Une stratégie de défense nationale pour semer le chaos mondial
par Tyler Durden Jeu., 25/01/2018 - 02:00 Rédigé par Nicholas Davies via The Strategic Culture Foundation,
Présentant vendredi la Stratégie de défense nationale des États-Unis 2018 à l'Université Johns Hopkins, le secrétaire à la Défense James Mattis a brossé un tableau d'un monde dangereux dans lequel la puissance américaine - et tout le «bien» supposé qu'elle fait dans le monde - est en déclin.
"Notre avantage concurrentiel s'est érodé dans tous les domaines de la guerre - l'air, la terre, la mer, l'espace et le cyberespace", a-t-il déclaré. "Et il s'érode continuellement."
Ce qu'il aurait pu dire plutôt, c'est que l'armée des États-Unis est surexploitée dans tous les domaines, et qu'une grande partie du chaos constaté dans le monde entier est le résultat direct de l'aventurisme militaire passé et actuel. En outre, il aurait peut-être reconnu que l'érosion de l'influence américaine a été le résultat d'une série de coups portés à la crédibilité américaine par des désastres de politique étrangère tels que l'invasion de l'Irak en 2003.
Il y avait aussi deux mots importants cachés entre les lignes, mais jamais mentionnés nommément, dans la nouvelle Stratégie de défense nationale des États-Unis: «empire» et «impérialisme».
Il a longtemps été interdit aux responsables américains et aux médias d'entreprise de parler de politique étrangère des États-Unis comme d '«impérialisme», ou d'occupation militaire mondiale des États-Unis et de réseau de centaines de bases militaires comme «empire». liste noire des "sujets interdits" que les déclarations officielles américaines et les principaux médias américains ne doivent jamais mentionner.
Les flots d'euphémismes orwelliens avec lesquels les responsables américains et les médias discutent plutôt de la politique étrangère américaine masquent davantage la réalité du rôle américain dans le monde que de le décrire ou de l'expliquer en «cachant des intérêts impériaux derrière des feuilles de figuier toujours plus élaborées». historien AJP Taylor a décrit les impérialistes européens faisant la même chose il y a un siècle.
Alors que des sujets comme l'empire, l'impérialisme et même la guerre et la paix sont censurés et exclus du débat politique, les responsables américains, les médias asservis et le reste de la classe politique américaine évoquent une illusion de paix pour la consommation domestique en ne mentionnant pas les 291 000 troupes d'occupation dans 183 autres pays ou les 39 000 bombes et missiles ont chuté sur nos voisins en Irak, en Syrie et en Afghanistan depuis l'arrivée de Trump.
Les 100 000 bombes et missiles largués sur ces pays et sur d'autres par Obama et les 70 000 largués par Bush II ont également été balayés comme une sorte de trou de mémoire en temps réel, laissant la conscience collective de l'Amérique inébranlable. la première place.
Mais en réalité, il y a longtemps que les dirigeants américains de l'un ou l'autre parti ont résisté à la tentation de menacer n'importe qui, ou de poursuivre leurs menaces avec des campagnes de bombardement, des coups d'État et des invasions. C'est ainsi que les empires maintiennent une «menace crédible» pour soutenir leur pouvoir et décourager les autres pays de les défier.
Mais loin de créer la «Pax Americana» promise par les décideurs politiques et les stratèges militaires dans les années 1990, de Paul Wolfowitz et Dick Cheney à Madeleine Albright et Hillary Clinton, les résultats ont été catastrophiques, produisant ce que la nouvelle stratégie de défense nationale désordre mondial, caractérisé par le déclin de l'ordre international de longue date fondé sur des règles. "
Bien sûr, les rédacteurs de ce document de stratégie américaine n'admettent pas que la politique américaine est presque seule responsable de ce chaos mondial, après que les administrations américaines successives ont travaillé à marginaliser les institutions et les règles du droit international et à établir des menaces et des usages illégaux américains. force que le droit international définit comme des crimes d'agression en tant qu'arbitre suprême des affaires internationales.
Ils n'osent pas non plus reconnaître que le renseignement politisé et les opérations clandestines de la CIA, qui génèrent un flot constant de prétextes politiques pour l'intervention militaire américaine, sont conçus pour créer et exacerber les crises internationales, et non pour les résoudre. Pour les autorités américaines, admettre de telles vérités dures ébranlerait les fondements mêmes de l'impérialisme américain.
L'opposition au plan d'action global commun avec l'Iran - le soi-disant accord nucléaire - des républicains et des faucons démocrates semble provenir de la crainte qu'elle puisse valider l'utilisation de la diplomatie sur les sanctions, les coups d'État et la guerre, et créer un dangereux précédent pour résoudre d'autres crises - de l'Afghanistan et de la Corée aux futures crises en Afrique et en Amérique latine. Le succès de l'Iran à amener les États-Unis à la table des négociations, au lieu d'être victime de la violence et du chaos du changement de régime soutenu par les États-Unis, pourrait déjà encourager la Corée du Nord et d'autres cibles américaines à tenter le même sort.
Mais comment les Etats-Unis justifieront-ils leur occupation militaire mondiale, leurs menaces illégales et leurs recours à la force, et leur budget de guerre de plusieurs milliards de dollars une fois la diplomatie sérieuse jugée plus efficace que la violence et le chaos sans fin des sanctions américaines, des coups d'Etat et des guerres? et les professions?
De Bhurtpoor à Bagdad Le Major Danny Sjursen, qui a combattu en Irak et en Afghanistan et enseigné l'histoire à West Point, est une voix rare de la santé mentale de l'armée américaine. Dans un article poignant de Truthdig, le major Sjursen décrit avec éloquence les horreurs dont il a été témoin et la tristesse avec laquelle il s'attend à vivre pour le reste de sa vie. «La vérité est, écrivait-il, que je me suis battu pour presque rien, pour un pays qui, dans les conflits récents, a fait du monde un endroit plus meurtrier et plus chaotique.
La vie de Danny Sjursen en tant que soldat de l'Empire américain me fait penser à un autre soldat d'Empire, mon arrière-arrière-arrière-grand-père, Samuel Goddard. Samuel est né à Norfolk en Angleterre en 1793, et a rejoint le 14e Régiment de Foot à l'adolescence. Il fut sergent à la bataille de Waterloo en 1815. Pendant 14 ans en Inde, son bataillon mena l'assaut sur la forteresse de Bhurtpoor en 1826, qui mit fin à la dernière résistance de la dynastie Maratha à la domination britannique. Il a passé 3 ans dans les Caraïbes, 6 ans au Canada, et a pris sa retraite en tant que commandant du château de Dublin en 1853 après une vie de service à Empire.
Les vies de Danny et de Samuel ont beaucoup en commun. Ils auraient probablement beaucoup à dire s'ils pouvaient se rencontrer. Mais il y a des différences critiques. À Bhurtpoor, les deux régiments britanniques qui ont mené l'attaque ont été suivis par 15 régiments de l '«infanterie indigène» indienne. Après Bhurtpoor, la Grande-Bretagne a gouverné l'Inde (y compris le Pakistan et le Bangladesh) pendant 120 ans, avec seulement mille Britanniques. fonctionnaires dans la fonction publique indienne et quelques milliers d'officiers britanniques commandant jusqu'à 2,5 millions de troupes indiennes.
Les Britanniques ont réprimé brutalement la mutinerie indienne en 1857-1858 avec des massacres à Delhi, Allahabad, Kanpur et Lucknow. Puis, alors que 30 millions d'Indiens moururent dans les famines en 1876-1879 et 1896-1902, le gouvernement britannique de l'Inde interdit explicitement les efforts ou les actions de secours qui pourraient réduire les exportations de l'Inde vers le Royaume-Uni ou entraver le fonctionnement du marché libre. "
Comme l'écrivait Mike Davis dans son livre de 2001, Late Victorian Holocausts, «ce qui semblait d'un point de vue métropolitain l'éclat final de la gloire impériale du XIXe siècle n'était, d'un point de vue asiatique ou africain, que la lumière hideuse d'un bûcher funéraire géant.
Et pourtant, la Grande-Bretagne gardait le contrôle de l'Inde en commandant une telle loyauté et une telle soumission de millions d'Indiens que, dans chaque crise, les troupes indiennes obéissaient aux ordres des officiers britanniques de massacrer leur propre peuple.
Danny Sjursen et les troupes américaines en Afghanistan, en Irak et dans d'autres zones de guerre américaines de l'après-guerre froide vivent une expérience très différente. En Afghanistan, alors que les talibans et leurs alliés ont pris le contrôle d'une plus grande partie du pays qu'à aucun moment depuis l'invasion américaine, l'armée nationale afghane soutenue par les États-Unis dispose de 25 000 soldats de moins qu'il y a cinq ans. Les forces d'opérations spéciales des États-Unis n'ont formé que 21 000 commandos afghans entraînés, les troupes d'élite qui font 70 à 80% des morts et des morts pour le gouvernement afghan corrompu soutenu par les États-Unis.
Mais les États-Unis n'ont pas complètement échoué à gagner la loyauté de ses sujets impériaux. Le premier soldat américain tué en action en Afghanistan en 2018 était le sergent de première classe Mihail Golin, originaire de Lettonie. Mihail est arrivé aux États-Unis en novembre 2004, s'est enrôlé dans l'armée américaine trois mois plus tard et a maintenant donné sa vie pour l'Empire américain et pour tout ce que son service signifiait pour lui. Au moins 127 autres Européens de l'Est sont morts en Afghanistan occupé, avec 455 soldats britanniques, 158 Canadiens et 396 soldats de 17 autres pays. Mais 2 402 - soit 68%, soit plus des deux tiers - des troupes d'occupation qui sont mortes en Afghanistan depuis 2001, étaient des Américains.
En Irak, une guerre américaine qui a toujours eu moins de soutien ou de légitimité au niveau international, 93% des troupes d'occupation décédées étaient des Américains, soit 4 530 sur un total de 4 852 morts de "coalition".
Lorsque Ben Griffin, qui a fondé plus tard la branche britannique de Veterans for Peace, a déclaré à ses supérieurs dans l'élite britannique SAS (Special Air Service) qu'il ne pouvait plus participer à des raids meurtriers à Bagdad avec les forces spéciales américaines, fut surpris de constater que toute sa chaîne de commandement comprenait et acceptait sa décision. Le seul officier qui a essayé de changer d'avis était l'aumônier.
L'avenir de l'Empire Les chefs d 'état - major interarmées américains ont explicitement déclaré au Congrès que la guerre avec la Corée du Nord nécessiterait une invasion terrestre, et il en serait probablement de même pour une guerre américaine contre l' Iran. La Corée du Sud veut éviter la guerre à tout prix, mais peut être inévitablement entraînée dans une seconde guerre de Corée menée par les États-Unis.
Mais outre la Corée du Sud, le soutien que les États-Unis pourraient attendre de leurs alliés dans une seconde guerre de Corée ou d'autres guerres d'agression serait probablement plus proche de l'Irak que de l'Afghanistan, avec une forte opposition internationale, même des alliés américains traditionnels. Les troupes américaines constitueraient donc presque toutes les forces d'invasion et d'occupation - et prendraient presque toutes les victimes.
Comparé aux empires du passé, le coût en sang et le trésor de la police de l'Empire américain et la responsabilité de ses échecs catastrophiques tombent de manière disproportionnée - et à juste titre - sur les Américains. Même Donald Trump reconnaît ce problème, mais ses demandes pour que les pays alliés dépensent plus pour leurs forces armées et achètent plus d'armes américaines ne changeront pas la réticence de leur peuple à mourir dans les guerres américaines.
Cette réalité a créé une pression politique sur les dirigeants américains pour qu'ils mènent la guerre d'une manière qui coûte moins cher aux Américains, mais qui tue inévitablement beaucoup plus de personnes dans les pays punis pour leur résistance à l'impérialisme américain, utilisant des frappes aériennes et des escadrons de la mort recrutés localement. sol "autant que possible.
Les États-Unis mènent une campagne de propagande sophistiquée pour prétendre que les armes lancées par avion des États-Unis sont si précises qu'elles peuvent être utilisées en toute sécurité sans tuer un grand nombre de civils. Les taux d'erreur et les rayons d'explosion réels sont sur la liste noire des «sujets interdits», avec des estimations réalistes des décès de civils.
Lorsque l'ancien ministre irakien des Affaires étrangères Hoshyar Zebari a déclaré à Patrick Cockburn du journal britannique Independent qu'il avait vu des rapports de renseignement kurdes irakiens estimant que la destruction de Mossoul par les Etats-Unis et l'Irak avait tué 40 000 civils, la seule estimation réaliste d'une source officielle, aucun autre média occidental dominant n'a suivi l'histoire.
Mais les guerres américaines tuent des millions de personnes innocentes: des personnes qui se défendent elles-mêmes, leurs familles, leurs communautés et leurs pays contre l'impérialisme et l'agression américains; et beaucoup d'autres qui étaient simplement au mauvais endroit au mauvais moment sous l'assaut de plus de 210 000 bombes et missiles américains ont chuté sur au moins 7 pays depuis 2001.
Selon un nombre croissant de recherches (voir par exemple l'étude du Programme des Nations Unies pour le développement, Vers l'extrémisme en Afrique: conducteurs, incitations et point de basculement pour le recrutement), la plupart des personnes qui rejoignent la résistance armée ou des groupes «terroristes» le font principalement pour se protéger et protéger leurs familles des dangers des guerres que les autres leur ont infligées. L'enquête du PNUD a révélé que le dernier point de basculement qui pousse plus de 70% d'entre eux à prendre la décision fatidique de rejoindre un groupe armé est l'assassinat ou la détention d'un ami proche ou d'un membre de la famille par les forces de sécurité locales ou étrangères.
Ainsi, le recours aux frappes aériennes et aux escadrons de la mort recrutés localement, les stratégies mêmes qui rendent l'impérialisme américain acceptable pour le public américain, sont en fait les principaux facteurs qui propagent la résistance armée et le terrorisme pays après pays. avec lui-même.
L'effort américain de déléguer la guerre au Moyen-Orient à l'Arabie Saoudite en fait une cible de condamnation mondiale alors qu'elle tente d'imiter le modèle de guerre américain en bombardant et affamant des millions de personnes innocentes au Yémen tout en accusant les victimes de leur situation critique. Le massacre par des pilotes saoudiens et émiratis mal entraînés et indisciplinés est encore plus aveugle que les bombardements américains, et les Saoudiens ne bénéficient pas de la protection du système de propagande occidental pour minimiser l'indignation internationale face à des dizaines de milliers de victimes civiles et une crise humanitaire qui ne cesse de s'aggraver .
La nécessité de gagner la loyauté des sujets impériaux par une combinaison de crainte et de respect est une exigence fondamentale de l'Empire. Mais il semble impossible de l'atteindre au XXIe siècle, certainement par le genre de politiques meurtrières adoptées par les États-Unis depuis la fin de la guerre froide. Comme l'a déjà observé Richard Barnet il y a 45 ans, à la fin de la guerre américaine au Vietnam: «Au moment même où la nation numéro un a perfectionné la science du meurtre, elle est devenue un instrument impraticable de domination politique.
L'offensive du charme d'Obama a permis à l'impérialisme américain de bénéficier d'un sursis de l'opinion publique mondiale et de fournir une couverture politique aux dirigeants alliés pour qu'ils rejoignent activement les alliances dirigées par les États-Unis. Mais c'était malhonnête. Sous couvert de l'image iconique d'Obama, les États-Unis propagent la violence et le chaos de leurs guerres et changements de régime et la résistance armée et le terrorisme qu'ils provoquent de plus en plus, touchant des dizaines de millions de personnes de Syrie et de Libye au Nigeria et en Ukraine.
Maintenant, Trump a enlevé le masque et le monde est de nouveau confronté à la réalité brutale et sans fard de l'impérialisme américain et de l'agression.
L'approche de la Chine vis-à-vis du monde basée sur le développement du commerce et de l'infrastructure a eu plus de succès que l'impérialisme américain. La part des États-Unis dans l'économie mondiale est tombée de 40% à 22% depuis les années 1960, tandis que la Chine devrait dépasser les États-Unis en tant que première économie mondiale au cours des dix ou vingt prochaines années.
Alors que la Chine est devenue le centre de production et de commerce de l'économie mondiale, l'économie américaine a été financiarisée et évidée, ce qui n'est guère une base solide pour la croissance future. Le modèle néolibéral de politique et d'économie que les États-Unis ont adopté il y a une génération a créé une richesse encore plus grande pour les personnes détenant déjà des parts disproportionnées de tout, mais il a laissé les travailleurs aux États-Unis et à travers l'empire américain moins bien lotis qu'avant.
Comme le «presque rien» que Danny Sjursen a réalisé en se battant pour l'Irak et l'Afghanistan, les perspectives de l'économie américaine semblent éphémères et très vulnérables aux changements de l'histoire économique.
L'ascension et la chute des grandes puissances Dans son livre de 1987, La montée et la chute des grandes puissances: changement économique et conflit militaire de 1500 à 2000, l'historien Paul Kennedy a examiné la relation entre pouvoir économique et pouvoir militaire dans les histoires des empires occidentaux qui ont colonisé le monde 500 années. Il a décrit comment les puissances émergentes jouissent d'avantages concurrentiels importants par rapport aux puissances établies et comment chaque puissance dominante doit tôt ou tard s'adapter aux marées de l'histoire économique et trouver une nouvelle place dans un monde qu'elle ne peut plus dominer.
Kennedy a expliqué que la puissance militaire n'est qu'une forme secondaire de pouvoir que les nations riches développent pour protéger et soutenir leurs intérêts économiques en expansion. Une puissance économiquement dominante peut rapidement convertir certaines de ses ressources en puissance militaire, comme les États-Unis l'ont fait pendant la Seconde Guerre mondiale ou comme la Chine le fait aujourd'hui. Mais une fois que les anciennes puissances dominantes ont perdu du terrain face à de nouvelles puissances émergentes, l'utilisation plus agressive du pouvoir militaire n'a jamais été un moyen efficace de restaurer leur domination économique. Au contraire, il a généralement été un moyen de gaspiller les années critiques et les ressources rares qu'ils auraient pu utiliser pour gérer une transition pacifique vers un avenir prospère.
Comme l'a découvert le Royaume-Uni dans les années 1950, l'utilisation de la force militaire pour maintenir son empire s'est révélée contre-productive, comme l'a décrit Kennedy, et les transitions pacifiques vers l'indépendance se sont avérées plus profitables pour les futures relations avec ses anciennes colonies. Le retrait de ses engagements militaires mondiaux était un élément essentiel de sa transition vers un avenir post-impérial viable.
Le passage de l'hégémonie à la coexistence n'a jamais été facile pour une grande puissance, et il n'y a rien d'exceptionnel dans la tentation d'utiliser la force militaire pour essayer de préserver et de prolonger l'ordre ancien. Cela a souvent conduit à des guerres catastrophiques et a toujours échoué.
Il est difficile pour un leader politique ou militaire de présider à une diminution de la puissance de son pays dans le monde. Les chefs militaires sont récompensés pour les stratégies militaires qui gagnent les guerres et augmentent le pouvoir de leur pays, pas pour le démanteler. Les officiers d'état-major de niveau intermédiaire qui disent à leurs supérieurs que leurs armes et leurs armées ne peuvent pas résoudre les problèmes de leur pays ne sont pas promus à des postes de décision.
Comme l'a noté Gabriel Kolko dans Century of War en 1994, cette marginalisation des voix critiques conduit à une «myopie institutionnelle inhérente, voire inévitable», selon laquelle «les options et les décisions intrinsèquement dangereuses et irrationnelles deviennent non seulement plausibles, mais la seule forme de raisonnement sur la guerre et la diplomatie qui est possible dans les milieux officiels. "
Après deux guerres mondiales et l'indépendance de l'Inde, la crise de Suez de 1956 fut le dernier clou dans le cercueil de l'Empire britannique, et l'administration Eisenhower brida sa propre identité anticoloniale en refusant de soutenir l'invasion britannique-franco-israélienne de Egypte. Le Premier ministre britannique Anthony Eden a été contraint de démissionner et il a été remplacé par Harold Macmillan, qui avait été un proche collaborateur d'Eisenhower pendant la Seconde Guerre mondiale.
Macmillan démantèle les restes de l'Empire britannique derrière les partisans de son parti conservateur, réélu en 1959 avec le slogan «Vous ne l'avez jamais eu aussi bien», alors que les États-Unis soutenaient une transition relativement pacifique qui préservait les intérêts commerciaux internationaux occidentaux. et le pouvoir militaire.
Alors que les États-Unis font face à une transition similaire de l'empire à un futur post-impérial, leurs dirigeants ont été séduits par la «dividende du pouvoir» de l'après-guerre froide pour tenter d'utiliser la force militaire pour préserver et étendre l'empire américain. la position économique relative des États-Unis diminue.
En 1987, Paul Kennedy a mis fin à La montée et à la chute des grandes puissances avec une analyse presciente de la position des États-Unis dans le monde. Il a conclu,
"Dans toutes les discussions sur l'érosion du leadership américain, il faut répéter encore et encore que le déclin auquel il est fait référence n'est pas absolu et qu'il est donc parfaitement naturel; et que la seule menace sérieuse aux intérêts réels des États-Unis peut provenir d'une incapacité à s'adapter raisonnablement au nouvel ordre mondial. "
Mais après que Kennedy a écrit cela en 1987, au lieu d'accepter l'avenir de la paix et du désarmement que le monde entier espérait à la fin de la guerre froide, une génération de dirigeants américains a fait une tentative fatidique de «superpuissance». sorte d'échec à s'adapter à un monde en évolution que Kennedy a mis en garde contre.
Les résultats ont été catastrophiques pour des millions de victimes des guerres américaines, mais ils ont aussi été corrosifs et débilitants pour la société américaine, alors que les priorités perverses du militarisme et de l'Empire gaspillent les ressources de notre pays et rendent les Américains plus pauvres, plus malades, moins éduqués et isolés. du reste du monde.
Quand j'ai commencé à écrire Blood On Our Hands: l'invasion américaine et la destruction de l'Irak en 2008, j'espérais que les catastrophes en Afghanistan et en Irak ramèneraient les dirigeants américains à leurs sens, comme la crise de Suez en 1956.
Au lieu de cela, huit autres années de sauvagerie soigneusement déguisée sous Obama ont gaspillé plus de temps précieux et de bonne volonté et répandu la violence et le chaos de la guerre américaine encore plus loin et plus large. Les menaces implicites de la nouvelle stratégie de défense nationale contre la Russie et la Chine révèlent que 20 années de guerres impérialistes désastreuses n'ont rien fait pour désabuser les dirigeants américains de leurs illusions de «superpuissance» ou pour restaurer toute forme de politique étrangère américaine.
Trump ne fait même pas semblant de respecter la diplomatie ou le droit international, car il intensifie les guerres de Bush et d'Obama et en menace de nouvelles. Mais peut-être que les politiques agressives de Trump forceront le monde à finalement affronter les dangers de l'impérialisme américain. Un rassemblement de la communauté internationale pour stopper l'agression américaine pourrait être la seule façon d'éviter une catastrophe encore plus grande que celles qui ont déjà frappé les peuples d'Afghanistan, d'Irak, de Somalie, du Honduras, de Libye, de Syrie, d'Ukraine et du Yémen.
Ou va-t-il falloir une guerre nouvelle et encore plus catastrophique en Corée, en Iran ou ailleurs pour finalement forcer les États-Unis à «s'adapter raisonnablement au nouvel ordre mondial», comme Paul Kennedy l'a dit en 1987? Le monde a déjà payé un prix terrible pour l'échec de nos dirigeants à prendre ses bons conseils il y a une génération. Mais quel sera le coût final s'ils continuent à l'ignorer même maintenant ?
Enfer en Suède: des adolescents migrants armés errent avec des kalachnikovs; L'armée peut être déployée
par Tyler Durden Jeu., 25/01/2018 - 05:00
Comme nous l'avons signalé la semaine dernière, la Suède peut ou non se préparer à un conflit civil - comme le Premier ministre Stefan Lofven a déclaré que le gouvernement ferait tout ce qu'il faut - y compris le déploiement de l'armée - pour mettre fin à la violence des gangs. les zones «interdites» du pays.
"Ce n'est pas ma première action militaire, mais je suis prêt à faire tout ce qui est en mon pouvoir pour que le crime organisé disparaisse", a déclaré M. Lofven après la discussion au parlement. il y a des problèmes sociaux ... ... Nous voyons des criminels avec un manque total de respect pour la vie humaine, c'est un développement terrible que je suis déterminé à faire. "
Les commentaires de Lofven font suite à une série de meurtres liés à des gangs, dont celui d'un homme de 21 ans à Malmö le week-end dernier, lui a tiré une balle dans la tête alors qu'il sortait d'un taxi près d'une épicerie.
Le même week-end, un garçon de 16 ans abattu dans le quartier de Rosengård à Malmö est décédé à l'hôpital à côté d'un arrêt de bus. Deux personnes ont été interpellées par la police.
Et le 3 janvier, un homme de 22 ans a été abattu dans le quartier de Fosie à Malmö, le lendemain de l'arrestation à Rosengård d'une femme de 18 ans emmenée à l'hôpital avec des blessures par balles à dix minutes de là.
À Malmö, où un cinquième des 340 000 habitants ont moins de 18 ans, des enfants de 14 ans arpentent les rues avec des fusils d'assaut Kalachnikov et des gilets pare-balles. L'âge moyen des membres d'un gang est de 22 ans, la grande majorité d'entre eux étant issus de familles de migrants. -thetimes.fr
L'augmentation de la criminalité a été si écrasante que les autorités suédoises admettent qu'elles ne sont pas en mesure d'enquêter sur les cas de viol en ce moment en raison de l'énorme arriéré de la criminalité des gangs sous enquête. "Nous sommes obligés de choisir entre deux maux", a déclaré la police.
Le discours fort du Premier ministre Lofven fait également suite à une attaque contre le poste de police de Rosengård mercredi dernier, après qu'un engin explosif a été lancé sur le bâtiment électrifié - le dernier en date des violences en cours contre les soldats de la paix suédois.
En août dernier, un policier de Stockholm, Ted Eriksson, âgé de 34 ans, a été poignardé dans le cou par un demandeur d'asile afghan qui prétendait avoir 17 ans, mais qui était soupçonné d'avoir atteint la fin de la vingtaine. L'homme a dit qu'il voulait tuer un policier, mais l'officier Eriksson a heureusement subi des blessures mineures.
En avril 2017, trois policières suédoises ont été battues alors qu'elles tentaient d'appréhender un réfugié violent.
En 2013, la police suédoise a été prise pour cible à plusieurs reprises lors des émeutes de Stockholm. Un poste de police a été incendié, plusieurs policiers ont été blessés et des pierres ont été lancées sur des pompiers et d'autres premiers secours.
Et en 2016, les migrants ont même attaqué l'équipe de '60 Minutes 'alors qu'ils filmaient un segment sur ... les migrants.
Pendant ce temps, des armes de plus en plus puissantes sont apparues dans les quartiers suédois. En 2015, des missiles antichars ont été retrouvés dans un sous-sol d'un homme de 36 ans soupçonné d'avoir fait passer des fusils de ses frères en Bosnie dans la zone interdite suédoise d'Örebro - considérée comme une «zone particulièrement vulnérable» selon un rapport 2017 rapport de police.
L'homme et cinq autres - décrits par les médias bosniaques comme liés aux Frères musulmans, ont été arrêtés dans une série de sept raids. Les autorités bosniaques, cependant, ont déclaré à SVT News que les trafiquants ne sont membres d'aucune organisation extrémiste et n'ont aucun lien connu avec des activités terroristes.
Après une enquête menée à la mi-2016 à la suite de sept raids, les autorités suédoises ont abandonné les accusations de contrebande et poursuivi l'homme d'Örebro pour possession. Il est actuellement en prison pour des infractions en matière de drogue au cours de ses poursuites en cours liées aux armes.
La police a également trouvé une réserve d'armes à feu, 16 grenades à main, les quatre missiles antichars illustrés ci-dessus et divers autres armements.
Des missiles antichars trouvés à l'intérieur d'un sous-sol de personnes dans la ville suédoise d'Örebro.
On dirait que les handgrenades ne leur suffisent plus.
Ces gens stockent littéralement des armes militaires lourdes dans leurs maisons en Suède.
Parlant d'engins explosifs, les attaques à la grenade en Suède sont en augmentation depuis 2012, bien que 2017 ait été une année considérablement meilleure, avec 10 attaques contre 34 en 2016.
Cette année-là, un garçon de 8 ans qui dormait dans le salon des parents de Göteborg, en Suède, a été tué par une grenade lancée dans la pièce. "Au moins cinq enfants et plusieurs adultes étaient dans l'appartement quand la grenade a été lancée à l'intérieur", selon la BBC, qui a ajouté que le garçon est mort dans les bras de sa mère.
Et en février 2017, un homme a été blessé à l'extérieur d'une résidence après qu'une grenade ait été lancée:
Il semble, peut-être, que le gouvernement féministe autoproclamé et ultra-libéral de la Suède se rende compte qu'ils ont peut-être foiré en permettant la migration incontrôlée des pays islamiques associés au terrorisme, à la violence et peut-être aux gens l'ouest. Comme le note le Times:
La Suède a poursuivi une politique d'immigration libérale pendant plus d'une génération; son gouvernement parle de «superpuissance humanitaire» pour avoir accueilli un grand nombre de demandeurs d'asile. Après la crise des migrants de 2015, lorsque plus de 160 000 personnes ont demandé l'asile, la politique a été brusquement modifiée. Pourtant, il y a peu de débat ou de données fiables sur l'intégration des 12% de la population qui proviennent de pays non occidentaux.
Pendant longtemps, l'establishment suédois a minimisé la décadence des banlieues dominées par les immigrés, mais il ne peut plus ignorer l'explosion de la violence.
Il convient également de noter que 70% des migrants arrivant en Europe en 2015 étaient des hommes en âge de combattre, selon une étude du Pew Research Center.
Même le chef du parti démocrate suédois, Jimmie Akesson, a «déclaré la guerre» contre le crime organisé et a suggéré que la Suède devrait déployer l'armée dans les zones interdites pour contrer la violence hors de contrôle.
"Des gens sont abattus dans des restaurants de pizza, des gens sont tués par des grenades à main qu'ils trouvent dans la rue", a déclaré M. Akesson au parlement mercredi.
"C'est la nouvelle Suède; le nouveau paradis dynamique, multiculturel et passionnant que tant de gens ici dans cette assemblée ... se sont battus pour créer pendant tant d'années », a-t-il déclaré sarcastiquement.
Et maintenant, le gouvernement suédois distribue des brochures sur le survivalisme (pour la guerre avec la Russie, bien sûr) et envisage de déployer l'armée pour faire face à des gangs de jeunes migrants idéalistes armés de pistolets provenant de pays brutalement déchirés par la guerre.
Qui aurait pu voir ça venir ?
Février 2017 - La vice-première ministre suédoise, la féministe Isabella Lövin, se moque du président américain Trump avec des collègues féminines - une semaine avant d'enfiler des hijabs pour rencontrer le guide suprême iranien Ali Khamenei
La dictature monarchique suédoise veut maintenant 'sortir' ces criminels entrés sans papier, mais, où vont-ils aller ? Ils resteront en Europe plutôt que d'être exécutés dans le pays !!!
TREMBLEMENT DE TERRE - LA SUISSE A TREMBLÉ PLUS DE 1200 FOIS EN 2017
Un nombre record de séismes a été enregistré l'année dernière par le Service sismologique suisse de l'EPF de Zurich.
25.01.2018, 11h13
En 2017, 1230 séismes ont été détectés en Suisse et dans les régions frontalières: un record. Par ailleurs, la plus forte secousse de ces dix dernières années est survenue le 3 mars. Elle a atteint une magnitude de 4,6.
Le nombre record de séismes enregistrés s'explique par l'amélioration du réseau de sismomètres qui rend les événements plus visibles, explique jeudi le Service sismologique suisse de l'EPF de Zurich. Sept cents d'entre eux sont des microséismes, soit d'une magnitude inférieure à 1.
Vingt-trois secousses ont présenté une magnitude égale ou supérieure à 2,5. Cela correspond à la moyenne des 42 dernières années.
La plus forte secousse de ces 10 dernières années s'est produite près d'Urnerboden (UR) et a été ressentie dans une grande partie de la Suisse. Elle a provoqué quelques dommages sans gravité sur un bâtiment à proximité de l'épicentre.
Un autre séisme dépassant la magnitude de 4 s'est produit le 1er juillet. Son épicentre était situé dans la région de Château-d'Oex (VD) et il a atteint une magnitude de 4,3. (ats/nxp)
Comme TOUS les pays du monde la Suisse est sujette à des tremblements de terre. Mais, outre les sources d'eaux qui se tarissent ou s'ouvrent dans ces chocs, elle n'est pas plus concernée qu'un autre pays par l'arrivée de sources chaudes (magma volcanique) réputés près des pôles où ces geysers participent à créer des énergies calorifique pour les maisons et les serres.
C'est vrai que ce n'est pas le mandat (d'un an !) qui permet à la présidente ou président de se faire une place à la une des canards, car, à la présidence de la Suisse c'est... le Peuple qui EST président ! Et oui, ce ne sont ni Doris Leuthard (2017) ou Alain Berset (2018) qui ne sont que des symbole (comme 'Marianne en France ou la 'Statue de la liberté' aux États-Unis) qui sont les vedettes mais l'entière Démocratie (où c'est le Peuple qui dirige) qui fait la fierté des Suisses et l'envie du monde entier !
