- ENTREE de SECOURS -



lundi 25 décembre 2017

Prévision nord-est pour obtenir Big souffle d'hiver

par Tyler Durden
24 décembre 2017 16h20


Il y a trois jours, nous avons demandé: Est-ce qu'un souffle d'hiver majeur viendra sur la côte Est ce Noël? Malgré tous les bavardages des alarmistes du réchauffement climatique cette année, il y a une chance, certains dans le nord-est pourraient connaître un Noël blanc.


Ed Vallee, un prévisionniste privé basé au Connecticut, rapporte que la fusion des tempêtes propage la neige, la pluie et les conditions mixtes du centre des Appalaches vers la Nouvelle-Angleterre. Le système commencera le dimanche soir et continuera jusqu'au lundi. Les totaux de neige devraient ramener 2 à 8 po pour les parties du nord-est (voir ci-dessous).


Vallee discute des risques associés à la tempête, avec plus de détails sur le calendrier de ce système.

Le météorologue d'AccuWeather, Brett Anderson, confirme les prévisions de Vallee et dit qu'il y aura «assez de neige pour pelleter et labourer probablement de l'ouest et du nord de la Pennsylvanie et du sud de l'Ontario jusqu'au Maine, au Nouveau-Brunswick et en Nouvelle-Écosse.


Voici les autoroutes qui pourraient être fortement touchées par la tempête: Interstate 70, I-76, I-78, I-80, I-81, I-84, I-86, I-87, I-88, I- 89, I-90, I-91, I-93, I-95 et I-390. L'équipe d'AccuWeather s'attend à des retards dans les aéroports de Pittsburgh, New York et Boston.

En outre, le National Weather Service a publié un déluge de bulletins météorologiques et d'avertissements météorologiques pour le Nord-Est (du 12 au 24).


La National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) fournit un Gif animé illustrant la trajectoire du système avec les différents types de probabilités de précipitations.




Accuweather jette plus de couleur sur la tempête:

De juste au nord et à l'est de Philadelphie à New York, Providence, Rhode Island, et New Bedford, Massachusetts, juste assez de neige peut tomber pour couvrir le sol, juste à temps pour un Noël blanc.

Plus au sud et à l'ouest d'Atlantic City, New Jersey à Baltimore et Salisbury, Maryland, et Washington, D.C., peu ou pas de neige est probable. Peu ou pas de pluie peut tomber aussi bien en raison d'un trou dans la tempête.
La météo hivernale pour le nord-est n'est pas surprenante compte tenu de la lecture de La Niña sur l'indice océanique Niño (ONI). Les conditions de La Niña se sont formées le mois dernier, indiquant que l'hémisphère nord pourrait être dû à une abondance de temps hivernal (voir: Elle est de retour! La Niña est là pour la deuxième année consécutive).


Les notes de BAMWX.com, le modèle est sur le point de changer d'une manière énorme et il peut commencer la veille de Noël! L'accumulation de neige est sur la table entre le 24 décembre et le 5 janvier.


Évidemment, si l'explosion hivernale éclate, c'est une excuse parfaite pour les dépenses en retard, malgré le sentiment des consommateurs à des niveaux élevés.


Espérons seulement que les modèles météo ci-dessus sont aussi mauvais que les prévisions du marché de Dennis Gartman.



46 commentaires:

  1. Visualiser la ruée mondiale pour construire des gratte-ciels


    par Tyler Durden
    24 décembre 2017 21h20


    Alberto Lucas López, créateur de la visualisation d'aujourd'hui, souligne que «les plus hauts bâtiments du monde ont servi de baromètre».

    Une autre façon de le mettre ? Nos plus grandes réalisations architecturales sont des symboles très visibles de ce que la société apprécie le plus, et ces valeurs ont changé avec le temps.

    Aujourd'hui, dans de nombreuses parties du monde, le système de croyances le plus important se trouve dans le capitalisme, et il n'y a pas de marqueur plus puissant de la puissance économique que des gratte-ciels commerciaux incroyablement hauts.

    La visualisation d'aujourd'hui est un moyen efficace de prendre la mesure de la nouvelle génération de bâtiments mégatall. Il est dirigé par Jeddah Tower, un gratte-ciel actuellement en construction en Arabie Saoudite qui va briser le kilomètre lorsqu'il sera achevé en 2019.

    - voir carte sur site -
    Courtoisie de: Visual Capitaliste

    LES VILLES GRANDISSENT
    En général, seules les très grandes villes ont les ressources pour construire et soutenir des bâtiments extrêmement hauts.

    Avec l'explosion de l'urbanisation à travers le monde et les économies en développement s'affirmant de manière très visible, la scène est prête pour un boom mondial des gratte-ciel.

    - voir carte sur site -

    Au cours des deux dernières années, 39 gratte-ciels de plus de 300 mètres ont été construits, dont cinq ont éclipsé la hauteur de l'Empire State Building.

    La construction mondiale de gratte-ciel a augmenté de 402 % depuis 2000.

    POINTS CHAUDS DE HAUTE HAUSSE
    Chine
    Presque toutes les grandes villes chinoises ont des gratte-ciel en construction, et les chiffres sont stupéfiants. Depuis 2012, la Chine a ajouté 38 gratte-ciels de plus de 300 m de hauteur, et 16 autres gratte-ciel sont en route en 2018.

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  2. En particulier, la mégarégion Pearl River Delta, qui est ancrée à Hong Kong, Shenzhen et Guangzhou, a connu un boom de la construction commerciale étonnant. Aujourd'hui, 20 des 100 plus hauts bâtiments de la planète se trouvent dans cette mégalopole urbaine de Chine.

    Top 10 des plus hauts bâtiments de Chine
    - voir carte sur site -

    Au total, 46 des 100 gratte-ciels les plus hauts du monde se trouvent maintenant en Chine, et ce nombre devrait certainement augmenter dans les années à venir.

    Emirats Arabes Unis
    La construction a été implacable aux EAU pendant des décennies, et une grande partie de ce développement a été orientée verticalement. Aujourd'hui, Dubaï compte près de 1 000 immeubles de grande hauteur et 13 projets en construction atteindront ou dépasseront la barre des 300 mètres.

    Les 10 plus hauts bâtiments des Emirats Arabes Unis



    Russie
    Alors que les toits de nombreuses villes européennes sont remarquablement peu élevés, une exception à cette règle est celle du Centre des affaires internationales de Moscou, où quatre tours de 300 mètres ont été achevées depuis 2012.

    Top 10 des plus hauts bâtiments de Russie
    - voir carte sur site -

    QU'EN EST-IL DES ÉTATS-UNIS ?
    Au début du 20ème siècle, les Etats-Unis étaient le champion incontesté de la construction de gratte-ciel, mais cela s'est considérablement réduit. En fait, seulement six tours commerciales de plus de 300 mètres ont été construites au cours des 20 dernières années.

    L'exception peut être la ville qui a tout commencé: New York. Il y a actuellement 30 gratte-ciel en construction à New York, alimentés en partie par un marché de l'immobilier de luxe rouge.

    Top 10 des plus hauts bâtiments de l'Amérique (en construction)
    - voir carte sur site -

    Philadelphie et San Francisco auront bientôt de nouveaux ajouts à leurs horizons alors que Comcast et Saleforce complètent leurs projets de construction phares. Si les chiffres de construction actuels sont une indication, l'histoire d'amour de l'Amérique avec le gratte-ciel peut être rallumée dans les centres urbains à travers le pays.

    http://www.zerohedge.com/news/2017-12-24/visualizing-global-rush-build-skyscrapers

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    1. Ils vont y venir (tôt ou tard) à construire des murs d'un kilomètre de large et 50 m d'épaisseur aux hauteurs au gré du farfelu-du-jour, où viendront s'agglutiner des dizaines (ou centaines) de milliers de personnes constituant 'la ville' de demain. Chaque bâtiment seront équipés d'ascenseurs chinois d'un trajet unique (voir descriptions d'y a plusieurs années. Ce concept est qu'un ascenseur monte et est présent en moins de 15 secondes. L'ascenseur se déplace très vite vers le haut, là il est transféré dans une autre cage où il va amorcer la descente. Il y a une vingtaine d'ascenseurs qui montent et se suivent dans chaque cage, puis tournent, puis descendent en file indienne où il vont se repositionner dans la cage de montée, etc, etc.

      Cela permet de gagner en rapidité là où avant il y avait UN seul ascenseur qui montait ou descendait et xx cages qui faisaient de même. C'est donc un gain de place pour une tour où seulement une ou deux cages de montées et une ou deux cages de descentes suffisent.

      Les campagnes seront donc sauvées de l'expansion des villes et, les terrains agricoles (sous serres à cause du froid à venir) fourniront la subsistance adéquate toute l'année.

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  3. Pas de paix dans notre temps: l'inévitabilité de la guerre


    par Tyler Durden
    24 décembre 2017 20h50
    Via GEFIRA,


    "Pendant que les gens disent, la paix et la sécurité, la destruction viendra sur eux soudainement, comme le travail peine sur une femme enceinte, et ils n'échapperont pas."

    Etes-vous, homme ou femme d'origine chrétienne et européenne, au courant de cette prophétie ou préférez-vous vivre dans un monde fantaisiste de vœux pieux où la fraternité des hommes est sur le point de mettre fin au conflit humain une fois pour toutes ? Bien que Noël soit un moment de réjouissance, il peut aussi être une période de réflexion. La naissance que nous célébrons le jour de Noël a été perçue par certains comme une menace qui justifierait le massacre des Innocents. La paix et la bonne volonté étaient intimement liées à la discorde et à l'hostilité. Pensez-vous que nous vivons dans de meilleurs moments ? Pensez-vous que nous vivons à la fin de l'histoire de Fukuyama ?

    La guerre a persisté à travers l'histoire depuis l'aube de l'humanité. C'est probablement le meilleur indicateur qu'il persistera pour l'éternité. Pourquoi devrait-il cesser ? La guerre aux fins de ce texte n'est pas simplement les hostilités pures, les canons de tir et les cris de bataille retentissants. C'est un conflit constant qui se joue au jour le jour et qui éclate de temps à autre en sa forme dramatique des armées adverses agissant sur le théâtre de la guerre. Pourquoi élargissons-nous la définition de la guerre? Si seulement parce que les pertes - et nous voulons dire la perte de vies - ne sont pas nécessairement les plus élevées pendant le temps des canons rugissants. Ceux qui sont soutenus pendant les périodes de paix peuvent être tout aussi élevés ou même plus élevés. Exemple: l'ère Eltsine en Russie dure environ dix ans. Au cours de cette décennie, l'espérance de vie a chuté de 70 à 60, ce qui signifie que les pertes de vies humaines ont atteint une ampleur comparable à celle de n'importe quelle guerre, qui est de plusieurs millions. Cette perte de vie a été provoquée par des réformes sociales et économiques, c'est-à-dire par des mesures supposées améliorer le niveau de vie et qui ont été demandées ou suggérées ou conseillées par les puissances extérieures à la Russie. Le résultat ? Fermé les usines, licencié les employés, la pauvreté et la maladie concomitante et la mort de beaucoup. Est-ce que ce n'étaient pas des hostilités régulières ?

    La guerre a persisté tout au long de l'histoire sous une forme ou une autre, bien que nous n'en soyons conscients que lorsque nous pouvons sentir la poudre à canon, voir des bâtiments en ruines et des corps mutilés. Pourtant, la guerre est la moelle et le noyau de l'existence. Nous y vivons, nous en tirons, et, sur une note plus positive, il teste notre caractère. L'Iliade, Beowulf, Chanson de Roland, Das Nibelungenlied, Jerusalem Delivered, El Cid, le cercle épique de la Bataille du Kosovo, et, et, et, pour ne citer que les monuments littéraires européens, ils parlent d'adversité, de combat, d'actes héroïques ou de lâcheté inconduite. Pourquoi nos poètes et nos bardes n'ont-ils pas composé des œuvres de bonté, de paix et d'harmonie? Étant parmi nous, ils connaissaient la psyché humaine et ils savaient que nous ne nous sentirions pas attirés par les histoires de bonté, d'amour et de charité; ils savaient que si nous avions le paradis sur terre, la coexistence pacifique et la tolérance de tout, nous n'aurions rien à écrire ou, pour le dire en termes modernes, rien à faire des films.

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  4. Penses-y. Tout ce qui est littéraire et religieux concerne les conflits, les conflits sérieux et amers. Notre jeu et notre divertissement sont tous des conflits. Regardez la popularité des jeux de guerre informatique, à la popularité des sports qui ne sont que des épitomes de batailles et de rivalités; regardez la popularité des histoires de crime, à la popularité de - comme vous - Star Wars série de films, comme si les guerres mondiales n'ont pas pleinement satisfait nos fantasmes militants ! Nous sommes câblés pour vivre le conflit d'une manière ou d'une autre, bien que de nos jours nous essayions de nous convaincre que le contraire est vrai. Les chroniqueurs chrétiens médiévaux, qui étaient le plus souvent des prêtres chrétiens, c'est-à-dire prédicateurs de l'amour et de la charité, réprimandaient les princes de rester à la maison plutôt que de mener leurs guerriers et leurs chevaliers à des conquêtes. L'Islam n'était pas meilleur à cet égard. Les deux premiers siècles de sa création ont été caractérisés par des conquêtes militantes: il n'y avait pas d'apôtres de la Bonne Nouvelle mais plutôt des guerriers montés maniant des épées incurvées. Ce n'est que maintenant que nous sommes sensibles aux conflits armés et que nous sommes désolés des croisades ou de la conquête des Amériques. Et pourtant nous le faisons d'une manière hypocrite: nous avons supprimé des mots comme guerre, campagne militaire ou intervention de notre vocabulaire poli et nous appelons ces phénomènes répandre ou sauver la démocratie, prévenir les catastrophes humanitaires, défendre les minorités poursuivies et quoi d'autre. Néanmoins, quel que soit le nom d'une rose, c'est toujours une rose.

