- ENTREE de SECOURS -



lundi 1 mai 2017

La vérité incommode sur les véhicules électriques

Par Tyler Durden
30 avril 2017 18h00
Soumis par Gary Novak via le blog Science Errors,


Une automobile électrique convertira en mouvement 5 à 10% de l'énergie dans le gaz naturel. Un véhicule normal convertira 20 à 30% de l'énergie dans l'essence en mouvement. C'est 3 ou 4 fois plus d'énergie récupérée avec un véhicule à combustion interne qu'un véhicule électrique.

L'électricité est un produit spécialisé. Ce n'est pas approprié pour le transport. Il semble bon marché en ce moment, mais c'est parce qu'il était conçu pour les grille-pain, pas pour le transport. Augmenter la quantité de câblage et d'infrastructure d'un facteur de mille, et ce n'est pas bon marché.

L'électricité ne s'adapte pas correctement au niveau de transport en raison de sa nature minuscule. Bien sûr, beaucoup de choses peuvent être utilisées pour quelque chose, mais à des frais et des matériaux extraordinaires.

L'utilisation de l'électricité comme source d'énergie nécessite deux étapes de transformation de l'énergie, alors que l'utilisation de pétrole nécessite une seule. Avec l'électricité, l'énergie d'origine, habituellement l'énergie chimique, doit être transformée en énergie électrique; Et ensuite, l'énergie électrique se transforme en énergie cinétique du mouvement. Avec un moteur à combustion interne, la seule étape de transformation est la conversion de l'énergie chimique en énergie cinétique dans la chambre de combustion.

La différence importe, car il y a beaucoup d'énergie perdue chaque fois qu'elle est transformée ou utilisée. L'énergie électrique est plus difficile à manipuler et perd d'autres manières.

L'utilisation de l'énergie électrique nécessite de se déplacer vers l'intérieur et vers l'extérieur du milieu spatial (éther) par induction. L'induction à travers le milieu de l'éther doit être appelée autre forme d'énergie, mais les physiciens l'ajoutent dans la catégorie de l'énergie électrique. Entrer et sortir de l'éther par induction perd beaucoup d'énergie.

Un autre problème avec l'électricité est qu'il perd de l'énergie pour produire de la chaleur en raison de la résistance dans les fils. Une ligne de transmission courte aura une perte de 20% intégrée et une longue ligne aura une perte de 50% intégrée. Ces pertes sont conçues, car réduire la perte à la moitié nécessiterait deux fois plus de métal dans les fils. Les fils doivent être optimisés pour le diamètre et la résistance, ce qui signifie doubler le métal doublerait le nombre de lignes de transmission.

Les transformateurs haute tension peuvent avoir une efficacité de 90% avec des conceptions coûteuses, mais les tensions de niveau ménager obtiennent une efficacité de 50%. Les moteurs électriques peuvent atteindre jusqu'à 60% d'efficacité, mais uniquement à des charges optimales et à la charge. Pour les automobiles, elles ont une efficacité moyenne de 25%. Les moteurs à essence ont une efficacité de 25% avec des carburateurs anciens et 30% avec une injection de carburant, mais des pertes supplémentaires peuvent se produire.

L'application de cette ingénierie brillante au problème produit ce résultat: une turbine électrique à gaz naturel génère 40% d'efficacité. Un transformateur haute tension obtient 90% d'efficacité. Un transformateur de niveau domestique obtient 50% d'efficacité. Une courte ligne de transmission obtient une perte de 20%, soit 80% d'efficacité. Le total est de 40% x 90% x 50% x 80% = 14,4% de l'énergie récupérée avant que le système électrique ne soit similaire au moteur à essence du véhicule. Certains disent que l'électricité fonctionne un peu mieux dans le véhicule, mais ce n'est pas beaucoup.

L'électricité semble être facile à traiter en l'envoyant par des fils. Mais c'est la petite échelle qui fait qu'il soit bon marché. La mise à l'échelle prend une livre de métal pour autant de miles d'électrons. Deux fois plus de distance signifie deux fois plus de métal. Deux fois autant d'ampères signifie deux fois plus de métal. La conversion du système de transport en un système électrique nécessiterait l'augmentation de la quantité d'infrastructure métallique et électrique par des facteurs de centaines ou de milliers. Où vont toutes ces lignes? Ils détruisent les environnements. D'où vient le gaz naturel pour les générateurs électriques ? Il existe très peu de gaz naturel lors de l'utilisation à grande échelle. Le gaz naturel doit être utilisé avec l'énergie solaire et éolienne, car seul il peut être activé et désactivé facilement pour la sauvegarde.

L'un des faits écrasants sur le transport électrique est le phénomène du poulet et des œufs. Supposons que beaucoup de véhicules électriques créeront une incitation à créer de nombreuses infrastructures coûteuses. Il existe de nombreuses raisons pour lesquelles aucun des objectifs ne peut être atteint pour une telle infrastructure. Le problème de base est que l'électricité ne sera jamais adaptée à une utilisation aussi exigeante que le transport général, ce qui signifie qu'il n'y aura jamais assez de poulets ou d'oeufs pour équilibrer la demande. C'est comme essayer d'améliorer un sac à dos tellement qu'il remplacera une camionnette. Les limites du métabolisme musculaire sont comme les limites de l'énergie électrique.

Les électrons ne constituent pas une forme d'énergie peu encombrante. Les électrons doivent être entourés par de grandes quantités de métal. Cela signifie que les moteurs électriques sont lourds et importants. Lors de la croisière autour de la ville, les problèmes ne sont pas très perceptibles. Mais les défis de la robustesse sont bien connus grâce aux moteurs à combustion interne. Les ingénieurs disent qu'il est bon de se débarrasser du train d'entraînement avec des véhicules électriques. Mais ce faisant, ils ajoutent de l'encombrement ailleurs, ce qui ajoute du poids, prend de l'espace et gâche le système de suspension. Sur l'autoroute, le système de suspension est le facteur le plus critique.

Ces problèmes empêcheront les véhicules électriques de remplacer les véhicules pétroliers à des fins autres que spécialisées. L'infrastructure nécessaire pour les véhicules électriques n'existera jamais dans le cas d'activités spécialisées. Cela serait vrai même avec la batterie parfaite qui ne supporte pas d'espace et détient une charge infinie.

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1. Historical Perspective on Electric Cars, by A. Jones

2. Comparing Energy Costs per Mile for Electric and Gasoline-Fueled Vehicles.

3. Electricity Emissions. U.S. Department of Energy. Energy Efficiency and Renewable Energy. Alternative Fuels and Advanced Vehicles Data Center.

4. Electric Power Industry 2007: Year in Review. Energy Information Administration. U.S. Department of energy.

5. Electric Power. U.S. Department of energy. Energy Sources.

34 commentaires:

  1. L'énergie produite par une centrale électrique (nucléaire, gaz, charbon, fuel, etc) est acheminée le long de câbles aériens. Le premier tiers de l"électricité produite va servir uniquement à pousser l'énergie sur les fils électrique. Le deuxième tiers... va se perdre en cours de route ! (Ne jamais s'approcher d'une ligne a haute tension), et, le troisième tiers arrive chez le consommateur.
    Il est donc chaque fois nécessaire de diviser par 3 la production annoncée (à grands renforts de publicités) et la production qui arrive !

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  2. Le traitement inégal des médias sans influence sur le score de Marine Le Pen


    FRANCE
    07:25 01.05.2017


    Le «traitement inégal» de certains médias visant à privilégier Emmanuel Macron et à désavantager Marine Le Pen n'empêchera pas la victoire de cette dernière, selon M. Cochard, candidat FN aux législatives, interviewé par Sputnik.

    Alors que 34 sociétés de journalistes ont lancé un appel conjoint contre l'équipe de campagne de Marine Le Pen, qu'ils accusent de « choisir » les représentants des médias autorisés à la suivre, les multiples refus du QG d'Emmanuel Macron d'accréditer Sputnik et RT aux événements d'En Marche! sont passés sous silence par la presse française, qui semble ainsi avoir une vision « à deux vitesses » des entraves aux principes de la liberté d'expression en fonction des organes de presse qui en sont victimes.

    Pour Sébastien Cochard, financier, ancien diplomate vivant à Moscou et candidat de Marine Le Pen aux élections législatives de juin 2017 pour représenter les Français de Russie et d'Asie-Pacifique, interrogé par Sputnik, l'explication de ce phénomène réside certainement dans « le traitement à l'évidence inégal qui est fait par l'ensemble des médias en vue de privilégier la candidature de M. Macron et de désavantager depuis l'origine celle de Marine Le Pen. A l'inverse, l'objectivité des médias russes ne semble ainsi pas acceptée par les équipes de campagne de M. Macron ».

    En outre, le candidat FN aux législatives déplore qu'« il soit de bon ton dans trop de médias occidentaux de se complaire dans du conspirationnisme et d'accuser sans aucun fondement la Russie de tous les maux. En particulier, les accusations d'ingérence électorale seraient risibles si elles n'étaient pas à la fois pathétiques et inquiétantes. Sputnik et RT apparaissent ainsi, pour les équipes Macron, comme des boucs émissaires faciles dans ce contexte ».

    Interrogé sur l'absence d'affiches de Marine Le Pen dans les bureaux de vote à l'étranger, l'ancien diplomate explique que l'incident n'a pas eu d'impact sur le résultat de Marine Le Pen au premier tour:

    « Je ne pense pas que cela ait pu influencer le score de Marine Le Pen en quoi que ce soit. Tous les électeurs la connaissent bien et savent ce pour quoi elle combat. En revanche, l'absence d'une telle affiche pour ses candidats le jour du vote aux législatives serait certainement préjudiciable », a-t-il dit à Sputnik.

    Selon Sébastien Cochard, Marine Le Pen, une fois Présidente, « s'attachera à remettre la relation entre la Russie et l'Occident sur un terrain favorable, comme il se doit ». M. Cochard ajoute « Il y a au contraire fort à parier que l'équipe de En Marche! se prépare à relayer, en dehors de toute plausibilité et de toute réalité, l'accusation selon laquelle la Russie aurait "piraté" l'élection pour faire perdre le camp Macron. »

    « Je souhaite ardemment l'élection de Marine Le Pen, à la fois pour l'intérêt de la France, mais également par souci de restaurer de bonnes relations entre toutes les nations souveraines de l'Europe, de la péninsule ibérique à la Russie », a conclu Sébastien Cochard.

    https://fr.sputniknews.com/france/201705011031173285-france-election-le-pen-macron-cochard/

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  3. «Nous aurons une monnaie nationale», assure Marine Le Pen


    30 avr. 2017, 08:56 -
    Avec AFP


    Marine Le Pen, candidate FN à la présidentielle, assure que la France aura «une monnaie nationale» si elle est élue présidente de la République, dans un entretien au Parisien Dimanche.

    «Nous aurons une monnaie nationale comme tous les autres pays et nous aurons ensemble une monnaie commune. Voilà, c'est aussi simple que ça. Moi, je pense que l'euro est mort», annonce Marine Le Pen à l'édition dominicale du Parisien. «Il faut maîtriser la monnaie et l'adapter à l'économie parce qu'aujourd'hui la monnaie unique est un boulet. Elle est en grande partie responsable du chômage de masse», estime-t-elle.

