution soit damnée.

    Qu'est-il arrivé au public de promettre de préserver, protéger et défendre la Constitution telle qu'elle est écrite ? C'est dans le serment que tout le gouvernement a pris. C'est le serment que le président et ses alliés républicains rejettent.

    http://www.judgenap.com/post/congress-plotting-to-cut-a-hole-in-the-4th-amendment-again

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  10. Une taxe salée pour le sucre ?

    Jeudi 11 janvier 2018
    Mohamed Musadak

    Soutenue à Neuchâtel tant par une partie de la droite que la gauche, l’idée d’une taxe à convaincu à cause de l’ampleur du problème de l’obésité et du diabète en Suisse.
    Le canton de Neuchâtel présentera son initiative cantonale pour l’instauration d’une loi fédérale sur les produits sucrés le 15 janvier prochain.

    Une taxe fédérale sur le sucre pour lutter contre l’obésité. Tel est, à terme, l’objectif de l’initiative cantonale que les élus neuchâtelois présenteront le 15 janvier prochain à la Commission de la sécurité sociale et de la santé du Conseil des Etats. A l’image du tabac et de l’alcool, les Neuchâtelois souhaitent que Berne établisse une législation spécifique sur les produits sucrés et à haute valeur énergétique et qu’elle adapte son ordonnance sur les denrées alimentaires et les objets usuels. L’intégralité des recettes de cette nouvelle taxe alimenterait un fonds géré par la Confédération qui financerait la prévention des maladies en lien avec la consommation de sucre. Une moitié de ce fonds serait consacrée aux programmes de prévention de la Confédération et des cantons, l’autre moitié serait redistribuée aux producteurs qui investissent dans la recherche, le développement et le marketing pour commercialiser des produits sans sucre.

    Soutenue à Neuchâtel tant par une partie de la droite que la gauche, l’idée d’une taxe à convaincu à cause de l’ampleur du problème de l’obésité et du diabète en Suisse. Selon l’Observatoire suisse de la santé, 42 % de la population souffre de surcharge pondérale. Entre 1992 et 2012, la proportion des hommes en surpoids et obèses a passé de 38,6 % à 50,5 %. Pour les femmes, elle a grimpé de 21 % à 32 %. Les initiants regrettent en outre les faibles moyens accordés à la prévention en comparaison internationale. «Sur l’ensemble des dépenses consacrées au système de santé en 2012, environ 2,2 % étaient dédiées à la prévention alors que la moyenne dans l’OCDE est de 3,1 %», écrivent-ils dans leur argumentaire.

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  11. Sucre et obésité

    Du côté de l’industrie, les pieux desseins de cette initiative cantonale sont fraîchement reçus. Ernest Daellenbach, secrétaire général de la Communauté de travail de la branche des boissons, se désespère de voir apparaître pareille proposition. «Cela fait plus de 30 ans que je fais ce métier et je peux vous assurer qu’une augmentation du prix des boissons sucrées ne dissuadera personne de consommer deux litres de soda si elle en a envie. Ce n’est pas ainsi qu’on luttera contre l’obésité. Cette taxe n’amènerait que des difficultés économiques.» Les initiants répliquent en indiquant «que l’objectif de la taxe n’est pas de dissuader les gens de consommer des aliments sucrés mais de financer la prévention qui, elle, a de réels effets sur la santé publique. Le but est de diminuer de les coûts de la santé pour les maladies liées à la consommation de ces produits».

    A Berne, les initiants auront fort à faire au vu de la composition de l’Assemblée fédérale et des réticences historiques à instaurer de nouvelles taxes. La Confédération a déjà fait savoir à plusieurs reprises son opposition à taxer les produits sucrés. L’Office fédéral de la sécurité alimentaire et des affaires vétérinaires déclarait il y a encore un an que «la Suisse a choisi l’approche volontaire». Cette approche n’a pas révolutionné l’industrie mais a tout de même vu l’apparition d’initiatives privées. En 2016, lors de l’exposition universelle de Milan, dix multinationales se sont engagées en partenariat avec le Conseil fédéral à réduire la teneur en sucre des aliments qu’elles produisent. En septembre 2017, elles ont été rejointes par quatre autres compagnies internationales et de nouveaux engagements ont été pris concernant les céréales et les yoghourts. Mais les initiants estiment que ces avancées ne sont pas assez ambitieuses. Faisant l’analogie avec l’alcool, ils se demandent si «on peut lutter contre l’alcoolisme en diminuant le volume d’alcool des boissons».

    https://www.lecourrier.ch/155700/une_taxe_salee_pour_le_sucre

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    1. Après le réseaux électrique sur la voie d'être remis aux mains d'escrocs, autoroutes à péage payées dix mille fois, voici qu'arrive la taxe où demain seuls les riches pourront se nourrir !
      Rappelons que les partis politique ne représentent PAS la Suisse mais seulement un nano-groupuscule d'handicapés.

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  12. Fake news et complotisme: comment l'État nous manipule

    Philipe Alain
    I am Spartacus
    jeu., 11 jan. 2018 07:55 UTC


    Lors de ses vœux à la presse, le 3 janvier 2018, Emmanuel Macron s'est fendu d'une nouvelle promesse: afin de protéger la démocratie, il va légiférer sur la liberté de la presse et faire voter une loi contre les "fake news".

    Comment ? Vous n'étiez pas au courant ? Et oui, on vient de l'apprendre, la France est menacée par un nouveau fléau dévastateur: une épidémie de fake news. Comme ces nouvelles épidémies qui nous valent maintenant d'injecter 11 vaccins à nos nourrissons pour le plus grand profit des laboratoires pharmaceutiques, pardon pour leur sauver la vie, une loi sera donc votée pour nous protéger de ceux qui remettent un peu trop en question les thèses officielles véhiculées par les médias aux mains de quelques milliardaires amis du pouvoir.

    Cette annonce a néanmoins déclenché un tollé chez tous les journalistes qui se respectent car ils y voient clairement une volonté du pouvoir de mieux contrôler l'information. Tout le monde l'a bien compris, sous prétexte d'empêcher des médias étrangers d'influencer l'opinion publique française, Macron veut en réalité mettre au pas l'ensemble de la profession et contrôler la diffusion des informations qui pourraient mettre en difficulté le pouvoir.

    Face à la levée de boucliers unanime, Macron a donc envoyé ses petites mains assurer le service après-vente. Parmi eux, on retrouve Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement qui enchaîne les plateaux télés et radios.

    Le 6 janvier, sur ONPC de France 2, il évoque le sujet en affirmant:
    "les informations les plus partagées sont souvent des informations totalement fausses".
    Il appuie son argumentation en évoquant ... les groupes terroristes. Bouh, vous avez compris ? Vous avez peur maintenant, non ? "Si demain un milliardaire étranger ou un groupe terroriste avec des fonds importants décidaient de sponsoriser des contenus diffamant tel ou tel candidat, ils peuvent librement le faire sur les plates-formes alors qu'un candidat, aujourd'hui, vous ne pouvez pas, vous, sponsoriser vos propres contenus sur le web..." (sic) (1) Ah oui, c'est nouveau, ça vient de sortir, pour 2018, les groupes terroristes arrêtent les attentats. Ils se consacreront désormais aux fake news, d'où l'importance d'une loi.

    Comment ? Vous pensez que les hommes politiques se foutent de notre gueule ? Vous avez bien raison.

    Benjamin Griveaux est un ancien socialiste qui a participé activement à la campagne de Dominique Strauss-Kahn en 2006. En 2012, il a même fait partie du cabinet de Marisol Touraine, ministre socialiste de la santé du gouvernement Valls. Cet illustre ex-socialiste a publié un livre intitulé: "salauds de pauvre". Si vous observez attentivement la couverture, vous découvrirez le nom de l'éditeur: Fayard et juste au dessus un logo avec une mention: "Fondation Jean Jaurès".

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  13. Attention, la manipulation ne fait que commencer.

    Que se passe-t-il le 7 janvier ? 4 jours après l'annonce de Macron, le lendemain de l'argument massue du porte-fake news ? La Fondation Jean Jaurès, tiens, tiens, la même qui a sponsorisé le livre de Benjamin Griveaux, sort une "étude" intitulée: "le conspirationnisme dans l'opinion publique française" dont la principale conclusion, reprise en boucle par l'ensemble des médias mainstream est la suivante: "8 français sur 10 croient à au moins une théorie du complot". Quelle coïncidence, non ? Pour être parfaitement rigoureux, cette étude a été commanditée par la Fondation Jean Jaurès mais également par un site aux faux airs anglo-saxons: "Conspiracy Watch", site internet fondé en 2007 par Rudy Reichstadt,... membre de... non ? et si.. membre de la Fondation Jean Jaurès...

    Intéressons-nous donc à la Fondation Jean Jaurès.

    Officiellement, la Fondation Jean-Jaurès se décrit à la fois comme "un think tank, un acteur de terrain et un centre d'histoire au service de tous ceux qui défendent le progrès et la démocratie dans le monde." En réalité, la Fondation Jean Jaurès est un think tank fondé sous l'impulsion de Pierre Mauroy, ancien premier ministre de François Mitterand. On trouve dans son conseil d'administration bon nombre de socialistes comme Jean-Marc Ayrault, Vincent Peillon ou Bruno Le Roux, mais plus surprenant, devinez qui occupe jusqu'en mai 2017 le poste de secrétaire général ? Gérard Collomb... Aujourd'hui ministre de l'intérieur de Macron.

