- ENTREE de SECOURS -



lundi 28 mars 2016

Repos

25 commentaires:

  1. L'immigration : La coûteuse peur des étrangers

    par Henrik Müller

    La peur est la terreur, guerre et la violence, de transformer le débat de l'immigration dans la mauvaise direction. Alors que l'Allemagne peut renoncer aux immigrés.

    C'est une fragile statistiques seulement, mais parfois numéros de racontent des histoires. Environ 2 millions de personnes ayant un passeport étranger se sont déplacés vers l'Allemagne l'an dernier. Dans le même temps, 860 000 personnes ont quitté le pays à nouveau. Grâce à l'immigration, la République fédérale de la ligne de fond peut créer jusqu'à un gain de population de 1,14 million. Qui n'a jamais été là.

    Mardi, l'Office statistique fédéral va sortir plus de détails, où les gens viennent par exemple.

    Prévisions à long terme Voir la : la grande majorité des gens qui sont venus en Allemagne en 2015, sont des réfugiés. Ainsi, l'Institut de Kiel pour l'économie mondiale (IfW) prévoit un « équilibre de la migration de réfugiés spécifiques » de 820 000 personnes. Les chiffres qui tombent sur un sol fertile: à l'époque des attentats terroristes, comme celle de Bruxelles la semaine dernière, l'immigration est maintenant comme un problème de sécurité. Hommes politiques populistes profitent de l'ambiance et n'hésitent pas à souligner piquantes « Limite à » exigences à portée de main. Il serait tragique si ils pouvaient l'emporter.

    Comme avec tous les intérêts légitimes de sécurité : l'Allemagne reste tributaire de très long terme en matière d'immigration. Et la plupart de ces nouveaux arrivants peut provenir de l'Europe, mais de l'Asie et l'Afrique doit - proviennent de régions où la population croît encore dynamiquement. Certes, ce ne sera pas facile. Car la distance culturelle est beaucoup plus grande que les précédents groupes d'immigrants.

    L'immigration viendra principalement d'Asie et d'Afrique

    Au cours des années jusqu'à 2014, la République fédérale a énormément bénéficié que principalement des personnes d'autres pays sont venus ici. d'ici à 2015 l'équilibre de l'immigration interne allemande de l'UE était selon l'IfW encore 370 000 personnes. Une immigration en grande partie lisse directement sur le marché du travail. Mais il ne restera pas : parce que les marchés du travail dans les pays en crise comme l'Espagne mieux de courir, la pression de l'émigration il diminue.

    En outre, les données démographiques : en particulier l'Europe de l'est le vieillissement et le rétrécissement encore plus vite que la population allemande. Il y a de moins en moins des gens qui viennent à nous à tous il pure et simple. A plus long terme, l'immigration en provenance des autres pays sur seulement un tiers du niveau actuel est en chute libre, calcule une étude de la Fondation Bertelsmann et l'Institut fédéral pour la recherche d'emploi (IAB).

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  2. L'Allemagne a besoin d'immigration mais beaucoup plus que dans les années 1990 - et zéro er années. Si les travailleurs ne s'éteignent pas, environ un demi-million de personnes ont plus est éteint, rallumé, que d'émigrer vers l'année après année. Et ces migrants peuvent être principalement non européens. Seulement s'il est possible de tirer de tant de gens et d'intégrer uniquement la main-d'oeuvre reste constante pendant les décennies suivantes, l'IAB étudier de Bertelsmann. En ce moment, l'Allemagne ne rétractable nation.

    C'est vrai : d'ici à 2015, l'immigration a été plus de deux fois plus élevée que sur le long terme est nécessaire. Mais le développement est exagéré par la situation précaire en Syrie et dans les camps de réfugiés aux frontières. Beaucoup de réfugiés retournera à leur domicile si la situation sécuritaire le permet.

    L'alternative : forclusion, rétrécissement, la sclérose en plaques

    Jusqu'à présent, l'économie allemande se développe principalement parce que les étrangers de plus en plus en Allemagne veulent travailler. 2016, emploi devrait atteindre de nouveaux niveaux records. Bien que la population vieillit, la main-d'œuvre continue. Sans la vague d'immigration deuxième miracle économique allemand présumé serait depuis longtemps révolu - tout simplement parce que le nombre d'employés diminuerait.

    Qualification et intégration sont essentiels. Et il n'y a encore beaucoup à faire : bien qu'il y a autant de postes vacants comme rarement auparavant en Allemagne, affirme l'IAB au cours de cette année un augmentation du taux de chômage avant : les réfugiés qui sont sont rassemblés dans les files d'attente bureaucratiques, dans la population active a augmenté. Jeudi il est nouveaux chiffres sur le développement de l'emploi.

    Pour que l'Allemagne peut rester à long terme aussi seulement à mi-chemin, les niveaux d'emploi actuels, quelque 350 000 personnes d'Asie et d'Afrique doivent être intégrés dans le marché du travail. Année après année. Au fil des décennies. Une tâche gigantesque qui met tout à l'ombre, qui jusqu'à présent a livré la République fédérale sur la politique d'immigration et d'intégration.

    Bien sûr, nous pourrions décider contre elle. Ainsi que du Japon : forclusion, rétrécissement, la sclérose en plaques. Les coûts économiques étaient toutefois sévère : moins de prospérité, tendues des finances publiques, moins la dynamique de l'innovation.

    Le gouvernement fédéral se démène pendant un certain temps, envoyant des signaux, pour dissuader les candidats à l'émigration d'une entrée en Allemagne. Une stratégie avec un potentiel suffisant sans retour. Si la vague de plomb de la terreur, que l'immigration est - en permanence entravée par les non-européens ou, pire encore, les gens peuvent venir dans le pays, mais leur intégration est encore plus difficile - pour ensuite menacer les énormes problèmes économiques et les conflits sociaux.

