- ENTREE de SECOURS -



mardi 6 juin 2017

Naturel sauvage = la protection est innée

Figurez-vous que la fonction animale-sauvage tend à disparaître ?! Exemple flagrant d'une poule d'élevage qui ne se méfie nullement du danger car, le renard, le chien ou la belette ne font pas partie de leurs gênes ! C'est là une constatation épouvantable que de laisser un enfant seul au bord d'une piscine comme d'abandonner son ou sa compagne face à la télévision !

L'idiocratie représentative ! Plutôt plus qu'effrayant qu'un homme comme le président Trump qui a des milliards en poche n'est même pas un seul émetteur de télévision à son nom où il pourrait parler '24h sur 24' ! de TOUT ce qui lui passe par la tête et qu'aux USA les 'démocrates' n'ont JAMAIS voulu instaurer la première démocratie (comme les républicains qui ne sont que des pseudonymes de la monarchie !) !

Pourquoi tous les chefs d'États dans le monde se rencontrent-ils alors que le ou la chef d'État démocratique au monde (la Suisse) ne rencontre PERSONNE ?!

Un peu plus que bizarre que les 'partisans de l'opposition' (Hahahaha !) dans le monde ne citent JAMAIS la Suisse comme étant le modèle à atteindre ! Mais pourquoi les partis politique qui se disent d''opposition' (Hahahaha !) ne proposent-ils JAMAIS d'institutionnaliser la Démocratie chez eux ?!

Pourquoi même les habitants du monde (hors Suisse) ignorent-ils ce qu'est la Démocratie ? = Parce qu'ils ne sont pas Suisses !

La Démocratie c'est: de proposer SA propre loi et, de voter SA propre loi ! C'est-à-dire qu'en Suisse, il n'existe pas de 'congressistes' députés ou sénateurs car TOUS les suisses votent leurs propres lois sans en reléguer cette fonction à quiconque ! C'est aussi pourquoi il n'y a jamais de gréve, de manifestation ou de trouble civil en Suisse !

C'est aussi pourquoi (ailleurs qu'en Suisse) il y a de plus en plus de non-votants qui refusent de choisir entre une merde et une merde !

12 commentaires:

  1. Malgré les aléas politiques US, Trump charge Tillerson de renouer les liens avec Moscou

    13:12 06.06.2017


    Donald Trump a indiqué au chef de la diplomatie américaine que l’enquête sur les présumés contacts entre ses proches et la Russie ne devrait pas miner les efforts visant à reconstruire les relations avec Moscou.

    Les tensions qu'attisent les rumeurs sur de prétendus contacts entre l'entourage du Président américain et la Russie ne doivent pas empêcher la diplomatie américaine de tenter de reconstruire de bonnes relations avec Moscou, estime le chef de la Maison-Blanche. C'est le secrétaire d'État américain Rex Tillerson qui a fait part de ces propos tenus par M. Trump lors de l'un de leurs entretiens.

    Lors de la visite du chef de la diplomatie américaine en Nouvelle-Zélande, les journalistes ont demandé à M. Tillerson s'il pensait que la crise politique américaine pouvait mener à la chute de l'administration de Trump. Affirmant ne pas disposer d'informations directes à ce sujet, le responsable américain a refusé de répondre. Il a tout de même indiqué:

    « Le Président a été clair avec moi: "Ne laisse pas ce qui se passe ici sur la scène politique t'empêcher de faire ton travail dans cette relation." Et il m'a laissé entendre que nous pouvions faire des progrès », a-t-il déclaré.

    https://fr.sputniknews.com/international/201706061031716734-tillerson-trump-russie-usa/

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  2. Le mystère du bâillement


    6 juin 2017



    Si quelqu’un vous demande : »pourquoi tu bâilles ? » et que vous lui répondez en énumérant toutes les raisons de votre bâillement, faites-en vite part à l’Académie des Sciences car vous pourriez recevoir le Prix Nobel de physiologie. La science n’a toujours pas trouvé d’explication à ce comportement pratiquement universel chez les vertébrés. Dans l’utérus l’enfant commence à bâiller dès la fin du troisième mois de gestation. Tous les vertébrés se livrent inconsciemment à ce genre de rite primitif, depuis les tortues et les poissons jusqu’aux oiseaux. Le bâillement a été très bien décrit par exemple par le Docteur Robert R. Provine, spécialiste mondial de la science du bâillement, dans un fameux article paru en 2005 dans la revue American Scientist. N’importe qui peut décrire un bâillement mais de là à en élucider les causes profondes est une toute autre histoire.

