- ENTREE de SECOURS -



mercredi 7 septembre 2016

«Il y a de quoi s'inquiéter : une grave crise économique est à l'horizon»

7 sept. 2016


Malgré les efforts des principaux producteurs de pétrole pour stabiliser les prix, il pourrait y avoir une autre grave crise économique dans quelques années. L'investisseur Jim Rogers nous livre ses réflexions sur l'avenir de l'économie mondiale.

Les prix du pétrole ont bondi le 5 septembre après la signature d’un accord entre la Russie et l’Arabie saoudite pour travailler à la stabilisation du marché. Les deux pays mettent en place un groupe de travail afin de soutenir les prix, qui se sont effondrés en 2014.

Jim Rogers est un investisseur américain et commentateur financier. Il est le cofondateur avec George Soros du Quantum Fund, professeur, écrivain, voyageur, créateur d'un indice sur les biens Rogers International Commodity Index (RICI).

RT : Que peuvent faire ces deux pays pour stabiliser les prix ?

Jim Rogers (J. R.) : Les Saoudiens ont clairement fait comprendre qu’ils ne voulaient pas réduire la production, et, à mon avis, ils ont raison. Je ne suis pas saoudien, je ne peux pas donc leur dire quoi faire. Les Russes veulent réduire la production, mais je ne le ferais pas. Je laisserais le marché s’autoréguler. Cela prend un certain temps, mais les producteurs à charges élevées ferment leurs portes et quittent le business. Vous obligez l'exploration à coût élevé à s'arrêter. Il n’y a pas de recherche. Les budgets de recherche sont réduits de 90 %. Cela signifie qu'en fin de compte il n'y aura pas d'approvisionnement en pétrole et que les prix grimperont en flèche à nouveau. A quoi bon vendre le pétrole à bas prix, si on peut attendre et le vendre plus tard ?

L'Arabie saoudite n'a presque plus d'argent, comme d'autres

RT : On essaie de stabiliser le marché pétrolier. Nombre de pays discutent de la possibilité de geler la production. Mais s'ils le font jusqu'au niveau de l'été, le marché serait toujours inondé et les prix resteraient bas, c'est bien cela ?

J. R. : Oui, c'est ce que j'allais dire. A quoi bon s'inquiéter ? [Mieux vaut] laisser le marché se débrouiller lui-même. Le marché se débrouille lui-même. Les sables bitumineux canadiens ne peuvent pas rapporter de l’argent dès maintenant. La fracturation hydraulique en Amérique non plus. Ceux qui font du forage en profondeur ne peuvent pas rapporter de l'argent. Les budgets s'épuisent. Prenez votre temps, soyez patients.

Lire aussi
L’Arabie saoudite met la main sur la région comme une famille mafieuse

RT : La Russie a été sévèrement touchée par la chute des prix, mais l'Arabie saoudite semble désormais vouloir revenir à une situation normale. Qu'est-ce qui pousse Riyad à prendre ces mesures à présent ?

J. R. : L'Arabie saoudite n'a presque plus d'argent, comme d'autres. Vous savez peut-être qu'elle a été récemment obligée d‘emprunter d'énormes sommes d’argent. Ils ont un budget gigantesque. Ils ont beaucoup de gens à payer en Arabie saoudite... Mais c'est bien, parce qu'en fin de compte cela oblige le marché à s'adapter. Entre temps, l'Arabie saoudite souffre, le Venezuela, la Nigeria, le Kazakhstan, le Russie, tous en souffrent. Mais ce n'est pas pour toujours.

Le Bahreïn es un intermédiaire pour les Saoudiens, on sait bien qu'il est dans le même lit que les Saoudiens

RT : Certains pensent que la baisse de prix du pétrole est une guerre contre les BRICS. Tous ses membres sont-ils en grande difficulté ?

J. R. : Ce n'est pas une guerre contre les BRICS. Que les prix soient bas est une bonne nouvelle pour la Chine et l'Inde. Il est faux de dire qu’ils sont tous en difficultés.

RT : Le roi du Bahreïn est venu à Moscou pour des négociations avec le président Poutine. Le Bahreïn est un grand producteur du pétrole. Vous-attendez-vous à ce que des accords soient conclus lors de ces négociations ?

J. R. : Non, le Bahreïn n'est pas un grand producteur, ils ont un peu de pétrole, mais il vient à manquer. C'est peut-être un intermédiaire pour les Saoudiens. On sait bien qu'il est dans le même lit que les Saoudiens, donc c'est peut-être cela qu'il fait.

Nous allons tous payer un prix horrible pour l’argent artificiel en provenance des Etats-Unis et d'autres banques centrales
RT : Certains pays essaient aujourd'hui de s'éloigner du pétrodollar. Qu'en pensez-vous ?

J. R. : Achetez des roubles. Moi, j'ai des roubles - je ne cache rien. Pour moi, le rouble a déjà touché le fond ; le pétrole le touche aussi, c'est compliqué, mais je préfère acheter des roubles que n’importe quelle monnaie aujourd'hui.

RT : Beaucoup de gens évoquent une large crise économique qui se profilerait à l’horizon. Est-ce vraisemblable ?

J. R. : Vous devriez être très inquiet. Il va y avoir une crise économique grave dans un ou deux ans. Nous allons tous payer un prix horrible pour l’argent artificiel en provenance des Etats-Unis et d'autres banques centrales. Nous allons tous avoir un énorme problème. Il y a très certainement de quoi s'inquiéter.

Lire aussi : Chef de la diplomatie saoudienne : l’Arabie saoudite ne politise pas la question du pétrole

https://francais.rt.com/opinions/26016-crise-economique-horizon

55 commentaires:

  1. Petite explication primordiale en préambule: Les Pays Producteurs de Pétrole ont eut pour habitude de vivre avec et de ne développer rien d'autre que ce qui sort tout seul ! D'où les conflits grandissant visant à réduire le train de vie de ces exploitants dès que les prix du baril de pétrole dégringolent.

    Faut dire que (constatations:) il y a de plus en plus de véhicule à moteur sur les routes et ce ne sont pas les électrique' qui vont changer la donne ni demain ni après demain ! D'où la 'surprise' des pays producteurs de voir les prix en baisse ! Surprise de la surprise est que les prix du baril de pétrole... ne DÉPENDENT PAS DU NOMBRE DE CONSOMMATEURS !!! mais seulement du prix qu'affichent les escrocs à en manipuler ce dernier !!!

    C'est ainsi que TOUTES les Matières Premières (or, blé, pétrole, sucre, etc, etc) ont tous les jours leurs cours manipulés par un nano-groupuscule de financiers-voleurs qui ne reflètent nullement les transactions d'achats/ventes !

    Mais - comme des paysans qui doivent vendre leurs récoltes au prix de l'acheteur ou... la regarder pourrir chez soi sur des centaines d'hectares - les exploitants de l'or noir eux aussi ont besoin d'argent pour importer du blé, du sucre, de l'huile, etc etc et donc...: multiplient les forages et le nombre de baril/jour pour vivre et vendent au prix affiché par les escrocs !
    Mais... où va donc tout cette surproduction de pétrole acheté ? Cette trop grosse quantité - qui ne peut être écoulée le jour-même cause au prix maintenu au plafond à la pompe - est.... stockée. Stockée en d'immenses cuves et, comme les stocks coûtent cher à gérer (et représentent de véritables bombes près des agglomérations !!!): ils en font payer les frais au consommateur !

    C'est pourquoi ce qui se passe et que seuls les escrocs gagnent de l'argent et, ce qui va se passer est que: comme il y a trop de stocks en parallèle de trop de production, les prix vont être maintenus à la hausse pour le consommateur et absence d'achat chez les producteurs qui vont s'effondrer !!!

    (seuls s'en sortent quelques rares comme la Russie ou le Vénézuela où le retour vite-fait à l'agriculture locale ne peut qu'être de mise).

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  2. Besoin de plus de lait russe ? La génétique entre en jeu


    12:05 07.09.2016


    Comment produire plus de lait sans augmenter le bétail? Voilà un casse-tête que la génétique russe promet de résoudre dans un proche avenir.

    Ce qui rapporte à Moscou plus que les armes

    Un groupe de travail comprenant des représentants d'entreprises, du monde scientifique et de l'Etat a mis sur pied un projet qui contribuera à accroître la production de lait de 37% d'ici 2025. Selon le responsable du travail de coopération avec les entreprises faisant partie du secteur agro-industruel KPMG en Russie et dans la CEI, Vitali Cheremet, la production de lait va croître non pas aux dépends du bétail, mais grâce au développement de la génétique. Le projet prévoit de créer en Russie, dans les neuf années à venir, un réseau de laboratoires génétiques indépendants et de centres d'élevage, ainsi qu'un système unifié d'identification du bétail.

    L’Etat russe renonce aux achats de nourriture étrangère

    Selon les estimations des auteurs du projet, l'introduction de nouvelles technologies d'ici 2025 accroîtra la consommation de lait cru de 46,9 millions de tonnes, tandis que la part des matières premières importées sera réduite à 9%. Dans le même temps, les volumes de production passeront de 30,8 à 42,2 millions de tonnes. Il est à noter que l'agriculture russe connaît déjà une croissance remarquable ces derniers temps. La part de l'agriculture dans l'économie russe a augmenté, en dépit de la tendance mondiale. L'une dans raisons de ce boom est l'embargo introduit par la Russie sur les produits alimentaires européens. Pour la première fois, le pays a gagné plus, en 2015, avec les produits agricoles qu'avec les armes, constate le magazine allemand Der Spiegel.

    https://fr.sputniknews.com/economie/201609071027644759-russie-lait-production-genetique/

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  3. Snowden : une base américaine au Royaume-Uni utilisée pour des frappes au Yémen


    7 sept. 2016, 12:03


    Edward Snowden a diffusé des lettres prouvant que la base de Menwith Hill aurait été utilisée non seulement pour la surveillance mais aussi pour mener des frappes dans des pays où les Etats-Unis voulaient dissimuler leur engagement militaire.

    The Intercept a publié plusieurs dizaines de lettres fournies par Edward Snowden pour lever le voile sur la mystérieuse base de Menwith Hill au Royaume-Uni, la plus grande base de la NSA en dehors du territoire américain. Selon la version officielle, les Américains l’utilisent pour surveiller et pour échanger des données avec leur allié britannique.

    Mais, selon les éléments présentés par Edward Snowden, les Etats-Unis auraient mené leurs opérations secrètes de «recherche et destruction» au moyen-orient depuis cette base, et notamment dans les pays où ni les Etats-Unis ni le Royaume-Uni ne mènent la guerre officiellement : au Yémen et au Pakistan. D’après les informations divulguées, la NSA aurait donné à ces missions des noms clés : GHOSTWOLF et GHOSTHUNTER.

    En juillet 2016, l’administration Obama a déclaré qu’entre 64 et 116 civils avaient été tués lors de frappes réalisées hors de l’Afghanistan et de l’Irak dans les années 2009-2015, sans préciser les pays où ces frappes ont eu lieu. Toujours selon ces révélations, ces dernières auraient été effectuées au Yémen, au Pakistan et dans le Nord de l’Afrique depuis Menwith Hill. En outre, d’après certaines ONG, le nombre des victimes serait nettement plus important : entre 200 et 1 000 civils auraient perdu la vie.

    Menwith Hill est une base située dans le Yorkshire et appartient à la Royal Air Force (RAF). Néanmoins, la NSA la gère directement depuis les années 1960. Face au mécontentement de la population locale concernant la présence des forces américaines sur leur sol, le gouvernement britannique ne cesse de répéter qu’il est parfaitement au courant de tout ce qu’il s’y passe.

    Lire aussi : Danemark : Snowden a comparé les atteintes à la vie privée des gouvernements au nazisme

    https://francais.rt.com/international/26013-snowden-base-americaine-royaume-uni

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    1. D'où le refus du R-U d'augmenter le quota des réfugiés terroriste sur son sol qui tenteraient de venger leurs familles déchiquetées par des milliards de bombes au Yemen comme en d'autres pays !

      (...) En outre, d’après certaines ONG, le nombre des victimes serait nettement plus important : entre 200 et 1 000 civils auraient perdu la vie. (...)

      'd’après certaines ONG' Organisations Néo-Gouvernementales ! (...) le nombre des victimes serait nettement plus important (...) ajoutez-y quelques zéros pour être plus près de la VÉRITÉ !

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  4. Assange: Revelations nouvelles sur Clinton à venir dès la semaine prochaine, Clinton connaissait la signification de "C"


    par Tyler Durden
    7 septembre 2016 08:05
    Soumis par Stefanie MacWilliams de PlanetFreeWill


    Dans une interview sur Fox Nouvelles montrent Hannity, Julian Assange de Wikileaks a finalement donné un calendrier plus définitif attendu longtemps plus d'informations "significatif", ils seront libérant sur Hillary Clinton avant l'élection Novembre.

    L'information sera publié en «lots», et Assange dit qu'il est «confiant que le premier lot sera publié raisonnablement bientôt". Il poursuit en affirmant que «teasers» peuvent être à la disposition du public dès la semaine prochaine.

    Lorsqu'on lui a demandé par Sean Hannity si oui ou non il était difficile de pirater ces documents, Assange a eu l'occasion de passer à l'offensive, en déclarant qu'il était «absolument incroyable» pour Clinton de mentir au sujet de ne pas savoir que le crocheté (C) resta un document classifié. Il a répété avec insistance que «Elle est couchée".

    Assange procédé à la tenue d'un document sur l'air montrant qui a montré Hillary elle-même a envoyé un document avec le marquage d'une telle classification, déclarant qu'il était seulement l'un des milliers d'exemples.

    Julian Assange: Je veux juste dire une chose, dans le rapport du FBI publié vendredi, je suis d'accord avec votre analyse. Il est très étrange qu'il a été libéré vendredi après-midi sur un week-end de Labor. Je pense qu'il soulève des questions à ce genre de jeu, le FBI essaie de jouer. Mais Hillary Clinton dit qu'elle ne peut pas se rappeler ce qu'est un «c» entre parenthèses signifie. Tout le monde dans des positions du gouvernement et dans Wikileaks sait qu'il signifie «classé confidentiel.
     
    Et en fait, nous avons déjà publié des milliers de câbles par Hillary Clinton. Ici, elle est "Clinton" voir, c'est sa signature. Avec un "c" entre parenthèses là. Nous avons des milliers d'exemples où elle, elle a utilisé ce "c" entre crochets et signés hors tension. Et plus de 22.000 fois qu'elle a reçu les câbles des autres avec cette "c" entre parenthèses.

    L'entrevue comprenait également une allégation par Assange que l'administration Obama a poursuivi plus de journalistes en vertu de la Loi sur l'espionnage que toutes les autres administrations de l'histoire combinées.

    Ces mots d'accusation de Wikileaks viennent sur le talon d'un démarrage difficile de la semaine pour la campagne Clinton, où un scrutin majeur CNN a révélé qu'elle est en train de perdre son avance sur Donald Trump, comme Planète Free Will a déjà signalé.

    Regardez l'interview complète ci-dessous:

    - voir clip sur site :

    http://www.zerohedge.com/news/2016-09-07/assange-new-clinton-revelations-coming-soon-next-week-says-clinton-knew-meaning-c

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  5. Près de 50 millions d'enfants «déracinés» dans le monde risquent d'être enlevés, alerte l'Unicef


    7 sept. 2016, 10:23


    Près de 50 millions d'enfants à travers le monde vivent «déracinés» en raison des guerres et des violences dans leurs pays qu'ils ont été obligés de quitter, a alerté l'Unicef mercredi 7 septembre. Une situation qui les rend vulnérables aux trafics.

    «Les images indélébiles d'enfants victimes, le petit corps d'Aylan Kurdi rejeté sur le rivage après sa noyade en mer ou le visage hébété et ensanglanté d'Omran Daqneesh assis dans l'ambulance après la destruction de sa maison, ont choqué le monde entier», a déclaré mercredi 7 septembre Anthony Lake, directeur général de l'Unicef, dans un communiqué.

    «Chaque photo, chaque garçon ou chaque fille symbolise des millions d'enfants en danger et il faut que la compassion que nous ressentons pour les victimes que nous voyons se traduise par une action en faveur de tous les enfants», a-t-il ajouté.

    Problème : la plupart de ces enfants n'ayant pas de papiers, ils sont à la merci des «prédateurs». Ils représentent en effet une aubaine pour les gangs, réseaux, et autres trafiquants, qui profitent de «l'invisibilité» de ces enfants pour les kidnapper sans traçabilité.

    Face à cette situation, l'Unicef a appelé les autorités à mettre fin à la détention des enfants migrants ou demandant le statut de réfugiés, à ne pas séparer les familles, à permettre aux enfants réfugiés et migrants d'avoir accès aux services de santé et à promouvoir la lutte contre la xénophobie et la discrimination.

