- ENTREE de SECOURS -



dimanche 6 novembre 2016

Hillary Clinton présidente : scénario !

le 6 novembre 2016


Il suffit de 5 fusées nouvelle génération à la Russie au cas où elle soit attaquée par les USA pour vitrifier en moins d’une heure l’ensemble de l’Europe, alliée indéfectible des USA dans le cadre de l’OTAN. Chaque missile contient dans son ogive 12 bombes thermonucléaires chacune d’une puissance destructrice équivalant à 30 bombes larguées sur Hiroshima en 1945 et commandées précisément pour atteindre toutes les grandes villes d’Europe occidentale presque simultanément. Ces fusées ne pourront pas être interceptées par les systèmes anti-missiles disposés par les forces d’ l’OTAN tout près de la frontière de la Russie en raison des systèmes de brouillages mis au point pour les neutraliser. Les forces armées américaines ont déployé sur le sol européen impunément sans qu’un quelconque Parlement n’ait été consulté pas moins de 2000 systèmes dits « tactiques » car il faut faire une distinction entre les armes atomiques tactiques et les armes stratégiques, une nuance que mes lecteurs apprécieront avec toute sa saveur apocalyptique …

Bref, si les électeurs américains optent pour la Miss Clinton, la championne mondiale toutes catégories dans le domaine de la corruption, l’Europe, alliée servile des USA, sera le première cible de la Russie. Il faut espérer que cette personne, alias Hitlery le surnom que lui a attribué Paul Craig Roberts, n’osera jamais titiller Monsieur Poutine car alors il en serait également terminé du territoire américain car une trentaine de sous-marins russes croisent dans les océans Pacifique et Atlantique avec à bord chacun trente missiles, balistiques cette fois, chargés chacun de six bombes commandées chacune pour détruire autant de villes importantes. Faites le compte, ça fera beaucoup de morts …

Dans les méninges d’Hitlery Clinton Vladimir Poutine est un mangeur d’enfants comme Khadaffi (dont elle a organisé l’assassinat lorsqu’elle était secrétaire d’Etat) et comme Saddam Hussein qu’il faut éliminer comme ces derniers. C’est la réthorique devenue habituelle au Département d’Etat américain. La Suisse, pays neutre ne faisant pas partie de l’OTAN, un îlot de paix et de démocratie au milieu d’une Europe servile et corrompue, a vivement encouragé ses citoyens à constituer des réserves dans leurs abris anti-atomiques datant de la « Guerre Froide » et dont de nombreuses demeures sont encore équipées. J’en ai visité un chez des amis il y a quelques années près de Sion dans le Valais et je peux affirmer ici que c’est bien la réalité. N’y a-t-il pas toutes les raisons de s’affoler ?

Si Donald Trump est élu, ce qui est dans l’ordre des choses possibles, comme il l’a dit il remettra de l’ordre dans la politique étrangère délirante des USA. Finies les interventions dans quelques 14 pays du monde à l’aide de drones et d’un tissu d’espions qui tous coûtent une fortune au contribuable américain, finis les mensonges à répétition comme les armes de destruction massive d’Hussein ou encore ceux relatifs au vol MH17 ou encore les hackers commandités par le Kremlin. Trump pourra alors être auréolé comme le sauveur de l’humanité toute entière et de la majeure partie des espèces animales. Comment se fait-il que l’ensemble des médias dénigrent Donald Trump, un homme d’affaires comme beaucoup d’autres, certainement plus informé que Ronald Reagan, un vulgaire acteur de cinéma de série B qui fut pourtant un excellent président car il sut s’entourer d’un staff de techniciens pragmatiques et lucides.

L’avenir de l’humanité se décidera ce début de semaine prochaine dans les bureaux de vote truqués américains ! Belle perspective.

Sources : Certainement pas les médias main-stream …

https://jacqueshenry.wordpress.com/2016/11/06/hillary-clinton-presidente-scenario/

18 commentaires:

  1. Pour une majorité de Suisses, l'islam n'a pas sa place dans leur pays


    6 nov. 2016, 11:52


    D'après un récent sondage, une nette majorité d'Helvètes considèrent que la religion islamique n'a pas sa place en Suisse, et estiment, en revanche, que les valeurs chrétiennes sont indissociables de l'identité nationale.

    Lire aussi
    REUTERS/Ammar Awad Les députés suisses approuvent l'interdiction de la burqa

    Au pays de Tariq Ramadan, la religion musulmane est loin d'être perçue comme un élément constitutif de la société : d'après un sondage publié dimanche 6 novembre par les journaux suisses Matin Dimanche et SonntagsZeitung, seuls 39% des Suisses approuveraient une reconnaissance de l'islam comme religion officielle.

    Plus significatif : 62% des sondés estiment que l'islam... n'a tout simplement pas sa place en Suisse. Un rejet dont ne souffrent pas toutes les religions : 61% des Helvètes considèrent en effet qu'il ne serait pas judicieux de placer la religion islamique au même niveau que les religions chrétienne et judaïque, et une écrasante majorité d'entre eux (80%) affirment que les valeurs chrétiennes font partie intégrante de l'identité de leur nation.

    Si en Suisse, l'Eglise et l'Etat sont séparés au niveau fédéral depuis le milieu du XIXe siècle, chaque canton règlemente librement son rapport aux institutions religieuses. Ainsi, le Canton de Vaud reconnait l'Eglise catholique et l'Eglise évangélique réformée comme des «institutions de droit public», et leur garantie par conséquent «les moyens nécessaires à l’accomplissement de leur mission». En outre, la Constitution fédérale et l'hymne national suisses incluent de nombreuses références à Dieu.

    Lire aussi : La Suisse oblige les élèves musulmans à serrer la main des enseignantes

    https://francais.rt.com/international/28514-pour-majorite-suisses-islam-

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  2. Le ministère allemand de l’Intérieur aurait proposé de renvoyer les migrants en Afrique


    6 nov. 2016, 10:44


    Le ministère allemand de l’Intérieur a proposé des mesures radicales pour arrêter l'afflux migratoire vers l'Europe : se saisir des migrants directement en mer Méditerranée et les renvoyer en Afrique, selon Welt am Sonntag.