    De toute façon : le calme d'antan si vite ne reviendra pas. Et à peu de lumière nous devrions même pas envie nous.

    http://www.spiegel.de/wirtschaft/soziales/fluechtlinge-warum-uns-die-angst-vor-zuwanderung-teuer-kommt-a-1084285.html

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    1. Notons bien QU'AUCUN PAYS AU MONDE N'A BESOIN DE L'IMMIGRATION POUR VIVRE ! Ainsi, la Suisse ou le Luxembourg ferait - d'après des idiots - partie des pays pauvre tandis que l'Inde et la Chine des pays riche !

      Remarquez que pour se disculper, les 'Dirigeants' mettent en avant les cotisations retraite ! Les immigrés cotiseraient pour ceux qui ont cotisé toute leur vie !!! au lieu d'avouer qu'ils ont volé l'argent des caisses de retraites et le redistribue aux immigrés en pleines brassées ! 670 € par mois par immigré ! + 'enveloppe pour la dignité' ! (de combien de millions ?) + allocation logement, chomage et natalité + soins gratuits en hopitaux. "Ce n'est pas vous qui payez, c'est l'Etat !"

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  3. Dernièrement, le 'Spiegel' allemand germanique et teutonique d'outre-Rhin titrait (non pas sur la possibilité d'embauche) mais, sur la peur des étrangers. Or, si l'est un domaine inconnu et plus questionnable autant que méfiant et suspicieux qu'un 'domaine étranger' c'est bien ce qui se passe au loin et hors de portée de vue voire de connaissance. Ainsi, les extraterrestres suscitent-ils d'une part l"angoisse exitante de les connaître' comme le refus d'en approcher l'un des leurs même avec un baton de 50 mètres !

    De sorte que, des personnes nées sous 'la bonne étoile' lointainement éloignée de quelques milliards de milliards de milliards de siècles des lumières, seraient susceptibles d'acceptabilité d'un rencontre étrangoïde dès lors que sont nommés quelques pignoufs d'avant-poste pour en tater l'art de la première balle, voire d'en être les Plus hauts cons d'ambassadeurs d'en être les cobayes !

    D'où le parallaxe d'être ou ne pas être un étranger selon si l'on est chez soi ou chez le quelqu'un d'autre. Notons très vite que son 'chez soi' est emporté dans chaque être et, qu'être un 'chez soi' dans un pays étranger, remporte plus de faveurs vue de chez soi que depuis un 'chez les autres'.

    Donc, si vue de l'intérieur cela se passe très bien, la vue depuis quelqu'un d'autre peut avoir une incidence gênophile qui en décevront forcément celles et ceux qui n'ont pas la même gueule. Ainsi, au "Qui s'assemble se ressemble" arrive/émerge ou se projette l'image d'un puzzle où la partie male entre en partie femelle, avec ce 'plaisir d'offrir' du au 'Vaut mieux donner que recevoir' qui est trop bien discutable.

    Notez bien que la chose la plus détestée/effrayante/terrorisante chez 'les étrangers' n'est pas le fait qu'il viennent d'un pays proche ou lointain et d'une langue plus ou moins compréhensible mais SEULEMENT de... la religion ! La religion fait peur, et il y a de quoi. TOUTES les guerres - depuis que le monde est monde - ont été des guerres de religions. TOUTES ! C'est-à-dire et pour être plus clair une frayeur des excisés face aux gens qui ont tout par nature. Ainsi, existe t-il la culture du meurtre comme celui du vol et la culture de la droiture et de l'honnêteté.

    Les uns attaquent les autres avec ou sans motifs. Et, le plus épouvantable dans cela est qu'il y a des Dirigeants qui sont nos propres ennemis ! Des Dirigeants excisés (comme l'était a.h.) et qui jettent/commandent/ordonnent à tout un peuple d'aller 'tuer pour se défendre' alors que PERSONNE ne l'attaque !

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  4. « Difficile de regarder »: Afghans réagissent au film australien de 6m $ visant à des demandeurs d'asile
    Le voyage représente les mesures sévères auxquels font face les Afghans qui paient pour être transporté à travers l'océan Indien

    dimanche 27 mars 2016 22,26 EDT

    Un film commandé par le ministère de l'immigration de l'Australie pour décourager les demandeurs d'asile afghans a eu sa première à la télévision locale, qui cherchent à renforcer une idée répandue qui voyage non autorisé en Australie ne vaut pas le risque.


    Le voyage est une somptueuse production représentant des demandeurs d'asile plein d'espoir qui satisfont aux destins tragiques, traverser l'océan Indien.

    Souscrite par 6 millions de dollars en argent du contribuable australien et filmé dans trois pays, il a été montré vendredi sur deux canaux en Afghanistan, la deuxième source mondiale des réfugiés et des migrants en 2015, après la Syrie.

    « C'était dur à regarder. Il m'a fait très en colère," Ali Reza, un tailleur de 18 ans a dit sur le film. « Je sais qu'ils ont été les acteurs, mais ces choses arrivent vraiment aux Afghans ».

    Mis il Out There Pictures, qui a produit le film pour $4.34 m, affirme sur son site Internet, le film a pour but d'informer le public "à propos de l'inutilité d'investir dans les passeurs, les périls du voyage et la politique extrémiste qui les attendent, s'ils atteignent les eaux australiennes".

    À en juger par les réactions des dizaines de jeunes hommes qui ont parlé au gardien, cet objectif a été largement atteint.

    « C'était un bon film, », a déclaré Mostafa Ebadi, 23 ans. « Elle a montré que les mensonges raconter des contrebandiers aux passagers avant de quitter. »

    Mohammad Tawab, 23 ans, a déclaré qu'il avait été particulièrement ému par les scènes de réfugiés croupit dans une prison indonésienne. Pour Yama Taheri, qui a été jouer au football dans un parc du centre de Kaboul, la séquence plus inquiétante a été l'un dans lequel les trois frères se noient. « Il m'a fait penser que si j'essaie d'aller avec des amis, ce sera notre destin, » dit-il.

