- ENTREE de SECOURS -



dimanche 28 janvier 2018

EXPLOSION IMMÉDIATE - Pierce Brosnan

https://www.youtube.com/watch?v=m0eB3kt7Dbc

38 commentaires:

  1. Les sandwiches c’est mauvais pour le climat

    le 28 janvier 2018

    Comme je l’avais mentionné dans un précédent billet relatif au programme français de réduction de l’empreinte carbone du pays, se loger et se chauffer, se déplacer et enfin se nourrir, trois besoins primordiaux de chacun d’entre nous, c’est mauvais pour le climat selon les « experts ». Bis repetita placent : des chercheurs de l’Université de Manchester ont identifié les sandwiches comme une incroyable source de carbone. Les Britanniques consomment, selon l’Association du Sandwich (mais oui ça existe), 11,5 milliards de ces délicatesses gustatives chaque année. Ils ont étudié 40 types de sandwiches et évalué minutieusement l’empreinte carbone de chacun d’eux. Les pires en la matière sont ceux qui contiennent de la viande de porc, du fromage ou ces crevettes. Mais la palme est décernée au sandwich spécial petit-déjeuner : oeufs, bacon et saucisses. Un seul de ces sandwiches produirait selon l’étude 1441 grammes de CO2 soit l’équivalent d’une voiture parcourant 19 kilomètres. J’avoue admirer la précision de l’étude ! Globalement l’empreinte carbone des 11,5 milliards de sandwiches consommés chaque année en Grande-Bretagne est identique à celle de 8 millions de voitures sans prendre en compte les pétulances des consommateurs, cela va de soi.

    De même que l’obsolescence programmée est devenue la bête noire des écolos la date de péremption des sandwiches devrait être revue et allongée mais pas seulement. En effet, toujours selon cette étude passionnante que je n’ai pas lu, rassurez vous, il faudrait aussi optimiser les recettes, la conservation, l’emballage et le transport de ces admirables mets, sans oublier naturellement le recyclage des déchets. Conclusion : se nourrir accélère la dégradation du climat ! Quand on pense que ce sont les contribuables qui financent par leurs impôts ce genre d’études, c’est à vous couper l’appétit … Tant et si bien que les gouvernements, Hulot en premier lieu pour donner l’exemple, vont peut-être imposer par décret un jour de jeûne par semaine pour sauver le climat !

    Source : ats, illustration : Reuters

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2018/01/28/les-sandwiches-cest-mauvais-pour-le-climat/

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    1. C'est un exemple-là de 'fake news' venues de 'Sputnik-la-France' ou de quelques presses terroristes (établies en Suisse pour ce donner bonne impression) qui crachent tous les jours sur la Démocratie comme se disent
      'scientifiques' des trous de cul ministres de la dictature.

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  2. VOTATION - UN OUI À «NO BILLAG» IMPACTERA LE CINÉMA SUISSE
    La SSR soutient et promeut chaque année de nombreuses productions cinématographiques.

    28.01.2018, 10h44

    Des films comme «Ma vie de courgette» donnent un visage au cinéma suisse, et cela aussi à l'étranger. La SSR soutient de telles productions à hauteur de millions. En cas de «oui» à l'initiative «No Billag», le film suisse perdrait l'un de ses plus grands promoteurs.

    En tant que média public, la SSR a, entre autres, le devoir de contribuer «au développement et au renforcement des valeurs culturelles du pays», comme le veut son mandat. L'entreprise accorde une attention particulière aux films, à la littérature et à la musique suisses.

    Non seulement la SSR raconte l'actualité culturelle. Elle en fait également la promotion. Son budget - dont une partie du montant annuel de la redevance de 1,3 milliard de francs - lui permet de tourner ses propres films et séries, de subventionner des productions indépendantes et de soutenir financièrement six festivals de films suisses.

    Tout cela est inscrit dans le «Pacte de l'audiovisuel», un accord que la SSR a conclu en 1996 avec la branche. Chaque année, 27,5 millions de francs sont investis dans des films et 12,5 millions dans des séries comme «Quartier des banques» ou «Le croque-mort». Globalement, quelque 40 millions partent dans le cinéma suisse.

    En comparaison, le budget annuel de la section cinéma de l'Office fédéral de la culture (OFC) s'élevait en 2016 à 55 millions de francs, dont 18 millions prévus pour les productions cinématographiques. Ainsi, une grosse production comme «L'enfant d'en haut» ou «Heidi» coûte jusqu'à 5,5 millions de francs. «Heidi» a reçu 420'000 francs de la SSR.

    La diversité en danger

    Pour Felix Gutzwiller, qui préside la Société des Journées de Soleure depuis cette année, «No Billag» menace la diversité de la production cinématographique suisse. Son acceptation aurait des conséquences graves, même au-delà de la branche. «Si les films étaient produits uniquement selon des critères de rentabilité, cela mettrait en difficulté les minorités linguistiques».

    Le marché du cinéma suisse est morcelé: les Romands veulent généralement voir d'autres films que les Tessinois ou les Alémaniques. Mais, sans financement, pas la peine de tourner des films pour ces petits marchés; le potentiel de spectateurs est tout simplement trop faible.

    Début janvier, plus de 5000 artistes helvétiques de tous horizons se sont mobilisés pour défendre la SSR. «Sans la SSR pas de »Coeur figé«, de »Voyage vers l'espoir«, ni d'Oscar pour la Suisse», avait relevé le metteur en scène Xavier Koller. Il est le seul metteur en scène à avoir obtenu cette distinction, pour «Voyage vers l'espoir» (1991).

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  3. «Notre cinéma perdrait son principal canal de diffusion auprès du public, ce qui est plus précieux que l'argent», affirmait aussi le cinéaste vaudois Frédéric Gonseth. Les artistes de la scène musicale ont également appelé, au nom de la solidarité, à voter non à l'initiative, avec le hashtag #clap4culture («applaudis pour la culture»).

    Financement suffisant

    Les aides fédérales et cantonales pour la création de films sont suffisantes, selon le comité «No Billag». De plus, les formats propres à la SSR, comme «Quartier des banques» ne peuvent pas être désignées comme service public. On peut donc y renoncer, explique son porte-parole Andreas Kleeb à l'ats.

    Pour le président du comité de campagne romand «No Billag» Nicolas Jutzet, le texte des initiants ne représente aucunement une menace pour la culture, avait-il dit à l'ats en début d'année. «Sans redevance, la SSR et les médias régionaux pourront continuer à soutenir les artistes et à leur donner une plate-forme, mais avec des financements privés». (ats/nxp)

    https://www.lematin.ch/suisse/oui-no-billag-impactera-cinema-suisse/story/24201867

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    1. La particularité exceptionnelle de la Suisse est avant tout d'être la SEULE Démocratie au monde ! C'est-à-dire que ce sont les Suisses (plus de 8 millions de citoyens) qui représentent l'Etat et non un nano-groupuscule de terroristes comme dans les dictatures.

      Si bien que, voter l'acceptation à la suppression de la redevance (No Billag) serait mettre un terme à l'information (réduite aujourd'hui au nano élément !!) venue de la Suisse et donc mettre un terme à la Démocratie !!

      Car, si la Démocratie est de laisser la liberté aux gens, certains terroristes ne s'en privent pas et, depuis leur pignon-sur-rue en Suisse, traitent tous les jours les Suisses comme des attardés mentaux prêts à croire aux réchauffement climatique (sous 8 m de neige) ou que la mer va monter alors que depuis des millions d'années, ce sont des milliards de km³ d'eaux (venues des pluies, des fleuves et des rivières) qui se sont déversés dans les océans (et continuent à le faire !) SANS QUE 'LA MER MONTE' !!! Çà alors !!

      D'ailleurs, leur haine envers le président Donald Trump se calque tous les jours sur les dictatures merdiatiques voisines d'où ils reçoivent leurs ordres et salaires.

      Donc, bien faire attention à la fragilité de la Démocratie qui fait que malgré que le Peuple soit (comme ailleurs dans le monde représentant à 99,99% le pays) la majorité, la nazional socialiste n'est pas loin de prendre le pouvoir !!!

      (La France a vu çà après la guerre).

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  4. Jean-François Rime: «Sans plan B, la SSR est irresponsable»

    dimanche 28 janvier 2018 à 09:59.

    Le président de l'USAM précise les raisons de son soutien à l'initiative et regrette vivement que le parlement ait refusé tout contre-projet.

    Roger Köppel s’est livré à un véritable réquisitoire contre la SSR. Celle-ci n’est-elle vraiment qu’un nid de gauchistes ?

    Je crois qu’il faut différencier entre la Suisse romande et la Suisse alémanique. Au niveau de l’information, la RTS fait un travail correct. Par contre, en Suisse alémanique, il y a beaucoup plus de critiques. Une récente enquête a montré que 70 % des journalistes ont des idées de gauche, un phénomène encore plus marqué dans le service public. Cela dit, la SSR est devenue un mastodonte, qui a par exemple engrangé 142 millions de plus en 2015 qu’en l’an 2000 en raison de l’augmentation de la population. Un «oui» à No Billag permettra enfin d’ouvrir un débat sur le périmètre de la SSR.

    Au parlement, les Romands du groupe UDC ont majoritairement voté contre No Billag. Les représentez-vous encore ?

