- ENTREE de SECOURS -



mercredi 20 décembre 2017

Le réchauffement fait tomber plus de neige en Alaska !

Climat - Les chutes de neige sur la chaîne de l'Alaska «sont sans précédent depuis au moins 1200 ans et dépassent de loin la variabilité normale», selon une étude.

L'ampleur des chutes de neige durant la période moderne en Alaska est beaucoup plus élevée que la normale, avant la Révolution industrielle.

19.12.2017

Les chutes de neige ont plus que doublé dans le centre de l'Alaska depuis la Révolution industrielle, au milieu du XIXe siècle. C'est ce qu'indique mardi une étude qui incrimine le réchauffement climatique.

L'étude, parue dans la revue Scientific Reports, démontre que les chutes de neige sur la chaîne de l'Alaska «sont sans précédent depuis au moins 1200 ans et dépassent de loin la variabilité normale», selon un communiqué du Dartmouth College (Etats-Unis).

Les chutes de neige ont augmenté de 117 % en hiver depuis le milieu du XIXe siècle et de 49 % en été, selon des chercheurs du Dartmouth College, de l'Université du Maine et de celle du New Hampshire qui ont analysé deux carottes de glace extraites du Mont Hunter, dans le parc national de Denali.

«Nous avons été stupéfaits lorsque nous avons vu pour la première fois combien les chutes de neige avaient augmenté», a déclaré l'un d'entre eux, Erich Osterberg, du Dartmouth College. «Nous avons dû vérifier et revérifier nos résultats pour être certains des conclusions».

«Des hausses spectaculaires de la température et de la pollution de l'air dans la période moderne ont été observées par la science mais maintenant, nous constatons aussi des augmentations spectaculaires de précipitations régionales en raison du changement climatique», relève-t-il.

Plus d'humidité

Les modèles scientifiques prévoient une augmentation des précipitations (eau, neige) pouvant aller jusqu'à 2 % par degré de réchauffement parce que l'air plus chaud contient plus d'humidité. Mais cela ne suffit pas à expliquer la hausse spectaculaire des chutes de neige constatée sur le Denali.

Les chercheurs suggèrent que le réchauffement des océans tropicaux a entraîné un renforcement du système de dépression des îles Aléoutiennes, avec son courant d'air chaud et humide qui se dirige vers le nord, entraînant une hausse de chutes de neige. Le même phénomène atmosphérique est responsable d'une baisse des précipitations à Hawaï.

L'étude montre «de manière éclatante que l'ampleur des chutes de neige durant la période moderne en Alaska est beaucoup plus élevée que la normale, avant la Révolution industrielle», relève son auteur principal, Dominic Winski, du Dartmouth College.

La température a déjà augmenté d'environ 1°C depuis l'ère préindustrielle. Dans l'accord de Paris de 2015, la communauté internationale s'est engagée à contenir le réchauffement planétaire «bien en deçà» de 2°C. (ats/nxp)


57 commentaires:

  1. D'une part l'explication de ce phénomène de froid vient que TOUTE la planète se refroidit (et pas seulement en Alaska) et qu'il y a soit de nouveaux volcans sous-marins soit des anciens qui se sont réveillés ou renforcés, ce qui amène des courants chauds. Mais, c'est courants chauds (très connus sur les côtes du monde entier) entrent peu dans les terres car l'air qui les accompagne est malheureusement vite refroidit.

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  2. Les voitures électriques : un doux mythe écolo !

    le 20 décembre 2017

    Le cycle de vie d’un véhicule électrique le rend aussi polluant qu’un véhicule thermique.

    Le subventionner n’a pas de sens, explique le directeur de l’Observatoire du nucléaire, Stéphane Lhomme.

    La fabrication des batteries est tellement émettrice de CO² qu’il faut avoir parcouru de 50 000 à 100 000 km en voiture électrique pour commencer à être moins producteur de CO² qu’une voiture thermique. Soit 15 à 30 km par jour, 365 jours par an, pendant 10 ans !

    Or, contrairement à ce que croient la plupart des gens, soumis à une propagande continuelle des politiques et des industriels, la voiture électrique n’est pas plus vertueuse pour le climat que la voiture thermique, essence ou diésel. Ce sont là les conclusions d’une étude, déjà ancienne, de l’Agence de l’environnement et de la maitrise de l’énergie (Ademe), ignorées délibérément par le gouvernement (Elaboration selon les principes des ACV des bilans énergétiques, des émissions de gaz à effet de serre et des autres impacts environnementaux induits par l’ensemble des filières de véhicules électriques et de véhicules thermiques à l’horizon 2012 et 2020, (novembre 2013). Sachant que ces voitures servent essentiellement à des trajets courts, il est probable que le kilométrage nécessaire pour s’estimer « vertueux » ne sera jamais atteint. De plus, tout le CO² émis par une voiture électrique est envoyé dans l’atmosphère avant même que ne soit parcouru le moindre kilomètre, alors que la voiture thermique émet son CO² au fil des ans…

    Par ailleurs, il est partout prétendu que la voiture électrique n’émet pas de particules fines.

    Mais, comme le signale le magazine Science et Vie (janvier 2015), « les pneus, les freins et l’usure des routes émettent presque autant de microparticules que le diésel ».

    La voiture électrique émet certes moins de particules que la voiture thermique, puisqu’elle ne dispose pas d’un pot d’échappement, mais elle possède bien des freins, des pneus, et roule sur le goudron ! – A 80 % nucléaire

    Au final, la voiture électrique n’est pas plus écologique que la voiture thermique. L’argent public consacré à son développement est donc totalement injustifié. Or, il s’agit de sommes astronomiques.

    Le gouvernement a lancé un plan d’installation de 7 millions de bornes de rechargement à environ 10 000 euros pièce, soit un cout d’environ 70 milliards d’euros. Il est d’ailleurs poignant de voir les élus de petites communes, croyant faire un geste pour l’environnement, casser la tirelire municipale pour s’offrir une borne ; le bonus « écologique » à l’achat d’une voiture électrique dépasse 10 000 euros par véhicule, souvent complété par une prime de la Région. La quasi-totalité des acheteurs sont des ménages aisés, car ces véhicules sont très chers : une fois de plus, l’argent de tous est offert aux plus privilégiés.

    En réalité, au pays de l’atome, tous les moyens sont bons pour « booster » la consommation d’électricité, en baisse continue depuis des années. Car la voiture électrique en France peut être considérée comme une « voiture nucléaire » : La quasi-totalité des bornes de rechargement installées sont branchées sur le réseau électrique ordinaire, à 80 % nucléaire.

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  3. Il ne faut pas se laisser abuser par les certificats mis en avant par M. Bolloré et ses Autolib (Paris), Bluecub (Bordeaux) et Bluely (Lyon), assurant qu’elles sont rechargées aux énergies renouvelables : il ne s’agit que de jeux d’écriture. L’électricité utilisée est la même qu’ailleurs.

    Nous ne faisons pas ici la promotion de la voiture thermique, elle-même une calamité environnementale. Mais, justement, personne n’aurait l’idée d’offrir 10 000 euros à l’achat d’une voiture diésel, de lui réserver des places de stationnement et de remplir son réservoir à prix cassé…

    Dans la même veine mais moins délicatement dit…. que tu aies une voiture « diésel » ou non, lis ceci : C’est une très bonne analyse démontrant que nos politiques (et les verts) nous font du spectacle:

    La paranoïa du diésel ne concerne que les automobilistes !!! Les Poids lourds, Autocars, Navires, sont exclus ! Juste pour situer le degré de paranoïa des plus virulents détracteurs du véhicule diésel, il faut leur révéler les données de l’industrie maritime qui a démontré qu’en considérant la taille des moteurs et la qualité du carburant utilisé, les 15 plus gros navires-cargos du monde polluent autant que l’ensemble des 760 millions d’’automobiles de la planète. Vous savez, ces porte-conteneurs qui nous alimentent en produits que l’on fabriquait dans nos usines délocalisées,

    aujourd’hui, ils brulent chacun 10.000 tonnes de carburant pour un aller et retour entre l’Asie et l’Europe. Ces malheureux 15 navires font partie d’une flottille de 3.500, auxquels il faut ajouter les 17.500 tankers qui composent l’ensemble des 100.000 navires qui sillonnent les mers.

    Pour ne pas quitter le domaine maritime, rappelons que la flotte de plaisance française est d’environ 500.000 unités, dont 5.000 yachts de plus de 60 mètres, et que le plus moyen de ceux-ci brule environ 900 litres de fuel en seulement une heure, alors que les 24 % de foyers français qui se chauffent au fioul ont du mal à remplir leur cuve pour l’hiver.

    Pour continuer sur le chemin de la schizophrénie paranoïde, prenons en compte toute la flottille de pêche et les 4,7 millions de poids lourds en transit à travers la France. Les milliers d’avions qui sillonnent le ciel et dont la consommation par passager et par km parcouru est 3 fois plus nocive pour le climat que l’automobile.

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  4. Pour compléter cette petite fable, n’oublions pas l’indispensable domaine agricole où la consommation moyenne d’énergie est de 101 litres de fuel par hectare…

    Mais pas d’affolement, Hulot va certainement sauver la planète en collant une nouvelle taxe sur les seuls véhicules diésel et affaiblir un peu plus notre industrie automobile, ce qui augmentera le chômage dans la foulée.

    Cela prouve également que les journaux sont achetés par le pouvoir pour la boucler et nous laver les cerveaux.

    J’ai fait un copié-collé d’un article de Stéphane Lhomme. Des études récentes ont montré que les véhicules électriques, dans des pays où l’électricité est à plus de 90 % produite par des usines brûlant des combustibles fossiles comme la Chine, émettent plus de gazcarbonique que les véhicules à combustion interne. Il en est de même pour les USA et la majorité des pays européens. Comme le souligne Stéphane Lhomme quand la paranoïa écologiste va-t-elle cesser ?

    Prochain article sur ce blog et dans la même veine : « Comment se brosser les dents « écolo » ? »

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2017/12/20/les-voitures-electriques-un-doux-mythe-ecolo/

    http://huemaurice5.blogspot.fr/2015/05/16-porte-containers-polluent-plus-que.html

    http://huemaurice5.blogspot.fr/2014/11/pollution-et-pollution.html

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    1. Combien de navires dans le monde ?

      NOMBRE ----------------------------POURCENTAGE

      Navires de marchandises diverses 16 271 33%
      Vraquiers --------------------------------10 298 21%
      Porte-conteneurs--------------------------5 131 11%
      Navires citernes--------------------------13 288 27%

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  5. Le « réchauffement », prétexte commode pour expliquer l’incendie Thomas qui ravage la Californie, et dissimuler les erreurs des politiques

    Matthieu Lenoir
    19 décembre 2017

    Les climato-alarmistes tels que le gouverneur démocrate de Californie Jerry Brown tentent de faire croire que le réchauffement global est la cause des feux de forêt qui frappent le Golden State. L’incendie « Thomas » a déjà brûlé 105.000 hectares et constitue le troisième feu le plus ravageur depuis 85 ans. « C’est un véritable signe de malheurs à venir et avec un peu de chance, cela servira à réveiller les gens qui sont trop complaisants aujourd’hui », a asséné M. Brown, visant les climato-sceptiques et son ennemi juré, Donald Trump, qui a dénoncé les Accords de Paris. Pourtant une foule d’éléments – origine naturelle des feux, surcharge de bois mort pour cause de législation inepte, proximité habitat-forêts, liaisons électriques à risques – démentent cette théorie, laquelle sert essentiellement à favoriser la disruption technologique et la cohorte de bénéfices qu’elle promet tout en dissimulant les erreurs des politiques.

    Des feux qui font partie de l’écosystème naturel, participant à l’équilibre forestier – même en Californie

    James Murphy, chroniqueur scientifique du site thenewamerican, rappelle ainsi que « les feux de forêts sont des événements naturels qui sont apparus quand la flore elle-même est apparue sur Terre ». Les scientifiques et autres spécialistes de l’exploitation forestière et rurale non seulement acceptent ces feux – jusqu’à un certain point – comme partie de l’écosystème naturel, mais les considèrent comme participant à l’équilibre forestier. Ces incendies réduisent les charges de combustibles tels que les arbres couchés, les branches mortes, les buissons, les feuilles, quand ils se déclenchent naturellement. Ils laissent derrière eux des nutriments pour les sols qui, s’ils n’avaient pas eu lieu, eussent été consommés par les broussailles.

    Certaines zones, telles que le Chaparral californien, bande intérieure montagneuse au climat méditerranéen qui court du nord au sud jusqu’à la Basse-Californie mexicaine, a besoin, dans une certaine limite, des feux de forêts : « Les incendies saisonniers éliminent les plantes importées qui sont moins résistantes aux flammes, ce qui donne aux espèces locales un avantage dans la compétition spatiale », explique James Murphy.

    Les incendies actuels en Californie sont aussi dus à des erreurs politiques

    Et puis, insiste Murphy, « les incendies actuels en Californie ne sont pas dus au réchauffement climatique mais plutôt à des éléments naturels, leur aspect le plus tragique étant dû à des erreurs politiques ». Tom McClintock, élu républicain de Californie à la Chambre des Représentants, avait dénoncé en mai « des lois, adoptées voici quarante-cinq ans, qui ont rendu la gestion de nos forêts impossible ». L’élu visait la législation destinée à protéger certaines espèces à risques, telles que la chouette tachetée, qui ont bloqué l’exploitation rationnelle et scientifique des forêts fédérales. On dénombre, depuis, 66 millions d’arbres morts dans la chaîne de la Sierra Nevada. Alors que les sols peuvent tolérer entre 20 et 100 arbres morts par acre anglo-saxon (4.046 m2), la densité y atteint 266 ! Ce qui entraîne, avant même l’incendie, un appauvrissement de la forêt, les jeunes arbres peinant à trouver leur espace vital.

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  6. La réponse à cette surdensité d’arbres morts consisterait à demander aux entreprises d’exploitation forestière à éclaircir, pour le compte du gouvernement fédéral américain, ces forêts nationales. Ce qui aurait pour conséquences, non d’empêcher les incendies, mais au moins d’en diminuer l’intensité. Or la bureaucratie et les politiques environnementales excessives ont rendu de tels contrats de maintenance hors de prix et bien trop complexes pour les exploitants.

    Le réchauffement n’a pas causé l’incendie Thomas, ni ses conséquences les plus dramatiques

    De plus, la législation de l’Etat de Californie elle-même et des municipalités, n’en déplaise à Jerry Brown, est aussi partiellement responsable de l’ampleur dramatique de ces feux de 2017. Un grand nombre de maisons sont construites dans des zones à fort risque d’incendie, résultat évident de plans d’urbanisation irresponsables. Par exemple, note James Murphy, les zones de contact végétation-résidences, dénommées WUI (Wildland urban interface), ont explosé de 300 % en Californie ces 50 dernières années ! Les municipalités et les comtés sont aussi coupables d’un défaut évident d’entretien et de conception des lignes électriques sur ces zones. Or les lignes aériennes sont susceptibles d’engendrer des arcs électriques, autres sources de départs de feux.

    Les images dramatiques de « Thomas », de ces pompiers luttant pied à pied contre des murs de flammes montant jusqu’au ciel et finissant par les engloutir, permettent d’instrumentaliser l’émotion populaire : « Voyez ce qui arrive quand le climat change. » Mais maintenant, réplique Murphy, avec plus de 40 morts et des milliards de dollars de biens immobiliers partis en fumée, « il est temps de regarder au-delà de la vision politicienne et de dénoncer les cause très pratiques afin de prévenir ces incendies de plus en plus destructeurs ».

    http://reinformation.tv/rechauffement-incendie-thomas-californie-erreurs-politiques-lenoir-78495-2/

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    1. Alors que TOUS les incendies se trouvent à moins de 2 km de l'océan et qu'il devrait y avoir des bassins de rétention construits aux hauts de collines (masqués par la végétation) et qui peuvent être remplis par pompes et tuyaux ou par des 'canadairs' qui s'entraineraient au largage, tout a brulé ! TOUT !

