- ENTREE de SECOURS -



mardi 9 janvier 2018

La vie est une chose dont on ne se rappelle ni du début ni de la fin

Il n'y a rien de plus normal que d'user des produits de la Terre d'où nous venons tous et y retournerons. Nous bénéficions pour cela de deux sources de chaleur, le soleil saisonnièrement et volcanique éternellement (heureusement car sans ces sources de chaleurs venus des planchers maritimes & océaniques nous serions tous morts de froids en hiver). Mais, l'énergie durable (éternellement 24/24 h, 7/7j et gratuite existe !*) n'est pas suffisamment usée, incluses les énergies minières et pétrolières puisqu'elles se transforment en gaz lors de leur combustion et que tous gaz se recyclent. Reste juste à savoir combien d'années met le gaz carbonique absorbé par le phytoplancton océanique qui se transforme en carbone pour redonner du charbon combustible. Juste comme évaluation peut on décrire ce qui se passe pour le pétrole. Le pétrole jaillit aux derricks. Puis, la pression baissant, le pétrole ne sort plus et le derrick est abandonné. Abandonné mais pas démonté ! Car, une dizaine d'années plus tard, la pression revient à ce même derrick et rejaillit comme aux premiers jours !

*A propos d'énergie gratuite
mardi 28 octobre 2014

Donc, oui l'on peut dire que le pétrole abiotique est éternel. Juste qu'il faut réfléchir à l'immensité de la nappe comme pour l'eau lorsque l'on accepte de mettre des dizaines (ou centaines ?) de millions de personnes pour s'abreuver sur une seule source !!!

Est-ce que 40 000 volcans sont importants ?
mercredi 13 décembre 2017

Des sources d'eau ou de pétrole il y en a tout autour de notre planète et forcément davantage aux maillons faibles que sont les planchers maritimes et océaniques puisqu'ils sont 'à deux doigts' du magma en fusion.

Il n'y a donc pas 'péril en la demeure' car l'humain peut user en excès de tout ce qui l'entoure il ne manquera JAMAIS une goutte d'eau ou de pétrole comme d'air qu'il respire.

La Terre est nourricière a perpétuité. Les graines semées/enfouies (et non jetées en surface pour les oiseaux) germent comme un enfant dans le ventre de sa mère et poussent et grandissent hors de leur espace primitif. Chacune de ces plantes aura son trait de caractère issu de son terroir natal, de son micro-climat qui fera que toute plante déplacée s'adaptera (ou pas) au nouveau micro-climat mais ne transmettra jamais son caractère issu de son sol natal.

C'est pourquoi il ne faut pas se faire d'illusion sur la productivité/qualité d'un cépage de vigne issu de Bordeaux planté dans une terre étrangère. Il ne donnera JAMAIS du 'Vin de Bordeaux' ! Il en est de même pour les exilés immigrants en des pays lointains, ils ne s'adapteront jamais à cette 'reconversion'. Seuls leurs enfants nés en terre d'accueil pourront seulement s'adapter (ou pas) à leur lieux entre les familiaux et les personnels. Seul le robot n'a pas de patrie.

La vie est une chose dont on ne se rappelle ni du début ni de la fin.

68 commentaires:

  1. Comment l'Europe a construit son propre bûcher funéraire


    par Tyler Durden
    Mar, 01/09/2018 - 02:00
    Rédigé par Robert Merry via The Strategic Culture Foundation,

    L'immigration de masse, la culpabilité et un continent au bord de la «catastrophe sociale» ...


    https://www.zerohedge.com/sites/default/files/inline-images/20180108_pyre.png

    Le problème le plus important de notre époque n'est pas la volonté de la Corée du Nord de développer des missiles nucléaires à longue portée. Ce n'est pas la menace posée à l'Europe par la puissance terrestre russe ou la menace posée à la domination asiatique de l'Amérique par la puissance maritime chinoise. Ce n'est pas l'influence grandissante de l'Iran au moyen-orient, ni l'enquête en cours sur l'ingérence de la Russie aux élections américaines et la possible «collusion» de la campagne de Donald Trump.

    https://www.zerohedge.com/sites/default/files/inline-images/20180108_pyre1.png

    Non, la question déterminante de notre époque est l'immigration de masse dans les nations du patrimoine occidental. Cet afflux croissant menace de refaire ces nations et de submerger leur identité culturelle. C'est la question qui a joué le plus grand rôle dans l'élection de Donald Trump. Il a conduit le vote de Brexit de la Grande-Bretagne. Il est en train de perturber le continent européen, de créer des tensions au sein de l'UE et de créer un fossé entre les élites de ces nations et leurs populations en général.

    En effet, le principal champ de bataille dans les guerres de l'immigration est l'Europe, qui a accepté un filet d'immigrants dans l'immédiat après-guerre en raison des pénuries de main-d'œuvre. Mais au fil des ans, le ruisseau est devenu un torrent, puis une rivière en expansion, et finalement un torrent - dans la mesure où les Britanniques sont désormais minoritaires dans leur propre capitale, les flux de réfugiés vers l'Allemagne sont passés de 48.589 en 2010 à 1.5 million en 2015 et l'Italie, un point d'entrée clé, a reçu en moyenne 6 500 nouveaux arrivants par jour.

    Tout au long de tout cela, les élites européennes ont célébré le changement et imposé une sorte de régime d'application de la pensée à ceux qui ont soulevé des questions. L'immigration était initialement considérée comme un avantage économique; ensuite comme correctif nécessaire à une population vieillissante; ensuite comme un moyen de pimenter la société à travers la «diversité»; et enfin, en tant que fait accompli, une vague irrésistible forgée par la globalisation de la mondialisation. D'ailleurs, argumentaient les élites, les nouveaux arrivants seraient tous assimilés dans la culture européenne par la suite, alors quel est le problème ? Pendant ce temps, les sondages d'opinion publique au cours des décennies ont montré qu'une grande majorité d'Européens nourrissait de fortes craintes à propos de ces changements.

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  2. Comme l'écrit le journaliste et auteur britannique Douglas Murray: "Promis pendant toute leur vie que les changements étaient temporaires, que les changements n'étaient pas réels, ou que les changements ne signifiaient rien, les Européens ont découvert que dans la vie des gens vivants, ils deviendraient des minorités. dans leurs propres pays. "

    Murray, rédacteur en chef adjoint du Spectator à Londres, est l'auteur d'un volume compact explorant ce phénomène. Il s'appelle The Strange Death of Europe: Immigration, Identity, Islam, et il a été publié il y a six mois par Bloomsbury. Le ton est mesuré mais sans broncher. L'image qu'il peint de l'avenir européen est sombre.

    Un point clé du livre, renforcé par une anecdote et une abondante documentation, est que les immigrants musulmans ne se sont pas véritablement intégrés dans leurs pays d'accueil européens. En effet, de nombreux nouveaux arrivants ont de plus en plus l'impression que ce ne sont pas des pays hôtes mais simplement des terres propices à l'expansion inexorable de l'Islam. Un réfugié syrien de 18 ans en Allemagne, Aras Bacho, dans Der Freitag et le Huffington Post Deutschland, a exprimé cette attitude en déclarant que les migrants allemands en avaient marre des Allemands «en colère», qualifiés de «racistes au chômage». qui «insulte et agite». Il a ajouté: «Nous, les réfugiés ... ne voulons pas vivre dans le même pays avec vous. Vous pouvez, et je pense que vous devriez, quitter l'Allemagne. L'Allemagne ne vous va pas, pourquoi vivez-vous ici ? ... Cherchez une nouvelle maison. "

    Considérez également la signification de ce fait: en 2015, plus de musulmans britanniques se battaient pour l'EI que pour les forces armées britanniques. Il n'y avait rien de caché dans la volonté de nombreux musulmans européens de conserver leur propre culture tout en écrasant la culture européenne. Lors d'un rassemblement à Cologne en 2008, le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a déclaré à 20 000 Turcs vivant en Allemagne, en Belgique, en France et aux Pays-Bas que l'assimilation en Europe constituerait un "crime contre l'humanité". Il a ajouté: "Je comprends très bien que vous êtes contre l'assimilation. On ne peut pas s'attendre à ce que vous vous assimiliez. »Pourtant, il a exhorté les cinq millions de Turcs vivant en Europe à poursuivre l'influence politique par des moyens démocratiques afin de disposer d'un« élément constitutionnel »dans la transformation du continent.

    En lisant le livre de Murray, on comprend pourquoi il décrit la disparition de l'Europe comme «étrange». L'acceptation par le continent de sa propre mort culturelle est en effet historiquement aberrante. Les civilisations se battent normalement pour la préservation de leurs cultures, s'unissent pour expulser les envahisseurs, vénérer leurs identités et les éléments fondamentaux de leur patrimoine. Mais l'Occident est aujourd'hui engagé dans une extravagance extensive et progressive d'auto-abnégation civilisationnelle. Murray appelle cela la « tyrannie de la culpabilité » et identifie comme une « pathologie ». Le concept de culpabilité historique, écrit-il, signifie que les taches héréditaires de culpabilité peut être transmis de génération en génération, jusqu'à Européens eux-mêmes pour les générations tenues les juifs responsables de le meurtre du Christ. Finalement, cela a été considéré comme répugnant, et le pape lui-même en 1965 a officiellement levé le fardeau historique.

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  3. Mais maintenant le concept est de retour dans une Europe suicidaire, où les gens l'appliquent à eux-mêmes. C'est en effet étrange en termes historiques. Murray explique la motivation de ceux qui se livrent à de tels vols Dudgeon moral ainsi: « Plutôt que d'être responsables d'eux-mêmes et responsables devant ceux qu'ils connaissent, ils deviennent les représentants autoproclamés des vivants et les morts, les porteurs d'un terrible l'histoire ainsi que les rédempteurs potentiels de l'humanité. De n'être personne, on devient quelqu'un.

    Ainsi avons-nous l'Occident distingué, même par les Occidentaux, comme particulièrement bestiale, rude, exploiteur, et la civilisation du mal dans une mer historique de relativement éclairés, retenue et bénignes voisins. Mais bien sûr, cela n'a aucun fondement dans l'histoire. Considérez les Ottomans, qui ont construit un empire puissant et expansif à travers des politiques et des programmes avec plus de brutalité et de dureté que l'Occident n'a jamais montré. Dans les Balkans, ils ont arraché les jeunes garçons des bras de leurs parents afin de les endoctriner dans l'Islam et de les employer comme des guerriers d'élite chargés de maintenir leur propre peuple. Ils ont discriminé contre les non-musulmans avec des taxes lourdes - ou la mort pour ceux qui ont refusé de payer. Ils utilisaient tous les outils de la domination pour conquérir de vastes territoires, y compris l'Europe (contrecarrés à deux reprises devant les portes de Vienne, lorsque l'Europe se considérait comme une civilisation digne d'être sauvée).

    Et pourtant, personne ne suggère que les Turcs modernes sont responsables de crimes ou d'abus de l'époque ottomane ou que la Turquie est une nation illégitime qui mérite d'être envahie par des étrangers. Il n'y a certainement aucun mouvement parmi les Turcs eux-mêmes pour favoriser de tels sentiments ou sentiments de culpabilité ou d'expiation. Personne ne suggère non plus que la Chine d'aujourd'hui, ou les Chinois, devraient honte aux quelque 40 millions de personnes tuées par les actions directes et les politiques brutales des dirigeants chinois après la prise du pouvoir par les communistes de Mao Zedong. En effet, les Chinois se considèrent aujourd'hui comme des victimes des forces extérieures du passé et ne pensent guère à la victimisation profonde perpétrée par leurs anciens dirigeants. Les Aztèques du Mexique ont tué des gens et mangé leur chair dans des rituels de sacrifice religieux, mais personne ne croit que les Mexicains modernes perdent leur légitimité en tant que peuple à cause de cela.

    Mais en Occident, l'auto-élévation par l'auto-abnégation culturelle se poursuit. Cela se fait au prix d'un déclin de la conscience de soi occidentale. « L'Europe », écrit Murray, « perdu la foi dans ses croyances, ses traditions et sa légitimité. » Abandonnant leur religion chrétienne avec conviction étudié, écrit Murray, les Européens l'ont remplacé par l'idée de progrès, un concept séculaire qui exige, comme intellectuel britannique John Gray a noté, chaque peu autant de foi que toute autre religion. Murray, avec Gray, rejette l'idée que l'humanité est sur une trajectoire d'amélioration constante comme illustré par le libéralisme occidental. Mais ce concept puissant milite contre le sentiment d'autoconservation culturelle de nombreux Européens (et Américains).

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  4. Les Européens en général n'ont peut-être pas vraiment réfléchi à la validité ou à la fausseté de l'idée de progrès. Mais ils se préoccupent de plus en plus depuis des décennies de cette transformation de leur pays, de l'Europe qui devient la patrie du monde alors que toutes les autres civilisations et pays restent la patrie de leurs propres peuples. Murray cite de multiples enquêtes, débutant au début de l'après-guerre, montrant un sentiment allant de 60 à 80 % contre les tendances de l'immigration. Et pourtant, les lignes de tendance se sont révélées inaltérables.

    Comment est-ce arrivé ? Murray dresse un portrait des élites européennes, globaliste et méprisant du nationalisme et du patrimoine occidental, écartant les sentiments populaires dans leur volonté de transformer l'Europe. En 2006, le premier ministre suédois a recueilli l'opinion de nombreuses élites européennes lorsqu'il a déclaré: «Seule la barbarie est authentiquement suédoise. Tout développement ultérieur a été apporté de l'extérieur. "

    Mais les dirigeants européens, répondant au sentiment populaire, ont commencé à parler sévèrement de l'immigration autour de 2000 - tout en ne faisant rien pour endiguer la marée. Murray appelle cela un «tour électoral» pour apaiser les électeurs de plus en plus agités. À peu près au même moment, les élites du gouvernement, des groupes de réflexion et des médias ont lancé une campagne de diffamation à l'encontre de quiconque oserait se poser des questions sur l'avenir de tout cela. Des épithètes de "raciste" et d '"islamophobe" ont été ballottées. Des emplois ont été perdus et abandonnés dans le domaine des idées, lorsque les rebelles ont montré la témérité de remettre en question le récit conventionnel.

    Murray décrit une conférence d'universitaires en Allemagne pour discuter des relations de l'Europe avec le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord: «Il est vite devenu évident que rien ne pouvait être appris parce que rien ne pouvait être dit», ajoute-t-il. De tels mots incluaient «nation», «histoire» et «la mère de toutes les faussetés», «la culture», que la plupart des participants croyaient «avoir trop de connotations et de désaccords différents autour de son utilisation pour pouvoir être utilisés».

    Murray résume ainsi: "On blâme les Européens pour ce qui leur arrive, on leur refuse tout moyen légitime de protester, et les opinions de la majorité sont faites pour apparaître non seulement dangereuses mais marginales".

    Où va tout cela ? Ça ne peut pas bien se terminer. Comme le dit Murray, «jour après jour, le continent européen non seulement change mais perd toute possibilité d'un atterrissage en douceur en réponse à un tel changement». Peut-être que le sentiment majoritaire sera simplement perdant pour les élites mondialistes, avec leur foi dans triomphe ultime de l'éthos libéral et de leur haine des frontières nationales. Mais peut-être pas. Un contrecoup puissant pourrait venir. Le sentiment prévaut, écrit Murray, "que l'Europe n'est pas beaucoup plus qu'un attentat terroriste loin des règles du jeu qui change complètement. À quel point les Européens peuvent choisir de nommer presque n'importe qui comme leur arbitre. "

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  5. L'Amérique est à la traîne de l'Europe dans l'ampleur de son problème d'immigration. Mais, avec environ 11 millions d'illégaux dans le pays et la même sensibilité dominante qui domine notre discours, les États-Unis finiront par atteindre un point de crise similaire à moins que les tendances actuelles ne soient modifiées ou inversées. Il convient de noter que le pourcentage d'Américains nés hors du pays a atteint un sommet historique de 14 pour cent - similaire à ce qu'il était dans les années 1920, la dernière fois que le pays a réduit le nombre d'immigrants et les nations viens. C'est peut-être ce qui se prépare ici aujourd'hui avec l'élection de Trump.

    Mais l'Europe reste une leçon d'objet brûlante pour quiconque souhaite la regarder attentivement. M. Murray, après avoir examiné la direction des politiques enracinées, la colère de plus en plus en colère contre ces politiques et l'opprobre entassés contre les dissidents, conclut: «Dire qu'à long terme, ce qui annonce une catastrophe sociale, c'est de sous-estimer questions. "

    https://www.zerohedge.com/news/2018-01-08/how-europe-built-its-own-funeral-pyre-then-leapt

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    1. Remarquez bien que ce ne sont pas les étrangers qui sont rejetés (pays les plus touristiques) mais seulement l'islam, avec ses excisions et sa haine des femmes jusqu'aux meurtres.