Le mirage «No Billag» Pour le réalisateur Jean-Jacques Lagrange, pionnier de la télévision genevoise, l’initiative «No Billag» signe la disparition «rapide et totale» du service public suisse.
MARDI 16 JANVIER 2018 JEAN-JACQUES LAGRANGE
VOTATIONS Au début des années cinquante, les pionniers qui créent la télévision en Suisse peuvent s’appuyer sur le service public de la SSR pour lancer le nouveau média. Un service public qui vit d’une redevance répartie équitablement entre les régions linguistiques.
En soixante ans, nous avons pleinement rempli notre rôle culturel de créateurs et notre profession sociale et citoyenne d’informateurs libres et indépendants en réalisant une offre programme avec des milliers de reportages, de documentaires, d’émissions d’information et d’enquêtes d’investigation qui ont fait découvrir la Suisse aux Suisses et amené la diversité des images du monde dans tous les foyers. Les spectateurs de la TV romande ont pu aussi suivre plus de 600 dramatiques originales et une centaine de téléfilms inédits avec des acteurs suisses, des opéras, des concerts, des divertissements, une offre cinématographique et des évènements culturels ou sportifs qui ont rassemblé devant le petit écran les Suisses dans un sentiment d’appartenance citoyenne à la communauté helvétique. Sans oublier que depuis 1960, situation unique en Europe, la Suisse était complètement arrosée par les chaînes étrangères qui font encore une terrible concurrence à notre service public helvétique.
Face aux géants des chaînes publiques et privées en une seule langue de nos grands voisins, les réalisateurs, les journalistes, les techniciens et 5000 autres collaborateurs du service public suisse réussissent à gérer des chaînes radio et tv en quatre langues pour le petit marché de notre pays de 8 millions d’habitants. Ils apportent une contribution globale à notre société et à la démocratie par leur professionnalisme qui est reconnu internationalement par une participation active à l’Union Européenne de Radio-Télévision, à l’Eurovision et au sein des réseaux francophones et germanophones de TV5Monde, 3Sat et Swissinfo.
Partout dans le monde, la presse et les médias sont aujourd’hui bouleversés et menacés par la révolution technologique, internet, les réseaux sociaux, la numérisation et les algorithmes. Avec l’illusion que tout est gratuit ou qu’au mieux on ne paie que ce que l’on consomme… ce qui sera toujours plus cher que la redevance unique! Ce XXIe siècle est celui de la connectivité et de l’interdisciplinarité. Aucun acteur ne peut seul résoudre ces problèmes. Il faut réfléchir et trouver collectivement les réponses à ces défis. Les médias, presse et audiovisuels suisses, publics et privés, sont condamnés à se remettre en question mais ne survivront qu’en se réorganisant et en collaborant activement.
Ce n’est hélas pas ce qui se passe avec l’initiative «No Billag». Elle veut purement et simplement supprimer la redevance SSR pour céder la place au libre marché privé de la concurrence qui prétendument ferait mieux et meilleur marché. On passerait du «nous» de la communauté au «je» des consommateurs. Un oui à «No Billag» signifierait la disparition rapide et totale du service public suisse, la perte d’un précieux savoir professionnel et pénaliserait aussi les radios et tv locales qui reçoivent une part de la redevance. Le vide créé laisserait le champ libre aux chaînes étrangères qui privent déjà chaque année les médias suisses de plus de 100 millions de francs de revenus publicitaires sans investir en retour un seul centime dans des productions suisses. On nous demande de lâcher la proie pour l’ombre. Un dicton populaire nous rappelle «qu’un tien vaut mieux que deux tu l’auras». C’est pourquoi je voterai «non» à «No Billag».
* Cinéaste et réalisateur TSR, web editor et historien des archives RTS, aujourd’hui retraité. Article paru dans CultureEnJeu n° 56, décembre 2017, édition spéciale quadrilingue «No Billag», www.cultureenjeu.ch
Dans le SEUL pays au monde à être en Démocratie, l'horreur de se défaire de l'autorité du Peuple face à la dictature étrangère qui veut s'installer et déformer/censurer l'information, la Suisse ne peut dire que NON à cette agression, ce viol, ce meurtre ! C'est-à-dire que le 'No Billag' (Non à la redevance) ne doit pas exister en Suisse et, au président d'en défendre le Pays et à la Ministre de la communication de le faire savoir.
(...) Partout dans le monde, la presse et les médias sont aujourd’hui bouleversés et menacés par la révolution technologique, internet, les réseaux sociaux, la numérisation et les algorithmes. (...)
L'Internet c'est le Peuple, c'est la Démocratie déjà très mal menée avec les censures répétées de certains 'moteurs de recherche' qui empêchent les gens de s'instruire et glorifient ceux qui veulent détruire !
Le 4 Mars, la Démocratie votera NON à la suppression de la redevance.
Chaque citoyen de l'UE crée 31 kg de déchets plastiques par an (mais les Irlandais sont les pires)
par Tyler Durden Jeu. 25/01/2018 - 04:15
Les déchets d'emballage en plastique sont un énorme problème dans le monde entier.
Malgré les efforts déployés dans certains pays européens tels que les dépôts de bouteilles en plastique ou le paiement de sacs en plastique dans les supermarchés, Martin Armstrong de Statista note que le citoyen moyen de l'UE produit 31 kg de déchets plastiques par an.
Infographie: Chaque citoyen de l'UE crée 31 kg de déchets plastiques par an | Statista - voir graphique à la con sur site - Vous trouverez plus de statistiques sur Statista
Les chiffres d'Eurostat montrent que le Royaume-Uni se situe au-dessus de cette moyenne, ses citoyens étant responsables de 35 kg de déchets.
Le pire pays de loin est l'Irlande. 61 kg d'emballages sont jetés par l'Irlandais moyen, soit 9 kg de plus que le deuxième pays le plus prolifique, le Luxembourg.
Le moins est créé en Bulgarie où un 14 kg plus acceptable est éliminé au cours de l'année.
Au lieu de vous effrayer bêtement, posez vous la question: "Combien consomme ma voiture de sacs en plastique (pétrole) aux 100 km ?"
C'est-à-dire que: les sacs en plastique peuvent être brulés sans créer de dommage car, TOUS les gaz se recyclent (depuis toujours & pour toujours !). TOUS !
Le pétrole vient de la Terre et retourne à la Terre. Pas beau çà ?
Les céréaliers de la Coordination rurale (CR) tenaient leur congrès à Étréchy dans l’Essonne le 24 janvier. Le moral est au plus bas, alors que le revenu de la ferme France est négatif depuis 2014 et que l’année 2018 ne laisse présager aucune amélioration. Un vent de révolte souffle au sein de la base.
« En 1987, le quintal de blé se vendait 150 €, à euro constant cela représenterait aujourd’hui 390 € par tonne. Un prix divisé par trois », constate Nicolas Jaquet, président de l’Organisation des producteurs de grains (OPG), section spécialisée de la CR. Avec des rendements qui sont passés en moyenne de 67 à 71 quintaux, l’OPG estime que le chiffre d’affaires par hectare.
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Unanimité contre le plan loup Les élus et les éleveurs ne sont pas parvenus à convaincre le gouvernement sur la modification du plan loup 2018-2023…. Des réactions s’annoncent.
Le plan loup semble faire l’unanimité contre lui. Le 23 janvier, la FNSEA, Jeunes Agriculteurs, la Fédération nationale ovine, l’Assemblée permanente des chambres d’agriculture, l’Association nationale des élus de montagne (Anem), l’Union pour la sauvegarde des activités pastorales et rurales (Usapr), ont rencontré la conseillère du président de la République en charge des questions agricoles.
La solution de génie de Lewandowsky à de fausses nouvelles - l'interdire et faire des frottis bon marché !
January 25th, 2018
Cet universitaire de Bristol pense qu'il a la solution aux fausses nouvelles
Un professeur de Bristol a dit aux députés qu'ils avaient le pouvoir de mettre fin aux fausses nouvelles apparaissant sur Facebook et sur d'autres plateformes de médias sociaux.
Il est possible d'adopter un règlement ou une loi qui indique à ces géants de l'informatique comment se comporter ", a déclaré le scientifique cognitif, ...
Frappe-moi. Qui aurait pensé à cela - à part chaque dictateur et tyran pendant les 5000 dernières années?
Sa grande nouvelle idée a déjà été faite:
... les bibliothèques de l'Union soviétique ont été à plusieurs reprises purgées de tous les livres jugés "nuisibles". ... entre 1930 et 1932, les bibliothèques ont perdu soixante pour cent de plus de leur stock qui a déjà été purgé au moins trois fois.
Lewandowsky s'est donc adressé au Parlement britannique pour dire aux politiciens ce que les politiciens ont connu depuis 3 000 ans.
Mais son nouveau titre d'emploi est oh-so-apt:
Le professeur Stephan Lewandowsky, expert en «désinformation» à l'université de Bristol, a déclaré que les députés pourraient adopter des lois pour empêcher tout ce qui s'apparenterait à un «discours de haine» - une décision déjà prise par les législateurs allemands.
"Et devine quoi ? Facebook a embauché les gens pour y arriver. "
Oui, regardons l'Allemagne. En 2017, le gouvernement a infligé une amende de 50 millions d'euros aux médias sociaux pour diffamation, calomnie et incitation à la diffamation, et ils ne disposent que de 24 heures pour la retirer après une plainte, que le contenu soit exact ou non.
Judith Bergman nous dit l'effet:
Cette censure étatique fait que la liberté d'expression est soumise aux décisions arbitraires des entreprises qui sont susceptibles de censurer plus qu'absolument nécessaire, plutôt que de risquer une amende écrasante. Lorsque les employés des sociétés de médias sociaux sont désignés comme police de pensée privée de l'État et ont le pouvoir de façonner le discours politique et culturel actuel en décidant qui sera autorisé à parler et à dire, et qui sera fermé, la liberté d'expression devient rien de plus qu'un conte de fées.
Pendant ce temps, le tribunal de Munich a récemment condamné Michael Stürzenberger, journaliste allemand, à six mois de prison avec sursis pour avoir publié sur sa page Facebook une photo historique du Grand Mufti de Jérusalem, Haj Amin al-Husseini, serrant la main d'un haut fonctionnaire nazi à Berlin en 1941.
Le tribunal a déclaré Stürzenberger coupable de "diffusion de la propagande des organisations anticonstitutionnelles". Alors que l'admiration mutuelle qui existait autrefois entre al-Husseini et les nazis allemands est un fait historique incontesté, il est évident que l'histoire est en train d'être réécrite ...
Mais attendez, ce n'est pas la censure, parce que Lewandowsky le dit. Retour au Bristol Post:
L'universitaire de la ville, qui a déjà travaillé en Australie et aux États-Unis, a déclaré que les médias sociaux ne devraient pas être censurés, mais ont appelé à une plus forte «régulation» des grands acteurs.
Eh bien, tout va bien alors. Si nous redéfinissons le mot censor pour signifier quelque chose de complètement différent, il aurait raison. Mais qu'en est-il de la vérité de ce que le mot censure voulait dire ?
Attendez la grande perspicacité de "l'expert sur la désinformation":
Le professeur Lewandowsky a dit ... que le "concept même de la connaissabilité de la vérité" était maintenant "attaqué" dans la société britannique.
Oui, la vérité elle-même est attaquée, et Lewandowsky est apparemment celle qui le fait.
Copiez l'Allemagne, dit-il; dire la vérité et se retrouver en prison ?
Le plan de sauvegarde de génie est d'arriver en premier avec un frottis par association: L'autre plan sournois de Lewandowsky lui-même:
Rendez-vous aux gens avant que la désinformation ne le fasse, puis il y a des preuves pour montrer qu'ils seront en mesure de mieux filtrer. Un exemple est une étude récente que j'ai publiée avec des collègues l'année dernière où nous avons parlé de la façon dont l'industrie du tabac dans les années 50 et 60 tentait de créer un débat scientifique sur le tabac, alors que la science était très claire. Une fois que vous rappelez aux gens de ce précédent, ils sont devenus extrêmement résistants à la désinformation sur le changement climatique qui a suivi le même scénario. Il est donc possible de donner aux gens l'inoculation comme un vaccin presque contre la désinformation en indiquant des stratégies rhétoriques spécifiques qui sont trompeuses. Mais vous devez les atteindre en premier.
Allez-y, Stephan. Rush avec votre erreur logique. Les gens seront «extrêmement résistants» jusqu'à ce que la personne suivante souligne que tout professeur qui appelle les gens «négationnistes du climat» et qui confond le tabac avec le climat planétaire n'est pas vraiment un scientifique. Dites, utilisons l'outil de la vérité du tabac! Coupez à travers des débats complexes en un instant. Les médecins ont toujours raison, ont du Vioxx. Le gouvernement a toujours raison, mange plus de margarine! Les énergies renouvelables sont bon marché, payez votre facture d'électricité.
Mais sérieusement, il est vrai que les hacks payés de Big Tobacco essayaient de créer l'illusion d'un débat. Mais qu'est-ce qui empêche les entreprises multinationales et renouvelables d'essayer de créer l'illusion qu'il n'y a pas de débat ? Vous savez, la science est claire, les parcs éoliens vont réparer le climat ! (Donnez-nous votre argent).
Big-Renewables était une industrie de 326 milliards de dollars la dernière fois que je l'ai examinée. Ce n'est pas trop moche. Utilisant la baguette de Tobacco Truth et le langage de cette bataille, Panasonic, grand fabricant de batteries, "achète" des experts publics qui suggèrent que "The Science" dit que nous avons besoin de voitures électriques et de panneaux solaires.
Lorsque de gentils honnêtes gens expliquent pourquoi son truc est un étalage de tabac à bon marché, brouillant le tabac, négationnistes de l'holocauste et scientifiques sceptiques (qui ont marché sur la lune et remporté de vrais prix Nobel), la foule post-post-Lewandowsky sera inoculée (pour ainsi dire ) - contre sa propagande bon marché.
La liberté d'expression fonctionne dans les deux sens, mais un seul côté du débat a peur de laisser parler l'autre.
Malheureusement, cette belle proposition de Démocratie émane... d'une dictature !!! Et donc, si c'est elle (le nano-groupuscule de criminels au pouvoir) qui décide de ce qui doit rester ou ce qui doit être enlever au regard du Peuple, la dictature ne peut que se renforcer.
Personnellement, j'ai dernièrement été victime de la censure Youtube pour avoir osé dire la vérité incontestable sous des vidéos postées sur Youtube !! Remarque très importante, la Direction se réserve le droit de supprimer un compte SANS explication du pourquoi !!!
(...) Cette censure étatique fait que la liberté d'expression est soumise aux décisions arbitraires des entreprises qui sont susceptibles de censurer plus qu'absolument nécessaire, plutôt que de risquer une amende écrasante. Lorsque les employés des sociétés de médias sociaux sont désignés comme police de pensée privée de l'État et ont le pouvoir de façonner le discours politique et culturel actuel en décidant qui sera autorisé à parler et à dire, et qui sera fermé, la liberté d'expression devient rien de plus qu'un conte de fées. (...)
Si la dictature se met à l'amende, qui paiera la facture ? Le peuple !
L'Australie du Sud fait exploser l'électricité, l'emploi, la richesse, la quête idéologique anti-charbon
January 25th, 2018
Aujourd'hui, le gouvernement de l'Australie-Méridionale a détruit la cheminée de l'usine B de Playford, une partie de plus de ce qui reste des générateurs d'électricité à charge de base les moins chers de l'État.
Pour environ 8 millions de dollars par année sur trois ans, ils auraient pu économiser de l'énergie au charbon et n'auraient pas eu besoin de dépenser 400 millions de dollars pour des génératrices diesel d'urgence qu'ils ne veulent pas utiliser et plus de 100 millions de dollars pour une batterie 4% de l'état pour une heure. Ils auraient également payé moins de 120 millions de dollars pour deux jours d'électricité la semaine dernière.
À la hausse, ils peuvent se sentir bien et prétendre être des «leaders mondiaux». La signalisation de la vertu est chère, hein ?
L'usine emploie 185 personnes, la mine de charbon 200. D'autres entreprises dans la ville, qui sait? Les gens partent.
SA, une star dans la course loin d'être un État riche et compétitif. Créer de la richesse et des emplois en Chine.
La dernière démolition d'une centrale électrique au charbon sud-australienne est presque terminée L'Australien, Luke Griffiths:
La structure de béton et de briques de la centrale Playford B de 240 MW, nommée en l'honneur du premier ministre sud-australien Sir Thomas Playford, ne laisse que 200 mètres de haut à la centrale électrique du Nord située à Port Augusta, à 280 km au nord. d'Adélaïde.
Ce projet devrait être démoli en avril ou en mai dans le cadre d'un processus de déclassement entrepris par Flinders Power, une émanation de l'ancien exploitant de centrales électriques Alinta Energy.
Avant d'annoncer la fermeture de Northern à la mi-2015, Alinta a demandé 25 millions de dollars de subventions sur trois ans au gouvernement travailliste sud-australien pour continuer à fonctionner jusqu'à cette année, afin d'assurer une transition efficace après une augmentation rapide des énergies renouvelables. ce n'est pas viable.
Cependant, le gouvernement de Weatherill, qui est idéologiquement opposé au charbon, a rejeté l'offre.
Cela détruit la ville aussi:
Les habitants de Port Augusta cette semaine ont exprimé leur frustration ...
Deirdre McKerlie, qui travaille à Hair Flair de KD, a déclaré à The Australian que le fait de ne pas avoir de plan de transition était «juste stupide». Elle a déclaré que Port Augusta a atteint son paroxysme, avec de nombreuses entreprises non viables et des résidents s'éloignant.
Le Premier ministre Jay Weatherill a déclaré: "Port Augusta est un symbole de la transition de l'Australie du Sud vers le nouveau ..."
Exactement notre point.
Les chaudières ont été détruites en novembre.
Le reste sera démoli en avril ou mai. SA, niveau de vie par la suite.
SA possédait deux centrales électriques au charbon: Playford B, construite en 1963, 240 MW et la plus récente Northern Power Station (1985) et 520 MW.
Une nouvelle étude montre que la voie d'entrée de l'eau douce à partir de la fonte des glaces conduit à un refroidissement rapide
25 janvier 2018 par Mark Floyd, Oregon State University
Les scientifiques savent depuis longtemps qu'une réduction des courants de l'océan Atlantique apportant de l'eau chaude à l'hémisphère nord depuis les tropiques a provoqué un refroidissement abrupt connu sous le nom de Dryas Younger Dryas il y a près de 13 000 ans, mais la cause de ce phénomène n'a pas été prouvée.
Maintenant, une équipe de scientifiques des États-Unis et du Canada pense avoir la réponse - l'apport d'eau douce de l'inlandsis laurentidien se retirant du bassin du lac Supérieur, créant une rivière à travers les Grands Lacs inférieurs jusqu'au golfe du Saint-Laurent et Atlantique Nord.
Les résultats sont importants parce que cela pourrait se reproduire, à la suite de la fonte de la calotte glaciaire du Groenland et d'une augmentation significative de l'eau douce de l'Arctique causée par l'augmentation de la pluie et de la neige. L'étude souligne également à quel point le courant atlantique est sensible aux changements dans l'apport d'eau douce.
Les résultats de l'étude ont été publiés en ligne dans Geology, une publication de la Geological Society of America.
"Il a été bien documenté que la circulation méridienne atlantique, ou AMOC, a ralenti à cause de l'eau douce, mais il y a eu peu d'accord sur la façon dont", a noté Anders Carlson, géologue et co-auteur de l'étude. "Certains scientifiques ont soutenu pendant des années qu'il s'agissait de cette voie d'eau douce, mais d'autres disent que la région était encore gelée lorsque la période de refroidissement a commencé.
"Certaines personnes ont même spéculé qu'une comète a causé la période de refroidissement, mais nous avons trouvé des preuves convaincantes que c'était de l'eau douce - une rivière de la taille du Mississippi qui a coulé dans l'Atlantique Nord."
La clé de la découverte de l'équipe de recherche provient de l'échantillonnage des blocs dans la région où l'inlandsis laurentidien dominait autrefois l'hémisphère Nord, couvrant quelque 5 millions de milles carrés et atteignant une épaisseur de 8 000 à 10 000 pieds à certains endroits. La dernière glaciation a été au maximum il y a environ 23 000 ans et a dominé le paysage jusqu'à ce qu'elle commence à reculer à mesure que la planète se réchauffait.
Le recul glaciaire a pris plus de 10 000 ans, a noté M. Carlson, mais le «point de basculement» qui a causé la réduction du courant atlantique a peut-être eu lieu en un seul été.
«Au fur et à mesure que la calotte glacière s'est retirée, d'énormes lacs d'eau douce se sont déversés dans le Mississippi et dans le golfe du Mexique», a déclaré M. Carlson. «Mais à un certain moment, la région du lac Supérieur est devenue libre de glace et c'était comme si l'on enlevait un barrage qui est passé d'un drainage sud à un drain est et dans l'Atlantique Nord.
Le résultat a été un refroidissement important de l'Atlantique Nord qui a conduit à des températures plus basses sur terre - jusqu'à 10 degrés Celsius (ou environ 18 degrés Fahrenheit) en un peu plus d'un siècle.
Carlson et ses collègues se sont rendus sur le terrain pour voir s'ils pouvaient savoir quand le bassin du lac Supérieur est devenu libre de glace, ouvrant ainsi la voie d'eau douce à l'Atlantique Nord. Ils ont échantillonné des rochers dans toute la région pour voir combien de temps ils avaient été exposés aux rayons cosmiques. Lorsque ces rayons cosmiques frappent le quartz dans la roche, ils séparent les éléments et créent du béryllium-10.
"Essentiellement, ce que nous avons fait était de mesurer le coup de soleil sur les rochers", a déclaré Carlson. «Le bombardement cosmique par les neutrons laisse une image claire du moment où ces rochers ont été exposés au soleil, ce qui montre que le lac Supérieur a été déglacé il y a 13 000 ans, beaucoup plus tôt qu'on ne le pensait auparavant.
L'évidence de bloc a été rendue possible grâce à l'utilisation d'un spectromètre de masse à peu près de la taille d'un terrain de basket à l'université de Purdue. La technique, appelée spectrométrie de masse par accélérateur, utilise un accélérateur de particules de physique nucléaire d'ancienne génération pour mesurer les atomes individuels - dans ce cas, le béryllium-10 - produit dans ces blocs par les rayons cosmiques.
"Cette nouvelle approche nous permet de réduire la plage de temps où les zones deviennent libres de glace à partir des échelles de temps millénaires jusqu'à quelques siècles", a déclaré Marc Caffee, un physicien Purdue et co-auteur de l'étude. «À l'avenir, cela nous permettra d'être beaucoup plus précis dans la mesure du recul des marges glaciaires et de leur relation avec le changement climatique, et la compréhension des changements climatiques passés est un élément clé pour comprendre les changements climatiques futurs.
Bien que les résultats de cette étude aient pu résoudre une longue controverse, les chercheurs affirment que de nombreux aspects des changements climatiques passés sont encore mal compris. Le bombardement cosmique des matériaux de surface fournit une horloge que les chercheurs peuvent utiliser pour comprendre les relations de cause à effet dans les changements climatiques passés.
Il faudrait une augmentation significative de l'apport d'eau douce dans l'Atlantique Nord pour renverser à nouveau les courants, a souligné Carlson - la fonte de l'inlandsis du Groenland pendant environ 1300 ans avec une énorme augmentation de l'eau douce de l'Arctique.
«Les modèles montrent que pendant que la planète se réchauffe, l'Arctique recevra plus de neige en hiver et plus de pluie en été», a déclaré Carlson. "L'augmentation des précipitations est déjà en cours."
(...) L'étude souligne également à quel point le courant atlantique est sensible aux changements dans l'apport d'eau douce. (....)
HAHAHAHAHA ! Depuis des millions d'années il y a des milliards de km3 d'eaux douces (venus des pluies, des fleuves & des rivières) qui se sont déversés (et continuent de le faire !!) dans les océans 'sensibles' (Hahaha !) SANS QU'ILS NE MONTENT !!
Siècle des données montre les marées de l'élévation du niveau de la mer dans le Delaware, dans les baies de Chesapeake !!
25 janvier 2018, Pennsylvania State University
Le réchauffement climatique devrait affecter les régions côtières du monde entier à mesure que les glaciers et les calottes glaciaires fondent, élevant le niveau de la mer à l'échelle mondiale. Pour la première fois, une équipe internationale a découvert que l'élévation du niveau de la mer affecte déjà les hautes et basses marées dans les baies de Chesapeake et du Delaware, deux grands estuaires de l'est des États-Unis.
L'équipe a combiné un modèle informatique avec 100 ans d'observations pour démêler le fait que l'élévation globale du niveau de la mer augmente l'amplitude des marées, ou la distance entre les marées hautes et basses, dans de nombreuses zones de chaque baie.
Les marées, ou la montée et la chute de la surface de l'océan, se produisent à intervalles réguliers et résultent de nombreux facteurs, dont le plus important est l'attraction gravitationnelle du soleil et de la lune. Pendant des siècles, les gens ont documenté et prédit les marées hautes et basses quotidiennes parce qu'elles peuvent avoir un impact sur la navigation océanique. Les marées peuvent également affecter la vie marine, les risques d'inondation, la pêche, les conditions météorologiques et certaines sources d'énergie telles que l'énergie hydroélectrique.
En 2015, Andrew Ross, étudiant au doctorat en météorologie, Penn State, a remarqué une tendance étrange émergeant lors de l'essai d'un modèle informatique numérique pour la recherche sur les marées. L'ajout d'un mètre d'élévation du niveau de la mer au modèle a entraîné une modification distincte des marées haute et basse dans la baie de Chesapeake.
«Nous n'étions pas sûrs de la raison de cette présence, mais elle était suffisamment unique pour que nous puissions la voir aussi dans les observations si elle était réelle», a déclaré Ross, maintenant chercheur postdoctoral à l'Université de Princeton. "Nous avons donc commencé à regarder les observations, à faire plus de comparaisons."
Ross a commencé à travailler avec une équipe qui comprenait son conseiller, Raymond Najjar, professeur d'océanographie, Penn State, pour déterminer les effets précis de l'élévation du niveau de la mer en soustrayant d'autres forces qui affectent les changements de l'amplitude des marées. Certaines de ces forces sont prévisibles, y compris les 18,61 années d'oscillation de l'orbite lunaire autour de la Terre. D'autres forces sont moins prévisibles, comme l'effet du dragage d'une baie pour créer un espace plus large et plus profond pour les porte-conteneurs. L'équipe a analysé les enregistrements des marégraphes de 15 emplacements dans les baies Delaware et Chesapeake, dont le plus ancien remonte à 1901. Ils ont également étudié les villes avoisinantes à l'extérieur de chaque baie pour contrôler les changements plus importants affectant l'océan plus largement.
Une fois qu'ils ont isolé l'influence de l'élévation du niveau de la mer sur les marées en utilisant les enregistrements des marégraphes, ils ont comparé cette information avec un modèle informatique dans lequel ils pouvaient ajuster le niveau global de la mer, simulant les effets du passé ou du futur. Ils ont rapporté, dans le Journal of Geophysical Research: Oceans, que les données des marégraphes et le modèle concordaient généralement sur les principaux effets de l'élévation du niveau de la mer sur les marées. L'analyse a montré qu'un mètre de montée du niveau de la mer augmentait l'amplitude des marées jusqu'à 20% dans certaines zones. La quantité exacte de changement de l'élévation du niveau de la mer a varié en fonction de caractéristiques physiques telles que la forme de la baie.
«Dans la baie du Delaware, en remontant vers Philadelphie, les lignes de rivage convergent en forme d'entonnoir, ce qui amplifie les effets de l'élévation du niveau de la mer sur les marées», a déclaré M. Ross. "Cette amplification est amplifiée au fur et à mesure que vous avancez en amont."
En revanche, la forme de la baie de Chesapeake a eu un effet différent, dans certains cas, elle a légèrement diminué l'amplitude des marées. Comparativement à la baie du Delaware, la baie de Chesapeake est plus longue et a moins d'entonnoir. Après une vague qui pénètre dans la baie de Chesapeake depuis l'océan, elle finit par atteindre la fin de la baie et se reflète vers l'océan, soit en ajoutant ou en soustrayant de la hauteur des vagues qu'elle touche. Parce que les vagues voyagent plus vite dans les eaux plus profondes, un niveau de mer plus élevé se traduit par une vitesse plus rapide des vagues. Cela change lorsque les ondes entrantes et sortantes interagissent les unes avec les autres, ce qui a un effet en cascade sur les modèles de marées dans toute la baie.
"Quand les gens pensent aux inondations associées à l'élévation du niveau de la mer, ils pensent souvent que tout va augmenter, y compris les marées, mais la réalité est que dans certains cas, l'amplitude des marées peut rester identique ou diminuer". "Tout dépend de la géométrie de la baie et de la vitesse des vagues, qui, nous le savons, sont affectées par l'élévation du niveau de la mer."
Plus con que çà y a pas ! Regardez voir si vous avez chez vous une bassine ou baignoire si l'eau monte ! HAHAHAHAHAHA !
Ce sont là des FAUX scientifiques payés pour sortir des conneries comme l'histoire aux Maldives où les riches ayant acheté des îles ne voulaient plus voir leur morceau de terre envahi par les eaux lors des fortes marées (upweling) et, on demandé aux États du monde de leur payer les enrochements nécessaires à l'abri de leurs yachts !
Prenez-vous un pique-nique pour travailler ou acheter un sandwich au magasin ? Selon une nouvelle étude, l'empreinte carbone de votre sandwich pourrait avoir un impact majeur sur les émissions de gaz à effet de serre.
Des chercheurs de l'Université de Manchester ont réalisé la toute première étude sur l'empreinte carbone des sandwiches, faits maison et pré-emballés. Ils ont examiné l'ensemble du cycle de vie des sandwiches, y compris la production d'ingrédients, de sandwiches et de leurs emballages, ainsi que les déchets alimentaires jetés à la maison et ailleurs dans la chaîne d'approvisionnement.
Au total, l'équipe a examiné 40 types de sandwichs différents, des recettes et des combinaisons. Ils ont trouvé les empreintes carbone les plus élevées pour les sandwiches avec de la viande de porc (bacon, jambon ou saucisses) et celles contenant du fromage ou des crevettes.
Parmi les recettes considérées, la variété la plus gourmande en carbone est un sandwich «tout-petit-déjeuner» prêt à l'emploi qui comprend des œufs, du bacon et des saucisses. Les chercheurs estiment que ce type de sandwich génère 1441 grammes d'équivalent de gaz carbonique. Cela équivaut aux émissions de gaz carbonique dues à la conduite d'une voiture sur 12 miles.
Le sandwich avec le plus bas équivalent d'émission de carbone est un simple favori fait maison, jambon et fromage. L'étude a également révélé que la fabrication de vos propres sandwiches à la maison pourrait réduire les émissions de carbone de moitié par rapport aux équivalents prêts à l'emploi.
Selon la British Sandwich Association (BSA), plus de 11,5 milliards de sandwiches sont consommés chaque année au Royaume-Uni seulement. Environ la moitié de ceux-ci sont fabriqués à la maison et l'autre moitié est achetée au comptoir dans les magasins, les supermarchés et les stations-service à travers le pays. Cela signifie que le Royaume-Uni consacre près de 8 milliards de livres par an à la collation panée, pour un coût moyen de 2 livres par collation.
Le professeur Adisa Azapagic, de l'École de génie chimique et des sciences analytiques, a déclaré: «Étant donné que les sandwiches sont un aliment de base du régime britannique et leur part de marché importante dans le secteur alimentaire, il est important de comprendre la contribution de ce secteur. les émissions de gaz à effet de serre.
«Par exemple, consommer 11,5 milliards de sandwichs par an au Royaume-Uni génère en moyenne 9,5 millions de tonnes d'équivalent gaz carbonique, soit l'équivalent de l'utilisation annuelle de 8,6 millions de voitures».
Les résultats montrent que le plus grand contributeur à l'empreinte carbone d'un sandwich est la production agricole et la transformation de leurs ingrédients. Selon le type, cela peut représenter environ 37% -67% de l'équivalent gaz carbonique pour les sandwiches prêts à l'emploi.
Garder les sandwiches frais dans les supermarchés et les magasins contribue également à leur empreinte carbone. Cela peut représenter jusqu'à un quart de l'équivalent de leurs émissions de gaz à effet de serre. Ensuite, il y a le matériau d'emballage qui arrive jusqu'à 8,5% et, enfin, le transport des matériaux et la réfrigération des sandwichs eux-mêmes ajoute encore 4%.
L'étude conclut que l'empreinte carbone des collations pourrait être réduite de 50% si une combinaison de changements était apportée aux recettes, à l'emballage et à l'élimination des déchets. Les chercheurs suggèrent également d'étendre les dates de vente et d'utilisation afin de réduire le gaspillage.
Le professeur Azapagic, qui dirige également le groupe de recherche sur les systèmes industriels durables, a ajouté: «Nous devons changer l'étiquetage des aliments pour augmenter la date de péremption, car ils sont généralement assez conservateurs. Les sandwiches commerciaux sont soumis à des tests rigoureux de conservation et sont normalement sans danger pour la consommation au-delà de la date de péremption indiquée sur l'étiquette.
