- ENTREE de SECOURS -



vendredi 25 mars 2016

Traits mal

14 commentaires:

  1. Bruxelles : la Turquie "revendique" le bain de sang

    Savvas Kalèdéridès
    Voltaire net
    jeu., 24 mar. 2016 06:30 UTC

    -- Commentaire : Un petit rappel, en passant, pour savoir qui fricote avec qui, depuis quelques années... :
    - Hollande et Erdogan ont commandité la tentative d'assassinat d'el-Assad et al-Mouallem
    - Erdogan, le Sultan de la CIA
    Et plus récemment :
    - Turquie : quand Erdogan compare son propre système politique à celui d'Hitler
    - Quand Erdogan prédisait les attentats à Bruxelles quatre jours à l'avance --

    Traduction : Christian

    Depuis six mois, la Turquie menace la France, la Belgique et l'Allemagne et les somme de l'aider à éliminer le mouvement de libération nationale kurde. Idéologiquement le régime de Recep Tayyip Erdogan considère en effet que les Turcs sont une « race supérieure » et que les Kurdes doivent obéir ou être éliminés. La France, qui avait pris l'engagement d'aider la Turquie à résoudre la question kurde « sans porter atteinte à l'intégrité de son territoire » (c'est-à-dire en déplaçant les Kurdes turcs en Syrie), mais n'était plus en mesure de tenir sa promesse, fut la première touchée. La Belgique qui donne asile aux Kurdes, a été la seconde cible.

    Tout terroriste choisissant sa cible, veille à passer un message pour justifier son action. La plupart du temps c'est ce message qui intéresse les terroristes et non pas l'ampleur de la catastrophe que va provoquer leur acte terroriste. De la sorte, ils parviennent à contourner l'exclusion dont ils font l'objet de la part des médias conventionnels, et se trouvent soudain au centre du débat, sous le feu des projecteurs.

    Dans le cas des attentats terroristes de Bruxelles, il pourrait y avoir plusieurs messages, dont un lié à l'existence même de l'UE [1]. Cependant, le message central, qui n'a cessé d'être répété par le gouvernement turc, par des groupes étatiques et para-étatiques et par la presse turque, concernait le soutien de la Belgique et de l'UE à la cause kurde. Le président Erdogan en personne, pendant que se tenait le sommet de l'UE avec la Turquie, prononçait une attaque violente contre l'Union européenne accusée d'héberger et de soutenir des organisations du mouvement de libération nationale kurde.
    Le quotidien Star, organe officieux du régime de Recep Tayyip Erdogan, ouvrait sa "une" du 22 mars 2016 (c'est-à-dire le matin même des attentats de Bruxelles) sous le titre « La Belgique État terroriste ». Elle était illustrée de photographies de Kurdes brandissant le drapeau du Rojava, la région autonome du Nord de la Syrie qui sert désormais de base arrière au PKK et constitue une menace majeure pour la Turquie.

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  2. Le même journal publie les menaces du président Erdogan envers la Belgique.

    L'édition spéciale de Star du 23 mars est intitulée : « Le serpent que nourrissait la Belgique en son sein l'a mordue », faisant référence au discours prononcé par le président Erdogan, le 18 mars dernier [2].

    De plus, le journal islamiste Akita, un des organes du Parti de la Justice et du Développement, du 23 mars reprend le même argument en "une". Elle est illustrée par des photographies de l'ancien député Zoubair Indar, l'un des dirigeants du mouvement de libération nationale kurde, et de Fehriye Erdal, accusée du meurtre d'Ozdemir Sabanci, tous deux réfugiés politiques en Belgique. Un second titre précise : « La Belgique supporte les terroristes ».

    Dans son éditorial d'aujourd'hui intitulé « Celui qui dort avec le terrorisme, se réveille avec lui », Khanty Ozisik, le principal chroniqueur du journal électronique pro-Erdogan Internethaber.com, écrit mot pour mot :
    « Le gouvernement qui dirige ce pays [la Belgique], en dépit des protestations et des objections de la Turquie, autorise et permet au PKK de faire sa propagande. Il n'a pas dit mot lorsque le PKK montait ses tentes et organisait des rassemblements avec ses militants. D'autre part, le gouvernement belge, en soutenant les Forces de défense populaire (YPG) [3], qui sont considérées comme le plus grand ennemi de l'État Islamique en Irak et en Syrie, a agi comme s'il disait aux djihadistes "Venez me mettre des bombes" ».