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  6. Sydney avant le «changement climatique» - plus de 50°C, 122°F enregistré à l'Observatoire de Windsor, 1939

    January 9th, 2018

    C'était Sydney avant que le «changement climatique» frappe - cinquante degrés:
    Windsor, 1939, enregistre les 50 ° C les plus chaudes jamais enregistrées, observatoire de Tebbuts.
    12 janvier 1939, The Northern Star
    Penrith peut avoir enregistré 47.3°C pendant au moins une seconde cette semaine, mais Windsor est seulement 23 kilomètres au nord-est de Penrith, et le 13 janvier 1939, il a enregistré 122°F ou 50.5°C avec un thermomètre liquide démodé, pas un moderne bruyant électronique.

    Apparemment, le changement climatique rend notre chaleur extrême moins extrême.

    En outre, cela n'a pas été mesuré sur une caisse de bière dans l'arrière-cour, mais sur l'historique Observatoire de Windsor qui a été construit en 1863 par John Tebbutt F.R.A.S qui avait découvert la comète 1861 et publié de nombreux rapports scientifiques dans Astronomical Journals. Ses observations météorologiques sont publiées à Harvard en 1899 (entre autres). Tebbutt est mort en 1916, on ne sait pas quel instrument a été enregistré sur le 122° F en 1939, mais un écran Stevenson a été installé environ 40 ans plus tôt, et la mesure a été faite par M. Keith Tebbutt, vraisemblablement son fils.

    Le portrait de Tebbutt a honoré notre billet de 100 dollars de 1984 à 1996.
    - voir photo sur site -
    Voir, Beaucoup s'effondrer dans la chaleur: jeudi 12 janvier 1939, The Northern Star

    Toute la partie de Greater Metropolitan Sydney
    En 1939, je doute que cette ville soit considérée comme faisant partie de Sydney. Mais maintenant, les deux sont sur le réseau de métro. Penrith est à 54 km du CBD, Windsor, 56 km. Notamment, Windsor se trouve à quelques arrêts plus près de Richmond, ce que le BOM reconnaît avoir enregistré 47,8C en 1939 le 14 janvier, trois jours après le record de 122F enregistré à Windsor.

    Apparemment, Penrith ce jour-là, 11 janvier, était 110°F, alors que Richmond était 115°F ou 46.1°C. Ni Penrith ni Windsor ne semblent être reconnus dans les enregistrements climatiques de BOM.

    La chaleur extrême d'il y a longtemps - 48.2°C (118°F) à Windsor en 1896:
    Merci à Warwick Hughes, qui a aussi regardé les documents historiques de Windsor:

    The Windsor and Richmond Gazette for Sat 18 Jan 1896 Page 6 Chaleur de Hawkesbury - Lundi 13 janvier 1896 L'observatoire de John Tebbutt a enregistré une température de 118,8 ° F ou 48,2 ° C, également bien au-dessus du 47,3° à Penrith dimanche dernier.

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  7. Ainsi, en 1896, enregistré dans un vieux liquide en verre, les températures étaient très similaires à 2017, enregistrées avec un capteur électronique. Le vieux thermomètre était probablement en train de lire un peu haut dans un Greenwich Screen, mais le nouveau thermomètre lit un peu haut à cause du bruit électronique.

    Il s'ensuit donc que si la BOM s'intéressait à notre histoire climatique, ils pourraient construire des modèles côte à côte et trouver comment comparer ces documents historiques. Ce qu'ils ne font pas - quand le climat est la plus grande menace pour la civilisation humaine - nous dit tout ce que nous devons savoir à quel point la BOM est intéressée par l'histoire du climat en Australie.

    Imaginez-vous si les 40 années de records de Tebbutt à la fin des années 1800 ont montré un climat plus frais ? Les mains en l'air, qui pensent les étudier aurait été un sujet brûlant pour les doctorants australiens ...

    Observatoire de Windsor, 1906, photo.
    Notez l'écran de Stevenson et l'écran de Greenwich côte à côte à l'Observatoire de Windsor en 1906. h / t Daily Telegraph.
    Plus de chaleur extrême - 117.1° F a été enregistrée en 1878
    Hier (dimanche) la température de l'ombre à cet Observatoire a atteint 116,8 degrés, soit la même que celle atteinte au 6ème instant. Aujourd'hui, cependant, le maximum enregistré était 118.8degs, le plus haut expérimenté ici depuis 1862. Le prochain plus haut a été enregistré en 1878 quand le thermomètre a enregistré 117.1 degrés. Au cours des 33 années de mon expérience, je n'ai jamais enregistré jusqu'à aujourd'hui 100 degrés à 9 heures. A cette heure-ci, la lecture était de 102,8 degrés et, à 6 heures du soir, la température ne descendait pas en dessous de 105 degrés.

    D'après ce que j'ai dit, on verra que la chaleur d'aujourd'hui est assez phénoménale.

    - JOHN TEBBUTT. L'Observatoire, Windsor, 13 janvier 1896.

    Old Windsor Observatory - plus scientifique que la BOM moderne ?
    Voici un peu d'histoire curieuse. À l'Observatoire de Windsor, il y avait un Stand de Greenwich de 1862 à 1897 au moins, puis un écran de Stevenson a été ajouté:

    A Windsor, l'ancienne tribune de Greenwich fut employée depuis 1862, tandis qu'au Collège, les thermomètres sont enfermés dans une tribune de Stevenson. J'ai suggéré qu'un banc de Greenwich soit placé à côté du stand de Stevenson et qu'une série de comparaisons soit faite avec les deux modes d'exposition afin d'obtenir une équation.

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  8. Tebbutt fait des comparaisons entre le stand de Greenwich et le Stevenson, et les publie, le mettant en avance sur les 365 millions de dollars par an actuels du Australian Bureau of Meteorology qui n'a pas publié de comparaisons côte à côte des deux principaux types de thermomètre actuellement utilisés:

    Conformément à la suggestion consignée à la page 17 du dernier rapport annuel, j'ai fait construire un écran théma- tique Stevenson exactement semblable à celui employé au Hawkesbury Agricultural College. Il a été placé à côté du vieux stan Greenwich

    Conformément à la suggestion consignée à la page 17 du dernier rapport annuel, j'ai fait construire un écran théma- tique Stevenson exactement semblable à celui employé au Hawkesbury Agricultural College. Il a été placé à côté de la vieille tribune de Greenwich employée dans cet observatoire au cours des trente-huit dernières années, et une série de comparaisons entre les deux est actuellement en cours pour obtenir une équation entre les résultats des deux méthodes d'exposition. J'espère pouvoir donner, dans mon Rapport pour 1901, un tableau qui résume les résultats de ces comparaisons. Les lectures dans le stand de Greenwich sont, comme prévu, considérablement plus élevées que celles de l'écran de Stevenson.

    C'est difficile à dire, mais du mieux que je puisse le voir à partir d'une page de texte non formatée, à des températures très élevées - plus de 100°F, l'écran de Greenwich a enregistré des températures d'environ 2 à 5° F plus élevées. (J'aimerais voir l'original, quelqu'un peut-il aider à le trouver ?)

    Pour ce que ça vaut, l'ancien Observatoire a été rénové et était sur le marché cette année "pour la première fois en 170 ans" pour 5 millions de dollars.

    http://joannenova.com.au/2018/01/sydney-before-climate-change-over-50c-122f-recorded-at-windsor-observatory-1939/

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    1. Le grand froid appelle le grand chaud, mais, si le chaud est momentané, le froid, lui, est beaucoup, beaucoup plus long. Surtout en cycle de refroidissement de la planète.

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  9. La comédie du climat sur CNews

    le 6 janvier 2018
    par Benoît Rittaud

    Impossible de ne pas penser au titre de ce livre d’Olivier Postel-Vinay au sujet de l’émission de Pascal Praud sur CNews hier, que l’on peut revoir ici.

    De mon point de vue, il n’y a pas grand chose à redire à l’organisation de l’émission elle-même. On peut critiquer ici ou là, bien sûr, mais Pascal Praud n’est pas responsable de l’attitude de certains de ses invités, qui tenaient à tout prix à faire du débat une audience du tribunal de l’Inquisition. Pour ma part, j’ai eu le sentiment qu’on m’a invité pour m’entendre, et non pour me faire participer à un dîner de cons. L’émission était loyale de ce point de vue, même si tous les intervenants ne l’étaient pas.

    On peut parler de comédie parce que plusieurs des invités ont endossé des rôles parfaitement archétypaux, se mettant en devoir de répéter les antiennes alarmistes de façon tout à fait mécanique, assumant crânement n’avoir pas la moindre pensée propre. La seule chose qu’ils ont su faire a été de réciter leur texte, et d’exhorter à la pensée moutonnière. On aura compris que je vise ici principalement Laurent Joffrin et Clement Vikotorovitch. Dans cette comédie, le premier incarnait la « Gauche » (ou plus précisément : la « Gauche-Libé »), tandis que le second a tenté de se présenter comme l' »Université ».

    Que Laurent Joffrin soit un adversaire, c’était là chose prévisible. Il est en revanche surprenant de constater à quel point sa réflexion sur le sujet est faible. Quand on a une position comme la sienne, directeur de la rédaction et de la publication de Libération, on devrait quand même être capable de connaître ses dossiers, par exemple en se montrant capable de nommer au moins un ou deux de ces vilains-climatosceptiques-stipendiés-par-le-pétrole. Pris en flagrant-délit d’accusation gratuite sans le plus petit début d’argumentation qui aurait justifié une discussion (un nom, un fait, une investigation…), on aurait alors pu espérer qu’il joue profil bas sur la question par la suite. Même pas. Laurent Joffrin a illustré à la perfection la pensée journalistique circulaire en m’invitant à lire… Stéphane Foucart, ci-devant climatologue distingué journaliste au Monde. Je ne m’étendrai pas sur ses autres interventions, notamment son analogie pathétique pitoyable avec les partisans de la terre plate : une certaine presse n’est décidément pas au niveau sur le sujet du climat, l’attitude de l’un de ses principaux représentants en a hier constitué une triste démonstration.

    Laurent Joffrin a reçu en Clément Vikotorovitch son principal allié, lequel a commencé par se poser en « universitaire » pour ensuite faire avec empressement l’éloge de la pensée unique d’une façon qui laisse rêveur. Lorsqu’il m’a carrément reproché de vouloir vendre des livres, j’avoue que j’en ai eu froid dans le dos. On n’en est pas encore au retour des autodafés, en tout cas preuve est faite qu’il ne suffit pas d’avoir des titres universitaires (quels qu’ils soient – je ne suis pas allé voir) pour être à l’abri des dérives intellectuelles.

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  10. Un mot sur l' »appel de 15000 scientifiques » qui m’a été servi à pas moins de trois reprises durant le débat. Je n’avais pas remarqué à quel point cette initiative médiatique sans intérêt a marqué les esprits chez ces journalistes, qui n’ont semble-t-il pas fait le plus petit travail d’investigation sur son contenu – d’un malthusianisme assez limite – et ses signataires (voir ici et là pour quelques réflexions sur le sujet). On peut être certain qu’une initiative comparable chez les climato-réalistes serait scrutée sous tous les angles (qui paye ? qui organise ? qui signe ? qui relaie ?) et sans la moindre pitié. Là, parce qu’on a affaire au Camp du Bien, la complaisance est de mise. Ma boule de cristal me dit que dans quelques mois cet énième « appel » sera complètement oublié, remplacé par une autre initiative médiatique du même genre. En attendant, il va sans nul doute falloir continuer à se le voir infliger comme « argument » pendant encore quelque temps.

    Dans cette comédie, Michel Chevalet a incarné l' »honnête homme », au sens noble qu’on donnait à l’expression au XVIIe siècle (Wikipédia). S’il y en a un qui a survolé le débat, c’est bien lui. Il est le seul à avoir parlé de science, sans hésiter à entrer dans des détails techniques. Un amateur passionné mais non passionnel, incontestablement celui qui est le mieux parvenu à tirer le débat vers le haut. Le journalisme scientifique n’est donc pas mort, ni l’esprit critique.

    La personnalité la plus intéressante du débat m’a semblé être Élisabeth Lévy, dans le rôle du « bon sens » qu’elle s’est donnée. Elle a illustré à merveille ces propos que j’ai tenus il y a quelques jours à peine dans une interview à l’Agefi-Luxembourg :

    Pour ce que je constate régulièrement, le grand public n’a jamais vraiment adhéré à cette histoire. Certes, en surface, le discours des uns et des autres est bien formaté. Toutefois, il n’y a jamais besoin de gratter beaucoup pour que les gens conviennent que les choses ne sont pas aussi simples. Je crois que dans sa très grande majorité le grand public n’est pas dupe des caricatures. Sans être nécessairement d’emblée climato-réalistes, les citoyens savent la valeur de la discussion libre, se méfient de la pensée unique, et ne manquent pas dans cette affaire de ce sens critique qui fait défaut dans les hautes sphères.

    C’est très exactement ce qui s’est passé au fil des interventions d’Élisabeth Lévy : après quelques propos initiaux d’un carbocentrisme convenu, qu’elle aurait peut-être poursuivi si l’alter-pensant que je suis n’avait pas été sur le plateau, elle s’est métamorphosée en quelques minutes pour finalement devenir mon alliée la plus décidée. Indirectement, elle donne raison aux carbocentristes qui refusent le débat avec les climato-réalistes : nous ne convainquons pas forcément, mais nous réautorisons les gens à penser librement, là où les Joffrin ne rêvent que d’une hégémonie de la pensée conforme.

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  11. En-dehors de Michel Chevalet, j’ai été frappé de la méconnaissance abyssale des journalistes sur la question climatique, qui ne va guère au-delà de « moi, dans ma résidence secondaire de Savoie, j’ai constaté le recul d’un glacier ». À chaque fois que je participe à un débat de ce genre je redoute d’être pris en défaut sur tel élément scientifique ou telle investigation qui m’aurait échappée, et à chaque fois je suis surpris de ne faire pour ainsi dire jamais face à des contradicteurs au niveau. Leur entre-soi est tellement total que c’est la première fois qu’il est envisageable que l’un de mes contradicteurs se soit renseigné sur les climato-réalistes avant l’émission (ses attaques m’ont semblé préparées). Aucun d’eux, en revanche, ne s’est montré capable d’imaginer qu’il faudrait davantage qu’un « appel de scientifiques » pour me river mon clou. Sous-estimation de l’adversaire : erreur de débutant. Avertissement cordial à mes contradicteurs, donc : je vous suggère de bosser un peu plus vos dossiers la prochaine fois. Il ne s’agit pas ici de prétendre toujours « gagner » les débats auxquels je participe, bien sûr, mais plutôt de dire qu’en face, ils sont décidément loin de mesurer trois mètres de haut. Ils ont la puissance médiatique, politique et économique, mais n’en sont pas moins un géant aux pieds d’argile, qui n’en impose qu’en l’absence d’opposant. Le temps joue contre eux, même s’il faut nous armer de patience cas il est ici question de temps long, et même très long. Il ne tient toutefois qu’à nous climato-réalistes de retrousser nos manches pour accélérer un peu l’histoire.

    https://mythesmanciesetmathematiques.wordpress.com/2018/01/06/la-comedie-du-climat-sur-cnews/

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  12. Ni durable, ni renouvelable

    Le non durable est éphémère, mais il peut quand même durer, comme l’agriculture, la plus ancienne industrie humaine. La nécessité qu’elle soit encore plus productive ne la détruira pas, bien au contraire, elle se réinventera.

    Par Michel de Rougemont.
    9 JANVIER 2018

    Durable (sustainable, nachhaltig, sostenible) et renouvelable : voilà deux commandements pour l’économie dite responsable du vingt et unième siècle. Du moins le courant dominant des concepts-valises l’exige. Pourtant si ces adjectifs semblent maintenant aller de soi, il est improbable que ceux qui les prônent soient à même de les expliquer. Car s’ils s’y essayaient, ce qu’ils ne font pas, ils se rendraient compte qu’ils sont utilisés à l’inverse du bon sens.

    Voici de quoi aiguiser un esprit libre, ouvert et critique. Mais, lectrice.eur, si pour toi tout semble si clair que tu es capable de ne jamais prononcer de platitudes politiquement correctes à leur sujet, si tu crois que ma critique s’oppose scandaleusement à tes intérêts, si tu veux croire qu’elle n’est qu’esprit de contradiction, alors tu peux renoncer à lire la suite.