La BSA estime également que prolonger la durée de conservation des sandwichs en assouplissant ces dates permettrait d'économiser au moins 2000 tonnes de déchets sandwiches par an.
L'étude recommande également de réduire ou d'omettre certains ingrédients qui ont une empreinte carbone plus élevée, comme la laitue, la tomate, le fromage et la viande. La réduction des ingrédients, tels que le fromage et la viande, réduirait également la quantité de calories consommée, contribuant ainsi à un mode de vie plus sain.
Que cache le site le plus profond de la Terre, la fosse des Mariannes ?
20:07 25.01.2018
La fosse des Mariannes, ce cratère sous-marin géant en forme de croissant caché à presque 11 km de profondeur dans l’Océan pacifique, est remplie de secrets… Quelles créatures y habitent? Combien de fois l’homme y a tenté sa chance? Qu’arriverait-il à la Terre à cause de la pression si l’on retire un «bouchon imaginaire» de la fosse?
Comment est l'environnement à 11 kilomètres sous la mer ?
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Perdues dans la partie nord-ouest de l'Océan pacifique, les îles Mariannes sont extrêmement éloignées de la terre ferme. C'est là, à —10.994 mètres de profondeur, que se trouve le point le plus bas de la croûte terrestre, à savoir la fosse des Mariannes.
La pression de la masse de l'eau y est de 1.086 bars, comme si 1.000 éléphants se trouvaient ensemble sur le toit d'une voiture, selon les scientifiques. Cependant, la température de l'eau dans la fosse des Mariannes est relativement chaude, à savoir entre 1°C et 4°C. Cela est dû à de multiples sources hydrothermales.
La forme du cratère sous-marin n'est pas complètement verticale, mais plutôt en forme de croissant, de 2.500 kilomètres de long et de 70 kilomètres de large.
Les êtres humains à l'assaut du site le plus profond du monde
Outre le drone japonais Kaiko, le robot américain Nereus et le drone chinois Jiaolong, qui ont été lancés dans la fosse pour l'explorer, des hommes ont effectué trois plongées dans les profondeurs de la fosse des Mariannes.
1) Le scientifique Jacques Piccard, fils d'Auguste Piccard (inventeur du bathyscaphe), et le lieutenant de l'US Navy Don Walsh, ont effectué, le 23 janvier 1960, la première plongée, à bord du bathyscaphe Triest. Ils ont plongé à —10.916 mètres.
Cette première plongée a permis d'établir qu'il y existe des formes de vie. Grâce à cette découverte, des puissances mondiales ont renoncé à y entreposer des déchets radioactifs.
2) Le célèbre réalisateur américain James Cameron, à bord du bathyscaphe Deepsea Challenger conçu en Australie, a atteint, le 25 mars 2012, la profondeur de —10.898 mètres. Restant assis à l'intérieur de cette capsule, Cameron a passé trois heures dans les profondeurs extrêmes et a pris des clichés et collecté des échantillons qui ont servi de supports pour son film documentaire Deepsea Challenge 3D.
Je viens d'atteindre le fond des océans. Cela n'avait jamais été aussi cool de toucher le fond. Je suis impatient de partager avec vous ce que je suis en train de voir
3) L'expédition du navire Okeanos Explorer, appartenant à la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA), a plongé dans la fosse des Mariannes dans la période comprise entre le 20 avril 2016 et le 10 juillet. Les cinq chercheurs à bord du submersible ont également lancé une diffusion en direct depuis leur navire sur YouTube grâce au système de Telepresence. C'était la première expédition collective dans la fosse mais les chercheurs n'ont atteint que —6.000 mètres.
4) Le célèbre voyageur russe Fiodor Konioukhov envisage lui aussi de plonger dans la fosse des Mariannes.
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Les étranges créatures habitant dans la fosse des Mariannes (photos, vidéos)
1) Grâce au ROV (petit sous-marin contrôlé à distance) Deep Discoverer, les scientifiques de l'Okeanos Explorer ont exploré la fosse des Mariannes et y ont découvert d'étranges animaux tels qu'une méduse aux couleurs singulières.
2) Grâce aux caméras de l'Okeanos Explorer, les scientifiques ont également pu découvrir plusieurs autres types de créatures, tels que des poissons fantômes, différents coraux, ainsi que des vers, mais la plupart d'entre eux n'ont pas encore reçu de noms exacts.
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3) Des scientifiques britanniques ont découvert une espèce de gastéropode opisthobranche marin (Pseudoliparis swirei) à 8,1 kilomètres de profondeur dans la fosse des Mariannes.
Le volcan sous-marin Daikoku
Le volcan sous-marin Daikoku se trouve environ à 414 mètres de profondeur dans la fosse des Mariannes. Daikoku a quelque chose de rarissime sur notre planète, à savoir un lac de soufre fondu. Le seul analogue à ce lac se trouve sur le satellite de Jupiter, Io.
- voir clip sur site - Les changements sur la Terre à cause de la fosse des Mariannes ?
En décembre 2017, une courte vidéo montrant ce que serait arrivé à la Terre et aux océans si l'on tire un «bouchon imaginé» de 10 mètres de la fosse des Mariannes est apparue sur internet. Selon ses auteurs, la surface topographique de la Terre aurait beaucoup changé et les océans se seraient complètement desséchés. Sauf que, selon ce modèle, il aurait fallu trois milliards d'années.
Le passage maritime par le pôle Nord est bizarrement découvert par les transporteurs ! Comment se fait-il que seulement 40 bateaux aient pu traverser l'Arctique tandis que cette même année dernière 17500 préféraient emprunter le Canal de Suez ?
Le gag ne vient pas d'un réchauffement climatique favorisé par des arrivées soudaines d'alizés tropicaux sur les glaces mais seulement que la voie est maintenant libérée grâce aux nouveaux brise-glaces soviétique qui contribuent à désengorger les planchers polaires de ses blocs en stationnement.
"La Russie, qui abrite déjà la plus grosse flotte de brise-glaces du monde, avec 41 unités, a prévu d’en construire onze de plus, dont cinq sont déjà en chantier", évoque Frédéric Faux sur le site Le temps (Suisse) du 25 Janvier. "Plus de 20% des réserves de pétrole et de gaz sont enfouies dans cette région, sans oublier d’importants gisements de minerai", poursuit-il.
Ainsi, même si en trente ans la banquise s'est rétrécie ce n'est ni la faute du soleil ni celle de la lune mais seulement à l'origine de nouvelles percées magmatiques qui descellent de lourds glaciers qu'emportent les courants conjugués aux brise-glaces qui font sauter les bouchons.
Inondations: ces Franciliens les pieds dans l’eau (vidéo)
17:56 25.01.2018
La crue de la Seine devrait dépasser le niveau de celle de juin 2016, en atteignant une hauteur de 6,20 m ce week-end selon Vigicrues. Sputnik s’est rendu à Villeneuve-le-Roi (Val-de-Marne), où une partie des habitants a déjà les pieds dans l’eau.
Le zouave du pont de l'Alma a déjà les genoux dans l'eau et les Franciliens s'inquiètent: la Seine va-t-elle dépasser le niveau de la crue de juin 2016 ? Il semblerait que cela soit une question de jours. En effet, de nouvelles pluies devraient ralentir la décrue. Selon vigicrues «les niveaux de la Seine à Paris resteront orientés à la hausse jusqu'à ce week-end. Un niveau maximum comparable à celui atteint lors de la crue de juin 2016 [6,10 m, ndlr] est prévu.» Pourtant, malgré les prévisions, la hauteur de la Seine reste bien loin du record historique de 1910 avec 8,62 m.
Alors que les Parisiens voient leur rivière atteindre 5,40 m ce jeudi 25 janvier, la situation en banlieue est plus inquiétante. Et pour cause, dans des villes comme Suresnes (Haut-de-Seine) l'eau atteint déjà 7,40 m. Sputnik s'est rendu en Île-de-France, plus précisément à Villeneuve-le-Roi (Val-de-Marne), où une partie des habitants a déjà les pieds dans l'eau.
Faut dire qu'en France les fleuves n'ont pas été dragués depuis plus de quarante ans ! d'où les débordements à la moindre pluie et les morts en plus des dégâts.
Le spécialiste chinois du textile Shandong Ruyi se serait positionné pour l’acquisition du chausseur de luxe suisse Bally. Ce groupe s’est lancé dans une vague d’achats tous azimuts pour renforcer son intégration verticale et monter en gamme
Anne Labadie, Hongkong jeudi 25 janvier 2018 à 19:01.
Il semble révolu ce temps où seuls les acheteurs professionnels de Daniel Hechter ou Armani connaissaient Shandong Ruyi, l’un de leurs fournisseurs. Le géant du textile chinois à l’appétit insatiable s’est forgé un nom, gagnant en notoriété à chaque nouvelle acquisition à l’international. Les chaussures de luxe suisses Bally sont le dernier trophée que le groupe entend ajouter à son tableau de chasse, a indiqué le 8 janvier dernier Bloomberg.
L’affaire n’est pas encore conclue, mais, selon des informations de presse, le chinois Shandong Ruyi est entré en négociation avancée avec JAB Holding, le propriétaire luxembourgeois de la marque fondée en 1851 à Schönenwerd (SO) et réputée pour ses chaussures et sacs en cuir pour hommes. Avec une offre à 700 millions de dollars, Shandong Ruyi tiendrait la corde, devant les autres repreneurs potentiels, dont Fosun – qui possède notamment le Club Med – et Fujian Septwolves. Sollicitées, les parties engagées n’ont pas fait de commentaire.
Ruyi, une entreprise familiale Etabli comme Shandong Ruyi Technology Group Ltd en 2001, le fabricant s’est depuis longtemps tissé une solide réputation dans l’industrie du textile en Chine, où il est l’un des plus puissants.
Le groupe a opté pour l’intégration verticale, de la production de fils de coton en Chine et de laine en Australie jusqu’à la fabrication et la vente de vêtements. Ruyi, c’est une entreprise familiale avec 40 ans d’expérience dans le textile en Chine, 13 usines, des ateliers de conception, 3000 points de vente, un réseau dans 36 pays et plus de 20?000 collaborateurs. Tissu teint, jean, fibre synthétique élastique, le groupe ne cesse d’étoffer son catalogue.
Marge en progression A la tête de Shandong Ruyi, Qiu Yafu, actionnaire à 51% du groupe coté à la bourse de Shenzhen. Cet amoureux et défenseur du luxe déclarait en 2010 vouloir être dix ans plus tard «le plus grand groupe de mode de Chine avec 5 milliards de dollars de chiffre d’affaires». L’objectif est atteint puisque, au 30 juin 2017, le groupe affichait 35,5 milliards de yuans de revenus, soit 5,5 milliards de dollars.
La marge brute de la compagnie a grimpé graduellement de 16,3% en 2013 à 20,7% en 2016, selon Moody’s. Et l’agence de notation prédit 5% d’augmentation des revenus 2018 pour le groupe, dont elle souligne «le fort appétit pour les acquisitions et les investissements dans les secteurs non textiles».
La fièvre acheteuse a débuté en 2010. Pour améliorer l’amont de la filière de son premier métier, le groupe acquiert des entreprises et leurs textiles innovants. Lycra est l’une de ses prises. Il fallait se doter de marques reconnues internationalement et ce, selon les explications de Qiu Yafu, afin de bénéficier du design et de la gestion d’une marque déjà établie.
Miser sur le «luxe abordable» Le patron rêvait notamment d’acquérir des marques en France, «le centre de la mode pour le monde entier», selon lui. Il a frappé dans le mille à la fin de 2016 avec l’acquisition pour 1,3 milliard d’euros (1,52 milliard de francs) de SMCP, le groupe d’habillement français plus connu au travers de ses marques phares Sandro, Maje et Claudie Pierlot. Cette acquisition lui a permis à la fois de se positionner sur le segment du «luxe abordable» prometteur en Chine avec la montée en puissance d’une classe moyenne, mais aussi de gagner en valeur ajoutée et d’entrer à la bourse de Paris.
Avant SMCP, Shandong Ruyi avait fait sienne la marque britannique Aquascutum, spécialisée dans les gabardines, mais aussi la japonaise Renown, l’italienne Nogara ainsi que Trinity Ltd, patron de la griffe de luxe britannique Gieves & Hawkes et ses célèbres costumes. Ruyi a également jeté son dévolu sur CS Agriculture Pty Ltd en Australie et a investi dans une centrale électrique au charbon au Pakistan.
Vers un écosystème complet Si aujourd’hui Shandong Rui vise Bally, c’est peut-être pour «construire un écosystème complet de marques de luxe grâce à sa composition structurelle en permanente évolution», explique Yuwan Hu, analyste chez Daxue Consulting. Cela passe du premier maillon de la chaîne de fournisseurs, avec les fournisseurs de textile comme le groupe américain Invista, jusqu’à l’autre bout du marché, avec des marques haut de gamme et de luxe pour hommes et femmes.
Autre explication: en cherchant à se développer davantage sur le long terme, en particulier dans les marques de luxe, Shandong Ruyi et ses produits pourraient bénéficier d’une haute valeur ajoutée, et cela en ferait «bien plus qu’une simple usine traditionnelle de fournisseurs», selon Yuwan Hu.
Aujourd’hui, le «made in China» n’est plus synonyme de low cost, fait remarquer la consultante de Daxue. Les entreprises manufacturières sont confrontées à une période de mise à niveau et de transformation. En conséquence, il semble «nécessaire» et «inévitable» que cette poignée de groupes chinois se lance dans les acquisitions «afin de rattraper leur retard et garder ou/et augmenter leur compétitivité sur le marché mondial», conclut-elle.
Le groupe Hirslanden a proposé ses compétences de management à l’hôpital public, qui n’a pas daigné le recevoir pour un dialogue
Michel Guillaume jeudi 25 janvier 2018 à 22:02.
L’Hôpital fribourgeois (HFR) est malade de ses coûts. Selon toute vraisemblance, il accusera un déficit oscillant entre 10 et 12 millions de francs pour l’année 2017, sans compter les 55 à 60 millions de prestations d’intérêt général que lui verse le canton. Mais il ne voit pas son salut dans une coopération avec le secteur privé. Au printemps dernier, sa directrice, Claudia Käch, a décliné toute offre de partenariat privé-public à la suite d’une demande du groupe de cliniques Hirslanden.
Hirslanden est le premier groupe de cliniques privées de Suisse. Il gère 17 cliniques, 14 en Suisse alémanique et 3 en Suisse romande: La Colline à Genève, Bois-Cerf et Cecil à Lausanne. Lors de son dernier exercice (2016-2017), il a réalisé un chiffre d’affaires de 428 millions, en progression de 3%. En mettant sur pied une nouvelle structure de direction, il a centralisé de nombreuses prestations non médicales pour permettre à ses cliniques de se concentrer sur les soins prodigués aux patients. Dès lors, son CEO, Ole Wiesinger, ne l’a pas caché: «Nous sommes ouverts à des mandats de management pour des hôpitaux publics.» Son groupe a acquis des compétences dans la standardisation des processus et les économies possibles dans l’achat de matériel dont pourrait profiter le service public.
Le conseil d’administration pas consulté C’est la raison pour laquelle il a pris contact, à fin avril 2017, avec la direction de l’Hôpital fribourgeois, dont il a appris les difficultés financières, pour lui proposer une collaboration. «Nous avons une structure de coûts basse et pouvons malgré cela offrir des prestations de soins de haute qualité. Peut-être pourrions-nous nous rencontrer pour envisager une collaboration», écrit Ole Wiesinger à la directrice générale de l'HFR, Claudia Käch.
Cette dernière n’est pas entrée en matière. Une semaine plus tard, le 4 mai, Claudia Käch décline la proposition. Elle indique que la direction a discuté de l’offre de Hirslanden, dont elle reconnaît qu’il est «un groupe connu et prospère», mais sans donner suite. Claudia Käch refuse donc le moindre entretien, «en tout cas à l’heure actuelle». Une lettre de dix lignes en tout, salutations comprises.
Le service de presse de l'HFR confirme au Temps qu’il n’a pas jugé opportun de discuter avec le groupe Hirslanden. «En tant qu’hôpital public, notre mandat est clairement défini par le canton: nous offrons une large palette de prestations médicales et au-delà, nous nous engageons dans la formation de la relève. L’HFR appartient à l’Etat et, en ce sens, nous sommes entre de bonnes mains. Il n’y a ni volonté ni nécessité de changer cette situation», déclare Jeannette Portmann, porte-parole de l’hôpital.
Hirslanden, un concurrent plus qu’un partenaire Qu’il n’y ait aucune volonté, c’est sûr. Dans le canton de Fribourg, le groupe Hirslanden est vu d’un mauvais œil par le service public. Certes, il n’y possède aucune clinique privée. En revanche, il a modernisé un centre médical à Guin qui, équipé d’un service de radiologie, propose des prestations ambulatoires appréciées de la population alémanique du canton. Or, ce centre, qui oriente souvent ses patients vers Berne en cas d’opérations, est considéré comme une concurrence par l'HFR.
Qu’il y ait en revanche nécessité de collaborer, cela pourrait au moins se discuter. Mais la direction n’a même pas daigné consulter son propre conseil d’administration sur cette question pourtant hautement stratégique. Or, la santé financière de cet hôpital public multisite (Fribourg, Billens, Meyriez-Morat, Riaz et Tavel) est «critique», de l’avis unanime des spécialistes. En témoigne une motion des députés au Grand Conseil Markus Bapst (PDC) et Peter Wüthrich (PLR), qui réclame une «révision totale» de la loi sur l’Hôpital fribourgeois.
«Au total, l’Etat dépense 330 millions de francs pour ses hôpitaux, tendance à la hausse. Les règles du jeu sont devenues une jungle incompréhensible pour les députés», déplorent les deux motionnaires. Deux mesures apparaissent urgentes: «Il faut donner à cet hôpital une gouvernance indépendante, de manière à ce qu’il s’affranchisse de la politique», déclare Markus Bapst. De plus, l’hôpital doit se doter d’une nouvelle convention collective de travail propre au personnel de santé. Actuellement, les 3300 collaborateurs sont assimilés à des employés de l’Etat, qui passent à un échelon supérieur de salaire chaque année.
Des défis pas anticipés Le Conseil d’Etat n’a pas encore répondu à cette motion. Il attend un audit sur la gouvernance de l’hôpital, prévu pour ce printemps. Mais il est d’ores et déjà évident que l’HFR n’a pas su anticiper les défis qu’a posés la libéralisation du marché hospitalier décrétée par les Chambres fédérales en 2012. Dans une interview accordée à La Liberté en septembre dernier, la ministre fribourgeoise de la Santé, Anne-Claude Demierre, l’a d’ailleurs admis: «Les coûts de l’HFR sont trop élevés.» Mais elle n’a pas indiqué les pistes d’économies à effectuer. L’hôpital n’exploite pas forcément trop de sites, mais il devrait revoir leurs prestations à la baisse. Dans certains benchmarks, il est franchement mauvais élève. Il emploie trop de personnel par rapport au volume de soins prodigués aux patients. La durée des hospitalisations est aussi supérieure à celle de la moyenne suisse.
Dans ces conditions, on peut se demander si l’HFR n’aurait pas eu intérêt à accepter de discuter avec un interlocuteur apportant un regard extérieur. «Nous sommes persuadés qu’en additionnant les compétences, des partenariats entre le public et le privé peuvent apporter des avantages pour les deux parties, dit-on chez Hirslanden. Qu’un hôpital soit géré par le public ou le privé est secondaire. L’essentiel est d’assurer des soins de qualité au meilleur coût.»
Pareillement que pour 'No Billag' où il s'agit de supprimer le service public de l'information pour n'avoir que des mensonges publiés par les réseaux privés étrangers (ou habitants en Suisse), l'hôpital Suisse est public, c-à-d qu'il appartient aux Suisses et ne doit en aucun cas être l'affaire d'entreprise privées étrangères.
Paul Craig Roberts prévient "Les enjeux de russiagate sont extrêmes"
par Tyler Durden Ven. 26/01/2018 - 00:10 Auteur de Paul Craig Roberts,
Le retard des républicains à publier le résumé de l'enquête de Russiagate du Comité de renseignement de la Chambre donne du poids à l'affirmation des journalistes selon laquelle le rapport n'est pas publié, parce que c'est une tentative de piratage de Trump qui n'est pas crédible. Seuls les républicains sont assez stupides pour se mettre dans une telle situation.
Les lecteurs me demandent pourquoi le résumé n'est pas publié s'il est réel. Il doit y avoir des raisons autres que la stupidité des républicains. Oui, c'est vrai. Parmi les nombreuses raisons qui pourraient bloquer la libération sont:
1) Les républicains sont très soucieux de la sécurité nationale. Ils ne veulent pas fournir de précédents pour la publication d'informations classifiées.
2) De nombreux districts du Congrès républicain accueillent des installations du complexe militaire / de sécurité. Détourner un grand employeur et diriger le financement d'une campagne vers un challenger est une considération importante.
3) Le régime George W. Bush / Dick Cheney était un régime néoconservateur. Une conséquence est que les républicains sont influencés par les néoconservateurs qui soulignent la prétendue "menace russe".
4) Le lobby israélien peut renverser n'importe quel membre de la Chambre et du Sénat. Le lobby israélien est allié aux néoconservateurs et cette alliance entend maintenir les Etats-Unis militairement actifs contre les menaces perçues à l'hégémonie israélienne au Moyen-Orient et contre la Russie, qui soutient la Syrie et l'Iran, pays perçus comme des menaces par Israël.
5) De nombreux républicains sont eux-mêmes investis dans de fausses allégations russiagates contre Trump et voudraient le remplacer par Pence. D'autres républicains croient que Trump mine les alliances étrangères coûteuses achetées par Washington et, partant, mine la puissance américaine.
Beaucoup d'Américains ne semblent pas comprendre ce qui est en jeu. Ce à quoi l'Amérique est confrontée est un complot organisé par les hauts fonctionnaires du département de la Justice d'Obama, du FBI, de la CIA, du Hillary DNC et des médias de presse pour renverser le résultat d'une élection démocratique et destituer le président. La base du coup est un faux dossier acheté pour de l'argent qui consiste en des allégations non étayées contre Trump et qui a été utilisé pour obtenir des mandats du compte de la FISA pour espionner Trump et divers associés espérant trouver quelque chose qui puisse être utilisé contre Trump. Quoi qu'il en soit, les fausses allégations pourraient être introduites dans les médias de la CIA et utilisées pour créer un scandale nécessitant un procureur spécial pour enquêter sur Russiagate.
Une fois l'enquête en cours, les journalistes ont poursuivi le scandale en espérant convaincre assez d'Américains que Trump devait avoir fait quelque chose - «là où il y a de la fumée, il y a du feu» - ce qui justifie son renvoi. Il a travaillé contre Richard Nixon, mais pas contre Ronald Reagan, et Trump n'est pas Reagan.
Si les plus hauts échelons des agences de l'État policier peuvent s'en tirer avec un coup d'État tenté ou réussi contre le président des États-Unis, alors c'est la fin complète de la démocratie et de toute la reddition de comptes au gouvernement. La Chambre, le Sénat et le pouvoir judiciaire deviendront aussi impuissants que le sénat romain sous les césars. Nous vivrons sous une dictature dirigée par des agences de police.
Beaucoup d'Américains disent qu'ils n'ont pas besoin du rapport d'intelligence de maison, parce qu'ils ne croient pas le BS de Russiagate en premier lieu. Ils manquent le point. Ils ont besoin du rapport, car les responsables de cette tentative de coup d'État doivent être identifiés, inculpés et poursuivis pour leur acte de haute trahison.
Ce n'est pas un problème mineur. Cela va au coeur de savoir si une forme de liberté existera. Nous savons tous que la capacité de la population à demander des comptes au gouvernement n'est pas garantie par la démocratie. Cependant, il n'y a aucune perspective de demander des comptes au gouvernement s'il s'agit d'un État policier, un chemin que les États-Unis empruntent depuis un certain temps. La tentative de coup d'Etat audacieuse contre le président Trump est notre chance de stopper l'élan vers un état policier.
Malgré mes récentes publications, beaucoup de gens ne comprennent pas que le document judiciaire de la FISA qui a été déclassifié et publié par William Binney et l'ancien procureur américain Joe di Genova contienne des aveux du FBI et du ministère de la Justice selon lesquels ils ont espionné obtenu des mandats de la cour sous de faux prétextes. En d'autres termes, nous avons l'autorité du tribunal FISA lui-même que le FBI et le DOJ ont admis à la cour leurs transgressions. Lorsque Stephen Boyd, attaché de liaison au Congrès du ministère de la Justice (sic), affirme que le ministère de la Justice «n'est au courant d'aucun acte répréhensible», il ment entre ses dents. Le DOJ a déjà avoué ses méfaits au tribunal de la FISA.
(Voir l'affirmation de Lendman sur Boyd selon laquelle la publication de la note nuirait à la sécurité nationale et aux enquêtes en cours, ce qui est toujours le cas lorsque le gouvernement doit couvrir ses crimes.)
Lorsque l'amiral Rodgers, directeur de la National Security Agency, a découvert que le FBI et le DOJ abusaient du système d'espionnage pour des raisons politiques partisanes, il a fait savoir qu'il allait informer le tribunal de la FISA. Cela a amené le FBI et le MJ à se précipiter à l'avance devant le tribunal et à avouer des «erreurs» et à promettre de resserrer les procédures afin de ne pas commettre d'erreurs à l'avenir. Ce sont ces «erreurs» et corrections que le document de la Cour FISA révèle.
En d'autres termes, l'information existe déjà dans le domaine public qui prouve que Russiagate était une conspiration organisée dans le but de faire tomber le président élu des États-Unis.
On peut faire valoir que ce serait tout aussi bien si le coup d'État réussissait car il mettrait fin à la couverture de Washington en tant que gouvernement d'une grande démocratie avec la liberté et la justice pour tous. La plupart des autres gouvernements, et on peut espérer que les gouvernements russe et chinois verront certainement le coup d'Etat comme la dernière transition de l'Amérique dans un état policier, abandonneront leurs idées utopiques pour parvenir à un accord avec Washington. Les contraintes sur la capacité de Washington à intimider le monde seraient grandement renforcées par la perception universelle que le gouvernement des États-Unis était devenu un État policier.
Ce qui manque juste aux États-Unis c'est que Donald Trump rapporte et copie enfin le modèle Suisse en instaurant la première Démocratie aux States et la deuxième au monde après la Suisse !
Immigrants Vs. Aliens: Le Global Invasion-Giveaway continue
par Tyler Durden Jeu. 25/01/2018 - 23:30 Auteur de Jeremiah Johnson (nom de plume d'un béret vert à la retraite des forces spéciales de l'armée américaine) via SHTFplan.com,
Les États-Unis étaient une nation fondée par des immigrants, et l'immigration a toujours eu une voie nette vers la citoyenneté américaine. Les États-Unis ont été construits par vagues successives d'immigrants venus en Amérique à la recherche d'une vie meilleure. Il y a une différence entre être un immigrant et être un étranger illégal. Les immigrants suivent les règles de la nation qu'ils émigrent et poursuivent une voie légitime vers la citoyenneté permanente ou vers l'emploi légal dans le pays. Les étrangers clandestins contournent tous les systèmes juridiques en place ... des règles conçues pour protéger les citoyens du pays de nombreuses façons.
Au cours des 100 dernières années, les États-Unis ont poursuivi une politique de laissez-faire envers les étrangers illégaux. Une grande partie de ceci était parce que les entreprises et les industries américaines telles que l'agriculture et l'exploitation minière, par exemple, ont voulu que les étrangers illégaux viennent ici. Ils voulaient les payer sous la table, en évitant les impôts et les retenues, et en contournant le salaire minimum. Le public était également complice: fermer les yeux, à condition qu'il ne les touche pas directement.
Mais ça l'a fait ... et année après année, des dizaines de milliers d'étrangers illégaux ont traversé nos frontières et ont commencé leur nouvelle vie en Amérique ... au détriment des citoyens américains.
Maintenant, il a changé en quelque chose de complètement différent:
Maintenant, c'est une partie du jeu socialiste basé sur Cloward et Piven, et les actions et les doctrines d'Alinsky pour détruire les États-Unis de l'intérieur; il est devenu un mouvement mondial vers l'objectif de la gouvernance mondiale.
Ce n'est pas l'immigration, ni aux États-Unis ni dans le monde entier. C'est la destruction planifiée et systématique des identités et des souverainetés nationales. Ceci est accompli de plusieurs manières:
Les différences religieuses sont si prononcées entre ces extraterrestres musulmans et les citoyens des nations traditionnellement chrétiennes d'Europe que les tensions sous-jacentes sont à un pas de la guerre entre citoyens et étrangers.
Les lois de ces pays sont «restructurées» pour faciliter l'insertion de ces étrangers contre les volontés des citoyens hôtes.
Les efforts (globalement) sont coordonnés et financés par un consortium d'oligarques et de politiciens qui utilisent le chaos, la confusion et l'instabilité pour détruire les nations et les pousser vers la gouvernance mondiale.
Les armées d'ONG (Organisations Non Gouvernementales) sous des apparences d '«efforts humanitaires» ou de «dialogue politique» sont en réalité des «ambassades» et des représentants de front pour mener à bien la dissolution planifiée des frontières nationales et recruter des «5ème chroniqueurs». "Pour détruire ces nations de l'intérieur.
Le monde de 1984 de George Orwell se solidifie de jour en jour: surveillance accrue, libertés décroissantes et tensions à travers le monde pour déséquilibrer des populations entières tout en alimentant la machine de guerre avec de l'argent ... des fonds imposés ... du complexe industriel militaire mondial.
Van Jones: "De haut en bas, de bas en haut."
Encourager les «révolutions» des jeunes stupides et incompréhensibles, qui croient tous à l'absurdité de «faire la différence» quand ils jouent les rôles de marionnettes dans les mains des mondialistes. Devine quoi? Les mondialistes vont rassembler les «nouveaux Bohémiens» et leur tirer une balle dans la tête à la fin.
La Hongrie et la Tchécoslovaquie sont maintenant les seules nations à avoir des dirigeants qui s'opposent à l'invasion de l'Europe: l'insertion planifiée et délibérée d'étrangers illégaux dans les nations européennes. Tout cela est conçu pour détruire l'homogénéité des populations, détruire les frontières, la langue, la culture et les religions des nations, et permettre la suppression des frontières nationales ... créant ainsi des "continents" gigantesques pour les "juntes" d'oligarques et politicos à gouverner.
Gefira a publié un morceau le 19/01/18 intitulé The Incredible Shrinking Population: d'ici 2080, les Italiens seront une minorité dans leur propre nation. L'article souligne que les «migrations» de masse en provenance d'Asie et d'Afrique submergeront et éclipseront une population dont le taux de natalité est déjà bas. L'article est une "tranche représentative" de la tarte entière, comme cela est dupliqué dans chaque nation en Europe, sauf pour les deux mentionnés précédemment.
Le président fait appliquer les lois, et les illégaux aux États-Unis sont expulsés. Il y a un autre côté de la bascule qui mérite d'être mentionné, cependant, comme "chaque rose a son épine". La "épine" ici étant ceci:
Les clandestins expulsés des États-Unis ne sont pas «expulsés» au même rythme que les autres, et les vis se resserrent en scrutant les citoyens: un pas loin de choses telles qu'une carte d'identité nationale et un état policier permanent.
Le génie maléfique des mondialistes est leur capacité de «balancer» le jeu, et comme ils accomplissent une chose (peut-être cachée), si elle semble être «bonne» ou en opposition à leurs plans? Sous un examen plus attentif, il montre un ordre du jour caché, un but qui semble bon à la surface, mais un examen plus approfondi peut être modifié pour servir des intentions néfastes.
Ainsi, c'est avec les insertions favorisées d'étrangers illégaux dans les pays d'Europe et aux États-Unis. La partie ironique est que ces extraterrestres sont des outils involontaires dont les mondialistes se moquent et qui ne font que l'utiliser. Une fois que le monde sera sous leur domination, les extraterrestres seront traités de la manière décrite avec les «jeunes révolutionnaires» avant ... avec le reste des citoyens qui ne peuvent pas être rendus conformes dans la gouvernance mondiale qui se rapproche de la fructification chaque jour.
En Démocratie, ce n'est PAS le rôle du chef de l'État de parler de 'parti politique' ou de 'religion' mais UNIQUEMENT au Peuple de s'exprimer pour voter ses propres lois. Ce qui est en train de se passer aux États-Unis c'est une invasion d'ANTI-américains qui soutiendront la dictature et refuseront la Démocratie !
Le pire des dangers est le 'mondialisme', c'est-à-dire cette ouverture des frontières (non pas aux touristes) mais aux immigrants qui apportent chacun avec eux leurs problèmes !
Ce ne sont donc pas des immigrants venu en Amérique pour en accepter ses lois mais pour les détruire et instaurer leurs lois !!!
Paréidolie : Pourquoi vous avez choisi ce SUV (ou toute autre voiture)
Sarah Liénart 26 janvier 2018
Saviez-vous que vous êtes atteint de paréidolie ? Pas de panique, on vous explique : la paréidolie, c’est la tendance à voir des visages là où il n’y en a pas. Dans les nuages, la lune, les falaises… et sur les voitures. Ce phénomène pourrait même nous aider à comprendre l’un des phénomènes les plus difficilement explicables sur le marché automobile de ces dernières décennies.
