- ENTREE de SECOURS -



mardi 18 avril 2017

L'endroit le plus dangereux du monde est le SUPERMARCHÉ

https://www.youtube.com/watch?v=WhvOHQWn-x8

14 commentaires:

  1. Avant de négocier la sortie de l'euro, Le Pen souhaite attendre les élections allemande et italienne

    4 avr. 2017, 11:49



    Pour discuter avec les bons interlocuteurs, Marine Le Pen veut entamer la négociation sur le retour à une monnaie nationale après les législatives allemande et italienne. Des questions se posent donc quant au calendrier du référendum voulu par le FN.

    En cas d'élection à l'Elysée, «le référendum [en France] aura lieu dans les six mois, étant entendu que s'il faut qu'il y ait un mois de plus, ça n'a pas d'importance», a déclaré Marine Le Pen sur Sud Radio et Public Sénat, laissant planer le doute sur le calendrier de la consultation populaire.

    La présidente du Front national a précisé que les négociations sur l'euro auraient lieu «en réalité à la fin de ces six mois pour attendre l'élection allemande et l'élection italienne». Son idée est en effet de «savoir avec quelle majorité [elle] va négocier».

    Mais les élections législatives allemandes sont prévues pour le 24 septembre et, en Italie, elles ne se tiendront pas avant début 2018. Si le référendum envisagé par le Front national n'a lieu qu'après des négociations avec les nouvelles majorités, ce sera donc après les six mois initialement prévus.

    Marine Le Pen prône officiellement, si elle arrive au pouvoir, une négociation de six mois avec l'Union européenne pour «retrouver les souverainetés budgétaire, territoriale, législative et monétaire». A l'issue de ces négociations, elle organiserait un référendum sur la sortie de l'UE.

    https://francais.rt.com/economie/36215-avant-negocier-sortie-euro-pen-attendre-elections-allemandes-italiennes

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    1. (…) Marine Le Pen prône officiellement, si elle arrive au pouvoir, une négociation de six mois avec l'Union européenne pour «retrouver les souverainetés budgétaire, territoriale, législative et monétaire». A l'issue de ces négociations, elle organiserait un référendum sur la sortie de l'UE. (…)

      Conditions INACCEPTABLES dans une Démocratie où SEUL le Peuple conduit le pays et non un ou une employée élue comme chef des fonctionnaires !

      Le référendum c’est AVANT les ‘négociations’ avec l’étranger

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  2. «Je n'en crois pas un mot»: un ex-analyste de la CIA démolit la thèse de l'attaque chimique de Damas


    17 avr. 2017



    L’ex-analyste de la CIA John Kiriakou ne croit pas à l'implication du régime syrien dans l'attaque chimique d'Idleb et s'indigne des frappes américaines unilatérales en Syrie, estimant que le Conseil de sécurité de l'ONU aurait dû être consulté.

    John Kiriakou est un ancien analyste de la CIA qui est devenu lanceur d'alerte. Il est également chercheur asssocié à l'Institut des études politiques (IPS) et chroniqueur pour le Huffington Post.

    Mercredi, la Russie a opposé son veto à une résolution de l'ONU, soutenue par les Etats-Unis et plusieurs autres puissances occidentales, qualifiant l'incident de Khan Cheikhoun du 4 avril d'attaque chimique et exigeant que la Syrie ouvre ses bases militaires aux inspections.

    A l'issue du vote, le représentant de la Russie a déclaré que les mesures prises par les Etats-Unis avant même qu'une enquête n'ait pû être menée, constituaient une violation du droit international.

    L’ONU aurait dû être la première étape pour la diplomatie américaine
    RT a demandé à John Kiriakou, ancien analyste de la CIA et lanceur d'alerte, si les partisans de la résolution de Washington pouvaient tenter de la faire passer à nouveau.

    «Je pense qu’ils essaieront. Ils le font toujours. Le problème ici, c’est que l’ONU aurait dû être la première étape pour la diplomatie américaine. Au lieu d’agir unilatéralement en lançant 59 missiles de croisière, le département d’Etat aurait dû impliquer le Conseil de sécurité de l’ONU dès le début», estime-t-il.