    NOTRE ENVIRONNEMENT N’EST PAS DURABLE

    Notre système solaire n’est pas durable. Si chaque année ne durait qu’une seconde il aurait environ 144 ans et son espérance de vie résiduelle serait d’autant. Nous sommes donc en pleine mid-life crisis. Et si l’on condensait plus cet espace de temps ça aurait un air encore plus court, et j’inventerais les logarithmes.

    Notre ère interglaciaire, l’holocène, dure depuis maintenant 12 000 ans. Comparant avec de telles périodes au cours du pléistocène (remontant à 2,6 millions d’années), elle devrait encore continuer un peu, mais personne ne sait le prévoir. La dernière, l’Éémien, a duré environ 15 000 ans il y a 125 000 ans, son pic de température a été d’environ 2 °C plus élevé qu’aujourd’hui et le niveau des mers plus haut de 6 à 8 mètres. L’espèce humaine l’habitait déjà. Ces ères se répètent tous les 100 à 130 000 ans.

    Durable, notre vie ne l’est pas non plus. Nous ne sommes pas nés pour faire des bilans comptables de carbone ou de gros sous, mais pour mener notre vie, bonne on l’espère au milieu de contingences incontrôlables. Pour cela il nous faut l’aimer et user le peu de raison et de libre arbitre que nous accordent les bureaucrates et les neuropsychiatres. Et pour la juger bonne, ce n’est pas sa longueur ni les indicateurs de développement durable qui compteront. Nos ancêtres aussi n’ont vécu qu’une fois, ce sera aussi le cas de nos descendants.

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  13. L’INNOVATION NE SE DÉCRÈTE PAS

    Les ressources minières et fossiles que nous exploitons abondamment ne sont bien sûr pas durables non plus, mais suffisantes pour nous laisser, y compris à beaucoup de générations futures, le temps d’inventer d’autres choses plus malines dont nous n’avons pas la moindre idée puisque pas encore inventées.

    L’innovation ne se décrète pas et ne se fait pas sur commande, elle a eu des moments intenses, à la Renaissance et au Siècle des lumières, et c’est vraisemblablement le cas aujourd’hui, mais elle a eu de longues phases de stagnation.

    Il y a quelque chose d’absurde dans cette obsession planificatrice de décréter comme urgents et nécessaires des changements douteux et imprévisibles ; cela procède d’une pathologie de l’exercice d’un pouvoir sans repères solides et aspirant à des illusions.

    Le non durable est éphémère, mais il peut quand même durer un peu, voire beaucoup comme l’agriculture, la plus ancienne industrie humaine. La nécessité qu’elle soit encore plus productive ne la détruira pas, bien au contraire, elle se réinventera.

    PATERNALISME DURABLE ADRESSÉ À L’AFRIQUE

    Ce qui est scandaleux, c’est qu’au nom de la durabilité, les bien-pensants du développement conseillent aux pauvres Africains d’en rester à l’agriculture vivrière, de low input et limitée à l’autoconsommation, alors que ce continent pourrait prendre une place prépondérante dans l’alimentation du monde entier, ce que les Chinois ont déjà bien compris.

    Ma tasse de café est éphémère, son contenu disparaît dans mon corps puis se dilue dans l’environnement, son contenant deviendra un déchet si elle se casse ou quand je le déciderai. Sera-t-il recyclé comme nouvelle matière première d’un autre objet peu ou très durable ?

    Cela dépendra de notre inventivité, et aussi de notre sens économique car toute innovation ne mérite pas d’être mise en œuvre si elle consomme plus de ressources qu’elle en produit, ou qu’elle les consomme mal en comparaison avec des alternatives plus efficientes. Notre économie a toujours été circulaire, sans avoir besoin d’un nouveau mot pour se faire reluire.

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  14. LE RENOUVELABLE N’EST PAS DURABLE

    Si rien n’est donc vraiment durable tout devrait au moins être renouvelable, non ? NON ! Car le renouvelable n’est pas non plus durable. Imaginons un durable renouvelable : s’il l’était, alors son renouveau signifierait qu’il aurait préalablement disparu, qu’il n’aurait pas duré. Mais imaginons alors un renouvelable durable : il n’aurait donc plus besoin d’être renouvelé. Tout reste-t-il encore clair et simple ?

    Si le durable existait vraiment, l’Homme éternel (mais pas la femme car les septante houris promises à chacun ne peuvent être recyclées), une fois créé définitivement par ADN de synthèse, n’aurait plus besoin de se renouveler ; quel manque de vision, quel immobilisme programmé, quel ennui ! L’éternité à ce prix ? non merci ! Homo deus est un oxymore.

    Débusquons maintenant l’ultime esbroufe du post-moderne technologique : les énergies d’origine solaire –photovoltaïques, thermiques, éoliennes, hydrauliques– ne sont pas renouvelables ! N’est-ce pas étonnant ?

    De fait, elles sont cueillies, directement ou indirectement, de l’irradiation dans laquelle le soleil nous baigne. Ce que nous ne captons pas, soit plus de 99,99% de l’énergie atteignant la planète, se perd dans l’espace intersidéral.

    L’ILLUSION DES ÉNERGIES DURABLES ET RENOUVELABLES

    Et ce que nous avons récolté s’y échappe aussi, mais après avoir été transformé en énergie mécanique pour moudre, pomper et faire fonctionner d’autres mécanismes dans les temps précédent la machine à vapeur, ou, dans le monde moderne, en électricité pour faire fonctionner des usines ou propulser des trains, se chauffer, ou faire culbuter des téraoctets d’information.

    Par ailleurs, la transformation d’une forme d’énergie en une autre est toujours accompagnée de pertes, ce qui requière une cueillette encore plus intense. Une foi consommée et dissipée dans l’univers, il faut en cueillir à nouveau, donc travailler plus pour gagner plus comme disait un président français qui faisait de la thermodynamique sans le savoir.

    La biomasse a plus de chance de pouvoir se dire renouvelable, grâce au cycle du carbone. Elle aussi est un fruit de l’énergie solaire mais pas seulement, il lui faut de l’eau, du gaz carbonique et des nutriments (N, P, K, et d’autres éléments) pour que la photosynthèse puisse fonctionner.

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  15. LE RENOUVELABLE QU’ON PEUT SOIGNER

    La montée observée de la concentration de gaz carbonique dans l’air est d’ailleurs accompagnée par une augmentation significative de la biomasse terrestre. Les forêts se maintiennent en vie, croissant et se décomposant à des rythmes égaux ; mais une fois coupées elles mettent au moins trente ans pour repousser, et ce sous une forme qui n’a rien à voir avec l’original.

    Les bio-fuels et le biogaz peuvent être des sous-produits de l’agriculture ou être cultivés dans ce seul but. Une surface doit y être réservée, à prendre sur celles servant aux aliments et aux fibres végétales ou sur la nature sauvage, et faire l’objet de soins divers.

    Ce renouvelable-là doit être soutenu par une somme d’intrants indispensables, semences, engrais, carburants pour les pompes et tracteurs, produits de traitements, et il est associé à des altérations du paysage, de la faune et du reste de la flore qui changent l’environnement pour un certain temps.

    L’ÉNERGIE NUCLÉAIRE

    Ce qui n’est pas non plus renouvelable du tout, ce sont les usines servant à transformer une forme d’énergie en une autre. Après vingt à trente ans pour un panneau solaire ou une éolienne il faut à nouveau puiser dans les réserves, énergie et matières premières, pour en construire d’autres.

    Pour le nucléaire, c’est maintenant cinquante ans ou plus, mais lui, il fonctionne aussi lorsqu’Éole ne souffle pas ni le soleil ne luit. Pour les barrages hydroélectriques, la non renouvelabilité se manifeste encore plus tard, s’ils ne s’effondrent pas avant, mais ils occupent le paysage tout aussi longtemps.

    Quant aux capitaux, les richesses financières nécessaires pour réaliser ces ouvrages, chaque jour il faut les créer et les recréer, presque ex nihilo, car c’est bien dans une vallée de larmes que nous évoluons. La valeur ajoutée résulte d’un effort, elle n’est pas une rente renouvelée périodiquement comme par magie. Le travail n’est qu’humain, à remettre sans cesse sur le métier. Une fois réalisé il n’est plus qu’histoire, comme l’eau qui aura coulé sous les ponts.

    Pas du tout durable, très peu renouvelable, voilà l’état très relatif de nos conditions de vie sur cette Terre. Cela ne nous empêche pas d’y avoir goût, surtout si nous évitons de nous laisser emmernuyer par ces injonctions absurdes et moralisantes.

    https://www.contrepoints.org/2018/01/09/306831-ni-durable-ni-renouvelable

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  16. Médecine minute

    Mardi 09 janvier 2018
    Laura Drompt

    La nouvelle ne passe pas inaperçue dans les cabinets médicaux: depuis une semaine, le système Tarmed limite à vingt minutes le temps d’écoute au cours d’une consultation. Des exceptions sont prévues pour les patients âgés de moins de 6 ans et de plus de 75 ans, ou avec l’aval de l’assurance-maladie. Au nom des économies dans les coûts de la santé, on en arrive à limiter les médecins dans leur écoute et à leur imposer un travail administratif supplémentaire. Fardeau inutile: une étude de la Fédération des médecins suisses vient de paraître et elle nous apprend que les soignants passent de plus en plus de temps sur les dossiers plutôt qu’avec leurs patients.

    Certains praticiens1 voient dans cette nouvelle règle Tarmed un risque réel pour la qualité des soins et dénoncent une standardisation dans laquelle les patients seront les plus grands perdants. Même si bien des maladies bénignes ne nécessitent pas plus de vingt minutes de consultation, fallait-il pour autant une règle aussi restrictive ? Pourquoi l’assurance aurait-elle le dernier mot sur l’utilité de quelques minutes en plus ?

    Il s’agit d’un mauvais calcul. Car ce temps d’écoute est une base fondamentale en médecine. Il permet d’évaluer les situations complexes, de considérer les patients (et leur santé) dans leur ensemble et de prendre le temps de les soigner avec humanité, respect et bienveillance. Valorisant ainsi des actes peu visibles et pourtant essentiels, car des diagnostics sûrs et une prévention efficace sont aussi des moyens pour limiter les coûts de la santé.

    1 Voir le blog de Jean Gabriel Jeannot publié ci-dessous -

    https://www.lecourrier.ch/155645/medecine_minute

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  17. Adaptation du tarif médical Tarmed – Serez-vous moins bien soignés ?

    23 août 2017
    Dr Jean Gabriel Jeannot

    Sur décision du Conseil fédéral, le tarif médical utilisé pour les prestations médicales ambulatoires sera modifié au 1er janvier 2018. Selon l’Office de la santé publique, « ces adaptations devraient permettre de réaliser des économies annuelles de l’ordre de 470 millions de francs ».

    A priori, au vu de la progression sans fin de nos primes de caisses-maladie, je trouve rassurant que ce tarif médical, utilisé pour toute la médecine ambulatoire, soit révisé. Mais, au-delà de l’aspect financier, la question qui m’intéresse est celle de l’impact de cette décision sur la qualité des soins. Formulé autrement, mes patients seront-ils plus mal soignés depuis le 1er janvier 2018 ? La réponse est oui.

    J’essaye d’exercer une médecine humaine, moderne et efficiente, la décision du Conseil fédéral limitera mes possibilités.

    Les adaptations à venir

    La fiche d’information « Adaptation du tarif médical TARMED » de l’Office fédéral de la santé publique nous renseigne sur les modifications qui entreront en vigueur le 1er janvier 2018. Certaines adaptations me paraissent justifiées, je ne présente que celles qui auront un impact négatif sur mon travail, sur mes patients :

    « La consultation de base est limitée à 20 minutes pour tous les médecins. Cette limite est élevée à 30 minutes pour les enfants et les personnes âgées. Pour d’autres patients présentant des besoins en soins plus élevés, la limitation peut aussi être fixée à 30 minutes d’entente avec l’assureur ».

    Vous m’imaginez contacter l’assureur de mes patients chaque fois que la situation médicale est complexe ? Mais j’ai trouvé la solution, demander à mes patients de n’avoir qu’un seul problème de santé à la fois : « s’il vous plait, évitez de cumuler diabète, hypertension et maladie cardiaque… ».

    Et c’est quoi cette idée de demander l’autorisation de prolonger à l’assureur ? Oui, l’assureur, celui qui justement veut payer le moins possible, et qui en plus, ne connait rien à votre situation médicale.

    Cette modification est aussi intéressante pour les patients qui auraient la mauvaise idée de souffrir de problèmes psychologiques. Je demanderai à mes patients de n’avoir que de petites déprimes, vingt minutes top chrono, pas de réelles dépressions qui nécessiteraient plus de temps et d’écoute.

    Le deuxième point porte sur « l’accroissement de la transparence pour les prestations en l’absence du patient »

    « Les limitations fixées à ce jour pour ces positions tarifaires seront réduites de moitié, de 60 à 30 minutes par trimestre, pour contrer la forte augmentation du nombre de prestations facturées sur cette position ces dernières années ». On peut aussi lire : « Cette modification dissuadera les prestataires de recourir inconsidérément à cette position tarifaire ».

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  18. Deux phrases, deux idioties :

    D’abord « pour contrer la forte augmentation du nombre de prestations facturées sur cette position ces dernières années ». Les grands décideurs, vous vous êtes demandé pourquoi le temps en l’absence du patient augmente ? Et si cela était dû à une médecine toujours plus rapide, toujours plus complexe, avec un nombre d’intervenants toujours plus nombreux ? Même si la médecine à l’hôpital et la médecine en cabinet sont différentes, on doit tout de même se poser des questions lorsque l’on apprend que les médecins assistants, au CHUV par exemple, ne passent que 1,7 heure par jour avec leur malade. Trop de travail administratif certainement mais ces chiffres montrent aussi qu’une partie des soins se fait loin du patient : téléphone à la famille, appeler les spécialistes, rédiger une ordonnance, lire un rapport, etc.

    « Cette modification dissuadera les prestataires de recourir inconsidérément à cette position tarifaire ». Il y a peut-être des médecins qui profitent de cette position, mais quel climat de confiance… M. Alain Berset, je vous invite à venir passer une journée dans mon cabinet, pour voir comment j’utilise « la prestation en l’absence du patient ».

    Pourquoi mes patients seront moins bien soignés

    J’écrivais plus haut dans ce texte, avec prétention, que j’essayais d’exercer une médecine « humaine, moderne et efficiente ».

    Humaine, cela signifie que j’aimerais pouvoir consacrer à mes patients le temps nécessaire à les soigner avec humanité et respect. Cela concerne par exemple les patients qui souffrent de maladies chroniques, de maladies graves ou ceux qui souffrent psychiquement. Ecouter, conseiller un patient, cela nécessite du temps. Je souhaite aussi que mes patients comprennent ce dont ils souffrent, connaissent les médicaments qu’ils reçoivent. Cela prend du temps.

    Moderne, c’est de limiter le nombre de consultations, le nombre de fois où le patient doit venir à mon cabinet. Par contre, lorsqu’il vient, j’essaye de régler tous ses problèmes. En dehors des patients qui ne consultent que pour un seul problème (infection virale, entorse, etc.), mes consultations dépassent souvent 20 minutes. Lorsqu’une consultation en chair et en os n’est pas nécessaire, je communique par téléphone ou par courrier électronique. J’ai donc peu de consultations courtes, soit des longues, soit mail ou téléphone.

    Efficiente. Si un spécialiste m’envoie un rapport pour un de mes patients, je prends le temps de le lire en détail et d’inscrire ses propositions dans mon dossier médical informatisé : temps en absence du patient. Pour mes patients suivis par un infirmier ou une infirmière à domicile, j’ai régulièrement des contacts par mail : temps en absence du patient. Analyser le dossier d’un patient pour être sûr que j’ai vraiment fait tout ce que je pouvais pour sa santé : temps en absence du patient. Pour renouveler une ordonnance ? S’il faut vérifier dans le dossier du patient les médicaments et leurs dosages : temps en absence du patient. Il y a mille exemples dans le quotidien d’un médecin. Rien ne justifie que cela ne soit pas rémunéré.

    Si l’on veut éviter que les professionnels de la santé ne s’épuisent, il faut que leur travail garde du sens. Au moment où l’on décide de faire des économies, il me parait indispensable d’y penser.

    https://blogs.letemps.ch/dr-jean-gabriel-jeannot/2017/08/23/adaptation-du-tarif-medical-tarmed-serez-vous-moins-bien-soignes/

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    1. Comme pour l'escroquerie de 'La taxe carbone' où des entreprises revendent leur non-limites à d'autres qui les dépassent, le temps est compté dans la nuitée d'hôtels comme à celle de la minute chez les putes.

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  19. 160 politiciens de tous les grands partis contre "No Billag"

    Huit parlementaires opposés à l'initiative "No Billag" ont présenté leurs arguments mardi à Berne.