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  7. La Banque mondiale s’entend avec la Convention mondiale des maires contre le « réchauffement »… pas contre l’urbanisation démentielle

    Matthieu Lenoir
    19 décembre 2017

    Le 12 décembre au sommet de Paris « One Planet », la Convention mondiale des maires pour le climat et l’énergie et la Banque mondiale, plus grande banque multilatérale de développement, ont annoncé un nouveau partenariat pour aider cent cinquante grandes villes à engager des actions énergiques « en faveur du climat », sans jamais remettre en question l’urbanisation démentielle qui accable le monde. La Banque mondiale va investir 4,5 milliards de dollars, fournis par les contribuables des pays « riches » tels que la France dont le PIB par habitant décroît pourtant depuis une décennie. Le « partenariat » inclut une assistance technique et financière pour réaliser des développements « soutenables » et des « programmes de résilience climatique ». Car dans la doxa globaliste et nominaliste, l’homme est l’origine de tout.

    « Risques climatiques » ou risques urbains ? La Banque mondiale ne veut voir que les premiers dont le « réchauffement »

    Que trouvera-t-on dans cette panoplie ? D’abord des réalisations pour résister aux « risques climatiques » ce qui, vu l’explosion de la population des villes, l’urbanisation en zones inondables ou à risques et l’imperméabilisation des sols, relève du simple bon sens. « Risques climatiques » ou risques urbains ? Pour Michael R. Bloomberg, délégué spécial du secrétaire général de l’ONU pour le programme « Villes et changement climatique » et coprésident de la Convention mondiale des maires, pas un mot sur la métropolisation frénétique du monde : il s’agit pour lui de mener un « combat contre le changement climatique » en impliquant « les villes et les collectivités » et, pour cela, « il est essentiel de trouver des financements ».

    Ce ne sont donc pas les villes qui changent, c’est le climat. Qu’une métropole du tiers-monde telle que Lagos, au Nigeria, gonfle de 275.000 habitants par an pour dépasser les 22,8 millions ne paraît pas troubler la Convention mondiale des maires. Jim Yong Kim, président de la Banque mondiale, n’en démord pas : « Comme la force des désastres naturels s’intensifie, nous devons améliorer les projets et construire des villes plus résilientes. » « Avec un investissement de 4,5 milliards de dollars dans les villes fourni par la Banque mondiale, nous pourront aider les dirigeants locaux à protéger les gens des impacts climatiques », poursuit-il. Pour mémoire, les cinq plus grandes mégapoles mondiales (zones agglomérées) sont Tokyo (42,7 millions d’habitants), Jakarta (31,7), Delhi (26,5), Séoul (25,5) et Bombay (24,4). Quarante-cinq villes dans le monde dépassent les dix millions d’habitants, une centaine les cinq millions. Paris se situe à la 34e place à 12,4 millions d’habitants en zone agglomérée (l’Ile-de-France).

    7.400 municipalités signataires de la Convention mondiale des maires, 680 millions d’habitants

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  8. La Convention mondiale des maires pour le climat et l’énergie rassemble le Compact of Mayors, organisation onusienne réunissant 428 villes depuis 2014 avec pour objectif la baisse des émissions de gaz carbonique, et la Convention européenne des maires. Cette Convention mondiale des maires réunit plus de 7.400 municipalités signataires, issues de 119 pays représentant 680 millions d’habitants soit près de 10 % de la population mondiale.

    Le plan destiné aux cent cinquante villes de pays « émergents » va se développer sur les trois années à venir. Il va les aider à mobiliser plus de capitaux privés pour couvrir les coûts d’équipements destinés à renforcer leurs infrastructures face aux épisodes climatiques « plus violents » et « à la montée des mers ». Marc Forni, spécialistes du management du risque à la Banque mondiale, révèle toutefois à demi-mots d’autres motivations : « L’investissement dans la résilience urbaine ne permet pas seulement d’éviter des pertes, il permet aussi de générer de la valeur et constitue un catalyseur de croissance. »

    Jamais n’est évoqué le risque systémique de l’urbanisation démentielle

    A aucun moment n’est évoqué le risque systémique que constitue l’urbanisation démentielle, posée comme une évidence incontournable pour le « monde nouveau » cher à M. Macron. Que la France hypercentralisée investisse 34 milliards d’euros dans son métro périphérique du « Grand Paris » alors qu’elle désertifie massivement ses territoires de tout service public (756 km de lignes ferroviaires voyageurs fermées en seulement six ans en France, plus de 20.000 km en 70 ans) ne semble gêner personne. Que le différentiel de température nocturne entre zone rurale périphérique et zone urbaine centrale imperméabilisée et bétonnée dépasse les 5 ° C n’émeut pas. Que le monde se prépare à entasser les deux-tiers de sa population dans les grandes villes à l’horizon 2050 semble même souhaitable. L’urgence est de « protéger les résidents et les bâtiments des menaces telles que les inondations, les orages et les vagues de chaleur, tout en améliorant l’habitat et en réduisant les inégalités » : la Banque mondiale s’en tient là. Les premières villes concernées par ce partenariat signé au sommet de Paris sont les villes côtières de Manaus au Brésil (2 millions d’habitants), Chittagong au Bangladesh (3,5 millions), Accra au Ghana (4 millions dans l’aire métropolitaine) et Istanbul en Turquie (14 millions).

    Plus généralement, on enjoint à toutes les métropoles de favoriser les énergies propres et d’opérer des changements radicaux pour « ralentir le réchauffement global ». Aux Etats-Unis, des centaines de municipalités se sont saisies de ce prétexte pour appliquer les Accords de Paris imposant des réductions d’émissions de carbone, arme politique contre Donald Trump qui a dénoncé de traité qui charge en priorité les économies occidentales mais épargne les « émergentes » et le premier émetteur : la Chine.

    http://reinformation.tv/convention-banque-mondiale-maires-rechauffement-urbanisation-lenoir-78512-2/

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    1. Tant qu'ils ne connaissent pas la Démocratie il demeurera cette 'résilience' à affronter le Peuple qui oserait demander d'être libre !!

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  9. RABAT-JOIE - NOËL, ÇA POLLUE !
    Si les lumières de Noël vous mettent des étoiles plein les yeux, gare! Les défenseurs de l’environnement vous rappellent à l’ordre.

    20.12.2017, 14h55
    PAR PASCALE BIERI

    Des lumières plein les rues – et les maisons ! – des paillettes, une débauche de cadeaux et de papiers d’emballage… C’est aussi – et surtout – ça, aujourd’hui, la magie de Noël. Mais peut-on encore s’en réjouir ?

    Car, si la laïcité neutralise de plus en plus l’aspect religieux de la fête, un autre courant, vert celui-là, commence à donner vraiment mauvaise conscience à ceux qui apprécient le côté festif de Noël. Avec tout le gaspillage et la pollution qui s’ensuivent.

    Ainsi, à Genève, Carole Froelich égrène les marchés de Noël avec une pétition réclamant l’arrêt des illuminations de rue. «L’origine de cette tradition remonte à 1882, avec la création de la première guirlande électrique par un proche de Thomas Edison. Ça a été un coup marketing qui est devenu une tradition, et qui permet d’augmenter les ventes. Aujourd’hui, avec les problèmes énergétiques que l’on connaît, ça n’a plus de sens. Un changement est nécessaire à notre survie.»

    Une initiative parmi d’autres. Car ailleurs, aussi, on dénonce le coût de cette «débauche énergétique». À Paris, par exemple, on estime la facture des lumières de Noël à 2,5 millions d’euros (2,9 millions de francs). En Allemagne, il ressort que les illuminations, pour l’ensemble du pays, ont nécessité l’utilisation de 8,5 milliards d’ampoules, engendrant une consommation supplémentaire de 500 millions de kWh. Et on ne parle pas là de la pollution lumineuse…

    À côté de cela, on nous martèle de bilan carbone. Le Planetoscope, par exemple, s’est amusé à calculer les émissions de gazcarbonique produites par… la tournée mondiale du Père Noël (en incluant fabrication des jouets, emballages, déplacements, etc.). Résultat: 17,2 tonnes. Soit 15 allers-retours Genève-Pékin. Un Institut de Stockholm a également enregistré de forts pics de pollution, dans de nombreuses villes, le jour de Noël. On continue ? Selon une autre étude, on découvre qu’il faut une forêt de 360 000 arbres, en France, rien que pour emballer les cadeaux.

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  10. Même les paillettes sont dans le collimateur des défenseurs d’un Noël durable. Omniprésentes dans le maquillage, les décorations, sur les boules de Noël ou encore les papiers cadeaux, elles, sont en effet terriblement polluantes. À tel point que de nombreux scientifiques se mobilisent pour réclamer leur interdiction. Car, si on les retrouve, un peu partout – vêtements, canapés – des mois après les Fêtes, la plupart d’entre elles finissent dans l’environnement, et plus particulièrement dans les mers ou les océans. Là, ces microparticules de plastique sont englouties par les poissons qui les confondent avec de la nourriture. (Le Matin)

    https://www.lematin.ch/suisse/noel-pollue/story/28927285

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    1. "RABAT-JOIE - NOËL, ÇA POLLUE !" lance le site des islamistes marocains !

      Prochainement: Allumer ses phares pour circuler la nuit ça pollue ! Hahahahaha !

      (...) Selon une autre étude, on découvre qu’il faut une forêt de 360 000 arbres, en France, rien que pour emballer les cadeaux. (...)

      et 100 fois plus de papier pour se torcher le cul après le réveillon ! Hahahaha !

      Malheureusement, ce site qui ne reflète pas la Démocratie (qui pourtant l'accueille !), ne parle pas que TOUS LES GAZ SE RECYCLENT ! TOUS ! Depuis TOUJOURS et pour TOUJOURS !

      Par contre, aucun mot sur les 40 000 morts par an qui respirent du diesel en France ! (et presque autant en Suisse !).

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  11. «Et les impôts augmentent...»: un vol privé à 350.000 euros de Philippe choque le Net


    09:53 20.12.2017


    «Si Édouard Philippe ne prenait pas l’avion pour 350.000€, les députés LREM auraient pu manger autre chose que des pâtes…»: ne voulant pas utiliser un Airbus A340 de l'armée de l'air, jugé inconfortable et qui aurait mis deux heures de plus sur un trajet Tokyo-Paris, le Premier ministre français a affrété un avion privé à… 350.000 euros.

    Pour économiser deux heures de vol et voyager plus confortablement, le Premier ministre s'est offert un voyage dans un avion privé à 350.000 euros.

    Payée 5.000 €, une députée se plaint de manger «pas mal de pâtes»: les Français réagissent

    Arrivé début décembre en Nouvelle-Calédonie par un vol commercial, Édouard Philippe n'a apparemment pas souhaité réitérer son expérience. Il est d'abord monté dans un A340 de l'armée de l'air affrété pour l'occasion, mais lors d'une escale à Tokyo, la délégation française, composée de 60 personnes et du Premier ministre, a embarqué dans un autre A340, beaucoup plus luxueux, loué pour 350.000 euros à l'entreprise spécialisée Aero Vision.

    L'avion loué, qui a atterri le 6 décembre à 07h30 à Orly, aura permis au Premier ministre de gagner deux heures dans des conditions luxueuses de confort, tandis que l'A340 de de l'armée s'est posé à 09h30 à Roissy, quasiment à vide.

    Cette somme exorbitante a provoqué un véritable tollé sur le Net.

    Certains ont sauté sur l'occasion pour faire preuve d'ironie en commentant les dépenses qui leur paraissent injustifiées de Matignon.

    Suite à ce tollé sur la Toile, Edouard Philippe a «assumé complètement» le recours à un vol privé à 350.000 euros tout en affirmant qu'il était «compliqué» et «cher» de déplacer un Premier ministre.

    «C'est compliqué de déplacer le Premier ministre, et c'est cher. Je comprends parfaitement à la fois la surprise et les interrogations que se posent les Français», a-t-il déclaré mercredi matin sur RTL, justifiant notamment le vol par le besoin d'être de retour en métropole avant le départ d'Emmanuel Macron en Algérie le 6 décembre.

    https://fr.sputniknews.com/france/201712201034408144-vol-prive-350000-edouard-philippe/

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  12. «Assad était et reste le Président légitime de la Syrie»

    11:29 20.12.2017

    La Russie considère toujours Bachar el-Assad comme le seul dirigeant légitime de la Syrie, a réitéré devant la presse le porte-parole du Kremlin.

    «Bachar el-Assad était et reste le Président légitime de la République arabe syrienne», a déclaré mardi le porte-parole du Président russe Dmitri Peskov.

    Le rôle de la Russie dans la victoire sur Daech en Syrie apprécié par Pékin

    Le Kremlin est convaincu que tous les pays capables de contribuer au règlement politique de la crise en Syrie doivent le faire. «Vous savez que la Russie travaille sans relâche dans ce domaine», a fait ressortir le responsable devant les journalistes.

    Le conflit armé se poursuit en Syrie depuis mars 2011. Selon l'Onu, il a déjà emporté la vie de plus de 220.000 personnes. Des négociations en vue d'un règlement se tiennent régulièrement à Astana et à Genève. À la demande du Président syrien Bachar el-Assad, la Russie a entamé, le 30 septembre 2015, des frappes aériennes contre les sites des terroristes en Syrie. Avec le soutien de la Russie, Damas a réussi à renverser la situation et à passer à l'offensive. En décembre 2017, Vladimir Poutine a ordonné de commencer le retrait des troupes russes de ce pays.

    https://fr.sputniknews.com/international/201712201034409186-syrie-assad-russie/

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  13. Je suis revenu

    Paul Craig Roberts
    19 décembre 2017


    Chers amis, je vous ai dit que je serais de retour cette semaine, mais ce n'est que par la peau de mes dents. Lorsque j'ai rendu ma voiture de location à l'aéroport d'Atlanta le dimanche 17 décembre, je me suis renseigné sur l'emplacement du train qui vous conduit au terminal. La réponse a été que le train ne fonctionnait pas, mais les bus vous emmèneraient au terminal.

    Je suis allé dans les bus présumés seulement pour trouver des masses de gens qui attendaient dans une ligne de plus en plus longue de plusieurs centaines de mètres dans le froid extérieur sans aucune information sauf la panne de courant complète de tout l'aéroport. Il n'y avait pas de bus.

    Comme vous le savez, je me réfère parfois à des «Américains stupides», et maintenant je dois avouer que je l'étais pendant environ une heure avant de réaliser une panne de courant complète à l'aéroport d'Atlanta, en raison de l'incapacité des autorités aéroportuaires à Un oeil sur le système d'alimentation, signifiait qu'un aéroport qui surdimensionné ne se remettrait que longtemps après l'arrivée du courant, ce qui ne s'est jamais produit dimanche.

    Dérangé par mon absence d'intelligence instantanée, j'ai rapidement abandonné ma place dans une ligne qui n'a jamais atteint son but et j'ai loué une voiture que j'ai conduite jusqu'à ma destination.

    Les économistes du marché libre sont opposés à la planification, et c'est pourquoi les aéroports deviennent si grands qu'ils sont dysfonctionnels. La fermeture d'Atlanta a affecté beaucoup plus que les compagnies aériennes.

    Comment se fait-il qu'un aéroport de la taille d'Atlanta ne dispose pas de réseaux de secours?