    Avant le conflit syrien actuel contraint des millions de fuir ce pays, l'Afghanistan était de loin le plus grand producteur de réfugiés dans le monde depuis plus de trois décennies. Pays voisins, le Pakistan et l'Iran a accueilli la plupart des déplacés Afghans, mais Afghans étaient également le plus grand groupe national qui a cherché à atteindre l'Australie par bateau.

    Presque tous les Afghans, qui ont atteint l'Australie par bateau ont été jugés réfugiés légalement nécessitant une protection. Chaque année depuis 2009, entre 96 et 100 % des demandeurs d'asile afghans ont eu leurs revendications du statut de réfugié confirmé.

    Mais ces dernières années de moins en moins Afghans ont jeté leur dévolu sur l'Australie. Des politiques d'asile plus sévères et des campagnes de mise en garde ont découragé beaucoup. La grande majorité des demandeurs d'asile afghans en 2015 est allé en Europe, avec plus de 150 000 à l'Allemagne seule.

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  5. Pendant trois ans Daud Hossaini, 42, prévu de rejoindre son frère en Australie. Comme les politiques d'asile serrée, il a hésité, mais conservé l'espoir que la prochaine élection fédérale pourrait apporter un changement. Mais vendredi, après avoir vu le film, il a finalement enterré ses espoirs de déménager en Australie.

    « Si je meurs sur le chemin, ce qui est le point d'aller ? », dit-il.

    Communications de Lapis, qui a promu et adapté le film à l'Afghanistan, Iran, Irak et le Pakistan, a nié qu'ils produisaient la propagande gouvernementale.

    « Les bailleurs de fonds du film sont crédités, c'est-à-dire ni cachées ni refusé, » a déclaré Sarah-Jean Cunningham, directeur des opérations et développement des affaires. « Plus important encore, les idées et les valeurs autour du film reposent sur un enjeu très graves et tragiques – l'objectif final étant de sauver des vies. »

    Cunningham a refusé le prix gagné par Lapis – $1. 63m – était excessif. « Le coût est reflète l'ampleur de cette portée importante de travail », dit-elle.

    Cependant, pas tout le monde a acheté le message. Comme sécurité s'aggrave et emploi devient plus rare, Afghans continueront à quitter. Camille, 29 ans, qui a vu la partie du film avant de se précipiter hors à un mariage, dit qu'il séjournait uniquement en Afghanistan tant qu'il avait un emploi.

    « Si je ne peux pas nourrir ma famille, ce que dois je faire ? »

    http://www.theguardian.com/australia-news/2016/mar/28/hard-to-watch-afghans-react-to-6m-australian-film-aimed-at-asylum-seekers

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  6. France : les procédures d'exception, vers un régime autoritaire

    Jean-Claude Paye
    Voltaire net
    sam., 26 mar. 2016 06:29 UTC

    -- Commentaire : A proprement parler, nous ne sommes pas prisonniers d'un régime purement fasciste, ou totalitaire ou dictatorial. Nos « démocraties » modernes savent se plier aux convenances et sauvent les apparences grâce aux urnes et aux bulletins de vote. Wikipédia nous informe qu'un régime autoritaire est "un régime politique qui par divers moyens (propagande, encadrement de la population, répression) cherche la soumission et l'obéissance de la société." C'est ce qui semble le mieux définir le système actuel.

    En ce qui concerne la propagande, pas de doute : servie à la louche et sans subtilité, la population française fait bombance, avec, au hasard, les épisodes russes et syriens, les épisodes climatiques, etc., etc . :
    Propagande anti-russe à la sauce Arte
    - « Syrie: le grand aveuglement » : le reportage que les grands médias ne veulent pas que vous voyez
    - RoboCOP21, ou le fascisme climatique
    Pour ce qui est de l'encadrement de la population et de la répression, l'un ne va pas sans l'autre :
    - L'état d'urgence tourne à la répression des mouvements sociaux
    - État d'urgence : destruction du pouvoir judiciaire et gouvernance par la peur
    On le voit, la "soumission et l'obéissance de la société" est la première des priorités pour le gouvernement. En un clic, n'importe qui possède la liberté de s'informer, de recouper les sources, les versions, les théories, au sujet de tout et de n'importe quoi. Et de contester la légitimité de toute autorité, quelle qu'elle soit. Une liberté bien dangereuse pour toute personne de pouvoir qui perd ainsi la possibilité d'imposer une vision unique de la réalité, indispensable au maintien de tout système de domination efficace. Le problème est bien sûr contourné : les lois sont votées. Ainsi, et surtout si ces lois sont iniques, la conformité démocratique est malgré tout respectée. Le pouvoir vote des lois qui le protège, qui augmentent son pouvoir, qui diminue le pouvoir des populations, dans un cycle infernal qui ne semble pas pouvoir prendre fin. Il est pourtant possible d'espérer rompre avec ce qui nous accable, en prenant conscience des mécanismes qui rendent possibles... notre accablement.
    Dans le contexte des attentats revendiqués par Daesh, le gouvernement français procède à une série de réformes visant à accroître considérablement les pouvoirs de la police et de l'administration au détriment de la Justice. Étant entendu que ces réformes sont sans lien avec la prévention de ce type d'attentat qui nécessite d'abord des mesures politiques, la France se dirige vers un régime d'arbitraire.

    À une large majorité et quasiment sans débat, l'Assemblée nationale vient d'adopter le 9 mars 2016, le nouveau projet de loi de réforme pénale « renforçant la lutte contre le terrorisme et le crime organisé » [1]. Ce texte doit encore passer au Sénat et, étant en procédure accélérée, il ne doit faire l'objet que d'une seule lecture par chambre.

