- ENTREE de SECOURS -



jeudi 20 octobre 2016

Oui l'euro va disparaître. Préparez vous en tant que français !

 jeudi, 20 octobre 2016 08:59


Depuis 8 ans, le net nous bassine avec l'hyper endettement des Etats que tout va s'écrouler. 

Vous êtes nombreux à avoir peur du futur de la France.

Et vous êtes encore plus nombreux à vous demander comment vous allez vous retrouver à payer l'addition...

Faut il s'enfuir à la campagne quand la guerre civile avec les musulmans va éclater ? Quand la France va faire faillite et que le chaos va s'installer ? Que l'armée sera dans les rues et l'électricité coupée ?

Faut il devenir un spécialiste de l'autonomie et cultiver son potager pour bouffer dans le futur ?

Quand on commence à brasser ce genre de questions, intellectuellement, il y a besoin de justification, du genre : les évènements improbables chaotiques arrivent dans l'histoire. Ils sont très rares, mais dans ces périodes, la majorité perd tout. Donc il vaut mieux que je me prépare...

Je vous invite à délaisser cette manière d'envisager le futur !

Parce qu'il existe une mesure simple pour les pays hyper endettés qui sera mise en oeuvre AVANT le chaos et qui a le pouvoir de solutionner le problème !

Il s'agit tout simplement de tuer l'euro !

J'ai fait une formation il y a déjà 18 mois la dessus car cela me paraît être l'issue inévitable au problème de fond des États européens.

Je n'ai pas passionné les foules, mais depuis quelques mois, les langues se délient tout en haut des sphères dominantes.

Otmar ISSING a annoncé cette semaine alors qu'il est considéré comme le père fondateur de l'union monétaire européenne, que l'euro allait s'écrouler !
Les investisseurs interrogés par Bank of America ont annoncé que leur plus grosse crainte était l'écroulement de l'euro DEVANT UN KRACH OBLIGATAIRE américain... De vous à moi, un krach obligataire peut déjà être considéré comme un tsunami. C'est dire si ce qui se trame sur l'euro est explosif !

A un certain niveau, je crois que tout le monde sait DEJA... l'euro doit mourir !

Il semblerait que l'idée gagne en traction ou alors que la campagne des oligarchies pour vendre aux peuples la solution ait démarré...

L'euro a causé énormément de dégâts tout en permettant à l'Allemagne de sauver ses fesses de son erreur gigantesque au moment de l'absorption de l'Allemagne de l'Est couplée à une démographie négative.

La grande question que je vous invite à considérer, ce n'est donc pas l'hypothèse du chaos ou des musulmans, mais bien de savoir comment éviter de vous faire pigeonner quand l'euro va tomber !

1 - La France va retrouver une devise nationale.

Après 40 ans de socialisme effréné, je n'ai pas besoin de vous redessiner le tableau concernant notre compétitivité internationale tout autant que la faiblesse économique dans laquelle nous sommes.

Avec une devise nationale, ce sera au bas mot -30% de dévaluation. On le voit déjà avec le sterling anglais au plus bas contre dollar (en ligne de 1.7 à 1.2) alors que l'économie anglaise est en bien meilleure posture que la France.

2 - Avec cette liberté monétaire retrouvée, la France va pouvoir commencer à gérer ses dettes

En langage clair, l'inflation sera relancée. 30% de dévaluation aidera beaucoup à importer de l'inflation de l'étranger car notre balance commerciale est négative de longue date (même si on gagne des parts de marché sur nos exports, la France est si mauvaise à ce jeu que le solde d'inflation importée restera supérieur). 

Et je doute sincèrement qu'on obtienne comme au Japon avec le yen, une hausse du futur franc...

La gestion des dettes va passer aussi probablement par une nationalisation partielle. Le Japon a commencé. 59 milliards $ de retrait des marchés internationaux du pays, le plus gros retrait de l'histoire depuis 1987 et qui a acheté en face à hauteur de 57 milliards $ d'actifs ? La banque centrale du Japon. Dans les faits, ce genre de comportement s'appelle NATIONALISATION PARTIELLE de l'économie...

3- Au niveau personnel, comment les français avisés peuvent ils se préparer ?

Ca, désolé, c'est payant. Je réserve les stratégies aux acheteurs de ma formation. Ce que je peux dire en zone publique, bien évidemment, c'est qu'il existe des solutions.

Elle se résume à trouver une devise capable de ne pas sombrer en valeur relative par rapport à la France dans le chaos de la fin de l'euro et de la panique inévitable qui aura lieu.

Mais l'enjeu va plus loin. 

Une fois qu'on a une ou plusieurs devises, le job suivant consiste à chercher des outils pour fixer la valeur d'un patrimoine.

Je prends un exemple très concret.

Le dollar américain est une excellente alternative à l'euro.

Mais si vous achetez là maintenant de l'immobilier sur évalué cash alors que la Chine, le Canada, l'Australie et les USA sont dans des bulles immobilières qui vont probablement casser dans les années à venir, cela revient à miser le cancer à la place du SIDA...

Vous aurez une devise qui tient le coup mais un actif qui plonge.

Remarquez, entre -30% sur vos actifs en France ou -20% dans un autre pays, tout cela se calcule...

Cela dit, le mieux consiste quand même à trouver des actifs solides dans une devise solide.

Le problème de la France hyper endettée s'appelle donc COMMENT CONSERVER LA VALEUR DE SON PATRIMOINE dans le temps à horizon 10 ans ?

Existe t-il des actions cotées capables de ne pas plonger en cas de fin de l'euro ?

Autre question encore plus dure : quelle est la probabilité que nous connaissions un nouvel épisode de déflation à cause de la démographie avant que l'euro s'écroule ?

Doit on s'endetter et faire porter le chapeau aux banques au niveau du risque monétaire ? Si oui, comment être certain qu'on puisse rembourser les mensualités alors que le chaos économique et la panique sera partout ?

J'ai aussi réfléchi à la valeur des actifs aujourd'hui, les actifs dits tangibles donc indépendants des variations de la monnaie et je vous montre pourquoi c'est une mauvaise solution.

Ce sont toutes ces questions que je viens de updater dans la formation. 

Je donne RDV à mes clients pour consulter mon UPDATE ici.

Ceux qui ne connaissent pas la formation sur la dévaluation de l'euro peuvent trouver plus d'infos en cliquant sur le lien

Mon petit doigt me dit qu'on ne laisse pas un gars comme OTMAR ISSING balancer sur les ondes mondiales que l'euro va s'écrouler AU HASARD !...

Les français qui ne veulent pas entendre le message et ne pas se préparer vont subir une chute sans précédent de leur pouvoir d'achat alors qu'en surface la valeur faciale qu'ils possèdent n'aura pas changé. Ils seront là, l'œil hagard à tenter de comprendre ce qui arrive et à se lamenter qu'AVANT, c'était mieux...

Charles Dereeper

http://www.objectifeco.com/riche-rentier/argent/senrichir/oui-l-euro-va-disparaitre-preparez-vous-en-tant-que-francais.html

59 commentaires:


  1. (...) Existe t-il des actions cotées capables de ne pas plonger en cas de fin de l'euro ? (...)

    Oui ! Celles dites insubmersibles. Càd. : Tout vendre et acheter un catamaran (ou pas si on a pas de l'humour) et se barrer loin de tout ! Après, libre à vous d'accoster en Amerique du sud pour y faire cuire les poissons et langoustes pêchés ou (si vous préférez la chasse/sous-marine) rencontrer d'autres oiseaux (non-plumés). C'est fou ce qu'on peut se marrer sur une île déserte à écouter la radio qui parle de guerres loin de là !

    RépondreSupprimer
  2. Le sénat français veut expérimenter un revenu de base de 500 euros ($ 547.51) mensuels


    Audrey Duperron
    20 octobre 2016


    Le sénat français exhorte les départements à mener une expérience en fournissant un revenu de base à près de 25 000 personnes pendant 3 ans.

    Dans un rapport publié mercredi sous le titre «Le revenu de base en France: de l’utopie à l’expérimentation», les sénateurs expliquent qu’ils veulent étudier de cette façon s’il est possible de remédier à la disparition de l’emploi liée à l’automatisation, à la pauvreté et au chômage.

    Les Sénateurs planchent depuis 3 mois sur ce sujet et ils ont interrogé une centaine de personnes en France, mais aussi en Finlande et des Pays-Bas, où de telles expériences sont déjà menées.

    Un filet de sécurité, quels que soient l’emploi ou les conditions sociales

    Selon Jean-Marie Vanlerenberghe, le président de l’enquête, « l’objectif n’est de ne pas fusionner un certain nombre de minima sociaux, mais de verser une somme garantie, identique à chaque individu et qui pourrait bénéficier à toute personne, quel que soit son niveau de revenu». « De cette manière, on institue un filet de sécurité, sans remettre en cause l’inclusion sociale par l’activité ou le travail », ajoute Daniel Percheron, le sénateur PS rapporteur de cette mission.

    Concrètement, 20.000 à 30.000 personnes percevraient 500 euros mensuellement pendant trois ans, l’objectif étant de cibler plus particulièrement les personnes âgées de 18 à 25 ans et de 50 à 65 ans considérés comme plus vulnérables.

    Le système français de sécurité sociale est inefficace

    Dans le rapport, les sénateurs ont jugé que la sécurité sociale et le système fiscal français sont inefficaces. Leurs calculs montrent que 7,4 millions de personnes françaises profitent des bénéfices sociaux, mais 8,8 millions de Français, soit plus de 14% de la population, vivent malgré tout dans la pauvreté.

    En outre, les sénateurs estiment enfin qu’entre 9% et 42% des emplois actuels sont menacés par la révolution numérique.

    Suisse

    En juin de cette année les Suisses ont rejeté à une large majorité l’instauration d’un revenu de base. Près de 80% des participants ont voté contre la proposition de verser tous les mois un montant de 2.500 francs suisses (2.250 euros) à chaque Suisse, quel que soit son activité. Les enfants de moins de 18 ans auraient quant à eux reçu un revenu mensuel 565 euros.

    L’architecte de ce projet de revenu minimum suisse est l’économiste suisse Enno Schmidt. Il affirme qu’assurer un revenu de base redonnerait de la dignité et une sécurité financière aux pauvres, mais que cela stimulerait également la créativité et la création d’entreprises. Les porteurs de projets n’hésiteraient plus à tenter de réaliser leur rêve. Chacun pourrait poursuivre ses passions, plutôt que d’occuper un emploi alimentaire. Pour Schmidt, il s’agit d’un combat comparable à la lutte pour les droits civiques, comme le vote des femmes, ou la fin de l’esclavage.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  3. Belgique

    En Belgique, le revenu de base est inclus dans le programme d’un certain nombre de partis. Le programme du mouvement belge Vivant (acronyme de « Individuele Vrijheid en Arbeid in een Nieuwe Toekomst » – ‘liberté individuelle et travail dans un nouvel avenir’), fondé par l’entrepreneur flamand et actuel président du Standard de Liège Roland Duchâtelet, inclut un revenu de base pour tous les adultes, qu’il appelle “allocation citoyenne”.

    Des projets pilotes de revenu minimum ont déjà été adoptés dans plusieurs provinces canadiennes, notamment en Ontario, dans des villes néerlandaises (Utrecht mène actuellement une expérience de « revenu de base » et a ville de Tilbourg devrait lui emboîter le pas). A Chypre, le revenu minimum est déjà un acquis, et une proposition d’instauration d’un revenu de base devrait être soumise prochainement au parlement finlandais.

    Le travail demeure le principal instrument de la répartition des richesses

    L’idée d’un revenu de base recueille des partisans au travers de l’ensemble du spectre politique, mais l’instauration, dès à présent, d’un système de revenu de base pourrait être dangereuse, a récemment écrit The Economist.

    Il avait souligné qu’un tel système coûterait énormément d’argent t que, très probablement, son versement se ferait au détriment de coupes dans d’autres postes d’aides sociales, ce qui signifie qu’une partie de la population se retrouverait avec un revenu inférieur à ce qu’elle avait précédemment.

    En outre, les États ne possèdent pas les ressources suffisantes accorder ce revenu à tous les habitants, certains seront donc expulsés du système, marginalisés et fragilisés.

    Au fil du temps, le revenu minimum pourrait avoir pour effet de dissuader une fraction toujours plus importante de la population de travailler. Son inactivité pourrait être à l’origine de troubles sociaux. Enfin, les pays instaurant un revenu de base pour tous risquent d’être débordés par le nombre d’immigrants en quête de bien-être social. Une des conséquences pourrait être la fermeture drastique des frontières, ou la création d’une classe de citoyens exclus de ce bénéfice.

    https://fr.express.live/2016/10/20/revenu-de-base-france-senat-experience/

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Dès lors qu'au 21 è siècle les machines & ordinateurs ont pris le pas sur le travail de l'homme, et que de se référencer à l'or n'a plus aucun sens (puisqu'il n'a JAMAIS été une référence depuis son apparition), il est donc tout à fait normal que les travailleurs qui passent leur temps à nourrir les autres copient (à 10 fois moins cher !) désormais les millions de fonctionnaires

      Supprimer
  4. La BCE s’en prend au Bitcoin


    Audrey Duperron
    20 octobre 2016


    A la surprise générale, la Banque centrale européenne (BCE) a demandé aux législateurs de l’UE de durcir les règles pour les monnaies virtuelles comme le Bitcoin, « parce que ces monnaies peuvent affaiblir le contrôle de la BCE sur l’offre de monnaie dans la zone euro en un seul jour ».

    Dans un projet de nouvelles règles établies par la Commission européenne pour lutter contre le terrorisme, il est proposé aux plateformes de change de vérifier l’identité des personnes qui veulent échanger de l’argent sous forme de monnaies virtuelles contre de la monnaie fiduciaire et de signaler les transactions suspectes.

    Le contrôle des banques centrales sur l’offre de monnaie

    Mais la BCE estime que ces propositions ne vont pas assez loin et elle a publié mardi un éditorial qui recommande aux institutions de l’UE de ne pas faire la promotion de l’utilisation des monnaies numériques (virtuelles) et de clarifier pour le public la notion que ces monnaies ne bénéficient pas du statut juridique de devise ou de monnaie fiduciaire.

    « S’il s’accroît substantiellement à l’avenir, le recours aux monnaies virtuelles des acteurs économiques pourrait en principe affecter le contrôle des banques centrales sur l’offre de monnaie … bien que compte tenu des pratiques actuelles, ce risque est limité. […] De ce fait, dans ce contexte particulier, [les instances législatives de l’UE] ne devraient pas promouvoir une utilisation plus répandue des monnaies virtuelles ».

    La BCE favorise elle-même la transition vers la monnaie électronique

    En 2012, la BCE avait averti pour la première fois des risques posés par la monnaie virtuelle dans un rapport intitulé « Virtual Currency Schemes ». Mais cette nouvelle attaque est surprenante parce que depuis lors, la BCE a plutôt encouragé l’utilisation de la monnaie électronique, y compris par l’arrêt de la production de billets de 500 euros.

    https://fr.express.live/2016/10/20/bce-monnaies-virtuelles-bitcoin/

    RépondreSupprimer
  5. Les BRICS progressent doucement mais sûrement


    20 oct. 2016


    Président du Brézil Michel Temer, Président de la Russie Vladimir Poutine, Premier-ministre de l'Inde Narendra Modi, Président de la République populaire de Chine Xi Jinping et président de l'Afrique du Sud Jacob Zuma au sommet de BRICS à Goa, Inde, le 16 octobre, 2016

    Tranquillement, petit à petit, les BRICS avancent leurs pions, bâtissent leur puissance par l'intermedaire de divers mécanismes susceptibles d'agir indépendamment des Etats-Unis. L'analyste Pepe Escobar se penche sur le dernier sommet des BRICS.

    Le récit officiel au sujet des BRICS à Beltway/Wall Street emprunte, de manière prévisible, deux directions : soit le groupe de cinq puissances émergentes, qui produisent plus de 22% du PIB mondial et où habite plus de 40% de la population mondiale, est «en crise», soit on le considère comme une entité non pertinente.

    D'un point de vue économique, les perspectives de BRICS ne sont pas aussi désastreuses qu'il y a un an

    Regardons la déclaration de Goa, qui résume les résultats de la réunion annuelle de BRICS qui s'est tenue récemment en Inde. C'est peu de choses, paraît-il. Pourtant, le président Poutine a une fois de plus mis en valeur le contexte : c'est un projet à long terme, un «élément clé» dans le monde multipolaire, guidé par des nations qui n'acceptent pas la «pression du pouvoir» et les tentatives de «ciblage de la souveraineté» effectués par les suspects habituels.

    D'un point de vue économique, les perspectives de BRICS ne sont pas aussi désastreuses qu'il y a un an. Le scénario à moyen terme promet une stabilité des prix des matières premières. Même le FMI, qui n'est pas toujours absolument fiable, parie que la Russie aura une croissance de 1,1% en 2017 (après une récession de 3,7% en 2015), alors que le Brésil pourrait regagner 0,5%.

    Voyant toujours les choses en perspective, Vladimir Poutine a opté pour un visage courageux, en soulignant l'importance de l'intégration des BRICS effectuée via 30 équipes ministérielles travaillant sur des projets communs (politiques, économiques, humanitaires, sécuritaires et sociaux), sans oublier des avancées majeures telles que la Nouvelle banque de développement (NDB) et le projet proposé d'un mécanisme de monnaie de réserve des BRICS à hauteur de 200 milliards de dollars.

    Le Brésil, un cheval de Troie ?