    Quant à la raison pour laquelle les Nations unies ont débattu sur la résolution sans aucune preuve évidente de la culpabilité de Bachar el-Assad – et la logique qui est derrière –, Kiriakou a fait savoir qu’«ils avaient peur de la conclusion».

    Ces agents chimiques se trouvaient dans une installation de stockage contrôlée par Daesh, et l’armée syrienne a lancé une attaque conventionnelle sur cette position

    «Il y a des professionnels du renseignement des deux côtés qui disent que tout le monde doit prendre un peu de recul et vérifier la provenance de ces produits chimiques. Il y a des gens sur le terrain, qui disent à beaucoup d'entre nous que ces agents chimiques se trouvaient dans une installation de stockage contrôlée par Daesh, sur laquelle l’armée syrienne a lancé une attaque conventionnelle – il ne s'agissait pas d'une attaque chimique du gouvernement syrien. Franchement, nous ne connaissons pas les faits. Nous ne les connaissons pas, tout simplement parce qu’il n’y a pas eu d’enquête. Je pense que les Etats-Unis et leurs alliés au Conseil de sécurité doivent se calmer, envoyer des inspecteurs de l’ONU pour examiner la situation, afin de recueillir les faits sur place, et après cela, présenter un rapport au Conseil de sécurité. Ce bombardement n’aurait jamais dû avoir lieu», souligne l’expert.

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  3. Il a répété que les Etats-Unis étaient «tout à fait convaincus» que «l’attaque chimique» en Syrie avait été «planifiée, orchestrée et exécutée par les forces du gouvernement syrien». Plus tôt, l’ambassadeur américain à l’ONU, Nikki Haley, avait cependant dit la chose suivante : «Nous avons des preuves de l'implication d'Assad, nous les avons vues, nous savons ce qui s'est passé.»

    John Kiriakou n’exclut pas que les fonctionnaires américains «inventent ce genre de choses».

    Je ne crois pas qu’il y ait eu de renseignements. Tout cela a été mené principalement à des fins domestiques

    «S’ils ont déjà recueilli et analysé des informations de la part de leurs agents du renseignement à l’intérieur de la Syrie, c'est qu'ils doivent être des professionnels incroyables, parce que tout cela vient juste de se produire. Toute cette histoire n’est pas encore jouée. Alors comment ont-ils déjà obtenu toutes ces informations, les ont analysées, et ont réussi à utiliser cette analyse pour élaborer une politique permettant au président américain de bombarder la Syrie ?», se demande-t-il. «Si c’est ainsi que cela s'est passé, je félicite la CIA pour son réseau de renseignement en Syrie. Le problème c’est que je n'en crois pas un mot.»

    Selon l’analyste, le bombardement américain d’une base aérienne syrienne suite à l’incident chimique était une décision politique prise par la Maison Blanche, sans avoir consulté ses alliés.

    «Je ne crois pas qu’il y ait eu de renseignements. Et je pense que tout cela a été mené principalement à des fins domestiques», conclut-il enfin.

    Lire aussi : Un professeur du MIT veut une enquête sur la politique menée par Washington en Syrie

    https://francais.rt.com/opinions/36970-je-n-en-crois-pas-mot-analyste-cia-sur-rapport-attaque-chimique-syrienne

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  4. La fièvre jaune frappe de plein fouet le Brésil


    le 18 avril 2017


    Après l’épidémie de Zika c’est maintenant la fièvre jaune qui fait des ravages au Brésil et prises de court les autorités sanitaires du pays se sont heurté à une rupture de stock de vaccin. L’Organisation Mondiale de la Santé (WHO), devant cette situation alarmante, préconise une seule injection de seulement 1/5e de la dose normale conseillée jusqu’à maintenant. Il semblerait que ce soit suffisant pour protéger les individus contre cette fièvre dévastatrice qui attaque les reins et le foie. Jamais pareille épidémie n’avait été observée depuis 1920 y compris dans des zones urbanisées comme Rio, Bahia ou encore Sao Paulo. Le fait que des singes soient morts dans ces villes, le singe étant souvent un animal de compagnie, fait craindre le pire car c’est maintenant le moustique Aedes egypti qui a été déterminé comme étant le vecteur principal et non plus des moustiques de la jungle comme cela était le cas. Quand des singes meurent c’est un signal de la présence du virus tant dans les villes que dans la campagne.

