- ENTREE de SECOURS -



samedi 15 avril 2017

La tournée des grands ducs

D'après RT*, il y aurait un fort pourcentage d'internautes inquiets/effrayés par les actualités d'éventualités rapprochées de (3è) guerre mondiale imminente;  or, sachant qu'il y a 1°) plus de 90 % de la population mondiale qui vit dans l'hémisphère Nord (et donc moins de 700 millions dans l'hémisphère Sud) et, 2°) sachant qu'en 'UE' on y rentre 'comme dans un moulin' (à ne pas confondre avec un platane au bord de la route !) et que, ni la France, ni l'Allemagne (entr'autres) n'ont été capables de dire combien il y a (de dizaines ? de centaines ?) de millions d'immigrés qui sont venus !... il y a donc, 3°) et oui c'est une constatation ! tout de réuni de nos jours pour que cette '3è Guerre Mondiale' ait lieu (sans prévenir car ce n'est pas '4,3,2,1, top !') dans ce qui concerne le projet programmé de dépopulation (cher à Bill Gates) demandé/espéré et mis en place pour passer le monde actuel de plus de 7 milliards d'habitants (dont 280 millions de surdoués) à... seulement 500 000 !

Mais comment se fait-il que ?!

Suffit de remplacer les milliards de billets (de monnaies) inutiles qui ne représentent EN RIEN leur équivalence en réserves d'or par encore une supercherie de fabrication de fortune grâce aux ordinateurs en banques ! DES MILLIONS pour chaque immigrés désireux de bénéficier sans condition d'allocs-à-vie ! Nourris/logés/blanchis gratis !

Pas belle la vie (pour encore 5 minutes ?). Mais, rassurez-vous, à cette guerre, il ne sera pas question de proposer 50 millions pour avoir une place dans un moyen de transport pris d'assaut (car l'argent ne vaut donc: plus rien !) mais seulement faire appel à son intelligence !

Primo: Loi martiale. Fin des communications radio-électriques (IEM ?). Donc là, toutes les voitures s'arrêtent, tout ce qui est électrique de fonctionne plus. En 10 minutes tous les avions s'écrasent.

Secundo: Soit, application de mort subite personnalisée (comme pour les espèces d'oiseaux ou poissons retrouvées morts sans choc ou empoisonnement constaté), voire différence faite grâce aux moyens de reconnaissance (tel. portable, ordis, et tout écran plat). Car, que faire en cas de constatation de décès autour de soi ?... téléphoner ! Téléphone = reconnaissance ! Reconnaissance = mort !
Soit, émanation de gaz toxiques; mais là, il y aurait aussi: morts d'animaux.

Tertio: Comment s'échapper ? A pieds, à bicyclette vers un bateau à voile ou à rames. Pensez à prendre des nécessaires de pêche pour se nourrir en voguant et d'un ustensile pour la désalinisation de l'eau de mer. (récipient sous cloche et loupe pour faire bouillir de l'eau et récupérer la condensation sans sel). Couteau, flingue, bref, c'est vous qui voyez !
PS: Surtout, éviter d'emporter un téléphone/ordi avec vous !

15 commentaires:

  1. Les demandes de renseignement de la France sur les comptes Microsoft chutent


    Julien Lausson


    Microsoft actualise son rapport de transparence. Principal constat de cette mise à jour : les demandes issues des autorités françaises ont fortement chuté par rapport aux précédents semestres.

    C’est un rituel désormais bien rôdé. Deux fois par an, Microsoft effectue le bilan des demandes issues des autorités administratives ou judiciaires du monde entier, dans le cadre de son rapport de transparence, afin que chacun puisse savoir, au moins sur le plan statistique, ce qu’il en est sur la nature des requêtes qui lui sont adressées et dans quelles proportions il les accepte — ou les rejette.

    Pour le second semestre 2016, le bilan général est à la baisse en ce qui concerne la France. En effet, entre juillet et décembre de l’année dernière, le nombre de requêtes provenant de l’Hexagone s’est établi à 3 716, contre 5 045 six mois auparavant. Il s’agit du seuil le plus bas jamais atteint depuis que l’entreprise américaine publie ses rapports de transparence, une pratique qui a commencé début 2013.

    La situation française pour le second semestre 2016.