    Nous avons un groupe UDC national. Fondamentalement, je ne suis pas pour la disparition de la SSR. Au parlement, j’ai soutenu la proposition de mon collègue Gregor Rutz pour une redevance à 200 francs (172 €) qui exonérerait les entreprises. Avec la nouvelle redevance entrant en vigueur en janvier 2019, on vole 200 millions par année aux entreprises, puisque tous les employés ont déjà payé une redevance dans le cadre de leur ménage privé. A partir de 2019, je devrai payer un impôt médiatique d’environ 12’400 francs (10681 €) pour mes trois entreprises. C’est une arnaque !

    Ne craignez-vous pas la disparition des radios et TV privées si No Billag était acceptée ?

    Il y a déjà des radios et TV privées qui existent sans redevance. Pour le reste, nous avions deux solutions à l’USAM. Soit soutenir l’initiative, soit en lancer une autre semblable à la proposition Rutz. Mais nous n’avions pas les moyens de le faire, car lancer une initiative coûte 500’000 francs, sans parler de la campagne de votation dans laquelle il faudrait encore investir au moins un million.

    Ne serait-il pas dommage que Radio Fribourg ou la Télé disparaissent ?

    L’argument régionaliste n’a pas été l’argument principal de notre réflexion.

    L’USAM a présenté un plan B pour la SSR. Que resterait-il comme contenus en Suisse romande ?

    Il en resterait un, mais moins étoffé qu’aujourd’hui. Là dessus, je reconnais que nous avons une divergence avec mon directeur Hans-Ulrich Bigler. Je pense que ce n’est pas à nous de faire un plan B, car nous n’avons pas les éléments pour le faire. Si les spécialistes de Mme Doris Leuthard et de la SSR n’en ont pas fait un, alors cette attitude est absolument irresponsable.

    https://www.letemps.ch/suisse/2018/01/28/jeanfrancois-rime-plan-b-ssr-irresponsable

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    1. (...) Si les spécialistes de Mme Doris Leuthard et de la SSR n’en ont pas fait un, alors cette attitude est absolument irresponsable. (...)

      Mme Doris Leuthard, ex chef de l'État Suisse (2017) et ministre de l'information aujourd'hui.

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  5. VOICI LE SMARTPHONE DU FUTUR

    En recoupant plusieurs innovations technologiques en cours d'étude, nous avons imaginé à quoi pourrait ressembler nos téléphones dans quelques années.

    PAR LAURA JULIANO
    10.01.2018, 15h27

    Chaque année, il devient plus léger, plus performant, plus autonome. Mais à quoi pourrait ressembler le smartphone dans 10 ou 20 ans? En recoupant plusieurs innovations technologiques en cours d'étude, nous avons imaginé à quoi il pourrait ressembler.

    Le stockage perpétuel

    Vous en avez assez de devoir supprimer une application pour en télécharger une autre parce que votre carte mémoire est pleine ? Le smartphone du futur ne posera plus un tel problème puisqu'il sera doté d'une capacité de stockage quasiment illimitée. Cela, grâce à l'invention de la société japonaise Hitachi qui a eu l'idée d'utiliser des plaques de quartz pour stocker les données. En la gravant au laser, une plaquette, d'une dimension de 2 centimètres pour 2 millimètres d'épaisseur peut contenir jusqu'à 360 To, comme l'ont révélé récemment des chercheurs de l’université de Southampton. En plus, ce matériau facile à trouver est quasi indestructible.

    La batterie à recharge vocale

    Outre la mémoire, le deuxième principal inconvénient actuel reste l'autonomie encore très limitée. Aujourd'hui, si votre batterie est déchargée et que vous n'avez pas accès à une prise, il n'y a rien à faire. Une invention pourrait tout changer. Il s'agit de la batterie à recharge vocale.

    En effet, des chercheurs sont parvenus à développer des batteries reposant sur le son et les nanogénérateurs. Elles permettent de recharger son appareil en parlant au téléphone. D'autres batteries comme Ampy peuvent être rechargées grâce à l'énergie cinétique. Il suffirait alors de marcher pour refaire le plein.

    Le smartphone sans batterie

    Des chercheurs sont allés jusqu'à éliminer cette source de problème en imaginant un smartphone sans batterie. Des ingénieurs de l’Université de Washington ont déjà conçu un prototype à partir de composants déjà disponibles dans le commerce. Le smartphone tire directement son énergie de l’environnement, grâce à une antenne captant les signaux radio et un petit panneau solaire puisant la lumière du jour.

    On en est peut-être loin aujourd'hui, mais il semble qu'à l'avenir nous pourrons bien rire en nous rappelant le temps où nous courions les prises, quémandions des chargeurs à nos amis ou renoncions à télécharger une vidéo pour cause de manque d'espace disponible. (Le Matin)

    https://www.lematin.ch/high-tech/Voici-le-smartphone-du-futur/story/24210522

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  6. Ces Suisses plombés par leurs frais dentaires

    Alors que les Vaudois votent dans un mois sur le remboursement des frais dentaires, les factures de dentiste sont un casse-tête pour les plus démunis

    Aïna Skjellaug
    dimanche 28 janvier 2018 à 13:40

    Vendredi, Sandra* a pris congé pour emmener sa fille de 18 ans chez le dentiste à Cessy (F), petite commune implantée à la frontière franco-suisse. Le devis qu'elle a demandé à son cabinet dentaire habituel pour enlever quatre dents de sagesse se montait à 1500 francs (1292 €), en France elle en paiera la moitié. Les frais dentaires sont devenus le cauchemar de cette Suissesse d'origine latino-américaine, depuis qu'une facture l'a plongée dans une situation impossible.

    «Je laisse mon fils de 14 ans se rendre tout seul chez le dentiste, car je travaille durant la journée. Son traitement orthodontiste était terminé mais, sans mon aval, on lui a fait une radio, recollé un bout de son appareil dentaire et j'ai reçu une facture de 700 francs (603 €). Le même mois, mon ex-mari a obtenu une révision de sa pension alimentaire et j'apprenais que je devrais faire avec 1000 francs de moins chaque mois. J'étais catastrophée. J'ai un salaire de 3200 francs net (2756 €), je ne pouvais pas payer cette facture imprévue. J'ai appelé le cabinet dentaire pour contester ces frais, mais ils m'ont juste ajouté un mois de délai», raconte cette mère de famille, rencontrée dans un café de la Côte.

    Sandra se rend alors pour la première fois au centre social de sa commune, qui la dirige vers Caritas Vaud. «Lorsque nous recevons chez Caritas une personne comme Sandra, nous commençons par vérifier ses finances et établir le fait qu'elle a besoin d'aide. Nous-même n'avons pas de fonds, mais nous faisons appel à des fondations privées et nous jouons l'intermédiaire», explique Mélanie Dafflon, cheffe de l’unité Service social de Caritas Vaud. Sandra a ainsi bénéficié d'une aide ponctuelle pour payer sa facture imprévue. Mais auparavant, pour les soins orthodontiques de ses deux enfants, elle a déboursé 6000 et 8000 francs (5169-6892 €); sa mère l'aidait depuis l'Amérique latine en lui envoyant de l'argent.

    Un vote sans espoir
    «Là d'où je viens, on peut négocier, et il y a des dentistes pour toutes les catégories sociales. On ne laissera personne sans soins, même les plus pauvres. Je pense que la santé est devenue un business en Suisse, et je ne trouve pas ça sain», témoigne Sandra. Elle votera oui à l'assurance obligatoire pour les soins dentaires de base le 4 mars prochain. Mais sans grand espoir, cela fait des années que ses votes, dit-elle, se trouvent systématiquement du côté des perdants.

    A quelques kilomètres de chez elle, le Point d'eau à Lausanne offre, grâce à une centaine de thérapeutes bénévoles, des soins aux personnes vivant dans la précarité. Migrants, familles monoparentales, petites indépendants, artistes, «working poor», étudiants, «derrière l'étiquette précaire se trouve une multitude de réalités, explique son directeur François Chéraz. Certains ne le sont que momentanément.»

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  7. A cinquante francs près
    Les bénéficiaires d'un revenu d'insertion ou de prestations complémentaires voient leurs frais dentaires pris en charge, mais le Point d'eau accueille bon nombre de personnes subissant l'effet de seuil, et qui se retrouvent parfois à cinquante francs près, privés d'aide sociale.

    «L'autre jour un père de famille nous a demandé de l'aide. Son salaire est décent, mais une fois ses trois pensions alimentaires soustraites, son pouvoir d'achat est inférieur à celui d'une personne qui bénéficierait d'un revenu d'insertion. Ces gens-là, il ne leur suffit pas de pas grand chose pour plonger ! On les voit alors développer une stratégie de survie: ils paient ce qui est urgent, et mettent leur santé de côté.»

    Malgré la présence de 18 dentistes au sein de son cabinet dentaire, la fondation du Point d'eau fait face à une demande provenant de tout le canton de Vaud qu'elle ne peut satisfaire. Claire Aeschimann profite de sa retraite pour y dispenser des soins deux matins par semaine. Malgré la population qu'elle y côtoie, elle est foncièrement contre une assurance obligatoire qui couvrirait les frais dentaires. «Je reste convaincue que la grande majorité des gens sont conscients et responsables de l'attention qu'il faut porter à ses dents. Ils ne devraient pas payer pour ceux qui ont négligé leur prévention, même si c'est pour des raisons parfois parfaitement justifiables», tranche-t-elle.

    Si les statistiques chiffrent à 7,4% le nombre de Romands qui renoncent à se faire soigner, elles ne disent rien de ceux qui se mettent dans la difficulté pour continuer à le faire: c'est sur cette opacité que se jouera le vote du 4 mars.