    «Je vais demander [à l'UE] de pouvoir maîtriser notre monnaie. Cela veut dire transformer l'euro monnaie unique en un euro monnaie commune. Monnaie qui ne concernera pas les achats quotidiens mais uniquement les grandes entreprises qui font du commerce international», explique Marine Le Pen.

    La candidate du FN qui affirme au quotidien n'avoir jamais dit que la France sortira de l'euro, a régulièrement répété que, dès son élection, si elle remportait la présidentielle, elle entamerait une négociation avec l'UE pour «restituer au peuple français sa souveraineté monétaire, législative, territoriale, économique». À l'issue de cette négociation, elle prévoyait un référendum sur l'appartenance à l'UE.

    «Je vais mener ces négociations avec nos partenaires européens, parce que je sais que beaucoup partagent ce souhait de voir revenir au sein de leurs nations respectives ces éléments de souveraineté. Et je confierai aux Français le soin de décider de l'issue de ces négociations», promet la candidate du FN qui s'est hissée au second tour de la présidentielle.

    A la question : «Quelle est votre arme pour convaincre vos partenaires ?», Marine Le Pen répond : «Le référendum. L'Union européenne s'est fourvoyée dans une vision radicale où elle a décidé de ne pas tenir compte de l'avis des peuples et de mettre en œuvre l'Europe à la schlague. Ce n'est plus admis par notre peuple. Il y aura donc derrière cette négociation le peuple français.»

    Et si les Français répondent non au référendum, Marine Le Pen considérera qu’elle n'est pas «en capacité de rester en situation».

    https://francais.rt.com/economie/37731-nous-aurons-monnaie-nationale-marine-lepen

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    Réponses
    1. (...) «Je vais demander [à l'UE] de pouvoir maîtriser notre monnaie. (...)


      «Je vais demander [à l'UE] ET NON AUX FRANÇAIS de pouvoir maîtriser notre monnaie !

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  4. Détroit est un rappel record de l'Amérique de pointe depuis plus de 50 ans


    Par Tyler Durden
    30 avril 2017 8:58 PM
    Soumis par l'actif du conseil d'administration



    Le dicton le plus courant chez les baby-boomers est que «l'Amérique n'est pas comme si j'étais en train de grandir». Vous êtes-vous déjà demandé ce que cela signifie?

    Examinons d'abord Jefferson Avenue et Conner, 1949-2010. Aussi vite que la ville a grandi, Detroit a commencé à se dégrader dans les années 1960. L'avenue East Jefferson était une fois à la maison de certaines des usines industrielles les plus prestigieuses de Detroit, y compris Chalmers, Hudson, Briggs et Continental. La perte de beaucoup de ces plantes a commencé dans les années 1960 et a eu un impact dévastateur sur les quartiers proches, entraînant un exode massif de résidents.

    La théorie générationnelle de Strauss-Howe, rédigée par William Strauss et Neil Howe, explique pourquoi Detroit a commencé à se démêler au milieu des années 1960. Cela était dû à la phase tardive du changement de génération appelé «American High», qui a duré de 1946 à 1964. Il s'agissait d'une période d'expansion massive des taux de natalité, de l'industrie et de l'infrastructure - l'Amérique avait tout.

    - voir graphique sur site -

    La "Haute Américaine" a fini en 1964 de donner lieu au prochain changement générationnel appelé «Révolution de la Conscience» de 1964 à 1984. Au cours de cette période, Détroit a commencé à tomber malade à une maladie appelée mondialisme. C'est là que les élites mondiales ont déplacé le capital de Detroit, et / ou d'autres villes américaines pour fabriquer à l'étranger sur la base d'un instinct humain appelé avidité. Dans le processus, de nombreuses communautés ont été détruites alors que l'industrie quittait les conditions du tiers monde pour les autres.

    - voir graphique sur site -

    Pendant le «American High» (1946-1964), Detroit était l'épicentre de l'industrie automobile mondiale. Avec le dur allure dans la «révolution de la conscience» (1964-1984), le globalisme a commencé à épuiser la production automobile américaine.

    - voir graphique sur site -

    Voici quelques exemples de main-d'œuvre peu coûteuse à l'étranger qui sanctifie l'industrie automobile américaine:

    - voir graphique sur site -
    US Car Production vs Japan Car Production

    - voir graphique sur site -
    US Car Production vs Mexico Car Production

    De Baltimore à Detroit, j'ai examiné le pire code postal que l'Amérique a à offrir. Avec ces codes postaux, le facteur de rime est le globalisme, ce qui oblige l'industrie à laisser envoyer les communautés autour d'elle sur une spirale descendante.

    Donc, voici un lecteur d'Uber pour se rappeler de visiter les quartiers les plus dangereux de Detroit, dans le Michigan. J'étais armé d'un drone, d'un téléphone 7 et d'un Uber. Le domaine d'intérêt est le code postal 48204 classé parmi les six plus dangereux quartiers de Michigan Radio dans le Michigan.

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  5. - voir graphique sur site -

    Alastair Williamson parcourt les quartiers les plus dangereux de Detroit, Michigan, armés d'un drone, d'I-Phone7 et d'un Uber. Il rencontre des quartiers effondrés, des manifestations contre le changement climatique et une interview touchante à la fin. Ses pensées globales incluent, "les résultats finaux du globalisme ont été préjudiciables à la région. L'industrie et les quartiers ont quitté il y a quelques décennies, et ce qui reste, ce sont les artefacts d'une civilisation du «Haut américain».

    - voir graphique sur site -

    Il a une valeur médiane de l'immobilier de 39 372 $ en raison d'un volume important de structures commerciales et résidentielles vacantes. La majorité des structures immobilières résidentielles dans la région vaut <62 000 $ rendant la zone presque impossible à détenir de la valeur, ainsi que d'attirer de nouveaux acheteurs dans la région.

    L'immobilier n'a jamais été récupéré, mais aplati après la Grande Récession

    Conclusion: Nous n'avons personne d'autre à reprocher, mais les élites mondiales, ainsi que des responsables gouvernementaux qui ont vendu la prospérité américaine il y a plusieurs décennies. Les élites ont prospéré énormément de ce mouvement tectonique de capitaux à l'étranger qui a laissé la classe moyenne américaine sanctifiée. L'Amérique a besoin de son industrie, sans elle, nous ne sommes qu'un empire en désintégration.

    Bonus: Millennials dans les 8 prochaines années, selon Gordon T. Long sera 75% de la main-d'œuvre américaine. Ce que les millénaires ne se rendent pas compte, c'est que des décennies de décadence dans les villes américaines ou même tout simplement Detroit constituera une bataille massive pour produire une économie durable. Les temps difficiles sont en avance.

    - voir clip sur site :

    http://www.zerohedge.com/news/2017-04-30/detroit-stark-reminder-peak-america-was-over-50-years-ago

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  6. Tellement pour que l'administration Obama «planifie» pour «mettre fin à l'utilisation des prisons privées» aux États-Unis


    Par Tyler Durden
    30 avril 2017 17h00
    Auteur de Duane via Free Market Shooter blog,


    En août de l'année dernière, Free Market Shooter a écrit à l'appui d'une directive de l'administration Obama pour mettre fin à l'utilisation des prisons privées aux États-Unis, l'un des seuls problèmes politiques que l'administration a réussi à obtenir:

    Pourquoi, demandez-vous, est un défenseur du marché libre en faveur de la fin des prisons privées ? Simple: parce que ces installations ne sont pas «privées» du tout.

    La raison pour laquelle il devrait être évident. Les prisonniers sont leur seul «client», si vous voulez les appeler un client; Les «clients» sont fournis par le gouvernement, qui paie les entreprises privées pour leur incarcération.

    Quoi d'autre rend les prisons privées si rentables ? Cela devrait également être évident: avoir autant d'installations et de clients que possible. Ils ont toutes les incitations à encourager les lois qui gardent autant de personnes incarcérées que possible, car elles augmentent leur base de «client». En outre, ils vendent ensuite le «travail» des prisonniers aux entreprises qui forment le travail pénitentiaire à prix avantageux, augmentant encore davantage leurs marges.

    Nous devrions tous savoir que l'administration Obama parviendrait à le détruire; Il a fallu attendre deux semaines pour que le nouveau procureur général et le champion de la guerre des drogues, Jeff Sessions, fassent son stylo et annulent les efforts d'Obama:

    Le Département de la Justice des États-Unis a renversé une ordonnance de l'administration Obama pour éliminer l'utilisation des entrepreneurs privés pour administrer les prisons fédérales.

    Dans un mémo rendu public jeudi, le procureur général Jeff Sessions a déclaré que la politique d'Obama compromettait la capacité du gouvernement de répondre aux besoins futurs du système pénitentiaire fédéral.

    L'administration Obama a déclaré en août 2016 qu'il prévoyait une élimination graduelle des prisons privées en laissant les contrats expirer ou en les réduisant à un niveau compatible avec les récentes baisses de la population carcérale américaine.

    Et, au cas où vous ne le savez pas, c'est le même Jeff Sessions qui est au courant que non seulement contre la marijuana médicinale, mais Jeff Sessions affirme que la marijuana n'est qu'un peu moins horrible que l'héroïne:

    Et je suis étonné d'entendre des gens suggérer que nous pouvons résoudre notre crise d'héroïne en légalisant la marijuana - afin que les gens puissent échanger une dépendance à la vie pour une autre qui n'est que légèrement horrible.

    Si vous examinez la réclamation de Sessions en examinant les tableaux des décès annuels pour chaque médicament ...

    - voir graphiques sur site -

    ... vous remarquerez que la marijuana "légèrement moins dangereuse" ne peut pas être comparée et n'a pas de graphique, car elle ne tue précisément personne ...

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  7. ... mais ne craint pas, cet homme dirige le ministère de la Justice et est responsable de l'application de la guerre à la drogue - sûrement les ressources et les fonds de la DoJ seront «correctement répartis» pour mieux servir le public et non les intérêts des entreprises, n'est-ce pas ?

    Tout comme nous l'avons fait auparavant, si vous suivez l'argent, vous verrez que, bien que la victoire électorale de Trump ait annulé l'effet de Obama sur les prix des actions des deux principaux groupes de prisons privées, CoreCivic (CXW) et GEO Group (GEO) ...

    ... il a fallu M. Drug War Jeff Sessions lui-même pour lancer ces stocks en overdrive, les actions ayant plus que doublé les niveaux pré-électoraux:

    Nous avons souligné que les stocks pour les prisons privées se sont effondrés alors que la sous-procureur général Sally Yates a ordonné qu'ils soient progressivement éliminés l'année dernière. Nous vous rappelons que le lendemain de l'élection de Trump, ces stocks ont grimpé en flèche. Maintenant, nous lisons dans TheNation qu'en octobre, juste avant l'élection, deux anciens assistants du Sénat, David Stewart et Ryan Robichaux, sont devenus des lobbyistes pour GEO Group, l'une des deux plus grandes entreprises pénitentiaires privées, et que les deux étaient spécifiquement Engagé pour faire pression sur les contrats du gouvernement.