    Il y a d'autres documents et éléments attestant de la responsabilité turque, tout comme il y en a pour les attentats contre la France. Ces derniers ont eu lieu pour faire comprendre à François Hollande qui avait accueilli à Paris, à l'Élysée, les dirigeants du YPG en uniformes militaires, qu'il ne pouvait plus reculer quant à son engagement de créer un faux État kurde [4].

    Ne prêtez pas attention à qui étaient les exécutants de ces attentats, ni au groupe dont ils se revendiquent. La Turquie constitue un allié stratégique de Daesh et est en mesure de passer « contrat » directement avec son équipe dirigeante.

    J'espère que le Premier ministre grec et les membres de son gouvernement liront et analyseront tout cela, alors que par leurs actions ils ont livré notre pays en otage de la Turquie. S'ils ne se réveillent pas, nous serons confrontés à des événements inimaginables.

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  3. Notes :

    [1] La Millî Görüs, la milice islamiste dont est issue le président Erdogan, est historiquement opposée à l'UE qu'elle considère comme une « club chrétien ». Ndlr.

    [2] "Baskan Erdogan AB'yi tehdit", yazan Recep Tayyip Erdogan, Réseau Voltaire Sitesi, 18 Mart 2016.

    [3] Les Forces de défense populaire (YPG) ont été constituées sur instruction personnelle d'Abdullah Öcalan pour défendre les populations kurdes du Nord de la Syrie. Durant la guerre d'agression contre la Syrie, elles se sont battues en collaboration avec l'Armée arabe syrienne. Cependant, le 31 octobre 2014, le chef du YPG, Salih Muslim, trahissant Öcalan, participait à une réunion secrète à l'Élysée avec François Hollande et Recep Tayyip Erdogan. Il était convenu de créer un État fantoche en territoire syrien, de nommer Muslim président, puis d'y expulser les membres du PKK turc, en application du plan Juppé-Davutoglu de 2011. Durant un peu plus d'un an, la plus grande confusion s'étalait dans les rangs kurdes de Syrie jusqu'à ce que la Russie et les États-Unis prennent les choses en main. Depuis le 15 mars, le YPG a retrouvé son unité. Il reçoit des armes de Moscou et de Washington et les transmets au PKK. Ndlr.

    [4] « La République française prise en otage », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 16 novembre 2015.

    http://fr.sott.net/article/27941-Bruxelles-la-Turquie-revendique-le-bain-de-sang

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    1. "Bruxelles : la Turquie "revendique" le bain de sang "


      NON MOSSIEUR ! LA TURQUIE N'EST NI UN JOURNAL NI SE LIMITE AUX REVENDICATIONS PRESIDENTIELLES ! Alors, veillez à ne pas ensevelir tout le peuple turc dans 'des chiottes à la turque', mais seulement à faire le distingo entre un assassin au pouvoir avec sa bande nazi et, le peuple turc qui n'en a peut-être rien-à-foutre.

      Car, c'est justement avec des mots pareils que des étrangers victimes d'une poignée d'assassins viennent se venger en tuant des innocents plutôt que les coupables !

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  4. Si votre pays a éclaté, ne retenez pas toutes vos économies là

    Soumis par Tyler Durden le 25/03/2016 13:30 -0400
    Soumis par Simon Black via SovereignMan.com,


    Le vendredi 15 mars, 2013, juste plus de trois ans-il y a de personnes à travers tout le pays de Chypre se mit au lit, croyant que tout était OK.

    Le lendemain matin, ils ont réveillé à une réalité différente.

    Il s'est avéré que leur système bancaire était totalement fauché. Après avoir subi des pertes énormes, les banques n'avaient plus suffisamment de liquidités ou de capital pour maintenir les soldes des comptes clients.

    Les gens ont réalisé immédiatement que, juste parce que vous pouvez vous connecter à un site Web et voir un solde de compte imprimé sur l'écran qui ne signifie en fait que l'argent est là.

    Pour empirer pour les déposants, le gouvernement était insolvable et incapable de lever le petit doigt pour soutenir les banques.

    De plus, le dépôt de garantie de la Banque centrale de Chypre ne valait le papier sur qu'il a été imprimé pas.