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  7. Le projet fait entrer dans le droit commun, des dispositions considérées comme relevant d'un droit d'exception. Ainsi, dans le texte transmis pour avis au Conseil d'État, le gouvernement confirme sa volonté de « renforcer de façon pérenne les outils et moyens mis à disposition des autorités administratives et judiciaires, en dehors du cadre juridique temporaire, mis en œuvre dans le cadre de l'état d'urgence » [2].

    Un état d'urgence sans état d'urgence

    Bien que les deux textes soient en étroite relation, ce projet de loi ne doit pas être confondu avec la loi du 20 novembre 2015 qui prolonge l'état d'urgence pour une nouvelle période de trois mois, tout en renforçant les restrictions aux libertés privées et publiques, contenues dans la loi de 1955 [3], la nouvelle loi ne s'attaquant plus seulement à des actes, mais également à des intentions. Bien que les dispositions d'exception aient été, de nouveau, prolongées, le gouvernement n'a pas renoncé à réformer la procédure pénale. Il s'agit d'y inscrire des mesures liberticides autorisées par l'état d'urgence, sans que celui-ci soit déclaré. Ce dernier a pour objet de s'affranchir du principe de séparation des pouvoirs, de liquider le pouvoir judiciaire et de concentrer l'ensemble des prérogatives aux mains de l'Exécutif et de la police. Le projet de réforme de la procédure pénale s'inscrit également dans cet objectif.

    Le texte donne un débouché pénal aux dispositifs légaux d'espionnage des ressortissants français. Comme l'exprime l'exposé des motifs du projet de loi, « l'arsenal de prévention », mis en place par la loi relative au Renseignement [4], « doit être complété par un volet judiciaire » [5]. Grâce à celui-ci, les renseignements obtenus par les fausses antennes Imsi-catchers, par la surveillance vidéo, la captation d'image et la sonorisation d'un domicile pourront servir de base à des poursuites pénales.

    Renforcement formel du procureur
    Le projet de loi renforce les prérogatives du procureur, un magistrat dépendant du pouvoir exécutif. Il s'inscrit ainsi dans une constante de l'action des gouvernements, toutes majorités confondues, celle de réduire le rôle du juge d'instruction, une fonction jugée trop indépendante par rapport à l'exécutif. Il s'agit de le déposséder de l'exclusivité de certains de ses pouvoirs, tel le contrôle des procédures d'enquêtes intrusives, afin de le confier également au procureur de la République.
    Dans le texte voté par l'Assemblée nationale, le procureur devient aussi un « directeur d'enquête ». Il conduit les « enquêtes préliminaires », dans le cadre desquelles il a la faculté de renvoyer le suspect devant un tribunal. Ensuite, il porte l'accusation lors d'un procès qu'il a initié. Au four et au moulin, il lui reviendra également de vérifier si les « enquêtes effectuées par la police judiciaire sont bien menées à charge et à décharge ».

    Dans les enquêtes placées sous la direction du procureur, l'accès au dossier est reporté à la fin des investigations. Ainsi, la personne incriminée, au moment de sa mise en cause, n'a pas les moyens de contester la légalité ou la nécessité d'une technique d'enquête. Au contraire de la procédure liée au juge d'instruction, l'accès au dossier reste non systématique. Afin de « donner de nouveaux droits » au suspect et surtout de pérenniser l'emprise du procureur sur la procédure pénale, le projet de loi introduit une réforme permettant au justiciable d'intervenir dans le processus d'enquête. Ce qui semble aller dans le bon sens se révèle en fait être une perversion du système judiciaire et des droits de la défense.

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  8. Une perversion du système pénal

    Ainsi, le projet de loi introduit une modification majeure du système pénal, le passage d'une procédure inquisitoire, centrée autour du juge d'instruction, à un système qui se rapproche de la démarche accusatoire en vogue dans les pays anglo-saxons. Le texte prévoit d'introduire, dès le stade de l'enquête préliminaire, d'investigations de plus d'un an, un débat contradictoire avec les suspects et leurs avocats [6]. Ces derniers auraient la possibilité de demander au procureur des actes déterminés, tels que des auditions ou des expertises. L'introduction de ces nouvelles procédures fait que, comme aux États-Unis, seules les personnes fortunées seront en mesure de se défendre. D'ailleurs, pour les autres, le projet de loi a déjà prévu de simplifier les modalités de passage devant le juge des libertés et de la détention, afin de pouvoir les juger encore plus rapidement dans le cadre de la comparution immédiate.

    Aujourd'hui, le procureur, en l'absence de tout comportement suspect et d'infraction, a la faculté d'autoriser préventivement le contrôle d'identité et la fouille de véhicules se trouvant dans un lieu précis et pour une période déterminée. Le projet de loi étend cette procédure à la fouille des bagages, alors que actuellement, celle-ci ne peut être autorisée que dans le cadre d'une perquisition.
    Rappelons que ces inspections ne visent pas nécessairement des personnes suspectes, mais aussi celles qui se trouvent dans un lieu déterminé. L'extension prévue par le projet augmente surtout le pouvoir des forces de l'ordre. Les fouilles auront lieu, non pas parce que les policiers ont l'indice d'un délit, mais simplement parce qu'ils ont le droit de les faire au prétexte qu'ils sont là pour éviter ou rechercher des infractions.
    Éviction du juge d'instruction

    Le procureur de la République dispose ainsi de plus en plus des prérogatives jusqu'à présent réservées au juge d'instruction. Celui-ci est de nouveau écarté par le projet de loi, alors que, en France, il est déjà cantonné dans une petite fraction des affaires.

    Le juge d'instruction est inamovible : il ne peut pas être déplacé par le ministre de la Justice et ne peut se voir retirer un dossier par sa hiérarchie. En ce qui concerne sa nomination, l'avis du Conseil supérieur de la magistrature s'impose, ce qui garantit également son autonomie. Ce magistrat, dont l'indépendance est statutaire, se voit enlever la spécificité de son action : décider du renvoi du prévenu devant un tribunal et enquêter à charge et à décharge et cela au profit du procureur et de la police judiciaire qui, rappelons le, dépend non du ministère de la Justice, mais bien de l'Intérieur, indiquant bien, par là, la primauté de sa fonction de maintien de l'ordre.

