- ENTREE de SECOURS -



lundi 11 avril 2016

Crise climatique et l’axe de rotation de la Terre

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Le réchauffement climatique a un effet sur l’axe de rotation de la Terre !
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Décidément le changement climatique est effrayant puisqu’une étude récente issue du Jet Propulsion Laboratory du CalTech à Pasadena tire la sonnette d’alarme et il y a de quoi : la fonte accélérée des calottes glaciaires tant du Groenland que de l’Antarctique, conséquence inévitable du « réchauffement du climat », va perturber l’axe de rotation de la Terre. Les simulations (encore des modèles mathématiques) indiquent que l’axe de rotation de la Terre va se déplacer de 5,9 degrés. L’étude a fait référence à des travaux englobant l’eau douce en stock à la surface de la Terre et les calottes glaciaires précitées. Il est opportun de rappeler que la totalité de la glace de l’Antarctique – 26000 milliards de m3 – représente plus de 60 % de l’eau douce présente sur la Terre et que la calotte glaciaire du Groenland représente seulement 3000 milliards de m3 d’eau douce. Ces données ne sont pas de mon cru, on peut les retrouver dans Wikipedia. On se trouve donc en présence de 29×1015 kg de glace répartis entre Groenland et Antarctique. Si on compare cette masse de glace à celle de la Terre – 6×1024 kg – elle ne représente donc que 5 milliardièmes de cette dernière.
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D’après l’étude parue dans Science Advances (voir le lien) – c’est sûr que c’est une grande avancée dans la connaissance générale – le réchauffement climatique va faire fondre ces calottes glaciaires et comme la masse de glace du Groenland n’est pas vraiment centrée sur l’axe de rotation de la Terre, ce dernier va donc se trouver modifié. Les conséquences sont terrifiantes car cette dérive de l’axe de rotation de la Terre va contribuer à amplifier le changement climatique, un peu comme le CO2 et l’effet de serre amplifient, selon la théorie, l’effet du rayonnement solaire sur nous autres, pauvres humains. Selon les modélisations nous allons tous griller comme des toasts (cf Christine Lagarde à Davos) et l’axe de rotation de la Terre va être modifié, vraiment de quoi s’alarmer … rien ne va plus Madame Michu, on va tous être désaxés !
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Allez lire l’article en accès libre, vous ne serez pas déçu dans le genre imposture pseudo-scientifique puisqu’on parle ici de quelques milliardièmes de la masse totale de la Terre et que le déplacement de l’axe de rotation de cette dernière se mesure en millisecondes d’arc équivalant sur le terrain à quelque chose comme une petite poignée de centimètres ! Ça va donc être vraiment catastrophique …
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Il faut comprendre que la psychose généralisée de la crise climatique majeure à venir justifie de telles études sans queue ni tête financées par les contribuables qu’il s’agit au final de terroriser conduisant à des spéculations sur l’augmentation des périodes de sécheresse (ou de précipitations) dans des régions du globe aussi éloignées que la Sibérie, le Middle-West américain ou le Queensland. Ce n’est pas votre serviteur qui l’invente mais c’est écrit dans l’article …
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Source : DOI: 10.1126/sciadv.1501693 illustration : Wikipedia
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https://jacqueshenry.wordpress.com/2016/04/11/crise-climatique-et-laxe-de-rotation-de-la-terre/

29 commentaires:

  1. Après le texte ordurier sur les prochains changements climatiques qui ne s'appellent plus saisons mais 'mort-à-venir' cause aux cigarettes fumées qui tueraient des milliards de personnes qui en respirent les fumées de l'autre côté de la Terre et que les voitures équipées des fameux pots catalytique-escroquerie qui polluent des milliards de fois plus qu'une cigarette (plus de 40 000 morts en France par an à cause du diesel !) et que

    http://huemaurice5.blogspot.fr/2015/05/16-porte-containers-polluent-plus-que.html

    la faute revient donc à l'homme qui ose respirer gratuitement de l'oxygène du roy pour le souiller et le rendre impropre à la consommation humaine sous forme mortelle de gazcarbonique (qui ose faire pousser des arbres qui fournissent de l'oxygène grâce à nous !) et aussi de péter en plus des milliards de vaches, chèvres, moutons, chiens, chats, souris, fourmis, microbes qui en font autant sinon plus !

    D'où l'invitation au suicide car d'après les assassins qui nous gouvernent (des millions d'enfants, femmes et hommes morts par les guerres déclenchées PAR les gouvernements et chefs d'Etats !) nous serions trop nombreux à bénéficier des privilèges de vivre sur Terre qui appartiennent aux criminels qui nous dirigent !

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  2. Cet environnement qui nous détruit


    Audrey Chauvet
    20 Minutes
    jeu., 07 avr. 2016 04:36 UTC

    -- Commentaire : Les sources de pollution sont dorénavant tellement variées qu'il est illusoire de croire que quelques lois bien votées ou quelques réglementations spécifiques bien normées peuvent changer la donne. Les scientifiques nous font prendre conscience, par leurs travaux, à quel point, justement, le manque de conscience de l'humanité entraine celle-ci vers sa chute. On peut se tortiller comme on le souhaite pour faire passer des petits aménagements législatifs environnementaux et sanitaires qui donnent l'illusion que tout est sous contrôle. A l'heure ou la terre et les océans sont radioactifs, ou la pluie, les cours d'eau et les nappes phréatiques sont chimiquement contaminées, ou l'air que nous respirons est rempli de particules délétères, ou les aliments appauvris, génétiquement dénaturés, détruisent plus qu'ils ne nourrissent, ou les nano-particules qui ont envahi notre quotidien préparent un désastre d'un tout nouveau genre, ou les rayonnements électromagnétiques artificiels de toutes sortes générés par notre si inventive technologie nous bombardent avec une constance pernicieuse, comment penser que la solution, pour parer à ce désastre généralisé, puisse venir du système qui est le responsable de tout ceci ? Qui pourrait croire que ce dont nous avons besoin peut sortir d'un esprit attaché au-dit système ?

    Bases, fondements, croyances et paradigmes : tout n'est-il pas à revoir dans notre mode de fonctionnement pathologique, nous qui avons transformé le simple fait de boire, de manger et de respirer en une entreprise à haut risque ?

    - L'iode - La connaissance cachée qui peut changer votre vie
    - L'iode - Quatre lettres pour un enjeu de santé mondial --

    Lyon, le 17 mars 2014. Un épisode de pollution aux particules fines, du au trafic, a l’activité industrielle et aux chauffages a bois défectueux, a touche la région lyonnaise a la mi-mars.Un voile blanc enveloppant la ville etait visible depuis la colline de la Croix-Rousse

    Allergies, asthme, cancers, électrosensibilité, et même autisme : dans son livre Comment naissent les maladies (éd. Les liens qui libèrent), le professeur Belpomme accuse notre environnement de nous rendre malades. Pour le cancérologue, engagé depuis longtemps dans la lutte contre les pesticides et les pollutions, il est aujourd'hui clair que la dégradation de l'environnement est la plus grande menace pour la santé publique.

    Interactions entre gènes et environnement

    « Si dans les vingt ans à venir, on prévoit 22 millions de cas de cancers par an, c'est, de façon prédominante, dû à une dégradation de l'environnement », affirme le cancérologue dans un entretien à Télérama. Il accuse les pesticides et perturbateurs endocriniens, la pollution de l'air par les particules fines, les champs électromagnétiques d'être à l'origine « d'anomalies d'expression des gènes » qui seraient à l'origine de nombreuses maladies, y compris de troubles du comportement.

    (suite en dessous:)

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  3. Pour de nombreux médecins, il n'y a aujourd'hui plus de doutes à avoir sur les liens entre environnement et santé. L'Institut national de veille sanitaire (InVS) et l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) planchent sur ces liens compliqués à établir mais désormais incontestables :

    « Nous avons aujourd'hui une approche exposomique, c'est-à-dire que nous prenons en compte l'ensemble des expositions auxquelles un individu est soumis au cours de sa vie et toutes les interactions qui peuvent en découler », explique Isabella Annesi-Maesano, directrice de recherche à l'Inserm au département d'épidémiologie des maladies allergiques et respiratoires.

    « Quatre consultations de médecine environnementale par semaine »

    Qualité de l'air, de l'eau, radiations, bruit, alimentation... Le milieu dans lequel nous évoluons a des impacts sur la manière dont notre corps se développe, assure la chercheuse qui coordonne le projet européen Heals destiné à clarifier l'influence de l'environnement dans trois grands groupes de maladies (asthme et allergie, obésité et diabète, troubles et désordres du développement neurologique).