    Les statistiques plus ou moins précises indiquent que moins de 50 % de la population du Brésil est vaccinée contre la fièvre jaune ce qui rend cette épidémie d’autant plus inquiétante. Dans le seul Etat du Minas Gerais (21 millions d’habitants) personne ou presque ne possède de carnet de vaccination et il faudrait en toute sécurité revacciner la plupart des personnes or la pénurie de vaccin aggrave la situation. Seulement 2,8 millions d’individus ont été vaccinés depuis l’apparition des premiers cas de fièvre. Il va sans dire que compte tenu des conditions hospitalières existantes une personne atteinte de fièvre jaune et nécessitant alors une dialyse rénale bi-hebdomadaire est d’ors et déja condamnée à mort.

    Que conclure de ces informations alarmantes ? Tout simplement que les pays occidentaux qui disposent des facilités pour produire rapidement le vaccin s’en moquent totalement. les Brésiliens sont des gens pauvres, à quoi bon se soucier de leur santé alors que produire le vaccin contre la fièvre jaune ne rapporte pas d’argent aux multinationales de la pharmacie et alors que ces même pays occidentaux dépensent des centaines de milliards de dollard en armements pour détruire des pays qui ne l’ont jamais demandé. Il y a bien un problème moral planétaire et les Nations-Unies – dont dépend le WHO – sont tout simplement incapables de maintenir la paix ni de se soucier de la santé dans le monde. Normal, cet organisme est aux ordres des USA, le plus grand fauteur de troubles depuis la fin de la seconde guerre mondiale. Tout simplement écoeurant …

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2017/04/18/la-fievre-jaune-frappe-de-plein-fouet-le-bresil/

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  5. Coton augmente de 60 % plus rapidement avec le double de gaz carbonique et réchauffée par 7 degrés de plus

    ‘CO2Science’ a trouvé un papier de 1999 fait en Chine qui montre juste comment terrible le changement climatique est du coton. C’est une culture mondiale majeure pour les fibres et l’huile et quand les chercheurs ont réchauffement les conditions de croissance durant la journée de 27°C à 34 ° C les plantes semblaient assez heureuses à ce sujet, comme elles ont grandi plus vite et plus grosses. Mais si les niveaux de gaz carbonique doublait ainsi, dans des conditions chaudes et la croissance des plantes est augmenté de 60 %. (Panique maintenant. Il s’agit d’une urgence internationale).

    – voir graphique sur site -

    Vous ne changez pas tout de suite votre portefeuille de contrats à terme de coton. Au rythme actuel de réchauffement (0,13 C/décennie), il faudra environ 500 ans pour terre d’obtenir sept degrés.

    Tel que rapporté par les scientifiques chinois, à la fin de l’expérience (105 jours après le semis), température élevée renforcée de matière sèche de 43 % gaz carbonique conditions ambiantes et de 60 % dans des conditions de gaz carbonique élevé (voir la Figure 1, le panneau de gauche). Matière sèche est également stimulée par gaz carbonique élevée de (17 % dans des conditions de température ambiante et 31 % sous des températures élevées). La plus forte augmentation de la teneur en matière sèche a été notée dans la température élevée et élevée de gaz carbonique de traitement, ce qui suggère aux auteurs que « [le gaz carbonique] enrichissement pourrait renforcer l’effet de l’élévation de la température sur la teneur en matière sèche ».

    http://joannenova.com.au/2017/04/cotton-grows-60-faster-with-double-co2-and-warmed-by-7-degrees/

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    1. Le gaz carbonique a TOUJOURS favorisé le développement de TOUTES les plantes puisqu’en tant que ‘le gaz le plus lourd’, il se situe au niveau du sol SANS porter préjudice à une quelconque bestiole ou humain qui coucherait par terre.

      NOTA:
      Le dioxyde de carbone, aussi appelé gaz carbonique ou anhydride carbonique, ou CO² !