    Tout ce qui a pu être observé – et non pas expliqué – est que le bâillement est contagieux dès l’âge de 5 ans. Chez les bonobos ce comportement est d’autant plus « contagieux » que les individus sont proches socialement. Les chiens sont sensibles aux bâillements de leur maître mais pour les chats rien n’a pu être prouvé en ce sens.

    Les physiologistes se perdent en conjectures … Le bâillement serait une manifestation de l’empathie. En effectuant une imagerie fonctionnelle par résonance magnétique de personnes observant des petits clips vidéo montrant des personnes en train de bâiller des zones particulières du cerveau étaient activées et ces zones cérébrales seraient impliquées dans l’empathie, c’est à peu près tout.

    Le rire est également contagieux et bâillement et rire feraient appel à des circuits neuronaux primitifs qui ont résisté à l’évolution. Les bâillements sont seulement plus fréquents quand on a sommeil, c’est un fait indéniable qui n’a pourtant jamais pu être vérifié scientifiquement en effectuant par exemple un électro-encéphalogramme. Les tracés ne révèlent aucune différence de l’état d’éveil avant et après un bâillement. Certains biologistes ont rapproché les bâillements à un déficit en oxygène du sang, pourtant toutes les analyses effectuées dans ce sens n’ont jamais pu formellement valider cette hypothèse. Enfin, une conséquence du bâillement est l’ouverture des trompes d’Eustache qui abaisserait la pression de l’oreille interne. Or si cette hypothèse était exacte les passagers d’un avion bâilleraient plus souvent quand l’avion change d’altitude, ce qui n’est pas le cas.

    Continuez à bailler, même aux corneilles, en vous disant que vous ne savez pas pourquoi, ce comportement est totalement inexpliqué …

    Inspiré d’un article paru dans Medical News Today

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2017/06/06/le-mystere-du-baillement/

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  3. Wikileaks: Les USA savaient que le Qatar et l’Arabie saoudite finançaient Daech

    INTERNATIONAL
    10:44 06.06.2017

    D’après une révélation de Wikileaks, le Qatar et l’Arabie saoudite auraient financé le groupe djihadiste Daech, responsable d’attentats meurtriers partout dans le monde.

    Les gouvernements de l'Arabie saoudite et du Qatar auraient financé le groupe terroriste Daech et lui auraient fourni un soutien logistique, estime Wikileaks, se référant à plusieurs courriels de l'ancienne secrétaire d'État des États-Unis, Hillary Clinton.

    « À mesure que cette opération militaire/semi-militaire avance, nous devons utiliser nos ressources diplomatiques et des méthodes de renseignement plus traditionnelles pour exercer une pression sur les gouvernements de l'Arabie saoudite et du Qatar, qui fournissent un appui financier et logistique à Daech, ainsi qu'à d'autres groupements sunnites radicaux dans la région », lit-on dans les extraits des courriels de Clinton, rendus publics par Wikileaks.

    Pour rappel, Hillary Clinton a accusé le gouvernement russe d'être responsable de ces fuites, un point de vue partagé par l'administration américaine. Elle a aussi reproché à WikiLeaks d'aider son adversaire républicain, Donald Trump, qui a remporté l'élection présidentielle. Toutefois, le directeur du FBI, James Comey, ne partageait pas cet avis, et aucune preuve n'a été présentée pour étayer ces accusations.

    L'Arabie saoudite, Bahreïn, l'Égypte, les Émirats arabes unis, la Libye, le Yémen, Maurice et les Maldives, ces huit pays ont annoncé lundi la rupture de leurs relations diplomatiques avec le Qatar, accusant Doha de déstabiliser la région et de soutenir le terrorisme.