    Donc, lorsque Sessions se concentre sur l'expansion de la guerre contre les drogues et des prisons privées ... pensez à savoir qui gagne les contrats:

    L'administration Trump a décerné son premier contrat fédéral pour un nouveau centre de détention pour immigrants qui sera construit au Texas.

    L'entente de 110 millions de dollars a été accordée à GEO Group, une entreprise pénitentiaire privée qui exploite 143 établissements dans le monde entier. Dans un communiqué de presse, GEO a déclaré qu'il construirait et dirigerait l'installation de 1 000 lits à l'extérieur de Houston dans le cadre d'un contrat de 10 ans qui «générerait environ 44 millions de dollars de revenus annualisés et de rentrées d'investissement».

    Et si vous pensez que cela n'a rien à voir avec la guerre contre la drogue, réfléchissez à nouveau:

    Les séances ont longtemps été l'un des principaux défenseurs de l'application vigoureuse de lois sévères contraignantes pour la détermination de la peine pour les médicaments qui ont exacerbé l'incarcération en masse. En tant que procureur fédéral en Alabama, le Centre de justice de Brennan a constaté que 40 pour cent de ses condamnations étaient pour des crimes liés à la drogue, soit le double du taux d'autres procureurs fédéraux de l'Alabama.

    Quelle surprise - en ce qui concerne les prisons privées et la guerre contre la drogue, tout ce que vous avez à faire est de suivre l'argent pour voir qui les soutient encore.

    http://www.zerohedge.com/news/2017-04-30/so-much-obama-administration-plan-end-private-prison-use-us

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  8. Il est devenu illégal d'être sans abri en Amérique, comme Houston, Dallas et des dizaines d'autres villes passent des lois draconiennes


    Par Michael Snyder,
    le 30 avril 2017


    Devons-nous faire des sans-abri contre la loi et tout simplement jeter tous les sans-abris en prison pour ne pas avoir à les traiter ? Incroyablement, cela commence à se produire dans des dizaines de grandes villes à travers les États-Unis. Il peut être difficile de croire, mais dans de nombreuses grandes zones urbaines d'aujourd'hui, si vous êtes reconnu coupable de «camping public», vous pouvez être emmené directement en prison. Dans certaines villes, des activités telles que «bloquer une passerelle» ou créer une sorte de «structure temporaire pour l'habitation humaine» sont également considérées comme des crimes graves. Et il y a certaines communautés qui ont même rendu illégal l'alimentation des sans-abri sans permis officiel. Malheureusement, alors que l'économie des États-Unis continue de ralentir le nombre de sans-abri, cela continuera de croître, et c'est donc une crise qui n'aura plus de taille et d'ampleur.

    Bien sûr, l'objectif de bon nombre de ces lois est de faire en sorte que les sans-abris se rendent ailleurs. Mais à mesure que ces lois commencent à se multiplier dans tout le pays, il n'y aura bientôt plus de place où il est effectivement légal d'être sans abri.

    Une ville qui est fortement critiquée pour avoir adopté des lois extrêmement draconiennes est Houston. Dans cette ville, il est illégal pour les sans-abris d'utiliser toute sorte de matériel pour se protéger du vent, de la pluie et du froid ...

    Le maire de Houston, Sylvester Turner, adopte une approche similaire - son ordonnance anti-campement rend illégal l'utilisation de «tissu, métal, carton ou autres matériaux comme tente ou structure temporaire pour l'habitation humaine». Cela garantit que les sans-abri de Houston sont vulnérables non Juste pour les éléments, mais aussi pour la menace constante de la police. Les fonctionnaires citent l'une des justifications les plus courantes pour les mesures de répression contre les sans-abri: la sécurité du quartier (une façon plus socialement acceptable de parler de la mentalité non-dans-mon arrière-cour).

    Avec tous les autres problèmes auxquels nous sommes confrontés en tant que nation, il me semble qu'il y a des politiciens qui passeraient leur temps à rêver de lois si malades et tordues.

    Selon un rapport de presse, les sans-abris à Houston sont maintenant officiellement interdits de faire toutes les choses suivantes ...

    1. Ils ne peuvent pas bloquer un trottoir, se tenir dans une médiane de la chaussée ou bloquer une porte du bâtiment. (AKA ils ne peuvent pas panhandle).

    2. Ils ne peuvent pas non plus faire l'un de ces éléments - bloquant les chemins de circulation - en vertu de la loi de l'État qui existait déjà.

    3. Ils ne peuvent pas dormir dans des tentes, des boîtes ou tout autre abri improvisé sur la propriété publique.

    4. Ils ne peuvent pas non plus disposer de dispositifs de chauffage.

    5. Ils ne peuvent pas transporter des objets qui occupent plus de trois pieds de long, trois pieds de large, trois pieds de hauteur.

    6. Les gens ne peuvent pas alimenter spontanément plus de cinq sans-abris sans permis.

    Si j'étais un sans-abris à Houston, j'aimerais certainement sortir de là.

    Mais où vont-ils ?

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  9. Les choses sont presque aussi mauvaises à Dallas. En fait, on rapporte que la police de Dallas "a publié plus de 11 000 citations pour dormir en public de janvier 2012 à novembre 2015."

    Lorsque vous casser ce chiffre, il s'élève à 323 citations par mois.

    Bien sûr, certaines personnes ont essayé de contester ces types de lois devant les tribunaux, mais la plupart des défis ont échoué. Par exemple, vérifiez ce qui s'est passé récemment à Denver ...

    Trois personnes qui ont contesté l'interdiction de camping urbain de Denver ont été déclarées coupables le mercredi 5 avril au palais de justice de Lindsey-Flanigan. Les accusés - Jerry Burton, Randy Russell et Terese Howard - étaient déterminés à avoir campé illégalement le 28 novembre 2016 et à avoir entravé les opérations de la police à un endroit donné. Les trois ont été condamnés à une période de probation ordonnée par le tribunal pendant un an et entre vingt et quarante heures de service communautaire.

    L'affaire a contesté l'ordonnance de décollage non autorisé de Denver, qui a été divisée depuis que le conseil municipal de Denver l'a approuvé en 2012.

    Étant donné que les tribunaux respectent généralement ces lois, cela a simplement encouragé davantage de communautés à adopter des ordonnances anti-sans-abris. Selon un rapport, des dizaines de grandes villes ont adopté de telles lois ...

    Les interdictions à l'échelle de la ville sur le camping public (PDF) ont augmenté de 69 p. 100 dans les États-Unis. Ce qui a l'habitude d'être considéré comme un ennui est maintenant interdit, obligeant des amendes ou un délai de prison à ceux qui ne peuvent certainement pas se le permettre. La seule organisation à but non lucratif à l'échelle nationale consacrée à cet objectif, le National Law Center on Homelessness and Poverty, a suivi ces changements depuis 2006. Leurs résultats ? Il y a un nombre effrayant de lois adoptées qui, ironiquement, rendent coûteux d'être sans abri.

    Par exemple, dans 33 des 100 villes américaines qu'ils ont étudiées, le campement public est illégal. Dans 18, il est illégal de dormir en public. L'agression est illégale dans 27 villes.

    Dans 39 villes, il est illégal de vivre dans des véhicules.

    Comme je l'ai prévenu à maintes reprises, nous voyons que les cœurs pâlissent autour de nous. Au lieu de faire tout ce qu'ils peuvent pour essayer d'aider ceux qui en ont besoin, les communautés essaient de les faire aller ailleurs, et ceux qui tentent de nourrir et d'aider les sans-abris sont pénalisés sévèrement.

    Malheureusement, tout cela arrive à un moment où l'itinérance augmente partout en Amérique. Dans un article précédent, j'ai souligné qu'à New York City, le nombre de sans-abris a récemment atteint un tout nouveau sommet historique, et les choses ont été si mauvaises à Los Angeles que le conseil municipal de LA a formellement demandé que le gouverneur Jerry Brown déclare un état d'urgence.

    Nous avons tendance à penser aux sans-abris comme des hommes à la barbe avec des problèmes d'alcool, mais la vérité est que beaucoup de sans-abri sont des enfants.

    En fait, le nombre d'enfants sans abri aux États-Unis a augmenté d'environ 60 pour cent depuis la fin de la dernière récession.

    Si c'est ainsi que nous allons traiter certains des membres les plus vulnérables de notre société alors que les choses sont encore relativement stables, comment allons-nous nous traiter lorsque l'économie s'effondrera complètement ?

    http://theeconomiccollapseblog.com/archives/it-is-becoming-illegal-to-be-homeless-in-america-as-houston-dallas-and-dozens-of-other-cities-pass-draconian-laws

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  10. 11 raisons pour lesquelles la croissance économique des États-Unis est la pire qu'il a été en 3 ans


    Par Michael Snyder,
    le 28 avril 2017


    Ceux qui prédisaient que l'économie des États-Unis volerait haut maintenant ont été prouvés faux. Le PIB des États-Unis a augmenté au pire taux en trois ans au premier trimestre de 2017, et beaucoup se demandent si c'est le début d'un ralentissement économique majeur. Bien sûr, lorsque nous abordons les chiffres officiels que le gouvernement fédéral répète, il est important de reconnaître qu'ils sont très manipulés. Il y en a beaucoup qui m'ont correctement souligné que si les chiffres n'étaient pas traités, ils montreraient que nous sommes encore en récession. En fait, John Williams de shadowstats.com a montré que si des chiffres honnêtes étaient utilisés, la croissance du PIB américain aurait été constamment négative jusqu'à 2005. Nous n'avons donc aucun argument avec ceux qui prétendent que nous Sont en récession en ce moment. Mais même si nous prenons les chiffres officiels que le gouvernement fédéral met en valeur, ils sont certainement très laids ...

    La croissance économique s'est ralentie au premier trimestre à son rythme le plus lent en trois ans alors que les faibles dépenses de consommation et le stockage des entreprises compensent l'investissement solide des entreprises. Beaucoup d'économistes évalue la faiblesse des performances en tant que sous-produit des coupures temporaires et s'attend à une croissance saine en 2017.

    Le produit intérieur brut de la nation - la valeur de tous les biens et services produits aux États-Unis - a augmenté à un taux annuel désaisonnalisé de 0,7%, a déclaré vendredi le Département du Commerce, en dessous du rythme tiède de 2,1% marqué à la fois au quatrième trimestre et en tant que Moyenne pendant la récupération de près de 8 ans. Les économistes s'attendaient à une augmentation de 1% de la production, selon un sondage de Bloomberg.

    Même si vous voulez supposer que c'est un nombre légitime, la croissance économique de 0,7 pour cent est essentiellement la vitesse de décrochage, ce qui fait suite à une année où l'économie américaine a augmenté à raison de seulement 1,6 pour cent.

    Pourquoi cela se produit-il donc ?

    Bien sûr, les «experts» dans les médias traditionnels blâment toutes sortes de facteurs temporaires ...

    Les économistes ont blâmé le temps. Il était trop chaud cette fois-ci, plutôt que trop froid, ce qui est l'explication habituelle pour les débâcles Q1.