    En 2015, environ 45% des enfants réfugiés placés sous la protection de l'ONU étaient originaires de Syrie et d'Afghanistan. Selon les chiffres recueillis par des organisations caritatives, les demandes d'asile des enfants atteignent en Europe 700 par jour. Un enfant sur dix dans le monde grandit maintenant dans une zone de conflit.

    LIRE AUSSI : Guerres au Moyen-Orient, crise migratoire, les enfants aux premières lignes

    https://francais.rt.com/international/26006-pres-50-millions-denfants-deracines

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    1. Vendus sur Internet ou achetés par des restaurants hallal ?

      Ils servent notamment à l'entrainement comme donnés en récompense à des combattants terroristes qui les violent tour à tour jusqu'à la mort.

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  6. Vous saurez tout, tout sur le … clitoris


    le 7 septembre 2016


    Ce n’est pas encore prévu dans les programmes de SVT (Sciences de la Vie et de la Terre) mais l’éducation sexuelle des petites têtes blondes françaises va prendre un caractère radicalement différent avec l’imagination d’une certaine Odile Fillod qui a créé un clitoris en trois dimensions, de dimension justement réelle, par impression 3D. Il s’agit d’une véritable sculpture qui montre très clairement la face cachée du clitoris qui comprend des corps « caverneux » érectiles exactement comme le pénis. Et ça va tout changer car l’éducation sexuelle est plutôt orientée vers le mécanisme de la reproduction et oublie totalement le côté ludique et le plaisir que procurent les rapports sexuels. On apprend aux garçons comment reproduire l’espèce et aux filles comment être sentimentales … c’est un tant soit peu réducteur !

    Les rapports sexuels sont dans une écrasante majorité recherchés pour le plaisir qu’ils procurent et très accessoirement dans le but de la reproduction. Il était donc tout à fait opportun de démystifier l’orgasme féminin dont le clitoris est l’organe central. Si vous avez accès à une imprimante 3D, le lien ci-dessous indique comment télécharger les fichiers pour commander une imprimante et disposer de cet objet grandeur nature à la maison pour éventuellement éduquer vos enfants.

    Source : slate.com

    Lien et illustrations : https://lc.cx/4Egu

    Et aussi sur ce blog : https://jacqueshenry.wordpress.com/2016/08/16/le-mystere-de-lorgasme-feminin-enfin-devoile/

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2016/09/07/vous-saurez-tout-tout-sur-le-clitoris/

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    1. La possibilité de la confection d'un clitoris en 3D n'offre absolument pas la possibilité aux femmes handicapées (excisées) de s'en refaire un pour '3 francs 6 sous' ! (Idem pour les hommes qui voudraient se confectionner un pénis comme il n'en ont jamais vu de leur vie sur eux !).

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  7. L’immatriculation des drones réclamée en Europe pour contrôler les usagers


    Julien Lausson


    Des organisations liées au secteur aérien publient un appel commun pour réclamer l'immatriculation des drones afin de pousser les utilisateurs à mieux respecter les règles.

    Devra-t-on dans les années à venir se soumettre à une immatriculation avant l’achat d’un drone ? Alors que la popularité pour les petits aérodynes de loisir ne se dément pas, en témoigne le succès du Paris Drone Festival qui a eu lieu le 4 septembre, des voix s’élèvent pour réclamer l’enregistrement des propriétaires de drones afin qu’ils soient identifiables en vue de les retrouver plus facilement en cas d’incident.

    Dans un appel commun publié en début de semaine, pas moins de dix organisations liées à l’aviation civile — incluant en particulier l’association internationale du transport aérien et la division européenne du conseil international des aéroports — défendent le principe d’une inscription obligatoire des pratiquants de ce hobby, parmi une série de propositions visant à sécuriser l’espace aérien.

    UNE IMMATRICULATION OBLIGATOIRE POUR QUE LES PROPRIÉTAIRES SE SENTENT OBLIGÉS DE RESPECTER LES RÈGLES

    Pour les signataires, si le propriétaire d’un drone peut être retrouvé, cela encouragera de fait le respect des règles et pourrait également servir de motivation pour que celui-ci reçoive une formation. L’enregistrement obligatoire devrait aussi survenir au moment de l’achat, de la revente ou même de la simple cession d’un drone, estiment les organisations du secteur aérien.

    L’enregistrement est l’une des sept préconisations avancées dans l’appel commun. Les autres vont du lancement d’une campagne de sensibilisation du public à la mise en place de limitations techniques sur les drones, en passant par l’obligation pour les propriétaires de suivre une formation et d’obtenir un certificat l’autorisant à voler. Bien sûr, il est aussi question dans l’appel commun de renforcer les moyens alloués pour vérifier le bon respect de ces règles.

    Le coavionnage rend heureux

    Les aviateurs ne veulent pas croiser de drones sur leur route.
    Deux autres propositions sont aussi avancées, mais elles concernent surtout l’industrie de l’aviation. Il est d’abord demandé des recherches approfondies sur l’effet des collisions qui pourraient survenir entre des drones et des avions. La prise en compte des drones de loisir dans les modèles nationaux organisant le vol des aéronefs est aussi réclamée, de manière à ce que l’espace aérien soit correctement partagé.

    En Europe, l’immatriculation des drones est un sujet qui progresse. En octobre, il y a eu le vote d’une résolution par le parlement européen réclamant que la commission et les États membres mettent en place un système d’immatriculation des drones pour permettre leur identification à distance (avec l’éventuelle installation obligatoire de transpondeurs qui émettraient en permanence pour indiquer qui est le propriétaire).

    (suite en dessous:)

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  8. Par exemple au Royaume-Uni, un rapport parlementaire propose pour sa part la création d’une base de données des drones.

    Et dans le cas de la France ? Le Sénat a adopté à l’unanimité en mai une réglementation renforcée pour les drones, qui impose une série de nouvelles règles qui vont de l’enregistrement obligatoire des drones à l’installation d’un transpondeur RFID ou GSM d’ici 2018, en passant par la possibilité d’un bridage automatique des performances et la formation des utilisateurs. Cette réglementation, qui n’est pas encore entrée en vigueur, va s’ajouter au nouveau cadre fixé fin 2015.

    Ailleurs dans le monde, l’enregistrement de l’identité des propriétaires de drones est aussi une réalité. En Chine, les amateurs de drones de loisir doivent dire qui ils sont avant d’en acquérir un. Même chose aux États-Unis, avec l’immatriculation des drones depuis février, sous peine de devoir payer une amende. Une pression qui a eu son effet, puisque de très nombreux propriétaires se sont enregistrés.

    http://www.numerama.com/politique/192836-limmatriculation-des-drones-reclamee-en-europe.html

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    1. Va t-on également devoir immatriculer les terroristes ?

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  9. Bientôt 15 ans, et la situation empire toujours

    Giulietto Chiesa
    Il fatto quotidiano
    lun., 05 sept. 2016 09:12 UTCCarte


    -- Comment: Le 11 septembre, c'est un peu l'anniversaire des psychopathes, celui qui sonne comme un rappel de leur "réussite". 15 ans après, pas de doute, au vu de la situation mondiale qui ne cesse d'empirer, on peut dire que de leur point de vue, les choses suivent plus ou moins bien leur cours. C'est qu'on se demande ce qu'ils ont maintenant en tête, les aliénés, à nous proposer une Hillary Clinton si décrépite qu'on se demande si elle verra elle-même la fin son possible mandat. Une autre guerre mondiale ? Des conflits à n'en plus finir disséminés dans le monde entier ? Une bombe nucléaire sur Washington ? Une crise économique si terrible qu'elle transformerait de facto et officiellement l'Amérique en dictature ? Tout ça en même temps ?

    On pourra quand même constater, et c'est la bonne nouvelle, que la version officielle des attentats du WTC est à ce point douteuse qu'un bonne partie de la population, toutes nationalités confondues, n'y croit plus, et que d'une façon générale, les explications gouvernementales de toutes sortes provoquent, à propos de tout, comme un réflexe, la montée d'un sentiment de suspicion. La vérité finirait-elle par pouvoir triompher ? --

    La Connaissance et la Liberté, antidotes au fascisme montant

    Le 11 septembre prochain correspondra au 15e anniversaire du plus grand attentat terroriste de l'Histoire. Des fleuves d'encre ont coulé depuis à ce sujet : qui l'a fait ? Quels objectifs politiques poursuivaient ses organisateurs ?

    Nous ne reprendrons pas cette discussion ici. L'auteur de ces lignes a depuis toujours soutenu que les 19 "pirates de l'air" emmenés par Ben Laden n'auraient en aucun cas pu réaliser un tel plan. Il existe une foule de preuves montrant l'implication dans cette opération de puissantes forces liées à différents services secrets, à commencer par certaines branches de la CIA et du FBI, de l'ISI pakistanaise, des services secrets saoudiens et ceux, très certainement impliqués, du Mossad israélien.

    Le travail de la "Commission sur le 11/9" (aussi appelé "version officielle") ne résiste pas à une innombrable quantité d'objections... faites par des chercheurs ou des journalistes indépendants dans le monde entier. Ceux que cela intéresse peuvent se référer au site www.consensus911.org où un certain nombre de ces remarques et de ces incohérences ont été rassemblées ces dernières années par un groupe de spécialistes dont je fais également partie. La "Commission sur le 11/9 " - comme nous l'avons appris officiellement après les révélations de l'ex-sénateur démocrate Bob Graham (qui fut président de la Commission du Congrès, la première à avoir enquêté sur les attentats du 11/9) et de nombreux sénateurs et députés américains - cette Commission donc, refusa d'examiner des documents et des éléments de preuve concernant les mystérieuses manœuvres [militaires] qui précédèrent les attentats. Les 28 pages du premier rapport, récemment divulguées - après être restées au secret pendant 15 ans, nous apprennent sans aucun doute possible, documents à l'appui, que le gouvernement saoudien a aidé et financé les "boucs émissaires" [les 19 pirates de l'air - NdT] lors de leur installation aux États-Unis. Et ce seul fait (sans compter que le FBI et la CIA étaient - et tout cela est prouvé - au courant de la préparation des attentats), montre que la Commission sur le 11/9 a livré une version mensongère de toute cette affaire, afin de couvrir les vrais responsables.

    (suite en dessous:)

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  10. À ces falsifications - déjà établies - viennent s'en ajouter quelques dizaines d'autres. Suffisamment pour conclure qu'il s'est trouvé, le 11 septembre 2001, de puissants intérêts au sein même de l'élite américaine et des cercles dirigeants occidentaux désireux de couvrir les vrais protagonistes de ces attentats. Savez-vous par exemple que le Procureur émérite de la Cour de cassation italienne, Ferdinando Imposimato, a déclaré et a même écrit à diverses occasions, qu'il existe désormais des preuves plus que suffisantes pour accuser l'administration américaine de George W. Bush et Dick Cheney de "participation à un massacre", et pour les trainer devant un tribunal international. Le problème est que ce tribunal international, même s'il existe [La Haye - NdT] n'est pas habilité à juger l'administration américaine.

    Reste le fait, et cela constitue un élément important, que l'ensemble des grands médias occidentaux ont invariablement défendu, durant ces 15 dernières années, une version officielle désormais totalement fausse, se couvrant de ridicule, dans le seul but d'empêcher l'émergence de la vérité. Les concepteurs et les protagonistes de ces attentats, leurs amis ou complices, avaient et ont toujours le contrôle quasi total sur les moyens de communication mondiaux, et ont ainsi pu profiter de l'ignorance totale des faits dans laquelle des centaines de millions de personnes sont restées plongées.

    Le problème relève donc à la fois du niveau politique et de celui de la communication. Et il est vital de trouver une solution avant qu'il ne soit trop tard. Non seulement les organisateurs du 11-Septembre ont encore les mains libres, mais ils sont désormais en mesure de créer des dommages irréparables à la paix dans le monde.

    Rappelons-nous qu'ils ont gagné la partie : la portée de leur action a considérablement changé le cours de l'histoire de la planète. On a vu après le 11-Septembre toute une série de guerres sanguinaires (Afghanistan, Irak, Libye, Syrie) et de modifications du système des règles internationales : autant de changements motivés par la nécessité de combattre le "nouvel ennemi" de l'Occident, à savoir, l'Islam fondamentaliste.

    La guerre au terrorisme international, qui a débuté ce jour-là, se poursuit depuis maintenant 15 ans. Mais paradoxalement, au lieu de produire des résultats tangibles, elle semble au contraire étendre le chaos et le désordre dans à peu près toutes les directions. À première vue, la situation actuelle semble être la preuve que l'Empire américain - la plus puissante armée du monde, à laquelle s'ajoutent les autres armées occidentales réunies sous l'égide de l'OTAN - n'est pas capable d'arrêter son nouvel ennemi, celui fabriqué artificiellement [le 11/9] au travers du "plus grand spectacle [terroriste] de tous les temps, auquel assistèrent en direct à la télévision près de 3 milliards de personnes.

    Je ne pense pas que cette impression d'impuissance de l'Empire soit correcte. Les développements auxquels nous assistons semblent plutôt dessiner les lignes d'un chaos global qui correspond clairement aux intérêts des inventeurs de cette "guerre globale au terrorisme". Il s'agit d'un chaos organisé, dont le principal objectif est de cacher aux peuples occidentaux, qui vivent désormais dans la "terreur", le fait que l'origine de la crise mondiale est totalement interne à l'Occident. Elle dérive directement du fait que le système bancaire mondial, créé par la globalisation et qui, à son tour, a porté à encore plus de globalisation, n'est plus en mesure de résister longtemps sans exploser en une crise mondiale cent fois supérieure en intensité à celle qui mena à la crise de 1929.

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  11. Le "terrorisme islamique" qui est en train de se transformer jour après jour en une "guerre asymétrique" diffuse (selon la définition qu'en a donné Vladimir Poutine) équivaut à une gigantesque "distraction de masse", dont le but est de désorienter l'opinion publique mondiale, mais aussi de tirer bénéfice de terroristes et de groupe extrémistes ou radicalisés dans la poursuite d'intérêts particuliers. La preuve éclatante en est donnée par la théorie - inventée pour l'occasion par les sources officielles occidentales afin de dissimuler leur soutien aux terroristes dans la guerre contre la Syrie - des "terroristes modérés", opposés aux "méchants terroristes". Une théorie qui a poussé à considérer comme potentiels alliés des groupes affiliés à al-Qaïda, dans le but d'abattre le régime de Bashar el-Assad. Comme par hasard, cette même al-Qaïda à laquelle a été attribuée voilà 15 ans la paternité des megas-attentats contre le World Trade Center et le Pentagone.

    Après la crise de 2008 provoquée par la faillite de Lehman Brothers, aucune des recettes des centres du pouvoir financier global n'a été en mesure de remettre en marche la machine financière mondiale. La masse d'argent a pourtant été démultipliée de façon vertigineuse, à travers le mécanisme du "Quantitative Easing" pratiqué par toutes les banques centrales occidentales. Mais la machine globale n'a pas réussi à repartir. Au contraire, toutes les prévisions (savamment cachées aux yeux du grand public des investisseurs) indiquent que d'ici à 2020-2025, la croissante du PIB global s'approchera du point zéro, signant ainsi la fin de toutes les illusions sur la croissance économique si largement diffusées au cours de ces 10 dernières années, même si les faits montraient tout le contraire.

    Le problème appelle une solution politique rapide, puisque les solutions politico-économiques sont pour l'instant inatteignables. L'explosion systémique se produira dans un délai indéterminé, relativement élastique, mais qui ne sera pas supérieur à 10 ans. C'est ce qui explique la hâte (et aussi les signes de panique) avec laquelle l'Occident cherche à brouiller les cartes et à déstabiliser le monde en faisant table rase de toutes les règles qui avaient résisté pendant la Guerre froide.

    Se répète ainsi le scénario qui précéda le 11 septembre 2001. Quelques années auparavant, en 1998, le groupe de néoconservateurs emmené par Paul Wolfowiz avait produit un document intitulé "Projet pour un nouveau siècle américain" (PNAC, Project for the New American Century). Le titre était déjà révélateur de la folie de ses auteurs : suggérer d'imposer au monde un autre siècle à domination américaine, sur une planète abritant plus de 7 milliards d'habitants, et où existent désormais des géants comme la Chine et l'Inde, équivalait à une déclaration de guerre contre le reste du monde. Les auteurs néo-cons avaient parfaitement conscience de la violence qu'un tel projet nécessitait pour se réaliser. Ils savaient - ils l'ont écrit - que la Chine, en 2017, serait devenue le concurrent objectif et non contrôlable dont il faudrait tenir compte. Inversant les rôles, ils qualifièrent la Chine de "menace pour la sécurité nationale des États-Unis". Et ils se préparèrent à renforcer un différentiel militaire stratégique destiné à devenir toujours plus impossible à combler, pour toujours, pour n'importe quel État ou groupe d'États qui aurait eu des velléités de seulement s'approcher de la puissance de l'Empire.

