- ENTREE de SECOURS -



mercredi 13 juillet 2016

‘L’Europe est en grand danger’: l’avertissement du patron des services de renseignement français

Arnaud Lefebvre
 13 juillet 2016
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Patrick Calvar, le grand patron de la DGSI (Direction générale de la sécurité intérieure), les services de renseignement français, a déclaré que l’Etat islamique allait modifier sa façon de commettre des attentats en Europe.
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« Je suis persuadé qu’ils passeront au stade des véhicules piégés et des engins explosifs, et ainsi qu’ils monteront en puissance. Ils vont finir par projeter des commandos dont la mission consistera à organiser des campagnes terroristes sans nécessairement aller à l’assaut avec la mort à la clef », a expliqué Patrick Calvar.
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Ces propos sont tirés d’une audition ayant eu lieu a à huis clos le 24 mai dernier à l’Assemblée nationale par la commission d’enquête relative aux moyens mis en œuvre par l’État pour lutter contre le terrorisme, précise Le Figaro.
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L’Etat islamique modifie son mode opératoire
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La mission principale de l’Etat islamique ne consistera plus à se faire exploser. La mission principale de l’Etat islamique ne consistera plus à se faire exploser en kamikaze. En effet, selon Calvar, pour ces attaques d’un nouveau genre, l’organisation terroriste devra maintenant avoir recours à des artificiers et procéder à une organisation logistique afin de s’installer sur le territoire et acquérir les produits dont elle a besoin. Une fois que l’Etat islamique aura réussi à se projeter sur notre territoire, il effectuera des attaques qui font un maximum de dégâts et de victimes sans pour autant devoir sacrifier ses combattants, explique Calvar.
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‘L’Europe est en grand danger’
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Patrick Calvar a livré un autre message. Selon lui, l’Europe est en grand danger. Le patron de la DGSI s’inquiète d’ « une confrontation entre l’ultra droite et le monde musulman – pas les islamistes mais bien le monde musulman ».
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« L’Europe est en grand danger : les extrémismes montent partout et nous sommes, nous, services intérieurs, en train de déplacer des ressources pour nous intéresser à l’ultra droite qui n’attend que la confrontation. Encore un ou deux attentats et elle adviendra. Il nous appartient donc d’anticiper et de bloquer tous ces groupes qui voudraient, à un moment ou à un autre, déclencher des affrontements intercommunautaires », a expliqué Patrick Calvar.
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https://fr.express.live/2016/07/13/leurope-grand-danger-lavertissement-patron-services-de-renseignement-francais/

8 commentaires:

  1. Venezuela: Maduro place l’économie sous contrôle militaire

    Arnaud Lefebvre
    13 juillet 2016

    Au Venezuela, l’armée est désormais responsable de la distribution de nourriture et de médicaments. Le Président Nicolas Maduro a désigné l’actuel ministre de la Défense, le général Vladimir Padrino Lopez, comme responsable du transport, de la distribution, de la tarification et de la production de nourriture et de médicaments, rapportent plusieurs journaux du pays.

    Toute l’économie est maintenant aux mains d’un régime militaire. Cinq ports du pays ont par ailleurs également été placés sous autorité militaire.

    Vladimir Padrino se convertit ainsi en une espèce de « super-ministre » et devient l’une des personnes le plus influentes du cabinet socialiste de Nicolas Maduro. Le fait que l’armée contrôle les denrées alimentaires et les médicaments, les supermarchés et les hôpitaux n’est pas chose nouvelle mais avec cette nouvelle nomination, les militaires exercent dorénavant le contrôle officiel auquel tous les ministères sont maintenant subordonnés.

    L’armée gouverne tout le pays

    De grands secteurs de l’économie sont aux mains de l’armée. En 1993, le pays comptait à peine 50 généraux, maintenant, on en dénombre 4.000. Des dizaines d’entreprises militaires ont vu le jour depuis l’arrivée de Maduro. Le pouvoir de l’armée dans le pays est énorme : des militaires retraités ou en activité sont à la tête d’un tiers des ministères et ils gouvernent la moitié des 23 provinces. Ces militaires sont à peine été concernés par la crise, ils s’octroient des hausses de salaires importants et ont un accès privilégié à l’alimentation et au marché immobilier. Les militaires peuvent mettre la main sur des contrats juteux, contrôlent le marché des devises et vendent du pétrole bon marché à des prix cassés aux pays voisins.

