- ENTREE de SECOURS -



dimanche 19 novembre 2017

MILLENIUM - Noomi Rapace, Michael Nyqvist

https://www.youtube.com/watch?v=OyZfaSxTkf0

15 commentaires:

  1. Chronique cinématographique : « Mille Milliards de Dollars » ou l’actualité qui brûle les doigts …


    le 19 novembre 2017


    Dans mes quelques 3500 films téléchargés illégalement soigneusement archivés sur des disques durs et dupliqués pour ne pas voir cette sorte de patrimoine disparaître et ainsi pouvoir le transmettre à mes petits-enfants, c’est d’ailleurs à peu près tout ce que je possède d’intéressant, j’ai regardé il y a quelques jours un film au cours duquel se distingue avec une excellence jamais égalée dans le genre émotionnel, et je dirai presque attachant, un certain Patrick Dewaere disparu beaucoup trop tôt comme Mozart ou Schubert. Un immense acteur qui joua avec un brio fantastique le rôle d’un journaliste, un vrai, d’investigation dans cette histoire invraisemblable et pourtant réelle dans la vie de tous les jours, la main-mise des grandes multinationales sur le monde entier. Je veux parler du film « Mille milliards de dollars » sur un scénario d’Henry Verneuil également producteur et réalisateur qui date de 1982. L’histoire décrit la montée en puissance des grandes multinationales dans un monde mondialisé qui contournent toutes les règles locales sans état d’âme pour s’implanter où elles ont décidé de le faire en dépit des réticences de certains individus. Ces derniers ne comprennent finalement qu’à leur dépens et au risque de leur vie ce qu’est le véritable objectif de ces entreprises, la plupart américaines : tout simplement dominer le monde. Et tous les moyens sont bons pour atteindre cet objectif. Ce qui était dépeint dans ce film qui date pourtant de 35 ans est toujours d’actualité … et d’une actualité brûlante. Il y est fait mention de l’implication des grands groupes industriels américains qui ont réalisé des profits monstrueux durant la deuxième guerre mondiale en fournissant des armes à l’Allemagne nazie puis aux alliés voyant que la situation évoluait en leur faveur. Ces entreprises insaisissables qui ne paient pas d’impôts et donc ne participent pas au bien commun et dirigent les grands pays de ce monde occidental à grands coups de pots-de-vin généreusement versés aux politiciens ne respectent absolument aucun principe moral, seul le profit et les dividendes versés aux actionnaires les préoccupent : toujours plus de profits, peu importe pour le reste. Dewaere arrive à décrypter le côté sombre de ces pieuvres anonymes qui corrompent et n’hésitent pas en cas d’urgence à assassiner froidement un candidat réfractaire à leurs visées hégémoniques.

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  2. Il ne s’agit que d’un film et pourtant les agissements de ces firmes, je le répète pour la plupart américaines, sont plutôt troublants. Il me revint en mémoire après avoir revu ce film trois évènements économiques récents qui concernent des entreprises américaines et révèlent au grand jour ce que ce film mettait en évidence. D’abord le rachat par General Electric de la division énergie d’Alstom en France. Ça tombait bien, GE est un fabricant de moteurs d’avions et de turbines et cette division d’Alstom battait de l’aile pour ne pas dire était en difficulté. Aujourd’hui GE se trouve être une entreprise virtuellement en faillite et elle liquide des départements pourtant rentables à des prix cassés comme l’imagerie médicale pour ne citer qu’un exemple. C’est exactement le scénario du film de Verneuil : seuls les profits en direction des actionnaires sont importants quitte à balayer d’un revers de la main des milliers d’emplois. Le deuxième exemple tout aussi illustratif est le rachat de Westinghouse par Toshiba Nuclear il y a une dizaine d’années. Il n’a pas fallu beaucoup de temps pour que la supercherie de la transaction soit dévoilée. C’était un marché de dupes et les Japonais commencent à comprendre leurs erreurs : Toshiba doit se défaire d’un des fleurons de son groupe leader mondial dans le domaine, les cartes mémoire, qui ont été bradées à un fond d’investissement américain pour redorer sa trésorerie … N’y aurait-il pas dans tout ça un coup monté ?