    « Nous savons qu'il faut un terrain génétique propice pour qu'une pathologie asthmatique, par exemple, se révèle. Mais aussi on sait que les enfants qui habitent à côté d'un axe routier avec beaucoup de trafic ont un risque accru de devenir asthmatiques. Ce sont ces interactions que nous voulons étudier », précise Isabella Annesi-Maesano.

    La « médecine environnementale » deviendra-t-elle un nouveau courant dans les prochaines années ? Le professeur Belpomme assure avoir « quatre consultations de médecine environnementale par semaine, avec un an de carnets de rendez-vous pleins ». Mais c'est peut-être la planète qui aurait besoin d'un bon médecin :

    « En fait, rien ou presque n'est fait concernant le rôle néfaste des pesticides et perturbateurs endocriniens, de la pollution de l'air par les particules fines émises par le diesel, ou encore de l'effet possiblement cancérigène des champs électromagnétiques », dénonce le cancérologue.

    http://fr.sott.net/article/28043-Cet-environnement-qui-nous-detruit

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  4. Réduire les émissions de carbone de 50 % ?

    — Cauchemar de verts — gazéification du charbon peut être la réponse —

    Un nouveau rapport MIT suggère une meilleure façon d'utiliser du charbon dans les centrales et potentiellement réduit les émissions de gazcarbonique de 50 %. Le processus implique la gazéification de charbon et production d'électricité en un seul processus sur le même site. Le charbon ne doit pas être chauffé une fois, et l'électricité provient d'une pile à combustible, pas un incendie — c'est une réaction chimique à travers une membrane. La sortie est potentiellement beaucoup plus efficace et ne fait aucun cendres. Les chercheurs soutiennent que nous pouvions obtenir deux fois plus d'électricité pour chaque tonne de charbon brûlé. Actuellement au charbon puissance tire 30 % de l'énergie chimique dans le charbon, mais ces deux processus de couplage pourrait porter à 55-60 %.

    Ce rapport est basé sur des simulations, mais les processus distincts sont déjà bien avancés et en cours d'exécution. La prochaine étape serait une usine pilote entièrement fonctionnelle pour mettre les deux ensemble et tester l'idée. S'il y avait la volonté politique, qu'il pourrait être fait en quelques années. Il ne sera probablement pas.

    Les verts bien sûr vont le détester l'idée parce que le mal-facteur de charbon est proche de 100 %.

    Dans le monde éco-collectiviste, coupe « carbone » est importante, mais apparemment pas aussi important que l'étaiement d'un groupe de pression dépendante pour grand gouvernement (c'est l'industrie entière énergies renouvelables) ou paralysant des sociétés indépendantes qui ont le pouvoir et l'argent en dehors du grand-gouvernement de contrôle. Il y a aussi les dommages à la réputation d'admettre que les moulins à vent et l'énergie solaire ont un fantasme qui a gaspillé des milliards de l'argent de nos enfants. En plus de cela, il y a la mort potentielle d'un vraiment utile effrayer. Tout cela, l'avenir de la vie sur terre est en jeu, mais qui ne sera probablement pas suffisant pour les verts à faire pression pour que cette approche se faire tester.

    Charbon hybride alimenté par le réseau électrique pourrait réduire les émissions de la centrale au charbon en deux — Gazéification du charbon, en soi, fonctionne à une température inférieure à combustion et « est plus efficace que la gravure, » Ong dit. Tout d'abord, il est pulvérisé le charbon en poudre, qui est ensuite chauffée dans un flux de vapeur chaude, un peu comme les grains de maïs chauffés dans un air-popper. La chaleur conduit à des réactions chimiques qui dégagent des gaz à partir des particules de charbon — principalement le monoxyde de carbone et d'hydrogène, qui peuvent produire de l'électricité dans une pile à combustible d'oxyde solide.

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  5. Dans le système combiné, ces gaz serait alors être canalisé à partir le gazogène à une pile de pile à combustible séparé ou en fin de compte, le système de piles à combustible pourrait être installé dans la même chambre que le gazogène que le gaz chaud s'écoule directement dans la cellule. Dans la pile à combustible, une membrane sépare le monoxyde de carbone et d'hydrogène de l'oxygène, favorisant une réaction électrochimique qui génère de l'électricité sans brûler le carburant.

    — Gazéification du charbon, en soi, fonctionne à une température inférieure à combustion et « est plus efficace que la gravure, » Ong dit. Tout d'abord, il est pulvérisé le charbon en poudre, qui est ensuite chauffée dans un flux de vapeur chaude, un peu comme les grains de maïs chauffés dans un air-popper. La chaleur conduit à des réactions chimiques qui dégagent des gaz à partir des particules de charbon — principalement le monoxyde de carbone et d'hydrogène, qui peuvent produire de l'électricité dans une pile à combustible d'oxyde solide.

    Dans le système combiné, ces gaz serait alors être canalisé à partir le gazogène à une pile de pile à combustible séparé ou en fin de compte, le système de piles à combustible pourrait être installé dans la même chambre que le gazogène que le gaz chaud s'écoule directement dans la cellule. Dans la pile à combustible, une membrane sépare le monoxyde de carbone et d'hydrogène de l'oxygène, favorisant une réaction électrochimique qui génère de l'électricité sans brûler le carburant.

    Cette méthode produit également gazcarbonique pur qui est plus facile au piégeage du carbone et séquestration avec (CCS). Si c'est toujours totalement inutile, mais est un autre facteur les éco-guerriers devront ignorer.

    http://joannenova.com.au/2016/04/cut-carbon-emissions-by-50-greens-nightmare-coal-gasification-may-be-the-answer/#more-48400

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    1. Même si le charbon est au prix plancher (comme le pétrole Hahahaha ! Z'avez vu le prix à la pompe où le prix de l'électricité au charbon-bien-noir-qui-tue chez Merkel ?), il en demeure que la fonction thermique de faire chauffer l'eau de la marmite est négligeable:

      CAPACITE CALORIFIQUE DES COMBUSTIBLES

      Feu de bois: 16 MJ/kg
      Charbon: 13-30 MJ/kg
      Gaz naturel: 39 MJ/m3
      Pétrole brut: 45-46 MJ/kg
      Uranium (REP): 500 000 MJ/kg

      Ainsi, la performance du charbon peut elle être doublée - elle ne rattrapera jamais celle de l'imbattable Uranium !

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  6. Les sanctions économiques. Une des armes de la guerre hybride.

    Les politiciens étatsuniens adorent utiliser les sanctions économiques pour punir leurs adversaires étrangers, mais l’utilisation à outrance de cette arme pousse la Chine et la Russie à développer des contre-mesures, nous explique le diplomate britannique Alastair Crooke.

    Par Alastair Crooke –
    le 1 avril 2016 – Consortium news.

    Le dirigeant suprême iranien Ali Khamenei a dit, dimanche, devant une large audience dans la ville sainte de Mashhad, que «les Américains ne font pas ce qu’ils ont promis dans l’accord nucléaire. Ils n’ont pas fait ce qu’ils auraient dû faire. Selon le ministre des Affaires étrangères [Javad Zarif], ils ont amené quelque promesses sur le papier mais ont aussi empêché la matérialisation des objectifs de la République islamique iranienne grâce à diverses mesures de diversion».

    Cette déclaration faite pendant la nouvelle année du dirigeant suprême doit être comprise comme un avertissement et non comme pure rhétorique. Ce n’était pas une simple critique contre l’Amérique (comme certains pourraient le supposer). C’était plutôt un simple avertissement au gouvernement iranien à faire attention aux retombées politiques possibles.

    Ce qui se passe est significatif. Pour quelque raison que ce soit, le ministère des Finances étasunien est en train de vider l’accord pour lever les sanctions de toute sa substance (et le motif pour cela mérite toute notre attention). Le dirigeant suprême a aussi remarqué que l’Iran éprouve quelques difficultés à rapatrier ses fonds gelés placés à l’étranger.

    Les officiels du ministère étasunien ont, depuis le premier jour de l’accord, pris chacun leur tour pour avertir les banques européennes que les sanctions étasuniennes contre l’Iran restaient en vigueur et qu’elles ne devaient pas envisager, même pas une seconde, d’utiliser les marchés obligataires, en dollar ou en euro, pour financer le commerce avec l’Iran ou pour s’impliquer dans le financement d’infrastructures iraniennes.

    Les banques comprennent parfaitement le message : touchez seulement au commerce avec l’Iran et vous serez massacrées par une amende d’un milliard de dollars, contre laquelle il n’y aura ni appel, ni cadre légal clair, aucun moyen de se défendre. Les banques (de manière compréhensible) prennent peur. Aucune banque ni institution financière ne s’est montrée lorsque le président Rouhani a visité Paris pour une série de réunions avec le monde des affaires local.