      L'air pèse: 1,2 gr/litre
      Gaz carbonique: 1,8 gr/l.
      Oxygène (O2): 1,42 gr/l.

      tu peux dissoudre 1,7 gr de gaz carbonique dans un litre d'eau (à 20 degrés). Ce n'est pas beaucoup, par contre en volume ça fait quand même 0.88 litre de gaz carbonique

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  6. La BBC se penche sur « La manière dont la civilisation occidentale pourrait s’effondrer »


    par Tyler Durden
    18 avril 2017 18:40
    par Rachel Nuwer via BBC.com,


    Le politologue Benjamin Friedman a une fois comparé la moderne société occidentale à une stable bicyclette dont les roues sont conservés filature par la croissance économique. Doit ce mouvement de propulsion avant de ralentir ou cesser, le piliers qui définissent notre société-démocratie, libertés individuelles, la tolérance sociale et plus – commencerait à teeter. Notre monde deviendrait un lieu de plus en plus laid, celle définie par une ruée sur les ressources limitées et un rejet de toute personne à l’extérieur de notre groupe immédiat. Ne devons nous trouver aucun moyen d’obtenir des roues arrière en mouvement, nous serions confrontés par la suite total effondrement sociétal.

    Ces effondrements ont eu lieu plusieurs fois dans l’histoire de l’humanité et aucune civilisation, n’importe comment apparemment grande, sont à l’abri les vulnérabilités pouvant conduire une société à sa fin. Quelle que soit la façon dont les choses vont dans le moment présent, la situation peut toujours changer. Abstraction faite des espèces-fin des événements comme une grève astéroïde, l’hiver nucléaire ou la pandémie mortelle, l’histoire nous dit que c’est généralement une multitude de facteurs qui contribuent à réduire. Quels sont ils et qui, s’il en est, ont déjà commencé à faire surface ? Il ne faut donc pas surprenant que l’humanité est actuellement sur une trajectoire insoutenable et incertaine – mais étroites à quel point sommes-nous pour atteindre le point de non-retour ?

    Bien qu’il soit impossible de prédire l’avenir avec certitude, mathématiques, de sciences et d’histoire peuvent fournir des conseils quant aux perspectives des sociétés occidentales pour la poursuite à long terme.

    Safa Motesharrei, un scientifique de systèmes à l’Université du Maryland, utilise des modèles informatiques pour acquérir une meilleure compréhension des mécanismes qui peuvent conduire au développement durable local ou global ou s’effondrer. Selon les conclusions que Motesharrei et ses collègues publient en 2014, il y a deux facteurs qui comptent : souche écologique et économique stratification. La catégorie écologique est plus largement compris et reconnu le chemin d’accès au destin potentiel, surtout en ce qui concerne l’épuisement des ressources naturelles telles que les eaux souterraines, des sols, des Pêches et des forêts – ce qui pourrait être aggravé par le changement climatique.

    Que la stratification économique peut conduire à s’effondrer sur ses propres, en revanche, est venu en plus d’une surprise à Motesharrei et ses collègues. Selon ce scénario, élites pousser la société vers l’instabilité et l’effondrement de thésaurisation des énormes quantités de ressources et richesses, et les laissant peu ou pas aux roturiers qui largement plus nombreux qu’eux encore soutiennent avec travail.

    Finalement, la population active se bloque parce que la partie de la richesse qui leur sont attribué ne suffit pas, suivie par l’effondrement des élites en raison de l’absence du travail. Les inégalités, nous voyons aujourd'hui dans et entre les pays déjà pointent vers ces disparités. Par exemple, les 10 % du revenu global sont responsables sur les émissions de gaz à effet de serre totales presque autant comme le fond 90 % combiné. De même, environ la moitié la population mondiale vit à moins de 3 $ par jour.

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  7. Pour les deux scénarios, les modèles définissent une capacité de charge – un niveau de population totale ressources d’un environnement donné pouvant maintenir à long terme. Cas de dépassement de la capacité de charge par trop, effondrement devient inévitable. Que le destin est évitable, cependant. « Si nous faisons des choix rationnels pour réduire les facteurs tels que l’inégalité, démographie explosive, la vitesse à laquelle nous épuisent les ressources naturelles et le taux de pollution – toutes choses parfaitement faisables – alors que nous pouvons éviter effondrement et stabiliser sur une trajectoire durable », a dit Motesharrei. « Mais nous ne pouvons pas attendre éternellement pour prendre ces décisions. »