    Selon certains rapports, il y a eu des gens qui sont restés à bord des avions de ligne pendant six heures et qui n'ont jamais pu décoller.

    Qu'est-il arrivé à la file interminable de personnes qui attendaient dans les autobus pour les emmener dans un aéroport fermé? Ils n'ont jamais compris qu'ils attendaient Godot. Il n'y avait pas de transport hors de cet endroit, sauf la location de voitures. Si vous étiez le dernier à réaliser, vous étiez pris au piège.

    C'est l'Amérique aujourd'hui. Rien ne fonctionne. Quand je suis né, l'Amérique était une superpuissance. Aujourd'hui, c'est un pays du tiers-monde Pourtant, les politiciens à Washington pensent que l'Amérique est toujours une puissance majeure alors qu'en réalité l'Amérique ne peut même pas fournir des emplois à sa force de travail. Après 16 ans et un billion de dollars, l'Amérique n'a pas réussi à vaincre quelques milliers de talibans légèrement armés en Afghanistan. C'était aux Russes de détruire ISIS.

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  14. Dès que j'ai quitté la location de voiture de l'aéroport d'Atlanta sur l'autoroute Interstate, j'ai remarqué que, au lieu de ma vitesse, la lecture dit pas de feu de freinage arrière côté passager. C'était une location de voiture premium. On m'avait loué une voiture qu'aucun de nombreux employés n'avait pris la peine de vérifier. La voiture a également été endommagée par le pare-chocs arrière qui n'était pas marqué sur mon contrat de location. Heureusement pour moi, malgré toute la confusion, j'ai eu la présence d'esprit de marcher autour de la voiture avant de partir et d'obtenir une reconnaissance des dommages existants. Sinon, j'aurais fait face à des frais de dommages de 2 000 $ ou 3 000 $.

    Alors, va être un Américain fier, comme Trump veut que tu sois.

    https://www.paulcraigroberts.org/2017/12/19/i-have-returned-2/

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    1. C'est la vieille histoire de La grenouille et le bœuf (de J. de la Fontaine) où, des personnes incapables de gouverner seulement un pays déclare vouloir gouverner l'Europe (CEE) ou, pourquoi pas, le monde !
      A savoir que ces personnes sont des gros cons. Ils ne savent pas gérer une épicerie et veulent ouvrir un supermarché ! Le pays le plus grand est la Russie (deux fois les USA) et, compte tenu des changements d'horaires et de la diversité, personnalité, qualité unique de chaque région, faut vraiment être champion pour gouverner un si grand territoire.
      Lorsque arrivent des immigrés, (j'ai pas dit des touristes !), là, çà se complique. Ils savent par avance qu'un gros con au pouvoir ne peux pas répondre partout. Ils en profitent ! Installent leurs lois, us & coutumes et crient au scandale raciste s'ils sont expulsés. Les complexes urbains sont de la même trempe. Qualité merdique qui mérite l'arrivée de l'IA au plus vite !

      Quand on voit l'incendie de L.A. on se fait du mauvais sang pour la Californie !!

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  15. Comment les États-Unis ont rôdé la Russie au début des années 1990


    par Tyler Durden
    21 décembre 2017 01h30
    Rédigé par Eric Zuesse via The Strategic Culture Foundation,


    En raison d'une décharge de données historique le 10 décembre, la plus grande escroquerie qui a eu lieu au 20ème siècle (ou peut-être jamais) est maintenant prouvée comme un fait historique; et cette escroquerie a été faite par le gouvernement des États-Unis, contre le gouvernement et le peuple de Russie, et elle continue aujourd'hui et ne cesse de s'aggraver sous tous les présidents américains.

    Il a été secrètement lancé par le président américain George Herbert Walker Bush dans la nuit du 24 février 1990; et, à moins qu'elle ne soit publiquement reconnue et répudiée pour qu'elle puisse s'arrêter, une guerre nucléaire entre les États-Unis et toute l'OTAN d'un côté, contre la Russie de l'autre, est inévitable à moins que la Russie capitule avant, ce qui serait beaucoup moins probable. une telle guerre nucléaire mondiale est maintenant.



    Cette escroquerie a finalement été montrée sans aucun doute, par ceci, la première libération complète de l'évidence.

    Cela démontre au-delà de tout doute raisonnable (comme vous le vérifierez d'après les preuves ici), que le président américain G.H.W. Bush (et son équipe) ont menti jusqu'au président soviétique Mikhaïl Gorbatchev (et son équipe) pour mettre fin à la guerre froide du côté russe, alors que l'équipe américaine était secrètement déterminée à ne jamais la terminer du côté des Etats-Unis et de l'OTAN. lui-même est conquis.

    Et cette escroquerie continue aujourd'hui, et ne cesse de s'aggraver pour les Russes.

    Jusqu'à présent, les apologistes du gouvernement américain ont été capables de mentir à propos de ces mensonges, comme s'il n'y en avait pas, et que Gorbatchev ne pensait pas vraiment que la question de l'OTAN était très importante pour l'avenir de la Russie. La seule limitation à l'expansion future de l'OTAN qui a été discutée lors des négociations pour mettre fin à la guerre froide était que l'OTAN ne s'étende pas vers l'Est (plus près de la Russie) en Allemagne, ne dépasse pas la ligne de démarcation existante entre l'Allemagne de l'Ouest et l'Allemagne de l'Est - aucune restriction à l'entrée dans l'OTAN d'autres pays de l'Est (alliés soviétiques) n'a été discutée. L'excuse désormais américaine selon laquelle l'accord ne concernait que l'Allemagne et non l'ensemble de l'Europe est maintenant définitivement réfutée par le plus gros dump de données jamais publié sur ces négociations.

    La sortie le 10 décembre, par les Archives de la Sécurité Nationale, d'un trésor de toute la documentation existante - 33 documents clés - qui leur a été mise à disposition par de nombreuses archives à travers le monde, et enfin réunis pour la toute première fois et dans l'ordre chronologique, il est clair que les mensonges des apologistes américains sur les mensonges étaient mensongers, pas des comptes précis de l'histoire, du tout.

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  16. Les assembleurs des Archives de la sécurité nationale supposent que les fausses promesses nombreuses et répétées qui ont été faites par l'équipe de Bush étaient des erreurs, au lieu de ce qu'elles étaient si clairement (mais vous le jugerez ici pour vous-même): des mensonges stratégiques Le but de Bush était que l'Amérique finisse par conquérir une future Russie isolée qui aurait alors peu ou pas d'alliés étrangers, et toutes les nations alliées de l'Union Soviétique elle-même et au-delà, y compris toute son ancienne Varsovie. Les alliés du pacte, seraient finalement engloutis par le bloc États-Unis-OTAN, qui serait alors en mesure de dicter, à une nation finalement seule de la Russie, les termes de la reddition finale de la Russie aux États-Unis. être clairement vrai, même s'il le nie et dit que seuls Bill Clinton et les présidents suivants étaient à blâmer) est maintenant exposé de manière irréfutable à être le plan américain depuis la présidence de GHW Bush.

    En d'autres termes: Cette publication des documents sur le tournant décisif, fournit des preuves de base que les États-Unis n'avaient jamais vraiment été dans la guerre froide contre le communisme; Les États-Unis visaient plutôt à devenir la nation impériale, contrôlant la planète entière.

    Pour l'État profond des États-Unis, ou ce que le président Eisenhower appelait le «complexe militaro-industriel», la guerre froide était en réalité une question d'empire et de conquête, pas vraiment d'idéologie. Cela avait également été démontré, par exemple, par le fait que l'Amérique avait aidé tant de nazis «anciens» à s'échapper et à venir en Amérique et à être payée maintenant par le gouvernement américain. Après la Seconde Guerre mondiale, le plus haut niveau de la structure de pouvoir des États-Unis devint de plus en plus pris par le complexe militaro-industriel America's Deep State, de sorte que le gouvernement américain est de plus en plus dans une «guerre perpétuelle pour une paix perpétuelle». état et économie: fascisme.

    Voici donc les faits saillants de cette archive de données historiques, présentés par ordre chronologique, tout comme dans la version elle-même, et avec un minimum de commentaires ajoutés de moi-même [placés entre parenthèses], mais qui effacent tous les inconséquences , et ne laissant que le noyau stable et doré de la supercherie américaine incroyablement réussie de la Russie. Ce sont ces faits saillants, tirés des archives de sécurité nationale intitulées «Expansion de l'OTAN: ce que Gorbatchev a entendu» et sous-titre «Des documents déclassifiés montrent des garanties de sécurité contre l'expansion de l'OTAN aux dirigeants soviétiques de Baker, Bush, Genscher, Kohl, Gates, Mitterrand, Thatcher, Hurd, Major, et Woerner, "de sorte que les arnaqueurs (ou comme les archives de la sécurité nationale les considèrent comme des bourreaux à la place) peuvent être immédiatement reconnus et connus.

    Tous ces documents se rapportent à des négociations qui se sont déroulées tout au long du mois de février 1990, et quelques-unes concernent également les conséquences immédiates. C'est la période cruciale, quand la réalité géostratégique d'aujourd'hui (que tout le monde sait maintenant être une continuation de la Guerre froide, mais cette fois contre la Russie, et non contre l'Union Soviétique et son Pacte de Varsovie) a été créée.

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  17. Au début des négociations, le ministre allemand des Affaires étrangères, Hans-Dietrich Genscher, a annoncé publiquement au monde entier l'offre initiale du président allemand au président de l'Union soviétique, Mikhaïl Gorbatchev, et cette offre n'incluait pas la résiliation simultanée. des deux alliances militaires - le Pacte de Varsovie des Soviets et l'OTAN américaine - mais seulement la promesse que l'OTAN n'absorberait aucun territoire supplémentaire, en particulier à l'est de l'Allemagne de l'Ouest (et cette promesse publique n'a jamais été tenue). Donc, dès le départ, il n'y avait pas de fin réelle de la guerre froide qui était proposée par le groupe américain, mais seulement un arrangement qui ne menacerait pas la Russie plus que la scission qui existait alors en Allemagne (et pourtant cette promesse s'est révélée être un mensonge):

    Document 01

    L'Ambassade des Etats-Unis à Bonn au Secrétaire d'Etat sur le discours du Ministre allemand des Affaires étrangères: Genscher présente sa vision d'une nouvelle architecture européenne.

    1990-02-01

    Source: Département d'État américain. Salle de lecture FOIA. Affaire F-2015 10829

    "Cette ambassade américaine de Bonn rapporte à Washington les détails des propositions de Hans-Dietrich Genscher: que l'OTAN ne s'étendrait pas vers l'Est et que l'ancien territoire de la RDA dans une Allemagne unifiée serait traité différemment des autres territoires de l'OTAN."

    Document 02

    M. Hurd à sir C. Mallaby (Bonn). Telegraphic N. 85: Appel du Secrétaire d'Etat à M. Genscher: Unification allemande.

    1990-02-06

    Source: Documents sur la politique britannique outre-mer, série III, volume VII: Unification allemande, 1989-1990.

    "Le point de vue ultérieur du Département d'Etat américain sur les négociations d'unification allemandes, exprimé dans un télégramme de 1996 envoyé à tous les postes, affirme à tort que toute la négociation sur l'avenir de l'Allemagne limitait sa discussion sur l'avenir de l'OTAN. l'ex-RDA. "[Les Archives de la sécurité nationale qualifient de" fausses "les affirmations du Département d'Etat de l'ère Bill-Clinton qui ne sont pas étayées par les éléments de preuve qu'elles ont effectivement présentés lors des négociations de février 1990.]

    Document 03

    Note de Paul H. Nitze à George H.W. Bush sur la rencontre "Forum pour l'Allemagne" à Berlin.

    1990-02-06

    Source: Bibliothèque présidentielle George H. W. Bush

    "Cette note concise au président Bush de l'un des architectes de la guerre froide, Paul Nitze (basé à son école éponyme Université Johns Hopkins d'études internationales), capture le débat sur l'avenir de l'OTAN au début de 1990. Nitze raconte que Europe centrale et orientale Les dirigeants participant à la conférence «Forum pour l'Allemagne» à Berlin prônaient la dissolution des deux blocs de superpuissance, l'OTAN et le Pacte de Varsovie, jusqu'à ce que lui (et quelques Européens de l'Ouest) reviennent sur ce point de vue. de la stabilité et de la présence américaine en Europe. "

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  18. Document 04

    Mémorandum de conversation entre James Baker et Eduard Shevardnadze à Moscou.

    1990-02-09

    Source: Département d'État des États-Unis, FOIA 199504567 (Collection de points éclair des archives de la sécurité nationale, encadré 38)

    "Baker dit au ministre des affaires étrangères soviétique:" Une Allemagne neutre acquerrait sans aucun doute sa propre capacité nucléaire indépendante. Cependant, une Allemagne solidement ancrée dans une OTAN modifiée, c'est-à-dire une OTAN qui est beaucoup moins une organisation militaire, beaucoup plus politique, n'aurait pas besoin de capacités indépendantes. Il faudrait, bien sûr, être une garantie absolue que la juridiction ou les forces de l'OTAN ne se déplaceraient pas vers l'est. "

    Document 05

    Mémorandum de conversation entre Mikhaïl Gorbatchev et James Baker à Moscou.

    1990-02-09

    Source: Département d'État des États-Unis, FOIA 199504567 (Collection de points éclair des archives de la sécurité nationale, encadré 38)

    "Même avec des expurgations (injustifiées) par des officiers de classification américains, cette transcription américaine de l'assurance américaine peut-être la plus célèbre sur l'expansion de l'OTAN confirme la transcription soviétique de la même conversation. Répétant ce que Bush a déclaré lors du sommet de Malte en décembre 1989, Baker dit à Gorbatchev: «Le président et moi avons clairement indiqué que nous ne recherchons aucun avantage unilatéral dans ce processus d'unification allemande inévitable. Baker poursuit en disant: «Nous comprenons le besoin d'assurances pour les pays de l'Est. Si nous maintenons une présence dans une Allemagne qui fait partie de l'OTAN, il n'y aurait pas d'extension de la juridiction de l'OTAN aux forces de l'OTAN d'un pouce à l'est. "

    Document 06

    Compte rendu de conversation entre Mikhaïl Gorbatchev et James Baker à Moscou. (Extraits)

    1990-02-09

    Source: Archives de la Fondation Gorbatchev, Fond 1, Opis 1.

    "L'échange de clés a lieu quand Baker demande si Gorbatchev préfèrerait" une Allemagne unifiée en dehors de l'OTAN, absolument indépendante et sans troupes américaines; ou une Allemagne unie gardant ses liens avec l'OTAN, mais avec la garantie que la juridiction ou les troupes de l'OTAN ne s'étendront pas à l'est de la frontière actuelle. »Passant à l'unification allemande, Baker assure à Gorbatchev que« ni le président ni moi Les Américains comprennent l'importance pour l'URSS et l'Europe des garanties que «pas un pouce de la juridiction militaire actuelle de l'OTAN ne s'étendra vers l'Est».

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  19. Document 07

    Mémorandum de conversation entre Robert Gates et Vladimir Kryuchkov à Moscou.

    1990-02-09

    Source: George H.W. Bibliothèque présidentielle Bush, NSC Scowcroft Files, Box 91128, Dossier "Gorbatchev (Dobrynin) sensible."