    L’influent journal iranien Keyhan a écrit à ce sujet, le 14 mars, qu’«à l’occasion d’un discours à l’assemblée générale des Nations Unies en septembre, Rouhani a déclaré qu‘aujourd’hui une nouvelle phase de relations entre l’Iran et le monde débute». Il a aussi déclaré dans une discussion à la radio 23 Tir que «la mise en place progressive de ce document va doucement ôter les briques du mur de méfiance».

    (suite en dessous:)

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  7. Keyhan continue:

    «Ces remarques sont faites alors que le côté occidental, dirigé par les États-Unis, n’a aucune intention de supprimer ou même de diminuer le mur de méfiance entre lui et l’Iran […] car il retarde la mise en place de l’accord qu’ils ont pourtant signé. La levée des sanctions n’est restée qu’une promesse sur un bout de papier, à tel point que cela a entraîné les protestations de politiciens iraniens».

    «La partie américaine utilise les clauses de l’accord de telle façon que les banques et sociétés, même européennes, n’osent pas établir de relations financières avec l’Iran par peur de la réaction américaine sous forme de sanctions [imposées à ses banques]. En réalité, la raison du retard de l’implémentation d’une coopération financière entre les banques européennes et les banques iraniennes et l’échec à faciliter les transactions économiques et financières est dû au fait que les sanctions américaines sont encore en place et que les banques iraniennes continuent à faire face à des restrictions. À cause de leur crainte d’amendes et de sanctions graves pour violation des anciennes sanctions étasuniennes, les institutions financières européennes hésitent à établir des relations avec leurs contreparties iraniennes…»

    «Il est inutile de s’attendre à ce que l’administration étasunienne coopère avec l’Iran, vus les commentaires de ses fonctionnaires, dont [la conseillère à la sécurité nationale] Susan Rice, vu que leurs commentaires et leur comportement montre leur refus de suivre leurs obligations et vue l’absence de volonté politique de la part de cette administration pour mettre en place ne serait ce que le minimum de l’accord.»

    Keyhan se réfère spécifiquement aux commentaires que Susan Rice a faits à Jeffrey Goldberg dans The Atlantic disant que «le but premier de l’accord iranien n’est pas d’entamer une nouvelle ère de relations entre les États-Unis et l’Iran. Le but était tout simplement de rendre un pays dangereux un peu moins dangereux. Personne ne s’attendait à ce que l’Iran devienne un acteur moins important. »

    Keyhan continue :
    «Toute action sur la scène internationale entraîne une réaction appropriée. Nous ne pouvons donc pas nous attendre à ce que le gouvernement américain lève les sanctions alors qu’il utilise toutes les opportunités pour restreindre notre pays. Les récents commentaires de Rice ne sont que la partie visible de la rhétorique anti-iranienne des officiels américains ces derniers mois. Ces remarques doivent donc être prise pour ce qu’elles sont, un signe […] que le rêve d’une levée des sanctions n’est rien d’autre qu’une vision idéaliste, loin de la réalité.»

    La remarque du dirigeant suprême n’était donc destinée qu’au gouvernement iranien : pas trop d’espoir politique sur un tel accord, car ses fondations pourraient être construites sur du sable.

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  8. L’arme de prédilection financière

    Récemment, le ministre des Finances états-unien, Jacob Lew, a tenu un discours à Carnegie sur l’évolution des sanctions et les leçons pour le futur, que David Ignatius commenta ainsi : «Les sanctions économiques sont devenues l’arme de prédilection de la politique étrangère américaine ces dernières années, car elles sont meilleur marché et plus efficaces que la puissance militaire classique. Mais Jack Lew a averti du risque de sur-utilisation qui pourrait rendre cette arme inefficiente, et même se retourner contre les États-Unis. Son avertissement contre une sur-utilisation arrive exactement au moment où des membres républicains du Congrès se battent pour que les États-Unis laissent en place les sanctions américaines contre l’Iran, malgré l’accord signé l’an passé, censé diminuer la menace iranienne.»

    Alors que se passe-t-il ? Si Lew avertit des risques d’usure de l’arme des sanctions, pourquoi est-ce justement son ministère qui essaye avec autant d’ardeur de ne pas lever les sanctions, alors même qu’il rappelle que celles-ci ne fonctionneront plus si les pays ne récoltent pas ce qu’il leur est promis, la levée des sanctions, s’ils adhérent à ce que les États-Unis leur demandent.

    Une des raisons de cette apparente contradiction est probablement la Chine. Rappelez-vous que lorsque les marchés financiers chinois étaient en pleine chute et que les monnaies étrangères sortaient à grand flot, la Chine a accusé la banque centrale étasunienne (la Fed) et fut rapidement remise à sa place pour avoir lancé une accusation si inappropriée.

    En réalité, ce que la Fed faisait était seulement d’annoncer son intention de monter les taux d’intérêt (dans une bonne intention, naturellement !) comme certains, par exemple Goldman Sachs, le lui recommandaient. Les profits des sociétés et des banques étasuniennes se mirent à plonger, et en temps de perte financière, ramener le capital à la maison est une priorité, comme l’affirme le vieil adage. C’est exactement ce que fait un dollar fort.

    Mais la Banque populaire de Chine (BPC) ne fit pas que se plaindre à propos des actions de la Fed, elle réagit. Cela permit au yuan de baisser, ce qui provoqua quelques tourbillons dans un monde financier global (déjà inquiet du ralentissement économique de la Chine), puis elle remonta la valeur du yuan pour empêcher toute spéculation en pariant sur d’autres baisses du yuan, puis abaissa encore cette valeur alors que les commentaires de la Fed commençaient à pencher en faveur d’une remontée des taux et d’un dollar fort, jusqu’à ce que, finalement, comme l’a remarqué Zero Hedge :

    Depuis que Janet a fait sa déclaration, la BPC a renforcé le yuan comme jamais depuis 2005!
    «
    Il semble que le message de la BPC à la Fed fut bien reçu et clairement compris. Après avoir essayé d’affaiblir le yuan (en créant des tourbillons de préférence), Janet Yellen (la patronne de la Fed) a livré le cadeau tant attendu (c’est-à-dire montré que les conditions mondiales permettaient d’appliquer les conseils de Goldman Sachs de renforcer le dollar) et la Chine a permis au yuan de remonter. Dans un double saut périlleux, le plus grand renforcement du yuan depuis 2005 a permis de le ramener à son niveau élevé de 2014, montrant ainsi la détermination de la Chine à lutter contre la vicieuse spéculation à court terme.»

    (suite en dessous:)

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  9. En résumé, l’arme de prédilection de la politique étrangère (les guerres financières étasuniennes contre tout compétiteur mettant en question sa position hégémonique) fait face à une guerre hybride croissante, tout comme l’OTAN se plaint d’être obligée de s’adapter à une guerre hybride conventionnelle de la part de la Russie.

    Alors que les États-Unis essayent d’accroître leur mainmise, en déclarant par exemple avoir juridiction légale sur la BPC et en interdisant à la plus grande société de télécommunication chinoise de faire commerce avec eux, et vice versa, la Chine cherche à se défendre. Et elle vient de montrer que l’arme de prédilection du ministère de la finance étasunienne peut tout simplement s’enrayer.

    Exploser le court terme alors que le yuan retourne sa chute pour tendre vers son point le plus élevé depuis août 2014.

    Je pense que c’est cela que veut dire Lew en s’adressant, si possible, au Congrès qui est devenu passionné pour sa toute nouvelle bombe à neutrons (comme l’avait décrit un ancien fonctionnaire des finances en parlant de guerre géo-financière).

    En ce qui concerne la Russie, voici ce qui est important : la Russie et les États-Unis semblent se rapprocher d’un grand marchandage au sujet de la Syrie (et peut être aussi de l’Ukraine), qui vraisemblablement impliquera la levée des sanctions européennes contre la Russie, mi-2016. Mais là encore, les États-Unis risquent pourtant de conserver les leurs (peut être même en rajouter comme certains députés étasuniens le voudraient).

    Donc, si la Russie, comme l’Iran et la Chine, n’est pas satisfaite des promesses de relaxe de sanctions, alors, comme le fait remarquer Keyhan, une réaction appropriée s’ensuivra.

    L’effet boomerang

    Ce que la Fed et Lew semblent avoir compris, c’est que les économies des États-Unis et de l’Europe sont maintenant si vulnérables et volatiles, que la Chine et la Russie peuvent, comme ce fut le cas, rétorquer contre les États-Unis, surtout si ces deux pays se coordonnent stratégiquement. Yellen a signalé une croissance mondiale ralentie et moins de confiance comme raisons à la marche arrière de la Fed.