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  12. Ces gens-là avaient déjà, à l'époque, connaissance de l'immense escroquerie financière sur laquelle reposait le dollar. Et de fait, les premiers signes de récession apparurent précisément en 2001. Il s'agissait alors d'imposer un changement psychologique dans la population américaine (et dans les populations occidentales en général, Europe incluse), laquelle étant parfaitement ignorante de tout cela et attirée par la carotte consumériste que lui présentaient les médias, n'était pas vraiment prête à se laisser embarquer dans une aventure guerrière. Il fallait donc provoquer quelque chose d'extraordinaire, de terrible ; quelque chose de "semblable à un nouveau Pearl Harbor", de façon à ce que les masses populaires perçoivent un danger immense et surtout imminent, à même de détruire leur sécurité et de mettre fin à leur bien-être.

    Un tel danger n'existait plus à la fin du siècle dernier. La Russie - ainsi le pensaient-ils, et cela fut leur plus grande erreur - avait déjà été mise hors-jeu, conquise, colonisée culturellement et politiquement. Elle n'incarnait plus l'"ennemi rouge" qui avait tant tourmenté l'élite américaine au cours de la Guerre froide. La Russie ne pouvait plus être considérée comme un concurrent potentiel. Le Mur de Berlin était tombé. Comme l'écrivait Gore Vial, "quand les Russes nous ont frappés dans le dos en abandonnant leur empire en 1991, nous sommes restés sur de fausses idées sur nous-mêmes, et surtout, bien plus grave, sur le reste du monde."

    Il fallut donc créer la menace de manière parfaitement artificielle. Et ainsi fut-il fait. Cela peut sembler étrange, mais ils le déclarèrent ouvertement. Rappelons-nous des paroles de Zbignew Brzezinski prononcées en 1997 :

    "Il faut prendre en considération le fait que l'Amérique est en train de se transformer toujours plus en une société multiculturelle, et en tant que telle, il peut devenir de plus en plus difficile de créer le consensus sur des questions de politique étrangère, à moins d'une menace ennemie énorme, perçue directement au niveau des masses."

    La prévision d'une Chine hors de contrôle était la bonne. Mais il fallait un ennemi tout de suite, sur-le-champ. L'Islam fut servi sur l'autel de toutes les Nations comme cet "ennemi". George W. Bush et son ministre de la Défense Donald Rumsfeld clamèrent devant les micros et les caméras de tous les grands médias que "venait de commencer une guerre qui allait durer toute une génération" (Rumsfeld parla même de "50 ans").

    Les premières 15 années de ces 50 ans viennent de passer. Et personne ne peut nier que la situation mondiale est en train de dégénérer. Mais l'Occident se refuse à prendre acte des changements dans les rapports de force planétaires. Ce qui est le plus insupportable pour les cercles de pouvoir américains, c'est de voir réapparaitre la Russie comme protagoniste sur la scène internationale. Dans les prévisions - erronées - des néo-cons, la Russie avait été mise définitivement hors-jeu. Et cette erreur de calcul a rendu problématique le reste de leurs plans. Ils pensaient qu'une fois la Russie écartée, il y aurait eu assez de temps pour s'occuper de la Chine et en faire le nouvel "Empire du Mal", à la place de la Russie. Tout aussi fausse fut leur hypothèse selon laquelle après ce "Nouveau Pearl Harbor", les 7 milliards d'habitants de la planète se seraient rangés en file indienne pour acheter tout ce qui pouvait être achetés dans les supermarchés créés pour eux. Et tout aussi fausse fut l'idée qu'il suffisait de fabriquer de l'argent de toute pièce pour résoudre le problème.

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  13. La somme de ces succès, et de ces erreurs, permit à l'Empire - entre une guerre et l'autre - de dominer 7 ans de plus. La 7e année fut 2008, et il fallut 13 000 milliards de dollars inventés de toute urgence par la Federal Reserve d'Allan Greenspan, pour sauver de la faillite les banques occidentales. Et comme nous l'avons déjà rappelé, les dernières 8 années ont vu s'établir le règne du chaos. Voilà pourquoi l'Empire se trouve à nouveau devant la nécessité de compacter son système d'alliances, exactement comme il le fit à travers les attentats terroristes de 2001. En 2008, le stratagème consista à déstabiliser les "petits ennemis" et fut confié à Barack Obama, qui le réalisa à travers la multiplication des "révolutions colorées" et surtout, l'usage des "printemps arabes" destinés à faire place nette de tous ces régimes devenus inutiles ou gênants au Moyen-Orient. Et il faut bien reconnaitre que cette opération stratégique a fonctionné, mais uniquement dans le sens d'encore plus de déstabilisation globale.

    La présence de la Russie, redevenue puissance mondiale, a cependant contraint les néo-cons à changer de stratégie, et à revenir sur le lieu du crime. C'est de nouveau la peur qui a prévalu. La crise fait rage, et à l'Est on voit poindre deux "ennemis", la Russie et maintenant la Chine, le grand "pays du milieu". C'est ainsi que s'explique le coup d'État en Ukraine, la destitution de Janukovic par les groupes nazis et ultranationalistes russophobes depuis longtemps formés et entrainés avec l'aide de la Pologne et des républiques baltiques. Le piège, fort bien préparé, devait obliger la Russie à intervenir directement pour soutenir les Russes d'Ukraine, soumis à une véritable purification ethnique d'un nouveau genre. Vladimir Poutine n'est pas tombé dans le piège et les Russes d'Ukraine - pas tous, mais une bonne partie - ont trouvé la force pour se défendre. La Crimée a choisi de "revenir au pays".

    Toujours est-il que l'objectif a été en grande partie atteint par l'Empire. L'Europe s'est rangée aux côtés des États-Unis, des sanctions ont été prises [contre la Russie], la vague russophobe s'est propagée dans tout l'Occident et l'a compacté autour de Washington. La Russie et Poutine sont les "véritables ennemis à abattre." Comment ? Ce sera à Hillary Clinton de résoudre le problème. La confrontation directe est en cours de préparation. Mais tous à Washington ne sont assez pas assez suicidaires pour la déclencher. Ils se préparent à la guerre, et pensent pouvoir mettre à genoux la Russie de Poutine, comme ils le firent avec l'URSS de Gorbatchev. C'est un pari qu'ils pourraient bien perdre. Et l'Europe est en pleine ébullition, au point qu'elle pourrait bien exploser avant. L'Empire lui-même est profondément divisé. Donald Trump a très peu de chances de gagner les élections, mais sa présence montre à quel point le peuple américain n'a plus aucune confiance dans ses élites. On pourrait appliquer à l'Amérique le dicton latin "omne regnum in se ipse divisum desolabitur" (tout règne, lorsqu'il est divisé en son sein, finit par s'écrouler)

    https://fr.sott.net/article/28948-Bientot-15-ans-et-la-situation-empire-toujours

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    1. Parler du '11 Septembre' (et fêter l'anniversaire symbolique du '15' comme dans 5 ans du '20', etc) pour ne pas parler de la vérité c'est soutenir le mensonge, l'escroquerie ainsi que les guerres et ses millions de morts qui ont suivi.

      Le mensonge, l'escroquerie c'est d'abord une idiotie qui n'aurait pas dû durer plus d'une semaine et que PERSONNE (sauf moi) n'a osé dire et démontrer. Cette idiotie ce sont ces 'avions' qui filent à environ 800 km/h, se penchent avant d'entrer en 'collision' avec les tours du WTC, et.... continuent de voler à la même vitesse jusqu'au bout malgré le choc frontal !!! HAHAHAHA !

      Un avion (Boeing) en aluminium qui serait capable de... couper des pylônes d'acier de 80 cm d'épaisseur ! OUI ! Vous l'avez vu ! Des dizaines de poutres verticales qui constituent l'armature/la colonne vertébrale intérieure d'un bâtiment ont (auraient) été coupées par... des ailes en aluminium !!! HAHAHAHAHA !

      Essayez de fabriquer un avion en papier et lancez-le contre le mur: à New-York çà marche ! Cà traverse ! HAHAHAHA !

      L'ensemble du monde des architectes ainsi que des avionneurs ont protesté contre une telle plaisanterie/suite de gags et film trop drôle présenté en continu sur toutes les chaînes de télévision !
      Car, ils sont TOUS d'accord pour dire qu'un avion en aluminium s'écrase contre un mur mais ne le pénètre pas ! Idem pour l'incendie des tours qui représenterait un danger pour toutes si c'était le cas d'une telle possibilité d'inflammabilité et d'un tel effondrement ! HAHAHAHA !

      C'est ainsi qu'en ce 11 Septembre 2001, le monde entier à pu découvrir le 'premier' hologramme d'avions présenté en plein ciel de la côte Est après les trop nombreux autres de 'soucoupes volantes' qui ont trop fait rire le monde !

      Plutôt bizarre que ces 'avions' qui ne sont même pas freinés par l'entrée en collision ne ressortent pas de l'autre côté ! HAHAHAHA ! (regardez toutes les vidéos sur Internet).

      Plutôt stupide que des passagers à bord des hologrammes aient pu téléphoner avec leurs téléphones portables alors qu'il n'existait pas encore en 2001 des possibilité de transmission sur d'aussi longues distances sans antennes relais ! HAHAHAHA !

      - Voir le site du Docteur Judy Wood:
      http://www.drjudywood.com

      N'oubliez pas de regarder sur ce site les photos de voitures brûlées... a moitié !!! HAHAHAHA ! Même les caoutchouc y sont encore ! (Le scalaire de la peur !).

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  14. Petite balade dans la presse : des rationalistes ont écrit...


    7 Septembre 2016,
    par Seppi

    Glané sur la toile 94


    « Adieu au glyphosate ? » de M. Jean-François Proust

    Ce fut publié dans le Nouvel Économiste le 6 juillet 2016, donc après la décision prise par la Commission européenne – contrainte et forcée par la veulerie des États membres – de renouveler l'autorisation de mise sur le marché du glyphosate pour 18 mois au maximum (jusqu'à fin 2017), en attendant le rapport de l'Agence européenne des produits chimiques (ECHA). Un rapport dont les conclusions provisoires – quasi forcément finales – sont déjà connues...

    Titre et texte tout à fait pertinents : la sinistre farce de la démission collective des politiques devant les mensonges et les manipulations des milieux qui ont décidé d'avoir la peau du glyphosate se rejouera à nouveau l'année prochaine. Avec les mêmes mensonges, les mêmes manipulations...

    - voir photo sur site -

    C'est l'occasion ici d'un rattrapage : l'image est tirée de « à tous ceux qui veulent bannir le glyphosate » de M. Frédéric Thomas.

    Ah non, pas tout à fait :

    L'Autorité de protection de l'environnement de la Nouvelle-Zélande a fait réexaminer les preuves de la cancérogénicité possible du glyphosate. Cet examen a mené à la conclusion que le glyphosate n'est probablement pas [unlikely to be] cancérogène pour les humains ou génotoxique, et qu'il ne devrait pas être classé comme mutagène ou cancérogène dans le cadre de la loi sur les substances dangereuses et les nouveaux organismes. Rappelons à toutes fins utiles que « probablement pas » exprime l'impossibilité scientifique de prouver une innocuité en déployant des moyens raisonnables, et même extravagants.

    L’Office fédéral de la sécurité alimentaire et des affaires vétérinaires (OSAV) a publié le 4 juillet 2016 une fiche thématique sur le glyphosate mise à jour. L'OSAV a maintenu le texte suivant :

    « Comme d’autres comités d’experts reconnus internationalement, l’OSAV juge peu probable que le glyphosate présente un risque cancérogène pour l’homme via l’alimentation. Du point de vue sanitaire, il ne voit donc pas l’utilité de modifier les valeurs maximales en vigueur ou de prendre d’autres mesures visant à réduire l’exposition. »

    Le 2 septembre 2016, la Commission de la Science, de l'Éducation et de la Culture du Conseil National suisse a décidé, par 15 voix contre 7, de ne pas donner suite à une pétition déposée notamment par Greenpeace et la Fédération Romande des Consommateurs qui demandait l’interdiction de l’usage du glyphosate dans l’agriculture ainsi que l’établissement d’un programme visant à abandonner l’utilisation de tous les pesticides chimiques de synthèse :

    « La majorité de la commission est d’avis qu’il n’y a pas, selon les connaissances actuelles, de raisons scientifiques qui justifient d’interdire l’usage du glyphosate en général, et en particulier dans l’agriculture. »

    La procédure n'est pas arrivée à son terme, mais le résumé du motif du rejet est explicite.

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  15. La médecin-hygiéniste en chef par intérim du Nouveau-Brunswick a rendu public son rapport sur l'usage du glyphosate dans cette province canadienne (communiqué de presse ; résumé ; document ; article en français). Le rapport conclut que les habitants du Nouveau-Brunsvick ne sont pas exposés à un risque supérieur par rapport aux autres Canadiens et qu'aucune mesure supplémentaire de protection de la santé publique n'est justifiée. Ce qui est particulièrement intéressant ici, c'est que le rapport a reçu l'appui remarqué de M. John McLaughlin, conseiller scientifique principal de Santé Publique de la province de l'Ontario... et membre du groupe de travail qui a classé le glyphosate comme cancérogène probable.

    « Globalement, les risques associés au glyphosate sont faibles et ceux-ci sont décrits de manière appropriée dans le rapport du Nouveau-Brunswick, tout en reconnaissant qu'il existe une préoccupation potentielle s'il n'est pas utilisé à bon escient et avec parcimonie et selon les modalités approuvées par les organismes de réglementation. »

    Après des propos emberlificotés en avril 2015, ne serait-ce pas là le début d'une critique de l'activisme déployé par des agents du CIRC pour avoir la peau du glyphosate ?

    Revenons donc à M. Jean-François Proust, « ingénieur agronome, ex INRA, animateur du Forum Phyto » et « Peut-on se passer du glyphosate ? »

    - voir photo sur site -

    La réponse est percutante :

    « Oui, les agriculteurs peuvent se passer de glyphosate, comme d’ailleurs de tous les pesticides, y compris bios. Mais avec quelles conséquences ? Seul celui qui n’a jamais cultivé de jardin peut prétendre qu’il n’y a pas de "mauvaises" herbes. Depuis le néolithique, elles sont le pire ennemi de l’agriculture. Les biner manuellement est une tâche longue, ingrate et pénible. Elles reviennent toujours et, non maîtrisées, réduisent fortement le potentiel de récolte. »

    […]

    Sans glyphosate, on peut donc produire, certes ! Mais en moins grandes quantités, plus cher, de moins bonne qualité, de façon plus aléatoire et avec plus d’impact sur l’environnement. [...] »

    Il y a aussi un petit catalogue des répercussions d’une interdiction. Mais le mieux est encore de lire l'article d'origine.

    Un article qu'il faudra ressortir quand, grâce au CIRC et à la faiblesse politique de nos gouvernants, le cirque recommencera.


    « La position inconséquente de la France au sujet du Roundup » de M. Gérard Kafadaroff

    C'est sur le Huffington Post du 18 juillet 2016.

    Et c'est un coup de gueule contre un « vote français irresponsable » :

    « Après plus de 40 ans d'utilisation mondiale sans problème sanitaire, contre l'avis de la Commission européenne et sa proposition initiale de prolongation de 15 ans, le gouvernement français s'est opposé au renouvellement de l'autorisation de vente du désherbant. »

    C'est, là aussi, un réquisitoire sans complaisance :

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  16. « Sans réelle réflexion sur les conséquences pour les agriculteurs, ce vote français est incompréhensible et traduit le peu d'intérêt accordé par les décideurs politiques à l'agriculture française. »

    Mais, là aussi, nous avons envie d'élargir le débat. Ce comportement indigent de nos gouvernants n'est-il pas une preuve – de plus – du fait que notre système démocratique a atteint ses limites face au pouvoir de la désinformation surmultiplié par les réseaux sociaux, les médias complaisants et le pouvoir de nuisance de minorités d'opinion qui font la bascule d'un camp politique à l'autre... en attendant qu'une extrême ne renverse la table ?

    - voir photo sur site -

    M. Kafadaroff est un adepte des questions qui interpellent le lecteur. Il en est une qui constitue un bon résumé de la situation ; de l'irresponsabilité d'une ministre dont l'horizon est à la hauteur de son nombril ; et de la démission collective d'un gouvernement qui trahit ses responsabilités envers la France pour les trente deniers électoraux que lui rapporte une complaisance envers l'idéologie verte :

    « Comment promouvoir des techniques agronomiques agro-écologiques tout en privant les agriculteurs des outils pour les mettre en œuvre ? »

    Nous craignons que la réponse ne soit dans la question... la promotion des techniques baptisées « agro-écologiques » procède de la même démarche d'opportunisme électoral. Et, sans prise de conscience des vraies réalités, cela ne changera pas avec le changement prévisible de gouvernement.