    Donc, en ordre pour sauver le système bancaire, les politiciens chypriotes ont eu recours à l'impensable – gel chaque banque compte dans le pays. Tout cela est arrivé du jour au lendemain.

    C'est précisément le genre de chose qui se produit quand un système bancaire mal structuré rencontre un gouvernement insolvable.

    Et nous devrions nous attendre plus de lui. Parce que trois ans plus tard, une grande partie de l'Ouest ressemble à Chypre a fait à l'époque.

    Systèmes bancaires occidentaux sont extrêmement peu liquides, et de nombreuses banques sont capitalisés très finement avec des réserves minimales.

    Fonds d'assurance de dépôt sont terriblement sous-capitalisées et n'ont pas la capacité financière pour garantir le système.

    Et les gouvernements qui se tiennent derrière tout cela sont eux-mêmes totalement insolvable.

    Gardez à l'esprit, toutes ces affirmations est étayées par les données publiquement disponibles.

    Il n'est pas quelque théorie du complot sauvage de suggérer que les gouvernements des États-Unis et le Japon, la plupart de l'Europe occidentale sont totalement en faillite.

    Voici les faits. Et chaque gouvernement publie ses propres États financiers attestant de son insolvabilité.

    Il n'est pas fou de dire que la FDIC est sous-capitalisée et ne parvient pas à maintenir que le montant des réserves qui sont requis par la Loi, et encore moins « les minimaux [capital] nécessaire pour résister aux crises futures de l'ampleur des crises passées. »

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  5. Ces informations sont publiées dans le rapport annuel de la FDIC propre.

    Et vous n'avez pas à être un radical d'examiner les États financiers de votre banque et de trouver, par exemple, que US Bank maintient les réserves de liquidités s'élevant à seulement 3,5 % de ses dépôts de la clientèle.

    Ou qui Unicredit Bank italienne détient comptant des réserves de seulement 1,7 % de ses dépôts de la clientèle.

    Ces chiffres ne sont pas à même distance prudentes. Et ils sont tous disponibles dans les rapports les plus récents des banques.

    En regardant le tableau d'ensemble, quand on sait que votre gouvernement est cassé, votre fonds d'assurance-dépôts est sous-capitalisée, et votre banque est dangereusement illiquide, il semble évident que vous ne devez pas détenir 100 % de votre épargne dans ce système bancaire.

    Il existe une multitude de solutions pour réduire ce risque.

    Une option que nous avons évoquées ouvre un compte dans une banque étrangère liquide, bien capitalisée, situé dans une juridiction avec aucune dette.

    En Asie, les banques tendent à avoir des niveaux extrêmement élevés de liquidités et réserves généreux, conservateur pour protéger leurs dépôts de la clientèle.

    Une option encore plus facile est de tenir la trésorerie physique ; acheter un coffre-fort et commencer à faire des retraits de votre compte bancaire.

    Même si vous êtes complètement sceptique sur tout ce que vous venez de lire, vous ne serez pas moins bien lotis pour avoir l'argent comptant au lieu de dépôts bancaires.

    Il y a très peu de conséquence à prendre des mesures. Mais les conséquences de ne pas agir peuvent être substantielles.

    Apprenez de Chypre. Ne le prenez pas pour acquis que vous allez au lit ce soir et tout le système financier sera bien demain matin.

    Lorsque les données et les risques sont présent évidents, tout peut changer très rapidement.

    http://www.zerohedge.com/news/2016-03-25/if-your-countrys-broke-dont-hold-all-your-savings-there

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    1. Retirez votre argent-papier à la banque ou distributeurs afin de mettre votre compte 'presque-à-sec'. Échangez vos billets contre des (par exemple) francs CFA (car l'Afrique n'est pas prête de se mettre à l'argent électrique !). Confectionnez vous des matelas super-protégés et planqués dans un mur cimenté/peint ou tapissé. Pourquoi 'des' ? Parce que en cas d'attaque terroriste de personnes en uniforme et mitraillette, il est peut-être prudent de 'révéler' où vous avez planqué votre argent. Donc, vous vous séparez d'une des cachettes (la plus petite !).

