- ENTREE de SECOURS -



samedi 20 janvier 2018

Le gaz carbonique n’est pas un poison !

Par István E. Markó,
le 21 avril 2015 dans Sciences
Un article de l’Institut Turgot


Coup de gueule d’István Markó, le directeur scientifique de Climat : 15 vérités qui dérangent, à propos des affirmations sur le gazcarbonique et le réchauffement climatique sans cesse répétées dans les médias. Professeur de chimie organique, il sait de quoi il parle.

Non, non, non et non ! Je le répète et le répéterai sans cesse : le gazcarbonique n’est ni un poison, ni un polluant ! Il ne l’a jamais été et il ne le sera jamais !

Malgré les nombreuses campagnes de désinformation, menées par des ONG environnementalistes sans scrupule, qui n’hésitent pas à endoctriner nos jeunes têtes blondes dès le début de leurs études, en dépit des accusations médiatiques injustes relayées par certains journalistes trop occupés pour vérifier leurs sources les plus fondamentales ou déjà acquis à « la cause », et nonobstant sa condamnation par certains politiciens dogmatiques et aux connaissances scientifiques hésitantes, le gazcarbonique est et reste ce qu’il a toujours été : l’une des molécules les plus importantes de la vie !

Pas de gazcarbonique et pas de vie sur Terre telle que nous la connaissons.

Le gazcarbonique, c’est avant tout « la nourriture » des plantes. C’est leur aliment de base. La photosynthèse, cette merveilleuse transformation que les plantes ont appris à maîtriser, utilise la lumière du soleil et le gazcarbonique pour fabriquer sucres, cellulose et amidon et donner vie à nos végétaux. Pas de gazcarbonique, pas de plantes et donc pas d’herbivores, ni de carnivores, ni… d’humains. Le gazcarbonique est vraiment source de vie ! Nous savons aujourd’hui que nos végétaux sont affamés en gazcarbonique. De nombreux scientifiques ont montré que la quantité de gazcarbonique dans l’air était plus importante auparavant et que nos plantes souffrent d’un manque chronique de gaz carbonique. Elles ont faim. Tous ceux qui cultivent dans une serre botanique industrielle savent très bien que la quantité de gazcarbonique à l’intérieur de la serre est environ trois fois plus élevée (1100 à 1200 ppmv) que celle présente dans l’atmosphère que nous respirons (un peu moins de 400 ppmv en 2015). Dans ces conditions, les végétaux poussent plus vite, sont plus robustes, apprécient une température plus élevée et consomment moins d’eau.

Cette dernière propriété explique aussi pourquoi, depuis plus de 30 ans, on observe un verdissement de la planète de plus de 20%. Oui, vous lisez bien ! Il y a 20% de verdure en plus sur Terre aujourd’hui qu’il n’y en avait il y a trente ans. Malgré la déforestation continue – qui n’est une réalité qu’en certains endroits de la planète – et l’action des hommes, les plantes poussent plus vite et en plus grand nombre car elles ont enfin davantage de nourriture. L’un des résultats les plus visibles (par satellite) de ces conditions favorables à la croissance des plantes est le recul de certains déserts, dont celui du Sahel. L’autre est l’augmentation constante de la production mondiale de céréales pour lesquelles une hausse du taux de gazcarbonique atmosphérique est un formidable bonus. Une belle gifle pour ceux qui veulent diminuer la quantité de gazcarbonique présent dans l’atmosphère. La Nature nous donne un tout autre message : encore du gazcarbonique ! Plus de gazcarbonique !

Pour vivre, la plupart des animaux, en ce compris les humains, ont besoin d’oxygène. Celui-ci est produit notamment par les arbres et les végétaux, mais en quantités relativement faibles. La majorité de l’oxygène que nous respirons provient du phytoplancton. Ces minuscules organismes marins utilisent la lumière du soleil et le gazcarbonique atmosphérique pour se nourrir. Ils rejettent en même temps d’importantes quantités d’oxygène. Plus de 75 % de l’oxygène présent dans l’atmosphère provient de ce phytoplancton et donc, du gazcarbonique qu’ils utilisent ! Pas de gazcarbonique, pas de phytoplancton et donc pas assez d’oxygène pour vivre ! À l’inverse de ce que l’on tente d’imprimer dans nos esprits depuis des lustres, les forêts ne sont pas les « poumons » de la Terre, à peine quelques petites alvéoles pulmonaires. Les vrais poumons, ce sont les phytoplanctons !

Malgré toutes ces qualités vitales à notre survie, le gazcarbonique est devenu la bête noire des climatologues alarmistes du GIEC (Groupement Intergouvernemental pour l’Étude du Climat) et des ONG environnementalistes qui accusent le gazcarbonique produit par l’Homme (uniquement celui-là, bien sûr) d’être responsable de l’augmentation de la « température moyenne » de notre globe depuis le début de l’ère industrielle. Le gazcarbonique est un gaz à « effet de serre » dont la puissance phénoménale de réchauffement est égale à… 1 ! La vapeur d’eau est 10 fois plus puissante et certains fréons plus de 10.000 fois !

Le problème de cette théorie fumeuse est que depuis plus de 18 ans, la « température moyenne » de notre terre n’a pas augmenté d’un iota ! Durant cette période, plus d’un tiers du gazcarbonique total émis depuis le début de l’ère industrielle a été relâché dans l’atmosphère. Si ce gaz était vraiment responsable d’un quelconque réchauffement climatique anthropique, on s’attendrait à tout le moins à observer une hausse vigoureuse des températures. Rien de tout cela ne se produit. Nada. Comme le disait le grand physicien Richard Feynman : « Lorsque votre théorie, aussi belle et géniale soit-elle, est invalidée par l’expérience, c’est qu’elle est fausse. Il faut s’en débarrasser et en formuler une meilleure. » Exit la théorie du GIEC sur le gazcarbonique. Exit le GIEC aussi ? La vraie question reste cependant : pourquoi le GIEC, l’ONU, de nombreuses ONG, certains politiciens, de grandes compagnies électriques et d’autres veulent-elles à tout prix la peau du gazcarbonique anthropique ? La raison est double : politique et financière (pour changer).

Politique parce que de nombreuses organisations, dont l’ONU, ont trouvé dans la lutte contre le changement climatique et donc contre le gazcarbonique un thème unifiant qui leur ouvre la possibilité d’une gouvernance mondiale à laquelle elles aspirent depuis plusieurs générations. Le gazcarbonique est un problème mondial qui ne peut être résolu que par une action mondiale et qui mieux qu’un gouvernement mondial pourrait y pourvoir ? Le document qui sera discuté au prochain sommet du climat à Paris en décembre 2015 n’est rien de moins qu’un pas gigantesque en ce sens. On y trouve même la volonté d’instaurer un tribunal climatique mondial. À quand le rationnement du nombre de respirations quotidiennes par humain ?

Politique parce que certaines élites occidentales ne veulent pas que les pays émergents quittent leur état de pauvreté et de dépendance actuelles. Ils risqueraient de devenir de nouvelles puissances et leur feraient de l’ombre, voire relègueraient leurs rêves idéologiques à l’arrière-plan. Quel meilleur moyen de ralentir leur développement économique et technologique que de leur proposer d’investir dans la sauvegarde de notre terre commune en utilisant directement des énergies renouvelables et en appliquant les principes du développement durable ? Moyennant finances, bien entendu, via des transferts directs de richesse consentis par les pays « riches ». Ainsi, on maintient les pays émergents dans leur état actuel de précarité, voire on l’accentue, tout en condamnant les pays « riches » à s’appauvrir (le dernier rapport du GIEC préconise expressément la « décroissance », ce concept « scientifique » bien connu, pour les pays riches). Malthus serait fier de ses enfants !

Financier parce que la gigantesque arnaque du développement durable et de son corollaire, les énergies renouvelables, repose exclusivement sur la peur générée dans le grand public – et continuellement maintenue à grand renfort de publicité dans tous les médias – du réchauffement climatique dû au gazcarbonique produit par l’Homme. C’est cette crainte soigneusement entretenue qui permet aux gouvernements de créer de nouveaux impôts « verts », de financer avec l’argent du contribuable des éoliennes inutiles et d’investir dans des énergies renouvelables aussi ridicules que superflues, emplissant ainsi les poches de certains industriels peu scrupuleux, voire mafieux, avec l’argent des honnêtes citoyens. Quant aux ONG, elles reçoivent maintes subventions pour maintenir cette peur dans l’esprit du public.

La chasse au gazcarbonique n’a évidemment rien à voir avec son misérable « effet de serre », ni avec un quelconque réchauffement de la planète. Tout cela n’est que politique nauséabonde et combines financières en tous genres. Qui sont les perdants ? Les pauvres des pays riches. Qui sont les gagnants ? Les riches des pays pauvres. Sans l’imaginaire toxicité du gazcarbonique et de ses effets néfastes sur l’environnement, toute cette gigantesque supercherie se dégonflerait comme une baudruche percée. Tant d’intérêts sont cependant en jeu que leurs bénéficiaires ont certainement prévu de larges quantités de rustines pour colmater les fuites et maintenir en l’air aussi longtemps que possible ce claudiquant attelage.