    Ironiquement, dans son dernier article, David Ignatius laisse échapper que Lew n’y va pas avec le dos de la cuillère en disant que les États-Unis doivent utiliser leurs armes de façon plus prudente, loin de là. Il voulait dire autre chose et Ignatius l’a montré par inadvertance :

    «La puissance étasunienne découle de sa puissance militaire incontestée, c’est exact. Mais, à un niveau plus profond, c’est le résultat de la position dominante de l’économie étasunienne. Tout ce qui étend la portée des marchés étasuniens, comme le TTP [Trans Pacific Partnership, Partenariat Trans Pacifique, NdT] par exemple, ajoute à l’arsenal de puissance étasunienne. Inversement, cette puissance est limitée par les régulations qui poussent le commerce loin des États-Unis ou permet aux autre nations de construire une architecture financière rivale qui ne sera pas encombrée d’une pléthore de sanctions.»

    (suite en dessous:)

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  10. Ce dernier point est exactement celui qui effraie Lew et Ignatius. La roue tourne. En réalité, les États-Unis et l’Europe pourraient devenir plus vulnérables aux mesures de rétorsion (comme l’Europe face aux sanctions russes sur les produits alimentaires européens) que ne le sont la Chine et la Russie face aux attaques hybrides de la Fed ou du ministère des Finances américain.

    Telle est la guerre hybride (et non pas cette baudruche lancée par l’OTAN). Lew et Ignatius savent qu’une architecture parallèle est en construction et que l’addiction du Congrès pour de nouvelles sanctions ne fait que l’accélérer.

    Alors, pourquoi le ministère des Finances étasunien fait il tant de zèle pour sabrer la levée des sanctions contre l’Iran ? Et bien, tout simplement parce que l’Iran a moins de puissance financière que n’en ont la Chine ou la Russie. Mais aussi, peut être, parce que les sanctions iraniennes sont vues (de façon erronée) par les dirigeants américains comme le joyau de la couronne des succès dans la guerre hybride géo-financière.

    Ce qui peut cependant manquer à cette interprétation mégalomaniaque, est la compréhension du fait que l’expérience iranienne ne sera pas perdue pour tout le monde, et surtout pas pour l’Organisation de coopération de Shanghai, dont le thème de la prochaine réunion est : comment combattre les opérations de révolutions colorées occidentales. (L’Iran va probablement rejoindre cette organisation en tant que membre, plutôt qu’observateur, cet été).

    Alastair Crooke.
    Traduit par Wayan, relu par Diane pour le Saker Francophone.

    http://lesakerfrancophone.fr/les-sanctions-economiques-une-des-armes-de-la-guerre-hybride

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  11. Vous aussi, vous pouvez redorer le blason de Bruxelles

    8 avril 2016

    Alors que les attentats ont eu un impact négatif sur plusieurs secteurs de la ville et sur différents quartiers bruxellois, l’agence Make Brussels a lancé une campagne de financement de projets créatifs afin de redorer le blason de Bruxelles, rapporte Le Vif/Weekend.

    Make.Brussels est un appel à projets citoyen destiné à enchanter le centre de Bruxelles. Au terme de la campagne, Make Brussels offre la possibilité aux 10 idées les plus plébiscitées de remporter, chacune jusqu’à 30.000 euros.

    Objectifs

    Cette campagne est destinée à encourager les architectes, designers, entrepreneurs, organisateurs d’événements, web-développeurs, cuisiniers, peintres, musiciens et autres créateurs à penser et soumettre leurs idées pour dix quartiers du centre-ville : Dansaert, Rue Neuve, Sainte-Catherine, Saint-Jacques, Midi/Lemonnier, Mont des Arts, Notre-Dame-aux-Neiges, Grand-Place, Marolles et Sablon.

    L’objectif de cette action est à la fois de valoriser l’image du centre-ville et de renforcer l’attractivité et la dynamique commerciale des dix principaux quartiers commerçants du Pentagone.

    Cette campagne se décline en 4 phases sur toute l’année : une phase de Crowdsourcing jusqu’au début mai, une phase de Crowdvoting jusqu’au 20 mai, un marathon créatif durant le dernier weekend de mai et enfin la réalisation des idées de projets de juin à décembre.

    http://www. site où la publicité interdit l'accès à l'infomation

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    1. C'est vrai qu'aux dernières actualités, Bruxelles n'était plus qu'un gros tas de merde se déplaçant comme une vague immigrée d'Etats lointains

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  12. "C'est le pur Chaos maintenant ; Il n'y a No Way Back"- Venezuela les morgues sont débordées

    Soumis par Tyler Durden le 10/04/2016 22:37 -0400

    Quand nous avons prévisualisé l'hyperinflation à venir au Venezuela, qui en janvier a été prédite à 720 % et à partir de ce moment est probablement beaucoup plus élevé...

    ... nous dit "c'est ce que la mort d'une Nation ressemble comme« et dit » il n'y a aucune bonne nouvelle dans tout ce qui précède pour les citoyens qui souffre depuis longtemps de ce « paradis socialiste » qui n'importe quelle minute maintenant va être déclassé à sa juste valeur" enfer socialiste."

    Nouvelles ultérieures que Venezuela a liquider maintenant ouvertement sa médaille d'or se réserve alors que son Président, dans une tournure amusante, a annoncé la semaine dernière, que désormais chaque vendredi sera un jour férié, (le terme il y a un sens légèrement différent) de couper le courant l'utilisation (tout en blâmant El Nino pour le rationnement de l'électricité) ne faisait que confirme que la fin if nigh pour cette nation autrefois florissante d'Amérique latine.

    Malheureusement, alors que nous avons été mise en garde pour les années au sujet du Venezuela inévitables, la dévastation économique, nous avons dit que ce ne était qu'une question de temps avant que le chaos se propage à l'ensemble de la société et conduit à l'effondrement total.

    Qui peut sont arrivés parce que même le FT l'admet maintenant, après avoir visité la principale morgue de Caracas, risques de Venezuela une descente dans le chaos.

    Mais revenons à la morgue de Caracas central, où correspondant FT Andres Schipani écrit que la puanteur oblige tout le monde pour couvrir leurs narines. "Maintenant les choses sont pires que jamais", dit Yuli Sánchez. «Ils tuent les gens et personne n'est puni alors que les familles doivent garder leur douleur pour elles-mêmes."

    Neveu de 14 ans de Mme Sánchez, Oliver, a tiré cinq fois malandros, ou voyous, alors qu'il circulait sur l'arrière de la moto d'un ami. Son oncle, Luis Mejía, a fait remarquer qu'en une quinzaine de jours trois membres de leur famille ont été abattus, dont deux jeunes qui ont été abattus par la police.

    Sonne un peu comme Chicago un vendredi... seulement dans les choses du Venezuela sont encore pires: « une crise économique, sociale et politique Président impopulaire de Nicolás Maduro, Venezuela, est aggravée par une augmentation de la violence qui incite les craintes que ce riche en pétrole risque de pays devenir un État en déliquescence."

    Même les employés de la morgue sont demandent s'ils doivent renoncer.

    « Que pouvons-nous faire? » M. Mejía demande. « Give up ». L'employé de la morgue en charge de la manipulation des cadavres fait remarquer qu'il y a une décennie, qu'il reçoit sept ou huit organes chaque week-end. Ces jours-ci, dit-il, que le nombre s'élève à entre 40 et 50: «maintenant, c'est plus sauvage que le Far west."

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  13. Les critiques disent que le gouvernement vénézuélien ne peut plus en plus de fournir aux citoyens avec eau, électricité, la santé ou une économie viable qui peut fournir la base d'aliments de base ou de médicaments indispensables, sans parler de la sécurité personnelle.

    En d'autres termes, total effondrement socio-économique. C'est quoi ça ressemble :

    Le mois dernier seulement, vénézuéliens tirés de l'exécution sommaire d'au moins 17 mineurs d'or soi-disant par une exploitation minière Mafia, le meurtre des deux policiers aurait été par un groupe d'étudiants qui conduisait un autobus dans une barricade et un drame en otage à l'intérieur d'une prison aux mains d'un gang criminel de grenade à la main. Mercredi, trois policiers ont été tués lorsqu'une bande armée cassé un membre d'un huis clos dans la capitale.

    Au moins 10 ont été tuées dans un bidonville de Caracas après qu'une confrontation entre gangsters locaux armés de fusils d'assaut, alors qu'un maire local a été abattu devant son domicile dans l'état de Trujillo le mois dernier. Il existe de nombreuses informations faisant état de lynchages.