    Cette crise diplomatique est la plus grave depuis la création en 1981 du Conseil de coopération du Golfe (CCG), qui regroupe l'Arabie saoudite, Bahreïn, les Émirats arabes unis, le Koweït, Oman et le Qatar.

    La Russie déplore de son côté la rupture des relations entre huit pays du Proche-Orient et le Qatar, puisque la lutte contre la menace terroriste est plus importante que l'existence des divergences entre les pays de la région.

    https://fr.sputniknews.com/international/201706061031712773-wikileaks-usa-arabie-saoudite-financement-daech/

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  4. Le Qatar aurait payé aux terroristes une rançon d’un milliard de dollars

    08:06 06.06.2017

    Le Qatar aurait payé une rançon d’environ un milliard de dollars afin de libérer les membres de la famille royale enlevés en 2015 en Irak.

    D'après plusieurs commandants militaires et des représentants du gouvernement irakien, Doha aurait payé une rançon d'environ un milliard de dollars pour libérer 26 membres de la famille royale enlevés en 2015 au sud de l'Irak et « 50 combattants pris en otage en Syrie par les djihadistes », relate le journal The Financial Times. Le Qatar, poursuit le quotidien, a remis cet argent à un groupement syrien lié à Al-Qaïda, ce qui a permis aux Qataris de retourner dans leur pays en avril dernier.

    Il est à noter que l'enlèvement des 26 chasseurs, qui comptaient plusieurs membres de la famille royale du Qatar, n'a jamais été revendiqué. Ils avaient été kidnappés en décembre 2015 lors d'une partie de chasse dans le sud de l'Irak. Des informations avaient alors circulé selon lesquelles ils avaient été interceptés par des milices proches de l'Iran.

    Selon une source proche des négociations, leur libération serait liée à un accord ayant conduit à l'évacuation de plusieurs villes assiégées en Syrie. L'accord avait été parrainé par le Qatar, soutien de groupes rebelles en Syrie, et l'Iran, proche allié du président syrien Bachar al-Assad.

    Notons qu'Al-Qaïda finance de plus en plus ses opérations terroristes grâce aux rançons, selon le New York Times. Le journal cite notamment d'anciens otages, négociateurs, des diplomates et des représentants de gouvernement de 10 pays en Europe, en Afrique et au Moyen-Orient, et affirme que les paiements ont été parfois travestis en aide au développement.

    L'Arabie saoudite, Bahreïn, l'Égypte, les Émirats arabes unis, la Libye, le Yémen, Maurice et les Maldives: ces huit pays ont annoncé lundi la rupture de leurs relations diplomatiques avec le Qatar, accusant Doha de déstabiliser la région et de soutenir le « terrorisme ». Cette crise diplomatique est la plus grave depuis la création en 1981 du Conseil de coopération du Golfe (CCG), qui regroupe l'Arabie saoudite, Bahreïn, les Émirats arabes unis, le Koweït, Oman et le Qatar. La Russie déplore de son côté la rupture des relations entre huit pays du Proche-Orient et le Qatar, puisque la lutte contre la menace terroriste est plus importante que l'existence des divergences entre les pays de la région.

    https://fr.sputniknews.com/international/201706061031710675-qatar-financement-terroristes-rancon/

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  5. "Oubliez le terrorisme": la vraie raison derrière la crise du Qatar est le gaz naturel


    Par Tyler Durden
    6 juin 2017 11h07


    Selon le récit officiel, la raison de la dernière crise du Golfe dans laquelle une coalition d'États dirigeants saoudiens a coupé les liens diplomatiques et économiques avec le Qatar est parce que - à l'étonnement étonné de tous »: le Qatar finançait des terroristes et, après la récente visite de Trump Visite en Arabie Saoudite dans laquelle il a exhorté une répression contre le soutien financier du terrorisme et a également suivi le rapport de la FT selon lequel Qatar a directement versé 1 milliard de dollars de financement aux retombées de l'Iran et d'Al-Qaïda, l'Arabie saoudite a finalement eu assez de son "voyou" Voisin, qui, ces dernières années, avait fait des ouvertures idéologiquement inacceptables à la fois envers les Chiïs et la Russie.