    Et ils ont accusé les chèques de remboursement de l'IRS qui avaient été retardés en raison du problème spectaculaire de vol d'identité de l'année dernière. Tout le monde a blâmé tout sur ces chèques de remboursement retardés, y compris l'industrie automobile et l'industrie de la restauration. Mais à la mi-février, un véritable tsunami de chèques a disparu et, à la fin du mois de février, l'IRS a été à peu près rattrapé. Ainsi, mars aurait dû être inondé dans les dépenses de consommation. Mais non. Nous attendons patiemment que ce miracle se produise au deuxième trimestre.

    Ils veulent toujours que nous pensons que les «temps de boom» pour l'économie américaine sont juste au coin de la rue, mais ces «temps de boom» ne se sont jamais matérialisés depuis la fin de la dernière crise financière.

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  11. Au lieu de cela, nous avons eu une année après année de malaise économique et de stagnation, et il semble que 2017 continuera cette tendance. Voici 11 raisons pour lesquelles la croissance économique des États-Unis est la pire qu'elle ait été en 3 ans ...

    # 1 La faible croissance économique au premier trimestre a été la poursuite d'une tendance à long terme. Barack Obama a été le seul président de l'histoire à ne pas avoir une seule année lorsque l'économie américaine a progressé d'au moins 3 pour cent, et c'est maintenant la quatrième fois au cours des six derniers trimestres lorsque la croissance économique a été inférieure à 2 pour cent sur une base annualisée . Donc, essentiellement, ce dernier numéro indique que notre déclin économique à long terme se poursuit.

    # 2 Les dépenses de consommation entraînent l'économie américaine plus que toute autre chose, et à ce stade, la plupart des consommateurs américains sont exploités. En fait, CBS News a déclaré que les trois quarts de tous les consommateurs américains doivent «se battre pour couvrir leurs frais de vie» chaque mois.

    # 3 Le marché du travail semble ralentir. L'économie américaine n'a ajouté que 98 000 emplois en mars, soit environ la moitié de ce que la plupart des analystes attendaient.

    # 4 Le flux de crédit semble ralenti aussi. En fait, c'est la première fois depuis la dernière récession où il n'y a pas eu de croissance pour les prêts commerciaux et industriels depuis au moins six mois.

    # 5 Le mois dernier, la production d'usine américaine a chuté au rythme le plus rapide que nous avons vu depuis plus de deux ans.

    # 6 Nous sommes au milieu de la pire "apocalypse de détail" dans l'histoire des États-Unis. Le nombre de détaillants qui ont déposé une faillite a déjà dépassé le total pour toute l'année de 2016 et, au taux actuel, nous éliminerons près de 2000 le précédent record historique des fermetures de magasins dans un an.

    # 7 L'industrie automobile connaît également beaucoup de stress. Ce fut la pire année pour les constructeurs automobiles américains depuis la dernière récession, et sept des huit plus importants sont restés en deçà de leurs projections de ventes en mars.

    # 8 Les prix des véhicules d'occasion tombent «de façon spectaculaire», et Morgan Stanley projette maintenant que les prix des véhicules d'occasion «pourraient chuter jusqu'à 50%» au cours des prochaines années.

    # 9 Les faillites commerciales augmentent au rythme le plus rapide depuis la dernière récession.

    # 10 Les faillites des consommateurs augmentent au rythme le plus rapide depuis la dernière récession.

    # 11 La bulle du prêt étudiant commence à éclater. On rapporte que 27 pour cent de tous les prêts étudiants sont déjà en défaut, et certains analystes s'attendent à ce que ce nombre soit beaucoup plus élevé.

    Et bien sûr, certaines régions du pays sont plus touchées que d'autres. Voici ce qui suit de CNBC ...

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  12. Quatre états n'ont pas encore complètement récupéré de la Grande Récession. À partir du troisième trimestre de l'année dernière, les dernières données disponibles, les économies de la Louisiane, du Wyoming, du Connecticut et de l'Alaska étaient encore plus faibles que lorsque la récession a pris fin en juin 2009.

    D'autres États qui se sont rétablis ont vu leurs récupérations économiques s'arrêter. Ceux-ci incluent le Minnesota, le Dakota du Nord, le Nouveau-Mexique, l'Oklahoma, le Dakota du Sud et la Virginie-Occidentale.

    Nous devrions être reconnaissants que nous n'éprouvons pas encore une véritable crise économique, mais il est indéniable que notre déclin économique à long terme continue de rouler.

    Et sans aucun doute, les nuages d'orage s'accumulent à l'horizon, et beaucoup croient que le prochain ralentissement économique majeur commencera dans un avenir pas trop lointain.

    http://theeconomiccollapseblog.com/archives/11-reasons-why-u-s-economic-growth-is-the-worst-that-it-has-been-in-3-years

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  13. UNE DETTE ÉNORME PÈSE SUR LES ÉTUDIANTS


    AMÉRIQUE DU NORD
    1 MAI 2017
    Par Chloé Lourenço.


    La dette des étudiants américains représente environ 1200 milliards d’euros, soit la moitié de la dette publique française. Aux États-Unis, on compte 44 millions d’étudiants et surtout d’ex-étudiants qui se sont endettés pour financer leurs études et qui se retrouvent avec une dette colossale (en moyenne, 32 000 €).

    Pas étonnant que 8 millions d’entre eux soient en défaut de paiement, alors que leur vie d’adulte commence à peine. Et le plus spectaculaire, c’est que cette dette a progressé de 170% en 10 ans, c’est-à-dire que depuis 2006, elle a presque triplé. Une étude du magazine Forbes a même noté que le coût de l’enseignement supérieur avait augmenté de 440% en 25 ans.

    Pendant longtemps aux États-Unis, faire des études était considéré comme le symbole d’une vie réussie. Il s’agissait d’un sésame pour avoir un bon travail, acheter une maison et avoir des enfants. Aujourd’hui, de nombreux lycéens à la porte des universités hésitent à hypothéquer leur avenir.

    On peut comprendre l’ampleur du problème lorsqu’en 2012, Barack Obama alors en pleine campagne présidentielle, déclarait à des étudiants de Caroline du Nord que sa femme Michelle et lui avaient fini de rembourser leurs prêts étudiants en 2008 seulement.

    UN SYSTÈME PIPÉ

    Mais comment expliquer un tel phénomène ? L’envolée des frais de scolarité y est pour beaucoup. Alors que l’inflation n’est que de 2,5% aux États-Unis, le prix d’une année à la fac progresse lui de 9% à 12%. Une année dans l’un des plus prestigieux Collège du pays peut revenir à 70 000€. Les étudiants contractent des prêts pour financer leurs études, dans l’espoir de décrocher un emploi très bien rémunéré qui leur permettra de rembourser.

    Et quand le prêt ne suffit pas, ils sont obligés de travailler pour couvrir toutes leurs dépenses (nourriture, loyer, sorties). Surmenés par des journées trop chargées, les étudiants mettent deux fois plus de temps à obtenir leurs diplômes, ce qui accroît d’autant leurs dettes. Un cercle vicieux s’installe lentement, un tourbillon dont ils ne pourront pas s’extraire.

    Nombre d’entre eux abandonnent leurs études en cours de route ou bien sont éjectés par le système s’ils n’ont pas de bons résultats. Ils se retrouvent avec une dette astronomique et un salaire beaucoup plus faible qu’escompté. Même ceux qui arrivent au bout de leurs études déchantent une fois sur le marché du travail et croulent sous une dette qu’ils ne rembourseront jamais. La Federal Reserve a établi des statistiques qui montrent que les plus de 60 ans représentent la génération pour laquelle l’encours des prêts étudiants a le plus augmenté. Certains partent même à la retraite en continuant de rembourser leurs dettes.

    POURQUOI UNE TELLE HAUSSE ?

    Le coût de l’enseignement supérieur a beaucoup augmenté ces 20 dernières années. Les universités publiques sont financées par les États, et ces derniers ont drastiquement réduit le budget de l’éducation, environ 2000€ par an et par étudiant. Pour y faire face, les établissements n’ont pas d’autres choix que d’augmenter leurs frais d’inscription.

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  14. Les universités américaines se sont lancées dans une course au chiffre d’affaires. Elles investissent dans des locaux luxueux et confortables, embauchent de plus en plus des professeurs étrangers dont la renommée n’est plus à faire, et misent tout sur les étudiants étrangers, qui paieront leur scolarité plein pot.

    Un phénomène de bulles se crée alors : plus les universités dépensent pour recruter, plus les étudiants sont contraints de s’endetter puisque les frais augmentent, sans pour autant que la qualité des diplômes ne s’améliore.

    Pour régler ce problème, il faudrait un allègement des dettes excessives. Cela avait été mis en place par George W Bush et complété par Barack Obama, qui avait par exemple interdit que les organismes bancaires ne chargent les surendettés avec des frais supplémentaires liés à leur situation.

    Toutefois, la nouvelle administration Trump a remis en cause ces mesures. Les étudiants sont encore loin de voir disparaître l’épée de Damoclès qui pèse au-dessus de leurs têtes.

    https://www.contrepoints.org/2017/05/01/288186-frais-de-scolarite-senvolent-etudiants-americains

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    1. Alors que TOUS les jours sont remplacés des millions de cerveaux par des ordinateurs, est encore posée la question du "Qu'est-ce qu'un con ?" !
      D'où (tout-de-même) la question du 'Est-ce qu'il faut se fier aux sondages merdiatiques et aux données gouvernementales fournies sans référendum ??!"

      Après 'A quoi sert d'apprendre une langue s'il y a des traducteurs sans faute et, d'apprendre à compter s'il y a des calculettes et, à réfléchir s'il y a des ordis qui font çà plus vite et mieux que n'importe qui ??!' (même les ordis sont programmés pour se faire des Màj tout seuls !).

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  15. La domination du capital financier : qui dirige le monde ?


    Nick Beams
    wsws.org
    lun., 24 avr. 2017 14:00 UTC


    Un article publié par le site web australien de nouvelles, Conversation, au début du mois d'avril, a permis de mettre en évidence quelques découvertes importantes quant à l'étendue de la domination du capital financier.

    S'appuyant sur une recherche faite en 2009, l'article de David Peetz et Georgina Murray, des universitaires de l'Université Griffith dans le Queensland, en Australie, résume leur analyse sur le contrôle exercé par le capital financier sur les 299 Très Grandes Compagnies (TGC) du monde.

    Même si la recherche a été faite il y a plus de sept ans, les auteurs notent que « nous avons, depuis ce temps, découvert que la tendance est à une augmentation de la concentration dans plusieurs pays depuis trois décennies ».

    L'article commence en détruisant le mythe que les grandes entreprises cotées en bourse appartiennent à beaucoup d'actionnaires - une illusion qui est constamment entretenue par les médias de masse pour faire croire que les travailleurs ont un « intérêt » dans le marché boursier.

    « Lorsqu'une organisation [le fonds spéculatif Black Rock, basé aux États-Unis] contrôle à elle seule plus de 6 % des actions des très grandes compagnies et 30 organisations contrôlent plus de la moitié des actions de ces compagnies, cela montre un niveau très élevé de concentration. »

    « Notre étude de 2009 a montré que différentes formes de capital financier contrôlaient la grande majorité (68,4 %) des actions des très grandes compagnies du monde. Les individus et les familles détenaient seulement une proportion minime (3,3 %) et les compagnies industrielles détenaient relativement peu. »

    La recherche est fondée sur une base de données compilée par Bureau Van Dijk, qui contient des informations provenant de 100 sources couvrant 63.000 compagnies à travers le monde.