    Le blog Relojes del Chavismo a publié des photos de Vladimir Padrino avec au poignet une IWC Pilot’s Watch Chronograph Top Gun Miramar dont le prix est de 11.900 dollars.

    Pendant ce temps-là, dans de nombreuses régions du pays, les pauvres souffrent de la faim. Dernièrement, une organisation de protection des animaux expliquait que de plus en plus de propriétaires abandonnaient leurs animaux domestiques le long des routes car ils ne sont plus capables de les nourrir.

    Une conspiration contre la révolution socialiste

    Récemment, le gouvernement socialiste de Nicolas Maduro a décidé de nationaliser une usine de la société américaine Kimberly-Clark, producteur de papier toilette et de serviettes hygiéniques. Auparavant, Kimberly-Clark a annoncé qu’il lui était impossible de continuer sa production en raison de la crise économique sévissant dans le pays.

    Le président Maduro a par ailleurs accusé Kimberly-Clark de participer à un complot international afin de nuire à l’économie du Venezuela. Le gouvernement vénézuélien a pour sa part annoncé qu’il dégagerait des fonds publics afin de maintenir l’usine en activité.

    Selon l’association des entreprises locales Fedecamaras, 85% de l’industrie nationale est paralysée à cause de la pénurie de matières premières.

    Juan Pablo Olalquiaga, président de la Conindustria, la Chambre de l’industrie vénézuélienne, a critiqué cette prise de contrôle militaire. « Si toutes les usines doivent passer aux mains des militaires, ce n’est pas cela qui va faire apparaître les matières premiers. L’exécutif démontre de cette manière qu’il ne comprend pas le fonctionnement de l’économie », a-t-il déclaré.

    https://fr.express.live/2016/07/13/venezuela-maduro-place-leconomie-controle-militaire/

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    1. Voilà un chef de l'Etat qui défend son pays face à la main-mise des grandes surfaces et de leurs centrales d'achats - dont ils dépendent et soutiennent - de l'alimention et des médicaments. C'est à coup sûr un personnage qui - comme Chavez - restera admiré et cité en exemple par les vénézuéliens !

      Imaginez un pays où un président de merde laisserait son peuple mourir face à la dictature des supermarchés !

      (...) Le blog Relojes del Chavismo a publié des photos de Vladimir Padrino avec au poignet une IWC Pilot’s Watch Chronograph Top Gun Miramar dont le prix est de 11.900 dollars. (...)

      Hahahaha ! Sorties à 50 $ de chez Chine et revendues 11.900 dollars au 'Topcon' !

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  2. «Le chaos au Soudan résulte de tensions entretenues par les USA pour priver la Chine de pétrole»

    13 juil. 2016

    Les Etats-Unis ont incité à la création du Soudan du Sud pour faire capoter les accords pétroliers conclus par Pékin et aujourd'hui le pays rebascule dans le chaos a cause du même jeu politique, estime Ayo Johnson, fondateur de «Viewpoint Africa».

    Ayo Johnson est journaliste et directeur de Viewpoint Africa. Il s'exprime dans de nombreuses conférences à travers le monde et écrit pour divers grands médias parmi lesquels la BBC, CNN, Russia Today, Al Jazeera, ABC, France 24, CCTV, PBS et Voice of America.

    Près de 300 personnes seraient mortes dans des combats entre factions rivales du Soudan du Sud dans la capitale, Juba, alors que des coups de feu ont été tirés dans certaines parties de la ville.

    Le Soudan du Sud, qui a obtenu son indépendance du Soudan en 2011, est la plus jeune nation du monde. Cependant, une guerre civile, qui a éclaté en 2013 entre factions soutenant le président Salva Kiir et celles qui se sont rangées aux côtés du vice-président, Riek Machar, a déjà entaché l'histoire de cette jeune nation.