    Cependant, comme cela arrive souvent, le récit officiel est traditionnellement un écran de fumée pratique à partir des tensions sous-jacentes réelles.

    La vraie raison derrière les retombées diplomatiques peut être beaucoup plus simple et une fois de plus à un sujet long et controversé, à savoir la domination régionale du gaz naturel au Qatar.

    Rappelons que beaucoup ont spéculé (avec des preuves remontant jusqu'en 2012), l'une des raisons de la longue guerre de la Syrie n'était rien de plus complexe que les pipelines concurrents, et Qatar voulait passer son propre pipeline, reliant l'Europe à Ses vastes dépôts de gaz naturel, alors que cela compromettrait le monopole de l'approvisionnement en GNL européen de Gazprom, la Russie avait été fermement et violemment contre cette stratégie dès le début et explique le soutien ferme de Poutine au régime d'Assad et le désir du Kremlin d'empêcher la Remplacement du gouvernement syrien par un régime de marionnettes.

    Notez la ligne pourpre qui trace le pipeline de gaz naturel Qatar-Turquie proposé et notez que tous les pays soulignés en rouge font partie d'une nouvelle coalition préparée à la hâte après la fin de la Turquie (en échange de l'acquiescement de l'OTAN à la guerre politiquement motivée d'Erdogan avec la PKK) a accepté de permettre aux États-Unis de voler des missions de combat contre les cibles ISIS d'Incirlik. Maintenant, notez quel pays le long de la ligne pourpre n'est pas mis en surbrillance en rouge. C'est parce que Bashar al-Assad n'a pas soutenu le pipeline et maintenant nous voyons ce qui se passe lorsque vous êtes un homme fort du Moyen-Orient et que vous décidez de ne pas soutenir quelque chose que les États-Unis et l'Arabie saoudite veulent faire.

    Maintenant, dans une analyse distincte, Bloomberg dégage également le «récit officiel» derrière la crise du Golfe et suggère que l'isolement de Qatar par l'Arabie saoudite », et le passé long du conflit et le futur persistant sont mieux expliqués par le gaz naturel».

    Les raisons pour lesquelles le gaz naturel est la source de la discorde sont nombreuses et commencent en 1995 "lorsque la péninsule minuscule du désert était sur le point de faire son premier chargement de gaz naturel liquide dans le plus grand réservoir du monde. Le North Field offshore, qui fournit pratiquement tous les Qatar Gaz, est partagé avec l'Iran, le rival détesté de l'Arabie saoudite ".

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  6. Le résultat pour les finances du Qatar était similaire à l'achalandage que l'Arabie saoudite a tiré de sa vaste richesse en pétrole brut.

    La richesse qui a suivi a transformé le Qatar en non seulement la nation la plus riche du monde, avec un revenu par habitant annuel de 130 000 $, mais aussi le plus grand exportateur de GNL au monde. L'accent mis sur le gaz l'a séparé de ses voisins producteurs de pétrole dans le Conseil de coopération du Golfe et lui a permis de sortir de la domination par l'Arabie saoudite, qui dans la déclaration de plainte de lundi a décrit Qataris comme une "extension de leurs frères dans le Royaume" comme il a coupé Des relations diplomatiques et a fermé la frontière.

    En bref, au cours des deux dernières décennies, le Qatar devient le plus grand producteur de gaz naturel de la région, avec seulement la Russie Gazprom capable de contester l'influence du Qatar dans les exportations de GNL.

    Certes, le Qatar a montré une capacité remarquable à déplacer son allégeance idéologique, avec le rapport FT aussi récemment que 2013, qui au départ Qatar était un partisan ferme, soutien et financier des rebelles syriens, chargé de renverser le régime d'Assad, un processus Ce qui pourrait culminer avec la création du pipeline trans-syrien très calcimené.

    Le petit état riche en gaz du Qatar a dépensé jusqu'à 3 milliards de dollars au cours des deux dernières années, soutenant la rébellion en Syrie, dépassant largement tout autre gouvernement, mais l'Arabie saoudite est maintenant la principale source d'armes pour les rebelles.