    *Nom connu de la rédaction

    https://www.letemps.ch/suisse/2018/01/28/suisses-plombes-leurs-frais-dentaires

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    1. Au Venezuela, non loin de la Faculté d'Odontologie (à Mérida) il y a toute une foule de dentistes qui, pour moins de 30 € vous remplacent une dent par une en résine ou porcelaine !

      Comment ce fait-il qu'il puisse y avoir des pays dans le monde où, le pétrole est gratuit à la pompe (chacun se sert), où les frais scolaires et hospitaliers n'existent pas et, qu'en d'autres pays, ce soit le coup de barre ?
      Faut dire qu'après la nourriture indispensable (prix coup de barre/bouffe merdique) dans certains pays ils ne se privent pas d'achever ceux qui osent se plaindre de leur état de santé !

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  8. Soins dentaires, le prélèvement de trop

    L'initiative sur les soins dentaires laquelle les Vaudois votent le 4 mars ne répond pas à un besoin général et s'en prend une nouvelle fois aux salaires de la classe moyenne. Un double vice

    Les soins des dents coûtent cher et peuvent déstabiliser le budget du ménage. Ils suscitent du tourisme dentaire et certains y renoncent même pour des raisons financières. Il y a un problème réel, comme le montre le fait que la question revient de manière récurrente dans le débat politique. Des initiatives pour le remboursement sont pendantes dans plusieurs cantons latins, semblables à celle sur laquelle les Vaudois, les tout premiers, votent le 4 mars prochain.

    Des raisons plus fortes encore justifient pourtant de rejeter une telle initiative. D’abord, il n’y a pas de besoin général. L’Office fédéral de la santé publique estime à 5,8%, dans la région lémanique, la part de la population qui renonce à des soins par manque de moyens. C’est trop, sans doute, mais pas assez pour imposer une assurance obligatoire des soins dentaires de base, coûtant entre 300 et 400 millions de francs et financée par des prélèvements sur les salaires d’une part, par le budget public de l’autre.

    Globalement, l’état de santé bucco-dentaire de la population est très bon. Environ 70 000 personnes, soit 10% de la population vaudoise, bénéficient déjà d’aides pour leur bouche, au titre des régimes complémentaires AVS-AI, des PC familles ou de l’aide sociale. Ce qui fait de Vaud l’un des cantons les plus généreux en la matière.

    Etat social en expansion
    D’autre part, les salaires des Vaudois, ceux de la classe moyenne en particulier, doivent être absolument protégés. Les primes d’assurance maladie sont quasiment les plus chères du pays et la fiscalité vaudoise est parmi les plus lourdes de Suisse pour le segment moyen et supérieur des contribuables. Les prélèvements obligatoires doublent la note du fisc.

    Sous le règne de la majorité de gauche au Conseil d’Etat, l’Etat social vaudois s’est étendu nettement. Certes, la manne publique retombe sur une partie de la classe moyenne, mais celle-ci aurait davantage besoin d’une baisse d’impôt. Comme «contrepartie sociale» à la nouvelle fiscalité des entreprises, l’Etat a prévu pour 150 millions de francs de prestations supplémentaires, pour l’accueil de jour, les subventions Lamal et des allocations familiales vouées à devenir les meilleures de Suisse. On devait s’en tenir là pour un moment.

    La perspective de ce nouveau prélèvement obligatoire pour les frais dentaires a donc donné lieu à un psychodrame politique comme le canton, à force de «compromis dynamiques», en avait perdu l’habitude. Le Grand Conseil à majorité de droite a chahuté le contre-projet proposé par Pierre-Yves Maillard, qui, de rage, s’est déclaré pour l’initiative. Mais ce faisant, l’exécutif expose ses divisions et manque de crédibilité, lui qui avait été le premier à préconiser une solution plus raisonnable.

    Le souhaitable rejet de cette initiative permettra au gouvernement de revenir, en collaboration avec les dentistes, avec des solutions ciblées améliorant la situation de bénéficiaires, les working poors notamment, qui en ont vraiment besoin.

    https://www.letemps.ch/suisse/2018/01/28/soins-dentaires-prelevement

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    1. Tout problème doit être étudié intelligemment. A quel tarif de l'heure travaille le dentiste ? Pourquoi dit-il avoir autant de frais ? Pourquoi faudrait-il être 'un cas spécial' pour se faire soigner une dent ? Pourquoi n'y aurait-il pas des 'dentistes de rue' (lors du marché hebdomadaire) qui proposeraient leurs soins sans être déclarés 'dentistes' comme 'coupeurs de cheveux' ou 'cireurs de chaussures' ?

      Il existe pourtant des internautes qui OFFRENT des informations GRATUITEMENT ! (c'est-à-dire ne faisant pas partis des merdias).

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  9. Le président américain prêt à signer un nouvel accord sur le climat

    Donald Trump serait prêt à signer l'accord de Paris sur le climat, mais seulement s'il comprend des modifications importantes, selon des extraits d'une interview à ITV

    ATS
    dimanche 28 janvier 2018 à 07:43.

    Le président américain Donald Trumpavait qualifié de «mauvais accord» pour l'économie américaine. Sa décision avait été quasi unanimement désapprouvée internationalement. Il serait toutefois prêt à signer l'accord de Paris sur le climat, mais seulement s'il comprend des modifications importantes, selon des extraits d'une interview à ITV. Il avait annoncé en juin 2017 que les Etats-Unis se retiraient de l'accord.

    Bien qu'il reste ferme dans ses critiques contre l'accord historique signé par son prédécesseur à la Maison-Blanche, Barack Obama, Donald Trump s'est dit prêt à signer un accord remanié, dans les extraits d'une interview qui sera diffusée dimanche par la chaîne de télévision britannique ITV.

    Désastre, affreux, injuste
    «L'accord de Paris serait pour nous un désastre», a-t-il affirmé. «S'ils faisaient un bon accord... il y a toujours une chance que nous revenions», a-t-il ajouté, décrivant l'accord actuel d'«affreux» et d'«injuste» pour les Etats-Unis.

    Ce traité historique a été signé par 197 nations en 2015 après d'intenses négociations à Paris, où tous les pays ont pris des engagements volontaires de réduction de leurs émissions de carbone.

    «Si quelqu'un disait: 'Revenez dans l'accord de Paris', il faudrait qu'il soit totalement différent, car nous avions un accord affreux», estime M. Trump, selon des extraits de l'interview. «Pourrais-je y retourner ? Oui, j'y retournerais. J'adorerais cela».

    Donald Trump a déjà laissé la porte entrouverte à un retour dans l'accord de Paris en cas de renégociations. Il est cependant toujours resté évasif.

    https://www.letemps.ch/monde/2018/01/28/president-americain-pret-signer-un-nouvel-accord-climat

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    1. (...) Ce traité historique a été signé par 197 nations en 2015 (...)

      FAUX ! C'est 197 dictateurs qui ont signé et non le Peuple de chaque pays !

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  10. Le discours historique de Davos Trump "déchaîne l'enfer" sur le calmar vampire, copinage, globalists

    January 27th, 2018

    Trump - dire la vérité au pouvoir. Création de 2,4 millions de travaux. Les parasites du réseau vont le détester.

    Le texte intégral de son discours à Davos.

    MISE À JOUR: À surveiller. Il est tout à fait l'homme d'État. Il aurait pu utiliser le succès économique pour se glorifier, pour mépriser ceux qui se moquaient de lui, mais à la place il dit: - C'est ce que nous faisons. Cela fonctionne brillamment. Tu peux le faire aussi. Il parle de la façon dont les réductions d'impôt et la baisse de la réglementation ont créé un flot d'investissements aux États-Unis. Dans l'auditoire, il y a un groupe de personnes qui pourraient bien se moquer de lui, mais ils pensent tranquillement, "comment nous rattraper". Trump a créé une course, et tous les investissements qui arrivent aux États-Unis viennent de toutes les nations qui sont dans l'audience.

    James Delingpole marque l'apparence de Trump comme historique, source d'inspiration:

    Apocalypse Trump est libéré sur Davos
    Nous savions que quelque chose d'apocalyptique arrivait à Davos aujourd'hui. Les photos du président Trump publiées par tactique arrivant en hélicoptère avec son entourage étaient le cadeau: les hélicoptères silhouettés se déployaient en ligne droite dans la lumière jaune orangée au-dessus des montagnes.

    Pourquoi, si vous aviez écouté attentivement, vous pourriez presque avoir entendu les tensions de Ride of the Valkyrie de Wagner ...

    L'ennemi à cette occasion, bien sûr, était Davos Man. Ou, si vous préférez, l'élite mondialiste qui a passé les dernières décennies à arranger le monde dans son propre intérêt: les banksters centraux formés par Vampire-Squid; les technocrates de l'UE; les capitalistes copistes corporatistes; les experts en durabilité recherchant la rente; les ONG progressistes, politiquement correctes et sermonnantes; les monstres du gouvernement un contrôle mondial; le réveil des groupies hollywoodiennes; George Soros; à peu près toutes les raisons qui nous ont fait voter pour Donald Trump ou Brexit, tous réunis dans une station de ski suisse très chère.

    Le discours de Trump à Davos aujourd'hui l'établit comme - par certains côtés - le leader le plus significatif et inspirant et idéologiquement robuste du monde libre depuis l'ère de Ronald Reagan.

    La vision de Trump n'est pas - comme ses ennemis la déforment - une vision d'insularité et d'étroit intérêt personnel. Il s'agit de rendre l'Amérique encore plus belle afin d'aider le monde à suivre l'exemple et à devenir grand aussi.