30 commentaires:

  1. Le danger inattendu des micro-ondes pour l’environnement révélé

    11:22 20.01.2018

    Les micro-ondes ont un effet nuisible sur l’environnement car dans l’Union européenne, en une seule année, ils produisent pratiquement autant de dioxyde de carbone que 6,8 millions d’automobiles, affirment des scientifiques de l’Université de Manchester.

    Des scientifiques de l'Université de Manchester ont établi que les micro-ondes impactent négativement l'environnement.

    D'après le communiqué, publié sur le site de l'Université, dans l'Union européenne, les micro-ondes produisent pratiquement autant de gaz carbonique que 6,8 millions d'automobiles, soit 7,7 millions de tonnes. Cette quantité constitue un facteur qui contribue au réchauffement climatique global.

    Les scientifiques soulignent que c'est leur faible efficacité énergétique qui nuit le plus à l'environnement. Selon eux, les micro-ondes consomment par an autant d'énergie que trois centrales thermiques.

    https://fr.sputniknews.com/sci_tech/201801201034815891-danger-environnement/

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    1. (...) Cette quantité constitue un facteur qui contribue au réchauffement climatique global (...)

      HAHAHAHA ! Le gaz carbonique ne produit PAS de chaleur, n'est PAS un 'gaz a effet de serre', ni un poison !

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  2. Chaleur de pointe: les prix de l'électricité décroissent; fermeture de l'industrie en Australie. Les hôpitaux éteignent les lumières, "Code Yellow Alert".

    January 19th, 2018

    MISE À JOUR: Les hôpitaux de MELBOURNE adoptent des procédures d'urgence pour se préparer à la perte de puissance potentielle. Les hôpitaux coupent l'équipement électrique non essentiel, y compris certaines lumières, pour réduire au minimum la consommation d'énergie. Ceci est une alerte "Code Jaune" demandant aux hôpitaux de vérifier que leurs générateurs de secours sont prêts. Le ministre victorien insiste sur le fait qu'il ne s'agit pas de la «menace» des pannes d'électricité, mais parce que les hôpitaux doivent être de «bons citoyens corporatifs». Tirez l'autre. À tout le moins, il s'agit de réduire les factures d'électricité. h / t Chris à Hervey Bay.

    Voir d'autres mises à jour sur "L'art de blâmer le charbon" en bas.

    Combien de plaisir pouvez-vous avoir ? L'AEMO (Australian Energy Market Operator) prévoit que lorsque les températures atteindront les 42 ° C à Victoria, les prix devraient augmenter de plus de 100 fois. L'AEMO est furieusement occupé à émettre des avis de marché.

    L'ABC nous dit qu'il est 42°C, que Portland Alumina a réduit la production, mais pour un «prix non dévoilé» (pourquoi les contribuables ne peuvent-ils pas savoir ce qu'ils paient à ce groupe, pas pour produire de l'aluminium aujourd'hui ?) «En vertu du programme RERT, AEMO a contracté 884 mégawatts de« réponse côté demande »à travers Victoria, NSW et South Australia.» Traduit, cela signifie que l'AEMO a organisé 884 MW de coupures de courant contrôlées pour empêcher le système de se rompre. Quel est le coût !

    Au cours des trois prochaines heures, Victoria est à court de réserves grâce à ses 1090 MW. Il y a un manque réel de réserve, niveau 1 (LOR1): «La condition réelle LOR1 devrait exister jusqu'à 1800 heures. La réserve de capacité d'urgence requise est de 1120 MW. La réserve minimale disponible est de 32 MW. "L'Australie du Sud a été améliorée à un LOR2 (2ème niveau) nécessitant 350 MW mais ayant seulement 32 MW disponibles. (Pourquoi exactement le même nombre?). Le niveau suivant, LOR3, signifierait «des pannes inattendues de charge sont probables».

    Ces industries ne fermeraient pas et les prix ne seraient pas aussi élevés si la centrale de Hazelwood était encore ouverte, en mars dernier, elle produisait 1 400 MW à 30 $ / MWh.

    La demande totale de NEM est d'environ 30 000 MW, mais c'est loin d'être un record (je me souviens d'environ 35 000 MW). Les combustibles fossiles produisent 25 000 MW du total, soit 83 %.

    À l'heure actuelle, l'ensemble de la flotte éolienne de la côte Est de l'Australie fonctionne à une capacité de 20 % et produit environ 700 MW et diminue.

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  3. - voir graphique sur site -
    Victoria:
    Vic, Prix de l'électricité, AEMO, 19 janvier 2018. Graphique.
    ...

    - voir graphique sur site -
    SA:
    SA, Prix de l'électricité, AEMO, 19 janvier 2018. Graphique.
    ...

    Ou vous pouvez regarder les flux d'électricité au niveau de l'état. À l'heure actuelle, SA, la plus grande étoile internationale des énergies renouvelables, reçoit 350 MW de Victoria, qui reçoit à son tour 700 MW de NSW et de Tasmanie. Le Queensland envoie 1 000 MW pour maintenir le reste de la grille en vie. Regardez ces prix ! La Tasmanie, grâce à un miracle des marchés gérés par le gouvernement, paie des gens pour prendre l'électricité pendant ces heures de pointe, les plus précieuses de l'année, quand tous les autres producteurs sont sur le point de gagner des millions.

    Allez comprendre ?

    - voir graphique sur site -
    Flux d'Etat, Électricité, AEMO, Graphique, 19 janvier 2018.
    ...
    En plus de gaspiller des millions de dollars, le NEM australien pourrait bien se débrouiller aujourd'hui. Mais si quelque chose ne va pas ...

    Production d'électricité australienne par source:
    Australien, Production d'électricité, Source, 19 janvier 2018, Graph.

    Des questions pour la foule:
    Quels ont été les jours de demande de pointe les plus élevés pour l'ensemble du NEM et les États individuels jamais enregistrés ?
    Combien les compagnies d'énergie SA vont-elles payer pour l'électricité cet après-midi ?
    Qui calculera le coût total de l'électricité, pour payer les gens pour ne pas l'utiliser, pour la perte de productivité, pour les occasions perdues (les entreprises qui ne voudraient pas investir maintenant à Victoria ou SA et les emplois perdus ?)

    L'art de blâmer le charbon
    Dans les nouvelles en ce moment, les gens disent que le charbon n'est pas fiable. Mais dans l'actuel gouvernement bipartisan hostile au gouvernement anti-charbon - qui investirait et réparerait les anciennes stations? Le reste du monde construit de nouveaux charbons. Ce n'est qu'en Australie qu'il y a une bulle de subventions bizarre où les énergies renouvelables ont plus de sens. (OK, désolé, évidemment le Royaume-Uni et l'Allemagne - aussi bonkers, probablement l'Espagne, l'Italie, le Danemark aussi.)

    TonyFromOz souligne que seulement 3 des 49 unités de charbon sont hors d'action:

    L'Australie compte 16 centrales électriques au charbon et 49 unités dans ces usines. Actuellement, seulement trois de ces unités sont hors ligne. L'un est Liddell numéro deux, maintenant en panne depuis plus de sept mois, et j'ai des questions pour savoir s'il reviendra jamais en ligne si le plan est de fermer l'usine, alors pourquoi s'embêteraient-ils à réparer et à gaspiller l'argent ? s'ils prévoient de le fermer. Ensuite, il y a deux unités dans le Queensland, l'une à Gladstone et l'autre à Kogan Creek.

    Donc, cela prend 1520 MW hors du système. Cela nous laisse avec la plaque signalétique totale pour les unités restantes à 21500 MW.

    Hier, vers 16 heures, juste au moment de Peak Power, ces 46 unités produisaient 20200 MW. Donc, ils étaient tous pratiquement à plat, générant un facteur de capacité de 94%. À l'exception de quelques usines dans le Queensland, toutes sont plus anciennes que le meilleur des cas espérés pour une durée de vie de 25 ans pour les centrales éoliennes.

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  4. MISE À JOUR: Le Sydney Morning Herald blâme hier l'échec d'une station de charbon pour les prix élevés: h / t Dave B

    Cole Latimer - L'opérateur australien du marché de l'énergie a lancé des mesures d'urgence pour protéger l'approvisionnement en électricité après que la centrale au charbon de Loy Yang B de Victoria ait échoué jeudi après-midi, faisant grimper les prix au comptant de l'électricité.

    Alors que les températures augmentaient autour du sud de l'Australie, les générateurs de Loy Yang B ont échoué aux environs de 16 heures, retirant instantanément 528 mégawatts d'énergie de la grille de l'État.

    Les hausses de prix ont été prédites par l'AEMO hier avant le problème de générateur de Loy Yang B. Les prix ont simplement fait ce que l'AEMO a dit qu'ils le feraient. Comment cela peut-il être dû à l'énergie du charbon ?

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    NOTE DE RETARD: Explication des termes AEMO
    LOR1 - Manque de réserve: La marge de sécurité est inférieure à ce qu'elle devrait être, mais les services ne seront pas affectés (tant que rien ne se brise).

    LOR2: Les choses sont encore plus marginales, et les services ne seront (espérons-le) pas affectés. L'AEMO peut commencer à apporter des diesels et des activités de type «réponse à la demande». (c'est-à-dire que cela coûte de l'argent réel).