    Concernant nombre de comptes/utilisateurs, le constat est le même : on assiste à une chute notable des statistiques : il n’y a eu « que » 4 918 comptes/utilisateurs visés sur la dernière période, contre 7 068 pour le premier semestre 2016. Ici aussi, jamais le plancher n’avait été aussi bas. Jusqu’à présent, les chiffres semestriels se situaient plutôt entre 6 400 et 8 600.

    Dans les deux cas, le reflux a débuté après le pic constaté au second semestre 2015, période où ont eu lieu les attentats du 13 novembre. Les faits tragiques survenus dans la région parisienne avaient naturellement conduit les services de sécurité et la justice à travailler d’arrache-pied pour identifier les complicités et empêcher d’autres possibles actions similaires.

    Au second semestre 2016, Microsoft déclare qu’il n’a livré aucun contenu aux autorités françaises.

    Par contre, la société américaine a fourni des informations périphériques au sujet de certains comptes, comme l’identifiant, le numéro d’identification numérique, le prénom, le nom, la région, le code postal, l’État, le fuseau horaire, l’adresse IP utilisée lors de l’inscription, la date et l’heure lors de l’inscription, le genre et la dernière adresse IP utilisée lors de la connexion.

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  2. Ces éléments ont été communiqués dans 56,54 % des dossiers que Microsoft a dû traiter. C’est un peu moins que lors du précédent semestre (57,24 %).

    Le reste se compose de demandes pour lesquelles il n’a pas été possible de trouver la moindre donnée (16,77 %, contre 15,62 % six mois auparavant) et de requêtes qui ont été rejetées (26,7 %, contre 27,14 % au premier semestre) parce que le formalisme, la procédure ou la légalité de la demande n’a pas satisfait les critères établis par la firme de Redmond.

    CERTAINS CONTENUS ONT ÉTÉ DÉVOILÉS DANS LE CADRE DES DEMANDES D’URGENCE

    Microsoft ajoute qu’il lui arrive de donner suite à des demandes dites d’urgence, quand la société considère que « la divulgation est nécessaire pour éviter une situation d’urgence impliquant un danger de mort ou de blessures graves à une personne », comme un suicide ou un attentat.

    51 requêtes ont été produites pour 37 comptes/utilisateurs. Dans 6 cas, des données de contenu (comme l’historique d’une conversation ou des mails) ont été livrées aux autorités. 13 autres dossiers ont aussi été validés par Microsoft, mais ceux-ci n’ont débouché que sur une divulgation partielle du contenu du compte, avec seulement des informations périphériques.

    Microsoft a aussi indiqué le volume des requêtes adressées par la France pour retirer un contenu. Il y a eu un total de 125 demandes et l’entreprise américaine est intervenue dans 88 % des cas (soit 110 demandes). Leur nature n’est pas précisée ; on peut imaginer que ces sollicitations étaient en lien avec des contenus illicites au regard de la loi, comme des médias à caractère terroriste, pédopornographiques ou négationniste.

    Au sujet du droit à l’oubli, l’entreprise a reçu 1 127 demandes venues de France pour un total de 4 126 adresses. Ici, seules 20 % des demandes ont été validées : 820 adresses ont été retirées de son moteur de recherche, 3 304 autres sont toujours visibles, dans Bing, soit parce que les demandes sont invalides, soit parce qu’elles risqueraient de remettre en cause le droit à l’information.

    En nombre de requêtes, la France est l’un des pays qui sollicite le plus Microsoft. D’ailleurs, l’entreprise américaine remarque que l’Hexagone a généré, avec les États-Unis, l’Allemagne et le Royaume-Uni, 71 % des demandes du second semestre 2016. Six mois auparavant, la France était aussi dans le top 4 des pays les plus actifs. Mais la tendance étant à la baisse, la France devrait s’éloigner progressivement du podium.

    http://www.numerama.com/politique/249444-les-demandes-de-renseignement-de-la-france-sur-les-comptes-microsoft-chutent.html