    Comme toutes les nations représentées à ce grand forum, l'Amérique espère un avenir où tout le monde peut prospérer et chaque enfant peut grandir libre de la violence, de la pauvreté et de la peur. Au cours de l'année écoulée, nous avons fait des progrès extraordinaires aux États-Unis. Nous élevons des communautés oubliées, créons de nouvelles opportunités passionnantes et aidons chaque Américain à trouver son chemin vers le rêve américain. Le rêve d'un bon travail, d'une maison sûre et d'une vie meilleure pour leurs enfants.

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  11. Trump réaffirme ici les vérités qui devraient être évidentes ...

    - "Rappelez-vous comment Trump est un idiot et ne réalisera rien, un désastre dans la fabrication:
    Je veux dire, il est tellement stupide. C'est un punk, c'est un chien, c'est un cochon, c'est un con, c'est un artiste de conneries, c'est un cabot qui ne sait pas de quoi il parle, ne fait pas ses devoirs, s'en fout". - Robert de niro.
    - "S'il devient président, ce sera un désastre", a déclaré l'ancien ministre danois des Affaires étrangères Martin Lidegaard.
    - "Une personne qui ne pense qu'à construire des murs - où qu'ils soient - et à ne pas construire de ponts, n'est pas chrétienne." Pape François.
    (- [Ponts bons: murs mal, dit un homme qui vit dans une enclave de 40 pieds de haut mur. - Jo])
    - "Cette nation [les États-Unis] va échouer si elle tombe entre les mains d'un fou. »L'ancien président mexicain, Vicente Fox.
    - "M. Trump est tellement stupide, mon Dieu!" Anne Hidalgo, maire de Paris

    Donald Trump:

    Depuis mon élection, nous avons créé 2,4 millions d'emplois ... Nous avons abaissé notre taux d'imposition des sociétés de 35% à 21%. En conséquence, des millions de travailleurs ont reçu des primes de réduction d'impôt de la part de leurs employeurs pour des montants aussi élevés que 3 000 $. Le projet de loi de réduction d'impôt devrait augmenter le revenu du ménage américain moyen de plus de 4 000 $. La plus grande entreprise au monde, Apple, a annoncé qu'elle prévoyait de rapporter 245 milliards de dollars de bénéfices à l'étranger aux Etats-Unis. Leur investissement total dans l'économie des États-Unis s'élèvera à plus de 350 milliards de dollars au cours des cinq prochaines années. C'est le moment idéal pour apporter votre entreprise, vos emplois et vos investissements aux États-Unis.

    Il remonte le pas sur la croissance du big-gov, et le blob vert égoïste après des décennies de croissance ininterrompue. En espérant que le message se propage.

    MISE À JOUR: C'est ainsi que les copains capitalistes capitalistes ont parlé
    Le Sydney Morning Herald annonce le tas d'argent du blob vert

    Les entreprises devraient saisir l'opportunité d'investir 6 billions de dollars américains (7,45 trillions de dollars) dans la lutte contre le changement climatique au cours des deux prochaines décennies, a déclaré jeudi à Davos le chef d'une multinationale indienne.

    "Le changement climatique est la plus grande opportunité financière et commerciale du siècle prochain", a déclaré Anand Mahindra, président du groupe Mahindra, un conglomérat de 19 milliards de dollars américains, au World Economic Forum (WEF), une réunion annuelle des dirigeants politiques et économiques mondiaux. Station des Alpes suisses de Davos.

    Mahindra a comparé la transformation à l'introduction des voitures et à l'industrie qui s'est développée autour d'elles. Le changement climatique apportera également de nouveaux appareils, des technologies et le rééquipement des anciens, a-t-il dit.

    http://joannenova.com.au/2018/01/trump-landmark-davos-speech-unleashes-hell-on-vampire-squid-crony-self-serving-globalists/

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  12. La majorité ne doit pas décider des droits fondamentaux des minorités

    L’initiative «Le droit suisse au lieu de juges étrangers», lancée par l’UDC, devrait être soumise aux urnes en 2019. Ce texte vise à limiter les libertés fondamentales et à affaiblir les droits des minorités. Pour Andreas Gross, c’est «au nom de la démocratie et non malgré elle» qu’il doit être rejeté.

    JEUDI 25 JANVIER 2018
    ANDREAS GROSS*

    DÉMOCRATIE
    Jusqu’à la fin du XIXe siècle, la Suisse était le pays d’Europe qui avait mis en œuvre le plus grand nombre des idées apparues au moment de la Révolution française. Dans les années 1830, certains cantons instaurent la souveraineté populaire et les libertés politiques puis, en 1848, la Confédération nouvellement créée intègre le suffrage masculin général et la démocratie représentative. On verra ensuite les droits populaires s’étendre, au niveau fédéral en 1874 et en 1891, ainsi que l’émancipation des minorités religieuses et les premiers droits sociaux dans les années 1870. Ces évolutions ont toujours été soutenues par des mouvements sociaux, voire des soulèvements.

    Les revendications en faveur des droits populaires découlent de l’indifférence affichée par la majorité libérale de l’Assemblée fédérale entre 1848 et 1870 à l’égard des besoins des citoyen-ne-s les plus défavorisé-e-s, alors que la démocratie est uniquement représentative au niveau fédéral. La majorité du peuple n’a guère profité de la croissance économique que la création de la Confédération a engendré. La majorité libérale n’était intéressée que par un seul objectif: la construction d’un réseau de chemins de fer dans tout le pays. Cette construction a nécessité énormément de capital, ce qui a augmenté les intérêts payés par les paysan-ne-s et les artisan-e-s, alors même qu’une concurrence accrue baissait leurs prix. Cette conjoncture a mis en difficulté l’existence de centaines de milliers de Suisses, dont la situation était négligée par la majorité libérale.

    Cette indifférence a provoqué d’immenses mouvements sociaux, d’abord dans les cantons de Bâle Campagne et Zurich, puis à Saint-Gall, en Argovie et à Berne. Ils revendiquaient tous plus de droits démocratiques, à savoir le référendum législatif et l’initiative populaire législative et constitutionnelle. En d’autres termes, ils voulaient pouvoir exprimer leurs opinions entre les élections. Ces mouvements ont bouleversé les relations politiques dans ces cantons.

    A Zurich par exemple, le «système Escher» – les majorités libérales à l’exécutif et au législatif – était remplacé par des majorités «démocrates», formées d’une coalition de socialistes, de démocrates, d’associations issue des campagnes défavorisées et de quelques conservateurs. Ce mouvement a aussi fait de la constitution zurichoise la constitution la plus démocratique du monde. Elle a instauré des droits populaires pensés et développés pour la première fois pendant la Révolution française, dans le projet girondin de constitution rédigé par Condorcet en 1793.

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  13. Lors des élections suivantes au niveau fédéral, ces nouvelles majorités cantonales ont renforcé le groupe démocrate à l’Assemblée fédérale. Cela a permis, plus tard, de transformer le système purement représentatif de la Confédération en une démocratie directe, en introduisant le référendum facultatif législatif dans la constitution révisée de 1874, puis l’initiative populaire en 1891. A mes yeux, ces droits populaires sont des institutions essentielles, qui approfondissent la démocratie, lui donnent un contenu substantiel, augmentent la liberté des citoyen-ne-s et diminuent le caractère oppressif et aliénant du système politique envers les citoyen-ne-s. C’est un acquis que la gauche doit soutenir et renforcer.

    Il est cependant une conception de la Révolution française que les Suisses n’ont jamais acceptée, qui fait de la démocratie un droit fondamental, et non un privilège lié à la citoyenneté. Les conséquences en sont graves et bien connues. Les citoyens mâles n’ont jamais été gênés par la présence d’habitant-e-s de deuxième classe en Suisse, qu’il s’agisse des femmes ou des étrangères-ers. Ils ont ainsi perpétué une ancienne tradition de subordination d’une partie de la population à une autre, la dominant, l’excluant de l’égalité et des droits démocratiques.

    Cela n’a partiellement changé qu’en 1974, quand la Suisse – après avoir introduit les droits démocratiques des femmes – a ratifié (sans référendum!) la Convention européenne des droits de l’homme. C’est celle-ci que l’initiative populaire de l’UDC veut attaquer en plaçant les décisions nationales au-dessus des décisions internationales, et en particulier de celles de la Cour européenne des droits de l’homme à Strasbourg, qui est notre seul véritable tribunal constitutionnel !

    Parce que la démocratie directe ne doit pas être considérée comme un privilège réservé à quelques-un-e-s, mais doit intégrer les protections accordées aux minorités et aux plus vulnérables, il est impératif de rejeter l’initiative de l’UDC au nom de la démocratie, et non malgré elle.

    * Animateur de l’Atelier pour la démocratie directe à St-Ursanne, ancien conseiller national et président du groupe socialiste à l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe. Paru dans Pages de gauche n°165, automne 2017, www.pagesdegauche.ch

    https://lecourrier.ch/2018/01/25/la-majorite-ne-doit-pas-decider-des-droits-fondamentaux-des-minorites/

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    1. Sans la Démocratie l'individu ne veut plus rien dire

      (...) Elle a instauré des droits populaires pensés et développés pour la première fois pendant la Révolution française (...)

      La 'révolution française' est un symbole en ce sens contre la dictature au pouvoir mais celle-ci n'a jamais pu modifier quoi que ce soit à la dictature en place. La monarchie changea de nom en république.