    LOR3: Encore plus grave, et le délestage est possible.

    http://joannenova.com.au/2018/01/peak-heat-electricity-prices-lifting-off-industry-shutting-off-in-australia/

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    1. Pareillement que pour les vacances scolaires sont établis des calendriers de départs en vacances par région, il sera bientôt demandé aux contribuables de certaines régions de ne manger que de telle heure à telle heure afin que les fours et plaques électriques ne soient pas allumés en même temps et, les voitures électrique chargées en dehors de certains créneaux ou suppléments à payer (heures pleines/heures creuses) !

      L'avenir de l'électricité en Australie se jouera donc entre: Un tirage au sort pour savoir qui en aura ou, une multiplication par 10 ou 20 de la facture pour ne servir de l'électricité qu'aux riches et des bougies pour les pauvres !

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  5. Réchauffement climatique ! (HAHAHAHA !)

    Un navire de guerre US dernier cri coincé par les glaces lors de sa première mission

    12:56 20.01.2018

    Les froids record ont empêché le navire de l’US Navy USS Little Rock, mis en service en décembre 2017, de revenir à sa base en Floride après sa première mission.

    Selon le site Business Insider, le plus récent navire de guerre de la Marine américaine a été bloqué au Canada pendant des semaines à cause de la glace, et y restera «jusqu'à ce que les conditions météorologiques hivernales s'améliorent».

    Business Insider fait savoir que le Little Rock a été mis en service à Buffalo le 16 décembre et devait partir pour son port d'attache à la base navale de Mayport en Floride le lendemain.

    Mais ce départ a été retardé de trois jours par les conditions météorologiques. Il a quitté Buffalo le 20 décembre et, le 27 décembre, il a atteint Montréal, où il devait faire une brève escale avant de se rendre à Halifax, en Nouvelle-Écosse.

    Le navire est resté au Canada plus longtemps que prévu en raison de la glace et du manque de remorqueurs pour le guider.Un lieutenant-colonel de la Marine, Courtney Hillson, officier des affaires publiques de l'US Naval Surface Force Atlantique, a déclaré à Business Insider que le Little Rock resterait à Montréal jusqu'à ce que les conditions météorologiques s'améliorent.

    «Les températures à Montréal et dans toute la zone de transit sont inférieures à la normale et le froid est presque record, ce qui a créé des conditions inouïes fin décembre et début janvier», a précisé l'officier.

    L'USS Little Rock est une frégate de classe Freedom destinée à opérer en zone littorale. Selon les médias américains, l'US Navy se propose de l'utiliser dans les eaux peu profondes du littoral Pacifique.

    Sa vitesse maximale est de 45 nœuds. Son armement est constitué d'un hélicoptère Seahawk, d'un système surface-air RAM, d'une tourelle de 57 mm et de quatre mitrailleuses de 12.7 mm.

    https://fr.sputniknews.com/international/201801201034817320-little-rock-glaces-canada/

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  6. ETATS-UNIS - INGÉRENCE: TWITTER A FERMÉ MILLE NOUVEAUX COMPTES
    Le réseau social américain a désormais fait disparaître plus de 3800 comptes aux contenus problématiques liés à la Russie autour de la présidentielle américaine.
    Près de 176'000 tweets ont été publiés via les comptes incriminés.

    20.01.2018, 12h48

    Twitter a fermé plus d'un millier de nouveaux comptes douteux liés à une agence de propagande numérique basée en Russie. Elle est soupçonnée d'avoir voulu influencer la campagne électorale américaine de 2016.

    Twitter a détecté et fermé exactement 1062 comptes supplémentaires associés à l'Internet Research Agency (IRA), considérée comme une «usine à trolls» liée au Kremlin à Moscou, a indiqué vendredi le groupe sur son blog, portant le total à 3814 comptes.

    Ces comptes ont publié durant la campagne 175'993 tweets, a ajouté le réseau social américain. «Conformément à notre volonté de transparence, nous envoyons des mails à 677'775 personnes aux Etats-Unis, ayant suivi un de ces comptes ou ayant retweeté ou 'aimé' l'un de leurs messages pendant la période électorale» de 2016, a ajouté Twitter.

    La compagnie a été sommée par des parlementaires américains, comme Facebook et Google, de rendre publiques leurs investigations sur la présence de contenus problématiques liés à la Russie autour de l'élection présidentielle aux Etats-Unis.

    Plus de 50'000 comptes

    Twitter dit également avoir identifié 13'512 comptes de plus ayant créé des contenus automatiques, relatifs aux élections et liés à la Russie, portant le total de comptes de ce type à 50'258.

    Twitter, Facebook et Google sont sous le feu des critiques depuis plusieurs mois, accusés d'avoir malgré eux servis de plateforme à une propagande venue de Russie pendant la campagne électorale qui a mené à la victoire de Donald Trump. Les accusations d'ingérence pleuvent contre le Kremlin depuis plus d'une année. Mais ces allégations sont niées en bloc par Moscou. (ats/nxp)

    https://www.lematin.ch/monde/ingerence-twitter-ferme-mille-nouveaux-comptes/story/23027735

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  7. CONSENTEMENT - UN CONTRAT AVANT TOUT RAPPORT SEXUEL
    Une surprenante application néerlandaise se propose d’encadrer un rapport sexuel en prédéfinissant ce qui sera accepté ou non durant les ébats.
    L’application demande aux utilisateurs quelles sont leurs préférences sexuelles. Histoire que tout soit clair avant l’acte !

    PAR MELINA SCHRÖTER
    17.01.2018, 15h21

    «Jack sollicite un consentement sexuel.» Sur l’écran du téléphone portable, la notification s’affiche comme un message WhatsApp. En l’ouvrant, on en sait plus sur le rapport sexuel sollicité par Jack. Ses préférences, ce qu’il accepte ou pas, s’il souhaite utiliser un préservatif, s’il n’est pas contre quelques grivoiseries lâchées dans le feu de l’action ou encore s’il accepte d’être filmé.

    Si le menu de Jack séduit la destinataire du message, elle peut valider le rapport sexuel, non sans avoir évidemment entré ses propres demandes dans l’application. Ces étranges préliminaires semblant tout droit sortis d’un film de science-fiction existent pourtant bel et bien. Une entreprise néerlandaise vient en effet de créer une application destinée à encadrer les rapports sexuels afin de protéger les protagonistes d’actes non désirés aussi bien que de procédure judiciaire abusive.

    Legal Fling – c’est son nom – se propose d’authentifier un consentement sexuel via une blockchain, soit une base de données cryptée. En clair, les futurs partenaires décident en amont ce qu’ils acceptent ou non et valident ensuite le plan commun via l’application. «Demander à quelqu’un de signer un contrat juste avant d’avoir un rapport sexuel peut-être un peu gênant, a commenté le concepteur de l’app, Rick Schmitz. Avec LegalFling, un simple balayage pour consentir suffit pour rendre l’acte légal.»

    Le site le précise bien, malgré le «contrat» technologique, chaque partenaire est en droit de changer d’avis quand il le désire. Mais les premières critiques se sont déjà élevées. Une fois un acte validé, comment une victime de viol qui aurait changé d’avis en cours de soirée pourra-t-elle prouver son agression si l’application dit le contraire ?

    Des réserves qui touchent aussi le nouveau projet de loi sur lequel travaille le gouvernement suédois. L’idée centrale est d’inscrire dans la législation la notion de consentement explicite. Ce qui semble une évidence au niveau du concept, mais qui inquiète déjà des associations d’avocats quant à son application légale, notamment sur la question de la preuve. Le consentement devant être explicite, une personne consentante au moment de la relation pourrait porter plainte pour agression en affirmant qu’elle n’était pas d’accord. Charge alors à l’accusé de prouver le consentement. Ce qui, sans témoin ou preuve écrite, pourrait être compliqué. La difficulté d’authentifier un consentement pour chaque acte sexuel dans le cadre d’une relation monogame établie a aussi été relevée par certains avocats. (Le Matin)

    https://www.lematin.ch/societe/contrat-rapport-sexuel/story/31053598

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    1. Plus de 200 % des jeunes filles arabes de moins de 8 ans et mariée d'il y a moins d'une heure accepte toutes les volontés du 'mari' qu'elles rencontrent pour la première fois ! (Hahahaha !)

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  8. La NSA "regrette sincèrement" de supprimer toutes les données de surveillance de Bush-Era qu'il lui a été ordonné de conserver


    par Tyler Durden
    Sam, 20.01.2018 - 19:40

    De nombreux observateurs à Washington sont de plus en plus nombreux à penser que les agences de sécurité nationale sont devenues complètement politisées au cours des dix-sept dernières années et poursuivent maintenant des programmes égoïstes qui mettent en danger ce qui reste de la démocratie américaine.

    Comme le note Philip Giraldi, jusqu'à récemment, il était habituel de se référer à une activité comme Deep State, qui est peut-être équivalente à l'Establishment en ce qu'elle inclut les services financiers, les médias, les fondations et les circonscriptions, ainsi que les groupes de pression. mais nous assistons maintenant à un processus évolutif dans lequel le régime de sécurité nationale exerce son pouvoir de manière indépendante.