    La guerre coule dans notre sang. Nous sommes conçus biologiquement pour le conflit, pour la lutte, pour surmonter l'adversité. Aucune mondialisation, aucune unification des nations, aucune suppression des classes, des différences religieuses, raciales et économiques ne feront jamais disparaître la guerre. Le conflit en général et la guerre en particulier sont le résultat (i) de la biologie qui se manifeste dans (ii) l'économie et (iii) l'idéologie.

    (i) L'homme occidental, d'esprit scientifique par ailleurs, le sait très bien, car il croit fermement au mécanisme de l'évolution, c'est-à-dire à la différenciation des espèces et à la lutte pour l'existence. Le monde animal - et nous en faisons partie, juste une extension - est tout au sujet de la lutte pour la survie, la compétition pour les femelles, la garde de son élevage et ses terrains de chasse. Les individus génétiquement apparentés (individus liés par le sang, comme l'auraient dit les hommes d'autrefois) forment des groupes (familles, clans, tribus, nations), où la loyauté envers ses membres a une valeur de survie supérieure. La littérature héroïque exploite le motif de la loyauté et sa contrepartie morale, qui est la trahison, au maximum. C'est ainsi que le mécanisme biologique de la loyauté intra-groupe et de l'exclusion hors-groupe s'est sublimé en idées, qui ont trouvé leur reflet dans les œuvres d'art et, plus largement, dans l'idéologie et dans tout ce qu'on appelle généralement la culture. Les nations sont un phénomène biologique. L'ethnicité, et pas seulement la race, peut être déterminée en examinant les gènes ! Il n'est donc pas étonnant que les différences ethniques soient les principales lignes de fracture où se produisent les conflits. Il est vrai que différents groupes humains peuvent de temps en temps exister en tant que voisins, ne se fondant jamais vraiment les uns avec les autres, mais inévitablement leur coexistence doit aboutir à une éruption d'hostilités.

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  5. Une note ici. Certains disent que les humains se comportent selon les diktats de la culture dans laquelle ils vivent ou naissent, donc un changement d'environnement culturel entraînera le changement du comportement de l'individu, comme si l'homme était une pièce malléable à façonner à volonté. Faux. La culture dans son sens le plus large est la sublimation de la biologie, et non l'inverse. L'homme crée la culture. la culture ne crée pas l'homme. L'Islam pratiqué par les Européens blancs serait complètement différent de l'Islam pratiqué par les Arabes et, de même, le christianisme pratiqué par les Arabes ne ressemblerait pas à celui pratiqué par les Européens.

    (ii) Dans leur lutte quotidienne pour la survie, les groupes humains rivalisent pour la rareté des ressources et des terres. Cette concurrence économique est encore une autre source puissante de conflit et, éventuellement, de guerre. L'économie, c'est-à-dire la lutte pour survivre au quotidien, met aussi en conflit les intérêts des membres du groupe. Certains sont des employeurs, d'autres sont des employés: certains gagnent leur vie grâce au capital, d'autres au travail. Il y a un affrontement entre les nantis et les démunis, aboutissant à de violentes révolutions. Les membres de la société dépossédés ou simplement moins fortunés tentent de débarrasser les biens de leurs biens, les seconds se défendent eux-mêmes. Un rêve de coexistence pacifique dictait la création d'une société sans classes où les revenus de tout le monde devaient être nivelés. Cela a conduit à des guerres civiles et à l'appauvrissement ultime de nations entières, de Cuba à la Corée du Nord. Les révolutionnaires français, une fois qu'ils ont lancé le guillotinage, y compris leurs co-révolutionnaires, ne pouvaient tout simplement pas arrêter de le faire. Il en fut de même pour les bolcheviks russes: d'une part, ils commencèrent à se tuer (le camarade Staline fit tuer le camarade Trotsky dans le lointain Mexique, où ce dernier avait passé des années en exil) et purgèrent les rangs du parti; leur propre peuple, les paysans et les travailleurs, au nom de qui ils ont commencé la révolution en premier lieu. Les «réalisations» de l'inquisition notoire médiévale pâlissent en comparaison des millions massacrés, torturés et emprisonnés dans les camps de concentration en Russie soviétique. Pensez-y: tout ce qui a été fait pour le bonheur des générations futures d'une société sans classes et sans nation.

    (iii) L'idéologie, comme nous l'avons déjà dit, est l'expression d'instincts biologiques. Si elle prend la forme d'une religion, elle devient une arme au moyen de laquelle la domination, la conquête ou la position privilégiée d'une nation est le plus puissamment expliquée par la volonté d'un dieu ou de dieux. Pour un croyant, cette réalité religieuse est plus forte que la réalité physique. Considérez les attaques suicidaires musulmanes ou les exécutions chrétiennes de médecins devant les cliniques d'avortement américaines. La valeur de survie d'une religion peut élever une race au-dessus des autres au statut de peuple élu avec toutes les conséquences qui en découlent; cela peut créer des couches sociales comme un système de caste en Inde qui, comme il a la bénédiction d'une divinité, est impensable de changer; il peut fossiliser la relation de domination et de subordination. L'homme occidental a tendance à ne pas tenir compte des religions en tant que superstition, au point qu'il n'accepte pas les faits selon lesquels les croyants, quelle que soit leur foi, sont prêts à sacrifier leur vie pour une cause.

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  6. Certains de ces systèmes ont été avancés dans le seul but de bénir l'humanité tout entière sous prétexte d'introduire un âge de paix et de fraternité éternelles. Rappelons les révolutions française et bolchevique, la globalisation ou les unions économiques et politiques de tous types. Ils sont tous voués à l'échec car ils vont à l'encontre de la réalité biologique, qui est la différenciation constante et les conflits qui en résultent. Une nouvelle idéologie (la religion) doit d'abord vaincre la résistance des adeptes du (des) ancien (s), et ensuite, ou même en évinçant les anciennes croyances, elle se divise elle-même en de nouveaux sous-mouvements du premier original. Considérez le christianisme avec ses nombreuses dénominations et les mouvements socialistes ou communistes, l'ennemi juré du christianisme, qui a abouti à autant d'hérésies. Le mouvement, quel qu'il soit, commence par des conflits avec des groupes d'idéologues et finit par devenir une maison divisée contre elle-même. Et puis, encore une fois, la loyauté biologiquement conditionnée au sein du groupe et l'exclusion hors groupe prévalent: les nations catholiques, musulmanes ou communistes sont très souvent des ennemis acharnés. La foi ou l'idéologie partagée perdent leurs liens de sang.

    Y a-t-il une solution aux guerres ? Paix éternelle ? Aucune, vraiment.

    Envisager d'unir les peuples de la terre en une «nation» (la mondialisation) dans l'espoir de parvenir à la paix éternelle. Indépendamment de la faisabilité d'une telle idée et du fait qu'il y aura de la résistance, une nation n'est pas la garantie d'une vie sans conflits. Après tout, toutes les nations homogènes ont connu des guerres civiles. Juste un exemple. Les Anglais furent déchirés par la guerre des Roses, puis la révolution cromwellienne, puis une partie de la nation s'installa en Amérique du Nord et se révolta contre leurs frères du vieux continent pour mener entre eux une guerre fratricide de sécession. La même histoire peut être racontée à peu près à propos de toutes les autres nations du monde. Donc, si la vie d'une nation est pleine de conflits, combien plus la vie d'un pays artificiel, comme l'Union soviétique ou européenne ?

    Envisager d'unir les peuples de la terre en leur imposant une religion, une idéologie, ou un manque universel ou une indifférence (qui aujourd'hui est appelée tolérance) à toutes les croyances. Encore une fois, nous savons de l'histoire qu'une telle tentative est vouée à l'échec. Souvenez-vous du christianisme initialement universel: on n'a pas attendu longtemps avant de produire l'arianisme et d'autres hérésies, puis on s'est divisé en branches orthodoxes et occidentales; la branche occidentale donna naissance à un certain nombre d'hérésies et se divisa en catholiques et en protestants, qui à leur tour donnèrent naissance à de nombreuses dénominations. Il en allait de même pour les idéologies politiques (une forme de religion laïque) où le mouvement socialiste ou communiste se divisait en factions opposées et hostiles, comme le socialisme national ou international, le communisme, le marxisme, le léninisme, le trotskisme, l'eurocommunisme. , théologie de la libération (christianisme social) ... Les communistes russes ont utilisé l'intervention militaire pour réprimer les aspirations des communistes tchécoslovaques; Le camarade Tito était détesté par les staliniens, et le président Mao a été insulté par Staline dans un but. Toute idéologie mondiale avec une tolérance englobante est sûre de suivre cette voie. Aucun doute là dessus.

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  7. L'homme pensait que la religion surmonterait le sentiment national. L'homme pensait que les idéologies laïques dépasseraient le sentiment national. Les deux ont lamentablement échoué. Des sentiments nationaux supposément supprimés ou éradiqués revivent tout d'un coup, comme ce fut le cas au début de la Première Guerre mondiale, lorsque les partis socialistes qui auparavant renonçaient au nationalisme se révélèrent patriotiques; quand le communisme soviétique international a adopté la coloration nationale pendant la Grande Guerre patriotique et ainsi de suite

    Envisager d'unir économiquement les peuples de la terre. Cela conduira inévitablement à une différenciation du niveau de richesse et des tensions qui en résulteront entre les chiens du haut et du bas, ce qui déclenchera des troubles sociaux, des affrontements violents et ensuite des révolutions. Et nous ne devons pas oublier qu'ici aussi nous avons du mal à décider si nous développons notre économie mondiale selon les idées du marché libre de l'école autrichienne, de l'économie keynésienne, du bien-être socialiste et, et, ...

    La paix éternelle est non seulement impossible mais aussi indésirable. La paix éternelle et la fraternité des hommes signifieraient la stagnation, le manque de développement, la mort. Oui, il y a la vie parce qu'il y a la mort.

    Tous ces facteurs - biologiques, idéologiques et économiques - sont les moteurs du conflit et de la guerre. Nations ou classes sociales, idéologies ou intérêts économiques, ils existent tous, continuent de se diviser et de se concurrencer. Quand les démocraties actuelles se heurtent aux régimes comme elles les appellent, elles prouvent seulement que la guerre est inévitable et ne voient même pas que ces «régimes» luttent contre les démocraties avec exactement la même conviction de mener les justes, sinon saints. , guerre.

    L'homme occidental moderne peut rire des méthodes médiévales de suppression de la dissidence ou des fatwas émises par les ayatollahs, se croyant au-dessus de telles mesures, mais il n'est pas plus sage. Il se déplace dans le même tapis roulant biologique de l'éternel - interne, ethnique, sectaire, politique, religieux, social et même matrimonial! - conflit. L'ennemi est appelé les noms - hérétique, fasciste, raciste, impérialiste, colonisateur, dictateur - est brûlé sur le bûcher, exclu de la société polie, jugé par un tribunal ou devient anathème. Son droit à la liberté de parole est nié par l'Index Librorum Prohibitorum ou politiquement correct ou vous l'appelez. La guerre plutôt que la fraternité. Pour se sentir bien, nous avons tous besoin des méchants quelque part. Combattre les méchants nous donne un but dans la vie. Pour y penser, très peu d'entre nous réalisent que nous sommes nous-mêmes les méchants (kafirs, infidèles, agresseurs) pour ceux que nous considérons comme des méchants. Dans une noble tentative d'imposer nos voies droites aux autres, nous rencontrons une résistance. La résistance signifie conflit et conflits aboutissent finalement à la guerre. C'est le cercle éternel de la vie et de la mort décrit dans L'Iliade, Beowulf, La Chanson de Roland, Das Nibelungenlied, Jérusalem Livrée, El Cid, le cercle épique de la Bataille du Kosovo. Nous ne sommes pas nés pour une vie de liberté, d'égalité et de fraternité. Ces mots ne reflètent que des fantaisies sentimentales consacrées dans le vœu pieux des droits de l'homme, mais n'ont rien à voir avec la réalité.

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  8. Pour prévenir l'opposition des croyants chrétiens aux observations décrites plus haut, rappelons-leur les paroles du Christ: «Vous entendrez parler de guerres et de rumeurs de guerres, mais veillez à ne pas vous alarmer. De telles choses doivent arriver. "S'ils sont de vrais croyants, ils devraient mieux répéter après le psalmiste:" Loué soit le Seigneur, mon Rocher, qui dresse mes mains pour la guerre, mes doigts pour la bataille. "Les athées réalistes et les agnostiques comme scientifiquement les gens motivés ne devraient pas avoir besoin d'être convaincus que la guerre fait partie intégrante de notre existence terrestre

    http://www.zerohedge.com/news/2017-12-24/no-peace-our-times-inevitability-war

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    1. (...) L'homme crée la culture. La culture ne crée pas l'homme. (...)