    «Supprimer la perspective d’atteindre la côte européenne par la mer pourrait convaincre les migrants d’éviter un voyage coûteux et périlleux», avance une porte-parole du ministère allemand de l’Intérieur, cité par Welt am Sonntag. «L’objectif est d’éliminer la base du trafic d'êtres humains et de sauver des migrants d’un voyage qui met leur vie en péril», explique la représentante du ministère.

    Selon Welt am Sonntag, l'édition dominicale du quotidien allemand Die Welt, le ministère propose ainsi d'intercepter les migrants en Méditerranée lors de leur voyage vers l'Europe et de les renvoyer en Tunisie, Egypte ou d’autres pays d’Afrique du Nord, d'où ils devront demander l’asile européen. Si ces demandes d’asile sont acceptées, les migrants seront alors prises en charge et transportées en Europe, assure le ministère allemand de l'Intérieur, qui se serait inspiré de l’exemple australien. Dans ce système, les migrants sont captés en haute mer et sont envoyés dans des camps de pays tiers.

    Bien que cette proposition de l'Allemagne ne soit pas encore discutée au niveau de l’Union européenne, des politiciens de l’opposition ont déjà condamné ce projet. Ainsi, le chef du parti d’opposition Die Linke Bernd Riexinger a confié à Welt am Sonntag que cette mesure serait «un scandale humanitaire et un pas en avant vers la suppression du droit d’asile». Selon lui, le traitement australien des migrants est «absolument illégal» et les demandes d’asile doivent être déposées en Allemagne pour que les requérants puissent recevoir une aide juridique.

    Lire aussi : Les experts prédisent une augmentation de l'immigration clandestine vers l'Europe

    Le ministre allemand de l’Intérieur Thomas de Maizière avait déjà exprimé une idée similaire. Le 13 octobre, lors d'une réunion avec ses homologues européens à Luxembourg, il avait déclaré : «Les personnes qui sont sauvées en Méditerranée devraient être ramenées dans des installations d'hébergement sûres en Afrique du Nord. Là-bas, leur besoin de protection serait vérifié et nous mettrions en place un mécanisme de réinstallation en Europe avec des quotas généreux, répartis équitablement entre pays européens.»

    Cette proposition du ministre allemand contredit cependant la politique de porte ouverte à l'immigration promue par Angela Merkel, qui a permis l'entrée de plus d'un million de migrants dans le pays en 2015. Cet énorme afflux migratoire a provoqué de vives critiques envers la chancelière et la percée du parti anti-immigration AfD (Alternative pour l'Allemagne) lors des élections régionales de septembre.

    Angela Merkel a admis des erreurs dans sa politique migratoire mais n’entend malgré tout pas y renoncer. Ainsi, en septembre dernier, elle a déclaré en parlant de la politique migratoire : «Je considère que les décisions que nous avons prises sont les bonnes.»

    https://francais.rt.com/international/28512-ministere-allemand-interieur-propose-renvoyer-migrants-afrique

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  3. Wikileaks, bras armé d'un « coup d'état » silencieux aux USA ?

    Guillaume Borel
    Mondialisation Canada
    sam., 05 nov. 2016 18:55 UTCCarte


    La fuite continue de scandales émanant de Wikileaks et impliquant le couple Clinton semble avoir fait perdre la majeure partie de sa crédibilité à Hillary Clinton qui se retrouverait en cas de victoire, de plus en plus improbable, à l'élection présidentielle en position de justiciable potentielle et privée de légitimité.

    La réouverture de l'enquête du FBI concernant le serveur de mails privé de Mme Clinton s'est ainsi traduite par un décrochement spectaculaire de la candidate démocrate dans les dernières enquêtes d'opinion. Ce énième scandale impliquant l'ancienne secrétaire d'Etat semble avoir achevé d'écœurer une partie de l'électorat américain.

    Un sondage d'ABC / Washington Post, connus pour être des soutiens d'Hillary, publié mardi, c'est à dire après la divulgation de la réouverture de l'enquête du FBI, donne pour la première fois Donald Trump gagnant avec 46% des intentions de vote au niveau national contre 45% pour Hillary Clinton. L'échantillon du sondage d'ABC présente de plus une surreprésentation démocrate, ce qui laisse supposer que l'avance réelle de Donald Trump pourrait raisonnablement être plus conséquente...

    Le même renversement de tendance s'observe dans les « swing states » qui font traditionnellement basculer l'élection. Selon l'institut Real Clear Politics, au 1er novembre, Trump devance Clinton de plus de neuf points dans le Missouri, d'un point en Floride, de quatre points en Géorgie, de presque un point en Caroline du nord, de plus de deux points dans l'Ohio, de plus d'un point en Arizona ainsi que dans l'Iowa. Il est à égalité avec la candidate démocrate dans le Névada. Au total, Trump est ainsi donné gagnant dans sept des seize « swing states » contre huit pour Hillary Clinton...

    Plus inquiétant pour la candidate de Wall Street et des médias, la courbe de tendance des intentions de vote en faveur de la candidate démocrate dans les Etats susceptibles de basculer pour l'un ou l'autre camp, montre un véritable plongeon.

    Le staff de campagne d'Hillary Clinton a ainsi réagi en mode panique à l'annonce de la réouverture de l'enquête concernant son serveur de mails privé, dénonçant une manœuvre « politique » visant à influencer l'élection de la part du directeur du FBI James Comey, relayé par une partie du département de la justice. L'ancien procureur général Eric Holder l'a ainsi accusé de vouloir « jeter le discrédit » sur la candidate démocrate et le Département de la justice, relayé par de nombreux procureurs fédéraux. Pourtant, selon le Daily mail, citant une source « proche de James Comey », sa décision aurait été motivée par le fait : « qu'il ne pouvait plus résister aux pressions venant des agents du FBI et de ses principaux adjoints », elle aurait donc été largement contrainte.