    On ne peut donc que souhaiter que M. Kafadaroff récidive...

    « La réglementation européenne des nouvelles biotechnologies végétales : au cœur des enjeux » de Mme Catherine Regnault-Roger

    Ces « nouvelles biotechnologies végétales », ce sont des objets dont la désignation est encore fluctuante en français, mais qui ont déjà fait beaucoup de bruit, rapport à un rapport du Haut Conseil des Biotechnologies (HCB) – qui est devenu un rapport provisoire sur le site (décidément détestable) du HCB – et à des démissions qui se sont voulues fracassantes. Il s'agit donc, selon l'« Introduction générale » à la « première étape de la réflexion du HCB », des :

    « nouvelles techniques d’obtention de plantes, dites "New Plant Breeding Techniques" (NPBT) ».

    Selon le Comité scientifique du HCB,

    « la liste des techniques discutée est relativement hétéroclite, et leur appellation "New Plant Breeding Techniques" peut prêter à confusion ».

    Résumons donc par une autre voie : il s'agit de ces techniques détestées par le monde alter et anti, lequel tient absolument à ce que leurs produits soient qualifiés d'OGM. Si ce monde parvient à ses fins, les produits devront passer par les fourches caudines des diverses procédures d'autorisation ; et si les produits franchissent par miracle les obstacles, leur culture aura in fine toutes les malchances d'être interdite, pour cause de démission politique, d'opportunisme électoral et de complaisance envers l'« opinion publique », lire : les désinformateurs.

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  17. En fait, notre définition iconoclaste ne colle pas non plus : c'est que le front du refus veut aussi faire interdire les variétés rendues tolérantes à un herbicide (VrTH) grâce à des mutations induites, provoquées – variétés popularisées sous le vocable « OGM cachés » –, voire les variétés simplement tolérantes à un herbicide issues d'une mutation spontanée.

    Du point de vue des procédés, l'horloge du progrès agronomique (et alimentaire) devrait donc être remontée de près d'un siècle pour la sélection par mutations induites, voire à l'aube de l'humanité agricole pour l'exploitation des mutations spontanées. Le discours doit évidemment faire le grand écart car il y a les nombreuses variétés issues de mutations, récentes et anciennes, et des mutations dont aucune personne raisonnable ne contesterait le bénéfice.

    Notons incidemment que l'on peut lire des chiffres sur le nombre de variétés issues de mutations induites (par exemple ici, « plus de 2 500 »). Ces chiffres sont à notre sens faux car ils ne tiennent pas compte des descendants des premières variétés issues de mutations induites. Si l'on devait suivre le rétropédalage inscrit en filigrane dans les revendications de l'altermonde, il faudrait probablement soumettre la culture d'espèces entières à la folie bureaucratique, réglementaire et démagogique des procédures d'autorisation.

    - voir photo sur site -

    Mme Catherine Regnault-Roger, membre de l’Académie d’agriculture et professeur des universités émérite, écrit donc dans « La réglementation européenne des nouvelles biotechnologies végétales : au cœur des enjeux » :

    « Le débat sociétal sur les OGM s’est déplacé vers d’autres cibles biotechnologiques pour lesquelles les enjeux réglementaires sont, plus que jamais, cruciaux pour l’avenir de l’agriculture française et européenne. »

    Nous pouvons élargir le propos : derrière l'agriculture, il y a l'alimentation ; il faut le répéter inlassablement à une population qui perd la conscience de ce lien. D'autre part, l'Europe exporte de diverses manières – y compris d'abominables – ses « solutions ». C'est donc aussi, notamment, l'avenir de l'agriculture africaine qui est en jeu.

    Mme Regnault-Roger fait un constat amer : la réglementation européenne sur les OGM est obsolète :

    « Cette réglementation apparaît aujourd’hui inadaptée et disproportionnée par rapport aux risques puisque les recherches conduites au cours des deux dernières décennies démontrent que la culture de ces plantes génétiquement modifiées (PGM), dans le respect des bonnes pratiques agricoles, ne présente pas plus de toxicité et d’écotoxicité que celle des plantes conventionnelles ; mieux, qu’elle s’accompagne d’améliorations phytopharmaceutiques et de la biodiversité, ou encore de la qualité sanitaire des récoltes. »

    Et pourtant, l'Europe – ne pas lire : « la Commission », mais les États membres et le Parlement européen ont engagé – fait engager par la Commission – un exercice d'exégèse juridique d'un texte obsolète pour déterminer si et comment il peut et doit s'appliquer aux nouvelles techniques...

    Mais l'opportunisme et le court-termisme politiques se heurtent à l'évidente rationalité de la préconisation de Mme Regnault-Roger : fonder le système sur les caractéristiques du produit nouveau plutôt que sur le procédé d'obtention...

    Son analyse est non seulement à lire, mais aussi à ressortir périodiquement. Peut-être se trouvera-t-il finalement quelqu'un dans les sphères de la décision politique pour faire admettre que si le ridicule ne tue pas ses auteurs, il peut compromettre l'avenir. L'avenir, peut-être pas des auteurs vu leur âge, mais de leurs enfants et petits-enfants.

    http://seppi.over-blog.com/2016/09/petite-balade-dans-la-presse-des-rationalistes-ont-ecrit.html

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  18. «WARgrams» : comment la NSA a instrumentalisé la guerre contre le terrorisme pour gagner le monde


    7 sept. 2016, 22:42


    La publication de nouveaux documents jusque-là classifiés jette une lumière crue sur la façon dont la NSA envisageait son avenir dans les années 2000. Et ces documents présagent de l'ampleur des moyens de surveillance qui allaient être mis en œuvre.

    Après huit ans d'attente et une requête invoquant la Loi pour la liberté d'information (Freedom of Information Act) déposée par Motherboard, l'un des médias en ligne du magazine Vice, l'Agence de sécurité nationale américaine (NSA) a finalement dû se plier et consentir à publier des documents internes de 2003 et 2004, dont elle avait toujours nié l'existence. Des documents qui révèlent les ambitions de la NSA.

    En 2003, alors que les Etats-Unis se lancent dans le deuxième épisode de la guerre en Irak, Michael Hayden, alors directeur de la NSA, décide de la création d'une newsletter, les WARgrams, «télégrammes de guerre», destinés à informer et surtout galvaniser les employés de l'agence de renseignement américaine.

    Aussi, le chef de la NSA reprend à son compte les objectifs de guerre de son gouvernement, pour les transmettre aux troupes telles quels. Dans la toute première édition de la série, Michael Hayden rappelle ainsi que le but des Etats-Unis en Irak est de «renverser Saddam Hussein, débarrasser le pays des armes de destruction massives et créer les conditions d'une démocratie sous contrôle du peuple irakien».

    Et si les premiers bulletins d'information ressemblent plus à des notes de service banales, ceux qui seront diffusés par la suite témoignent des grandes ambitions de l'agence fédérale qui entend profiter de la «guerre contre le terrorisme» – nom donné par le président George W. Bush aux campagnes militaires américaines lancées à l'échelle de la planète en prenant comme justification les attentats du 11 septembre 2001 – pour étendre son influence partout dans le monde.

    La NSA gérée comme une multinationale privée

    Ainsi, dans le WARgram numéro 27, Michael Hayden explique lui-même que la NSA n'est pas très différente d'une multinationale du secteur privé, qui, par nature, cherche à croître et gagner des marchés : «Nous avons géré la guerre en Irak comme une activité commerciale, avec le renseignement américain chargé de la coordination et de l'exécution. Et nos résultats sont étonnants», constate-t-il, tout en félicitant ses troupes.

    Et, malgré de nombreux passages censurés, certaines références subsistent dans les documents qui laissent à penser que des unités secrètes étaient également présentes sur le champ de bataille. Le WARgram n°37 évoque, par exemple, une mystérieuse «brigade irakienne», brigade dont Michael Hayden estimait alors que l'expérience qu'elle avait acquise là-bas serait utile pour la NSA dans le futur. Un autre WARgram fait aussi état de forces spéciales déployées sur le terrain. Michael Hayden, avec un brin de fierté annonce ainsi à ses employés que l'entreprise pour laquelle ils travaillent est présente en Irak.

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  19. Mais, au fil des WARgrams, les considérations de son directeur ne se limitent plus seulement à l'Irak. Michael Hayden commence ainsi à évoquer une surveillance globale, prenant comme prétexte l'imminence d'une attaque sur le sol même des Etats-Unis. «Les Etats-Unis et leurs alliés restent des cibles tentantes pour les groupes terroristes. La menace concernant le territoire national est réelle et ce n'est qu'une question de temps», estime-t-il dans le bulletin n°61.

    Ces documents viennent ainsi corroborer les informations classées top-secret que le lanceur d'alerte Edward Snowden, ancien employé de la NSA, a rendues publiques à partir de juin 2013. Des informations qui démontraient pour la première fois l'étendue des pouvoirs de l'agence de sécurité nationale, concernant la captation massive des métadonnées, des appels téléphoniques et des flux internet, y compris ceux des simples citoyens, au nom de la lutte contre le terrorisme.

    Lire aussi : Snowden : une base américaine au Royaume-Uni utilisée pour des frappes au Yémen

    https://francais.rt.com/international/26054-wargrams-nsa-instrumentalise-guerre

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  20. Au grand dam des syndicats, Alstom annonce l’arrêt de la production de trains à Belfort d’ici 2018


    7 sept. 2016, 23:03 - Avec AFP


    Fragilisé par une baisse des commandes en France, le constructeur ferroviaire Alstom a annoncé mercredi l'arrêt de sa production de trains à Belfort d'ici à 2018, une nouvelle qui touchera plus de 400 personnes, accueillie avec consternation.

    Le scénario tant redouté s'est finalement produit: face à une chute programmée de 30% de la charge de travail de ses usines françaises, Alstom a sacrifié un de ses sites d'assemblage, Belfort.

    «La direction d'Alstom a partagé un projet qui vise à recentrer ses activités exclusivement sur le service», soit la maintenance de trains, tandis que «les activités d'ingénierie et de production seront progressivement, sur une période de deux ans, transférées vers le site de Reichshoffen» (Bas-Rhin), a indiqué le groupe à l'AFP.

    Confronté à «la baisse des commandes et des projets d'investissement», Alstom explique qu'il «se devait d'adapter son outil industriel pour ne pas mettre l'ensemble des sites à risque».

    «Tous les salariés recevront, s'ils le souhaitent, une proposition de transfert» vers d'autres sites en France d'ici à 2018, assure Alstom, qui n'évoque ni fermeture ni plan social pour Belfort.

    Devant l'usine les employés sortaient au compte-gouttes, l'air assommé. «Pour l'instant, on n'arrive même pas à en parler. Il faut digérer l'annonce qui nous a été faite en 10 minutes», explique un employé qui refuse de donner son nom. Quant aux promesses de reclassement, «il y a plein de salariés qui ne sont pas mobiles», balaye-t-il.

    C'est «la fermeture ni plus ni moins de Belfort», explique Olivier Kohler, délégué CFDT du site. Selon lui, sur les 500 salariés actuels, seuls les 50 affectés à la maintenance des trains resteront.

    «Un vrai gâchis», regrette Claude Mandart, délégué central CFE-CGC, d'après qui il «ne resterait à Belfort qu'une centaine de personnes» d'ici à deux ans.

    Inacceptable pour Pascal Novelin, délégué CGT du site. «La direction dit "On vous proposera quelque chose". Est-ce qu'on va déraciner 450 familles ?», interroge le syndicaliste. «On défendra bec et ongles notre usine. Par la grève, par tous les moyens. On ne va pas se laisser faire mettre à la porte comme des moins-que-rien».

    Le député-maire (LR) de Belfort, Damien Meslot, s'est lui dit «consterné par cette décision qui menace directement près de 400 emplois» et qui n'est «pas conforme aux engagements d'Alstom».

    La «démonstration» que l'«on n'a pas assuré la pérennité des sites industriels en France», avance le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger.

    Inquiétudes pour d'autres usines

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  21. Installée depuis 1879 à Belfort, l'entreprise y a produit sa première locomotive à vapeur en 1880, avant de se développer dans les turbines et l'énergie, activité cédée à l'américain General Electric fin 2015.

    Un an plus tôt, les syndicats alertaient déjà sur des menaces de suppressions de postes dans la branche transports à Belfort. Et le carnet de commandes ne s'est pas rempli depuis, Alstom voyant même lui passer sous le nez un contrat de 44 locomotives diesel, achetées à son concurrent allemand Vossloh par Akiem, filiale de la SNCF et de la Deutsche Bank.

    Lire aussi
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    L'usine de Belfort n'avait plus que quelques locomotives à fabriquer pour la SNCF et l'Azerbaïdjan jusqu'en 2018, puis pour la Suisse jusqu'en 2021.

    Celle de Reichshoffen (1000 salariés à ce jour), où sont assemblés les trains régionaux, n'a pas beaucoup plus de visibilité: la commande de 30 trains Intercités promise en février par le secrétaire d'Etat aux Transports, Alain Vidalies, n'a toujours pas été concrétisée.

    Dans un courrier à François Hollande mercredi, 13 parlementaires dont les circonscriptions accueillent des sites d'Alstom s'en inquiètent: «D'aucuns commencent à douter de la réalité de cette commande», écrivent-ils, espérant qu'il ne s'agissait pas d'un «mirage» pour «mieux faire accepter les autres annonces particulièrement pénalisantes».

    Le nouveau secrétaire d'Etat à l'Industrie, Christophe Sirugue, recevra le PDG d'Alstom, Henri Poupard-Lafarge, «le plus tôt possible» pour «veiller à ce que la mise en œuvre du processus de transfert de l'activité soit exemplaire et que des engagements fermes soient pris», a assuré à l'AFP le ministère de l'Economie et des Finances.

    Lire aussi : Belgique : 2 000 emplois menacés, des ouvriers bloquent un site Caterpillar à la pelleteuse (VIDEO)

    https://francais.rt.com/economie/26055-alstom-va-arreter-production-trains-belfort

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    1. Une entreprise paralysée par les impositions et charges sociales ne peut que déménager vers un pays honnête ou se dissoudre sur-place.

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  22. Caterpillar qui ferme en Belgique : la faute à l’Etat ?


    le 8 septembre 2016 dans Belgique


    Le drame de la fermeture de l’usine Caterpillar en Belgique a au moins le mérite d’unir les responsables politiques dans un souci d’assistance aux travailleurs dramatiquement et injustement privés de leur emploi.

    Par Thierry Afschrift.

    Caterpillar Belgique : l'impasse de l'État-providence

    On a même vu côte à côte le premier ministre et le ministre président wallon et on attend avec impatience que le chef du gouvernement fédéral annonce l’union sacrée avec le chef par intérim du syndicat socialiste.

    Le premier ministre a ainsi annoncé, dans des termes que ne désavouerait sûrement pas la FGTB : « nous allons nous battre contre Caterpillar ». Voilà un bel avertissement pour les entreprises étrangères qui s’aventureraient, suite à un quelconque road show du gouvernement fédéral, à investir quelque chose en Belgique : si les choses tournent mal, le gouvernement les combattra. Si elles vont bien, il se contentera de les taxer…

    Ces travailleurs qui voulaient travailler

    On oublie un peu vite qu’il y a à peine un an, après 28 jours de grève en 18 mois, des centaines de travailleurs, excédés, de cette entreprise, manifestaient à Charleroi parce qu’ils voulaient travailler et en étaient empêchés par des piquets de grève. Le bourgmestre de la Ville ne les avait à l’époque pas reçus et personne ne les avait soutenus pour combattre le syndicat. La direction de l’usine avait alors annoncé qu’il ne faudrait pas s’étonner si un tel climat social était un jour perçu, outre-Atlantique, comme un élément de poids pour provoquer la fermeture du site de Gosselies.

    Si une grande entreprise décide aujourd’hui cette fermeture, ce n’est sûrement pas par sentiment anti-wallon, ni par parti pris en faveur des travailleurs chinois et français, qui, eux, bénéficieront du transfert de l’activité de Gosselies. Il n’est pas facile, pour une telle entreprise, d’abandonner un site de production gigantesque comme celui dont elle dispose en Wallonie, et qui, dans ses comptes, est encore valorisé après amortissements à une centaine de millions d’euros.

    Si elle accepte le risque de perdre cet actif important, devenu improductif en raison de la fermeture, c’est tout simplement parce qu’elle considère que, même en assumant cette perte, il est préférable pour elle de produire ailleurs, non seulement dans un pays, comme la Chine, où les salaires sont beaucoup plus bas qu’en Belgique, mais même en France, qui n’est réputé être un enfer social.