    Dans un document de recherche publié en 2009 et intitulé Qui dirige le monde - La propriété et le capital financier, les deux auteurs rapportent qu'environ 30 organisations, banques et institutions financières possédaient ou contrôlaient, entre elles, 51,4 % des 299 TGC recensées dans leur base de données.

    Autrement dit, seulement 1,5 % des actionnaires contrôlait plus de la moitié des actions.

    Ce document mettait à nu le mécanisme principal du capital financier pour dominer les compagnies où il détient des actions.

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  16. Les institutions financières n'exercent pas leur pouvoir « par la parole », c'est-à-dire en occupant des postes de direction, mais « par la sortie » - la menace omniprésente de retirer des fonds des actions des TGC « si un profit suffisant n'est pas réalisé ». Par l'exercice de leur pouvoir sur les marchés financiers, et par la pression exercée sur les conseils d'administration pour qu'ils « créent de la valeur pour l'actionnaire », le capital financier est en mesure de dicter ses conditions.

    En fait, par ses opérations sur les marchés financiers, il dit à la direction de ces entreprises: « Si vous ne faites pas tout pour maximiser les profits - que ce soit par une plus grande productivité, des mesures d'expansion ou une réduction des coûts - nous allons vendre notre mise ou changer la direction ».

    Cette façon de procéder mène à une conclusion importante que les auteurs tirent de cette analyse. Du point de vue de la logique essentielle du système, la distinction tracée entre le capital industriel et le capital financier mène sur une fausse piste.

    « C'est parce que, au bout du compte, le capital industriel est le capital financier. S'il y a déjà eu une époque où le monde était dominé par de grandes entreprises détenues par quelques familles et individus dont les fortunes personnelles, l'excentricité et les préférences modelaient la façon que ces entreprises se comportaient, ce temps est révolu. Le monde est dominé par des entreprises qui suivent la logique du capital financier - la logique de l'argent - parce que c'est ce qu'elles sont. Leur logique n'est pas une logique individuelle, mais de classe. »

    Les données concernant les pays d'origine des TGC et les institutions financières qui les contrôlent sont particulièrement intéressantes d'un point de vue politique.

    Parmi les 299 Très Grandes Compagnies (TGC), le plus grand nombre - 86 en tout, ou 29 % - provient des États-Unis. Viennent ensuite le Japon avec 48, la Grande-Bretagne avec 23, la France avec 23, l'Allemagne avec 20. Ensuite, il y a la Corée, la Chine, l'Italie et l'Australie.

    La concentration de la propriété dans les grandes puissances capitalistes est encore plus prononcée au niveau des compagnies financières. Sur les 10 compagnies financières qui dominent les TGC, 6 proviennent des États-Unis, 3 de la France et 1 de la Grande-Bretagne. Les États-Unis sont le pays d'origine pour 10 TGC dans le top 21. Dans ce groupe, 18 détiennent des actions dans au moins 100 des 299 TGC.

    Deux institutions financières américaines se démarquent - Black Rock et Capital Group. Les deux sont actionnaires majoritaires dans plusieurs compagnies. Dans le cas de Black Rock, il est dans cette situation pour 42 d'entre elles, ce qui représente 13 % de ses actions. Pour 55 % de ses actions, Black Rock est parmi le top 5 des actionnaires, tout comme Capital Group. qui l'est pour 45 % de ses actions.

    La signification politique de ces résultats est qu'ils démentent l'affirmation de pratiquement tous les groupes de la pseudo-gauche que la Russie et la Chine sont des puissances impérialistes. Cette affirmation n'est pas basée sur une analyse économique, parce que celle-ci révèle que ni les institutions basées en Chine ni celles en Russie ne figurent parmi les firmes financières qui contrôlent les opérations des grandes entreprises.

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  17. Comme l'a montré clairement Lénine dans son livre L'impérialisme, l'époque impérialiste se caractérise par la domination du capital financier, dont la propriété est concentrée parmi quelques grandes puissances.

    Ce point a aussi été souligné par Trotsky lorsqu'il s'est opposé aux propos des différentes tendances de type « capitalisme d'État », dont plusieurs tendances de la pseudo-gauche proviennent, selon lesquelles l'expansion territoriale poursuivie par la bureaucratie stalinienne envers l'Europe de l'Est était « impérialiste ».

    « Pourtant, dans la littérature politique contemporaine, du moins dans la littérature marxiste, par impérialisme on entend la politique d'expansion du capital financier, qui a un contenu économique bien défini. »

    Il poursuit en disant que de dire le contraire revient à semer de la confusion. C'est exactement l'objectif des éléments de la pseudo-gauche. Balayant du revers de la main toute analyse économique scientifique, ils utilisent le mot « impérialisme » comme un juron. Cela provient de leurs motivations politiques, car ils s'alignent derrière « leurs » puissances impérialistes, d'abord et avant tout les États-Unis, dans la poussée vers la guerre contre la Russie et la Chine.

    De plus, la recherche par Peetz et Murray est une confirmation frappante de toute l'analyse faite par Lénine dans L'impérialisme.

    Il insistait que l'impérialisme n'était pas un choix politique, qui pouvait en quelque sorte être remplacé par une autre orientation, mais le résultat d'une étape définie du développement capitaliste, sa phase suprême et finale, qui remplaçait le capitalisme basé sur la libre compétition du 19ème siècle.

    Lénine insistait que le capital financier cherchait la domination économique non seulement des pays coloniaux et de leurs ressources, mais de la planète entière, tant des pays avancés qu'opprimés. Sa politique découlait de son économie - la fin de la démocratie libérale et l'imposition de la réaction politique « sur toute la ligne ».

    Il écrivait ces lignes au commencement de l'époque impérialiste, qui a annoncé son arrivée avec l'éclatement de la Première Guerre mondiale, le 4 août 1914.

    Beaucoup de choses ont changé durant ce dernier siècle, mais ce qui est frappant est que les tendances essentielles de développement économique ont suivi ce que Lénine avait anticipé. Par exemple, il avait cité cinq pays majeurs - les États-Unis, la Grande-Bretagne, la France, l'Allemagne et le Japon - comme étant les centres du système impérialiste. Comme l'analyse de Peetz-Murray le montre clairement, dans les données sur le TGC et les plus importantes institutions financières, ces puissances demeurent au sommet de la liste.

    Lénine a identifié la force objective qui pousse vers la guerre comme étant le conflit entre ces grandes puissances qui cherchent toutes à dominer et qui entrent violemment en conflit entre elles.

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  18. Le développement des multinationales et des institutions financières mondiales a poussé à son paroxysme une contradiction fondamentale du mode de production capitaliste : celle entre le développement de l'économie mondiale et le système d'États-nations dans lequel est ancré le système de profit.

    Comme l'a expliqué Léon Trotsky, la guerre est, en dernière analyse, une « révolte des forces productives contre la forme politique de la nation et de l'État ». L'impérialisme tente de résoudre ce problème militairement pour décider « quel pays doit être transformé de grande puissance en puissance mondiale »

    En opposition à l'impérialisme, la classe ouvrière devait résoudre cette contradiction et empêcher la descente de la civilisation dans la barbarie par la révolution socialiste mondiale - le renversement du système de profit et d'États-nations capitalistes - afin de jeter les bases d'une organisation socio-économique mondiale plus avancée.

    Lénine a mis l'accent sur la même question dans L'impérialisme. La transformation du capitalisme concurrentiel du 19ème siècle en impérialisme, ou capitalisme monopoliste, n'a pas seulement créé les conditions pour la guerre. Elle a aussi jeté les bases objectives d'une économie socialiste mondiale planifiée. La domination du capital financier, la croissance des sociétés organisant la production à une échelle mondiale et l'entremêlement de la participation des banques et des sociétés entraînèrent une transformation des relations sociales de production: l'immense socialisation de la production et du travail.

    Durant le boom d'après-guerre, de nombreux observateurs dont les idées étaient à bien courte vue - les économistes bourgeois, ainsi que certains qui se disaient marxistes - soutenaient que l'analyse de Lénine et Trotsky était devenue désuète.

    Elle avait été dépassée, disaient-ils, par les développements politiques et économiques. Les colonies des puissances impérialistes avaient réalisé leur indépendance - non sans une lutte considérable - et procédaient maintenant au développement de leur économie nationale.

    Sur le front économique, le capital financier, sur lequel le mouvement marxiste avait tant mis l'accent, était passé au second plan en se plaçant au service des grandes sociétés industrielles qui occupaient la majeure partie de la scène économique.

    Mais dans le cadre du développement économique et historique plus large, cette période n'était qu'un bref épisode. Le boom d'après-guerre n'a duré qu'un quart de siècle, se terminant au début des années 1970. La crise de profitabilité qui mit fin à ce boom était la force motrice qui allait mener à une vaste restructuration du capitalisme mondial, basée sur la mondialisation de la production, pour tirer profit de sources de main-d'œuvre à bon marché et atteindre un niveau d'exploitation bien au-delà de ce qui avait été réalisé à l'époque du colonialisme direct et de l'expansion du capital financier.

    Ce qui fait que la tendance de développement est revenue, à un niveau plus avancé, à la trajectoire présentée par Lénine. Et la montée de la guerre est l'une de ses conséquences inévitables.

    Mais au même moment, l'intégration de la production a jeté les bases du développement d'une économie socialiste mondiale planifiée. C'est une conclusion qu'a tirée l'analyse de Peetz-Murray, mais aussi une recherche réalisée en 2011.

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  19. Un article publié dans la revue New Scientist de septembre de cette année-là et intitulé « Le réseau du pouvoir mondial des sociétés » (The network of global corporate control) décrit à la fois l'immense socialisation de la production et la domination du capital financier.

    Il montre qu'au cœur du réseau de 43.000 multinationales se trouve une «super-entité» de 147 sociétés encore plus intégrées qui possède une large part de la richesse de tout le réseau.

    Selon James Glattfelder, l'un des trois coauteurs de l'article : « En fait, moins d'un pour cent des sociétés possédait 40% de la richesse totale du réseau. »

    Le top 20 de ce groupe était dominé par le capital financier, dont Barclays Bank, JPMorgan Chase et Goldman Sachs.

    Dans la conclusion de leur article de 2009, écrit dans la foulée immédiate de la crise financière mondiale, Peetz et Murray affirment que les États doivent exercer « un certain contrôle sur le capitalisme », ajoutant que de « lui accorder une liberté totale serait aller au-devant d'autres crises ».

    Mais la possibilité d'une quelconque réforme du capitalisme et de ses milieux dirigeants dans le capital financier est une illusion.

    En fait, l'analyse même des deux auteurs réfute leur perspective politique. Comme ils le révèlent, et cela est important, la logique du système est la logique même de l'argent.

    La logique de l'argent, en tant qu'expression matérielle du capital, soit une valeur qui s'accroît d'elle-même, est d'abattre toutes les barrières à sa croissance.

    Le capital financier ne fait pas que dominer les sociétés et leur dicter sa loi. Comme Lénine l'a expliqué, il établit aussi les politiques des États officiellement indépendants, même les plus puissants. Aujourd'hui, il dicte toutes les politiques des gouvernements, s'attaquant aux services sociaux de base comme l'éducation et la santé et exigeant la restructuration du marché du travail en concordance avec les besoins du profit.