    Pour la petite histoire, avec Gérard Collomb qui est toujours membre du Conseil d'Administration, on trouve également au poste d'administrateur, monsieur Christophe Carol, qui aussi est chef du bureau des associations et fondations au ministère de l'intérieur. Bonjour le conflit d'intérêts. (2)Côté financement, ça vaut aussi son pesant de cacahuètes. La Fondation Jean Jaurès se vante d'être indépendante. Ah bon ? Le budget voté le 21 décembre 2016 est de 2 730 000 €. 1 000 000 d'euros de recettes proviennent des services généraux du premier ministre" et 878 000 € proviennent de subventions publiques. Autrement dit, l'État finance la Fondation Jean Jaurès à hauteur de 70% de son budget. Les ressources propres: publications, dons... ne représentent que 6% des recettes.Bref, la Fondation Jean Jaurès est une véritable "organe d'influence", une officine de propagande d'État qui n'ose pas dire son nom.

    Ça y est ? Vous comprenez mieux la manipulation ?

    Bien évidemment, tous les médias vont reprendre en boucle les informations de la fameuse étude censée démontrer que les Français sont des adeptes inconditionnels des fake news et du conspirationnisme. Libération, qui appartient, comme L'Express, l'Expansion, BFM et RMC à Patrick Drahi, le milliardaire Franco-Israélien, fait la une sur le sujet en titrant son édition du 9 janvier: "Complotisme: le côté obscur de la France".

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  14. Le soir même, Europe 1, propriété du milliardaire Arnaud Lagardère consacre un débat au fake news. Bref, tout le monde s'y met et ne parle que de ça ou presque pendant plusieurs jours.

    Voilà, la boucle est bouclée. Aucun journaliste n'aura remarqué la supercherie, ou du moins, aucun ne s'est intéressé au véritable commanditaire de l'étude.

    Sur le fond du sujet, précisons simplement deux ou trois choses.

    Aux États-Unis, Hillary Clinton a dépensé pour sa campagne 1,2 milliards de dollars, la plus grosse somme jamais dépensée dans l'histoire des États-Unis lors d'une campagne électorale pour finalement se faire battre. Alors il va falloir qu'on nous explique comment un État étranger peut dépenser quelques milliers de dollars en contenus sponsorisés sur Facebook et Twitter et faire basculer le résultat de l'élection américaine. Enfin, c'est surtout à Hillary qu'il faudra l'expliquer car apparemment, elle n'est pas au courant et elle aurait bien aimé connaître la recette pour se l'appliquer à elle-même.

    En Angleterre, une commission parlementaire a décidé de demander des comptes à Facebook et Twitter concernant une possible ingérence russe dans le Brexit. Dans un courrier adressé à la commission fin décembre, Facebook révèle, après vérifications, que le principal compte russe supposé avoir payé des publicités afin d'influencer le vote lors du brexit n'a dépensé que... 1 dollar... A peine mieux du côté de Twitter qui ne relève que 6 tweets sponsorisés par Russia Today pour une valeur d'environ 1 00 dollars. (3)

    Enfin, pour tous ceux qui l'auraient oublié, la plus grande, la plus énorme, la plus gigantesque des fake news jamais inventée n'est pas l'œuvre d'un journal, d'une télévision ou d'une radio, c'est l'œuvre d'un État. En l'occurrence, l'État américain, sous l'administration Bush. Rappelez-vous, c'était le 5 février 2003 devant les Nations-Unies à New-York. Pendant 80 minutes, Colin Powell se livre à un véritable réquisitoire contre l'Irak, il montre des photos satellite, il brandit un flacon d'anthrax et explique que Sadam Hussein est en train de fabriquer une bombe nucléaire. (4)

    On connaît la suite, le 20 mars 2003, les forces armées américaines envahissent l'Irak qu'elles occuperont pendant 8 ans avant de se retirer le 18 décembre 2011, pour un coût estimé à 3 000 milliards de dollars.

    10 ans après, à l'occasion de la publication d'un livre, Colin Powel avoue à propos des armes de destruction massive que "Saddam Hussein ... n'en possédait pas un gramme". Et oui, tout cela n'était qu'un énorme mensonge destiné à justifier l'invasion américaine et le pillage du pétrole irakien. Juste une fake news en fin de compte.

    -- Commentaire : Et en passant tuer presque un million de Irakiens, détruire le pays, voler son art et son Histoire, produire ce qu'on appelle communément "un état de terreur" continuel, sans fin, donner en exemple aux autres ce qu'ils sont capables de faire sur une population innocente, sur un pays. --

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  15. Et si vous pensez que seuls les américains sont capables de manipuler ainsi les peuples, rappelez-vous de l'affaire du sang contaminé ou du nuage radio-actif de Tchernobyl qui avait touché toute l'Europe mais s'était miraculeusement arrêté aux frontières de la France.

    En résumé: le 4 janvier, Macron annonce une nouvelle forme de censure contre les médias; les jours suivants, le porte-parole va expliquer sur les plateaux que c'est indispensable pour se protéger, par exemple des groupes terroristes et le 7 janvier, une officine de propagande financée par l'État nous pond une étude qui démontre que nous sommes tous atteints de complotisme aigu et que, par conséquent, une cure de désintoxication s'impose. Diffusée en boucle par tous les médias, cette "étude" vient clore le débat et faire taire tous ceux qui s'étaient pourtant offusqués quelques jours plus tôt de l'annonce d'une nouvelle mesure liberticide.

    Voilà un parfait exemple de manipulation de l'opinion publique par l'État lui-même.

    Jamais personne n'aura autant de moyens médiatiques, humains, financiers et politiques permettant de réussir de telles manipulations. Tous les producteurs de "fake news" devraient s'en inspirer et tous les journalistes devraient s'en rappeler.

    Chapeau bas, monsieur Macron. Opération parfaitement réussie. Personne ne vous arrivera jamais à la cheville en matière de manipulation, sauf bien évidemment monsieur Bush.

    Sources :
    (1) https://www.youtube.com/watch?v=ci0Wi3qVYug (à 3'50)
    (2) https://jean-jaures.org/la-fondation
    (3) https://www.buzzfeed.com/markdistefano/facebook-and-twitter-say-there-was-practically-zero-russian?utm_term=.apwr55l2KW - .oe8XkkqoW0
    (4) http://www.ina.fr/video/2205136001007

    -- Commentaire : Les mensonges tuent, ils tuent des millions de victimes innocentes, sont responsables de souffrance, de douleur, de violence, de destruction massive, de chaos. Les mensonges font que la masse obéisse aveuglement des crapules sans conscience et qu'elle devienne à son tour son complice. --

    https://fr.sott.net/article/31647-Fake-news-et-complotisme-comment-l-Etat-nous-manipule

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  16. Rêve humide des dictateurs du climat: des sceptiques exilés dans des camps de prisonniers sur les îles antarctiques

    January 11th, 2018

    Tony Thomas a mis au jour un document datant de dix ans qui se lit comme un rêve humide pour les dictateurs du mini-climat. Il prévoit, d'ici 2028, que les premiers sceptiques du climat seront condamnés pour nier l'existence du changement climatique et exilés à trois colonies pénitentiaires dans l'île de Kerguelen, en Géorgie du Sud et en Nouvelle-Zélande. Ce sont des «internements internationaux de condamnés». Ce sont donc des prisons mondialistes pour les déplorables qui disent des choses non permises, parce qu'ils sont si mauvais, que nous ne voulons pas qu'ils se mélangent avec des criminels normaux qui croient au changement climatique .

    Heureusement, leur fiction fantastique est encore moins précise que les modèles climatiques. En 2030, ils font de l'Afrique une puissance économique:

    2030 ... l'économie mondiale est aujourd'hui moins dominée par les trois grands de la Chine, de l'Inde et des États-Unis. Au lieu de cela, des blocs économiques tels que l'Union africaine, le Conseil latino-américain du commerce et l'Alliance des États turcs sont devenus des acteurs puissants sur la scène.

    Comme le souligne Tony Thomas, ils ont également estimé que le pétrole passerait de 150 dollars en 2008 à 400 dollars en 2022. Jusqu'à présent, il a grimpé jusqu'à 60 dollars. Ils ont également prédit une dépression mondiale en 2009-18. Au lieu de cela, nous avons obtenu des "records de Dow". Je suppose qu'ils n'ont pas vu venir Donald Trump non plus.

    Et d'ici 2020, ils prédisent que non seulement il n'y aura pas de neige dans l'hémisphère nord, mais qu'il n'y aura plus d'hiver. Les Canadiens et les Américains sont déçus de savoir que cinq pieds de neige peuvent tomber dans le Nouvel An. printemps".

    Ce rêve est si humide qu'il devrait venir avec des avertissements d'inondation:

    «Dans la plupart des cas, le contrôle des émissions a progressé graduellement, les citoyens abandonnant le contrôle de leur vie au lieu de tout à la fois, les régimes commerciaux, le droit international, les modes de vie et les entreprises réagissant à la crise environnementale croissante.