    La rupture des relations entre les deux parties est presque entièrement due au pétrole. Si le Soudan du Sud a hérité de 75% des réserves du pétrole du Soudan – les troisièmes plus grandes réserves de pétrole en Afrique sub-saharienne – la plupart des oléoducs sont contrôlés par le Nord.

    D’après Washington, l'Amérique est le plus grand pourvoyeur d'aide au Soudan du Sud. Le pays a reçu des contributions à hauteur de près de 1,6 milliard de dollars de contributions depuis 2013.

    Mais il existe un autre pays qui affiche un grand intérêt pour le Soudan du Sud : la Chine, qui a elle aussi envoyé des casques bleus dans le pays, et qui est aujourd'hui le plus grand actionnaire de l'industrie pétrolière soudanaise.

    RT : Pourquoi pensez-vous que de violents combats ont à nouveau éclaté à Juba à la veille du cinquième anniversaire de l'indépendance du pays ?

    Ayo Johnson (A. J.) : Quand le Soudan du Sud a été fondé en tant que nouveau pays et présenté comme un phare de succès en 2011, les Etats-Unis, tout comme leurs alliés européens, ont dit que c’était la meilleure chose pour le pays. Et il faut avoir en tête, que c’était à l’issue d’une guerre de 20 ans – une guerre civile avec son voisin du Soudan du Nord. Ils ont donc pensé que c’était là la meilleure façon de garantir enfin la paix : faire du Soudan du Sud une nouvelle nation. Mais des problèmes sont apparus rapidement, exacerbés par les désaccords intervenus entre Salva Kiir et Riek Machar. Les difficultés dont nous avons été témoins jusqu'à présent découlent directement de cette discorde entre ces deux dirigeants.

    (suite en dessous:

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  3. Dans une certaine mesure, les Etats-Unis devraient être un peu déçus parce que ce qu'ils considéraient comme une grande expérience comportait un risque : un pays manifestement pas prêt pour un niveau de démocratie qu'ils croyaient possible de lui imposer.
    Les Etats-Unis ont forcé la libéralisation et l’indépendance du Soudan du Sud pour déloger les Chinois

    RT : Pensez-vous que les intérêts contradictoires des Etats-Unis et de la Chine ont influencé la situation dans le pays ?

    A. J. : La raison primordiale pour laquelle les Etats-Unis ont poussé pour la libération et l’indépendance du Soudan du Sud était pour en déloger les Chinois, qui avaient déjà des accords avec le Soudan du Sud d’Omar el-Béchir en termes de contrôle du pétrole. Beaucoup ont dit que le mouvement pour l'indépendance avait été considéré comme un levier contre les Chinois, afin de les priver du contrôle du pétrole.

    Il faut se rappeler que le pétrole se trouve principalement au Soudan du Sud. Cependant, en ce qui concerne l'exportation [du pétrole], tous les oléoducs traversent le Nord. On a une situation où un grand pays a été divisé en deux, et a dû trouver un mécanisme pour la gestion de sa ressource fondamentale qui est le pétrole. Les arrangements en place supposaient que la richesse pétrolière devait être répartie entre le Nord et le Sud par le biais d’un pourcentage...

    https://francais.rt.com/opinions/23663-chaos-soudan-usa-chine

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  4. Ivan Rioufol : «La violence n’est pas à l’extrême droite, mais à l’extrême gauche»

    13 juil. 2016

    Les vraies menaces pour la société française émanent de l'islam radical et de l'extrême gauche, non pas de l'extrême droite ni de l'«ultra droite», estime l'essayiste Ivan Rioufol.

    Ivan Rioufol est journaliste, écrivain, auteur de l'essai La guerre civile qui vient

    RT France : Lors de son audition par la commission parlementaire concernant les attentats de Paris, le chef de la DGSI a mis en garde contre l’ultra droite, redouteant également que Daesh utilise d’autres méthodes et fasse évoluer sa lutte contre la France. Quelle est la responsabilité du gouvernement dans l'augmentation du risque sécuritaire dans le pays ?