      FAUX ! ENTIÈREMENT FAUX. La culture est avant tout micro-climatique. Elle produits des températures locales exceptionnelles et, des gens qui y vivent tout autant différents qu'en d'autres contrées. C'est donc cette culture visuelle, olfactique et digitale qui nous conçoit avant d'y répondre par ce que nous appelons le progrès. Mais le progrès n'a jamais changé la nature. Depuis des millions d'années il y a des milliards de volcans (terrestres ou sous-marins) qui ont pollué (et polluent encore) des millions de fois plus que toute l'industrie humaine depuis ses débuts. Et pourtant... l'humain est apparu ! Çà alors !

      (...) Regardez la popularité des jeux de guerre informatique, à la popularité des sports qui ne sont que des épitomes de batailles et de rivalités; regardez la popularité des histoires de crime, à la popularité de - comme vous - Star Wars série de films, comme si les guerres mondiales n'ont pas pleinement satisfait nos fantasmes militants ! (...)

      Ne confondons pas les jeux et la réalité !!! Les gosses qui y jouent ne sont PAS DES ASSASSINS ni des criminels en herbe !

      (...) L'homme occidental a tendance à ne pas tenir compte des religions en tant que superstition, au point qu'il n'accepte pas les faits selon lesquels les croyants, quelle que soit leur foi, sont prêts à sacrifier leur vie pour une cause. (...)

      L'homme intelligent aurait-il du dire, car, depuis des millénaires ont été inventées des religions, des croyances en ce qui n'existe pas afin d'inciter les croyants divers à s'entretuer continuellement pour le plus grand plaisir de leurs chefs qui se marrent comme des baleines !
      Aujourd'hui, l'humain a évolué. Les anciens croyants venus d'Afrique ou d'Asie mangent aujourd'hui du porc, boivent de l'alcool, fument des cigarettes et les femmes sont libres et ne vont plus dans ces lieux où est prêché le crime.
      Rappelez-vous bien que les gens libres partent en vacances en pays étrangers et disent "C'est le plus beau pays du monde !", mais, 15 jours après... ils partent ! Ils retournent dans leur pays de merde ! Çà alors ! Hahahaha !
      Les poissons remontent les rivières pour frayer là où ils sont nés ! Les oiseaux font parfois des milliers de kilomètres pour aller pondre là où ils sont nés ! Et, les humains, unis malgré les distances parfois très grandes de leur lieu de naissance, se chamaillent et divorcent parfois. Tout est dit.

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    2. (...) La paix éternelle est non seulement impossible mais aussi indésirable. La paix éternelle et la fraternité des hommes signifieraient la stagnation, le manque de développement, la mort. Oui, il y a la vie parce qu'il y a la mort. (...)

      'La paix éternelle est non seulement impossible mais aussi indésirable' !!! Faut vraiment être le dernier des idiots pour dire cela ! La stagnation c'est quoi ? C'est quand on a tout, on s'arrête de travailler. Ce qui n'est pas un mal, c'est la vie et non la mort.

      (...) Pour se sentir bien, nous avons tous besoin des méchants quelque part. Combattre les méchants nous donne un but dans la vie. (...)

      C'est la pire des débilités ! Le 'besoin d'ennemis' !!! Plus con que çà y a pas !
      L'on ressent d'ailleurs tout au long de l'article cette haine qu'a l'auteur de l'article envers toute l'humanité. A mon avis, il doit être excisé pour dire ou penser de telles choses et, cette absence de jouissance et d'éprouver du plaisir à être avec quelqu'un est transformée depuis sa naissance à cette seule envie de répandre la mort autour de lui.

      Les guerres n'ont enrichi personne. Même pas les dictateurs au pouvoir qui inventent l'argent comme ils ont inventé les religions pour 'diviser pour régner' et les 'adversaires' politique, merdias et Cie.

      Ils savent [les hommes de l'ombre] que le plus grand risque pour eux est la Démocratie. C'est pour cela que la Suisse (seule Démocratie au monde !) est pilonnée par des opposants à la Démocratie et cherchent à voler tous les avoirs suisses (énergie électrique entr'autres) pour la diriger à leur façon !

      La Démocratie c'est le Peuple qui dirige. Les Suisses proposent LEURS propres lois et votent LEURS propres lois. C'est pour cela qu'il n'y a pas de grève ou de manifestation en Suisse.

      La Suisse est un exemple pour le monde entier.

      C'est pour cela que l'auteur de "Pas de paix dans notre temps: l'inévitabilité de la guerre" ci-dessus n'en parle surtout pas !

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  9. Un paradis pour prisonniers ouvre ses portes au Danemark

    08:55 25.12.2017

    Les criminels danois peuvent dormir sur leurs deux oreilles. S’ils sont arrêtés, ils auront toutes les chances de purger leur condamnation dans une prison «cinq étoiles».

    Une prison située près de la ville danoise de Gundslev pourrait être facilement confondue avec un campus universitaire, écrit le Daily Mail.

    Selon les médias, chaque cellule de cette prison est dotée de toutes les commodités: frigo, poste de télévision, grande fenêtre, lit confortable, bureau avec une lampe et salle de bain. Chacune a une superficie d'environ quatre mètres carrés. Dans cet établissement pénitentiaire, il y a aussi de grandes salles communes, des cuisines où les prisonniers peuvent préparer la nourriture, une église, un terrain et une salle de sport, des jardins et même des terres agricoles.

    Selon les fondateurs de cette prison, il s'agissait de recréer des conditions comparables à celles de la vie ordinaire, ce qui contribuerait selon eux à réduire le nombre de récidivistes.

    La construction de cette prison, capable d'héberger jusqu'à 250 détenus, a coûté environ 160 millions de dollars.

    https://fr.sputniknews.com/insolite/201712251034477475-paradis-prisonniers-danemark/

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    1. La dictature monarchique danoise soigne ses amis les plus chers.

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  10. Comment l'unité secrète de Facebook a créé les armées trolls de l'Inde pour la propagande numérique pour influencer les élections

    Par Shelley Kasli
    25 décembre 2017


    Quelle Alternative pour l'Allemagne, Rodrigo Duterte, Mauricio Macri, Narendra Modi, Barack Obama, le Parti national écossais et Donald Trump ont en commun ? Ils ont compté sur leurs campagnes électorales sur les conseils de Mark Zuckerberg. Prenant le cas de la falsification des élections indiennes, Shelley Kasli révèle la façon dont Facebook manipule les démocraties.

    Le récent rapport Bloomberg a révélé comment une unité secrète de Facebook a aidé à créer des armées trolls pour des gouvernements du monde entier, y compris l'Inde, pour que la propagande numérique influence les élections [1]. Le co-fondateur Mark Zuckerberg a critiqué le rôle joué par Facebook Inc. en tant que plateforme de propagande politique, affirmant que sa mission est au-dessus de la partisanerie.

    Mais Facebook, il s'avère, n'est pas un spectateur dans la politique mondiale. Ce qu'il n'a pas dit, c'est que sa compagnie travaille activement avec les partis politiques et les dirigeants, y compris ceux qui utilisent la plate-forme pour étouffer l'opposition - parfois avec l'aide des «armées trolls» qui répandent la désinformation et les idéologies extrémistes [2].

    L'initiative est dirigée par une équipe gouvernementale et politique peu connue de Facebook dirigée par Washington par Katie Harbath, une ancienne stratège numérique républicaine qui a travaillé sur la campagne présidentielle de 2008 du maire de New York Rudy Giuliani ainsi que sur les élections indiennes de 2014.

    Depuis que Facebook a embauché Harbath pour diriger leur unité gouvernementale et politique secrète trois ans plus tard, son équipe a parcouru le monde (y compris l'Inde aidant les clients politiques à utiliser les puissants outils numériques de l'entreprise pour créer des armées trolls pour la propagande numérique.

    En Inde (beaucoup d'autres pays également), les employés de l'unité sont devenus des travailleurs de campagne de facto. Et une fois qu'un candidat est élu, l'entreprise continue dans certains cas de former des employés du gouvernement ou de fournir une assistance technique pour les diffusions en direct lors d'événements officiels de l'État.

    Aux États-Unis, l'unité a intégré des employés dans la campagne de Trump. En Inde, la société a contribué à développer la présence en ligne du Premier ministre Narendra Modi, qui compte désormais plus de partisans Facebook que tout autre leader mondial.

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  11. Lors de réunions avec des campagnes politiques, les membres de l'équipe de Harbath sont assis aux côtés du personnel de vente de publicité Facebook qui aide à monétiser l'attention souvent virale suscitée par les élections et la politique. Ils forment les politiciens et les dirigeants à la mise en place d'une page de campagne et à l'authentification avec une coche de vérification bleue, à la meilleure utilisation de la vidéo pour engager les spectateurs et à la ciblage des publicités sur les blocs électoraux critiques. Une fois que ces candidats ont été élus, leur relation avec Facebook peut aider à étendre la portée de l'entreprise au gouvernement de manière significative, par exemple en étant bien placée pour s'opposer à la réglementation.

    Ce problème est exacerbé lorsque le moteur de la démocratie de Facebook est déployé de manière non démocratique. Un rapport publié en novembre par Freedom House, un organisme américain à but non lucratif qui milite pour les droits politiques et humains [3], a constaté qu'un nombre croissant de pays «manipulent les médias sociaux pour saper la démocratie» [4]. à la traîne », ou l'utilisation de harcèlement soutenu par le gouvernement et la propagande destinée à contrôler le récit, silence dissidents et consolider le pouvoir.

    En 2007, Facebook a ouvert son premier bureau à Washington. L'élection présidentielle de l'année suivante a vu l'émergence du premier «président Facebook» au monde chez Barack Obama, qui, avec l'aide de la plateforme, a pu atteindre des millions d'électeurs dans les semaines précédant les élections. Le nombre d'utilisateurs de Facebook a bondi autour des soulèvements du printemps arabe au Moyen-Orient vers 2010 et 2011, démontrant le large pouvoir de la plate-forme pour influencer la démocratie.

    Au moment où Facebook a nommé Harbath, l'ancien assistant de Giuliani, pour diriger son unité politique et gouvernementale mondiale, les élections devenaient des attractions majeures dans les médias sociaux. Facebook a commencé à s'impliquer dans les hotspots électoraux du monde entier.

    Facebook s'est intégré à certains des mouvements politiques les plus controversés du monde tout en résistant à la transparence. Depuis 2011, il a demandé à la Commission électorale fédérale américaine des exemptions générales des règles de divulgation de la publicité politique qui auraient pu l'aider à éviter la crise actuelle sur les dépenses publicitaires de la Russie avant les élections de 2016.

    La relation de l'entreprise avec les gouvernements reste compliquée. Facebook a été critiqué dans l'Union européenne, y compris pour la propagation de l'extrémisme islamique sur son réseau. La société vient de publier son rapport annuel de transparence expliquant qu'elle ne fournira des données d'utilisateur aux gouvernements que si cette demande est juridiquement suffisante, et repoussera devant le tribunal si ce n'est pas le cas [5].

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  12. Facebook Troll Armies en Inde

    L'Inde est sans doute le marché le plus important de Facebook récemment sorti des États-Unis comme le plus grand de l'entreprise. Le nombre d'utilisateurs augmente deux fois plus vite qu'aux États-Unis. Et cela ne compte même pas les 200 millions de personnes qui utilisent le service de messagerie WhatsApp de l'entreprise en Inde, plus que partout ailleurs dans le monde.

    Au moment des élections de 2014 en Inde, Facebook avait travaillé pendant plusieurs mois avec plusieurs campagnes. Modi s'est fortement appuyé sur Facebook et WhatsApp pour recruter des bénévoles qui, à leur tour, ont diffusé son message sur les médias sociaux. Depuis son élection, les abonnés Facebook de Modi ont augmenté à 43 millions, presque deux fois le nombre de Trump.

    Quelques semaines après l'élection de Modi, Zuckerberg et Sheryl Sandberg, chef de l'exploitation, ont tous deux visité l'Inde alors qu'elle déployait un service Internet gratuit critique qui a été freiné plus tard en raison de manifestations massives. Harbath et son équipe ont également voyagé ici, offrant une série d'ateliers et de sessions qui ont formé plus de 6 000 fonctionnaires du gouvernement.

    Alors que la portée des médias sociaux de Modi augmentait, ses adeptes se tournaient de plus en plus vers Facebook et WhatsApp pour cibler les campagnes de harcèlement contre ses rivaux politiques. L'Inde est devenue un foyer pour les fausses nouvelles, avec une histoire de canular cette année qui a circulé sur WhatsApp menant à des battements de foule ayant pour résultat plusieurs décès. La nation est également devenue un endroit de plus en plus dangereux pour les partis d'opposition et les journalistes.

    Cependant, ce n'est pas seulement Modi ou le parti Bharatiya Janata qui a utilisé les services de Facebook. La société affirme qu'elle offre les mêmes outils et services à tous les candidats et gouvernements, indépendamment de leur affiliation politique, et même aux groupes de la société civile qui peuvent avoir une voix moindre.