Il est prouvé que nous préférons les voitures avec des « visages », ce qui peut expliquer pourquoi les modèles les plus populaires depuis les années 1920 ont tous “deux yeux” et une “bouche centrale”, alors que les voitures “sans visage” nous inspirent de la méfiance.
La paréidolie est profondément ancrée dans la nature humaine Cette préférence a probablement des origines évolutionnaires. Être capable de distinguer un visage humain du museau d’un redoutable prédateur dans une forêt dense et sombre était crucial pour la survie à l’époque préhistorique. Puis, lorsque les groupes humains ont commencé à entrer en contact les uns avec les autres, la capacité à décrypter les émotions, et les intentions sous-jacentes est devenue essentielle. Il fallait être capable de reconnaître l’hostilité, ou au contraire, la bienveillance. Là encore, la capacité à “lire” les visages était déterminante pour la survie et la reproduction.
Ainsi, lorsque des chercheurs ont rencontré les membres d’une tribu isolée d’Éthiopie, et qu’ils leur ont soumis des photos de voitures modernes, ils ont constaté que les sujets de leur expérience identifiaient immédiatement les “visages” des voitures, bien qu’ils n’avaient jamais rien vu de tel auparavant.
Les automobilistes veulent une voiture avec un visage Les essais des constructeurs pour éliminer les visages des voitures, ou pour les modifier à tel point qu’ils ne sont plus immédiatement reconnaissables, se sont pour la plupart soldés par des échecs.
Récemment, le changement de style de la Tesla Model S a fait des mécontents : sa (fausse) calandre est presque inexistante, alors que nous associons la calandre d’une voiture avec sa bouche.
La préférence pour les véhicules dotés de visages peut aussi aider à comprendre la montée en popularité des véhicules utilitaires sportifs (SUV) et des Crossovers dans les années 1990. Alors que beaucoup de voitures à l’époque imitaient les Audi 5000 1984 à la moitié de visage (nez bas, phares presque inexistants…), les premiers véhicules multi-segments avaient tous de bons visages expressifs.
De nombreux acheteurs ont préféré délaisser les véhicules sans visage en faveur de ceux qui nous inspiraient les élans paréidoliques les plus lyriques.
Lorsque l'on acquiert un véhicule on veut qu'il ait de la gueule. Certains se contentent de merdes dessinées par le juif a.h. portant le nom de 'coccinelle', d'autres subliment ces merdes en la montrant dans des films ou dessins animés pour enfants !!!
Rien ne vaut Les belles Américaines... qui ne sont plus fabriquées aujourd'hui !!! ni même aux carrosseries copiées !!
VENEZUELA - OPPOSITION EST ÉCARTÉE DE LA PRÉSIDENTIELLE La Cour suprême vénézuélienne a ouvert la voie jeudi à une réélection de Nicolas Maduro, en écartant l'opposition du prochain scrutin.
26.01.2018, 05h34
La voie semble libre pour la réélection de Nicolas Maduro: la Cour suprême de Justice du Venezuela, considérée comme acquise au président socialiste, a créé la surprise jeudi en excluant la principale coalition d'opposition de la prochaine présidentielle anticipée, prévue d'ici fin avril.
«Le Conseil national électoral doit exclure la Table de l'Unité démocratique (MUD) du processus» électoral, selon la décision de la Cour qui autorise ce conseil à repousser de six mois l'inscription des partis d'opposition, dont cette coalition, en vue de ce scrutin. Cette inscription était prévue au départ pour samedi et dimanche.
La MUD, composée des trois principaux partis d'opposition, Action Démocratique (AD), Volonté populaire et D'abord la justice, devait se réinscrire après avoir refusé de participer aux élections municipales du 10 décembre pour dénoncer une fraude lors des régionales du 15 octobre.
Depuis la décision de l'Assemblée constituante, dotée de pouvoirs étendus et acquise au chef de l'Etat socialiste Nicolas Maduro, de convoquer un scrutin avant le 30 avril au lieu de fin 2018, plusieurs adversaires du pouvoir avaient manifesté leur envie d'y participer, montrant une opposition divisée.
Parmi eux, deux des principaux partis qui composent l'alliance de l'opposition, Volonté populaire et D'abord la Justice, songeaient à présenter un candidat indépendant pour affronter Nicolas Maduro. Plusieurs noms avaient été avancés: l'entrepreneur Lorenzo Mendoza, l'ancien secrétaire exécutif de la MUD Ramon Guillermo Aveledo et le recteur de l'université centrale du Venezuela, Cecilia Garcia.
Les principales figures de l'opposition, Henrique Capriles et Leopoldo Lopez, étaient déjà dans l'incapacité de concourir car privés de leurs droits civiques. Le second est en outre assigné à résidence, accusé d'avoir encouragé des manifestations contre Nicolas Maduro qui avaient fait 43 morts.
«Le TSJ annule le ticket d'entrée de la MUD, la plus populaire de l'histoire du pays», a souligné auprès de l'AFP l'analyste politique Eugenio Martinez. Il faisait référence à la victoire de la MUD aux élections législatives de fin 2015, qui avait déclenché une crise politique dans un pays où toutes les institutions étaient jusqu'alors aux mains des chavistes, du nom de l'ex-président socialiste Hugo Chavez (1999-2013).
La crise politique s'est doublée dans ce pays pétrolier d'une grave crise économique, déclenchant des manifestations violentes contre le président Maduro qui ont fait 125 morts d'avril à juillet.
Même si la cote de popularité de Nicolas Maduro est remontée légèrement, le taux d'insatisfaits est de 70%, selon l'institut de sondage Delphos. Une partie des Vénézuéliens lui reproche pénurie d'aliments et hyperinflation, attendue à 13'000% en 2018, selon le FMI.
Nicolas Maduro risque de s'attirer de nouvelles foudres de la communauté internationale qui avait déjà condamné la décision du pouvoir d'avancer la présidentielle. Ce vote «ne serait pas le reflet de la volonté des Vénézuéliens, et serait perçu par la communauté internationale comme étant antidémocratique et illégitime», a dénoncé mercredi Washington, qui a également infligé des sanctions à Caracas l'été dernier.
Qualifiant Maduro de «dictateur», les Etats-Unis, suivis par le Canada, ont gelé ses avoirs et interdit à leurs banques et à leurs citoyens d'acheter de nouvelles obligations ou de négocier des accords avec le gouvernement vénézuélien.
En Amérique latine, le Venezuela, autrefois soutenu par les gouvernements de gauche apparaît bien seul après le virage régional à droite: les douze pays latino-américains du Groupe de Lima ont également critiqué Maduro.
Cependant, malgré la levée de boucliers internationale et des voyants économiques au rouge vif, Maduro, 55 ans, tient bon, en partie grâce au soutien de puissants alliés, la Russie et la Chine.
Car le Venezuela, qui fut le pays le plus riche d'Amérique latine, a un atout de poids: les plus grosses réserves pétrolières de la planète. Et la remontée de l'or noir, qui a terminé mercredi à ses plus hauts niveaux depuis 2014 à New York et à Londres, vient renforcer la marge de manoeuvre de Caracas. (afp/nxp)
Le tribunal a pris la sage décision d'écarter les groupes terroristes (étrangers immigrés) qui s'en été déjà pris à la vie d'Hugo Chavez et avait même diffusé de fausses informations sur des fausses manifestations montrées en montages vidéos. Tous étaient membres de la CIA Américaine.
Traverser les frontières ? Un jeu d’enfants pour les criminels…
Les criminels ont une fâcheuse tendance à passer les frontières afin de se protéger des conséquences judiciaires de leurs actes. Un comble, au regard des moyens de surveillance qui existent et que les États entendent renforcer.
Par Gustave Broquet. 26 JANVIER 2018
Des vacances au soleil, les pieds dans l’eau, un cocktail à la main… Qui n’en rêverait pas ? Pour les trafiquants et mafieux en tout genre, cela n’a pourtant rien du cliché de carte postale. Riches, puissants et bien souvent dotés de plusieurs passeports, ces caïds se jouent des frontières, qu’ils traversent au gré de leurs envies… Et de leurs démêlés avec la justice.
Un comble, alors que la majorité des citoyens, terrorisme et État d’urgence obligent, vivent sous le joug d’une surveillance étatique de plus en plus intrusive. D’autant que certains de ces malfrats choisissent parfois, pour leur retraite dorée, des États tout sauf bananiers, à l’image de la France, du Royaume-Uni et d’autres pays de l’Union européenne (UE).
MOUKHTAR ABLIAZOV, UN GLOBE-TROTTER HORS REPÈRE
Inconnu des Français, c’est pourtant dans notre pays que réside l’oligarque originaire du Kazakhstan, Moukhtar Abliazov. Ce dernier a fui son pays à la suite de la découverte de malversations par les autorités kazakhes.
Lorsqu’il présidait la banque BTA, il aurait floué des milliers de petits épargnants et détourné à son profit la bagatelle de 10 milliards de dollars. Par ailleurs, des investisseurs russes et ukrainiens auraient également été «victimes des détournements de fonds d’Abliazov ». Résultat : l’oligarque se retrouve poursuivi par la justice du Kazakhstan, de l’Ukraine et de la Russie.
Rattrapé par son passé, Moukhtar Abliazov s’est donc envolé vers le Royaume-Uni, pays où il a résidé trois ans avant de prendre — une fois de plus — la poudre d’escampette.
La raison ? Les procédures intentées par BTA Banque auprès des autorités britanniques ont fini par porter leurs fruits. Le Kazakh a été condamné par la justice anglaise, en 2012, «à 22 mois de prison, pour outrage à la cour et pour dissimulation de sociétés-écrans ».
C’est à ce moment-là qu’il décide de quitter précipitamment l’Angleterre, direction la France. Ainsi, la libre circulation des hommes dans l’Union européenne semble être une réalité, même pour les criminels les plus recherchés.
Et si Moukhtar Abliazov — visé alors par une «notice rouge» d’Interpol — a bien été appréhendé par les autorités françaises et a passé quelques années dans la prison de Fleury-Mérogis, le temps d’étudier la demande d’extradition émise par la Russie, il en est sorti — par la grande porte — le 9 décembre 2016.
Ce même jour, allant à l’encontre de l’ensemble des décisions judiciaires dans ce dossier, le Conseil d’État a, en effet, annulé le décret d’extradition vers la Russie qui le visait. Il lui sera désormais encore plus facile de poursuivre sa visite du vieux continent.
RETOUR À LA MAISON
Pour d’autres en revanche, c’est une autre paire de manches. En témoigne le sort de Chen Wenhua, ce ressortissant Chinois extradé par la France vers son pays d’origine en septembre 2016. Recherché pour crimes économiques dans la province du Zhejiang, Chen Wenhua a été remis aux autorités chinoises en vertu d’un traité d’extradition entré en vigueur en 2015 entre les deux pays, et à la suite de l’opération Skynet, mise en place par Pékin afin de rapatrier les suspects de corruption ayant fui à l’étranger.
«Il s’agit d’une avancée considérable et d’un nouvel exemple réussi du rapatriement de criminels depuis des pays européens, après l’Italie et l’Espagne», s’est félicité le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères. Si l’Empire du Milieu est fier de voir Chen Wenhua lui revenir, ce dernier avait tout de même réussi à atteindre l’Hexagone — là aussi avec une facilité déconcertante — avant d’être interpellé en 2015 par la police française. Une fois que la Chine aura terminé d’installer «le système de caméras de surveillance le plus sophistiqué au monde», les criminels chinois seront peut-être appréhendés avant d’entamer leur tour du monde. L’avenir nous le dira…
EN CAVALE PENDANT DES ANNÉES
Côté français, le trafiquant Christian Parent — condamné en 2014 par le tribunal de Marseille à 18 ans de réclusion pour trafic de cocaïne — est pour sa part resté en cavale pendant plusieurs années et en a profité pour traverser l’Atlantique — le tout alors qu’il était fiché au grand banditisme et sous le coup de deux mandats d’arrêt. C’est en Colombie, à la fin de l’année 2016, que sa balade a pris fin. Les autorités colombiennes l’ont alors remis à la France et Christian Parent a écopé, en décembre 2017, de 16 ans de réclusion.
Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, l’Amérique du Sud est une terre d’élection pour les criminels du monde entier. Rocco Morabito, membre de la Ndrangheta, la mafia calabraise, a ainsi été arrêté en Uruguay en septembre dernier, après pas moins de 23 années de cavale.
Recherché par la police italienne et faisant, lui aussi, l’objet d’un signalement par Interpol, il faisait partie des criminels les plus recherchés par Rome — ce qui ne l’a pas empêché de changer de continent.
Comme son collègue Christian Parent, il coulait des jours heureux au sein d’une station balnéaire. Et si, en ce qui les concerne, la Justice a fini par les rattraper, certains criminels courent toujours. En témoigne la liste des fugitifs les plus recherchés publiée chaque année par Interpol. Certains sont recherchés depuis plus d’une décennie…
Au regard de la facilité avec laquelle certains criminels traversent les frontières, il est légitime de se demander qui sont ceux qui font l’objet d’une réelle surveillance de la part des autorités, ou tout du moins, si les outils de surveillance de masse — comme ceux mis en place au Royaume-Uni par exemple — fonctionnent. Une question primordiale, à l’heure où et le terrorisme ne cesse de se propager. Tous les Français ont encore en mémoire les quatre interminables mois durant lesquels le terroriste Salah Abdeslam était en cavale…
Pourquoi nous sous-estimons l'effondrement américain
par Tyler Durden Jeu., 25/01/2018 - 18:01
Si vous imbibiez votre flux de nouvelles sanctionné par les médias sociaux de la paume de votre main, vous pourriez presque être pardonné de penser que tout est génial (avec peut-être un clin d'œil à votre parti implicite que les choses seraient «géniales» si "l'autre côté" vient de s'écarter).
Cependant, si vous avez les yeux ouverts comme une matrice sur le monde réel qui vous entoure, le nombre de titres divergents et dissonants commence à vous interroger sur la réalité de l'Amérique exceptionnelle ... des prix records, des sans-abri record, des records en matière de nourriture timbres, et ainsi de suite ...
Mais comme Umair Haque, via Eand.co, écrit la pourriture va plus loin et est de loin plus grave.
Lorsque nous examinons de près l'effondrement des États-Unis, nous constatons un nombre croissant de pathologies sociales. Pas n'importe quel genre. Pas même troublant, inquiétant et dangereux. Mais étranges et bizarres. Unique. Des singuliers et horriblement bizarres que je n'ai jamais vraiment vus auparavant, et en dehors d'une dystopie écrite par Dickens et Orwell, ni vous, ni l'histoire.
Ils suggèrent que quels que soient les «chiffres» que nous utilisons pour représenter le déclin - rétrécissement des revenus réels, des inégalités, etc. - nous sous-estimons en réalité grossièrement ce que les experts appellent le «péage humain». comme le désespoir écrasant, la rage et l'angoisse de vivre dans une société qui s'effondre.
Haque présente cinq exemples de ce qu'il appelle les pathologies sociales de l'effondrement - étranges, étranges et horribles nouvelles maladies, pas seulement celles que l'on ne voit habituellement pas dans les sociétés saines, mais celles que nous n'avons jamais vues auparavant dans aucune société moderne .
L'Amérique a eu 11 fusillades dans les écoles au cours des 23 derniers jours.
Pourquoi les enfants américains s'entretuent-ils ?
Pourquoi les gens abuseraient-ils des opioïdes en masse comme nulle part ailleurs dans le monde ?
Comment les personnes âgées américaines ont-elles été trompées de dignité ?
Et c'est ma dernière pathologie: c'est une de l'âme, pas un des membres, comme ceux ci-dessus.
Les Américains semblent être assez heureux tout simplement en se regardant mourir de toutes les manières ci-dessus
Comme le note Umair, si ces pathologies se produisaient dans n'importe quel autre pays riche - même dans la plupart des pays pauvres - les gens seraient atterrés, choqués et étonnés, et certainement déplacés pour les empêcher de se produire. Mais en Amérique, ils ne sont même pas résignés. Ils sont indifférents, surtout.
La vision inquiétante de Haque sur notre monde conclut
L'effondrement américain est beaucoup plus grave que nous le supposons. Nous sous-estimons son ampleur sans la surestimer. Les intellectuels américains, les médias et la pensée ne posent aucun de leurs problèmes dans une perspective globale ou historique - mais quand ils sont vus de cette façon, les problèmes de l'Amérique ne sont pas seulement les ennuis quotidiens d'une nation en déclin, mais quelque chose comme corps soudainement attaqué par des maladies inimaginables.
Si le monde suit le modèle américain - capitalisme extrême, pas d'investissement public, la cruauté comme mode de vie, la perversion de la vertu quotidienne - alors ces nouvelles pathologies sociales suivront aussi. Ils sont de nouvelles maladies du corps social qui ont émergé de l'alimentation de la malbouffe - médias indésirables, la science de la malbouffe, l'art de la malbouffe, l'économie de la malbouffe - que l'Amérique a nourri trop longtemps.
(...) L'Amérique a eu 11 fusillades dans les écoles au cours des 23 derniers jours. Pourquoi les enfants américains s'entretuent-ils ? (...)
Parce que des armes passent tous les jours la frontière. L'histoire d'accorder l'identité américaine à des millions de terroristes (dits 'mexicains' ou 'latinos' Hahahaha !) est que bientôt, ce seront eux qui garderont les frontières !!! (parce qu'ils sont les seuls à parler l'arabe ! Hahahaha !).
(...) Pourquoi les gens abuseraient-ils des opioïdes en masse comme nulle part ailleurs dans le monde ? (...)
Voir réponse ci-dessus.
(...) Comment les personnes âgées américaines ont-elles été trompées de dignité ? (...)
Par manque de Démocratie. La Démocratie est incompatible avec la dictature. Il ne peut donc y avoir de 'partis démocrates' en dictature. Idem pour la Liberté d'aller d'un mur à l'autre en prison !
C'est le terme de la pornographie faite en utilisant la technologie assistée par intelligence artificielle pour superposer le visage d'une personne sur le corps d'un autre artiste - permettant essentiellement au producteur de créer du faux porno mettant en vedette des célébrités, des politiciens ou même la moyenne.
Dans un rapport publié mercredi, Motherboard a raconté comment ils ont découvert un utilisateur sur Reddit responsable de la production de vidéos porno convaincantes mettant en vedette des célébrités comme Gal Gadot, Maisie Williams et Taylor Swift.
Bientôt, la technologie utilisée pour créer des "deepfakes" sera largement disponible pour être utilisée par les extorqueurs et les criminels avec une compréhension superficielle du fonctionnement du logiciel. Un autre redditor découvert par Motherboard a même créé une application spécialement conçue pour permettre aux utilisateurs sans formation en informatique de créer du faux porno assisté par ordinateur. Tous les outils dont vous avez besoin pour réaliser ces vidéos sont gratuits, facilement disponibles et accompagnés d'instructions qui accompagnent les débutants tout au long du processus.
Il y a deux mois, le premier redditor mentionné ci-dessus a créé un subreddit dédié à la pratique.
En peu de temps, le subreddit a déjà rassemblé plus de 15 000 abonnés. Au sein de la communauté, le mot "deepfake" lui-même est maintenant un nom pour les types de vidéos fausses générées par réseau neural leur nom de famille a été pionnier, selon Motherboard.
Un autre "deepfake" auteur créé une application appelée FakeApp, une application conviviale qui permet à quiconque de recréer ces vidéos avec leurs propres ensembles de données. L'application est basée sur l'algorithme de deepfakes, mais un autre utilisateur qui utilise deepfakeapp a créé FakeApp sans l'aide des deepfakes originaux. Bien qu'aucun de ces gens n'ait divulgué son identité à Motherboard, l'utilisateur connu sous le nom de Deepfakeapp a déclaré dans un message direct que son but avec FakeApp était de rendre la technologie de deepfakes accessible aux personnes sans expérience technique ou programmation.
"Je pense que la version actuelle de l'application est un bon début, mais j'espère la rationaliser encore plus dans les jours et les semaines à venir", a-t-il déclaré. "Finalement, je veux l'améliorer au point où les utilisateurs potentiels peuvent simplement sélectionner une vidéo sur leur ordinateur, télécharger un réseau de neurones corrélé à un certain visage d'une bibliothèque accessible au public, et échanger la vidéo avec un visage différent avec la presse de un bouton. "
Peter Eckersley, informaticien en chef à l'Electronic Frontier Foundation, craint que la technologie n'atteigne bientôt le stade où les contrefaçons sont pratiquement indiscernables pour les vidéos authentiques.
"Je pense que la version actuelle de l'application est un bon début, mais j'espère la rationaliser encore plus dans les jours et les semaines à venir", a-t-il déclaré. "Finalement, je veux l'améliorer au point où les utilisateurs potentiels peuvent simplement sélectionner une vidéo sur leur ordinateur, télécharger un réseau de neurones corrélé à un certain visage d'une bibliothèque accessible au public, et échanger la vidéo avec un visage différent avec la presse de un bouton. "
Les failles postées dans le subreddit ont déjà été présentées comme réelles sur d'autres sites; Un adieu à Emma Watson en train de prendre une douche a été mis en ligne par CelebJihad, un site porno de célébrités qui publie régulièrement des nus de célébrités piratés, comme une «vidéo jamais vue auparavant» censément de la «collection privée» de l'utilisateur.
Faux Voici un exemple de "deepfake"
D'autres redditors ont pris des vidéos filmées à partir des comptes Instagram des célébrités et les ont utilisées pour simuler de manière convaincante les messages de Snapchat.
"Deepfakes" ne sont guère un phénomène nouveau. En juillet dernier, nous avons rendu compte d'un projet mené par Matthias Niessner de Stanford qui a réussi à créer plusieurs vidéos truquées de l'ancien président américain Barack Obama.
Bientôt, cette technologie pourrait créer des problèmes pour tout le monde, qu'il s'agisse des gouvernements, des entreprises ou des médias - qui auront maintenant plus de mal à distinguer les véritables «fausses nouvelles» de la réalité.
Rendez vous compte que même en Suisse (seule Démocratie au monde) il y a la presse étrangère anti-suisse installée qui publie chaque jour de FAUSSES nouvelles, FAUX sondages et photos inappropriées à l'évènement (par exemple quelqu'un qui rit sur une photo pour illustrer un article sur la mort de quelqu'un !). C'est aussi ce qui se passe sur site où sont publiées des vidéos de propagande nazies pour les enfants !!! et où les commentaires désobligeants sont censurés et le compte fermé !!!
Après un lundi de neige en début de semaine – jusqu’à 35 centimètres par endroit – la température a chuté à Tokyo atteignant moins dix degrés dans certains quartiers de la lointaine banlieue. Mon fils puiné habite Tokyo à 25 minutes en train du centre-ville si on peut dire qu’il y a vraiment un centre-ville dans cette immense agglomération. Il a eu la douloureuse surprise de constater que les canalisations d’eau extérieures de son système de chauffage avaient gelé dans la nuit de mardi à mercredi. Un désastre !
Tokyo est situé à la latitude d’Alger et tout près de l’Océan alors il est rare qu’il neige aussi abondamment (illustration : le jardin de mon fils lundi soir) puis que les températures chutent aussi bas : du jamais vu depuis 48 ans ! Et l’hiver n’est pas terminé.
Cet évènement météorologique est probablement la conséquence du réchauffement climatique d’origine humaine. Sans autre commentaire.
"SORTIR DE CARTES GRATUITES" SONT RÉELS - ET LES COPS LES ONT DONNÉS
25 JANVIER 2018 CAREY WEDLER | THEANTIMEDIA.ORG
New York, New York - Un privilège policier peu connu porté par un grand syndicat fait maintenant la une des journaux. Selon un rapport du New York Post, la Patrolmen's Benevolent Association (PBA), qui représente les officiers à New York, a récemment réduit le nombre de cartes «sortir de prison» que les agents peuvent délivrer à leurs amis et à leur famille pour des infractions mineures.
«Le patron de l'Association bienveillante des patrouilleurs, Pat Lynch, a réduit de 30 à 20 le nombre maximal de cartes pouvant être délivrées aux policiers actuels et de 20 à 10 aux retraités, ont indiqué des sources à The Post.
En fin de compte, «sortir des cartes gratuites de prison» n'est pas simplement un aspect fictif du jeu de plateau de Monopoly. Lorsque les agents donnent ces cartes, les destinataires peuvent théoriquement les utiliser pour prétendre à la taille. En signalant aux agents qui les renvoient qu'ils connaissent d'autres flics, ils réduisent leurs chances d'être cités. Lynch aurait coupé le nombre de problèmes de cartes, car certains étaient vendus sur eBay.
NJ.com a rapporté sur ces cartes spéciales il y a près de six ans, soulignant en particulier leur nature secrète. En écrivant pour le point de vente, Kevin Manahan a raconté ses efforts en essayant d'obtenir des commentaires des policiers à leur sujet.
"J'ai appelé les patrouilleurs (cliquez). Détectives (cliquez). Sergents (cliquez). Lieutenants (cliquez). Capitaines (cliquez). Chefs adjoints (cliquez). Les chefs de police (cliquez). J'ai essayé d'obtenir le commentaire du président de la PBA, Anthony Wieners (grillons). C'est un sujet sensible. "
"Personne ne veut aller au dossier à ce sujet", lui aurait dit un officier. "Les gens lisent ceci, et ils se fâchent et commencent à crier sur les privilèges spéciaux. Ce n'est pas une bonne publicité. "
Ces cartes ont apparemment été autour depuis un certain temps. "Je reviens 40 ans en arrière et ils ont été aussi loin que je me souvienne", a déclaré Wayne Fisher, directeur de l'Institut de police de l'Université Rutgers. "Je suis sûr qu'ils reviennent beaucoup plus loin que ça."
Bien que selon ce rapport de 2012, les cartes sont devenues moins efficaces au fil des ans, la décision de Lynch a encore attiré l'indignation.
"Ils traitent des membres actifs comme s-t, et des membres retraités encore pire que s-t", a déclaré un policier de la police de New York qui a pris sa retraite en raison d'un handicap. "Tous les flics auxquels j'ai parlé étaient. . . très déçu qu'ils ne puissent pas les distribuer comme des cadeaux de Noël. "
Le NYPD et PBA a refusé de commenter l'histoire, qui met en évidence les différentes normes de justice appliquées aux policiers et aux citoyens ordinaires sans privilèges spéciaux. La PBA s'est imposée comme un allié impitoyable des officiers, se précipitant souvent à leur défense même lorsqu'ils commettent des actes de violence contre des individus non armés et non-violents.
Les organismes extrémophiles - robustes vivant dans des endroits qui tueraient la plupart de la vie sur Terre - fournissent des aperçus fascinants sur l'évolution, le métabolisme et même la vie extraterrestre possible. Une nouvelle étude fournit un aperçu de la façon dont un type d'extrêmophile, un microbe aimant la chaleur qui utilise l'ammoniac pour la production d'énergie, a pu être capable de faire la transition de sources chaudes à des environnements plus modérés à travers le globe. La toute première analyse de l'ADN d'un organisme contemporain qui aime la chaleur et l'oxydation de l'ammoniac, publiée dans la revue à accès libre Frontiers in Microbiology, révèle que l'évolution des adaptations nécessaires a pu être facilitée par des éléments génétiques hautement mobiles et un échange d'ADN. variété d'autres organismes.
La plupart des extrémophiles sont des micro-organismes - et parmi les plus extrêmes, on trouve les archées, un ancien groupe d'organismes unicellulaires intermédiaires entre les deux autres domaines de la vie, les bactéries et les eucaryotes. Différentes lignées d'archées sont spécialisées dans différents environnements extrêmes, y compris les sources chaudes brûlantes, les lacs incroyablement salés, les tranchées profondes sans soleil et les déserts antarctiques glacials. Une seule branche, Thaumarchaeota, a réussi à coloniser avec beaucoup de succès les lieux les plus hospitaliers de la Terre - mais les scientifiques ne savent pas pourquoi.
«Les Thaumarchaeota sont présents en très grand nombre dans presque tous les environnements, y compris les océans, les sols, les feuilles des plantes et la peau humaine», explique le professeur Christa Schleper de l'Université de Vienne, en Autriche. "Nous voulons savoir quel est leur secret: il y a des milliards d'années, comment se sont-ils adaptés depuis les sources chaudes, où il semble que toutes les archées ont évolué, vers des habitats plus modérés ?"
Comme point de départ pour répondre à cette question, le professeur Schleper et son équipe ont isolé une espèce de Thaumarchaeota provenant d'une source chaude en Italie, puis ont séquencé et analysé son génome. Ceci représente la première analyse du génome de la lignée Nitroscaldus - un sous-groupe de Thaumarchaeota qui aiment la chaleur qui obtiennent leur énergie en oxydant l'ammoniac en nitrite.
L'analyse a révélé que l'organisme, Candidatus Nitrosocaldus cavascurensis, semble représenter la lignée la plus proche liée au dernier ancêtre commun de tous les Thaumarchaeota. Curieusement, il possède des éléments d'ADN très mobiles et semble avoir fréquemment échangé de l'ADN avec d'autres organismes, y compris d'autres archées, des virus et peut-être même des bactéries.
La capacité d'échanger du matériel génétique pourrait aider cet archéon à évoluer rapidement. "Cet organisme semble enclin au transfert latéral de gènes et à l'invasion par des éléments d'ADN étrangers", explique le professeur Schleper. "De tels mécanismes ont peut-être aussi aidé les lignées ancestrales de Thaumarchaeota à évoluer et éventuellement à rayonner dans des milieux modérés - et N. cavascurensis pourrait encore évoluer grâce à des échanges génétiques avec des organismes voisins dans sa source chaude."
De nombreux chercheurs supposent que les premières formes de vie sur Terre ont évolué dans des sources chaudes. D'autres études de cet archéophore thermophile pourraient aider à identifier les mécanismes généraux qui ont permis aux premières cellules vivantes, à la fois des bactéries et des archées, de conquérir le monde.
Notre planète froide s'est dégelée aux rythmes des éruptions volcaniques et a développé des organismes vivants grâce à l'électricité inhérente à l'attraction terrestre. Il y a donc l'accoutumance demeurée au stade primaire démontré dans les profondeurs océanique et, celles qui ont échappé au 'train-train quotidien larvique' pour s'expatrier/s'épanouir en d'autres contrées. Et, comme chaque micro-climat (nano-climat ?) construit SES propres espèces est apparu l'humain qui a développé un sens instruit et instructif.
Une stratégie de défense nationale pour semer le chaos mondial
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu., 25/01/2018 - 02:00
Rédigé par Nicholas Davies via The Strategic Culture Foundation,
Présentant vendredi la Stratégie de défense nationale des États-Unis 2018 à l'Université Johns Hopkins, le secrétaire à la Défense James Mattis a brossé un tableau d'un monde dangereux dans lequel la puissance américaine - et tout le «bien» supposé qu'elle fait dans le monde - est en déclin.
"Notre avantage concurrentiel s'est érodé dans tous les domaines de la guerre - l'air, la terre, la mer, l'espace et le cyberespace", a-t-il déclaré. "Et il s'érode continuellement."
Ce qu'il aurait pu dire plutôt, c'est que l'armée des États-Unis est surexploitée dans tous les domaines, et qu'une grande partie du chaos constaté dans le monde entier est le résultat direct de l'aventurisme militaire passé et actuel. En outre, il aurait peut-être reconnu que l'érosion de l'influence américaine a été le résultat d'une série de coups portés à la crédibilité américaine par des désastres de politique étrangère tels que l'invasion de l'Irak en 2003.
Il y avait aussi deux mots importants cachés entre les lignes, mais jamais mentionnés nommément, dans la nouvelle Stratégie de défense nationale des États-Unis: «empire» et «impérialisme».
Il a longtemps été interdit aux responsables américains et aux médias d'entreprise de parler de politique étrangère des États-Unis comme d '«impérialisme», ou d'occupation militaire mondiale des États-Unis et de réseau de centaines de bases militaires comme «empire». liste noire des "sujets interdits" que les déclarations officielles américaines et les principaux médias américains ne doivent jamais mentionner.
Les flots d'euphémismes orwelliens avec lesquels les responsables américains et les médias discutent plutôt de la politique étrangère américaine masquent davantage la réalité du rôle américain dans le monde que de le décrire ou de l'expliquer en «cachant des intérêts impériaux derrière des feuilles de figuier toujours plus élaborées». historien AJP Taylor a décrit les impérialistes européens faisant la même chose il y a un siècle.
Alors que des sujets comme l'empire, l'impérialisme et même la guerre et la paix sont censurés et exclus du débat politique, les responsables américains, les médias asservis et le reste de la classe politique américaine évoquent une illusion de paix pour la consommation domestique en ne mentionnant pas les 291 000 troupes d'occupation dans 183 autres pays ou les 39 000 bombes et missiles ont chuté sur nos voisins en Irak, en Syrie et en Afghanistan depuis l'arrivée de Trump.
Les 100 000 bombes et missiles largués sur ces pays et sur d'autres par Obama et les 70 000 largués par Bush II ont également été balayés comme une sorte de trou de mémoire en temps réel, laissant la conscience collective de l'Amérique inébranlable. la première place.
Mais en réalité, il y a longtemps que les dirigeants américains de l'un ou l'autre parti ont résisté à la tentation de menacer n'importe qui, ou de poursuivre leurs menaces avec des campagnes de bombardement, des coups d'État et des invasions. C'est ainsi que les empires maintiennent une «menace crédible» pour soutenir leur pouvoir et décourager les autres pays de les défier.