    Le PTB a justement fait remarquer qu’une autre société du groupe, son centre de coordination, ne payait, en raison des intérêts notionnels, qu’un très faible taux effectif (moins de 5 %) d’impôt des sociétés. Mais ce centre peut fonctionner sans que l’on produise quoi que ce soit en Belgique, et la société qui donnait, jusqu’à présent, du travail à plus de 2.000 personnes subissait, elle, une imposition élevée. Surtout, comme tous les employeurs de Belgique, elle payait des montants de charges fiscales et sociales gigantesques sur les salaires de son personnel.

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  23. Le drame de la fiscalité belge

    C’est là tout le drame de la fiscalité belge : le travail est à ce point imposé que l’on pousse les entreprises à partir, et en tout cas à ne pas s’installer ici. Il ne sert à rien, comme le font certains responsables politiques aujourd’hui, à affirmer qu’il faut « réindustrialiser » : le système social que tous les partis politiques protègent, celui de l’État providence, fait exactement le contraire.

    Ce système, ce « modèle social » sanctionne délibérément le travail, sur la base de l’argument cynique que les revenus du travail sont quantitativement les plus importants. C’est ce système qui crée le chômage, auquel sont confrontés, outre ceux qui perdent aujourd’hui leur emploi, des centaines de milliers de personnes. A force de les « protéger » dans toutes les hypothèses de la vie où il peut leur arriver quelque chose, comme la perte de leur travail, on a créé une énorme machine extrêmement coûteuse, qui dissuade patrons belges et étrangers de donner du travail.

    Les dirigeants en ont alors été réduits à jouer les voyageurs de commerce, pendant des années, non pas même pour inciter des entreprises étrangères à investir dans notre pays, mais à promouvoir des centres de coordination et des intérêts notionnels, qui créent très peu de richesses en Belgique, et ne donnent de travail à presque personne, tandis que les gens qui travaillent, et les entreprises qui créent vraiment de la richesse, restaient soumises aux impôts, et aux cotisations sociales parmi les plus élevés au monde.

    Ce n’est pas en proposant aujourd’hui encore plus d’assistanat, encore plus d’ « aides » que cela peut changer. Mettre encore plus de quelque chose qui n’a pas fonctionné n’a jamais été une voie vers le succès. C’est ce système, celui de l’État Providence qu’il faut remettre ne cause, en réduisant d’un même élan les charges des entreprises et le rôle des pouvoirs publics pleurnicheurs et inefficaces.

    http://www.contrepoints.org/2016/09/08/265181-caterpillar-belgique-limpasse-de-letat-providence

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  24. Le pourcentage de travail les hommes en âge qui ne disposent pas d'une tâche est similaire à la Grande Dépression

     
    Par Michael Snyder,
    le 7 Septembre, 2016


    Pourquoi beaucoup d'hommes dans leurs premières années de travail sont au chômage ? L'administration Obama voudrait nous faire croire que le chômage est faible dans ce pays, mais qui ne sont pas du tout vrai. En fait, un auteur cité par NPR dit qu ' «il est un peu pire que ce qu'elle était dans la dépression en 1940". La plupart des Américains ne réalisent pas cela, mais plus d'hommes âgés de 25 à 54 sont «inactifs» en ce moment que ce fut le cas au cours de la dernière récession. Nous avons des millions et des millions de jeunes hommes forts juste assis autour de ne rien faire. Ils ne sont pas employés et ils ne sont pas considérés être à la recherche d'un emploi, soit, et ils ne se présentent pas dans les chiffres officiels du chômage. Mais ils ne disposent pas d'emplois, et rien que l'administration Obama ne peut éliminer ce fait.

    Selon NPR, «près de 100 % des hommes âgés entre 25 et 54 a travaillé" dans les années 1960.

    En ces jours, à peu près tout, travaillant dur homme américain fiable pourrait se faire embaucher presque immédiatement. L'économie était en croissance et la demande de travail était apparemment insatiable.

    Mais aujourd'hui, une personne sur six hommes dans leurs années de travail de choix n'a pas de travail ...

    Dans un récent rapport, le Conseil du président Obama des conseillers économiques a dit 83 pour cent des hommes dans les premiers âges de travail de 25-54 qui ne sont pas dans la population active n'a pas travaillé l'année précédente. Donc, essentiellement, 10 millions d'hommes sont absents de la main-d'œuvre.

    "Une personne sur six gars d'âge n'a pas d'emploi; il est un peu pire que ce qu'elle était dans la dépression en 1940 », explique Nicholas Eberstadt, chercheur économique et démographique à l'American Enterprise Institute, qui a écrit le livre Men Without Work: Crisis Invisible de l'Amérique. Il dit que ces hommes ne sont même pas comptés parmi les chômeurs, parce qu'ils ne cherchent pas de travail.

    Alors pourquoi est-ce qui se passe ?

    Des millions d'hommes dans leurs premières années de travail ont abandonné les workforce.https: //t.co/MpBg2N2e8X pic.twitter.com/NhcrssK1Y2

    - NPR (@NPR) Septembre 7, 2016

    Si vous regardez le taux d'inactivité des hommes dans la tranche de 25 à 54 ans, il était assis à seulement 8,1 % en Janvier an 2000.

    En Janvier 2008, dès le début de la dernière récession, il était assis à 9,2 %, et à la fin de la récession, il était passé à 10,3 %.

    Aujourd'hui, il est assis à 11,5 %.

    Rappelez-vous, ce sont des hommes qui ne sont même pas pris en compte le taux de chômage officiel. Ils ne travaillent pas, mais ils ne sont pas considérés comme «recherche d'emploi» soit.

    Alors qu'est-ce que ces hommes en train de faire ?

    Vous pourriez être tenté de penser que beaucoup d'entre eux ont décidé de rester à la maison et élever les enfants que leurs femmes partent travailler. Mais selon NPR, ce n'est pas ce qui se passe ...

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  25. Ce que les hommes disparus ne font pas en grand nombre est rester à la maison pour prendre soin de la famille. Quarante pour cent des femmes sont chômés principaux dispensateurs de soins; cela est vrai de seulement 5 % des hommes sur le marché du travail.

    Nous n'avons la plus grande population carcérale dans le monde entier, de loin, et sans aucun doute qui ne joue un rôle dans ces chiffres. Cependant, un bien plus grand facteur est les millions d'hommes qui sont devenus teneur étant dépendants du gouvernement fédéral. Plus de 100 millions d'Américains reçoivent de l'argent du gouvernement chaque mois, et un grand nombre de personnes (hommes et femmes) ont constaté qu'il est plus facile de prendre du recul et de recueillir les chèques du gouvernement que de sortir et essayer de travailler dur pour une source de revenu.

    Mais bien sûr, le facteur numéro un est le manque d'emplois disponibles. Je connais personnellement des gens qui ont été à la recherche de travail dans leur domaine pendant des années et ne l'ai pas été en mesure de se faire embaucher. Nous avons une crise majeure de l'emploi dans ce pays, et il ne va empirer dans les années à venir alors que nous continuons à perdre des emplois à la technologie et des millions de bons emplois sont expédiées à l'étranger.

    Et beaucoup des «emplois» qui ont été créés au cours de l'administration Obama ont été des emplois très faible qualité. Depuis Décembre 2014, nous avons gagné environ un demi-million d'emplois pour les serveurs et les barmen, mais en attendant, nous avons effectivement perdu de bons emplois manufacturiers payants. Si nous continuons dans cette voie, la classe moyenne continuera à se rétrécir.

    En plus de tout ce que je viens de partager, voici quelques autres faits qui sont pertinents à cette discussion ...

    - Droit À ce moment, il y a environ 102 millions d'Américains en âge de travailler qui ne disposent pas d'un emploi.

    - Près Une personne sur cinq jeunes adultes vivent actuellement avec leurs parents.

    - Le Wall Street Journal a récemment déclaré que c'est le plus faible "reprise économique" depuis 1949.

    - Barack Obama est en voie d'être le seul président de l'histoire des Etats-Unis de ne jamais avoir une seule année où l'économie des Etats-Unis a augmenté d'au moins 3 pour cent.

    L'économie est beaucoup plus faible que vous dit, la crise de l'emploi est bien pire que vous dit, et comme je l'ai mentionné hier, la scène est clairement définie pour une nouvelle crise financière de proportions épiques.

    Et si nous allons voir les marchés crash, cette fois-ci de l'année est un bon moment pour elle. En fait, CNBC dit que l'histoire nous dit que c'est la "pire période de l'année pour les actions" ...

    La pire période de l'année pour les stocks a juste commencé - au moins sur la base de l'histoire du marché.

    Sur l'ensemble de l'histoire de 120 ans de la moyenne industrielle Dow Jones, 6 sept à 29 oct tend à être la pire période pour le marché. Et plus précisément, au cours des dernières semaines de Septembre ont été particulièrement mauvais temps.

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  26. Un jour, quand les gens regardent en arrière à ce moment dans l'histoire, ils ne seront pas surpris par la terrible l'effondrement à venir sera. La vérité est que toute personne ayant un coup de bon sens peut voir que la plus grande bulle de la dette dans l'histoire du monde va mal finir.

    Non, ce qui va les étonner est que le système a été en mesure de tenir ensemble aussi longtemps qu'il a fait. Il est vraiment incroyable que la, monnaie fiduciaire régime basé sur la dette Ponzi que les banques centrales du monde ont été essaient désespérément de soutenir a été en mesure de garder cahin-caha sur tout le chemin vers le milieu de 2016.

    Combien de temps peuvent-ils garder la magie va?

    Je ne sais pas, mais l'histoire nous dit que le temps est pas de leur côté ...

    http://theeconomiccollapseblog.com/archives/the-percentage-of-working-age-men-that-do-not-have-a-job-is-similar-to-the-great-depression

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    1. (...) Plus de 100 millions d'Américains reçoivent de l'argent du gouvernement (...)

      HAHAHAHA ! 'du gouvernement' !!?? Le 'gouvernement' ne produit RIEN ! Ce n'est pas de sa poche que vient l'argent mais de celle du travailleur qui a cotisé et payé des taxes sur chaque produit acheté.

      (...) il y a environ 102 millions d'Américains en âge de travailler qui ne disposent pas d'un emploi (...)

      Au 21è siècle, ce n'est pas un mal mais un bien ! Un bien car aujourd'hui il y a des machines-outil, des robots programmés qui travaillent et rapportent de l'argent dont seul le gouvernement profite ! C'est LA qu'est le problème.

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  27. Argentine : rigueur et faim dans une spirale sans fond


    La centrale à idées
    Agoravox
    mer., 07 sept. 2016 18:42 UTC


    Quand les politiques vous parlent avec les yeux qui brillent de Changement, de Change, de Cambio, mieux vaut se méfier de ces professions de (mauvaise) foi... Après tout comme disait l'autre, « les promesses n'engagent que ceux qui y croient ». Mais bien des peuples, tels autant d'amants cocus, cèdent à la tentation de revenir à leurs anciens amours, fussent-ils néolibéraux !

    L'usure du kirchnérisme1 après deux mandats en dents de scie a conduit une majorité d'Argentins à se jeter dans les bras de Mauricio Macri, l'ancien maire de Buenos Aires et président du légendaire club Boca Juniors. Macri a été élu président de l'Argentine en novembre 2015.

    S'en est suivie une cure d'austérité qui aurait rendu delgadito un gaucho amateur de bonne chère (pléonasme) : les généreuses subventions à l'énergie ont brusquement pris fin, faisant exploser les factures de gaz et d'électricité des particuliers et des entreprises. Des vagues de licenciement ont touché les salariés du secteur public dont les effectifs pléthoriques et le poil dans la main avait été vilipendés maintes fois par Macri durant sa campagne.

    Pour relancer les exportations, le nouveau gouvernement a décidé de laisser « flotter »2 le peso argentino qui a pris le bouillon de sa vie face au dollar, aggravant ainsi la sur-inflation chronique que connaît le pays : la hausse des prix a atteint 45% sur 10 mois3. Sur-inflation telle qu'elle a annulé les gains de compétitivité à l'exportation que devaient en principe susciter la dévaluation... Inutile de préciser que la sur-inflation a aussi provoqué une baisse drastique de la consommation qui a elle-même entraîné de nombreux licenciements dans le secteur privé, de l'ordre de 160000 pour le premier semestre 20164

    Ce lessivage en règle n'a donc pas encore entraîné le redressement économique tant espéré. « Soyez patients » nous diront bien nos amis libéraux5 : en 10 mois, il est trop tôt pour juger de l'efficacité de cette politique de rigueur, qui doit être vue comme un préalable à la restructuration de l'économie argentine, trop longtemps corsetée par la politique menée par Kirchner6. C'est juste une dernière poussée de fièvre et le malade se rétablira...

    En attendant, la grogne des Argentins est là7. Les grèves, manifestations et protestations diverses et variées se succèdent, y compris parmi des secteurs économiques qui étaient censés être les premiers soutiens - et bénéficiaires - de Macri.

    Ainsi, de nombreux exploitants agricoles travaillent désormais à perte suite à la libération soudaine et totale des exportations, auparavant fortement encadrées.

    C'est le cas notamment des producteurs de pommes et poires qui ont illustré leur désespoir le 24 août dernier en distribuant gratuitement leurs fruits sur la Plaza de Mayo de Buenos Aires, toute proche du siège du gouvernement. Sans surprise hélas, l'initiative a remporté un franc succès chez les Porteños. N'oublions pas que tout commence toujours par la faim...

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  28. Références :
    1) Variante du péronisme qui désigne la politique suivie par l'ancienne présidente Cristina Kirchner (2007-2015).

    2) Laisser flotter une monnaie signifie ne plus encadrer son taux de change. Le taux de change du peso était maintenu à un niveau fictif sous la présidence Kirchner, notamment pour juguler l'inflation.

    3) À noter que sur l'année 2015, l'inflation était déjà de 30%.

    4) http://alencontre.org/ameriques/amelat/argentine/argentine-les-chiffres-de-lajustement-de-macri.html

    5) http://www.lesechos.fr/finance-marches/marches-financiers/0211209550474-largentine-la-normalisation-en-marche-avec-mauricio-macri-2021279.php

    6) http://www.medelu.org/Il-est-evident-que-je-subis-une

    7) http://www.latribune.fr/economie/argentine-la-colere-monte-contre-les-reformes-du-gouvernement-596343.html

    https://fr.sott.net/article/28950-Argentine-rigueur-et-faim-dans-une-spirale-sans-fond

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  29. Le coup d'État parlementaire au Brésil : Washington vient de ré-enfoncer fermement ses griffes dans la chair de l'Amérique du Sud


    Peter Koenig
    Global Research
    ven., 02 sept. 2016 17:49 UTCCarte
    Traduction c.l. pour Les Grosses Orchades.

    Transcription d'une interview accordée à Sputnik

    « L'intervention étrangère dans le coup d'État étant prouvée, ses auteurs pourraient même être déférés devant la Cour Criminelle Internationale de La Haye, ne fût-ce qu'en guise de test, pour savoir à quel point elle est encore indépendante. »

    - Sputnik - Que pensez-vous de la destitution parlementaire de Dilma Roussef

    - Peter Koening - Ce qui vient d'avoir lieu au Brésil n'est rien d'autre que le plus horrible, le plus flagrant des coups d'État parlementaires dirigés de l'étranger qui se soit produit en Amérique Latine depuis le coup semblable qui a déposé, en juin 2009, José Mujica d'Uruguay*.

    - Pourquoi dirigé de l'étranger ?

    - Washington était dans les coulisses alors et Washington est dans les coulisses aujourd'hui.

    Ce qui me stupéfie le plus, là-dedans, c'est que les médias qui se prétendent progressistes ne mentionnent même pas, ou à peine, la longue main sanglante de Washington dans ce qui arrive. Cette réalité est complaisamment occultée.

    Il y a juste un an, les autorités légales internationales se sont prononcées on ne peut plus clairement sur l'illégalité et l'absolu manque de fondement d'une destitution. Elles ont toutes très bien vu à quel point il était illégitime de vouloir lancer une procédure de destitution.

    Néanmoins, les archi-corrompus et l'oligarchie archi-néo-nazie sont arrivés à leurs fins. Avec l'aide des États-Unis. Ce que les médias soi-disant progressistes nous disent aujourd'hui, c'est qu'un groupe de parlementaires de droite corrompus conduits par Eduardo Cunha, ex-président du Parlement du Brésil, qui est lui-même poursuivi pour corruption dans l'affaire dite des «Car-Wash », est à l'origine de cette opération de destitution. Cunha était - est peut-être encore - un client [salarié, NdT] de Washington. Ce n'est pas seulement la presse de masse intégrée mais aussi la soi-disant progressiste, qui occultent si opportunément ce fait. Cunha est accusé de parjure, de blanchiment d'argent et d'avoir empoché pas moins de 5 millions de dollars en pots de vin. [Prêtre évangéliste, il est aussi le représentant sur place de la très puissante Église Épiscopale AnglicaneUS, dont les missions jouent depuis des lustres en Amérique Latine le rôle que tiennent ailleurs les ONG chères à George Soros. NdT].