    Ivan Rioufol(I. R.) : C’est la responsabilité collective de tous les gouvernements depuis maintenant 40 ou 50 ans de n’avoir pas voulu voir les risques que représentait une immigration de masse et défendu une société multiculturelle. C’est au cœur du multiculturalisme que se développe aujourd’hui cette possible guerre civile. Ceci n’est pas une surprise pour moi, qui suis un observateur, mais ce qui est déroutant, c’est de voir que les pouvoirs publics ne le découvrent qu'aujourd’hui.

    Vigipirate, opération Sentinelle, tout cela est bien, mais le phénomène d’aujourd’hui nécessite des solutions d’une autre envergure

    RT France : Pensez-vous que le plan Sentinelle mis en place depuis les attentats de Charlie Hebdo soit approprié et fonctionne ?

    I. R. : Il s'agit d'une réponse sécuritaire réclamée par les Français, mais on comprend bien qu’elle ne peut pas se limiter à un déploiement policier ou militaire dans les rues. Cette réponse sécuritaire nécessite préalablement de deviner quel est l’ennemi. Si le président de la République désigne le terrorisme comme la menace, il ne dit pas de quel terrorisme il s'agit. Il faut dire que la menace, aujourd’hui, c’est bien le terrorisme islamiste radical porté par une idéologie totalitaire et qu’il faut le combattre. Mais ce préalable n’est pas mentionné ou alors pas suffisamment. Seul Manuel Valls qui l’a affirmé récemment, en évoquant la nécessité de combattre l’islamo-fachisme, un terme que j’approuve, mais qui n’a pas été repris et n’a pas été suivi d’actes. Vigipirate, opération Sentinelle, tout cela est bien, mais le phénomène d’aujourd’hui nécessite des solutions d’une autre envergure.

    RT France : Le chef de la DGSI a également exprimé une inquiétude concernant une confrontation inévitable entre l’ultra-droite et le monde musulman. Partagez-vous cet avis ?

    I. R. : Je ne comprends pas exactement le terme d'«ultra droite». Ce que je vois, en tant qu'observateur, c’est que la violence n’est pas à l’extrême droite, mais à l’extrême gauche. On l’a vu ces trois derniers mois, avec la montée en puissance d’une violence urbaine théorisée par les mouvement d’extrême gauche. On a vu se déployer cet islamo-gauchisme qui trouve des intérêts communs dans le rejet de la société capitaliste, libérale, des démocraties occidentales en règle générale. Pour l’instant, je n’ai pas vu que l’extrême droite constituait une telle menace. Je ne voudrais pas croire que, de la part de M. Calvar [directeur de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI)], cette accusation serve à détourner les regards de la menace la plus évidente, qui est portée par l’extrême gauche et l’islam radical.

    On n'a pas vu de Français prendre les armes, maltraiter les musulmans ou en faire des boucs émissaires

    (suite en dessous:)

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  5. RT France : Le chef de la sûreté de l’Etat belge a mis en garde contre la montée de l’islamophobie à la suite des attentats à Bruxelles. Il craignait également la réaction de l’extrême droite après les attentats de l’Etat islamique, croyez-vous qu'ils aient fait augmenter l’islamophobie ?

    I. R. : Malgré la violence terrible des attentats, il n’y a pas eu de réaction de violence. On a pas vu de Français prendre les armes, maltraiter les musulmans ou en faire boucs émissaires. Il y a eu, ici et là, des actes antimusulmans, mais ils sont d’une gravité bien moindre que les actes anti-chrétiens, anti-juifs ou anti-occidentaux. On peut redouter qu’une incompréhension croissante de l'islam progresse au sein des sociétés occidentales, si les musulmans ne prennent pas conscience de l’urgence pour eux de faire savoir qu’ils n’ont rien à voir avec ceux qui les caricaturent, avec ce totalitarisme islamiste. Or, pour l’instant, j’observe une sorte de zone grise de prudence, de la part de la communauté musulmane française en particulier, qui ne cherche pas à se démarquer de cet islamisme. Il n'y a eu qu’un seul exemple de manifestation organisée contre les horreurs du djihad, c'était il y a quelques semaines à Mantes-la-Jolie. Cette exception mise à part, il n’y a pas suffisamment d’actes qui puissent rassurer l’opinion française sur l’adhésion de la communauté musulmane aux valeurs laïques, démocratiques, républicaines de la société occidentale.