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  3. Un monde orwellien ? On y arrive …

    le 15 avril 2017

    À Stockolm, ville qui vient de faire l’actualité avec un attentat terroriste, il existe un grand « incubateur » de start-up appellé Epicenter. Dans cet endroit high-tech où plus de 100 « créateurs » se cotoyent quotidiennement gérer les entrées et sorties de quelques 2000 personnes, l’utilisation des photocopieuses et des machines à café posait quelques problèmes aux managers. Il a fallu imaginer un système personnalisé pour que chacun puisse avoir un accès hiérarchisé à chaque pièce et autres équipements du centre. Il n’a pas fallu beaucoup de temps pour trouver une solution : littéralement transformer en cyborgs quelques volontaires pour évaluer la faisabilité du projet. Rien de plus simple, il a suffi d’implanter une « puce » au niveau de la main entre le pouce et l’index, sous la peau, à l’aide d’un implanteur spécial qui propulse un objet bourré d’électronique de la taille d’un grain de riz.

    - voir photo de 'puce RFID' sur site -

    Plus de 150 personnes se sont portées volontaires pour expérimenter cet équipement qui permet d’ouvrir une porte sans contact en approchant seulement la main d’un boitier spécial, de débloquer la photocopieuse, et le cas échéant de transmettre par blue-tooth le mot de passe de son ordinateur.

    La technologie utilisée est identique à celle des cartes de crédit « sans contact » de plus en plus conseillées par les banques car elles ne s’usent pas. Ce système de puces implantables est déjà répandu pour les animaux de compagnie dans certains pays. Les capacités de stockage sont considérables puisqu’elles peuvent atteindre jusqu’à 12 Giga. Autant dire que toutes sortes de données peuvent être stockées, que ce soient des renseignements médicaux, des coordonnées bancaires …

    Il suffira à chaque « syborg » de poser sa main sur un récepteur dédié à cet effet pour ouvrir son ordinateur, de faire le même geste dans un aéroport pour décliner son identité digitale ou l’image des iris de ses yeux, comme cela est systématique par exemple dans les terminaux internationaux des aéroports japonais. Bref, un jour ou l’autre la main sera utilisée pour commander le chauffage de sa maison ou pour démarrer sa machine à café. Nous finirons par perdre tout un pan de notre identité, quel bel avenir …
    Note. À propos de l’attentat au camion fou qui a eu lieu à Stockolm il faut souligner qu’il existe dans les faubourgs de cette ville, par ailleurs très belle, des zones de non-droit comme en Seine-Saint-Denis où ni la police, ni les ambulances ou les pompiers et encore moins les taxis osent pénétrer. Qu’un attentat terroriste dans le centre de la ville ait été perpétré par des individus qui vivent dans ces zones de non-droit me paraît improbable. Ou bien il devient de plus en plus difficile de comprendre ce que veulent les minorités musulmanes d’Europe Occidentale, sinon déstabiliser les démocraties qui ont mis des millénaires à être ce qu’elles sont aujourd’hui. Le seul grief qui peut être reproché par ces minorités au sujet de la Suède est que ce pays est membre de l’OTAN.

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2017/04/15/un-monde-orwellien-on-y-arrive/

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    1. C'est aussi un moyen piratable par n'importe qui pour tuer n'importe qui à distance !

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  4. Cet additif alimentaire dont on ignore encore les effets sur la santé


    LES ECHOS Le 15/04 à 10:02



    Après la mise en évidence du rôle de l’E171 dans l’apparition de lésions pré-cancéreuses chez le rat, l’Agence nationale de sécurité sanitaire aimerait en connaître les effets chez l’être humain.

    « E171 » : voilà un colorant que vous trouvez sur certaines boîtes dans les placards de votre cuisine ou de votre salle de bain. Et pour cause, ce dioxyde de titane est utilisé pour blanchir ou opacifier des dentifrices, confiseries ou plats préparés.

    C'est ce produit, composé en nanoparticules, sur lequel l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses) a appelé cette semaine à étudier les effets sur la santé. Une étude précédente ayant mis en évidence son rôle dans l'apparition de lésions pré-cancéreuses chez le rat. L'Anses, toutefois, estime qu'il est prématuré de remettre en cause les conclusions rassurantes de l'Union européenne sur ce produit, car on ne peut pas encore « conclure » à des effets sanitaires chez l'être humain.

    Saisie par les ministères

    En septembre 2016, l'Autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa), l'agence de l'Union européenne chargée de l'évaluation des risques dans le domaine des denrées alimentaires, avait en effet conclu que les expositions actuelles des consommateurs au E171 via l'alimentation n'étaient « pas de nature à entraîner un risque sanitaire ».