      Après, dans les années futures, votre argent est toujours là ! Toujours la même valeur. Donc, soit vous pouvez vous en servir pour acheter un bateau et foutre le camp avec, soit vous pouvez échanger vos billets contre une autre monnaie de même valeur. L'important est que vous ne perdiez PAS UN CENTIME !

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  6. Série de tests de dépopulation ? 75 % des enfants ayant reçu des vaccins dans la ville mexicaine maintenant morts ou hospitalisés

    25 mars 2016

    Malgré les tentatives insidieuses des entreprises médias contrôlés par l'US de censurer les histoires sur les effets secondaires mortels des vaccins, la vérité conserve surfaçage. La dernière tragédie de vaccin de grève a tué deux bébés dans La Pimienta, Mexique et envoyé 37 plus à l'hôpital avec graves réactions aux additifs toxiques vaccin.

    “… "14 enfants sont dans un état grave, 22 sont stables et on est dans un état critique, le Secrétariat de la santé du Chiapas a déclaré dans un communiqué par l'intermédiaire de Latino.FoxNews.com.

    Ce qui est particulièrement inquiétant, c'est que seulement 52 enfants ont été vaccinés dans l'ensemble, ce qui signifie que 75 % de ceux qui reçoivent les vaccins sont maintenant soit morts soit hospitalisé.

    Les vaccins ont été administrés par l'Institut mexicain de la sécurité sociale, appelée IMSS. L'IMSS a confirmé les réactions mortelles s'est produite après des injections d'enfants ont reçu des vaccins contre la tuberculose, le rotavirus et l'hépatite B — les mêmes souches virales ciblées par les vaccins administrés systématiquement aux enfants aux États-Unis.

    IMSS suspend la vaccination en attendant une enquête plus approfondie

    Selon Fox News Latino, l'IMSS a suspendu les vaccins en attendant les résultats d'une enquête sur pourquoi tant d'enfants ont été tués et hospitalisé.

    Selon les médias grand public entiers aux États-Unis — qui est 100 % contrôlé par des intérêts — vaccins jamais nuire à personne et sont parfaitement sûrs injecter dans les enfants en quantités illimitées. Ce « vaccin blessures négationnisme » dangereux, inhumain est très répandu à travers les médias contrôlés par l'entreprise, qui contribue à la mort d'innocents bébés et enfants en refusant de reconnaître la vérité les vaccins tuent et blessent des enfants sur une base régulière.

    Tout récemment, en fait, le gouvernement britannique a accepté de payer $ 90 millions pour les victimes du vaccin contre grippe porcine. Ce vaccin causé des dommages permanents au cerveau à plus de 800 enfants dans toute l'Europe. La vérité est que les vaccins régulièrement nuisent et même tuent des enfants innocents, probables à cause des adjuvants chimiques toxiques et les préservatifs qu'elles contiennent encore.

    Comme la CDC reconnaît ouvertement, les vaccins sont toujours intentionnellement formulée avec mercure, aluminium, MSG et le formaldéhyde. Certains vaccins même utilisent des ingrédients provenant de tissus fœtaux humains avortés. An dernier, un CDC scientifique a dénoncé sur la CDC commettre la fraude scientifique pour dissimuler les liens entre les vaccins et l'autisme chez les jeunes hommes afro-américains.

    Série de tests pour le dépeuplement via les vaccins ?

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  7. Comme mondialistes maintenant réaliser pleinement, les vaccins sont de loin la meilleure façon d'abattre la population humaine parce que la plupart des gens peuvent être trompés en alignant et en demandant pour eux. Il n'y a donc pas besoin de recourir à toutes les difficultés, utilisées par les Nazis pour perpétrer un génocide dans la seconde guerre mondiale, impliquant la logistique complexe des wagons ferroviaires, les chambres à gaz, construction de fosses, prisonnier de suivi grâce à la technologie informatique IBM, et ainsi de suite. (Oui, le génocide Nazi et prisonnier de suivi a été alimenté par des premiers ordinateurs IBM. Voir IBM et l'Holocauste, l'alliance stratégique entre l'Allemagne nazie et de l'Amérique plus puissante société...)