    Cette réunion de BRICS était bien délicate. Le Brésil était pour la première fois représenté par Michel Temer l'Usurpateur, le bénéficiaire de la farce institutionnelo-parlementairo-judiciaro-médiatique de la destitution [de Dilma Roussef] qui a eu pour résultat le virage dramatique du Brézil vers le «paradis» néolibéral, largement aligné sur les intérêts de Washington et loin de la plate-forme de BRICS.

    Lire aussi
    «J’ai peut-être dit quelque chose de mal ?», s’amuse Vladimir Poutine après une coupure de courant

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  6. L'ancienne présidente Dilma Rousseff avait une relation très productive avec la partie RC du BRICS - Vladimir Poutine et Xi Jinping. On sait que Vladimir Poutine a eu à Goa des rencontres bilatérales avec tous les autres dirigeants des BRICS, sauf Temer. Ils ont en effet eu une courte conversation lors du dîner officiel consacré aux «réformes économiques» au Brésil traversant le choc néo-libéral.

    Le temps que Moscou essaie soigneusement d'évaluer quelle direction avait prise la loyauté brésilienne, Temer l’Usurpateur, pour sa part, fait se propager le fantasme selon lequel le Brésil reprend les affaires. Non, ce n'est pas le cas. Un rapide regard sur les chiffres révèle que le chômage est à son sommet historique de 11,2%, les taux d’intérêt sont énormes (14,25% par an), la contraction du PIB est la plus importante des pays BRICS en 2015 (3,8%) ; et le taux cumulé de l’inflation sur an n'a jamais été aussi haut (8,48 %).

    Les BRICS continuent à mettre en place une architecture financière crédible et alternative, privilégiant les pays en développement

    Les affaires à Goa. La Russie et l’Inde ont signé au moins 18 accords – de l’énergie aux armes. Le conseil d'affaires des BRICS a de nouveau appelé à la création d'une nouvelle agence de notation pour les puissances émergentes, non liée aux cartels américains.

    Il y a également eu une rencontre BRICS-BIMSTEC. Le BIMSTEC est une structure de«coopération technique et économique multisectorielle» entre l’Asie du sud et Asie du sud-est qui comprend l'Inde, le Bangladesh, le Myanmar, la Thaïlande, le Bhoutan, le Népal et le Sri Lanka. C’est une sorte d’extension des BRICS.

    Dans tous les débats, il est clair que les BRICS continuent à mettre en place une architecture financière crédible et alternative, privilégiant les pays en développement – ce que le système de Bretton Woods a lamentablement échoué à faire.

    En parallèle, les BRICS continuent à essayer de changer le système - truqué - de l’intérieur : «Nous appellons les économies européennes avancées à respecter leurs engagements et céder les deux sièges du Conseil d’administration du FMI. La réforme du FMI devrait renforcer la voix et la représentation des membres plus pauvres du FMI, y compris de l'Afrique subsaharienne.» Par contre, cela n'est pas pour bientôt. La semaine dernière, le FMI a annoncé qu'il reportait son calendrier pour achever l’examen des quotas jusqu’en 2019.

    Il est également crucial pour les BRIC de «condamner les interventions militaires unilatérales et les sanctions économiques en violation du droit international et des normes des relations internationales universellement reconnues.» Le message, pour les suspects habituels, est sans équivoque.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  7. La même chose concerne le soutien, après l'accord sur le nucléaire iranien, par les BRICS à l’utilisation du nucléaire civil : «Nous soulignons l’importance de la prévisibilité dans l’accès aux technologies et du financement pour l’expansion des capacités nucléaires civiles qui contribuerait au développement durable des pays du groupe BRICS.»

    À la différence des suspects habituels, les BRICS sont de fermes partisans de l’OMC en tant que «pierre angulaire d’un système de commerce basé sur les règles, ouvert, transparent, non-discriminatoire et inclusif».

    Les BRICS insistent sur le fait que le système actuel de l'ONU porte atteinte à l'organisation

    Ainsi l’opposition inévitable entre les pays BRICS et le canard boiteux proposé par l'administration de Barack Obama - TPP et TTIP : «Nous avons noté un nombre croissant d’accords bilatéraux, régionaux et d'accords commerciaux multilatéraux et nous réaffirmons que ceux-ci devraient être complémentaires au système de commerce multilatéral et encourager leurs parties à unifier leur travail en vue de consolider le système de commerce multilatéral dans le cadre de l’OMC, conformément aux principes de transparence, d’inclusivité et de la compatibilité avec les règles de l’OMC.»

    Alors que TPP et TTIP portent atteinte à l'OMC, les BRICS insistent sur le faut que le système actuel de l'ONU porte atteinte à l'ONU-même. D'où le besoin d'une «réforme globale de l’ONU, y compris du Conseil de sécurité, en vue de le rendre plus représentatif, plus efficace et performant.» Cela implique, ce qui est bien important, que les partenaires stratégiques RC seront d'accord pour que le Brésil, l’Inde et l’Afrique du Sud jouent «un rôle plus important aux Nations Unies».

    Lire aussi
    Un G20 «made in China» et son importance géo-économique
    On peut en discuter, mais le pouvoir principal des BRICS dans la conjoncture géopolitique actuelle n'appartient qu'à «RC». Même si Narendra Modi était le hôte à Goa, les extraits sonores préférés étaient ceux de Vladimir Poutine.

    Ce n'est pas étonnant : la guerre froide version 2.0 est avec une Russie, et non une Chine, diabolisée au possible. Vladimir Poutine explique donc : «Les Etats-Unis n’acceptent pas des compromis, ce qui est nécessaire pour résoudre les problèmes dans la politique mondiale. Ils choisissent plutôt une politique "contre-productive" des sanctions. [...] Ils n'ont apparemment pas envie de faire des compromis, ils n'ont qu'envie de dicter. Ce style a été formé aux Etats-Unis au cours des 15 à 20 dernières années , et ils ne peuvent toujours pas s'en éloigner.»

    Les investisseurs internationaux se fichent complètement d'une Europe pleine d'austérité et en proie à la peur

    Ajoutons que le président Poutine n'est pas surpris par des menaces récentes du vice-président américain Joe Biden : «On peut s’attendre à quoi que ce soit de nos amis américains. Qu'a-t-il a révélé de nouveau ? Ne sait-on pas que les responsables américains espionnent tout le monde... [Washington] dépense des milliards de dollars» pour ses services secrets d’espionnage «non seulement contre ses adversaires potentiels, mais également contre ses plus proches alliés».

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  8. Et finalement, il est commode pour les néoconservateurs/neolibéraux conservateurs d'avoir un épouvantail russe bien pratique : «Présenter l’Iran et la menace nucléaire iranienne comme un ennemi, cela n’a pas fonctionné. Présenter la Russie [comme un ennemi] semble plus intéressant. À mon avis, cette carte est activement jouée à l'heure actuelle.»

    Au-delà des BRICS, les tendances sont claires. Les investisseurs internationaux se fichent complètement d'une Europe pleine d'austérité et en proie à la peur. La Chine demeure un aimant, avec ses Tencent et Alibaba, par exemple, leaders des 47 % du commerce électronique mondial de la Chine. La Russie et le Brésil deviendront bientôt «attractifs» de nouveau. Tranquillement, pas à pas, les pays des BRICS font avancer leur jeu de puissance, soit par l’intermédiaire de la NDB ou l’Agence de notation pour les économies émergentes, qui bénéficie de l'immunité contre le l'hystérie du cirque de l'establishment américain.

    Lire aussi : Pourquoi les nouvelles routes de la soie effraient Washington

    https://francais.rt.com/opinions/27828-brics-progresse-doucement

    RépondreSupprimer
  9. Gouvernement grec raconte Accablé-Tax Self-Employed: «Aller en Bulgarie"


    par Tyler Durden
    20 octobre 2016 04h15


    Ce n'est pas un secret que dans le cadre des accords de sauvetage, les travailleurs indépendants de la Grèce sont accusés d'impôts plus élevés et des cotisations de sécurité sociale chaque année. Comme les détails KeepTalkingGreece.com, beaucoup, surtout du nord de la Grèce, ont déplacé leur base d'affaires en Bulgarie voisine pour des raisons évidentes: taxe de 10% au lieu de 29%, les contributions faibles de sécurité sociale, les incitations. Il est question que 60.000 entreprises qui ont déménagé au cours des sept dernières années d'austérité.

    Pas étonnant que les travailleurs indépendants et les pigistes se plaignent de la fiscalité, les cotisations et les pensions de coupe, pas étonnant qu'ils sont furieux au sujet des cotisations sociales de sécurité des randonnées qui viennent avec la nouvelle année.

    Lorsque Dimitris Tsakiris, gouverneur de travailleurs indépendants Fonds (le OAEE) de la Grèce, a visité Florina et Veria dans le nord de la Grèce afin d'informer les communautés locales sur les randonnées à venir, il était clair que la rencontre avec les travailleurs indépendants et OAEE-retraités serait de tourner ... à l'explosif.

    Tsakiris a été nommé gouverneur de OAEE en Octobre 2015. Les dettes à OAEE sont d'environ un demi-milliard d'euros.
     
    Pas beaucoup est connu au sujet de son arrière-plan, sauf que son CV était très pauvre, "seulement 11 lignes» comme la Nouvelle Démocratie a souligné à cette époque.

    Il a été nommé avec les voix de SYRIZA, Grecs indépendants et l'Union des centristes.

    Les habitants se sont plaints que 80% de leur chiffre d'affaires va passer à l'état sous forme d'impôts et de contributions.

    Apparemment Tsakiris avait pas d'autre idée que de les inciter à prendre des solutions alternatives.

    "Toute personne qui ne parvient pas à payer ses cotisations et estime qu'il est patriotique devrait aller en Bulgarie et emmener sa famille avec lui."

    Parlant au quotidien Kathimerini, Tsakiris a dit plus tard que sa déclaration a été «mal interprétée».

     Il a affirmé, il voulait démontrer que la vivacité et l'originalité des Grecs ne doivent pas être épuisés dans les moyens d'évasion fiscale et éviter la contribution, mais utilisés pour le développement de l'économie nationale.

    Bien que la déclaration Tsakiris de déclencher un scandale, le meilleur commentaire est venu de SYRIZA MP, Nikos Manios qui le pressait "pour aller à la Bulgarie et à devenir un gouverneur là." Manios a ajouté que ce n'est pas une façon de répondre aux citoyens concernés et que le dialogue doit prend place.

    http://www.zerohedge.com/news/2016-10-19/greek-government-tells-tax-burdened-self-employed-go-bulgaria

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Pareillement qu'il en est dans TOUTES les dictatures du monde, les 'Dirigeants' se plaignent toujours de voir disparaître leur seule source de revenu !

      Supprimer
  10. East Division West Vs. dollar - Non guerre nucléaire


    par Tyler Durden
    20 octobre 2016 02h00
    Soumis par Brandon Smith via Alt-Market.com,


    La chose intéressante sur le travail dans l'économie de remplacement est qu'inévitablement, vous deviendrez le buzzkill désigné. Vous pouvez être la présentation des faits sur le terrain et la réalité derrière les chiffres, mais la plupart de ce que vous avez à faire rapport ne sera pas agréable. Les économistes alternatifs sont condamnés à être étiquetés "doom et gloomers." Et c'est correct ...

    La vérité est ce qu'elle est, et parfois ça fait mal les gens obsédés par le positivisme excessif et la naïveté de marché haussier. Cependant, aussi mauvais que nous semblons être en ce qui concerne une perspective négative, nous ne présentons pas nécessairement les options les plus laides sur la table.

    Il existe une tendance indéniable par certains au sein du mouvement de la liberté d'assumer un Mad Max fin jeu de style de notre maison sans cesse croissant de cartes. Autrement dit, ils voient la seule issue plausible étant apocalyptique dans la nature, et l'holocauste nucléaire correspond bien au sein de ce point de vue. Dans de nombreux cas, l'argument est parfois présenté que WWIII est dans les meilleurs intérêts des élites mondiales qui cherchent un catalyseur pour leur soi-disant «nouvel ordre mondial».

    Cela ne veut pas dire que je ne pense pas que WWIII est une possibilité; C'est certainement. Mais je reste plutôt sceptique sur l'utilité d'une guerre nucléaire pour les élites. Principalement parce que tout ce qu'ils prétendent ouvertement qu'ils espèrent accomplir peut être accompli sans les armes nucléaires.

    Le récit d'un conflit à venir entre l'Orient et l'Occident a été en ébullition constante que l'élection américaine touche à sa fin. Même les médias traditionnels insinue le potentiel de coups de feu. Certains croient que les résultats de l'élection déterminera les chances de la guerre. Je tiens une position différente. Il me semble que la rhétorique de la contre l'Ouest et de l'échange nucléaire est exploitée comme une distraction loin d'une fin de jeu différent, mais presque aussi catastrophique - la mort du dollar américain comme monnaie de réserve mondiale.

    Tout d'abord, soyons clairs; la guerre nucléaire ne fait guère de servir les intérêts élitistes. Considérez le fait que globalistes ont travaillé avec diligence depuis 9/11 pour installer une infrastructure vaste de surveillance électronique dans les grandes villes à travers le monde. Cela inclut une présence de surveillance vidéo omniprésente, la collecte de données biométriques, la reconnaissance faciale, les empreintes digitales de la voix, etc. Ceci est non seulement produit dans le États-Unis et en Europe, mais en Chine et en Russie. Vladimir Poutine a signé le orwellien "Yarovaya Package" dans la loi en Juin en Russie de mettre en mouvement un appareil de surveillance électronique directement sur le pair avec des mesures exploitées par la NSA. Peut-être ironiquement, même Edward Snowden, vivant actuellement en Russie sous l'asile, a critiqué les amendements.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  11. Le point est, une grille de commande numérique complexe et coûteux est construit tout autour de nous. Il fait très peu de sens pour les élites pour atteindre un tel niveau de sensibilisation à spectre complet, puis jeter dans les tubes en un clin d'œil 1,2 mégatonnes. Gardez à l'esprit qu'un échange nucléaire comprend également le ciblage des satellites militaires - tout surveillance digne sera très probablement bien grillée.

    Une autre question à considérer est les fondements psychologiques de l'élitisme. Les élites présentent généralement la psychopathie, mais il est un psychopathie entraîné par le narcissisme plutôt que le nihilisme. Narcissiques ont tendance à se détourner de l'auto-destruction et la destruction des trésors qu'ils croient qu'ils ont droit. Les élites veulent la centralisation totale du pouvoir et de l'influence, et ils veulent que les masses à accepter ou même exigent un système dans lequel le globalisme devient sacro-sainte. Ils veulent la terre, et ils le veulent belle et vierge pour eux-mêmes. Ils pourraient être prêts à sacrifier certains appendices du système, mais ils ne sont pas l'intention de vaporiser l'ensemble de prix.

    Étant donné, les psychopathes n'aiment pas perdre. Ils ont une propension à tenter de prendre d'autres avec eux si elles sont sur le point d'échec. Cela dit, je pense que les récents rapports de la disparition de globalisme sont grandement exagérées.

    Le récit de venir guerre mondiale tourne autour de certaines hypothèses. Par exemple, certains partisans de la liberté soutiennent que le succès du référendum Brexit, la campagne Trump et la montée des mouvements de souveraineté sont une menace existentielle pour l'empire globaliste. Dans leur esprit, une guerre nucléaire déclenchée par les élites à ce stade est logique parce globalisme ne semble être «perdre».

    Comme je l'ai indiqué dans mon dernier article élites mondiales se préparent à vous blâmer pour The Coming crash financier, cela est tout simplement pas le cas. En fait, la montée des mouvements conservateurs et de souveraineté en Occident met en scène parfaitement pour les élites pour initier l'acte final d'un monde en mutation crise financière. Avec ces mouvements conservateurs dans «pouvoir», l'effondrement économique en cours peut alors être imputé à «dangereux populistes» plutôt que les banquiers internationaux qui ont créé le problème pour commencer.

    Les globalistes ne sont pas sur la course, ils jouent le jeu de la dialectique hégélienne comme ils ont toujours; problème, réaction, solution.

    Et, comme je l'ai mis en évidence et a exposé en détail dans de nombreux articles, le "conflit" entre l'Est et l'Ouest est un simulacre d'ingénierie. Au sommet des pyramides politiques et financières de chaque nation majeure, y compris la Russie et la Chine, les élites favorisent la mondialisation et d'une monnaie d'un monde sous le contrôle du Fonds monétaire international. Poutine a ouvertement soutenu le FMI domination de la structure financière mondiale et la mise en œuvre du DTS comme un pont vers un système monétaire mondial. Les autorités chinoises ont fait la même chose, et comme d'Octobre, la Chine est un amplificateur de liquidité majeur pour le DTS. La banque BRICS, qui était censé être un contrepoids au FMI et à la Banque mondiale, travaille effectivement en collusion avec le FMI et la Banque mondiale. La ligne de fond. Il n'y a pas Est contre l'Ouest, du moins pas où les élites sont concernés.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  12. Les Russes et les Chinois ne sont pas de notre côté. Ils ne sont même pas de leur côté. La seule opposition légitime aux globalistes est sous la forme de mouvements de base avec très peu d'influence politique concrète. Quelle que soit l'influence politique que nous faisons le gain tend à être rapidement cooptées par des mesures trompeuses et faux leaders qui servent en fin de compte les élites. Même le Brexit et une présidence Trump ne sont pas une menace réelle, car ils sont des fonctions d'un système que les élites contrôlent dans l'absolu, et ils ne seraient jamais autorisés à gagner du terrain à moins que les élites avaient besoin de boucs émissaires pour une crise économique plus grande.