    Enfin et cerise sur le gâteau l’accord commercial CETA, supposé ne concerner « que » le Canada et l’Union Européenne. Les politiciens européens sont-ils tous vendus aux multinationales américaines pour avoir accepté un tel accord scélérat ? Probablement que oui. Cet accord stipule en effet qu’en cas de litige économique entre une entreprise canadienne et un pays de l’Union ce litige sera réglé par un tribunal arbitral spécial et mis en place par et pour ces multinationales qui échappe à la juridiction nationale du pays concerné. En d’autres termes toutes les multinationales américaines ayant pignon sur rue au Canada, et il y en a des centaines, pourront poursuivre n’importe quel état européen si ce dernier entrave leurs vues économiques hégémoniques.

    À l’époque où ce film a été réalisé il était question d’une centaine de firmes qui contrôlaient une infime partie de l’économie mondiale, peut-être à peine 10 %, aujourd’hui ce sont 50 grandes firmes qui contrôlent 70 % de l’économie mondiale et elles sont toutes ou presque américaines. Seuls échappent, du moins partiellement et pour le moment, à cette main-mise mercantile soigneusement organisée depuis la fin de la deuxième guerre mondiale par les USA avec la mise en place du dollar comme monnaie généralisée pour les échanges commerciaux mondiaux, la Chine – sa montée en puissance économique n’était pas vraiment prévue – et la Russie, l’ennemi traditionnel des USA depuis la Guerre Froide.

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  3. C’est la raison pour laquelle les grandes multinationales américaines cherchent à faire plier la Maison-Blanche pour que le pays adopte des mesures coercitives à l’encontre de ces « rebelles au système » et y compris à leurs alliés, le Vénézuela ou encore l’Iran pour ne citer que deux d’entre eux. En Allemagne, en Italie, en France comme en Espagne et également au Japon et en Corée les cartes ont déjà été étalées sur la table et les jeux sont faits comme on dirait au casino de la grande finance apatride.

    Enfin il faut rappeler ici que ce sont les USA avec leur armée qui contrôlent le Web ainsi que le système GPS, deux entités dont personne dans le monde ne peut plus se passer au quotidien. Il faut rappeler également la main-mise absolue sur les réseaux sociaux et une grande partie du Web parfaitement organisée avec le concours des agences de renseignement américaines par Alphabet (Google, Chrome, Google Street map, Google Earth, Google cloud, etc …), Facebook, Twitter et quelques autres firmes californiennes. En somme, avec le dollar US utilisé comme monnaie d’échange internationale, le monde entier est insidieusement contrôlé par les USA et ses multinationales et malheur aux récalcitrants. Et pendant ce temps-là certains politiciens incriminent la « mondialisation », source de tous les maux de certains pays européens : de qui se moquent-ils ?

    Revoyez ce film de Verneuil, un pur délice …

    Illustration : IMDB

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2017/11/19/chronique-cinematographique-mille-milliards-de-dollars-ou-lactualite-qui-brule-les-doigts/

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  4. Obamacare Rage: Une famille de 4 en Virginie est confrontée à payer 3000 $ par mois pour l'assurance maladie


    Par Michael Snyder,
    le 19 novembre 2017


    Pourriez-vous vous permettre de payer 3000 $ par mois pour l'assurance santé ? Auparavant, Ian Dixon payait 900 $ par mois pour l'assurance santé de sa famille de quatre personnes, mais grâce à des changements dans le marché de l'assurance à Charlottesville, un plan similaire lui coûtera maintenant plus de 3 000 $ par mois. Quand j'ai découvert cette histoire sur Zero Hedge, je dois admettre que je me suis fâché. J'étais en colère contre les démocrates pour avoir détruit notre système de soins de santé en premier lieu, et j'étais fâché contre les républicains pour avoir omis d'abroger Obamacare même s'ils avaient presque une année complète pour le faire. Obamacare détruit financièrement les familles qui travaillent dur partout dans la nation, et le Congrès doit agir immédiatement.

    A l'origine, Ian Dixon était enthousiasmé par Obamacare parce qu'il pensait que cela signifierait qu'il pourrait continuer à fournir une assurance santé pour sa famille une fois qu'il a quitté son emploi à temps plein. Mais maintenant qu'il fait face à une facture de plus de 3000 $ par mois, tout ce qu'il ressent c'est "rage" ...

    Ian Dixon, qui a quitté son emploi à temps plein en 2016 pour poursuivre une activité de développement d'applications, l'a fait parce que l'ACA a garanti qu'il pouvait encore bénéficier d'une couverture de qualité pour sa jeune famille, a-t-il déclaré.