    Selon la même source : « l'atmosphère était devenue toxique au FBI depuis que Jim avait annoncé en Juillet qu'il ne recommanderait pas de poursuites à l'encontre d'Hillary ». Il semble donc que, plus que la décision d'un homme, la réouverture de l'enquête concernant le serveur de mails d'Hillary Clinton soit l'aboutissement de pressions d'une partie de l'appareil de renseignement US opposé au « système de corruption » mis en place par le couple Clinton. C'est ce qu'affirme Steve Pieczenik dans une vidéo publiée par divers sites américains.

    (suite en dessous:)

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  4. Pieczenik fut l'assistant du secrétaire d'Etat américain d'Henry Kissinger ; il a occupé les fonctions de sous-secrétaire adjoint sous les administrations Ford, Carter, Reagan, et Bush; il fut également membre du Council of Foreign Relations jusqu'en 2012. En 2014, il fut accusé par les magistrats italiens enquêtant sur l'assassinat de l'ancien premier ministre Aldo Moro, d'avoir été directement impliqué dans son élimination. Il semble ainsi avoir joué un rôle de premier plan au sein des services et de la communauté du renseignement US, une des composantes essentielles du « Deep state ». Il déclare aujourd'hui que les révélations de Wikileaks sur le couple Clinton ont été fournies à l'organisation par une partie de la communauté du renseignement US, et qu'il s'agit d'un « contre coup d'état » qui répond au système de corruption mis en place par le couple Clinton. Selon lui, les Clinton ont ainsi réalisé un « coup d'état silencieux » en utilisant la corruption et la co-optation, comme je l'avais exposé dans un précédent article à propos du système de collusion mis en place par le staff de campagne d'Hillary Clinton avec les médias mainstream.

    Selon Pieczenik, le système de collusion mis en place par le couple Clinton, pour ce qui concerne les Etats-Unis, touche également le système judiciaire et les grandes agences de renseignement, CIA et FBI. Il cite à ce propos nommément son directeur James Comey. Pieczenik déclare ainsi qu'une partie de la communauté du renseignement s'est organisée en conséquence de manière à réaliser un « contre coup d'état », par l'intermédiaire de Julian Assange et Wikileaks auxquels elle a fourni ses informations. Le degré de corruption et de perversité du système et du couple Clinton a été l'élément déclencheur de ce « contre coup d'état » destiné à « sauver la république ». Il s'agit selon Pieczenik, d'une « seconde révolution américaine » engagée par des « vétérans » et une partie de l'appareil de renseignement US contre un pouvoir qui à leurs yeux a dépassé toutes les bornes de la corruption et de la compromission, notamment par l'intermédiaire de la fondation Clinton.

    Voilà peut-être ce qui explique, malgré l'engagement massif des médias en faveur de la candidate démocrate, d'où Donald Trump tire l'assurance et l'aplomb avec lesquels il ne cesse de dénoncer la corruption du couple Clinton, allant jusqu'à affirmer que toute victoire d'Hillary serait entachée de fraude électorale.

    Une partie du « Deep State » semble avoir lâché Hillary et s'être engagée de tout son poids pour lui barrer la route à la présidence. Si un « coup d'état silencieux » est bien engagé aux Etats-Unis à l'occasion de l'élection présidentielle, les semaines à venir seront sans nul doute historiques.

    Commentaire : Lire aussi :
    Les liens des Clinton et Obama avec les Frères musulmans et les jihadistes
    Hillary Clinton, le FBI et la véritable surprise de novembre
    Wikileaks : Le gouvernement de l'Arabie saoudite et celui du Qatar ont financé Daesh

    https://fr.sott.net/article/29320-Wikileaks-bras-arme-d-un-coup-d-etat-silencieux-aux-USA

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    1. Malgré que les juges de la Cour suprême aient déclaré que le '...' étant né au Kenya ne peut être le président, il l'a pourtant demeuré 8 ans !!!
      (c'est Tour n°7)

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  5. Le CETA pourrait être mis à mal par un référendum aux Pays-Bas


    6 nov. 2016, 10:11


    Signé il y a tout juste une semaine, le traité de libre-échange euro-canadien pourrait déjà rencontrer un écueil : un référendum néerlandais, qui sera organisé si les militants anti-CETA parviennent à réunir 300 000 nouvelles signatures.

    Après l'opposition wallonne, la «résistance» néerlandaise ? Samedi 5 novembre, a notamment rapporté la presse belge, des militants des Pays-Bas affirmaient avoir réuni près des deux-tiers des signatures qui imposeraient à leur gouvernement d'organiser un référendum sur le Ceta – l'accord de libre-échange signé dimanche 30 octobre.

    La pétition en question avait été lancée en octobre 2015, mais est revenue sur le devant de la scène lors des dernières semaines de négociations du traité, atteignant ce weekend près de 200 000 signatures, sur les 300 000 requises pour aboutir à l'organisation d'une consultation nationale. Néanmoins, dans le cas où la pétition atteignait ce seuil, il faudrait attendre plusieurs mois pour que le référendum soit mis en place par les autorités.

    Ce type de procédure a pour autant déjà fait ses preuves – un référendum d'initiative populaire néerlandais, voté en avril dernier, étant parvenu à contraindre le gouvernement des Pays-Bas à renégocier un accord d'association entre l'Union européenne (UE) et l'Ukraine.

    Conclu par les dirigeants européens et canadiens après avoir concédé un certain nombre de compromis à la région belge de Wallonie, qui manifestait de vives inquiétudes à son sujet, le CETA prévoit une suppression de 99% des droits de douane entre l'UE et Ottawa. Jusqu'à sa ratification par les parlements des Etats-membres de l'UE et du Canada, les pays qui le souhaitent pourront l'appliquer de manière partielle et provisoire. Les détracteurs de ce texte reprochent à celui-ci, notamment, d'accorder trop de liberté aux multinationales vis-à-vis des Etats.