    Nulle part cette «indépendance» de «l'État dans un État» n'est plus évidente que dans les nouvelles flagrantes de cette semaine selon lesquelles l'Agence de sécurité nationale a détruit les données de surveillance qu'elle avait promis de conserver dans le cadre des poursuites en cours. il a dit à un tribunal fédéral qu'il avait pris pour s'assurer que l'information n'a pas été détruite, selon de récents dépôts judiciaires.

    Comme le rapporte Politico, l'agence dit à un juge fédéral qu'elle enquête et "regrette sincèrement son échec".

    Depuis 2007, la NSA est sous les ordres du tribunal de conserver des données sur certains de ses efforts de surveillance qui ont été attaqués par la justice suite aux révélations selon lesquelles le président George W. Bush a ordonné l'interception de communications internationales sans mandat après les attentats terroristes de 2001 aux États-Unis. l'agence a fait une série de représentations au tribunal au cours des années sur la façon dont elle se conforme à ses devoirs.

    Cependant, la NSA a déclaré jeudi soir à la Cour de justice américaine Jeffrey White dans un dépôt et un autre peu remarqué l'année dernière que l'agence n'a pas conservé le contenu des communications Internet interceptées entre 2001 et 2007 sous le programme Bush. Pour aggraver les choses, les bandes de sauvegarde qui auraient pu atténuer l'échec ont été effacées en 2009, 2011 et 2016, a indiqué la NSA.

    "La NSA regrette sincèrement son incapacité à empêcher la suppression de ces données", a déclaré le directeur adjoint des capacités de la NSA, "Elizabeth B.", dans une déclaration déposée en octobre.

    "La haute direction de la NSA est pleinement consciente de cet échec, et l'Agence s'engage à prendre des mesures rapides pour répondre à la perte de ces données."

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  9. Le non-respect d'une ordonnance du tribunal peut entraîner des accusations d'outrage au civil ou au criminel, ainsi que des sanctions contre la partie responsable. Jusqu'à présent, personne ne semble avoir demandé à White d'imposer une sanction ou une sanction à la NSA sur les épisodes nouvellement divulgués, bien que les détails de ce qui est arrivé émergent encore.

    "C'est vraiment décevant", a déclaré David Greene, un avocat de l'Electronic Frontier Foundation, qui a dirigé le litige prolongé sur le programme devant la cour fédérale à San Francisco.

    "L'obligation est en place depuis très longtemps maintenant. ... Nous avons eu un gros problème à ce sujet il y a quelques années. C'est certainement quelque chose qui aurait dû être trouvé plus tôt. "

    La rumeur de la saleté de la NSA est en train d'émerger alors que le Congrès a prolongé de six ans l'autorité légale que l'agence utilise pour une grande partie de son travail de surveillance mené par des fournisseurs Internet et des entreprises technologiques américains.

    L'activiste anti-guerre Justin Raimondo croit que quelque chose comme une guerre civile arrive, avec l'establishment du parti de guerre qui se bat pour défendre son ordre mondial privilégié alors que beaucoup d'autres Américains cherchent un retour à la nation normale avec tout ce que cela implique.

    Si cela est vrai, les prochaines années verront un conflit interne majeur qui déterminera le genre de pays que les États-Unis seront.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-01-20/nsa-sincerely-regrets-deleting-all-bush-era-surveillance-data-it-was-ordered

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  10. Les républicains ont quatre manières faciles de #ReleaseTheMemo ... ne pas le faire prouvera leurs fraudes éhontées


    par Tyler Durden
    Sam, 20.01.2018 - 22:25
    Auteur de Glenn Greenwald et Jon Schwarz via The Intercept,

    L'un des abus les plus graves et les plus dommageables du pouvoir de l'État est d'abuser des autorités de surveillance à des fins politiques. Pour cette raison, The Intercept, depuis sa création, s'est concentré sur ces questions

    Nous considérons donc comme des avertissements stridents et sérieux de la part d'agents publics alléguant que le FBI et le ministère de la Justice ont abusé de leur pouvoir d'espionnage à des fins politiques.

    Les médias sociaux ont été inondés cette semaine de revendications incendiaires et dramatiques de la part des républicains du Congrès à propos d'un mémo de quatre pages alléguant des abus des processus d'espionnage de la Foreign Intelligence Surveillance Act lors des élections de 2016. Ce mémo, qui reste secret, aurait été écrit sous la direction du président du Comité permanent permanent du renseignement de la Chambre, Devin Nunes, et a été lu par des dizaines de membres du Congrès après que le comité eut voté pour rendre la note disponible. à tous les membres de la Chambre des représentants d'examiner dans une pièce spécialement désignée pour l'examen des documents classifiés.

    La rhétorique émanant des membres du GOP qui ont lu le mémo est notamment extrême.

    Le représentant républicain de la Caroline du Nord, Mark Meadows, président du House Freedom Caucus, a qualifié le mémo de "troublant" et de "choquant" et a déclaré: "Une partie de moi souhaite que je ne le lise pas parce que je ne veux pas croire des sortes de choses pourraient se passer dans ce pays que j'appelle chez moi et que j'aime tant. "

    Le représentant du GOP, Scott Perry, de Pennsylvanie, a déclaré: «Vous pensez:« Cela se passe-t-il en Amérique ou s'agit-il du KGB? »C'est alarmant.

    Cela a conduit à un tollé féroce sur le droit de "publier le mémo" - et probablement prouver ainsi que l'administration Obama a mené une surveillance illégale sur la campagne et la transition Trump.

    Jeudi soir, Sean Hannity, hôte de Fox News et fidèle allié de Trump, a affirmé que la note décrivait "l'abus systématique du pouvoir, l'armement de ces puissants outils de renseignement et le déchiquetage de nos droits constitutionnels du Quatrième amendement".

    Compte tenu de l'importance de cette question, il est absolument vrai que le mémo devrait être déclassifié et rendu public - et pas seulement le mémo lui-même. Le Comité du renseignement de la Chambre en général et Nunes ont des antécédents de déclarations non fiables et fausses (son rapport sur Edward Snowden était plein de mensonges, comme l'a amplement documenté Bart Gellman, et les affirmations antérieures de Nunes sur le démasquage ont été discréditées). Ainsi, de simples affirmations de Nunes - ou de quelqu'un d'autre - sont largement sans valeur; Les républicains devraient fournir aux citoyens américains non seulement le mémo qu'ils disent révèle la criminalité et l'abus de pouvoir omniprésents, mais aussi tous les éléments de preuve qui sous-tendent ses conclusions.

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  11. Le président Donald Trump et les républicains du Congrès ont le pouvoir, en travaillant ensemble ou séparément, de déclasser immédiatement toutes les informations pertinentes. Et si les déclarations explosives du GOP sont justes - si, comme le dit Steve King, R-Iowa, membre du HPSCI, c'est «pire que Watergate» - ils ont évidemment tout intérêt à le faire parvenir au public dès que possible. En effet, on pourrait dire qu'ils ont le devoir de le faire.

    D'autre part, si les affirmations du GOP sont fausses ou significativement trompeuses - si elles sont, avec le cynisme le plus profond imaginable, simplement en utilisant ces questions cruciales pour fouetter leur base ou discréditer l'enquête Mueller, ou exagérer ou faire des allégations qui manquent de preuves soutenir, ou essayer d'avoir le meilleur de tous les mondes en faisant des déclarations explosives sur le mémo, mais ne jamais avoir à prouver leur vérité - alors ils ne seront pas libérer le mémo ou ils le libéreront sans aucune documentation à l'appui, rendant impossible pour les Américains de juger de son exactitude pour eux-mêmes.

    Quiconque est vraiment préoccupé par les allégations sur les abus d'écoute doit comprendre pourquoi la question des preuves est si critique. Après tout, les enquêtes de la Chambre, du Sénat et du FBI sur toute collusion de Trump avec la Russie ont jusqu'à présent donné lieu à de nombreuses affirmations alarmantes dans les médias, mais à ce jour, peu de preuves tangibles pour que le public juge. Personne de rationnel ne devrait supposer que des affirmations ou des affirmations d'acteurs partisans à propos de l'élection de 2016 sont vraies sans preuve à l'appui de ces affirmations.

    Les bonnes nouvelles sont qu'il ya au moins quatre moyens faciles pour les républicains du Congrès et / ou Trump de prouver définitivement que tous les soupçons les plus sombres de la droite au sujet de l'administration Obama sont vrais. Si ce mémo et les documents sous-jacents prouvent même une fraction de ce que les politiciens du GOP et les médias prétendent à leur sujet, alors qu'est-ce qui pourrait justifier sa dissimulation permanente? L'une ou l'autre de ces méthodes devrait être invoquée rapidement pour s'assurer que le public voit cette preuve:

    1. Trump peut déclassifier tout ce qu'il veut.
    Toute classification par le gouvernement américain n'a aucun fondement dans les lois adoptées par le Congrès (avec une petite exception qui n'est pas pertinente ici). Au contraire, toute classification est basée sur les ordres exécutifs présidentiels, qui s'appuient sur le rôle constitutionnel du président en tant que commandant en chef des forces armées. Selon la Cour suprême, le pouvoir présidentiel "de classer et contrôler l'accès à l'information portant sur la sécurité nationale ... découle principalement de l'investissement constitutionnel du pouvoir dans le président".