      (...) l’initiative populaire de l’UDC veut attaquer en plaçant les décisions nationales au-dessus des décisions internationales (...)

      ET l'UDC (Doris Leuthard) A BIEN RAISON !!! Ce n'est pas parce que les dictatures ont envahi le monde et sont majoritaire que la Suisse doit supprimer sa Démocratie pour faire plaisir aux ordures ! «Le droit suisse au lieu de juges étrangers» ! BRAVO ! La Suisse n'est PAS la Côte d'Ivoire où le président élu a été supprimé par les terroristes étrangers parce qu'il soutenait Kadhafi et prônait la Démocratie, ni l'Irak ou l'Afghanistan, Libye ou autre pays attaqués pour 'détention d'armes a destruction massive' !

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  14. L'année dernière, la BNS a gagné 32 fois plus que les 85 banques privées suisses


    par Tyler Durden
    Dim, 28/01/2018 - 09:00
    Envoyé par Simon Jacques


    Cette fois-ci "la Banque des Banques Suisses" ne va pas bien se passer. Ne pas mettre de couvertures sur son exposition aux devises est une invitation à la criminalité. L'incompétence de base à St. Gal-Land ou une intrigue plus sinistre élaborée par le club ne doivent pas être exclues.

    Contrairement aux autres pays, les États-Unis ne fixent pas d'objectif de change. Le Trésor américain dit que c'est notre monnaie; vous faites face à ses problèmes. Le problème pour la Banque nationale suisse (BNS) est que lorsque vous changez la couleur de la réserve fédérale américaine («l'inflation n'est pas un gros problème», le moment Mnuchin à Davos en Suisse), vous obtenez un dollar beaucoup plus faible.

    Les Etats-Unis exportent leur inflation vers les pays européens (l'une de ses manifestations est la hausse des taux d'intérêt réels européens) et alors que la BCE se retire de l'assouplissement quantitatif, l'Europe se retrouve avec une capacité de réactivation nulle ou une capacité économique réelle à absorber. .

    La conséquence suivante pour la BNS est un franc suisse qui s'apprécie face au dollar et à l'euro. Oui, il semblerait que l'argent retournera dans "St.Gallen-Land" et rendra probablement les actifs étrangers de la BNS "plus mauvais" qu'ils ne le sont vraiment, mais voici la situation difficile du Prof. Thomas Jordan: la BNS, également surnommée comme le plus grand fonds de couverture du monde, pour revenir à perte.

    - voir graphique sur site -
    Zero Hedge: L'EURCHF se rapproche de ses niveaux de «carnage» pré-peg-break. *

    Nous sommes tous en train de conjecturer ici, et de ne pas dire que la «BNS doit faire du commerce» - ils doivent plutôt opérer au moindre coût, car pourquoi les Suisses voudraient-ils absolument payer 25 à 100 milliards CHF d'aide extérieure aux pays étrangers et aux hedge funds ?

    L'année dernière, la BNS a gagné 32 fois plus que les 85 banques privées suisses (Pictet, Mirabaud, Lombard, UBP, J. Safra) pour deux fois moins d'actifs.

    Depuis 2015, la Banque nationale suisse (BNS) impose effectivement une commission de 0,75 % sur les dépôts importants dans le cadre d'une politique de base visant à affaiblir le franc suisse et à accélérer la vitesse de la monnaie.

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  15. L'intérêt négatif de 0,75 % sur le grand dépôt ne représentait que 3 à 4 % du bénéfice. Ce que la BNS a en réalité fait pour affaiblir le franc suisse, c'est l'achat d'actifs étrangers. Ils possèdent même environ 90 milliards de dollars d'entreprises américaines.

    Dans ces circonstances et suite à la chute de 8,5% du franc par rapport à l'euro l'année dernière, la Banque des Banques Suisses a imprimé un bénéfice de 55 G $ pour 836 G $ d'actifs dans son bilan pour l'année 2017.

    A titre de comparaison, les 85 banques privées suisses (Pictet, REYL, Landolt & Cie, UBP, etc.) ont réuni CHF1.7-1.8B pour environ CHF 1'800B AUM. USD: CHF 0.93

    Avec une position enviable de + 55 milliards de dollars dans les coffres, battant les banques privées suisses 31 à 1, avec une position énorme sur les actifs étrangers et dans les conditions macroéconomiques extrêmes de la zone euro- Pourquoi la BNS ne couvre pas son risque de change contre une appréciation du franc suisse sur 836 $ d'actifs?

    En effet, la tour de verre, il ya longtemps, a déterminé que la protection contre les pertes de devises aurait des conséquences politiques indésirables (et sans aucune preuve prouvant le point) ...

    Dans la période pré-électorale, il serait regrettable que la BNS «balance» à perte, en effet à cause d'une expérimentation importante, mais ratée, de deux professeurs qui ne comprennent pas leur exposition, aveuglés par la lumière du manuel de politique monétaire et complètement obnubilé par leur imprimeur d'argent et son pouvoir magique.

    Je voudrais voir une perte à la Banque nationale suisse (BNS) comme une subvention en nature pour les pays étrangers et les fonds de couverture.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-01-28/last-year-snb-earned-32-times-more-85-swiss-private-banks

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  16. Rencontrez la dernière menace de l'Europe: elle est une blonde aux yeux bleus qui veut "la Finlande d'abord"


    par Tyler Durden
    Dim, 28/01/2018 - 13:05


    Mise à jour: Il semble que le rêve de l'Europe soit un autre jour. Comme nous l'avions prédit, Pekka Haavisto a concédé la défaite contre le président finlandais sortant Sauli Niinisto lors du vote pour les élections finlandaises, avec "Trump-lite" Huhtasaari recueillant 6% des voix.

    Le titulaire a obtenu 64,4% des voix, suivi par Pekka Haavisto, du Parti vert, qui a obtenu 11,2% des suffrages. Laura Huhtasaari du Parti nationaliste populiste-Finlandais et le politicien vétéran du Parti du Centre, Paavo Vayrynen, qui s'est présenté comme candidat indépendant, ont recueilli respectivement 6% des suffrages. Les résultats étaient basés sur un décompte des votes exprimés lors du vote par anticipation. Les responsables électoraux ont déclaré que 36% des quelque 4,5 millions d'électeurs avaient exercé ce droit.

    "Je vous remercie déjà, mais n'essayons pas de démolir la maison", a déclaré Niinisto lors d'une interview sur YLE TV1. "Nous ne pouvons pas encore être sûrs, le jour des élections peut apporter des surprises."

    * * *

    Nigel Farage, puis Beppe Grillo, Frauke Petry, Alexis Tsipras, Marine le Pen, Geert Wilders, Victor Orban, Sebastian Kurz, etc., successivement populistes européens et leaders anti-immigrés, en réponse au cataclysme économique. déchaîné par les banques centrales au cours de la dernière décennie, qui a laissé le "1 %" meilleur que jamais, au détriment de tous les autres.

    Maintenant, une nouvelle menace est apparue en dehors de la Finlande, une petite, aux cheveux blonds et aux yeux bleus.

    Laura Huhtasaari, une ancienne enseignante de 38 ans, tente de ramener les idées anti-immigration et populistes à la politique finlandaise traditionnelle et sa campagne pour la présidence du pays a vu sa réputation monter en flèche avant le premier tour de scrutin dimanche.

    En bref: elle déteste l'Union européenne, acclame le Brexit et soutient Donald Trump - et pense que la Finlande est plus que prête pour sa marque de populisme. Et, selon Politico, des huit prétendants au prochain président de la Finlande, "aucun ne se démarque tout à fait comme Huhtasaari".

    Le candidat du parti d'extrême droite Finlandais est une aberration tant dans le style que dans le fond. Elle ne remportera pas l'élection présidentielle de dimanche, mais elle met son temps à l'honneur pour faire passer le message anti-immigrant et anti-establishment de son parti.

    Comme l'ajoute le UK Express, son parti finlandais a employé des tactiques de divers politiciens populistes et fait écho à Donald Trump avec son slogan «Finlande d'abord» ainsi qu'à la candidate à la présidentielle française Marine Le Pen, qui a utilisé le nationalisme comme thème clé campagne. A la base de son idéologie, sa rhétorique eurosceptique ressemble beaucoup à celle de l'ancien leader de l'Ukip, Nigel Farage, qui a même fait part de son admiration pour la campagne du Brexit de 53 ans en disant à ses partisans de "reprendre leur pays".

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  17. Comme ses pairs nationalistes eurosceptiques, elle affirme aussi que l'UE a transformé la Finlande en province et qu'elle a critiqué l'élite politique du pays, qui, selon elle, ne représente pas la classe ouvrière.

    Huhtasaari a également exigé plus de contrôles de l'immigration et a fait campagne en faveur d'une interdiction de la burka - loin de la politique traditionnelle de la Finlande. Elle a déclaré à Politico: "Je suis ici pour rappeler aux gens que le Parti des Finlandais est vraiment une alternative au courant dominant.

    "Je veux changer la direction de la Finlande et reprendre notre indépendance."

    Huhtasaari est dans son élément sur la campagne électorale. S'exprimant au centre-ville d'Helsinki devant une foule dévouée qui a bravé l'hiver pour l'entendre parler, elle a sorti les plus grands succès de sa plate-forme populiste: se déchaîner contre une Union européenne lourde, une élite politique finlandaise indifférente à la classe ouvrière et les dangers de l'immigration à grande échelle - principalement musulmane -.