RépondreSupprimerMais loin de créer la «Pax Americana» promise par les décideurs politiques et les stratèges militaires dans les années 1990, de Paul Wolfowitz et Dick Cheney à Madeleine Albright et Hillary Clinton, les résultats ont été catastrophiques, produisant ce que la nouvelle stratégie de défense nationale désordre mondial, caractérisé par le déclin de l'ordre international de longue date fondé sur des règles. "
Bien sûr, les rédacteurs de ce document de stratégie américaine n'admettent pas que la politique américaine est presque seule responsable de ce chaos mondial, après que les administrations américaines successives ont travaillé à marginaliser les institutions et les règles du droit international et à établir des menaces et des usages illégaux américains. force que le droit international définit comme des crimes d'agression en tant qu'arbitre suprême des affaires internationales.
Ils n'osent pas non plus reconnaître que le renseignement politisé et les opérations clandestines de la CIA, qui génèrent un flot constant de prétextes politiques pour l'intervention militaire américaine, sont conçus pour créer et exacerber les crises internationales, et non pour les résoudre. Pour les autorités américaines, admettre de telles vérités dures ébranlerait les fondements mêmes de l'impérialisme américain.
L'opposition au plan d'action global commun avec l'Iran - le soi-disant accord nucléaire - des républicains et des faucons démocrates semble provenir de la crainte qu'elle puisse valider l'utilisation de la diplomatie sur les sanctions, les coups d'État et la guerre, et créer un dangereux précédent pour résoudre d'autres crises - de l'Afghanistan et de la Corée aux futures crises en Afrique et en Amérique latine. Le succès de l'Iran à amener les États-Unis à la table des négociations, au lieu d'être victime de la violence et du chaos du changement de régime soutenu par les États-Unis, pourrait déjà encourager la Corée du Nord et d'autres cibles américaines à tenter le même sort.
Mais comment les Etats-Unis justifieront-ils leur occupation militaire mondiale, leurs menaces illégales et leurs recours à la force, et leur budget de guerre de plusieurs milliards de dollars une fois la diplomatie sérieuse jugée plus efficace que la violence et le chaos sans fin des sanctions américaines, des coups d'Etat et des guerres? et les professions?
De Bhurtpoor à Bagdad
Le Major Danny Sjursen, qui a combattu en Irak et en Afghanistan et enseigné l'histoire à West Point, est une voix rare de la santé mentale de l'armée américaine. Dans un article poignant de Truthdig, le major Sjursen décrit avec éloquence les horreurs dont il a été témoin et la tristesse avec laquelle il s'attend à vivre pour le reste de sa vie. «La vérité est, écrivait-il, que je me suis battu pour presque rien, pour un pays qui, dans les conflits récents, a fait du monde un endroit plus meurtrier et plus chaotique.
La vie de Danny Sjursen en tant que soldat de l'Empire américain me fait penser à un autre soldat d'Empire, mon arrière-arrière-arrière-grand-père, Samuel Goddard. Samuel est né à Norfolk en Angleterre en 1793, et a rejoint le 14e Régiment de Foot à l'adolescence. Il fut sergent à la bataille de Waterloo en 1815. Pendant 14 ans en Inde, son bataillon mena l'assaut sur la forteresse de Bhurtpoor en 1826, qui mit fin à la dernière résistance de la dynastie Maratha à la domination britannique. Il a passé 3 ans dans les Caraïbes, 6 ans au Canada, et a pris sa retraite en tant que commandant du château de Dublin en 1853 après une vie de service à Empire.
RépondreSupprimerLes vies de Danny et de Samuel ont beaucoup en commun. Ils auraient probablement beaucoup à dire s'ils pouvaient se rencontrer. Mais il y a des différences critiques. À Bhurtpoor, les deux régiments britanniques qui ont mené l'attaque ont été suivis par 15 régiments de l '«infanterie indigène» indienne. Après Bhurtpoor, la Grande-Bretagne a gouverné l'Inde (y compris le Pakistan et le Bangladesh) pendant 120 ans, avec seulement mille Britanniques. fonctionnaires dans la fonction publique indienne et quelques milliers d'officiers britanniques commandant jusqu'à 2,5 millions de troupes indiennes.
Les Britanniques ont réprimé brutalement la mutinerie indienne en 1857-1858 avec des massacres à Delhi, Allahabad, Kanpur et Lucknow. Puis, alors que 30 millions d'Indiens moururent dans les famines en 1876-1879 et 1896-1902, le gouvernement britannique de l'Inde interdit explicitement les efforts ou les actions de secours qui pourraient réduire les exportations de l'Inde vers le Royaume-Uni ou entraver le fonctionnement du marché libre. "
Comme l'écrivait Mike Davis dans son livre de 2001, Late Victorian Holocausts, «ce qui semblait d'un point de vue métropolitain l'éclat final de la gloire impériale du XIXe siècle n'était, d'un point de vue asiatique ou africain, que la lumière hideuse d'un bûcher funéraire géant.
Et pourtant, la Grande-Bretagne gardait le contrôle de l'Inde en commandant une telle loyauté et une telle soumission de millions d'Indiens que, dans chaque crise, les troupes indiennes obéissaient aux ordres des officiers britanniques de massacrer leur propre peuple.
Danny Sjursen et les troupes américaines en Afghanistan, en Irak et dans d'autres zones de guerre américaines de l'après-guerre froide vivent une expérience très différente. En Afghanistan, alors que les talibans et leurs alliés ont pris le contrôle d'une plus grande partie du pays qu'à aucun moment depuis l'invasion américaine, l'armée nationale afghane soutenue par les États-Unis dispose de 25 000 soldats de moins qu'il y a cinq ans. Les forces d'opérations spéciales des États-Unis n'ont formé que 21 000 commandos afghans entraînés, les troupes d'élite qui font 70 à 80% des morts et des morts pour le gouvernement afghan corrompu soutenu par les États-Unis.
Mais les États-Unis n'ont pas complètement échoué à gagner la loyauté de ses sujets impériaux. Le premier soldat américain tué en action en Afghanistan en 2018 était le sergent de première classe Mihail Golin, originaire de Lettonie. Mihail est arrivé aux États-Unis en novembre 2004, s'est enrôlé dans l'armée américaine trois mois plus tard et a maintenant donné sa vie pour l'Empire américain et pour tout ce que son service signifiait pour lui. Au moins 127 autres Européens de l'Est sont morts en Afghanistan occupé, avec 455 soldats britanniques, 158 Canadiens et 396 soldats de 17 autres pays. Mais 2 402 - soit 68%, soit plus des deux tiers - des troupes d'occupation qui sont mortes en Afghanistan depuis 2001, étaient des Américains.
En Irak, une guerre américaine qui a toujours eu moins de soutien ou de légitimité au niveau international, 93% des troupes d'occupation décédées étaient des Américains, soit 4 530 sur un total de 4 852 morts de "coalition".
RépondreSupprimerLorsque Ben Griffin, qui a fondé plus tard la branche britannique de Veterans for Peace, a déclaré à ses supérieurs dans l'élite britannique SAS (Special Air Service) qu'il ne pouvait plus participer à des raids meurtriers à Bagdad avec les forces spéciales américaines, fut surpris de constater que toute sa chaîne de commandement comprenait et acceptait sa décision. Le seul officier qui a essayé de changer d'avis était l'aumônier.
L'avenir de l'Empire
Les chefs d 'état - major interarmées américains ont explicitement déclaré au Congrès que la guerre avec la Corée du Nord nécessiterait une invasion terrestre, et il en serait probablement de même pour une guerre américaine contre l' Iran. La Corée du Sud veut éviter la guerre à tout prix, mais peut être inévitablement entraînée dans une seconde guerre de Corée menée par les États-Unis.
Mais outre la Corée du Sud, le soutien que les États-Unis pourraient attendre de leurs alliés dans une seconde guerre de Corée ou d'autres guerres d'agression serait probablement plus proche de l'Irak que de l'Afghanistan, avec une forte opposition internationale, même des alliés américains traditionnels. Les troupes américaines constitueraient donc presque toutes les forces d'invasion et d'occupation - et prendraient presque toutes les victimes.
Comparé aux empires du passé, le coût en sang et le trésor de la police de l'Empire américain et la responsabilité de ses échecs catastrophiques tombent de manière disproportionnée - et à juste titre - sur les Américains. Même Donald Trump reconnaît ce problème, mais ses demandes pour que les pays alliés dépensent plus pour leurs forces armées et achètent plus d'armes américaines ne changeront pas la réticence de leur peuple à mourir dans les guerres américaines.
Cette réalité a créé une pression politique sur les dirigeants américains pour qu'ils mènent la guerre d'une manière qui coûte moins cher aux Américains, mais qui tue inévitablement beaucoup plus de personnes dans les pays punis pour leur résistance à l'impérialisme américain, utilisant des frappes aériennes et des escadrons de la mort recrutés localement. sol "autant que possible.
Les États-Unis mènent une campagne de propagande sophistiquée pour prétendre que les armes lancées par avion des États-Unis sont si précises qu'elles peuvent être utilisées en toute sécurité sans tuer un grand nombre de civils. Les taux d'erreur et les rayons d'explosion réels sont sur la liste noire des «sujets interdits», avec des estimations réalistes des décès de civils.
Lorsque l'ancien ministre irakien des Affaires étrangères Hoshyar Zebari a déclaré à Patrick Cockburn du journal britannique Independent qu'il avait vu des rapports de renseignement kurdes irakiens estimant que la destruction de Mossoul par les Etats-Unis et l'Irak avait tué 40 000 civils, la seule estimation réaliste d'une source officielle, aucun autre média occidental dominant n'a suivi l'histoire.
Mais les guerres américaines tuent des millions de personnes innocentes: des personnes qui se défendent elles-mêmes, leurs familles, leurs communautés et leurs pays contre l'impérialisme et l'agression américains; et beaucoup d'autres qui étaient simplement au mauvais endroit au mauvais moment sous l'assaut de plus de 210 000 bombes et missiles américains ont chuté sur au moins 7 pays depuis 2001.
Selon un nombre croissant de recherches (voir par exemple l'étude du Programme des Nations Unies pour le développement, Vers l'extrémisme en Afrique: conducteurs, incitations et point de basculement pour le recrutement), la plupart des personnes qui rejoignent la résistance armée ou des groupes «terroristes» le font principalement pour se protéger et protéger leurs familles des dangers des guerres que les autres leur ont infligées. L'enquête du PNUD a révélé que le dernier point de basculement qui pousse plus de 70% d'entre eux à prendre la décision fatidique de rejoindre un groupe armé est l'assassinat ou la détention d'un ami proche ou d'un membre de la famille par les forces de sécurité locales ou étrangères.
RépondreSupprimerAinsi, le recours aux frappes aériennes et aux escadrons de la mort recrutés localement, les stratégies mêmes qui rendent l'impérialisme américain acceptable pour le public américain, sont en fait les principaux facteurs qui propagent la résistance armée et le terrorisme pays après pays. avec lui-même.
L'effort américain de déléguer la guerre au Moyen-Orient à l'Arabie Saoudite en fait une cible de condamnation mondiale alors qu'elle tente d'imiter le modèle de guerre américain en bombardant et affamant des millions de personnes innocentes au Yémen tout en accusant les victimes de leur situation critique. Le massacre par des pilotes saoudiens et émiratis mal entraînés et indisciplinés est encore plus aveugle que les bombardements américains, et les Saoudiens ne bénéficient pas de la protection du système de propagande occidental pour minimiser l'indignation internationale face à des dizaines de milliers de victimes civiles et une crise humanitaire qui ne cesse de s'aggraver .
La nécessité de gagner la loyauté des sujets impériaux par une combinaison de crainte et de respect est une exigence fondamentale de l'Empire. Mais il semble impossible de l'atteindre au XXIe siècle, certainement par le genre de politiques meurtrières adoptées par les États-Unis depuis la fin de la guerre froide. Comme l'a déjà observé Richard Barnet il y a 45 ans, à la fin de la guerre américaine au Vietnam: «Au moment même où la nation numéro un a perfectionné la science du meurtre, elle est devenue un instrument impraticable de domination politique.
L'offensive du charme d'Obama a permis à l'impérialisme américain de bénéficier d'un sursis de l'opinion publique mondiale et de fournir une couverture politique aux dirigeants alliés pour qu'ils rejoignent activement les alliances dirigées par les États-Unis. Mais c'était malhonnête. Sous couvert de l'image iconique d'Obama, les États-Unis propagent la violence et le chaos de leurs guerres et changements de régime et la résistance armée et le terrorisme qu'ils provoquent de plus en plus, touchant des dizaines de millions de personnes de Syrie et de Libye au Nigeria et en Ukraine.
Maintenant, Trump a enlevé le masque et le monde est de nouveau confronté à la réalité brutale et sans fard de l'impérialisme américain et de l'agression.
L'approche de la Chine vis-à-vis du monde basée sur le développement du commerce et de l'infrastructure a eu plus de succès que l'impérialisme américain. La part des États-Unis dans l'économie mondiale est tombée de 40% à 22% depuis les années 1960, tandis que la Chine devrait dépasser les États-Unis en tant que première économie mondiale au cours des dix ou vingt prochaines années.
Alors que la Chine est devenue le centre de production et de commerce de l'économie mondiale, l'économie américaine a été financiarisée et évidée, ce qui n'est guère une base solide pour la croissance future. Le modèle néolibéral de politique et d'économie que les États-Unis ont adopté il y a une génération a créé une richesse encore plus grande pour les personnes détenant déjà des parts disproportionnées de tout, mais il a laissé les travailleurs aux États-Unis et à travers l'empire américain moins bien lotis qu'avant.
RépondreSupprimerComme le «presque rien» que Danny Sjursen a réalisé en se battant pour l'Irak et l'Afghanistan, les perspectives de l'économie américaine semblent éphémères et très vulnérables aux changements de l'histoire économique.
L'ascension et la chute des grandes puissances
Dans son livre de 1987, La montée et la chute des grandes puissances: changement économique et conflit militaire de 1500 à 2000, l'historien Paul Kennedy a examiné la relation entre pouvoir économique et pouvoir militaire dans les histoires des empires occidentaux qui ont colonisé le monde 500 années. Il a décrit comment les puissances émergentes jouissent d'avantages concurrentiels importants par rapport aux puissances établies et comment chaque puissance dominante doit tôt ou tard s'adapter aux marées de l'histoire économique et trouver une nouvelle place dans un monde qu'elle ne peut plus dominer.
Kennedy a expliqué que la puissance militaire n'est qu'une forme secondaire de pouvoir que les nations riches développent pour protéger et soutenir leurs intérêts économiques en expansion. Une puissance économiquement dominante peut rapidement convertir certaines de ses ressources en puissance militaire, comme les États-Unis l'ont fait pendant la Seconde Guerre mondiale ou comme la Chine le fait aujourd'hui. Mais une fois que les anciennes puissances dominantes ont perdu du terrain face à de nouvelles puissances émergentes, l'utilisation plus agressive du pouvoir militaire n'a jamais été un moyen efficace de restaurer leur domination économique. Au contraire, il a généralement été un moyen de gaspiller les années critiques et les ressources rares qu'ils auraient pu utiliser pour gérer une transition pacifique vers un avenir prospère.
Comme l'a découvert le Royaume-Uni dans les années 1950, l'utilisation de la force militaire pour maintenir son empire s'est révélée contre-productive, comme l'a décrit Kennedy, et les transitions pacifiques vers l'indépendance se sont avérées plus profitables pour les futures relations avec ses anciennes colonies. Le retrait de ses engagements militaires mondiaux était un élément essentiel de sa transition vers un avenir post-impérial viable.
Le passage de l'hégémonie à la coexistence n'a jamais été facile pour une grande puissance, et il n'y a rien d'exceptionnel dans la tentation d'utiliser la force militaire pour essayer de préserver et de prolonger l'ordre ancien. Cela a souvent conduit à des guerres catastrophiques et a toujours échoué.
Il est difficile pour un leader politique ou militaire de présider à une diminution de la puissance de son pays dans le monde. Les chefs militaires sont récompensés pour les stratégies militaires qui gagnent les guerres et augmentent le pouvoir de leur pays, pas pour le démanteler. Les officiers d'état-major de niveau intermédiaire qui disent à leurs supérieurs que leurs armes et leurs armées ne peuvent pas résoudre les problèmes de leur pays ne sont pas promus à des postes de décision.
RépondreSupprimerComme l'a noté Gabriel Kolko dans Century of War en 1994, cette marginalisation des voix critiques conduit à une «myopie institutionnelle inhérente, voire inévitable», selon laquelle «les options et les décisions intrinsèquement dangereuses et irrationnelles deviennent non seulement plausibles, mais la seule forme de raisonnement sur la guerre et la diplomatie qui est possible dans les milieux officiels. "
Après deux guerres mondiales et l'indépendance de l'Inde, la crise de Suez de 1956 fut le dernier clou dans le cercueil de l'Empire britannique, et l'administration Eisenhower brida sa propre identité anticoloniale en refusant de soutenir l'invasion britannique-franco-israélienne de Egypte. Le Premier ministre britannique Anthony Eden a été contraint de démissionner et il a été remplacé par Harold Macmillan, qui avait été un proche collaborateur d'Eisenhower pendant la Seconde Guerre mondiale.
Macmillan démantèle les restes de l'Empire britannique derrière les partisans de son parti conservateur, réélu en 1959 avec le slogan «Vous ne l'avez jamais eu aussi bien», alors que les États-Unis soutenaient une transition relativement pacifique qui préservait les intérêts commerciaux internationaux occidentaux. et le pouvoir militaire.
Alors que les États-Unis font face à une transition similaire de l'empire à un futur post-impérial, leurs dirigeants ont été séduits par la «dividende du pouvoir» de l'après-guerre froide pour tenter d'utiliser la force militaire pour préserver et étendre l'empire américain. la position économique relative des États-Unis diminue.
En 1987, Paul Kennedy a mis fin à La montée et à la chute des grandes puissances avec une analyse presciente de la position des États-Unis dans le monde. Il a conclu,
"Dans toutes les discussions sur l'érosion du leadership américain, il faut répéter encore et encore que le déclin auquel il est fait référence n'est pas absolu et qu'il est donc parfaitement naturel; et que la seule menace sérieuse aux intérêts réels des États-Unis peut provenir d'une incapacité à s'adapter raisonnablement au nouvel ordre mondial. "
Mais après que Kennedy a écrit cela en 1987, au lieu d'accepter l'avenir de la paix et du désarmement que le monde entier espérait à la fin de la guerre froide, une génération de dirigeants américains a fait une tentative fatidique de «superpuissance». sorte d'échec à s'adapter à un monde en évolution que Kennedy a mis en garde contre.
Les résultats ont été catastrophiques pour des millions de victimes des guerres américaines, mais ils ont aussi été corrosifs et débilitants pour la société américaine, alors que les priorités perverses du militarisme et de l'Empire gaspillent les ressources de notre pays et rendent les Américains plus pauvres, plus malades, moins éduqués et isolés. du reste du monde.
Quand j'ai commencé à écrire Blood On Our Hands: l'invasion américaine et la destruction de l'Irak en 2008, j'espérais que les catastrophes en Afghanistan et en Irak ramèneraient les dirigeants américains à leurs sens, comme la crise de Suez en 1956.
RépondreSupprimerAu lieu de cela, huit autres années de sauvagerie soigneusement déguisée sous Obama ont gaspillé plus de temps précieux et de bonne volonté et répandu la violence et le chaos de la guerre américaine encore plus loin et plus large. Les menaces implicites de la nouvelle stratégie de défense nationale contre la Russie et la Chine révèlent que 20 années de guerres impérialistes désastreuses n'ont rien fait pour désabuser les dirigeants américains de leurs illusions de «superpuissance» ou pour restaurer toute forme de politique étrangère américaine.
Trump ne fait même pas semblant de respecter la diplomatie ou le droit international, car il intensifie les guerres de Bush et d'Obama et en menace de nouvelles. Mais peut-être que les politiques agressives de Trump forceront le monde à finalement affronter les dangers de l'impérialisme américain. Un rassemblement de la communauté internationale pour stopper l'agression américaine pourrait être la seule façon d'éviter une catastrophe encore plus grande que celles qui ont déjà frappé les peuples d'Afghanistan, d'Irak, de Somalie, du Honduras, de Libye, de Syrie, d'Ukraine et du Yémen.
Ou va-t-il falloir une guerre nouvelle et encore plus catastrophique en Corée, en Iran ou ailleurs pour finalement forcer les États-Unis à «s'adapter raisonnablement au nouvel ordre mondial», comme Paul Kennedy l'a dit en 1987? Le monde a déjà payé un prix terrible pour l'échec de nos dirigeants à prendre ses bons conseils il y a une génération. Mais quel sera le coût final s'ils continuent à l'ignorer même maintenant ?
https://www.zerohedge.com/news/2018-01-24/national-defense-strategy-sowing-global-chaos
Enfer en Suède: des adolescents migrants armés errent avec des kalachnikovs; L'armée peut être déployée
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu., 25/01/2018 - 05:00
Comme nous l'avons signalé la semaine dernière, la Suède peut ou non se préparer à un conflit civil - comme le Premier ministre Stefan Lofven a déclaré que le gouvernement ferait tout ce qu'il faut - y compris le déploiement de l'armée - pour mettre fin à la violence des gangs. les zones «interdites» du pays.
"Ce n'est pas ma première action militaire, mais je suis prêt à faire tout ce qui est en mon pouvoir pour que le crime organisé disparaisse", a déclaré M. Lofven après la discussion au parlement. il y a des problèmes sociaux ... ... Nous voyons des criminels avec un manque total de respect pour la vie humaine, c'est un développement terrible que je suis déterminé à faire. "
Les commentaires de Lofven font suite à une série de meurtres liés à des gangs, dont celui d'un homme de 21 ans à Malmö le week-end dernier, lui a tiré une balle dans la tête alors qu'il sortait d'un taxi près d'une épicerie.
Le même week-end, un garçon de 16 ans abattu dans le quartier de Rosengård à Malmö est décédé à l'hôpital à côté d'un arrêt de bus. Deux personnes ont été interpellées par la police.
Et le 3 janvier, un homme de 22 ans a été abattu dans le quartier de Fosie à Malmö, le lendemain de l'arrestation à Rosengård d'une femme de 18 ans emmenée à l'hôpital avec des blessures par balles à dix minutes de là.
À Malmö, où un cinquième des 340 000 habitants ont moins de 18 ans, des enfants de 14 ans arpentent les rues avec des fusils d'assaut Kalachnikov et des gilets pare-balles. L'âge moyen des membres d'un gang est de 22 ans, la grande majorité d'entre eux étant issus de familles de migrants. -thetimes.fr
L'augmentation de la criminalité a été si écrasante que les autorités suédoises admettent qu'elles ne sont pas en mesure d'enquêter sur les cas de viol en ce moment en raison de l'énorme arriéré de la criminalité des gangs sous enquête. "Nous sommes obligés de choisir entre deux maux", a déclaré la police.
Le discours fort du Premier ministre Lofven fait également suite à une attaque contre le poste de police de Rosengård mercredi dernier, après qu'un engin explosif a été lancé sur le bâtiment électrifié - le dernier en date des violences en cours contre les soldats de la paix suédois.
En août dernier, un policier de Stockholm, Ted Eriksson, âgé de 34 ans, a été poignardé dans le cou par un demandeur d'asile afghan qui prétendait avoir 17 ans, mais qui était soupçonné d'avoir atteint la fin de la vingtaine. L'homme a dit qu'il voulait tuer un policier, mais l'officier Eriksson a heureusement subi des blessures mineures.
En avril 2017, trois policières suédoises ont été battues alors qu'elles tentaient d'appréhender un réfugié violent.
RépondreSupprimerEn 2013, la police suédoise a été prise pour cible à plusieurs reprises lors des émeutes de Stockholm. Un poste de police a été incendié, plusieurs policiers ont été blessés et des pierres ont été lancées sur des pompiers et d'autres premiers secours.
Et en 2016, les migrants ont même attaqué l'équipe de '60 Minutes 'alors qu'ils filmaient un segment sur ... les migrants.
Pendant ce temps, des armes de plus en plus puissantes sont apparues dans les quartiers suédois. En 2015, des missiles antichars ont été retrouvés dans un sous-sol d'un homme de 36 ans soupçonné d'avoir fait passer des fusils de ses frères en Bosnie dans la zone interdite suédoise d'Örebro - considérée comme une «zone particulièrement vulnérable» selon un rapport 2017 rapport de police.
L'homme et cinq autres - décrits par les médias bosniaques comme liés aux Frères musulmans, ont été arrêtés dans une série de sept raids. Les autorités bosniaques, cependant, ont déclaré à SVT News que les trafiquants ne sont membres d'aucune organisation extrémiste et n'ont aucun lien connu avec des activités terroristes.
Après une enquête menée à la mi-2016 à la suite de sept raids, les autorités suédoises ont abandonné les accusations de contrebande et poursuivi l'homme d'Örebro pour possession. Il est actuellement en prison pour des infractions en matière de drogue au cours de ses poursuites en cours liées aux armes.
La police a également trouvé une réserve d'armes à feu, 16 grenades à main, les quatre missiles antichars illustrés ci-dessus et divers autres armements.
Des missiles antichars trouvés à l'intérieur d'un sous-sol de personnes dans la ville suédoise d'Örebro.
On dirait que les handgrenades ne leur suffisent plus.
Ces gens stockent littéralement des armes militaires lourdes dans leurs maisons en Suède.
Parlant d'engins explosifs, les attaques à la grenade en Suède sont en augmentation depuis 2012, bien que 2017 ait été une année considérablement meilleure, avec 10 attaques contre 34 en 2016.
Cette année-là, un garçon de 8 ans qui dormait dans le salon des parents de Göteborg, en Suède, a été tué par une grenade lancée dans la pièce. "Au moins cinq enfants et plusieurs adultes étaient dans l'appartement quand la grenade a été lancée à l'intérieur", selon la BBC, qui a ajouté que le garçon est mort dans les bras de sa mère.
Et en février 2017, un homme a été blessé à l'extérieur d'une résidence après qu'une grenade ait été lancée:
Il semble, peut-être, que le gouvernement féministe autoproclamé et ultra-libéral de la Suède se rende compte qu'ils ont peut-être foiré en permettant la migration incontrôlée des pays islamiques associés au terrorisme, à la violence et peut-être aux gens l'ouest. Comme le note le Times:
La Suède a poursuivi une politique d'immigration libérale pendant plus d'une génération; son gouvernement parle de «superpuissance humanitaire» pour avoir accueilli un grand nombre de demandeurs d'asile. Après la crise des migrants de 2015, lorsque plus de 160 000 personnes ont demandé l'asile, la politique a été brusquement modifiée. Pourtant, il y a peu de débat ou de données fiables sur l'intégration des 12% de la population qui proviennent de pays non occidentaux.
RépondreSupprimerPendant longtemps, l'establishment suédois a minimisé la décadence des banlieues dominées par les immigrés, mais il ne peut plus ignorer l'explosion de la violence.
Il convient également de noter que 70% des migrants arrivant en Europe en 2015 étaient des hommes en âge de combattre, selon une étude du Pew Research Center.
Même le chef du parti démocrate suédois, Jimmie Akesson, a «déclaré la guerre» contre le crime organisé et a suggéré que la Suède devrait déployer l'armée dans les zones interdites pour contrer la violence hors de contrôle.
"Des gens sont abattus dans des restaurants de pizza, des gens sont tués par des grenades à main qu'ils trouvent dans la rue", a déclaré M. Akesson au parlement mercredi.
"C'est la nouvelle Suède; le nouveau paradis dynamique, multiculturel et passionnant que tant de gens ici dans cette assemblée ... se sont battus pour créer pendant tant d'années », a-t-il déclaré sarcastiquement.
Et maintenant, le gouvernement suédois distribue des brochures sur le survivalisme (pour la guerre avec la Russie, bien sûr) et envisage de déployer l'armée pour faire face à des gangs de jeunes migrants idéalistes armés de pistolets provenant de pays brutalement déchirés par la guerre.
Qui aurait pu voir ça venir ?
Février 2017 - La vice-première ministre suédoise, la féministe Isabella Lövin, se moque du président américain Trump avec des collègues féminines - une semaine avant d'enfiler des hijabs pour rencontrer le guide suprême iranien Ali Khamenei
https://www.zerohedge.com/news/2018-01-23/sweden-hell-armed-migrant-teens-roaming-kalashnikovs-military-may-be-deployed
La dictature monarchique suédoise veut maintenant 'sortir' ces criminels entrés sans papier, mais, où vont-ils aller ? Ils resteront en Europe plutôt que d'être exécutés dans le pays !!!
SupprimerTREMBLEMENT DE TERRE - LA SUISSE A TREMBLÉ PLUS DE 1200 FOIS EN 2017
RépondreSupprimerUn nombre record de séismes a été enregistré l'année dernière par le Service sismologique suisse de l'EPF de Zurich.
25.01.2018, 11h13
En 2017, 1230 séismes ont été détectés en Suisse et dans les régions frontalières: un record. Par ailleurs, la plus forte secousse de ces dix dernières années est survenue le 3 mars. Elle a atteint une magnitude de 4,6.
Le nombre record de séismes enregistrés s'explique par l'amélioration du réseau de sismomètres qui rend les événements plus visibles, explique jeudi le Service sismologique suisse de l'EPF de Zurich. Sept cents d'entre eux sont des microséismes, soit d'une magnitude inférieure à 1.
Vingt-trois secousses ont présenté une magnitude égale ou supérieure à 2,5. Cela correspond à la moyenne des 42 dernières années.
La plus forte secousse de ces 10 dernières années s'est produite près d'Urnerboden (UR) et a été ressentie dans une grande partie de la Suisse. Elle a provoqué quelques dommages sans gravité sur un bâtiment à proximité de l'épicentre.
Un autre séisme dépassant la magnitude de 4 s'est produit le 1er juillet. Son épicentre était situé dans la région de Château-d'Oex (VD) et il a atteint une magnitude de 4,3. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/suisse/suisse-tremble-1200-fois-2017/story/10022209
SupprimerComme TOUS les pays du monde la Suisse est sujette à des tremblements de terre. Mais, outre les sources d'eaux qui se tarissent ou s'ouvrent dans ces chocs, elle n'est pas plus concernée qu'un autre pays par l'arrivée de sources chaudes (magma volcanique) réputés près des pôles où ces geysers participent à créer des énergies calorifique pour les maisons et les serres.
VIDÉO - CONNAISSEZ-VOUS LE NOM DU PRÉSIDENT DE LA CONFÉDÉRATION ?
RépondreSupprimerSelon une étude, près d'un Suisse sur deux ne sait pas qui dirige le Conseil fédéral. Nous avons testé les Romands dans les rues de Lausanne.
24.01.2018, 10h55
Si l'on vous demande qui est le président des Etats-Unis, vous n'avez sûrement aucun problème à répondre Donald Trump.
Dans le cas où vous devriez indiquer le nom du président de la Confédération suisse, auriez-vous la réponse exacte, à savoir Alain Berset ?
Marina Rollman en parlait encore récemment dans une chronique, selon les études, entre 25 % et 50 % des Suisses ne connaissent pas la réponse.
Pour en avoir le cœur net, nous avons interrogé des Romands dans les rues de Lausanne. (Le Matin)
https://www.lematin.ch/suisse/Connaissezvous-le-nom-du-president-de-la-Confederation/story/14163549
SupprimerC'est vrai que ce n'est pas le mandat (d'un an !) qui permet à la présidente ou président de se faire une place à la une des canards, car, à la présidence de la Suisse c'est... le Peuple qui EST président ! Et oui, ce ne sont ni Doris Leuthard (2017) ou Alain Berset (2018) qui ne sont que des symbole (comme 'Marianne en France ou la 'Statue de la liberté' aux États-Unis) qui sont les vedettes mais l'entière Démocratie (où c'est le Peuple qui dirige) qui fait la fierté des Suisses et l'envie du monde entier !
Le mirage «No Billag»
RépondreSupprimerPour le réalisateur Jean-Jacques Lagrange, pionnier de la télévision genevoise, l’initiative «No Billag» signe la disparition «rapide et totale» du service public suisse.
MARDI 16 JANVIER 2018
JEAN-JACQUES LAGRANGE
VOTATIONS
Au début des années cinquante, les pionniers qui créent la télévision en Suisse peuvent s’appuyer sur le service public de la SSR pour lancer le nouveau média. Un service public qui vit d’une redevance répartie équitablement entre les régions linguistiques.
En soixante ans, nous avons pleinement rempli notre rôle culturel de créateurs et notre profession sociale et citoyenne d’informateurs libres et indépendants en réalisant une offre programme avec des milliers de reportages, de documentaires, d’émissions d’information et d’enquêtes d’investigation qui ont fait découvrir la Suisse aux Suisses et amené la diversité des images du monde dans tous les foyers. Les spectateurs de la TV romande ont pu aussi suivre plus de 600 dramatiques originales et une centaine de téléfilms inédits avec des acteurs suisses, des opéras, des concerts, des divertissements, une offre cinématographique et des évènements culturels ou sportifs qui ont rassemblé devant le petit écran les Suisses dans un sentiment d’appartenance citoyenne à la communauté helvétique. Sans oublier que depuis 1960, situation unique en Europe, la Suisse était complètement arrosée par les chaînes étrangères qui font encore une terrible concurrence à notre service public helvétique.