    La surveillance vidéo, la captation d'image et la sonorisation d'un lieu ou d'un domicile étaient aussi, jusqu'ici, réservées aux informations judiciaires confiées à un juge d'instruction. Elles pourront désormais être décidées dès l'enquête préliminaire, après une simple autorisation du juge des libertés et de la détention.

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  9. Remarquons que l'augmentation des pouvoirs du procureur se fait sans une modification du statut du parquet, lui accordant un minimum d'autonomie vis-à-vis de l'Exécutif. Même la réforme, prévue précédemment par François Hollande, garantissant que le gouvernement nomme les procureurs, après avis conforme du Conseil supérieur de la magistrature, n'est pas réalisée [7].

    Une police incontrôlable

    Dans les faits, le renforcement de la fonction du procureur n'existe que par rapport à celle du juge d'instruction. En ce qui concerne la police judiciaire, le contrôle de ce magistrat reste purement formel. En Belgique, devant la commission parlementaire relative à la mise en place, en 1999, de la police unique, dite « structurée à deux niveaux » [8], les procureurs ont déjà fait savoir que, une fois l'autorisation de l'enquête donnée, ils n'avaient plus le contrôle effectif de son déroulement. Cette réalité est encore plus criante en France. Le Parquet est particulièrement débordé, puisque, peu nombreux, les procureurs ont un pouvoir de quasi-juridiction et traitent la grande majorité des dossiers judiciaires. Les nouvelles prérogatives que lui donnent ce projet de loi ne pourront qu'accentuer leur surcroît de travail et rendre impossible toute surveillance du travail de la police. Cette dernière est en fait la grande gagnante de ces réformes, confirmant ainsi son rôle central dans l'exercice actuel du pouvoir d'État.

    Une police toute puissante
    L'accroissement des pouvoirs de la police est confirmé par l'extension du cadre de la légitime défense pour les forces de l'ordre. Les policiers seront reconnus pénalement « irresponsables » s'ils font feu, en cas « d'absolue nécessité », sur « une personne ayant tué ou tenté de tuer et sur le point de recommencer ». Quant on sait qu'il existe déjà une jurisprudence leur reconnaissant la légitime défense pour avoir abattu dans dos une personne en fuite [9], on comprend que l'objet de cet article est moins de protéger les policiers de poursuites pénales que de signifier aux citoyens qu'ils peuvent être traités comme des ennemis.
    Un exemple extrême illustre bien cette perspective. La France a été condamnée par la Cour européenne des Droits de l'homme, dans une affaire où la justice avait prononcé une ordonnance de non lieu vis-à-vis d'un gendarme qui avait abattu de dos une personne menottée s'enfuyant d'une garde à vue [10].

    Les forces de l'ordre pourront aussi retenir une personne, même mineure, et hors la présence d'un avocat, même si celle-ci a une pièce d'identité et cela à la condition floue et hypothétique, qu'il y ait « des raisons sérieuses » de penser qu'elle a un « lien » avec une activité terroriste.

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  10. Une précédente mouture du projet allait encore plus loin, en créant un délit « d'obstruction à la perquisition ». Si cet article a été abandonné, il montre bien la volonté du gouvernement de criminaliser toute résistance à l'arbitraire de la police. Cette disposition devait faire taire les protestations, suite aux exactions lors de la vague de perquisitions autorisées par l'état d'urgence. En outre, cette ancienne version du texte indiquait que les policiers pourraient saisir tout objet ou document, sans en référer au procureur [11]. Ainsi, la police aurait été libérée du dernier élément du contrôle judiciaire, celui du procureur, d'un magistrat pourtant directement soumis au pouvoir exécutif.

    Le juge des libertés et de la détention : un alibi

    Le pouvoir exécutif ne peut contrôler le travail de la police grâce au procureur. Le pouvoir judiciaire en est totalement incapable à travers l'autre figure, valorisée par le projet de loi, celle du juge des libertés et de la détention. C'est pourtant sur lui que repose la plupart des autorisations de mise en œuvre des dispositions de la loi. Le contrôle de la légalité et de la proportionnalité des mesures ne peut qu'être formel, car ce juge ne connaît pas le fond du dossier. Il n'a accès à celui-ci qu'au moment où il lui est remis et quand il doit prendre sa décision. Une fois l'autorisation accordée, il ne dispose d'aucun moyen lui permettant de contrôler l'action du procureur et de la police.

    Statutairement, le juge de la liberté et de la détention est fragilisé. Il ne présente pas le degré d'indépendance d'un juge d'instruction, puisqu'il n'est pas nommé par décret, mais par le président de juridiction qui peut, du jour au lendemain, le décharger de ses fonction, si par exemple il refuse d'autoriser des écoutes [12].

    En matière de terrorisme et avec l'autorisation préalable du juge des libertés et de la détention, les perquisitions de nuit seront autorisées dans les habitations et cela dès l'enquête préliminaire. Cette procédure se substitue à l'autorisation donnée par le juge d'instruction dans la phase de l'enquête proprement dite. (Dans le cadre de l'état d'urgence, elles peuvent être ordonnées par le préfet). Désormais, les perquisitions pourront aussi avoir lieu de manière préventive, sur base de l'éventualité d'un danger, lorsqu'il s'agira « de prévenir un risque d'atteinte à la vie ou à l'intégrité physique » [13].

    Les perquisitions de nuit dans les habitations sont banalisées. Le texte parle « d'un risque d'atteinte », sans le qualifier ni d'actuel, ni d'imminent. Il porte sur des situations très nombreuses, sur les atteintes à la vie, mais aussi à l'intégrité physique. De vagues suspicions pourront conduire à ces intrusions domiciliaires. Celles-ci deviendront généralisées, si la limitation aux seules infractions terroristes n'est que temporaire.