    L'ex-Vice-Président Michel Temer, lui-même accusé de crimes de haute corruption pour plus de 40 millions de dollars, échappera ainsi sans doute à toutes les poursuites, comme y échappera son acolyte Cunha... sous le nouveau gouvernement Temer.

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  30. Dilma n'a jamais été accusée de corruption. Ils auraient bien voulu, mais ils n'en ont pas trouvé la moindre trace. Tout ce qu'ils sont arrivés à lui mettre sur le dos, c'est qu'elle pourrait avoir « embelli » la présentation des comptes du gouvernement, chose qui se pratique de façon courante dans tous les gouvernements, d'un bout du monde à l'autre. Et ce n'est pas un délit, encore moins un délit passible de destitution. Il se trouve cependant des médias pour publier qu'elle a été reconnue coupable de corruption. Quel foutu mensonge ! Elle n'a même pas été - jamais - accusée de corruption.

    Ainsi donc, les vrais criminels vont échapper à la justice et rester au pouvoir. C'est exactement, bien sûr, ce que veut Washington : libre accès à toutes les richesses du pays - ses hydrocarbures, ses forêts tropicales et - notamment - ses ressources presque infinies en eaux douces de surface du bassin amazonien, sans compter ses énormes réserves d'eaux douces souterraines, et ne parlons même pas des immenses richesses minérales du Brésil.

    Une privatisation à gigantesque échelle est ce qui va se produire dans les deux ans qui viennent, peut-être au niveau de celle que subit la Grèce ou de ce que Macri est en train d'infliger à l'Argentine, ou pire. Temer n'en a pas fait mystère. Il s'agira de la privatisation de toutes sortes de propriétés publiques, dont, bien sûr, les eaux de l'Amazone, que les USA ont déjà essayé une fois de mettre sous la tutelle de l'ONU, parce que, sous la tutelle de l'ONU, elles seraient sous celle de Washington, comme tout ce qui est lié de près ou de loin aux Nations Unies. À l'époque, Lula avait dit fermement : PAS QUESTION.

    Les privatisations en masse seront accompagnées de programmes d'austérité non moins massifs qui tailleront à grands coups dans la santé publique, l'éducation, les retraites et tous les autres filets de sécurité d'un état civilisé, et jetteront sur le carreau des foules de chômeurs réduits à une abjecte misère ; il n'y a qu'à voir comment l'infâme trio FMI - BCE - UE/CE a dévasté la Grèce et ce que le Macri-homme de main de Washington a déjà fait à l'Argentine, à savoir : faire passer le taux de pauvreté du pays de 12% en novembre 2015 à près de 40% en juillet 2016 - en 7 mois ! - avec un taux de chômage généralisé qui monte en flèche.

    Temer a deux ans pour mener à bien son programme néo-nazi, et il recevra toute l'aide dont il a besoin de Washington et des institutions qui vont désormais mener la danse au Brésil - FMI, Banque Mondiale, Wall Street - qui ne sont que le poing tendu de la FED, du Trésor US et de la mystérieuse BRI (Banque des Règlements Internationaux contrôlée par les Rothschild) de Bâle, en Suisse, également appelée « Banque centrale des banques centrales ».

    - Pourquoi peut-on dire que Washington et ses institutions financières sont derrière ce coup d'État ?

    - Il y a déjà plus d'un an, des conversations secrètes se sont tenues, entre le FMI, la Banque Mondiale et ceux qui viennent de perpétrer le coup d'État. « On » va faire cadeau du Brésil d'abord au FMI, qui fera en sorte que le programme d'austérité soit bien appliqué - à la grecque ! - , ensuite à Wall Street, pour bien s'assurer que le niveau de la dette soit tel que la privatisation sauvage de toutes les propriétés publiques puisse être décrétée « justifiée et inévitable ». ET celui que Temer vient de nommer à la tête de la Banque Centrale du Brésil, Ilan Goldfein, qui lui aussi a toute une histoire avec le FMI, fera en sorte que le Brésil suive à la lettre la ligne prescrite par l'oligarchie.

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  31. En prenant le contrôle du Brésil, Washington vient de ré-enfoncer fermement ses griffes dans la chair de l'Amérique du Sud, presque comme si les célèbres révolutions démocratiques de l'Amérique Latine vers une véritable indépendance ne s'étaient jamais produites.

    Troisième point : une des raisons-clés pour qu'ils veuillent à ce point soumettre le Brésil est que le Brésil est un membre important des BRICS - membre aussi crucial par sa force économique et ses potentialités que par l'équilibre géographique qu'il apportera [? NdT] aux BRICS. Les BRICS sont dirigés par la Russie et la Chine, des pays qui ont déjà largement détaché leurs économies du système occidental fondé sur le dollar, et qui sont occupés à développer leur propre système, lié à la production économique et à l'or. Oui, à l'or ! Les monnaies russes et chinoises sont gagées sur l'or, alors que l'argent-papier occidental repose sur de l'air léger.

    Dans le monde occidental, c'est le système monétaire-bidon basé sur le dollar et l'euro qui fait l'économie. Ce n'est pas l'économie qui fait le système, comme il se devrait puisque l'économie doit servir de base à TOUT système monétaire digne de ce nom, supposé refléter une économie saine, honnête et loyale, à la fois à l'intérieur des pays et entre eux. C'est ce vers quoi tendent les BRICS. Il faut donc que les BRICS soient éliminés un par un. Ils constituent un danger pour l'hégémonie financière occidentale sur le monde, avec les États-Unis à sa tête.

    L'intervention étrangère dans le coup d'État étant prouvée, ses auteurs pourraient même être déférés devant la Cour Criminelle Internationale de La Haye, ne fût-ce qu'en guise de test, pour savoir à quel point elle est encore indépendante.

    - Sputnik : Le Sénat brésilien a décidé que l'ex-présidente Dilma Roussef ne serait pas interdite de fonction publique. Que va-t-elle faire maintenant ?

    - Peter Koenig : Après qu'il ait, sans vergogne, déchu Dilma de la présidence, tout le monde s'attendait à ce qu'elle soit aussi interdite de fonction publique pour les huit ans à venir. Cela n'a pas été le cas. Le Sénat a fait preuve de « miséricorde » pour ainsi dire. Comme reconnaissant implicitement l'énorme bourde qu'ils venaient de commettre - je le répète : sur ordre de l'étranger - les sénateurs lui ont épargné cette humiliation supplémentaire.

    Ce que Mme Roussef fera ensuite ? Je n'en ai pas la moindre idée. En tout cas, elle a déjà déclaré qu'elle porterait l'affaire devant la Cour Suprême du Brésil. Avec quelle chance de succès ? On peut se le demander. Surtout sachant que M. Temer est la marionnette de Washington. Il dirigera la Cour Suprême du Brésil selon les ordres qu'il aura reçus d'en haut.

    Là où je vois la possibilité d'une meilleure chance, c'est de porter l'affaire devant la Cour Criminelle de La Haye, même si on sait à quel point elle est assujettie aux desiderata de la Maison Blanche. Il serait intéressant de voir quels arguments elle utiliserait pour soutenir le verdict du Sénat brésilien. Dans tous les cas, le monde entier pourrait apprendre quelque chose sur le genre d'(in)justice qui est imposée aux non-alignés par l'empire et ses acolytes, et par leurs maîtres à tous : ceux de la finance mondialisée.

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  32. Quoi que Dilma décide de faire, de quelque manière qu'elle décide de procéder, j'espère qu'elle ne cédera sur rien, qu'elle maintiendra le cap, le cap d'intégrité pour lequel elle est connue, et qu'elle restera en politique. Le Brésil a besoin d'elle. Mon pari est qu'elle devrait recevoir un soutien massif - je veux dire vraiment massif, de dizaines de millions de personnes - dans tout le Brésil. Peut-être assez pour amener une révolution, qui serait un message de fermeté à tous ses voisins d'Amérique Latine. Et au reste du monde.

    ______________________

    * Ceci est une interview radiophonique donnée par téléphone. Dans le feu de la conversation, Peter Koenig a parlé du coup d'état de juin 2009 « contre José Mujica, d'Uruguay ». Il est clair qu'il voulait dire Manuel Zelaya du Honduras, déposé en effet en pleine nuit, sans même une comédie parlementaire, le 28 juin 2009, avec les conséquences catastrophiques que l'on sait ; qu'il est sûr, à juste titre, de voir se reproduire au Brésil. [NdT]

    https://fr.sott.net/article/28949-Le-coup-d-Etat-parlementaire-au-Bresil-Washington-vient-de-re-enfoncer-fermement-ses-griffes-dans-la-chair-de-l-Amerique-du-Sud

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  33. Delhaize va cultiver un potager sur le toit d’un de ses supermarchés bruxellois

    Arnaud Lefebvre
    7 septembre 2016


    Delhaize va cultiver un jardin potager sur le toit de son supermarché du quartier Boondael dans la commune d’Ixelles. Il s’agit d’une première pour une chaîne de supermarchés belge, rapporte La Dernière Heure.

    Denis Knoops, le CEO de Delhaize, a expliqué au journal qu’en avril de l’année prochaine, le toit du supermarché de Boondael serait recouvert d’une superficie cultivable de 320 mètres carrés où pousseront tomates, cerises, salades et aubergines, légumes dont la récolte sera ensuite vendue dans le magasin.

    Delhaize a expliqué que cette initiative cherchait en premier lieu à explorer les possibilités de l’agriculture urbaine. Cette production est non seulement un moyen d’utiliser au mieux la surface du toit du supermarché mais il s’agit également d’une manière de limiter l’emploi de transports en combinant la production et la vente en un seul endroit.

    Par conséquent, on aboutira bien entendu à une réduction des coûts. La communauté locale sera impliquée dans ce projet. En effet, les employés de Delhaize mais aussi la clientèle pourront participer à la gestion de cette initiative. Par ailleurs, ce jardin potager urbain fera également l’objet de visites, par exemple, des écoles, explique la DH.

    Extension

    Le potager sera divisé en une aire à l’air libre et une aire en serre, ce qui permettra d’aboutir à une quinzaine de récoltes par an.

    Cependant, les légumes cultivés sur le toit du Delhaize de Boondael ne pourront pas être écoulés en tant que légumes bio dont la culture doit être réalisée en pleine terre. En ce qui concerne les prix, ils se situeront entre l’offre traditionnelle et les produits bio, précise Delhaize.

    Si cette incitative est couronnée de succès, d’autres potagers pourraient voir le jour sur d’autres magasins Delhaize, conclut le journal.

    https://fr.express.live/2016/09/07/delhaize-va-cultiver-potager-toit-dun-de-supermarches-bruxellois/

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    Réponses

    1. Aussi con que celle qui préconise et vante les murs arborés qui nécessitent des arrosages permanents et rendent les murs fragiles, absorbants et transmetteurs de froid et d'humidité intérieure (Hahahaha !), voici l'idée du jardin qui représente outre sa chape d'humidité plafonnière un endroit le plus pollué pour cultiver des plantes !!! HAHAHAHA !

      Ainsi, à l'image des montagnes qui sont des montagnes de pollution par le fait qu'elles 'stoppent'/redirigent et filtrent les vents porteurs de pollution, les toits d'immeubles en sont d'autres idées aussi connes que ceux qui consomment 'bio' ! HAHAHAHA !

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  34. Tarifs négatifs & The War On Espèces, Partie 2: «Fermeture les voies d'évacuation"


    par Tyler Durden
    7 septembre 2016 18:00
    Soumis par Nicole Foss via Le blog automatique de la Terre,

    Partie 1 Voici.

    L'histoire nous apprend que les autorités centrales n'aiment pas les voies d'évacuation, au moins pour la majorité, et sont donc sujettes à les fermer, de sorte que le contrôle d'une masse monétaire limitée peut rester dans les mains de très peu de gens. Dans les années 1930, l'or a été la voie d'évacuation, donc l'or a été confisqué. Comme l'a écrit Alan Greenspan en 1966:

    En l'absence de l'étalon-or, il n'y a aucun moyen de protéger l'épargne de la confiscation par l'inflation monétaire. Il n'y a pas de magasin sûr de la valeur. S'il y avait, le gouvernement devra rendre sa tenue illégale, comme cela a été fait dans le cas de l'or. Si tout le monde a décidé, par exemple, pour convertir tous ses dépôts bancaires à l'argent ou de cuivre ou de tout autre bien, et par la suite refusé d'accepter les chèques comme moyen de paiement pour les marchandises, les dépôts bancaires ne perdent leur pouvoir d'achat et le crédit bancaire créée par le gouvernement serait sans valeur comme une réclamation sur les biens.

    L'existence de voies d'évacuation pour la préservation du capital porte atteinte à la viabilité du système bancaire, ce qui est déjà trop étendu, surendettées et extrêmement fragile. Cette trésorerie de temps sert ce rôle:

    Ironiquement, bien que la norme de la monnaie de papier qui a remplacé l'étalon-or a été initialement conçu pour habiliter les gouvernements, il semble maintenant que la monnaie de papier est perçu comme un obstacle au pouvoir du gouvernement illimité ... .While monnaie de papier est pas aussi grand obstacle au pouvoir du gouvernement en tant que étalon-or était, il est néanmoins un obstacle par rapport à une société avec seulement la monnaie électronique. À cause de cela, les étatistes plus ardents favorisent l'abolition de la monnaie de papier et un système monétaire avec seulement la monnaie électronique et les paiements électroniques.

    Nous pouvons donc nous attendre espèces à de plus en plus décrié pour justifier son élimination prévue:

    Chaque jour, une situation qui nécessite l'utilisation de l'argent physique, se sent de plus en plus comme un anachronisme. Il est comme d'avoir à écouter de la musique sur un CD. John Maynard Keynes célèbre appelé l'or (ainsi, l'étalon-or en particulier) comme une «relique barbare». Eh bien la nouvelle relique barbare est l'argent physique. Comme l'or, l'argent est l'argent physique. Comme l'or, l'argent est toujours fétichisé. Et comme l'or, l'argent est un drain coûteux sur l'économie. Une étude réalisée à la Tufts en 2013 a estimé que l'argent coûte à l'économie de 200 milliards $. Leur étude a porté sur la pépite que les consommateurs dépensent, en moyenne, 28 minutes par mois seulement se rendre à l'endroit où ils obtiennent l'argent (ATM, etc.). Mais cela est tout problème de premier ordre avec de l'argent. Le vrai problème, que les économistes commencent à reconnaître, est que l'argent de papier est un obstacle à une politique monétaire efficace, et donc la croissance économique.

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  35. La tenue de trésorerie ne sont pas sans risque, mais l'argent est néanmoins roi dans une période de déflation:

    La sagesse conventionnelle est que les taux d'intérêt gagnés sur les placements ne sont jamais inférieur à zéro parce que les investisseurs pourraient encore détenir des devises. Pourtant, la monnaie ne coûte rien à tenir: Elle est soumise au vol et à la destruction physique, est coûteuse pour sauvegarder en grandes quantités, est difficile à utiliser pour les transactions de grandes et éloignées, et, en grandes quantités, peut être contrôlée par les gouvernements.

    Les risques reconnus de la détention d'espèces sont connues et peuvent être gérés personnellement, alors que le risque important associé à une crise bancaire systémique sont entièrement en dehors du contrôle des déposants ordinaires. La banque bail-in (sauvetage de la banque avec les fonds des déposants) à Chypre au début de 2013 était un signe d'avertissement à ceux qui ont été en accordant une attention, que la tenue de l'argent dans une banque ne sont pas nécessairement sans danger. Les contrôles de capitaux mis en place dans d'autres endroits, par exemple la Grèce, soulignent également que l'argent dans une banque peuvent ne pas être accessibles en cas de besoin.

    La majorité des pays développés soit déjà présente, ou est l'introduction d'une législation pour exiger des déposants cautionnement-ins en cas de faillites bancaires, plutôt que le renflouement des contribuables, en préparation pour de nombreux autres événements Chypre type, mais à une échelle beaucoup plus grande. Les gens se réveillent au fait que le solde bancaire est pas considéré comme leur argent, mais est en réalité un prêt non garanti à la banque, dont la banque peut ou ne peut pas rembourser, en fonction de ses propres circonstances .:

    Le solde de votre compte chèque est libellé en dollars, mais il ne consiste pas en dollars réels. Elle représente une promesse par une société privée (votre banque) à payer dollars sur demande. Si vous écrivez un chèque, votre banque peut ou peut ne pas être en mesure d'honorer cette promesse. Les pauvres âmes qui ont gardé leurs euros sous forme de soldes importants dans les banques chypriotes ont juste appris cette leçon à la dure. Si elles avaient tenu leurs euros sous la forme de monnaie, ils auraient pas perdu leur richesse.
     