    «Les campagnes d'information coûteuses et financées par l'État renforcent le besoin de changements dans les modes de vie et visent à maintenir le mandat de l'intervention de l'État fort. Il y a inévitablement des parallèles entre cela et la propagande autoritaire de l'État du XXe siècle.

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  17. "Le" crime climatique "est un faux pas social partout, mais dans certains pays, il est criminel de questionner publiquement l'existence d'un changement climatique anthropique ou de proposer des actions qui pourraient contribuer d'une manière ou d'une autre au changement climatique.

    "Il est très rare de rencontrer des voix dissidentes avec un réel pouvoir, mais la résistance à une intervention étatique trop forte est parfois violente. Les médias de certains pays ont été autorisés à discuter ...

    Le fantasme du futur climatique ressemblerait aussi à de la manne pour un simple mouton qui aurait du mal à sortir du tapis roulant, à faire pousser du chou frisé et des chemises de chanvre teintées de tye-dye, mais à moins que tout le monde soit obligé de les rejoindre.

    http://joannenova.com.au/2018/01/wet-dream-of-climate-dictators-skeptics-exiled-to-penal-colonies-on-antarctic-islands/

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  18. Une bonne nouvelle sur le climato-réalisme en France


    le 10 janvier 2018
    par Benoît Rittaud


    Les médias se sont assez largement faits l’écho d’une enquête de l’IFOP commandée par la Fondation Jean Jaurès* sur le conspirationnisme dans l’opinion publique française. La partie concernant le climato-réalisme m’apparaît comme très encourageante, à condition de lire l’étude elle-même plutôt que de s’arrêter à ce qui en a été rapporté ici ou là.

    Cette enquête ne s’intéresse au climato-réalisme que de manière incidente, l’essentiel de son contenu et des commentaires qui l’ont accompagnée se focalisant plutôt sur la diffusion des théories du complot telles que celles sur les attentats du 11-septembre 2001, sur l’immigration et sur les médias.

    En découvrant que le climato-réalisme était associé à une théorie du complot, mon premier réflexe a été de m’énerver. Il devrait être évident pour tout le monde que ne pas adhérer à une opinion scientifique dominante n’est pas la même chose que de supposer l’existence d’un complot ! Il y a quand même une différence facile à voir entre le climato-réalisme et le fait de nier la réalité des missions Apollo, par exemple, qui ne peut se faire qu’en supposant une conspiration de la NASA. De même, le créationnisme ou la théorie de la terre plate, si fausses que soient ces idées, ne relèvent pas du complotisme. La Fondation Jean Jaurès a donc rangé sous le vocable fourre-tout de « complotisme » toute contestation d’une pensée dominante, c’est là une erreur méthodologique coupable.

    À la lecture aussi bien de l’analyse des résultats que des données elles-mêmes obtenues par l’IFOP, il apparaît toutefois que, bien que l’on ne puisse se défaire de ce sentiment que l’objectif était surtout de défendre l’opinion conforme contre les vilains alter-pensants, l’étude produite est riche d’enseignements. Cerise sur le gâteau, ceux-ci sont tout à fait à l’avantage des climato-réalistes.

    S’agissant du climat, la question posée était : « À propos du réchauffement climatique, avec laquelle des opinions suivantes êtes-vous le plus d’accord ? » Les réponses possibles étaient les suivantes :

    Il est certain que c’est un problème causé principalement par l’activité humaine.
    On ne sait pas encore clairement si le réchauffement climatique provient de l’activité humaine ou des rayonnements solaires.
    On n’est même pas encore sûr que le climat se réchauffe.
    Le réchauffement climatique n’existe pas, c’est une thèse avant tout défendue par des politiques et des scientifiques pour faire avancer leurs intérêts.

    Évidemment, la pertinence de ces propositions de réponses est pour le moins contestable :

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  19. La mention d’un « problème » dans la première réponse n’a pas lieu d’être.

    La deuxième réponse suppose que seuls les « rayonnements solaires » peuvent servir d’explication alternative. (Il convient par ailleurs de supposer que les sondeurs ont ici fait une improbable « synthèse » entre l’activité solaire et les rayonnements cosmiques…)

    La troisième réponse fait l’impasse sur les échelles de temps : sur un siècle il y a réchauffement, sur quinze ans il n’y en a pas – ou peu -, et sur deux ans il y en a eu un (à cause d’El Niño).

    La quatrième réponse ignore qu’on pourrait imaginer un complot qui se grefferait sur un réchauffement réel et accepté. Surtout, elle met en réalité en scène un opportunisme et une convergence objective d’intérêts, qui n’implique nulle conspiration des acteurs. L’analyste de la Fondation Jean Jaurès parle pourtant, au sujet de cette réponse, de « théorie du complot au sens fort du terme« , ce qui est manifestement abusif. On peut penser que si la formulation avait explicitement mentionné une « conspiration des politiques et des scientifiques », le score de cette réponse aurait été inférieur.
    Passons.

    Il est raisonnable d’estimer que la position carbocentriste correspond à la première réponse, la position climato-réaliste aux deuxième et troisième réponses, et la position complotiste à la quatrième réponse (plus exactement, donc : les complotistes ont sans doute choisi cette réponse, sans que tous ceux qui ont choisi cette réponse soient des complotistes ; vu le score de la réponse, on pourra heureusement ignorer ce problème dans la suite). Sur l’ensemble des Français, le carbocentrisme obtient alors le score de 65 %, ses opposants climato-réalistes 31 % (=25 % + 6 %), et les complotistes 4 %.

    Ainsi donc, 35 % des Français résistent encore et toujours au matraquage carbocentriste quotidien. C’est là un excellent score, qui confirme la capacité de réflexion autonome de nos concitoyens et montre que le climato-réalisme dispose d’un très grand potentiel dans l’opinion. Mieux : avec seulement 4%, le complotisme climatique n’est qu’anecdotique, ce qui démontre de façon éclatante que les opposants au carbocentrisme sont dans leur grande majorité des personnes raisonnables.

    Il y a davantage : les chiffres de cette enquête sont extrêmement proches de ceux d’une enquête du ministère du Développement Durable publiée en août 2013, qui proposait aux sondés des réponses très voisines (la principale différence résidait dans la quatrième réponse, qui proposait « sans opinion » au lieu d’une réponse complotiste). Les résultats de cette étude étaient : 61 % de carbocentristes, 35 % de climato-réalistes (22 % doutant de l’origine du réchauffement, 13% doutant du réchauffement lui-même), 4 % de sans opinion.

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  20. Les lignes n’ont donc guère bougé : malgré la COP21, les Make our planet great again et autres One planet summit, un Français sur trois ne marche pas dans la théorie du GIEC. Les efforts de communication du carbocentrisme ne parviennent donc nullement à accroître son niveau d’adhésion. Tout juste réussit-il à le maintenir, à un niveau certes élevé mais non hégémonique. Si les climato-réalistes désormais unis poursuivent leur travail commencé en 2015, alors le carbocentrisme semble programmé pour reculer, de manière presque mécanique.

    Dans le détail, il ne semble pas y avoir de climato-réaliste type. Il y a des différences, bien sûr, mais on est loin d’un partage binaire entre catégories de populations. Les deux distinctions les plus manifestes se font par l’âge et les opinions politiques :

    les personnes plus âgées sont davantage climato-réalistes que les plus jeunes (un retraité sur 2, un jeune sur 4). Côté pile, on doit peut-être y voir les effets du matraquage éducatif. Côté face, on peut espérer que les effets s’en dissipent avec le temps (mais ce n’est là qu’un espoir gratuit, les retraités d’aujourd’hui n’ayant pas subi l’enseignement du réchauffement climatique à l’école).

    On est davantage climato-réaliste à droite de l’échiquier politique qu’à gauche. Notons cependant que même à Europe-Écologie-Les-Verts les climato-réalistes obtiennent 17% des suffrages, ce qui n’est pas rien !

    Difficile de tracer d’autres lignes de démarcation nettes. Par exemple, si les cadres et professions intellectuelles supérieures sont davantage carbocentristes que la moyenne, la différence n’est pas écrasante (73% contre 65%). Pour ce qui est du niveau d’étude, les étudiants se montrent les plus carbocentristes (74%) et les sans diplôme le moins (58%), mais en-dehors de ces deux extrêmes, le niveau d’éducation ne joue pour ainsi dire aucun rôle dans l’adhésion aux thèses du GIEC : du CAP au diplômé de 3e cycle universitaire, le carbocentrisme ne s’éloigne pas de sa moyenne. Cela tend à renforcer la suggestion avancée plus haut : les effets du matraquage éducatif n’ont qu’un temps.