    Tout cela crée un malaise général que M. Maduro est incapable de maintenir l'ordre... Il y a un manque de produits de base. Les analystes avertissent que les risques de crise économique tournant dans d'ordre humanitaire.

    Certains refusent d'admettre qu'un État érigé sur tant de richesses pétrole peut être un État en faillite :

    "État en déliquescence est un concept nébuleux souvent utilisé trop à la légère. Ce n'est pas le cas avec le Venezuela d'aujourd'hui, » dit Moisés Naím un homme distingué vénézuélien au Carnegie Endowment for International Peace. «La preuve de l'échec de l'État est très concrete dans le pays qui se trouve sur le dessus de plus grandes réserves de pétrole du monde. »

    Hélas, un État défaillant est précisément ce qui est devenu Venezuela : Venezuela est déjà l'un des pays les plus meurtriers. L'Observatoire vénézuélien de la Violence, un groupe d'experts locaux, explique le taux d'homicides a augmenté l'an dernier à 92 homicides pour 100 000 habitants. Le procureur général cite un chiffre inférieur de 58 homicides pour 100 000 habitants. C'était de 19 pour 100 000 habitants en 1998, avant le prédécesseur de Maduro Hugo Chavez a pris le pouvoir.

    C'est encore pire, car en plus d'un taux d'homicides flambée, le gouvernement lui-même est impliqué.

    "Vénézuéliens sont confrontés à un des taux de meurtre plus élevés dans l'hémisphère et urgent besoin d'une protection efficace contre les crimes violents, a déclaré Directeur Amériques de José Miguel Vivanco HRW. « Mais dans plusieurs raids dans tout le pays, les forces de sécurité ont qui auraient été commis des abus graves ».

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  14. Leurs résultats montrent que la police et les raids militaires à faible revenu et les communautés immigrées au Venezuela ont conduit à nombreuses allégations de mauvais traitements, y compris les exécutions extrajudiciaires, les arrestations arbitraires de masse, mauvais traitements infligés aux détenus, contraint les expulsions, la destruction de maisons et expulsions arbitraires.

    Et comme tous les autres gouvernements ayant échouées, l'administration de Maduro est prompt à détourner le blâme, accusant au contraire la violence au sein de ses frontières sur les paramilitaires colombiens rightwing « engagés dans une guerre contre la révolution. » Mais comme David Smilde et Hugo Pérez Hernáiz de le Washington Office on Latin America, un groupe de réflexion, a écrit récemment: « attribuant la violence au Venezuela au paramilitarisme un mouvement rhétorique commun utilisé par le gouvernement l'an dernier, efficacement réalise une sécurité citoyenne problème à un problème de sécurité nationale. "

    Pour de nombreux vénézuéliens, qu'il n'a plus d'importance, qui est à blâmer. « C'est une politique de l'état de laisser l'anarchie couler, » dit un ancien policier devant les portes d'un composé à Caracas.

    Le FT ajoute que l'ancien poste de police abrite aujourd'hui le front 5 de Marzo, l'un des groupes politiques qui se considèrent comme les gardiens de la flamme sacrée du socialisme. Les portes portent les couleurs du drapeau vénézuélien et sont marqués par des trous de balle. L'homme croit il y a quelque chose de semblable à une guerre civile en cours.

    «Venezuela pur chaos est maintenant. Il me semble il n'y a aucun moyen de retour, "dit l'ancien policier. Il a raison.

    * * *

    Et étant donné que les mots ne peuvent pas totalement faire une justice d'État en déliquescence, voici un clip vidéo de Jeff Berwick montrant la réalité sur le terrain dans le pays où la « flamme sacrée du socialisme » est sur le point de sortir pour de bon.

    http://www.zerohedge.com/news/2016-04-10/its-pure-chaos-now-there-no-way-back-venezuela-hits-rock-bottom-its-morgues-overflow

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    1. Bien sûr la vidéo qui est jointe montre bien les ordures de Directeurs de supermarchés qui n'ont pas remplis les rayons non pas faute de commandes ou de livraisons mais seulement faute aux distributeurs de tenter d'affamer la population. Or, bizarrement, la population vénézuélienne sait se défendre et mange bien à sa faim ! Hahahaha !

      Ainsi, comme pour la grande Libye où tous les habitants étaient multi-millionnaires car l'argent du pétrole était redistribué (comme au Vénézuéla) aux citoyens du pays (c'est pour cela qu'il n'y a jamais eu d'immigration venue de Libye mais des pays dictateurs qui l'entouraient ainsi que l'interdiction de délivrance de visas dans les agences de voyages pour la Libye car, si vous aviez le bonheur d'en connaître le pays... vous y seriez resté !)

      http://huemaurice5.blogspot.fr/2013/07/jirai-pisser-sur-vos-tombes.html

      (vidéo censurée mais propos intégralement retranscrits).

      C'est pourquoi il faut se méfier des merdias comme de ce que leur nom de baptême le montre, et plutôt aller au Venezuela pour se rendre compte de vous-mêmes ! (ou choisir un pays limitrophe pour passe frontière).

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  15. 28 Pages vierges : camouflage de Washington du rôle saoudien dans l'attentat du 9/11 continue

    Soumis par Tyler Durden le 10/04/2016 22:20 -0400

    À la lumière d'aujourd'hui segment de 60 Minutes, selon laquelle classé "28 pages" peuvent faire la lumière sur des traverses en Arabie saoudite au terrorisme, voici un un article qui a été publié dans l'édition de décembre 2015 de l'Avenir de la liberté. Plus à suivre demain.

    28 Pages vierges : camouflage de Washington du rôle saoudien dans l'attentat du 9/11 continue

    Américains ont-ils le droit d'apprendre si un gouvernement étranger aidé des Finances des attaques le 9/11 ? Un nombre croissant de députés et sénateurs exigent qu'une portion de 28 pages d'un rapport du Congrès 2002 enfin déclassifiées. L'administration Obama semble être résistante, et les enjeux sont énormes. Ce qui est contenu dans ces pages pourrait changer radicalement de point de vue des américains sur la guerre contre le terrorisme.

    Le congressional mixte enquête en Intelligence communautaire activités avant et après les attentats du 11 septembre 2001, terminé son enquête en décembre 2002. Mais l'administration Bush obstructionisme la publication du rapport 838 pages jusqu'à la mi-2003, après son invasion de l'Irak était un fait accompli — et totalement supprimé la majeure partie. Président des anciens États-Unis sénateur Bob Graham (Floride-D) de l'enquête, a déclaré que « il y a des preuves convaincantes dans les 28 pages qu'un ou plusieurs gouvernements étrangers participait à aider certains des pirates de l'air dans leur préparation pour 9/11. » Plus tard, Graham a indiqué que les Saoudiens étaient la partie coupable. Mais révélant liens saoudiens au 9/11 pourrait ont sapé les efforts de certains responsables de l'administration Bush pour attacher le dirigeant irakien Saddam Hussein aux attaques de 9/11.

    Presque tout le monde a oublié à quel point l'administration Bush se sont battus pour torpiller ce rapport. En avril 2003, controverse fait rage sur la colline du Capitole au cours des efforts continus de l'administration Bush à supprimer la quasi-totalité du rapport de l'enquête du Comité mixte du renseignement. Certains agents du renseignement a insisté encore sur « reclasser » secret certaines informations qui avaient déjà été examinées par des audiences publiques, telles que le mémo de Phoenix du FBI. Le 13 mai, le sénateur Graham a accusé l'administration Bush de s'engager dans un « cover-up » et a dit que le rapport de l'enquête du Congrès "n'a pas été publiée parce que franchement, c'est gênant... gênant quant à ce qui s'est passé avant le 11 septembre, mais peut-être plus encore le fait que les leçons du 11 septembre ne sont pas appliquées aujourd'hui pour réduire la vulnérabilité du peuple américain." Le sénateur Trent Lott (Mississippi-R) se sont plaints que l'intelligence agences a voulu censurer totalement le rapport: « la première chose qui revenait était absolument une insulte, et il serait risible si ce n'était pas si insultant, car ils la moitié de ce que nous avions été expurgés. Beaucoup de cela a été pour rédiger un mot qui n'a rien révélé. »

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  16. Lorsque le rapport a finalement été libéré, le sénateur Richard Shelby (R -ALA) a ajouté un supplément d'avis dans lequel il a fustigé les « Du FBI lamentable histoire récente de la désorganisation et l'incompétence institutionnelle dans son travail de sécurité nationale. » Le rapport du Congrès a été beaucoup plus émoussé que la Commission 9/11 ultérieure. L'enquête du Congrès a conclu que le FBI « bilan mitigé attention a contribué aux États-Unis, en effet, devenir un sanctuaire pour les terroristes radicaux. » Mais l'administration Bush peut ont réussi à l'obstruction des révélations plus dommageables.