    Notre combat a été jusqu'ici l'un de diffuser l'information et la lutte contre la propagande; batailles politiques ont été plutôt stérile. Donc, encore une fois, la guerre nucléaire sert guère les intérêts des élites dans ces conditions favorables.

    La guerre nucléaire est également une très mauvaise façon de gérer les objectifs les plus sombres de globalistes. Leur désir pour la réduction importante de la population, par exemple, pourrait être atteint beaucoup plus efficacement grâce à l'effondrement économique et la famine de masse plutôt que l'utilisation des missiles et des bombes. La nourriture est une meilleure arme que les atomes brisés ne seront jamais. Mais si le faux paradigme Est / Ouest ne prépare le terrain pour la guerre nucléaire, alors qui est-il utilisé ?

    Comme je l'ai examiné dans le passé, la division entre l'Est et l'Ouest beaucoup mieux sert les élites dans leurs efforts pour lentement mais sûrement renverser le dollar américain comme monnaie de réserve mondiale et le remplacer par le panier du DTS - la prochaine étape importante vers un seul système monétaire mondial et une seule autorité monétaire mondiale.

    Soyons clairs, les globalistes sont pas pro-dollar ou pro-Amérique. Ils ne l'ont été. En fait, la Réserve fédérale a détruit le pouvoir d'achat du dollar depuis la création de la banque centrale. Et, en affirmant le dollar comme monnaie de réserve mondiale, la Fed a effectivement placé l'Amérique dans une position de faiblesse financière grave plutôt que la force. Notre dépendance à l'égard du statut de réserve mondiale du dollar pour maintenir notre niveau de vie est si complète que la perte de ce statut sera en effet écraser notre pays. Notre système ne peut pas fonctionner sans statut de réserve.

    Je vais le décomposer encore plus loin; par la mort du dollar, les élites non seulement mis en mouvement le chaos nécessaire pour justifier la centralisation totale et une alternative de monnaie du monde, mais dans le processus, ils pourraient aussi retirer la plus grande menace à leur contrôle - ces millions de citoyens américains tenant toujours à idéaux conservateurs de la souveraineté et de la liberté personnelle.

    Le paradigme Est contre l'Ouest crée un parfait rationnel pour la fin du statut de réserve du dollar. Il suffit de regarder les tendances géopolitiques en mouvement.

    L'Arabie Saoudite avec sa vaste influence sur de nombreux pays de l'OPEP se déplace de l'États-Unis et le renforcement des liens plus étroits avec la Russie et la Chine. L'éloignement des relations entre les États-Unis et les Saoudiens est même encouragée aux États-Unis à travers le passage de l'Arabie projet de loi 9/11 de procès. Cela va inévitablement conduire à la fin de la pétro-statut du dollar et, par extension, l'aide à la fin de son statut de réserve mondiale.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  13. La Turquie est maintenant gravitait vers la Russie et à l'écart de l'OTAN après le "coup d'Etat" très étrange et très probablement mise en scène qui a donné Erdogan chambre sans précédent pour la dictature. Cette nouvelle relation peut même inclure le soutien militaire de la Russie.

    Les banques centrales étrangères dans le monde entier, y compris l'Arabie Saoudite et la Chine, sont actuellement liquident leurs avoirs du Trésor américains à un rythme record. Le programme de «dé-dollarisation» est déjà bien avancé.

    Les États-Unis d'ensemble a également perdu beaucoup de bonne volonté parmi les peuples du monde (ou ce que peu de bonne volonté qu'il avait à gauche) à la suite des révélations que le long avec des alliés a essentiellement provoqué l'effondrement de la Syrie et financé par des groupes de militants qui composent le squelette de ISIS. La fonction continue de notre implication dans déstabilisateur la Syrie n'a pas d'autre avantage à l'exception des Etats-Unis pour saper l'image de l'Amérique. Il ne nous donne pas la domination accrue du pétrole. Il ne nous donne pas augmenté la domination régionale. En fait, notre présence en Syrie ne cesse de nous nuire et nous amener à proximité dangereuse avec les intérêts de l'Est.

    Il y a des gens qui font bénéficier de cette dynamique - les globalistes.

    Le US est peint comme le méchant maladroit de notre petite histoire, avide et aveuglé par des visions de l'empire. L'Orient est configuré comme la partie la plus rationnelle, le médiateur en essayant de raisonner avec des fous occidentaux. Pour les globalistes, la mort du dollar, qui a été un projet en cours de la leur depuis des décennies, peut maintenant être terminée, et ils ne recevront aucun blâme que ce soit. Histoire, si elle est écrite par quelqu'un d'autre que les champions de la liberté, dira que l'Orient, et non les banquiers centraux, détruit le statut de réserve du dollar, car il fallait. L'histoire dira que nous avions venir.

    Dans la foulée, les élites espèrent venir à la rescousse que l'instabilité économique mondiale éclate avec l'échec du système de dollar. Comme ils admettent ouvertement dans The Economist en 1988, le dollar doit être remplacé par les droits de tirage spéciaux du FMI; le nouvel ordre mondial a besoin d'une grande remise à zéro financière avant qu'il puisse prendre racine. Mais, ceci est une méthodologie très différente de la guerre nucléaire généralisée.

    Des questions se posent quant à l'élection de Novembre et comment cela pourrait affecter les relations Est contre l'Ouest. Je ne vois aucune indication que cela fait une différence qui finit à la Maison Blanche dans la mesure où le résultat économique est concerné. Comme je l'ai déjà dit, je crois que Trump est le candidat le plus probable. Les relations avec l'Orient sont déjà en déclin irréversible et d'ingénierie, et même si Trump a de bonnes intentions, les globalistes vont tirer le bouchon sur le soutien financier aux marchés peu de temps après il entre dans le bureau ovale. nations orientales se préparent à une pause du dollar pendant des années. Ils travaillent en étroite collaboration avec le FMI. Si quoi que ce soit, la présence de Trump va accélérer la remise à zéro.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  14. Je pense que les notions de la guerre nucléaire et de l'Est vs Ouest conflagration endurent pour de nombreuses raisons. Un dégoût extrême pour Barack Obama a conduit de nombreux partisans de la liberté de supposer que l'homme ne sera jamais de renoncer à son siège du pouvoir. Ces personnes ne comprennent pas que Obama est rien de plus qu'un Muppet, un intermédiaire sans véritable influence. Les élites ne ont pas besoin de lui dans le bureau de poursuivre leur programme.

    D'autres supposent que le simple hasard d'une présidence de Trump est si dangereux pour les élites qu'ils préféreraient pousser le bouton nucléaire que le risque. Je pense que cela est un peu naïf. Comme indiqué dans les précédents articles, mouvements conservateurs gagnent le contrôle d'un navire qui est déjà en train de couler. Ils sont mis en place. Une Trump victoire pourrait aider les élites. Si l'économie et la monnaie américaine s'effondre sous Trump, les mouvements conservateurs peuvent être blâmés. Si leur effondrement sous Clinton, la cabale bancaire sera blâmé. Il me semble clair que meilleure option sert élitistes.

    Une guerre nucléaire est peut-être aussi inconsciemment attrayante pour certaines personnes. L'idée que l'ardoise pourrait être nettoyé ne laissant que le prêt à sortir de la fumée et de cendres à reconstruire pourrait à certains égards, être considéré comme un résultat préférable. Comparez cela à des mouvements de liberté prenant le blâme pour une calamité économique tout en luttant contre une machine globaliste empiétant, sacrifier pendant des années ou peut-être des décennies sur la seule chance que nous pouvons, par la force de la volonté et de l'ingéniosité, vaincre un empire bien organisé avec une masse établie réseau de surveillance et des millions de citoyens dupés sur son côté.

    L'enfer, je suis réellement optimiste en ce qui concerne notre capacité à renverser le globalisme, mais je ne vois pas de moyen facile sortir de cette situation. Je trouve attristant que le combat à venir est si effrayant pour les gens qu'ils préféreraient assument un cauchemar nucléaire est sur le chemin. L'agonie lente de la décadence économique et une rébellion contre Big Brother peuvent être moins appétissante, mais à mon avis, il est inévitable.

    http://www.zerohedge.com/news/2016-10-19/east-vs-west-division-about-dollar-not-nuclear-war

    RépondreSupprimer
  15. La Russie déploie la plus grande force navale depuis la guerre froide Pour la Syrie: Diplomat OTAN


    par Tyler Durden
    19 octobre 2016 18h42


    Il y a quelques instants, nous avons signalé que, dans la dernière escalade impliquant la Syrie, le porte-avions russe Kuznetsov qui navigue désormais et a passé en Norvège sur son chemin vers la Syrie, où il devrait arriver en moins de 2 semaines. Dans le cadre du groupe naval de support, la Russie a également déployé une escorte de sept autres navires russes, dont nous surnommé le «task force navale russe la plus puissante pour naviguer en Europe du Nord depuis 2014», selon Nezavissimaïa Gazeta rapports quotidiens de la Russie.

    Il se trouve que ce qu'il était encore plus grand, parce que, selon un diplomate de l'OTAN cité par Reuters, la Russie "déploie tous la flotte du Nord et une grande partie de la flotte de la Baltique dans le plus grand déploiement de surface depuis la fin de la guerre froide," le diplomate dit sous couvert d'anonymat.

    "Ce n'est pas un appel de port ami. Dans deux semaines, nous allons voir un crescendo d'attaques aériennes sur Alep, dans le cadre de la stratégie de la Russie à déclarer la victoire là-bas", a déclaré le diplomate.

    Une campagne aérienne intensifiée dans l'est d'Alep, où 275.000 personnes sont pris au piège, serait encore aggraver les relations entre Moscou et l'Occident, selon le diplomate qui a ajouté que «Avec cet assaut, il devrait être suffisant pour permettre une stratégie de sortie de Russie si Moscou croit Assad est maintenant assez stable pour survivre ".

    Comme nous l'avons signalé plus tôt, les photos des navires ont été libérés par l'armée norvégienne. Un journal norvégien a cité le chef du service de renseignement militaire norvégien disant que les navires impliqués "Cela va probablement jouer un rôle dans la bataille décisive pour Alep". C'et la plus que cela et que Reuters a rapporté il y a deuxième, citant un diplomate de l'OTAN, la Russie est en fait le déploiement de la force navale plus importante depuis la fin de la guerre froide pour renforcer sa campagne en Syrie. De Reuters: Bien qu'il y ait peu que nous pouvons ajouter à ce que nous ne disons simplement dans le post précédent, nous voulons rappeler aux lecteurs ce que à quoi la Meditteranée ressemblait à l'été 2013, lorsque la première escalade entre la Russie et les Etats-Unis converti la mer au large de la côte syrienne dans un parc de stationnement pour les navires de guerre.

    Dans deux semaines, il est sur le point d'obtenir beaucoup plus de monde.

    * * *

    Pour ceux qui l'ont raté, voici les faits saillants de notre post précédent sur la composition de la flottille russe:

    Selon un rapport de l'armée norvégienne, qui a publié des photos prises par des avions de surveillance, nous savons que le Kuznetsov accompagné d'une flotte de navires de guerre russes, est actuellement en route vers la Syrie et navigue dans les eaux internationales au large de la côte de la Norvège près de Trondheim. Photos des navires, qui comprennent l'amiral porte-avions Kuznetsov et le croiseur de bataille Pyotr Velikiy, ont été prises près de l'île Andoya, dans le nord de la Norvège lundi.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  16. - voir photo sur site -

    Tel que rapporté par Reuters, un porte-parole du service de renseignement militaire norvégien dit que les forces armées du pays publie fréquemment ces séquences, tandis que le journal VG a cité le général Morten Haga Lunde, chef du service, disant que les huit navires impliqués "va probablement jouer un rôle dans la bataille décisive pour Alep ". Selon TASS état agence de nouvelles de la Russie, le porte-avions serait transporter 15 Su-33 et MIG-29K chasseurs à réaction et plus de 10 Ka-52K, Ka-27 et 31 hélicoptères.

    Le groupe naval qui comprend le transporteur et son escorte de sept autres navires russes, est la plus puissante force navale russe à la voile en Europe du Nord depuis 2014, Nezavissimaïa Gazeta rapports quotidiens de la Russie. Le transporteur peut transporter plus de 50 avions et ses systèmes d'armes anti-navires comprennent des missiles de croisière Granit.

    Suivant à la flottille, en termes de puissance de feu, est la propulsion nucléaire russe croiseur de bataille Pierre le Grand.

    - voir photo sur site -

    Le croiseur Kirov classe Pierre le Grand escorte le transporteur

    Comme ajoute la BBC, un Lockheed P-3 Orion avion de reconnaissance norvégien, contrôle de la force, a photographié les navires. MiG-29 Fulcrum jets et des hélicoptères de combat étaient visibles sur le pont du transporteur.

    Les autres navires de surface russes du groupe sont: deux grands navires de guerre anti-sous-marins - le Severomorsk et le vice-amiral Kulakov - et quatre navires de soutien.

    - voir photo sur site -

    Plusieurs des navires du groupe de travail sont présentées dans cette photo Norwegian

    - voir photo sur site:

    http://www.zerohedge.com/news/2016-10-19/russia-deploying-largest-naval-force-cold-war-syria-nato-diplomat

    RépondreSupprimer
  17. L’ultra-coûteuse saga d’ITER continue … pour rien


    le 20 octobre 2016


    Quand Reagan et Gorbachev signèrent en 1985 un agrément pour la construction de l’International Thermonuclear Experimental Reactor, plus connu sous le nom d’ITER en construction à Cadarache dans le sud de la France, paradoxalement à l’endroit même où se trouve une branche importante du CEA qui produit quelques-uns des ingrédients des bombes thermonucléaires françaises, ces deux politiciens ne savaient probablement pas de quoi ils parlaient.

    Personne ne sait encore avec quel matériau seront construits les échangeurs de chaleur et le tore de confinement du plasma, la question étant d’en trouver un résistant à des températures frisant le million de degré et à un bombardement neutronique extrêmement intense qui détruira très rapidement toute la structure en forme de tore où sera confiné le plasma de deutérium et de tritium qui devrait permettre cette fusion sur laquelle tous les espoirs d’une « énergie propre » et inépuisable sont fondés. De plus l’ensemble de cette machine à gaz deviendra rapidement tellement radioactive qu’il sera impossible d’y intervenir pendant des milliers d’années … mais personne n’en parle, c’est trop gênant.

    Juste un exemple pour situer le problème. Le grand accélérateur de hadrons du CERN qui ne fait qu’accélérer des particules tout au long d’un cercle de 28 kilomètres comprend aussi des aimants et ces particules, quand elles s’entrechoquent, émettent tellement de radiations qu’il faut remplacer certains matériaux devenus hautement radioactifs pratiquement tous les 5 ans à grands frais le plus souvent à l’aide de robots télécommandés à distance. C’est tout de même curieux que les ingénieurs qui travaillent pour le projet ITER n’aient pas intégré dans leur tête les gros problèmes de maintenance du CERN qu’ils connaissent pourtant parfaitement alors que la CERN ne réalise pas de fusions à proprement parler mais seulement des chocs frontaux de particules et d’ions plus ou moins lourds qui provoquent des gerbes d’intenses radiations.

    Ce projet ITER est une pure vue de l’esprit, une extravagance incroyablement coûteuse pour accoucher d’une ruine qui n’aura produit finalement aucun kilowatt commercial.

    En 1985 le coût initial du projet était estimé à 5 milliards de dollars de l’époque car l’euro n’existait pas encore. Les personnes autorisées mentionnaient qu’en 2015 tout serait plié et que le réacteur serait opérationnel. Quel beau rêve ! Aux alentours de 2005 le coût global de cette construction fut réévalué à 9 milliards d’euros, un détail … En 2010 ce coût atteignit 15 milliards et maintenant, en 2016, la facture s’élèvera probablement à 20 milliards. Les prévisions font état d’une première « fusion » réussie aux alentours de 2025 mais, soyons prudents tout de même, les premiers kilowatts ne seront produits qu’en … 2035, naturellement si tout va bien.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  18. Qui paie pour ce délire ? Les pays qui ont ratifié ce projet, c’est-à-dire les contribuables de l’Union Européenne, des USA, de la Russie, de l’Inde, de la Chine, de la Corée et du Japon. Et ça va continuer puisqu’une estimation réalisée par l’agence Nikkei prévoit qu’en 2022 le budget d’ITER sera révisé à la hausse à 26 milliards d’euros pour éventuellement atteindre 40 milliards au final, ben voyons !

    Tout ça pour un projet qui ne sera jamais couronné de succès ! Les opposants utilisent des arguments totalement débiles en avançant que 62 éoliennes off-shore de nouvelle génération produisent la même quantité d’électricité que celle programmée pour ITER au final (500 MW électriques) et ils avancent des arguments encore plus fallacieux à propos de l’énergie nucléaire civile par fission qui a fait ses preuves depuis des années en surestimant systématiquement les coûts du démantèlement des réacteurs et du retraitement des combustibles irradiés. Il s’agit de désinformations tout aussi grossières que celle qu’on trouve sur le site officiel d’ITER ( https://www.iter.org/ ) où les problèmes techniques totalement insolubles mentionnés ci-dessus sont soigneusement occultés. Le fantasmagorique projet ITER est une pompe à fric scandaleuse, un scandale auquel il faut que les gouvernements des pays partie-prenante mettent fin aussi vite que possible.

    Source et illustration : Nikkei et Wolfstreet

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2016/10/20/lultra-couteuse-saga-diter-continue-pour-rien/

    RépondreSupprimer
  19. Provoquer une guerre nucléaire via les médias


    29 août 2016


    Premiers soutiens de la politique belliciste des élites au pouvoir en Occident, les médias ont une large part de responsabilité dans les drames qui se déroulent tous les jours et la possible aggravation de la situation, estime l'écrivain John Pilger.