    Lire aussi : Bruxelles : plusieurs centaines de jeunes organisent une manif sauvage contre le CETA

    https://francais.rt.com/economie/28510-pays-bas-ceta-pourrait-faire-objet-referendum

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  6. Comment devenir prof de maths après 10 minutes d'entretien


    France Info
    sam., 05 nov. 2016 19:49 UTC


    Malgré son manque d'expérience et des entretiens ratés, Paul Sanfourche a réussi à se faire engager comme enseignant contractuel. De quoi mettre en lumière les importants besoins de recrutements dans certaines matières.

    Les professeurs remplaçants de vos enfants ont-ils tous le niveau requis pour enseigner ? Dans son édition du jeudi 3 novembre, "Envoyé spécial" s'est penché sur le recrutement des contractuels, appelés à intervenir lorsque des enseignants sont absents.

    Franceinfo a interrogé Paul Sanfourche, le journaliste auteur de l'enquête, qui explique comment il est devenu professeur de mathématiques pour une classe de collège, une semaine seulement après son entretien d'embauche. Le tout sans maîtriser cette matière.

    Franceinfo : Quelle a été votre démarche pour devenir professeur ?

    Paul Sanfourche : Les professeurs contractuels sont recrutés sur la base d'un dossier avec CV, envoyé au rectorat. Ils passent ensuite un entretien, un petit test pour savoir s'ils sont compétents. Ils postulent à la fois pour le collège et le lycée. Au total, j'ai envoyé une douzaine de candidatures, dans quatre matières, et j'ai été embauché comme prof deux fois, en français et en mathématiques.

    Comment avez-vous réussi à être recruté ?

    La première fois, j'ai postulé en français à l'académie de Créteil, celle où les besoins sont les plus importants (avec Versailles). J'avais envoyé mon véritable CV, avec ma véritable identité, en me présentant comme un journaliste en reconversion. Je n'avais pas le diplôme parfait, j'ai fait des sciences politiques plutôt que des lettres, mais ce n'était pas totalement hors de ma portée.

    Lors de mon entretien avec un inspecteur académique, j'ai d'abord dû expliquer pourquoi je voulais devenir enseignant. Il y a eu une discussion de 40 minutes sur le programme, sur comment je comptais enseigner telle ou telle thématique à une classe. Là, j'ai bien ramé. Et puis, il y a eu une discussion sur l'orthographe et la grammaire. On m'a parlé de sujets que je n'avais pas révisés : on m'a, par exemple, demandé de placer une proposition subordonnée de concession et je me suis complètement planté. C'était vraiment un entretien de qualité. Je pense d'ailleurs que mon interlocuteur a vu que je n'étais pas au point. Pourtant, à la fin, il m'a sélectionné. Sans doute n'avait-il pas le luxe de se passer de quelqu'un. Quelques semaines plus tard, j'ai reçu une affectation. Mais c'était trop tard pour le reportage.

    (suite en dessous:)

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  7. On a, par ailleurs, décidé de postuler en mathématiques, un domaine où je n'ai vraiment aucune compétence et où je suis très mauvais. Avec mon véritable CV, ça n'a pas abouti. Mais en m'inventant un faux diplôme de commerce, dans une école qui n'existe pas, une académie m'a très vite répondu. L'entretien a été très étonnant : il n'a duré que 11 minutes au total. En huit minutes d'interrogation, j'ai quand même réussi à me tromper un paquet de fois. Ma seule réponse correcte concernait le théorème de Pythagore. Mais à ma grande surprise, il m'a donné un avis favorable pour enseigner au collège, en me disant qu'il faudrait quand même réviser un peu pour le lycée.

    Cet entretien vous a-t-il réellement permis de devenir enseignant ?

    Oui, mon entretien a eu lieu un lundi, j'ai reçu mon affectation le jeudi, et j'ai commencé le lundi suivant, dans une classe de début de collège. J'ai été complètement livré à moi-même : je ne savais pas où les élèves s'étaient arrêtés dans le programme, ni quel était leur livre de cours. En fait, ils n'avaient pas eu d'enseignant depuis la rentrée, juste huit jours d'exercices sans débuter le programme. Ils étaient paniqués du retard qu'ils avaient accumulé, et les parents aussi.

    Et comment se sont passés les cours ?

    C'est très étrange. Face aux élèves, j'ai très vite oublié que je filmais (en caméra cachée) et j'ai fait de mon mieux avec les moyens que j'avais. J'ai eu le sentiment qu'il y avait parfois des flottements. Peut-être qu'ils s'en sont un peu rendu compte, mais ils sont restés attentifs. Pour ne pas pénaliser les élèves, je ne suis resté que le temps de voir quel encadrement était offert par l'administration, encadrement qui est relativement inexistant. Au bout de trois jours, j'ai démissionné. Un mois et demi plus tard, on m'a proposé une journée de formation. La chef d'établissement a essayé de me convaincre de rester, en me disant que ce qu'il y avait de pire, c'est que les élèves restent sans prof. Je n'ai donc pris la place de personne. Mais je sais que, à moins qu'ils aient trouvé quelqu'un depuis hier [mercredi], ils n'ont pas eu d'enseignants depuis.

    Le reportage Prof à la gomme est diffusé jeudi à 21 heures. La ministre de l'Education nationale, Najat Vallaud-Belkacem, répondra ensuite aux questions d'Elise Lucet, sur le plateau d'"Envoyé spécial".

    https://fr.sott.net/article/29321-Comment-devenir-prof-de-maths-apres-10-minutes-d-entretien

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  8. Nucléaire : EDF reporte le redémarrage de cinq réacteurs, le prix de l'électricité flambe sur les marchés


    LCI
    jeu., 03 nov. 2016 20:56 UTCCarte


    A la veille de l'annonce des prévisions hivernales du gestionnaire du réseau d'électricité RTE, EDF a annoncé le report du redémarrage de cinq réacteurs. Conséquence : une nouvelle flambée des prix sur le marché de gros.