    09.01.2018

    L'initiative "No Billag" est une attaque contre la diversité des médias et la démocratie directe, estiment 160 parlementaires de tous les grands partis, de la droite à la gauche. Les politiciens opposés au texte soumis au vote le 4 mars ont lancé leur offensive mardi.

    Dans une démocratie saine, le fonctionnement de la Confédération, des cantons et des communes est tributaire de citoyens bien informés, estiment ces 160 politiciens issus des rangs du PDC, de l'UDC, du PLR, du PS, du PBD, du PVL, des Verts ou du PEV. L'initiative est trop "extrême", selon eux.

    Plus encore, ce texte est anti-Suisse, a déclaré le conseiller aux Etats Filippo Lombardi (PDC/TI) devant la presse. Elle attaque la cohésion nationale. Les régions minoritaires comme la Suisse romande, italienne et romanche perdront leurs émetteurs et ne pourront plus défendre leur culture et leur langue.

    L'ouverture du paysage médiatique aux investisseurs privés suisses et étrangers leur donnera le pouvoir d'imposer leurs intérêts particuliers. Le pouvoir sur la radio et la télévision est particulièrement intéressant pour les milliardaires qui ont des ambitions politiques, a poursuivi la conseillère nationale Edith Graf (PS/TG).

    Solidarité
    Une couverture médiatique adéquate et la représentation de la diversité des opinions ne seront plus garanties. L'initiative veut notamment supprimer de la Constitution le rôle de la télévision et de la radio pour ce qui est de la liberté d'opinion ou du développement de la culture ou la formation, a relevé la conseillère nationale Christa Markwalder (PLR/BE).

    Les auteurs de l'initiative défendent l'idée que l'on paiera ce que l'on consomme, a relevé Adèle Thorens Goumaz (Les Verts/VD). Cet argument en faveur d'un plan B est "naïf et fallacieux". La mutualisation des coûts permet au contraire l'accès de tous à des prestations audiovisuelles à un prix correct, selon elle.

    Les offres de "Pay TV" existent déjà à l'étranger et montrent par exemple en matière de retransmissions sportives qu'elles reviennent plus cher que ce que coûte la redevance, a ajouté Mme Thorens Goumaz.

    Tout ce qui a été mis en place pour la collectivité en Suisse sera détruit au profit de l'individualité, a ajouté le conseiller aux Etats UDC Roland Eberle. Pour le Thurgovien, l'initiative prône la fin de la solidarité nationale et met en péril la démocratie directe.

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  20. Reste que le débat sur le service public est nécessaire, ont relevé Christa Markwalder et Filippo Lombardi. Mais le texte soumis au vote est une mauvaise réponse. La SSR fâche de nombreuses personnes, il ne faut toutefois pas oublier que la redevance profite aussi à 21 radios régionales et 13 télévisions locales. "Un mal de tête se soigne avec de l'aspirine, pas par la guillotine", a lancé le conseiller aux Etats tessinois

    https://www.laliberte.ch/news-agence/detail/160-politiciens-de-tous-les-grands-partis-contre-no-billag/422838

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    1. Il est certain que si les Suisses n'ont plus le droit de s'exprimer face à la concurrence hégémoniste de la dictature des nations encerclant le pays, la Démocratie (première au monde) risque bien d'en être la dernière !
      Car, comme la essayé plus avant la nazional socialiste avec ses éoliennes et panneaux solaires qui ne peuvent pas être rentables et sont laids, chers et bruyants, face à la gratuité de l'énergie fournie par les barrages qui ose narguer le monde, l'humanité doit avoir son mot à dire !

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  21. Zermatt: 13'000 touristes bloqués
    Valais - La station valaisanne est coupée du monde en raison des récentes chutes de neige tombée en abondance.


    Treize mille. Ils sont treize mille touristes à être coincés au pied du Matterhorn depuis lundi soir. Zermatt, dont la réputation n'est plus à faire, est coupée du monde en raison des récentes chutes de neige tombée en abondance. Il y a actuellement «environ 13'000 touristes à Zermatt», situé dans le canton du Valais (sud-ouest), a indiqué une responsable de la station, Janine Imesch.

    «Les arrivées et les départs ne sont pas possibles pour le moment» et il peut y avoir des «coupures d'électricité», explique sur son site la célèbre station.

    La route cantonale pour accéder à la station a été fermée depuis lundi matin, 9 heures. «Et le train est arrêté depuis hier soir 17h30», a précisé Janine Imesch.

    La station dispose au total de 13'400 lits touristiques, dont 7200 dans les hôtels et 6200 dans des appartements. La population de la commune s'élève, elle, à environ 5500 habitants.

    «On ne peut pas skier ou faire de la randonnée mais c'est tranquille, un peu romantique. Ce n'est pas la panique», a commenté Janine Imesch.

    Un vol de reconnaissance est prévu au-dessus de la région afin de décider de la suite. Des coulées de boues, des chutes de pierre et le risque d'avalanche ont provoqué la fermeture de plusieurs routes dans le canton du Valais.

    Danger d'avalanche au maximum

    Pour cette région, le niveau de danger d'avalanche est en degré 5, le plus élevé, selon la police, qui précise qu'à partir de ce soir, la situation devrait évoluer favorablement avec la fin des précipitations. Des glissements de terrain ou de neige demeurent cependant toujours possibles.

    Le canton du Valais n'a pas connu une telle situation depuis neuf ans, a expliqué le chef adjoint de la section des dangers naturels Pascal Stoebener, cité par l'ATS.

    Route barrée peu après Viège
    Dans la région de Viège (VS), il a plu jusqu'à 60 millimètres en 24 heures, des «quantités phénoménales», selon le chef adjoint de la section des dangers naturels Pascal Stoebener. En conséquence, le risque de coulées de boues et d'éboulements est accru et a entraîné la fermeture préventive de plusieurs routes.

    https://www.24heures.ch/suisse/zermatt-13-000-touristes-bloques/story/13567647

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  22. La redevance ou ce que l’on doit à la démocratie

    Par Boris Senff
    08.01.2018, 07h45

    «No Billag» rallume une récente et récurrente polémique fédérale. Depuis peu, le droit d’initiative ne se contente plus d’alimenter le débat général, mais remporte de curieuses victoires populaires, créant souvent plus de problèmes qu’elles n’en résolvent. De soupape démocratique de peu d’efficience, cette particularité politique suisse s’est transformée en instrument de déstabilisation, portant des textes inutiles, encombrants, voire inapplicables. De l’initiative sur les minarets, anecdotique si ce n’est ridicule, à celle sur l’immigration de masse, compliquant la voie bilatérale avec l’Europe sans atteindre ses buts, les difficultés de mise en œuvre, voire les petits arrangements avec les changements constitutionnels, n’ont pas manqué.

    Désormais, «No Billag» est sur les rangs, déchaînant les passions de tous bords. Étrange dans un pays réputé pragmatique comme la Suisse. Car l’initiative contre la redevance semble surtout animée par des motifs idéologiques. Sommairement: l’alliance objective des néolibéraux et des populistes cherche à abattre un supposé nid de gauchistes. Restons concrets. La SSR ne peut se laisser réduire à un tel affrontement. Car une part immense de son activité relève de la culture, des cultures du pays, de ses folklores même, et participe ainsi pleinement à la cohésion nationale, entendue comme un dialogue entre régions linguistiques mais aussi comme une plate-forme pour exister face aux géants qui nous entourent.

    Que le service public doive évoluer, s’adapter à l’époque et mieux définir son aire d’empiétement économique – avec la presse écrite, par exemple ! –, c’est probable. C’est même souhaitable. Mais, dans notre petit pays si riche, ne jetons pas le bébé avec l’eau du bain. Surtout, n’envisageons pas le jeu politique comme une extension des réseaux sociaux où gouvernent l’humeur du moment, le «like» vite oublié et le «troll» très anonyme. La démocratie directe, emblème helvétique, ne saurait devenir un jouet d’irresponsabilité citoyenne. Pour ce qui est de mettre le feu, une série TV (ou la diffusion d’un concert de Johnny) fera l’affaire. (24 heures)

    https://www.24heures.ch/signatures/editorial/redevance-doit-democratie/story/28721683

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  23. À qui profite le crime de «No Billag»?
    L’invité - Alberto Mocchi invite clairement à rejeter l'initiative fédérale de février.

    Alberto Mocchi
    08.01.2018

    Dans moins de deux mois, le peuple suisse sera appelé à se prononcer sur l’initiative dite «No Billag». Le but de ce texte est simple: supprimer toute redevance et interdire le subventionnement par la Confédération de chaînes de télévision ou de radio.

    Si un oui à l’initiative sort des urnes le 4 mars prochain, il en sera donc fini de la RTS et de ses collègues alémaniques de SRF ou italophones de la RSI, mais aussi de très nombreuses chaînes régionales qui profitent également des financements fédéraux. Les raisons de s’opposer à cet appauvrissement massif et soudain – les effets se feront sentir dès le 1er janvier 2019 – du panorama médiatique suisse sont aussi nombreuses que variées.

    On peut évoquer la perte brutale de plusieurs milliers d’emplois, la disparition d’un système de solidarité fédéral qui permet à toutes les régions linguistiques de disposer de programmes de qualité, ou encore le coup dur pour la culture et le sport, qui profitent sous divers aspects des fonds de la redevance.

    Mais il est un argument qui à lui seul devrait nous mobiliser contre ce texte dangereux et destructeur: celui de l’importance de disposer d’une information neutre et objective, basée sur des faits et permettant au débat démocratique de se dérouler paisiblement. De par son mandat de service public, la SSR est aujourd’hui la garante de cette impartialité, de ce respect de toutes les opinions qui sont à la base d’une démocratie vivante.

    À l’époque des fake news et des nouvelles délirantes qui se répandent comme une traînée de poudre sur les réseaux sociaux, il est plus important que jamais de pouvoir disposer d’une source fiable, aux informations vérifiées et vérifiables.

    Si télé et radio publiques ferment boutique, si le trend actuel de disparitions et de regroupements de journaux suit son funeste cours, il y a fort à parier que dans quelques années les sources d’information seront aussi réduites que peu fiables.

    Les quelques médias privés qui auront survécu à ce grand chambardement seront en mains de groupes qui détiendront le monopole de l’information, et pourront l’utiliser à des fins partisanes. Ce n’est d’ailleurs probablement pas un hasard si l’on retrouve derrière «No Billag» le parti d’un certain Christoph Blocher, qui a massivement investi ces dernières années dans le rachat de titres de presse.

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  24. Quoi de mieux pour faire passer ses idées que de saborder le plus grand média du pays, offrant une information neutre et de qualité en toutes les langues nationales ? C’est donc la qualité du débat démocratique et notre indépendance qui sont en jeu le 4 mars prochain. Verser un franc par jour de redevance et glisser un non dans l’urne, c’est au final bien peu cher payer pour préserver notre libre arbitre. (24 heures)

    https://www.24heures.ch/signatures/reflexions/profite-crime-no-billag/story/22114115

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  25. La Suisse est condamnée pour racisme
    Justice - La Cour européenne des droits de l'homme a amendé la Suisse pour avoir donné raison à un politicien UDC.

    09.01.2018, 16h41

    La Suisse a violé le droit à la liberté d'expression de la Fondation contre le racisme et l'antisémitisme (GRA) en lui interdisant de qualifier de «racisme verbal» un discours du président des Jeunes UDC de Thurgovie prononcé en 2009. La Cour européenne des droits de l'homme (CEDH), à Strasbourg, a condamné mardi la Suisse.

    Les faits remontent à novembre 2009 lors d'un débat organisé pendant la campagne précédant le vote sur l'initiative contre les minarets. Le président des Jeunes UDC de Thurgovie de l'époque Benjamin Kasper avait alors déclaré qu'il «était temps de mettre fin à l'extension de l'islam».

    Le jeune politicien avait ajouté que «la culture suisse, dont le fondement est le christianisme, ne devrait pas se laisser supplanter par d'autres cultures». «L'interdiction des minarets est dans ce sens un signe symbolique de notre volonté de préserver notre identité», avait-il encore déclaré.

    Plainte civile

    Sur son site internet, la Fondation contre le racisme et l'antisémitisme avait qualifié ces propos de «racisme verbal». Les Jeunes UDC de Thurgovie ont exigé de la GRA qu'elle retire ce commentaire du site. La GRA a refusé. Benjamin Kasper a alors déposé une plainte civile contre la fondation en août 2010 pour atteinte à la personnalité.

    Le tribunal de district de Frauenfeld a rejeté la plainte en 2011. Le Tribunal cantonal thurgovien s'est ensuite prononcé en faveur de Benjamin Kasper et a interdit à la GRA de maintenir son commentaire sur son site internet. La fondation a alors porté l'affaire devant le Tribunal fédéral.

    En août 2012, le TF a estimé que «celui qui se prononce, sans jugement de valeurs, contre l'extension de l'islam en Suisse n'est pas raciste», donnant ainsi raison à Benjamin Kasper. En qualifiant de «racisme verbal» les propos du politicien thurgovien, la GRA a porté une atteinte civile illicite à son honneur , a conclu le TF. La GRA a alors porté l'affaire devant la CEDH.

    «Pas dénuée de fondement factuel»

    Dans son jugement publié mardi, la CEDH donne raison à la GRA et dit «à l'unanimité» qu'il y a eu violation de la liberté d'expression au sens de l'article 10 de la Convention européenne des droits de l'homme. La Cour estime que dans le contexte du débat sur l'initiative contre les minarets, l'utilisation des mots «racisme verbal» par la GRA «n'était pas dénuée de fondement factuel».

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  26. La Cour a examiné les propos tenus par Benjamin Kasper «au travers du prisme de rapports publiés par divers organismes de défense des droits», dont la Commission européenne contre le racisme et l'intolérance (ECRI) et le Comité des Nations Unies pour l'élimination de la discrimination raciale. Elles ont qualifié l'initiative contre les minarets de «discriminatoire, xénophobe ou raciste».

    Par ailleurs, la GRA «n'a jamais suggéré que les déclarations» du politicien «pouvaient être considérées comme relevant du droit pénal en vertu de la législation nationale sur la discrimination raciale». Les actes de la GRA n'ont en outre «pas constitué une attaque gratuite contre la personne» de Benjamin Kasper «ni une insulte» à son égard.

    La CEDH souligne encore que le président des Jeunes UDC de Thurgovie est un «acteur de la vie politique» s'étant déclaré en faveur de l'interdiction des minarets. C'est la raison pour laquelle il «devait faire preuve d'un degré supérieur de tolérance à l'égard des critiques éventuellement formulées par des personnes ou des organisations professant des opinions opposées aux siennes».

    Vie privée et liberté d'expression

    La sanction imposée à la GRA «aurait aussi pu produire un effet dissuasif sur la liberté d'expression de celle-ci», souligne la CEDH. Les juridictions suisses «n'ont pas dûment pris en considération les principes et critères énoncés dans la jurisprudence de la Cour pour la mise en balance du droit au respect de la vie privée et du droit à la liberté d'expression, outrepassant ainsi leur marge de manoeuvre».

    La Cour condamne la Suisse à verser 5000 euros (5860 francs) à la GRA pour préjudice moral. Les frais et dépens, à charge de la Suisse, se montent à 30'000 euros (35'180 francs). (ats/nxp)

    https://www.24heures.ch/suisse/suisse-condamnee-racisme/story/20113883

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    1. C'est là que l'on se rend compte du danger mortel de la dictature

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  27. Laits contaminés: Leclerc a continué la vente
    France - Les supermarchés français E. Leclerc ont poursuivi la vente des produits Lactalis malgré le rappel en vigueur.
    Le volume des produits concernés par ce rappel se chiffre en milliers de tonnes.

    09.01.2018, 14h12

    Le premier groupe français de grande distribution, E.Leclerc, a reconnu avoir vendu des reliquats de produits Lactalis concernés par le rappel du 21 décembre dans certains de ses magasins.

    Malgré l'application de cette mesure de rappel suite à la découverte d'une contamination aux salmonelles, «il apparaît que 984 produits ont malgré tout été vendus après le rappel dans plusieurs magasins», indique mardi dans un communiqué le distributeur, sans localiser les points de vente concernés.

    Acheteurs identifiés

    E.Leclerc explique avoir constaté le problème après avoir procédé à «un audit interne de vérification de la bonne application des mesures de retrait des produits de l'entreprise Lactalis» à la suite d'un problème identifié dans le magasin E.Leclerc de Seclin, dans le nord de la France.

    Les centres E.Leclerc procèdent à «un audit des procédures afin d'identifier précisément les raisons de ce dysfonctionnement et de mettre en place les mesures correctives nécessaires», ajoute le groupe, qui dit avoir informé «l'administration compétente».