    L'Anses a toute même été saisie en janvier 2017 par les ministères de l'Économie, de la Santé et de l'Agriculture pour déterminer si ce produit « présente un éventuel danger pour les consommateurs ». Une saisie motivée par la publication d'une étude de l'Institut national de la recherche agronomique concluant que l'exposition chronique au E171 favorisait la croissance de lésions pré-cancéreuses chez le rat.

    L'étude de l'Inra « met en évidence des effets qui n'avaient pas été identifiés auparavant, notamment des effets promoteurs de la cancérogénèse », souligne l'Anses dans un communiqué, après avoir mené une « étude critique » de cette publication. Mais ses résultats « ne permettent toutefois pas de conclure sur les effets du TiO2 [dioxyde de titane, NDLR] sur l'homme », ajoute l'Anses. Aussi, elle « souligne la nécessité de conduire (...) les études nécessaires à la parfaite caractérisation des effets sanitaires potentiels liés à l'ingestion » de cet additif.

    150 produits concernés

    « Face à ce nouveau signal d'alerte », le gouvernement français « doit enfin prendre ses responsabilités » et « interdire l'additif E171 » dans l'alimentation, a réagi de son côté l'association Agir pour l'environnement, qui a listé 150 produits contenant ce colorant. « À la lecture de l'avis de l'Anses, l'urgence n'est plus d'informer le consommateur mais de le protéger », a-t-elle ajouté, jugeant que « l'inaction du gouvernement engage désormais sa responsabilité pénale ».

    L'association souligne aussi que la ministre de l'Environnement Ségolène Royal avait annoncé en février dans un tweet qu'elle signerait dans la semaine un arrêté « sur l'étiquetage des nanomatériaux dans les produits alimentaires », mais que cette annonce n'a pas été suivie d'effet. Contacté par l'AFP, le ministère a assuré que cet arrêté serait publié prochainement.

    https://www.lesechos.fr/industrie-services/pharmacie-sante/0211969792714-cet-additif-alimentaire-dont-on-ignore-encore-les-effets-sur-la-sante-2080041.php

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    1. Alors que personne ne voudrait faire encore de différence gustative entre un œuf de poule d’élevage et un œuf de poule de ferme, il est recommandé aux femmes enceintes de ne pas boire d’alcool ou prise de drogue durant leur grossesse !

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  5. Le profil du «présidentiable»


    MYRET ZAKI
    RÉDACTRICE EN CHEF DE BILAN
    5 Avril 2017



    Nous assistons, ces temps, à l’américanisation de l’élection présidentielle en France. Quelques mois après le match Clinton-Trump, la France nous sert en pâture le passé, le présent, l’être et l’avoir de chaque candidat dans les médias, ce qui serait une excellente chose si ces informations n’étaient exploitées à des fins aussi politiciennes. Souvent ressort la question de qui possède, parmis ce fatras, l’étoffe d’un «présidentiable». Alors, s’il fallait dresser en creux le profil de celui qui éviterait les pièges du mauvais buzz, de la parole qui tue, de l’affaire de trop, que ferait ce candidat «idéal»?

    - Pour commencer, il vérifiera chaque mot, chaque information donnée. En 2017, l’improvisation n’est plus une option en politique. Les contre-vérités ne sont que trop aisément relevées par le premier twittos venu. On peut répliquer que les inexactitudes n’ont pas empêché Donald Trump d’être élu. Mais c’est parce que son constat premier, lui, était parfaitement juste: l’Amérique va mal, la globalisation y a fait trop de perdants, clairement oubliés par le camp démocrate.

    Ce constat était à lui seul si juste que ces perdants de la globalisation ont fermé les yeux sur toutes ses autres approximations, afin d’élire celui qui s’adressait à eux. Les mêmes mécanismes semblent opérer jusqu’ici avec Marine Le Pen. Mais la victoire de Trump était courte, et se faire épingler à chaque prise de parole peut achever de compromettre une popularité durement gagnée. Notre candidat, lui, ne sera donc jamais pris en train d’affirmer gratuitement un fait inexact. Trop bête.