    Les expériences des 30 dernières années démontrent ce fait économique indiscutable. Au début des années 1980, lorsque le président français François Mitterrand a tenté d'imposer un certain contrôle aux banques, ses politiques ont été anéanties par les opérations des marchés financiers.

    Une autre expérience importante est celle de 1992 où le capital financier, sous la forme du fonds spéculatif de George Soros, a forcé l'abandon de la parité de la livre sterling en vendant à découvert la monnaie britannique et en engrangeant environ 2 milliards de dollars dans cette opération, aux dépens de la Bank of England.

    Chaque gouvernement craint maintenant les effets spéculatifs sur sa monnaie et les décisions des agences de notation sur ses politiques.

    À la fin de 1993, lorsque les rendements obligataires ont augmenté en raison des inquiétudes sur l'ampleur du déficit du gouvernement américain, l'administration Clinton a déployé une série de mesures pour imposer des coupes considérables dans l'aide sociale et répondre aux demandes du capital financier. James Carville, conseiller politique de Clinton, avait commenté à l'époque: « Je croyais avant que si la réincarnation existait, j'aurais aimé revenir comme président, comme le pape ou comme un frappeur avec une moyenne de .400. Mais maintenant, j'aimerais me réincarner en marché obligataire. Il peut intimider n'importe qui. »

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  20. Il y a deux questions fondamentales ici.

    Premièrement, le capital financier n'est pas une fonction externe de l'économie capitaliste, une sorte de serpent diabolique qui aurait réussi à s'infiltrer dans le véritable jardin d'Éden de la propriété et du profit privés, mais quelque chose qui émerge des bases mêmes de ce système.

    Au début de son travail préparatoire pour Le Capital, Karl Marx s'attaqua aux conceptions avancées par le socialiste petit-bourgeois Pierre-Joseph Proudhon, qui défendait qu'il était possible de contenir les ravages de la finance tout en conservant la propriété privée et le marché capitaliste qui en étaient la source.

    Comme Marx l'a établi, cela équivalait à vouloir se débarrasser du pape en conservant l'Église catholique.

    Deuxièmement, ce qui est essentiel à l'analyse de Lénine, et qui est confirmé par la recherche de Peetz-Murray et d'autres, est que l'expansion et la domination du capital financier, qui entraînent la dévastation sociale et le danger toujours plus grand de guerre mondiale, n'est pas un choix de politique ou une préférence, mais le résultat d'une phase précise dans le développement du système capitaliste lui-même.

    Cela veut dire que la seule perspective durable et réaliste pour mettre fin à la poussée vers la guerre, assurer la paix et une véritable égalité - le thème de cette année pour la commémoration de la Journée des travailleurs par le Comité international de la Quatrième Internationale - est de lutter pour le programme de la révolution socialiste mondiale parmi la classe ouvrière internationale qui se trouve, par sa situation sociale objective, en opposition complète au capital.

    (Article paru en anglais le 15 avril 2017)

    https://fr.sott.net/article/30502-La-domination-du-capital-financier-qui-dirige-le-monde

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    1. Rappelons que ce ne sont pas les 'chefs d'Etats' qui dirigent les pays mais les 'hommes de l'ombre' qui les ont choisi pour figurer à leurs têtes.

      Mais, la partie dérangeante est, que ces hommes (derrière les rideaux), même munis d'ordinateurs dernier cri et 'contrôlant' l'ensemble de la répartition des billets de mille suivant des caprices, se voient de plus en plus confrontés à ces plus de 4% de surdoués qu'il y a dans le monde ! Plus de 280 millions de têtes bien pleines face à un nano-groupuscules de truands qui créent des guerres, des syndicats, des centres d'écoutes téléphoniques, des épandages aériens (chemtrails. Sur plus de 1300 vols quotidiens sur la France pourquoi n'y a t-il pas 1300 chemtrails dans le ciel ?), des renversement de gouvernements et des migrations de masses religieuses en des pays où cette dernière n'existe plus.

      Cette '5è colonne' n'a jamais été autant en déroute qu'aujourd'hui ! Elle fait face à non-pas des ex-ministres à la botte des hommes de l'ombre ou des congressistes prostitués mais à des gens du Peuple ! Des Trump, des Le Pen, des Dutertre, des Maduro, des gens qui disent ce qu'ils pensent même si çà emmerde mes merdias, les dictateurs là de pères en fils.

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  21. Pourquoi il n'y aura JAMAIS une solution politique aux problèmes de l'Amérique

    Par Michael Snyder,
    1er mai 2017


    Pourquoi les choses ne semblent-elles jamais changer, peu importe qui nous envoyons à Washington ? Il semble que depuis des décennies, beaucoup d'entre nous essayions de changer la direction de ce pays en s'engageant dans le processus politique. Mais peu importe combien nous essayons, la spirale descendante de notre pays continue d'accélérer. Regardez ce dernier programme de dépenses. Même si le peuple américain a donné aux républicains le contrôle de la Maison Blanche, du Sénat et de la Chambre des représentants, cet accord ressemble très bien à «un budget de l'époque de l'administration Obama». Il augmente les dépenses, même si nous avons déjà ajouté plus d'un billion de dollars par an à la dette nationale, interdit expressément la construction d'un mur frontalier, il finance pleinement Planned Parenthood et il y a des dizaines d'autres concessions aux démocrates. Comme je l'avais prévenu, ces «négociations» étaient une déroute politique de proportions épiques.

    Peut-être que beaucoup d'entre nous étaient très irréalistes quand nous nous attendions à ce que Donald Trump puisse changer les choses. Parce que régler l'Amérique va prendre beaucoup plus que d'obtenir le bon nombre de politiciens "rouges" ou "bleus" à Washington. Plutôt, la vérité est que le vrai problème réside dans nos cœurs, et les politiciens corrompus qui nous représentent actuellement sont simplement un reflet de ce que nous sommes devenus en tant que nation.

    Les générations de personnes qui ont fondé cette nation et l'ont établie comme la plus grande république que le monde ait jamais vu ont des valeurs bien différentes que la plupart des Américains le font aujourd'hui.

    Donc jusqu'à ce qu'il y ait un changement dramatique dans la façon dont la plupart d'entre nous voient le monde, il est fort probable que beaucoup de choses à Washington ne changeront pas.

    Tout au long de la campagne, Donald Trump a parlé hardiment de "drainer le marais", mais ce projet de dépenses reflète très bien les priorités du marais. Le Washington Post a publié une liste de huit manières dont "Trump a roulé dans sa première négociation budgétaire", et dans ce cas, le Post est tout à fait correct ...

    1. Il existe des restrictions explicites pour bloquer le mur frontalier.

    2. Les dépenses intérieures non liées à la défense vont augmenter, malgré l'insistance de l'équipe de Trump à ne pas laisser cela se produire.

    3. Le cancer du cancer de Barack Obama est généreusement financé.

    4. Trump s'est battu pour réduire l'Agence de protection de l'environnement d'un tiers. L'accord final règle son budget de seulement 1 pour cent, sans coupure du personnel.

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  22. 5. Il n'a pas défendu Planned Parenthood.

    6. Le président a obtenu moins de la moitié pour l'armée, comme il l'a dit nécessaire.

    7. Les démocrates disent qu'ils ont obligé les républicains à retirer plus de 160 cavaliers.

    8. Pour maintenir les négociations en mouvement, la Maison Blanche a déjà accepté la semaine dernière de continuer à verser des subventions à Obamacare.

    Essentiellement, les démocrates ont pratiquement tout ce qu'ils voulaient, et les républicains n'avaient rien à redire.

    Trump et les républicains promettent qu'ils se battront plus fort "la prochaine fois", mais nous avons déjà entendu cette promesse vide des républicains année après année aller jusqu'à 2011.

    Parmi beaucoup d'autres experts conservateurs, l'auteur Daniel Horowitz détruit absolument ces "républicains à genoux faibles" ...

    Maintenant, avec le contrôle des trois branches et d'un président qui s'est vendu dans les primaires comme l'antithèse des républicains à genoux faibles qui ne savent pas la première chose à propos des négociations difficiles, nous sommes exactement au même endroit. La nuit dernière, le président Trump a signalé que, après même pas de se battre pour la réinstallation des réfugiés et Planned Parenthood, il aborderait la question budgétaire finale - le financement de la clôture de la frontière. Mais ne craint pas, il reprendra sa demande ... la prochaine fois!

    Ce degré de capitulation, avec le contrôle des trois branches, m'impressionne même ... et j'avais peu d'attentes à l'égard de ce président et de cette partie. Ils ont réussi à être écrasés par une voiture stationnée. Il est vraiment à couper le souffle de contraster les performances des démocrates au printemps 2009 avec ce que les républicains ont fait aujourd'hui avec les trois branches. À l'heure actuelle, en 2009, les démocrates ont réussi les sauvetages, la stimulation, le premier tour de règlement financier, une facture de salaire égale, l'expansion de SCHIP et ont jeté les bases d'autres propositions plus importantes, telles que le plafonnement et le commerce et Obamacare. Ensuite, ils ont tout ce qu'ils voulaient dans le projet de loi omnibus de mars 2009, et un certain nombre de sénateurs du GOP ont voté pour cela. Nous, d'autre part, nous sommes laissés avec rien.

    Et même les médias traditionnels admettent que les démocrates ont fait des bandits dans cette affaire.

    Il suffit de vérifier les citations suivantes ...

    "Dans l'ensemble, le compromis ressemble plus à un budget de l'époque de l'administration Obama qu'à un Trump", rapporte Bloomberg.

    The Associated Press l'appelle «une mesure de dénominateur commun le plus bas qui ne sera pas trop différente de celle qui aurait pu être frappée sur l'assaut d'Obama l'année dernière».
    Reuters: "Alors que les républicains contrôlent la Chambre, le Sénat et la Maison Blanche, D

    Reuters: "Alors que les républicains contrôlent la Chambre, le Sénat et la Maison Blanche, les démocrates ont marqué ... des victoires importantes dans l'affaire".

    Le Los Angeles Times décrit l'accord comme «quelque chose d'embarrassant pour la Maison Blanche»: «Trump a conçu l'impasse financière peu de temps après son élection, insistant à la fin de l'année dernière pour que le Congrès ne puisse financer le gouvernement que pendant quelques mois, il pourrait mettre Son cachet sur les dépenses fédérales en tant que nouveau président ".

    Si Trump ne peut pas avoir financé ses priorités maintenant, pensez-vous que les démocrates seront de plus en plus agréables après avoir passé un an ou deux à la Maison-Blanche ?

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  23. Bien sûr que non.

    Si jamais il y aurait un mur frontalier, cela se passerait maintenant.

    Si Planned Parenthood allait jamais être défendu, il se passerait maintenant. À partir de ce moment, le sang de tous les enfants que Planned Parenthood tue sera sur les mains de tous les républicains qui ont voté pour ce projet de loi ou qui ont signé ce projet de loi.

    La prochaine "grande bataille" va être sur un projet de loi pour abroger et remplacer Obamacare, mais la vérité est que "Trumpcare" va finir par ressembler à Obamacare.