    Ce qui est intéressant est que Mark Zuckerberg lui-même veut être le président des États-Unis et a déjà employé successivement David Plouffe (conseiller de campagne de Barack Obama en 2008) puis Ken Mehlman (conseiller de campagne de George Bush Jr. en 2004) [6 ] Il emploie actuellement Amy Dudley (ancien conseiller du sénateur Tim Kaine), Ben LaBolt (ancien conseiller de presse de Barack Obama) et Joel Benenson (ancien conseiller de Hillary Clinton en 2016).

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  13. Manipulation de l'émotion de Facebook

    Une étude de 2014 intitulée «Preuves expérimentales d'une contagion émotionnelle massive à travers les réseaux sociaux» [7] a manipulé l'équilibre des messages positifs et négatifs vus par 689 000 utilisateurs de Facebook. Le document détaille l'expérience qui a eu lieu du 11 au 18 janvier 2012, dans le but d'identifier les effets de contagion émotionnelle en modifiant la quantité de contenu émotionnel dans le fil de nouvelles des utilisateurs ciblés. Les chercheurs ont conclu qu'ils avaient trouvé «quelques-unes des premières preuves expérimentales à l'appui des affirmations controversées selon lesquelles les émotions peuvent se propager à travers un réseau, [bien que] la taille de l'effet des manipulations soit faible».

    L'étude a été critiquée à la fois pour son éthique et ses méthodes / revendications. Alors que la controverse au sujet de l'étude grandissait, Adam Kramer, auteur principal des deux études et membre de l'équipe de données Facebook, a défendu le travail dans une mise à jour sur Facebook [8]. Quelques jours plus tard, Sheryl Sandburg, COO de Facebook, a fait une déclaration [9] lors d'un voyage en Inde. Lors d'un événement organisé par les chambres de commerce indiennes à New Delhi, elle a déclaré: "Cela faisait partie des recherches en cours des entreprises pour tester différents produits, et c'était ce que c'était. C'était mal communiqué et pour cette communication nous nous excusons. Nous n'avons jamais eu l'intention de vous contrarier. "

    Alors, quel était ce nouveau produit révolutionnaire pour lequel Facebook menait des expériences psychologiques sur la manipulation émotionnelle de ses utilisateurs? Ces produits révolutionnaires sont appelés des armées de troll de propagande numérique qui propagent Fake News comme une traînée de poudre en aidant ses clients pendant les élections.

    Peu de temps après, le 3 juillet 2014, USA Today a signalé que le groupe de surveillance de la vie privée Electronic Privacy Information Centre (EPIC) avait déposé une plainte officielle auprès du Federal Trade affirmant que Facebook avait enfreint la loi lorsqu'il a mené l'étude sur utilisateurs à leur insu ou sans leur consentement [10]. Dans sa plainte, l'EPIC a allégué que Facebook avait trompé ses utilisateurs en menant secrètement une expérience psychologique sur leurs émotions: "Au moment de l'expérience, Facebook n'a pas précisé dans la Politique d'utilisation des données que les données des utilisateurs seraient utilisées à des fins de recherche. Facebook a également omis d'informer les utilisateurs que leurs informations personnelles seraient partagées avec les chercheurs. "La plupart des cobayes pour ces expériences de manipulation d'émotions étaient des Indiens [11].

    La plupart d'entre nous ne réfléchissons pas beaucoup à ce que nous affichons sur les médias sociaux, et une bonne partie de ce que nous voyons sur les médias sociaux est plutôt anodine. Cependant, il semble seulement de cette façon à première vue. La vérité est que ce que nous publions en ligne a un potentiel effrayant. Selon des recherches récentes du Pacific Northwest National Laboratory et de l'Université de Washington, les choses que nous affichons sur les médias sociaux pourraient être utilisées par un logiciel pour prédire les événements futurs - peut-être même le prochain Premier ministre de l'Inde.

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  14. Dans un article qui vient d'être publié sur ArXiv, l'équipe de chercheurs a découvert que les médias sociaux peuvent être utilisés pour «détecter et prédire les événements hors ligne» [12]. L'analyse de Twitter peut prédire avec précision les troubles civils, par exemple, parce que les gens utilisent certains hashtags pour discuter des problèmes en ligne avant que leur colère ne s'envole dans le monde réel.

    L'exemple le plus connu est celui du printemps arabe, lorsque des signes évidents de manifestations et de troubles imminents ont été constatés sur les réseaux sociaux quelques jours avant que les gens ne descendent dans les rues.

    L'inverse de ceci est également vrai. Cela signifie que la colère peut également être fabriquée sur les médias sociaux et une fois qu'elle atteint un niveau optimal, cibler sur les événements de la vie réelle dans la rue comme nous l'avons vu depuis au moins quelques années en Inde avec des cas de lynchages de foule et autres.

    Comment fonctionne l'écosystème des fausses nouvelles en Inde

    En Inde, une fausse industrie de l'information massive a vu le jour en exerçant une influence sur le discours traditionnel de la politique et a le potentiel de devenir un défi de sécurité comme le Printemps arabe si elle n'est pas tenue en échec. Alors que le débat sur le lynchage en Inde fait rage, il faut comprendre que de tels incidents n'auraient pas eu un effet aussi rapide et massif si les jeunes n'avaient pas eu accès à Facebook, Twitter, YouTube et autres médias sociaux qui autorisaient les fausses nouvelles. l'industrie pour organiser et partager des vidéos et des informations inventées. Le lynchage de la foule depuis les dernières années est le résultat direct de l'industrie des nouvelles fausses débordant des médias sociaux au monde réel.

    Cela prend une toute nouvelle dimension maintenant qu'il a été révélé que Facebook et WhatsApp se sont associés avec l'établissement en créant de telles «armées trolls» pour la propagande numérique, résultant directement de la violence sur le sol indien. C'est un cas clair de terrorisme. Le terrorisme est défini comme «l'utilisation systématique de la terreur ou de la violence par un individu ou un groupe pour atteindre des objectifs politiques». Dans ce cas, ce terrorisme est perpétré par une entreprise étrangère Facebook sur le sol indien en utilisant la guerre de l'information numérique. Qu'attend-on de plus pour répondre à un tel acte?

    Fake News a été utilisé très efficacement lors des élections présidentielles américaines. Il faisait partie de la campagne officielle elle-même menée en collaboration avec des entreprises technologiques et il est également allégué que même les Russes ont également géré leur propre réseau. La même méthode a été utilisée pour façonner le débat sur le Brexit. Au moment où nous écrivons cela, l'industrie de la fausse information étend ses tentacules en Inde également. Beaucoup de grands sportifs indiens, célébrités, économistes, politiciens en ont déjà été victimes en diffusant ce faux contenu. C'est une tendance dangereuse qui devrait être surveillée par nos services de renseignement afin d'éviter de futurs désastres.

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  15. La façon dont cela fonctionne, en un mot, est comme ça. De nombreux sites Web et portails de degré de légitimité et de financement variables sont proposés. Des contenus d'actualités spécifiques sont générés pour différents groupes en fonction de leur région, de leur idéologie, de leur âge, de leur religion, etc., qui est mélangé à une forte dose de soft porn pour se fondre lentement dans leur objectif. Ces faux contenus sont ensuite colportés dans les médias sociaux et dans des groupes spécifiques ciblés via des outils d'analyse développés par des entreprises technologiques. Comme beaucoup de ces faux contenus sont générés lentement, ils commencent à prendre de l'ampleur et, quelque part, ils sont pris en charge par une personne d'influence insoupçonnée - des célébrités, des politiciens et même des journalistes eux-mêmes. Qu'est-ce qui se passe après ce point est la folie pure.

    Que ce soit par choix ou par ignorance, même les médias traditionnels commencent à colporter ces absurdités, consacrant leurs émissions de nouvelles en prime time à analyser les fausses nouvelles, qui ont dit quoi et pourquoi et bla bla ... au lieu d'identifier où le faux contenu a été généré le faire fermer. En raison de la nature et du sensationnalisme du contenu généré et aussi parce que son écho par des personnes influentes avec le temps cette fausse vision du monde a le potentiel de déborder dans le monde réel avec des pertes physiques, comme nous l'avons vu dans de nombreux cas de lynchages. S'il n'est pas tenu en échec, il pourrait capturer et prendre en charge tout le discours national. Nous atteindrons un point où il sera très difficile de garder trace de ce qui est un fait ou de la fiction et la société entière sera radicalisée en différents camps opposés, tous basés sur des mensonges.

    Facebook et élections indiennes

    Au moment des élections indiennes en mai 2014, une histoire sérieuse commença à se répandre: «Google a-t-il affecté le résultat des élections indiennes?» Sous le titre était un iceberg - Si Facebook peut modifier nos émotions et nous faire voter, Que puis-je faire d'autre? [13]

    Étonnamment, la Commission électorale de l'Inde elle-même s'est associée à Facebook pour l'inscription des électeurs pendant le processus électoral [14]. Dr. Nasim Zaidi, commissaire en chef des élections, Commission électorale de l'Inde, a déclaré: "Je suis heureux d'annoncer que la Commission électorale de l'Inde va lancer une campagne spéciale pour inscrire les électeurs exclus, en particulier les nouveaux électeurs. . C'est un pas en avant vers l'accomplissement de la devise de l'ICE, à savoir «PAS D'ÉLECTEUR À GAUCHER». Dans le cadre de cette campagne, Facebook diffusera un rappel d'inscription des électeurs en plusieurs langues indiennes à tous les utilisateurs de Facebook en Inde. J'exhorte tous les citoyens admissibles à s'inscrire et à VOTER, c'est-à-dire à reconnaître votre droit et à accomplir votre devoir. Je suis sûr que Facebook renforcera la campagne d'inscription de la Commission électorale de l'Inde et encouragera les futurs électeurs à participer au processus électoral et à devenir des citoyens responsables de l'Inde. "

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  16. Les 17 agences de renseignement américaines ont exprimé de sérieuses inquiétudes quant à l'impact de cette fausse industrie de l'information sur leur processus électoral et leur société. Selon une étude menée par le Pew Research Center, une majorité d'Américains (un chiffre impressionnant de 88%) pense que les nouvelles complètement inventées ont laissé les Américains confus au sujet même des faits de base [15]. Et nous en Inde nous dirigeons vers le pire des scénarios. Pourquoi? Parce que contrairement à l'Inde, le gouvernement américain et la communauté du renseignement ont publiquement abordé cette question et travaillent à la résolution de cette menace. Le gouvernement indien va-t-il s'attaquer à cette ingérence de Facebook dans les affaires intérieures de l'Inde?

    Les comités après la mise en place des comités, les audiences du Sénat sont convoquées pour aller au fond des choses et de nouvelles unités sont créées pour contrer efficacement cette menace pour leur société. Alors que Facebook fait l'objet d'une enquête pour ingérence dans les élections présidentielles américaines, on ne s'est pas beaucoup intéressé à la manière dont l'unité secrète de Facebook a influencé les élections en Inde. À la lumière de ces révélations, l'interférence de Facebook dans les élections en Inde devrait faire l'objet d'une enquête approfondie. Bien sûr, pour le faire d'abord, le gouvernement devrait reconnaître l'existence de cette fausse industrie de l'information afin de prendre des mesures contre elle.

    Parallèlement à Facebook, American Microchip Inc et Renesas japonais engagé par la Commission électorale pour la fusion de code secret EVM devraient également être étudiés pour s'ingérer dans les élections en Inde et tous ceux qui se sont associés avec eux. Ce serait une grave erreur de prendre à la légère cette menace de l'ingérence des entreprises étrangères dans les élections indiennes [16].

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  17. Source
    Great Game India (India)

    [1] “How Facebook’s Political Unit Enables the Dark Art of Digital Propaganda”, Lauren Etter, Vernon Silver & Sarah Frier, Bloomberg, December 21, 2017.

    [2] “India’s Fake News Industry & Mob Lynchings”, Great Game India News, July 6, 2017.

    [3] “Freedom House: when “freedom” is only a pretext”, by Thierry Meyssan, Voltaire Network, 7 September 2004.

    [4] “Freedom on the Net 2017. Manipulating Social Media to Undermine Democracy”, Freedom House, November 14, 2017.

    [5] “Facebook Transparency Report 2017”, Facebook, January 2017.

    [6] “Mark Zuckerberg: a US President in the making?”, Translation Anoosha Boralessa, Voltaire Network, 4 August 2017.

    [7] “Experimental evidence of massive-scale emotional contagion through social networks”, Adam D. I. Kramer, Jamie E. Guillory & Jeffrey T. Hancock, Proceedings of the National Academy of Sciences of the United States of America (PNSA), Vol 111, #24, July 17, 2014.

    [8] “The Author of a Controversial Facebook Study Says He’s ‘Sorry’”, Stephanie Burnett, Time, June 30, 2014.

    [9] “Facebook still won’t say ’sorry’ for mind games experiment”, David Goldman, CNN, July 2, 2014.

    [10] “Privacy watchdog files complaint over Facebook study”, Jessica Guynn, USA Today, July 3, 2014.