    - Il n’utilisera aucun terme à potentiel péjoratif à l’égard d’un groupe social. «Je ne suis pas autiste», expression qui existe dans le langage commun, a valu à Fillon la dénonciation de SOS Autisme France. Un mauvais buzz de plus. Certes, durant un débat télévisé, une prise de précaution élevée serait de nature à freiner le débit du candidat et à l’inciter à un langage aux intonations trop officielles et politiquement correctes: mais oui, ressembler à François Hollande, c’est le prix à payer. Être ennuyeux plutôt qu’être condamné.

    - Dans cette liste figure aussi le passé. Le passé juridique, en particulier. Avoir bénéficié de faveurs ou abusé de près ou de loin de sa fonction, avoir laissé des procédures en justice non réglées, avant de se lancer à la course à la présidentielle, est inconcevable. Qui peut sérieusement entrer dans le jeu politique sans avoir neutralisé toutes les casseroles exploitables par ses adversaires? Qui peut laisser disponibles des faits compromettants, faciles à obtenir pour ses ennemis et à faire fuiter dans la presse? Le candidat avisé va donc se munir d’une armée d’avocats, pour procéder à un nettoyage approfondi concernant toutes situations délicates antérieures, et traces physiques ou électroniques de celles-ci.

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  6. - Le risque de surveillance des communications est réel. Un candidat qui veut vraiment échapper au scandale parlera pour ne rien dire au téléphone. Idem pour toutes ses apparitions sur photo et vidéo : le privé n’existe plus, en ce qui le concerne. Il fera aussi en sorte de régler ses dossiers médicaux et d’avoir des attestations de bonne santé physique et mentale, même s’il croit qu’elles resteront aux seules mains de son médecin.

    - Faire preuve de discernement lorsqu’on parle de salaire, de niveau de vie des Français. Affirmer qu’on a vécu dans la précarité avec 1000 euros par mois, comme l’a fait Macron, relève du syndrome «Marie-Antoinette». Désastreux. Fillon, face aux complaintes du personnel soignant d’une maison de retraite, s’est lancé dans des explications macroéconomiques, quand dans ces moments seule l’empathie comptait.

    Qui veut encore être président?

    http://www.bilan.ch/myret-zaki/redaction-bilan/profil-presidentiable

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    1. Rassurez-vous, personne dans ces ‘présidentiables’ ne parle d’instaurer en France la première Démocratie ! Devinez pourquoi !

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  7. C’est le moment de changer ses euros contre des francs suisses


    PAR MYRET ZAKI
    ELECTIONS FRANÇAISES
    13 Avril 2017


    Vendre ses euros pour acheter des francs préventivement fait sens à court terme, estime le chef économiste de Swissquote, qui n’exclut pas une chute importante de l’euro entre les deux tours de l'élection française.

    «A moins de croire réellement à une victoire de Marine Le Pen au second tour, le risque sur l’euro est en fait limité.»


    L’élection présidentielle française fait trembler le porte-monnaie de nombre d’épargnants français et par extension européens, qui s’interrogent, à l’heure actuelle, s’ils ne devraient pas vendre leurs euros avant le premier tour du scrutin, qui a lieu le 23 avril, pour se réfugier en francs suisses. Bien d’autres sont déjà passés à l’acte, et la valeur du franc n’est restée sous les 1,06 qu’à la faveur des interventions massives de la BNS pour l’affaiblir.

    Lire aussi: Présidentielle 2017: un jour en France

    Vendre, donc, ses euros, quitte à les racheter une fois la certitude acquise qu’un candidat favorable à l’euro a le plus de chances de victoire, est une option envisagée par bien des Français, notamment ceux qui travaillent en Suisse.


    Peter Rosenstreich, chef économiste de Swissquote, répond par l’affirmative : «Cela fait sens d’échanger ses euros contre des francs maintenant, de manière préventive. Nous nous attendons à court terme à une appréciation du franc contre la monnaie unique, due à l’incertitude qui plane sur les marchés.» Il cite d’autres stratégies qui ont la cote à l’heure actuelle, comme la vente d’euros contre couronne islandaise ou contre livre sterling, pour diversifier le risque de la monnaie unique.