    Mais quand le mari de Charlottesville, âgé de 38 ans et père d'un enfant de trois et un an, est allé se réinscrire ce mois-ci, son unique choix de couverture lui coûterait plus de 3 000 $ par mois pour sa famille de quatre personnes. ce qui représente une augmentation de plus de 300% par rapport aux 900 dollars qu'il a payés l'année précédente. Et c'est pour la deuxième option la moins chère, avec une franchise de 9 200 $.

    "Helpless est certainement un bon mot pour cela", a déclaré Dixon. "Rage est aussi un bon mot pour ça."

    Les démocrates sont certainement à blâmer pour nous avoir mis dans ce pétrin, mais si les républicains n'agissent pas rapidement, ils finiront par avoir la pleine propriété de cette débâcle.

    Seuls les extrêmement riches peuvent se permettre ces taux astronomiques d'assurance-maladie, et ils ne sont certainement pas ceux qui achètent l'assurance maladie sur les échanges.

    Regardons un autre exemple. Shawn Marie Cossette, une femme de 55 ans vivant à Charlottesville, est horrifiée de devoir payer 1 859 $ par mois pour un plan d'argent ...

    Parmi eux se trouvait Shawn Marie Cossette, 55 ans, qui dirige sa propre entreprise d'événements et de design floral à Charlottesville. L'année dernière, elle a acheté un plan d'argent de l'hymne pour 550 $ par mois pour elle-même. Cette année, sous Optima, un plan d'argent lui coûterait 1 859 $ par mois.

    "C'est un pourcentage énorme de mes revenus", a-t-elle dit. "Je croyais vraiment à l'ACA. Je pense vraiment que tout le monde mérite le droit à l'assurance maladie, mais qui peut se permettre ces prix si vous n'êtes pas admissible à des subventions ? "

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  5. La vérité est que personne ne peut se permettre ces taux, et les primes du plan d'argent devraient augmenter à l'échelle nationale en moyenne de 37 % pour 2018.

    Et c'est en plus de toutes les autres augmentations annuelles énormes que nous avons vues jusqu'ici.

    Selon CNN, l'homme moyen de 27 ans va maintenant payer près de 5 000 $ par an pour un plan d'argent ...

    La forte hausse des taux signifie qu'un homme de 27 ans paiera en moyenne près de 5 000 $ par année pour le régime d'indice de référence, sur lequel sont fondées les primes. Cela est passé de 2 600 $ lors de l'ouverture des bourses Obamacare en 2014. C'est avant que les subventions soient prises en compte, cependant.

    Les primes montent en flèche pour une deuxième année consécutive. Les taux ont augmenté de 24% cette année dans les états using healthcare.gov.

    Combien de souffrance l'Obamacare doit-il causer avant que le Congrès fasse finalement quelque chose?

    Obamacare aurait dû être abrogé le premier jour de l'administration Trump, mais les RINO au Congrès ne laisseront pas cela se produire. Nous devons nous débarrasser de ces RINO et nous devons envoyer à Washington une nouvelle génération de dirigeants qui feront avancer les choses.

    L'abrogation d'Obamacare est la première étape, mais elle ne résoudra pas tous nos problèmes. Nous payons beaucoup plus pour les soins de santé que n'importe qui d'autre avec une très large marge, et nous avons désespérément besoin de réduire les coûts de santé.

    Nous devons également ramener les primes d'assurance-maladie à des niveaux raisonnables. Une façon de le faire serait de légaliser les plans d'achat d'association que Rand Paul a proposé. En permettant à de larges groupes de personnes (la NRA serait un exemple) de se regrouper pour acheter une assurance maladie, cela donnerait aux citoyens moyens un pouvoir de négociation beaucoup plus important avec les compagnies d'assurance maladie.

    J'aime aussi beaucoup les modèles tels que les soins primaires directs qui éliminent complètement les compagnies d'assurance-maladie.

    Notre système de santé est profondément, profondément brisé, et nous devons revenir à un système qui est principalement centré sur les médecins et les patients.

    Parce que ce que nous avons en ce moment ne fonctionne pas, et le reste du monde rit de notre ineptie.

    http://theeconomiccollapseblog.com/archives/obamacare-rage-one-family-of-4-in-virginia-is-faced-with-paying-3000-a-month-for-health-insurance

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  6. Pour réussir, faut-il copier ?