    Malheureusement, certains experts estiment que ces décisions difficiles dépassent nos capacités politiques et psychologiques. « Le monde ne va pas augmenter à l’occasion de résoudre le problème du climat au cours de ce siècle, simplement parce qu’il est plus coûteux à court terme pour résoudre le problème qu’il doit juste garder agissant comme d’habitude, « dit Jorgen Randers, professeur émérite de stratégie climatique au BI Norwegian Business School et auteur de 2052 : A Global Forecast pour les quarante prochaines années. « Le problème du climat va empirer et pire et pire parce que nous ne serons pas en mesure de la hauteur de ce que nous avons promis de faire dans l’accord de Paris et ailleurs. »

    Alors que nous sommes tous dans cet ensemble, les plus pauvres seront sentent les effets de l’effondrement d’abord. En effet, certaines nations déjà servent de canaris dans le charbon mine pour les problèmes qui peuvent éventuellement tirer apart ceux plus aisés. Syrie, apprécié par exemple, des taux exceptionnellement élevés de fécondité pendant un temps, qui ont alimenté la croissance démographique rapide. Une grave sécheresse dans la fin des années 2000, probablement aggravée par le changement climatique d’origine humaine, combiné à des pénuries d’eau souterraine à paralyser la production agricole. Cette crise a laissé un grand nombre de personnes – en particulier les jeunes hommes – sans emploi, mécontentement et désespérée. Beaucoup ont afflué dans les centres urbains, écrasant les ressources limitées et prestations de services. Préexistantes des tensions ethniques a augmenté, créant un terrain fertile pour la violence et les conflits. En plus de cela, mauvaise gouvernance, y compris les politiques néolibérales qui ont éliminé les subventions de l’eau dans le milieu de la sécheresse, à pointe le pays dans la guerre civile en 2011 et envoyé ce carénage vers l’effondrement.

    Cas d’en Syrie – comme avec tant d’autres effondrements sociaux tout au long de l’histoire – il n’était pas un mais une multitude de facteurs qui ont contribué, dit Thomas Homer-Dixon, président des systèmes mondiaux à la Balsillie School of International Affairs, à Waterloo, au Canada et auteur de The Upside of Down. Homer-Dixon appelle ces forces combinées contraintes tectoniques pour la façon dans laquelle, ils s’accumulent tranquillement et puis brusquement éclatent, une surcharge de tout mécanisme stabilisateur sinon Conservez une société en échec.

    Le cas syrien à côté, un autre signe que nous entrons dans une zone de danger, Homer-Dixon dit, est fréquence croissante de quels experts appel non-linéarités, ou des changements soudains et inattendus dans l’ordre du monde, tels que la crise économique de 2008, la montée du choix ISIS, Brexit ou Donald Trump.

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  8. Le passé peut également fournir des conseils pour comment l’avenir pourrait se dérouler. Prenons, par exemple, l’ascension et la chute de l’Empire romain. À la fin de la 100BC les Romains s’étaient répandues à travers la Méditerranée, dans les endroits plus facilement accédé par la mer. Ils devraient arrêté là, mais les choses allaient bien et ils se sentaient habilités à développer de nouvelles frontières par voie terrestre. Alors que le transport maritime était économique, cependant, transport à travers la terre était lent et coûteux. Pendant tout ce temps, ils étaient eux-mêmes outrepasser et exécutant des coûts. L’Empire a réussi à rester stable dans les siècles qui ont suivi, mais les répercussions pour la diffusion d’eux-mêmes trop mince rattrapé avec eux au IIIe siècle, qui a été en proie à la guerre civile et les invasions. L’Empire tenté de conserver ses terres de noyau, alors même que l’armée a mangé son budget et l’inflation monté toujours plus haut que le gouvernement avili sa monnaie d’argent pour essayer de couvrir ses frais de montage. Tandis que certains chercheurs citent le début de l’effondrement l’an 410, lorsque les Wisigoths envahisseurs saccagé la capitale, cet événement dramatique a été rendu possible par une spirale s’étendant sur plus d’un siècle.