    Un potentiel choc au premier tour

    Il modère toutefois ce constat : «A moins de croire réellement à une victoire de Marine Le Pen au second tour (ndlr: qui a lieu le 7 mai), le risque sur l’euro est en fait limité.» En effet, poursuit Peter Rosenstreich, même si les sondages sont peu fiables, la probabilité est bonne qu’Emmanuel Macron arrive au second tour, auquel cas sa victoire entraînerait un rebond potentiellement important de l’euro.»

    Dans l’intervalle, les analystes de Swissquote s’attendent à ce que Marine Le Pen crée potentiellement un choc au premier tour, en obtenant davantage de voix que ne l’avaient anticipé la France et les marchés financiers. «Dans un tel scénario, l’euro pourrait tomber à 1,05-1,04 au premier tour, voire à la parité si la surprise est forte. Mais ce mouvement ne sera pas durable si elle ne remporte pas l’élection.»

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  8. Lire aussi: Le profil du "présidentiable"

    Les investisseurs, qui ne peuvent plus croire les yeux fermés aux sondages, ne savent à quelles prévisions se fier. «D’importants capitaux sont d’ailleurs déjà allés se réfugier en francs suisses par peur de l’issue des élections françaises », constate Peter Rosenstreich. L’euro rebondira si, peu avant le second tour, la certitude est acquise que Macron gagnera. «Un trader actif peut donc vendre et racheter des euros dans cette perspective, mais un investisseur de long terme peut conserver ses euros s’il a confiance dans le scénario de base.»

    Peter Rosenstreich ajoute cependant qu’à plus long terme, la pression va se maintenir dans le sens d’une hausse du franc contre l’euro, notamment en raison de la complexité des négociations entre l’UE et la Grande-Bretagne sur le Brexit. Du point de vue de l’investisseur, le franc restera donc probablement la première monnaie refuge.

    Une situation qui n’arrangera pas la Banque nationale Suisse (BNS), qui se trouve contrainte à intervenir constamment depuis la fin du taux plancher (janvier 2015), gonflant de plus en plus son bilan, qui détient plus de 300 milliards d’euros à l’heure actuelle: «La BNS devrait envisager de cesser ses interventions, estime Peter Rosenstreich. Certes, cela compliquerait la donne pour la compétitivité de l’économie helvétique. Mais l’alternative, à savoir le fait de grossir son bilan encore davantage, implique des questions de crédibilité du franc suisse et d’hyperinflation, à terme.» Un dilemme auquel, peut-être, la BNS pourrait échapper si l’euro devait, en cas de confirmation du retour de l’UE aux politiques de relance par des dépenses publiques, se rétablir durablement.

    http://www.bilan.ch/argent-finances-plus-de-redaction/cest-moment-de-changer-euros-contre-francs-suisses

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  9. Surdoués : mais qu'est-ce qui caractérise finalement les personnes "les plus intelligentes" ?


    le 15 Avril 2017


    Ce n’est pas parce que votre enfant ou vous-même êtes brillants ou talentueux que vous êtes surdoués. Et ce n’est pas parce que vous êtes surdoués que vous êtes malheureux. Le vrai surdoué a un QI supérieur à 125, un fonctionnement intuitif, et une bonne insertion sociale. La souffrance n’est pas un critère, mais juste le signe que le surdoué a besoin – comme tout le monde – d’une thérapie. Béatrice Millêtre remet les pendules à l’heure ! Extrait de l'ouvrage "Le livre des vrais surdoués" de Béatrice Millêtre, publié aux Éditions Payot.

    Ça se mesure l’intelligence ? Le principe de la mesure de l’intelligence1 a été établi dans les années 1900 par Alfred Binet et Théodore Simon. À cette époque, et il faut se replacer dans ce contexte précis, on s’est demandé comment établir un test quantitatif. La question immédiatement consécutive a été de savoir qui étaient les personnes les plus intelligentes, et ce qui les caractérisait. La réponse a été : « Celles qui ont fait des études. » Le but premier était de mesurer l’« arriération », afin d’orienter les enfants concernés dans des classes de per- fectionnement.