    Lire aussi : «Nous assistons à une banalisation de l’islamophobie»

    https://francais.rt.com/opinions/23650-violence-extreme-gauche

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    1. Mer de Chine méridionale: Pékin hausse le ton face à Washington

      11:06 13.07.2016

      Ne reconnaissant pas la légitimité de la décision de la Cour permanente d'arbitrage de La Haye, La Chine se dit prête à défendre par la force ses intérêts nationaux dans la région.

      Pékin a adressé une lettre de protestation à Washington pour sa position sur la mer de Chine méridionale, a déclaré le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères Lu Kang.

      La Cour permanente d'arbitrage de La Haye (CPA) a jugé mardi que la Chine ne possédait pas de "droits historiques" sur la majorité des eaux stratégiques de la mer de Chine méridionale dans les limites de la "ligne en neuf traits".

      La Cour permanente d'arbitrage de La Haye a également stipulé que la Chine ne pouvait pas prétendre à une zone économique spéciale dans la région des îles de l'archipel des Spratleys.

      Pékin déclare son droit à une zone aérienne d'identificationPar la suite, le porte-parole du département d'Etat John Kirby a déclaré que le refus de Pékin de se conformer aux décisions de la Cour constituerait une violation flagrante du droit international.

      "Nous exprimons un fort mécontentement et de vives objections au sujet de la déclaration de la partie américaine", a déclaré M.Lu Kang.

      "Nous recommandons à la partie américaine de bien réfléchir à ses propos et à ses actes, d'arrêter de promouvoir la décision illégale de la Cour, d'arrêter de provoquer des incidents dans la mer de Chine méridionale, de mettre fin à des discours et à des actes qui portent atteinte à la souveraineté et aux intérêts de la Chine dans le domaine de la sécurité et exacerbent les tensions dans la région", a-t-il martelé.

      Auparavant, la Chine a déclaré qu'elle ne "ne reconnaissait pas et n'acceptait pas" la décision d'arbitrage et que l'armée du pays défendrait vigoureusement la souveraineté nationale, la sécurité, les droits en mer et les intérêts du pays.

      La Chine compte envoyer des sous-marins nucléaires dans le Pacifique

      La Chine et plusieurs autres Etats voisins, à savoir le Japon, le Vietnam et les Philippines, ont des différends sur les frontières maritimes et les zones de responsabilité en mer de Chine méridionale.

      La Chine avait proclamé une "zone d'identification de la défense aérienne" (Adiz) en 2013, sur une grande partie de la mer de Chine orientale, entre la Corée du Sud et Taïwan, suscitant l'ire de la communauté internationale et en mer de Chine orientale.

      En janvier 2013, les Philippines ont intenté une procédure à la Cour d'arbitrage internationale demandant de reconnaître invalide la soi-disant "ligne en neuf traits" qui détermine les revendications frontalière de Pékin. La Chine insiste sur le fait que la Cour de La Haye n'a pas le droit de régler les différends territoriaux.

      https://fr.sputniknews.com/international/201607131026622305-chine-etats-unis-mer-de-chine-protestation/

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    2. (...) La Cour permanente d'arbitrage de La Haye (...) !!!?
      La Cour 'permanente' (24/24 h ?) des Pays-Bas ne doit s'occuper que de son pays, vu qu'elle n'est élu par personne (comme celle de Bruxelles). Et pourquoi le 'Cour de la Haye' serait-elle plus compétente qu'une Cour chinoise ??!

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