    Comme le vaccin industrie vient de réaliser, c'est tellement plus facile de tuer des gens quand ils se conforme volontairement les injections. D'où la poussée de propagande agressifs pour atteindre absolue obéissance aveugle aux vaccins afin que personne ne vous demandera les questions lorsqu'on utilise des produits chimiques stérilisation ou l'euthanasie. C'est sans doute pourquoi les vaccins ont été systématiquement testés pour des programmes de dépopulation via deux principales méthodes :

    # 1) Achieve secrètes stérilisations des populations ciblées en combinant des produits chimiques de stérilisation avec les vaccins. (Le "tuer lent.")

    # 2) directement tuer vaccinées par laçage intentionnellement les vaccins avec des produits chimiques de l'euthanasie qui causent la mort. (Le "tuer rapide.")

    Méthode #1 a été utilisé à plusieurs reprises tout au long de l'Afrique, le Mexique et l'Amérique du Sud pour infliger de stérilisation sur des groupes cibles par l'intermédiaire de programmes de vaccination et la vaccination. L'année dernière, en fait, je l'ai signalé sur la découverte d'un programme de vaccination de dépeuplement secrètes en cours d'exécution au Kenya:

    Vaccins tétanos, donnés à des millions de jeunes femmes au Kenya ont été confirmés par les laboratoires pour contenir un produit chimique de stérilisation qui provoque des fausses couches, rapporte l'Association de médecins catholiques de Kenya, une organisation Pro-vaccine.

    A énorme 2,3 millions femmes et jeunes filles sont en train d'étant donné le vaccin, poussé par l'UNICEF et l'Organisation mondiale de la santé.

    "Nous avons envoyé six échantillons d'autour du Kenya à des laboratoires en Afrique du Sud. Ils ont testé positif pour l'antigène de HCG, » Dr Muhame Ngare du Centre médical Mercy à Nairobi a dit LifeSiteNews. « Ils étaient tous lacés avec HCG. »

    Méthode #2 semble être en cours au Mexique que 75 % de ces enfants injectés avec les vaccins sont maintenant soit morts soit hospitalisé.

    Dépeuplement induite par le vaccin a été tenté au Mexique en 1974

    Comme Vérité Stream Media exhaustivement documenté, un exercice de dépeuplement a été exécuté au Mexique en 1974, à l'aide de vaccins comme l'histoire de couverture.

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  8. Le régime a été imaginé après la sortie de la National Security Study Memorandum 200 qui a mis en évidence le problème de la population mondiale et exhorté les gouvernements à trouver des moyens de réduire la population mondiale.

    Comme l'explique TruthStreamMedia.com :

    Concentration sur ce « problème » de la façon de réduire la population était prévue pour 13 pays clés, dont l'Inde, Bangladesh, Pakistan, Nigeria, Mexique, Indonésie, Brésil, Philippines, Thaïlande, Égypte, Turquie, Ethiopie et Colombie. Parmi les jeunes, le document du doigt Mexique comme étant parmi les plus élevés (et donc, plus inquiétant) taux de croissance de tous. Lire le document, "Peut-être la tendance démographique plus importante du point de vue des Etats-Unis est la perspective que la population du Mexique va augmenter de 50 millions en 1970 à plus 130 millions en l'an 2000."

    Pour lutter contre ce problème, « medical spooks » — qui étaient des équipages de vaccin de dépeuplement presque certainement financée par les Etats-Unis, a commencé par injection femmes partout au Mexique avec des médicaments de anti-fertilité déguisés en vaccins. Si vous doutez ceci, lire votre histoire. National Institutes of Health du gouvernement des États-Unis a été pris en flagrant délit en cours d'exécution humaines expériences médicales sur les prisonniers au Guatemala. Le président Obama a même dû présenter ses excuses publiquement en 2011 après que le cover-up s'est effondrée ! Il n'y a rien que les Nazis ont fait dans les années 1930 et 40 ans que l'industrie pharmaceutique ne serait pas prêt à le répéter aujourd'hui sous l'appellation de « science ».

    Mais pour en revenir au Mexique, comme le programme de vaccination de dépeuplement covert répartis dans la ville de Mexico en 1974, gens du pays a commencé à prendre à la supercherie, et résistance du public a augmenté. Comme ces journal coupures de révéler, parents a commencé à cacher leurs enfants chez eux pour les éviter étant injecté avec des produits chimiques de stérilisation dans les écoles publiques. (En Californie, en passant, aussi s'adresse aux enfants dans les écoles afin d'éviter les parents ayant la possibilité de dire « Non! »)

    Mexico City – Associated Press – rumeurs que personnes déguisées en équipes d'inoculation donnaient des coups d'écoliers qui stérilisés eux contraint les autorités sanitaires de suspendre toutes les campagnes de vaccination aujourd'hui et au poste de police à l'extérieur des écoles de la ville de Mexico. Des milliers de parents ont fait irruption à différentes écoles de la région de Mexico mardi et ont pris leurs enfants à la maison.