    Le distributeur affirme avoir identifié les consommateurs ayant acheté les produits et «les directions des magasins les contactent actuellement individuellement».

    Rappel massif

    Le 21 décembre, Lactalis a procédé au rappel de l'ensemble de ses laits et autres produits infantiles produits dans son usine de Craon (Mayenne) depuis février 2017 après la découverte d'une contamination aux salmonelles.

    Un premier rappel de certains lots de laits infantiles avait été décrété le 2 décembre, puis le gouvernement avait annoncé un retrait massif de produits issus de l'usine de Craon le 10 décembre.

    La bactérie à l'origine de la contamination à la salmonelle de l'usine Lactalis de Craon (Mayenne) est probablement la même que celle qui a frappé le site en 2005, a indiqué lundi l'Institut Pasteur.

    https://www.24heures.ch/monde/laits-contamines-leclerc-continue-vente/story/30071261

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  28. L'ibuprofène nocif pour la fertilité masculine
    Santé - L'ibuprofène, un anti-inflammatoire en vente libre dans de nombreux pays, provoque des effets secondaires en cas de prise prolongée à doses importantes.
    Algifor est une des appellations de l'ibuprofène.

    09.01.2018, 10h54

    Des prises très régulières d'ibuprofène, un médicament répandu contre la douleur ou la fièvre, pourraient être nocives pour la fertilité masculine. C'est ce qu'indique une étude menée auprès de sportifs et in vitro.

    «Attention à la prise soutenue d'ibuprofène chez l'homme», concluent des chercheurs français de l'Inserm et danois, qui ont examiné 31 sportifs âgés de 18 à 35 ans.

    L'ibuprofène est un anti-inflammatoire non stéroïdien en vente libre dans de nombreux pays, sous de nombreuses appellations dont Advil, Algifor, Antarène, Irfen ou Nurofen.

    Il est prisé de nombreux sportifs, qui cherchent dans cette substance autorisée un effet antidouleur. Mais il peut être nécessaire pour certains patients comme les arthritiques. Près de la moitié (14) des hommes suivis dans l'étude publiée par la revue américaine PNAS ont pris ce médicament quotidiennement, et les autres (17) un placebo.

    «La prise prolongée à des doses importantes d'ibuprofène (1200 mg/jour pendant six semaines) exerce chez les jeunes hommes des effets perturbateurs endocriniens sévères conduisant à un état appelé 'hypogonadisme compensé'», ont affirmé les chercheurs dans un communiqué de l'Inserm.

    L'hypogonadisme compensé est un dérèglement dans le fonctionnement des testicules: un déficit en testostérone est contrebalancé par la suractivité d'autres hormones venues de l'hypophyse située à l'intérieur du crâne.

    Bénéfices sportifs pas prouvés

    «Le but n'est pas d'alarmer la population. Il est de dire que des hommes jeunes, qui prennent beaucoup d'ibuprofène sur de longues périodes, méritent de savoir que cela provoque des déséquilibres hormonaux», a expliqué à l'AFP Bernard Jégou.

    «Les bénéfices, par exemple pour un marathonien qui va en prendre avant et après l'épreuve, ne sont pas prouvés sur la performance ni sur la résistance à la douleur. En revanche, les risques pour sa santé sont avérés», a-t-il ajouté.

    Des manipulations in vitro, sur des testicules de sujets décédés qui étaient âgés en moyenne de 44 ans, ont par ailleurs confirmé l'effet nocif de l'ibuprofène.

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  29. Questions ouvertes

    L'étude laisse quelques questions importantes en suspens. L'effet persiste-t-il si la prise d'ibuprofène s'arrête? Et chez un sujet sain et jeune, l'ibuprofène perturbe-t-il sur le long terme la production de spermatozoïdes?

    Un professeur britannique d'andrologie cité par Science Media Centre, Allan Pacey, a estimé que si l'étude avait des mérites, le lien avec une potentielle baisse de la fertilité restait «actuellement de l'ordre de la spéculation». «J'exhorterais les hommes qui ont besoin de prendre de l'ibuprofène à continuer», a-t-il dit.

    M. Jégou l'a reconnu. Selon lui, «il y a besoin de pousser les études pour savoir si ces effets commencent à des doses moins élevées, ce qui serait ennuyeux, et quelle incidence ils auraient sur la fertilité». (ats/nxp)

    https://www.24heures.ch/savoirs/sciences/ibuprofene-nocif-fertilite-masculine/story/19594320

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  30. Il y a plus d'offres d'emploi que de chômeurs
    Suisse - Il existe désormais en Suisse plus de places vacantes que de personnes en recherche d'emploi. Et la situation devrait encore s'améliorer.
    Les monteurs électriciens font partie des professions les plus recherchées.

    Par Pascal Schmuck
    09.01.2018, 10h48

    Les offres d'emplois sur les portails internet et les sites des entreprises ont atteint à la fin 2017 un nombre rarement vu. Il y avait 178'000 places disponibles, soit 22'000 de plus qu'à la fin 2016, souligne l'entreprise X28 AG, dont l'outil de recherche est capable de recenser les places vacantes parues sur le web.

    «Ce chiffre reflète le développement positif de l'économie et la grande confiance en l'avenir des entreprises», a déclaré au Tages-Anzeiger Cornel Müller, président du conseil d'administration de X28.

    Un nombre d'autant plus remarquable qu'à la fin novembre, la Confédération comptait officiellement 137'000 personnes en recherche d'emploi. Il existe donc en Suisse 41'000 postes de plus que le nombre de chômeurs.

    Ce résultat pourrait même être encore plus élevé puisque les entreprises n'annoncent sur leur site que trois places sur dix à repourvoir, les autres étant attribuées de manière informelle, par des offres spontanées ou des candidatures internes.

    Toujours plus de places vacantes

    «Nos données confirment les conclusions de X28», a déclaré Bernhard Weber, adjoint du directeur de l'analyse du marché du travail et de la politique sociale au Secrétariat d'Etat à l'économie (SECO).

    Le nombre de places vacantes annoncées dans les offices régionaux de placement a bondi ces deux dernières années. Un phénomène particulièrement sensible dans l'industrie, une branche qui a souffert du franc fort mais qui retrouve des couleurs avec l'affaiblissement de la devise helvétique face à l'euro.

    Des professions plus avantagées

    «A l'heure actuelle, tout va extraordinairement bien», s'est félicité Jan-Egbert Sturm, directeur du Centre de recherches conjoncturelles (KOF) de l'EPFZ. «Nous notons en effet une forte hausse des places vacantes. Toujours plus d'entreprises, surtout dans l'export, prévoient d'accroître leurs effectifs.»

    La vague ne devrait pas retomber pour l'économie helvétique durant les prochains trimestres, l'économie mondiale étant florissante. Mais ce sont surtout quelques branches qui en profiteront. Le personnel de santé, les monteurs électriciens ou encore les informaticiens sont en effet très demandés puisqu'ils ne sont pas assez nombreux à être formés.

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  31. Le nombre d'emplois dans l'informatique a grimpé de façon spectaculaire, que ce soit pour des programmeurs, des spécialistes sécurité ou encore des administrateurs IT, signe de la numérisation croissante de l'économie helvétique.

    Numérisation et apprentissage

    Selon Cornel Müller, «la peur de voir la numérisation provoquer une hausse du chômage ne se vérifie pas.» En effet, le nombre d'emplois peu qualifiés comme dans les déménagements ou le nettoyage continue de croître tandis qu'apparaissent de nouvelles professions.

    «La numérisation touche toutes les branches et tous les secteurs d'une entreprise», confirme Bernhard Weber, ajoutant que certains profils professionnels vont disparaître alors que d'autres vont émerger. «Mais cela ne devrait pas se traduire par un recul de l'emploi, comme nous l'a déjà montré le changement de structure dans le passé.»

    Les emplois hors des milieux académiques sont promis à un bel avenir: parmi les 25 professions les plus recherchées, on en retrouve 20 provenant de l'apprentissage, comme les installateurs sanitaires, les charpentiers ou encore les métallurgistes. Une tendance qui se confirme dans les cantons puisque dans 24 d'entre eux, on demande principalement des travailleurs ayant suivi une formation professionnelle. (nxp)

    https://www.24heures.ch/economie/offres-demplois-chomeurs/story/28635788

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  32. Les robots se lancent dans la «pole-dance»
    CES à Las Vegas - Des robots coquins sont exhibés dans un club de strip-tease en marge du salon des innovations technologiques.

    09.01.2018

    Elles ont des seins, se dandinent, tournoient et déchaînent le public d'un club de strip-tease de Las Vegas à la manière des vraies danseuses de «pole-dance». Mais pas de doute, ce sont des robots, tout de plastique et d'acier.

    Difficile de les confondre avec des humains en chair et en os mais ces robots coquins exhibés en marge du salon des innovations technologiques CES de Las Vegas, ville célèbre pour ses clubs de strip-tease, ont fait leur petit effet lundi soir. «Je voulais fabriquer quelque chose de sexy avec des déchets», explique dans la pénombre leur créateur, l'artiste britannique Giles Walker, qui les a construits avec des morceaux de mannequins aux courbes féminines et des pièces automobiles.

    «Le club a 18 ans et nous voulions proposer quelque chose de nouveau et d'unique», assure Peter Feinstein, à la tête du Sapphire Gentleman's Club, gigantesque club de striptease situé à quelques encablures du célèbre Strip de Las Vegas, avenue bordée d'hôtels-casinos aux proportions gigantesques. «D'habitude, il n'y a que des 'nerds' (cliché du jeune homme coincé féru d'informatique, NDLR) mais on voulait quelque chose qui attire les hommes et les femmes», poursuit-il.

    «C'est une bonne idée», commente un client qui souhaite rester anonyme, ajoutant qu'il préfère quand même les vrais danseuses dénudées, qui se produisent aux côtés des robots. «C'est une première étape mais ils n'y sont pas encore», ajoute-t-il.

    «On est meilleures qu'eux»

    Une vraie danseuse, se faisant appeler Rouge, assure ne pas craindre la concurrence. «Je pense qu'il y a beaucoup de gens qui ont des goûts fétichistes bizarres donc j'imagine que quelqu'un doit bien être émoustillé par ça. Mais rien ne peut dépasser la beauté d'une vraie personne, et notre talent, il est dans notre cerveau, dans la façon dont nous parlons, dont nous nous servons de notre corps», ajoute a jeune femme. Elle en est sûre: «on est meilleures qu'eux, pour ce qui est de faire plaisirs aux gens».

    «Les robots peuvent danser toute la nuit, ne sont jamais fatigués. Ils ne mangent pas donc pas de problème de poids mais il y a encore assez d'hommes ici qui veulent des vraies femmes», se rassure quant à elle Layken, une autre (vraie) danseuse dénudée.

    https://www.24heures.ch/high-tech/robots-lancent-poledance/story/31291240

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    1. Hahaha ! Et pourquoi pas des hologrammes de Pamela Anderson ? Le chômage s'invite partout.

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  33. Dévoilé: programme Secret UFO du Pentagone. De la science-fiction au fait scientifique


    Timothy Bancroft-Hinchey
    18 Dec 2017 at 13:47

    Donc, le Pentagone a fait un projet d'OVNI basé sur des preuves. Des ballons de neige, des lumières clignotantes et des objets en vol stationnaire. Le programme a couru cette décennie et a été financé par des millions de dollars.

    L'histoire a éclaté ce week-end aux États-Unis et passe maintenant les pages de la presse internationale à travers le monde. Au centre de la tempête se trouve l'aveu par le Pentagone qu'il a couru vers un programme OVNI entre 2007 et 2012, après quoi il a été fermé en raison de mesures de réduction des coûts. Ou était-ce ? Le New York Times déclare que le programme est en cours et de nouvelles enquêtes ont été menées. En effet, le directeur du programme a été admis à la même source que le projet a été en cours.

    Le programme s'appelait Programme avancé d'identification des menaces aérospatiales et coûtait quelque 22 millions USD du budget annuel de défense de 600 milliards de dollars du Pentagone. Pourquoi le cover-up ?

    Quels ont été les incidents ?

    La documentation mise à disposition aujourd'hui par le Pentagone n'inclut aucun des rapports originaux - certains d'entre eux sont encore des informations classifiées. Les incidents comprenaient des avions se déplaçant à une vitesse anormalement élevée, sans moyens de propulsion visibles, et d'autres planant à un endroit; il y avait le cas des Lumières de Phoenix, dans lesquelles un gigantesque vaisseau triangulaire a été observé; des rencontres entre des avions militaires américains et des objets volants inconnus, l'un d'entre eux étant un objet ovale chassé par deux jets brouillés par le porte-avions américain Nimitz en 2004; Un autre était un avion américain entouré d'une flotte de vaisseaux spatiaux en rotation.

    Cela vient après les milliers d'observations entre 1947 et 1969. Sur les 12 000 observations, 700 étaient inexpliquées.

    Conclusion: Les dénégations constantes par les autorités américaines que les ovnis et les formes de vie extraterrestres sont une enquête active sont détruites; et la notion reste que ce n'est pas possible, mais qu'il n'est pas possible de l'utiliser. Surtout quand la Russie et la Chine sont en avance sur les États-Unis dans ce domaine.

    http://www.pravdareport.com/science/mysteries/18-12-2017/139434-ufo_program-0/

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    1. Le dernier hologrammes d''E.T.' vu par des millions de personnes dans le monde date du 11 Septembre 2001. Dommage que le '3è avion' n'est pas être montré cause à une panne dans les projecteurs, mais la tour n°7 s'est bien écroulée ! Bravo !

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  34. La Banque nationale suisse a réalisé des bénéfices de 55 milliards de dollars l'année dernière, plus que Apple, JPM et Berkshire


    par Tyler Durden
    Mar, 01/09/2018 - 13:00


    Avec un rendement total de plus de 22 %, le S & P 500 a résisté aux conflits internationaux et nationaux, à la disparition des volumes de transactions et à trois hausses de taux d'intérêt de la Réserve fédérale pour afficher sa meilleure performance annuelle depuis 2013. Et tandis que la marée montante Les fonds d'actions long-short ont dégagé un rendement de 10 %, mais sous-performant toujours le S & P - la Banque nationale suisse, essentiellement l'un des plus grands hedge funds soutenus par le gouvernement (après la BCE) avec un goût prononcé pour les actions américaines. ses meilleures années dans la mémoire récente.

    - voir graphique sur site -
    SNB

    Et, comme l'a rapporté la BNS du jour au lendemain, les achats d'actions et d'obligations étrangères par la BNS lui ont rapporté un bénéfice considérable en 2017, ne serait-ce que sur le papier. Comme cela a été dûment signalé ici pendant des années, pour empêcher le franc suisse de se renforcer de façon spectaculaire, la BNS imprime des francs (à partir de rien) et les injecte sur le marché international. Les devises qu'il reçoit en échange de ses francs sont utilisées pour acheter - vous l'avez deviné - des obligations mais surtout des actions.

    - voir graphique sur site -
    SNBFIVE

    Mais si l'on sait depuis longtemps que la BNS et la BOJ achètent directement des actions et des ETF sur le marché libre, la BNS a déclaré qu'elle s'attendait à annoncer un rendement annuel de 54 milliards de francs (55 milliards de dollars). - une somme équivalente à 8 % du PIB de la Suisse. Comme l'observe le WSJ, ce montant est supérieur au bénéfice annuel d'Apple, J.P. Morgan, Berkshire, Wells ou Microsoft.

    - voir graphique sur site -
    SNBFOUR

    En comparaison, la Fed a réalisé un bénéfice annuel d'environ 100 milliards de dollars ces dernières années, bien que le rendement de la BNS soit équivalent à une tranche beaucoup plus importante de son PIB, en raison des différents types d'actifs: la Fed est longue. MBS alors que la BNS achète à peu près tout, y compris des dizaines de milliards d'actions américaines.

    Dans sa dernière publication, la BNS a également déclaré avoir accumulé environ 760 milliards de francs d'obligations et d'actions étrangères au cours d'années d'intervention sur les marchés étrangers, notamment lors de la crise de la dette européenne. affaiblir la monnaie.

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  35. Comme le dit le WSJ, avec juste la bonne quantité de snark, «la Suisse s'est beaucoup enrichie en 2017, grâce à l'émergence de sa banque centrale en tant que gestionnaire de portefeuille avec un portefeuille d'actions et d'obligations étrangères de près de 800 milliards de dollars. Plus:

    La Banque nationale suisse a annoncé mardi qu'elle tablait sur un bénéfice annuel record de 54 milliards de francs suisses (55 milliards de dollars) pour l'année dernière, soit une somme stupéfiante de 8 % du produit intérieur brut du pays ... Le bénéfice est gigantesque. C'est plus qu'Apple gagne en un an, et plus que JPMorgan Chase & Co. et Berkshire Hathaway Inc. combinés. Ce sont toutes des sociétés géantes et mondiales. La BNS emploie environ 800 personnes. Son président, l'un des banquiers centraux les mieux payés, gagne environ un million de dollars par année.