    Le coût de l'intervention du Qatar, sa dernière poussée pour soutenir une révolte arabe, représente une fraction de son portefeuille de placements internationaux. Mais son soutien financier à la révolution qui s'est transformée en une guerre civile vicieuse dramatiquement surmonte le soutien de l'opposition occidentale.

    Au fil des années, le Qatar a compris que la Russie ne permettrait pas à ses pipelines de traverser la Syrie et, par conséquent, il a pivoté stratégiquement dans une direction pro-Russie, et comme nous l'avons montré hier, le fonds souverain du Qatar a convenu l'année dernière d'investir 2,7 $ Milliard dans le gouvernement russe Rosneft Oil, même si le Qatar est l'hôte de la plus grande base militaire américaine de la région, commandement central des États-Unis. Ce pivot particulier a peut-être ajouté aux craintes que le Qatar devienne un partisan beaucoup plus actif d'un axe Russie-Iran-Syrie dans la région, malgré son soutien financier et idéologique récemment en Iran.

    À la suite de l'indépendance et de l'indépendance financière et politique croissante de la nation, ses voisins se sont de plus en plus frustrés et concernés: «Le Qatar était autrefois un État vassal saoudien, mais il utilisait l'autonomie que sa richesse en gaz créait pour créer une entreprise indépendante Rôle pour lui-même ", a déclaré Jim Krane, chercheur en énergie au Baker Institute de l'Université de Rice, cité par Bloomberg.

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  7. En outre, la production de gaz naturel du Qatar a été "sans emmêlement" - et pression politique - dans l'OPEP, le cartel du pétrole que l'Arabie saoudite domine.

    "Le reste de la région a cherché une occasion de bloquer les ailes du Qatar".

    Et, comme l'a ajouté Bloomberg, «cette opportunité est venue avec la récente visite du président américain Donald Trump en Arabie saoudite, quand il a appelé« toutes les nations de conscience »à isoler l'Iran. Lorsque le Qatar n'était pas d'avis public, dans un communiqué, le gouvernement a déclaré plus tard qu'un produit De piratage, la rétribution saoudienne a suivi. "

    Bien sûr, dans une série de tweets, Trump lui-même a doublé sur le «nartiteve officiel», prenant le crédit de l'isolement du Qatar (peut-être oubliant qu'une base américaine soit située dans la petite nation).

    Les cyniques peuvent être pardonnés à supposer que si Trump crie que la raison de l'isolement du Qatar est «de mettre fin à l'horreur du terrorisme», alors même que les États-Unis ont signé un accord d'armement de 100 milliards de dollars avec le plus grand partisan du terrorisme au monde , L'Arabie saoudite, alors le «récit» approuvé par Trump doit être rejeté de façon pure et simple.

    Ce qui nous ramène à nouveau au gaz naturel, où le Qatar a rapidement émergé le producteur dominant et le producteur le plus bas au moment où ses voisins ont commencé à exiger le produit de leur propre initiative, ce qui a donné à l'État minuscule tout le pouvoir. Comme Bloomberg ajoute "la demande de gaz naturel pour produire de l'électricité et l'industrie de l'électricité a grandi dans les États du Golfe. Ils doivent recourir à des importations de GNL à coût plus élevé et explorer des formations de gaz domestiques difficiles qui sont coûteuses à sortir du sol, Selon la recherche. Le gaz de Qatar a les coûts d'extraction les plus bas dans le monde ".

    Bien sûr, avec la richesse financière est venu le besoin de répandre l'influx politique: "

    La richesse du gaz au Qatar lui a permis de développer des politiques étrangères qui ont été irritées pour ses voisins. Il a soutenu les Frères musulmans en Egypte, le Hamas dans la bande de Gaza et les factions armées opposées par les Emirats Arabes Unis ou l'Arabie Saoudite en Libye et en Syrie. Gas a également payé pour un réseau de télévision mondial, Al Jazeera, qui, à plusieurs reprises, a gêné ou irrité la plupart des gouvernements du moyen-orient.

    Et surtout, «le gaz a poussé le Qatar à promouvoir une politique régionale d'engagement avec l'Iran chiite pour assurer la source de sa richesse».