    Le climato-réalisme n’est donc nullement une pensée complotiste, et il n’est pas non plus niché dans tel ou tel segment de la population qu’il serait aisé de stigmatiser, genre : « que des vieux », « que des réacs », « que des ignares », « que des complotistes », « que des mâles dominants »… (liste de clichés non limitative). L’esprit critique n’est pas l’apanage de tel ou tel segment de la population : ce n’est pas une surprise, mais ça se confirme, et ça fait du bien.

    https://mythesmanciesetmathematiques.wordpress.com/2018/01/10/une-bonne-nouvelle-sur-le-climato-realisme-en-france/

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    1. *https://fr.sott.net/article/31647-Fake-news-et-complotisme-comment-l-Etat-nous-manipule

      Dernièrement j'ai même lu dans un canard lèche-cul du pouvoir que les complotistes regroupait dans le même sac les scientifiques qui signent des pétitions contre les escroqueries du 'Global Warming' et de 'la mer qui va monter', ceux qui osent décrire les quatre ou cinq chemtrails quotidiens comme des traits de morts alors que volent plus de 15 000 avions au même endroits sans faire de traces, et les théoriciens de la Terre plate, des illumunatis et du linky ! C'est tout l'art de faire passer les êtres intelligents pour des imbéciles !

      L'éruption d'un volcan en 1280 a semé le froid sur toute la planète, mais, l'idiotie des volcanologues choisis a été de rechercher des volcans terrestres (aujourd'hui bouchés) alors qu'il y a des millions de volcans sous les mers & océans (qui couvrent les 3/4 de notre globe) et, leurs proximités avec le magma laisse plutôt supposer que c'est à cet endroit même (maillon faible) que s'est passée l'explosion.

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  21. Débusquer l’idéologue forcené

    L’idéologie en soi suscite un débat… qu’elle pollue instantanément. Peut-on converser avec un idéologue forcené, non pas pour débattre de ses idées mais simplement à propos du préalable idéologique qu’il adopte ?

    Par Michel de Rougemont
    11 JANVIER 2018


    Dans tout débat la tentation est grande de critiquer la posture idéologique de l’autre tout en prétendant avoir un esprit ouvert. Nous avons tous des idéologies indiquant nos préférences sociales et morales, il n’y a aucun mal à cela, c’est même nécessaire si l’on désire vivre autrement qu’un mollusque. Cela ne fait pas de nous tous des fanatiques, si fermement attachés à leur système de pensée, ou de non pensée, que tout argument contraire nous serait inaccessible.

    Au cours d’années de controverses, la climatologue Judith Curry a développé à ce sujet un diagnostic simple pour distinguer le dogmatique, idéologue forcené (nommé simplement ideologue en anglais), de l’honnête personne représentant ses opinions. Elle en distingue cinq attributs :

    L’absence de doute
    L’intolérance au débat
    L’appel à l’autorité
    La soif de convaincre l’autre de la « vérité »
    La volonté de punir ceux qui ne sont pas d’accord

    Elle constate qu’un idéologue forcené se manifeste dès lors que quatre de ces critères sont remplis, ce qui ne manque pas dans son domaine de prédilection.

    LE FANATISME POUR EXISTER

    Ce sont bien sûr les grandes idéologies politiques, et certaines religions aussi, qui ont besoin de ce fanatisme pour exister. Pourtant, dans le milieu de la politique intérieure de pays où règne l’État de droit, on n’en rencontre que peu. Cela est certainement dû au besoin de se faire élire, ce qui exige des positions claires mais aussi une aptitude à pactiser, sans exclure.

    Paradoxalement, le pragmatisme risque alors de devenir une idéologie en soi, ce qui peut laisser douter des convictions de l’un ou de l’autre, à l’exemple de l’insaisissable Mme Merkel. Les partis d’opposition qui ne participent jamais à la gestion du pays sont bien plus enclins à des attitudes absolutistes, tout comme la plupart des ONG militantes, toujours critiques mais pas vraiment engagées dans l’action responsable.

    Ce sont dans les thèmes de société que l’on en rencontre le plus, touchant à l’écologie, à la santé, aux modes de vie, ou aux représentations de soi et des communautés.

    CONTRE L’OUVERTURE D’ESPRIT

    L’idéologie en soi suscite un débat… qu’elle pollue instantanément. Peut-on converser avec un idéologue forcené, non pas pour débattre de ses idées mais simplement à propos du préalable idéologique qu’il adopte ? C’est plus facile de dire à l’énervé qu’il l’est ou à l’ivrogne qu’il est saoul. Selon J.F. Kennedy, « il ne fait pas de doute que n’importe quel homme ayant une conviction totale, particulièrement s’il est un expert, doit nécessairement ébranler quelqu’un qui a un esprit ouvert. C’est l’avantage d’avoir un esprit fermé. »

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  22. L’ouverture d’esprit serait donc réprimée par la force de la conviction et de l’obstination. Ce serait un totalitarisme bienveillant tant que l’idéologie que l’on servirait inconditionnellement serait vraiment bonne, mais un totalitarisme destructeur si elle ne l’est pas, cas le plus vraisemblable et le plus répandu.

    Comment faire face aux idéologues forcenés ? Comment parler de religion, de relations sociales, d’écologie si d’emblée il, ou elle, tient le haut du pavé en dictant les termes du non débat ? Eh bien, on reste couillon et on n’en parle pas, ou alors si peu tout en se conformant aux normes du politiquement correct, forme de rappel à l’ordre permanent.

    INSIDIEUSE PROPAGANDE DE L’IDÉOLOGUE

    Ce que l’on constate c’est une mise en touche de tous les sujets qui pourraient fâcher ces maîtres à penser auto-nommés. Alors il faut leur rendre de cette monnaie-là et ne les considérer ni comme interlocuteurs valables ni comme groupe cible. Ce sont les autres, encore ouverts et dont le cerveau n’est pas déjà lavé, qu’il faut alerter de l’absolutisme de telles idéologies et de l’insidieuse propagande à laquelle ils sont exposés.

    Le problème est qu’il y a beaucoup de compagnons de route, sincères, hypocrites ou aveugles peu importe, qui eux aussi bloquent le débat ou le distordent. Certains thèmes ne sont donc plus du tout laissés ouverts. Il faudrait donc ajouter à la liste un sixième attribut, déjà bien usé en des temps pas moins obscurs :

    La mise à l’index de l’hérétique, personne ou sujet qui fâche
    Le sujet le plus fédérateur de telles postures est celui de la cause humaine du réchauffement climatique pour lequel les médias mainstream, tant de la presse écrite que de l’audiovisuel, ont clairement décidé de ne pas laisser se développer quelque controverse que ce soit. Allez savoir pourquoi ? ils sont incapables de vouloir en parler.

    https://www.contrepoints.org/2018/01/11/307064-debusquer-lideologue-forcene

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    Réponses
    1. C'est bien pourquoi même s'il existe ces 'idéologues' sur Internet, soit ils ne sont pas lus et l'internaute passe son chemin, soit il est discuté. Mais là apparaissent très vite les trolls de Bruxelles qui censurent/retirent des commentaires !

      L’UE va financer des agents pour contrer les eurosceptiques sur Internet

      By lejournaldusiecle
      14 février 2013


      Le Parlement européen va débourser environ 2,5 millions d’euros environ pour lancer une armée de "trolls" sur Internet, et en particulier les réseaux sociaux comme Facebook et Twitter pour lutter contre l’euroscepticisme en vue des élections de 2014, qui auront lieu entre le 5 et le 8 juin 2014.

      C’est le Daily Telegraph qui a révélé l’information le 3 Février 2013. Le journal a eu accès à des documents confidentiels qui révèlent la planification d’une campagne sans précédent de réorientation de l’opinion publique, avant et pendant les élections de juin 2014.

      Au cœur de cette nouvelle stratégie : "des outils de contrôle de l’opinion publique" destinés à déterminer si certains débats de nature politique ayant lieu entre participants des médias sociaux et autres blogs sont susceptibles d’attirer l’attention médiatique et publique.

      Les communicants des institutions parlementaires devront être capables de décrypter les "sujets tendances" au sein des conversations et d’y réagir rapidement, de manière ciblée et pertinente ; il s’agit pour eux de "se joindre aux conversations et de les influencer, par exemple en fournissant des faits et des chiffres déconstruisant les mythes".

      Selon le document mis à jour par le Daily Telegraph, les "trolls" européistes auront pour mission de subvertir le sentiment qu’expriment de plus en plus d’Européens, à savoir que "l’Europe est le problème", et de le retourner, de sorte que chacun en vienne à considérer que la réponse aux défis actuels est "plus d’Europe", et non pas "moins d’Europe".

      Une attention toute particulière doit être accordée, nous dit-on, aux pays qui ont connu une montée de l’euroscepticisme. La France, qui a massivement rejeté le Traité constitutionnel européen le 29 mai 2005 (55%), devrait donc être particulièrement ciblée par cette campagne de propagande, visant à redresser les jugements inadaptés – incorrects – sur la construction si prometteuse de ce "premier empire non impérial" qu’est l’UE, dixit Barroso.

      En pleine crise économique, et alors que l’austérité est imposée aux États, l’UE ne devrait pas rechigner sur les moyens de sa propagande, puisqu’une augmentation de près de 2 millions d’euros des dépenses en "analyse qualitative des médias" serait prévue, principalement tirée de budgets pré-existants, et plus de 900.000 euros additionnels devraient être collectés l’an prochain.