    Cela signifie que les présidents peuvent également déclassifier tout ce qu'ils ont choisi - pour n'importe quelle raison ou aucune raison - comme ils l'ont fait dans le passé. George W. Bush, sous la pression en 2004, a déclassifié la section du journal quotidien présidentiel de 2001 sous le titre «Ben Laden déterminé à frapper aux États-Unis». Barack Obama a déclassifié les mémorandums du ministère de la Justice sur la légalité de la torture.

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  12. Ainsi, si le Comité du renseignement de la Chambre publie simplement une version de sa note sans les pièces justificatives, ce ne sera pas seulement parce qu'ils ne veulent pas que les Américains le voient - ce sera parce que Trump ne veut pas que nous le voyions non plus. Notez que les membres de la GOP House insistent sur le fait que la publication de la note et du matériel source sous-jacent ne nuirait pas à la sécurité nationale:

    Il suffit de lire le doc classé @HPSCI sur l'abus FISA. J'appelle à sa publication publique immédiate avec du matériel d'origine pertinent. Le public doit avoir accès dès que possible! #Transparence

    Alors, quelle est la justification possible pour Trump de continuer à dissimuler cette présumée preuve de criminalité massive du peuple américain en la cachant derrière des désignations «classées»? En effet, il est illégal d'abuser des désignations classées pour dissimuler des preuves de la criminalité officielle: non seulement Trump peut-il déclassifier une telle preuve, mais on pourrait dire qu'il doit, ou du moins le devrait.

    2. Les comités du renseignement de la Chambre (et du Sénat) peuvent déclassifier tout matériel qu'ils possèdent.
    Selon les règles de procédure des deux chambres du Congrès, leurs commissions du renseignement peuvent déclassifier les documents en leur possession si le comité estime qu'une telle déclassification serait dans l'intérêt public. Il est ensuite déclassifié après cinq jours, à moins que le président ne s'y oppose formellement. Si le président s'oppose, la chambre plénière vote sur la question.

    Il est vrai que, dans la mesure où le Congrès est embarrassamment déférent à l'exécutif, ni la Chambre ni les comités du renseignement du Sénat n'ont jamais utilisé ce pouvoir, il est donc impossible de savoir comment ce jeu se déroulera dans la pratique. Mais si Trump refusait de publier une preuve des méfaits de l'administration Obama, les républicains du Congrès devraient avoir un moyen simple de le renverser.

    3. La Constitution protège les membres du Congrès contre toute poursuite pour "tout discours ou débat dans l'une ou l'autre Chambre".
    Les membres du Congrès jouissent d'une immunité juridique pour les actes qu'ils commettent dans le cadre du processus législatif. L'Article I, Section 6, clause 1 de la Constitution stipule que «pour tout discours ou débat dans l'une ou l'autre chambre, [les sénateurs et les représentants] ne seront pas interrogés ailleurs.» C'est ce bouclier constitutionnel qui protège le sénateur Mike Gravel de Alaska des conséquences juridiques en 1971 quand il a lu des sections des documents du Pentagone lors d'une réunion du sous-comité du Sénat sur les bâtiments publics et les motifs, et a ensuite placé le reste des documents du Pentagone dans le dossier du Congrès.

    Il est vrai que les membres pourraient subir des conséquences juridiques pour des actes accessoires - peut-être s'ils retiraient illégalement les documents pertinents du FISC du Congrès. Mais ils pourraient aller à la Chambre et décrire à la fois les révélations de la note et les preuves sous-jacentes sans crainte de conséquences juridiques.

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  13. Si le mémo prouve vraiment ce qu'ils prétendent, il semblerait que leur devoir patriotique les obligerait à le faire. Des citoyens ordinaires - comme Daniel Ellsberg, Edward Snowden et Chelsea Manning - ont risqué la prison pour exposer ce qu'ils croyaient être des crimes officiels sérieux; ces membres du Congrès peuvent le faire sans aucune de ces conséquences. Alors, qu'est-ce qui justifie leur échec à faire cela ?

    4. Les républicains peuvent tout divulguer aux médias.
    Si, pour une raison quelconque, Trump et la direction du Congrès refusent d'utiliser l'une des options ci-dessus pour se justifier, un membre courageux du Congrès pourrait devenir un dénonciateur et transmettre aux médias les preuves classées des affirmations du GOP au sujet du mémo.

    Beaucoup d'argent

    De nombreux points de vente ont maintenant des méthodes sécurisées pour leur envoyer du matériel sensible, comme Secure Drop. Ceux pour l'interception peuvent être trouvés ici. (Toute fuite comporte des risques, comme nous le décrivons dans notre manuel pour les dénonciateurs.)

    * * *
    Alors c'est ça. Tous les Américains, en particulier les conservateurs, devraient demander à chaque républicain de faire des affirmations spectaculaires sur ce mémo quand ils utiliseront les moyens ci-dessus pour démontrer de manière concluante que tout ce qu'ils ont dit est basé sur un fait solide.

    S'ils ne le font pas, les républicains démontreront de manière concluante quelque chose d'autre.

    Ils prouveront de façon concluante que tout cela est à leur sujet sans faire des affirmations qu'ils ne croient pas, posant frauduleusement comme se souciant de l'un des problèmes les plus vitaux et fondamentaux auxquels sont confrontés les États-Unis: comment le gouvernement américain utilise les vastes pouvoirs de surveillance a été acquis.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-01-20/republicans-have-four-easy-ways-releasethememonot-doing-so-will-prove-them

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  14. Google a une police de discours secret réel

    par Tyler Durden
    Sam, 20.01.2018 - 21:15
    Auteur de Peter Hasson via The Daily Caller,

    Plus d'une centaine d'organisations non gouvernementales (ONG) et d'agences gouvernementales à travers le monde aident la police YouTube à diffuser des contenus extrémistes, allant des soi-disant discours haineux aux vidéos de recrutement de terroristes.

    Tous ont des accords de confidentialité interdisant à Google, la société mère de YouTube, de révéler leur participation au public, a déclaré jeudi un représentant de Google au Daily Caller.

    Une poignée de groupes, dont l'Anti-Defamation League et No Hate Speech, une organisation européenne axée sur la lutte contre l'intolérance, ont choisi de rendre publique leur participation au programme, mais la grande majorité reste cachée derrière les accords de confidentialité. La plupart des groupes du programme ne veulent pas être associés publiquement, selon le porte-parole de Google, qui ne parle que d'arrière-plan.

    Le programme "Trusted Flaggers" de YouTube remonte à 2012, mais le programme a explosé ces dernières années dans le cadre d'un effort de Google pour augmenter la réglementation du contenu sur ses plates-formes, qui a suivi la pression des annonceurs. Cinquante des 113 membres du programme se sont joints à YouTube en 2017, alors que YouTube intensifiait son contrôle de contenu, a déclaré Juniper Downs, directeur des politiques publiques de YouTube, à un comité sénatorial mercredi.

    Les groupes tiers travaillent en étroite collaboration avec les employés de YouTube pour réprimer le contenu extrémiste de deux façons, a déclaré Downs et un porte-parole de Google a confirmé. Premièrement, ils sont équipés d'outils numériques leur permettant de signaler en masse le contenu à l'examen du personnel de YouTube. Deuxièmement, les groupes de partenaires agissent comme des guides pour les moniteurs de contenu de YouTube et les ingénieurs qui conçoivent les algorithmes de police YouTube, mais peuvent manquer de l'expertise nécessaire pour aborder un sujet donné.

    Ce ne sont pas seulement les vidéos terroristes que Google censure. Jordan B. Peterson, un professeur connu pour s'opposer à la rectitude politique, a fait bloquer l'une de ses vidéos dans 28 pays plus tôt ce mois-ci. Une note envoyée au compte de Peterson indiquait que YouTube avait "reçu une plainte légale" à propos de la vidéo et avait décidé de la bloquer.

    Peterson a utilisé ses grands réseaux sociaux pour repousser, en appelant YouTube sur Twitter, où il compte plus de 300 000 abonnés. YouTube a inversé le blocage de Peterson après qu'un autre populaire YouTuber, Ethan Klein, ait demandé une explication sur Twitter, où il compte plus d'un million de followers. Bien que l'avis original indiquait que YouTube répondait à une plainte, sur Twitter, l'entreprise donnait l'impression que le bloc était erroné.

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  15. L'écrasante majorité de la police de contenu sur Google et YouTube est réalisée par des algorithmes. Les algorithmes permettent une réfutation facile contre les accusations de partialité politique: ce n'est pas nous, c'est l'algorithme. Mais les algorithmes sont conçus par des personnes. Comme indiqué ci-dessus, les partenaires externes anonymes de Google travaillent en étroite collaboration avec les experts internes qui conçoivent les algorithmes. Cette collaboration étroite a des avantages, selon les représentants de Google, soulignant les progrès dans la lutte contre la propagande terroriste sur la plate-forme. Mais il offre également peu de transparence, forçant les utilisateurs à prendre la parole de Google qu'ils sont traités équitablement.

    Le partenariat de YouTube avec des organisations extérieures pour lutter contre le contenu extrémiste n'est qu'une partie des efforts déployés par la société pour hiérarchiser certains types de contenu par rapport aux autres. YouTube supprime également certains contenus grâce à son mode «restreint», qui filtre les vidéos non adaptées aux enfants ou contenant du contenu «potentiellement mature», ainsi que par la démonétisation de certaines vidéos et chaînes, coupant ainsi le flux financier à leurs opérateurs.