    Et là, la source de tension a émergé: parce que Steven Wright, Ph.D. Un professeur agrégé à l'Université du Qatar a déclaré à Bloomberg: "vous pouvez vous demander pourquoi le Qatar n'a pas voulu fournir ses pays voisins, ce qui les rend pauvres en gaz", a déclaré Wright, l'universitaire, en parlant par téléphone depuis la capitale qatarienne Doha. "Il était probablement prévu que le Qatar leur vendrait du gaz à un prix réduit".

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  8. Ce n'était pas le cas, et au contraire, il a pris un pas en arrière en 2005, lorsque le Qatar a déclaré un moratoire sur le développement ultérieur du North Field qui aurait pu fournir plus de gaz pour les exportations locales, ce qui ajoute aux frustrations de ses voisins.

    Le Qatar a déclaré qu'il fallait tester la façon dont le champ répondait à son exploitation, en nier qu'il se pliait aux sensibilités en Iran, ce qui avait été beaucoup plus lent à tirer du gaz de son côté du champ partagé. Ce moratoire de deux ans a été levé en avril, une décennie tardive, après que l'Iran ait pris pour première fois le taux d'extraction du Qatar.

    Comme le Qatar a refusé de céder, le ressentiment a augmenté.

    "Les gens ici se grattent la tête sur ce que les Saoudiens s'attendent à ce que le Qatar fasse", a déclaré Gerd Nonneman, professeur de relations internationales et études du Golfe au campus de Doha de l'Université de Georgetown. "Ils semblent vouloir quitter le Qatar complètement, mais il n'appellera pas les Frères musulmans comme une organisation terroriste, parce que ce n'est pas le cas. Et il ne va pas excommunier l'Iran, car cela compromettrait une relation trop fondamentale pour le développement économique du Qatar ".

    * * *
    Le fait que le gaz naturel soit la source de l'isolement du Qatar dépendra des prochaines étapes de l'Arabie saoudite et de l'Iran. L'Arabie saoudite, avec les Émirats arabes unis et l'Égypte - sont tous très dépendants du gaz Qatari par pipeline et GNL.

    Selon Reuters, les commerçants se sont effondrés par le développement, ont commencé à planifier toutes les éventualités, en particulier toute perturbation des approvisionnements en gaz de Qatar vers les Émirats arabes unis. Les Émirats arabes unis consomment 1,8 milliard de pieds cubes par jour de gaz de Qatar au travers du pipeline Dolphin et ont des accords d'achat de GNL avec son voisin, ce qui le laisse doublement exposé aux mesures de tit-for-tat, sources de l'industrie et commerçants.

    Jusqu'à présent, les flux par Dolphin ne sont pas affectés, mais les commerçants disent que même un arrêt partiel se répercuterait sur les marchés mondiaux du gaz en obligeant les EAU à chercher à fournir de l'approvisionnement en GNL de remplacement tout comme les pics de la demande intérieure.

    Avec les marchés du GNL dans l'humeur baissière et la demande faible, les Émirats arabes unis pourraient faire face au Qatar suspendant ses livraisons de GNL de deux à trois mois en appelant sur les marchés internationaux, mais les flux de canalisation Dolphin sont trop importants pour remplacer complètement.

    "Une livraison dans les livraisons de Dolphin aurait un impact énorme sur les marchés de GNL", a déclaré un commerçant.

    Et puisque tout se limite à savoir qui a le plus d'influence à mesure que se déroule cette dernière crise régionale de l'équilibre des pouvoirs, le Qatar pourrait simplement prendre la route Mutual Assured Destruction et arrêter toutes les expéditions de pipelines vers ses voisins paralysant à la fois les leurs et ses propres, Économie dans le processus, pour trouver juste où se trouve le point de «max douleur».

    http://www.zerohedge.com/news/2017-06-06/forget-terrorism-real-reason-behind-qatar-crisis-natural-gas

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  9. Climat : pourquoi l’exemple américain devrait nous inspirer

    Prospère de nos jours le climatisme est sans conteste le plus formidable dispositif idéologique de ce début de XXIe siècle. Et si on posait la question de son financement et de sa réalité scientifique ?


    Par Drieu Godefridi, Pr. István Markó et Pr. Henri Masson.