    Même dans les pays relativement épargnés par les difficultés, comme le Royaume-Uni, il est de plus en plus difficile d'accéder à l'argent physique dans un compte bancaire ou de l'utiliser pour des achats plus importants. Avis d'intention de se retirer peut être nécessaire, et les limites de retrait peut être imposée »pour votre propre protection». Les raisons du retrait peuvent être nécessaires, ostensiblement pour lutter contre le blanchiment d'argent et l'économie souterraine:

    Il est une chose d'être requis par la loi de demander aux clients ou les parties bancaires dans une transaction en espèces pour expliquer où leur argent est venu; il est tout à fait une autre pour leur demander comment ils ont l'intention d'utiliser l'argent qu'ils souhaitent retirer de leurs propres comptes bancaires. Comme un M. Cotton, un client HSBC, plaint au programme Money Box de la BBC: «Je bancaire dans cette banque depuis 28 ans. Ils me connaissent tous là. Vous ne devriez pas avoir à expliquer à votre banque pourquoi vous voulez que l'argent. Il est pas le leur, il est à vous. "

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  36. En France, à la suite d'attentats terroristes là-bas, plusieurs mesures anti-espèces ont été adoptées, ce qui limite l'utilisation de l'argent une fois obtenu:

    Le ministre des Finances français Michel Sapin effrontément a déclaré qu'il était nécessaire de "lutter contre l'utilisation de la trésorerie et l'anonymat dans l'économie française." Il a ensuite annoncé des mesures extrêmes et despotiques pour restreindre davantage l'utilisation de l'argent par les résidents français et à espionner et soulever dans leurs affaires financières.
     
    Ces mesures ... ..include interdisant les résidents français de faire des paiements en espèces de plus de 1.000 euros, en baisse par rapport à la limite actuelle de 3.000 euros ... .Le seuil en dessous duquel un résident français est libre de convertir euros en autres devises sans avoir à montrer une identité carte sera réduit à partir du niveau actuel de 8.000 euros à 1.000 euros. En outre tout dépôt en espèces ou le retrait de plus de 10.000 euros au cours d'un seul mois seront signalés à la lutte contre la fraude et le blanchiment d'argent agence française TRACFIN.

    Les touristes en France peuvent également être pris dans le filet:

    La France a adopté une nouvelle loi draconienne; à partir de l'été 2015, il va maintenant imposer des exigences de trésorerie essayant de façon spectaculaire pour éliminer l'argent par la force. les citoyens français et les touristes ne seront autorisés une quantité limitée d'argent physique. Ils ont la police financière de chercher les gens sur les trains juste en passant à travers la France pour voir si elles transportent des espèces, dont ils vont maintenant saisir.

    Ceci est essentiellement le Shock Doctrine en action. Les autorités centrales passent rarement l'occasion d'utiliser une crise d'ajouter à leur répertoire des lois et pratiques répressives.

    Cependant, même sans une crise spécifique de tirer parti comme une justification, de nombreux autres pays ont également restreint l'utilisation de l'argent pour les achats:

    Une façon qu'ils mènent la guerre contre le Cash est d'abaisser le seuil à partir duquel signaler une transaction en espèces est obligatoire ou au cours de laquelle le paiement en espèces est tout simplement illégal. En seulement ces dernières années.

    L'Italie a fait des transactions en espèces de plus de € 1.000 illégale;
    La Suisse a proposé d'interdire les paiements en espèces supérieurs à 100.000 francs;
    La Russie a interdit les transactions en espèces de plus de 10 000 $;
    Espagne a interdit les transactions en espèces sur € 2.500;
    Le Mexique a fait des paiements en espèces de plus de 200.000 pesos illégaux;
    Uruguay a interdit les transactions en espèces de plus de 5000 $
    D'autres restrictions sur l'utilisation des espèces peuvent être plus subtiles, mais peuvent avoir des effets considérables, surtout si les idées attrapent et sont largement appliquées:

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  37. L'État de la Louisiane interdit "brocanteurs" de faire plus d'une transaction en espèces par semaine. Le terme a une définition large et comprend les magasins de bonne volonté, les magasins spécialisés qui vendent des objets de collection, comme les cartes de baseball, les marchés aux puces, ventes de garage et ainsi de suite. Toute personne considérée comme un «courtier secondaire» est interdit d'accepter les paiements en espèces. Ils sont autorisés à ne prendre que des moyens électroniques de paiement ou un chèque, et ils doivent recueillir le nom et d'autres informations sur chaque client et l'envoyer au service de police local par voie électronique tous les jours.

    L'application croissante de facto le contrôle des capitaux, lorsqu'il est combiné avec les les taux d'intérêt bas, convaincre déjà beaucoup de détenir des liquidités. La possibilité de taux négatifs augmenterait considérablement la probabilité. Nous sommes déjà dans un contexte de déclin rapide de confiance, et un accès limité à ce que nous percevons toujours comme nos propres fonds seulement accélère le processus dans une boucle de rétroaction auto-renforcement. Plus de retraits conduisent à davantage de contrôles, qui augmentent la peur et la diminution de la confiance, ce qui conduit à plus de retraits. Cela mine évidemment la puissance perçue de la politique monétaire pour stimuler l'économie, d'où la voie d'évacuation est déjà ferme tranquillement.

    Dans une spirale déflationniste, où la masse monétaire se bloque, très peu d'argent est en circulation et les prix sont donc en baisse presque partout, possédant le pouvoir d'achat prévoit la liberté de poursuivre les opportunités qui se présentent, et pour éviter d'être soutenu dans un coin. Le pouvoir d'achat des augmentations de trésorerie au cours de la déflation, alors même que se évapore de pouvoir d'achat électronique. Ainsi la trésorerie représente la liberté d'action à un moment où ce sera le plus rare des «marchandises».

    Les gouvernements détestent grandement l'argent, et de traiter de plus en plus son utilisation, ou le désir de le maintenir, surtout dans les grandes dénominations, avec beaucoup de méfiance:

    Pourquoi une banque centrale voudrait éliminer l'argent ? Pour la même raison que vous voulez pour aplatir les taux d'intérêt à zéro: pour forcer les gens à dépenser ou à investir leur argent dans les activités risquées qui ravivent la croissance, plutôt que la thésaurisation dans le lieu le plus sûr. Appels à l'éradication de la trésorerie ont été renforcées par des preuves que les notes de grande valeur jouent un rôle majeur dans le crime, le terrorisme et l'évasion fiscale. Dans une étude de la Harvard Business School de la semaine dernière, l'ancien patron de la banque Peter Sands a appelé à l'élimination mondiale de la note de grande valeur.
     
    "Singe" de la Grande-Bretagne - 50 £ - est de faible valeur par rapport à ses équivalents en devises étrangères, et constitue une faible proportion de l'argent en circulation. En revanche, ¥ 10,000 Note du Japon (d'une valeur d'environ 60 £) représente une étonnante 92% de toutes les espèces en circulation; les Suisses 1000 francs la note (valeur d'environ £ 700) également. Sands veut mettre fin à ces notes ainsi que le billet de 100 $, et la note 500 € - connu dans les milieux de la pègre comme «Bin Laden».
     
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  38. La trésorerie est largement anonyme, introuvable et incontrôlable, d'où il rend les autorités centrales, dans un système exigeant de plus en plus de buy-in pour fonctionner, extrêmement inconfortable totale. Ils considèrent qu'il y ait aucune raison légitime de posséder plus d'une petite quantité de celui-ci dans la forme physique, comme propriété ou l'utilisation soulève le spectre de la fraude fiscale ou d'autres activités illégales:

    La nature insidieuse de la guerre sur la trésorerie provient non seulement des obstacles les gouvernements placent dans la voie de ceux qui utilisent l'argent, mais aussi de l'aura de suspicion qui a commencé à envahir les transactions en espèces privées. Dans une économie de marché normale, les entreprises seraient heureux de prendre l'argent. Après tout, ce que les entreprises seraient volontiers refuser les clients? Mais dans la guerre sur la trésorerie qui a développé au cours des trente années écoulées depuis le blanchiment d'argent a été déclarée un crime fédéral, les entreprises ont dû marcher une ligne fine entre au service des clients et de servir le gouvernement. Et puisque seulement un de ces deux partis a le pouvoir de fermer une entreprise et de jeter les propriétaires d'entreprise et les employés en prison, devinez qui souhaite le propriétaire de l'entreprise va suivre plus souvent ?
     
    L'hypothèse de la part du gouvernement aujourd'hui est que la possession de grandes quantités d'argent est indicatif de la participation à des activités illégales. Si vous voyagez avec des milliers de dollars en espèces et obtenir tiré par la police, ne soyez pas surpris lorsque votre argent est saisi comme «suspect». Et si vous voulez que votre argent, préparez-vous à entrer dans une longue haleine procès -out vous obligeant à prouver que vous êtes venu par cet argent légitimement, simplement parce que les tribunaux ont décidé que le transport ou l'utilisation de grandes quantités d'argent est un soupçon raisonnable que vous vous engagez dans une activité illégale ....
     
    ... .Centuries vieilles protections juridiques ont été mis sur leur tête dans la guerre sur la trésorerie. La culpabilité est supposé, alors que les victimes des déprédations du gouvernement doivent prouver leur innocence ... .Those chance de garder leur argent loin des mains indiscrets des responsables gouvernementaux trouvent de plus en plus difficile à utiliser à des fins commerciales et personnelles, comme des masses d'argent susciter toujours des soupçons de trafic de drogue ou d'autres activités sur le marché noir. Et l'argent continue d'être marginalisés et poussés à franges.

    Malgré la connexion supposée entre le crime et la détention de liquidités physiques, les endroits où les gens sont plus enclins (et capables) pour stocker l'argent ne sont pas conformes au stéréotype du tout:

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  39. Sont le Japon et la Suisse paradis pour les terroristes et les barons de la drogue ? factures haute dénomination sont en forte demande dans les deux endroits, une tendance que certains politiciens prétendent est un signe d'un comportement néfaste. Pourtant, les deux pays comptent parmi les plus bas taux de criminalité dans le monde. Les accapareurs de trésorerie sont des citoyens ordinaires qui ont répondu de façon rationnelle à la politique monétaire. La Banque nationale suisse a présenté des taux d'intérêt négatifs en Décembre 2014. L'objectif était de conduire argent des banques et dans l'économie, mais qui ne fonctionne que dans la mesure où les épargnants trouver des endroits attrayants à dépenser ou d'investir leur argent. Avec une croissance économique anémique 1%, de nombreux Suisses ont retiré l'argent de la banque et caché à la maison ou dans des coffres-forts. notes de haute dénomination sont naturellement préférés à cet effet, de sorte que la circulation de 1000 francs notes (valeur d'environ 1.010 $) a augmenté de 17% l'an dernier. Ils représentent désormais 60% de tous les billets en circulation et valent presque autant que le PIB de la Serbie.
     
    Japon, où les banques paient infinitésimale faible taux d'intérêt sur les dépôts, est une histoire similaire. La demande de la plus haute dénomination ¥ 10,000 notes a augmenté de 6,2% l'an dernier, le plus grand saut depuis 2002. Mais 10.000 notes de Yen valent seulement environ 88 $, alors cachettes se remplissent rapidement. Cela explique pourquoi japonais est allé sur une fête en toute sécurité d'achat le mois dernier après que la Banque du Japon a annoncé des taux d'intérêt négatifs sur certaines réserves. Magasins ont rapporté que les ventes de coffres-forts ont augmenté jusqu'à 250%, et les actions de safe-maker Secom ensemencés de 5,3% en une semaine.

    En Allemagne aussi, les taux d'intérêt négatifs sont considérés comme intolérables, les banques sont de plus en plus considérés comme des perspectives risquées, et de l'argent physique sous son propre contrôle est à venir à être considérée comme un élément essentiel d'une stratégie financière avant-gardiste:

    Ce fut d'abord les nouvelles que Raiffeisen Gmund am Tegernsee, une banque d'épargne coopérative allemande dans le village bavarois de Gmund am Tegernsee, avec une population 5767, a finalement cédé à la répression monétaire de la BCE, et a annoncé qu'il va commencer à charger les clients de détail pour tenir leur argent. Puis, la semaine dernière, le PDG de la Deutsche Bank est venu à peu près aussi proche de crier feu dans un théâtre de taux négatif bondé, quand, dans un Handelsblatt Op-Ed, il a averti des «conséquences fatales» pour les épargnants en Allemagne et en Europe - pour être sûr, étant le chef de la direction de la banque la plus risquée systémique du monde n'a pas aidé sa cause.
     
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  40. Ce fut la dernière paille, et ayant été assez longtemps patient, le public allemand a commencé à se déplacer. Selon le WSJ, les épargnants allemands quittent la «sécurité des caisses d'épargne" pour ce que beaucoup considèrent aujourd'hui un endroit encore plus sûr de garer leur trésorerie: un coffre-fort à la maison. Nous nous demandions combien de mises en garde "fatales" dans le chef de la direction de la DB, il prendrait, avant que ce changement allait enfin avoir lieu. Comme il se trouve, on était assez ....
     
    .... "Il ne paie pas de garder l'argent dans la banque, et au-dessus de ce que vous êtes étant imposé sur elle», a déclaré Uwe Wiese, un 82-year-old pensionné qui a récemment acheté une maison sûre pour ranger environ € 53.000 (59.344 $), y compris une partie de sa pension de l'entreprise qu'il a pris comme un paiement. Burg-Waechter KG, le plus grand fabricant de coffres de l'Allemagne, a affiché un bond de 25% des ventes de coffres-forts à la maison dans la première moitié de cette année par rapport à l'année précédente, a déclaré le chef des ventes Dietmar Schake, citant "une demande sensiblement plus élevé pour un coffre-fort par des particuliers, principalement en Allemagne. "....
     
    ... .Unlike Leurs pairs scandinaves plus "de la hanche", environ 80% des transactions de détail allemandes sont en espèces, presque le double du taux d'utilisation de l'argent aux États-Unis 46%, selon un sondage 2014 Bundesbank ... l'amour de Germany d'argent est entraîné en grande partie par son anonymat. Un héritage des nazis et Stasi secrète la police de Allemagne de l'Est est une peur de l'espionnage du gouvernement, et de nombreux Allemands sont effrayé par les propositions d'interdire les transactions en espèces qui dépassent € 5.000. Beaucoup d'Allemands pensent le plan de la BCE pour éliminer le projet de loi 500 € est seulement le début de se débarrasser de l'argent tout à fait. Et ils sont tout à fait raison; nous ne pouvons que souhaiter plus d'Américains ont montré la même clairvoyance que l'Allemand ordinaire ....
     
    ... .Jusqu'à Ce moment-là, cependant, comme un dernier rappel, dans un système de réserve bancaire fractionnaire, seuls les dix premiers ou deux pour cent de ceux qui "run" à la banque pour obtenir la possession de leur argent physique et garer dans la volonté sûre réussir. Tout le monde, nos condoléances.

    Les contraintes internes sont en train de construire rapidement, étirements économie après économie jusqu'au point de rupture et incitant les individus conscients de se protéger de manière proactive:

    Les gens réagissent à ces incertitudes en essayant de se protéger avec de l'argent et des armes, et les gouvernements réagissent en essayant de limiter la capacité des citoyens à le faire.
     
    Si cette pièce a un troisième acte, il impliquera l'abolition de l'argent dans certains grands pays, la montée de divers types de marchés noirs (pièces d'argent, l'argent privé-label, cryptocurrencies comme Bitcoin) qui contournent les systèmes bancaires traditionnels, et une hausse dans les troubles civils, que toutes ces armes sont mises à profit.
     
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  41. La rapidité avec laquelle la trésorerie, des coffres-forts et les fusils sont accumulés - et l'intensification simultanée de la guerre sur la trésorerie - impliquent que le stress est la construction rapide, et que le troisième acte peut être bientôt.
    Malgré l'acceptation croissante des systèmes de paiement électronique, de se débarrasser de l'argent est tout à fait susceptible d'être très difficile, d'autant plus que la peur et de l'état de la crise financière qui pousse les gens en espèces thésaurisation est très proche de se réaffirmer. Argent comptant a une très longue histoire, et jouit d'une plus grande confiance que d'autres moyens abstraits pour dénommer la valeur. Il est susceptible de se révéler tenace, et incapable d'éliminer pacifiquement. Cela ne veut pas suggérer les autorités centrales ne seront pas essayer. Au cœur de la crise financière se trouve le problème des revendications en excès à la richesse réelle sous-jacente. L'éclatement de la bulle mondiale permettra d'éliminer la grande majorité d'entre eux, comme la valeur des instruments de crédit, jusque-là considéré comme aussi bon que l'argent, va chuter sur la prise de conscience que nulle part près de toutes les promesses financières faites peut éventuellement être maintenue.