    Elle a interrompu son discours en quittant le script et en s'engageant avec la foule, en serrant la main et en compensant sa rhétorique enflammée avec un sourire avant de dire à ses partisans de «reprendre leur pays» et de clore le rassemblement de 30 minutes avec son cri de ralliement. : "La Finlande d'abord !"

    Parlant à Politico, elle a également déclaré que "la Finlande est un peu en retard si on la compare à d'autres pays européens, les partis anti-immigration gagnent et les gens se réveillent partout, ils se réveillent ici aussi".

    La femme de 38 ans a été comparé à Marine Le Pen

    Avant d'entrer au parlement, Huhtasaari enseignait la religion et enseignait aux enfants ayant des besoins spéciaux, et elle a étendu cette touche personnelle à sa politique. Cela a permis à Huhtasaari, le vice-président du parti finlandais, d'apparaître comme son visage public, tandis que Jussi Halla-aho, le chef du parti et membre du Parlement européen, reste à l'arrière-plan en tant que stratège.

    Halla-aho a la réputation d'être l'enfant terrible de la politique finlandaise, choquant l'établissement dans le passé en décrivant l'Islam comme une religion de pédophiles, disant que les Somaliens étaient génétiquement prédisposés au vol, et que les problèmes d'endettement de la Grèce ne pouvaient être résolus qu'avec une junte militaire.

    Après une forte participation aux élections parlementaires de 2011, le parti des Finlandais est devenu le deuxième parti le plus populaire du pays en 2015 et a rejoint la coalition au pouvoir au parlement. Cependant, les compromis nécessaires pour gouverner au sein d'une coalition et d'un programme d'austérité impopulaire ont brisé leur éclat en tant que parti d'opposition populiste et ont vu leur soutien diminuer.

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  18. Reconstruire et tracer une nouvelle voie a été la mission centrale de la course à la présidence de Huhtasaari, mais retrouver l'élan perdu n'est pas une tâche simple. Alors que les vents populistes peuvent souffler ailleurs, les conditions ne semblent pas si favorables en Finlande où l'économie se redresse, la crise des réfugiés a ralenti, et les négociations ardues sur le Brexit ont atténué tout appel à quitter l'UE.

    Mais tandis que Huhtasaari et le Parti des Finlandais font face à une ascension fulgurante, ils ont réussi à avoir un effet sur les élections et la politique finlandaise dans son ensemble. Des années au gouvernement ont permis au parti de poursuivre une politique d'immigration plus stricte, qui, en plus de la position ferme de Huhtasaari, a changé le débat pendant les élections. Selon Johanna Vuorelma, rédacteur en chef du site d'information finlandais Politiikasta, le parti finlandais a réussi à faire basculer le débat sur l'immigration vers la droite, mais a également laissé la place à d'autres candidats et partis pour voler des électeurs potentiels en adoptant des politiques similaires et la rhétorique.

    * * *

    Selon Tuija Saresma, experte en populisme de droite à l'Université de Jyväskylä, la montée du candidat du Parti des Finlandais n'est pas passée inaperçue: «Elle fait circuler la rhétorique de nombreux autres dirigeants populistes. si ce qu'elle dit est vrai ou non, ses partisans la soutiennent toujours, c'est un phénomène nouveau pour la Finlande. "

    "Avant la montée du parti des Finlandais, nous étions habitués à une forme de politique très modérée", a déclaré Saresma. "Mais ça change. La politique devient de plus en plus émotionnelle. "

    - voir photo de la playmate 'Miss Janvier 2018' sur site -

    Pourtant, malgré l'incroyable ascension de Huhtasaari, il est peu probable qu'elle arrache la présidence. Le président sortant Sauli Niinistö est extrêmement populaire et de récents sondages suggèrent qu'il sera réélu sans un défi majeur. En outre, l'expérience politique de Huhtasaari a parfois montré pendant la campagne électorale: elle a lutté contre les questions politiques dans les débats télévisés, a été critiquée pour être incapable de cesser de réciter des slogans lors d'une interview avec le radiodiffuseur d'Etat YLE et a été accusée de plagier sa thèse.

    Pourtant, elle a réussi à sortir de la mêlée en grande partie intacte et n'a pas l'intention de changer sa marque en tant que principal insurgé populiste de Finlande. Bien sûr, le nouveau créneau de Huhtasaari dans la politique finlandaise représente le dernier casse-tête majeur et la menace la plus récente pour l'UE et son profil ne montre aucun signe de diminution.

    "Je regarde l'exemple de Nigel Farage, il a fallu 17 ans, mais le Brexit est arrivé", a déclaré Huhtasaari. "Je n'ai pas l'intention d'attendre aussi longtemps."

    Les élections présidentielles finlandaises se dérouleront aujourd'hui 28 janvier et le second tour le 11 février si nécessaire.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-01-28/meet-europes-latest-threat-she-blue-eyes-blonde-who-wants-finland-first

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    1. Dommage que ces 'phénomènes' faux-jetons ne proposent jamais la Démocratie !

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  19. FRANCE - LE PIC DE LA SEINE ATTENDU DANS LA NUIT À PARIS
    Le cours d'eau devrait atteindre dans la capitale son pic de crue dans la nuit de dimanche à lundi. La décrue s'annonce très lente.

    28.01.2018, 17h27

    Le fleuve qui traverse la capitale française en longeant musées et monuments devrait culminer à un niveau entre 5,85 et 5,95 m, soit plus de quatre mètres au-dessus de la normale, selon l'organisme de surveillance Vigicrues.

    C'est moins que la crue de juin 2016 (6,10 m) et très loin du record historique de 1910, où la Seine avait atteint 8,62 m.

    «La montée est maintenant lente et le pic de crue devrait intervenir dans la soirée ou dans la nuit», a souligné le préfet de Paris Michel Delpuech lors d'une conférence de presse.

    L'eau atteignait dimanche les cuisses de la célèbre statue du Zouave, traditionnel repère des montées des eaux au pont de l'Alma.

    Bateaux-mouches à quai

    Non loin de là, près de la Tour Eiffel, les bateaux-mouches, interdits de navigation, restent à quai. Des voies sur berge noyées n'émergent que des rangées d'arbres et des lampadaires baignant dans une eau marronnasse près de laquelle s'aventuraient quelques pêcheurs et curieux.

    Alors que deux personnes à bord d'un canoë gonflable ont été verbalisées samedi, les autorités ont rappelé qu'il était «interdit et surtout extrêmement dangereux de faire du canoë ou de se baigner dans la Seine».

    Côté transports, sept gares parisiennes du RER C, l'une des lignes les plus fréquentées de la capitale, resteront fermées jusqu'au 5 février au moins.

    Lente amélioration

    En région parisienne, la situation s'améliorait petit à petit, alors que 1500 personnes ont dû quitter leur logement, a indiqué dimanche la préfecture de police.

    La décrue pourrait «être très lente», a indiqué à l'AFP Colombe Brossel, adjointe à la Sécurité de la mairie de Paris. «Si l'on parle de revenir complètement à la normale, cela se comptera en semaines», a estimé pour sa part le patron des services de l'Etat chargés de l'Environnement à la région (DRIEE), Jérôme Goellner.

    Les crues qui touchent diverses régions françaises sont dues à des précipitations importantes sur des sols gorgés d'eau. Le bimestre décembre-janvier est l'un des trois plus pluvieux depuis le début des relevés en 1900, selon Météo-France.

    Mais les prévisions sont plus optimistes pour la semaine à venir et «les décrues sont désormais bien amorcées sur la majorité des parties amont des cours d'eau» en France, selon Vigicrues. (ats/nxp)

    https://www.lematin.ch/monde/pic-seine-attendu-nuit-paris/story/17406804

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    1. Les fleuves charrient des limons qui se déposent dans son lit. C'est alors qu'une simple pluie fait déborder les fleuves & rivières, et que les Administrations se foutent des victimes.

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  20. La police du Mexique trouve suffisamment de fentanyl pour tuer des millions de personnes en route vers la frontière américaine

    par Tyler Durden
    Dim, 28/01/2018 - 18:30

    La Commission de sécurité nationale mexicaine rapporte que la police fédérale a découvert un chargement international multi-drogues comprenant 914 livres de crystal meth, 100 livres de fentanyl, 88 livres de cocaïne et 18 livres d'héroïne, dans un véhicule en direction de la frontière californienne.

    Selon l'Oxford Treatment Centre,

    La dose létale de fentanyl est généralement de 2 milligrammes. Encore une fois, cette dose létale considère que l'individu n'a pas développé de tolérance significative; Cependant, même chez les personnes présentant une tolérance significative, la dose létale de fentanyl est extrêmement faible par rapport aux doses létales potentielles de nombreux autres médicaments opiacés.

    Cela signifie que les 100 livres de fentanyl (45,5 kilogrammes) suffisent à tuer des millions d'Américains.

    La police fédérale effectue régulièrement des tâches de sécurité et de surveillance le long de l'autoroute qui relie Ensenada à la ville de Lazaro Cardenas. Ensenada est une ville côtière du Mexique, la troisième en importance en Basse-Californie et située à environ 77 miles au sud de San Diego. La police fédérale surveille de près les autoroutes à Baja, car le réseau de routes de la région est l'une des principales méthodes de transport de drogues aux États-Unis par l'intermédiaire des cartels de la drogue.