    Rien n’égale la puissance de l’idéologie. Quand certains individus — d’un type assez répandu — ont donné leur aval à une idée ou une théorie, à court terme rien, absolument rien ni personne, ne peut les en détourner.

    Ainsi le communisme a-t-il bénéficié de l’assentiment de générations d’intellectuels après qu’il eut été réfuté et après qu’il eut causé la mort de millions d’innocents.

    Prospère de nos jours le climatisme, sans conteste le plus formidable dispositif idéologique de ce début de XXIe siècle.

    D’une phrase, le climatisme est la théorie selon laquelle l’homme est responsable d’un réchauffement climatique par ses émissions de gaz à effet de serre et que, pour y remédier, nous devons opter massivement pour des énergies renouvelables-intermittentes. L’Accord de Paris repose sur cette idée et prévoit que la charge de la réduction de ces gaz, jusque 2030, reposera intégralement sur l’Occident — la Chine, l’Inde ayant la possibilité de continuer à augmenter leurs émissions.

    UN SECTEUR ÉCONOMIQUE À FINANCER

    De plus, l’Occident doit mettre en place un mécanisme de transfert de 100 milliards par an à destination des pays « pauvres » pour favoriser l’essor de ces mêmes énergies renouvelables. C’est le Fonds vert.

    Le fondement de cette idéologie, ce sont les travaux du groupe intergouvernemental de l’ONU sur le climat, le GIEC. Dès 2010, nous montrions dans un ouvrage publié en français et en anglais (Le GIEC est mort, vive la science) que ce groupe n’a rien de scientifique et qu’il est tout intégralement politique (comme son nom l’indique). Aucun de nos arguments — composition, compétences, fonctionnement du GIEC — n’a jamais été réfuté mais la faribole GIEC=science n’en a pas moins continué à se propager. Or, c’est toute l’idéologie du climatisme qui est construite sur les rapports du GIEC.

    Un nouveau secteur économique s’est créé, celui des énergies renouvelables-intermittentes. Ce secteur est non rentable économiquement et ne survit, dans l’immensité de son maillage planétaire, que par la grâce de la subvention publique. S’il en allait autrement nous n’aurions besoin ni du GIEC ni de l’Accord de Paris car tous les opérateurs économiques opteraient naturellement pour la source d’énergie la moins onéreuse.

    Qu’on lui ôte la subvention, le secteur s’effondre. Raison pour laquelle les grands conglomérats actifs dans le domaine de l’énergie sont parmi les plus chauds partisans de l’idéologie du climat et de l’Accord de Paris. C’est la définition même du crony capitalism, ou capitalisme de connivence (entre l’État et certaines entreprises).

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  10. L’Accord de Paris ajoute un fronton au dispositif, en pénalisant drastiquement l’Occident, tout en laissant libre la bride au reste de la planète — rappelons que la Chine est la première économie mondiale — et prévoyant, en sus, le transfert de sommes sans précédent dans l’histoire universelle. Soit la réinvention de l’idéologie tiersmondiste, mais cette fois au nom de la science ! Comment la haute finance pourrait-elle n’être pas exaltée par cette manne céleste, puisqu’elle servira tout naturellement d’ « interface » entre les contribuables occidentaux et, entre autres, les riches potentats africains ? Nouvelle illustration du capitalisme de connivence.

    LE CLIMATO-SCEPTICISME AMÉRICAIN

    Le grain de sable venu gripper cette formidable mécanique d’envergure dantesque n’est pas tant Donald Trump que la démocratie américaine. Car, on l’oublie, le climato-scepticisme ne date pas, aux États-Unis, de Trump. Il était la position officielle du parti républicain avant même que Trump n’annonce, en juin 2015, sa candidature à l’investiture républicaine. Les parlementaires américains ont fait leur travail, auditionnant des « experts » du climat et les mettant publiquement en face de leurs contradictions.

    Ainsi de l’arrêt du réchauffement — reconnu par le GIEC… — depuis une vingtaine d’années (le « hiatus »), dans le même temps que les émissions de gaz carbonique croissaient de belle manière. Ce qui a miné la confiance du public américain dans la prétendue « science intergouvernementale » — cette contradiction dans les termes — du climat, pour finalement conduire aux conséquences que l’on sait.