    Trésorerie représenterait alors le pourcentage d'une beaucoup plus grande des revendications restantes aux ressources limitées réels - peut-être encore au-delà des ressources disponibles et donc soumis à des coupes de cheveux. Non seulement la quantité d'argent en circulation, mais aussi sa distribution, peuvent ne pas être aux autorités centrales goût. Il existe des précédents analogues pour modifier monnaie légale dans le but de déposséder les gens ordinaires qui tentent de protéger leurs magasins de la valeur, les privant du bénéfice de leur prévoyance. Pendant la crise financière russe de 1998, la trésorerie n'a pas été éliminée en faveur d'une alternative électronique, mais la monnaie a été réédité, ce qui a eu un effet similaire. Les gens étaient tenus de convertir leurs économies d'une vie (souvent détenues «sous le matelas») à partir de l'ancienne monnaie de la nouvelle. On a ensuite rendu très difficile, voire impossible, pour les gens ordinaires, et beaucoup perdu la totalité de leurs économies d'une vie à la suite.

    Une société cashless ?

    Le désir plus de la population de détenir des liquidités pour se protéger, plus grande sera l'incitation pour les banques centrales et les gouvernements pour limiter sa disponibilité, réduire sa valeur ou peut-être éliminer complètement en faveur de l'électronique uniquement les systèmes de paiement. En plus des banques commerciales déjà compliquer le processus de faire des retraits, les banques centrales envisagent activement, en tant que première étape, des mécanismes pour imposer des taux d'intérêt négatifs sur la trésorerie physique, de façon à rendre la voie d'évacuation semble moins attrayant:

    Septembre dernier, la Banque d'économiste en chef de l'Angleterre, Andy Haldane, ouvertement médité moyens d'imposer des taux d'intérêt négatifs sur la trésorerie - c.-à-rétrécit sa valeur automatiquement. Vous pouvez annuler les billets au hasard, en utilisant leurs numéros de série. Il y a des billets en circulation au Royaume-Uni 63 milliards £ vaut: si vous vouliez lop 1% de réduction, vous pouvez simplement annuler la moitié de tous les fivers sans avertissement. Une deuxième solution consisterait à établir un taux de change entre la monnaie de papier et de l'argent numérique dans nos comptes bancaires. Un fiver déposé à la banque pourrait vous acheter un crédit de 4,95 £ sur votre compte.

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  42. Pour ne pas dire, viciant billets aléatoires serait très susceptible d'entraîner blowback social important, et pour accélérer l'évaporation de la confiance dans la gouvernance des autorités de toutes sortes. Il serait beaucoup plus probable pour les autorités financières de se déplacer vers l'argent électronique officiel de la norme par laquelle tout le reste est mesuré. Les gens sont déjà habitués à utiliser la monnaie électronique sous forme de crédit et cartes de débit et les transferts d'argent de téléphone mobile:

    Je me souviens du moment où je me suis rendu l'ère de la trésorerie pourrait bientôt être terminée. Il était Australia Day sur Bondi Beach en 2014. Dans un magasin d'alcool occupé, un homme vêtu d'un short seulement natation, portant seulement un téléphone mobile et une carte en plastique, retardait les opérations d'autres personnes alors qu'il a déménagé 50 dollars australiens dans son compte courant sur son téléphone afin qu'il puisse acheter de la bière. Les jeunes de 30 impairs dans la file d'attente derrière lui murmura à peine; ils avaient tous été dans la même situation. Je doute qu'il y avait un billet de banque ou pièces de monnaie entre eux ... .La possibilité d'une société sans argent liquide est venu à nous avec un rush: le paiement sans contact est si nouveau que le petit ping La machine fait peut encore sentir magique. Mais dans certains magasins, en particulier ceux qui répondent pour les jeunes, un client atteignant pour un billet de banque produit déjà un froncement de sourcils automatique. Parmi les banquiers centraux, qui froncement est devenu une mine renfrognée.

    Dans certains Etats, presque tout, peu importe leur taille, peuvent être achetés par voie électronique. Tout jusqu'à, et y compris, une tasse de café à partir d'un bord de la route peuvent être achetés en Nouvelle-Zélande avec une carte EFTPOS (débit), donc relativement peu de gens portent espèces. Dans les pays scandinaves, il existe généralement des options de paiement plus électroniques que les options de trésorerie:

    La Suède est devenue le premier pays à faire appel à ses propres citoyens comme des cobayes largement disposés dans une expérience économique dystopique: taux d'intérêt négatifs dans une société sans numéraire. Comme le rapporte Credit Suisse, peu importe où vous allez ou ce que vous voulez acheter, vous trouverez un petit signe omniprésent disant "Vi hanterar ej kontanter" ( "Nous n'acceptons l'argent comptant») ... .Une situation similaire se déroule au Danemark , où près de 40% de la payer l'utilisation démographique MobilePay, une application Danske Bank qui permet à tous les paiements à remplir via smartphone.

    Même les vendeurs ambulants vendant "Situation Stockholm", la version locale de "Big Issue" du Royaume-Uni sont également en mesure de prendre des paiements par carte de débit ou de crédit.

    Ironiquement, cashlessness devient également ancrée dans certains pays africains. On pourrait penser que les paiements électroniques ne seraient pas possibles dans les sociétés pauvres et instables de subsistance, mais les téléphones mobiles sont en fait très commun dans ces endroits, et des moyens pour les paiements électroniques sont en train de devenir la norme:

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  43. Alors que la Suède et le Danemark peuvent être les deux nations qui sont les plus proches de l'interdiction pure et simple de trésorerie, le banc d'essai le plus important pour l'économie sans argent liquide est un bout du monde, en Afrique sub-saharienne. Dans de nombreux pays africains, cashless aller est non seulement une question de commodité de base (comme il est en Scandinavie); il est une question de survie. Moins de 30% de la population ont des comptes bancaires, et encore moins des cartes de crédit. Mais presque tout le monde a un téléphone portable. Maintenant, grâce à l'afflux massif dans l'absorption des communications mobiles, ainsi que le grand nombre de citoyens non bancarisés, l'Afrique est devenue l'endroit idéal pour la plus grande expérience sociale du monde à vivre sans argent liquide.
     
    ONG occidentales et OGs (organismes gouvernementaux) sont avec les banques, les sociétés de télécommunications et les autorités locales dans la main travaillent main pour remplacer l'argent par des alternatives d'argent mobile. Les organisations impliquées comprennent Citi Group, Mastercard, VISA, Vodafone, l'USAID et la Fondation Bill et Melinda Gates.
     
    Au Kenya, les fonds transférés par le plus grand opérateur d'argent mobile, M-Pesa (une division de Vodafone), représentent plus de 25% du PIB du pays. Dans le pays le plus peuplé d'Afrique, le Nigeria, le gouvernement a lancé une carte d'identité biométrique nationale Mastercard marque, qui se dédouble également comme une carte de paiement. Le «service» fournit Mastercard avec un accès direct à plus de 170 millions de clients potentiels, sans parler de toutes leurs données personnelles et biométriques. La société a également récemment remporté un contrat du gouvernement pour concevoir la carte Huduma, qui sera utilisé pour payer les services de l'État. Pour Mastercard ces partenariats avec le gouvernement sont essentiels pour la réalisation de sa noble vision de créer un «monde au-delà de l'argent."

    Les pays où le paiement électronique est déjà prévu serait la norme pour être parmi les premiers endroits à expérimenter avec une société totalement cashless que la transition serait relativement indolore (au moins au début). En Norvège, deux grandes banques ne délivrent trésorerie provenant des bureaux, et, récemment, la plus grande banque, DNB, appelé publiquement pour l'abolition de l'argent. Dans les pays riches, l'avènement d'une société sans argent liquide pourrait être filée dans les médias d'une manière telle qu'elle apparaît progressive, innovante, pratique et avantageux pour les gens ordinaires. Dans les pays pauvres, les gens auraient pas le choix dans tous les cas.

    Test et développer les méthodes dans les sociétés sans alternatives puis alléchantes les habitants des pays riches avec plus de la commodité à laquelle ils sont devenus dépendants est le chemin clair vers l'extension de la portée des systèmes de paiement électronique et le plus grand contrôle financier sur les individus qui Ils offrent:

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  44. Fondation Bill et Melinda Gates, dans sa lettre annuelle 2015, ajoute une nouvelle tournure. Les technologies sont en place; il est juste une question de nous apprendre à les utiliser afin que nous puissions tous bénéficier de, un monde sans vie privée dépourvu de criminalité. Quel meilleur endroit pour mener une expérience sociale massive que l'Afrique subsaharienne, où les ONG et OGs (organismes gouvernementaux) sont avec les banques et les sociétés de télécommunications dans la main travaillent main pour remplacer l'argent par des alternatives d'argent mobile? Ainsi, la lettre annuelle explique: «(B) omme il y a une forte demande pour les services bancaires parmi les pauvres, et parce que les pauvres peuvent en fait être une clientèle rentable, les entrepreneurs dans les pays en développement sont en train de faire un travail passionnant - dont certains seront" trickle up "aux pays développés au fil du temps."
     
    Qu'est-ce que la Fondation ne mentionne pas est qu'il est fortement investi dans de nombreuses initiatives mobiles d'argent de l'Afrique et en 2010 a fait équipe avec la Banque mondiale pour «améliorer la collecte de données financières» parmi les pauvres d'Afrique. On se demande également si Microsoft pourrait un avantage d'une journée de première ligne le rôle de la Fondation en argent mobile ... .Comme suite des progrès technologiques et des priorités de génération, les jours de trésorerie pourraient bien être comptés. Mais il y a tout un monde de différence entre une mort naturelle et l'euthanasie. Il est maintenant clair qu'une alliance extrêmement puissante, mais lâche, des gouvernements, des banques, des banques centrales, des start-up, grandes entreprises, et les ONG sont déterminés à tirer la prise sur l'argent - pas pour notre bénéfice, mais pour le leur.

    Quel que soit le spin des médias superficiellement attrayant, des initiatives conjointes comme Cash Alliance Better Than servent leurs fondateurs, pas du public. Cela ne devrait pas venir comme une surprise, mais il ne sera probablement que nous somnambulisme à renoncer à des libertés très importantes:

    Comme je l'ai prévenu dans Nous nous dirigeons vers une société cashless, nous (ou du moins la grande majorité des gens dans la grande majorité des pays) sont prêts à confier le gouvernement et les institutions financières - les organisations qui ont déjà trahi à peu près toute notion possible de confiance - avec un contrôle complet sur toutes nos transactions quotidienne unique. Et tout cela pour le bien de quelques gains mineurs dans la commodité. Le prix que nous payons sera ce qui reste de notre liberté individuelle et la vie privée.

    http://www.zerohedge.com/news/2016-09-07/negative-rates-war-cash-part-2-closing-escape-routes

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    1. Pourquoi y a t-il risque d'explosion du peuple ? Parce que c'est LUI qui est le plus nombreux, le plus intelligent et celui (hors dictatures monarchiques) qui dirige dans une République. Le fait d'avoir supprimé la représentation d'une richesse par de l'or et de pouvoir tirer autant de billets jusqu'à l'équivalence de sa valeur-or, n'est pas nouveau et n'a surpris personne puisque depuis tous temps les billets ont été tirés d'une 'planche-à-billets' en non-conformité avec les réserves cachées que personne ne pouvait voir !! (Hahahaha !).

      D'où le questionnement du "Sur quoi demain vont-ils apposer l'image de Mickey ?" !

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  45. Administration Obama donne un autre 10 millions $ pour enregistrer de nouveaux électeurs immigrants


    par Tyler Durden
    7 septembre 2016 14:15
    Via JudicialWatch.org,


    Des mois après l'administration Obama ont dépensé 19 millions $ pour enregistrer de nouveaux électeurs immigrants qui vont probablement soutenir les démocrates en Novembre, il est de consacrer une somme supplémentaire de 10 millions $ dans une dernière poussée à l'approche de l'élection présidentielle. L'argent est distribué par US Citizenship and Immigration Services (USCIS), l'agence de la sécurité intérieure qui supervise l'immigration légale, à des organismes qui aident à améliorer les voies à la naturalisation en offrant des immigrants citoyenneté libre instruction, anglais, américains d'histoire et de cours d'éducation civique. Officiellement, ils sont connus comme "bourses d'intégration de la citoyenneté."

    Depuis 2009, l'USCIS a distribuait 63 millions $ dans ces subventions pour préparer plus de 156.000 immigrés résidant dans des dizaines de pays pour la citoyenneté américaine, selon les chiffres de l'agence. Outre les cours gratuits, l'Oncle Sam offre aussi des immigrants libres "services juridiques naturalisation," les dernières USCIS états d'annonce de subvention. «Les organismes bénéficiaires servent à la fois des destinations d'immigrants traditionnels et des nouvelles villes escapade immigrants dans 21 états," le document USCIS lit. Le dernier investissement de 10 millions $ préparera environ 25.000 résidents de plus de 50 pays, selon l'agence. Plus d'une douzaine d'États, y compris la Californie, New York, Floride, Washington et l'Ohio-avec de grandes populations d'immigrants résidents sont ciblés ainsi que les villes avec des populations immigrées énormes telles que Miami, Los Angeles, Chicago, San Francisco et Washington D.C.

    Le Department of Homeland Security (DHS) a été agressif dans la promotion de son programme de subvention d'intégration des citoyens de cette année, offrant de grosses sommes pour recruter de nouveaux groupes qui peuvent offrir aux immigrants les services dont ils ont besoin pour devenir des citoyens. De toute évidence, le but ultime est de se qualifier le plus grand nombre d'immigrants que possible de voter car ils ont tendance à voter pour les démocrates. "Nous avons l'intention d'attribuer environ 1 million $ aux bénéficiaires de la Citoyenneté et Programme de subventions d'intégration pour la première fois pour l'exercice 2016», déclare d'une annonce de subvention de l'agence. "Si vous représentez une de ces organisations, ou connaissez une organisation intéressée, nous encourageons fortement cette organisation à envisager d'appliquer. En outre, un autre 9 millions $ servira à financer des programmes qui fournissent à la fois la citoyenneté instruction et des services d'instruction et d'application de la naturalisation. "Certains pourraient considérer cela un don en espèces.

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  46. Cela fait partie d'une initiative plus large, l'ensemble du gouvernement lancé par le président de «renforcer l'immigration fédéral et l'infrastructure d'intégration des réfugiés." La mission est de faciliter la vie aux États-Unis pour les immigrants et les réfugiés en améliorant les voies à la naturalisation, la construction de communautés accueillantes et en fournissant «services mobiles d'immigration dans les collectivités mal desservies." Pour mener à bien cette importante mission Obama a créé un groupe de travail spécial sur les nouveaux Américains présidé par son Directeur Politique intérieure, Cecilia Muñoz, ancien vice-président de la puissante frontières ouvertes groupe du Conseil national de la Raza ( NCLR). Des millions de dollars des contribuables ont financé diverses entreprises du groupe de travail, y compris les campagnes médiatiques multilingues la promotion des droits des immigrants. L'objectif est de "renforcer l'intégration civique, économique et linguistique et à bâtir des collectivités fortes et accueillantes», selon un rapport publié par le groupe de travail. Dans les communautés d'extrémité seront renforcées en accueillant tous les résidents, l'administration assure.

    Pratiquement chaque organisme fédéral participe à l'effort en fournissant des ressources et la création de programmes pour aider les immigrants. Par exemple, le ministère du Travail (DOL) met en œuvre "de nouveaux programmes de main-d'œuvre» pour les «nouveaux Américains» et le ministère de l'Éducation encourage "les possibilités de financement" pour assurer que les immigrés Le "reçoivent les outils dont ils ont besoin pour réussir." ministère de la Santé et des services sociaux (HHS) collabore avec d'autres organismes pour libérer une carrière et accréditation boîte à outils sur «carrière-voies des programmes d'aide aux immigrants ciblés." Le ministère de la Justice (MJ) et USCIS font que les nouveaux Américains ont les droits des travailleurs et les protections et le ministère du logement et du développement urbain (HUD) lance un projet pilote de deux ans pour assurer que non anglophones ont «un accès significatif aux programmes de logement" subventionnés par les contribuables américains.

    http://www.zerohedge.com/news/2016-09-07/obama-administration-spends-another-10-million-register-new-immigrant-voters

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