    John Pilger est journaliste, cinéaste et écrivain. Pour ses films documentaires il a remporté un Emmy et un prix de l’Académie britannique des arts de la télévisions et du cinéma (BAFTA). Son épopée de 1979, «Cambodge l’année zéro», est classée par le British Film Institute parmi les dix documentaires les plus importants du 20e siècle.

    La disculpation d'un homme accusé des pires crimes, de génocide, n'a pas fait la une des journaux. Ni la BBC ni CNN ne l'ont couvert. The Guardian s'est contenté d'un petit commentaire. Un aveu officiel d’une telle rareté a bien entendu été enterré, étouffé. Cela expliquerait trop de choses quant à la manière des dirigeants du monde de gouverner.

    Le Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie (TPIY) a discrètement blanchi feu le président serbe Slobodan Milosevic des crimes de guerre commis durant la guerre de Bosnie de 1992-1995, y compris le massacre de Srebrenica.

    Loin d’avoir conspiré avec le leader des Serbes de Bosnie Radovan Karadzic, Milosevic avait en fait «condamné l'épuration ethnique», s'était opposé à Karadzic et avait essayé de mettre fin à cette guerre qui a provoqué l’effondrement de la Yougoslavie. Cette vérité, enfouie à la fin de la 2 590ème page du jugement de Radovan Karadzic datant de février de cette année, détruit un peu plus la propagande ayant justifié l'offensive illégale de l’OTAN sur la Serbie en 1999.

    Le président Milosevic a été victime d’une propagande de guerre qui envahit aujourd'hui nos écrans et journaux et présente un grand danger pour tout le monde

    Slobodan Milosevic est décédé en 2006 d’une crise cardiaque, tout seul dans sa cellule à la Haye, en plein milieu de ce faux procès du «tribunal international» inventé par les Etats-Unis. Comme WikiLeaks l'a révélé plus tard, son état, surveillé par des responsables américains qui gardèrent le secret, s'est aggravé lorsqu’une opération du cœur qui aurait pu lui sauver la vie lui a été refusée.

    Lire aussi
    Avions de combat F/A-18 Hornet et E-2D Hawkeye Pour trouver la source de la paranoïa de la «menace russe», suivez l’argent

    Le président Milosevic a été victime d’une propagande de guerre qui envahit aujourd'hui nos écrans et journaux et présente un grand danger pour tout le monde. Il a été le prototype du démon, vilipendé par les médias occidentaux pour être le «boucher des Balkans» responsable de «génocide», notamment dans la province yougoslave sécessionniste Kosovo. Le Premier ministre Tony Blair avait dit cela, évoquant l’Holocauste et en demandant de prendre des mesures contre «ce nouvel Hitler».

    David Scheffer, ambassadeur itinérant pour les crimes de guerre [sic] a déclaré que «225 000 hommes d’origine albanaise âgés de 14 à 59 ans» avaient probablement été assassinés par les forces de Milocevic.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  20. C'est comme ça qu'on a justifié les bombardements otaniens dirigés par Bill Clinton et Tony Blair, qui ont tué des centaines de personnes dans des hôpitaux, des écoles, des églises, des parcs et des studios de télévision et ont détruit l’infrastructure économique de la Serbie. Le prétexte idéologique était flagrant ; Slobodan Milosevic dû faire face lors de la fameuse «conférence de paix» à Rambouillet, en France, à la secrétaire d'Etat américain Madeleine Albright qui rentrerait dans les annales de l’infamie avec sa remarque selon laquelle la mort de 500 000 enfants irakiens «avait valu la peine».

    Le but était d'écraser le dernier pays «socialiste» indépendant d'Europe.

    Madeleine Albright a fait à Slobodan Milosevic une offre qu'aucun leader national n'aurait pu accepter. La Serbie serait bombardée, sauf s'il était d'accord pour l'occupation militaire de son pays par des forces étrangères «hors de la procédure légale» et pour l'imposition du «marché libre» néo-libéral. Cela figurait dans «l'annexe B», document que les médias n’ont pas lu ou ont mis de côté. Le but était d'écraser le dernier pays «socialiste» indépendant d'Europe.

    Une fois les bombardements de l'OTAN entamés, il y eut une vague de réfugiés Kosovars «fuyant l’holocauste». Quand tout prit fin, la police internationale se rendit au Kosovo pour exhumer les victimes. Le FBI n’a pas trouvé une seule fosse commune et est rentré chez lui. L’équipe médico-légale espagnole a fait de même, son chef ayant dénoncé avec rage «une pirouette sémantique des machines de la propagande de guerre». D'après les estimations définitives, il y a eu 2 788 morts au Kosovo. Parmi eux, des combattants des deux côtés, des Serbes et des Roms assassinés par le Front de libération du Kosovo pro-OTAN. Il n'y a pas eu de génocide. L’attaque de l’OTAN était une imposture et un crime de guerre à la fois.

    A l'exception d'une partie des missiles américains tant vantés, «guidées avec précision», tous les autres ont touché des cibles civiles et non militaires, y compris le studio de radio et télévision serbe à Belgrade. Seize personnes ont été tuées, y compris les cameramans, les producteurs et une maquilleuse. Tony Blair a pu expliquer que les victimes faisaient partie du «commandement de contrôle» serbe.

    D'après les standards de Nuremberg, tous ces actes sont des «crimes suprêmes», tous reposent sur la propagande médiatique

    La procureur du Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie Carla Del Ponte a révélé en 2008 avoir subi des pressions pour ne pas enquêter sur les crimes de l’OTAN.

    C'est selon ce modèle que Washington a agi en envahissant l'Afghanistan, l'Irak, la Libye, et la Syrie en catimini. D'après les standards de Nuremberg, tous ces actes sont des «crimes suprêmes», tous reposent sur la propagande médiatique. Alors que les tabloïds ont joué leur rôle traditionnel, le journalisme sérieux, crédible, et souvent libéral, s'est avéré le plus efficace : la promotion évangélique de Tony Blair et de ses guerres par The Guardian, la propagation des mensonges incessants sur les armes de destruction massive inexistantes de Saddam Hussein par The Observer et The New York Times, l’infaillible tambour de la propagande du gouvernement par la BBC avec le silence de ses omissions.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  21. Kirsty Wark, de la BBC, a interviewé le général Wesley Clark, commandant de l’OTAN, au sujet des bombardements. La ville serbe de Nis venait juste d'être prise pour cible par des bombes à fragmentation américaines qui ont tué des femmes, des vieillards et des enfants sur un marché ouvert et dans un hôpital. Kirsty Wark n'a pas posé une seule question à ce sujet ou au sujet des victimes civiles.

    Lire aussi
    Radovan Karadzic Karadzic mérite d’être puni, mais qu’en est-il des néoconservateurs américains ?

    D’autres exemples ont été encore plus scandaleux. En février 2003, un jour après que Tony Blair et Georges Bush ont mis le feu à l'Irak, le journaliste politique de la BBC Andrew Marr était sur Downing Street et faisait une sorte de discours victorieux. Plein d'enthousiasme, il expliqua aux téléspectateurs que Tony Blair avait assurait qu'il «sera[it] en mesure de prendre Bagdad sans faire de massacres, et que en fin de compte les Irakiens fêter[aient] cela. [Et qu’il avait] eu raison sur ces deux points.» Aujourd'hui, après la mort d’un million de personnes et la ruine de toute une société, les interviews d'Andrew Marr de BBC sont recommandés par l’ambassade américaine à Londres.

    Cette obéissance aux États-Unis et à ses alliés comme à une force bénigne trouve de profondes racines dans le journalisme de l'establishment occidental

    Les collègues d'Andrew Marr se sont alignés pour dire que Tony Blair avait été «disculpé». L'envoyé de la BBC à Washington, Matt Frei, a pu écrire: «La volonté d'apporter le bien, de répandre les valeurs américaines sur le reste du monde, et surtout sur le Moyen Orient, est sans aucun doute... de plus en plus liée à la puissance militaire.»

    Cette obéissance aux États-Unis et à ses alliés comme à une force bénigne trouve de profondes racines dans le journalisme de l'establishment occidental. Grâce à cette obéissance, l’actuelle catastrophe en Syrie est exclusivement attribuée à Bachar el-Assad, que l'Occident et Israël aspirent depuis longtemps à renverser – pas pour des raisons humanitaires mais en vue de consolider la puissance agressive d’Israël dans la région. Les forces djihadistes libérées et armées par les Etats-Unis, par la Grande-Bretagne, la France, la Turquie et leur proxies de la «coalition» servent ce but. Ce sont eux qui distribuent la propagande et les vidéos qui font l'actualité aux Etats-Unis et en Europe, et qui accordent un accès aux journalistes pour garantir la partiale «couverture» de la crise en Syrie.

    La ville d’Alep fait la une. La plupart des lecteurs et des téléspectateurs ne saura pas que la majorité de la population d’Alep vit dans la partie occidentale de la ville, contrôlée par le gouvernement. Qu'elle souffre tous les jours des bombardements opérés par Al-Qaïda, soutenue par l'Occident, n’est pas une information. Le 21 juillet, les bombardiers américains et français ont attaqué un village du gouvernement dans une province d'Alep, faisant 125 morts parmi les civils. The Guardian l'a rapporté à la 22ème page ; il n'y a pas eu de photo.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  22. Les Etats-Unis, qui ont créé et soutenu le djihadisme en Afghanistan dans les années 1980 avec l'opération Cyclone, l'arme censée détruire l’Union soviétique, font quelque chose de similaire en Syrie. Tout comme les moudjahidine afghans, les «rebelles» syriens sont des fantassins américains et britanniques. Certains luttent pour Al-Qaïda et ses branches ; d'autres, comme le Front Al-Nosra, se sont rebaptisés pour respecter la sensibilité américaine pour le 11 septembre 2001. Ils sont dirigés par la CIA, non sans difficultés, comme tous les djihadistes du monde.

    L’objectif de long terme est de priver la Russie de son allié clé au Moyen-Orient, ce qui fait partie de la guerre d'usure menée par l'OTAN contre la Russie

    L’objectif immédiat est de détruire le gouvernement de Damas qui, selon le sondage le plus fiable (YouGov Siraj), est soutenu par la majorité des syriens ou dont ils cherchent du moins sa protection, peu importe les actions barbares qui se déroulent en coulisse. L’objectif de long terme est de priver la Russie de son allié clé au Moyen-Orient, ce qui fait partie de la guerre d'usure menée par l'OTAN contre la Russie afin de finir par la détruire.

    Le risque nucléaire est évident, même si les médias à travers «le monde libre» l'ignorent. Les éditorialistes du Washington Post, qui ont fait la promotion de la fiction des armes de destruction massive en Irak, appellent Barack Obama à attaquer la Syrie. Hillary Clinton, qui se réjouissait publiquement de son rôle de bourreau pendant le démantèlement de la Libye, a indiqué à plusieurs reprises qu'en tant que présidente, elle «irait plus loin» que Barack Obama.

    Lire aussi
    Un Tupolev Tu-22M3 pendant un raid aérien à Alep La percée russe au Moyen-Orient… Pas étonnant que Washington soit contrarié

    Gareth Porter, journaliste et correspondant à Washington, a récemment révélé les noms de ceux qui pourraient faire parti du gouvernement de Hillary Clinton, celle qui projette d'attaquer la Syrie. Tous ont des profils du genre de ceux de la guerre froide ; Leon Panetta, ancien directeur de CIA, est certain que «le prochain président devrait envisager d'envoyer sur le terrain des forces spéciales supplémentaires».

    Ce qui est le plus remarquable dans la propagande de guerre d’aujourd'hui, c'est son absurdité et sa familiarité. J'ai regardé des film d’archives du Washington des années1950, à l'époque de la chasse aux sorcières du sénateur Joe McCarthy contre les diplomates, les fonctionnaires et les journalistes, pour avoir contesté les mensonges et la paranoïa visant l’Union soviétique et la Chine. Le culte anti-russe est revenu comme une tumeur.

    Tout comme Slobodan Milosevic, Vladimir Poutine est le démon numéro un.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  23. Luke Harding de The Guardian offre aux haineux de la Russie un flux de parodies journalistiques qui attribuent à Vladimir Poutine toutes les iniquités du monde. Quand on a publié les fuites de Panama Papers, c'était Vladimir Poutine, c'est sa photo qui était à la une, même s'il n'était mentionné nulle part dans ces documents.

    Tout comme Slobodan Milosevic, Vladimir Poutine est le démon numéro un. C'est Poutine qui a abattu l'avion de ligne malaisien au-dessus de l’Ukraine. Titre : «Cela me concerne, Poutine a tué mon fils.» On n'a pas besoin de preuves. C'est Vladimir Poutine qui est responsable du renversement du gouvernement élu de Kiev, financé par Washington en 2014 ; la campagne de terreur des milices fascistes contre la population russophone de l’Ukraine qui l'a suivi a été le résultat de «l'agression» de Poutine ; ne pas laisser la Crimée devenir une base de missiles de l'OTAN et protéger la majorité de la population russe qui a voté lors d’un référendum pour rejoindre la Russie - d'où le fait que la Crimée a été annexée - tout cela ont été des exemples supplémentaires de «l'agression» de Poutine. Les diffamations des médias se transforment inévitablement en guerre des médias. Si une guerre avec la Russie éclate, par dessein ou par accident, c'est aux journalistes que reviendra la plus grande part de responsabilité.

    La campagne anti-russe aux Etats-Unis a atteint un niveau de réalité virtuelle. Le chroniqueur du New York Times Paul Krugman, économiste et prix Nobel, a appelé Donald Trump le «candidat de Sibérie», parce que, comme il l’a dit, Donald Trump est l’homme de Poutine. Donald Trump avait osé suggérer, dans un rare moment de lucidité, que la guerre avec la Russie pourrait être une mauvaise idée. En fait, il est allé plus loin en supprimant du programme républicain les livraisons d’armes américaines à l’Ukraine. «Ne serait-il pas merveilleux de s'entendre avec la Russie», se demandait-il.

    C’est pourquoi l’establishment libéral belliciste de l’Amérique le déteste. Et cela n'a rien à voir avec son racisme et sa démagogie. Le racisme et l’extrémisme du couple Clinton peut n’importe quand largement dépasser ceux de Donald Trump. (Cette semaine est le vingtième anniversaire de la «réforme» du bien-être public de Bill Clinton, qui a déclenché la guerre contre les Afro-américains). En ce qui concerne Barack Obama, alors que la police abat ses semblables afro-américains la Maison Blanche n'a rien fait pour les protéger, pour soulager leur pauvreté, en menant quatre guerres et une campagne d’assassinats sans précédent.

    Ces tribunes de la «guerre perpétuelle» ont peur que le commerce guerrier de plusieurs milliards de dollars, qui est la base de la domination américaine, soit fragilisé au cas où Donald Trump conclurait un accord avec Vladimir Poutine

    La CIA a appelé à ne pas voter pour Donald Trump. Les généraux du Pentagone ont fait de même. The New York Times belliciste fait de même, quand il prend une pause et cesse d'émettre ses interminables diffamations interminables de Vladimir Poutine. Il se passe quelque chose. Ces tribunes de la «guerre perpétuelle» ont peur que le commerce guerrier de plusieurs milliards de dollars, qui est la base de la domination américaine, soit fragilisé au cas où Donald Trump conclurait un accord avec Vladimir Poutine et ensuite avec Xi Jinping. Leur panique, causée par la possibilité de la paix entre les grandes puissances mondiales, qui est pourtant peu probable, ne serait qu’une sombre farce si la situation n'était pas si dramatique.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  24. «Donald Trump aurait aimé Staline !», hurlait le vice-président Joe Biden lors d’un rassemblement en faveur d’Hillary Clinton. Hillary Clinton ayant hoché la tête, il s'est écrié : «Nous ne nous inclinons jamais. Nous ne plions jamais. Nous ne nous mettons jamais à genoux. Nous ne cédons jamais. C'est à nous qu'appartient la ligne d’arrivée. Voilà qui nous sommes. Nous sommes l’Amérique !»

    Lire aussi
    Le top 10 des théories du complot «acceptables» de l'establishment occidental

    En Grande-Bretagne c'est Jeremy Corbyn qui a provoqué l'hystérie des guerriers du parti travailliste et des médias qui se sont mis à le dénigrer. Lord West, ancien amiral et ministre du travail, l'a bien dit. Jeremy Corbyn a pris une position anti-guerre «scandaleuse», parce que cela pousse les «masses qui ne réfléchissent pas à voter pour lui ».

    Le modérateur a demandé à Jeremy Corbyn lors des débats avec son adversaire Owen Smith : «Comment agiriez-vous si Vladimir Poutine violait la souveraineté de l’OTAN ?»

    Jeremy Corbyn a répondu : «D'abord on essaierait évidemment de l'éviter. On construirait avec la Russie un dialogue sain... On essaierait d'assurer une démilitarisation [de la situation] entre la Russie et l’Ukraine et de tous les autres pays qui sont entre la Russie et l’Europe de l'est. Ce qu'on ne peut permettre, c'est une série d'accumulations de troupes des deux côtés, parce que cela ne conduit qu'à de plus grands dangers dans le futur.»

    Quand on lui a demandé directement s'il autoriserait la guerre contre la Russie au cas ou il y était «obligé», Jeremy Corbyn a riposté : «Je ne veux pas aller à la guerre, ce que je veux, c'est parvenir à un monde qui n'a pas besoin de guerre.»

    Malgré le rapport Chilcot et le nombre de faits incriminés, Tony Blair reste leur source d'inspiration, parce qu'il est le «gagnant».