    Prager University, un organisme à but non lucratif conservateur qui réalise des vidéos éducatives, a poursuivi Google en octobre pour avoir mis son contenu en mode restreint et l'avoir démonétisé. Prager fait face à une bataille difficile en cour (en tant que société privée, Google n'est pas lié par le Premier amendement), mais le procès a forcé Google à prendre position sur sa censure.

    Le représentant de Google qui a parlé avec TheDC a déclaré que ce sont les algorithmes qui sont responsables de placer des vidéos en mode restreint. Mais dans les documents judiciaires examinés par TheDC, les avocats de Google ont soutenu le contraire. "Les décisions sur les vidéos qui tombent dans cette catégorie sont souvent compliquées et peuvent impliquer des jugements subjectifs difficiles", ont-ils soutenu dans des documents déposés le 29 décembre.

    Dans son témoignage devant le comité du Sénat mercredi, Downs a décrit certaines des mesures que Google a prises pour supprimer le contenu "offensant" ou "inflammatoire" qui ne répond pas à l'extrémisme violent.

    "Certaines vidéos à la limite, telles que celles contenant un contenu religieux ou suprématiste inflammatoire sans un appel direct à la violence ou un but principal d'incitation à la haine, ne peuvent pas franchir ces lignes pour être enlevées. Mais nous comprenons que ces vidéos peuvent être offensantes pour beaucoup et ont développé un nouveau traitement pour eux ", a-t-elle dit.

    "Le contenu limite identifié restera sur YouTube derrière un interstitiel, ne sera pas recommandé, ne sera pas monétisé et ne contiendra pas de fonctionnalités clés, notamment des commentaires, des vidéos suggérées et des mentions" J'aime ". Les premières utilisations ont été positives et ont montré une réduction substantielle du temps de visionnement de ces vidéos ", a-t-elle ajouté.

    La poussée de démonétisation de YouTube, qui affecte certaines des chaînes politiques non-gauchistes les plus populaires, est destinée à accueillir les annonceurs qui cherchent à éviter le contenu controversé, a déclaré le porte-parole de Google.

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  16. Dave Rubin, un animateur YouTube populaire, a vu ses vidéos démonétisées à plusieurs reprises. Rubin a posté une vidéo, "Le socialisme n'est pas cool", mercredi. La vidéo était en hausse un peu plus de 24 heures avant que YouTube ne la démonise jeudi.

    La vidéo a été plus tard remonetisée, a déclaré un représentant de Google au TheDC. Mais les utilisateurs ne peuvent pas récupérer les dollars publicitaires perdus pendant que leurs vidéos étaient démonétisées par erreur.

    "Je soupçonne qu'il y a une certaine volonté politique, mais je ne pense pas que ce soit nécessairement une grande conspiration contre les conservateurs ou contre ceux qui ne sont pas gauchistes. Une partie du problème est que leur manque de transparence a créé une situation où aucune utilisation ne sait vraiment ce qui se passe ", a déclaré Rubin au TheDC.

    "Est-ce que cela semble plus affecter les chaînes non-gauchistes ? Oui cela le fait."

    https://www.zerohedge.com/news/2018-01-20/google-has-actual-secret-speech-police

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  17. Top Cop de Baltimore a tiré après des homicides hors de contrôle


    par Tyler Durden
    Sam, 20.01.2018 - 20:40


    Le premier flic de Baltimore a été licencié vendredi après une année record d'homicides par habitant qui a transformé la plus grande ville du Maryland en l'une des zones les plus dangereuses des Etats-Unis.

    Pour mettre les choses en perspective, le taux de meurtre de Baltimore est de 4x la moyenne des autres grandes villes et environ 40 pour cent de plus que Detroit. Pour aggraver les choses, Baltimore est maintenant précisément liée au Venezuela, un pays souffrant d'un effondrement économique à 57,2 meurtres pour 100 000 habitants.

    La mairesse Catherine Pugh a relevé de ses fonctions le commissaire de police Kevin Davis après deux ans et demi en tant que flic. M. Pugh a ensuite annoncé que le sous-commissaire Darryl DeSousa, qui fait partie de la force depuis 30 ans, prendra immédiatement la place du commissaire Kevin Davis.

    Commissaire désigné DeSousa:
    "Baltimore a longtemps été ma maison et j'ai passé ma carrière dans ses rues et dans ses quartiers pour résoudre les problèmes et apporter des solutions significatives pour les gens que nous servons."

    "Comme je l'ai dit clairement, la réduction de la violence et le rétablissement de la confiance de nos citoyens dans leurs agents de police sont ma plus haute priorité", a déclaré M. Pugh.

    "Le fait est que nous n'atteignons pas le rythme de progrès que nos résidents sont en droit d'attendre dans les semaines qui ont suivi la fin d'une année presque record pour les homicides dans la ville de Baltimore."

    Le fait que le Pugh ne progresse pas du tout devrait être décourageant pour les habitants de Baltimore. La ville a clôturé l'année 2017 avec 343 homicides, un peu moins de 353 en 1993, alors que la ville comptait 100 000 résidents de plus. L'année dernière, Baltimore a atteint son plus bas niveau depuis 100 ans dans la population totale, alors que la ville dans son ensemble continue de diminuer en taille. En plus de cela, la ville a connu 50 ans de leadership démocratique raté couplé à la désindustrialisation, qui a transformé la zone en zone de guerre. Comme indiqué ci-dessous:

    L'ancien commissaire de police Kevin Davis était le 39e commissaire de police à Baltimore depuis 2015. Davis, un professionnel de la sécurité publique de quatrième génération, a été relevé de ses fonctions dans la honte, mais le tableau ci-dessous pourrait prouver que la disparition de Baltimore tendance qu'aucun fonctionnaire ne pouvait contenir. Par conséquent, pourquoi Pugh a dû demander l'aide du gouvernement fédéral en 2017.

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  18. Avant que Davis n'atteigne la première position de flic, Baltimore était sur une trajectoire de relance. Tout allait bien dans la ville de charme, alors que les millénaires chantaient l'air gentrifiant avec Kevin Plank. L'hôpital Johns Hopkins gentrifiait le quartier est de la ville, et l'université du Maryland embourgeoisait le côté ouest, l'ole 'diviser et conquérir semblait fonctionner très bien.

    Mais quelque chose s'est cassé dans la ville, juste comme Davis a pris la tête de la police en 2015. Les crimes violents et les homicides ont grimpé aux niveaux non vus depuis les jours d'épidémie de crack de la fin des années 1980 et du début des années 1990.

    Alors, qu'est-ce qui a déclenché l'énergie violente ?

    Eh bien, ce fut l'effet Ferguson en 2014, qui a conduit aux émeutes de Baltimore en avril 2015. Les groupes organisateurs communautaires de tout le pays ont sprinté à Baltimore et ont profité de la situation, alors que des parties de la ville brûlaient. Le gouverneur a appelé la garde nationale qui a fermé la ville pendant une semaine avec des couvre-feux et des patrouilles armées. Il a été soutenu par beaucoup, que Baltimore a expérimenté une certaine forme de loi martiale dans ces sept jours de l'enfer. Néanmoins, la relation entre la communauté et la police s'est évaporée, et c'est quand tout l'enfer a éclaté.

    Pugh utilise Davis comme bouc émissaire pour détourner la responsabilité de l'Hôtel de Ville. Davis a été mis en place pour échouer au début parce que l'effet Ferguson a aveuglé la ville. Dès que la relation entre la communauté et la police a pris fin, la police a réduit ses activités de police active. C'est le moment où la ville est entrée dans une spirale mortelle irréversible.

    Un nouveau chef de police n'est pas nécessairement la réponse à moins qu'il y ait un plan pour rétablir la relation entre la communauté et la police, que les groupes organisés communautaires payés par George Soros ont aidé à détruire.

    Le retrait de Baltimore a été une tendance à long terme, mais depuis peu, il a été accéléré après 2015. Alors que la ville implose sur elle-même en 2018, la crise des opioïdes sera l'énergie nécessaire pour porter le dernier coup fatal. Alors que la ville se dirige vers l'effondrement, la probabilité de licencier plus de hauts fonctionnaires est forte pour le reste de l'année.

    * * *
    Pour comprendre la suite de Baltimore. Faites attention aux développements actuels en Suède. Lire: "La Suède se prépare à une" guerre civile ": le PM veut déployer l'armée dans les zones interdites."

    https://www.zerohedge.com/news/2018-01-20/baltimores-top-cop-fired-after-out-control-homicides

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  19. Le mémo de la FISA est tout ce dont le Trump Ammo a besoin pour affronter la CIA

    par Tyler Durden
    Sam, 20.01.2018 - 20:10
    Auteur de Tom Luongo,

    FISA est une abomination. Mettons ça à l'écart. Et puisque je ne crois pas qu'il y ait des coïncidences aux États-Unis ou en géopolitique, la publication de la note explosive de quatre pages de la FISA après que le Congrès a autorisé de nouveau la FISA est suspecte.