    Jeudi, la police fédérale a remarqué un SUV voyageant sans plaques d'immatriculation vers la frontière des États-Unis. Après avoir tiré sur le véhicule, le conducteur a accepté une inspection physique du VUS, et c'est là que les agents ont trouvé «10 sacs, trois valises, 18 paquets de ruban adhésif et 18 contenants de plastique», a déclaré Gob.MX.

    "Au total, 620 colis et conteneurs étaient à l'intérieur du véhicule, avec 532 de cristal, 43 de fentanyl, 73 de cocaïne et 8 d'héroïne, ce qui a donné un poids approximatif de 508,4 kilogrammes.", Ajoute Gob.Mx. Le conducteur a été arrêté et fait maintenant l'objet de graves accusations de drogue. Intéressant, les enquêteurs mexicains ont pu confirmer que le véhicule était immatriculé en Californie.

    En décembre 2017, nous avons noté que la violence des cartels de la drogue avait pénétré dans les zones touristiques de Baja California Sur, où se trouvaient Cabo et La Paz, qui se trouve juste au sud des 100 livres de fentanyl. En 2017, il y a eu 62 homicides pour 100 000 habitants à Baja California Sur, alors que le pays souffre d'une guerre des cartels de drogue hors de contrôle.

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  21. Plus tôt ce mois-ci, les citoyens américains et les employés du gouvernement américain ont été invités à «faire preuve de plus de prudence» et à «être conscients des risques accrus pour la sûreté et la sécurité». La violence accrue dans la région a été alimentée par les États-Unis. la demande d'opioïdes associée à une lutte de pouvoir entre les cartels mexicains de la drogue. Au cours des 11 premiers mois de 2017, il y a eu 22 409 décès au Mexique, ce qui en fait l'une des années les plus meurtrières.

    Il semble que les 100 livres de fentanyl qui auraient pu entraîner des millions d'overdoses à travers les États-Unis étaient en route depuis la zone contrôlée par le cartel de Tijuana en Basse-Californie. Les vastes réseaux de territoires de cartels et de routes de la drogue sont étonnants dans tout le Mexique.

    Peut-être que ce n'est pas l'offre qui est le problème? L'Amérique a un problème de drogue et sa demande l'alimente.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-01-28/mexico-police-find-enough-fentanyl-kill-millions-en-route-us-border

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  22. CRIMINALITÉ - 25 PERSONNES TUÉES AU MEXIQUE CE WEEK-END
    25 meurtres ont été rapportées par les autorités ou la presse ce week-end au Mexique, qui enregistrait en 2017 son record d'homicides.

    29.01.2018, 03h08

    Au moins 25 personnes ont été tuées au Mexique au cours du week-end, selon les chiffres communiqués par les autorités et la presse. Parmi elles, neuf hommes ont été exécutés lors d'une fête privée dans une banlieue de la ville de Monterrey, dans le nord du pays.

    Plus de 25'000 homicides ont été perpétrés l'an dernier au Mexique, un record. Les cartels de la drogue ont tendance à se scinder en de petits groupes, très violents, malgré la lutte menée depuis plus de dix ans par l'armée pour lutter contre les narcotrafiquants.

    Dans la banlieue de Monterrey, des hommes masquées ont fait irruption dans une maison à San Nicholas de los Garza où des personnes étaient en train de regarder un match de football à la télévision, selon les services du procureur de l'Etat. Sept sont mortes sur les lieux et deux sont décédées de leurs blessures à l'hôpital.

    Touriste tué à Acapulco

    Plusieurs autres meurtres ont eu lieu dans la nuit de samedi à dimanche. Un groupe d'hommes a tué trois personnes dans un bar de Cancun, rapporte la presse.

    A Acapulco, des hommes ont ouvert le feu contre un restaurant, tuant un touriste chilien. Deux autres personnes ont été tuées dans un bar de la capitale de l'Etat de Veracruz sur le golfe du Mexique par deux hommes qui ont ouvert le feu sur les employés et un orchestre qui s'y produisait.

    Six personnes ont été tuées à Ciudad Juarez, la ville frontalière avec les Etats-Unis. Parmi elles, figure un couple dont les corps portant des traces de torture ont été découverts dans un parc. (ats/nxp)

    https://www.lematin.ch/monde/faits-divers/25-personnes-tuees-mexique-weekend/story/18898627

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  23. La Maison Blanche prévoit de nationaliser le réseau 5G: Rapport

    par Tyler Durden
    Dim, 28/01/2018 - 19:57

    Dans un rapport époustouflant - si précis - publié dimanche soir, Axios affirme que les responsables de la sécurité nationale de la Maison Blanche envisagent une prise de contrôle fédérale sans précédent d'une partie du spectre / réseau mobile national pour se protéger contre les attaques chinoises. tir emptive, laissant présager des guerres commerciales à venir entre les deux superpuissances.

    Axios a mis la main sur le deck PowerPoint et un mémo, qui auraient été produits par un haut responsable du Conseil National de Sécurité, et qui ont été présentés à d'autres hauts fonctionnaires d'autres agences lors d'une réunion récente. Les documents font valoir que l'Amérique a besoin d'un réseau national 5G centralisé dans les trois ans. Il y aura un débat féroce au sein de l'administration Trump, et un tollé de l'industrie au cours des 6-8 prochains mois sur la façon dont un tel réseau va être construit et payé.

    Pour ceux qui ne sont pas familiers avec la 5G, Quora a une discussion utile sur "En quoi la 5G est-elle différente de la 4G et quand sera-t-elle lancée ?"

    L'auteur du document présente deux options:

    Le gouvernement des États-Unis finance et construit le réseau unique - ce qui serait une nationalisation sans précédent d'une infrastructure historiquement privée.

    Un plan alternatif dans lequel les fournisseurs de services sans fil construisent leurs propres réseaux 5G en concurrence les uns avec les autres - bien que le document indique que l'inconvénient est que cela pourrait prendre plus de temps et coûter plus cher. Il fait valoir que l'un des «avantages» de ce plan est qu'il causerait «moins de désorganisation commerciale» à l'industrie du sans-fil que le gouvernement qui construit un réseau.

    Un autre expert qui a discuté du plan avec Axios a déclaré que la deuxième option n'est pas vraiment faisable parce qu'un seul réseau centralisé est ce qui est nécessaire pour se protéger contre les cyberattaques des puissances chinoises ou étrangères.

    La source a déclaré que le débat interne à la Maison Blanche portera sur la question de savoir si le gouvernement américain possède et construit le réseau ou si les transporteurs se lient dans un consortium pour construire le réseau, une idée qui les obligerait à mettre de côté leurs modèles commerciaux. plus grand bien.

    L'option 1 mènerait au contrôle fédéral d'une partie de l'économie qui est aujourd'hui largement contrôlée par des fournisseurs de services sans fil privés; Il convient de noter ici que les sociétés de télécommunications font partie des sociétés américaines les plus détestées car elles bénéficient de l'oligopole actuel consacré par le statu quo. En outre, si Verizon et ses concurrents introduisent de nouveaux plans à plusieurs niveaux en violation de la neutralité du net, cette insatisfaction ne fera que s'aggraver, ce qui rendra une nationalisation gouvernementale réalisable.

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  24. Dans le mémo, l'administration Trump le compare à "l'équivalent du 21ème siècle du système routier national Eisenhower" et dit qu'il créerait un "nouveau paradigme" pour l'industrie du sans fil à la fin du mandat actuel de Trump.

    Mis à part ses diverses autres implications stupéfiantes, la nationalisation 5G laisserait encore beaucoup d'autres éléments du marché libres à la concurrence privée.

    Selon la présentation, les États-Unis doivent rapidement développer la technologie sans fil 5G ultra rapide car «la Chine a acquis une position dominante dans la fabrication et l'exploitation de l'infrastructure réseau» et «la Chine est l'acteur malveillant dominant dans le domaine de l'information».

    Pour illustrer l'état actuel des réseaux sans fil américains - peut-être pour aider l'administration déficitaire - le PowerPoint utilise une image d'une ville médiévale fortifiée, comparée à un futur représenté par une photo du bas de Manhattan.

    Selon la note de service divulguée, la meilleure façon pour le gouvernement d'atteindre son objectif est de créer un réseau lui-même. Il serait alors louer l'accès à des transporteurs comme AT & T, Verizon et T-Mobile. (Une source familière avec la rédaction du document a dit à Axios qu'il s'agissait d'un "vieux" projet et qu'une nouvelle version est neutre quant à savoir si le gouvernement américain devrait la construire et la posséder.)

    Ce serait préférable pour deux raisons:

    C'est un changement marqué par rapport au système actuel, où ces entreprises construisent chacune leurs propres systèmes avec leur propre équipement et avec les ondes louées par le gouvernement fédéral.

    Norme nationale: le gouvernement fédéral devrait également, selon le mémo, utiliser la bannière de la sécurité nationale pour créer un processus fédéral d'installation de l'équipement sans fil, empêchant les États et les villes d'avoir leurs propres règles concernant les endroits où l'équipement pourrait circuler.

    La note fait valoir qu'un réseau 5G fort est nécessaire afin de créer un chemin sécurisé pour les technologies émergentes comme les voitures autonomes et la réalité virtuelle - et pour combattre les menaces chinoises à la sécurité économique et la cybersécurité de l'Amérique. Une diapositive PowerPoint indique que la pièce est le contre-révolutionnaire de l'initiative chinoise One Belt One Road visant à étendre son influence au-delà de ses frontières. Les documents s'inquiètent également de la domination de l'Intelligence Artificielle en Chine, et l'utilisent comme une partie de la justification de cette situation sans précédent.