    Ces questions s'expliquent largement par la montée des bellicistes libéraux en Grande-Bretagne. Le parti travailliste et les médias leur ont depuis longtemps offert des possibilités de faire carrière. Le tsunami moral lié au crime irakien les avait laissé patauger, leurs inversions de la vérité les avaient mis dans l'embarras. Malgré le rapport Chilcot et le nombre de faits incriminés, Tony Blair reste leur source d'inspiration, parce qu'il est le «gagnant».

    Le journalisme dissident a été systématiquement banni depuis, alors que les idées démocratiques ont été vidées et remplies ensuite d’une nouvelle identité politique qui ne voit pas de différence entre le genre et le féminisme, entre l'angoisse publique et la libération, ignore délibérément la violence d'Etat et les armes qui tuent d’innombrables vies dans des endroits éloignés comme le Yémen et la Syrie et appelle à la guerre nucléaire en Europe et partout dans le monde.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  25. L'intérêt des personnes de tout âge face à la personnalité de plus en plus populaire de Jeremy Corbyn vient contredire cela dans une certaine mesure. Il a passé sa vie à mettre en lumière l'horreur de la guerre. Le problème de Jeremy Corbyn et de ses partisans, c'est le parti travailliste. Le problème des milliers d’adeptes de Bernie Sanders aux Etats-Unis, c’était le parti démocrate, sans même parler de la trahison de la part de leur grand espoir.

    Aux Etats-Unis, berceau des droits civiques et des mouvements anti-guerre, Black live matters et ceux du genre de Codepink en sont les racines d’une version contemporaine.

    Parce que seul un mouvement qui investit toutes les rues et traverse les frontières sans se décourager peut arrêter ces guerriers. L'année prochaine, ce poème de Wilfred Owen fêtera ses 100 ans. Chaque journaliste devrait le lire et ne jamais l'oublier.

    Que votre oreille à chaque cahot capte ces gargouillis
    De sang jaillissant des poumons rongés d'écume,
    Ce cancer obscène, ce rebut d'amertume tel, immonde,
    L'ulcère à jamais corrompant la langue innocente, —
    Ami, avec ce bel entrain plus ne direz
    Aux enfants brûlant de gloire désespérée,
    Ce Mensonge de toujours : Dulce et decorum est
    Pro patria mori

    Lire aussi : «Ici Prague, ici Prague» - la réalité alternative de Radio Free Europe

    https://francais.rt.com/opinions/25633-provoquer-guerre-medias

    RépondreSupprimer
  26. Révélations d'assassinats ciblés par drone : la destitution de Hollande évoquée par un député


    20 oct. 2016, 15:56


    Le député (LR) Pierre Lellouche a estimé que la question de la destitution du président de la République était posée, en raison des confidences de celui-ci à des journalistes au sujet d'assassinats de djihadistes par la France durant son mandat.

    François Hollande peut-il être déchu de sa fonction de chef d'Etat pour avoir dévoilé aux auteurs de l'ouvrage Un président ne devrait pas dire ça, ses ordres d'assassinat par drone d'au moins quatre personnes, dans le cadre de la lutte contre le terrorisme islamiste ? C'est en tout cas ce que semble penser le député Pierre Lellouche (Les Républicains) qui, lors d'un débat à l'Assemblée nationale sur les opérations extérieures de la France, le mercredi 19 octobre, a estimé que «la question de l'application de l'article 68 [était] désormais posée».

    Cet article de la Constitution indique notamment que le président de la République peut être destitué «en cas de manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l'exercice de son mandat» – or, pour l'élu parisien, l'actuel locataire de l'Elysée a «violé ouvertement l'obligation de secret».

    «Comment peut-on imaginer, monsieur le Premier ministre, que le président de la République, chef des armées, s'installe dans le rôle de commentateur en temps réel de décisions les plus secrètes en matière d'emploi de la force [...] ?», a lancé le député de droite à Manuel Valls, sans pour autant dénoncer les assassinats de djihadistes eux-mêmes.

    Hollande, passible de jugement par la Cour pénale internationale ?

    Mardi 18 octobre, ce sont précisément ces assassinats que l'ex-leader du Front de Gauche Jean-Luc Mélenchon avait pris pour cible, lors d'une émission diffusée sur RMC et BFM TV. «J'espère [que François Hollande] va démentir ce qu'il y a dans le livre qui lui est consacré où il reconnaît des assassinats ciblés», avait déclaré le candidat à l'élection présidentielle, avant de souligner que ce type de décision relevait selon lui de la Cour pénal internationale.

    Si l'on savait depuis 2014 que François Hollande avait donné l'ordre à la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) de supprimer Ahmed Abdi al-Muhammad, le chef de Shebabs (un mouvement terroriste islamiste somalien), l'évocation de quatre assassinats ciblés à la demande de l'Elysée est inédite. Le président de la République n'est en effet pas censé s'autoriser ce type d'action, décidée de manière arbitraire et sans aucun cadre légal.

    Lire aussi : Quand Obama s'inquiète de l'usage meurtrier des drones que pourraient en faire ses successeurs

    https://francais.rt.com/international/27841-revelations-dassassinats-cibles-par-drones

    RépondreSupprimer
  27. A propos de la guerre


    20 oct. 2016


    Dans une nation qui se veut une démocratie, ce n'est pas aux hommes politiques ou aux militaires, mais plutôt à la population d'approuver ou non l’engagement dans une guerre ou sa continuation, selon contre-amiral français Claude Gaucherand.

    Claude Gaucherand est un contre amiral et écrivain français. Attaché naval à Londres (1981-1984), il a servi au SGDN de 1986 à 1988 ; assumé de 1992 à 1996 le commandement interarmées des forces françaises au Cap Vert (Sénégal) et de la zone maritime de l’Atlantique sud. Il a quitté la Marine en 1996.

    Il n’est de jour où nous n’entendons parler de guerre, comme d’une chose terrible et pourtant quotidienne, condamnable pour les uns, juste pour les autres. Mais de quoi parlons-nous exactement ?

    Quelques définitions

    Il y eut la guerre en dentelle, summum de la civilisation si l’on en croit le major général J.F.C Fuller. Les batailles étaient réservées à la belle saison et les populations civiles en principe préservées. Puis selon l’auteur, avec la révolution française ce fut le retour à la barbarie avec le peuple en armes et la mobilisation des masses. La guerre de sécession fut l’occasion pour l’humanité de découvrir la guerre totale avant de faire quelques décennies plus tard l’expérience d’une Première Guerre mondiale.

    Pour mémoire l’humanité a fait et continue de faire l’expérience des guerres coloniales, civiles, révolutionnaires, d’indépendance, indienne, toutes sortes de guerres qui peuvent se conjuguer bien évidemment, sans omettre les guerres de religion ni la guerre froide ou nucléaire, une exclusivité étatsunienne dont un important général a dit récemment qu’elle pouvait être de proche actualité. Un secrétaire d’Etat a rappelé dans le même temps que l’attaque nucléaire préventive faisait partie de la doctrine en vigueur à Washington.

    La guerre a changé d’identité et peut se nommer opération extérieure, opération de maintien de la paix sous l’ombrelle de l’ONU ou encore intervention humanitaire même s'il s’agit toujours de guerre

    Dernier avatar, la guerre contre le terrorisme. Déclarée juste parmi les guerres justes et présentant la caractéristique d’être mondiale et asymétrique. Sans fin prévisible, comme toutes les autres guerres mais davantage encore car le mal est métastasé à l’ensemble de l’humanité dans un univers désormais mondialisé. Sa longévité est d’ores et déjà acquise ! Ceux qui gouvernent le regrettent-ils tous ?

    Enfin depuis quelques décennies la guerre a changé d’identité et peut se nommer opération extérieure, opération de maintien de la paix sous l’ombrelle de l’ONU ou encore intervention humanitaire même si au bout du compte il s’agit toujours de guerre avec ses morts, ses blessés, ses destructions, ses ruines et ses populations affamées. Sous cette identité, elle ne nécessite pas de déclaration.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  28. Quelques questions

    Les questions que pose la guerre en général sont multiples :

    - en tout premier lieu celle des causes forcément diverses qui relèvent de l’économie, des traités d’alliance (traité de l’Atlantique nord) ou d’accords de défense, de la psychologie des dirigeants et de celle des masses plus ou moins conditionnées, des religions voire des confessions, de projets de civilisation, de la volonté de puissance et de conquête, de la démographie, des ethnies en présence, de frontières mal dessinées, de minorités asservies, du contrôle des matières premières, etc

    - viennent ensuite quatre questions plus simples auxquelles nous allons tenter de répondre car elles sont d’une actualité brûlante pour la nation française qui se déclare par la voix de ses dirigeants urbi et orbi une démocratie, mère des droits de l’homme et du citoyen. Le mot citoyen revêt ici une importance particulière comme nous le verrons plus loin.

    Qui en décide ? Qui la conduit ? Qui la fait ? Qui en subit le coût et les conséquences ?

    Qui en décide ?

    Sous la quatrième République comme sous la cinquième, l’exécutif décide ; dans le cas de la quatrième, seul le Parlement pouvait autoriser la déclaration de guerre, depuis 1958 ce n’est plus tout à fait le cas car comme le stipule l’article 35, si…

    «La déclaration de guerre est autorisée par le Parlement.

    Le gouvernement informe le Parlement de sa décision de faire intervenir les forces armées à l'étranger, au plus tard trois jours après le début de l'intervention. Il précise les objectifs poursuivis. Cette information peut donner lieu à un débat qui n'est suivi d'aucun vote.

    Lorsque la durée de l'intervention excède quatre mois, le gouvernement soumet sa prolongation à l'autorisation du Parlement. Il peut demander à l'Assemblée nationale de décider en dernier ressort.»

    Ce fut le cas en Libye en 2011, et c’est encore dans le cas précis des théâtres d’opération de Libye, de Syrie et d’Irak où une unité d’artillerie vient d’être mise en place à l’occasion de la bataille de Mossoul.

    Il convient cependant de se poser la question de savoir si le rôle d’un homme d’Etat en matière de politique étrangère n’est pas plutôt de rechercher par la diplomatie la voie conduisant à l’armistice puis à la paix, la victoire n’étant qu’un objectif vers le but à atteindre

    Qui la conduit ?

    La formule de Clemenceau, prononcée en 1887 alors que le général Boulanger en était le ministre titulaire, «la guerre est une chose trop grave pour être confiée aux militaires», fut mise en pratique par le même, devenu président du conseil des ministres en 1917, soit trente ans plus tard, avec une autre formule incisive lors de sa déclaration au Parlement :

    «Ma politique intérieure ? Je fais la guerre ; ma politique étrangère ? Je fais la guerre.»

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  29. Et de fait il écarta le maréchal Joffre qui, jusqu’alors, décidait en dernier ressort de la conduite des opérations. Il convient cependant de se poser la question de savoir si le rôle d’un homme d’Etat en matière de politique étrangère n’est pas plutôt de rechercher par la diplomatie la voie conduisant à l’armistice puis à la paix, la finalité de la guerre, «continuation de la politique par d’autres moyens», étant de gagner la paix, la victoire n’étant qu’un objectif vers le but à atteindre.

    De ce point de vue l’histoire est sévère à l’endroit du trio Wilson, Lloyd George, Clemenceau qui, forts de leur victoire commune, réussirent le prodige de semer les germes de la Deuxième Guerre mondiale par le traité de Versailles qu’ils avaient dicté, humiliant une Allemagne vaincue.

    La cinquième république qui n’a plus d’ennemi à ses frontières, n’a donc pas connu de guerre à proprement parler mais des opérations de maintien de l’ordre en Algérie conduisant toutefois à mobiliser une armée de 500 000 hommes, et des opérations extérieures soit par application d’accords en matière de défense avec d’anciennes colonies devenues indépendantes en 1962, soit dans le cadre d’opérations dites de maintien de la paix et/ ou de caractère humanitaire sous l’égide de l’ONU : Tchad, Côte d’Ivoire, Gabon, Congo Brazzaville ou Kinshasa, Liban, Yougoslavie, Afghanistan, Libye, Mali, Irak, Syrie, liste non exhaustive des pays où ont été et éventuellement sont encore engagées les armées françaises.

    La conduite de ces opérations relève à l’évidence du politique, ne revient aux militaires que leur exécution. Et comme le dit Alain Juppé avec beaucoup de finesse, «un militaire ça ferme sa gueule». S’il devient président de la République, il sera chef des armées….

    Qui la fait ? Qui en subit le coût et les conséquences ?

    Naturellement ce ne sont ni ceux qui en décident ni même ceux qui l’autorisent, à de rares exceptions près, mais la part de la population active de la nation qui la fait et l’ensemble de la nation qui en subit les effets. Avec 1 350 000 morts au combat de 1914 à 1918, c’est 10,5 % de sa population active, 27% des 18/27 ans que la France a perdus en termes de vies humaines, abstraction faite des grands blessés et invalides, sans omettre 300 000 disparus et 300 000 civils.

    De 1939 à 1945 la France a encore perdu 217 000 morts au combat auxquels ajouter 30 à 40 000 Alsaciens Lorrains sous uniforme allemand et pour les civils entre 200 et 400 000 morts selon les évaluations.

    Toutes ces opérations ont un coût non seulement en hommes mais en matériel, en munitions, en équipements sans omettre les actions dites terroristes et il ne vient à l’idée de personne de demander au peuple français son avis sur tout cela

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  30. Depuis 1792 et jusqu’en 1999 les armées françaises ont été des armées de conscription. Au cours de toutes ces guerres – à l’exception de la guerre d’Indochine – les combattants étaient l’émanation même de la nation ne comprenant qu’un noyau dur de professionnels dans toutes les catégories, hommes du rang, sous-officiers et officiers. Ce que l’on a appelé la guerre d’Algérie, tout à la fois guerre d’indépendance et guerre civile où le terrorisme joua un rôle sans équivalent avec ce que vit aujourd’hui notre pays, fut la dernière où le contingent a joué un rôle déterminant. Certains de nos hommes politiques y participèrent, dont le futur président Jacques Chirac et le futur ministre de la défense Jean Pierre Chevènement. Du côté des forces de l’ordre 24 000 militaires environ dont 5 000 supplétifs musulmans y périrent, 55 à 66 000 y furent blessés, et près de 5 000 « Pieds noirs » furent tués ou portés disparus.

    Depuis 1991, c'est-à-dire avant même la guerre d’Irak conduite sous la bannière de l’ONU, la France n’a plus engagé d’appelés du contingent sur les théâtres d’opération.

    La professionnalisation décidée le 28 mai 1996 par le président Chirac a vu la libération des derniers appelés le 30 novembre 2001. Les opérations extérieures – OPEX – sont désormais exécutées par des professionnels. Dans la nation, les pertes qu’elles occasionnent n’ont pas vraiment de retentissement, elles sont considérées comme le tribut des risques du métier que ces professionnels ont choisi d’exercer.

    Cependant toutes ces opérations ont un coût non seulement en hommes mais en matériel, en munitions, en équipements sans omettre les actions dites terroristes et il ne vient à l’idée de personne de demander au peuple français son avis sur tout cela. Les médias, nationaux ou pas, répondent pour eux d’une seule voix, celle du pouvoir en place qui en décide et qui en conduit le cours. Ils ne peuvent que l’approuver.

    Le succès des armées françaises et britanniques en Libye avec le soutien des Etats Unis ne doit pas cacher les conséquences désastreuses que cette opération sous couvert de l’ONU eut pour les Libyens tout d’abord, puis pour le Mali. Décidée par le président Sarkozy, la participation des armées à cette opération reçut l’aval de l’ensemble de la classe politique et médiatique, à de rares exceptions près. L’un quelconque de ceux qui l’ont décidée puis autorisée a-t-il été questionné ? Inquiété ? Condamné ? Non, aucun d’entre eux. Satisfaits de ce qui a été accompli, les mêmes tout en intervertissant quelques rôles n’ont eu et n’ont encore de cesse de vouloir rejouer le même scénario en Syrie. Sans en préciser le coût ! Avec l’approbation de la nation ?

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer

  31. En guise de conclusion

    Si l’on admet avec Georges Clemenceau que «la guerre est une chose trop grave pour être confiée aux militaires», si l’on pense avec Alain Juppé qu’«un militaire ça ferme sa gueule», si l’on soutient avec Clausewitz que «la guerre n’est que la continuation de la politique par d’autres moyens», et qu’elle sanctionne les erreurs des politiques dans la conduite de la paix, nous pouvons en conclure que ce n’est donc à aucune de ces deux catégories de citoyens de décider et d’approuver l’entrée en guerre de la nation. Au vu des souffrances et du prix à payer par la population toute entière, dans une nation qui se veut une démocratie, - et ce mot a une signification étymologique - ce devrait être à elle d’en approuver ou non l’engagement puis la continuation. A l’heure de l’informatique individuelle et de la transmission instantanée, on devrait pouvoir compter sur l’imagination d’un homme ou d’une femme politique véritablement démocrate pour en proposer les modalités. C’est le vœu que je formule bien que sans illusion de le voir un jour exaucé.

    Sans espoir, sans réussite, il nous faut toutefois persévérer.

    Du même auteur : Contre-amiral français sur le Brexit : «Un électrochoc salutaire pour réveiller les peuples de l'UE»

    https://francais.rt.com/opinions/27831-a-propos-guerre

    RépondreSupprimer
  32. Accident mortel à un passage à niveau : la SNCF condamnée à payer 325 000 euros


    20 oct. 2016, 14:23 - Avec AFP


    La SNCF a été reconnue coupable d'homicide involontaire d'une mère de famille décédée après avoir été percutée par un train Corail à un passage en niveau en Bretagne en novembre 2006. La compagnie n'a écopée que de condamnations financières.