      Nigel Farage a été l’un des premiers députés européens à réagir aux révélations du Telegraph, le 7 février sur Russia Today, estimant que l’UE ne valait pas mieux qu’une "république bananière".

      Sources : Daily Telegraph / Agoravox / Russia Today / Le Journal du Siècle

      http://lejournaldusiecle.com/2013/02/14/lue-va-financer-des-agents-pour-contrer-les-eurosceptiques-sur-internet

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  23. Project Veritas expose Twitter "Shadow Banning", bloquant les vues opposées


    par Tyler Durden
    Jeu, 01/11/2018 - 12:55

    Dans la dernière d'une série d'opérations d'infiltration ciblant les médias traditionnels et maintenant les médias sociaux, James O'Keefe de Project Veritas vient de déposer une nouvelle vidéo secrète qui révèle Twitter "interdiction d'ombre" et la création d'algorithmes qui censurent certaines idées.

    Le premier clip présente un ancien ingénieur logiciel Twitter qui explique comment / pourquoi Twitter "interdit" certains utilisateurs:

    Abhinav Vadrevu: «Une stratégie consiste à bannir les interdictions afin que vous ayez le contrôle ultime.L'idée d'une interdiction des ombres est que vous bannissez quelqu'un, mais ils ne savent pas qu'ils ont été interdits, parce qu'ils continuent à poster mais personne ne voit leur contenu. "

    "Alors ils pensent juste que personne ne s'intéresse à leur contenu, alors qu'en réalité, personne ne le voit.Je ne sais pas si Twitter le fait plus."

    Pendant ce temps, Olinda Hassan, responsable de la politique pour l'équipe de confiance et de sécurité de Twitter, explique le 15 décembre 2017 lors d'une fête de vacances sur Twitter que le développement d'un système de «down shuffy people» est en préparation:

    "Ouais. C'est quelque chose sur lequel nous travaillons. Nous essayons de faire en sorte que les gens de merde ne se présentent pas. C'est une chose sur laquelle nous travaillons en ce moment. "

    Dans la vidéo complète (voir ci-dessous) Twitter Agent de révision de contenu Mo Nora explique que Twitter n'a pas une politique écrite officielle qui cible discours conservateur, mais plutôt qu'ils suivaient "des règles non écrites à partir du haut":

    "Beaucoup de règles non écrites, et étant donné que nous sommes à San Francisco, nous sommes en Californie, très libéral, un état très bleu. Tu devais être ... Je veux dire en tant qu'entreprise, tu ne peux pas vraiment le dire parce que ça te ferait mal paraître, mais derrière les portes closes il y a beaucoup de règles.

    "Il y avait, je dirais ... Twitter était probablement à environ 90 % Anti-Trump, peut-être 99 % Anti-Trump."

    - voir clip sur site -

    Pendant ce temps, Pranay Singh révèle encore une fois à quel point Twitter peut être effrayant en creusant dans votre profil et l'histoire de la conversation pour déterminer si vous êtes un "redneck" et donc digne d'être banni:

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  24. "Ouais, vous cherchez Trump, ou l'Amérique, et vous avez comme cinq mille mots-clés pour décrire un redneck. Ensuite, vous regardez et analysez tous les messages, toutes les images, et ensuite vous cherchez des choses qui correspondent à ce genre de choses. "

    Lorsqu'on lui a demandé si la majorité des algorithmes sont ciblés contre les utilisateurs conservateurs ou libéraux de Twitter, Singh a déclaré: «Je dirais que la majorité est pour les républicains."

    Twitter a longtemps été accusé d'interdire l'ombre et de manipuler diverses mesures des comptes d'utilisateurs. Comme l'a rapporté Paul Joseph Watson d'InfoWars en août 2016, Twitter a été accusé d'avoir supprimé les tweets de l'ancien candidat Trump dans la dernière partie des élections américaines, que certains ont interprété comme interférant:

    Twitter est censément censurer Donald Trump afin de l'empêcher de recueillir des fonds pour sa campagne présidentielle.

    Un tweet envoyé hier par Trump pour promouvoir son disque de donation #MillionDollarMatch n'apparaît pas sur la page de profil de Trump et n'apparaît pas non plus sur le flux de ceux qui le suivent.

    Vous pouvez vérifier vous-même. Voici le tweet envoyé par Trump hier et voici sa page de profil principale - qui ne montre pas le tweet. Le tweet a été enterré comme s'il n'avait jamais existé.

    Je peux confirmer via les archives.

    Twitter interfère avec les élections. Suppression des tweets comme ceux-ci dans le flux ou la recherche

    Un tweet Trump dans lequel il a déclaré que «l'establishment et les intérêts spéciaux sont en train de tuer notre pays» a également été banni par Twitter en avril dernier.

    Alors que Twitter censure Trump, il a été accusé à plusieurs reprises de jouer ses algorithmes en soutien à Hillary. En février dernier, les utilisateurs étaient furieux après que le géant des médias sociaux ait semblé censurer le hashtag anti-Hillary #WhichHillary après qu'il ait commencé à faire des tendances.

    Puis, en octobre 2016, le créateur de Dilbert, Scott Adams, a été "projeté" par Twitter, ce qu'il a noté sur son blog:

    Ce week-end, j'ai été "projeté" sur Twitter. Cela a duré jusqu'à ce que mes disciples remarquent et protestent. Shadowbanning empêche mes abonnés de voir mes tweets et mes réponses, mais d'une manière qui n'est pas évidente tant que vous n'avez pas creusé.

    Pourquoi ai-je été banni ?

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  25. Me bat.

    Mais c'est probablement parce que j'ai demandé aux gens de me tweeter des exemples de partisans de Clinton violents contre des partisans pacifiques de Trump en public. J'ai beaucoup d'entre eux. C'était froid.

    La semaine dernière, mon flux Twitter a été envahi par une armée de trolls Clinton (c'est une vraie chose) laissant des insultes sarcastiques et pas beaucoup d'autres sur mon flux. Il y avait une évidence similaire

    La semaine dernière, mon flux Twitter a été envahi par une armée de trolls Clinton (c'est une vraie chose) laissant des insultes sarcastiques et pas beaucoup d'autres sur mon flux. Il y avait une similitude évidente avec eux, ce qui signifie que c'était organisé.

    À peu près au même moment, un chargeur de Slate a écrit sur moi un article qui n'avait rien à voir avec quoi que ce soit. Sauf évidemment, c'était motivé politiquement. C'était tellement boiteux que je l'ai retweeté moi-même. Le timing de la pièce à succès pourrait être une coïncidence, mais j'ai arrêté de croire aux coïncidences cette année.

    Et en Mars 2017, Twitter a été rattrapé par Ed Dowd - un ancien gestionnaire d'argent BlackRock politiquement actif qui a noté au début de février que Twitter était à la fois "un-retweeting" plusieurs de ses postes politiquement chargés.

    Dans un cas, Dowd a fait un tweet résolument subversif soulignant que la NSA et la CIA «écorchent» le pays entier via une collecte de données archivée en continu - une histoire que le magazine Wired a cassée en 2006 et a obtenu une clarté incroyable par les actes du dénonciateur Edward Snowden.

    Lorsque M. Dowd a vérifié son compte twitter quelques heures après l'envoi du tweet, il a constaté qu'il avait accumulé 13 Retweets et 38 Likes. Compte tenu du sujet, il a décidé de prendre une capture d'écran. Et voilà, en rechargeant le tweet cinq minutes plus tard, Dowd découvrit que 11 retweets avaient mystérieusement disparu.

    Un autre phénomène remarqué par Dowd était que tout en gagnant des adeptes tout au long de la journée, il y avait une «purge» fiable des adeptes dans la nuit, à peu près au même moment. Il a commencé à garder la trace, et bien que cela ne se produise pas tous les soirs, il a attiré environ un demi-pour cent de ses adeptes chaque fois que cela se produisait, ce qui couvrait efficacement son auditoire. Ed avait des questions; pourquoi était-ce presque toujours le même nombre de personnes ? Qui ne suit personne au milieu de la nuit ? Considérant que la plupart des disciples de Dowd sont en Amérique du Nord, les non-disciples étaient probablement endormis quand cela se passait. La conclusion logique était que Twitter avait activement élagué l'audience d'Ed pour limiter sa croissance sur la plateforme.

    Ce n'est pas la première fois que Twitter a étranglé, censuré ou interdit les conservateurs qui disent ce qu'ils pensent. Documentariste, auteur et notaire partisan de Trump, Mike Cernovich (@cernovich) a tweeté à propos de l'évaporation de sa propre base de fans à peu près au même moment où Dowd commençait à expérimenter le non-suit:

    Chaque jour, les gens ne sont plus suivis automatiquement. Mon suivi réel compte plus près de 1 million.

    Bien sûr, seul le temps nous dira si Twitter va prendre des mesures pour interdire le ciblage politique à la lumière de ces nouvelles révélations embarrassantes de Project Veritas ... nous avons nos doutes.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-01-11/veritas-latest

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    1. Imaginez que votre facteur ouvre votre courrier et jette les lettres ou cartes postales qui ne lui plaise pas ! C'est ce qui se passe sur Twit comme aussi sur d'autres plateformes.
      Ces ordures anti-Démocratie sont payées (entr'autres) par Bruxelles pour censurer et faire des sites jumeaux.