    Edward Snowden, ancien analyste de la NSA (traître? Héros?), Est sorti en faveur du président Trump opposant son veto à la réautorisation de la FISA maintenant que les membres du comité du renseignement de la Chambre connaissent bien toute l'étendue de la loi. à juste titre atterré.

    Les fonctionnaires confirment qu'il y a un rapport secret montrant des abus de loi d'espion que le congrès a voté pour réautoriser cette semaine. Si cette note avait été connue avant le vote, FISA reauth aurait échoué. Ces abus doivent être rendus publics, et @realDonaldTrump devrait renvoyer la facture avec un droit de veto. https://t.co/BEwJ9EyIq0
    - Edward Snowden (@Snowden) 19 janvier 2018

    Mais, comme je l'ai dit, le timing dans ces choses est tout. Et le timing de cette fuite est important.

    Quelqu'un a divulgué cette note au comité des renseignements de la Chambre dans le seul but de donner au président Trump l'occasion de faire exactement ce que Snowden veut dire.

    Et bien Trump devrait.

    C'est l'essence de la vidange du marais. C'est l'essence de sa guerre avec le gouvernement de l'ombre. Si l'on fait la distinction entre le gouvernement profond et le gouvernement fantôme, comme le fait l'ancien dirigeant de la CIA, Kevin Shipp, cela correspond tout à fait aux objectifs de Trump qui consistent à nettoyer la corruption et la corruption au sein du gouvernement américain. Dans une récente interview avec Greg Hunter à USAWatchdog.com,

    Shipp explique: «Je fais la différence entre le 'Deep State' et le gouvernement de l'ombre. Le gouvernement de l'ombre sont les agences de renseignement secret qui ont un tel pouvoir et le secret qu'ils agissent même à l'insu du Congrès. Il y a beaucoup de choses qu'ils font en toute impunité. Ensuite, il y a le «Deep State», qui est le complexe industriel militaire, toutes les sociétés industrielles et leurs lobbyistes, et ils ont tout l'argent, le pouvoir et la cupidité qui donnent tout l'argent aux sénateurs et aux membres du Congrès. Donc, ils sont connectés, mais ils sont vraiment deux entités différentes. C'est le gouvernement de l'ombre. . . plus précisément, la CIA, qui va après Donald Trump. Il est terrifié que certaines de ses transactions vont être exposées. Si tel est le cas, cela pourrait mettre en péril toute l'organisation. "

    Cour l'armée contre les fantômes
    Et comme j'en ai longuement parlé, j'ai ressenti à partir du moment où Trump a été élu qu'il allait devoir s'allier avec l'armée américaine pour avoir une chance de survivre, et encore moins d'atteindre ses objectifs politiques.

    La dernière campagne publicitaire de Trump était un appel à l'action. C'était une déclaration de guerre contre le gouvernement fantôme et l'État profond. Et il s'assurait que s'il gagnait, ce qu'il faisait, ils allaient immédiatement faire la guerre avec lui.

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  20. Et vous ne déclarez pas la guerre comme ça si vous n'êtes pas préparé pour la plus grande bagarre de rue de tous les temps. Si vous n'êtes pas préparé pour cela, ne le dites pas. Et depuis un an, nous nous demandons si Trump était prêt à le faire 2) capable de le retirer.

    Trump a continué à aiguillonner l'établissement; jouer le jeu long et diaboliser les médias qui est la pointe de la lance du gouvernement de l'ombre tout en renforçant le soutien des deux militaires (à travers son soutien à chaque tour) et sa base en les aidant à détruire les faux récits de globalisme a été rien d'incroyable.

    En tant que politicien blasé, je peux vous dire que je n'ai jamais pensé une seconde qu'il avait la capacité de ce qu'il avait déjà fait. Mais, comme l'ont souligné les derniers mois, le véritable pouvoir dans le monde ne repose pas sur les quelques milliers de personnes qui manipulent les leviers du pouvoir, mais sur les milliards qui, pendant des années, sont restés là et les ont laissés faire.

    Et ces jours de repos sont partis.

    Ainsi, Trump se rapprochant de l'armée, concluant un accord avec le complexe militaro-industriel (MIC), l'Etat profond est maintenant incité à se battre contre le gouvernement de l'ombre pour lui. Le projet de loi sur la réduction des impôts, bien qu'il soit un brillant exemple de bagarre politique, consiste essentiellement à consolider les finances des sociétés qui composent le PRI grâce au rapatriement des revenus gagnés à l'étranger, à abaisser le taux d'imposition des sociétés et à voler encore plus la classe moyenne de retour des démocrates.

    Trump avait la bonne stratégie depuis le début. Les guerres civiles se tournent vers ce que la police et l'armée font. Ils sont incités par les fantômes et attisés par eux, mais ce sont les soldats et les flics qui décident du résultat.

    Et nous sommes là.

    FISA, c'est partout où vous ne le voulez pas
    Trump a appelé le bluff des démocrates et des RINOs sur le DACA et l'immigration en chaîne comme un système d'achat de votes sans retombées politiques. Il a correctement recadré la fermeture imminente du gouvernement sur leur incapacité à s'en tenir à leurs accords initiaux.

    Son ministère de la Justice très décrié roule maintenant des traîtres associés à Uranium One, des pédophiles et des trafiquants d'êtres humains dans tout le pays et se prépare à une confrontation avec les gouverneurs d'état bleus et les procureurs généraux sur le "Sanctuary".

    En menant la charge, il a donné la force aux patriotes au sein du gouvernement de l'ombre et des organisations de l'État profond afin qu'ils fuient le matériel nécessaire pour maintenir sa campagne à flot.

    Et comme chaque nouvelle chose tombe au moment le plus inopportun pour l'establishment politique mentionné ad nauseum dans cette dernière annonce de campagne ci-dessus, vous devez vous demander quelle est la taille de la révolte dans ces organisations.

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  21. Parce que, ici même, Trump peut exiger la publication de ce mémo FISA et l'utiliser pour torpiller la chose même qui a permis à toute l'absurdité "Russie Hacked Muh Election" et la renvoyer au sh & trou dans lequel il a été engendré. la première place, la CIA et la DNC.

    Et si cela signifie pour quelques mois les tribunaux de la FISA sont inopérables alors qu'un nouveau projet de loi et un nouvel ensemble de règles sont rédigés, que ce soit.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-01-20/fisa-memo-all-ammo-trump-needs-take-cia

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  22. Vidéo: La crise meurtrière des opioïdes en Amérique


    par Tyler Durden
    Sam, 20.01.2018 - 18:40


    Les opioïdes tuent plus de gens qu'ils ne guérissent. Chaque jour aux États-Unis, quelque 140 personnes meurent de la prise d'opioïdes - des drogues addictives addictives. Ils sont devenus la principale cause de décès chez les moins de 50 ans, devant les accidents de la route et les armes à feu. Les correspondants américains de France24, Valérie Defert, Baptiste Fenwick, Hayde Fitzpatrick et Romain Jany, se penchent sur la crise meurtrière des opioïdes.

    Les opioïdes ne sont ni des virus ni des bactéries, mais des analgésiques. Aux États-Unis, ils sont prescrits en abondance et sont parfaitement légaux pour une petite blessure ou une extraction dentaire. Les opioïdes sont des analgésiques, des analgésiques puissants, dérivés de l'opium. Mais de nombreux patients deviennent dépendants au médicament en quelques jours et aujourd'hui, ce médicament, qui peut causer des surdoses mortelles, tue plus de gens qu'il ne guérit.

    La mort de célébrités comme Prince et Michael Jackson a mis en lumière l'épidémie de toxicomanie, un fléau qui sévit dans toutes les régions des États-Unis et dans toutes les classes sociales.

    Dès que nous avons commencé à rendre compte, nous avons pris conscience de l'ampleur du problème. Des millions de patients sont devenus dépendants involontairement aux opioïdes, simplement parce que leur médecin leur a prescrit des analgésiques après une blessure ou une opération. Beaucoup de gens ont joué un rôle dans ce scandale sanitaire: le gouvernement et ses agences, influencés par les lobbies pharmaceutiques et incapables de se réguler eux-mêmes; les compagnies pharmaceutiques, qui dissimulaient le danger de certaines drogues, lorgnent des dizaines de milliards de dollars de profits; et quelques médecins sans scrupules.

    La situation a été exacerbée par des décisions politiques dangereuses. Une récente enquête du Washington Post a révélé qu'en avril 2016, au plus fort de la crise des opioïdes, et sous la pression des lobbies pharmaceutiques, le Congrès a adopté une série de lois assouplissant les règles relatives à la distribution d'analgésiques.

    Urgence sanitaire nationale

    Néanmoins, dès son arrivée au pouvoir, Donald Trump a promis d'agir sur cette épidémie de surdose. Le 26 octobre 2017, il a déclaré que la crise des opioïdes était une «urgence sanitaire nationale». De nombreux commentateurs croient que Trump a agi rapidement pour satisfaire sa base électorale, car les personnes les plus touchées par la crise des opioïdes sont les Américains blancs de la classe moyenne, vivant dans le centre du pays. Mais plusieurs mois après son annonce, rien n'a changé, les fonds n'ayant toujours pas été débloqués.

    Un autre scandale a été la nomination de Donald Trump de Tom Marino pour faire face à la crise des opioïdes. Marino est le membre du Congrès républicain qui a été chargé d'aider à faire passer les lois qui favorisaient l'industrie pharmaceutique en premier lieu.