    Le tribunal correctionnel de Brest a condamné la SNCF à une amende de 200 000 euros, ainsi que 125 000 euros de dommages et intérêts pour homicide involontaire après la mort en 2006 d'une automobiliste à un passage à niveau.

    Le parquet avait requis une amende comprise entre 70 000 et 100 000 euros pour la SNCF dans une affaire d'accident mortel, jugeant notamment que le «passage en chicane» de l'automobiliste était «définitivement exclu».

    La SNCF avait plaidé la relaxe lors du procès qui s'était tenu pendant quatre jours en juin dernier.

    Lire aussi : Rassurant ! A la gare de Lyon, la SNCF vous demande ce que vous voulez faire avant de mourir

    En novembre 2006, une mère de famille de 42 ans avait trouvé la mort au passage à niveau de La Roche-Maurice, entre Brest et Morlaix, lors d'une collision entre son véhicule et un TER. Dans un premier temps, l'accident avait été présenté comme un suicide mais, au fil de l'enquête, l'affaire s'est révélée plus complexe.

    La question était de savoir si le dispositif alertant de l'arrivée imminente d'un train – abaissement des barrières, signal sonore et feux lumineux – avait bien fonctionné et, en cas contraire, si la SNCF pouvait être jugée responsable au regard notamment «des incidents de deshuntages [le système qui commande à distance la fermeture des barrières et les feux, ndlr] qui s'étaient produits dans la région Bretagne entre 2004 et 2006».

    Lire aussi : Accident de TER entre Nîmes et Montpellier, une dizaine de personnes «grièvement blessées»

    https://francais.rt.com/france/27835-accident-mortel-passage-niveau-

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Notons au passage que tout ce qui est du ressort de l'Etat sera indemnisé... dans quelques décennies !

      Supprimer
  33. Deux avions belges ont bombardé un village syrien et tué six civils, selon les radars russes


    20 oct. 2016, 17:15


    Selon les autorités militaires russes présentes en Syrie, deux chasseurs F-16 belges sont responsables de frappes aériennes sur un village de la région d'Alep, ayant coûté la vie à six civils. Le gouvernement belge, de son côté, dément formellement.

    La Russie a déclaré avoir reçu, sur ses radars, des indications démontrant que deux avions de combat belges, en provenance d'une base située en Jordanie, avaient attaqué le village de Hassadjek, dans la province d'Alep. Ce raid a causé la mort de six civils, mardi 18 octobre dernier.

    La Belgique a immédiatement rejeté ces accusations, affirmant qu'aucun de ses six avions de combat engagés dans la coalition dirigée par les Etats-Unis n'avait survolé la région. Le Premier ministre belge, Charles Michel, a lui-même tenu à démentir l'implication de son pays, déclarant : «La Belgique n'a rien à voir avec ça», à la veille d'un sommet européen dans la capitale belge. Le ministère des Affaires étrangères belge a convoqué l'ambassadeur russe pour lui exprimer son mécontentement.

    La Russie maintient ses accusations, preuves à l'appui

    La Russie a néanmoins tenu à maintenir ses accusations. Elle affirme que «les informations détaillées à propos de l'opération conduite par les F-16 belges seront transmises à Bruxelles par les canaux diplomatiques et militaires» selon une annonce du général Igor Konachenkov, porte-parole du ministère de la Défense russe.

    En attendant, les autorités militaires russes ont d'ores et déjà livré des détails relativement précis. Selon elles, les avions ont bombardé le village aux alentours de 0h30, près de deux heures après leur décollage. Le raid aurait tué six civils et infligé des blessures à quatre autres. La Russie déclare également avoir suivi la trajectoire du vol des deux F-16 depuis la Jordanie jusqu'en Irak et en Syrie, ainsi que leur ravitaillement par un tank KC-135 américain aux abords de Deir ez-Zor.

    Le général Igor Konachenkov résume la situation en avançant qu'il n'y a que deux explications possibles : soit le ministre de la Défense belge, Steven Vandeput «trompe de manière délibérée son peuple et le monde entier, soit ses subordonnés et les Américains mentent aux dirigeants belges.»

    La confusion règne quant au sort des populations civiles en Syrie

    «J'aimerais souligner que ce n'est pas la première fois que la coalition internationale conduit des frappes aériennes contre des cibles civiles, avant de nier leur responsabilité» a ajouté le général Konachenkov.

    Il a poursuivi en rappelant des faits déjà dénoncés par la Russie, comme la prise pour cible «de mariages, d'enterrements, d'hôpitaux, de commissariats, de convois humanitaires et même de troupes syriennes au sol qui combattent l'Etat Islamique.»

    La question des bombardements des populations civiles est l'un des enjeux les plus controversés sur le théâtre des opérations en Syrie. Les différentes forces en présence s'accusent mutuellement, au moment où la Russie vient d'annoncer qu'elle prolongeait sa trêve humanitaire pour permettre l'évacuation des civils hors d'Alep.

    https://francais.rt.com/international/27842-deux-avions-belges-auraient-bombarde-village-syrien

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. D'où la Belgique en attente d'attentats pour venger les assassinats.

      Supprimer
  34. «Nous sommes venus, nous avons vu, il est mort»


    13:28 20.10.2016


    Il y a tout juste cinq ans, le 20 octobre 2011, Mouammar Kadhafi a été assassiné. Une belle victoire de la démocratie… de la démocratie à l’américaine qui va traditionnellement de pair avec des crises de toute sorte. Depuis la mort de Kadhafi, le pays demeure dans un état déplorable. « Nous sommes venus, nous avons vu, il est mort », avait lâché Hillary Clinton, alors secrétaire d'État américaine, après avoir appris la mort du colonel libyen Mouammar Kadhafi.

    En s'expliquant sur Fox News plus tard, elle avait assuré que Washington ne savait même pas ce qui s'était passé. Mme Clinton parlait alors de la nécessité d'enquêter sur la mort de Kadhafi. Et pourtant, aucune enquête n'a été menée. La nouvelle Libye n'a pas su retrouver la paix, ni la stabilité politique.

    Il n'y a pas pour le moment un seul des trois centres de pouvoir en Libye qui contrôlerait le territoire du pays en entier. Mme Clinton n'était pas la seule à vanter ses acquis en Libye. Selon le premier ministre britannique de l'époque David Cameron, c'est le Royaume-Uni et la France qui ont dû prêter main-forte à la Libye. « Maintenant, alors que votre courage a écrit le dernier chapitre de l'histoire libyenne, il doit écrire le prochain; et vos amis en Grande-Bretagne et en France seront à vos côtés alors que vous construisez votre démocratie et bâtissez votre pays pour l'avenir », a déclaré M. Cameron lors de sa visite en Libye juste après le renversement de Kadhafi.

    Cinq ans se sont écoulés et désormais, la crise économique coïncide avec le chaos politique, sécuritaire et migratoire en Libye. Le président américain Barack Obama a été le premier à reconnaître que les Occidentaux n'avaient pas préparé comme il se doit « le jour d'après ». « Ma pire erreur aura probablement été de n'avoir pas mis en place un plan pour le "lendemain", après ce qui fut, je pense, une intervention justifiée en Libye », a confié le président américain dans un entretien accordé à Fox News.

    Riche en ressources pétrolières et gazières, la Libye représente pour autant aujourd'hui un pays où la plupart de la population vit sous le seuil de pauvreté et souffre du chômage. Les salaires sont payés en retard, les projets d'investissements ont été gelés. En 2015, le déficit budgétaire a dépassé 60 % du PIB. Les revenus pétroliers ont chuté de 50 %.

    Le Général de brigade aérienne Jean-Vincent Brisset compare la situation économique dans le pays sous Kadhafi et après: « Avant le déclenchement de la guerre civile en Libye, c'était quand-même un pays qui avait le meilleur indice de développement humain de tous les pays d'Afrique. Donc on était quand-même dans quelque chose qui fonctionnait relativement bien pour la grande majorité de la population…

    Globalement la situation était plutôt favorable à une bonne partie de la population. Et puis depuis le renversement de Kadhafi tout ce qui était considéré comme les progrès — progrès économique ou progrès social ou progrès santé ou progrès éducation — a disparu ». Le chef de la Grande Jamahiriya a été assassiné de manière barbare et humiliante. Des forces rebelles soutenues par l'Otan seraient derrière sa mort.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer

  35. L'intervention militaire du Royaume-Uni en Libye en 2011 était fondée sur des « postulats erronés », estiment aujourd'hui des parlementaires britanniques ayant publié un rapport critique en septembre dernier. La préoccupation d'un nombre de plus en plus important d'Européens porte sur son héritage dont le coup dur est violement ressenti actuellement dans l'UE.

    Depuis le renversement de Mouammar Kadhafi, le pays s'est transformé en un foyer de radicaux, y compris de terroristes et est devenu le point de départ principal de réfugiés de toute l'Afrique vers l'Europe. Plus de 150 000 personnes ont quitté les côtes libyennes pour trouver refuge en Europe. « C'est largement les migrants qui viennent de toute Afrique et qui utilisent la Libye comme le point de passage en direction de l'Europe », explique Jean-Vincent Brisset.

    « Il est évident que s'il y était resté un régime fort en Libye, quel que soit ce régime, que ce soit celui de Kadhafi ou de quelqu'un d'autre, ces flux de migrants n'auraient pas été autorisés à passer et les passeurs, qui sont sur les côtes libyennes, dans le golfe de Syrte n'auraient pas pu travailler comme ils travaillent actuellement. Donc on peut considérer que le renversement du régime de Kadhafi ou le non-remplacement du régime de Kadhafi par un régime étatique solide est une des raisons qui causent ces flux de migrants », conclut l'expert.

    https://fr.sputniknews.com/international/201610201028284440-kadhafi-assasinat-5-ans/

    RépondreSupprimer
  36. Et dire que Kadhafi avait raison…


    20:03 08.01.2016


    L'ancien dirigeant libyen Mouammar Kadhafi avait averti Tony Blair de l’assaut des islamistes sur l’Europe. Le défunt colonel était plus lucide que les politiciens occidentaux, rapport The Telegraph.

    Selon les transcriptions des conversations téléphoniques entre l'ex-premier ministre britannique Tony Blair et l'ancien dirigeant libyen Mouammar Kadhafi, publiées jeudi par le Comité des Affaires étrangères du Parlement britannique, le défunt colonel avait prévenu M.Blair que l'Europe était menacée par l'extrémisme islamique, écrit le quotidien britannique Telegraph. M.Kadhafi expliquait ainsi à M.Blair, le 25 février 2011, alors que des émeutes armées avaient déjà éclaté en Libye, qu'il cherchait à sauver le pays des terroristes d'Al-Qaïda. "Je tiens à vous dire la vérité.

    Cette situation n'est pas aussi compliquée qu'on le pense, en fait, tout est très simple: il y a des cellules dormantes de l'organisation terroriste Al-Qaïda en Afrique du Nord. Ces cellules dormantes en Libye ressemblent à celles basées aux États-Unis à la veille du 11 septembre", a indiqué Mouammar Kadhafi. "Ils (les djihadistes) ont mis la main sur des armes et ils terrorisent les gens qui par conséquent restent cloîtrés chez eux. Nous avons demandé à tous les journalistes du monde de venir voir la vérité. Ce sont des bandes armées. Il est impossible de négocier avec eux. Ils veulent contrôler la Méditerranée et puis ils attaqueront l'Europe", a-t-il ajouté. De son côté, M.Blair a évoqué la nécessité d'un règlement pacifique.

    Trois semaines après, la coalition occidentale, y compris le Royaume-Uni, effectuait des frappes aériennes sur le territoire libyen, ce qui a conduit au renversement du dirigeant libyen. Les prédictions de Kadhafi semblent se réaliser, rappelle le quotidien britannique. En octobre 2011, après que le régime de Mouammar Kadhafi a été renversé par les insurgés avec l'appui des bombardements de l'Otan, la Libye a entamé une difficile période de transition politique. Depuis lors, le pays n'a pas de gouvernement stable et la guerre civile se poursuit entre différents groupes islamistes et le gouvernement.

    "Les preuves que le Comité a obtenues grâce à cette enquête suggèrent que les politiques occidentaux étaient bien moins perspicaces que Kadhafi au sujet des conséquences néfastes qu'engendrerait une intervention militaire en Libye, ceci tant pour le peuple libyen que pour les intérêts occidentaux", a annoncé Crispin Blunt, président du Comité des Affaires étrangères du parlement britannique.

    https://fr.sputniknews.com/international/201601071020789745-kadhafi-prevenu-europe/

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. http://huemaurice5.blogspot.fr/2012/12/la-raison-de-la-guerre-en-libye-le.html

      Supprimer
  37. SNCF : tout le monde paie pour leur retraite !


    le 21 octobre 2016

    Le contribuable verse actuellement chaque année plus de 12 200 euros (= € 3 300 000 000 / 270 443 retraités selon Info retraites SNCF) de supplément de pension, c’est- à-dire plus de la moitié de sa pension à chaque retraité de la SNCF.

    Par Thierry Benne.
    Un article de l’Iref-Europe

    SNCF : tout le monde paie pour leur retraite !

    Voici quelques mois, le Conseil d’Orientation des Retraites (par abréviation : COR) s’est livré à une intéressante projection jusqu’en 2060 du montant moyen des pensions de retraites de la SNCF. Il en ressort qu’à législation constante et au terme de cinq décennies, ce montant progresserait à partir de 2011 d’environ 91% (hypothèse moyenne) dans le même temps où les pensions du régime général en secteur privé patineraient à environ 51% pour les non-cadres et seulement 26% pour les cadres, soit tout simplement un taux de progression exorbitant en faveur des cheminots, alors que le montant annuel moyen des pensions de la SNCF, s’établissait déjà en 2014 (source DREES 2016) à € 23 616 et donc très au dessus déjà de la moyenne nationale correspondante de € 15 864 tous régimes confondus, mais seulement de € 14 480 si on se restreint au seul secteur privé (droits directs). Chaque branche, chaque entreprise ayant son autonomie, personne n’y trouverait à redire si, à l’intérieur de ce régime très favorable, les cotisations équilibraient les pensions.

    3 milliards de subvention par an pour les retraites SNCF

    Or il n’en est rien puisque c’est l’État par une subvention annuelle de plus de 3 milliards (3,3 milliards en 2016) qui assure à grands frais l’équilibre des retraites, dont la gestion est confiée depuis 2007 à la Caisse de Prévention et de Retraite des Personnels de la SNCF (CPRP-SNCF). Cette caisse jouit, dans le cadre de son statut, d’organisme de Sécurité sociale d’une personnalité morale distincte et de l’autonomie comptable et financière par rapport à l’entreprise ferroviaire et ce point est capital car il explique le tour de passe-passe qui a permis de ne pas obérer les comptes de l’entreprise en leur préservant un caractère financièrement « présentable ».

    C’est à dire que le contribuable verse actuellement chaque année plus de 12 200 euros (= € 3 300 000 000 / 270 443 retraités selon Info retraites SNCF) de supplément de pension, c’est- à-dire plus de la moitié de sa pension à chaque retraité de la SNCF. Pour prendre la question par un autre bout, l’État devrait verser chaque année un total de près de 200 milliards d’euros (environ les 5/6èmes des ressources nettes du budget général pour 2016 !) aux divers régimes de retraites s’il envisageait de traiter aussi généreusement chacun des quelques 16 millions de retraités français (de droit direct) qui, c’est vrai, n’auraient alors plus aucun problème de pouvoir d’achat pendant très longtemps.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  38. Perpétuer les avantages acquis du personnel

    Alors qu’un tel privilège interpelle déjà, on aurait pu croire que sa prochaine aggravation alerterait immédiatement les autorités de manière à organiser sans tarder un retrait progressif et planifié du concours de l’État. Or, bien que le COR soit normalement chargé de veiller à l’équité des régimes, on se trouve de la part de toutes les autorités compétentes en face d’un silence assourdissant, que ne va bien entendu pas rompre une gouvernance d’entreprise parfaitement complice avec le pouvoir.

    Elle n’a en effet d’autre ambition que de perpétuer le plus longtemps possible les avantages acquis d’un personnel, qui a fait de la grève l’argument majeur et souvent exclusif de toutes les négociations sociales qui se déroulent au sein de l’entreprise. Au vu de cette nouvelle et inquiétante dérive, il est sans doute temps de faire le point sur ce régime spécial et surtout spécialement onéreux et de se poser au delà du catalogue bien connu de ses privilèges (I), une interrogation existentielle sur l’origine et le devenir d’une exception (II), dont même ses bénéficiaires ont désormais conscience qu’elle est menacée non seulement par l’Europe en marche, mais aussi par l’exaspération croissante d’une majorité de Français auxquels on demande toujours plus d’efforts pour moins de retraites.

    Le catalogue des privilèges

    Il est connu pour l’essentiel, mais certaines particularités échappent encore à la connaissance commune, raison de plus pour les signaler ici.

    Tout le monde sait que, même s’il s’élève progressivement, l’âge de départ effectif à la retraite du personnel SNCF est l’un des plus bas qui soit : 55,1 ans (en 2011), contre 61,9 dans le régime général. On a vu plus haut aussi que le niveau moyen des pensions des agents du secteur ferroviaire se démarque très nettement du montant moyen des retraites et qu’en plus le maintien d’un périmètre très généreux d’avantages en nature (voyages à titre quasiment gratuit, très large couverture santé notamment) creuse encore la différence.