    La BNS est l'une des rares banques centrales à détenir des actions cotées. Son cours a plus que doublé l'année dernière et a augmenté de près de 3% mardi à midi.

    Bien sûr, ce n'est pas un véritable "profit" car les Suisses ne peuvent pas dépenser cette énorme aubaine. Évidemment, la réservation des bénéfices exigerait que la BNS vende une partie de ses obligations et actions étrangères qui comprenaient près de 3 milliards de dollars d'actions Apple et 1,5 milliard de dollars de Facebook à la fin du troisième trimestre.

    Alors, que fait la BNS? Bien que les banques centrales comme la Réserve Fédérale transfèrent la plus grande partie de leurs bénéfices à leurs gouvernements, la BNS est dans les premiers stades d'un accord quinquennal de partage des bénéfices selon lequel le montant maximum qu'elle peut transférer aux autorités fédérales et régionales est juste deux milliards de francs par an.

    Cet accord court jusqu'en 2020. En d'autres termes, la BNS espère que le marché ne s'écrase pas au cours des deux prochaines années, sinon tous les bénéfices accumulés deviendront des pertes instantanées.

    * * *

    Quels stocks la BNS a-t-elle achetés ces derniers mois? Malheureusement, le 13-F de la BNS n'arrivera pas avant un mois, mais au cours du troisième trimestre, la banque centrale a recommencé à acheter, portant à 87,8 milliards de dollars ses avoirs en actions américaines, en hausse de 4,2%. ou 3,5 milliards de dollars, passant de 84,3 milliards de dollars à la fin du deuxième trimestre.

    Contrairement à la Fed, à la BCE et à la BOJ, le bilan de la BNS est essentiellement composé d'actifs étrangers, ce qui l'expose à un risque de change important. Éviter les pertes de papier dues au risque de change n'est qu'une autre incitation pour la banque centrale à continuer à imprimer des francs et à accumuler davantage d'actifs étrangers. Plus le franc est faible, plus le rendement de la banque centrale est élevé, ce qui signifie que chaque fois que votre P & L va à votre encontre ... pourquoi vous imprimez un peu plus de monnaie et achetez des actions avec.

    Le bénéfice de la BNS a été levé par un trio de forces positives: les faibles rendements obligataires ont préservé la valeur de ses obligations étrangères qui représentent 80% de ses réserves de change; la hausse des cours boursiers a augmenté la valeur de ses avoirs en actions et la faiblesse de la monnaie suisse a fait que ces actifs étrangers valaient plus en francs.

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  36. L'euro s'est renforcé de près de 10 % face au franc l'année dernière. Les actifs libellés en euros constituent la plus importante position de la BNS sur le marché des devises, suivis du dollar.

    La BNS a déclaré que 49 milliards de francs de ses bénéfices provenaient de ses actifs étrangers. Ses avoirs en or ont augmenté d'environ trois milliards de francs l'année dernière et ses positions en francs suisses de deux milliards.

    La BNS n'a pas enregistré de perte depuis 2015, date à laquelle elle a abandonné son plafond pour le taux de change franc-euro, entraînant une appréciation massive et rapide du franc. Il a terminé l'année avec une perte de 23 milliards de francs.

    Dans le même temps, comme nous l'avons montré au trimestre dernier, il s'agit d'une répartition des stocks américains de la BNS, qui ont plus que doublé au cours des deux dernières années.

    - voir graphique sur site -
    SNB

    Bien que l'on puisse supposer que ces gains profiteront en quelque sorte au peuple suisse, la BNS est actuellement en train de conclure un accord de partage des bénéfices avec le gouvernement suisse qui plafonne la part des bénéfices du gouvernement à 2 milliards de francs. L'accord est en vigueur jusqu'en 2020.

    - voir graphique sur site -
    SNBTWO

    En vertu de l'accord, les actionnaires privés recevront un faible rendement - 1,5 million de francs par an. Ces actionnaires ont peu d'influence sur la gestion de la banque, mais il est important de comprendre que les investisseurs privés peuvent acheter des actions de la BNS comme n'importe quelle autre action suisse. Bien que la banque centrale soit principalement détenue par les états suisses, connus sous le nom de cantons, et les banques cantonales.

    Les actions de la BNS ont augmenté de 2 % mardi à la mi-journée, un peu moins que les records atteints l'année dernière.

    - voir graphique sur site -
    SNBStock

    Selon WSJ, la BNS a annoncé qu'elle allouerait environ cinq milliards de francs à ses provisions pour se prémunir contre les fluctuations futures des taux de change. Le reste de ses bénéfices papier ira à une réserve de distribution pour garantir que la BNS puisse continuer à verser les paiements futurs même en cas de perte.

    Les bénéfices de la BNS ne sont nulle part plus étroitement liés au sort des actions d'Apple, qui reste le principal investissement de la BNS.

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  37. - voir graphique sur site -
    Apple

    Comme nous l'avons montré il y a quelques mois, la banque centrale a augmenté sa participation dans Apple à 19,2 millions d'actions, ce qui en fait un plus grand détenteur d'actions AAPL que Schwab et Franklin Resources et juste derrière Janus avec 20 millions d'actions. On ne peut s'empêcher de se demander si la BNS a continué d'acheter Apple au cours du quatrième trimestre, contribuant ainsi à relever le Nasdaq au-delà de 7 000 points.

    Alors que les banques centrales parlent de relance monétaire - la Fed prévoit de relever encore les taux d'intérêt trois fois cette année tout en réduisant son bilan, alors que la BCE a déjà commencé à réduire la taille de ses achats - la BNS reste un cas extrême. Parce que lorsque vous accumulez des profits comme le fait la BNS, quelle est l'incitation à changer son comportement ?

    Enfin, si vous imprimez l'argent avec lequel vous jouez, où est le risque et pourquoi même prétendre que le monde a encore des marchés de capitaux «efficaces et rationnels» ?

    https://www.zerohedge.com/news/2018-01-09/snb-made-55-billion-2017-foreign-currency-holdings-soared

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  38. Ancien conseiller économique Reagan: "Les Blancs sont-ils en train de se préparer au génocide?"

    par Tyler Durden
    Mar. 01/09/2018 - 23:45
    Auteur de Paul Craig Roberts,

    Identity Politics a réagi avec indignation contre le choix du chanteur de country masculin Blake Shelton de People Magazine comme "l'homme le plus sexy du monde".

    Selon les adhérents de Identity Politics, le choix indique que People Magazine est lui-même raciste et fait partie du mouvement de la suprématie blanche pour élever les Blancs au-dessus des personnes de couleur.

    Le choix est doublement scandaleux parce que, selon un écrivain de Salon, il renforce et célèbre la sexualité masculine blanche toxique et élève un homme blanc à une position de popularité populaire.

    Chaque personne blanche a besoin de lire cet article pour comprendre comment ils sont diabolisés et marginalisés jusqu'au point d'oubli.

    En se concentrant principalement sur les hommes hétérosexuels blancs, Identity Politics tente de séparer les femmes blanches des hommes blancs en utilisant le «misogyne» péjoratif, mais, comme le rapporte l'article, les femmes blanches, telles que Taylor Swift, sont également publiquement diabolisées pour leur blancheur.

    La lecture de cet article dans The Unz Review m'a rappelé un article que j'ai lu en novembre dernier dans un journal de l'université du Texas qui déclarait que l'ADN blanc était une abomination.

    Pensez-y une minute. Supposons que l'auteur ait dit que «l'ADN homosexuel est une abomination», ou que «l'ADN noir est une abomination» ou que «l'ADN juif est une abomination». Quiconque déclare homosexuels, noirs ou juifs comme une abomination serait a immédiatement tiré, poursuivi, accusé de crimes de haine et poussé si profondément dans le sol qu'ils ne réapparaîtraient jamais.

    L'article dans le journal étudiant était un peu trop pour le Texas et produisait une fureur propre. Perdu dans la fureur était la réalisation que l'écrivain interprétait correctement la politique d'identité qui définit aujourd'hui le libéral / progressiste / gauche.

    Hillary Clinton a elle-même exprimé Identity Politics lorsqu'elle a déclaré que les Américains qui la rejetaient en tant que présidente étaient des «déplorables». CounterPunch a publié un essai de son animateur radio qui concluait que l'élection de Trump n'était pas légitime parce qu'il était élu par des hommes blancs racistes, sexistes et homophobes.

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  39. En d'autres termes, Identity Politics ne peut pas être rejeté comme une sorte d'idiotie de la part de quelques kooks. Il est institutionnalisé dans la politique et la culture américaines et devient une façon de penser habituelle. La diabolisation croissante des Blancs est parallèle à la diabolisation des Juifs et peut entraîner la marginalisation et la destruction physique.

    Les politiques d'immigration des pays blancs ont créé une base de diversité pour se liguer contre les Blancs. Si nous rassemblons une population diverse avec l'idéologie anti-blanche de la politique d'identité, nous avons un piège politique et culturel pour les blancs.

    Il semble paradoxal que la politique identitaire soit menée par des blancs / libéraux / progressistes / gauchistes prônant leur propre marginalisation.

    Cependant, comme il est une conclusion correcte de la politique d'identité que l'ADN blanc est une abomination, les adhérents blancs de l'idéologie peuvent logiquement voir leur disparition comme un bénéfice pour l'humanité. Mais pourquoi devraient-ils être autorisés à condamner les Blancs qui ne se considèrent pas comme une abomination?

    Ce que nous voyons se dérouler avec Identity Politics a été prédit par Jean Raspail dans son roman futuriste The Camp of the Saints. Peut-être que les blancs devraient le lire comme une indication de leur destin possible.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-01-09/former-reagan-economic-adviser-are-whites-being-setup-genocide

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  40. Migration de masse: nouvelle "norme" de la Commission européenne


    par Tyler Durden
    Mercredi, 01/10/2018 - 02:00
    Rédigé par Alain Destexhe via The Gatestone Institute,

    La Commission, basée à Bruxelles, n'est pas élue mais, selon les traités de l'UE, elle a le monopole - oui, un monopole - de l'initiative législative au niveau européen. Un commissaire est un bureaucrate nommé, un pour chaque État membre - souvent un ancien haut responsable politique, maintenant marginalisé dans son pays d'origine, donc avec très peu de légitimité démocratique.

    Tout d'abord, beaucoup de migrants ne sont pas qualifiés; et deuxièmement, ils reçoivent des avantages sociaux, ce qui les incite peu ou pas à travailler. Les articles soutenant les revendications des fonctionnaires - que l'Europe a besoin de plus de migrants pour financer les soins de santé et les retraites des Européens vieillissants - négligent le fait que ce plan ne peut réussir que si les migrants travaillent. Ces hypothèses semblent donc reposer sur des préjugés idéologiques plutôt que scientifiques.

    Les nouvelles normes, comme la taille des pommes ou la courbure des concombres, devraient, selon la Commission européenne, être déterminées par la Commission européenne. La migration ne sera pas une question ouverte au débat. Ce sera une "norme" déterminée par la Commission.

    Dimitris Avramopoulos, commissaire européen chargé de la migration, des affaires intérieures et de la citoyenneté, a récemment publié une opinion surprenante, plaidant pour plus d'immigration en tant que réalité incontournable à laquelle les citoyens européens devraient simplement s'adapter sans autre discussion.

    L'article illustre en grande partie ce qui ne va pas avec les institutions européennes, en particulier la Commission européenne, un mélange d'arrogance bureaucratique, de fausse croyance fondée sur le dogme plutôt que sur des faits, et un dédain pour le débat démocratique. La Commission, basée à Bruxelles, n'est pas élue mais, selon les traités de l'UE, elle a le monopole - oui, un monopole - de l'initiative législative au niveau européen. Chaque commissaire est un bureaucrate nommé, un pour chaque État membre - souvent un ancien haut responsable politique, maintenant marginalisé dans son pays d'origine, donc avec très peu de légitimité démocratique.

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  41. "Il est temps de faire face à la vérité ... Le seul moyen de rendre notre politique d'asile et de migration viable à l'avenir est de changer collectivement notre façon de penser", a écrit M. Avramopoulos. Pense-t-il que les citoyens de la base ne pensent pas ? Comme Zeus - un autre Grec - sur le mont Olympe, la vérité vient de l'étage supérieur du Berlaymont, le siège officiel de la Commission européenne à Bruxelles, comme un processus descendant. Hé, les mecs stupides qui veulent contrôler l'immigration, écoutez le nouveau Dieu-bureaucrate autoproclamé et taisez-vous parce que: "nous ne pouvons pas et ne pourrons jamais arrêter la migration". Période.

    Il ressort des sondages après sondages, Eurobaromètre après Eurobaromètre, élection après élection, qu'une grande majorité des citoyens européens ne sont pas seulement préoccupés par l'immigration mais veulent - sinon l'arrêter - la réduire drastiquement et retrouver perdu le contrôle sur les frontières et sur qui est autorisé à entrer en Europe et qui ne l'est pas. Le Brexit et les récentes campagnes électorales au Royaume-Uni, en Autriche, en Allemagne, aux Pays-Bas et en République tchèque ont fait de l'immigration une question centrale. Cette tendance est extrêmement claire et ces «signaux» ne peuvent pas être simplement écartés par Avramopoulos écrivant que «la migration est une question émotionnelle et sensible ... influencée par le nationalisme croissant, le populisme et la xénophobie». Ainsi, toute réticence à ralentir l'immigration est-elle qualifiée de "raciste" et disqualifie-t-elle ceux qui ont l'intention de soulever une objection au futur meilleur des mondes imaginés par la Commission européenne ?

    Selon notre commissaire, ce populisme et ce racisme ont «limité nos possibilités de mettre en place des politiques migratoires intelligentes et tournées vers l'avenir», politiques qui seront pensées et mises en œuvre par, devinez qui? Les institutions européennes éclairées, bien sûr.

    Dans un processus démocratique normal, chaque pays devrait, idéalement, être en mesure de décider, par l'intermédiaire des parlements nationaux, de ses politiques migratoires. Au niveau européen, la volonté de la majorité des citoyens devrait être prise en compte. Mais Avramopoulos s'en fout. Selon ce commissaire grec non élu, c'est parce que «en fin de compte, nous devons tous être prêts à accepter la migration, la mobilité et la diversité comme la nouvelle norme». Les nouvelles normes, comme la taille des pommes ou la courbure des concombres, devraient, selon la Commission européenne, être déterminées par la Commission européenne. La migration ne sera pas une question ouverte au débat. Ce sera une "norme" déterminée par la Commission.

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  42. Alors, devons-nous vraiment accepter les migrants et les réfugiés ? Selon la Commission, "ce n'est pas seulement un impératif moral mais aussi un impératif économique et social pour notre continent vieillissant". C'est un autre faux cliché. Dans son livre Exodus: Comment la migration change notre monde, le professeur Paul Collier d'Oxford explique qu'il a passé en revue tous les principaux articles scientifiques soutenant les revendications que les migrants seront capables de payer pour les avantages sociaux des Européens vieillissants, pour conclure qu'il était absolument pas convaincu du tout. Tout d'abord, beaucoup de migrants ne sont pas qualifiés; et deuxièmement, ils reçoivent des avantages sociaux, de sorte qu'il y a peu ou pas d'incitation à travailler.

    Les articles soutenant les revendications des fonctionnaires - que l'Europe a besoin de plus de migrants pour financer les soins de santé et les retraites des Européens vieillissants - négligent le fait que ce plan ne peut réussir que si les migrants travaillent. Ces hypothèses semblent donc reposer sur des préjugés idéologiques plutôt que scientifiques.

    Mais qu'en est-il des presque quatre millions de jeunes chômeurs déjà dans l'Union européenne ? Le taux de chômage pour eux a été entre 15-20 % ces dernières années. Les politiciens n'ont-ils pas "un impératif moral" (pour parler comme Avramopoulos) d'abord pour leur donner un travail et un avenir avant d'accueillir plus de nouveaux migrants ? En Grèce, pays d'Avramopoulos, le taux de chômage des jeunes n'est pas de 17 % - la moyenne européenne actuelle - mais de plus de 40 %. En Grèce, au Portugal, en Espagne, en Italie - des pays où le taux de chômage est extrêmement élevé - il y a aussi une génération de jeunes gens instruits, mais ils sont au chômage et ont un avenir incertain. Beaucoup de jeunes Grecs ne voient aucune raison de rester en Grèce et voudraient quitter le pays. Le commissaire Avramopoulos envisage-t-il de les remplacer par des migrants ou accepte-t-il que cette migration interne, presque forcée, en Europe soit leur destin? Une autre "norme" ?