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  11. Perquisition informatique sans garantie judiciaire
    Le texte prévoit aussi l'élargissement des possibilités de surveillance dans les lieux publics et le recours aux IMSI-catchers, ces fausses antenne-relais qui espionnent les téléphones et les ordinateurs à l'insu de leur utilisateur. Elles captent aussi tous les portables situés dans leur rayon d'action. Il s'agit d'un dispositif massif et indifférencié de capture des données. Son usage ne sera pas limité aux seules enquêtes antiterroristes et sera renouvelable, de mois en mois, pour des périodes très larges, ouvrant la voie à une captation massive d'informations sur les ressortissants français. Il sera autorisé par le juge de la liberté et de la détention ou, « en urgence », par le procureur de la République, sachant que c'est généralement la police elle-même qui nomme le caractère urgent de la situation.
    Jusqu'à présent, les IMSI-catchers pouvaient seulement être autorisées dans le cadre d'informations judiciaires, mais ont été peu utilisées par les juges d'instruction, vu le flou juridique du dispositif. La loi sur le Renseignement a légalisé leur utilisation par les services secrets.

    L'article 3 du projet de loi relative à la procédure pénale prévoit aussi d'étendre la captation des données informatiques aux données archivées. Pourront être aspirées, l'ensemble des données contenues dans les appareils informatiques. Ce dispositif ne s'apparente plus à des écoutes ciblées, visant les conversations en cours et à venir, mais à une perquisition pouvant s'étendre à des données très anciennes. Cette dernière procédure présente normalement quelques garanties, telle que la présence de la personne suspectée ou celle de deux témoins, ainsi que la réalisation d'une copie sécurisée qui limite le risque de modification ou d'intervention extérieure sur les informations recueillies. Ce n'est évidemment pas le cas en ce qui concerne la captation de données [14].

    Le Préfet : un agent de l'état d'exception permanent

    Comme dans l'état d'urgence, le préfet voit son action renforcée. Le projet de réforme relatif à la procédure pénale est en étroite correspondance avec la loi du 20 novembre 2015 prolongeant l'état d'urgence qui criminalise des intentions, en lieu et place d'actes concrets. L'intentionnalité terroriste attribuée aux personnes, revenant de Syrie, est aussi au centre du dispositif de « surveillance » autorisé par le préfet.

    Aujourd'hui, les « retours de Syrie », sont judiciarisés. Les suspects sont mis en examen, écroués ou placés sous contrôle judiciaire. Désormais, les préfets pourront, pendant un mois, les assigner à résidence et leur demander, pendant trois mois, les codes de leurs téléphones et ordinateurs, les obliger à signaler leurs déplacements et leur interdire de parler à certaines personnes. Ces dispositions présentent bien les attributs d'une procédure judiciaire, mais il s'agit d'un pur acte administratif, un contrôle sans juge. Elle laisse toute la place à l'arbitraire et ne donne, à la personne suspectée, aucune possibilité de confronter les allégations portées contre elle. C'est l'intention attribuée à la personne qui est attaquée, sans que celle-ci puisse se défendre. Ainsi, comme dans l'état d'urgence, le ministre de l'Intérieur, par l'intermédiaire du préfet, se substitue au juge d'instruction. Ce projet de loi lui donne un pouvoir de privation de liberté, en dehors de toute infraction pénale.

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  12. La criminalisation des « retours de Syrie » s'inscrit dans une procédure de double discours du pouvoir. L'ancien ministre Laurent Fabius avait publiquement déclaré, en août 2012, que « Bachar el-Assad ne mériterait pas d'être sur terre ». Il a remis le couvert devant les médias en décembre 2012, en affirmant, sans être poursuivi pour « apologie du terroriste » [15], que « Le Front al-Nosra fait du bon boulot ». Cette organisation djihadiste venait d'être classée comme terroriste par les États-Unis [16]. En même temps que l'affirmation de son soutient aux groupes terroristes, le gouvernement diabolise et poursuit les personnes qui auraient pu être influencées par son discours.

    Le juge administratif : un contrôle en trompe l'œil

    Le projet de loi donne au juge administratif un pouvoir de contrôle des dispositions relatives aux « retours de Syrie ». Il lui « appartient de contrôler l'exactitude des motifs donnés par l'administration, comme étant ceux de sa décision et de prononcer l'annulation de celle-ci, lorsque le motif invoqué repose sur des faits matériellement inexacts ». Ainsi, en opposition avec le principe de séparation des pouvoirs, l'administration se contrôle elle même. De plus, la surveillance est purement formelle. Le juge administratif, au contraire du juge d'instruction et du juge de la liberté et de la détention, intervient après coup et son contrôle est aléatoire. Il n'intervient que si la personne arrêtée le saisit. Surtout, il ne dispose pas d'éléments concrets pour fonder sa décision. Il ne peut se baser que sur des documents imprécis et non sourcés : les notes blanches produites par les services de Renseignement, des documents non signés, non datés et sans en-tête de service.
    Sur autorisation du préfet et dans un cadre purement administratif de « prévention du terrorisme », la police pourra aussi procéder à l'inspection visuelle, à la fouille des bagages et à la visite des véhicules. Elle est ainsi libérée de l'autorisation préalable du procureur, s'il s'agit d'installations ou d'établissements déclarés « sensibles » par le préfet, dans les faits nommées comme tel par la police.
    Ainsi, le texte de loi consacre « l'entrée du préfet dans le code de procédure pénale ». Mais, il s'agit d'un retour, puisque, avant que la réforme de 1993 [17] ne les lui enlève, le préfet disposait déjà de pouvoirs de police judiciaire. L'ancien article 10 du code de procédure pénale lui permettait, en cas d'atteinte à la sécurité intérieure ou d'espionnage, de jouer le rôle d'officier de police judiciaire, c'est-à-dire de faire procéder à des arrestations et à des contrôles. Cette concentration récurrente de prérogatives judiciaires aux mains du préfet indique que, au pays de Montesquieu, la séparation des pouvoirs, revendiquée comme un patrimoine national, a toujours été, pour le moins, erratique.