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  23. Enfin, pourquoi la Food and Drug Administration des États-Unis (FDA) a-t-elle autorisé la vente d'opioïdes, comme Oxycontin en 1998, sans procéder à des tests scientifiques valables? Et au milieu de l'épidémie actuelle de toxicomanie, pourquoi la FDA a-t-elle décidé de ne pas interdire ce médicament? Après tout, nous savons maintenant que le laboratoire Purdue Pharma a dissimulé la nature addictive de ces pilules. Il a même été condamné à une amende de 600 millions de dollars, un record aux États-Unis. Nous avons contacté la FDA, qui prétend prendre la crise "très au sérieux". Mais aucune restriction n'a été prise et Oxycontin est toujours prescrit aujourd'hui.

    Après avoir filmé ce rapport, il est incroyablement frustrant de réaliser que même si tout le monde parle de la crise, rien ne change. Chaque jour, des milliers d'Américains continuent de mettre leur vie en danger, sans même le savoir.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-01-20/inside-americas-deadly-opioid-crisis

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    1. C'est pourquoi les Congressistes (Députés/Sénateurs) ont toujours représenté le plus grand danger pour le Peuple en votant des lois contre lui.
      Ils sont tous anti-Démocratie.

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  24. Clinton Ally Tom Steyer fustige des législateurs pour avoir échoué à attaquer Trump


    par Tyler Durden
    Sam, 20.01.2018 - 15:40


    Il semble que le milliardaire Clintonite Tom Steyer s'étonne que la campagne publicitaire nationale qu'il a financée pour exhorter les membres du Congrès à destituer le président Trump n'ait pas donné de résultats à ce jour.

    Steyer est allé à la fois sur les républicains et les démocrates vendredi après un vote à la Chambre sur les articles de la mise en accusation a recueilli un maigre 66 votes.

    "Ce vote ne reflète pas si Trump a franchi ou non le seuil de mise en accusation, ce qu'il a fait il ya des mois", a déclaré Steyer vendredi dans un communiqué de presse après le vote. "C'est un échec des membres du Congrès à faire ce qui est juste pour garder le peuple américain en sécurité."

    Steyer, un ancien gestionnaire de fonds de couverture milliardaire de la Californie libérale, a lancé son mouvement «Need to Impeach» en octobre 2017. Alors que plus de quatre millions de personnes ont signé sa pétition, les démocrates ne sont pas particulièrement satisfaits de cette initiative. Les dirigeants démocratiques croient que pousser à la destitution pourrait nuire aux chances de leur parti à mi-mandat plus tard cette année. Steyer a souligné sa campagne en envoyant des copies du livre de Michael Wolff "Fire and Fury" à chaque législateur.

    Nancy Pelosi a critiqué une campagne de mise en accusation comme étant peu pratique et a suggéré qu'elle détourne l'attention de l'enquête du conseiller spécial Robert Mueller.

    Steyer, qui a soutenu la course présidentielle de l'ancien secrétaire d'Etat Hillary Clinton, soutient l'enquête de Mueller, mais pense qu'il existe un "dossier ouvert et fermé selon lequel [Trump] a respecté les critères d'impeachment" - bien qu'il n'ait pas encore produit de preuve spécifique.

    Selon le Daily Caller, il y avait des spéculations que Steyer utilisait sa campagne de destitution de 20 millions de dollars pour se présenter aux élections. Mais il a réfuté cela plus tôt ce mois-ci lors d'une conférence de presse à Washington. Steyer a dit qu'il dépensera 2018 dumping des millions de dollars dans des campagnes pour renverser des républicains au lieu de faire campagne pour le siège ouvert de gouverneur de la Californie.

    Mais peu importe si, en fin de compte, Steyer se présente, cette vidéo digne d'éloges qu'il a lancée pour lancer la campagne "Need to Impeach" vivra sur Internet pour toujours ...

    https://www.zerohedge.com/news/2018-01-20/clinton-ally-tom-steyer-blasts-lawmakers-failing-impeach-trump

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  25. La pomme de terre : la longue histoire d’une plante génétiquement modifiée par l’homme

    le 20 janvier 2018


    La pomme de terre est originaire des Andes péruviennes et elle fut consommée et cultivée par les Amérindiens il y a plus de 10000 ans dans les régions constituant aujourd’hui le Pérou, la Bolivie et l’Equateur. Quelques millénaires plus tard la pomme de terre apparut dans des zones climatiques très différentes des hauteurs andines comme dans les plaines du Vénézuela actuel mais également au sud du Chili et de l’Argentine en suivant les migrations de ces Amérindiens qui avaient rapidement reconnu les propriétés alimentaires exceptionnelles de ce tubercule. Durant cette adaptation à des climats différents le capital génétique de la plante (Solanum tuberosum) se modifia progressivement en ce sens que le nombre de chromosomes doubla, passant de 2X à 4X. Ces modifications génétiques et l’apparition progressive de nouveaux cultivars obtenus par sélection et croisements successifs – une modification génétique réalisée sur le long terme – fit qu’aujourd’hui la pomme de terre est la troisième production agricole dédiée à l’alimentation humaine dans le monde.

    La pomme de terre est en effet la deuxième culture en terme de richesse protéique après le soja et la première culture si les teneurs en carbohydrates et en protéines sont prises en compte et combinées. De plus la pomme de terre est riche en vitamine C : une seule pomme de terre de 100 g assure 50 % du besoin quotidien en cette vitamine qui est totalement absente dans le riz ou le blé. Les protéines de la pomme de terre offrent de manière équilibré l’ensemble des 20 acides aminés dont l’organisme a besoin contrairement par exemple au maïs dont les protéines présentent un déficit prononcé en lysine et en tryptophane. Enfin au cours de ce long processus de « modification génétique » – car il faut appeler les choses par leur nom – la biosynthèse de glyco-alcaloïdes indésirables fut progressivement éteinte et le métabolisme des sucres (carbohydrates de la fécule) se trouva parallèlement modifié et amplifié sans altération de la teneur en protéines.

    Ce long processus d’évolution génétique de la pomme de terre originaire des plateaux andins et poussant jusqu’à des altitudes de 5000 mètres près de l’équateur a réservé quelques surprises aux biologistes de l’Université de East Lansing dans le Michigan qui ont réalisé cette étude exhaustive (voir le lien). Les variétés « primitives » de la pomme de terre (S. chacoense, S. brevicaule, S. kurtzianum, S. medians et S. berthaultii ainsi que S. candoleanum) étaient adaptées à des alternances jour-nuit d’environ 12h sans grandes variations au cours de l’année. En adaptant la pomme de terre aux latitudes plus extrêmes, au sud du Chili et de l’Argentine puis au nord du continent nord-américain l’expression d’un nombre important de gènes impliqués dans le rythme circadien a été modifiée avec parallèlement une désagrégation de la faculté de la plante à se reproduire sexuellement par floraison tout en étant bénéfique pour la grosseur des tubercules. Il s’agit d’un cas presque unique d’une adaptation génétique aussi profonde à la modification du rythme circadien chez les grandes cultures domestiquées par l’homme au cours des millénaires passés.

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  26. Il est également intéressant de noter la diminution, au cours de la sélection, à des teneurs acceptables des alcaloïdes toxiques comme l’alpha-solanine et l’alpha-chaconine dans les tubercules. Ces alcaloïdes étaient normalement présents dans toute la plante et servaient à protéger celle-ci des attaques par les ravageurs comme les insectes, on pense tout de suite au doryphore, qui ont finalement contraint les agriculteurs à utiliser des pesticides artificiels pour protéger la plante mais cette adaptation a rendu la plupart des tubercules propres à la consommation sans plus aucun risque d’intoxication. Il s’agit d’un cas d’adaptation ou plutôt de sélection assez fréquent puisque les ancêtre de la tomate et de l’aubergine, des fruits très proches de la pomme de terre – il s’agit en effet d’autres solanacées – étaient également toxiques … Enfin, pour conclure la revue des découvertes relatives à la génétique de la pomme de terre au cours de cette sélection il s’agit de la modification de la voie métabolique conduisant au tryptophane et à ses dérivés dont en particulier l’acide kynurénique, un anti-oxydant reconnu comme tel mais aussi un neuroprotecteur et un anti-inflammatoire. Cette adaptation ultime datant du XIXe siècle coïncide avec les croisements variés qui furent réalisés pour atténuer la sensibilité de la pomme de terre au Phytophtora infestans qui ravagea les cultures de pomme de terre en Irlande et provoqua la grande famine restée gravée dans les mémoires des Irlandais.

    Il reste encore une utilité pour les variétés primitives de cette plante encore présentes dans les plateaux andins pour encore améliorer cette culture d’une importance mondiale considérable car elles ont gardé les gènes ancestraux qui pourraient un jour être à nouveau réintroduits dans la plante en vue de nouvelles améliorations avec les techniques modernes de la biologie moléculaire.

    Source et illustrations PNAS : http://www.pnas.org/cgi/doi/10.1073/pnas.1714380114

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2018/01/20/la-pomme-de-terre-la-longue-histoire-dune-plante-genetiquement-modifiee-par-lhomme/

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