    Peut-être l'aspect le plus triste de son article est qu'Avramopoulos n'est pas un gauchiste ou un politicien vert ou même social-démocrate. Il vient de New Democracy, un parti de droite. Il est la preuve vivante à quel point la gauche est parvenue à dominer le paysage intellectuel des institutions européennes et a imposé sa manière de penser. Avec des politiciens «de droite» comme Angela Merkel ou Avramopoulos trahissant leurs propres électeurs, il ne faut pas être surpris par la montée du «populisme» qu'ils dénoncent eux-mêmes si souvent.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-01-09/mass-migration-european-commissions-new-norm

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    1. A l'heure même où TOUTES les entreprises s'avancent peu à peu dans la robotique, et, tandis que le chômage est déjà fort élevé en Europe, les dictateurs veulent faire venir plus d'idiots, de bons à rien sous perfusion d'allocations !

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  43. L’UE demande aux Etats membres d’augmenter leurs contributions

    Audrey Duperron
    9 janvier 2018

    Les dirigeants de l’Union Européenne demandent aux Etats membres de remettre la main à la poche pour combler le trou qui apparaîtra dans le budget du bloc après le départ du Royaume-Uni, suite au brexit. « L’UE et ses membres devront travailler pour trouver les moyens de remplir le trou laissé par un contributeur de plusieurs milliards d’euros », a déclaré le président de la Commission Européenne, Jean-Claude Juncker, lundi.

    En principe, le Royaume-Uni devrait quitter l’Union Européenne l’année prochaine, mais il a convenu de continuer à payer ses contributions européennes jusqu’en 2020. Après son départ, le total des contributions de l’UE sera réduit d’environ 12 milliards d’euros.

    Une tasse de café par jour

    Selon Juncker, le budget actuel de l’UE pour la période 2014-2020, qui se monte à 1090 milliards d’euros, ne suffit pas à financer tous les projets du bloc, même s’il comptera prochainement un membre de moins. « Même avec une dose de flexibilité, nous avons atteint les limites du budget de l’Union Européenne. Nous n’avons plus de liquidités pour financer des extras », a-t-il déclaré Juncker. Le président de la CE a estimé que le budget de l’UE coûtait « une tasse de café par jour » à chaque contribuable européen. « Je pense que l’Europe vaut plus qu’une tasse de café par jour », a-t-il ajouté.

    Les jeunes, les agriculteurs et l’innovation épargnés

    La Commission veut boucler le budget avant les prochaines élections pour le Parlement européen qui se tiendront en mai 2019. Selon le commissaire européen au Budget Günther Oettinger (à droite sur notre photo), le trou laissé par la Grande-Bretagne pourra être comblé pour moitié par des coupes budgétaires dans certains secteurs, et pour l’autre moitié, par des contributions des Etats membres restants. Toutefois, il ne sera pas question de toucher aux programmes concernant les études supérieures et la recherche.

    De son côté, Juncker s’est opposé à une réduction du budget de l’agriculture, qui représente 1/3 des dépenses, ou à des coupes importantes sur le budget des « fonds de cohésion », qui est utilisé pour améliorer l’infrastructure des pays les plus pauvres du bloc.

    https://fr.express.live/2018/01/09/ue-budget-contributions-etats-membres/

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  44. La chasse aux talents est ouverte en Chine ! Pékin délivre des visas VIP

    19:19 09.01.2018
    Elliot Lelievre

    Formalités simplifiées, rapides, à destination des scientifiques, hommes d’affaires et autres spécialistes top niveau, la Chine inaugure un nouveau visa à destination des «talents étrangers haut de gamme». Une sorte de pass VIP pour aider Pékin à passer du «made in China», au «created in China». Explications.

    2018 est l'année du chien en astrologie chinoise, et visiblement, il s'agit d'un chien de chasse… aux compétences. En effet, un nouveau type de visa est entré en vigueur le 1er janvier 2018, à destination des «talents étrangers haut de gamme».

    Les nouveaux visas que propose Pékin, dont la validité sera comprise entre 5 et 10 ans, permettront à leurs détenteurs de séjourner jusqu'à 180 jours consécutifs en Chine et d'entrer et de sortir librement du territoire. De quoi faire des affaires, donner des conférences… dans des conditions de confort administratif incomparables avec celles du commun des mortels.

    Les formalités sont simplifiées. Tout se fait en ligne, gratuitement, et prend, selon les sources officielles, entre 1 et 5 jours. Les documents transmis pour la demande de visa sont centralisés et accessibles aux différentes administrations concernées. Mieux encore, vos démarches valent également pour votre conjoint et vos enfants. À condition d'être «haut de gamme».

    Tous ne sont en effet pas éligibles. Les critères de sélection sont drastiques et ces visas ne seront délivrés qu'à ceux que Pékin considère comme « l'élite ». Ce dispositif a été imaginé et initialement prévu pour bénéficier à un demi-million de personnes environ.

    Le secteur scientifique est mis à l'honneur. Tant les chercheurs dont l'excellence est reconnue que les journalistes scientifiques et technologiques sont cités comme étant de potentiels candidats au visa réservé aux «talents haut de gamme». La reconnaissance de ces derniers se mesure, pour le gouvernement chinois, aux prix qui leur ont été décernés par les institutions scientifiques de référence — parmi lesquels la fondation Nobel, mais également le CNRS.

    L'élite économique est également bienvenue. Ainsi, les directeurs d'institutions financières majeures sont également éligibles. Plus parlant encore, toute personne gagnant à l'année plus de six fois le salaire moyen chinois, soit entre 60 et 80.000 euros annuels peut prétendre à un visa «VIP».

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  45. Les élites politiques et culturelles ne sont pas en reste. Les anciens membres de gouvernement, tout comme les directeurs d'institutions universitaires de renommée mondiale ou les médaillés olympiques ont la possibilité d'obtenir ce visa.

    Les premiers visas de ce type ont été délivrés au tout début du mois de janvier et les trois premiers bénéficiaires sont d'ores et déjà connus. Il s'agit de Sajualumootll George, directeur des ressources humaines pour la région Asie-Pacifique chez Microsoft, de Chong Gu, statisticien et professeur américain de l'université Purdue et de Lucio Soibelman, responsable du département d'ingénierie civile et environnementale de l'Université de Californie du Sud. Tous trois sont mondialement reconnus dans leur domaine d'expertise.

    L'intégralité des conditions d'éligibilité a été définie par le Ministère des Affaires étrangères, le ministère de la Sécurité publique ainsi que par l'Administration d'État pour les experts internationaux et a été publié par cette dernière. Ces conditions peuvent, selon le gouvernement chinois, «être ajustées en fonction des besoins du pays».

    L'octroi de tels visas s'inscrit dans une logique à long terme dont les grands principes ont été rédigés il y a une décennie et détaillés dans le Plan national de développement du talent pour la période 2010-2020.

    Pénalisée des années durant par la politique du «brain drain» (captation des cerveaux) américaine depuis les années 90, la Chine a tout fait depuis vingt ans pour faire revenir ses ressortissants diplômés des grandes universités américaines et occidentales. Et la stratégie commence à payer. Selon le Times Higher Education, le nombre d'étudiants revenant à la fin de leurs études est en constante augmentation, incités par de généreuses aides et bourses pour financer leurs projets professionnels.

    Pékin passe désormais à l'étape suivante, qui n'est plus seulement d'inciter ses jeunes à revenir, mais également de pousser les étrangers à venir s'installer durablement en Chine pour faire des affaires. Le Premier ministre chinois, Li Kenqiang, reconnaissait en septembre dernier la «nécessité d'avoir une politique plus ouverte vis-à-vis de l'étranger» dans un contexte où le pays est à un «stage critique pour la restructuration de l'économie» nationale.

    Le plan national de développement du talent a pour but d'améliorer l'image de marque de la Chine et de passer du «made in China», synonyme de mauvaise qualité pour beaucoup, au «created in China» qui impliquerait une innovation technologique à un coût mesuré. Pour parvenir à ce changement d'image, la Chine doit devenir une force d'innovation et a pour cela besoin de capter les talents venus du monde entier.

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  46. Le gouvernement chinois en a conscience et estime que mettre l'accent sur l'attraction du capital humain après avoir passé des années à se concentrer sur le capital financier est un «élément clé pour faire de la Chine un pays attractif et dynamique pour le travail» ainsi que pour «atteindre les objectifs de développement économique et social» que s'est fixé le pays.

    «La Chine envoie un signal comme quoi elle souhaite accueillir les plus grands talents du monde entier et qu'elle est disposée à créer les conditions pour que ces talents puissent vivre et travailler en Chine.»
    Wang Huiyao, directeur du Centre pour la Chine et la Mondialisation, Pékin.

    La Chine a donc l'intention d'imposer son propre «brain drain» à d'autres pays.

    "À tous les scientifiques, ingénieurs, entrepreneurs, citoyens responsables qui ont été déçus par la décision du Président des États-Unis, je veux dire qu'ils trouveront en France un deuxième foyer. Je les enjoins à venir et à travailler ici avec nous", disait Emmanuel Macron après la décision de Donald Trump de se retirer de l'accord de Paris sur le climat. Une déclaration qui avait fait sourire outre-Atlantique et qui n'avait guère été suivie d'effet.

    Alors que le Président de la République est en visite en Chine, saura-t-il mieux convaincre les étudiants et les talents français de ne pas céder aux sirènes de Pékin, qui promet aux meilleurs des postes intéressants et des salaires défiant toute concurrence ?

    https://fr.sputniknews.com/international/201801091034678616-chine-visas-vip-talents/

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  47. "Une étrange coïncidence": Le plan d'espionnage américain encerclé près de la base russe lors d'une attaque massive de drones


    par Tyler Durden
    Mar, 01/09/2018 - 23:24


    Mardi, nous avons signalé que l'armée russe en Syrie avait déjoué une attaque massive de drones sur la base aérienne de Khmeimim et le point naval russe dans la ville de Tartous le 6 janvier, interceptant 13 UAV lourdement armés lancés par des terroristes.

    Peu de temps après, le ministère russe de la Défense publia de nouvelles informations, notant des «coïncidences étranges» entourant l'attaque terroriste: un avion espion américain repéré dans la zone, à savoir un Boeing P-8 Poseidon de l'US Navy en patrouille entre la base aérienne de Khmeimim et la base navale de Tartus en Syrie au moment de l'attaque.

    Alors que le ministère russe de la Défense ne pointait pas délibérément les doigts lorsqu'il a parlé de l'attaque du 6 janvier, il a démontré de façon démonstrative que la technologie utilisée dans l'attaque était révélatrice. Une formation avancée en ingénierie dans "l'un des pays développés" serait nécessaire pour programmer les principaux contrôleurs et les systèmes de largage d'un drone de combat de type avion, a souligné la déclaration russe, ajoutant que "tout le monde n'est pas capable de attaque] à partir des données de surveillance spatiale. "

    "Cela nous oblige à jeter un nouveau regard sur l'étrange coïncidence que, lors de l'attaque des terroristes UAV sur les installations militaires russes en Syrie, l'avion de reconnaissance de la Navy Poseidon patrouillait sur la Méditerranée pendant plus de 4 heures à 7 mille mètres, entre Tartous et Hmeimim. "

    Le ministère russe de la Défense a également déclaré que c'était la première fois que les terroristes utilisaient massivement des véhicules aériens de combat sans pilote d'un type d'aéronef lancés à plus de 50 kilomètres de distance et fonctionnaient à l'aide de coordonnées de navigation GPS par satellite.

    Selon le communiqué, les drones "portaient des engins explosifs avec des fusées de détonation étrangères", ajoutant que "l'utilisation de drones de type avions par les terroristes est la preuve que les militants ont reçu des technologies pour mener des attaques terroristes".

    C'est pourquoi la présence de l'avion de reconnaissance Navy Poséidon, un avion espion de haute technologie avec des composants de guerre électronique, dans la région lors de l'attaque par drone, semble plutôt suspecte.

    Le Pentagone a répliqué que même si les Etats-Unis étaient "préoccupés" par l'incident, le porte-parole du Pentagone, le Maj Adrian Rankin-Galloway, a affirmé que "ces dispositifs et technologies peuvent facilement être obtenus sur le marché libre". Les États-Unis ont déjà vu ce qu'ils appelaient «ce type de drone commercial [véhicule aérien sans pilote]» utilisé dans les missions de l'État islamique (IS, anciennement ISIS).

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  48. La Russie a averti à plusieurs reprises que les fournitures militaires américaines visant à soutenir les militants syriens «modérés» finissent par tomber entre les mains de terroristes.

    En attendant, comme nous l'avons noté plus tôt, après que le président russe Vladimir Poutine ait ordonné un retrait partiel des troupes de Syrie en décembre, les militants ont été désireux de gagner un avantage avec des drones de haute technologie qui ont des capacités remarquables. Cependant, à la lumière de ces derniers développements, la question latente que nous - et d'autres sommes en train de poser dans cet incident - semble encore plus pressante: qui approvisionne les militants en ces drones high-tech à longue portée, et à la lumière des ci-dessus - qui supervise leur bon déploiement ?

    https://www.zerohedge.com/news/2018-01-09/strange-coincidence-us-spy-plane-circled-near-russian-base-during-massive-drone

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  49. Le président vénézuélien s'en prend à Trump dans une interview rare


    par Tyler Durden
    Mar, 01/09/2018 - 23:05

    Un jour après que le président vénézuélien Nicolas Maduro eut ordonné l'émission des 100 premiers millions de Petros - la mystérieuse crypto-monnaie pétrolière du gouvernement vénézuélien pour compenser les sanctions du département du Trésor américain - le New Yorker publia ce qu'il décrivit comme une interview "rare" avec le chef du paradis socialiste préféré de l'Amérique latine.

    Alors que la transcription de l'interview n'a pas encore été publiée, l'écrivain new-yorkais Jon Lee Anderson a discuté de sa rencontre avec Maduro avec Dorothy Wickendon, rédactrice exécutive du New Yorker, sur le podcast «Politics and More» du magazine.

    Anderson a une longue histoire d'écriture sur Maduro et son prédécesseur Hugo Chavez - qu'il a rencontré pour la première fois au début de sa présidence en 1999. Le journaliste a déclaré que les menaces d'intervention militaire de Trump, faites en août.

    "Quand les erreurs du gouvernement de Trump seront prises en compte, la menace militaire contre le Venezuela sera notée. Il restera avec lui toute sa vie ", a déclaré Maduro.

    Le point de vue de Maduro, selon Anderson, est qu'il n'a aucun problème avec Donald Trump - à la place, il voit Trump comme le résultat inévitable du système hyper-capitaliste de l'Amérique.

    Maduro a ajouté qu'il est prêt à s'asseoir et à parler avec Trump.

    "Du point de vue de la personnalité et du leadership, Chavez était le leader le plus fort, le plus puissant et le plus grand du Venezuela depuis les libérateurs. Grâce à ses antécédents militaires et à ses valeurs, il a su incarner et redécouvrir les idéaux de Simon Bolivar ", a déclaré Maduro dans un autre clip partagé par le New Yorker.

    Anderson a raconté comment Chavez a remporté de nombreuses victoires démocratiques, notamment en étant élu par une écrasante majorité, tout en remportant un référendum pour réécrire la constitution. Maduro n'a pas hérité de cette capitale politique, bien qu'étant l'héritier sacré du Chavismo. Au lieu de cela, il a pris le pouvoir en 2013 après avoir remporté une élection avec une majorité très mince.

    Maduro était un ajustement maladroit, a déclaré Anderson. À un moment donné, il a dit que l'esprit de Chavez lui avait parlé sous la forme d'un petit oiseau - ce qui lui a valu un grand ridicule.

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  50. Après l'effondrement des cours du pétrole et le désarroi de l'économie vénézuélienne, les partis de l'opposition ont fait des progrès au sein du Congrès vénézuélien pour la première fois depuis que Chávez a pris le pouvoir. Ne voulant pas abandonner le pouvoir, Maduro décida de dissoudre le Congrès et de le remplacer par une assemblée constituante dotée de loyalistes au pouvoir.

    Au cours de l'été, Maduro a fait passer le vote sur l'assemblée constituante lors d'une élection qui a été jugée fondamentalement antidémocratique par les observateurs étrangers et l'opposition politique.

    Lorsqu'on lui a demandé s'il s'agissait d'une transition d'une démocratie à une dictature, M. Anderson a dit que c'était un peu plus compliqué. Il a décrit le système politique contemporain au Venezuela comme une «démocratie autoritaire» (ce qui nous semble un oxymore).