    [11] “Facebook apologises for psychological experiments on users”, Samuel Gibbs, The Guardian, July 2, 2014.

    [12] “Using Social Media To Predict the Future: A Systematic Literature Review”, Lawrence Phillips, Chase Dowling, Kyle Shaffer, Nathan Hodas & Svitlana Volkova, ArXiv, June 19, 2017.

    [13] “If Facebook can tweak our emotions and make us vote, what else can it do?”, Charles Arthur, The Guardian, June 30, 2014.

    [14] “Election Commission of India partners with Facebook to launch first nationwide voter registration reminder”, Facebook, June 28, 2017.

    [15] “Many Americans Believe Fake News Is Sowing Confusion”, Michael Barthel, Amy Mitchell & Jesse Holcomb, Pew Research Center, December 15, 2016.

    [16] “Are Indian Elections Hacked By Foreign Companies?”, Shelley Kasli, Great Game India News, December 17, 2017.

    https://www.lewrockwell.com/2017/12/no_author/668475-2/

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    1. (...) Shelley Kasli révèle la façon dont Facebook manipule les démocraties. (...)

      Kasli est lui-même un troll ignorant jusqu'au nombre de Démocratie dans le monde !!! IL N'Y A QU'UN SEUL PAYS AU MONDE EN DÉMOCRATIE: La Suisse.

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  18. Comment Big Pharma supprime les préoccupations de sécurité des vaccins pour protéger les intérêts financiers (Partie 2)

    Par Arjun Walia
    Evolution collective
    25 décembre 2017

    Dans la première partie de cette analyse, nous avons décrit comment deux organismes à but non lucratif - l'American Academy of Pediatrics (AAP) et la Coalition Action Immunization (IAC) - ont attaqué World Mercury Project et son président, Robert F. Kennedy, Jr. pour oser contrer les fausses affirmations sur l'innocuité des vaccins. Pourtant, le PAA, l'IAC et d'autres organisations à but non lucratif comme Every Child By Two (ECBT) sont parmi les principaux acteurs qui propagent des affirmations trompeuses sur la sécurité des vaccins. Tous les trois font également pression sur les législateurs pour qu'ils abandonnent le consentement éclairé en faveur des vaccins obligatoires. (Dans la première partie, nous avons également discuté de deux coalitions de défense des vaccins: la 317 Coalition et l'Adult Vaccine Access Coalition.)

    Dans la deuxième partie, nous examinons de plus près ces trois organisations à but non lucratif (AAP, IAC et ECBT), qui ont fait l'objet d'une enquête tranchante publiée dans le BMJ en novembre 2017. Le BMJ est une revue médicale internationale à comité de lecture. Il s'enorgueillit de l'affirmation selon laquelle «les connaissances des professionnels de la santé et des patients devraient être indépendantes et impartiales». L'auteur de l'article est Peter Doshi, rédacteur en chef adjoint du BMJ, qui prend cette déclaration à cœur en disséquant les sources de financement et les activités de trois organisations de défense des vaccins et en demandant si elles sont «suffisamment indépendantes».

    Suivez l'argent

    Les organisations de défense des vaccins aiment se faire passer pour des sources d'information crédibles et indépendantes. Cependant, comme le souligne immédiatement Doshi, les trois acteurs dominants (AAP, IAC et ECBT) bénéficient tous d'un financement d'entreprise de la part des fabricants de vaccins ainsi que d'importants financements gouvernementaux des Centers for Disease Control and Prevention (CDC). Le PAA est également associé au CDC par l'intermédiaire de la représentation de l'AAP au Comité consultatif sur les pratiques d'immunisation (ACIP) des CDC, le comité influent qui se réunit plusieurs fois par an pour formuler des recommandations de calendrier de vaccination des enfants et des adultes.

    La lumière que Doshi brille sur les finances volontairement opaques des organisations de défense des vaccins est l'une des contributions les plus significatives de l'article. Doshi montre que, au cours de la dernière décennie, CDC a été un «bailleur de fonds stable» des trois organismes sans but lucratif. Le PAA a reçu environ 20 millions de dollars du CDC depuis 2009, dont plus d'un tiers (7 millions de dollars) était explicitement lié au vaccin. L'IAC a reçu plus de 2 millions de dollars en financement lié aux vaccins des CDC sur la même période, et un tiers des contributions annuelles de l'ECBT provient des CDC.

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  19. En feuilletant minutieusement et en parcourant diverses sources en ligne et imprimées, Doshi a confirmé que les trois organisations reçoivent un soutien financier des fabricants de vaccins, mais il ne pouvait obtenir des informations "inégales" sur les montants, même après avoir contacté directement les organisations. (L'ECBT, par exemple, a refusé catégoriquement «de répondre aux questions du BMJ sur le montant reçu par les fabricants de vaccins.») Doshi n'a pas non plus été en mesure de déterminer «quelles sont les conditions du financement». Les principales conclusions de Doshi concernaient le financement par les fabricants de vaccins pour les trois organisations de défense des vaccins.

    Conflits d'intérêts ou pire ?

    Les organismes sans but lucratif, peu importe leurs sources de financement, ont des limites sur les montants qu'ils peuvent consacrer au lobbying sans perdre leur statut d'exonération fiscale. Néanmoins, comme le décrit Doshi, les trois organisations vaccinales n'hésitent pas à s'engager dans des initiatives de lobbying majeures:

    En 2015, l'ECBT et l'AAP ont activement (et avec succès) fait pression en faveur du SB277 de Californie, un projet de loi qui supprimait l'exemption de croyance personnelle de l'État et rendait la vaccination des enfants obligatoire pour la fréquentation scolaire. Doshi note qu'en réponse à l'adoption du projet de loi, ECBT a écrit au gouverneur de la Californie qu'il était "exalté" à la décision. L'IAC garde un œil sur les mandats de vaccination dans chaque état.

    En juillet 2017, le PAA a publié sa politique de plaidoyer de l'État, qui recommande l'élimination de toutes les «lois des États permettant des exemptions non médicales aux exigences d'immunisation à l'entrée scolaire».

    En février 2017, l'ECBT a lancé une campagne active pour faire pression sur le Congrès afin de «s'assurer que le financement des programmes de vaccination actuellement alloués par le biais du Fonds pour la prévention et la santé publique est maintenu».

    En avril 2017, les trois organisations ont collaboré au webinaire du CCI intitulé «Vaccins et nouvelle administration» (décrit dans la première partie), qui comprend clairement des documents de lobbying pour le Congrès.

    En 2014, le Bureau de l'Inspecteur général a publié un rapport sur la mesure dans laquelle les organismes subventionnaires du Département de la santé et des services sociaux (HHS) surveillent la conformité des bénéficiaires aux interdictions fédérales d'utilisation des subventions pour les activités de lobbying. La conclusion générale du rapport était que, bien que les bénéficiaires échantillonnés étaient au courant des interdictions de lobbying, «des méthodes limitées existent pour identifier la non-conformité» au sein des 13 agences adjudicatrices du HHS, dont CDC. En d'autres termes, il est peu probable que la CDC sache si ses bénéficiaires appliquent mal certains de leurs fonds de CDC à des activités de lobbying. Dans l'enquête et le rapport du BIG, un des répondants (un responsable de la gestion des subventions) a admis que «un dénonciateur ou un contact avec les médias serait la principale source d'identification d'une violation possible».

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  20. Doshi rappelle aux lecteurs que «la loi fédérale américaine interdit l'utilisation de l'argent des CDC pour le lobbying, une interdiction qui inclut des efforts de lobbying de base par les bénéficiaires qui visent à inciter les membres du public à contacter leurs représentants élus pour demander leur soutien; »Il n'est pas possible de déterminer à partir de la preuve existante si la relation de la CDC avec AAP, IAC et ECBT« franchit une ligne [juridique] ». Cependant, il est clair que lorsque ces les organismes à but non lucratif reçoivent une subvention de CDC, ces subventions libèrent d'autres fonds à des fins de lobbying.

    Ces groupes sont si fortement pro-vaccination que le public reçoit un message unilatéral que tous les vaccins sont créés égaux ... quelles que soient les circonstances.

    En outre, Doshi indique clairement que les trois organisations sont incapables d'évaluer de manière critique les recommandations vaccinales du CDC. Un spécialiste des conflits d'intérêts interviewé par Doshi a déclaré: «Ces groupes sont tellement pro-vaccination que le public reçoit un message unilatéral que tous les vaccins sont créés égaux ... quelles que soient les circonstances. La réalité est un peu différente. »Un journaliste de surveillance a déclaré à Doshi que les trois organisations vaccinales« n'étaient certainement pas financièrement indépendantes, et il semblerait qu'elles ne soient pas non plus philosophiquement et intellectuellement indépendantes, ce qui est tout aussi important sinon plus ».

    Des failles dans le récit de sécurité

    Les informations financières et autres découvertes par Doshi indiquent que le PAA, l'IAC et l'ECBT sont des acteurs clés dans une campagne bien orchestrée et bien orchestrée pour étouffer toute voix dissidente sur la sécurité des vaccins. Ainsi, le nombre croissant d'individus, de familles, d'organisations et même de pays exprimant une confiance déclinante en la sécurité des vaccins reste une épine dans leur pied. De plus, les organisations de défense des vaccins ne peuvent pas supprimer le fait que le Système de notification des effets indésirables des vaccins (VAERS), présenté par l'IAC comme le système de surveillance de la sécurité vaccinale en première ligne, représente la pointe de l'iceberg de la vaccination. 1% des événements indésirables liés au vaccin. Même avec une sous-déclaration importante, le programme d'indemnisation des victimes de vaccins du gouvernement américain a versé 3,7 milliards de dollars depuis 1988 aux personnes blessées par vaccin qui ont réussi à prouver (contre toute attente) leurs réclamations pour blessures.

    En 2011, les juges de la Cour suprême, Sonia Sotomayor et Ruth Bader Ginsburg, ont peut-être songé à ces milliards de dollars de dommages-intérêts en rédigeant une opinion dissidente (Bruesewitz c. Wyeth LLC, 562 US 223) Loi sur les blessures liées aux vaccins chez les enfants qui a créé le programme de rémunération. Dans leur dissidence, les deux juges ont déclaré:

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  21. "La décision de la majorité laisse un vide réglementaire dans lequel personne - ni la FDA ni aucun autre organisme fédéral, ni les jurys nationaux et fédéraux - ne s'assure que les fabricants de vaccins tiennent suffisamment compte des progrès scientifiques et technologiques."

    Les juges ont également noté,

    "Les fabricants, étant donné l'absence d'une forte concurrence sur le marché des vaccins, auront souvent peu ou pas d'incitation à améliorer la conception des vaccins qui génèrent déjà des marges bénéficiaires importantes."

    Les commentaires prescients des juges ne sont devenus plus pertinents que depuis l'avis de 2011. Le moment est venu d'ouvrir la sécurité des vaccins à un véritable examen scientifique et à un débat impartial.

    Le moment est venu d'ouvrir la sécurité des vaccins à un véritable examen scientifique et à un débat impartial.

    Reprinted with permission from Collective Evolution.

    https://www.lewrockwell.com/2017/12/no_author/how-big-pharma-suppresses-vaccine-safety-concerns-to-protect-financial-interests-part-2/

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  22. Terre de l'âge de glace
    Le gel global de 120 ANS menace les hivers «plus intenses» à partir de 2019

    Étoile quotidienne
    25 décembre 2017


    Un temps de recharge global de 120 ans déclenchera des hivers "plus intenses" qui menacent des mois de gel et de neige "dans quelques années", préviennent les climatologues.

    L'hiver le plus froid en cinq ans a été prévu pour la Grande-Bretagne, avec une «neige généralisée» et des creux brutaux de -17 ° C à travers Noël censés être un «choc pour le système».

    Au cours des deux premières semaines de l'hiver, le Royaume-Uni a été paralysé par un assaut de vagues de froid qui ont apporté de la neige abondante, de la glace dangereuse et des températures sous zéro pratiquement partout.

    S'adressant à Daily Star Online, les experts du climat et de la météo prédisent un épisode de froid par semaine jusqu'à la fin de l'hiver au Royaume-Uni, avertissant "que vous avez été cool et que le temps sera plus froid".

    Dans les années à venir, David Dilley, PDG de Global Weather Oscillations, estime que les hivers ne deviendront «plus intenses» qu'au Royaume-Uni en raison d'une combinaison de facteurs climatiques «dangereux».

    Sa recherche montre que d'ici 2019, la Terre entrera dans un cycle de refroidissement naturel de 120 ans qui se produit tous les 230 ans environ, en contrecarrant la tendance au réchauffement.

    Les prédictions de la faible activité solaire pendant 33 ans entre 2020 et 2053 devraient également faire plonger les thermomètres, selon ses recherches.

    Dilley, un ancien météorologue de la NOAA, fait valoir que la Terre «sort» d'un cycle de réchauffement planétaire de 230 ans et passe à une période de refroidissement de 120 ans.

    Ces cycles de réchauffement et de refroidissement globaux sont déterminés par les forces gravitationnelles de la Terre, de la Lune et du Soleil, a-t-il dit, citant des preuves "bien documentées en science".

    En d'autres termes, lorsque la Terre se rapproche du Soleil, un réchauffement global est observé, tandis qu'un refroidissement est observé lorsque la Terre s'éloigne.