Face aux géants des chaînes publiques et privées en une seule langue de nos grands voisins, les réalisateurs, les journalistes, les techniciens et 5000 autres collaborateurs du service public suisse réussissent à gérer des chaînes radio et tv en quatre langues pour le petit marché de notre pays de 8 millions d’habitants. Ils apportent une contribution globale à notre société et à la démocratie par leur professionnalisme qui est reconnu internationalement par une participation active à l’Union Européenne de Radio-Télévision, à l’Eurovision et au sein des réseaux francophones et germanophones de TV5Monde, 3Sat et Swissinfo.
Partout dans le monde, la presse et les médias sont aujourd’hui bouleversés et menacés par la révolution technologique, internet, les réseaux sociaux, la numérisation et les algorithmes. Avec l’illusion que tout est gratuit ou qu’au mieux on ne paie que ce que l’on consomme… ce qui sera toujours plus cher que la redevance unique! Ce XXIe siècle est celui de la connectivité et de l’interdisciplinarité. Aucun acteur ne peut seul résoudre ces problèmes. Il faut réfléchir et trouver collectivement les réponses à ces défis. Les médias, presse et audiovisuels suisses, publics et privés, sont condamnés à se remettre en question mais ne survivront qu’en se réorganisant et en collaborant activement.
Ce n’est hélas pas ce qui se passe avec l’initiative «No Billag». Elle veut purement et simplement supprimer la redevance SSR pour céder la place au libre marché privé de la concurrence qui prétendument ferait mieux et meilleur marché. On passerait du «nous» de la communauté au «je» des consommateurs. Un oui à «No Billag» signifierait la disparition rapide et totale du service public suisse, la perte d’un précieux savoir professionnel et pénaliserait aussi les radios et tv locales qui reçoivent une part de la redevance. Le vide créé laisserait le champ libre aux chaînes étrangères qui privent déjà chaque année les médias suisses de plus de 100 millions de francs de revenus publicitaires sans investir en retour un seul centime dans des productions suisses.
On nous demande de lâcher la proie pour l’ombre. Un dicton populaire nous rappelle «qu’un tien vaut mieux que deux tu l’auras». C’est pourquoi je voterai «non» à «No Billag».
* Cinéaste et réalisateur TSR, web editor et historien des archives RTS, aujourd’hui retraité.
Article paru dans CultureEnJeu n° 56, décembre 2017, édition spéciale quadrilingue «No Billag», www.cultureenjeu.ch
https://lecourrier.ch/2018/01/16/le-mirage-no-billag/
Dans le SEUL pays au monde à être en Démocratie, l'horreur de se défaire de l'autorité du Peuple face à la dictature étrangère qui veut s'installer et déformer/censurer l'information, la Suisse ne peut dire que NON à cette agression, ce viol, ce meurtre !
SupprimerC'est-à-dire que le 'No Billag' (Non à la redevance) ne doit pas exister en Suisse et, au président d'en défendre le Pays et à la Ministre de la communication de le faire savoir.
(...) Partout dans le monde, la presse et les médias sont aujourd’hui bouleversés et menacés par la révolution technologique, internet, les réseaux sociaux, la numérisation et les algorithmes. (...)
L'Internet c'est le Peuple, c'est la Démocratie déjà très mal menée avec les censures répétées de certains 'moteurs de recherche' qui empêchent les gens de s'instruire et glorifient ceux qui veulent détruire !
Le 4 Mars, la Démocratie votera NON à la suppression de la redevance.
Chaque citoyen de l'UE crée 31 kg de déchets plastiques par an (mais les Irlandais sont les pires)
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu. 25/01/2018 - 04:15
Les déchets d'emballage en plastique sont un énorme problème dans le monde entier.
Malgré les efforts déployés dans certains pays européens tels que les dépôts de bouteilles en plastique ou le paiement de sacs en plastique dans les supermarchés, Martin Armstrong de Statista note que le citoyen moyen de l'UE produit 31 kg de déchets plastiques par an.
Infographie: Chaque citoyen de l'UE crée 31 kg de déchets plastiques par an | Statista
- voir graphique à la con sur site -
Vous trouverez plus de statistiques sur Statista
Les chiffres d'Eurostat montrent que le Royaume-Uni se situe au-dessus de cette moyenne, ses citoyens étant responsables de 35 kg de déchets.
Le pire pays de loin est l'Irlande. 61 kg d'emballages sont jetés par l'Irlandais moyen, soit 9 kg de plus que le deuxième pays le plus prolifique, le Luxembourg.
Le moins est créé en Bulgarie où un 14 kg plus acceptable est éliminé au cours de l'année.
https://www.zerohedge.com/news/2018-01-24/each-eu-citizen-creates-31kg-plastic-waste-year-irish-are-worst
Au lieu de vous effrayer bêtement, posez vous la question: "Combien consomme ma voiture de sacs en plastique (pétrole) aux 100 km ?"
SupprimerC'est-à-dire que: les sacs en plastique peuvent être brulés sans créer de dommage car, TOUS les gaz se recyclent (depuis toujours & pour toujours !). TOUS !
Le pétrole vient de la Terre et retourne à la Terre. Pas beau çà ?
Pour un prix équitable, « il manque 110 €/t »
RépondreSupprimerLes céréaliers de la Coordination rurale (CR) tenaient leur congrès à Étréchy dans l’Essonne le 24 janvier. Le moral est au plus bas, alors que le revenu de la ferme France est négatif depuis 2014 et que l’année 2018 ne laisse présager aucune amélioration. Un vent de révolte souffle au sein de la base.
« En 1987, le quintal de blé se vendait 150 €, à euro constant cela représenterait aujourd’hui 390 € par tonne. Un prix divisé par trois », constate Nicolas Jaquet, président de l’Organisation des producteurs de grains (OPG), section spécialisée de la CR. Avec des rendements qui sont passés en moyenne de 67 à 71 quintaux, l’OPG estime que le chiffre d’affaires par hectare.
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Unanimité contre le plan loup
Les élus et les éleveurs ne sont pas parvenus à convaincre le gouvernement sur la modification du plan loup 2018-2023…. Des réactions s’annoncent.
Le plan loup semble faire l’unanimité contre lui. Le 23 janvier, la FNSEA, Jeunes Agriculteurs, la Fédération nationale ovine, l’Assemblée permanente des chambres d’agriculture, l’Association nationale des élus de montagne (Anem), l’Union pour la sauvegarde des activités pastorales et rurales (Usapr), ont rencontré la conseillère du président de la République en charge des questions agricoles.
La solution de génie de Lewandowsky à de fausses nouvelles - l'interdire et faire des frottis bon marché !
RépondreSupprimerJanuary 25th, 2018
Cet universitaire de Bristol pense qu'il a la solution aux fausses nouvelles
Un professeur de Bristol a dit aux députés qu'ils avaient le pouvoir de mettre fin aux fausses nouvelles apparaissant sur Facebook et sur d'autres plateformes de médias sociaux.
Il est possible d'adopter un règlement ou une loi qui indique à ces géants de l'informatique comment se comporter ", a déclaré le scientifique cognitif, ...
Frappe-moi. Qui aurait pensé à cela - à part chaque dictateur et tyran pendant les 5000 dernières années?
Sa grande nouvelle idée a déjà été faite:
... les bibliothèques de l'Union soviétique ont été à plusieurs reprises purgées de tous les livres jugés "nuisibles". ... entre 1930 et 1932, les bibliothèques ont perdu soixante pour cent de plus de leur stock qui a déjà été purgé au moins trois fois.
Lewandowsky s'est donc adressé au Parlement britannique pour dire aux politiciens ce que les politiciens ont connu depuis 3 000 ans.
Mais son nouveau titre d'emploi est oh-so-apt:
Le professeur Stephan Lewandowsky, expert en «désinformation» à l'université de Bristol, a déclaré que les députés pourraient adopter des lois pour empêcher tout ce qui s'apparenterait à un «discours de haine» - une décision déjà prise par les législateurs allemands.
"Et devine quoi ? Facebook a embauché les gens pour y arriver. "
Oui, regardons l'Allemagne. En 2017, le gouvernement a infligé une amende de 50 millions d'euros aux médias sociaux pour diffamation, calomnie et incitation à la diffamation, et ils ne disposent que de 24 heures pour la retirer après une plainte, que le contenu soit exact ou non.
Judith Bergman nous dit l'effet:
Cette censure étatique fait que la liberté d'expression est soumise aux décisions arbitraires des entreprises qui sont susceptibles de censurer plus qu'absolument nécessaire, plutôt que de risquer une amende écrasante. Lorsque les employés des sociétés de médias sociaux sont désignés comme police de pensée privée de l'État et ont le pouvoir de façonner le discours politique et culturel actuel en décidant qui sera autorisé à parler et à dire, et qui sera fermé, la liberté d'expression devient rien de plus qu'un conte de fées.
Pendant ce temps, le tribunal de Munich a récemment condamné Michael Stürzenberger, journaliste allemand, à six mois de prison avec sursis pour avoir publié sur sa page Facebook une photo historique du Grand Mufti de Jérusalem, Haj Amin al-Husseini, serrant la main d'un haut fonctionnaire nazi à Berlin en 1941.
Le tribunal a déclaré Stürzenberger coupable de "diffusion de la propagande des organisations anticonstitutionnelles". Alors que l'admiration mutuelle qui existait autrefois entre al-Husseini et les nazis allemands est un fait historique incontesté, il est évident que l'histoire est en train d'être réécrite ...
Plan Lewandowsky: Censure, 1: Vérité, 0.
Mais attendez, ce n'est pas la censure, parce que Lewandowsky le dit. Retour au Bristol Post:
RépondreSupprimerL'universitaire de la ville, qui a déjà travaillé en Australie et aux États-Unis, a déclaré que les médias sociaux ne devraient pas être censurés, mais ont appelé à une plus forte «régulation» des grands acteurs.
Eh bien, tout va bien alors. Si nous redéfinissons le mot censor pour signifier quelque chose de complètement différent, il aurait raison. Mais qu'en est-il de la vérité de ce que le mot censure voulait dire ?
Attendez la grande perspicacité de "l'expert sur la désinformation":
Le professeur Lewandowsky a dit ... que le "concept même de la connaissabilité de la vérité" était maintenant "attaqué" dans la société britannique.
Oui, la vérité elle-même est attaquée, et Lewandowsky est apparemment celle qui le fait.
Copiez l'Allemagne, dit-il; dire la vérité et se retrouver en prison ?
Le plan de sauvegarde de génie est d'arriver en premier avec un frottis par association:
L'autre plan sournois de Lewandowsky lui-même:
Rendez-vous aux gens avant que la désinformation ne le fasse, puis il y a des preuves pour montrer qu'ils seront en mesure de mieux filtrer. Un exemple est une étude récente que j'ai publiée avec des collègues l'année dernière où nous avons parlé de la façon dont l'industrie du tabac dans les années 50 et 60 tentait de créer un débat scientifique sur le tabac, alors que la science était très claire. Une fois que vous rappelez aux gens de ce précédent, ils sont devenus extrêmement résistants à la désinformation sur le changement climatique qui a suivi le même scénario. Il est donc possible de donner aux gens l'inoculation comme un vaccin presque contre la désinformation en indiquant des stratégies rhétoriques spécifiques qui sont trompeuses. Mais vous devez les atteindre en premier.
Allez-y, Stephan. Rush avec votre erreur logique. Les gens seront «extrêmement résistants» jusqu'à ce que la personne suivante souligne que tout professeur qui appelle les gens «négationnistes du climat» et qui confond le tabac avec le climat planétaire n'est pas vraiment un scientifique. Dites, utilisons l'outil de la vérité du tabac! Coupez à travers des débats complexes en un instant. Les médecins ont toujours raison, ont du Vioxx. Le gouvernement a toujours raison, mange plus de margarine! Les énergies renouvelables sont bon marché, payez votre facture d'électricité.
Mais sérieusement, il est vrai que les hacks payés de Big Tobacco essayaient de créer l'illusion d'un débat. Mais qu'est-ce qui empêche les entreprises multinationales et renouvelables d'essayer de créer l'illusion qu'il n'y a pas de débat ? Vous savez, la science est claire, les parcs éoliens vont réparer le climat ! (Donnez-nous votre argent).
Big-Renewables était une industrie de 326 milliards de dollars la dernière fois que je l'ai examinée. Ce n'est pas trop moche. Utilisant la baguette de Tobacco Truth et le langage de cette bataille, Panasonic, grand fabricant de batteries, "achète" des experts publics qui suggèrent que "The Science" dit que nous avons besoin de voitures électriques et de panneaux solaires.
RépondreSupprimerLorsque de gentils honnêtes gens expliquent pourquoi son truc est un étalage de tabac à bon marché, brouillant le tabac, négationnistes de l'holocauste et scientifiques sceptiques (qui ont marché sur la lune et remporté de vrais prix Nobel), la foule post-post-Lewandowsky sera inoculée (pour ainsi dire ) - contre sa propagande bon marché.
La liberté d'expression fonctionne dans les deux sens, mais un seul côté du débat a peur de laisser parler l'autre.
http://joannenova.com.au/2018/01/lewandowskys-genius-solution-to-fake-news-ban-it-and-do-cheap-smears/
Malheureusement, cette belle proposition de Démocratie émane... d'une dictature !!! Et donc, si c'est elle (le nano-groupuscule de criminels au pouvoir) qui décide de ce qui doit rester ou ce qui doit être enlever au regard du Peuple, la dictature ne peut que se renforcer.
SupprimerPersonnellement, j'ai dernièrement été victime de la censure Youtube pour avoir osé dire la vérité incontestable sous des vidéos postées sur Youtube !! Remarque très importante, la Direction se réserve le droit de supprimer un compte SANS explication du pourquoi !!!
(...) Cette censure étatique fait que la liberté d'expression est soumise aux décisions arbitraires des entreprises qui sont susceptibles de censurer plus qu'absolument nécessaire, plutôt que de risquer une amende écrasante. Lorsque les employés des sociétés de médias sociaux sont désignés comme police de pensée privée de l'État et ont le pouvoir de façonner le discours politique et culturel actuel en décidant qui sera autorisé à parler et à dire, et qui sera fermé, la liberté d'expression devient rien de plus qu'un conte de fées. (...)
Si la dictature se met à l'amende, qui paiera la facture ? Le peuple !
L'Australie du Sud fait exploser l'électricité, l'emploi, la richesse, la quête idéologique anti-charbon
RépondreSupprimerJanuary 25th, 2018
Aujourd'hui, le gouvernement de l'Australie-Méridionale a détruit la cheminée de l'usine B de Playford, une partie de plus de ce qui reste des générateurs d'électricité à charge de base les moins chers de l'État.
Pour environ 8 millions de dollars par année sur trois ans, ils auraient pu économiser de l'énergie au charbon et n'auraient pas eu besoin de dépenser 400 millions de dollars pour des génératrices diesel d'urgence qu'ils ne veulent pas utiliser et plus de 100 millions de dollars pour une batterie 4% de l'état pour une heure. Ils auraient également payé moins de 120 millions de dollars pour deux jours d'électricité la semaine dernière.
À la hausse, ils peuvent se sentir bien et prétendre être des «leaders mondiaux». La signalisation de la vertu est chère, hein ?
L'usine emploie 185 personnes, la mine de charbon 200. D'autres entreprises dans la ville, qui sait? Les gens partent.
SA, une star dans la course loin d'être un État riche et compétitif. Créer de la richesse et des emplois en Chine.
La dernière démolition d'une centrale électrique au charbon sud-australienne est presque terminée
L'Australien, Luke Griffiths:
La structure de béton et de briques de la centrale Playford B de 240 MW, nommée en l'honneur du premier ministre sud-australien Sir Thomas Playford, ne laisse que 200 mètres de haut à la centrale électrique du Nord située à Port Augusta, à 280 km au nord. d'Adélaïde.
Ce projet devrait être démoli en avril ou en mai dans le cadre d'un processus de déclassement entrepris par Flinders Power, une émanation de l'ancien exploitant de centrales électriques Alinta Energy.
Avant d'annoncer la fermeture de Northern à la mi-2015, Alinta a demandé 25 millions de dollars de subventions sur trois ans au gouvernement travailliste sud-australien pour continuer à fonctionner jusqu'à cette année, afin d'assurer une transition efficace après une augmentation rapide des énergies renouvelables. ce n'est pas viable.
Cependant, le gouvernement de Weatherill, qui est idéologiquement opposé au charbon, a rejeté l'offre.
Cela détruit la ville aussi:
Les habitants de Port Augusta cette semaine ont exprimé leur frustration ...
Deirdre McKerlie, qui travaille à Hair Flair de KD, a déclaré à The Australian que le fait de ne pas avoir de plan de transition était «juste stupide». Elle a déclaré que Port Augusta a atteint son paroxysme, avec de nombreuses entreprises non viables et des résidents s'éloignant.
Le Premier ministre Jay Weatherill a déclaré: "Port Augusta est un symbole de la transition de l'Australie du Sud vers le nouveau ..."
Exactement notre point.
Les chaudières ont été détruites en novembre.
Le reste sera démoli en avril ou mai. SA, niveau de vie par la suite.
SA possédait deux centrales électriques au charbon: Playford B, construite en 1963, 240 MW et la plus récente Northern Power Station (1985) et 520 MW.
http://joannenova.com.au/2018/01/south-australia-blows-up-cheap-electricity-jobs-in-ideological-anti-coal-quest/
Voir aussi les températures ajustées à la politique de la dictature en place et non en fonction des degrés indiqués sur le thermomètre !
Supprimerhttps://mythesmanciesetmathematiques.wordpress.com/2018/01/24/le-giss-et-les-series-de-temperatures-de-marseille/#more-15342
Une nouvelle étude montre que la voie d'entrée de l'eau douce à partir de la fonte des glaces conduit à un refroidissement rapide
RépondreSupprimer25 janvier 2018
par Mark Floyd, Oregon State University
Les scientifiques savent depuis longtemps qu'une réduction des courants de l'océan Atlantique apportant de l'eau chaude à l'hémisphère nord depuis les tropiques a provoqué un refroidissement abrupt connu sous le nom de Dryas Younger Dryas il y a près de 13 000 ans, mais la cause de ce phénomène n'a pas été prouvée.
Maintenant, une équipe de scientifiques des États-Unis et du Canada pense avoir la réponse - l'apport d'eau douce de l'inlandsis laurentidien se retirant du bassin du lac Supérieur, créant une rivière à travers les Grands Lacs inférieurs jusqu'au golfe du Saint-Laurent et Atlantique Nord.
Les résultats sont importants parce que cela pourrait se reproduire, à la suite de la fonte de la calotte glaciaire du Groenland et d'une augmentation significative de l'eau douce de l'Arctique causée par l'augmentation de la pluie et de la neige. L'étude souligne également à quel point le courant atlantique est sensible aux changements dans l'apport d'eau douce.
Les résultats de l'étude ont été publiés en ligne dans Geology, une publication de la Geological Society of America.
"Il a été bien documenté que la circulation méridienne atlantique, ou AMOC, a ralenti à cause de l'eau douce, mais il y a eu peu d'accord sur la façon dont", a noté Anders Carlson, géologue et co-auteur de l'étude. "Certains scientifiques ont soutenu pendant des années qu'il s'agissait de cette voie d'eau douce, mais d'autres disent que la région était encore gelée lorsque la période de refroidissement a commencé.
"Certaines personnes ont même spéculé qu'une comète a causé la période de refroidissement, mais nous avons trouvé des preuves convaincantes que c'était de l'eau douce - une rivière de la taille du Mississippi qui a coulé dans l'Atlantique Nord."
La clé de la découverte de l'équipe de recherche provient de l'échantillonnage des blocs dans la région où l'inlandsis laurentidien dominait autrefois l'hémisphère Nord, couvrant quelque 5 millions de milles carrés et atteignant une épaisseur de 8 000 à 10 000 pieds à certains endroits. La dernière glaciation a été au maximum il y a environ 23 000 ans et a dominé le paysage jusqu'à ce qu'elle commence à reculer à mesure que la planète se réchauffait.
Le recul glaciaire a pris plus de 10 000 ans, a noté M. Carlson, mais le «point de basculement» qui a causé la réduction du courant atlantique a peut-être eu lieu en un seul été.
«Au fur et à mesure que la calotte glacière s'est retirée, d'énormes lacs d'eau douce se sont déversés dans le Mississippi et dans le golfe du Mexique», a déclaré M. Carlson. «Mais à un certain moment, la région du lac Supérieur est devenue libre de glace et c'était comme si l'on enlevait un barrage qui est passé d'un drainage sud à un drain est et dans l'Atlantique Nord.
Le résultat a été un refroidissement important de l'Atlantique Nord qui a conduit à des températures plus basses sur terre - jusqu'à 10 degrés Celsius (ou environ 18 degrés Fahrenheit) en un peu plus d'un siècle.
RépondreSupprimerCarlson et ses collègues se sont rendus sur le terrain pour voir s'ils pouvaient savoir quand le bassin du lac Supérieur est devenu libre de glace, ouvrant ainsi la voie d'eau douce à l'Atlantique Nord. Ils ont échantillonné des rochers dans toute la région pour voir combien de temps ils avaient été exposés aux rayons cosmiques. Lorsque ces rayons cosmiques frappent le quartz dans la roche, ils séparent les éléments et créent du béryllium-10.
"Essentiellement, ce que nous avons fait était de mesurer le coup de soleil sur les rochers", a déclaré Carlson. «Le bombardement cosmique par les neutrons laisse une image claire du moment où ces rochers ont été exposés au soleil, ce qui montre que le lac Supérieur a été déglacé il y a 13 000 ans, beaucoup plus tôt qu'on ne le pensait auparavant.
L'évidence de bloc a été rendue possible grâce à l'utilisation d'un spectromètre de masse à peu près de la taille d'un terrain de basket à l'université de Purdue. La technique, appelée spectrométrie de masse par accélérateur, utilise un accélérateur de particules de physique nucléaire d'ancienne génération pour mesurer les atomes individuels - dans ce cas, le béryllium-10 - produit dans ces blocs par les rayons cosmiques.
"Cette nouvelle approche nous permet de réduire la plage de temps où les zones deviennent libres de glace à partir des échelles de temps millénaires jusqu'à quelques siècles", a déclaré Marc Caffee, un physicien Purdue et co-auteur de l'étude. «À l'avenir, cela nous permettra d'être beaucoup plus précis dans la mesure du recul des marges glaciaires et de leur relation avec le changement climatique, et la compréhension des changements climatiques passés est un élément clé pour comprendre les changements climatiques futurs.
Bien que les résultats de cette étude aient pu résoudre une longue controverse, les chercheurs affirment que de nombreux aspects des changements climatiques passés sont encore mal compris. Le bombardement cosmique des matériaux de surface fournit une horloge que les chercheurs peuvent utiliser pour comprendre les relations de cause à effet dans les changements climatiques passés.
Il faudrait une augmentation significative de l'apport d'eau douce dans l'Atlantique Nord pour renverser à nouveau les courants, a souligné Carlson - la fonte de l'inlandsis du Groenland pendant environ 1300 ans avec une énorme augmentation de l'eau douce de l'Arctique.
«Les modèles montrent que pendant que la planète se réchauffe, l'Arctique recevra plus de neige en hiver et plus de pluie en été», a déclaré Carlson. "L'augmentation des précipitations est déjà en cours."
https://phys.org/news/2018-01-freshwater-route-ice-rapid-cooling.html#jCp
(...) L'étude souligne également à quel point le courant atlantique est sensible aux changements dans l'apport d'eau douce. (....)
SupprimerHAHAHAHAHA ! Depuis des millions d'années il y a des milliards de km3 d'eaux douces (venus des pluies, des fleuves & des rivières) qui se sont déversés (et continuent de le faire !!) dans les océans 'sensibles' (Hahaha !) SANS QU'ILS NE MONTENT !!
Siècle des données montre les marées de l'élévation du niveau de la mer dans le Delaware, dans les baies de Chesapeake !!
RépondreSupprimer25 janvier 2018,
Pennsylvania State University
Le réchauffement climatique devrait affecter les régions côtières du monde entier à mesure que les glaciers et les calottes glaciaires fondent, élevant le niveau de la mer à l'échelle mondiale. Pour la première fois, une équipe internationale a découvert que l'élévation du niveau de la mer affecte déjà les hautes et basses marées dans les baies de Chesapeake et du Delaware, deux grands estuaires de l'est des États-Unis.
L'équipe a combiné un modèle informatique avec 100 ans d'observations pour démêler le fait que l'élévation globale du niveau de la mer augmente l'amplitude des marées, ou la distance entre les marées hautes et basses, dans de nombreuses zones de chaque baie.
Les marées, ou la montée et la chute de la surface de l'océan, se produisent à intervalles réguliers et résultent de nombreux facteurs, dont le plus important est l'attraction gravitationnelle du soleil et de la lune. Pendant des siècles, les gens ont documenté et prédit les marées hautes et basses quotidiennes parce qu'elles peuvent avoir un impact sur la navigation océanique. Les marées peuvent également affecter la vie marine, les risques d'inondation, la pêche, les conditions météorologiques et certaines sources d'énergie telles que l'énergie hydroélectrique.
En 2015, Andrew Ross, étudiant au doctorat en météorologie, Penn State, a remarqué une tendance étrange émergeant lors de l'essai d'un modèle informatique numérique pour la recherche sur les marées. L'ajout d'un mètre d'élévation du niveau de la mer au modèle a entraîné une modification distincte des marées haute et basse dans la baie de Chesapeake.
«Nous n'étions pas sûrs de la raison de cette présence, mais elle était suffisamment unique pour que nous puissions la voir aussi dans les observations si elle était réelle», a déclaré Ross, maintenant chercheur postdoctoral à l'Université de Princeton. "Nous avons donc commencé à regarder les observations, à faire plus de comparaisons."
Ross a commencé à travailler avec une équipe qui comprenait son conseiller, Raymond Najjar, professeur d'océanographie, Penn State, pour déterminer les effets précis de l'élévation du niveau de la mer en soustrayant d'autres forces qui affectent les changements de l'amplitude des marées. Certaines de ces forces sont prévisibles, y compris les 18,61 années d'oscillation de l'orbite lunaire autour de la Terre. D'autres forces sont moins prévisibles, comme l'effet du dragage d'une baie pour créer un espace plus large et plus profond pour les porte-conteneurs. L'équipe a analysé les enregistrements des marégraphes de 15 emplacements dans les baies Delaware et Chesapeake, dont le plus ancien remonte à 1901. Ils ont également étudié les villes avoisinantes à l'extérieur de chaque baie pour contrôler les changements plus importants affectant l'océan plus largement.
Une fois qu'ils ont isolé l'influence de l'élévation du niveau de la mer sur les marées en utilisant les enregistrements des marégraphes, ils ont comparé cette information avec un modèle informatique dans lequel ils pouvaient ajuster le niveau global de la mer, simulant les effets du passé ou du futur. Ils ont rapporté, dans le Journal of Geophysical Research: Oceans, que les données des marégraphes et le modèle concordaient généralement sur les principaux effets de l'élévation du niveau de la mer sur les marées. L'analyse a montré qu'un mètre de montée du niveau de la mer augmentait l'amplitude des marées jusqu'à 20% dans certaines zones. La quantité exacte de changement de l'élévation du niveau de la mer a varié en fonction de caractéristiques physiques telles que la forme de la baie.
RépondreSupprimer«Dans la baie du Delaware, en remontant vers Philadelphie, les lignes de rivage convergent en forme d'entonnoir, ce qui amplifie les effets de l'élévation du niveau de la mer sur les marées», a déclaré M. Ross. "Cette amplification est amplifiée au fur et à mesure que vous avancez en amont."
En revanche, la forme de la baie de Chesapeake a eu un effet différent, dans certains cas, elle a légèrement diminué l'amplitude des marées. Comparativement à la baie du Delaware, la baie de Chesapeake est plus longue et a moins d'entonnoir. Après une vague qui pénètre dans la baie de Chesapeake depuis l'océan, elle finit par atteindre la fin de la baie et se reflète vers l'océan, soit en ajoutant ou en soustrayant de la hauteur des vagues qu'elle touche. Parce que les vagues voyagent plus vite dans les eaux plus profondes, un niveau de mer plus élevé se traduit par une vitesse plus rapide des vagues. Cela change lorsque les ondes entrantes et sortantes interagissent les unes avec les autres, ce qui a un effet en cascade sur les modèles de marées dans toute la baie.
"Quand les gens pensent aux inondations associées à l'élévation du niveau de la mer, ils pensent souvent que tout va augmenter, y compris les marées, mais la réalité est que dans certains cas, l'amplitude des marées peut rester identique ou diminuer". "Tout dépend de la géométrie de la baie et de la vitesse des vagues, qui, nous le savons, sont affectées par l'élévation du niveau de la mer."
https://phys.org/news/2018-01-century-sea-level-shifting-tides-delaware.html#jCp
AU SECOURS !!! LA MER NE VEUT PAS MONTER !!!
SupprimerPlus con que çà y a pas ! Regardez voir si vous avez chez vous une bassine ou baignoire si l'eau monte !
HAHAHAHAHAHA !
Ce sont là des FAUX scientifiques payés pour sortir des conneries comme l'histoire aux Maldives où les riches ayant acheté des îles ne voulaient plus voir leur morceau de terre envahi par les eaux lors des fortes marées (upweling) et, on demandé aux États du monde de leur payer les enrochements nécessaires à l'abri de leurs yachts !
Votre sandwich est mauvais pour l'environnement ?
RépondreSupprimer24 janvier 2018,
Université de Manchester
Prenez-vous un pique-nique pour travailler ou acheter un sandwich au magasin ? Selon une nouvelle étude, l'empreinte carbone de votre sandwich pourrait avoir un impact majeur sur les émissions de gaz à effet de serre.
Des chercheurs de l'Université de Manchester ont réalisé la toute première étude sur l'empreinte carbone des sandwiches, faits maison et pré-emballés. Ils ont examiné l'ensemble du cycle de vie des sandwiches, y compris la production d'ingrédients, de sandwiches et de leurs emballages, ainsi que les déchets alimentaires jetés à la maison et ailleurs dans la chaîne d'approvisionnement.
Au total, l'équipe a examiné 40 types de sandwichs différents, des recettes et des combinaisons. Ils ont trouvé les empreintes carbone les plus élevées pour les sandwiches avec de la viande de porc (bacon, jambon ou saucisses) et celles contenant du fromage ou des crevettes.
Parmi les recettes considérées, la variété la plus gourmande en carbone est un sandwich «tout-petit-déjeuner» prêt à l'emploi qui comprend des œufs, du bacon et des saucisses. Les chercheurs estiment que ce type de sandwich génère 1441 grammes d'équivalent de gaz carbonique. Cela équivaut aux émissions de gaz carbonique dues à la conduite d'une voiture sur 12 miles.
Le sandwich avec le plus bas équivalent d'émission de carbone est un simple favori fait maison, jambon et fromage. L'étude a également révélé que la fabrication de vos propres sandwiches à la maison pourrait réduire les émissions de carbone de moitié par rapport aux équivalents prêts à l'emploi.
Selon la British Sandwich Association (BSA), plus de 11,5 milliards de sandwiches sont consommés chaque année au Royaume-Uni seulement. Environ la moitié de ceux-ci sont fabriqués à la maison et l'autre moitié est achetée au comptoir dans les magasins, les supermarchés et les stations-service à travers le pays. Cela signifie que le Royaume-Uni consacre près de 8 milliards de livres par an à la collation panée, pour un coût moyen de 2 livres par collation.
Le professeur Adisa Azapagic, de l'École de génie chimique et des sciences analytiques, a déclaré: «Étant donné que les sandwiches sont un aliment de base du régime britannique et leur part de marché importante dans le secteur alimentaire, il est important de comprendre la contribution de ce secteur. les émissions de gaz à effet de serre.
«Par exemple, consommer 11,5 milliards de sandwichs par an au Royaume-Uni génère en moyenne 9,5 millions de tonnes d'équivalent gaz carbonique, soit l'équivalent de l'utilisation annuelle de 8,6 millions de voitures».
Les résultats montrent que le plus grand contributeur à l'empreinte carbone d'un sandwich est la production agricole et la transformation de leurs ingrédients. Selon le type, cela peut représenter environ 37% -67% de l'équivalent gaz carbonique pour les sandwiches prêts à l'emploi.
Garder les sandwiches frais dans les supermarchés et les magasins contribue également à leur empreinte carbone. Cela peut représenter jusqu'à un quart de l'équivalent de leurs émissions de gaz à effet de serre. Ensuite, il y a le matériau d'emballage qui arrive jusqu'à 8,5% et, enfin, le transport des matériaux et la réfrigération des sandwichs eux-mêmes ajoute encore 4%.
RépondreSupprimerL'étude conclut que l'empreinte carbone des collations pourrait être réduite de 50% si une combinaison de changements était apportée aux recettes, à l'emballage et à l'élimination des déchets. Les chercheurs suggèrent également d'étendre les dates de vente et d'utilisation afin de réduire le gaspillage.
Le professeur Azapagic, qui dirige également le groupe de recherche sur les systèmes industriels durables, a ajouté: «Nous devons changer l'étiquetage des aliments pour augmenter la date de péremption, car ils sont généralement assez conservateurs. Les sandwiches commerciaux sont soumis à des tests rigoureux de conservation et sont normalement sans danger pour la consommation au-delà de la date de péremption indiquée sur l'étiquette.