    Cette conversation est particulièrement importante parce que des chercheurs subséquents ont spéculé que le secrétaire Baker avait peut-être parlé au-delà de son exposé dans sa conversation «pas un pouce vers l'est» avec Gorbatchev. Robert Gates, ancien analyste des renseignements de la CIA et spécialiste de l'URSS, raconte à son homologue, le chef du KGB, dans son bureau du siège du KGB de Lubyanka, exactement ce que Baker a dit à Gorbatchev ce jour-là au Kremlin. : pas un pouce vers l'est. À ce moment-là, Gates était le premier adjoint au conseiller de la sécurité nationale du président, le général Brent Scowcroft, alors ce document parle d'une approche coordonnée par le gouvernement américain à Gorbatchev. "

    Document 08

    Lettre de James Baker à Helmut Kohl

    1990-02-10

    Source: Deutsche Enheit Sonderedition und den Akten des Budeskanzleramtes 1989/90

    "Baker remarque en particulier la réponse sans réserve de Gorbatchev à la question sur une Allemagne neutre par rapport à une Allemagne de l'OTAN avec des engagements contre l'expansion vers l'Est."

    Document 09

    Mémorandum de conversation entre Mikhaïl Gorbatchev et Helmut Kohl

    1990-02-10

    Source: Mikhaïl Gorbatchev i germanskii vopros, édité par Alexander Galkin et Anatoly Chernyaev, (Moscou: Ves Mir, 2006)

    »Préparé par la lettre de Baker et la formule de Tutzing de son propre ministre des Affaires étrangères, Kohl, au début de la conversation, assure Gorbatchev:« Nous croyons que l'OTAN ne devrait pas étendre la sphère de son activité. Nous devons trouver une solution raisonnable. Je comprends parfaitement les intérêts de sécurité de l'Union Soviétique, et je me rends compte que vous, Monsieur le Secrétaire Général, et les dirigeants soviétiques devront expliquer clairement ce qui arrive au peuple soviétique. »Plus tard, les deux dirigeants se disputent l'OTAN et Varsovie. Pacte, avec Gorbatchev commentant: «Ils disent ce qu'est l'OTAN sans la RFA. Mais nous pourrions aussi nous demander: Qu'est-ce que l'OMC sans la RDA? »Quand Kohl n'est pas d'accord, Gorbatchev appelle simplement« des solutions raisonnables qui n'empoisonnent pas l'atmosphère dans nos relations »et dit que cette partie de la conversation ne devrait pas être rendue publique.

    Document 10-1

    Teimuraz Stepanov-Mamaladze note de la conférence sur ciel ouvert, Ottawa, Canada.

    1990-02-12

    Source: Archives de l'Institution Hoover, Collection Stepanov-Mamaladze.

    «Les notes des premiers jours de la conférence sont très succinctes, mais elles contiennent une ligne importante qui montre que Baker a offert la même formule d'assurance à Ottawa qu'à Moscou:« Et si U [nited] G [hermannen] reste à l'OTAN , nous devrions prendre soin de l'inexpansion de sa juridiction à l'Est. "

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  20. Document 10-2

    Journal de Teimuraz Stepanov-Mamaladze, 12 février 1990.

    1990-02-12

    Source: Archives de l'Institution Hoover, Collection Stepanov-Mamaladze.

    "Cette entrée dans le journal témoigne, d'un point de vue critique, que les Etats-Unis et l'Allemagne de l'Ouest ont donné à Moscou des assurances concrètes sur le maintien de l'OTAN à sa taille et à sa portée actuelles. En fait, l'agenda indique en outre qu'au moins, selon Shevardnadze, ces assurances équivalaient à un accord - que Gorbatchev a accepté. "

    Document 10-3

    Journal de Teimuraz Stepanov-Mamaladze, 13 février 1990.

    1990-02-13

    Source: Archives de l'Institution Hoover, Collection Stepanov-Mamaladze.

    "Stepanov-Mamaladze décrit des négociations difficiles sur le libellé exact de la déclaration commune. ... "Pendant la journée, des jeux actifs se déroulaient entre eux. E.A. [Shevardnadze] a rencontré Baker à cinq reprises, deux fois avec Genscher, avec Fischer [ministre des Affaires étrangères de la RDA], Dumas [ministre français des Affaires étrangères] et les ministres des pays de l'ATS, et enfin, le texte du règlement a été arrêté.

    Document 11

    Département d'État des États-Unis, «Two Plus Four: Avantages, préoccupations possibles et points de réfutation».

    1990-02-21

    Source: Libération FOIA du Département d'État, Collection Flashpoints des archives de la sécurité nationale, Encadré 38.

    "La crainte américaine était que les Allemands de l'Ouest fassent leur propre affaire avec Moscou pour une unification rapide, abandonnant certaines des lignes de fond pour les Etats-Unis, principalement l'adhésion à l'OTAN."

    Document 12-1

    Mémorandum de conversation entre Vaclav Havel et George Bush à Washington.

    1990-02-20

    Source: George H.W. Bibliothèque présidentielle de Bush, Memcons et Telcons (https://bush41library.tamu.edu/)

    "Bush a profité de l'occasion pour faire des conférences au leader tchèque sur la valeur de l'OTAN et son rôle essentiel en tant que base de la présence américaine en Europe".

    Document 12-2

    Mémorandum de conversation entre Vaclav Havel et George Bush à Washington.

    1990-02-21

    Source: George H.W. Bibliothèque présidentielle de Bush, Memcons et Telcons (https://bush41library.tamu.edu/)

    "La demande de Bush à Havel de transmettre le message à Gorbatchev que les Américains le soutiennent personnellement, et que" Nous ne nous conduirons pas de la mauvaise façon en disant "nous gagnons, vous perdez." Soulignant le point, Bush dit, "dites à Gorbatchev Je vous ai demandé de dire à Gorbatchev que nous ne nous conduirions pas en ce qui concerne la Tchécoslovaquie ou tout autre pays d'une manière qui compliquerait les problèmes dont il a si franchement discuté avec moi. »Le dirigeant tchécoslovaque ajoute sa propre mise en garde aux Américains procéder à l'unification de l'Allemagne et aborder les insécurités soviétiques. Havel fait remarquer à Bush: «C'est une question de prestige».

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  21. [Je pense que Havel a été trompé à croire que le "prestige" était la question ici. C'est ce que l'équipe américaine voulait que l'équipe soviétique pense être la principale motivation de l'équipe américaine pour vouloir que l'OTAN continue. Mais les événements historiques ultérieurs, en particulier l'action de l'équipe américaine sous le président Bill Clinton et Donald Trump pour étendre l'OTAN à presque tous les pactes de Varsovie et de l'Union Soviétique à l'exception de la Russie, à l'OTAN, prouvent que L'agression contre la Russie a été l'objectif des États-Unis depuis le début, et le gouvernement américain a travaillé assidûment à ce plan de conquête ultime. Je pense que l'utilisation par Havel du mot «prestige» a été très révélatrice du snooking total de Gorbatchev réalisé par Bush. Gorbatchev et son équipe ont fait confiance aux Etats-Unis. La Russie a payé cher pour cela. Si la partie américaine continue et que le gouvernement américain ne met pas volontairement fin à l'OTAN, la troisième guerre mondiale sera inévitable. L'OTAN se terminera soit après la «conquête» de la Russie, soit avant même que la «conquête» de la troisième guerre mondiale (probablement la destruction du monde entier) ne se produise. Le monde, aujourd'hui, décidera lequel. L'OTAN aurait dû se terminer en 1991, quand l'Union soviétique et son Pacte de Varsovie l'ont fait.]

    Document 13

    Mémorandum de conversation entre Helmut Kohl et George Bush à Camp David.

    1990-02-24

    Source: George H.W. Bibliothèque présidentielle de Bush, Memcons et Telcons (https://bush41library.tamu.edu/)

    Le principal souci de l'administration Bush face à l'unification allemande en février 1990 était que les Allemands de l'Ouest pourraient conclure leur propre accord bilatéral avec les Soviétiques (voir document 11) et accepter de négocier l'adhésion à l'OTAN. ... Le chancelier allemand arrive à Camp David sans le ministre des Affaires étrangères Genscher parce que celui-ci ne partage pas entièrement la position de Bush-Kohl sur l'adhésion de l'Allemagne à l'OTAN et il a récemment irrité les deux dirigeants en parlant publiquement de la CSCE. Mécanisme de sécurité européen. [11] ... La priorité de Bush est de maintenir la présence américaine, en particulier le parapluie nucléaire, en Europe: "si les forces nucléaires américaines sont retirées d'Allemagne, je ne vois pas comment nous pouvons persuader un autre allié sur le continent de conserver ces armes". [Bush voulait que Lockheed et les autres fabricants d'armes américains continuent de prospérer après la fin de la guerre froide - pas pour que le marché des armes nucléaires prenne fin. Bush a poursuivi:] "Nous avons une pensée étrange dans notre Congrès aujourd'hui, des idées comme ce dividende de la paix. Nous ne pouvons pas faire cela en ces temps incertains. »[Pour l'équipe américaine,« la guerre perpétuelle pour la paix perpétuelle »serait la voie à suivre; un 'dividende de la paix' était la dernière chose qu'ils voulaient - jamais.] ... À un moment de la conversation, Bush semble considérer son homologue soviétique non comme un partenaire mais comme un ennemi vaincu. Se référant à des discussions dans certains quartiers soviétiques contre l'Allemagne qui reste à l'OTAN, il dit: «Au diable avec ça. Nous avons prévalu et ils ne l'ont pas fait. Nous ne pouvons pas laisser les Soviétiques agripper la victoire de la défaite. »[J'avais auparavant placé cette déclaration secrète cruciale de Bush dans une perspective historique, sous le titre« Comment l'Amérique a traversé la Russie et Shamed l'Occident ».

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  22. Document 14

    Mémorandum de conversation entre George Bush et Eduard Shevardnadze à Washington.

    1990-04-06

    Source: George H.W. Bibliothèque présidentielle de Bush, Memcons et Telcons (https://bush41library.tamu.edu/)

    Shevardnadze mentionne le prochain sommet de la CSCE et l'attente soviétique qu'il discutera des nouvelles structures de sécurité européennes. Bush ne contredit pas cela mais le lie aux questions de la présence américaine en Europe et de l'unification allemande à l'OTAN. Il déclare vouloir «contribuer à la stabilité et à la création d'un ensemble européen et libérer, ou comme vous l'appelez, un foyer européen commun. Une idée [n] qui est très proche de la nôtre. "Les Soviétiques interprètent - à tort - ceci comme une déclaration que l'administration américaine partage l'idée de Gorbatchev."

    Document 15

    Sir R. Braithwaite (Moscou). Télégramme n ° 667: "Rencontre du secrétaire d'Etat avec le président Gorbatchev."

    1990-04-11

    Source: Documents sur la politique britannique outre-mer, série III, volume VII: Unification allemande, 1989-1990. (Bureau des Affaires étrangères et du Commonwealth.

    "Le télégramme de l'ambassadeur Braithwaite résume la rencontre entre le secrétaire d'Etat aux Affaires étrangères et du Commonwealth Douglas Hurd et le président Gorbatchev, notant l'humeur expansive de Gorbatchev." Gorbatchev demande au secrétaire de lui faire part de la lettre de Margaret Thatcher après son sommet avec Kohl. qui, selon Gorbatchev, suivait les lignes de conduite que Gorbatchev et Thatcher avaient discutées dans leur récent appel téléphonique, sur la base duquel le dirigeant soviétique avait conclu que «les positions britannique et soviétique étaient très proches».

    Document 16

    Valentin Falin Mémorandum à Mikhaïl Gorbatchev (Extraits)

    1990-04-18

    Source: Mikhaïl Gorbatchev i germanskii vopros, édité par Alexander Galkin et Anatoly Chernyaev, (Moscou: Ves Mir, 2006)

    "Ce mémorandum de l'expert le plus ancien du Comité central sur l'Allemagne ressemble à un appel de réveil pour Gorbatchev. Falin le dit sans ambages: alors que la politique européenne soviétique est tombée dans l'inactivité et même la dépression après les élections du 18 mars en Allemagne de l'Est, Gorbatchev lui-même a laissé Kohl accélérer le processus d'unification, ses compromis sur l'Allemagne ne peuvent que conduire à la perte de son objectif principal pour l'Europe - la maison européenne commune. «En résumé, les six derniers mois, il faut conclure que la« maison commune européenne », qui était une tâche concrète que les pays du continent commençaient à mettre en œuvre, est en train de devenir un mirage. Faisant remarquer à Gorbatchev qu'il accepte l'unification allemande de l'OTAN, Falin note (à juste titre) que «les États occidentaux violent déjà le principe du consensus en concluant des accords préliminaires entre eux» concernant l'unification allemande et l'avenir de l'Europe. Il note la «culture intensive de l'Occident non seulement de l'OTAN mais aussi de nos alliés du Pacte de Varsovie» dans le but d'isoler l'URSS. ... Il suggère également d'utiliser les négociations sur le contrôle des armements à Vienne et à Genève comme levier si l'Occident continue de tirer parti de la flexibilité soviétique. ... L'idée principale de la note est d'avertir Gorbatchev de ne pas être naïf sur les intentions de ses partenaires américains: "L'Occident nous joue un rôle, promettant de respecter les intérêts de l'URSS, mais en pratique, pas à pas, nous séparant de "Europe traditionnelle". "

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  23. Document 17

    James A. Baker III, Mémorandum pour le président, "Ma rencontre avec Shevardnadze."

    1990-05-04

    Source: Bibliothèque présidentielle de George H. W. Bush, dossiers de Scowcroft NSC, boîte 91126, dossier "Gorbatchev (Dobrynin) sensible 1989 - juin 1990 [3]"

    "Baker rapporte," J'ai également utilisé votre discours et notre reconnaissance de la nécessité d'adapter l'OTAN, politiquement et militairement, et de développer la CSCE pour rassurer Shevardnadze que le processus ne donnerait pas de gagnants et de perdants. Au lieu de cela, cela produirait une nouvelle structure européenne légitime - une structure qui serait inclusive et non exclusive. "

    Document 18

    Compte rendu de conversation entre Mikhaïl Gorbatchev et James Baker à Moscou.

    1990-05-18

    Source: Archives de la Fondation Gorbatchev, Fond 1

    "Quand Gorbatchev évoque la nécessité de construire de nouvelles structures de sécurité pour remplacer les blocs, Baker laisse échapper une réaction personnelle qui révèle beaucoup de la véritable position américaine sur le sujet:" C'est bien de parler de structures de sécurité paneuropéennes, le rôle du CSCE. C'est un rêve merveilleux, mais juste un rêve. En attendant, l'OTAN existe. ... "Gorbatchev suggère que si les Etats-Unis insistent sur l'Allemagne à l'OTAN, il" annoncera publiquement que nous voulons aussi rejoindre l'OTAN. "Shevardnadze va plus loin, offrant une observation prophétique:" Si l'Allemagne devient un membre de l'OTAN, elle va exploser perestroïka. Nos gens ne nous pardonneront pas. Les gens diront que nous avons fini par les perdants, pas les gagnants. "

    Document 19

    Compte rendu de conversation entre Mikhaïl Gorbatchev et François Mitterrand (extraits).

    1990-05-25

    Source: Mikhaïl Gorbatchev et Germanski vopros

    "[Miterrand] implique que l'OTAN n'est pas la question clé aujourd'hui et pourrait être noyée dans de nouvelles négociations; plutôt, l'important est d'assurer la participation soviétique dans le nouveau système de sécurité européen. Il répète qu'il est «personnellement en faveur du démantèlement progressif des blocs militaires». Gorbatchev exprime sa méfiance et sa méfiance à l'égard des efforts américains pour «perpétuer l'OTAN». [C'était une documentation extraordinaire que l'équipe américaine avait trompé Gorbatchev pour penser qu'ils étaient essayant de lui suggérer que les deux alliances militaires - l'OTAN et le Pacte de Varsovie - seraient terminées, mais que Gorbatchev était «prudent» et «suspect» que peut-être ils ne le pensaient pas vraiment. Étourdissant.]