    - voir sur site -
    Graphique des oscillations climatiques mondiales

    CHRONOLOGIE: David Dilley a déclaré que les cycles de refroidissement sont déterminés par les forces gravitationnelles

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  23. "La Terre sort actuellement d'un cycle de réchauffement planétaire de 230 ans et plongera dans un cycle de refroidissement global de 120 ans", a-t-il déclaré.

    "Ils viennent environ tous les 230 ans et nous en avons eu cinq au cours des 1000 dernières années.

    "Le dernier a pris fin en 1800 et a été suivi par un refroidissement dramatique et une année sans été en 1816."

    Si ses recherches s'avèrent vraies, les effets du froid pendant les hivers pourraient avoir des conséquences dévastatrices pour l'économie mondiale, la vie humaine et la société telle que nous la connaissons.

    Dilley a averti que "les mauvaises récoltes mondiales, la famine et la maladie" pourraient frapper "au cours des premiers stades de chaque cycle de refroidissement global".

    https://www.lewrockwell.com/2017/12/no_author/ice-age-earth/

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    1. Que des peuples puissent continuer à vivre en 'températures rigoureuses' est difficile à supposer, car, même s'ils doivent tout importer pour vivre, il y a des froids qui sont insupportables. Les morts de froids sont toujours plus nombreux que les morts de chauds car, lorsqu'il y a un fort soleil, il suffit de se mettre à l'ombre.

      Les agriculteurs du monde entier se dirigent depuis des décennies vers l'élévation de serres où les saisons y sont absentes. Néanmoins, les terres vers les tropiques s'arracheront à prix d'or.

      C'est d'ailleurs pourquoi les escrocs ont lancé le 'Global Warming' (Kyoto/Al Gore) pour s'accaparer les terres agricoles africaines et asiatiques à moindres coûts.

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  24. Noël est-il inefficace ?


    par Tyler Durden
    25 décembre 2017 18:45
    Rédigé par Jeffrey Tucker via The Mises Institute,

    Après des centaines d'années d'attaques à Noël, les économistes sont enfin entrés en scène.

    Joel Waldfogel, de l'université de Yale, écrit dans l'American Economic Review qu'il condamne ce qu'il appelle «la perte sèche de Noël». Sa conclusion est claire: même si Noël génère une industrie de don de 50 milliards de dollars, une dixième à un tiers de cela est pure perte. Pourquoi? Parce que le destinataire n'obtient pas toujours ce qu'il veut. Étant donné la chance, le destinataire aurait acheté autre chose.

    Tout cela découle directement de sa théorie sous-jacente. En économie néoclassique, le consommateur est le mieux placé lorsqu'il choisit, selon ses moyens, le bien ou le service le plus élevé sur son échelle «utilitaire». S'il peut s'offrir un steak, et qu'il doit se contenter d'un hot-dog parce que le restaurant est en t-bone, il subit une perte de poids. C'est encore pire s'il doit payer le prix du steak et obtient un wiener à la place.

    C'est donc avec des cadeaux. Ils génèrent une perte nette, dit cette théorie, à moins que le destinataire aurait autrement acheté, avec son propre argent, précisément ce qu'il déballe. Bien sûr, c'est rarement le cas. Pour fournir une théorie empirique à sa théorie, le professeur Waldfogel a interviewé des étudiants. Les étudiants ont reçu en moyenne 438 $ en cadeaux, pour lesquels ces enfants ont déclaré qu'ils n'auraient payé que 313 $ s'ils avaient fait eux-mêmes leurs courses. L'écart se rétrécit lorsque le cadeau provient d'un ami et s'élargit lorsqu'il provient de la famille.

    Imaginez que M. Waldfogel assiste à votre prochaine réunion de Noël. Tante Janie donne à ses neveux du savon sur une corde, et tous la félicitent pour sa générosité et sa prévenance. L'économiste incite alors les jeunes à admettre que le savon sur corde n'est pas si bon après tout, et avec les 9,95 $, ils auraient acheté la nouvelle bande de Spice Girls. Il déclare que le rassemblement est un gaspillage et encourage le parti à rompre dans l'intérêt du bien-être économique de chacun.

    Le professeur Waldfogel propose que nous puissions éliminer ces pertes, qui pourraient atteindre 13 milliards de dollars par année, en donnant de l'argent plutôt que des dons et en laissant le bénéficiaire le dépenser comme il le veut. Mais alors pourquoi ne pas aller plus loin? Quel est le but de tout ce remaniement de l'argent en premier lieu? Selon la théorie néo-classique, il serait préférable que tout le monde se cramponne à son propre compte bancaire et dépense son propre argent comme bon lui semble. En effet, nous serions tous mieux économiquement si Noël était simplement aboli - peut-être que le Congrès devrait le faire - jusqu'à ce que nous ayons tous une parfaite connaissance des préférences de chacun et que nous soyons disposés à agir en conséquence.

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  25. Loin d'être l'opinion d'un homme, cette thèse devient une question classique de «crédit supplémentaire» sur les tests de microéconomie. Waldfogel se distingue seulement pour avoir formalisé le modèle et l'a testé contre l'expérience de ses propres étudiants. La conclusion permet aux économistes de présumer qu'ils sont plus intelligents que la masse du public acheteur, qui persiste dans l'habitude irrationnelle de s'acheter des choses l'un pour l'autre au lieu d'envoyer de l'argent ou, mieux encore, de le dépenser.

    Alors, qu'est-ce qui ne va pas avec la théorie? Beaucoup. Cela équivaut à l'utilité personnelle avec les dollars dépensés, le mélange classique de la valeur et du prix. En fait, un cadeau est un genre spécial de bien avec sa propre valeur. Par exemple, nous apprécions le savon de la tante précisément à cause de son lien avec l'affection familiale. Même si le destinataire ne l'aurait jamais acheté, son utilité personnelle est renforcée par le fait que sa famille élargie pense à lui et se soucie de donner.

    La source compte. Si du savon a été donné par un camarade de classe qui se plaint que vous êtes contesté de façon odoriférante, le «cadeau» est une insulte déguisée. Il a une valeur négative. "Les riches cadeaux deviennent médiocres quand les donateurs se montrent méchants", écrit Shakespeare, qui semble avoir une vision plus complète de l'économie que le professeur Waldfogel. La personne qui reçoit un cadeau acheté sous la contrainte n'est pas non plus susceptible d'en être reconnaissante. Les gens sur le bien-être à long terme, par exemple, ont tendance à penser que les contribuables sont des drogués.

    Un commentaire publié plus tard dans le même journal a repris à ce sujet. Les auteurs (un de Harvard, un de l'université de Miami) ont également fait un test empirique. Ils ont utilisé une méthode différente (en demandant aux étudiants de connaître les prix de certains cadeaux, pas des paquets entiers), un plus grand échantillon d'étudiants (209 au lieu de 78) et ont posé des questions plus détaillées. Les résultats étaient à l'opposé de ceux de Waldfogel. Les auteurs ont montré que plus de la moitié valorisait le cadeau au-dessus de son prix de vente au détail, suggérant que le don de Noël représente en fait un gain en bien-être social.

    De plus, ces auteurs ont trouvé que les cadeaux demandés étaient moins valorisés que les cadeaux qui ne l'étaient pas. Cela correspond à l'expérience: nous sommes heureux d'obtenir ce que nous voulons, mais surtout appréciant quand nous aimons quelque chose que nous n'avions pas

    De plus, ces auteurs ont trouvé que les cadeaux demandés étaient moins valorisés que les cadeaux qui ne l'étaient pas. Cela correspond à l'expérience: nous sommes heureux d'obtenir ce que nous voulons, mais surtout apprécions quand nous aimons quelque chose que nous n'avions pas prévu. En effet, les bons acheteurs de cadeaux y réfléchissent à l'avance. Ils achètent à quelqu'un une cravate qu'il n'achèterait jamais pour lui-même. Ils achètent des articles que le destinataire pourrait être trop modeste ou frugal pour s'acheter, même s'il avait les ressources.

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  26. Certains articles ne sont que des cadeaux et rien de plus: des savons de fantaisie, des boxers paisley, des couvertures avec des logos d'école, des tasses de café imprimées avec des slogans spirituels, et autres. C'est pourquoi les «boutiques de cadeaux» peuvent être différentes des magasins ordinaires. Les cadeaux ont une valeur différente parce qu'ils sont des produits tout à fait différents. Ils incarnent non seulement eux-mêmes mais aussi leur signification. Imaginez si quelqu'un est venu dîner, et au lieu d'apporter une bouteille de vin, vous a donné 15 $ et vous a dit de le dépenser sur tout ce que vous vouliez. Ce n'est pas la même chose.

    Pour sa part, Waldfogel répond en accusant les auteurs de biaiser leurs résultats. La nature même de leurs questions d'enquête a encouragé les étudiants à signaler «valeur sentimentale» au lieu de pure «valeur matérielle». Revenant à la planche à dessin, et corrigeant pour cela et d'autres erreurs supposées, Waldfogel a interrogé un autre groupe d'étudiants. et encore trouvé une perte de poids mort, moins qu'avant, mais néanmoins substantielle. Noël est inefficace: c'est son histoire et il s'y tient.

    Bien sûr, il n'y a aucun moyen de découpler un type de valeur d'un autre type de valeur, car toute valeur économique est finalement subjective. Les enquêtes ne peuvent pas révéler ce que les gens apprécient; seule une action sur le marché le fait. Ce qui est profondément étrange dans ces querelles, c'est que tout le monde semble être d'accord sur le fait que seule la valeur pour le destinataire devrait avoir de l'importance. Cela laisse de côté le point crucial du don: il profite à la fois au donneur et au receveur.

    Les gens se sentent bien dans leur générosité, surtout envers leur famille et leurs amis. Donner est un acte de charité et de libéralité, des vertus que les gens pratiquent parce qu'ils sont bons pour l'âme. Et même s'ils ne le sont pas, les économistes devraient suivre la règle de la «préférence démontrée»: si une personne donne un cadeau, c'est parce qu'il préférait donner le cadeau de garder son propre argent. L'action est une «amélioration de l'utilité» selon ses propres termes. Pourquoi ? Parce que, contrairement à quelque chose d'autre, il a eu lieu. La valeur est révélée dans les préférences que les gens démontrent volontairement. Un cadeau bien choisi révèle aussi quelque chose sur nous-mêmes: nous nous soucions suffisamment de faire connaître nos affections d'une manière personnelle.

    Encore une fois, le problème de l'État providence se présente. Dans sa forme de «charité», les gens ne donnent pas volontairement. Les gens sont tellement réticents à déverser des milliards de dollars sur des millions de piqueurs de grève, que le gouvernement doit les menacer d'amendes et de peines d'emprisonnement (c'est ce que la fiscalité est) pour les forcer à faire ce «cadeau». État providence (le vote ne compte pas puisque les personnes n'utilisent pas leurs propres ressources pour acheter les services pour lesquels elles votent). Ce degré de redistribution doit être imposé. La fiscalité, contrairement à Noël, est un exemple clair d'une activité de réduction des services publics.

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  27. Mais les économistes de l'école néoclassique se sont rarement préoccupés de telles distinctions. Leurs théories laissent peu de place à la réflexion sur les droits de propriété, le choix individuel et la distinction entre échange de marché et redistribution forcée. Pour eux, une norme d'efficacité mathématiquement déterminée est le seul critère qui compte. Pas même une conclusion absurde - par exemple, que donner des cadeaux est inefficace - les amène à repenser leur théorie fondamentale.

    Les économistes sont à peine seuls dans ce domaine. Les sceptiques et les adversaires de l'économie de marché ont longtemps eu du boeuf avec l'idée du don et de la charité, surtout à Noël.

    Peut-être que les socialistes ont longtemps compris quelque chose à propos de Noël que d'autres, même les défenseurs du marché, ont oublié. Dans l'institution du don, nous trouvons une justification solide pour l'établissement et la protection de la propriété privée et de l'économie capitaliste. Pour donner, il faut d'abord produire, acquérir, posséder.

    G.K. Chesterton, un grand défenseur de Noël contre les puritains anglais qui le considéraient comme corrompu et païen, observa que la possession collective signifierait la fin du don volontaire. De plus, il a précisé que «donner n'est pas la même chose que partager: donner est le contraire du partage. Le partage est basé sur l'idée qu'il n'y a pas de propriété, ou du moins pas de propriété personnelle. Mais donner quelque chose à un autre homme dépend autant de la propriété personnelle que de la garder pour soi-même.

    Et contrairement aux plaintes du matérialisme à Noël, les cadeaux significatifs peuvent être aussi élaborés que l'or, l'encens et la myrrhe, ou aussi humbles que deux poissons et cinq pains.

    Il n'est donc pas étonnant que les plus durs socialistes de l'histoire aient dénoncé Noël. Le noyau économique de ses dons se concentre sur la propriété privée, tandis que son noyau éthique dément l'affirmation selon laquelle la propriété privée institutionnalise la cupidité.