    Les salaires de référence dépouillés de certaines primes et indemnités, sont ceux des derniers six mois d’activité et il y a peu que les pensions ont cessé d’être indexées sur les salaires pour l’être sur les prix. On sait aussi qu’en dépit de la pénibilité du métier, constamment avancée pour justifier les avantages obtenus, les retraités de la SNCF comptent parmi ceux dont l’espérance de vie en retraite figure parmi les plus longues (plus de 27 ans !) de toutes les catégories professionnelles.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  39. Cet alignement sur le régime commun qui tarde à venir

    Ce qu’on sait moins, c’est que les cotisations salariales demeurent sensiblement inférieures à celles du droit commun (8,15% seulement en 2015) et que leur alignement arraché au forceps se fera à la vitesse de l’escargot puisque, différé jusqu’en 2017, il ne s’achèvera qu’en 2026 ; soit presque 20 ans après la réforme Soubie ! Peu de gens savent aussi que la SNCF est la seule entreprise, ou l’une des très rares entreprises, à verser deux catégories de cotisations patronales d’assurance-vieillesse (taux 2015 selon la source Info retraite SNCF) : l’une T1(de 23,86%) se prétend alignée sur le droit commun qu’elle force déjà quelque peu, l’autre supplémentaire T2 correspondant au taux global de cotisation frappant un salaire de non-cadre soit 11,72% est censée financer les avantageuses particularités du régime spécial dues au statut particulier des agents la Société Nationale.

    Quant à la subvention annuelle versée par l’État, chacun connaît son existence, mais peu se doutent qu’en 2014 son montant a fourni pratiquement 45% du total des ressources de la CPRP-SNCF. Si tout le monde accepte volontiers que les contraintes pesant sur les agents de conduite justifient bien quelques avantages, combien savent que tout récemment encore la plupart des agents de conduite partaient en retraite après seulement 23 ans de vie active, l’entreprise ne favorisant guère – c’est le moins qu’on puisse dire – la prolongation de leur activité au delà de 55 ans. Enfin, quant au poids déterminant dans la négociation sociale des jours de grève (dont tout usager quotidien a pu mesurer tout récemment encore le caractère abusivement récurrent ), la plupart des gens sont loin d’imaginer que l’entreprise nationale est parvenue à cumuler certaines années 25% (et même parfois bien plus sans doute, car la statistique publique est volontiers discrète sur ce point) du total des jours de grève enregistrés dans le pays, alors que ses effectifs avoisinent tout juste 0,60 % de la population active nationale, ce qui fait des cheminots les champions hors catégories de la « gréviculture nationale ».

    La facture au contribuable

    Sur ce plan notamment, le cru 2016 s’annonce particulièrement prometteur, avec déjà, selon le Président Pépy, une perte estimée de plus de 300 millions d’euros. Mais qu’importe, l’entreprise aurait bien tort de s’en priver puisqu’en définitive et avec la complicité bienveillante de l’État, elle refacturera intégralement tous ces désordres sous une forme ou sous une autre au contribuable.

    En réalité, après l’échec en 1995 de la réforme Juppé qui voulait aligner le régime spécial sur le droit commun, après les bouleversements politiques que son abandon contraint a entraînés, il est clair que plus personne n’a eu le courage de porter véritablement le fer dans la plaie.

    Au contraire, chaque parti au pouvoir a privilégié à son tour l’achat de la paix sociale avec l’appui d’une direction qui a toujours préféré pour sa propre tranquillité la défense des droits acquis, par rapport à l’avenir et à la compétitivité de l’entreprise dans un environnement pourtant inévitablement promis à la concurrence. C’est d’ailleurs ainsi que s’explique la réforme Soubie de 2007-2008, où les quelques avancées obtenues l’ont été au prix fort moyennant la concession de multiples avantages très onéreux, dont notamment :

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  40. la création d’échelons supplémentaires de fin de carrière, fort avantageux pour le calcul des retraites basé sur les salaires des 6 derniers mois d’activité, diverses augmentations salariales, l’intégration des primes, l’abondement du compte épargne–temps, la prise en compte accrue de la pénibilité,

    Si bien que la Cour des comptes elle-même n’a pas craint d’afficher son scepticisme par rapport à l’intérêt de ce changement, la réduction actuelle et fort marginale des coûts tenant davantage à un tassement conjoncturel et provisoire des départs à la retraite, plutôt qu’à un gain structurel durable.

    D’ailleurs, nombre d’observateurs se demandent toujours pourquoi l’objectif de la réforme, présentée pourtant comme un modèle de négociation sociale, s’était très modestement cantonné à un alignement sur un autre régime spécial à peine moins avantageux, celui de la fonction publique d’État, plutôt que sur le régime général de l’ensemble des entreprises, alors qu’on savait déjà que, même différées, les exigences européennes deviendraient bientôt inéluctables.

    Sans doute le catalogue qui précède n’est-il pas tout à fait complet, mais là n’est pas le plus important. En effet, ce qui compte c’est de porter la réflexion plus avant pour savoir comment on en est arrivé là et surtout comment on peut en sortir.

    Si la SNCF ne s’organise pas elle-même à cet effet, il n’est nullement exclu qu’un jour qui n’est peut-être pas si lointain, un référendum ou une ordonnance ne vienne définitivement crever l’abcès. Il ne faudra certainement pas compter cette fois sur l’accord des Français pour continuer à verser chaque année 40 à 50 milliards d’impôts supplémentaires, afin de pérenniser les appétits de toute une nébuleuse de régimes extrêmement voraces.

    En effet, ceux-ci s’apparentent bien davantage à certains parasitismes et privilèges fort coûteux de l’Ancien Régime qu’à la gestion égalitaire, équitable et avisée d’une Nation moderne légitimement soucieuse de ses ambitions économiques et de la solidité de son tissu social.

    http://www.contrepoints.org/2016/10/21/269499-sncf-monde-paie-retraite

    RépondreSupprimer
    Réponses

    1. Rappel que la devise nationale française était des réalités: 'Travail, Famille, Patrie', tandis que 'Liberté, Égalité, Fraternité' ne sont que des objectifs !

      Supprimer
  41. US 'relocalise' ses terroristes ISIS de l'Irak en Syrie pour lutter contre Assad


    par Tyler Durden
    20 octobre 2016 21h50
    Soumis par Vaughan Famularo via TheDuran.com,


    Comme l'armée irakienne avec le soutien des États-Unis se referme sur Mossoul, il devient clair que le plan américain est de transférer les troupes ISIS défendant la ville à la Syrie dans le cadre du plan de changement de régime là-bas.

    Les nouvelles médias russes RIA Novosti, a révélé que les dirigeants américains et saoudiens ont décidé de permettre le passage en toute sécurité de 9000 terroristes d'ISIS à quitter Mossoul en Irak et à déménager en Syrie.

    L'information surprenante a été divulgué par une source diplomatique anonyme. Il a également été affirmé que cette décision était conditionnelle sur les terroristes qui acceptent de combattre les troupes syriennes et russes à Palmyre et Deir Ezzor.

    Au cours des deux dernières semaines, nous avons assisté à la rêverie chaotique au sein de l'US politique et le corps diplomatique, une fois leur impuissance a été exposée en Syrie en raison de l'effondrement du cessez-le feu et la reprise des hostilités à Alep.

    Le bedlam et la frustration manifestée par les dirigeants occidentaux a été évident pour tous avec les revendications sauvages possible d'abattre des avions russes en Syrie et, la douleur continue et le désir de la mise en œuvre de leur, No Fly Zone.

    Malgré les rumeurs et les menaces politiques turbulentes, la Russie et le gouvernement de la Syrie ont résolument travaillé à la libre orientale d'Alep des terroristes restants qui sont maintenant entourés là.

    La décision d'autoriser ISIS à fuir en toute sécurité en Syrie une fois révèle au monde la main gantée que les bergers et dirige ces terroristes.

    Les bombardements de soldats de l'armée syrienne à Deir Ezzor par les avions US et ceux de la coalition apparaissent maintenant proposés et calculés plutôt que d'un accident revendiqué par les États-Unis.

    Pour ajouter à la controverse, ce qui était généralement pas signalés dans les médias était une nouvelle attaque quelques jours plus tard, qui a détruit les deux derniers ponts survivants enjambant la rivière Euphrate.

    Leur destruction, isolera les forces syriennes stationnées à Deir Ezzor, et rendre la vie plus difficile pour le peuple syrien qui portent déjà le fardeau de six ans à la guerre.

    Comme les terroristes ISIS quittent Mossoul et voyagent en Syrie leurs objectifs sont la ville a récemment libéré de Palmyre, et la ville courageuse de Deir Ezzor. Que leur passage en toute sécurité de Mossoul comprend Etats-Unis et la couverture Arabie en Syrie demeure un mystère.

    Quelle que soit leur emplacement dans l'est de la Syrie permet à leurs maîtres l'avantage tactique de la mobilisation de ces forces par procuration au moment de leur choix dans leur but ultime de destituer le président syrien Assad.

    http://www.zerohedge.com/news/2016-10-20/us-relocated-isis-terrorists-out-iraq-syria-fight-assad

    RépondreSupprimer
    Réponses

    1. (...) les dirigeants américains et saoudiens ont décidé de permettre le passage en toute sécurité de 9000 terroristes d'ISIS à quitter Mossoul en Irak et à déménager en Syrie. (...)

      qui, ensuite, (tous frais payés) partiront eux-aussi vers l'Europe.

      Supprimer
  42. Irak : l'UNICEF s'attend à quelque «700 000 deplacés» de Mossoul


    20 oct. 2016


    Depuis plusieurs jours, l'armée irakienne mène une opération conte dans la ville de Mossoul. D'après le représentant de l'UNICEF en Irak Peter Hawkins, cela pourrait causer le départ de près de la moitié de la population de la cité.

    Peter Hawkins est le représentant de l'UNICEF en Irak.

    RT : Récemment le Croissant-Rouge en Irak a exprimé ses préoccupations face au début de l’opération à Mossoul, déclarant que plus d’un million d'individus risquaient d'être déplacés. Comment voyez-vous la situation ?

    Peter Hawkins (P. H.) : Mossoul est une ville d’environ 1,2-1,5 millions d’habitants. Avec une telle opération en cours, il faut s'attendre à ce que les gens soient déplacés. Nous ne connaissons pas le nombre exact de gens qui seront déplacés. L’UNICEF prépare de l’eau et des équipements sanitaires pour environ 700 000 personnes au total. Mais tout dépend de la façon dont cette évacuation se déroulera. Evidemment, si beaucoup de gens quittent très rapidement la ville, on sera submergé. Mais si de petits groupes sortent de la ville peu à peu, on peut gérer la situation.

    RT : Quelle est la situation humanitaire actuelle dans la ville ?

    P. H. : On lance un appel à toutes les parties de respecter la loi humanitaire internationale pour assurer que les gens puissent se mettre à l’abri du danger et aller là où ils veulent. Mais ce qui nous inquiète vraiment est que des enfants, de tous les âges, sont bloqués dans la ville.

    Lire aussi
    Lavrov sur l’opération à Mossoul : les terroristes de Daesh pourraient partir pour la Syrie

    L’approche à Mossoul est différente par rapport à ce qu'on fait dans d'autres situations, cela nécessitera un effort supplémentaire de notre part

    Quand ils arriveront à s’en sortir, il faut pouvoir leur porter une aide urgente ; s’ils sont déjà sortis et si les enfants ont besoin d’aide sociale ou psychologique, ou de vaccination, les équipes mobiles de l’UNICEF sont déjà à leur disposition. Mais, comme vous l’avez dit, il s’agit de la loi humanitaire internationale – nous appelons toutes les parties à respecter l’importance que représentent les enfants pour assurer la sécurité et protéger tous les enfants bloqués dans la ville de Mossoul.

    RT : Comment comptez-vous procéder pour aider les deplacés de cette ville irakienne ?

    P. H. : L’approche à Mossoul est différente par rapport à ce qu'on fait dans d'autres situations. Nous devons nous occuper des 3,3 millions de gens déjà déplacés en Irak, en plus jusqu’à 700 000 sont en train d’être déplacés [...]. Cela nécessitera un effort supplémentaire de notre part. Nous devons être sûrs que les enfants soient bien protégés où qu’ils se trouvent. On met des installations dans les endroits où ils peuvent arriver. Mais ce qui est aussi primordial, c’est que, après la reprise de Mossoul, il faudra encourager la reprise des services, pour que les enfants aient l’accès aux soins, à l’éducation, ce qui est la clé de l’avenir de Mossoul. Pour que cela ne se répète pas de nouveau. Nous savons que les forces militaires essaient de faire en sorte que tous ceux qui seront déplacés de Mossoul aient la possibilité de rentrer chez eux au plus vite pour reprendre une vie normale.

    Lire aussi : Irak : au moins 34 morts dans un attentat de l'EI contre la communauté chiite

    https://francais.rt.com/opinions/27847-irak-unicef-mossoul

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Si ces '700 000 personnes' réussissent à quitter la ville... elles seront dirigées vers l'Europe.

      Supprimer
  43. L'état final: 5 événements déclenchants qui placerait la loi des Etats-Unis Sous Martiale


    par Tyler Durden
    20 octobre 2016 20h40
    Soumis par Mac Slavo via SHTFPlan.com,


    Cet article a été publié par Jeremiah Johnson chez Tess Pennington ReadyNutrition.com

    loi martiale-2

    Comme vous le savez sans doute, l'administration Obama souhaite rien de plus que de placer les États-Unis en vertu de la loi martiale.

    Une fois que cela est accompli, le pays et les gens seraient verrouillés et maintenus sous contrôle sous prétexte de poursuivre avec le gouvernement et / ou le maintien de la sécurité nationale des États-Unis

    Jetons un coup d'oeil à 5 événements l'administration serait le plus susceptible d'utiliser pour atteindre cet état final.

    Note: Tous ces éléments peuvent se produire simultanément, successivement, individuellement ou dans une combinaison quelconque à tout moment: il n'y a pas de limite à leur utilisation ou leur potentiel de se reproduire!

    1. Meltdown économique

    Au cours de cette dernière année, nous avons vu une énorme quantité de volatilité dans le commerce (international) et base de fabrication nationale de l'US. Comme notre économie fragile est basée sur 75% des dépenses de consommation, tout ralentissement significatif qui garde les acheteurs maison peut conduire à des rapports désastreux. La baisse des dépenses de consommation signifie que les gens ne pas acheter des biens et services au-delà de l'essentiel absolue, et pire: (dans les yeux du gouvernement) qu'ils amassent de l'argent et de retirer leurs fonds des comptes bancaires.

    Le Baltic Dry Index (BDI) peut être considérée comme un indicateur clé de produits bruts et matériaux transportés aux fabricants et aux consommateurs par l'intermédiaire de contrats de transport. Comme mentionné dans les articles précédents, Hanjinn Container Company, the7th plus grande société de conteneurs dans le monde juste a déposé son bilan au cours de l'été. Vous pouvez voir le BDI fluctuations de jour en jour lorsque vous visitez
    http://www.bloomberg.com/quote/BDIY:IND. Il a fluctué énormément au cours de l'année écoulée.

    Deutsche Bank est sur le bord de la faillite et de grandes banques telles que Bank of Americaand J.P. Morgan ont été en proie à des pertes et des poursuites semblables. Le taux de chômage est vraiment environ 25% et les statistiques de style «soviétiques» cancanait de la radio sur les «gains record» et «améliorations économiques» sont faux et intentionnellement trompeuses. A "Bank Holiday" a déjà eu lieu dans des endroits comme Indianapolis, et quand les politiciens, les banquiers et les oligarques décident, ils vont tirer la prise sur un système de la Réserve fédérale de la monnaie fiduciaire qui est déjà une risée inefficace d'un monde souriant qui est progressivement revenir à l'étalon-or. Lorsque que la Banque de vacances est déclarée, vous pouvez être sûr que les systèmes financiers et l'effondrement de la loi martiale sera en attente dans les ailes.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  44. 2. cyberattaque

    Celui-ci est sans aucun doute l'un des favoris de l'administration. Nous avons vu des signes de cela avec le DHS (Department of Homeland Security) et DNI (Director of National Intelligence) lettres et déclarations que le gouvernement russe est le piratage dans le processus électoral et l'élection américaine. Le "ciblage" des DNC (Convention nationale démocratique) e-mails a été affecté aux Russes et officiellement le gouvernement russe a été accusé par l'administration d'un tel, et en essayant d'influencer la course présidentielle le vendredi 14/10/16.

    Nous avons également vu le 07/09/16, deux jours avant l'essai nucléaire nord-coréen 5ème, la société basée en Californie qui surveille les lancements de missiles nord-coréens et les essais nucléaires a été piraté. Un DoS (Denial of Service) a été placé dans leurs systèmes informatiques, les empêchant de télécharger des flux satellites et des photos qui leur auraient permis de suivre le lancement nord-coréen. Cette société est le projet sur Crowdsourced imagerie satellitaire. Vous pouvez en lire plus à ce sujet dans l'article "Site DoS Attaque Crashes Suivi des essais nucléaires du site de la Corée du Nord", par Eric Niiler de Wired.com.

    Si d'autres gouvernements peuvent planter notre Internet et les serveurs, pensez-vous qu'il est possible que le gouvernement américain comme dirigé par l'administration Obama peut le faire sur son propre ?

    Lorsque cela se produit, les téléphones cellulaires vont baisser, les ordinateurs vont baisser, les marchés financiers seront en émoi et cesser ses activités, et distributeurs automatiques de billets et les cartes bancaires seront rendus inutiles. Transport, les stocks, l'expédition, et les livraisons seront tous jetés dans une agitation et viennent à une halte. Pour une excellente description de cela, lire l'article de Mac Slavo fromSHTFplan.com intitulé «Quand les arrêts de camionnage», qui montre la vulnérabilité des lignes d'approvisionnement de notre pays sont. Bottom line: si tout cela descend à la suite d'une cyberattaque, la loi martiale suivra immédiatement.