    Il est également important de noter que ces vaccins stérilisation étaient gérés essentiellement une arme à feu, que les policiers accompagnaient les équipages de vaccin :

    Appelants dit journaux et chaînes de télévision que les équipages de stérilisation étaient protégés par une escorte policière et qu'ils inclus la robe blanche des hommes et des femmes « qui ressemblait à des étrangers. »

    Ce scénario s'apprête à être répliqués en Californie, en passant, où SB 277 criminaliserait les parents des enfants qui ne sont pas vaccinés, essentiellement au bout du fusil.

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  9. Ce qui est encore plus intéressant, c'est que les mêmes arguments exacts que nous entendons aujourd'hui sur les sceptiques vaccin — ils sont étiquetés mesures punitives « anti-vaxxers » ou "anti-science" — étaient également utilisés au Mexique en 1974. Comme le journal suivant écrêtage des spectacles :

    L'Association mexicaine des médecins a publié des déclarations niant que n'importe quel genre d'inoculation pourrait provoquer la stérilité... Fonctionnaires, a déclaré la superstition et l'ignorance de la santé préventive [c.-à-d. "anti-science"] étaient responsables de la croyance largement répandue que les rumeurs étaient vraies.

    En d'autres termes, même si les équipes de stérilisation tournaient autour de Mexico, injectant des gens avec des produits chimiques dans le cadre d'un agenda de dépopulation, toute personne qui fait remarquer a été immédiatement étiqueté "anti-science" et tourné en dérision comme « ignorants ».

    Très peu a changé en quatre décennies, il semble : la même tactique est encore utilisée aujourd'hui, alors même que les enfants sont tués ou blessés chaque jour en raison des ingrédients toxiques utilisés dans les vaccins.

    Agents de renseignement de la CDC pris en cours d'exécution des campagnes de désinformation

    La « science l'intimidation » derrière les vaccins permet également aux gouvernements du monde pour exécuter des programmes de stérilisation et de dépeuplement déguisé en santé publique. Une fois que la population est victime d'intimidation à accepter des vaccins sans aucun doute — une obéissance aveugle est maintenant exigée presque partout — gouvernements peuvent ajouter des produits chimiques qu'ils veulent à ces vaccins, y compris les produits chimiques qui causent la stérilisation permanente ou même la mort.

    Le fait que tous les vaccins blessures sont systématiquement refusées aux existent aussi signifie que toute personne lésée ou tués par les vaccins est immédiatement effacé de la mémoire nationale. Comme une mafia criminelle, les œuvres de l'industrie de vaccin difficile à cacher les corps et ainsi maintenir son monopole raquette sur la prémisse totalement fausse que les vaccins sont sûres à 100 %. À domicile autre lecteur cette propagande médicale extraordinaire, la CDC utilise des agents de renseignement comme infirmière Hickox qui ont semé la désinformation à travers les grands médias, qui est toujours heureuse de se conformer à l'ordre du jour destructrice de l'industrie des vaccins.

    Comme naturelle nouvelles découvertes au cours de la peur du virus Ebola de 2014:

    Infirmière Kaci Hickox, qui a fait les manchettes au cours des derniers jours en refusant de se mettre en quarantaine après son retour de la ligne de front d'Ebola en Afrique, s'avère avoir été formé comme un « agent de renseignement », en vertu d'un programme de deux ans CDC modelé d'après l'armée américaine.

    Comme vous pouvez le voir sur le document ci-dessous, Hickox est diplômé d'un programme de formation de deux ans CDC intelligence agent en 2012. C'est la même infirmière dont la page LinkedIn a été récemment nettoyée pour cacher ses liens avec la CDC...

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  10. La désignation de renseignement officiel accordée à Hickox infirmière par la CDC était "Service agent du renseignement de l'épidémie", et elle est diplômée du programme EIS 2012 selon ce document de la CDC (PDF). (Voir page 138 – 139 pour son nom et photo ou voir photo ci-dessous).