    Selon Joseph Tainter, professeur d’environnement et de la société à la Utah State University et auteur de L’effondrement de sociétés complexes, une des leçons plus importantes depuis la chute de Rome sont que cette complexité a un coût. Comme indiqué dans les lois de la thermodynamique, il faut d’énergie pour maintenir n’importe quel système dans un État complex, ordonné – et la société humaine ne fait pas exception. Par l’IIIe siècle, Rome a été plus en plus l’ajout de nouvelles choses – une armée de doubler la superficie, une cavalerie, subdivisés provinces que chacun avait besoin de leurs propres administrations, les tribunaux et les défenses – juste pour maintenir le statu quo et empêcher de glisser vers l’arrière. Par la suite, il pourrait ne plus se permettre à soutenir ces complexités accrues. C’était la faiblesse budgétaire, pas la guerre, qui a fait l’Empire po

    Jusqu'à présent, les sociétés occidentales modernes largement pu reporter dépoussiéreurs similaires d’effondrement grâce à des combustibles fossiles et les technologies industrielles – pense que la fracturation hydraulique à venir le long en 2008, juste à temps pour compenser la flambée des prix du pétrole. Tainter soupçonne que ce pas sera toujours le cas, cependant. « Imaginez les coûts si nous devons construire une digue autour de Manhattan, juste pour protéger contre les tempêtes et les marées montantes, » dit-il. Finalement, l’investissement dans la complexité comme une stratégie de résolution de problèmes n’atteigne un point des rendements décroissants, menant à la faiblesse budgétaire et de la vulnérabilité à l’effondrement. Autrement dit, il dit « sauf si nous trouvons un moyen de payer pour la complexité, comme nos ancêtres l’avaient fait quand ils ont couru plus en plus de sociétés aux énergies fossiles. »

    Aussi parallèle à Rome, Homer-Dixon prédit qu’effondrement de sociétés occidentales sera précédée d’une rétraction des personnes et ressources retour dans leurs patries core. Que les nations les plus pauvres continuent de se désintégrer au milieu des conflits et des catastrophes naturelles, énormes vagues migratoires coulera hors faute de régions, se réfugiant dans des États plus stables. Les sociétés occidentales répondra avec restrictions et même des interdictions en matière d’immigration ; murs de plusieurs milliards de dollars et les drones patrouillant à la frontière et les troupes ; sécurité accrue sur qui et ce qui obtient et des styles plus autoritaires et populistes de gouverner. « C’est presque une tentative immunologique par pays à maintenir une pression de périphérie et appuyez sur retour, » a dit Homer-Dixon.

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  9. Dans le même temps, un écart grandissant entre riches et pauvres dans les pays occidentaux déjà vulnérables va pousser la société vers une instabilité supplémentaire de l’intérieur. « D’ici à 2050, les États-Unis et le Royaume-Uni aura évolué dans deux catégories sociétés où une petite élite mène une vie bonne et il n’y a bien-être en déclin pour la majorité, » dit de Randers. « Ce qui va s’effondrer est l’équité. »

    Que ce soit dans les États-Unis, le Royaume-Uni ou ailleurs, les gens plus insatisfaits et peur devient, Homer-Dixon dit, plus d’une tendance qu’ils ont à s’accrocher à leur identité du groupe – religieuse, raciale ou nationale. Refus, y compris la perspective émergents d’effondrement sociétal lui-même, sera généralisée, comme volonté de rejet de fait fondées sur des preuves. Si les gens admettent que les problèmes existent à tous, ils assignera blâme pour ces problèmes à tout le monde en dehors de leur endogroupe, accumulent de ressentiment. « Vous configurez les conditions psychologiques et sociales pour les violences de masse », a dit Homer-Dixon. Quelle violence localisée enfin éclater, ou un autre pays ou un groupe décide d’envahir l’île, effondrement sera difficile à éviter.

    L’Europe, avec sa proximité avec l’Afrique, son pont terrestre vers le moyen-orient et son statut de voisinage avec les nations instables politiquement plus à l’est, vous sentirez ces pressions tout d’abord. Les Etats-Unis seront probablement tenir plus longtemps, entouré par des tampons de l’océan.