    Forte tension sur le marché de l'électricité. Déjà inquiets des capacités de production électrique du parc nucléaire à l'approche de l'hiver, les acteurs du marché de gros de l'électricité n'ont pas eu de quoi se rassurer ce jeudi. EDF a en effet communiqué aux fournisseurs le report au 31 décembre prochain du redémarrage de cinq de ses réacteurs, dont les installations Bugey 4 et Gravelines 2 qui devaient initialement reprendre le 30 novembre. Sont également concernés les réacteurs Tricastin 1, 3 et 4, dont les redémarrages étaient prévus fin décembre.

    Ces sites, comme sept autres, sont concernés par des problèmes de concentrations excessives de carbone au niveau des générateurs de vapeur, pièces essentielles au fonctionnement d'une centrale. Le 18 octobre dernier, EDF, sur demande de l'Autorité de sureté nucléaire (ASN), avait déjà annoncé l'arrêt de cinq réacteurs en plus des sept prévus initialement.

    Les prix atteignent un nouveau pic

    L'annonce d'EDF n'a pas manqué de faire grimper les prix sur le marché spécialisé Epex Spot. En effet, ajoutés aux travaux de maintenance traditionnellement engagés sur les centrales avant l'hiver, ces arrêts réclamés par l'ASN ont porté à environ un tiers le nombre de centrales inactives sur le territoire français.

    Mais ce sont surtout les interrogations pesant sur la conformité des générateurs de vapeur qui alimentent les craintes d'une pénurie d'électricité dans les mois prochains. Et les reports de redémarrage communiqués ce jeudi n'ont pas de quoi calmer les inquiétudes.

    Résultat : le prix du mégawatt/heure (MHw), qui tourne habituellement autour de 40 euros, a bondi ce jeudi à plus de 80 euros dans le courant de la journée. Et la situation pourrait se tendre un peu plus ce vendredi si les prévisions hivernales du gestionnaire du réseau français RTE annoncent une saison rigoureuse, synonyme de forte consommation électrique.

    https://fr.sott.net/article/29299-Nucleaire-EDF-reporte-le-redemarrage-de-cinq-reacteurs-le-prix-de-l-electricite-flambe-sur-les-marches

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  9. Moscou: les USA n'ont fourni «aucune miette de pain» à Alep



    11:35 06.11.2016


    La Russie a livré à Alep plus de 100 tonnes de produits de première nécessité, tandis que les États-Unis n'ont fourni aux Syriens «aucune miette de pain», a déclaré le porte-parole du ministère russe de la Défense Igor Konachenkov. Ce commentaire a suivi la déclaration du porte-parole du département d'État américain John Kirby, selon laquelle, les résidents d'Alep ne ressentent pas les avantages des pauses humanitaires introduites par la Russie. « La Russie a livré aux résidents d'Alep de la nourriture, des médicaments, des (produits, ndlr) de nécessité quotidienne. Le département d'État (américain, ndlr) n'a fourni durant tout ce temps aux Syriens, dont il affirme se soucier, aucune miette de pain », a lancé M. Konachenkov.

    Selon lui, ces déclarations montrent que Moscou et Washington ont une compréhension différente de « l'utilisation » des pauses humanitaires. La Russie considère les pauses humanitaires comme une possibilité de fournir de l'aide aux personnes dans les zones ravagées par les combats. Ainsi, durant toute l'opération antiterroriste en Syrie, Moscou accorde une attention particulière à la réconciliation des parties au conflit et à la livraison d'une aide humanitaire aux Syriens, a conclu M. Konachenkov.

    Une nouvelle pause humanitaire a eu lieu à Alep le 4 novembre de 8 heures du matin à 19 heures. Cette mesure, ordonnée par le président russe Vladimir Poutine et coordonnée avec les autorités syriennes, visait à éviter les victimes parmi les civils et « appeler les combattants à la raison ». Selon le ministère russe de la Défense, les groupes armés ont eu la possibilité de quitter la ville, d'évacuer les malades et les blessés, ainsi que de libérer les civils qui souhaitaient quitter les quartiers est d'Alep. Pendant ces 10 heures, les troupes et équipements gouvernementaux ont été retirés des couloirs humanitaires, conçus pour que les groupes armés puissent quitter Alep en toute sécurité. Des autobus et ambulances ont été déployées pour l'évacuation immédiate des blessés et malades.

    https://fr.sputniknews.com/international/201611061028554618-usa-fourni-aucune-miette-pain-alep/

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  10. Présidentielles US: l’arme secrète de Trump dévoilée


    10:36 06.11.2016


    Les médias américains ont découvert « l’arme politique secrète » qui permet au candidat à la présidence Donald Trump d’engranger de nouveaux électeurs. « Dans un bureau du centre-ville de Londres, de jeunes esprits analytiques bossent sur des milliers de données concernant tous les adultes américains. Ils sont l'arme politique secrète de Donald Trump », déclare la chaîne CNN.

    Il s'agit de la société britannique Cambridge Analytica qui, selon les données de la chaîne, a reçu plus de 5 millions de dollars du milliardaire. Leur objectif: convaincre les électeurs américains de donner leur voix au candidat républicain. Les employés de Cambridge Analytica obtiennent les informations sur les réseaux sociaux, proposant aux utilisateurs de passer certains tests simplement destinés à identifier les traits de personnalité, à première vue.

    « Ensuite, les données d'une personne sont comparées à leur vote lors de l'élection précédente, leurs magasins préférés et même avec ce qu'ils regardent à la télévision », explique CNN. Avec l'ensemble des données, affirme le PDG de Cambridge Analytica Alexander Nix, les employés découvrent le meilleur moyen de cibler les individus et quel message utiliser.