    Cette même année, le CDC a obtenu 81 ces « agents de renseignement » dont les noms et les photos sont également répertoriés dans le document public.

    Ligne de fond ? Ne pas faire confiance à l'industrie des vaccins

    Ce qui est la réalisation à emporter de tout cela ? Les vaccins ont été et continueront d'être utilisé comme une couverture pour forcé des programmes de dépopulation impliquant la stérilisation ou produits chimiques de l'euthanasie.

    Obéissance aux vaccins permet aux équipes de dépeuplement accompagnés par des policiers armés d'intimider les gens à accepter n'importe quel liquide, qu'ils veulent mettre dans une seringue. Ce liquide peut être un vaccin, ou il pourrait être un produit chimique de stérilisation ou encore un produit chimique de l'euthanasie.

    Toute la population qui est endoctrinée de faire confiance à l'industrie des vaccins — une industrie imprégnée de répété des activités criminelles, combinée avec un total mépris pour la vie humaine — est venu pour être destinés à un dépeuplement. (Voir Nigeria questions mandats d'arrêt pour Pfizer haut fonctionnaires après que des expériences de drogue menée sur les enfants.)

    Après tout, pourquoi passer par la peine de construire des chambres à gaz et arrondi des gens pour l'extermination de masse quand vous pouvez obtenir le même résultat sans aucune résistance à tous si vous simplement étiquetez les produits chimiques "vaccins" ?

    http://www.thedailysheeple.com/depopulation-test-run-75-of-children-who-received-vaccines-in-mexican-town-now-dead-or-hospitalized_032016

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  11. Stages de ce que New Delhi peuvent enseigner à l'Amérique sur la fixation de son système de soins de santé brisée

    12 mars 2016

    Rupandeep Kaur, enceinte de 20 semaines, est arrivée à la clinique l’air fatiguée et au bord de l’évanouissement. Après qu’on lui ait demandé son nom et son adresse, elle a été présentée à un médecin qui a consulté son historique de santé, lui a posé quelques questions, et a demandé une série de tests, dont un test sanguin et un test d’urine. Ces tests ont révélé que son fœtus était en bonne santé, mais que Kaur avait un taux d’hémoglobine et une pression sanguine dangereusement faibles. Le médecin, Alka Choudhry, a demandé qu’elle soit conduite par ambulance à l’hôpital le plus proche.

    Tout cela, inclus les tests médicaux, s’est déroulé en un quart d’heure au centre de soins Peeragarhi à New Delhi en Inde. L’intégralité du processus était automatisée, depuis l’enregistrement du dossier à l’accueil, la récupération des dossiers médicaux, jusqu’aux tests et analyses, et l’appel de l’ambulance. L’hôpital a également reçu les dossiers médicaux de Kaur électroniquement. Il n’y a eu ni impressions papier, ni factures envoyées au patient ou à la compagnie d’assurance, ni délai d’aucune sorte. Oui, tout cela a été réalisé gratuitement.

    L’hôpital a soigné Kaur pour des déficiences en minéraux et protéines et l’a laissée sortir le même jour. Si elle n’avait pas reçu le traitement à temps, elle aurait pu faire une fausse-couche ou perdre la vie. Ceci s’est avéré plus efficace et plus moderne que dans aucune clinique que j’ai pu observer en occident. Et Kaur n’était pas la seule patiente, au moins une douzaine d’autres ont reçu des soins médicaux et des prescriptions dans l’heure que j’ai passée à Peeragrahi début mars.

    Le bâtiment, appelé le « mohalla » ou clinique (des gens), a été inauguré en juillet 2015 par le ministre en chef de Delhi, Arvind Kejriwal. Il s’agit de la première d’une série de 1000 cliniques qui doivent ouvrir en Inde pour les millions de personnes dans le besoin.

    Le ministre de la Santé de Delhi, Satyendar Jai, m’a confié qu’il pensait que cela allait non seulement diminuer la souffrance des patients, mais aussi les coûts globaux, car ils seraient soignés à temps et donc ne seraient pas une charge aux urgences des hôpitaux.