    Document 20

    Lettre de François Mitterrand à George Bush

    1990-05-25

    Source: George H.W. Bibliothèque présidentielle Bush, NSC Scowcroft Files

    Fidèle à sa parole, Mitterrand écrit une lettre à George Bush décrivant la situation de Gorbatchev sur la question de l'unification allemande à l'OTAN, la qualifiant de véritable, non "fausse ou tactique". Il met en garde le président américain contre le fait accompli sans le consentement de Gorbatchev. ce qui implique que Gorbatchev pourrait riposter sur le contrôle des armes (exactement ce que Mitterrand lui-même - et Falin plus tôt - a suggéré dans sa conversation). Mitterrand plaide en faveur d'un «règlement de paix en droit international» officiel et informe Bush que, dans sa conversation avec Gorbatchev, il a «indiqué que, du côté occidental, nous ne refuserions certainement pas de détailler les garanties qu'il aurait un droit s'attendre à la sécurité de son pays. "

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  24. Document 21

    Record of conversation between Mikhail Gorbachev and George Bush. White House, Washington D.C.

    1990-05-31

    Source: Gorbachev Foundation Archive, Moscow, Fond 1, opis 1.[12]

    "Baker répète les neuf assurances faites précédemment par l'administration, y compris que les Etats-Unis acceptent maintenant de soutenir le processus paneuropéen et la transformation de l'OTAN afin d'éliminer la perception soviétique de la menace. La position préférée de Gorbatchev est l'Allemagne avec un pied à la fois dans l'OTAN et le Pacte de Varsovie - les «deux ancres» - créant une sorte d'adhésion associée. Baker intervient en disant que «les obligations simultanées d'un seul et même pays envers l'OMC et l'OTAN frappent la schizophrénie.» Après que le président américain ait abordé la question dans le contexte de l'accord d'Helsinki, Gorbatchev propose que le peuple allemand ait le droit de choisir leur alliance - ce qu'il a d'ailleurs déjà affirmé à Kohl lors de leur rencontre en février 1990. Ici, Gorbatchev dépasse largement son mandat et encourt la colère des autres membres de sa délégation, notamment le fonctionnaire du portefeuille allemand, Valentin Falin, et Le maréchal Sergey Akhromeyev. Gorbatchev émet un avertissement clé sur l'avenir: «Si le peuple soviétique a l'impression que nous sommes ignorés dans la question allemande, alors tous les processus positifs en Europe, y compris les négociations à Vienne [sur les forces conventionnelles], seraient en grave danger . Ce n'est pas juste du bluff. C'est simplement que les gens vont nous forcer à nous arrêter et à regarder autour de nous. "C'est un aveu remarquable sur les pressions politiques intérieures du dernier dirigeant soviétique."

    Document 22

    Lettre de M. Powell (N. 10) à M. Wall: mémoire de Thatcher-Gorbatchev.

    1990-06-08

    Source: Documents sur la politique britannique outre-mer, série III, volume VII: Unification allemande, 1989-1990. (Bureau des affaires étrangères et du Commonwealth

    "Gorbatchev dit qu'il veut" être complètement franc avec le Premier ministre "que si les processus devaient devenir unilatéraux," il pourrait y avoir une situation très difficile [et] l'Union Soviétique sentirait sa sécurité compromise ", répond Thatcher. fermement qu'il n'était dans l'intérêt de personne de mettre en péril la sécurité soviétique: «nous devons trouver des moyens de donner à l'Union soviétique l'assurance que sa sécurité sera assurée».

    Document 23

    Compte rendu de conversation entre Mikhaïl Gorbatchev et Helmut Kohl, Moscou (Extraits).

    1990-07-15

    Source: Mikhaïl Gorbatchev et Germanski vopros

    "Cette conversation clé entre le chancelier Kohl et le président Gorbatchev définit les derniers paramètres de l'unification allemande. Kohl parle à plusieurs reprises de la nouvelle ère des relations entre une Allemagne unie et l'Union soviétique, et de la manière dont cette relation contribuerait à la stabilité et à la sécurité européennes. Gorbatchev exige des garanties sur la non-expansion de l'OTAN: «Nous devons parler de la non-prolifération des structures militaires de l'OTAN sur le territoire de la RDA et y maintenir les troupes soviétiques pendant une certaine période de transition». a déjà commencé à se transformer. Pour lui, la promesse de non-expansion de l'OTAN sur le territoire de la RDA signifie que l'OTAN ne profiterait pas de la volonté soviétique de faire des compromis sur l'Allemagne. "

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  25. [Bien sûr, Gorbatchev n'a jamais su que Bush avait chargé ses agents, dans la nuit du 24 février 1990, "Au diable de ça. Nous avons prévalu et ils ne l'ont pas fait. Nous ne pouvons pas laisser les Soviétiques agripper la gueule de la défaite ", indiquant que pour l'aristocratie américaine, la conquête d'une Russie isolée était le but ultime - la fin de la guerre froide n'existerait pas tant que les Etats-Unis ne conquerraient pas la Russie - attrape le tout. Gorbatchev était, il est maintenant absolument indéniable, escroqué.]

    Document 24

    Mémorandum de conversation téléphonique entre Mikhaïl Gorbatchev et George Bush

    1990-07-17

    Source: George H.W. Bibliothèque présidentielle de Bush, Memcons and Telcons ((https://bush41library.tamu.edu/)

    "Dans cet appel téléphonique, Bush développe les garanties de sécurité de Kohl et renforce le message de la Déclaration de Londres:" Ce que nous avons essayé de faire était de tenir compte de vos préoccupations exprimées envers moi et les autres, et nous l'avons fait: par notre déclaration commune sur la non-agression; dans notre invitation à venir à l'OTAN; dans notre accord d'ouvrir l'OTAN à des contacts diplomatiques réguliers avec votre gouvernement et ceux des pays d'Europe de l'Est; et notre offre d'assurances sur la taille future des forces armées d'une Allemagne unie - une question dont je sais que vous avez discuté avec Helmut Kohl. Nous avons également fondamentalement changé notre approche militaire sur les forces conventionnelles et nucléaires. Nous avons transmis l'idée d'une CSCE élargie et plus forte avec de nouvelles institutions dans lesquelles l'URSS peut partager et faire partie de la nouvelle Europe. "

    Document 25

    12 septembre Deux ministres plus quatre à Moscou: compte rendu détaillé [comprend le texte du traité sur le règlement définitif à l'égard de l'Allemagne et le procès-verbal agréé du traité sur le statut militaire spécial de la RDA après l'unification]

    1990-11-02

    Source: George H.W. Bibliothèque présidentielle Bush, NSC Condoleezza Rice Files

    "Le texte convenu du traité final sur l'unification allemande. Le traité a codifié ce que Bush avait précédemment offert à Gorbatchev - «statut militaire spécial» pour l'ancien territoire de la RDA. À la dernière minute, les inquiétudes britanniques et américaines que la langue limiterait les mouvements de troupes de l'OTAN à l'urgence ont forcé l'inclusion d'une «minute» laissant à l'Allemagne nouvellement unifiée et souveraine le sens du mot «déployé». Kohl avait promis à Gorbatchev que seules les troupes allemandes de l'OTAN seraient autorisées sur ce territoire après le départ des Soviétiques, et l'Allemagne tenait à cet engagement, même si la «minute» devait permettre aux autres troupes de l'OTAN de s'y déplacer ou de s'y entraîner temporairement. Par la suite, les aides de Gorbatchev, tels que Pavel Palazhshenko, invoquaient le libellé du traité pour soutenir que l'expansion de l'OTAN violait «l'esprit» de ce traité de règlement final.

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  26. [De toute évidence, maintenant, il n'y avait pas de "règlement final" du tout.]

    Document 26

    Département d'État des États-Unis, Bureau européen: Document de stratégie révisé de l'OTAN pour discussion à la réunion des sous-groupes

    1990-10-22

    Source: Bibliothèque présidentielle George H. W. Bush, NSC Heather Wilson Files,

    «Les chefs conjoints et d'autres organismes estiment qu'une menace soviétique potentielle demeure et constitue une justification fondamentale pour la poursuite de l'OTAN.» Dans le même temps, dans la discussion sur l'adhésion éventuelle de l'Europe de l'Est à l'OTAN, l'examen suggère que Dans le contexte actuel, il n'est pas dans le meilleur intérêt de l'OTAN ou des États-Unis que ces États bénéficient de la pleine adhésion à l'OTAN et de ses garanties de sécurité: «Les États-Unis ne souhaitent pas organiser une coalition antisoviétique dont la frontière est la Frontière soviétique - notamment en raison de l'impact négatif que cela pourrait avoir sur les réformes en URSS. Les bureaux de liaison de l'OTAN feraient pour le moment, conclut le groupe, mais la relation se développera à l'avenir. En l'absence de la confrontation de la guerre froide, les fonctions «hors zone» de l'OTAN devront être redéfinies. »[Clairement, ils voulaient que la porte tournante leur permette d'accéder à des positions bien rémunérées soutenues par des départs à la retraite avec seulement des pensions militaires. Ou bien, ils aimaient simplement la guerre et, comme Bush, ne voulaient pas qu'il y ait un quelconque «dividende de la paix».]

    Document 27

    James F. Dobbins, Bureau européen du Département d'État, Mémorandum au Conseil de sécurité nationale: Document d'examen de la stratégie de l'OTAN pour le 29 octobre.

    1990-10-25

    Source: Bibliothèque présidentielle George H. W. Bush: fichiers NSC Philip Zelikow

    "Cette note concise vient du Bureau européen du Département d'Etat comme une note de couverture pour les documents d'information pour une réunion prévue le 29 octobre 1990 sur les questions de l'expansion de l'OTAN et la coopération européenne de défense avec l'OTAN. Le plus important est le résumé du débat interne au sein de l'administration Bush, principalement entre le Département de la Défense (en particulier le Bureau du Secrétaire à la Défense, Dick Cheney) et le Département d'Etat. Sur la question de l'expansion de l'OTAN, l'OSD «souhaite laisser la porte ouverte» tandis que l'État «préfère simplement noter que la discussion sur l'élargissement de l'adhésion n'est pas à l'ordre du jour ...» L'administration Bush adopte effectivement la position de l'État. La vue de la défense prévaudrait dans la prochaine administration. "

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  27. [Cette allégation, par les Archives de la sécurité nationale, fondamentalement dénaturé, par son hypothèse sous-jacente que les déclarations de l'administration Bush telle que cette OTAN se déplaceraient "pas un pouce vers l'est" n'étaient pas mensonges mais reflétaient l'intention réelle de Bush. Ils ignorent tout à fait que Bush ait secrètement dit à ses vassaux dans la nuit cruciale du 24 février 1990: «Au diable avec ça. Nous avons prévalu et ils ne l'ont pas fait. Nous ne pouvons pas laisser les Soviétiques agripper la victoire des griffes de la défaite. "Gorbatchev a estimé que ce devait être un jeu gagnant-gagnant; mais, les Etats-Unis étaient maintenant sous des instructions secrètes que ce devait être purement plus du jeu gagnant-perdant, et que maintenant une Russie solitaire finirait par être son perdant ultime. La déclaration méprisable des Archives de la sécurité nationale, "et pourtant l'opinion de la Défense prévaudra dans la prochaine administration", présume qu'elle ne l'a pas déjà "prévalu" dans l'administration Bush elle-même. Il a prévalu réellement dans George Herbert Walker Bush lui-même, et pas seulement dans son département de la Défense. Bush a brillamment profité de la décence de Gorbatchev et de l'attente que Bush, comme lui, était décent. Bush a menti - et son équipe et leurs successeurs ont depuis réalisé son plan vicieux. Les Archives de la sécurité nationale minimisent l'insignifiance de l'instruction cruciale de Bush à son peuple: «Au diable avec ça. Nous avons prévalu et ils ne l'ont pas fait. Nous ne pouvons pas laisser les Soviétiques agripper la victoire des griffes de la défaite. "Cette déclaration, à ce moment crucial, est ce qui nous permet de comprendre ce qui se passait réellement tout au long de ces négociations. Les Archives blâmant seulement Bill Clinton et les autres Présidents après Bush est un mensonge méprisable. Et ce n'était pas seulement "l'opinion de la Défense" - Cheney - qui prévalait au sein de l'administration Bush là-bas. Cheney, comme Baker, faisait ce que GHW Bush leur avait demandé de faire. Le boulot de Baker était de mentir. Si ce n'était pas le cas, il aurait dit à Gorbatchev le lendemain de ne pas faire confiance à ce que disait l'équipe de Bush, mais d'exiger que tout soit mis par écrit dans le document final, et d'assumer le pire en ce qui concerne L'équipe Bush refusait de mettre par écrit dans le document final. Baker était un avocat, et un menteur très qualifié, qui faisait juste son travail pour Bush. Pour une raison inexplicable, les Archives de la sécurité nationale supposent simplement le contraire.]

    Document 28

    Journal de l'Ambassadeur Rodric Braithwaite, 05 mars 1991

    1991-03-05

    Source: Journal personnel de Rodric Braithwaite

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  28. "L'ambassadeur britannique Rodric Braithwaite était présent pour un certain nombre d'assurances données aux dirigeants soviétiques en 1990 et 1991 sur l'expansion de l'OTAN. Dans son journal, Braithwaite décrit une rencontre entre le Premier ministre britannique John Major et des responsables militaires soviétiques, conduite par le ministre de la Défense, le maréchal Dmitri Yazov. La réunion a eu lieu lors de la visite du major à Moscou et juste après son face-à-face avec le président Gorbatchev. Lors de la rencontre avec le major, Gorbatchev avait exprimé ses inquiétudes sur la nouvelle dynamique de l'OTAN: «Dans le contexte des processus favorables en Europe, je commence à recevoir des informations selon lesquelles certains cercles entendent renforcer l'OTAN comme principal instrument de sécurité en Europe. Auparavant, ils ont parlé de changer la nature de l'OTAN, de la transformation des blocs militaro-politiques existants en structures paneuropéennes et des mécanismes de sécurité. Et maintenant, soudainement, [ils parlent] d'un rôle spécial de maintien de la paix de l'OTAN. Ils parlent encore de l'OTAN comme pierre angulaire. Cela ne semble pas être complémentaire de la maison européenne commune que nous avons commencé à construire. "Le major a répondu:" Je crois que vos pensées sur le rôle de l'OTAN dans la situation actuelle sont le résultat d'un malentendu. Nous ne parlons pas de renforcement de l'OTAN. "

    Document 29

    Paul Wolfowitz Mémorandum de conversation avec Vaclav Havel et Lubos Dobrovsky à Prague.

    1991-04-27

    Source: Département américain de la Défense, FOIA version 2016

    "Ces mémoires d'avril 1991 fournissent les serre-livres pour" l'éducation de Vaclav Havel "sur l'OTAN (voir Documents 12-1 et 12-2 ci-dessus). Paul Wolfowitz, sous-secrétaire américain à la Défense, a inclus ces notes dans son rapport au NSC et au département d'État sur sa participation à une conférence à Prague sur «L'avenir de la sécurité européenne», les 24 et 27 avril 1991. Lors de la conférence Wolfowitz eu des réunions séparées avec Havel et le ministre de la Défense Dobrovsky. Dans la conversation avec Havel, Wolfowitz le remercie pour ses déclarations sur l'importance de l'OTAN et des troupes américaines en Europe. ... Dans une conversation avec Dobrovsky, Wolfowitz remarque que "l'existence même de l'OTAN était incertaine il y a un an."