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  13. Notes :

    [1] « Projet de loi renforçant la lutte contre le crime organisé et son fonctionnement, l'efficacité et les garanties de la procédure pénale », Assemblée nationale, 3 février 2016.

    [2] Jean-Baptiste Jacquin, « Les pouvoirs de police renforcés pour se passer de l'état d'urgence », Le Monde, le 6 janvier 2016.

    [3] « Loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence, version consolidée au 15 mars 2016 ».

    [4] « Loi française sur le Renseignement, Société de surveillance ou société surmoïque », Jean-Claude Paye, Réseau Voltaire, le 28 novembre 2015.

    [5] « Projet de loi renforçant la lutte contre le crime organisé, le terrorisme et leur financement, et améliorant l'efficacité et les garanties de la procédure pénale » (JUSD1532276L), Conseil des ministres du 3 février 2016

    [6] Jean-Baptiste Jacquin, « Réforme pénale : les procureurs prennent la main sur les enquêtes », Le Monde, 4 mars 2016.

    [7] Jean-Baptiste Jacquin, « comment la réforme pénale renforce les pouvoirs des procureurs », Le Monde, le 4 mars 2016, http://www.lemonde.fr/societe/artic...

    [8] Lire : Jean-Claude Paye, « Vers un État policier en Belgique ? », Le Monde diplomatique, novembre 1999, https://www.monde-diplomatique.fr/1... et Vers un État policier en Belgique, EPO, Bruxelles 2000, 159 p.

    [9] « Acquittement du policier qui avait tué un braqueur et colère des parties civiles », L'express.fr, 15 janvier 2016.

    [10] « Le gendarme tue le gardé à vue : la France condamnée par la CEDH », Net-iris.fr, 18 avril 2014.

    [11] Sylvain Rolland, « Sécurité : l'inquiétante dérive vers la surveillance de masse », La Tribune.fr, 4 décembre 2015, l

    [12] Questions/réponses critiques du Syndicat de la magistrature sur le projet de loi criminalité organisée/terrorisme, Syndicat de la Magistrature, 14 mars 2016, p. 9.

    [13] Jean-Baptisque Jacquin, « Les pouvoirs de la police renforcés pour pouvoir se passer de l'état d'urgence », Le Monde, 6 janvier 2016.

    [14] Op. Cit. p. 8.

    [15] L'incrimination d'apologie du terrorisme a été créée par la Loi renforçant les dispositions relatives à la lutte contre le terrorisme du 14 novembre 2014. Lire : Jean-Claude Paye, « La criminalisation du Net en France », Réseau Voltaire, 13 septembre 2015.

    [16] « Des Syriens demandent réparation à Fabius », Le Figaro avec AFP, 10 décembre 2014 ; et « Des Syriens attaquent l'État en appel », Le Figaro avec AFP, 7 septembre 2015.

    [17] « Loi n° 93-2 du 4 janvier 1993 portant réforme de la procédure pénale, Version consolidée au 13 mars 2016 », Légifrance.

    http://fr.sott.net/article/27958-France-les-procedures-d-exception-vers-un-regime-autoritaire

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  14. Poutine félicite Assad pour la libération de Palmyre

    Sputnik News
    dim., 27 mar. 2016 15:04 UTC

    Lors d'une conversation téléphonique, le président russe a pointé l'importance de la cité antique pour le patrimoine mondial. Le président russe Vladimir Poutine a félicité son homologue syrien Bachar el-Assad pour la libération de Palmyre du joug terroriste, a fait savoir dimanche Dmitri Peskov, porte-parole du Kremlin.

    Palmyre libérée par l'armée syrienne
    "M.Poutine a de nouveau souligné que malgré le retrait du gros du contingent militaire russe de Syrie, les forces armées russes continueraient de soutenir les autorités syriennes dans leur lutte contre le terrorisme et pour la libération de leur terre contre les groupes extrémistes", a ajouté le porte-parole.

    « Jadis, les guerriers habiles commençaient par se rendre invincibles, puis attendaient le moment où l'ennemi serait vulnérable. L'invincibilité réside en soi-même. La vulnérabilité réside en l'ennemi. » L'Art De La Guerre, de Sun Tzu.

    Et de préciser que "M.Assad a hautement apprécié l'aide que les Forces aérospatiales russes avaient apportée (à son pays, ndlr) et a noté que les succès, telle la libération de Palmyre, auraient été impossibles sans le soutien russe".

    "Selon M.Assad, il est absolument évident que la lutte est menée pour le pétrole, mais, comme il l'a fait remarquer, il y a beaucoup de brut, mais Palmyre est seule et unique", a confié M.Peskov.


    -- Commentaire : Palmyre nous aura permis de voir un peu plus la mentalité destructrice et perverse de Daesh qui non seulement n'a aucun respect pour la vie humaine mais détruit des patrimoines de l'humanité faisant fi de l'Histoire. Palmyre est donc maintenant de nouveau en sécurité, pour le bien de nous tous. Et aussi pour le bien de la Syrie qui continue à lutter contre l'Etat Islamique.