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  26. L'Équateur accorde la citoyenneté à Julian Assange au milieu de "menaces à sa vie"


    par Tyler Durden
    Jeu., 01/11/2018 - 11:23


    Hier, nous avons signalé que, sur la base de preuves circonstancielles, l'Equateur semblait avoir accordé un passeport à Julian Assange juste un jour après avoir reçu une menace d'expulsion voilée.

    Il y a quelques instants, lors d'une conférence de presse, le ministère équatorien des Affaires étrangères a annoncé que l'Équateur avait accordé la naturalisation à Julian Assange le 12 décembre. La réaction du ministère des Affaires étrangères a été accordée à Assange.

    Pour rappel, présageant l'annonce, mercredi, le fondateur de WikiLeaks a tweeté une photo de lui portant un maillot de football équatorien, alimentant la spéculation sur son éventuelle citoyenneté.

    Cela a été suivi par le plus grand journal de l'Equateur, El Universo, a rapporté les nouvelles, citant des "sources fiables". Et maintenant, c'est confirmé. Plus de Reuters:

    LE MINISTRE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES DE L'ÉQUATEUR DIT JULIAN ASSANGE RECHERCHÉ NATURALISATION DE L'ÉQUATEUR
    LE MINISTRE ÉTRANGER DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES DIT DES MENACES À LA VIE DE JULIAN ASSANGE DES ÉTATS TIERS
    L'ÉQUATEUR A OCTROYÉ LA NATURALISATION À JULIAN ASSANGE LE 14 DÉC. 12
    L'EQUATEUR RECHERCHE UNE SOLUTION «DIGNIFIÉE ET JUSTE» AVEC UN GOVT BRITANNIQUE DANS L'AFFAIRE JULIAN ASSANGE

    Le ministre des Affaires étrangères de la nation a annoncé jeudi que les officiels avaient décidé d'autoriser la naturalisation d'Assange alors qu'ils cherchaient des moyens de résoudre sa situation.

    L'Equateur a accordé l'asile politique à Assange après qu'il s'est réfugié à l'ambassade en 2012 pour éviter l'extradition vers la Suède pour enquête sur des allégations liées au sexe.

    La Suède a abandonné l'affaire, bien qu'Assange soit resté à l'ambassade parce qu'il est toujours sujet à l'arrestation en Grande-Bretagne pour la libération sous caution.

    Le passeport équatorien pourrait obtenir son premier pas pour obtenir l'immunité diplomatique, car l'Equateur veut résoudre le séjour indéfini d'Assange. Le fondateur de WikiLeaks a été enfermé dans l'ambassade équatorienne pendant cinq ans.

    L'Équateur délivre généralement de telles cartes d'identité pour les personnes qui revendiquent le statut de résidence, qui sont appelées cedulas. La convention de Vienne sur les relations diplomatiques stipule que quiconque détient un passeport diplomatique est à l'abri de poursuites. Ce n'est toujours pas une garantie, cependant.

    Cependant, comme le rapporte la VoA, le ministère britannique des Affaires étrangères a rejeté une demande de Quito d'accorder le statut diplomatique de lanceur d'alerte. Le passeport lui aurait été accordé le 12 décembre.

    Le ministre équatorien des Affaires étrangères a déclaré que le pays cherchait une solution "juste et digne" avec le gouvernement britannique sur le cas d'Assange. Pour l'instant cependant, Assange ne va nulle part:

    ASSANGE NE LAISSERA PAS L'AMBASSADE DE L'ÉQUATEUR À LONDRES TANDIS QU'IL N'Y A PAS DE GARANTIES DE SÉCURITÉ - ÉQUATEUR MEMBRE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES

    https://www.zerohedge.com/news/2018-01-11/ecuador-grants-naturalization-julian-assange-amid-threats-his-life

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  27. Le changement social entraînera le statu quo


    par Tyler Durden
    Jeu, 01/11/2018 - 10:39
    Auteur de Charles Hugh Smith via le blog OfTwoMinds,

    La nation se fragmente parce que le statu quo échoue la majorité des citoyens.

    Le récit fondamental du statu quo est que rien de fondamental ne doit être changé: tous les problèmes peuvent être résolus avec plus de «monnaie libre» (empruntée à l'avenir à bas taux d'intérêt) et quelques ajustements politiques tels que Universal Basic Income ( UBI) (le sujet de mon nouveau livre Money and Work Unchained).

    Ce récit de base est faux: tout doit changer, de bas en haut. Et cela, bien sûr, terrifie ceux qui se gavent au creux de la richesse et du pouvoir du statu quo.

    La structure de pouvoir peut manipuler des métriques financières, mais elle ne peut pas manipuler l'inégalité croissante de richesse / pouvoir ou la discorde sociale. Quoi que vous pensiez du président Trump, son élection est un symptôme d'une profonde discorde sociale - la discorde que l'auteur Peter Turchin explique est cyclique et ne peut pas être écrasée par de fausses réformes comme l'UBI ou la répression policière.

    La nation se fragmente parce que le statu quo échoue la majorité des citoyens. Les quelques protégés récoltent tous les bénéfices du Status Quo, au détriment des nombreux non protégés.

    Comme je l'ai souligné à maintes reprises, cette asymétrie insoutenable est le seul résultat possible de notre système socio-économique, qui est dominé par ces forces:

    1. Mondialisation - libre circulation des capitaux, arbitrage du travail (les travailleurs doivent rivaliser avec la main-d'œuvre la moins chère du monde).

    2. L'argent presque gratuit des banques centrales pour les banquiers, les financiers et les sociétés.

    3. "démocratie" Pay-to-play - la richesse jette les seuls votes qui comptent.

    4. Les cartels protégés par l'État qui privatisent les gains et socialisent les pertes.

    5. Un système politique dépouillé de la rétroaction autocorrectrice et de la reddition de comptes.

    Une fois que vous avez compris les intrants et la structure, vous réalisez qu'il n'y a pas d'autre résultat possible que l'accroissement insoutenable de la dette et l'inégalité entre richesse et revenu. Les ajustements de politique ne peuvent pas changer la sortie; Tout ce qu'ils font, c'est donner l'illusion d'une réforme qui répond au besoin de ceux qui sont au sommet d'obscurcir les injustices systémiques et l'insoutenabilité du système extractif, exploiteur, prédateur, parasitaire qui les enrichit.

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  28. Que font les gens lorsque les systèmes centralisés ne parviennent pas à livrer ce qui a été promis? Ils se fragmentent en «tribus» plus petites et trouvent moins de raisons de coopérer dans des systèmes centralisés. Comme l'historien-économiste Turchin l'a expliqué dans son livre Ages of Discord de 2016, l'histoire humaine manifeste des cycles de désintégration sociale et d'intégration dans lesquels l'impulsion à coopérer dans les grandes structures sociales croît et décroît.

    Turchin a identifié des cycles de 25 ans qui se combinent en cycles d'environ 50 ans, comparables (mais pas identiques) aux cycles économiques proposés par Kondratieff.

    Ces cycles de 50 ans font partie de cycles plus longs de 150 à 200 ans qui passent de la coopération à un âge de discorde et de désintégration à une nouvelle ère de coopération.

    Ce travail s'inspire de ses livres précédents, dont War and Peace et War: The Rise and Fall of Empires, dont j'ai fait référence dans Les traces de la Rome antique: Déclin moral, Rising Wealth Inequality (30 septembre 2015) et The Lesson of Empires: Une fois que le privilège limite la mobilité sociale, l'effondrement est inévitable (18 avril 2016).

    Ces longs cycles sont parallèles à l'analyse cyclique de David Hackett Fischer, dont le chef d'oeuvre The Great Wave: Price Revolutions et le rythme de l'histoire que j'ai mentionné à plusieurs reprises au fil des ans, est entré dans une ère d'instabilité et d'incertitude. 18 juillet 2016).

    Le modèle de Turchin identifie trois forces primaires dans ces cycles:

    1. Une offre excédentaire de main-d'œuvre qui supprime les salaires réels (corrigés de l'inflation)

    2. Une surproduction d'élites essentiellement parasitaires

    3. Une détérioration des finances de l'État central (surendettement, baisse des recettes fiscales, augmentation des dépendances étatiques, charges fiscales de la guerre, etc.)

    Ceux-ci se combinent pour influencer l'ordre social, qui se caractérise dans les époques de la discorde par la baisse de la loyauté envers les intérêts spéciaux (désintégration) et dans les époques de coopération par une volonté de compromis pour le bien de toute la société (intégration).

    - voir clip sur site -

    Gordon Long et moi discutons 2018: Année d'Accélération du Changement Social (Partie 1) (15 minutes) dans notre dernier programme:

    https://www.zerohedge.com/news/2018-01-10/social-change-will-upend-status-quo

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  29. Rapport: les cyberattaques risquent de déclencher un conflit nucléaire


    19:47 11.01.2018

    Une cyberattaque pourrait un jour déboucher sur le recours à l'arme nucléaire, estiment les chercheurs de l'Institut royal des relations internationales.