    Supprimant les 28 pages a été intensément controversée à l'époque. Le sénateur Shelby, vice-président de l'enquête conjointe, a exhorté la déclassification de la quasi-totalité des 28 pages parce que « les américains réclament à grands cris en savoir plus sur qui finance, facilite et encourage des activités terroristes dans le monde. » Quarante-six sénateurs, dirigés par le sénateur Chuck Schumer (D-N. Y.) et y compris presque tous les membres démocratiques, ont signé une lettre au Président George Bush de W. demandant la libération des 28 pages.

    Bush, lors d'une conférence de presse 30 juillet 2003, justifié supprimant les 28 pages :

    Nous avons une enquête en cours sur ce qui peut ou n'ont ne peut-être pas eu lieu avant le 11 septembre. Et, par conséquent, il est important pour nous d'organiser cette information proches afin que ceux qui sont à l'étude ne sont pas alertés... Si l'on devait révéler le contenu du document, 29 pages [sic] d'un rapport de près de 900 pages-, il révélerait sources et méthodes. J'entends par là, qu'il aurait montrer aux gens comment nous recueillons des renseignements et sur lesquels nous allons recueillir de l'information, qui, à mon sens et dans le jugement des responsables de la police judiciaire dans mon administration, serait néfaste sur la guerre contre le terrorisme.

    Et puis il balançait d'une carotte: "maintenant, à un certain moment dans le temps, comme nous faire avancer l'enquête, et comme une menace pour notre sécurité nationale diminue, nous pouvons peut-être mettre le document. Mais à mon avis, n'est pas le moment de le faire. »

    Protéger l'incompétence

    La revendication du secret est habituellement un manteau pour cause d'incompétence. Comme l'ancien sénateur Graham a dit plus tôt cette année, "une grande partie de ce qui se passe pour le classement pour des raisons de sécurité nationale est vraiment classée car elle divulguerait incompétence. « Et puisque les gens qui sont classer sont également souvent le sujet des matériaux, ils ont un intérêt institutionnel en évitant l'exposition de leur incompétence ».

    Rép. Walter Jones (R-N. C.) relancé le push de déclassifier les pages en 2013. Jones est un conservateur Vaillant surtout connu pour avoir inventé l'expression « frites de la liberté » en 2003, quand la France s'est opposée invasion de l'Irak. Il est depuis devenu un des opposants plus virulents du Téméraire, intervention américaine à l'étranger. Il a expliqué qu'il a présenté une résolution parce que "les américains méritent la vérité. Libérer ces pages de renforcer notre sécurité nationale et pas lui nuire. »

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  17. Jones a en outre expliqué que "les informations contenues dans les pages expurgées sont essentielles à notre politique étrangère, aller de l'avant et devraient donc être disponibles pour le public américain. Si les pirates de l'air de 9/11 avaient l'aide extérieure, notamment par un ou plusieurs des gouvernements étrangers — la presse et le public ont le droit de savoir ce que notre gouvernement a ou n'a pas fait pour rendre justice à tous les auteurs. »

    En mai dernier, fraîches Sen Rand Paul (R-Ky.) un flibustier vivifiant contre le renouvellement de la USA PATRIOT Act, a rejoint la lutte de 28 pages. Il introduit la transparence pour les familles des victimes de 9/11 et la Loi sur les survivants, coparrainé par sens. Ron Wyden (D -Ore) et Kirsten Gillibrand (D-N. Y.). les pages supprimées sont une autre cale entre Paul et les autres candidats républicains à la présidence: gouverneur du New Jersey Chris Christie rejette déclassification, exhortant plutôt retenue au jugement du Président sur la question. Une personne participant à un événement récent du New Hampshire a demandé à Christie, « Nous n'avons le droit de savoir? » Christie a répondu: "c'est pour le Président des États-Unis de décider... [La] question est : dans son jugement et le jugement du peuple dans l'appareil de sécurité nationale, croient-ils il ya quelque chose là-dedans qui est classée qui causerait un préjudice ou un danger aux intérêts américains? " Mais cravenness n'est jamais une bonne recette pour la sécurité.

    Membres du Congrès peuvent lire les pages encore classifiés dans une salle spéciale sécurisée sur Capitol Hill s'ils obtiennent l'autorisation préalable de la maison ou le Senate Intelligence Committee. Rép. Thomas Massie (R-Ky.), l'un des rares membres de lire le rapport, a été choqué: « J'ai dû arrêter toutes les deux pages et quelques sorte d'absorber et d'essayer de réorganiser ma compréhension de l'histoire pour les 13 dernières années et les années menant à celui. Il vous met au défi tout repenser. » Massie est l'un des 18 coauteurs de la résolution de Jones dans la maison.

    Trop d'ennui

    Il est encourageant de constater que l'effort mené par m. Jones a recueilli un soutien au Capitole. Mais il est surprenant que la campagne de 28 pages de divulgation n'a pas encore stimulé beaucoup plus de membres du Congrès pour lire le document. Malheureusement, les membres du Congrès étaient aussi grossièrement négligentes quand il est venu pour les éléments de preuve pour justifier l'invasion de l'Irak. En octobre 2002, avant le vote sur la résolution du Congrès pour permettre à Bush de faire ce qu'il a plu sur l'Irak, la CIA a remis une évaluation classifiée de 92 pages d'armes de destruction massive de l'Irak à Capitol Hill. Le rapport classifié de la CIA a déclenché beaucoup plus de doutes sur l'existence d'armes de destruction massive irakiennes qu'a fait le résumé de cinq pages qui a reçu tous les membres du Congrès. Le rapport a été stocké dans deux salles sécurisées — chacun pour la chambre et du Sénat. Seuls six sénateurs pris la peine de visiter la chambre d'examiner le rapport et qu'une « poignée » de membres de la chambre fait de même, selon la Washington Post. Le sénateur John Rockefeller (D -va) a expliqué que les membres du Congrès étaient trop occupé à lire le rapport: « Tout le monde veut venir vous voir » dans votre bureau, et aller à la salle sécurisée n'est « pas facile à faire. » Des centaines de milliers d'américains ont été envoyés à 6 000 milles loin à étouffent pendant des mois en brûlant des déserts parce que les membres du Congrès pourraient ne pas être dérangé à traverser la rue. La plupart de membres du Congrès a eu amplement le temps de faire des discours de sabre-cliquetis à la guerre, mais pas le temps de passer au crible la prétendue preuve pour une invasion.

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  18. Pourquoi l'administration Obama continue à réprimer un rapport réalisé il y a plus d'une dizaine d'années ? Il n'est pas comme si crédibilité de la maison blanche serait endommagée par les révélations d'Arabie capitalisation la pire attaque sur le sol américain depuis Pearl Harbor (15 des 19 pirates de l'air étaient saoudiens).

    Et ce n'est pas comme si les Saoudiens sont devenus grinçant-propre Boy Scouts après 9/11. Des sources saoudiennes sont largement rapportés pour être financer des terroristes d'État islamique dans tout le Moyen-Orient ; Général Martin Dempsey, le Président de l'état-major interarmées, a déclaré à un Comité du Sénat en septembre dernier, « Je sais les principaux alliés arabes qui financent [ISIS]. »

    Barack Obama vient de commander plus de troupes américaines en Irak cherche à repousser les assauts d'ISIS. Si les Saoudiens contribuent à semer le chaos fraîches au Moyen-Orient, c'est une autre raison de divulguer leur rôle dans un attentat qui a contribué au lancement de conflits qui ont déjà coûté des milliers de vies américaines et plus de $ 1,6 billions, selon le Congressional Research Service.

    « Ne pas me confondre avec les faits » devrait être la devise de la guerre contre le terrorisme. L'autonomie est une illusion, si les politiciens peuvent envelopper les détails les plus importants de conduite politique fédérale. Si les américains ont appris quoi que ce soit, depuis 9/11, il devrait être de la folie de s'en remettre aux http://fff.org/explore-freedom/article/cover-damning-911-report-continues/Washington secret.

    http://www.zerohedge.com/news/2016-04-10/28-blank-pages-washington%E2%80%99s-cover-saudi-role-911-terrorist-attack-continues

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    1. Maintenant, ce serait aux saoudiens d'en découdre avec le '11 Septembre' qui donc aurait tenu les joysticks des avions hologrammes et non d'autres excisés d'un pays terroriste qui étaient filmés dansant sur une camionnette après l'impact et l'effondrement des tours assurées xxxx fois pour leur reconstructions gratuite !