    PAR JOAN PLANCADE ET MYRET ZAKI
    6 Novembre 2017


    Dans le monde du business, tout le monde parle d’innover, mais beaucoup se contentent d’imiter, quelle stratégie a le plus de chances de succès ?

    Faut-il inventer ou imiter pour avoir du succès ?

    En cette époque très marquée par l’innovation, on n’a jamais autant… copié. Des start-up aux concepts très similaires poussent comme des champignons, notamment dans tout ce qui a trait à l’économie du partage; des applications mobiles quasi identiques se lancent à l’unisson, des entreprises visitent la Silicon Valley et reviennent avec les mêmes idées, discours, stratégies. Les cas présentés par notre dossier montrent, dans le fond, que même parmi les leaders de la technologie, il y a peu de pionniers: presque tous se sont inspirés de modèles antérieurs.

    La question, dès lors, est la suivante: pour une entreprise aujourd’hui, est-ce qu’on s’en sort mieux en copiant qu’en inventant ? Y aurait-il un «mythe autour de l’innovation» comme l’affirme en fin de dossier Jérôme Barthélemy, professeur à l’ESSEC Business School à Paris ?

    Le sens distinct des termes «invention» et «innovation» nous fournit une première réponse: alors que l’invention se réfère à la découverte pure du technicien ou scientifique, l’innovation est l’invention qui rencontre son marché. Un innovateur propage l’invention. Il sait être au bon endroit, au bon moment. Le copieur aurait-il plus de chances d’amener une innovation au succès commercial ? Ce dossier fournit quelques pistes pour comprendre comment une invention devient innovation, se diffuse et surtout prend le marché.

    En attendant, tout le monde rêve d’innover, mais beaucoup finissent par imiter. Alors, les créateurs font-ils mieux ou moins bien que les copieurs ? «A première vue, on pourrait penser qu’innover est toujours meilleur que copier, répond Pascal Meyer, fondateur de QoQa.ch, plus important site de l’e-commerce romand. Mais si je pense à des sociétés comme Zalando, qui a puisé dans le concept américain de Zappos, il s’avère positif de s’inspirer de concepts qui fonctionnent. S’inspirer, pas copier. Améliorer. Actuellement, on voit partout beaucoup d’inspirations tirées de choses existantes. Sauf peut-être dans les sciences dures comme la medtech. Dans tout ce qui est business standard et e-commerce, il y a beaucoup d’inspiration, et très peu de gens qui innovent.»

    http://www.bilan.ch/economie-plus-de-redaction/reussir-faut-copier

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    1. Toute la différence est entre l'analyse intelligente et les mouton de Panurge.

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  7. L'OCDE appelle la Suisse à de nouvelles réformes


    14 Novembre 2017
    PAR AWP


    La Suisse continue d'assurer à ses citoyens un niveau de vie élevé et l'économie a fait preuve d'une résilience considérable, notamment après le choc du franc fort, constate l'OCDE. La croissance reste cependant lente et l'institution préconise de nouvelles réformes.

    L'expansion économique a en effet été insuffisante pour permettre une résorption des capacités inutilisées ou une hausse sensible du revenu par habitant, relève mardi l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) dans son rapport consacré à la Suisse.

    En outre, la croissance de la productivité du travail ralentit en Suisse depuis la fin des années 1990 et a été ramenée à un tiers du taux moyen de la zone OCDE ces dix dernières années, note l'organisation. Parmi le catalogue de mesures proposées, cette dernière préconise notamment de lever les restrictions relatives au nombre de concurrents dans les secteurs de l'énergie, des télécommunications et des transports, où l'Etat est très présent.

    L'OCDE recommande par ailleurs de réduire les restrictions liées aux échanges de biens et de services, notamment les produits agricoles, et de terminer les négociations de libre-échange qui sont en cours avec des pays d'Asie et le Mercosur (Argentine, Brésil, Paraguay, Uruguay, Venezuela).

    Il s'agit également de favoriser l'entrepreneuriat en réduisant la charge administrative, par exemple en finalisant le guichet virtuel unique. Les services d'accueil des enfants doivent par ailleurs être rendus plus abordables pour permettre aux femmes, qui assument le plus souvent cette tâche, de pleinement réaliser leur potentiel.