La BSA estime également que prolonger la durée de conservation des sandwichs en assouplissant ces dates permettrait d'économiser au moins 2000 tonnes de déchets sandwiches par an.
L'étude recommande également de réduire ou d'omettre certains ingrédients qui ont une empreinte carbone plus élevée, comme la laitue, la tomate, le fromage et la viande. La réduction des ingrédients, tels que le fromage et la viande, réduirait également la quantité de calories consommée, contribuant ainsi à un mode de vie plus sain.
https://phys.org/news/2018-01-sandwich-bad-environment.html#jCp
Demain, ces mêmes trous de cul vous conseilleront (pour éviter l'empreinte carbone) de manger votre merde !
SupprimerC'est vrai çà, c'est plein de vitamines !
https://huemaurice5.blogspot.fr/2013/05/vive-le-gaz-carbonique.html
Que cache le site le plus profond de la Terre, la fosse des Mariannes ?
RépondreSupprimer20:07 25.01.2018
La fosse des Mariannes, ce cratère sous-marin géant en forme de croissant caché à presque 11 km de profondeur dans l’Océan pacifique, est remplie de secrets… Quelles créatures y habitent? Combien de fois l’homme y a tenté sa chance? Qu’arriverait-il à la Terre à cause de la pression si l’on retire un «bouchon imaginaire» de la fosse?
Comment est l'environnement à 11 kilomètres sous la mer ?
- voir clip sur site -
Perdues dans la partie nord-ouest de l'Océan pacifique, les îles Mariannes sont extrêmement éloignées de la terre ferme. C'est là, à —10.994 mètres de profondeur, que se trouve le point le plus bas de la croûte terrestre, à savoir la fosse des Mariannes.
La pression de la masse de l'eau y est de 1.086 bars, comme si 1.000 éléphants se trouvaient ensemble sur le toit d'une voiture, selon les scientifiques. Cependant, la température de l'eau dans la fosse des Mariannes est relativement chaude, à savoir entre 1°C et 4°C. Cela est dû à de multiples sources hydrothermales.
La forme du cratère sous-marin n'est pas complètement verticale, mais plutôt en forme de croissant, de 2.500 kilomètres de long et de 70 kilomètres de large.
Les êtres humains à l'assaut du site le plus profond du monde
Outre le drone japonais Kaiko, le robot américain Nereus et le drone chinois Jiaolong, qui ont été lancés dans la fosse pour l'explorer, des hommes ont effectué trois plongées dans les profondeurs de la fosse des Mariannes.
1) Le scientifique Jacques Piccard, fils d'Auguste Piccard (inventeur du bathyscaphe), et le lieutenant de l'US Navy Don Walsh, ont effectué, le 23 janvier 1960, la première plongée, à bord du bathyscaphe Triest. Ils ont plongé à —10.916 mètres.
RépondreSupprimerCette première plongée a permis d'établir qu'il y existe des formes de vie. Grâce à cette découverte, des puissances mondiales ont renoncé à y entreposer des déchets radioactifs.
2) Le célèbre réalisateur américain James Cameron, à bord du bathyscaphe Deepsea Challenger conçu en Australie, a atteint, le 25 mars 2012, la profondeur de —10.898 mètres. Restant assis à l'intérieur de cette capsule, Cameron a passé trois heures dans les profondeurs extrêmes et a pris des clichés et collecté des échantillons qui ont servi de supports pour son film documentaire Deepsea Challenge 3D.
Je viens d'atteindre le fond des océans. Cela n'avait jamais été aussi cool de toucher le fond. Je suis impatient de partager avec vous ce que je suis en train de voir
3) L'expédition du navire Okeanos Explorer, appartenant à la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA), a plongé dans la fosse des Mariannes dans la période comprise entre le 20 avril 2016 et le 10 juillet. Les cinq chercheurs à bord du submersible ont également lancé une diffusion en direct depuis leur navire sur YouTube grâce au système de Telepresence. C'était la première expédition collective dans la fosse mais les chercheurs n'ont atteint que —6.000 mètres.
4) Le célèbre voyageur russe Fiodor Konioukhov envisage lui aussi de plonger dans la fosse des Mariannes.
- voir clip sur site -
Les étranges créatures habitant dans la fosse des Mariannes (photos, vidéos)
1) Grâce au ROV (petit sous-marin contrôlé à distance) Deep Discoverer, les scientifiques de l'Okeanos Explorer ont exploré la fosse des Mariannes et y ont découvert d'étranges animaux tels qu'une méduse aux couleurs singulières.
- voir clip sur site -
2) Grâce aux caméras de l'Okeanos Explorer, les scientifiques ont également pu découvrir plusieurs autres types de créatures, tels que des poissons fantômes, différents coraux, ainsi que des vers, mais la plupart d'entre eux n'ont pas encore reçu de noms exacts.
RépondreSupprimer- voir clip sur site -
3) Des scientifiques britanniques ont découvert une espèce de gastéropode opisthobranche marin (Pseudoliparis swirei) à 8,1 kilomètres de profondeur dans la fosse des Mariannes.
Le volcan sous-marin Daikoku
Le volcan sous-marin Daikoku se trouve environ à 414 mètres de profondeur dans la fosse des Mariannes. Daikoku a quelque chose de rarissime sur notre planète, à savoir un lac de soufre fondu. Le seul analogue à ce lac se trouve sur le satellite de Jupiter, Io.
- voir clip sur site -
Les changements sur la Terre à cause de la fosse des Mariannes ?
En décembre 2017, une courte vidéo montrant ce que serait arrivé à la Terre et aux océans si l'on tire un «bouchon imaginé» de 10 mètres de la fosse des Mariannes est apparue sur internet. Selon ses auteurs, la surface topographique de la Terre aurait beaucoup changé et les océans se seraient complètement desséchés. Sauf que, selon ce modèle, il aurait fallu trois milliards d'années.
https://fr.sputniknews.com/sci_tech/201801251034885604-secrets-terre-fosse-mariannes/
Le passage maritime par le pôle Nord est bizarrement découvert par les transporteurs ! Comment se fait-il que seulement 40 bateaux aient pu traverser l'Arctique tandis que cette même année dernière 17500 préféraient emprunter le Canal de Suez ?
SupprimerLe gag ne vient pas d'un réchauffement climatique favorisé par des arrivées soudaines d'alizés tropicaux sur les glaces mais seulement que la voie est maintenant libérée grâce aux nouveaux brise-glaces soviétique qui contribuent à désengorger les planchers polaires de ses blocs en stationnement.
"La Russie, qui abrite déjà la plus grosse flotte de brise-glaces du monde, avec 41 unités, a prévu d’en construire onze de plus, dont cinq sont déjà en chantier", évoque Frédéric Faux sur le site Le temps (Suisse) du 25 Janvier. "Plus de 20% des réserves de pétrole et de gaz sont enfouies dans cette région, sans oublier d’importants gisements de minerai", poursuit-il.
Ainsi, même si en trente ans la banquise s'est rétrécie ce n'est ni la faute du soleil ni celle de la lune mais seulement à l'origine de nouvelles percées magmatiques qui descellent de lourds glaciers qu'emportent les courants conjugués aux brise-glaces qui font sauter les bouchons.
Inondations: ces Franciliens les pieds dans l’eau (vidéo)
RépondreSupprimer17:56 25.01.2018
La crue de la Seine devrait dépasser le niveau de celle de juin 2016, en atteignant une hauteur de 6,20 m ce week-end selon Vigicrues. Sputnik s’est rendu à Villeneuve-le-Roi (Val-de-Marne), où une partie des habitants a déjà les pieds dans l’eau.
Le zouave du pont de l'Alma a déjà les genoux dans l'eau et les Franciliens s'inquiètent: la Seine va-t-elle dépasser le niveau de la crue de juin 2016 ? Il semblerait que cela soit une question de jours. En effet, de nouvelles pluies devraient ralentir la décrue. Selon vigicrues «les niveaux de la Seine à Paris resteront orientés à la hausse jusqu'à ce week-end. Un niveau maximum comparable à celui atteint lors de la crue de juin 2016 [6,10 m, ndlr] est prévu.» Pourtant, malgré les prévisions, la hauteur de la Seine reste bien loin du record historique de 1910 avec 8,62 m.
Alors que les Parisiens voient leur rivière atteindre 5,40 m ce jeudi 25 janvier, la situation en banlieue est plus inquiétante. Et pour cause, dans des villes comme Suresnes (Haut-de-Seine) l'eau atteint déjà 7,40 m. Sputnik s'est rendu en Île-de-France, plus précisément à Villeneuve-le-Roi (Val-de-Marne), où une partie des habitants a déjà les pieds dans l'eau.
https://fr.sputniknews.com/france/201801251034884424-inondations-paris/
SupprimerFaut dire qu'en France les fleuves n'ont pas été dragués depuis plus de quarante ans ! d'où les débordements à la moindre pluie et les morts en plus des dégâts.
Un roi du textile chinois convoite Bally
RépondreSupprimerLe spécialiste chinois du textile Shandong Ruyi se serait positionné pour l’acquisition du chausseur de luxe suisse Bally. Ce groupe s’est lancé dans une vague d’achats tous azimuts pour renforcer son intégration verticale et monter en gamme
Anne Labadie, Hongkong
jeudi 25 janvier 2018 à 19:01.
Il semble révolu ce temps où seuls les acheteurs professionnels de Daniel Hechter ou Armani connaissaient Shandong Ruyi, l’un de leurs fournisseurs. Le géant du textile chinois à l’appétit insatiable s’est forgé un nom, gagnant en notoriété à chaque nouvelle acquisition à l’international. Les chaussures de luxe suisses Bally sont le dernier trophée que le groupe entend ajouter à son tableau de chasse, a indiqué le 8 janvier dernier Bloomberg.
L’affaire n’est pas encore conclue, mais, selon des informations de presse, le chinois Shandong Ruyi est entré en négociation avancée avec JAB Holding, le propriétaire luxembourgeois de la marque fondée en 1851 à Schönenwerd (SO) et réputée pour ses chaussures et sacs en cuir pour hommes. Avec une offre à 700 millions de dollars, Shandong Ruyi tiendrait la corde, devant les autres repreneurs potentiels, dont Fosun – qui possède notamment le Club Med – et Fujian Septwolves. Sollicitées, les parties engagées n’ont pas fait de commentaire.
Ruyi, une entreprise familiale
Etabli comme Shandong Ruyi Technology Group Ltd en 2001, le fabricant s’est depuis longtemps tissé une solide réputation dans l’industrie du textile en Chine, où il est l’un des plus puissants.
Le groupe a opté pour l’intégration verticale, de la production de fils de coton en Chine et de laine en Australie jusqu’à la fabrication et la vente de vêtements. Ruyi, c’est une entreprise familiale avec 40 ans d’expérience dans le textile en Chine, 13 usines, des ateliers de conception, 3000 points de vente, un réseau dans 36 pays et plus de 20?000 collaborateurs. Tissu teint, jean, fibre synthétique élastique, le groupe ne cesse d’étoffer son catalogue.
Marge en progression
A la tête de Shandong Ruyi, Qiu Yafu, actionnaire à 51% du groupe coté à la bourse de Shenzhen. Cet amoureux et défenseur du luxe déclarait en 2010 vouloir être dix ans plus tard «le plus grand groupe de mode de Chine avec 5 milliards de dollars de chiffre d’affaires». L’objectif est atteint puisque, au 30 juin 2017, le groupe affichait 35,5 milliards de yuans de revenus, soit 5,5 milliards de dollars.
La marge brute de la compagnie a grimpé graduellement de 16,3% en 2013 à 20,7% en 2016, selon Moody’s. Et l’agence de notation prédit 5% d’augmentation des revenus 2018 pour le groupe, dont elle souligne «le fort appétit pour les acquisitions et les investissements dans les secteurs non textiles».
La fièvre acheteuse a débuté en 2010. Pour améliorer l’amont de la filière de son premier métier, le groupe acquiert des entreprises et leurs textiles innovants. Lycra est l’une de ses prises. Il fallait se doter de marques reconnues internationalement et ce, selon les explications de Qiu Yafu, afin de bénéficier du design et de la gestion d’une marque déjà établie.
RépondreSupprimerMiser sur le «luxe abordable»
Le patron rêvait notamment d’acquérir des marques en France, «le centre de la mode pour le monde entier», selon lui. Il a frappé dans le mille à la fin de 2016 avec l’acquisition pour 1,3 milliard d’euros (1,52 milliard de francs) de SMCP, le groupe d’habillement français plus connu au travers de ses marques phares Sandro, Maje et Claudie Pierlot. Cette acquisition lui a permis à la fois de se positionner sur le segment du «luxe abordable» prometteur en Chine avec la montée en puissance d’une classe moyenne, mais aussi de gagner en valeur ajoutée et d’entrer à la bourse de Paris.
Avant SMCP, Shandong Ruyi avait fait sienne la marque britannique Aquascutum, spécialisée dans les gabardines, mais aussi la japonaise Renown, l’italienne Nogara ainsi que Trinity Ltd, patron de la griffe de luxe britannique Gieves & Hawkes et ses célèbres costumes. Ruyi a également jeté son dévolu sur CS Agriculture Pty Ltd en Australie et a investi dans une centrale électrique au charbon au Pakistan.
Vers un écosystème complet
Si aujourd’hui Shandong Rui vise Bally, c’est peut-être pour «construire un écosystème complet de marques de luxe grâce à sa composition structurelle en permanente évolution», explique Yuwan Hu, analyste chez Daxue Consulting. Cela passe du premier maillon de la chaîne de fournisseurs, avec les fournisseurs de textile comme le groupe américain Invista, jusqu’à l’autre bout du marché, avec des marques haut de gamme et de luxe pour hommes et femmes.
Autre explication: en cherchant à se développer davantage sur le long terme, en particulier dans les marques de luxe, Shandong Ruyi et ses produits pourraient bénéficier d’une haute valeur ajoutée, et cela en ferait «bien plus qu’une simple usine traditionnelle de fournisseurs», selon Yuwan Hu.
Aujourd’hui, le «made in China» n’est plus synonyme de low cost, fait remarquer la consultante de Daxue. Les entreprises manufacturières sont confrontées à une période de mise à niveau et de transformation. En conséquence, il semble «nécessaire» et «inévitable» que cette poignée de groupes chinois se lance dans les acquisitions «afin de rattraper leur retard et garder ou/et augmenter leur compétitivité sur le marché mondial», conclut-elle.
https://www.letemps.ch/economie/2018/01/25/un-roi-textile-chinois-convoite-bally
RépondreSupprimerL'Hôpital fribourgeois balaie une offre du privé
Le groupe Hirslanden a proposé ses compétences de management à l’hôpital public, qui n’a pas daigné le recevoir pour un dialogue
Michel Guillaume
jeudi 25 janvier 2018 à 22:02.
L’Hôpital fribourgeois (HFR) est malade de ses coûts. Selon toute vraisemblance, il accusera un déficit oscillant entre 10 et 12 millions de francs pour l’année 2017, sans compter les 55 à 60 millions de prestations d’intérêt général que lui verse le canton. Mais il ne voit pas son salut dans une coopération avec le secteur privé. Au printemps dernier, sa directrice, Claudia Käch, a décliné toute offre de partenariat privé-public à la suite d’une demande du groupe de cliniques Hirslanden.
Hirslanden est le premier groupe de cliniques privées de Suisse. Il gère 17 cliniques, 14 en Suisse alémanique et 3 en Suisse romande: La Colline à Genève, Bois-Cerf et Cecil à Lausanne. Lors de son dernier exercice (2016-2017), il a réalisé un chiffre d’affaires de 428 millions, en progression de 3%. En mettant sur pied une nouvelle structure de direction, il a centralisé de nombreuses prestations non médicales pour permettre à ses cliniques de se concentrer sur les soins prodigués aux patients. Dès lors, son CEO, Ole Wiesinger, ne l’a pas caché: «Nous sommes ouverts à des mandats de management pour des hôpitaux publics.» Son groupe a acquis des compétences dans la standardisation des processus et les économies possibles dans l’achat de matériel dont pourrait profiter le service public.
Le conseil d’administration pas consulté
C’est la raison pour laquelle il a pris contact, à fin avril 2017, avec la direction de l’Hôpital fribourgeois, dont il a appris les difficultés financières, pour lui proposer une collaboration. «Nous avons une structure de coûts basse et pouvons malgré cela offrir des prestations de soins de haute qualité. Peut-être pourrions-nous nous rencontrer pour envisager une collaboration», écrit Ole Wiesinger à la directrice générale de l'HFR, Claudia Käch.
Cette dernière n’est pas entrée en matière. Une semaine plus tard, le 4 mai, Claudia Käch décline la proposition. Elle indique que la direction a discuté de l’offre de Hirslanden, dont elle reconnaît qu’il est «un groupe connu et prospère», mais sans donner suite. Claudia Käch refuse donc le moindre entretien, «en tout cas à l’heure actuelle». Une lettre de dix lignes en tout, salutations comprises.
Le service de presse de l'HFR confirme au Temps qu’il n’a pas jugé opportun de discuter avec le groupe Hirslanden. «En tant qu’hôpital public, notre mandat est clairement défini par le canton: nous offrons une large palette de prestations médicales et au-delà, nous nous engageons dans la formation de la relève. L’HFR appartient à l’Etat et, en ce sens, nous sommes entre de bonnes mains. Il n’y a ni volonté ni nécessité de changer cette situation», déclare Jeannette Portmann, porte-parole de l’hôpital.
Hirslanden, un concurrent plus qu’un partenaire
RépondreSupprimerQu’il n’y ait aucune volonté, c’est sûr. Dans le canton de Fribourg, le groupe Hirslanden est vu d’un mauvais œil par le service public. Certes, il n’y possède aucune clinique privée. En revanche, il a modernisé un centre médical à Guin qui, équipé d’un service de radiologie, propose des prestations ambulatoires appréciées de la population alémanique du canton. Or, ce centre, qui oriente souvent ses patients vers Berne en cas d’opérations, est considéré comme une concurrence par l'HFR.
Qu’il y ait en revanche nécessité de collaborer, cela pourrait au moins se discuter. Mais la direction n’a même pas daigné consulter son propre conseil d’administration sur cette question pourtant hautement stratégique. Or, la santé financière de cet hôpital public multisite (Fribourg, Billens, Meyriez-Morat, Riaz et Tavel) est «critique», de l’avis unanime des spécialistes. En témoigne une motion des députés au Grand Conseil Markus Bapst (PDC) et Peter Wüthrich (PLR), qui réclame une «révision totale» de la loi sur l’Hôpital fribourgeois.
«Au total, l’Etat dépense 330 millions de francs pour ses hôpitaux, tendance à la hausse. Les règles du jeu sont devenues une jungle incompréhensible pour les députés», déplorent les deux motionnaires. Deux mesures apparaissent urgentes: «Il faut donner à cet hôpital une gouvernance indépendante, de manière à ce qu’il s’affranchisse de la politique», déclare Markus Bapst. De plus, l’hôpital doit se doter d’une nouvelle convention collective de travail propre au personnel de santé. Actuellement, les 3300 collaborateurs sont assimilés à des employés de l’Etat, qui passent à un échelon supérieur de salaire chaque année.
Des défis pas anticipés
Le Conseil d’Etat n’a pas encore répondu à cette motion. Il attend un audit sur la gouvernance de l’hôpital, prévu pour ce printemps. Mais il est d’ores et déjà évident que l’HFR n’a pas su anticiper les défis qu’a posés la libéralisation du marché hospitalier décrétée par les Chambres fédérales en 2012. Dans une interview accordée à La Liberté en septembre dernier, la ministre fribourgeoise de la Santé, Anne-Claude Demierre, l’a d’ailleurs admis: «Les coûts de l’HFR sont trop élevés.» Mais elle n’a pas indiqué les pistes d’économies à effectuer. L’hôpital n’exploite pas forcément trop de sites, mais il devrait revoir leurs prestations à la baisse. Dans certains benchmarks, il est franchement mauvais élève. Il emploie trop de personnel par rapport au volume de soins prodigués aux patients. La durée des hospitalisations est aussi supérieure à celle de la moyenne suisse.
Dans ces conditions, on peut se demander si l’HFR n’aurait pas eu intérêt à accepter de discuter avec un interlocuteur apportant un regard extérieur. «Nous sommes persuadés qu’en additionnant les compétences, des partenariats entre le public et le privé peuvent apporter des avantages pour les deux parties, dit-on chez Hirslanden. Qu’un hôpital soit géré par le public ou le privé est secondaire. L’essentiel est d’assurer des soins de qualité au meilleur coût.»
https://www.letemps.ch/suisse/2018/01/25/lhopital-fribourgeois-balaie-une-offre-prive
SupprimerPareillement que pour 'No Billag' où il s'agit de supprimer le service public de l'information pour n'avoir que des mensonges publiés par les réseaux privés étrangers (ou habitants en Suisse), l'hôpital Suisse est public, c-à-d qu'il appartient aux Suisses et ne doit en aucun cas être l'affaire d'entreprise privées étrangères.
Paul Craig Roberts prévient "Les enjeux de russiagate sont extrêmes"
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ven. 26/01/2018 - 00:10
Auteur de Paul Craig Roberts,
Le retard des républicains à publier le résumé de l'enquête de Russiagate du Comité de renseignement de la Chambre donne du poids à l'affirmation des journalistes selon laquelle le rapport n'est pas publié, parce que c'est une tentative de piratage de Trump qui n'est pas crédible. Seuls les républicains sont assez stupides pour se mettre dans une telle situation.
Les lecteurs me demandent pourquoi le résumé n'est pas publié s'il est réel. Il doit y avoir des raisons autres que la stupidité des républicains. Oui, c'est vrai. Parmi les nombreuses raisons qui pourraient bloquer la libération sont:
1) Les républicains sont très soucieux de la sécurité nationale. Ils ne veulent pas fournir de précédents pour la publication d'informations classifiées.
2) De nombreux districts du Congrès républicain accueillent des installations du complexe militaire / de sécurité. Détourner un grand employeur et diriger le financement d'une campagne vers un challenger est une considération importante.
3) Le régime George W. Bush / Dick Cheney était un régime néoconservateur. Une conséquence est que les républicains sont influencés par les néoconservateurs qui soulignent la prétendue "menace russe".
4) Le lobby israélien peut renverser n'importe quel membre de la Chambre et du Sénat. Le lobby israélien est allié aux néoconservateurs et cette alliance entend maintenir les Etats-Unis militairement actifs contre les menaces perçues à l'hégémonie israélienne au Moyen-Orient et contre la Russie, qui soutient la Syrie et l'Iran, pays perçus comme des menaces par Israël.
5) De nombreux républicains sont eux-mêmes investis dans de fausses allégations russiagates contre Trump et voudraient le remplacer par Pence. D'autres républicains croient que Trump mine les alliances étrangères coûteuses achetées par Washington et, partant, mine la puissance américaine.
Beaucoup d'Américains ne semblent pas comprendre ce qui est en jeu. Ce à quoi l'Amérique est confrontée est un complot organisé par les hauts fonctionnaires du département de la Justice d'Obama, du FBI, de la CIA, du Hillary DNC et des médias de presse pour renverser le résultat d'une élection démocratique et destituer le président. La base du coup est un faux dossier acheté pour de l'argent qui consiste en des allégations non étayées contre Trump et qui a été utilisé pour obtenir des mandats du compte de la FISA pour espionner Trump et divers associés espérant trouver quelque chose qui puisse être utilisé contre Trump. Quoi qu'il en soit, les fausses allégations pourraient être introduites dans les médias de la CIA et utilisées pour créer un scandale nécessitant un procureur spécial pour enquêter sur Russiagate.
Une fois l'enquête en cours, les journalistes ont poursuivi le scandale en espérant convaincre assez d'Américains que Trump devait avoir fait quelque chose - «là où il y a de la fumée, il y a du feu» - ce qui justifie son renvoi. Il a travaillé contre Richard Nixon, mais pas contre Ronald Reagan, et Trump n'est pas Reagan.
RépondreSupprimerSi les plus hauts échelons des agences de l'État policier peuvent s'en tirer avec un coup d'État tenté ou réussi contre le président des États-Unis, alors c'est la fin complète de la démocratie et de toute la reddition de comptes au gouvernement. La Chambre, le Sénat et le pouvoir judiciaire deviendront aussi impuissants que le sénat romain sous les césars. Nous vivrons sous une dictature dirigée par des agences de police.
Beaucoup d'Américains disent qu'ils n'ont pas besoin du rapport d'intelligence de maison, parce qu'ils ne croient pas le BS de Russiagate en premier lieu. Ils manquent le point. Ils ont besoin du rapport, car les responsables de cette tentative de coup d'État doivent être identifiés, inculpés et poursuivis pour leur acte de haute trahison.
Ce n'est pas un problème mineur. Cela va au coeur de savoir si une forme de liberté existera. Nous savons tous que la capacité de la population à demander des comptes au gouvernement n'est pas garantie par la démocratie. Cependant, il n'y a aucune perspective de demander des comptes au gouvernement s'il s'agit d'un État policier, un chemin que les États-Unis empruntent depuis un certain temps. La tentative de coup d'Etat audacieuse contre le président Trump est notre chance de stopper l'élan vers un état policier.
Malgré mes récentes publications, beaucoup de gens ne comprennent pas que le document judiciaire de la FISA qui a été déclassifié et publié par William Binney et l'ancien procureur américain Joe di Genova contienne des aveux du FBI et du ministère de la Justice selon lesquels ils ont espionné obtenu des mandats de la cour sous de faux prétextes. En d'autres termes, nous avons l'autorité du tribunal FISA lui-même que le FBI et le DOJ ont admis à la cour leurs transgressions. Lorsque Stephen Boyd, attaché de liaison au Congrès du ministère de la Justice (sic), affirme que le ministère de la Justice «n'est au courant d'aucun acte répréhensible», il ment entre ses dents. Le DOJ a déjà avoué ses méfaits au tribunal de la FISA.
(Voir l'affirmation de Lendman sur Boyd selon laquelle la publication de la note nuirait à la sécurité nationale et aux enquêtes en cours, ce qui est toujours le cas lorsque le gouvernement doit couvrir ses crimes.)
Lorsque l'amiral Rodgers, directeur de la National Security Agency, a découvert que le FBI et le DOJ abusaient du système d'espionnage pour des raisons politiques partisanes, il a fait savoir qu'il allait informer le tribunal de la FISA. Cela a amené le FBI et le MJ à se précipiter à l'avance devant le tribunal et à avouer des «erreurs» et à promettre de resserrer les procédures afin de ne pas commettre d'erreurs à l'avenir. Ce sont ces «erreurs» et corrections que le document de la Cour FISA révèle.
En d'autres termes, l'information existe déjà dans le domaine public qui prouve que Russiagate était une conspiration organisée dans le but de faire tomber le président élu des États-Unis.
RépondreSupprimerOn peut faire valoir que ce serait tout aussi bien si le coup d'État réussissait car il mettrait fin à la couverture de Washington en tant que gouvernement d'une grande démocratie avec la liberté et la justice pour tous. La plupart des autres gouvernements, et on peut espérer que les gouvernements russe et chinois verront certainement le coup d'Etat comme la dernière transition de l'Amérique dans un état policier, abandonneront leurs idées utopiques pour parvenir à un accord avec Washington. Les contraintes sur la capacité de Washington à intimider le monde seraient grandement renforcées par la perception universelle que le gouvernement des États-Unis était devenu un État policier.
https://www.zerohedge.com/news/2018-01-25/paul-craig-roberts-warns-russiagate-stakes-are-extreme
Ce qui manque juste aux États-Unis c'est que Donald Trump rapporte et copie enfin le modèle Suisse en instaurant la première Démocratie aux States et la deuxième au monde après la Suisse !
SupprimerImmigrants Vs. Aliens: Le Global Invasion-Giveaway continue
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu. 25/01/2018 - 23:30
Auteur de Jeremiah Johnson (nom de plume d'un béret vert à la retraite des forces spéciales de l'armée américaine) via SHTFplan.com,
Les États-Unis étaient une nation fondée par des immigrants, et l'immigration a toujours eu une voie nette vers la citoyenneté américaine. Les États-Unis ont été construits par vagues successives d'immigrants venus en Amérique à la recherche d'une vie meilleure. Il y a une différence entre être un immigrant et être un étranger illégal. Les immigrants suivent les règles de la nation qu'ils émigrent et poursuivent une voie légitime vers la citoyenneté permanente ou vers l'emploi légal dans le pays. Les étrangers clandestins contournent tous les systèmes juridiques en place ... des règles conçues pour protéger les citoyens du pays de nombreuses façons.
Au cours des 100 dernières années, les États-Unis ont poursuivi une politique de laissez-faire envers les étrangers illégaux. Une grande partie de ceci était parce que les entreprises et les industries américaines telles que l'agriculture et l'exploitation minière, par exemple, ont voulu que les étrangers illégaux viennent ici. Ils voulaient les payer sous la table, en évitant les impôts et les retenues, et en contournant le salaire minimum. Le public était également complice: fermer les yeux, à condition qu'il ne les touche pas directement.
Mais ça l'a fait ... et année après année, des dizaines de milliers d'étrangers illégaux ont traversé nos frontières et ont commencé leur nouvelle vie en Amérique ... au détriment des citoyens américains.
Maintenant, il a changé en quelque chose de complètement différent:
Maintenant, c'est une partie du jeu socialiste basé sur Cloward et Piven, et les actions et les doctrines d'Alinsky pour détruire les États-Unis de l'intérieur; il est devenu un mouvement mondial vers l'objectif de la gouvernance mondiale.
Ce n'est pas l'immigration, ni aux États-Unis ni dans le monde entier. C'est la destruction planifiée et systématique des identités et des souverainetés nationales. Ceci est accompli de plusieurs manières:
Les différences religieuses sont si prononcées entre ces extraterrestres musulmans et les citoyens des nations traditionnellement chrétiennes d'Europe que les tensions sous-jacentes sont à un pas de la guerre entre citoyens et étrangers.
Les lois de ces pays sont «restructurées» pour faciliter l'insertion de ces étrangers contre les volontés des citoyens hôtes.
Les efforts (globalement) sont coordonnés et financés par un consortium d'oligarques et de politiciens qui utilisent le chaos, la confusion et l'instabilité pour détruire les nations et les pousser vers la gouvernance mondiale.
RépondreSupprimerLes armées d'ONG (Organisations Non Gouvernementales) sous des apparences d '«efforts humanitaires» ou de «dialogue politique» sont en réalité des «ambassades» et des représentants de front pour mener à bien la dissolution planifiée des frontières nationales et recruter des «5ème chroniqueurs». "Pour détruire ces nations de l'intérieur.
Le monde de 1984 de George Orwell se solidifie de jour en jour: surveillance accrue, libertés décroissantes et tensions à travers le monde pour déséquilibrer des populations entières tout en alimentant la machine de guerre avec de l'argent ... des fonds imposés ... du complexe industriel militaire mondial.
Van Jones: "De haut en bas, de bas en haut."
Encourager les «révolutions» des jeunes stupides et incompréhensibles, qui croient tous à l'absurdité de «faire la différence» quand ils jouent les rôles de marionnettes dans les mains des mondialistes. Devine quoi? Les mondialistes vont rassembler les «nouveaux Bohémiens» et leur tirer une balle dans la tête à la fin.
La Hongrie et la Tchécoslovaquie sont maintenant les seules nations à avoir des dirigeants qui s'opposent à l'invasion de l'Europe: l'insertion planifiée et délibérée d'étrangers illégaux dans les nations européennes. Tout cela est conçu pour détruire l'homogénéité des populations, détruire les frontières, la langue, la culture et les religions des nations, et permettre la suppression des frontières nationales ... créant ainsi des "continents" gigantesques pour les "juntes" d'oligarques et politicos à gouverner.
Gefira a publié un morceau le 19/01/18 intitulé The Incredible Shrinking Population: d'ici 2080, les Italiens seront une minorité dans leur propre nation. L'article souligne que les «migrations» de masse en provenance d'Asie et d'Afrique submergeront et éclipseront une population dont le taux de natalité est déjà bas. L'article est une "tranche représentative" de la tarte entière, comme cela est dupliqué dans chaque nation en Europe, sauf pour les deux mentionnés précédemment.
Le président fait appliquer les lois, et les illégaux aux États-Unis sont expulsés. Il y a un autre côté de la bascule qui mérite d'être mentionné, cependant, comme "chaque rose a son épine". La "épine" ici étant ceci:
Les clandestins expulsés des États-Unis ne sont pas «expulsés» au même rythme que les autres, et les vis se resserrent en scrutant les citoyens: un pas loin de choses telles qu'une carte d'identité nationale et un état policier permanent.
Le génie maléfique des mondialistes est leur capacité de «balancer» le jeu, et comme ils accomplissent une chose (peut-être cachée), si elle semble être «bonne» ou en opposition à leurs plans? Sous un examen plus attentif, il montre un ordre du jour caché, un but qui semble bon à la surface, mais un examen plus approfondi peut être modifié pour servir des intentions néfastes.