      15 ans après le 11 Septembre 2001, AUCUN président du monde des enculés n'a ouvert le bec sur la réalité de la supercherie du 11 Septembre !!! Hahahahahahahaha !

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  19. ISIS est une création d'américano-israélienne. Top dix « Indications »

    09.04.2016

    MAKIA Freeman est l'éditeur des nouvelles alternatives / médias indépendants du site les statuts de la liberté et maître-assistant dans outils pour Freedom.com (FaceBook ici), écrire sur de nombreux aspects de la vérité et de liberté, d'exposer les aspects de la conspiration mondiale à suggérer des solutions pour comment l'humanité peut créer un nouveau système de paix et d'abondance.

    ISIS est une création d'américano-israélienne, un fait aussi clair que le ciel est bleu. C'est une vérité aussi noir et blanche comme les couleurs de leur drapeau. Pour de nombreux lecteurs de nouvelles alternatives, cela peut être tout à fait évident, mais cet article est écrit pour la grande majorité des personnes dans le monde qui n'ont toujours aucune idée qui est vraiment derrière la montée d'ISIS. N'importe quel nom ils vont par – ISIS, ISIL, IS ou Daesh – le groupe a été délibérément conçu par les États-Unis et Israël pour atteindre certains objectifs géopolitiques. Ils sont une organisation terroriste sunnite, fondamentaliste et religieuse, créée pour terroriser et renverser certains laïques ou nations chiites arabes comme la Syrie et l'Irak, mais ils ne sont pas seulement « islamiques ». Ils peuvent être musulmans et ils peuvent prôner un État islamique, mais ils sont très bien travailler dans les réalisation des objectifs du sionisme.

    Il est étonnant combien de gens se battre encore obtenir ce point. Nous avons été inondés de propagande entourant la frauduleuse guerre contre le terrorisme, notamment des termes tels que le terrorisme islamiste et l'islamisme radical, mais des phrases plus précises serait le terrorisme islamique-Zio et Zio-l'Islam radical. Des services secrets militaires telles que la CIA et le Mossad tirent les ficelles. Voici une liste de le thatISIS top 10 « indications » est une création d'américano-israélienne.

    ISIS est une création d'américano-israélienne : Indication #1: prescience ISIS via une fuite DIA Doc

    La DIA (Defense Intelligence Agency) est 1 de 16 agences de renseignement militaire américain. Selon un document divulgué obtenu par Judicial Watch, la DIA a écrit le 12 août 2012 qui :

    "il y a la possibilité de créer une Principauté salafiste déclarée ou non en Syrie orientale (wafa et Der Zor), et c'est exactement ce que les justificatifs pouvoirs à la faute de l'opposition, afin d'isoler le régime syrien..."

    Ceci a été écrit avant ISIS arriva la scène mondiale. Clairement, ISIS n'a aucun soulèvement au hasard, mais plutôt un groupe d'opposition contrôlée soigneusement entretenues et orchestrée.

    « Pouvoirs soutien à l'opposition » visés sont l'Arabie saoudite, la Turquie et les nations GCC comme le Qatar, qui sont à leur tour soutenues par l'axe de l'US-UK-israélien dans leur lutte pour renverser le président syrien Bashar Al-Assad. Que j'ai décrites dans cet article syrien terre guerre About to Begin ? WW3 pouces plus, les États-Unis soutient les nations sunnites tandis que la Russie, la Chine et l'Iran appuient les nations Shia, donc il n'y a l'un potentiel certain pour ce faire dégénérer en guerre mondiale 3. Voici les captures d'écran du document DIA réel :

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  20. ISIS est une création d'américano-israélienne : Indication #2: ISIS n'attaque jamais Israël

    C'est plus de très étrange et suspecte qu'ISIS jamais n'attaque Israël – c'est une autre indication que ISIS est contrôlée par Israël. Si ISIS était un soulèvement véritable et indépendant qui n'était pas secrètement orchestré par les Etats-Unis et Israël, pourquoi ils essaieraient pas d'attaquer le régime sioniste, qui a attaqué près de l'ensemble de ses voisins musulmans depuis sa création en 1948 ? Israël a attaqué l'Égypte, la Syrie et le Liban et bien sûr a décimé la Palestine. Il a systématiquement tenté de diviser et conquérir ses voisins arabes. Il se plaint constamment du terrorisme islamique. Pourtant, quand ISIS vient sur la scène comme le Roi barbare et sanglant du terrorisme islamique, il trouve sans faute avec Israël et ne voit aucune raison de cibler un régime qui a commis une injustice massive contre les musulmans ? Cela s'étend de crédibilité à un point d'accrochage.

    ISIS et Israël n'attaquent pas mutuellement, ils s'entraident. Israël soignait les soldats ISIS et autres rebelles anti-Assad dans ses hôpitaux ! Ennemis mortels ou le meilleur des amis ?

    ISIS est une création d'américano-israélienne : Indication #3: camions Toyota

    D'où vient une flotte de camions Toyota correspondantes ISIS ? Pourquoi tant de ses prises de vue disposent d'une flotte de correspondance Toyota – correspondant dans le modèle et la couleur ? Comme cet article d'Information Clearing House déclare avec humour :

    "L'histoire officielle est ISIS a volé de la "bonne terroristes" (Al Nusra), qui ont initialement reçu leurs roues cool par le gouvernement américain. Qui semblerait à mendier quelques renseignements. Pas moins de qui est-pourquoi les Etats-Unis donnent les terroristes correspondant à des flottes de vus de luxe ? Et d'ailleurs, les flottes combien parle-t-on?

    Alors, exactement combien de camions ont fait l'approvisionnement aux États-Unis ? Où ISIS sont actuellement au garage de cette collection impressionnante ? Et pourquoi ils sont tous doivent-ils être Toyota ? C'est une chose de terroristes, ou tout simplement une préférence US Govt ? Toyota dérange la marque-association ? Ou le fait que pour beaucoup de l'ISIS drive-by photo-ops regarder comme pervertis annonces voiture ?"

    Certains de ces camions étaient des véhicules d'occasion en fait qui a obtenu envoyés provenant des États-Unis et le Canada à la Syrie. Ce plombier Texan a découvert avec horreur que son vieux camion était utilisée lors de la guerre, remplie de son nom d'entreprise toujours à la porte !

    ISIS est une création d'américano-israélienne : Indication #4: First Class sociabilité ISIS Media

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  21. Le numéro de la Toyota nous amène à la question suivante à ISIS. Qui s'occupe de leur publicité ? Comment est-ce qu'ils ont réussi à obtenir tant de photos de Toyota camion voiture garages ? Comment est-ce qu'ils ont réussi à maîtriser les médias sociaux occidentaux si bien pour diffuser leur message, de propagande et de menaces ? Comment est-ce qu'ils ont réussi à produire slick vidéos montrant des décapitations (fausses)? Comment un groupe barbare des tueurs, qui parlent une langue très différente à l'anglais, qui épousent les idéaux fondamentalistes religieux (par exemple la Loi de la charia) et souvent critiquer toutes choses Western, parvient à développer ces compétences excellent médias sociaux ?

    ISIS est une création d'américano-israélienne : Indication #5: Groupe israélien SITE premier à libération ISIS Footage

    Un autre cadeau clé que ISIS est qu'une création d'américano-israélienne est que le groupe israélien SITE (recherche d'entités terroristes internationales) est souvent les premiers à trouver et libérer publiquement la vidéo (comme leur fondateur Rita Katz a laissé passer à l'occasion). SITE a été impliqué dans le tas de faux écran vert ISIS décapitations de 2014. Parlant de faux beheadhings, pourquoi cette fiction turque drame télévisé une décapitation comme celle d'ISIS ?

    ISIS est une création d'américano-israélienne : Indication #6: ISIS Leader Baghdadi, un Agent du Mossad

    Bien que cette indication soit difficilement vérifiables, ont été signalés provenant apparemment de Edward Snowden que le leader d'ISIS (Abu Bakr al-Baghdadi) était en fait un agent du Mossad israélien du nom de Simon Elliot ou Elliot Shimon: [GR ndlr : cette source et citation sont encore vérifiés, y compris la source originaire de Eduard Snowden]

    « Simon Elliot (Elliot Shimon) aka Al-Baghdadi est né de deux parents juifs et est un agent du Mossad. Nous vous proposons ci-dessous trois traductions qui veulent faire valoir que le Calife Al-Baghdadi est un agent du Mossad complet et qu'il est né de mère et père juif :

    Le vrai nom de Abu Bakr al-Baghdadi est « Simon Elliott. » Le soi-disant « Elliot » a été recruté par le Mossad israélien et a été formé à l'espionnage et la guerre psychologique contre les arabes et les sociétés islamiques. Cette information a été attribuée à Edward Snowden..."