    D’autre part, les sociétés occidentales peuvent ne pas satisfaire avec une fin violente, dramatique. Dans certains cas, les civilisations simplement fondu hors de l’existence – devenant l’étoffe de l’histoire non pas avec un bang mais un gémissement. L’Empire britannique est sur ce chemin depuis 1918, Randers dit, et d’autres pays occidentaux pourraient aller dans cette voie aussi bien. Comme le temps passe, ils deviendront de plus en plus sans conséquence et, en réponse aux problèmes conduisant leur fermeture en fondu lent, quittera aussi crûment des valeurs qu'elles sont chères aujourd'hui. « Les nations occidentales sont ne pas va s’effondrer, mais le bon fonctionnement et la nature amicale de la société occidentale va disparaître, parce que l’inégalité va exploser » Randers soutient. « Société démocratique et libérale échouera, alors que les gouvernements plus forts comme la Chine seront les gagnants. »

    Certaines de ces prévisions et les signes avant-coureurs devraient sembler familière, précisément parce qu’ils sont déjà en cours. Alors que Homer-Dixon n'est pas surpris du monde récente tourner des événements – il prédit certains d'entre eux dans son livre de 2006 – il ne s’attendait pas ces développements se produise avant le milieu des années 2020.

    La civilisation occidentale n’est pas une cause perdue, toutefois. À l’aide de la raison et la science pour guider les décisions, jumelées avec l’extraordinaire leadership et bonne volonté exceptionnelle, la société humaine peut évoluer vers des niveaux plus élevés et plus élevés de bien-être et de développement, dit Homer-Dixon. Même si le temps nous le stress venir du changement climatique, la croissance démographique et la baisse des rendements énergétiques, nous pouvons maintenir nos sociétés et mieux eux. Mais cela exige de résister à l’envie très naturel, face à ces pressions écrasante, de devenir moins coopérative, moins généreux et moins ouverts à la raison. « La question est, comment nous parvenons à conserver une sorte de monde humain, que nous faisons notre chemin à travers ces changements ? » Homer-Dixon dit.

    http://www.zerohedge.com/news/2017-04-18/how-western-civilization-could-collapse

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    1. (…) Le politologue Benjamin Friedman a une fois comparé la moderne société occidentale à une stable bicyclette dont les roues sont conservés filature par la croissance économique. Doit ce mouvement de propulsion avant de ralentir ou cesser, le piliers qui définissent notre société-démocratie, libertés individuelles, la tolérance sociale et plus – commencerait à vaciller. (….)

      Ce qui est totalement faux car, aux temps de la dictature royale, la monarchie empêchait tout développement, et, quels qu’ils soient, les pays touchés par cette dictature ne ‘tombaient’ pas. Ils se contentaient de se tenir debout sans progrès.

      Malgré ce long texte, jamais n’est évoqué la Démocratie (où c’est le Peuple qui dirige et non son ou ses ‘représentant’. A savoir qu’une République n’est pas forcément une Démocratie !

      (…) Safa Motesharrei, un scientifique de systèmes à l’Université du Maryland, utilise des modèles informatiques pour acquérir une meilleure compréhension des mécanismes qui peuvent conduire au développement durable local ou global ou s’effondrer. (…)

      Apporter un intérêt à ‘Safa Motesharrei’ est sans valeur puisque l’auteur-même du texte emploie les ‘utilise des modèles informatiques pour acquérir une meilleure compréhension des mécanismes qui peuvent conduire’. Notons que ces conditions ne peuvent et n’ont pu résoudre les explication naturelle.

      (…) Par exemple, les 10 % du revenu global sont responsables sur les émissions de gaz à effet de serre totales presque autant comme le fond 90 % combiné. De même, environ la moitié la population mondiale vit à moins de 3 $ par jour. (…)

      Là, on voit bien l’incompétence de Rachel Nuwer à comprendre ce qu’elle tente d’expliquer ! Elle reprend le FAUX terme de ‘gaz à effet de serre’ alors qu’extérieurement, une serre (revêtement étanche de verre ou de plastique) ne peut être un grillage ! (et ceci depuis des millions d’années !). Puis, l’idiote entreprend d’évoquer le ’3 $/jour’ ! Hahahaha ! Or, dans certains pays, ce «’3 $/j’ représente une petite fortune ! Il y a 50 ans, en France notamment, l’on gagnait ce 3 $/j et… personne n’en souffrait/personne n’en est morte ! (car les prélèvement/vol exécutés par l’Etat étaient presque absents).