    Pour l'heure, l'équipe de campagne électorale du candidat n'a réalisé aucun commentaire. L'élection présidentielle américaine se tiendra le 8 novembre. Selon un récent sondage réalisé par le Los Angeles Times, Donald Trump devance sa rivale démocrate de cinq points. Ainsi, 47,5 % des sondés sont prêts à voter pour Donald Trump, 42,5 % soutiennent Hillary Clinton. Il est à noter que le sondage a été réalisé auprès 2094 personnes, en Californie, État américain le plus peuplé et traditionnellement à dominante démocrate.

    https://fr.sputniknews.com/international/201611061028554167-arme-secrete-trump-cnn/

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  11. Le prochain président américain devrait faire l'objet d'un examen législatif


    Xinhua,
    le 6 novembre 2016


    Le prochain président américain sera probablement confronté à des enquêtes par le parti rival, peu importe qui gagne la Maison Blanche mardi prochain, selon les médias locaux.

    Plusieurs républicains ont prédit que la mise en accusation pourrait être sur la table si la candidat démocrate présidentielle Hillary Clinton gagne l'élection, et les démocrates seraient presque certainement chercher à lancer leurs propres enquêtes sur candidat présidentiel républicain Donald Trump s'il gagne, The Hill a rapporté samedi.

    "Le climat, l'atmosphère, la nature vitriolique de notre politique ne changent pas le 9 novembre", a déclaré un ancien membre de l'exécutif démocrate au site Web des États-Unis.

    Le directeur du FBI James Comey a laissé tomber une bombe la semaine dernière quand il a annoncé son bureau avait découvert de nouvelles preuves qui pourraient être liées à son enquête sur l'utilisation de Clinton d'un serveur de messagerie privé alors qu'elle était secrétaire d'État.

    Alors que les autorités sont peu susceptibles de divulguer les résultats de l'enquête du FBI bientôt, une poignée de législateurs républicains, y compris le président des services armés de la maison Michael McCaul, ont récemment suggéré que Clinton pourrait être mis en accusation si élu.

    Mais Clinton a minimisé lundi les dégâts de la sonde, disant à un rassemblement dans l'état de l'Ohio de swing que "il n'y a aucun cas ici" et qu'elle est confiante aucune charge ne sera faite.

    Alors qu'il serait difficile pour les démocrates de lancer des enquêtes sur les relations d'affaires Trump si Trump gagne la Maison Blanche et les républicains presque contrôler les deux chambres du Congrès, les démocrates pourraient utiliser des auditions informelles, des événements de presse ou d'autres façons de susciter l'attention, selon The Hill.

    "Il ne faut pas vraiment un comité du Congrès pour faire quoi que ce soit pour que ceux-ci continuent sur. Le procès de l'Université Trump va continuer, tous les litiges concernant son entreprise se poursuivra", a déclaré un ancien haut fonctionnaire démocrate de la Chambre Comme disait.

    http://www.china.org.cn/world/2016-11/06/content_39645954.htm

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  12. Emailgate : le FBI confirme ne pas vouloir poursuivre Hillary Clinton


    7 nov. 2016, 03:35 - Avec AFP


    La police fédérale américaine a maintenu sa recommandation de ne pas poursuivre Hillary Clinton dans l'affaire de ses emails, une annonce choc qui a comblé le camp de la candidate démocrate à moins de 48 heures du scrutin présidentiel.

    «Nous sommes heureux que cette question soit résolue», a réagi Jennifer Palmieri, directrice de la communication d'Hillary Clinton, à bord de l'avion servant à l'ex-secrétaire d'Etat pour sillonner les Etats-Unis.

    Il s'agit d'un nouveau rebondissement de taille dans une campagne présidentielle américaine qui a stupéfié le monde par ses outrances, ses controverses et ses mises en cause personnelles.

    A moins de deux jours de l'élection, difficile d'évaluer quel impact aura cet ultime virage du chef du FBI, James Comey, rendu public alors que les deux rivaux jettent leurs dernières forces dans la bataille pour la Maison Blanche.

    Il y a dix jours, James Comey avait adressé un bref courrier aux responsables du Congrès pour les informer que ses équipes avaient découvert de nouveaux messages relatifs à l'affaire de la messagerie d'Hillary Clinton, qui avait utilisé un serveur privé lorsqu'elle était secrétaire d'Etat.

    Dans cette missive, véritable coup de tonnerre immédiatement exploité par Donald Trump, il restait cependant très évasif sur la portée réelle de cette découverte.

    En savoir plus : Les autres scandales mémorables des Clinton

    FBI successivement critiqué ou encensé

    La réponse est tombée dimanche après-midi, dans un nouveau courrier envoyé par le patron de la police fédérale.

    L'équipe d'enquêteurs du FBI a «passé en revue toutes les communications faites ou reçues par Hillary Clinton pendant qu'elle était secrétaire d'Etat. Sur la base de cette enquête, nous n'avons pas changé les conclusions que nous avions exprimées en juillet en ce qui concerne Mme Clinton», a écrit James Comey.

    En juillet dernier, il avait déjà annoncé que le FBI recommandait de ne pas poursuivre Hillary Clinton, et le ministère de la Justice n'avait donc pas inculpé l'ex-Première dame.

    James Comey avait toutefois souligné que l'ancienne secrétaire d'Etat avait fait preuve d'une «négligence extrême».

    (suite en dessous:)

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  13. Après avoir successivement critiqué puis réhabilité James Comey, d'abord pour l'absence d'inculpation puis pour avoir relancé l'enquête, les républicains ont de nouveau dimanche vilipendé le haut fonctionnaire.

    «Comey doit subir une pression politique énorme pour flancher comme cela», a jugé un des fidèles alliés du milliardaire, Newt Gingrich.

    Les démocrates, de leur côté, ont ces derniers jours accablé M. Comey, lui reprochant d'avoir violé les règles imposant de ne pas influencer un scrutin national, en annonçant des investigations supplémentaires sur les emails.