    3. "/ Black Swan Imprévisible" Event

    La semaine dernière, Obama vient de signer un ordre exécutif (EO), intitulé «Executive Order: Coordonner les efforts pour préparer la nation pour l'espace événements météorologiques," signed10 / 13/2016. Un tel EO pourrait couvrir les grèves de météores, Coronal éjections de masse (de CME) du soleil, une comète, ou tout autre espace anomalie. Pas un gros problème, vous pouvez penser ? Il est une grosse affaire, car voici la ligne de fond:

    Qui est d'empêcher Obama soit de provoquer une autre nation à lancer un EMP (impulsion électromagnétique) de l'arme, ou le lancement d'un de ses propres (armes de fabrication américaine), en bas de la grille et ensuite blâmer sur un événement CME / tempête solaire, la courtoisie du soleil ?

    D'autres événements comprendront des tempêtes potentiellement artificielles ou générés, tels que les tremblements de terre, les ouragans, ou même l'activité volcanique. Si l'on se moque des tels, rappelez-vous tout ce qu'il aurait besoin est un 1 mégatonne nucléaire "kicker" pour déclencher soit Yellowstone Caldera ou la faille de San Andreas. Ces catastrophes naturelles (initiées par l'homme ou authentique) aboutissent généralement à la loi martiale au niveau de l'Etat sur une base régulière, beaucoup moins un qui est d'envergure nationale ... que Obama serait sauter sur d'inculquer la loi martiale.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  45. 4. Guerre nucléaire / EMP Attaque

    Tous les jours, nous pourrions être en guerre avec la Corée du Nord, l'Iran, la Chine ou la Russie. La dévastation résultant, si une pleine échelle ou d'une guerre nucléaire limitée seraient automatiquement mis en mouvement les roues pour COG (Continuity of Government), et une déclaration de la loi martiale.

    Permettez-moi de conclure cette partie avec ma mise en garde:

    La troisième guerre mondiale commencera par la détonation d'un dispositif d'EMP ou d'une arme sur la partie continentale des États-Unis, suivi d'un échange nucléaire limité et la guerre alors conventionnelle.

    5. virale ou bactérienne en cas de pandémie

    Soit naturelle ou artificielle. Le CDC (Centers for Disease Control) vient d'hériter d'une énorme quantité de "pouvoir de police" durant l'été au sujet de leur nouvelle capacité de mettre en quarantaine des individus ou des groupes de personnes sur la suspicion de contamination / communicabilité concernant les agents pathogènes viraux ou bactériens liés à un potentiel ou pandémie réelle.

    Il y a un article de Catherine J. Frompovich intitulé «ALERT: US CDC se donne Powers anticonstitutionnels pour arrondir et détenir des citoyens en masse Anytime, Anywhere et jeter la clé," en date du 03/09/16. Cet article détaille comment ces pouvoirs de police ont été créés dans le Federal Register que la règle proposée "contrôle des maladies transmissibles", le 15 Août, 2016, sont maintenant en vigueur se trouve underFederal Numéro de registre: 2.016 à 18.103. Devine quoi ? Cette règle proposée est maintenant la loi, et pourrait facilement être utilisé pour «justifier» la loi martiale dans le États-Unis en raison d'une pandémie: naturelle, l'homme, ou fausse.

    En plus de tous ces petits morceaux juteux, le facteur décisif est ce que je me réfère à la «IHM» ou Oui, troubles civils est un facteur "Incredible Mob humaine."; mais il est pas une méthode mais un "signe / symptôme», un «effet secondaire» de ce qui se passe lorsque l'un des 5 mentionnés ci-dessus sont les méthodes employées. "Dans l'intérêt de la sécurité publique» ou «pour protéger le public» ou «pour maintenir la loi et l'ordre» sont les phrases claironné par notre gouvernement bienveillant et amical.

    Comme l'a dit Rahm Emmanuel, "Ne laissez jamais une crise se perdre», ceux-là mêmes qui sont à protéger (le public) sont ceux qui créent les conditions de troubles civils. Il est littéralement un «problème qui prend soin de lui-même», et voici la ligne de fond pour couvrir le facteur de troubles civils:

    Utilisation de la justification faux "dans l'intérêt de la sécurité des personnes," la loi martiale sera déclarée de limiter, de restreindre et contrôler les gens ... en les protégeant contre ... eux-mêmes.

    Viennent ensuite les restrictions de voyager, l'État de la police dans les rues, au travail, et à la confiscation des armes à feu. Vient ensuite la suppression des «dissidents et fauteurs de troubles potentiels," ainsi que les couvre-feux, des restrictions et des limitations dans toutes les facettes de notre société. La loi martiale est un objectif de l'administration Obama. Le problème est qu'il (Obama) ne peut pas simplement arbitrairement déclarer. La déclaration exige un aiguillon, tel que l'un des 5 méthodes mentionnées. Dans ces circonstances, il peut alors suspendre nos droits en vertu de la Constitution et de contourner les vraies lois de l'US Un tel état final est son désir. Un tel état final signifierait aussi la fin ... des États-Unis.

    http://www.zerohedge.com/news/2016-10-20/end-state-5-triggering-events-would-place-us-under-martial-law

    RépondreSupprimer
  46. Le «fait» que 17 agences de renseignement aient confirmé que la Russie est derrière les Hacks Email n'est pas vraiment ... un «fait»


    par Tyler Durden
    20 octobre 2016 16h25
    Soumis par Mark Jeftovic via capitalisme Redémarrage


    En bref, parce que je suis en train de faire un peu de travail au lieu de dépenser de l'énergie sur ce cycle électoral horrible, dégoûtant ...

    Dans le débat d'hier soir, Clinton a déclaré que "17 agences de renseignement ont confirmé que la Russie est derrière les hacks de messagerie» qui ont ensuite été remis à Wikileaks.

    Peu importe que les médias traditionnels et les élites sont très sélectifs sur le moment de condamner le document piraté décharges. Comme je l'ai écrit hier avant le débat:

    Il est intéressant de noter la différence dans le traitement des décharges de courrier électronique basé sur si elle critique ou soutient la création.
     
    Dans les documents de Panama, piraté les courriels ont révélé des stratagèmes d'évitement fiscal de masse exécutés principalement par des étrangers politiques non isolés. Obama a jugé "choses importantes" et a appelé à la réforme de la fiscalité internationale à la suite des révélations qui y sont contenues.
     
    Mais quand les emails Podesta révèlent en cours, systémique, cuit dans le mauvais-faire de la part des favoris politiques oints, l'épouvantail des «pirates parrainés par l'État russe" est débité, hell-bent à jeter l'élection et Obama (comme par la citation ci-dessus) commence à parler de "gens ont besoin de quelques peu Ministère de Truthiness".

    Comme je l'ai également couvert hier, Glenn Greenwald exhaustive back-tracé où la «Russie-piraté-the-élection» mème est venu et qu'il était rotation pure. L'auteur original qui a mis toute la farce en mouvement a admis plus tard qu'il était une erreur, et dans sa propre «Mea Culpa» a révélé que, selon le sous-texte de vastes courriels d'un journaliste de Newsweek faire pression sur lui pour permettre le mensonge de vivre, il était agences de renseignement américaines poussant à répandre ce récit.

    Les «17 organismes qui en fait confirmé" ce sont les Russes? Eh bien il se trouve que c'était un gars, à savoir DCI James Clapper: le chef du renseignement américain. Le même homme qui a commis un parjure devant le Congrès après son programme de surveillance de la NSA a été divulgué. Il a publié une déclaration qui comprenait la phrase:

    Nous croyons, sur la base de la portée et de la sensibilité de ces efforts, que seuls les hauts-la plupart des fonctionnaires de la Russie auraient autorisé ces activités.

    La phrase suivante est également intéressant:

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  47. Certains états ont récemment vu le balayage et le sondage de leurs systèmes liés aux élections, qui, dans la plupart des cas provenaient de serveurs exploités par une société russe. Cependant, nous ne sommes pas aujourd'hui en mesure d'attribuer cette activité au gouvernement russe.

    Le mot «confirmé» ne figure nulle part dans cette déclaration.

    Ainsi, lorsque HRC a déclaré que les «agences de renseignement 17 ont confirmé« Je prévoyais ce que cela se retrouver dans la «vérification des faits" appareil, qui existe prétendument pour tester objectivement les assertions des deux candidats en temps réel.

    Le «fait vérifier» autour de cette déclaration serait comique si pas infuriatingly orwellien: ABC a appelé "un fait vrai"

    Le fait chèque New York Times sur ce débat, à première vue conduirait à croire tous les mensonges et erronée à venir d'un côté des podiums, Trump. Mais ils ne se sont même pas toucher de Clinton "les agences 17 de renseignement ont confirmé" déclaration, au lieu qu'ils ont pris une accusation par Clinton, nivelée au Trump, apprêtée comme un «fait» (par son inclusion dans l'édition du NYT du «fait Vérifie Débat »), et cérémonieusement béni comme" True ":

    Encore une fois, le récit des médias autour de tout cela est maintenant complètement inconscient du contenu réel de ces fuites. Y compris que les démocrates ont organisé des rassemblements anti- Trump qui a depuis été corroborés par le fait que Dems employés agents payés provocateurs au Trump se mobilise pour inciter à la violence.

    Les médias ont donné une administration précédente d'un laissez-passer quand ils ont commencé une guerre en Irak basée sur un mensonge (qui était aussi probablement "confirmées" par les agences de renseignement). Maintenant, ils sont plein sur complices de celui-ci comme les Etats-Unis se prépare pour une cyberguerre avec la Russie sur un autre mensonge.

    http://www.zerohedge.com/news/2016-10-20/fact-17-intelligence-agencies-confirmed-russia-behind-email-hacks-isn’t-actually…a-f

    RépondreSupprimer
    Réponses

    1. Comme il en est dans tous les pays du monde il y a des 'touristes' americains. Et, ces fameux vacanciers, peuvent comme tout autre envoyer des mails vers leur pays d'origine. C'est ce qui s'appelle une liaison extérieure (Russie, Chine, etc) vers les USA. D'où donc la preuve que ces fameux emails viennent bien de la Chine, de la Russie ou autre !

      Supprimer
  48. "L'Amérique a perdu" - Duterte annonce "Séparation" des Etats-Unis, s'alligne avec la Chine; et cherche l'alliance avec Poutine


    par Tyler Durden
    20 octobre 2016 15h17


    Après le barrage implacable de la violence verbale et le sentiment négatif visant à Barack Obama et les Etats-Unis, couplé avec des déclarations de plus en plus gratuits vers Pékin, ce ne fut qu'une question de temps avant que le président philippin Rodrigo Duterte a mis fin à la spéculation, si et quand il serait officiellement pivoter alliance diplomatique de longue date du pays, loin des États-Unis et vers la Chine. Il l'a fait aujourd'hui, quand, lors d'une visite à la capitale de la Chine, Duterte a annoncé sa «séparation» des États-Unis, en déclarant qu'il avait réaligné avec la Chine comme les deux ont convenu de régler leur différend mer de Chine méridionale par des pourparlers.

    Duterte est actuellement à Beijing, où il est en visite avec au moins 200 gens d'affaires pour ouvrir la voie à ce qu'il appelle une nouvelle alliance commerciale que les relations avec de longue date allié de Washington se détériorent.

    "Dans ce lieu, vos honneurs, dans ce lieu, j'annonce ma séparation des États-Unis," Duterte dit aux gens d'affaires philippins et chinois, les applaudissements, lors d'un forum dans le Grand Hall du Peuple en présence de vice Premier ministre chinois Zhang Gaoli. "Les deux militaires, peut-être pas social, mais l'économie aussi. L'Amérique a perdu."

    Les efforts de DUTERTE pour engager la Chine, des mois après un tribunal de La Haye a jugé que Pékin ne dispose pas de droits historiques à la mer de Chine méridionale dans une affaire introduite par l'administration précédente à Manille, marque un renversement de la politique étrangère depuis le 71-year-old ancien maire a pris ses fonctions le Juin 30. Comme ajoute Reuters, son secrétaire commercial, Ramon Lopez, a déclaré 13,5 milliards $ dans les transactions seraient signés au cours du voyage en Chine.

    Un aveu encore plus dramatique est venu quelques instants plus tard quand Duterte a également exprimé son désir d'élargir l'axe asiatique nouvellement hachced d'inclure la Russie.

    «Je me suis réaligné dans votre flux idéologique et peut-être je vais aussi aller en Russie pour parler (président Vladimir) Poutine et lui dire qu'il y a trois d'entre nous contre le monde -. La Chine, les Philippines et la Russie Il est le seul moyen, "Duterte dit à son auditoire de Beijing.

    Pourtant, en accord avec la demi nature volte-face de son administration, quelques heures après le discours de Duterte, ses principaux décideurs économiques ont publié une déclaration disant que, alors que l'intégration économique asiatique était «attendue depuis longtemps", cela ne signifie pas aux Philippines tournait le dos à l'Occident.

    "Nous allons maintenir des relations avec l'Occident, mais nous désirons une intégration plus étroite avec nos voisins», a déclaré le secrétaire des finances Carlos Dominguez et secrétaire de la planification économique Ernesto Pernia dans une déclaration commune. «Nous partageons la culture et une meilleure compréhension de notre région. Les Philippines est l'intégration avec l'ASEAN, la Chine, le Japon et la Corée du Sud."

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer


  49. Contrairement à l'arrivée finale d'Obama en Chine à la fin de l'été qui a été rencontré plusieurs snafus logistiques et diplomatiques très embarrassants, la Chine a tiré tous les arrêts pour accueillir Duterte, y compris une fanfare complète avec le maître de la bande baton-virevoltante lors de sa cérémonie de voeux officielle en dehors de la Grande hall du peuple, qui ne sont pas étendu à la plupart des dirigeants. Président Xi Jinping, rencontrer Duterte tôt dans la journée, a appelé la visite d'un «jalon» dans les relations. Xi a dit Duterte que la Chine et les Philippines étaient frères et ils pourraient "gérer de manière appropriée les différends", mais il n'a pas mentionné la mer de Chine du Sud dans les remarques faites devant des journalistes.

    «J'espère que nous pourrons suivre les souhaits de la population et d'utiliser cette visite comme une occasion de pousser la Chine et les Philippines relations sur des bases convivial et entièrement améliorer les choses», a déclaré Xi.

    Après leur rencontre, au cours de laquelle Duterte dit que les relations avec la Chine étaient entrés dans un nouveau «printemps», vice-ministre chinois des Affaires étrangères Liu Zhenmin a déclaré la question de la mer de Chine du Sud n'a pas la somme totale des relations. "Les deux parties ont convenu qu'ils vont faire ce qu'ils ont convenu il y a cinq ans, à poursuivre le dialogue et la consultation bilatérale dans la recherche d'un règlement approprié de la question de la mer de Chine méridionale", a déclaré Liu.

    À la suite de pivot de Duterte, la Chine a maintenant un partisan clé dans le désaccord géopolitique en cours portant sur le territoire contesté dans la mer de Chine méridionale. La Chine prétend la majeure partie du sud de la mer riche de l'énergie de la Chine à travers laquelle environ 5 $ milliards de dollars en commerce embarqué passe chaque année. Les voisins Brunei, la Malaisie, les Philippines, Taiwan et le Vietnam ont également réclamations. En 2012, la Chine a saisi le Scarborough Shoal contesté et refusé l'accès des pêcheurs aux Philippines à ses lieux de pêche.

    Liu a dit que le banc n'a pas été mentionné et il n'a pas répondu à une question de savoir si les pêcheurs philippins y seraient autorisés. Il a dit que les deux pays avaient convenu de garde-côtes et de la coopération de la pêche, mais n'a pas donné de détails.

    Duterte a déclaré mercredi le cas d'arbitrage de la mer de Chine méridionale "prendrait le siège arrière" lors des pourparlers, et qu'il attendrait pour les Chinois de soulever la question plutôt que de le faire lui-même. Xi déclaré que les questions qui ne pouvaient pas être immédiatement être résolus devraient être mis de côté, selon le ministère chinois des Affaires étrangères.

    * * *

    Pendant ce temps, sentiment anti-américain est construit aux Philippines, qui est également pas surprenant, après Duterte précédemment appelé Barack Obama un «fils de pute» et a dit à son «aller en enfer", tout en faisant allusion à des liens de sectionnement avec le vieux colonial Puissance. Le mercredi, les acclamations de centaines de Philippins à Beijing, a déclaré Duterte politique étrangère des Philippines virait vers la Chine. «Je ne vais plus aller en Amérique. Nous allons juste être là insultés», a déclaré Duterte. "Donc, le temps de dire au revoir mon ami."

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  50. Comme nous l'avons signalé plus tôt, environ 1000 anti-U.S. manifestants se sont rassemblés devant l'ambassade des Etats-Unis à Manille demandant le retrait des troupes américaines de l'île méridionale de Mindanao. Comme le bras de fer a dégénéré, la police locale a couru sur les manifestants qui se préparaient à l'assaut de l'ambassade.

    À la suite de cet effondrement dramatique dans les relations américano-Philipinnes, le prochain président des États-Unis aura les mains pleines avec non seulement l'escalade impasse rapidement entre la Russie et les Etats-Unis en Syrie, mais sera précipiter les relations mend avec une des plus anciennes des États-Unis alliés dans la région du Pacifique.

    http://www.zerohedge.com/news/2016-10-20/america-has-lost-duterte-announces-separation-united-states-alligns-china

    RépondreSupprimer