    Pénurie de main-d'oeuvre qualifiée

    La demande de travailleurs qualifiés restant très forte, l'OCDE conseille d'encore élargir l'accès aux possibilités de formation continue ou de faciliter l'adaptation du système d'enseignement à l'évolution des besoins du marché du travail. Faciliter l'entrée d'immigrés très qualifiés de pays hors Union européenne pourrait en outre permettre de répondre à la pénurie de main-d'oeuvre qualifiée.

    Concernant le défi que constitue le vieillissement de la population et la viabilité du système de retraites, l'organisation internationale préconise de fixer l'âge de la retraite à 65 ans pour les femmes comme pour les hommes et le lier ensuite à l'espérance de vie. Des programmes visant à allonger la vie active en bonne santé, comme les soins préventifs, doivent être promus.

    Supprimer les garanties des banques cantonales

    L'OCDE estime que les garanties explicites accordées par les cantons à leurs banques publiques sont un risque budgétaire et faussent la concurrence. Elle recommande de les supprimer.

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  8. L'institution constate en effet que la hausse des prix des logements s'est ralentie en Suisse, mais que des déséquilibres perdurent et que certains pans du système bancaire sont très exposés à ce secteur. La plupart des banques cantonales bénéficiant d'une garantie, une correction du prix des logements pourrait poser un problème de finances publiques en cas de crise.

    L'OCDE préconise un cadre officiel pour plafonner les crédits hypothécaires, qui tienne compte de la capacité financière des emprunteurs et qui soit mis en oeuvre selon le principe "appliquer ou expliquer", note-t-elle.

    http://www.bilan.ch/economie/locde-appelle-suisse-a-de-nouvelles-reformes

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    1. L'Organisation de Coopération et de Développement Économiques (dont le siège social est à Paris) N'EST PAS LA SUISSE ! Et elle (la dictature internationale) n'a donc pas à se mêler du seul pays au monde à être en Démocratie !

      Remarquez que toute les remarques faites par l'OCDE sont répugnantes, dictatoriale, menaçantes et parfois criminelles. La '5è colonne' (les Hommes de l'ombre) n'a donc rien à dire.

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  9. La COP23, nouvel échec

    On assiste à une sainte alliance entre les écologistes tiers-mondistes et la grande finance, le tout orchestré par l’Union européenne, sous le regard amusé du géant américain qui a désormais pris congé de toute cette mascarade.


    Par Alain Préat, Henri Masson et Drieu Godefridi.
    18 NOVEMBRE 2017


    La fête des écolos à Bonn — la COP23 — est finie. Les déguisements d’ours blancs sont rangés jusqu’à la prochaine COP. Les activistes ont dû se contenter de la terne Bonn faute d’avoir le plaisir d’aller dans les îles paradisiaques Fidji auxquelles il incombait de présider cette rencontre, mais qui manquaient d’infrastructures pour accueillir les milliers de touristes écologistes habituels. (Rassurez-vous, ces îles se portent bien, elles ne risquent nullement d’être submergées.)

    L’énième échec de la Conférences des parties (Conference Of Parties – COP) à la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques ne surprend plus. Sauf quelques irréductibles, comme la RTBF (service public belge) ou France 2, les médias n’en ont d’ailleurs que très peu parlé. Si vous avez la curiosité de regarder en dehors de la France et de la Belgique, vous vous serez aperçu que cette grand-messe a déçu dès avant sa tenue. À force de crier au loup vous devenez inaudible.

    L’ILLUSION DE L’ACCORD DE PARIS

    En réalité, à part la COP-21 qui a donné l’illusion d’un succès avec l’Accord de Paris – mais qui est de fait un échec total, tellement cet accord est vide, et orphelin depuis le départ américain – les COP se succèdent sans que rien de concret ne soit décidé.

    Comment pourrait-il en être autrement puisque limiter les émissions de gazcarbonique n’est réalisable que par deux moyens : le développement massif du nucléaire – ce que les écologistes des COP refusent obstinément — ou bien par la récession, ce que les écologistes « profonds » (deep ecology) réclament de manière tout à fait cohérente mais que les gouvernements refusent car cela plongerait nos populations dans la pauvreté et la régression (au sens strict).