    Mais bien évidemment ces critiques ont brutalement cessé dimanche.

    «Nous avons toujours été confiants sur le fait que rien ne viendrait remettre en cause la décision (du FBI) de juillet. Le directeur Comey vient de le confirmer», a commenté Brian Fallon, porte-parole d'Hillary Clinton.

    Lire aussi
    Le fondateur de WikiLeaks Julian Assange livre une interview à John Pilger diffusée en exclusivité sur RT Comment la «guerre de Clinton» a déstabilisé l’Europe : l'interview exclusive d'Assange au complet

    Entrée dans son sprint final, la course folle à la Maison Blanche d'Hillary Clinton et Donald Trump semble en tout cas partie pour garder en haleine jusqu'au bout les Etats-Unis et la planète.

    Le candidat républicain, qui prévoyait de se rendre dans pas moins de cinq Etats dimanche, reste en position de créer une déflagration mondiale en ayant le dessus sur sa rivale démocrate, malgré tout en tête des sondages.

    Nate Silver, grand gourou des analyses électorales américaines, donnait dimanche Hillary Clinton gagnante à deux contre un.

    «Vaut mieux être dans ses souliers que dans ceux de Donald Trump», a-t-il résumé. «Mais sa position n'est pas vraiment très solide». Ces déclarations ont toutefois été faites avant l'annonce du FBI.

    En savoir plus : Hillary Clinton et l'Emailgate, pourquoi c'est grave

    https://francais.rt.com/international/28531-emailgate-fbi-confirme-ne-pas-clinton

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  14. Wikileaks lance 8 200 courriels à partir de DNC Hack; Révèle une collusion entre CNN et les démocrates


    De Tyler Durden
    6 nov 2016 21h30


    Avec Wikileaks libérer ce qui a pu être la finale 2.073 Podesta emails dans la partie 32 de son déchargement en cours des emails de président de campagne piraté, avec les découvertes dramatiques au cours de la semaine passée largement éclipsé par le "scandale" du FBI qui a complètement soufflé après Director Comey A annoncé dans une déclaration énigmatique qu'il rouvrait une sonde dans le serveur de courrier électronique de Clinton vendredi dernier, seulement pour zag juste 9 jours plus tard quand le FBI a rapporté qu'il n'avait trouvé rien de matériel dans les 650.000 email trouvés sur l'ordinateur portable d'Anthony Weiner, l'organisation whistleblower Avoir manqué de vapeur.

    Cependant il y a quelques instants, Wikileaks a annoncé la sortie d'un autre énorme lot de courriels DNC piratés, qu'il appelait # DNCLeak2, contenait quelque 8 263 emails DNC précédemment invisibles et piratés - une pénétration de serveur qui avait été précédemment attribuée au hacker Guccifer 2.0 ou Vladimir Poutine, et qui au cours de l'été a coûté Debbie Wasserman Schultz son travail quand il a été révélé que le DNC a été gréement de la primaire dans favori HIllary public pour la première fois.

    Bien que nous nous attendions à ce que le FBI l'analyse complètement, la numérise et la finalise, informe sur ce lot dans les 10 prochaines minutes, et pour conclure qu'il n'y a rien d'important dans la pile, nous allons comme d'habitude essayer de trouver quelque chose de particulièrement pertinent, Les e-mails de Podesta - qui ont permis l'admission explicite d'une révision interne de la Fondation Clinton selon laquelle elle enfreignait la loi au moins une fois et que Teneo, CGI et les FC fonctionnaient comme des «organisations politiques» À jouer "- a échoué à obtenir un acte d'accusation hors du FBI, nous doutons vraiment que tout ce qui est contenu dans les 8 000 courriels de ce soir va influencer les autorités dites de l'application de la loi en action.

    Comme d'habitude, les lecteurs sont chaleureusement invités à soumettre toutes les découvertes matérielles à notre adresse habituelle.

    * * *

    Dans un email d'avril 2016 de la directrice de recherche de DNC, Lauren Dillon, nous trouvons que Wolf Blitzer de CNN avait chargé le DNC de poser des questions pour son interview de Donald Trump:

    Wolf Blitzer interviewe Trump le mardi avant son discours de politique étrangère sur Wed.
     
    S'il vous plaît envoyez-moi des pensées avant 10h30 demain.
     
    Merci !
    Le DNC a été rapide à obliger, même si finalement l'entrevue a fini par être annulé.

    - voir fac-similé sur site -

    * * *

    Aussi en avril 2016, Dillon a été chargé par CNN de poser des questions, seulement cette fois pour Ted Cruz et Carly Fiorina:

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    (suite en dessous:)

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  15. Un email de mai 2016, montre encore une autre instance de la DNC la création et l'approbation d'une annonce Craigslist faux cherchant à se moquer de Donald Trump.

    - voir fac-similé sur site -

    Le conseil extérieur de la DNC à Perkins Coie n'a pas été particulièrement impressionné par les idées, avec l'avocat Jacquelyn Lopez notant que "le risque de diffamation ici est trop élevé.Je sais que nous allons pour une parodie, mais étant donné le contenu de la poste (ses pratiques commerciales privées , Le harcèlement sexuel, etc.), nous nous ouvririons à une poursuite en diffamation si nous postions. "

    Cela n'a toutefois pas ruiné l'enthousiasme de la DNC:

    Apparemment Graham a emmené tout cela à Marc, et il a répondu non. Donc, si nous faisons cela, nous devons amener Amy et Lindsey à convenir que nous sommes d'accord avec la possibilité d'être poursuivi.
    * * *

    Jackie a dit à Cate «si vous pensez que le fait d'être poursuivi serait une publicité géniale et Amy et Lindsey sont prêts à y aller, alors parlons, mais ...»
    * * *

    L'équipe rapide a signé, nous avons juste besoin de décider dans ce groupe si nous voulons prendre à lindsey / amy / luis
    * * *

    Si nous avons une probabilité d'obtenir poursuivi, je dois le regarder attentivement si vous voulez aller de l'avant.
     