      (…) Une grave sécheresse dans la fin des années 2000, probablement aggravée par le changement climatique d’origine humaine, (…)

      L’ignorante continue !!!

      (…) « Imaginez les coûts si nous devons construire une digue autour de Manhattan, juste pour protéger contre les tempêtes et les marées montantes, » (…)

      Puis, se référant à un de ses amis autant idiot/escroc qu’elle, elle le cite parlant de ‘la montée des eaux’ !!! Sans pouvoir expliquer pourquoi depuis des millions d’années, des milliards de km3 d’eaux (de pluies, fleuves & rivières) se sont déversés dans les océans… sans qu’ils ne montent !!! Çà alors ! Comment peut-on prendre une journaliste aussi conne ?

      Elle va même jusqu’à terroriser les lecteur en évoquant l’effondrement du monde par… la Démocratie !!! (lire ci-dessous:)

      (…) Randers soutient. « La société démocratique et libérale échouera, alors que les gouvernements plus forts comme la Chine seront les gagnants. » (…)

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  10. FMI : ‘Ce ne sont pas les plus riches qui font augmenter la croissance économique’


    Arnaud Lefebvre
    18 avril 2017


    Les inégalités sociales pèsent sur la croissance économique, indique un rapport d’experts du FMI cité par L’Exppress. Les chercheurs estiment ainsi que des crises financières sont plus susceptibles d’avoir lieu à cause des inégalités de revenus.

    Pour résoudre ce problème, les auteurs de l’étude soulignent qu’il serait nécessaire d’aboutir à une meilleure répartition des richesses via davantage d’impôts sur les actifs et sur les biens immobiliers.



    L’association Oxfam s’est dite satisfaite de ces conclusions. Pour Nicolas Mombrial, le directeur d’Oxfam, ce rapport du FMI montre que l’on n’atteindra pas davantage de croissance économique en rendant les riches encore plus riches.

    « L’écart entre les riches et les pauvres est à son plus haut niveau depuis des décennies », souligne encore l’étude. Plusieurs raisons sont avancées. « L’assouplissement » des règlementations du marché du travail, la baisse de popularité des syndicats ainsi que la diminution des salaires minimums auraient ainsi abouti au renforcement des inégalités de revenus. Ces contextes ont affaibli les possibilités de négociations des travailleurs. Les salaires plus bas ont également été affectés négativement par les progrès technologiques.

    Crises

    Selon l’étude, lorsque les revenus d’un cinquième des riches connaissent une hausse d’1%, la croissance économique s’affaiblit à moyen terme, soit de -0,08 point. Par conséquent, les avantages de la croissance ne se propagent pas vers les groupes les plus pauvres de population.

    On ne peut donc pas dire que les revenus des plus riches sont injectés dans l’économie. En revanche, si les revenus d’un cinquième des plus pauvres augmentaient d’1%, la croissance économique augmenterait de 0,4 point, indiquent les experts. Selon ceux-ci, les revenus plus élevés des groupes les plus riches ainsi qu’une stagnation des bas salaires des groupes les plus pauvres de la population sont susceptibles de provoquer des crises financières.

    « Une période prolongée d’inégalités plus élevées dans les économies avancées a été associée à la crise financière (de 2008-2009) en renforçant l’endettement par effet de levier (…) et en permettant aux groupes de pression de pousser vers plus de dérégulation financière », conclut le rapport.

    https://fr.express.live/2017/04/18/fmi-ne-plus-riches-augmenter-croissance-economique/

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    1. Encore une ‘fausseinfosphère’ que de prétendre que les riches ne sont (par définition) que des personnes qui ne font pas avancer le monde ! Car, la richesse est aussi intellectuelle ! Et, si des dictateurs empêchent les riches d’investir dans un pays, ce n’est PAS la faute du riche mais du chef de l’Etat qui veut prendre TOUT l’argent gagné !

      Ainsi, afin de réduire l’écart entre riches et pauvres, encore faudrait-il que les riches puissent investir à donner de l’argent (travail) aux pauvres.

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