    Document 30

    Mémorandum à Boris Eltsine de la délégation soviétique suprême russe au siège de l'OTAN

    1991-07-01

    Source: Archives d'État de la Fédération de Russie (GARF), Fond 10026, Opis 1

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  29. "Ce document est important pour décrire le message clair exprimé en 1991 par les plus hauts échelons de l'OTAN - le Secrétaire général Manfred Woerner - que l'expansion de l'OTAN ne se produisait pas. Le public était une délégation russe suprême soviétique, qui dans ce mémo rendait compte à Boris Eltsine (qui avait été élu en juin président de la République russe, le plus grand en Union soviétique), mais sans doute Gorbatchev et ses assistants entendaient le même assurance à ce moment-là. L'établissement de sécurité russe naissant s'inquiétait déjà de la possibilité d'une expansion de l'OTAN. En juin 1991, cette délégation s'est rendue à Bruxelles pour rencontrer les dirigeants de l'OTAN, écouter leurs opinions sur l'avenir de l'OTAN et partager les préoccupations russes. Woerner avait prononcé un discours très estimé à Bruxelles en mai 1990, dans lequel il affirmait: «La tâche principale de la prochaine décennie sera de construire une nouvelle structure de sécurité européenne, y compris l'Union soviétique et les pays du Pacte de Varsovie. L'Union Soviétique aura un rôle important à jouer dans la construction d'un tel système. Si vous considérez la situation actuelle de l'Union Soviétique, qui n'a pratiquement plus d'alliés, alors vous pouvez comprendre son désir justifié de ne pas être chassé de l'Europe. »Au milieu de l'année 1991, Woerner répond aux Russes en déclarant qu'il et le Conseil de l'OTAN sont tous deux contre l'expansion - 13 des 16 membres de l'OTAN partagent ce point de vue - et il parlera contre l'adhésion de la Pologne et de la Roumanie à l'OTAN aux dirigeants de ces pays comme il l'a déjà fait avec les dirigeants hongrois. Tchécoslovaquie. "

    http://www.zerohedge.com/news/2017-12-20/how-us-swindled-russia-early-1990s

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  30. Ce sont les 12 États les plus sujets aux catastrophes en Amérique

    par Tyler Durden
    20 décembre 2017 23:05
    Rédigé par Daisy Luther via le blog The Organic Prepper,


    Peu importe où vous vivez, il y a toujours une possibilité qu'une catastrophe se produise dans l'un des États. Les ouragans, les tornades, les inondations, les tremblements de terre, les incendies de forêt ... Mère nature peut vous aider quel que soit votre emplacement. Et ce n'est pas seulement la nature que nous devons nous inquiéter - des choses comme des déversements de produits chimiques, des attaques terroristes et des explosions peuvent également créer un scénario catastrophe.

    Mais, 12 états, en particulier, sont plus sujets aux catastrophes que d'autres et ont eu plus que leur juste part des catastrophes déclarées par les présidents au cours des décennies. Ces statistiques proviennent de l'Agence fédérale de gestion des urgences et ne couvrent que les crises dans lesquelles une déclaration officielle de catastrophe a été faite.

    Ces 12 États sont les plus exposés aux catastrophes.
    Si vous avez pensé, "Wow, il semble qu'il y ait beaucoup plus de catastrophes ces derniers temps qu'avant", vous avez absolument raison. Dans certaines régions, comme vous le verrez, les catastrophes ont triplé depuis la publication de l'article original que j'ai écrit il y a seulement quatre ans. La liste originale des états sujets aux catastrophes que j'ai trouvés était sur le site Web de Bankrate et a été publiée en 2013, mais depuis lors, il y a eu une légère augmentation des catastrophes, avec un certain nombre d'États moins touchés.

    Dans l'ordre inverse du nombre de catastrophes, voici la douzaine d'États qui ont été les plus touchés depuis les années 1950.

    # 12) Arkansas: 70 catastrophes déclarées
    58 catastrophes en 2013

    Cet état a eu plus que sa juste part des catastrophes de fortes pluies, de neige, de glace, de tornades et d'inondations massives. La neige et la glace sont un énorme problème quand elles se produisent parce que c'est tellement rare que les municipalités ne sont pas préparées avec l'équipement adéquat pour y faire face. Une tempête de verglas en 2009 a mis hors tension pendant près d'un mois pour certaines parties de l'État. La faille de New Madrid se situe dans la partie orientale de l'État, ce qui la rend vulnérable à un tremblement de terre potentiellement massif.

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  31. # 11) Oregon: 73 catastrophes déclarées
    pas sur la liste en 2013

    L'Oregon a fait face à de nombreux incendies et inondations, à de violentes tempêtes et même à un tsunami. La zone de subduction de Cascadia met l'état à risque pour un tremblement de terre extrêmement sérieux un de ces jours.

    # 10) Kentucky: 74 catastrophes déclarées
    56 catastrophes en 2013

    La variété règne également dans le Kentucky, avec des catastrophes déclarées pour les glissements de terrain, les coulées de boue, les éboulements, les inondations, les blizzards et les tornades. De même, en 1981, une explosion chimique a secoué les égouts de Louisville.

    # 9) Louisiane: 75 catastrophes déclarées
    60 catastrophes en 2013

    Qui peut penser à la Louisiane sans penser à l'ouragan Katrina? La tempête a tué plus de mille habitants, et elle est loin d'être la seule à frapper l'État. Les inondations et les tempêtes violentes sont également des problèmes en Louisiane.

    # 8) Alabama: 79 catastrophes déclarées
    58 catastrophes en 2013

    Les problèmes d'Alabama viennent tous de la météo. Non seulement ils doivent faire face à des ouragans, mais ils ont également été dévastés par certaines des pires tornades en Amérique.

    # 7) Colorado: 80 catastrophes déclarées
    Pas sur la liste en 2013

    Les feux de forêt ont été un problème sérieux pour cet état montagneux, suivi par des inondations et de violentes tempêtes. Il est important de noter que dans les années qui suivent un feu de forêt, des glissements de terrain et des inondations se produisent fréquemment parce que le sol n'est plus ancré par les arbres et les broussailles.

    # 6) New York: 93 catastrophes déclarées
    68 catastrophes en 2013

    New York a été frappé par tout, des tempêtes tropicales aux ouragans en passant par les inondations et les blizzards. Notamment, l'ouragan Sandy a dévasté New York et Long Island, laissant certains résidents sans électricité pendant plus de trois mois. Bien sûr, le 11 septembre 2001, les avions ont frappé les Twin Towers lors d'une attaque terroriste dévastatrice.

    # 5) Floride: 122 catastrophes déclarées
    67 catastrophes en 2013

    Étonnamment, la catastrophe numéro un en Floride a été incendies. Sans surprise, les tempêtes tropicales et les ouragans constituent une autre plus grande partie des catastrophes dans l'État le plus méridional des États-Unis. (L'ouragan Irma a récemment causé beaucoup de dégâts.) Quelques gels durs ont également provoqué un état d'urgence, affectant particulièrement les producteurs d'agrumes. Comme vous pouvez le voir, les catastrophes depuis 2013 ont presque doublé pour la Floride.

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  32. # 4) Washington: 132 catastrophes déclarées
    Pas sur la liste en 2013

    L'État de Washington a rapidement augmenté à l'échelle de la catastrophe au cours des dernières années, en raison du nombre d'incendies de forêt, d'inondations et de glissements de terrain. Ils ont même eu une éruption volcanique, le mont St. Helens, en 2008. Comme l'Oregon, ils sont également sur la zone de subduction de Cascadia, ce qui signifie qu'un très grave tremblement de terre pourrait se produire dans l'État.

    # 3) Oklahoma: 167 catastrophes déclarées
    75 catastrophes en 2013

    L'Oklahoma reçoit en moyenne 55 tornades PAR AN, et une tornade récente a été chronométrée à plus de 300 miles par heure. D'autres déclarations de catastrophes ont impliqué de violentes tempêtes hivernales, des incendies de forêt, des inondations et l'attentat à la bombe d'Oklahoma City en 1995. Avec la remontée des tremblements de terre induite par la fracturation, il n'est pas exclu que l'État soit touché par un séisme majeur un de ces jours. Les catastrophes dans cet état ont plus que doublé depuis 2013.

    # 2) Californie: 250 catastrophes déclarées
    79 catastrophes en 2013

    Ayant vécu là pendant 5 ans, je peux confirmer que l'état est un piège mortel. Des catastrophes ont été déclarées pour les tremblements de terre, les incendies de forêt, les glissements de terrain, les inondations, les tempêtes hivernales, les gels sévères et les tsunamis. La mauvaise maintenance des infrastructures aggrave chaque catastrophe, car les routes s'effondrent (ou s'ouvrent avec des gouffres) et les barrages se brisent après de fortes pluies. (Vous souvenez-vous d'Oroville?) Et qui peut ignorer la sévère sécheresse de cinq ans que l'Etat vient de subir? Les catastrophes en Californie ont triplé depuis 2013.

    # 1) Texas: 254 catastrophes déclarées
    88 catastrophes en 2013

    À peine en bordure de la Californie, le Texas a un désastre déclaré à peu près une fois par an. Ils vont des tornades, des inondations, des feux de forêt et des ouragans côtiers. Une catastrophe non liée aux intempéries qu'ils ont subie était quand une usine d'engrais a explosé en 2013 et nous venons d'assister à la dévastation provoquée par l'ouragan Harvey ainsi que ses conséquences mortelles. Cet état a également vu les catastrophes presque tripler au cours des 4 dernières années.

    Dans quelle mesure votre état est-il sujet aux catastrophes?
    Si vous voulez vérifier les statistiques de catastrophe pour l'état où vous vivez, allez ici et sélectionnez votre état dans la liste déroulante. Vous recevrez les raisons pour lesquelles les déclarations ont été faites et pourrez cliquer pour explorer davantage.

    Il n'est pas toujours pratique de simplement dire «DÉPLACER» lorsque quelqu'un vit dans une zone qui est plus susceptible de subir une catastrophe. Bien que ce soit un refrain populaire de beaucoup de ceux qui vivent dans des régions moins menacées, nous avons tous des raisons de vivre là où nous le faisons. Nous avons peut-être des membres de la famille pour lesquels nous avons une responsabilité et qui ne sont pas disposés à déménager. Peut-être avons-nous de bons emplois ou nos enfants sont à l'école. Peut-être que nous sommes à l'envers dans notre hypothèque et ne pouvons pas vendre nos maisons. Déménager n'est pas toujours une option, mais cela ne signifie pas que vous devez être une victime.

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  33. La connaissance des possibilités les plus probables pour votre région est le pouvoir. Cela signifie que vous pouvez vous préparer pour les choses qui pourraient cibler votre maison. Par exemple, si vous vivez dans une zone sujette aux inondations, vous pouvez prendre des mesures pour rendre vos fournitures plus résistantes à l'eau grâce à l'emballage et à l'endroit où vous les entreposez. Si vous vivez dans une région où les tornades sont fréquentes, vous pouvez construire un abri solide et bien le stocker. Ceux qui sont dans les zones sujettes aux ouragans devraient garder des fournitures à portée de main pour l'embarquement des fenêtres et une panne de courant. Tout le monde devrait avoir des aliments d'urgence et de l'eau et être prêt pour une panne d'électricité.

    Alors, comment votre état mesure-t-il ?

    http://www.zerohedge.com/news/2017-12-20/these-are-12-most-disaster-prone-states-america

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  34. Un examen des événements les plus inquiétants de 2017


    par Tyler Durden
    20 décembre 2017 22h25
    Auteur de Brandon Smith via Alt-Market.com,

    Avec des événements comme le vote britannique pour quitter l'UE, le pic de l'immigration musulmane de masse en Europe, la surprise (pour certaines personnes) de la victoire de Donald Trump à l'élection présidentielle américaine et les émeutes de gauche subséquentes, il peut être difficile pour surmonter le chaos géopolitique et social absolu de 2016. Cependant, en examinant l'histoire récente et les tendances actuelles, il est important de comprendre que ces changements sont souvent cumulatifs; ils ont tendance à se construire l'un sur l'autre comme des plaques de glace à flanc de montagne, accumulant de l'énergie pour une grande avalanche.

    Nous avons été témoins de ce que je considérerais comme une accumulation modérée et une «avalanche» dans le monde économique en 2008, et cela n'a fait que préparer le terrain à une forme évolutive d'effondrement fiscal pour les dix années qui ont suivi. Cette fois-ci cependant, cet effondrement continu apparaîtra sous la forme d'une crise monétaire et d'une crise des obligations du Trésor, ainsi que de toutes les tensions et de tous les conflits internationaux qui accompagnent ces bombes atomiques financières. Si je devais définir l'année 2017 et sa place dans le grand schéma, je dirais qu'elle représente le moment où le chemin est devenu évident pour la prochaine décennie, du moins pour ceux qui ont été attentifs.

    Il y a eu des révélations incroyables cette année, des choses qui vont changer le visage de l'économie mondiale et des relations internationales, mais la plupart d'entre elles sont passées inaperçues dans le courant général. Voici quelques-uns des événements qui bouleversent la planète et qui entraîneront une instabilité sans précédent en 2018, probablement jusqu'en 2030.

    Coup d'Arabie Saoudite
    J'ai décrit de manière très détaillée les implications de ce baril de poudre au Moyen-Orient dans mes articles «Les mensonges et les distractions entourant la diminution du pétrodollar» et «La guerre des signaux du coup d'Arabie et la réinitialisation économique mondiale». Mais je ne pense pas que la gravité de la situation soit prise au sérieux par beaucoup de gens.

    L'ascension du prince Mohammed Bin Salman au statut de dictateur dans le gouvernement saoudien est assez troublante. Cela dit, n'oublions pas certains des détails les plus importants. Par exemple, «Vision pour 2030» de Salman, qui comprend le découplage du système monétaire saoudien du dollar américain (peut-être plus tôt que prévu), tuant ainsi la relation pétrodollar qui a soutenu l'économie américaine pendant des décennies. Et, le fait que Salman bénéficie du large soutien de sociétés mondialistes comme The Carlyle Group, Goldman Sachs et Blackrock à travers son Fonds d'Investissement Public (PIF). Cela indique un soutien flagrant des financiers internationaux pour la mort éventuelle du statut de réserve mondiale du dollar, mais très peu de gens ont osé le mentionner.

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  35. Avec l'arrivée au pouvoir du prince Mohammed, la tourmente dans la région est inévitable. Il est clair qu'une nouvelle guerre à grande échelle est prévue au Moyen-Orient. La rhétorique de guerre est en train de chauffer par les Saoudiens contre le Hezbollah au Liban et en Iran. La propagande de guerre hors du royaume du pétrole devient risiblement trop confiante, c'est le moins que l'on puisse dire. Jetez un oeil à cette vidéo largement diffusée par les médias saoudiens.

    La crise en Arabie Saoudite, tout comme la crise syrienne, changera pour toujours le visage de la région et aura des conséquences profondes dans le monde entier, alors que le statut de pétrole du dollar américain est mis à rude épreuve.

    La Russie tire ses troupes hors de Syrie, laissant Assad vulnérable
    Je préviens depuis des années du faux paradigme Est / Ouest et je pense que la réalité commence enfin à se faire avec de nombreux militants de la liberté, car le comportement des «sauveurs» de l'Est correspond exactement à ce que le syndicat bancaire mondialiste désirs.

    Par exemple, la Banque asiatique d'investissement dans les infrastructures, dont beaucoup de personnes affirmaient qu'elle allait «réduire» la structure du pouvoir d'établissement, travaille désormais directement avec la structure du pouvoir d'établissement par l'intermédiaire de la Banque mondiale et du FMI. La Chine est maintenant la nation phare du système de panier de droits de tirage spéciaux du FMI et a ouvertement appelé à une monnaie mondiale contrôlée par nul autre que le FMI.