    Certains se consoleront en songeant qu’une poignée de pays s’est tout de même engagée à ne plus utiliser du charbon pour produire de l’électricité. Qui a signé cet accord ? La Belgique. Rappelons que la dernière centrale belge au charbon, celle de Langerlo, fermait en avril 2016 ! La Belgique a rejoint le Luxembourg et les îles Fidji … qui ne consomment pas davantage de charbon.

    LA FAILLITE DU PROCESSUS ONUSIEN

    L’échec est non seulement celui de ces conférences devenues totalement inutiles mais plus généralement des politiques prétendument « vertes ». On assiste, pour qui veut bien l’admettre, à la faillite de tout le processus onusien.

    La Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques était adoptée en juin 1992 lors du Sommet de la Terre qui s’est tenu à Rio de Janeiro.

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  10. Depuis 1992, les signataires se perdent en paroles, en textes abscons et en voyages – générant autant d’émissions de CO2 qui sont « compensées » (terme qui désigne comme dans les religions la pénitence pour la faute commise) financièrement par les contribuables – tandis que les émissions de CO2 ne cessaient d’augmenter : plus 54% en 25 ans ! Tout est dit. À quoi ces messieurs-dames vous rétorquent, comme le font les socialistes depuis 150 ans : sans nous, ce serait pire ! Heureusement que le ridicule ne tue pas…

    LE PROBLÈME DE L’ARGENT

    L’échec était si prévisible qu’avant même cette rencontre le Président Macron avait déjà convoqué une autre réunion pour essayer de sauver l’Accord de Paris. Alors que le processus officiel depuis 1992 est celui des COP, la France organise une autre rencontre sur le cœur du problème : l’argent ! Oui c’est in fine bien là que réside l’espérance du monde de la finance si cher au président français : pouvoir manipuler les cent milliards de dollars PAR AN prévus dans le Fonds vert que la COP-19 avait annoncé.

    Comme le disait feu le Pr. Istvan Marko ce fonds devrait – aurait dû convient-il d’écrire puisque personne ne va mettre la main dans la poche des contribuables pour lever cette somme titanesque – servir à transférer de l’argent de la poche des classes moyennes occidentales vers les comptes en banque des riches dirigeants de pays moins développés, notamment africains et asiatiques, par l’intermédiaire de la grande finance.

    ALLIANCE ÉCOLOS – GRANDE FINANCE

    On assiste ainsi à une sainte alliance entre les écologistes tiers-mondistes et la grande finance, le tout orchestré par l’Union européenne, sous le regard amusé du géant américain qui a désormais pris congé de toute cette mascarade.

    Les déguisements des ours blancs vont ressortir en novembre 2019 à Katowice qui va accueillir la COP-24. Les journalistes de France 2 et de la RTBF ne tarderont pas à réserver leur billet d’avion et l’hôtel pour s’assurer que le Wallon et le Français moyens seront à nouveau saisis d’effroi pendant 15 jours. Katowice ?

    Oui, le centre houiller de la Pologne. Qui n’a pas signé la déclaration de sortie du charbon car celui-ci produit 84% de son électricité. Si on veut aller de progrès en progrès, puisque l’Allemagne qui était l’hôte de la COP-23 produit 47% de son électricité à partir de charbon, la COP-25 devrait avoir lieu en Afrique du Sud, qui génère 94% de son électricité à partir de l’ennemi numéro un des COP.

    Ainsi la mascarade atteindrait-elle des proportions cosmiques.

    https://www.contrepoints.org/2017/11/18/303418-cop23-nouvel-echec

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    1. (...) Comment pourrait-il en être autrement puisque limiter les émissions de gazcarbonique n’est réalisable que par deux moyens : le développement massif du nucléaire (...)

      A savoir que: Le gazcarbonique se recycle TOUT SEUL & IMMÉDIATEMENT soit en carbone (nano-particule de charbon transformée par le phytoplancton) soit en oxygène grâce à la végétation. Or, s'il ne pouvait y avoir de gazcarbonique, il n'y aurait plus de transformation en charbon (et pétrole) ni de végétation ! Il n'y aurait donc plus d'arbre et de plante aux jardins ! Et, zéro gazcarbonique = zéro oxygène !
      Zéro oxygène = ZÉRO VIE SUR TERRE !