    «Il y a le plus grand plaisir à faire une gentillesse ou un service à des amis, à des invités ou à des compagnons», écrit Aristote dans The Politics, «qui ne peut être rendu que lorsqu'un homme a une propriété privée. Ces avantages sont perdus par une unification excessive de l'état .... Personne, quand les hommes auront tout en commun, ne donnera plus l'exemple de la libéralité et ne fera aucune action libérale; car la libéralité consiste dans l'usage qui est fait de la propriété. "

    Quant aux intellectuels-économistes, pas moins, qui n'ont pas compris cette vérité simple, il est stupéfiant de penser à la perte de poids que leurs idées ont imposé à la société.

    http://www.zerohedge.com/news/2017-12-25/christmas-inefficient

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    1. Quand on sait que quelqu'un a pu être crucifié SANS que 'son père' n'interviennent, il est tout a fait normal qu'il se soit fait tatouer sur le cul "Ni dieu, ni maître" !

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  28. Un Joyeux Noël: Les incitations perverses à trop consommer et trop dépenser


    par Tyler Durden
    25 décembre 2017 12h45
    Auteur de Charles Hugh Smith via le blog OfTwoMinds,


    N'est-il pas évident que si nous cherchions à concevoir le système le plus pervers, le plus toxique et le plus condamné possible, nous aboutirions à la croissance permanente folle et à l'économie des décharges du Keynesian Cargo Cult ?

    Peu de sujets sont interdits de nos jours: le personnel et le privé sont maintenant éclaboussés partout pour tout voir.

    Un sujet reste tabou: les incitations perverses des fêtes à consommer excessivement et à dépenser trop, de peur que notre économie n'aboutisse. Ce sujet est tabou car il frappe au cœur même de notre système socio-économique, fondamentalement basé sur la croissance permanente, le plus vite sera le mieux, comme si une expansion illimitée sur une planète finie est non seulement possible, mais souhaitable.

    Dans le mode de production actuel, la solution à tous les maux sociaux et économiques est de «s'en sortir».

    La solution au chômage: relancer la croissance en augmentant la consommation, les dépenses et les emprunts.

    La solution à la stagnation des salaires: relance de la croissance.

    La solution à la baisse des profits: une croissance accélérée.

    La solution aux dépenses publiques déficitaires: relance de la croissance.

    Etc.

    Alors que se passe-t-il quand la plupart des gens n'ont pas seulement les bases de la vie, mais un surplus de choses? D'où viendra la croissance si les gens ont déjà tout?

    La réponse est triple:

    1. Remplacez un produit parfaitement bon par un nouveau produit et jetez l'ancien dans la décharge.

    2. Acheter des doublons et mettre les produits excédentaires dans le placard ou l'installation de stockage.

    3. Achetez des gimmicks (Pet Rocks, etc.) qui sont jetés dans la décharge peu après la fin de la saison des cadeaux.
    Mais cette économie de décharge a-t-elle un sens? Le pétrole bon marché a presque disparu, et il est donc rationnel de brûler les derniers combustibles fossiles bon marché pour assembler des produits dont personne n'a besoin en Chine, les expédier à des milliers de kilomètres aux détaillants ou aux entrepôts amazoniens. des choses que la plupart des ménages possèdent déjà, et ensuite expédier les produits anciens mais toujours fonctionnels à la décharge, juste pour garder l'économie bourdonnement?

    C'est fou, bien sûr. Les décisions ne sont pas prises comme si la rareté importait; les buts et les incitations sont destinés à encourager la surconsommation et les dépenses excessives et destructrices: non seulement nous dilapidons les ressources dans le sacrifice aux faux dieux de la «croissance», mais nous endettons les ménages pour cela, dépouillant les revenus qui auraient pu être épargnés et investi dans des utilisations productives.

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  29. Dans l'asile d'aliénés du modèle économique actuel, les médias ancrent des grimaces de joie délirante lorsqu'ils rapportent une hausse des dépenses de vacances, comme si une hausse de 680 milliards à 700 milliards de dollars était une victoire gargantuesque pour l'économie agitée.

    Gaspiller des ressources, des capitaux et des revenus sur des choses dont personne n'a vraiment besoin est une catastrophe monumentale sur plusieurs fronts. Plutôt que d'établir des incitations pour conserver et investir sagement, notre système glorifie le gaspillage et la destruction des revenus et du capital, comme si brûler du temps, du capital, des ressources et de la richesse sur des choses dont personne n'a besoin renforce l'économie.

    N'est-il pas évident que ce système est un chemin à sens unique pour s'effondrer? N'est-il pas évident que brûler des ressources et du capital pour transporter des matières à la décharge à un rythme de plus en plus rapide, c'est de la folie, de la folie, de l'insouciance et de la stupidité combinées?

    N'est-il pas évident que si nous cherchions à concevoir le système le plus pervers, le plus toxique et le plus condamné possible, nous aboutirions à la croissance permanente folle et à l'économie des décharges du Keynesian Cargo Cult?

    Cela n'a pas à être comme ça. J'ai esquissé un mode de production / mode de vie durable et à échelle humaine dans mes deux livres, L'argent et le travail déchaînés et Un monde radicalement bénéfique.

    Un nouvel arrangement est inévitable. Notre choix se résume à changer notre compréhension et notre mode de production maintenant, avant que toute la structure perverse s'effondre, ou en attendant que les pénuries et les systèmes égoïstes effondrent l'arrangement actuel, laissant la population mal préparée et choquée passer au crible l'épave.

    Le bon sens suggère que la première option est le choix le plus judicieux, mais le sens commun est rare dans un monde pris au piège dans une folie keynésienne bizarre.

    * * *

    J'offre mon nouveau livre Money and Work Unchained à un rabais de 10% (8,95 $ pour le Kindle ebook et 18 $ pour l'édition imprimée) jusqu'en décembre, après quoi le prix ira au détail (9,95 $ et 20 $). Lisez la première section gratuitement en format PDF. Si vous avez trouvé de la valeur dans ce contenu, joignez-vous à moi pour trouver des solutions en devenant un parrain de mon travail à 1 $ / mois via patreon.com.

    http://www.zerohedge.com/news/2017-12-25/un-merry-christmas-perverse-incentives-over-consume-and-over-spend

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    1. Le gaspillage n'existe pas puisqu'il fait tourner l'économie.

      N'y a t-il pas perte de temps et d'argent de voter pour quelqu'un qui refuse d'instaurer la Démocratie s'il est élu ?

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  30. Produire moins de déchets – Mais par où commencer ?

    25 décembre 2017
    Valérie Sandoz


    Chaque jour, chaque produit consommé génère ou a généré un déchet. Les éviter semble être un objectif irréaliste et inatteignable, surtout en Suisse, championne du recyclage et de la quantité de déchets produits. Quand j’ai débuté sur le chemin du mode de vie “Zéro Déchet”, j’étais un peu découragée devant l’ampleur des efforts à fournir. Ce sentiment déprimant mène souvent à une certaine résignation: “de toute façon, c’est peine perdue, cela ne sert à rien à mon échelle!”. Et il conduit à abandonner sa première bonne intention de faire baisser sa montagne de sacs poubelles. Comment faire pour passer cet écueil ?

    Les Suisses sont champions du recyclage ! Plus de la moitié des déchets urbains (52%) est recyclée, selon l’Office fédéral de l’environnement OFEV. Ce taux avoisine la perfection pour le verre (96 %), l’aluminium et le papier (91 %), les bouteilles en PET (83 %). Certes, mais ces médailles ont aussi leurs revers, de taille : d’une part, la quantité totale de déchets suit la croissance démographique et économique – elle augmente inexorablement, et d’autre part les coûts de leur traitement et de leur élimination ne cessent d’augmenter.

    Le principe du pollueur-payeur s’en prend au budget des ménages : nos impôts paient une partie de ces coûts, et nous passons encore à la caisse avec des taxes annuelles forfaitaires et une taxe à l’élimination pour chaque cornet poubelle éliminé, au volume ou au poids. Effet collatéral à l’organisation du retraitement de nos déchets, le littering augmente : les gens abandonnent leurs déchets sur la voie publique. L’élimination de ces déchets dits “d’incivilité” se chiffre à 200 millions par an ! Je vois souvent des gens qui réussissent à faire entrer leur petit cornet de déchets quotidiens dans les rares poubelles publiques encore disponibles, poubelles dont les communes ont resserré les ouvertures… Triste humanité qui n’a plus les moyens de ses déchets !

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  31. Nous sommes aussi champions de la production de déchets en comparaison internationale. Chaque personne vivant dans notre beau pays produit presque 2 kg de déchets chaque … jour ! L’année passée, 715 kg par habitant ont dû être éliminés, recyclés, traités, payés… Ce chiffre nous place sur le podium des pays européens et industrialisés! En 2015 et en Europe, seul le Danemark nous devançait et nous nous placions devant l’Allemagne et la France. La même année, le World Economic Forum nous classait au quatrième rang des pays producteurs de déchets domestiques, derrière la Nouvelle Zélande, l’Irlande, la Norvège, mais devant … les Etats-Unis et la Chine ! Ce trophée de me rend pas particulièrement fière.

    Qu’y a-t-il dans votre poubelle ? Regardez donc…!

    On peut mieux faire, largement. L’administration fédérale s’est penchée sur le contenu de nos poubelles. On y trouve encore beaucoup trop de matières valorisables, donc qui pourraient éviter la case de l’incinération. Un cinquième des déchets que l’on produit en Suisse est concerné, dont les deux tiers sont des biodéchets, c’est-à-dire des déchets qui peuvent être compostés ou méthanisés. Non seulement ces biodéchets représentent la plus grande partie des ordures, mais leur quantité a encore fortement augmenté depuis 2001, nous dit l’OFEV.

    A Genève, la poubelle standard est à l’image de la poubelle suisse. Trop de matières organiques valorisables s’y retrouvent.

    Mais alors que faire ? Comment se fait-il qu’on doive éliminer autant de déchets chaque semaine ? Une démarche vers la réduction des déchets commence par une étape pas très glamour : ouvrir sa poubelle ! Pincette sur le nez, il faut commencer par en faire l’inventaire pour comprendre quelles sont nos habitudes de consommation.

    Un réel gâchis des matières organiques et de nourriture

    La poubelle standard de Monsieur et Madame Tout-le-Monde se compose donc de beaucoup de matière organiques (épluchures, fruits et légumes gâtés, coquilles d’oeufs, etc.) aisément compostables. Ce qui sent mauvais, ce sont très souvent des déchets de repas, qui ne devraient pas s’y trouver : c’est la preuve que l’on a trop cuisiné ou mal calculé les portions. Quel gâchis, quand on sait que de nombreuses personnes ont des “faim de mois” difficiles, même en Suisse. Jeter de la nourriture est – à mes yeux – un crime. Apprendre à cuisiner des restes et à gérer ses “left-over” devrait être enseigné à l’école, réappris dans les familles. C’est sans mentionner la présence quasi systématique du congélateur dans les foyers, ce qui permet de reporter dans le temps la consommation des surplus.

    S’en suivent les emballages plastiques. On pourrait résumer très grossièrement la chasse aux déchets par la chasse au plastique, le symbole de l’objet qui ne sert qu’une seule fois ! Ceux qui sentent très mauvais, ce sont ceux qui ont contenu du poisson. Il est évident que l’emballage est l’apanage des supermarchés, pour des raisons évidentes de manutention et de conservation. Dans la mesure du possible, je les évite donc. Si vous n’avez pas d’enseignes indépendantes à disposition où faire vos courses, il s’agit de choisir au moins les supermarchés qui proposent encore du service humain et d’éviter les frigos de libre-service.

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  32. Viandes, poissons, fromages : prenez avec vous vos contenants hermétiques (et incassables), propres et secs, tendez-les avec le sourire (et détermination) au personnel de vente, il se fera un plaisir de vous servir dedans en faisant la tare et en y collant l’étiquette du prix ! A ce jour, je n’ai essuyé aucun refus ! J’ai même reçu les félicitations de plusieurs caissières, qui ont tout de suite compris l’intérêt de ne pas devoir jeter un emballage nauséabond : “Quelle bonne idée, alors votre poubelle ne sentira pas le poisson !”. Tout juste, et en manipulation, c’est si pratique : je rentre des courses et glisse mes boîtes directement au réfrigérateur. Il faut juste penser à prendre son “kit à commissions” toujours prêt, soit un panier avec des sacs à vrac, des bouteilles à remplir et des boîtes hermétiques.

    Discuter le “bout de gras” au marché !

    Pour les fruits et légumes, la vente en vrac en supermarché existe depuis longtemps. Le problème, c’est que si on souhaite se nourrir de produits bio, ceux-ci sont tous sur-emballés de plastique et/ou de polystyrène. Ce serait “pour éviter la “contamination” de contact avec des produits classiques”, nous dit-on, en oubliant que les consommateurs ont un cerveau. Vous avez déjà vu un cageot où se côtoient et se touchent pommes bios et pommes traitées, vous ? Moi non. Pour les grandes enseignes, il s’agit surtout d’éviter que les poires bio ne soient pesées et comptabilisées comme des poires aux pesticides, moins chères !