    Que fera l’Europe ? Tout à leur conception moralisatrice de la politique et leur sentiment de supériorité, il est à craindre que les « élites » politiques, aussi bien de l’UE que de la plupart des États membres, ne se cabrent et ne se radicalisent. On annonce déjà un nouveau partenariat entre la Chine et l’UE, qui renforcerait encore les engagements souscrits par l’UE au terme de l’Accord de Paris. Nul doute que les Chinois se montreront enchantés, car ils renforceront le désavantage compétitif de l’Europe, accroîtront leur marché européen pour les énergies renouvelables et matériaux y liés, tout en continuant tranquillement à augmenter leurs émissions de gaz à effet de serre… Un enfant comprendrait le lyrisme environnementaliste chinois.

    Bien sûr, le conte pour enfants ne s’arrêtera pas là. Car si les États-Unis continuent ce qu’ils ont déjà commencé avec la révolution du fracking, c’est-à-dire diminuer le coût de leur énergie, tandis que l’Europe persiste à obérer le prix de l’énergie pour les entreprises et les ménages, notre continent se videra de sa substance économique. L’UE sera de plus en plus odieuse à ses citoyens, et la révolte finira par se généraliser, probablement sous l’impulsion des pays d’Europe centrale.

    Car s’il est vrai que les idéologies suscitent des ferveurs inouïes, elles n’ont pas le pouvoir de se soumettre la réalité.

    https://www.contrepoints.org/2017/06/05/291257-climat-lexemple-americain-inspirer

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    1. les Chinois (...) tout en continuant tranquillement à augmenter leurs émissions de gaz à effet de serre…

      IL N'Y A PAS DE 'GAZ A EFFET DE SERRE', écoutez plutôt les scientifiques. De plus, TOUS les gaz se recyclent. C'est la nature, nous n'y pouvons RIEN. Et RIEN ne changerait si demain il n'y avait plus d'émissions de gaz d'origine humaine !

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  11. Le contrat d’armement américano-saoudien de 110 milliards de dollars est une “fake news”


    Audrey Duperron
    6 juin 2017


    « Le mois dernier, le président Trump s’est rendu en Arabie Saoudite et son administration a annoncé qu’il avait conclu un contrat d’armement de 110 milliards de dollars avec le Royaume. Le seul problème, c’est qu’il n’y a pas d’accord. L’annonce est une « fake news », écrit Bruce Riedel dans une colonne sur le blog du think tank Brookings, qui se décrit comme indépendant.

    « Il n’y a aucun contrat de 110 milliards $. En revanche, il y a une série de lettres exprimant un intérêt ou une intention, mais pas de contrats. Beaucoup sont des offres dont l’industrie de la défense américaine espère qu’elles intéresseront un jour les Saoudiens. Pour le moment, rien n’a été notifié au Sénat américain pour qu’il l’examine. La Defense Security Cooperation Agency (DSCA), l’instance du Pentagone qui gère les ventes d’armes, les qualifie de « ventes prévues ». Aucun des contrats identifiés pour le moment ne sont nouveaux, ils ont tous débuté sous l’administration d’Obama ».

    Selon Riedel, ce que les Saoudiens et Trump ont fait, c’est de dresser la liste potentielle de ce que les Saoudiens souhaiteraient acheter, puis ils l’ont présentée au monde comme si c’était un accord. « Mais même les chiffres ne sont pas cohérents. C’est une fake news », commente Riedel.

    Les Saoudiens n’ont plus d’argent

    « De plus, il est très peu probable que les Saoudiens puissent encore payer un contrat de 110 milliards de dollars, en raison des faibles cours du pétrole et de la guerre qui dure depuis plus de 2 ans au Yémen », a ajouté Riedel.

    « Le President Obama avait vendu pour 112 milliards de dollars d’armes au royaume sur une période de huit ans. […] Avec la chute des cours du pétrole, les Saoudiens ont depuis rencontré des difficultés pour respecter leurs obligations de paiement ».

    https://fr.express.live/2017/06/06/contrat-armement-etats-unis-arabie-saoudite-fake-news/

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