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  25. La note fait valoir qu'un réseau 5G fort est nécessaire afin de créer un chemin sécurisé pour les technologies émergentes comme les voitures autonomes et la réalité virtuelle - et pour combattre les menaces chinoises à la sécurité économique et la cybersécurité de l'Amérique. Une diapositive PowerPoint indique que la pièce est le contre-révolutionnaire de l'initiative chinoise One Belt One Road visant à étendre son influence au-delà de ses frontières. Les documents s'inquiètent également de la domination de l'Intelligence Artificielle par la Chine, et l'utilisent dans le cadre de cette proposition sans précédent.

    Il y a même une suggestion que le travail de l'Amérique sur un réseau sécurisé 5G pourrait être exporté vers les marchés émergents pour protéger les alliés démocratiques contre la Chine.

    "Finalement," le mémo dit, "cet effort pourrait aider à inoculer les pays en développement contre le comportement néo-colonial chinois."

    US Telecoms travaille déjà à la mise en place de réseaux 5G, AT & T, Verizon et T-Mobile, par exemple, investissant massivement dans ce domaine. Le processus de définition des normes 5G est en cours. La Corée a été à l'avant-garde des essais, tout comme le Japon et d'autres pays. Il n'est pas clair qu'une stratégie nationale permettrait un réseau 5G plus rapide ou par l'objectif de 3 ans du mémo.

    Le mémo dit que la Chine gagne lentement les "batailles d'algorithme" de l'IA, et que "ne pas construire le réseau nous désavantage définitivement dans le domaine de l'information." Il y a un vrai débat sur la Chine et l'IA, mais pas clair ce qui a à voir avec un réseau mobile.

    5G devrait fonctionner à 10-20 gigaoctets par seconde, ce qui, comme le souligne ForexLive, est très rapide, ce qui rend encore plus clair que la nationalisation serait une nécessité pour éviter que les voitures autonomes ne soient piratées.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-01-28/white-house-planning-nationalize-5g

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  26. Les pirates créent un «virus parfait» - Mettez les compagnies pétrolières sur le fil


    par Tyler Durden
    Dim, 28/01/2018 - 21:00
    Écrit par Tsvetana Paraskova via OilPrice.com,

    Les services de sécurité russes ont arrêté un pirate local qui avait installé des logiciels malveillants dans des stations-service dans les régions du sud de la Russie qui trichaient des conducteurs avec de l'essence qu'ils avaient pompée dans leurs voitures.

    Le service fédéral russe de sécurité (FSB) a arrêté le créateur du malware, Denis Zayev, qui avait des employés de stations-service travaillant avec lui pour tromper les systèmes logiciels en vendant moins de carburant aux clients, tout en revendant le carburant volé.

    Cette fraude a été l'une des plus importantes escroqueries de ce type découvertes par les services russes, a indiqué une source dans l'application de la loi, à Rosbalt. Le programme s'étendait à presque toutes les régions du sud de la Russie, avec des douzaines de stations-service infectées par le malware.

    Zayev a créé un "virus parfait" qui ne pouvait être détecté par les contrôles de sécurité que les compagnies pétrolières avaient l'habitude de surveiller à distance, ou par des spécialistes du ministère de l'Intérieur, selon la police qui a parlé à Rosbalt.

    Le virus implanté dans les systèmes a permis au hacker et à ses complices de voler jusqu'à 7% du carburant.

    Zayev a agi non seulement comme le «vendeur» du logiciel malveillant dans certaines stations, mais aussi comme copropriétaire de la chaîne pour voler du carburant, et a reçu une réduction du produit de la revente du carburant volé.

    Les schémas de hackers ciblant les stations-service ne sont pas nouveaux.

    Début 2014, 13 personnes ont été inculpées aux États-Unis pour avoir utilisé de petits écumeurs Bluetooth pour voler plus de 2 millions de dollars US de cartes de crédit utilisées par les clients dans des stations-service au Texas, Géorgie et Caroline du Sud en 2012 et 2013. Selon le procureur du district de Manhattan, les quatre principaux défendeurs avaient attaché des dispositifs d'écrémage aux pompes à essence à Raceway et RaceTrac pour voler les informations de carte de crédit des clients.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-01-27/hackers-create-perfect-virus-put-oil-companies-edge

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  27. Paul Craig Roberts prévient "Dans le monde occidental, les mensonges ont déplacé la vérité"

    par Tyler Durden
    Dim, 28/01/2018 - 23:00
    Auteur de Paul Craig Roberts,
    L'année dernière, j'ai reçu le prix «Who's Who In America Lifetime Achievement Award» de Marquiss.


    Cela n'a pas empêché une organisation cachée, PropOrNot, de tenter de brandir moi et mon site web avec 200 autres "Poutines compères ou agents" pour notre refus de mentir pour le corrompu, anti-américain, anticonstitutionnel, anti-démocratique, belliciste. les intérêts de l'État policier qui régissent le monde occidental.

    Les seuls médias honnêtes et factuels qui existent aujourd'hui dans le monde occidental sont les noms sur la liste PropOrNot des "agents de Poutine".

    Le but de PropOrNot est de convaincre les Américains que la liberté d'expression doit être stoppée en détruisant les médias Internet factuels, tels que ce site et 200 autres qui fournissent des informations factuelles en contradiction avec le lavage de cerveau universel de Big Brother tel que délivré par CNN, NPR, New Le York Times, le Washington Post et le reste des médias de la presse totalement corrompus, une collection d'écume dénuée de toute intégrité et de tout respect de la vérité

    Un complot des agences du gouvernement américain, des think tanks exonérés d'impôt financés par les intérêts en place, et des médias agissant au nom d'un programme de guerre et d'état policier façonnent la réalité perçue comme décrit dans le livre de George Orwell, 1984, et dans le film, La matrice.

    La réalité contrôlée basée sur la perception est seulement un "j'aime" Facebook de tuer une personne ou un million ou élever un menteur ou le belliciste responsable du meurtre au statut de héros ou au contrôle de la CIA ou du FBI ou de la présidence américaine.

    Ici sur OpEdNews est un article de George Eliason qui rapporte qui est exactement PropOrNot et qui souscrit à la désinformation PropOrNot.

    Il y a un peu plus d'un an, l'état profond honorait le monde de Propornot. Grâce à eux, 2017 est devenue l'année des fausses nouvelles. Chaque site d'information et chaque colonne d'opinion avaient désormais le potentiel d'être liés au dossier Steele et à la collusion de Trump avec la Russie. Chaque journaliste était avec nous ou contre nous. Tous ceux qui étaient contre nous sont devenus les trolls de la Russie.

    Heureusement pour le monde libre, le groupe anonyme connu sous le nom de Propornot qui tentait de "sortir" tous les sites web comme un potentiel collusion russe, ne s'est finalement impliqué.

    Turnabout est fair-play et c'est toujours amusant, n'est-ce pas ? Dans cet esprit, je sais que les chiens vont hurler ce soir sur celui-ci.

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  28. Les dégâts causés par Propornot à des dizaines de sites d'actualités et d'opinions fin 2016-2017 constituent la base d'une action civile massive. Je veux dire énorme, comme dans le potentiel est là pour une action en justice de la taille d'une entreprise de classe de la taille d'une entreprise de tabac. Je peux le dire parce que j'en connais beaucoup sur un certain nombre d'entités impliquées et sur l'énorme somme d'argent qui les sous-tend.

    À quel point est-ce sérieux ? En 2016, une récompense de 10 000 $ a été versée pour l'identité des joueurs de Propornot. Personne ne l'a encore réclamé, et maintenant, je suppose que personne ne le fera. Il y a des moments dans votre vie où prendre un pied a un coût. Pour s'assurer que l'histoire sort et est prise au sérieux, c'est l'un de ces moments.

    Si c'est ce qu'il faut pour que vous compreniez le danger que Propornot et les groupes qui les entourent posent à tous ceux que vous aimez, si vous le comprenez, tout cela en vaudra la peine.

    Dans cet article, vous rencontrerez quelques-uns des employés de Propornot. Vous rencontrerez les personnes et les publications qui fournissent leurs dépenses et couvrent la logistique. Vous rencontrerez quelques-uns des joueurs de l'état profond. Nous les traiterons très bientôt. Ils ont besoin de voir cela comme l'avertissement tiré sur l'arc et commencer à jouer gentil avec les gens ordinaires. Après cela, vous rencontrerez les ONG qui financent et orchestrent tout cela.

    L'article d'Eliason est long et documenté. Cela démontre la conspiration organisée contre la vérité qui existe dans le monde occidental. Rien de déclaré dans les médias de la presse occidentale et aucune déclaration d'un gouvernement occidental ou d'un État vassal inféodé ne peut faire confiance pour se conformer aux faits.

    La vérité est l'ennemi de l'État et l'État élimine la vérité.

    Les peuples des États-Unis, de l'Europe, de la Grande-Bretagne, du Canada, de l'Australie, de la Nouvelle-Zélande et des divers États vassaux, comme le Japon, vivent tous jour après jour un mensonge orchestré servant des intérêts directement opposés aux intérêts des peuples.

    Les gouvernements qui ne reposent pas sur la vérité reposent sur la tyrannie.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-01-28/paul-craig-roberts-warns-western-world-lies-have-displaced-truth

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    1. C'est ce qui s'est passé sur Youtube où ils ont supprimé mon compte pour avoir osé dire la vérité en des commentaires sous vidéos de propagandes nazies (la plupart destinées aux enfants !!!).

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