    Au lieu de l'abroger, les républicains essayent de "réparer" Obamacare, et c'est comme d'aller à la décharge et d'essayer de "réparer" un gros tas d'ordures.

    Mais comme je l'ai expliqué plus tôt, nous ne devrions pas nous attendre à ce que les choses se déplacent dans une direction positive à Washington D.C jusqu'à ce que les valeurs de ceux qui nous représentent changent.

    À ce stade, il n'y a que quelques douzaines de membres de la Chambre et une poignée de membres du Sénat qui offrent même des conseils aux valeurs de nos fondateurs.

    Et jusqu'à ce que nos valeurs changent, nous n'allons pas envoyer des représentants à Washington qui partagent les valeurs de nos fondateurs.

    Malheureusement, la plupart des Américains connaissent très peu l'histoire de l'Amérique du début. Je voudrais encourager tout le monde à se pencher sur la raison pour laquelle nos fondateurs sont venus dans ce pays en premier lieu, ce qu'ils croyaient être le plus important dans la vie et comment ils ont vu le monde.

    Si nous voulons "rendre l'Amérique de nouveau génial", nous devons revenir à ces valeurs. Sinon, nous soufflons beaucoup d'air chaud.

    http://theeconomiccollapseblog.com/archives/why-there-will-never-be-a-political-solution-to-americas-problems

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  24. Le grand frère vous regarde toujours: ne tombez pas pour la dernière pâte de la NSA


    Par Tyler Durden
    1er mai 2017 11:05 PM
    Édité par John Whitehead via The Rutherford Institute,


    "Tu devais vivre - vivait, de l'habitude qui devint instinct - en supposant que chaque son que tu as fait était entendu et, sauf dans l'obscurité, chaque mouvement scrutait." - George Orwell, 1984

    Supposons que l'Administration de la sécurité nationale n'arrêtera pas de recueillir certaines communications sur Internet qui ne font que mentionner une cible de renseignement étrangère.

    Les défenseurs de la protection de la vie privée le saluent comme une victoire majeure pour les Américains dont les communications ont été capturées dans le filet de la NSA.

    Si c'est une victoire, c'est une victoire creuse.

    Voici pourquoi.

    Depuis sa création en 1952, lorsque le président Harry S. Truman a émis un ordre exécutif secret établissant la NSA comme centre des activités de renseignement étranger du gouvernement, l'agence a espionné secrètement les Américains, écoutant leurs appels téléphoniques, lisant leur courrier, Et le suivi de leurs communications.

    Par exemple, sous Project SHAMROCK, la NSA a espionné des télégrammes à destination et en provenance des États-Unis, ainsi que la correspondance des citoyens américains. En outre, comme le Saturday Evening Post rapporte: "Under Project MINARET, la NSA a surveillé les communications des dirigeants des droits civils et des opposants à la guerre du Vietnam, y compris des cibles telles que Martin Luther King, Jr., Mohammed Ali, Jane Fonda et deux actifs Sénateurs américains. La NSA avait lancé ce programme en 1967 pour surveiller les terroristes soupçonnés et les trafiquants de drogue, mais les présidents successifs l'ont utilisé pour suivre tous les types de dissidents politiques ".

    Même le passage de la Loi sur la surveillance du renseignement étranger et la création de la Cour de la FISA, qui devait surveiller et corriger la collecte et la collecte des informations de renseignement, ont permis de réduire les activités illégales de la NSA.

    À la suite des attentats du 11 septembre, George W. Bush a autorisé secrètement la NSA à mener une surveillance sans mandat sur les appels téléphoniques et les courriels des Américains.

    Rien n'a changé sous Barack Obama. En fait, les violations se sont aggravées, la NSA autorisée à collecter en secret des données sur Internet et par téléphone sur des millions d'Américains, ainsi que sur des gouvernements étrangers.

    Ce n'est qu'après les révélations de Black Denower en 2013 que les Amérindiens ont pleinement compris la mesure dans laquelle ils avaient été trahis à nouveau.

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  25. Ce que cette brève histoire précise est que la NSA ne peut pas être réformée.

    Il s'agit d'une agence dont l'existence même - inexplicable et qui manque de transparence - fait face à la Constitution.

    Malgré le fait que son snooping des données s'est révélé inefficace pour détecter, sans parler de toute attaque terroriste, la NSA a continué à fonctionner en grande partie en secret, en effectuant une surveillance de masse sans mandat sur des centaines de millions d'appels téléphoniques américains, Les courriels, les messages texte et autres, au-delà de l'examen minutieux de la plupart des congrès et des contribuables qui sont forcés de financer son budget d'opérations noires secrètes de plusieurs milliards de dollars.

    Tant que le gouvernement est autorisé à se moquer de la loi, qu'il s'agisse de la Constitution, de la loi FISA ou de toute autre loi visant à limiter sa portée et à limiter ses activités - et est autorisé à opérer à huis clos, en se relayant sur le secret Les tribunaux, les budgets secrets et les interprétations secrètes des lois de la terre, il n'y aura pas de réforme.

    Les présidents, les politiciens et les jugements des tribunaux sont passés au cours des 60 années d'histoire de la NSA, mais aucun d'eux n'a fait beaucoup pour mettre fin à la «technotyranie» de la NSA.

    La bête a dépassé ses chaînes. Il ne sera pas restreint.

    En outre, même si la NSA pourrait être réformée, le problème de la surveillance du gouvernement va bien au-delà des activités criminelles de cette agence.

    En fait, bien avant que la NSA ne devienne l'agence que nous aimions détester, le ministère de la Justice, le FBI et la Drug Enforcement Administration effectuaient leur propre surveillance de masse secrète sur une population sans méfiance. À peu près toutes les branches du gouvernement - du service postal au département du Trésor et à toutes les agences - ont maintenant leur propre secteur de la surveillance, autorisé à espionner le peuple américain.

    Ensuite, il y a les centres de fusion et de lutte contre le terrorisme qui rassemblent toutes les données des petits espions du gouvernement - la police, les responsables de la santé publique, les transports, etc. - et le rendent accessible pour tous ceux qui sont au pouvoir. Et bien sûr, cela ne commence même pas à toucher la complicité du secteur des entreprises, qui nous achète et nous vend du berceau à la tombe, jusqu'à ce que nous ne disposions plus de données.

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  26. Considérez que, chaque jour donné, l'Amérique moyenne faisant ses affaires quotidiennes sera surveillée, surveillée, espionnée et suivie de plus de 20 façons différentes, par les yeux et les oreilles du gouvernement et de l'entreprise. Un sous-produit de ce nouvel âge dans lequel nous vivons, que vous traversiez un magasin, que vous conduisiez votre voiture, que vous vérifiez des courriels ou que vous parlez à des amis et à la famille par téléphone, vous pouvez être certain d'une agence gouvernementale, que ce soit la NSA ou Une autre entité, écoute et suit votre comportement.

    Les traceurs d'entreprise surveillent vos achats, la navigation sur le Web, les publications de Facebook et d'autres activités se déroulant dans la sphère cybernétique. Par exemple, chaque fois que vous utilisez une carte de fidélité à l'épicerie ou ailleurs, vos achats sont surveillés, extraits pour les données et vendus au plus offrant. Chaque fois que vous utilisez votre carte de crédit ou de débit, ou votre «portefeuille» numérique, vos transactions sont suivies. L'application Uber's ride service sait où vous êtes même lorsque vous n'utilisez pas activement le service. Même les mannequins en magasin sont utilisés pour surveiller et identifier les acheteurs avec un logiciel de reconnaissance faciale.

    Les grandes villes se transforment en «villes intelligentes» remplies de capteurs dans tout, du pavé aux lampadaires, et toutes ces données sont reliées entre elles pour surveiller la vie quotidienne de chacun. Dans certaines villes, même les eaux usées sont surveillées et pourraient être utilisées pour déterminer quels médicaments un ménage a pu utiliser.

    Toutes vos données médicales dans un proche avenir seront constamment surveillées, et alors que les données ne devraient être partagées qu'avec votre médecin, en pratique, elles seront accessibles par un certain nombre d'acteurs gouvernementaux et privés. Les microchips dans les «pilules intelligentes» peuvent communiquer avec des tablettes pour s'assurer que les personnes âgées prennent leurs médicaments existent déjà. Et un transpondeur injecté dans la peau qui contient l'histoire médicale complète d'une personne a été approuvé par la FDA. Les dispositifs de surveillance de la santé utilisables peuvent également être utilisés pour vous surveiller et les informations recueillies peuvent être utilisées dans un tribunal. Les brosses à dents intelligentes peuvent surveiller vos habitudes de brossage et les communiquer à votre dentiste ou à toute autre personne. Les réveils intelligents peuvent surveiller vos habitudes de sommeil.

    Comme tous les autres dispositifs s'appuyant sur Internet of Things (IOT) pour communiquer, ceux-ci peuvent être piratés par des sociétés gouvernementales et privées.

    L'Internet des choses se réfère au nombre croissant d'appareils "intelligents" et d'appareils électroniques maintenant connectés à Internet et capables d'interagir les uns avec les autres et d'être contrôlés à distance. Ceux-ci vont des thermostats et des cafetières aux voitures et aux téléviseurs.

    Bien sûr, il y a un prix à payer pour un contrôle et un accès aussi faciles. Ce prix équivaut à renoncer au contrôle et à l'accès ultimes à votre domicile au gouvernement et à ses partenaires corporatifs. Par exemple, les téléviseurs intelligents de Samsung sont capables d'écouter ce que vous dites, permettant ainsi aux utilisateurs de contrôler le téléviseur à l'aide de commandes vocales. Il enregistre également tout ce que vous dites et le relie à un tiers. Même chose pour Amazon Echo.

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  27. Les «maisons intelligentes» remplies de périphériques compatibles avec IoT commencent à entrer en jeu, mais d'ici 2020, Samsung s'engage à ce que tous ses appareils, y compris ses appareils ménagers, soient compatibles avec IoT. De tels produits incluent des fours, des micro-ondes, des aspirateurs (y compris des aspirateurs robots), des réfrigérateurs, des lave-vaisselle, des machines à laver et des séchoirs, ainsi que des centres intelligents qui coordonnent tout. Les cafetières et les grille-pain sont également compatibles avec IoT.

    Les téléviseurs intelligents apparemment hors de Orwell 1984 vont également recueillir des données et vous espionner. Les consoles de jeu modernes ont également des connexions Internet, et celles avec des caméras peuvent être utilisées pour espionner comme n'importe quel smartphone ou ordinateur. Les prises de courant intelligentes peuvent allumer et éteindre vos lumières, et les thermostats intelligents fonctionnent de manière similaire.

    Tous surveillent lorsque vous êtes à la maison ou non, tout comme les systèmes de sécurité pour les maisons intelligentes. Les routeurs Wi-Fi peuvent même surveiller l'intérieur de votre maison et distinguer les différents individus dans la maison, tout en lisant leurs lèvres pour «entendre» ce qu'ils disent. D'autres formes de systèmes de surveillance à domicile pour les personnes âgées peuvent être piratées et utilisées par tout le monde.