    En 2017, Goldman Sachs et JP Morgan sont devenues les premières banques d'investissement en Russie. Les sociétés Rothschild et Co. continuent d'opérer en Russie comme elles le font depuis au moins une décennie sans interruption, malgré toutes les absurdités que nous entendons dans la sphère activiste selon lesquelles Poutine "a défait tous les banquiers".

    Ceci avec une véritable montagne de preuves m'a conduit à suggérer récemment qu'une invasion de la Syrie par l'Arabie Saoudite ou leur allié israélien récemment révélé pourrait être utilisée pour entraîner l'Iran dans un conflit. J'ai également suggéré que la Russie se retirerait si les mondialistes le jugeaient avantageux. Et soudainement, la Russie annonce que la guerre contre l'Etat islamique est terminée et qu'une «partie importante» des troupes sera retirée au cours des prochains mois. Cela laisse leur allié Assad plutôt vulnérable et n'a pas beaucoup de sens si vous ne comprenez pas qu'il ne s'agit pas de la Russie, Assad ou Est contre Ouest. C'est sur le théâtre géopolitique, et le spectacle doit continuer. Troisième acte semble être étendu la guerre généralisée dans le berceau de la civilisation, et les Russes ouvrent la porte pour que cela se produise.

    Lancement de l'ICBM en Corée du Nord
    Les tensions avec la Corée du Nord vont continuer sinon exploser en 2018, et la raison principale est le récent lancement du test ICBM par Pyongyang. L'un des principaux arguments contre la guerre en Corée du Nord était que leur technologie de missiles n'était pas suffisante pour constituer une menace pour le continent américain et qu'une réponse militaire américaine serait extrême et désastreuse pour toutes les parties impliquées étant donné la menace minimale que représente la Corée du Nord. . Cette justification a maintenant été effacée, peut-être commodément pour les warhawks néo-conservateurs conseillant l'administration Trump.

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  36. Les missiles et la technologie nucléaire de la Corée du Nord ont fait un bond prodigieux en 2017 (c'est presque comme s'ils recevaient de l'aide ...) et leur dernier ICBM a la capacité de frapper l'est des États-Unis, ou presque n'importe où ailleurs dans le monde. cela importe. Ainsi, pour les citoyens américains en particulier, la menace devient soudainement plus personnelle. Toute grande ville américaine pourrait voir un quart de sa population se vaporiser en un éclair et un autre quart tué par une exposition aux rayonnements en temps voulu. Avec des images de nuages de champignons dansant dans leur tête, les Américains, qui sont principalement fatigués de la guerre après près de deux décennies dans la farce du bac à sable, ont maintenant une raison d'en encourager un autre plutôt que de s'y opposer.

    Tout ce qui reste est un petit "coup de pouce" pour motiver la population américaine à prendre ce premier pas terrible dans l'abîme d'un conflit de montagne asiatique.

    La Chine laisse la porte ouverte au changement de régime en Corée du Nord
    Il est étonnant de voir comment quelques mots soigneusement placés dans une déclaration géopolitique majeure peuvent laisser la porte ouverte à une calamité considérable. Selon le quotidien d'Etat Global Times, la Chine ne permettra pas aux Etats-Unis de changer de régime en Corée du Nord, mais si la Corée du Nord attaque en premier, la Chine restera neutre. Pour moi, c'est peut-être la déclaration la plus stupéfiante faite par le gouvernement chinois depuis qu'ils ont appelé à une monnaie mondiale contrôlée par le FMI.

    Le message est clair: la Corée du Nord est sur la table, elle ne s'en va pas et un faux drapeau ou une provocation est probable. Lorsque cela se produit, la Chine a déjà établi qu'elle n'interviendra pas, ce qui signifie qu'il n'y a pas de dissuasion politique. Oui, un autre exemple de la façon dont le paradigme Est / Ouest entre les gouvernements est aussi frauduleux que le paradigme gauche / droite est entre les politiciens de haut niveau, mais aussi un développement extrêmement troublant. Cela indiquerait qu'un conflit dans la région est proche, et pour ceux qui comprennent les obstacles stratégiques en Corée du Nord, au moins une décennie de bourbier suivrait des millions de morts civiles.

    Réserve fédérale réduisant son bilan
    La dernière étape du programme de la Fed visant à sortir les marchés boursiers est arrivée. J'espère que les taux d'intérêt continueront d'augmenter et j'espère que les militants de la liberté seront enfin capables d'accepter le fait que ces hausses se poursuivront et que la Fed ne se soucie pas de la poursuite du marché haussier des actions ou du maintien des obligations américaines. Les résultats du resserrement de la Fed sont certes lents, mais les effets ont également été obscurcis pendant des mois par une autre distraction - à savoir le projet de réforme fiscale Trump.

    Le projet de loi de Trump a agi comme un placebo pour les marchés à la fin de 2017, principalement parce que l'hypothèse parmi les investisseurs est que les sociétés vont utiliser les bénéfices des réductions d'impôts pour les rachats d'actions continus. Pour ceux qui ne le savent pas, ce sont les rachats d'actions alimentés par des prêts de la Fed sans intérêt qui ont permis le rebondissement incessant du marché boursier au cours des dernières années. Il s'agit essentiellement d'une manipulation ouverte des actions par des sociétés qui se coordonnent avec la banque centrale. Cependant, avec des taux d'intérêt qui augmentent même marginalement, les milliards (sinon les trillions) de dollars requis pour soutenir un tel rassemblement ne sont plus abordables. Ils doivent être libres pour être exploités.

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  37. L'augmentation du bilan de la Fed correspond presque exactement à l'explosion du Dow Jones. Si la corrélation se poursuit, il s'ensuit seulement que le Dow chutera au fur et à mesure que le bilan sera réduit. Foi dans le projet de loi de Trump pour soutenir les stocks est mal placée, et le rassemblement est purement conduit par l'hypothèse aveugle. Il faudrait au moins quelques années de cycles fiscaux avant que les réductions d'impôt puissent être utilisées efficacement pour financer les rachats, et l'effet serait loin d'être comparable à celui produit par le capital alimenté par le coût zéro.

    La montée de la psyop Crypto-monnaie
    Ce qui est intéressant et aussi le plus suspect dans l'explosion soudaine des cryptomonnaies et de la technologie blockchain comme Bitcoin, c'est que le volume réel du marché et l'intérêt commercial individuel pour ces produits numériques sont encore plutôt faibles, mais la promotion des crypto massif; presque sans précédent. La perception entraîne-t-elle la demande ? La demande conduit-elle la perception ? Ou, est-ce vraiment une campagne de branding généralisée soutenue par des banques internationales qui stimule la perception et donc la demande artificielle ? Je pense que la dernière option est la plus probable compte tenu de la preuve.

    J'ai écrit abondamment sur «l'économie virtuelle» créée par des mondialistes utilisant des crypto-monnaies comme un article phare dans mes articles «La monnaie mondiale globalisée ressemblera beaucoup à Bitcoin» et «L'économie virtuelle est la fin de la liberté». L'intérêt grandissant des établissements pour la crypto et la blockchain réfute certainement la notion farfelue selon laquelle ces produits sont en quelque sorte une menace pour les banques internationales. Mais au-delà de cela, la montée des cryptomonnaies souligne une tendance plutôt évidente qui est conçue pour la prochaine décennie. De toute évidence, les mondialistes veulent une société sans argent avec un anonymat nul pour la classe des serfs, et ce système devrait se lancer subversivement l'année prochaine.

    Crypto est potentiellement le développement le plus désastreux en 2017, précisément parce que tant de militants de la liberté le considèrent comme un outil de décentralisation alors qu'il s'agit vraiment d'un outil de centralisation totale. Beaucoup commencent à se réveiller à la réalité que crypto n'est pas ce que les activistes pensaient que c'était il ya des années, mais est-ce trop peu trop tard ? Crypto signifie la mort de l'économie réelle décentralisée et privée alors que l'humanité commence à abandonner la localisation et les transactions de personne à personne pour une économie fantôme numérisée complètement dépendante du commerce sur Internet sous surveillance constante. Si rien n'est fait, l'indépendance économique, la localisation et la production individuelle seront écrasées sous le poids de la crypto-psyop, tout comme l'argent solide a été écrasé sous le poids de la psycie des banques centrales.

    Quand les historiens se remémoreront 2017, ils diront que cette année a été le début de la fin de la plus grande bulle économique de tous les temps, ainsi que le début de l'économie numérique à spectre complet et les derniers vestiges de l'indépendance fiscale.

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  38. Bien sûr, il y a eu beaucoup plus d'événements cette année avec de vastes implications pour l'avenir, mais j'ai pensé que ceux énumérés ci-dessus auraient l'impact le plus important sur la plus longue période de temps. 2017 a été une année pour la construction de fondations subversives et l'éclairage des fusées géopolitiques. 2018 sera probablement une année d'actions et de conséquences.

    * * *

    Si vous souhaitez soutenir la publication d'articles comme celui que vous venez de lire, visitez notre page de dons ici. Nous apprécions grandement votre patronage.

    http://www.zerohedge.com/news/2017-12-20/review-most-disturbing-events-2017

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  39. Deadly 'Isms' de l'Amérique


    par Tyler Durden
    20 décembre 2017 20h25
    Auteur de John Stossel via Townhall.com,


    Les gens veulent que la politique soit simple. Gauche contre droite. Clinton vs Trump. Mon côté contre ton côté. Choisissez le bon gars, et tout ira bien!

    La vérité est plus compliquée.

    Les philosophies politiques influentes ont créé le désordre dans lequel nous vivons aujourd'hui, pas seulement une «gauche» et une «droite» politiques. Il y a le socialisme, le conservatisme, le populisme, le progressisme, le libéralisme, le scientisme (eugénisme), le marxisme, le totalitarisme, le nationalisme, le fascisme, l'islamo-fascisme, le nazisme et probablement d'autres qui me manquaient.

    Mais seulement deux "isms" fonctionnent bien pour les gens ordinaires. Plus sur eux dans un instant.

    Il est dans l'intérêt des politiciens et des activistes de nous dire que la société est divisée en deux armées, une bonne et une mauvaise, avec une défaite écrasante pour un côté qui va arriver. Lorsque les parties primitives de notre cerveau voient le monde comme «nous contre eux», nous sommes prêts à nous battre les uns les autres.

    Nous ne pouvons pas réaliser jusqu'à ce qu'il soit trop tard que toutes ces idéologies réduisent notre liberté et augmentent le pouvoir des politiciens.

    Matt Kibbe, chef du groupe Free the People, les appelle "The Deadly Isms" dans une nouvelle série de vidéos en ligne.

    Il exhorte les gens à cesser de perdre leur temps à s'inquiéter de savoir quel «isme» est à gauche ou à droite et à s'inquiéter davantage de la façon dont tous menacent la liberté individuelle.

    Staline n'était pas le contraire de Hitler. Tous deux étaient des meurtriers de masse qui censuraient la presse, prenaient le contrôle des industries et assassinaient des innocents. Nous ne profitons pas du choix entre le communisme et le nazisme, ou entre les formes plus douces de ceux-ci qui trouvent encore des adhérents aujourd'hui: le socialisme et le fascisme.

    Que le gouvernement vous donne des ordres au nom de la classe ouvrière ou d'une race supérieure, cela vous enlève encore le droit de faire ce que vous voulez.

    D'un autre côté, il y a une idéologie qui nous laisse surtout libres de faire ce que nous voulons. John Locke a appelé le libéralisme, en disant que: «La liberté naturelle de l'homme est d'être libre de toute puissance supérieure sur la terre, et de ne pas être sous la volonté ou l'autorité législative de l'homme."

    Nous avons besoin d'un gouvernement pour faire certaines choses - garder la paix, par exemple - mais sinon, le gouvernement devrait surtout nous laisser tranquilles.

    Malheureusement, les libéraux d'aujourd'hui ont volé la parole de Locke. Maintenant, le libéralisme signifie réglementer chaque détail du comportement individuel et diviser les gens en groupes de griefs qui utilisent le gouvernement pour prendre l'argent et la liberté de chacun.

    Le conservatisme prétend aimer la liberté, mais ses défenseurs ne craignent pas les guerres du gouvernement et l'écrasement des libertés civiles de groupes impopulaires comme les consommateurs de drogue, les immigrants, les joueurs, les travailleurs du sexe et les pornographes.

    Aujourd'hui, le libéralisme et le conservatisme sont coupables d'encourager un autre isme: le corporatisme. C'est ce que nous obtenons lorsque le gouvernement distribue des privilèges spéciaux aux entreprises et aux gens qui ont plus d'avocats et de lobbyistes que vous.

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  40. Un véritable marché libre récompense les entrepreneurs qui servent bien leurs clients. Un gouvernement qui distribue des subventions agricoles, des crédits d'impôts éoliens, des déductions d'hypothèques, etc., oriente l'économie en faveur de ceux qui sont déjà riches. C'est le corporatisme, ou capitalisme de copinage, ou "crapitalisme", et c'est essentiellement ce que nous avons en Amérique maintenant.

    Donald Trump a pratiqué le crapitalisme. C'est pourquoi des copains comme Bill et Hillary Clinton ont assisté à son mariage. Je ne blâme pas Trump. Lorsque le gouvernement a les doigts dans l'économie, les promoteurs sont intelligents pour se sentir à l'aise avec la classe politique.

    Mais quand Trump a couru pour le président, il ne s'est pas appelé un capitaliste de copinage; il a dit qu'il était un "populiste". Parfois, il l'appelait "populariste".

    Les populistes sont en colère contre l'établissement.

    Mais le populisme n'offre aucune solution. Cela mène plutôt à des gens qui suivent la volonté des leaders autoproclamés qui disent partager la colère de la foule. Bernie Sanders est aussi appelé populiste.

    Trump se plaint de la réglementation un jour (je l'acclame), mais ensuite il se plaint du libre-échange le lendemain. Il semble aller où ses humeurs, et les changements d'humeur du public, suggèrent. La colère est constante, mais la liberté individuelle souffre.

    Le seul isme qui ne menace pas votre liberté est le libéralisme (tel que défini à l'origine) - le libertarianisme, comme nous l'appelons maintenant.

    Prenons le pouvoir des autres ismes mortels et laissons les gens libres.

    http://www.zerohedge.com/news/2017-12-20/americas-deadly-isms

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    1. (...) Les gens veulent que la politique soit simple. Gauche contre droite. Clinton vs Trump. Mon côté contre ton côté. Choisissez le bon gars, et tout ira bien! (...)

      FAUX ! FAUX et ARCHI-FAUX ! Il n'y a AUCUN sondage d'opinion ou référendum ! TOUS les Americains veulent la DÉMOCRATIE (La Démocratie c'est le Peuple qui dirige. Il n'y a qu'UN SEUL PAYS au monde en Démocratie. La Suisse). La Démocratie est le contraire de la dictature.

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  41. L'Illinois a perdu 1 résident toutes les 4,3 minutes en 2017, a chuté au 6ème État le plus peuplé


    par Tyler Durden
    20 décembre 2017 19:25


    L'Illinois se noie sous une montagne de dettes, de factures impayées et de dettes de retraite sous-financées et sa plus grande ville, Chicago, souffre d'une flambée de crimes violents depuis la guerre des gangs de Los Angeles à New York au milieu des années 90. Voici juste un petit avant-goût de certains de nos articles sur les défis de l'Illinois:

    Le ratio de financement des caisses de retraite de l'Illinois chute à 37,6% alors que le passif non provisionné atteint 130 milliards de dollars
    Le carnet de commandes des fournisseurs non payés de l'Illinois atteint un nouveau record à plus de 16 milliards de dollars
    L'état de l'Illinois est "passé le point de non-retour"
    "Ce que l'enfer se passe à Chicago" et d'autres faits saillants du discours de Trump aux diplômés du FBI
    Compte tenu de cela, il n'est guère surprenant que l'État des Prairies ait perdu 33 700 résidents nets au cours de l'exercice 2017, selon le Census Bureau. Il n'est pas non plus surprenant que l'exode massif de l'Illinois ait été le plus important de tous les États du pays avec des États moins taxés et à coût de la vie moins élevé, comme le Texas et la Floride.