RépondreSupprimerAinsi, c'est avec les insertions favorisées d'étrangers illégaux dans les pays d'Europe et aux États-Unis. La partie ironique est que ces extraterrestres sont des outils involontaires dont les mondialistes se moquent et qui ne font que l'utiliser. Une fois que le monde sera sous leur domination, les extraterrestres seront traités de la manière décrite avec les «jeunes révolutionnaires» avant ... avec le reste des citoyens qui ne peuvent pas être rendus conformes dans la gouvernance mondiale qui se rapproche de la fructification chaque jour.
https://www.zerohedge.com/news/2018-01-25/immigrants-vs-aliens-global-invasion-giveaway-continues
SupprimerEn Démocratie, ce n'est PAS le rôle du chef de l'État de parler de 'parti politique' ou de 'religion' mais UNIQUEMENT au Peuple de s'exprimer pour voter ses propres lois.
Ce qui est en train de se passer aux États-Unis c'est une invasion d'ANTI-américains qui soutiendront la dictature et refuseront la Démocratie !
Le pire des dangers est le 'mondialisme', c'est-à-dire cette ouverture des frontières (non pas aux touristes) mais aux immigrants qui apportent chacun avec eux leurs problèmes !
Ce ne sont donc pas des immigrants venu en Amérique pour en accepter ses lois mais pour les détruire et instaurer leurs lois !!!
Paréidolie : Pourquoi vous avez choisi ce SUV (ou toute autre voiture)
RépondreSupprimerSarah Liénart
26 janvier 2018
Saviez-vous que vous êtes atteint de paréidolie ? Pas de panique, on vous explique : la paréidolie, c’est la tendance à voir des visages là où il n’y en a pas. Dans les nuages, la lune, les falaises… et sur les voitures. Ce phénomène pourrait même nous aider à comprendre l’un des phénomènes les plus difficilement explicables sur le marché automobile de ces dernières décennies.
Il est prouvé que nous préférons les voitures avec des « visages », ce qui peut expliquer pourquoi les modèles les plus populaires depuis les années 1920 ont tous “deux yeux” et une “bouche centrale”, alors que les voitures “sans visage” nous inspirent de la méfiance.
La paréidolie est profondément ancrée dans la nature humaine
Cette préférence a probablement des origines évolutionnaires. Être capable de distinguer un visage humain du museau d’un redoutable prédateur dans une forêt dense et sombre était crucial pour la survie à l’époque préhistorique. Puis, lorsque les groupes humains ont commencé à entrer en contact les uns avec les autres, la capacité à décrypter les émotions, et les intentions sous-jacentes est devenue essentielle. Il fallait être capable de reconnaître l’hostilité, ou au contraire, la bienveillance. Là encore, la capacité à “lire” les visages était déterminante pour la survie et la reproduction.
Ainsi, lorsque des chercheurs ont rencontré les membres d’une tribu isolée d’Éthiopie, et qu’ils leur ont soumis des photos de voitures modernes, ils ont constaté que les sujets de leur expérience identifiaient immédiatement les “visages” des voitures, bien qu’ils n’avaient jamais rien vu de tel auparavant.
Les automobilistes veulent une voiture avec un visage
Les essais des constructeurs pour éliminer les visages des voitures, ou pour les modifier à tel point qu’ils ne sont plus immédiatement reconnaissables, se sont pour la plupart soldés par des échecs.
Récemment, le changement de style de la Tesla Model S a fait des mécontents : sa (fausse) calandre est presque inexistante, alors que nous associons la calandre d’une voiture avec sa bouche.
La préférence pour les véhicules dotés de visages peut aussi aider à comprendre la montée en popularité des véhicules utilitaires sportifs (SUV) et des Crossovers dans les années 1990. Alors que beaucoup de voitures à l’époque imitaient les Audi 5000 1984 à la moitié de visage (nez bas, phares presque inexistants…), les premiers véhicules multi-segments avaient tous de bons visages expressifs.
De nombreux acheteurs ont préféré délaisser les véhicules sans visage en faveur de ceux qui nous inspiraient les élans paréidoliques les plus lyriques.
https://fr.express.live/2018/01/26/pareidolie-influence-choix-voiture/
Lorsque l'on acquiert un véhicule on veut qu'il ait de la gueule. Certains se contentent de merdes dessinées par le juif a.h. portant le nom de 'coccinelle', d'autres subliment ces merdes en la montrant dans des films ou dessins animés pour enfants !!!
SupprimerRien ne vaut Les belles Américaines... qui ne sont plus fabriquées aujourd'hui !!! ni même aux carrosseries copiées !!
VENEZUELA - OPPOSITION EST ÉCARTÉE DE LA PRÉSIDENTIELLE
RépondreSupprimerLa Cour suprême vénézuélienne a ouvert la voie jeudi à une réélection de Nicolas Maduro, en écartant l'opposition du prochain scrutin.
26.01.2018, 05h34
La voie semble libre pour la réélection de Nicolas Maduro: la Cour suprême de Justice du Venezuela, considérée comme acquise au président socialiste, a créé la surprise jeudi en excluant la principale coalition d'opposition de la prochaine présidentielle anticipée, prévue d'ici fin avril.
«Le Conseil national électoral doit exclure la Table de l'Unité démocratique (MUD) du processus» électoral, selon la décision de la Cour qui autorise ce conseil à repousser de six mois l'inscription des partis d'opposition, dont cette coalition, en vue de ce scrutin. Cette inscription était prévue au départ pour samedi et dimanche.
La MUD, composée des trois principaux partis d'opposition, Action Démocratique (AD), Volonté populaire et D'abord la justice, devait se réinscrire après avoir refusé de participer aux élections municipales du 10 décembre pour dénoncer une fraude lors des régionales du 15 octobre.
Depuis la décision de l'Assemblée constituante, dotée de pouvoirs étendus et acquise au chef de l'Etat socialiste Nicolas Maduro, de convoquer un scrutin avant le 30 avril au lieu de fin 2018, plusieurs adversaires du pouvoir avaient manifesté leur envie d'y participer, montrant une opposition divisée.
Parmi eux, deux des principaux partis qui composent l'alliance de l'opposition, Volonté populaire et D'abord la Justice, songeaient à présenter un candidat indépendant pour affronter Nicolas Maduro. Plusieurs noms avaient été avancés: l'entrepreneur Lorenzo Mendoza, l'ancien secrétaire exécutif de la MUD Ramon Guillermo Aveledo et le recteur de l'université centrale du Venezuela, Cecilia Garcia.
Les principales figures de l'opposition, Henrique Capriles et Leopoldo Lopez, étaient déjà dans l'incapacité de concourir car privés de leurs droits civiques. Le second est en outre assigné à résidence, accusé d'avoir encouragé des manifestations contre Nicolas Maduro qui avaient fait 43 morts.
«Le TSJ annule le ticket d'entrée de la MUD, la plus populaire de l'histoire du pays», a souligné auprès de l'AFP l'analyste politique Eugenio Martinez. Il faisait référence à la victoire de la MUD aux élections législatives de fin 2015, qui avait déclenché une crise politique dans un pays où toutes les institutions étaient jusqu'alors aux mains des chavistes, du nom de l'ex-président socialiste Hugo Chavez (1999-2013).
Soutiens russe et chinois
RépondreSupprimerLa crise politique s'est doublée dans ce pays pétrolier d'une grave crise économique, déclenchant des manifestations violentes contre le président Maduro qui ont fait 125 morts d'avril à juillet.
Même si la cote de popularité de Nicolas Maduro est remontée légèrement, le taux d'insatisfaits est de 70%, selon l'institut de sondage Delphos. Une partie des Vénézuéliens lui reproche pénurie d'aliments et hyperinflation, attendue à 13'000% en 2018, selon le FMI.
Nicolas Maduro risque de s'attirer de nouvelles foudres de la communauté internationale qui avait déjà condamné la décision du pouvoir d'avancer la présidentielle. Ce vote «ne serait pas le reflet de la volonté des Vénézuéliens, et serait perçu par la communauté internationale comme étant antidémocratique et illégitime», a dénoncé mercredi Washington, qui a également infligé des sanctions à Caracas l'été dernier.
Qualifiant Maduro de «dictateur», les Etats-Unis, suivis par le Canada, ont gelé ses avoirs et interdit à leurs banques et à leurs citoyens d'acheter de nouvelles obligations ou de négocier des accords avec le gouvernement vénézuélien.
En Amérique latine, le Venezuela, autrefois soutenu par les gouvernements de gauche apparaît bien seul après le virage régional à droite: les douze pays latino-américains du Groupe de Lima ont également critiqué Maduro.
Cependant, malgré la levée de boucliers internationale et des voyants économiques au rouge vif, Maduro, 55 ans, tient bon, en partie grâce au soutien de puissants alliés, la Russie et la Chine.
Car le Venezuela, qui fut le pays le plus riche d'Amérique latine, a un atout de poids: les plus grosses réserves pétrolières de la planète. Et la remontée de l'or noir, qui a terminé mercredi à ses plus hauts niveaux depuis 2014 à New York et à Londres, vient renforcer la marge de manoeuvre de Caracas. (afp/nxp)
https://www.lematin.ch/monde/opposition-ecartee-presidentielle/story/22159711
Le tribunal a pris la sage décision d'écarter les groupes terroristes (étrangers immigrés) qui s'en été déjà pris à la vie d'Hugo Chavez et avait même diffusé de fausses informations sur des fausses manifestations montrées en montages vidéos. Tous étaient membres de la CIA Américaine.
SupprimerTraverser les frontières ? Un jeu d’enfants pour les criminels…
RépondreSupprimerLes criminels ont une fâcheuse tendance à passer les frontières afin de se protéger des conséquences judiciaires de leurs actes. Un comble, au regard des moyens de surveillance qui existent et que les États entendent renforcer.
Par Gustave Broquet.
26 JANVIER 2018
Des vacances au soleil, les pieds dans l’eau, un cocktail à la main… Qui n’en rêverait pas ? Pour les trafiquants et mafieux en tout genre, cela n’a pourtant rien du cliché de carte postale. Riches, puissants et bien souvent dotés de plusieurs passeports, ces caïds se jouent des frontières, qu’ils traversent au gré de leurs envies… Et de leurs démêlés avec la justice.
Un comble, alors que la majorité des citoyens, terrorisme et État d’urgence obligent, vivent sous le joug d’une surveillance étatique de plus en plus intrusive. D’autant que certains de ces malfrats choisissent parfois, pour leur retraite dorée, des États tout sauf bananiers, à l’image de la France, du Royaume-Uni et d’autres pays de l’Union européenne (UE).
MOUKHTAR ABLIAZOV, UN GLOBE-TROTTER HORS REPÈRE
Inconnu des Français, c’est pourtant dans notre pays que réside l’oligarque originaire du Kazakhstan, Moukhtar Abliazov. Ce dernier a fui son pays à la suite de la découverte de malversations par les autorités kazakhes.
Lorsqu’il présidait la banque BTA, il aurait floué des milliers de petits épargnants et détourné à son profit la bagatelle de 10 milliards de dollars. Par ailleurs, des investisseurs russes et ukrainiens auraient également été «victimes des détournements de fonds d’Abliazov ». Résultat : l’oligarque se retrouve poursuivi par la justice du Kazakhstan, de l’Ukraine et de la Russie.
Rattrapé par son passé, Moukhtar Abliazov s’est donc envolé vers le Royaume-Uni, pays où il a résidé trois ans avant de prendre — une fois de plus — la poudre d’escampette.
La raison ? Les procédures intentées par BTA Banque auprès des autorités britanniques ont fini par porter leurs fruits. Le Kazakh a été condamné par la justice anglaise, en 2012, «à 22 mois de prison, pour outrage à la cour et pour dissimulation de sociétés-écrans ».
C’est à ce moment-là qu’il décide de quitter précipitamment l’Angleterre, direction la France. Ainsi, la libre circulation des hommes dans l’Union européenne semble être une réalité, même pour les criminels les plus recherchés.
Et si Moukhtar Abliazov — visé alors par une «notice rouge» d’Interpol — a bien été appréhendé par les autorités françaises et a passé quelques années dans la prison de Fleury-Mérogis, le temps d’étudier la demande d’extradition émise par la Russie, il en est sorti — par la grande porte — le 9 décembre 2016.
Ce même jour, allant à l’encontre de l’ensemble des décisions judiciaires dans ce dossier, le Conseil d’État a, en effet, annulé le décret d’extradition vers la Russie qui le visait. Il lui sera désormais encore plus facile de poursuivre sa visite du vieux continent.
RépondreSupprimerRETOUR À LA MAISON
Pour d’autres en revanche, c’est une autre paire de manches. En témoigne le sort de Chen Wenhua, ce ressortissant Chinois extradé par la France vers son pays d’origine en septembre 2016. Recherché pour crimes économiques dans la province du Zhejiang, Chen Wenhua a été remis aux autorités chinoises en vertu d’un traité d’extradition entré en vigueur en 2015 entre les deux pays, et à la suite de l’opération Skynet, mise en place par Pékin afin de rapatrier les suspects de corruption ayant fui à l’étranger.
«Il s’agit d’une avancée considérable et d’un nouvel exemple réussi du rapatriement de criminels depuis des pays européens, après l’Italie et l’Espagne», s’est félicité le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères. Si l’Empire du Milieu est fier de voir Chen Wenhua lui revenir, ce dernier avait tout de même réussi à atteindre l’Hexagone — là aussi avec une facilité déconcertante — avant d’être interpellé en 2015 par la police française. Une fois que la Chine aura terminé d’installer «le système de caméras de surveillance le plus sophistiqué au monde», les criminels chinois seront peut-être appréhendés avant d’entamer leur tour du monde. L’avenir nous le dira…
EN CAVALE PENDANT DES ANNÉES
Côté français, le trafiquant Christian Parent — condamné en 2014 par le tribunal de Marseille à 18 ans de réclusion pour trafic de cocaïne — est pour sa part resté en cavale pendant plusieurs années et en a profité pour traverser l’Atlantique — le tout alors qu’il était fiché au grand banditisme et sous le coup de deux mandats d’arrêt. C’est en Colombie, à la fin de l’année 2016, que sa balade a pris fin. Les autorités colombiennes l’ont alors remis à la France et Christian Parent a écopé, en décembre 2017, de 16 ans de réclusion.
Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, l’Amérique du Sud est une terre d’élection pour les criminels du monde entier. Rocco Morabito, membre de la Ndrangheta, la mafia calabraise, a ainsi été arrêté en Uruguay en septembre dernier, après pas moins de 23 années de cavale.
Recherché par la police italienne et faisant, lui aussi, l’objet d’un signalement par Interpol, il faisait partie des criminels les plus recherchés par Rome — ce qui ne l’a pas empêché de changer de continent.
DES JOURS HEUREUX DANS UNE STATION BALNÉAIRE
RépondreSupprimerComme son collègue Christian Parent, il coulait des jours heureux au sein d’une station balnéaire. Et si, en ce qui les concerne, la Justice a fini par les rattraper, certains criminels courent toujours. En témoigne la liste des fugitifs les plus recherchés publiée chaque année par Interpol. Certains sont recherchés depuis plus d’une décennie…
Au regard de la facilité avec laquelle certains criminels traversent les frontières, il est légitime de se demander qui sont ceux qui font l’objet d’une réelle surveillance de la part des autorités, ou tout du moins, si les outils de surveillance de masse — comme ceux mis en place au Royaume-Uni par exemple — fonctionnent. Une question primordiale, à l’heure où et le terrorisme ne cesse de se propager. Tous les Français ont encore en mémoire les quatre interminables mois durant lesquels le terroriste Salah Abdeslam était en cavale…
https://www.contrepoints.org/2018/01/26/308319-traverser-frontieres-jeu-denfants-criminels
Pourquoi nous sous-estimons l'effondrement américain
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu., 25/01/2018 - 18:01
Si vous imbibiez votre flux de nouvelles sanctionné par les médias sociaux de la paume de votre main, vous pourriez presque être pardonné de penser que tout est génial (avec peut-être un clin d'œil à votre parti implicite que les choses seraient «géniales» si "l'autre côté" vient de s'écarter).
Cependant, si vous avez les yeux ouverts comme une matrice sur le monde réel qui vous entoure, le nombre de titres divergents et dissonants commence à vous interroger sur la réalité de l'Amérique exceptionnelle ... des prix records, des sans-abri record, des records en matière de nourriture timbres, et ainsi de suite ...
Mais comme Umair Haque, via Eand.co, écrit la pourriture va plus loin et est de loin plus grave.
Lorsque nous examinons de près l'effondrement des États-Unis, nous constatons un nombre croissant de pathologies sociales. Pas n'importe quel genre. Pas même troublant, inquiétant et dangereux. Mais étranges et bizarres. Unique. Des singuliers et horriblement bizarres que je n'ai jamais vraiment vus auparavant, et en dehors d'une dystopie écrite par Dickens et Orwell, ni vous, ni l'histoire.
Ils suggèrent que quels que soient les «chiffres» que nous utilisons pour représenter le déclin - rétrécissement des revenus réels, des inégalités, etc. - nous sous-estimons en réalité grossièrement ce que les experts appellent le «péage humain». comme le désespoir écrasant, la rage et l'angoisse de vivre dans une société qui s'effondre.
Haque présente cinq exemples de ce qu'il appelle les pathologies sociales de l'effondrement - étranges, étranges et horribles nouvelles maladies, pas seulement celles que l'on ne voit habituellement pas dans les sociétés saines, mais celles que nous n'avons jamais vues auparavant dans aucune société moderne .
L'Amérique a eu 11 fusillades dans les écoles au cours des 23 derniers jours.
Pourquoi les enfants américains s'entretuent-ils ?
Pourquoi les gens abuseraient-ils des opioïdes en masse comme nulle part ailleurs dans le monde ?
Comment les personnes âgées américaines ont-elles été trompées de dignité ?
Et c'est ma dernière pathologie: c'est une de l'âme, pas un des membres, comme ceux ci-dessus.
Les Américains semblent être assez heureux tout simplement en se regardant mourir de toutes les manières ci-dessus
RépondreSupprimerComme le note Umair, si ces pathologies se produisaient dans n'importe quel autre pays riche - même dans la plupart des pays pauvres - les gens seraient atterrés, choqués et étonnés, et certainement déplacés pour les empêcher de se produire. Mais en Amérique, ils ne sont même pas résignés. Ils sont indifférents, surtout.
La vision inquiétante de Haque sur notre monde conclut
L'effondrement américain est beaucoup plus grave que nous le supposons. Nous sous-estimons son ampleur sans la surestimer. Les intellectuels américains, les médias et la pensée ne posent aucun de leurs problèmes dans une perspective globale ou historique - mais quand ils sont vus de cette façon, les problèmes de l'Amérique ne sont pas seulement les ennuis quotidiens d'une nation en déclin, mais quelque chose comme corps soudainement attaqué par des maladies inimaginables.
Si le monde suit le modèle américain - capitalisme extrême, pas d'investissement public, la cruauté comme mode de vie, la perversion de la vertu quotidienne - alors ces nouvelles pathologies sociales suivront aussi. Ils sont de nouvelles maladies du corps social qui ont émergé de l'alimentation de la malbouffe - médias indésirables, la science de la malbouffe, l'art de la malbouffe, l'économie de la malbouffe - que l'Amérique a nourri trop longtemps.
https://www.zerohedge.com/news/2018-01-25/why-were-underestimating-american-collapse
(...) L'Amérique a eu 11 fusillades dans les écoles au cours des 23 derniers jours.
SupprimerPourquoi les enfants américains s'entretuent-ils ? (...)
Parce que des armes passent tous les jours la frontière. L'histoire d'accorder l'identité américaine à des millions de terroristes (dits 'mexicains' ou 'latinos' Hahahaha !) est que bientôt, ce seront eux qui garderont les frontières !!! (parce qu'ils sont les seuls à parler l'arabe ! Hahahaha !).
(...) Pourquoi les gens abuseraient-ils des opioïdes en masse comme nulle part ailleurs dans le monde ? (...)
Voir réponse ci-dessus.
(...) Comment les personnes âgées américaines ont-elles été trompées de dignité ? (...)
Par manque de Démocratie. La Démocratie est incompatible avec la dictature. Il ne peut donc y avoir de 'partis démocrates' en dictature. Idem pour la Liberté d'aller d'un mur à l'autre en prison !
L'ère du «faux porno» généré par l'IA est arrivée
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu. 25/01/2018 - 23:50
Ils les appellent "deepfakes".
C'est le terme de la pornographie faite en utilisant la technologie assistée par intelligence artificielle pour superposer le visage d'une personne sur le corps d'un autre artiste - permettant essentiellement au producteur de créer du faux porno mettant en vedette des célébrités, des politiciens ou même la moyenne.
Dans un rapport publié mercredi, Motherboard a raconté comment ils ont découvert un utilisateur sur Reddit responsable de la production de vidéos porno convaincantes mettant en vedette des célébrités comme Gal Gadot, Maisie Williams et Taylor Swift.
Bientôt, la technologie utilisée pour créer des "deepfakes" sera largement disponible pour être utilisée par les extorqueurs et les criminels avec une compréhension superficielle du fonctionnement du logiciel. Un autre redditor découvert par Motherboard a même créé une application spécialement conçue pour permettre aux utilisateurs sans formation en informatique de créer du faux porno assisté par ordinateur. Tous les outils dont vous avez besoin pour réaliser ces vidéos sont gratuits, facilement disponibles et accompagnés d'instructions qui accompagnent les débutants tout au long du processus.
Il y a deux mois, le premier redditor mentionné ci-dessus a créé un subreddit dédié à la pratique.
En peu de temps, le subreddit a déjà rassemblé plus de 15 000 abonnés. Au sein de la communauté, le mot "deepfake" lui-même est maintenant un nom pour les types de vidéos fausses générées par réseau neural leur nom de famille a été pionnier, selon Motherboard.
Un autre "deepfake" auteur créé une application appelée FakeApp, une application conviviale qui permet à quiconque de recréer ces vidéos avec leurs propres ensembles de données. L'application est basée sur l'algorithme de deepfakes, mais un autre utilisateur qui utilise deepfakeapp a créé FakeApp sans l'aide des deepfakes originaux. Bien qu'aucun de ces gens n'ait divulgué son identité à Motherboard, l'utilisateur connu sous le nom de Deepfakeapp a déclaré dans un message direct que son but avec FakeApp était de rendre la technologie de deepfakes accessible aux personnes sans expérience technique ou programmation.
"Je pense que la version actuelle de l'application est un bon début, mais j'espère la rationaliser encore plus dans les jours et les semaines à venir", a-t-il déclaré. "Finalement, je veux l'améliorer au point où les utilisateurs potentiels peuvent simplement sélectionner une vidéo sur leur ordinateur, télécharger un réseau de neurones corrélé à un certain visage d'une bibliothèque accessible au public, et échanger la vidéo avec un visage différent avec la presse de un bouton. "
Peter Eckersley, informaticien en chef à l'Electronic Frontier Foundation, craint que la technologie n'atteigne bientôt le stade où les contrefaçons sont pratiquement indiscernables pour les vidéos authentiques.
RépondreSupprimer"Je pense que la version actuelle de l'application est un bon début, mais j'espère la rationaliser encore plus dans les jours et les semaines à venir", a-t-il déclaré. "Finalement, je veux l'améliorer au point où les utilisateurs potentiels peuvent simplement sélectionner une vidéo sur leur ordinateur, télécharger un réseau de neurones corrélé à un certain visage d'une bibliothèque accessible au public, et échanger la vidéo avec un visage différent avec la presse de un bouton. "
Les failles postées dans le subreddit ont déjà été présentées comme réelles sur d'autres sites; Un adieu à Emma Watson en train de prendre une douche a été mis en ligne par CelebJihad, un site porno de célébrités qui publie régulièrement des nus de célébrités piratés, comme une «vidéo jamais vue auparavant» censément de la «collection privée» de l'utilisateur.
Faux
Voici un exemple de "deepfake"
D'autres redditors ont pris des vidéos filmées à partir des comptes Instagram des célébrités et les ont utilisées pour simuler de manière convaincante les messages de Snapchat.
"Deepfakes" ne sont guère un phénomène nouveau. En juillet dernier, nous avons rendu compte d'un projet mené par Matthias Niessner de Stanford qui a réussi à créer plusieurs vidéos truquées de l'ancien président américain Barack Obama.
Bientôt, cette technologie pourrait créer des problèmes pour tout le monde, qu'il s'agisse des gouvernements, des entreprises ou des médias - qui auront maintenant plus de mal à distinguer les véritables «fausses nouvelles» de la réalité.
https://www.zerohedge.com/news/2018-01-24/era-ai-generated-fake-porn-has-arrived
Rendez vous compte que même en Suisse (seule Démocratie au monde) il y a la presse étrangère anti-suisse installée qui publie chaque jour de FAUSSES nouvelles, FAUX sondages et photos inappropriées à l'évènement (par exemple quelqu'un qui rit sur une photo pour illustrer un article sur la mort de quelqu'un !). C'est aussi ce qui se passe sur site où sont publiées des vidéos de propagande nazies pour les enfants !!! et où les commentaires désobligeants sont censurés et le compte fermé !!!
SupprimerRéchauffement climatique : Le Japon gèle !
RépondreSupprimerle 26 janvier 2018
Après un lundi de neige en début de semaine – jusqu’à 35 centimètres par endroit – la température a chuté à Tokyo atteignant moins dix degrés dans certains quartiers de la lointaine banlieue. Mon fils puiné habite Tokyo à 25 minutes en train du centre-ville si on peut dire qu’il y a vraiment un centre-ville dans cette immense agglomération. Il a eu la douloureuse surprise de constater que les canalisations d’eau extérieures de son système de chauffage avaient gelé dans la nuit de mardi à mercredi. Un désastre !
Tokyo est situé à la latitude d’Alger et tout près de l’Océan alors il est rare qu’il neige aussi abondamment (illustration : le jardin de mon fils lundi soir) puis que les températures chutent aussi bas : du jamais vu depuis 48 ans ! Et l’hiver n’est pas terminé.
Cet évènement météorologique est probablement la conséquence du réchauffement climatique d’origine humaine. Sans autre commentaire.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2018/01/26/rechauffement-climatique-le-japon-gele/
"SORTIR DE CARTES GRATUITES" SONT RÉELS - ET LES COPS LES ONT DONNÉS
RépondreSupprimer25 JANVIER 2018
CAREY WEDLER | THEANTIMEDIA.ORG
New York, New York - Un privilège policier peu connu porté par un grand syndicat fait maintenant la une des journaux. Selon un rapport du New York Post, la Patrolmen's Benevolent Association (PBA), qui représente les officiers à New York, a récemment réduit le nombre de cartes «sortir de prison» que les agents peuvent délivrer à leurs amis et à leur famille pour des infractions mineures.
«Le patron de l'Association bienveillante des patrouilleurs, Pat Lynch, a réduit de 30 à 20 le nombre maximal de cartes pouvant être délivrées aux policiers actuels et de 20 à 10 aux retraités, ont indiqué des sources à The Post.
En fin de compte, «sortir des cartes gratuites de prison» n'est pas simplement un aspect fictif du jeu de plateau de Monopoly. Lorsque les agents donnent ces cartes, les destinataires peuvent théoriquement les utiliser pour prétendre à la taille. En signalant aux agents qui les renvoient qu'ils connaissent d'autres flics, ils réduisent leurs chances d'être cités. Lynch aurait coupé le nombre de problèmes de cartes, car certains étaient vendus sur eBay.
NJ.com a rapporté sur ces cartes spéciales il y a près de six ans, soulignant en particulier leur nature secrète. En écrivant pour le point de vente, Kevin Manahan a raconté ses efforts en essayant d'obtenir des commentaires des policiers à leur sujet.
"J'ai appelé les patrouilleurs (cliquez). Détectives (cliquez). Sergents (cliquez). Lieutenants (cliquez). Capitaines (cliquez). Chefs adjoints (cliquez). Les chefs de police (cliquez). J'ai essayé d'obtenir le commentaire du président de la PBA, Anthony Wieners (grillons). C'est un sujet sensible. "
"Personne ne veut aller au dossier à ce sujet", lui aurait dit un officier. "Les gens lisent ceci, et ils se fâchent et commencent à crier sur les privilèges spéciaux. Ce n'est pas une bonne publicité. "
Ces cartes ont apparemment été autour depuis un certain temps. "Je reviens 40 ans en arrière et ils ont été aussi loin que je me souvienne", a déclaré Wayne Fisher, directeur de l'Institut de police de l'Université Rutgers. "Je suis sûr qu'ils reviennent beaucoup plus loin que ça."
Bien que selon ce rapport de 2012, les cartes sont devenues moins efficaces au fil des ans, la décision de Lynch a encore attiré l'indignation.
"Ils traitent des membres actifs comme s-t, et des membres retraités encore pire que s-t", a déclaré un policier de la police de New York qui a pris sa retraite en raison d'un handicap. "Tous les flics auxquels j'ai parlé étaient. . . très déçu qu'ils ne puissent pas les distribuer comme des cadeaux de Noël. "
Le NYPD et PBA a refusé de commenter l'histoire, qui met en évidence les différentes normes de justice appliquées aux policiers et aux citoyens ordinaires sans privilèges spéciaux. La PBA s'est imposée comme un allié impitoyable des officiers, se précipitant souvent à leur défense même lorsqu'ils commettent des actes de violence contre des individus non armés et non-violents.
RépondreSupprimerhttp://www.thedailysheeple.com/get-out-of-jail-free-cards-are-real-and-cops-have-been-giving-them-away_012018
Sortir de l'eau chaude: l'ADN mobile aide-t-il ?
RépondreSupprimer26 janvier 2018,
Frontiers
Les organismes extrémophiles - robustes vivant dans des endroits qui tueraient la plupart de la vie sur Terre - fournissent des aperçus fascinants sur l'évolution, le métabolisme et même la vie extraterrestre possible. Une nouvelle étude fournit un aperçu de la façon dont un type d'extrêmophile, un microbe aimant la chaleur qui utilise l'ammoniac pour la production d'énergie, a pu être capable de faire la transition de sources chaudes à des environnements plus modérés à travers le globe. La toute première analyse de l'ADN d'un organisme contemporain qui aime la chaleur et l'oxydation de l'ammoniac, publiée dans la revue à accès libre Frontiers in Microbiology, révèle que l'évolution des adaptations nécessaires a pu être facilitée par des éléments génétiques hautement mobiles et un échange d'ADN. variété d'autres organismes.
La plupart des extrémophiles sont des micro-organismes - et parmi les plus extrêmes, on trouve les archées, un ancien groupe d'organismes unicellulaires intermédiaires entre les deux autres domaines de la vie, les bactéries et les eucaryotes. Différentes lignées d'archées sont spécialisées dans différents environnements extrêmes, y compris les sources chaudes brûlantes, les lacs incroyablement salés, les tranchées profondes sans soleil et les déserts antarctiques glacials. Une seule branche, Thaumarchaeota, a réussi à coloniser avec beaucoup de succès les lieux les plus hospitaliers de la Terre - mais les scientifiques ne savent pas pourquoi.
«Les Thaumarchaeota sont présents en très grand nombre dans presque tous les environnements, y compris les océans, les sols, les feuilles des plantes et la peau humaine», explique le professeur Christa Schleper de l'Université de Vienne, en Autriche. "Nous voulons savoir quel est leur secret: il y a des milliards d'années, comment se sont-ils adaptés depuis les sources chaudes, où il semble que toutes les archées ont évolué, vers des habitats plus modérés ?"
Comme point de départ pour répondre à cette question, le professeur Schleper et son équipe ont isolé une espèce de Thaumarchaeota provenant d'une source chaude en Italie, puis ont séquencé et analysé son génome. Ceci représente la première analyse du génome de la lignée Nitroscaldus - un sous-groupe de Thaumarchaeota qui aiment la chaleur qui obtiennent leur énergie en oxydant l'ammoniac en nitrite.
L'analyse a révélé que l'organisme, Candidatus Nitrosocaldus cavascurensis, semble représenter la lignée la plus proche liée au dernier ancêtre commun de tous les Thaumarchaeota. Curieusement, il possède des éléments d'ADN très mobiles et semble avoir fréquemment échangé de l'ADN avec d'autres organismes, y compris d'autres archées, des virus et peut-être même des bactéries.
La capacité d'échanger du matériel génétique pourrait aider cet archéon à évoluer rapidement. "Cet organisme semble enclin au transfert latéral de gènes et à l'invasion par des éléments d'ADN étrangers", explique le professeur Schleper. "De tels mécanismes ont peut-être aussi aidé les lignées ancestrales de Thaumarchaeota à évoluer et éventuellement à rayonner dans des milieux modérés - et N. cavascurensis pourrait encore évoluer grâce à des échanges génétiques avec des organismes voisins dans sa source chaude."
RépondreSupprimerDe nombreux chercheurs supposent que les premières formes de vie sur Terre ont évolué dans des sources chaudes. D'autres études de cet archéophore thermophile pourraient aider à identifier les mécanismes généraux qui ont permis aux premières cellules vivantes, à la fois des bactéries et des archées, de conquérir le monde.
https://phys.org/news/2018-01-hot-waterdoes-mobile-dna.html#jCp
SupprimerNotre planète froide s'est dégelée aux rythmes des éruptions volcaniques et a développé des organismes vivants grâce à l'électricité inhérente à l'attraction terrestre. Il y a donc l'accoutumance demeurée au stade primaire démontré dans les profondeurs océanique et, celles qui ont échappé au 'train-train quotidien larvique' pour s'expatrier/s'épanouir en d'autres contrées. Et, comme chaque micro-climat (nano-climat ?) construit SES propres espèces est apparu l'humain qui a développé un sens instruit et instructif.