    Déjà, la poupée "Hello Barbie", basée sur le Web, a été le centre d'une controverse de piratage, dans laquelle les experts en sécurité ont révélé un certain nombre de défauts de sécurité importants avec le jouet. D'autres objets intelligents comprennent des clubs de golf intelligents, qui surveillent la vitesse, l'accélération et l'oscillation de votre balançoire de golf, des chaussures intelligentes qui suivent votre emplacement et peuvent vous guider vers l'endroit où aller. Tostitos a même dévoilé un sac promotionnel de puces qui peut vous dire si vous avez trop bu.

    Cela ne commence même pas à toucher toutes les nombreuses méthodes d'espionnage du gouvernement pour ses citoyens. Par exemple, la police a utilisé des dispositifs Stingray montés sur leurs croiseurs pour intercepter des appels téléphoniques et des messages texte sans mandat de recherche délivré par les tribunaux.

    Les appareils à radar Doppler, qui peuvent détecter la respiration humaine et se déplacer dans une maison, sont déjà employés par la police pour regarder dans la maison d'un suspect.

    Les lecteurs de plaques d'immatriculation, un autre dispositif d'espionnage d'application de la loi rendu possible grâce au financement par le Department of Homeland Security, peuvent enregistrer jusqu'à 1800 plaques d'immatriculation par minute. Ces dispositifs de surveillance peuvent également photographier ceux qui se trouvent dans une voiture en mouvement. Des rapports récents indiquent que la DEA utilise des lecteurs de plaque d'immatriculation en collaboration avec un logiciel de reconnaissance faciale pour construire une «base de données de surveillance de véhicules» des voitures, des conducteurs et des passagers du pays.

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  28. Les caméras «trottoir» et «espace public», vendues à des communautés crédules comme moyen de lutte contre le crime, sont encore un autre programme de DHS qui couvre les petites et les grandes villes avec des caméras de surveillance financées par le gouvernement et surveillées. Cela fait partie d'un partenariat public-privé qui permet aux fonctionnaires du gouvernement d'accéder à toutes les caméras de surveillance, aux trottoirs, aux bâtiments, aux autobus, même à ceux qui sont installés sur une propriété privée.

    Associez-vous à ces caméras de surveillance avec une reconnaissance faciale et une technologie de détection de comportement, et vous avez la possibilité de caméras «pré-crime», qui analysent vos manières, vous comparez à des paramètres préétablis pour un comportement «normal» et alerte la police si vous déclenchez Toutes les alarmes informatiques étant «suspectes».

    Capitalisant sur une série d'enlèvements notoires d'étudiants d'âge collégial, plusieurs États poussent à élargir leurs bases de données biométriques et d'ADN en exigeant que toute personne accusée d'un délit ait son ADN recueilli et catalogué. La technologie est déjà disponible qui permet au gouvernement de collecter des données biométriques telles que les empreintes digitales à distance, sans la coopération ou la connaissance d'une personne. Un système peut effectivement scanner et identifier une empreinte digitale à près de 20 pieds de distance.

    Les pistolets radar ont longtemps été le meilleur ami de la vitesse, ce qui lui permet de se cacher à côté de la route, d'identifier les voitures à vitesse excessive, puis de passer la radio à une voiture de police, qui fait le sale travail de tirer le conducteur et de délivrer un billet. Maintenant, les développeurs travaillent dur sur un pistolet radar qui peut effectivement montrer si vous ou quelqu'un dans votre voiture fait un message textuel. Aucun mot pour savoir si la technologie pourra également détecter le contenu de ce message texte.

    C'est un pari sûr que tout ce que le gouvernement accueille (et les fonds) avec trop d'enthousiasme est un cheval de Troie plein de mauvaises surprises. Exemple: caméras de corps de police. Accueilli comme la solution facile pour les abus de la police, ces caméras corporelles - rendues possibles grâce au financement du ministère de la Justice - transforment les policiers en caméras de surveillance itinérantes. Bien sûr, si vous essayez de demander l'accès à cette vidéo, vous vous trouvez en train d'être animé d'une chasse animée et coûteuse à travers des miles de paperasserie, des valets bureaucratiques et des tribunaux inutiles.

    Et le FBI peut activer à distance le microphone sur votre téléphone portable et enregistrer vos conversations. Le FBI peut également faire la même chose pour les ordinateurs portables sans que le propriétaire sache mieux.

    La surveillance gouvernementale des médias sociaux tels que Twitter et Facebook est également à la hausse. Les Américains sont devenus tellement habitués au gouvernement surpassant ses limites, que la plupart ne semblent même pas tout ce qui dérange le fait que le gouvernement espionne nos courriels et écoute nos appels téléphoniques.

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  29. Les drones, qui se dirigent vers le ciel en masse, seront le point de convergence de toutes les armes et technologies déjà disponibles pour les organismes d'application de la loi. Cela signifie que les drones peuvent écouter vos appels téléphoniques, voir les murs de votre maison, analyser vos données biométriques, vous photographier et suivre vos mouvements, et même vous corrompre avec des armements sophistiqués.

    Il est vrai que les tactiques du gouvernement sont toujours plus avancées que nous ne le savons, alors on ne sait pas quelles nouvelles technologies sont déjà déployées contre nous sans notre connaissance. Certes, au moment où nous apprenons une méthode particulière de surveillance ou un nouveau gadget technologique, c'est un pari sûr que le gouvernement l'utilise secrètement pendant des années déjà.

    Si vous ne l'avez pas encore compris, nous sommes tous devenus des suspects, des criminels potentiels.

    Comme je l'ai expliqué dans mon livre, Battlefield America: The War on the American People, nous nous trouvons maintenant dans la position peu enviable d'être surveillés, gérés et contrôlés par notre technologie, qui ne nous répond pas mais à notre gouvernement et à nos dirigeants.

    C'est le génie effrayant, calculant mais diabolique de l'état de police américain: la technologie que nous avons qualifiée de révolutionnaire et de libération est devenue notre prison, notre geôlier et notre agent de probation.

    Ne vous inquiétez donc pas de la dernière concession de la NSA.

    Cela n'empêchera pas Big Brother de vous regarder.

    http://www.zerohedge.com/news/2017-05-01/big-brother-still-watching-you-dont-fall-nsas-latest-ploy

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  30. 51% des meurtres aux États-Unis viennent de seulement 2% des comtés


    Par Tyler Durden
    1er mai 2017 22 h 50
    Édité par John R. Lott, Jr. par l'intermédiaire du Centre de recherche sur la prévention du crime


    - voir carte sur site -
    La répartition des meurtres

    Les États-Unis peuvent vraiment être divisés en trois types de lieux. Lieux où il n'y a pas de meurtre, des lieux où il y a quelques meurtres et des lieux où les meurtres sont très fréquents.

    En 2014, l'année la plus récente où une ventilation au niveau du comté est disponible, 54% des comtés (avec 11% de la population) n'ont pas de meurtre. 69% des comtés n'ont plus qu'un meurtre et environ 20% de la population. Ces comtés ne représentent que 4% de tous les meurtres dans le pays.

    Les pires 1% des comtés ont 19% de la population et 37% des meurtres. Les pires 5% des comtés contiennent 47% de la population et représentent 68% des meurtres. Comme le montre la figure 2, plus de la moitié des meurtres se sont produits dans seulement 2% des comtés.

    Les meurtres étaient plutôt concentrés. De 1977 à 2000, en moyenne, 73% des comtés dans une année donnée ont eu des meurtres à zéro. Peut-être, ce changement résulte de la propagation de l'épidémie d'opioïdes à plus de zones rurales. Mais cette question dépasse le cadre de cette étude. Le livre de Lott "More Guns, Less Crime" a montré combien les comtés dramatiques dans les États varient considérablement en ce qui concerne le meurtre et les autres taux de criminalité violente.

    - voir graphique sur site -

    En divisant les comtés les plus dangereux de la figure 2, plus de la moitié des meurtres se produisent dans seulement 2% des comtés, 37% dans le pire des 1% des comtés.

    - voir graphique sur site -

    La figure 1 illustre comment peu de comtés ont un nombre important de meurtres. La figure 3 illustre davantage cela avec une perspective cumulative. 54% des comtés n'ont pas de meurtre, 69% ont au plus un meurtre, 76% ont au plus deux meurtres, et ainsi de suite. Pour le dire différemment, seuls les quatre premiers pour cent des comtés ont 16 morts ou plus.

    Si le 1% des comtés avec le pire nombre de meurtres devaient en quelque sorte devenir un pays distinct, le taux de meurtre dans le reste des États-Unis n'aurait été que de 3,4 en 2014. L'élimination des pires 2% ou 5% aurait réduit le Le taux des États-Unis est égal à 3,06 ou 2,56 pour 100 000, respectivement.

    - voir graphique sur site -

    Même dans les comtés avec les meurtres, les meurtres sont fortement concentrés dans ces comtés

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  31. Lorsque vous regardez les différents comtés avec un nombre élevé de meurtres, vous trouvez de vastes zones avec peu de meurtres. Prenez le comté de Los Angeles, avec 526 meurtres en 2014, le plus de n'importe quel pays aux États-Unis. Le comté n'a pratiquement aucun meurtre dans la partie nord-ouest du comté. Il n'y avait qu'un seul meurtre à Beverly Hills, Hawthorne et Van Nuys. De toute évidence, différentes parties du comté sont confrontées à des risques très différents de meurtre.

    - voir carte sur site -

    La carte ci-dessous montre la répartition des meurtres à Indianapolis, avec 135 meurtres. Bien que la ville s'étend bien au-delà de la route 465 qui circule au centre-ville d'Indianapolis, il n'y a que quatre meurtres en dehors de cette boucle. La moitié nord de la ville en 465 a également relativement peu de meurtres.

    - voir carte sur site -

    Washington, DC a de vastes zones sans meurtre. La 14e rue NW divise les parties orientale et occidentale du district, avec des meurtres largement limités à la moitié orientale. La zone autour de la capitale est également extrêmement sûre.

    - voir carte sur site -
    Voici la carte du meurtre pour Dallas.

    Propriété Gun

    Selon un sondage sur le Centre de recherche PEW 2013, le taux de propriété des armes à feu chez les ménages dans les zones rurales était 2,11 fois plus élevé que dans les zones urbaines («Pourquoi posséder un pistolet ? La protection est maintenant la meilleure raison», Centre de recherche PEW, 12 mars 2013). Les ménages de banlieue sont 28,6% plus susceptibles de posséder des armes à feu que les ménages urbains. Malgré une diminution de la possession d'armes à feu, les zones urbaines connaissent des taux de meurtres beaucoup plus élevés. On ne devrait pas mettre beaucoup de poids sur cette preuve purement «transversale» sur un point dans le temps, mais il est encore intéressant de constater que tellement de pays ont à la fois des taux de propriété très élevés et des meurtres à zéro.

    Conclusion

    Cette étude montre comment les meurtres aux États-Unis sont fortement concentrés dans de très petites régions. Peu d'appréciation de la part des États-Unis n'a pas de meurtre chaque année. Le meurtre n'est pas un problème national. C'est un problème dans un très petit ensemble de zones urbaines, et toute solution doit réduire ces meurtres.

    http://www.zerohedge.com/news/2017-05-01/51-murders-us-come-just-2-counties

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