    Bachar Assad, le Président de la Syrie. Aux États-Unis a été tracé activement des stratégies pour déstabiliser et renverser son gouvernement.

    ISIS est une création d'américano-israélienne : Indication #7: fuite câbles montrant nous tracer syrien renverser

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  22. Julian Assange de Wikileaks a fait un excellent travail dans la capture d'informations sur ce qui se passait au cours des années la Syrie avant que les « arabes » et les guerre actuelle a commencé en 2011. Il révèle comment William Roebuck, puis chargé d'affaires à l'ambassade américaine à Damas, a été complot visant à déstabiliser le gouvernement syrien. Les citations suivantes de câbles de Roebuck à Washington montrent comment il était décrivant les vulnérabilités d'Assad :

    « – Vulnérabilité :

    — L'ALLIANCE avec Téhéran : Bachar est à pied d'une ligne fine dans ses relations de plus en plus fortes avec l'Iran, cherchant le soutien nécessaire tout en aliénant pas complètement la Syrie, voisins de sunnite modérés s en étant perçu comme aide au persan et fondamentalistes chiites participations. Décision de Bashar ne pas assister à la Talabani) Sommet de Ahmadinejad à Téhéran après FM Moallem, voyage s en Irak peut être considérée comme une manifestation de la sensibilité de Bachar à l'optique arabes sur son alliance iranienne.

    — Action possible :

    — JOUER sur des peurs SUNNITES de l'INFLUENCE iranienne : on craint en Syrie que les iraniens sont actifs dans le prosélytisme chiite et conversion de, pour la plupart pauvres, sunnites. Bien que souvent exagérés, ces craintes reflètent un élément de la communauté sunnite en Syrie qui est plus en plus bouleversée par et axée sur la propagation de l'influence iranienne dans leur pays au moyen d'activités allant de la construction de la mosquée aux entreprises. Tant les missions égyptiennes et saoudiennes locales ici, (ainsi que le syrien sunnite religieuse des dirigeants éminents), donnent une attention accrue à la question et nous devrions coordonner plus étroitement leurs gouvernements sur les moyens de mieux faire connaître et accent régional sur la question. »

    ISIS est une création d'américano-israélienne : Indication #8: Russie bombes ISIS, nous protège ISIS

    Avant la Russie militairement la Syrie, les États-Unis allèguent c'était « d'attaquer » ISIS, mais la Russie a été capable de faire dans quelques mois ce que les Etats-Unis ne sont pas pu faire depuis des années. Pourquoi ? L'armée américaine incompétente, ou c'est une preuve supplémentaire que les États-Unis a été financement et soutiennent ISIS tout ce temps ? À un moment donné, il y avait même les rapports que les soldats américains ont été dit de ne pas tirer sur des cibles de ISIS, même s'ils avaient une vision claire d'eux, comme les rapports de cette balise libre article :

    « Les pilotes militaires américains, qui reviennent de la lutte contre l'Etat islamique en Irak confirment qu'ils ont été bloqués de tomber 75 % de leurs munitions sur les objectifs de la terreur, parce qu'ils ne pouvaient pas obtenir autorisation de lancer une attaque, selon un membre éminent du Congrès. »

    Pourquoi le porte-parole du département d'Etat américain Mark Toner a fait luttent pour célébrer le fait qu'ISIS avait perdu Palmyre récemment ?

    (suite en dessous:)

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  23. ISIS est une création d'américano-israélienne : Indication #9: ISIS toujours servi de prétexte à une Intervention supplémentaire

    Enfin, considérez ceci : Pourquoi est-ISIS toujours l'excuse parfaite pour davantage de l'intervention militaire en Syrie ? Compte tenu de l'histoire de l'ingérence étrangère en Syrie, en particulier par les Etats-Unis et Israël au cours des 70 dernières années, n'est-il pas plutôt commode que le spectre de ISIS est la justification offerte pour projet zones de non-survol, des frappes aériennes et des troupes au sol? Comment les États-Unis et Israël seraient conquérir le Moyen-Orient sans leur animal de compagnie ISIS de Frankenstein ?

    Partager cet article avec ceux qui n'ont pas encore éveillé à la vérité sur l'ISIS. Beaucoup ont déjà vu par le biais de la propagande. Une fois assez de nous faire, l'utilité de ce groupe terroriste ridicule, dangereuse et humoriste expirera – et peut-être une masse critique de gens va tirer le rideau en arrière et, pour une fois, avoir un aperçu de la vraie puppetmasters.

    Concluant la Note

    ISIS est une création d'américano-israélienne : Indication #10 : ISIS est un acronyme pour le Mossad. [Le Service des services secrets israéliens. Coïncidence intéressante]

    ISIS elle-même est un acronyme, non seulement pour l'Etat islamique en Irak et en Syrie, mais pour les services de renseignement israéliens Secret ! Il s'agit d'une autre façon de décrire le Mossad, l'Agence d'espionnage sioniste ombragé dont la devise est "par la tromperie, tu feras la guerre". Dans cette vidéo (ci-dessous), les 2 auteurs interviewés (Dan Raviv et Yossi Melman) admettent que l'acronyme ISIS = Mossad.

    Makia Freeman est l'éditeur de nouvelles alternatives / independent media : le site Les statuts de la liberté et chercheur principal au ToolsForFreedom.com ()FaceBook ici), écrire sur de nombreux aspects de la vérité et de liberté, d'exposer les aspects de la conspiration mondiale à suggérer des solutions pour comment l'humanité peut créer un nouveau système de paix et d'abondance.

    http://www.strategic-culture.org/news/2016/04/09/isis-is-us-israeli-creation-top-ten-indications.html

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    1. Pourquoi ce choix de 'TOYOTA' plutôt que de la célèbre coccinelle VOLKSWAGEN dessinée par le juif a. h. ?

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  24. Comme nous le savions TOUS depuis le '11 Septembre 2001' ou même avant pour certains,

    « Partenariat » transatlantique et transpacifique toutes les OPA du monde de l'entreprise —

    9 avril 2016
    Paul Craig Roberts

    Comme je l'ai souligné puisque ces « partenariats » ont été annoncées initialement, leur but est de donner des sociétés d'immunité contre les lois des pays dans lesquels ils font des affaires. Le mécanisme de principe de cette immunité est l'octroi d'un droit aux sociétés de poursuivre les gouvernements et les organismes des gouvernements qui ont des lois ou règlements qui empiètent sur les bénéfices des sociétés. Par exemple, interdiction de la France des aliments OGM est, sous les "partenariats", "les restrictions sur le commerce qui empiètent sur les bénéfices des sociétés.

    Les « partenariats » mis en place des « tribunaux » par des sociétés qui ne sont pas les systèmes judiciaires des gouvernements souverains. C'est dans ces tribunaux entreprise que les poursuites ont lieu. En d'autres termes, les sociétés sont juge, jury et procureur. Ils ne peuvent pas perdre. Les « partenariats » mis en place des gouvernements irresponsables secrètes qui sont plus élevées et auront le pouvoir sur les gouvernements élus.

    Vous pouvez vous demander combien d'argent les représentants des pays qui « accéléré » de ce système ont été versés par les sociétés et combien les pots de vin sera d'obtenir des accords approuvé par le législateur. Comme vous êtes témoin américain, Britannique, allemand et autres fonctionnaires agitent dans le nom de règle de l'entreprise, vous saurez qu'ils ont été bien payés.

    Peter Liley, ministre du commerce et l'industrie dans le gouvernement conservateur de Thatcher et actuellement membre conservateur du Parlement britannique a pris la peine de regarder le partenariat transatlantique et sont mise en garde contre elle. Comme un homme politique, il ne peut pas parler avec autant de force qu'il peut-être aimer, mais il vous donne l'image. Voici le rapport de Eric Zuesse : http://www.strategic-culture.org/news/2016/04/09/british-conservative-breaks-ranks-opposes-ttip.html

    Aucun représentant du gouvernement qui a le moindre bit d'intégrité et de patriotisme n'aurait approuvé ces accords, et aucun organe législatif qui n'est pas corrompu competely ne serait la main sa puissance et sa fonction plus aux sociétés globales.

    http://www.paulcraigroberts.org/2016/04/09/trans-atlantic-trans-pacific-partnerships-complete-corporate-world-takeover-paul-craig-roberts/

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