      Mais, rassurez-vous, la Terre a le bonheur d'avoir donné naissance aussi à des hommes intelligents ! Ces gens là habitent la Chine ou la Russie et usent à profusion à fabriquer pour nous du gaz carbonique permettant aux plantes de vivre et à nous fournir de l'oxygène. Ouf ! Merci à ces populations anti-dictatures/antimerde COP/anti nazional socialiste.

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  11. Des désastres pourraient faire disparaître des pays entiers, préviennent des scientifiques


    10:46 19.11.2017


    À l’unisson, plus de 15.000 scientifiques de 184 pays préviennent l’humanité d’un danger imminent: ils signent une lettre ouverte mettant en garde contre les catastrophes les plus graves qui menacent la vie sur Terre. Sputnik a discuté de la question avec l'un des signataires, le climatologue allemand Stefan Rahmstorf.

    La communauté internationale doit déployer davantage d'efforts pour mettre fin aux tendances environnementales négatives, autrement la situation actuelle pourrait avoir des conséquences désastreuses pour l'humanité, a déclaré à Sputnik Stefan Rahmstorf, professeur à l'Institut d'études sur les changements climatiques de Potsdam (Allemagne).

    Le scientifique met en garde contre des catastrophes de grande ampleur qui pourraient rayer des villes et des îles entières de la carte du monde.

    «Nous sommes témoins d'une hausse du niveau de la mer, qui, si l'on n'y met pas un frein, entraînera à long terme la disparition de villes et de pays côtiers. Il serait tout simplement stupide de foncer à toute allure vers la catastrophe», déclare l'analyste.

    Quels volcans sont sur le point d’entrer en éruption ?

    Selon M. Rahmstorf, le premier avertissement climatique est apparu il y a 25 ans, mais depuis lors la tendance ne s'est pas améliorée.

    «Par exemple, dans mon domaine de recherche, le climat, nous pouvons observer une augmentation sérieuse et continue des émissions de gazcarbonique, et, par conséquent, une augmentation de la concentration de gazcarbonique dans l'atmosphère, qui est actuellement la plus élevée depuis les trois derniers millions d'années. Tout cela mène par conséquent à une hausse croissante des températures à l'échelle mondiale», a ajouté le chercheur.

    Selon lui, les gouvernements prennent des mesures insuffisantes pour prévenir les changements climatiques et les catastrophes environnementales. De nombreux États donnent des promesses, mais ne les mettent pas en pratique, a affirmé l'analyste.

    Le climatologue s'attend par exemple à ce que le nouveau gouvernement allemand prenne des mesures concrètes qui mèneront à la mise en œuvre de tous les objectifs climatiques.

    «Lorsque nous parlons de climat, il faut d'abord réduire les émissions de gaz à effet de serre à zéro. Le fait que tous les pays, à l'exception des États-Unis, aient compris cela est déjà un succès», a conclu M. Rahmstorf.

    La lettre, intitulée «Avertissement des scientifiques du monde à l'humanité: un deuxième avis», a été publiée dans la revue scientifique BioScience.

    https://fr.sputniknews.com/sci_tech/201711191033945128-desastre-catastrophe-scientifiques/

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    1. Un 'climatologue' n'EST PAS UN SCIENTIFIQUE !

      Ces '15000 enfants de salauds' ne sont QUE des criminels, des gros tas de merde qui ne sont nullement des scientifiques ! Car, l'emploi et l'usage de cette qualité est passible de prison par le fait que ces ordures qui se prétendent donner des leçons aux scientifiques n'ont PAS le titre de scientifique (donné et révisé par les pairs). La présentation-même du Caducée serait plus qu'une injure aux 'COP2.0' et une faute grave d'atteinte à l'humanité.

      (...) «Nous sommes témoins d'une hausse du niveau de la mer, (...)

      Oser dire que 'la mer monte' est un crachat à la science car, depuis des millions d'années, ce sont des milliards de km3 d'eaux (venues des pluies, des fleuves & des rivières) qui se son déversés dans les océans SANS QU'ILS NE MONTENT !!!
      (...) actuellement la plus élevée depuis les trois derniers millions d'années. Tout cela mène par conséquent à une hausse croissante des températures à l'échelle mondiale» (...)

      FAUX ! Le gazcarbonique n'est PAS un gaz qui peut réchauffer l'atmosphère, ni un poison.
      Actuellement (et contrairement aux FAUSSES informations sur des hausses des moyennes de température au domaine mondial), notre planète se refroidit.

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