    La Campagne internationale pour l'abolition des armes nucléaires reçoit le prix Nobel

    Les attaques informatiques visant les systèmes de dissuasion nucléaire risquent de provoquer l'emploi d'une arme atomique dû à une mauvaise évaluation de la menace, lit-on dans un rapport rédigé par l'Institut royal des affaires internationales (EGMONT).

    «En temps de paix, les cyberactivités agressives peuvent mettre les États devant un dilemme, parce qu'ils seront incapables de comprendre si leurs systèmes sont visés ou non par la cyberattaque. Cette incertitude pourrait influer sur l'adoption de décisions militaires, notamment en matière de dissuasion nucléaire», indique le document rendu public jeudi.

    Le monde «est plus proche» que jamais de l’interdiction des armes nucléaires

    Le monde «est plus proche» que jamais de l’interdiction des armes nucléaires

    Les auteurs du rapport constatent que les systèmes d'armes nucléaires ont été créés alors que la technologie informatique ne se trouvait qu'à ses débuts, et l'éventuelle vulnérabilité de ces systèmes face aux cyberattaques n'était pas vraiment prise en considération.

    «Les erreurs humaines, les défaillances du système, les vulnérabilités inhérentes et la sensibilité réseau présentent toutes des problèmes de sécurité», soulignent les chercheurs.

    À titre de précaution, les auteurs du document proposent de renforcer les mesures de cybersécurité, ainsi que d'appliquer une «approche intégrée» dans la mise en place de «systèmes fiables» qui doit être basée sur l'évaluation adéquate des risques importants.

    https://fr.sputniknews.com/international/201801111034706531-cyberattaques-armes-nucleaires-recours/

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    1. Notons bien que TOUTES les communications dites 'fakes news' ou 'cyberattaques' passent par la NSA et, ce sont eux-mêmes qui déclenche la guerre et non les honnêtes internautes.

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  30. La Pologne pourrait tenir un référendum pour quitter l'UE, selon Donald Tusk

    19:32 11.01.2018

    Varsovie pourrait décider de se retirer de l’Union européenne si cette dernière cessait de financer la Pologne, a affirmé le Président du Conseil européen, Donald Tusk, cité par The Telegraph.

    La Pologne pourrait prendre certaines mesures pour quitter l'Union européenne si celle-ci ne finançait plus le pays, a estimé Donald Tusk, Président du Conseil européen, relayé par The Telegraph.

    Selon lui, le parti Droit et justice (PiS, au pouvoir) n'apprécie au sein de l'UE que l'avantage de toucher des ressources de sa part, sans faire grand cas des avantages comme un marché commun, un régime juridique et une sécurité garantie.

    «Je peux facilement imaginer la situation si un jour la Pologne se retrouve parmi les contributeurs [de l'UE, ndlr]. Le gouvernement polonais décidera alors qu'il est temps de demander aux Polonais s'ils veulent toujours voir leur pays dans l'UE et ensuite tout faire pour qu'ils arrivent à la conclusion qu'il est nécessaire de dire au revoir à l'adhésion», a-t-il expliqué.

    Mais tant que Varsovie est financée par l'UE, «le jeu en vaut la chandelle» pour les autorités du pays, selon lui.

    «Bruxelles garde encore l'espoir — je ne dirais pas confiance, qui, elle, a malheureusement disparu — que la Pologne restera néanmoins dans l'UE», a indiqué Donald Tusk.

    L’UE déclenche une procédure de sanctions contre la Pologne pour manque de démocratie

    La Commission européenne critique depuis deux ans déjà la réforme judiciaire en Pologne. Elle estime que ces lois violent les principes de la primauté du droit et placent la justice sous contrôle du pouvoir politique.

    En vertu de l'article 7 du traité de l'UE, la réforme du système judiciaire menace la Pologne de suspension des droits de vote au sein du Conseil de l'Union, si les pays membres de l'UE approuvent cette décision. L'examen de la décision pourrait se tenir en février.

    Le commissaire au Budget et aux Ressources humaines à Bruxelles, l'Allemand Günther Oettinger, a déclaré que la Commission européenne pourrait conditionner à l'avenir l'accès aux fonds européens au respect des valeurs et des décisions de l'UE, une déclaration qui vise clairement la Pologne.

    https://fr.sputniknews.com/international/201801111034706165-pologne-ue-tusk/

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    1. La dictature bruxelloise se fout de la gueule de la Pologne !

      (...) L’UE déclenche une procédure de sanctions contre la Pologne pour manque de démocratie (...)

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  31. Référendum lancé contre la hausse d'impôts
    Neuchâtel - Le PLR a jusqu'à mi-mars pour récolter les 4500 signatures nécessaires pour protester contre l'augmentation du barème fiscal.

    11.01.2018, 16h48
    Le PLR neuchâtelois estime qu'il faut faire perdurer la légère baisse fiscale accordée aux particuliers depuis 2017. Il lance un référendum contre la récente décision du Grand Conseil de faire remonter le barème dès 2019.

    «Décider de faire machine arrière» découle d'une «pure politique politicienne», s'insurge le PLR dans un communiqué. «Les contribuables neuchâtelois ont droit à des conditions cadre stables, et la charge fiscale pèse déjà suffisamment lourd.»

    Le parti a déposé jeudi à la chancellerie cantonale son annonce préalable de référendum. Il a jusqu'à mi-mars pour récolter les 4500 signatures nécessaires.

    Montants peu élevés

    La baisse du barème avait été votée par le Grand Conseil fin 2016. La droite n'avait réussi à la faire adopter que de justesse (59 voix contre 50), dans un contexte de bagarre budgétaire entre les partis. Cette mesure péjorait de 4 millions de francs les recettes cantonales.

    La gauche l'avait combattue en vain, soulignant qu'elle ne profitait guère à la classe moyenne. La baisse d'impôt ne touche que les revenus annuels supérieurs à 60'000 francs. Et pour les revenus entre 60'000 et 80'000, elle ne représente qu'une douzaine à une cinquantaine de francs.

    En décembre dernier, soit un an après ce changement de barème, le législatif a décidé de revenir au barème précédent. Ce revirement voté sous l'impulsion de la gauche implique que la baisse n'aura été appliquée qu'en 2017 et 2018.

    Cette décision a été prise dans le but de renflouer un peu les finances rouge vif du canton, sur fond de débats budgétaires 2018 houleux. Les partis ont d'ailleurs échoué finalement à ficeler un budget cantonal pour cette année. (ats/nxp)

    https://www.24heures.ch/suisse/suisse-romande/referendum-lance-hausse-impots/story/12511094

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    1. La décision revient au Peuple; c'est çà la Démocratie.

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  32. Walmart fermant brusquement des dizaines de magasins du club de Sam, tirant des milliers le même jour, il a augmenté le salaire minimum

    par Tyler Durden
    Jeu, 01/11/2018 - 21:43

    Wal-Mart s'est empressé de faire sensation dans les médias en annonçant qu'il augmenterait le salaire horaire de départ à 11 $ l'heure, en augmentant les avantages sociaux et en offrant jusqu'à 1000 $ de bonus aux travailleurs en réponse aux réductions d'impôts Trump; Cependant, il était beaucoup plus secret, avec la nouvelle que le même jour, il fermait également des centaines de magasins Sam's Club à travers le pays et licenciait des milliers de travailleurs selon de nombreux reportages.

    Jessica Buckner, chef de l'audit chez Sam's Club à Anchorage, a déclaré à la chaîne de télévision locale KTVA que tous les magasins de l'Alaska ferment leurs portes dans le cadre d'une réduction des effectifs aux États-Unis. ", a-t-elle dit selon CBS News.

    La date officielle de fermeture des clubs de vente en gros est le 26 janvier, a déclaré Buckner.

    Peu de temps après, la compagnie a publié une déclaration, déclarant que le nombre de magasins pour la fermeture est quelque peu plus bas, à 63, si encore un nombre important. Cela se compare à un total de cinq magasins de club en gros, la société a fermé depuis l'exercice 2013, les dépôts de titres montrent.

    Dix à 12 des magasins fermés pourraient être convertis en installations de commerce électronique, a déclaré le porte-parole. Les nouvelles sont cohérentes avec les plans en cours de Sam's Club pour optimiser ses magasins afin de répondre à plus de commandes en ligne et suivre le rythme des détaillants Internet tels que Boxed.

    Les fermetures affectent également les magasins dans le New Jersey, l'État de New York, la Géorgie, l'Illinois, l'Indiana, l'Ohio, la Louisiane, la Caroline du Nord, le Tennessee et le Texas. Dans certains endroits, par les médias sociaux, les gens se sont présentés au travail seulement pour se faire dire que leur emplacement fermait, avec presque aucun préavis.

    La fermeture du Sam's Club? Les employés de ce magasin S Loop me disent qu'ils se sont présentés au travail et on leur a dit que le magasin est fermé aujourd'hui. Signe sur la porte dit la même chose. Audition d'autres magasins également touchés. En attente de réponses de la société mère, Walmart # khou11

    La chaîne, qui est en concurrence avec Costco, compte plus de 650 établissements employant plus de 100 000 personnes, avec une moyenne de 175 employés par magasin, selon l'entreprise.