    - voir graphique sur site -

    Bien sûr, la perte nette de population masque la véritable sortie brute des résidents de l'Illinois car elle ne tient pas compte des naissances / décès naturels. En supposant que l'Illinois a la même croissance démographique naturelle que l'ensemble des États-Unis (0,7%) implique que l'état a perdu environ 125 000 résidents au total, soit environ 1 homme / femme / enfant toutes les 4,3 minutes.

    Pendant ce temps, en ajoutant l'insulte à l'injure, la migration intérieure hors de l'Illinois a été suffisante pour pousser l'état d'un cran sur les tables de classement de la population de l'État à juste en dessous de la Pennsylvanie. Politique de l'Illinois:

    - voir graphique sur site -

    Bien sûr, ce sont toutes des nouvelles terribles pour les retraités de l'Illinois dont les obligations de retraite continuent de croître chaque année et atteignent actuellement près de 130 milliards de dollars ...

    IL Pension

    Alors que nous pourrions avoir tort, la dernière fois que nous avons vérifié les gens n'étaient plus sur le crochet pour payer les impôts de l'Illinois après avoir pris la décision de déménager dans un autre état. En attendant, les efforts visant à compenser la perte de recettes fiscales ne feront qu'accélérer le déclin des populations dans le futur ...

    Conclusion: Désolé, Illinois, mais votre schéma de Ponzi est lentement démêlé.

    http://www.zerohedge.com/news/2017-12-20/illinois-lost-1-resident-every-43-minutes-2017-dropped-6th-most-populous-state

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  42. De Bitcoin à Hashgraph: Mike Maloney sur la révolution Crypto


    par Tyler Durden
    20 décembre 2017 19:05

    Aujourd'hui, l'humanité se trouve à la croisée des chemins et, comme l'explique Mike Maloney de GoldSilver.com, la voie choisie par l'humanité peut avoir un impact plus important sur notre liberté et notre prospérité que n'importe quel événement de l'histoire.

    En 2008, une nouvelle technologie a été introduite si importante que son destin et le destin de l'humanité sont inextricablement liés.

    Il est si puissant que s'il était capturé et contrôlé, il pourrait asservir toute l'humanité. Mais si on le laisse libre et prospère, cela pourrait favoriser des niveaux inimaginables de paix et de prospérité.

    Il a le potentiel de remplacer de nombreuses fonctions de Wall Street et même du gouvernement, comme un outil pour autonomiser les individus. Dans le dernier épisode Dans le dernier épisode de Hidden Secrets of Money, Mike Maloney examine cette technologie et son incroyable potentiel.

    Que vous croyiez au potentiel ou non, nous pensons que le bitcoin et les crypto-monnaies ont prouvé au minimum qu'ils doivent être pris au sérieux. Tous les investisseurs seraient sages de s'assurer qu'ils comprennent le phénomène.

    Il a le pouvoir de remplacer tous les systèmes financiers dans le monde, de supplanter quatre-vingt-dix pour cent de Wall Street, et de fournir certaines fonctions du gouvernement.

    Il n'a pas d'agenda.

    C'est toujours juste et impartial.

    Il ne peut pas être manipulé, subverti, corrompu ou trompé.

    Et - il inverse la structure du pouvoir et place le contrôle de son destin entre les mains de l'individu.
    À l'avenir, lorsque nous reviendrons sur la chronologie du développement humain de 2,6 millions d'années et les principaux tournants qui ont conduit à la civilisation moderne - la création de l'agriculture, la domestication des animaux, l'invention de la roue, la division de l'atome - le développement de soixante ans des ordinateurs, de l'Internet et de cette nouvelle technologie sera considéré comme un événement unique ... un tournant qui va changer le cours de l'histoire humaine.

    C'est ce qu'on appelle Full Consensus Distibuted Ledger Technology, et jusqu'à présent, son utilisation principale a été pour cryptocurrencies comme Bitcoin .... mais son potentiel va loin, bien au-delà.

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  43. The Crypto Revolution: De Bitcoin à Hashgraph est notre dernier épisode de Hidden Secrets of Money.

    Il s'agit de l'évolution des cryptomonnaies et de la technologie du grand livre distribuée par consensus, et de la façon dont ils vont changer notre monde. Je crois que cette vidéo est de loin le moyen le plus facile pour la personne moyenne de comprendre ce que sont les crypto-monnaies et comment elles fonctionnent, mais plus important encore, l'immense puissance de la technologie du grand livre distribué et l'impact qu'elle aura sur notre quotidien. vies. J'ai une passion absolue pour l'histoire monétaire et l'économie, et j'aime les enseigner. Les cryptocurrencies sont notre avenir, et il n'y a pas moyen d'y échapper ... c'est ainsi que tout se fera dorénavant. Mais, nous sommes maintenant à un tournant crucial dans l'histoire. Les grands livres de consensus tels que Blockchain et Hashgraph ont le pouvoir de nous asservir ou de nous libérer ... tout dépend de la façon dont nous choisissons de les utiliser.

    Si nous choisissons de soutenir les versions centralisées émises par les gouvernements et le secteur financier, nous leur accorderons plus de contrôle sur notre vie quotidienne. Les politiciens et les bureaucrates pourront lever des impôts instantanément, quand ils le veulent, pour chaque dollar que vous gagnez, et chaque dollar que vous dépensez au fur et à mesure que vous les dépensez. S'ils pensent que l'économie a besoin d'être stimulée, ils seront en mesure de faire respecter d'énormes taux d'intérêt négatifs, vous punissant ainsi de ne pas dépenser tout ce que vous gagnez avant de l'avoir gagné. Ils seront en mesure de décider où vous pouvez aller et où vous ne pouvez pas, ce que vous pouvez acheter et ce que vous ne pouvez pas, et ce que vous pouvez faire et tout ce qu'ils décident que vous ne pouvez pas faire ... et s'ils ne le font pas Comme vous, ils peuvent simplement vous déconnecter du système monétaire.

    Alors, le système monétaire sera-t-il complètement distribué et aidera-t-il à libérer l'humanité, ou sera-t-il centralisé et nous asservira-t-il ?

    Le choix est devant nous en ce moment, et nos décisions créeront notre avenir. Je crois que ce sera un résultat binaire, il n'y a pas de terrain d'entente, ce sera soit un avenir ou l'autre. La question est, sera-t-ce le futur que nous voulons ? Ou le futur qu'ils veulent ? Je suis un marchand de métaux précieux et une chose que j'ai apprise est que l'or, l'argent, et maintenant les cryptocurrences décentralisées du marché libre, représentent la liberté.

    En raison de cette connaissance, j'ai commencé à investir dans des crypto monnaies il y a longtemps et je suis également devenu l'un des premiers négociants en métaux précieux à accepter le bitcoin comme moyen de paiement pour l'or et l'argent.

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  44. J'apprécierais vraiment si vous pouviez partager cette vidéo avec tout le monde que vous connaissez. Je pense qu'il est très important que le plus grand nombre possible de personnes se renseignent sur les changements du système monétaire mondial qui se produisent en ce moment ... rien ne nous affectera davantage, et l'avenir de tout le monde en dépend.

    http://www.zerohedge.com/news/2017-12-20/bitcoin-hashgraph-mike-maloney-crypto-revolution

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    1. Avant, il y avait les pièces & les billets qui n'ont JAMAIS représenté une valeur équivalente à la valeur de l'or détenu en Réserves.
      Aujourd'hui, pour éviter que vous ayez une quelconque représentativité de valeur-fantôme, ils propose le crypto !
      Le crypto c'est quoi ? C'est de l'argent déposé en banque aux intérêts négatifs qui feront que, à la fin du mois vous n'avez plus d'économie et... que vous en devez !!

      Recherche de valeur ? BARREZ-VOUS !

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  45. La robotisation au cœur du plan “Made in China 2025”

    Arnaud Lefebvre
    21 décembre 2017


    Cette année, la Chine devrait avoir fabriqué au total 120.000 robots, soit une augmentation de 66 % par rapport à l’année précédente. Cette croissance est révélatrice de la place fondamentale que le gouvernement chinois accorde à la robotique au sein de l’évolution de son économie future.

    Les investissements dans le domaine de la robotique devraient aider la Chine à quitter son statut d’atelier pour le reste du monde. D’autre part, vers le milieu de la prochaine décennie, le pays a l’intention de devenir une superpuissance industrielle à la tête de l’économie mondiale.

    En 2017, la Chine a franchi une étape importante sur le plan de la robotique, a expliqué le Ministère de l’Industrie et des Technologies de l’information. Au cours des 10 premiers mois de l’année, plus de 100.00 robots industriels ont été fabriqués dans le pays.

    Toutefois, dans ce domaine, le marché chinois reste relativement modeste. Actuellement, il n’y a en Chine que 49 robots industriels pour 10.000 travailleurs. Vers 2025, cette proportion devrait passer à 150 robots pour 10.000 travailleurs.

    Importation
    Même avec ces espoirs de croissance, la Chine ne pourra cependant pas combler immédiatement le fossé qui la sépare des leaders mondiaux absolus en matière d’automatisation. Selon les chiffres de l’International Federation of Robotics, la Corée du Sud, leader mondial du marché, compte déjà 531 robots pour 10.000 travailleurs. Les Etats-Unis enregistrent un taux de 176 robots pour 10.000 travailleurs.

    Cependant, la Chine s’est déjà hissée au rang de plus grand acheteur de robots au monde. Environ un tiers de la production mondiale de robots est destiné à un client chinois.

    Le pays s’efforce également de réduire la part de l’importation sur le marché de la robotique. Il y a deux ans, environ deux tiers de la demande chinoise en matière de robots était encore satisfaite par des fournisseurs étrangers.

    Grâce à l’activité d’entreprises chinoises telles que Midea Group et Siasun Robot & Automatisation, l’impact de l’importation a déjà été partiellement réduit. Midea a repris l’an passé l’entreprise allemande Kuka, alors que Siasun, grâce à un investissement de 300 millions de dollars, a ouvert un nouveau parc industriel dans les environs de son quartier général à Shenyang.

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  46. Le marché des robots industriels représentera cette année un chiffre d’affaires de 4,2 milliards de dollars. A la fin de cette décennie, ce montant devrait être de 5,9 milliards de dollars.

    https://fr.express.live/2017/12/21/robotisation-coeur-plan-made-in-china-2025/

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    Réponses

    1. (...) Cette année, la Chine devrait avoir fabriqué au total 120.000 robots, soit une augmentation de 66 % par rapport à l’année précédente. (...)

      Ajoutez à ce nombre 1 milliard 300 millions d'habitants et vous aurez le nombre total de robots.

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  47. SUISSE - BURQA: LE CONSEIL FÉDÉRAL VEUT UN CONTRE-PROJET
    Le gouvernement estime que la dissimulation du visage peut poser problème et il prépare un contre-projet à l'initiative anti-burqa.

    20.12.2017

    A l'origine de l'initiative visant à interdire de se dissimuler le visage, le comité d'Egerkingen estime que la proposition du Conseil fédéral manque complètement le coche. Il compte donc maintenir son initiative. Le PS, le PLR et le PDC saluent la direction prise par le gouvernement.

    Pour le conseiller national Walter Wobmann (UDC/SO), du comité d'Egerkingen, il n'y a rien à garder de la proposition du gouvernement. «Le Conseil fédéral ne veut pas voir le problème», a-t-il déclaré mercredi à l'ats. Son contre-projet «flou» n'apporterait aucune solution.

    Le Soleurois relève qu'il se concentre sur le port imposé de la burqa et néglige tous les autres aspects. Il rappelle dès lors l'objet de l'initiative populaire: une interdiction générale de se dissimuler le visage, qui vise selon lui également les hooligans.

    Quant à l'argument du Conseil fédéral selon lequel il appartient aux cantons de légiférer en la matière, il ne convainc pas M. Wobmann. Il n'est pas possible que les 26 cantons passent des lois différentes. «Nous voulons une réglementation claire, car il en va de nos valeurs.»

    L'Union démocratique du centre rejette également la proposition du Conseil fédéral. «Le coeur de l'initiative est une interdiction de dissimuler le visage au niveau national et un message pour dire que l'islam radical n'a pas sa place en Suisse.»

    Sécurité et intégration

    En Suisse, le visage doit être montré dans l'espace public pour des raisons de sécurité et d'intégration, souligne le PDC, qui exprime de la compréhension pour l'initiative. Une interdiction de dissimuler le visage est nécessaire, mais elle doit se faire au niveau de la loi et non de la Constitution.

    Cela permettrait d'intégrer des exceptions comme les déguisements de carnaval, fait valoir le PDC dans un communiqué. Il salue la direction du contre-projet indirect du Conseil fédéral, qui prévoit qu'aucune femme ne peut être obligée à porter un voile et que le visage doit être visible lors des contacts avec les autorités.

    Contre une interdiction totale

    Le PLR de son côté salue la décision du Conseil fédéral de rejeter l'initiative; le parti examinera le projet lors de la procédure de consultation. «Nous sommes contre une interdiction totale», a dit à l'ats Karin Barras, porte-parole du parti. Selon le PLR, «il n'y a pas d'activisme législatif à faire».

    Cependant, les fonctionnaires et les enseignants ne devraient pas être autorisés à se dissimuler le visage. La place de travail doit rester un endroit neutre au niveau de la religion, estime le parti.

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  48. Egalité hommes-femmes

    Le contre-projet est une bonne voie, d'après le PS. Il proposera toutefois un contre-projet direct afin d'ancrer dans la Constitution l'égalité entre hommes et femmes dans la société.

    «Les initiants prétendent s'engager pour les droits des femmes en interdisant le port de la burqa. Cette initiative n'est cependant que de la pure politique symbolique. Les initiants se moquent éperdument des droits des femmes», affirme Valérie Piller Carrard, conseillère nationale fribourgeoise citée dans un communiqué. Le PS est contre la burqa, mais également contre son interdiction dans la Constitution.

    Verts sceptiques

    Pour les Verts, si l'initiative est inutile, le contre-projet du Conseil fédéral l'est aussi. Il n'est pas nécessaire d'inscrire un code vestimentaire dans la Constitution, d'après le parti, mais la proposition du gouvernement «renforce l'idée que la burqa est un problème en Suisse». Elle ne contribue ni à l'intégration, ni à la lutte contre la violence.

    Le comité interpartis qui s'oppose à l'initiative approuve aussi le choix du gouvernement. Interrogé par l'ats, le conseiller aux Etats Andrea Caroni (PLR/AR) juge en effet que le texte du comité d'Egerkingen a une portée trop générale et qu'il va beaucoup trop loin. «Il couvre toute la Suisse et ne laisse pas de libertés aux cantons.»

    Andrea Caroni se dit satisfait du débat qui s'ouvre sur la manière de faire face à des situations concrètes. Un débat «intéressant» et davantage «orienté vers des solutions», qui permettra de cibler les problèmes de façon beaucoup plus précise. «La voie est la bonne», d'après l'Appenzellois. (ats/nxp)

    https://www.lematin.ch/suisse/burqa-conseil-federal-veut-contreprojet/story/21824609

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