    Le principe du test est de proposer des items de diffi- culté progressive : sur 30 questions, l’« idiot » ne réussit que les 6 premières, l’« imbécile » les 12 premières. Ce principe est conservé dans les tests actuels. Binet n’a, quant à lui, aucune intention de mesurer l’intelligence des personnes normales : « Nous arrêtons ici la liste des tests que nous avons utilisés. Il eût été facile de les continuer en les compliquant, si on avait voulu faire une hiérarchie parmi les enfants normaux. On pourrait même étendre l’échelle jusqu’à l’adulte normal, jusqu’au normal intelligent, très intelligent, hyperintelligent, et mesurer, ou du moins essayer de mesurer le talent et le génie. Nous remettons à une autre occasion cette étude difficile2. » Mal reçu en France, c’est aux États-Unis que le test a eu le plus de succès, notamment auprès des candidats à l’immigration, puis aux conscrits. Intervient alors le calcul qui conduit à la notion de quotient intellectuel, ce qui n’était pas le propos de Binet. S’ensuit un développement massif, avec l’âge d’or des statisticiens et des calculs de plus en plus complexes. Les items cessent d’être représentatifs d’un âge (répéter deux chiffres à 3 ans), mais permettent l’accumulation de points, que l’on fait correspondre à des niveaux d’âge. La notion d’âge mental est ensuite abandonnée au profit de l’efficience. Tous les tests actuels sont les héritiers, modifiés, de ces tests centenaires. À l’heure actuelle, les tests les plus utilisés sont ceux de Weschler. On s’accorde à penser qu’ils permettent de situer l’in- dividu sur une courbe statistique de répartition de la population générale, selon le principe de la courbe de Gauss, correspondant à ce que l’on appelle en mathé- matiques la « loi normale » de répartition. Dans la population, 66 % obtiennent un QI compris entre 85 et 115 ; 5 % ont un QI supérieur à 125 ; 2,5 % ont un QI supérieur ou égal à 130 et 0,13 % supérieur à 145.

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  10. Il s’agit d’une échelle composite d’efficience intellectuelle qui permet de comparer les résultats d’un sujet par rapport à la moyenne des individus de sa tranche d’âge. Il donne une évaluation globale du fonctionnement intellectuel en termes de langage, raisonnement, orga- nisation spatiale, mémoire, rapidité d’exécution dans le traitement d’informations. Le test est constitué de différents sous-tests composés d’un certain nombre de questions : à chaque question est attribué un nombre de points, si bien que plus on répond, plus on obtient de points. Le total est trans- formé, en fonction de l’âge de la personne en une note de 1 à 19. La moyenne d’une même classe d’âge se situe entre 8 et 12, avec un médian à 10. Sont regroupées en indices, les questions d’une même catégorie. Quatre indices sont aujourd’hui utilisés : l’indice de compréhension verbale (langage), l’indice de raisonnement perceptif (logique visuelle), l’indice de mémoire de travail (mémorisation de chiffres et de lettres) et enfin l’indice de vitesse de traitement (report d’une figure dans une liste).


    La moyenne du QIT et des quatre indices est de 100. Les résultats chiffrés obtenus aux sous-tests ne sont pas des notes, mais des indices qui évaluent l’individu par rapport à ce qui est attendu des personnes de son âge. Le résultat permet de situer les individus selon leur niveau d’intelligence. Le résultat de ce test est exprimé par un quotient intellectuel (QI) dont la moyenne est de 100. Cela veut dire que le quotient intellectuel moyen dans la population générale se situe à 100. Les individus se situant entre 110 et 129 sont considérés avec une intelligence moyenne forte à supérieure et ceux qui ont une intelligence égale ou supérieure à 130 sont considérés comme très supérieurs.

    Les individus se situant entre 90 et 110 sont considérés avec une intelligence moyenne. Les individus se situant entre 70 et 90 sont considérés avec une intelligence faible à moyenne faible. En dessous de 70, l’intelligence de l’individu est considérée comme faible. Il en existe trois versions, l’une pour les enfants en dessous de 6 ans (le WPPSI, ou échelle d’intelligence de Weschler pour la période préscolaire et primaire), pour les enfants entre 6 et 17 ans (WISC3 ou échelle d’intelligence de Weschler pour les enfants) et pour les adultes à partir de 16 ans (WAIS ou échelle d’intelligence de Weschler pour adultes).