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  33. Aucune annonce officielle n'a été publiée jeudi matin par Sam's Club, mais la compagnie a reconnu les fermetures sur Twitter avec une déclaration générale.

    Wow, beaucoup de sites @SamsClub fermé aujourd'hui tout en donnant 0 avis aux travailleurs. Cela ressemble à l'équipe de gestion. Ce sont des gens sans coeur. Je me sens terrible pour les milliers de personnes qui viennent de perdre leur emploi.

    Après un examen approfondi de notre portefeuille existant, nous avons décidé de fermer une série de clubs et de mieux aligner nos sites avec notre stratégie. La fermeture des clubs n'est jamais facile et nous nous sommes engagés à travailler avec les membres et les associés touchés par cette transition.

    La société a attiré les critiques de personnes sur Twitter qui s'opposaient à l'absence d'avis sur les fermetures.

    Après un examen approfondi de notre portefeuille existant, nous avons décidé de fermer une série de clubs et de mieux aligner nos sites avec notre stratégie. La fermeture des clubs n'est jamais facile et nous nous sommes engagés à travailler avec les membres et les associés touchés par cette transition.

    Et oui, nous allons le répéter car il faut le répéter: les fermetures interviennent le jour même où Walmart annonçait qu'il élevait son salaire minimum à 11 $ l'heure.

    Pendant ce temps, l'analyste Gordon Haskett, Chuck Grom, a calculé que l'investissement salarial de Wal-Mart ne représente que 15% du gain d'impôt. Selon Haskett, «Wal-Mart pourrait voir un taux d'imposition de ~ 23% en 19 (année terminée en janvier 2019) contre 32% actuellement, ce qui fournirait 2 milliards de dollars». À ce titre, ajoute-t-il, «l'investissement en main-d'œuvre de 300 millions de dollars représente seulement 15% du total, en supposant qu'un montant similaire ira vers des investissements en prix».

    Qu'est-ce que l'entreprise va utiliser le reste de l'argent sur: pourquoi des paiements de dividendes plus élevés et des rachats accélérés, bien sûr.

    Oh, et la publicité gratuite: "avec WMT étant le premier détaillant" hors de la porte, "il devrait obtenir des" médias libres ".

    https://www.zerohedge.com/news/2018-01-11/walmart-abruptly-closing-hundreds-sams-club-stores-same-day-it-raised-wages

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  34. Superbes photos de l'intérieur de "Fort Knox" en Russie


    par Tyler Durden
    Jeu, 01/11/2018 - 18:10
    Via SilverDoctors.com,

    - voir 20 photos d'entreposage de l'or en Russie -

    Ce n'est pas un secret que la Russie empile le phyzz brillant depuis des années, et voici un aperçu montrant exactement comment ils s'empilent ...

    Source: anglais Russie

    Photos du stockage principal d'or de la Banque centrale de Russie.

    Près de 1800 tonnes d'or sont stockées ici.

    La Russie est le numéro six dans le monde par le stockage d'or

    Aujourd'hui, l'or russe représente 17% de l'or mondial.

    Cependant, il y a dix ans, la Russie n'avait que 3% du total des réserves mondiales d'or.

    Et c'est ainsi que tout cet or est stocké.

    - voir 20 photos d'entreposage de l'or en Russie -

    Ce qui est peut-être le plus intéressant à propos de ces images est la volonté de la Russie de les publier maintenant au public.

    On se demande combien de temps avant que la Chine montre ses avoirs en or aussi?

    https://www.zerohedge.com/news/2018-01-11/stunning-photos-inside-russias-fort-knox

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  35. Quelle est la différence entre le Bitcoin et l’Ethereum ?

    Arnaud Lefebvre
    11 janvier 2018


    L’apparition et l’introduction de monnaies virtuelles a débouché sur la création de concepts totalement nouveaux. Actuellement, on entend beaucoup parlé de Bitcoin et de chaîne de blocs (blockchains). Toutefois, dans ce secteur, on trouve également un nombre important d’autres produits innovants.

    L’Ethereum est l’une de ses innovations. L’Ethereum est souvent présenté comme une alternative au Bitcoin dont il serait en outre le concurrent.

    Mais selon Lex Sokolin, directeur de Fintech Strategy auprès du consultant Autonomous Research, les deux produits ont en fait un caractère très différent. Leurs applications vont d’ailleurs dans des directions radicalement opposées.

    « Le Bitcoin est une véritable monnaie virtuelle », explique Sokolin. « Il s’agit principalement d’un moyen de paiement qui peut être considéré comme de l’or numérique. C’est en quelque sorte une réserve de monnaie virtuelle. ».

    « L’Ethereum est par contre une plate-forme informatique mondiale. C’est une plate-forme de chaînes de blocs où l’on peut construire des contrats intelligents et les suivre. L’Ethereum est une nouvelle infrastructure où l’on peut tout mettre. »

    Tendance inévitable
    «L’Ethereum et le Bitcoin sont en fait des plates-formes tout à fait différentes », souligne Sokolin. « Le Bitcoin est par essence de l’argent numérique. Il s’agit probablement de la manière dont les paiements se feront dans le futur. Dans le secteur financier, le Bitcoin a déjà abouti à toute une série de résultats spectaculaires. »

    « L’Ethereum est une nouvelle infrastructure sur laquelle toutes les activités possibles peuvent être réalisées. Ce concept peut être utilisé pour gérer les réseaux sociaux de manière décentralisée, pour piloter l’Internet des objets et toutes sortes d’appareils connectés. »

    Sokolin ne doute d’ailleurs pas du succès final de ces nouveaux concepts. « Tout sera numérisé », affirme-t-il. « C’est l’avenir. Dans les médias, ce processus a déjà eu lieu de manière significative. Un phénomène similaire s’observe dans le secteur du commerce de détail où l’impact du secteur numérique est de plus en plus clair, notamment dans le cas d’Amazon. »

    « On peut remarquer cela aussi dans le secteur financier. Les banques et les assurances travaillent de plus en plus avec des concepts numériques. Le Bitcoin et la numérisation de l’argent sont seulement un aspect de cette évolution. Cette tendance est inévitable. »

    https://fr.express.live/2018/01/11/difference-entre-bitcoin-lethereum/

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  36. ANIMAUX PAS DE PITIÉ POUR LES HOMARDS

    La décision du Conseil fédéral d’interdire de bouillir vivant ce crustacé apprécié pour sa chair fait un buzz mondial. Et suscite surtout les moqueries.

    PAR RENAUD MICHIELS
    12.01.2018, 06h34

    Les homards n’inspirent pas vraiment la compassion. Et la Suisse pas vraiment le respect. Les agences de presse se sont ruées sur l’information, jugée «insolite»: le Conseil fédéral a interdit mercredi le transport de homards sur la glace. Comme de jeter ces crustacés vivants dans l’eau bouillante: il faut auparavant les «étourdir» par électrocution ou par un choc à la tête. Cette décision s’est donc retrouvée hier sur des sites de médias des quatre coins du monde. Et elle amuse beaucoup…

    En Grande-Bretagne, les réactions des lecteurs semblent relativement partagées. Sur le Telegraph et le Guardian – 400 commentaires hier à midi – certains saluent la fin d’une pratique cruelle. D’autres ricanent. On se demande si le chef doit adresser une prière à l’animal avant de jeter l’animal dans l’eau, s’il existe en Suisse une police du homard ou si l’animal a été consulté avant de le cuisiner.

    Dans les médias francophones, on tombe souvent sur une avalanche de commentaires. Même si, là aussi, une partie applaudit, la grande majorité peste, fustige un problème de nantis ou tourne la décision en dérision. «Débile!» tranche un lecteur du Parisien. «2018 part en vrille!» ou «Les huîtres, faudra-t-il aussi les assommer avant de les gober?» lit-on sur 20minutes.fr

    «Le ciel est-il tombé sur la tête de nos sympathiques voisins?» commente un lecteur du Figaro. «Quand je repense aux huîtres que j’ai dégustées au réveillon, je suis tout ému (sniff)», ironise un autre, du Monde. Sur Yahoo actualités, on dénonce l’absurde: «La Suisse interdit de noyer les poissons!» ou encore «Tout homard subissant ce sort a la possibilité de saisir le Tribunal cantonal pour obtenir réparation».

    Partout, on se moque de ce pays qui forcerait à tuer les homards avant de les tuer. Et on propose l’anesthésie, l’hypnose ou la balle dans la tête pour d’autres: huîtres, moules, palourdes, escargots. «À quand l’aspersion d’un sédatif sur les pissenlits avant de passer la tondeuse», balance même une lectrice du Journal de Montréal.

    L’essentiel des médias s’était contenté hier de publier la nouvelle sans l’enrichir. Sauf au Canada et on le comprend: le homard y est un produit iconique, cette industrie pesant des centaines de millions de francs. Radio Canada propose par exemple un reportage complet. On y rappelle que les homards ressentent vraisemblablement une forme de douleur. On y entend le grand chef Jérôme Ferrer s’interroger: «Mais est-ce que sa mort est plus douce en lui fracassant la tête?» Mais on reste dans le même registre: le sort du homard n’émeut pas les foules. (Le Matin)

    https://www.lematin.ch/suisse/pitie-homards/story/11157479

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