    Reste le marché du samedi matin ! Prenez vos sachets en tissu avec vous, évitez les sachets en plastique qui n’ont qu’une durée de vie de quelques heures. A ce jour, aucun maraîcher n’a refusé mes “sacs à vrac”! Non seulement vos légumes et vos fruits seront plus frais, mais vous aurez le choix du bio ou du non bio sans emballage. Vous pouvez poser des questions sur leur origine, sur leur saisonnalité, leur préparation… “discuter le bout de gras” avec les producteurs, c’est un moment que j’adore, surtout en cette drôle d’époque qui réduit les contacts humains de manière inversement proportionnelle au développement des apps et autres réseaux “sociaux”.

    Carte des bonnes adresses et Guide gratuit

    Quand aux liquides (boissons, lait, huile, vinaigre, etc.), il vaut la peine d’explorer de nouvelles sources d’approvisionnement, dont par exemple les producteurs ou les épiceries en vrac. Je réutilise d’anciennes bouteilles en verre pour le vinaigre et l’huile: une bouteille de réserve et une bouteille pour l’usage quotidien. Certaines laiteries vendent du lait pasteurisé en bouteilles consignées, des yaourts en pots à redonner et bien sûr de fromages à la coupe. Le site de l’association Zero Waste Switzerland permet de repérer sur une carte de la Suisse les commerces favorables au Zéro Déchet.

    Pour les débutants motivés, paresseux ou occupés (ou les trois à la fois), l’association a publié un Guide gratuit disponible en ligne en trois langues. Il expose la réflexion à mener au préalable, les petits préparatifs à prévoir et les gestes essentiels et faciles à mettre en œuvre pour diminuer ses déchets de manière drastique. A télécharger et à partager (sans l’imprimer si possible!) sans retenue !

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  33. Est-ce que cela fait une différence si je réduis mes déchets ?

    Oh que oui ! Depuis que je peux le mesurer grâce à la taxe au poids introduite dans ma commune, je peux suivre notre production de déchets. En trois ans, nous avons réduit nos déchets de deux tiers, pour passer de 22 kilos par mois à 7,5 kg. Sans grands efforts, en modifiant nos habitudes d’achat et de consommation petit à petit.

    Et notre famille n’est pas un modèle du genre, pourtant ! D’autres membres de l’association Zero Waste Switzerland ont réussi à réduire de 50 à 75 % leurs déchets en seulement trois mois. Pour y parvenir, ils ont suivi un des workshops organisés par l’association et profité des conseils et échanges entre participants (agenda des événements sur le site de l’association).

    Imaginez donc si tout un village, tout une ville, tout une région s’y mette ! L’effet sera massif ! Les petits colibris chers à Pierre Rabhi, faisant chacun leur part, ont toutes les chances d’éteindre l’incendie de forêt!

    (c) Michel Duchaine
    Et il faudra sans doute réfléchir à recycler les très chères usines d’incinération surdimensionnées qui émaillent notre territoire !

    Mais ceci est un autre sujet, sur lequel je reviendrai sans doute. D’autres sujets plus terre-à-terre méritent d’être abordés avant, comme le chapitre des économies, au niveau financier comme au niveau du temps, que la démarche Zéro Déchet promet de réaliser. Ou bien celui des grains de sable qui grippent (encore) ma routine Zéro Déchet (allergies, traitements médicaux, la gestion de l’entourage indifférent ou récalcitrant, etc.).

    En conclusion, cette phrase anonyme résume bien l’objectif de la démarche Zéro Déchet…

    Le meilleur déchet est celui qui n’existe pas !
    Joyeux Noël à toutes et à tous !

    https://blogs.letemps.ch/valerie-sandoz/2017/12/25/produire-moins-de-dechets-mais-par-ou-commencer/

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    1. ne peut pas produire à la demande. Imaginez un magasin vide,

      - Vous désirez quelque chose ?
      - Oui, je voudrais commander une salade, deux tomates, un pain de beurre, une tranche de steak et une bouteille de vin.
      - Nous avons pris votre commande. Votre salade arrivera dans 2 jours, tomates 6 mois, le beurre 3 semaines, le vin moins d'un an et le steak dans 3 ans.

      -----------------------

      Primo qu'est-ce qu'un déchet, une pollution ?
      C'est prendre quelque chose au sol ou dans la terre, l'examiner, le fractionner, le mélanger, le manger et le remettre là où il était ! (car tout ce qui nous entoure ne vient PAS de la lune !).

      Primo, il suffirait de rapporter ses achats (appelés maintenant 'emballages', 'déchets', etc) là où vous les avez pris ! Ou plutôt dans le container à côté du supermarché. Le sac est moins lourd et permet de ne plus voir dans sa rue des camions-poubelles puants qui défilent tous les jours à grand bruit !

      Secundo, vous y gagnerez en facture de voirie !

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  34. Certains appellent cela «l'accident de Bitcoin», mais d'autres croient que c'est juste une bosse dans la route sur le chemin de 40 000 $

    Par Michael Snyder,
    le 25 décembre 2017

    Bitcoin, Ethereum, Litecoin et d'autres crypto-monnaies importantes ont connu une course folle cette année, et au cours des 10 derniers jours, la volatilité dont nous avons été témoins sur le marché a été absolument époustouflante. Le 17 décembre, Bitcoin a tiré au-dessus de 19 800 $ pour un court moment avant de commencer à chuter dramatiquement. À un moment donné, le prix de Bitcoin est descendu en deçà de 11 000 $, ce qui représente une baisse de près de 45% par rapport au sommet atteint cinq jours plus tôt. Et Bitcoin était loin d'être le seul - pratiquement toutes les autres crypto-monnaies principales étaient aussi en baisse entre 25 et 50% pendant cette période de cinq jours. Mais maintenant presque tous rebondissent, et en ce moment le prix de Bitcoin est de 14 219,99 $.

    Alors, où les choses vont-elles d'ici ?

    Nombreux sont ceux qui croient qu'à court terme, le prix du bitcoin sera ramené au coût de production réel. Il a été estimé que le coût pour produire un nouveau Bitcoin est actuellement entre trois et quatre mille dollars, et avec le prix de Bitcoin si élevé, il y a une énorme incitation pour les mineurs de Bitcoin à produire autant que possible en ce moment.

    Mais il y en a d'autres qui sont convaincus que Bitcoin pourrait finir par arriver à zéro ...

    L'analyste de Morgan Stanley, James Faucette, et son équipe ont envoyé une note de recherche à leurs clients il y a quelques jours suggérant que la valeur réelle du bitcoin pourrait être ... $ 0.

    C'est zéro dollar. (Bitcoin se situait autour de 14 400 $ au moment de l'écriture.)

    Pour appuyer son évaluation, Faucette a fait les arguments suivants ...

    • Bitcoin peut-il être évalué comme une monnaie ? Non. Il n'y a pas de taux d'intérêt associé à Bitcoin.

    • Comme l'or numérique ? Peut être. N'a aucune utilisation intrinsèque comme l'or a dans l'électronique ou les bijoux. Mais les investisseurs semblent lui attribuer une certaine valeur.

    • Est-ce un réseau de paiement ? Oui, mais il est difficile de faire des économies et ne facture aucun frais de transaction.

    Faucette a également souligné que le nombre de détaillants en ligne qui acceptent Bitcoin est en train de baisser. Cinq des 500 plus grands commerçants du commerce électronique ont accepté Bitcoin au cours du premier trimestre de 2016, mais maintenant seulement trois le font encore.

    Pour que Bitcoin ait un avenir durable à long terme, il faut qu'elle devienne une monnaie réelle largement utilisée, mais beaucoup diront qu'elle est déjà dépassée par des options meilleures et plus récentes. En fait, un expert en crypto-monnaie a récemment déclaré que l'ancien réseau Bitcoin "est aussi bon qu'inutilisable" ...

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  35. Emil Oldenburg, le co-fondateur de Bitcoin.com - l'un des plus grands sites mondiaux consacrés à la crypto-monnaie - a récemment appelé la crypto-monnaie «l'investissement le plus risqué que vous puissiez faire», après avoir opté pour l'argent bitcoin, qu'il considère comme le avenir.

    "L'ancien réseau Bitcoin est aussi bon qu'inutilisable", a déclaré dans une interview le site technique suédois Breakit.

    Cela ne semble certainement pas prometteur, mais jusqu'ici cela n'a pas empêché le prix de Bitcoin de se diriger vers la stratosphère. Jusqu'à présent, en 2017, le prix de Bitcoin a augmenté de plus de 1400%, et ce nombre est extrêmement impressionnant, peu importe comment vous le regardez.

    Bien sûr, la quasi-totalité de cette «richesse numérique» pourrait disparaître en quelques jours seulement lors d'un accident majeur. Le PDG de Patriarch Equity, Eric Schiffer, croit que les investissements Bitcoin se dirigent finalement vers "une mort thermonucléaire" ...

    "Je pense que le bitcoin est une" tour de la mort ", dit Schiffer. "Il va entraîner la mort imminente de votre investissement - une mort thermonucléaire.

    "Nous sommes en train de regarder une bulle financière qui est plus grande que l'engouement pour les tulipes et je crois que nous nous dirigeons vers un krach bitcoin qui se substituera aux soucis financiers du 21ème siècle", at-il ajouté. "Les gens vont être choqués quand ils essaient de liquéfier leurs bitcoins."

    Schiffer a peut-être raison.

    Après tout, Bitcoin et autres cryptocurrencies n'ont aucune valeur intrinsèque. Essentiellement, ils ne sont rien de plus que des créations numériques qui n'ont de valeur que parce que les gens pensent qu'ils ont de la valeur.

    Mais ceux qui sont rentrés au début et qui ont encaissé maintenant ont fait énormément d'argent, et personne ne peut le nier.

    Avec toutes les formes d '«investissement», ils sont gagnants et il y a des perdants. Malheureusement, ceux qui ont choisi de sauter au plus fort de la folie pourraient perdre très gros. Ce qui suit vient de Wolf Richter ...

    Parier sur les cryptos est une forme particulière de jeu en ligne à l'échelle mondiale qui nécessite un consensus entre les participants qu'ils achètent seulement, et que vous ne pouvez jamais encaisser, et maintenant que certaines personnes essaient d'encaisser, les paris pour tout le monde sont acidification La même dynamique qui a fait monter les prix s'est inversée et les fait fondre.

    Mais que se passe-t-il si les opposants ont tort ?

    Que se passe-t-il si le «crash de Bitcoin» actuel est juste une bosse sur la route pour 40 000 $ ?

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  36. Il y a quelques années, le prix de Bitcoin a chuté de 75 % à un moment donné. Quel serait

    Il y a quelques années, le prix de Bitcoin a chuté de 75% à un moment donné. Que se serait-il passé si les premiers investisseurs avaient tous renfloué au lieu de tenir jusqu'à maintenant ?

    Ceux qui ont vendu Bitcoin à 12 000 $ pourraient finir par se mettre en colère si le prix de Bitcoin atteint 40 000 $ d'ici la fin de l'année prochaine, et c'est exactement ce que projettent certains experts ...

    Des investisseurs milliardaires et des analystes très respectés tels que Mike Novogratz, l'analyste financier en chef Max Keizer et Tom Lee de Fundstrat ont déclaré que le prix du bitcoin dépassera probablement la limite de 40 000 $ d'ici la fin de 2018 et atteindra 1 000 milliards de dollars.

    Et n'oublions pas que de grands noms tels que John McAfee et James Altucher prédisent que le prix de Bitcoin atteindra finalement un million de dollars.

    Pour moi, c'est absolument fascinant. D'un côté, vous avez des experts financiers qui croient que Bitcoin va être à zéro, et de l'autre, vous avez des experts financiers qui prévoient qu'un jour, Bitcoin vaudra un million de dollars.

    Je ne sais pas quel côté va finalement l'emporter, mais ce sera très amusant de voir comment tout se passe.

    http://theeconomiccollapseblog.com/archives/some-are-calling-this-the-bitcoin-crash-but-others-believe-it-is-just-a-bump-in-the-road-on-the-way-to-40000

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  37. La valeur réelle du Bitcoin est révélée

    19:06 25.12.2017

    Le Bitcoin est un système de paiement dont la valeur réelle n’est ni plus ni moins conditionnée que par sa demande, estiment des experts.

    La Bundesbank dit «niet» au bitcoin et à d’autres crypto-monnaies dans la zone euro

    Les analystes de la banque Morgan Stanley ont cherché à vérifier à quel point le prix actuel du Bitcoin — qui se vend aujourd’hui à près de 14.000 dollars – était justifié, rapporte Business Insider.

    Les experts ont pointé que la cryptomonnaie en question se distinguait de l’or et de devises officielles car elle n’était pas liée au taux d’intérêt. Selon eux, elle rappelle plutôt un système de paiement qui ne facture pas les transactions et le prix de cette monnaie virtuelle est difficilement calculable par les moyens classiques d’analyse économique. Qui plus est, le Bitcoin en lui-même peut ne rien coûter du tout, mais sa valeur réelle n’est définie que par le niveau de demande de ce système.

    «Si personne ne se sert de cette technologie pour des paiements, sa valeur sera égale à zéro», estime le chef de l’équipe d’experts James Faucette.

    Selon les analystes, le montant moyen des transactions en Bitcoin par jour est de près de trois milliards de dollars, alors que sur le marché des devises, le volume s’élève à 5.000 milliards.

    https://fr.sputniknews.com/economie/201712251034484708-bitcoin-valeur-reelle/

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