    Diagnostic instantané

    La technologie ayant rendu possible le diagnostic instantané à Peeragarhi est un matériel médical appelé la tablette Swasthya (http://www.swasthyaslate.org/ ). Cet instrument de 600$, de la taille d’un moule à cake, réalise 33 tests médicaux courants dont la pression sanguine, la glycémie, le rythme cardiaque, le taux d’hémoglobine, la protéinurie et la glycosurie. Sont également réalisés des tests de recherche de maladies comme la malaria, la dengue, l’hépatite, le HIV et la typhoïde. Chaque test prend seulement une ou deux minutes et la machine exporte ces données sur un système d’enregistrement de dossiers médicaux basé sur un cloud.

    La tablette Swasthya a été développée par Kanav Kahol, qui était ingénieur en biomédecine et chercheur au département d’informatique biomédicale à l’université d’Arizona avant d’être frustré par le manque d’intérêt du monde médical pour la réduction des coûts des diagnostics. Il s’inquiétait pour ces milliards de personnes n’ayant pas accès à des soins à cause de la motivation de l’industrie médicale à maintenir des prix élevés. En 2011, il est retourné à New Delhi pour y développer une solution.

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  12. Kahol avait noté que malgré les similarités des composants électroniques des matériels médicaux et des écrans, leur packaging les rendait inutilement complexes et difficiles à utiliser, excepté par des praticiens hautement qualifiés. Ils étaient également incroyablement coûteux, habituellement des dizaines de milliers de dollars chacun. Il pensait qu’il pouvait utiliser les mêmes capteurs et technologies pour les micro-fluides que les matériels médicaux onéreux utilisés, et les intégrer dans une plate-forme médicale ouverte. Et avec les ordinateurs tablettes standards, le cloud computing et les logiciels d’intelligence artificielle, il pourrait simplifier l’analyse de données, de telle sorte que des personnes avec une formation minimale puissent la comprendre.

    En janvier 2013, Kahol avait développé la tablette Swasthya et persuadé l’État de Jammu-et-Cachemire (https://fr.wikipedia…mu-et-Cachemire), dans le nord de l’Inde, d’autoriser son utilisation dans six districts sous-desservis, et auprès d’une population de 2,1 millions de personnes. La tablette y est actuellement utilisée dans 498 cliniques. Spécialisé en maternité et pédiatrie, le système a été utilisé pour fournir des soins pré-nataux à plus de 22.000 mères. Parmi elles, 277 mamans ont été diagnostiquées à haut risque et ont pu être soignées à temps. Ces mamans reçoivent maintenant des soins dans leurs villages plutôt que d’avoir à se déplacer jusqu’aux cliniques des villes.

    Une nouvelle version de la tablette, appelée HealthCube, a été testée le mois dernier par neuf équipes de médecins et experts en technologie, opérations et marketing à l’hôpital principal du Pérou, Clinica Internacional. Elles ont testé ses performances comparativement aux équipements occidentaux utilisés, sa pérennité en salle d’opération et en environnement clinique, la capacité de cliniciens a minima formés à l’utiliser en environnement rural, et son adoption par les patients. Le directeur général de la clinique, Alvaro Chavez Tori, m’a indiqué par email que les tests étaient très bons « l’acceptation de la technologie était étonnamment élevée ». Il voit cette technologie comme un moyen d’aider les millions de personnes qui manquent d’accès à des diagnostics de qualité au Pérou et en Amérique Latine.

    Des opportunités immenses

    Les opportunités dépassent cependant l’Amérique Latine. S’agissant du système de soins, les États-Unis ont beaucoup de problèmes identiques à ceux du monde en développement. Malgré le « Affordable Care Act« , 33 millions d’Américains ou 10,4 % de la population manquent toujours d’une assurance santé. Ces personnes sont majoritairement pauvres, Noires ou Hispaniques, et 4,5 millions d’entre elles sont des enfants ; elles reçoivent moins de soins préventifs et souffrent de maladies plus sérieuses, qui sont très coûteuses à traiter. Les services d’urgences des hôpitaux sont encombrés de patients non assurés en attente de soins médicaux de base. Et quand elles ont une assurance, les familles sont souvent ruinées par les frais médicaux.

    Le temps est peut-être venu pour l’Amérique de construire dans ses villes des cliniques mohalla.
    - voir clip sur site:

    http://wadhwa.com/2016/03/12/what-new-delhis-free-clinics-can-teach-america-about-fixing-its-broken-health-care-system/

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