    Vous pouvez le prendre à eux d'abord pour décider et s'ils disent non qui me sauveront du temps mais je peux finir par faire des modifications - ou je ne peux pas - avant qu'il ne disparaisse réellement.
     
    Mon équipe si grande que vous le savez, mais je poursuite devrait être sur mes épaules.
    En fin de compte, il n'est pas clair si la DNC a fini par exécuter l'annonce de Craig's List.

    * * *

    Last but not least, un mai 2016 DNC email révèle le coupable derrière Donald Trump exorbitant fentes fiscales. Et c'est, drumroll, William Jefferson Clinton.

    http://www.zerohedge.com/news/2016-11-06/wikileaks-releases-8200-new-emails-dnc-hack

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  16. Qui fixe le prix des médicaments innovants ? L’État !


    Par Pierre Bentata.
    le 7 novembre 2016


    La détermination des prix des médicaments innovants pose plusieurs problèmes que les pouvoirs publics n’ont pas bien perçus.

    Le PLFSS 2017 relance à nouveau le débat du prix des médicaments innovants en proposant de renforcer les mesures pesant sur les laboratoires. Implicitement, il semblerait que gouvernants comme législateurs considèrent que l’industrie du médicament fixe ses prix en toute liberté. Pourtant, à bien y regarder, les choses ne sont pas si claires.

    Le parcours du médicament

    Lorsqu’il désire commercialiser un médicament innovant, un laboratoire doit demander une autorisation de mise sur le marché (AMM) auprès de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé. Celle-ci procède alors à une analyse des bénéfices et des risques du médicament.

    Si l’AMM est délivrée, le laboratoire doit choisir s’il veut que son médicament soit remboursé. Si tel est le cas, un long parcours réglementaire commence pour définir son taux de remboursement et son prix.

    Le taux de remboursement, défini par l’Union nationale des caisses d’assurance maladie, dépend du service médical rendu (SMR) par le médicament, c’est-à-dire de son apport à la collectivité par rapport aux autres stratégies thérapeutiques existantes pour soigner la pathologie visée. Selon ce SMR, le taux de remboursement pourra varier de 15% à 65%. Dans le cas des médicaments jugés innovants, le taux sera donc de 65%.

    Une même logique pour le prix des médicaments

    La même logique s’applique au prix. Le Comité économique des produits de santé (CEPS) va évaluer l’amélioration du service médical rendu (ASMR) selon l’efficacité relative du médicament par rapport à celle des autres médicaments utilisés pour la même pathologie. Un médicament améliorant faiblement la situation se verra allouer un prix inférieur à celui des médicaments déjà prescrits ; alors qu’un médicament innovant verra son prix fixé par négociation entre le laboratoire et le CEPS.

    En d’autres termes, le prix du médicament innovant est régulé par les pouvoirs publics. Mieux encore, si la négociation échoue, le CEPS est fondé à décider unilatéralement du prix (Art. 162-1-4 Code de la Sécurité Sociale).

    Par ailleurs, ce prix pourra être réévalué au cours des années suivantes et s’il apparaît que le chiffre d’affaires réalisé par la vente du médicament est supérieur aux prévisions des pouvoirs publics, le laboratoire devra contribuer aux dépenses de l’assurance maladie : c’est la clause de sauvegarde dite « taux L ».

    Ainsi, le prix du médicament est fixé par les pouvoirs publics et, en cas de dépassement des dépenses, les laboratoires doivent fournir un effort financier pour participer aux dépenses publiques.

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  17. Il n’y a pas de marché !

    Quoi que l’on pense des laboratoires, il est donc difficile d’imputer les prix des médicaments innovants à une défaillance du marché ou à l’absence de régulation. Bien au contraire puisqu’il n’y a pas de marché ! Et c’est peut-être bien là une partie du problème.

    Sur un marché, le prix d’un bien fournit d’importantes informations relatives à sa valeur sociale. Par le jeu de la concurrence, les consommateurs révèlent la satisfaction qu’ils retirent du bien et les producteurs révèlent les coûts réels nécessaires à sa production. Autrement dit, la concurrence force les entreprises à adapter leur prix à la demande et ce faisant à dévoiler leurs coûts.

    Dans le cas des médicaments innovants, la situation est tout autre. Le CEPS définit, dans une position de monopole, le prix du médicament. Ainsi, il est difficile de percevoir les coûts réels de production des médicaments car, en l’absence de concurrence, seules des évaluations indirectes du coût sont disponibles. Les membres du CEPS, quelles que soient leur intention et leur compétence, ne sont pas en position de comprendre parfaitement le fonctionnement du laboratoire ni sa capacité à baisser ses coûts.

    Pire encore, le laboratoire lui-même est privé de certains moyens de les connaître car le verdict final de la concurrence et du prix du marché est en grande partie absent du processus économique.

    Comment savoir si le prix des médicaments est trop élevé ?

    Dès lors, comment savoir si le prix des médicaments innovants est trop élevé ? Du point de vue économique, la question est insoluble. Certains penseront que les médicaments coûtent trop cher, et demanderont davantage d’effort aux laboratoires au risque de limiter leurs investissements et la découverte de nouveaux médicaments. D’autres affirmeront que le prix est trop faible et verront dans la lenteur de l’innovation thérapeutique la preuve d’une trop forte régulation.

    Mais en réalité, il est difficile de trancher avec ce système actuel, car en dernier ressort, c’est la concurrence qui permet d’harmoniser les attentes opposées en termes de prix des entreprises et des clients, en dévoilant un prix qui ait un sens.

    Pour sortir de l’impasse, c’est sûr, il faut réformer la fixation des prix des médicaments, mais en introduisant davantage de concurrence plutôt qu’en ajoutant de nouvelles réglementations qui, sans régler le problème, risquent d’en créer de nouveaux.

    http://www.contrepoints.org/2016/11/07/270842-qui-fixe-prix-medicaments-letat

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