    "Si aux Etats-Unis, l'opposition politique a lancé une campagne comme celle de l'opposition au Venezuela cette année, tous seraient envoyés à la chaire électrique. Personne ne serait sauvé. Toutes les nations ont des lois et toutes les nations ont le droit de se défendre ", a-t-il dit.

    La violence de rue au Venezuela entre mars et juillet a causé des centaines de morts. Si l'opposition essaie de créer ce genre de troubles, a dit Maduro, la répression sera beaucoup plus sévère.

    Passant à la discussion sur les sanctions, M. Anderson a déclaré que bien que Maduro s'inquiète des sanctions, il a souligné qu'il y a encore beaucoup de pays puissants qui veulent faire des affaires avec le Venezuela.

    Selon Anderson, les autorités américaines reconnaissent à contrecoeur cet état de fait: Les Etats-Unis n'ont pas les outils pour faire face au gouvernement de Maduro parce que la Russie et la Chine ont montré leur volonté de venir au secours du Venezuela.

    Les États-Unis permettent maintenant à la Russie et à la Chine de «prendre le relais», alors que sa propre influence diminue.

    Anderson ajoute que nous devrions nous engager avec le Venezuela parce qu'il «passe par les égouts» sous notre surveillance. Les États-Unis achètent encore du pétrole vénézuélien - en un sens, les États-Unis «gardent [le pays] en vie». Pendant ce temps, Maduro insiste sur le fait qu'il veut une puissante opposition au Venezuela - mais pas contrôlée par Washington.

    Bien sûr, avec une inflation qui devrait atteindre 3 000% cette année et des foules de Vénézuéliens affamés qui descendent toujours dans les rues de Caracas, l'avenir de Maduro semble plus incertain que jamais.

    Écoutez la discussion entre Wickendon et Anderson ci-dessous:

    https://www.zerohedge.com/index.php/news/2018-01-08/venezuelan-president-lashes-out-trump-rare-interview

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    1. L'élection de 2013 au Venezuela est comparable avec celle de Donald Trump en ce sens que c'est l'argent qui présente une force incomparable. Les campagnes coûtent beaucoup d'argent. Au Venezuela, TOUS les vénézuéliens soutiennent Chavez comme ils soutiennent aujourd'hui Maduro. Seule l'opposition est constituée de personne très argentée recevant des allocations étatsuniennes pour faire croire que l'opposition existe au Venezuela !

      Donald Trump n'était pas Sénateur ni Député, ni chef de parti et donc, seule sa fortune personnelle lui a permis d'acquérir le poste suprême que SEUL les merdias mafieux (D+R) lui contestent.

      La technologie scalaire permet depuis des décennies de repérer et d'évaluer les nappes de pétrole même tout au fond des mers comme un sous-marins silencieux. Cette analyse a donc put se rendre compte de l'immense fortune que détenaient les vénézuéliens et donc, la guerre est entrepris pour changer le chef d'Etat et mettre un collabo nazional socialiste étatsunien à sa place.

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  51. "Chercher un sauveur dans un président est une mentalité d'esclave"


    par Tyler Durden
    Mar. 01/09/2018 - 20:45
    Auteur de Mike Krieger via le blog Liberty Blitzkrieg,


    En 2017, j'ai beaucoup écrit sur la centralisation dangereuse de notre système politique aux États-Unis et sur la nécessité de décentraliser la gouvernance pour rétablir le pouvoir, la liberté et l'expérimentation politique au niveau local. Cette idée qu'une nation tentaculaire et culturellement diverse de 325 millions d'individus devrait constamment se battre à mort sur l'arène du pouvoir politique à Washington DC afin d'imposer leur point de vue sur l'autre moitié du pays qui est complètement en désaccord est manifestement ridicule. Les États, et même les régions métropolitaines elles-mêmes, devraient prendre la plupart des décisions importantes qui influent sur la vie de leurs citoyens au jour le jour.


    Ce n'est pas compliqué. Les gens qui vivent à Boulder, au Colorado, comme moi, ont une vision du monde très distincte sur la plupart des choses du résident moyen de Houston, au Texas. Cela ne veut pas dire que l'un est supérieur à l'autre, nous parlons simplement de mentalités et de cultures différentes. Les résidents de ces lieux distincts devraient être en mesure de s'exprimer par la politique d'une manière qui correspond le mieux aux désirs et aux valeurs reflétant ces régions particulières. Bien que cela se produise dans une certaine mesure, tous les citoyens américains sont toujours redevables aux caprices du pouvoir politique centralisé à Washington D.C. à un degré très malsain et dysfonctionnel.

    L'un des pires effets secondaires du pouvoir centralisé à Washington DC est que la plupart des Américains gaspillent toute leur énergie politique à spéculer, ou à s'ancrer pour, qui sera élu le prochain dirigeant suprême (le président) tous les quatre ans. C'est un gâchis gigantesque de temps et d'énergie, mais l'une des raisons en est que les États-Unis ont une présidence impériale ces temps-ci. L'exécutif agit simplement d'une manière que les fondateurs n'avaient jamais prévue, et les autres branches du gouvernement (législatif et judiciaire) le permettent.

    Le Congrès mérite une grande partie de la faute, car ses membres refusent intentionnellement d'exercer leur devoir constitutionnel de gérer la guerre. Nos soi-disant «représentants» permettent tout simplement au président de faire ce qu'il veut quand il s'agit de l'exercice de la violence étatique à l'étranger, que ce soit George W. Bush, Barrack Obama ou Donald Trump.

    Il est absolument pathétique que moins de deux semaines après la nouvelle année, tout ce que j'ai entendu dire hier, c'est comment Oprah pourrait se présenter à la présidence dans deux ans. Pensez à quel point une société doit être folle (à la lumière de tous nos énormes problèmes actuels), pour commencer déjà obsessionnellement maniaque sur qui pourrait être notre sauveur si nous votons juste correctement en 2020. N'a pas la présidence de Barrack Obama, qui dit toutes les bonnes choses, mais choyé la ploutocratie pendant 8 ans tout droit vous apprendre quelque chose ?

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  52. Ce n'est pas seulement Oprah. L'été dernier, nous avons appris que les oligarques des Hamptons avaient déjà décidé que Kamala Harris (plus de trois ans avant la prochaine élection présidentielle) serait leur choix pour le candidat démocrate en 2020. Les électeurs primaires n'ont pas besoin de postuler.

    Naturellement, les bavardages de Mark Cuban ne disparaissent jamais non plus, comme je l'ai souligné l'autre jour.

    En attendant, qu'ont en commun Oprah et Cubain ? Les deux milliardaires, tout comme Trump. Est-ce l'avenir que les ploutocrates ont prévu pour nous ? Groveling pour un nouveau milliardaire cher leader tous les quatre ans ? Désolé, mais j'ai trop de respect pour moi de le faire. J'ai fini de jouer à ce jeu enfantin.

    L'étincelle qui a inspiré ce post était en fait un tweet que j'ai envoyé le week-end dernier. Sa réception a été très encourageante et m'a dit que beaucoup de gens dans le monde arrivaient à une conclusion très similaire. Ceci est vraiment important parce que nous ne pouvons pas changer les choses jusqu'à ce que nous nous rendions compte à quel point notre paradigme actuel est complètement ridicule.

    Les gens qui ont soif de pouvoir essaient toujours de vous convaincre que nous avons besoin d'un leader.

    Voici le grand secret. Les êtres humains créent le monde dans lequel nous vivons. Rien de nos gouvernements ou de notre économie ne nous est fourni par la nature ou par le divin. Les hiérarchies centralisées insupportables dans lesquelles nous vivons ont été créées par d'autres humains avant nous, et propagées agressivement par ceux qui sont actuellement au pouvoir. Il n'y a absolument aucune raison pour que nous acceptions ces systèmes comme permanents ou parfaits.

    Vous cherchez un sauveur dans un président est une mentalité d'esclave. Nous devons cesser d'être des esclaves. Oprah, Trump, Mark Cuban, ça n'a pas d'importance. Personne ne vient vous sauver. Il est temps de grandir. Le vrai pouvoir réside en nous-mêmes.

    Le monde du futur sera le monde que nous créons. Si nous voulons que ce monde soit infiniment meilleur, nous devons cesser de regarder en dehors de nous pour trouver la réponse. Nous devons regarder à l'intérieur, trouver notre force et nous mettre au travail. Si vous attendez que quelqu'un d'autre vienne et répare des choses que vous avez déjà perdues.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-01-09/looking-savior-president-slave-mentality

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    1. (...) Vous cherchez un sauveur dans un président est une mentalité d'esclave. Nous devons cesser d'être des esclaves. Oprah, Trump, Mark Cuban, ça n'a pas d'importance. Personne ne vient vous sauver. Il est temps de grandir. Le vrai pouvoir réside en nous-mêmes. (...)

      Cela s'appelle la Démocratie, mais Mike Krieger ne connait même pas ce mot !!

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  53. Etats-Unis: une enseignante arrêtée pour s'être plainte de son salaire (vidéo)


    07:38 10.01.2018

    Une vidéo montre l'arrestation d'une enseignante américaine qui a osé, pendant une réunion scolaire, poser à la direction des questions concernant son salaire.

    Une enseignante de Louisiane a été évacuée menottes aux poignets d'une réunion scolaire, selon une vidéo diffusée sur YouTube par le site Kats.com.

    Selon cette dernière, Deysha Hargrave, professeur d'anglais, a posé, lors d'une réunion scolaire, des questions sur son salaire. Par la suite, un policier l'a prise par le coude et lui a demandé de sortir.

    «Laissez-moi!», s'est révoltée l'enseignante en enlevant la main du policier de son coude.

    Ensuite, on voit que le policier met l'enseignante à terre et lui passe les menottes. Finalement, il la sort de la salle.

    Plus tard, on a appris que l'école n'a déposé aucune plainte contre l'enseignante, mais la femme s'est retrouvée quand-même derrière les barreaux pour «refus de quitter la salle et refus d'obtempérer».

    https://fr.sputniknews.com/societe/201801101034681170-usa-enseignante-arrestation/

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    1. Elle osait vouloir donner des leçons de Démocratie à la dictature en place ! Hop ! En taule !

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  54. Au Mexique, des villes font sécession de l’Etat

    Audrey Duperron
    9 janvier 2018


    Au Mexique, de plus en plus de villes font discrètement sécession du pays, rapporte le New York Times. Désespérées par l’échec du pays à assurer la sécurité à ses citoyens, ou à lutter contre la corruption et les cartels de la drogue, elles choisissent de prendre les choses en main, explique-t-il.

    Le journal donne les exemples de 3 villes qui se sont affranchies du contrôle de l’Etat mexicain, et qui assurent par elles-mêmes leur police et leur justice : Tancítaro, Monterrey et Ciudad Nezahualcóyotl (Neza). Chacune incarne un modèle différent, qui a abouti à faire de ces villes des havres de sécurité relatifs dans un pays ravagé par la violence.

    Elles prouvent « que la crise du Mexique se manifeste sous la forme de violence, mais qu’elle prend sa source dans la corruption et la faiblesse de l’Etat », écrit le journal.

    Selon les chercheurs, le gouvernement mexicain n’est pas intervenu pour rétablir son pouvoir de peur d’attirer l’attention et de faire des émules.

    Un pays ravagé par la violence
    L’année dernière, le Mexican Institute for the Economy and Peace a publié un rapport indiquant que la violence avait englouti 18% du produit intérieur brut mexicain en 2016. En 2015, le coût de la violence et de la criminalité s’élevait au Mexique à 1.335 dollars par habitant.

    On a recensé 23.968 personnes tuées au cours des 10 premiers mois de l’année 2017. Il s’agit d’un record absolu dans l’histoire récente du pays.

    Tancítaro
    Cette ville très riche grâce à la culture de l’avocat était autrefois contrôlée pour la plus grande partie par Michoacán, un cartel de la drogue. Mais il y a quatre ans, à la suite d’un soulèvement des agriculteurs victimes d’extorsions de fonds, les membres du cartel et les policiers considérés comme complices ont été expulsés. Les politiciens ont fui la ville. Les citadins ont formé une milice, la Junta de Sanidad Vegetal, qu’ils ont armée jusqu’aux dents.

    C’est encore cette dernière qui assure la sécurité de la ville aujourd’hui. Mais le système mis en place par la population pour se substituer aux institutions d’Etat, est très semblable à un cartel, observe le New York Times.

    La justice est assurée par des volontaires de la milice, ce qui aboutit à des jugements arbitraires. Officiellement, le bourgmestre de la ville est politicien très populaire, mais officieusement, il rapporte aux agriculteurs. Les conseils de citoyens ont été dépouillés de leurs prérogatives, et les services sociaux ne sont quasiment plus assurés.

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  55. Monterrey
    Monterey est la ville où sont établies une grande partie des plus grandes entreprises mexicaines. Une partie de leurs dirigeants ont discrètement pris le contrôle de la ville.

    A l’origine de cette évolution, on trouve une tentative de kidnapping dans un car de ramassage scolaire assuré par Femsa, l’une des plus grandes firmes mexicaines, orchestrée par les hommes d’un cartel. Deux agents de sécurité privés, employés par la firme, ont été tués au cours de l’attaque.

    A la suite de cet événement, des dirigeants d’entreprises ont commencé à consulter des avocats et des consultants pour modifier la loi sur les enlèvements, et réorganiser la police d’Etat spécialisée dans les kidnappings.

    Le gouverneur de la ville, qui avait été associé à ces initiatives, a plus tard annoncé la création d’une nouvelle police, supervisée par les CEOs des entreprises de la ville. Des recrutements dans tout le pays ont été effectués pour garnir les rangs de cette nouvelle police (En photo, un exercice de simulation d’attaque de cette “Fuerza Civil”)… sans passer par les canaux officiels corrompus. La sécurité est revenue dans les rues.

    « L’expérience de Monterey est une nouvelle preuve qu’au Mexique, la violence n’est qu’un symptôme. Le véritable mal se trouve dans le gouvernement », écrit le New York Times.

    Mais en 2015, un nouveau gouverneur a été nommé, qui a nommé certaines de ses connaissances à des postes clés. La criminalité est à nouveau en hausse.

    Ciudad Nezahualcóyotl
    Ciudad Nezahualcóyotl (Neza) est une ville d’un million d’habitants de la banlieue de Mexico City, autrefois très pauvre, soumise à la violence des gangs et à la corruption, y compris de la police.

    C’est le chef de la police, Jorge Amador, qui est à l’origine de la transformation de la ville. Il a mené des expériences variées pour déterminer ce qui pourrait améliorer la situation. Et il a finalement fait le contraire de ce qui avait été fait à Monterrey. Plutôt que de constituer une police indépendante et d’y associer le système politique, il a mis en place un système politique et y a associé la police.

    Au Mexique, les grands partis traditionnels sont bien plus que des représentants politiques, ils gèrent les institutions du pays. Les officiels sont donc peu tentés d’enquêter sur les affaires de corruption qui pourraient pointer vers leurs collègues de partis. Mais Neza, gérée par un parti marginal, échappe à cette logique. Amador en a profité pour faire le ménage dans la police. La sécession bureaucratique de la ville lui a permis de la façonner à son idée.

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  56. Mais il savait que la corruption était généralisée, et que le répit ne serait que temporaire. Il a donc développé une valeur incorruptible pour les habitants : la fierté de l’identité civique.

    Pour ce faire, il a délivré des récompenses pour les réalisations, même les plus minimes, des citoyens. De cette manière, il a resserré les liens entre la police et les habitants, en convaincant ces derniers que leurs agents de police n’étaient pas comme les autres.

    https://fr.express.live/2018/01/09/mexique-secession-villes-police-justice/

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  57. Vague de froid en Caroline du Nord: des alligators bloqués dans la glace (vidéo)

    19:00 09.01.2018


    La bouche ouverte d’un alligator au milieu de la glace: le froid qui sévit dans plusieurs États américains a bloqué ces reptiles au milieu des plans d’eau. Les employés du parc national rassurent: quand les températures remonteront, les alligators sortiront de leur hibernation.

    En conséquence de la vague de froid qui s’est abattue ces dernières semaines sur les États-Unis, les alligators du Shallotte River Swamp Park, en Caroline du Nord, ont gelé dans l’eau.

    «Cyclone explosif» aux USA, une «arme climatique de Poutine», ironisent les internautes

    Bloqués dans la glace, les reptiles sont entrés en hibernation, laissant apparaître à la surface uniquement leurs né et bouche. Dès que les températures remonteront, les alligators se réveilleront, rassurent les employés du parc.

    Au cours de ces dernières semaines, une vague de froid s’est abattue sur plusieurs États américains. Par endroits, le mercure est descendu jusqu’à —30°C.

    https://fr.sputniknews.com/international/201801091034678526-froid-aligators-us/

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