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  11. Le principe est de dire que les individus ayant répondu à plus de questions ont un QI plus élevé que ceux qui ont répondu à moins de questions. Un certain nombre de problèmes se posent lorsqu’il s’agit des surdoués4. Le premier est le principe de la répétition des items, jusqu’à ce que vous ne sachiez plus répondre. N’oubliez pas que la routine vous est difficile. Il devient, dès lors, compliqué de répondre à la suite à une série de questions similaires. Je prendrai pour exemple le sous-test de mémorisation dans lequel il vous est demandé de restituer une liste de chiffres que vous énumère le psychologue : vous commencez par une liste de 2 chiffres et pouvez aller jusqu’à 9, en augmentant de 1 à la fois, avec deux listes à chaque fois. Par exemple : 2-9 puis 5-7 puis 3-4-7 puis 4-8-1 puis 4-6-3-2 puis 5-3-1-7 et ainsi de suite, ce qui est, reconnaissons-le, au bas mot « casse-pieds ». Pour le surdoué, cela en devient difficile, et nombre d’entre eux refusent finalement de continuer. Le second est que si le test initial de Binet était conçu comme un outil de dépistage de l’« arriération » dans un but thérapeutique, le test de Weschler, lui, est connu, par le grand public, comme un test de mesure de l’intelligence, et même de l’Intelligence, avec un grand « I ». Les personnes qui désirent le passer le font, à l’évidence, avec une raison, raison en lien avec l’intelligence, sur laquelle, bien souvent, ils ont des doutes, et veulent ainsi faire du mieux qu’ils peuvent. Tant et si bien qu’ils finissent par ne pas donner les réponses attendues. En effet, il est évident pour eux qu’ils doivent donner une réponse « intelligente », et il ne leur vient pas à l’esprit que ce qui est attendu n’est qu’une réponse « basique ». Si vous leur demandez de vous donner la définition du mot « pomme », vous pouvez être assuré de voir le processus suivant dans leurs yeux : « Une pomme, bon bon bon, que faut-il que je réponde ? La définition ? Cela veut donc dire “définir”. Si un extraterrestre arrivait sur Terre, comment lui expliquerais-je ce que c’est ? Eh bien, un objet rond, avec un petit trou en haut portant éventuellement des feuilles, un petit creux en bas ; il y en a des rouges, des vertes, des jaunes, et c’est comes- tible. » Avec cela, ils obtiendraient le score de… zéro, car la réponse attendue est : « Un fruit !


    1. Voir à ce sujet : Michel Huteau, « Alfred Binet et la psychologie de l’intelligence », Le Journal des psychologues, 234, 1, 2006, p. 24-28.

    2. A. Binet et T. Simon, « Méthodes nouvelles pour le dia- gnostic du niveau intellectuel des anormaux », L’Année psycholo- gique, 11, 1904, p. 191-244, spécialement p. 233.

    3. Voir à ce sujet les deux livres d’Éric Turon-Lagot, WISC-IV. 1 : Une mesure des manifestations de l’intelligence chez l’enfant, L’Isle- Adam, Éric Turon-Lagot, 2015 ; WISC-IV.

    2 : L’expression des compétences cognitives et de leurs troubles chez l’enfant et l’adolescent : études de cas, L’Isle-Adam, Éric Turon-Lagot, 2016.

    4. M. Pereira-Fradin, X. Caroff et A.-Y. Jacquet, « Le WISC- IV permet-il d’améliorer l’identification des enfants à haut poten- tiel ? », Enfance, 2010, 1, 2010, p. 11-26.

    Extrait de l'ouvrage "Le livre des vrais surdoués" de Béatrice Millêtre, publié aux Éditions Payot

    http://www.atlantico.fr/decryptage/surdoues-mais-qu-est-qui-caracterise-finalement-personnes-plus-intelligentes-3018272.html#LlMTW81PUbc2OSGP.99

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    1. Faites simplement le test de demander aux ‘présidentiables’ pourquoi si la glace des pôles venait à fondre le niveau des océans monterait-il ?

      Et, depuis des millions d’années, des milliards de km3 d’eaux (de pluies, fleuves & rivières) se sont déversés dans les océans… sans que leur niveau ne s’élève !!!! Çà alors, monsieur le président, (vous qui seriez intelligent) expliquez-nous pourquoi ?

      Pourquoi aussi en décembre à Paris au COP21 les scientifiques ont été interdits d’entrer au ‘COP21’ ou même de manifester à l’extérieur !!

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