    Lire aussi:
    - Un Patrimoine de l'humanité saccagé et anéanti par la folie de Daesh
    - L'État islamique commet un massacre dans la ville syrienne sacrée de Palmyre : récits de survivants
    - État Islamique : créé à Langley par la CIA, soutenu par Tel Aviv et Riyad

    http://fr.sott.net/article/27959-Poutine-felicite-Assad-pour-la-liberation-de-Palmyre

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  15. L'Amérique de Gestapo : terreur du FBI

    28 mars 2016
    John W. Whitehead

    «Nous ne voulons aucune Gestapo ou la police secrète. Le FBI a tendance dans cette direction. Ils sont barboter dans les scandales de la vie sexuelle et chantage ordinaire. J. Edgar Hoover donnerait son œil droit s'emparer, et tous les députés et sénateurs ont peur de lui. »
    — Le Président Harry S. Truman

    «Ne soyez pas une marionnette» est le message que le FBI envoie des jeunes américains.

    Dans le cadre de la soi-disant guerre contre le terrorisme du gouvernement, force de fait police secrète de la nation est maintenant à recruter des étudiants et des enseignants pour espionner les uns les autres et de signaler toute personne qui semble avoir le potentiel d'être "contre le gouvernement" ou « extrémistes ».

    En utilisant les termes "antigouvernementaux", "extrémistes" et indifféremment "terroriste", le gouvernement continue d'ajouter à la liste des caractéristiques qui permettait de distinguer un individu comme un terroriste potentiel intérieur.

    Par exemple, vous pourriez être un terroriste domestique aux yeux du FBI (et son réseau de mouchards) si vous :

    - philosophies libertaires Express (déclarations, autocollants pour pare-chocs)
    - pièce de seconde axée sur l'amendement vues (adhésion au club NRA ou pistolet)
    - lire la littérature survivaliste, y compris les livres de fictifs apocalyptiques
    - montrer des signes d'autosuffisance (stockage de nourriture, des munitions, des outils manuels, des fournitures médicales)
    - la peur d'un effondrement économique
    - acheter des objets d'or et Troc
    - s'abonner à des conceptions religieuses concernant le livre de l'Apocalypse
    - craintes de voix Big Brother ou grand gouvernement
    - exposer sur les droits constitutionnels et les libertés civiles
    - croire à une conspiration du nouvel ordre mondial

    Malgré ses efforts bien connus du public à former des étudiants, des enseignants, des policiers, des coiffeurs, stockez des commis, etc., dans le gouvernement yeux et les oreilles, le FBI n'est pas en s'appuyant sur une nation de mouchards pour réaliser son espionnage intérieur.

    Il n'est pas nécessaire.

    Organisme d'application de loi plus grande du pays rivalise avec la NSA en ressources, la technologie, intelligence et puissance. Pourtant, alors que la NSA est venu à plusieurs reprises sous le feu pour ses programmes d'espions domestiques, le FBI a continué à fonctionner ses programmes subversives et clairement inconstitutionnels avec peu de surveillance important ou de refoulement de la population, les congrès ou les tribunaux. Tout récemment, par exemple, un tribunal secret conférait à l'Office le feu vert pour changer tranquillement ses règles de protection des renseignements personnels pour accéder aux données de la NSA sur les communications internationales des américains.

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  16. En effet, comme j'ai remarquer dans mon livre Amérique du champ de bataille : la guerre contre le peuple américain, le FBI est devenu l'incarnation de comment puissance, après avoir été acquis, peut être facilement endommagé et abusé.

    Quand et si une véritable histoire du FBI est déjà écrit, il sera non seulement suivre la montée de l'État américain de la police, mais il sera aussi tracer le déclin de la liberté en Amérique.

    Dus en grande partie à l'influence et la puissance du FBI, aux États-Unis — une fois une nation qui observaient la primauté du droit et a tenu le gouvernement responsable de ses actes — a cessé se retrouva dans un État policier où la justice est à sens unique, une élite exécute le spectacle, gouvernement représentatif est une moquerie, police est des extensions des militaires, surveillance sévit , la vie privée a disparu, et la Loi est peu plus qu'un outil pour le gouvernement intimider les gens en conformité.

    Liste de blanchisserie du FBI des crimes contre le peuple américain comprend surveillance, désinformation, chantage, provocation policière, tactiques d'intimidation, harcèlement et endoctrinement, gouvernemental trop se pencher, abus, mauvaise conduite, intrusion, ce qui permet des activités criminelles et dégradation de biens privés.

    Et qui est juste, fondée sur ce que nous savons.

    Si le FBI est de planter des agents infiltrés dans les églises, les synagogues et les mosquées ; émetteur de fausses lettres d'urgence d'avoir accès aux enregistrements téléphoniques des américains ; en utilisant des tactiques d'intimidation pour faire taire les américains qui critiquent le gouvernement ; recrutement des lycéens d'espionner et de signaler les camarades de classe qui présentent des signes d'être des terroristes futures ; ou persuader des personnes impressionnables pour tracer les actes de terreur, et ensuite de les emprisonner, l'impression générale de la police secrète de la nation est celle d'un voyou bien habillé, ses muscles et de faire sale boulot le patron de veiller au respect, gardant un œil sur les dissidents potentiels et punir ceux qui osent défier le statu quo.

    Le FBI a été créé en 1908 une petite force de tâche assignée à traiter des infractions nationales spécifiques. Au départ assez limité dans sa capacité d'enquêter sur des crimes domestiques dits, le FBI a été transformé en un organisme fédéral de surveillance et de police mammouth. Malheureusement, toutes restrictions minimales gardé surveillance du FBI, activités dans les limites de la loi tous disparues dans la foulée des attentats du 9/11. La USA Patriot Act a donné au FBI et toute autre autorité de blanc-seing agences de renseignement dans les enquêtes sur les américains soupçonnés d'être hostiles au gouvernement.

    Comme les pouvoirs du FBI ont grandi, ses abus ont monté.

    Le FBI continue de surveiller les américains engagés dans des activités licites de premier amendement.

    COINTELPRO, le programme du FBI créé pour "perturber, mal orienter, discréditer et neutraliser" groupes et individus, le gouvernement estime politiquement inacceptable, visait non pas tant par des éléments criminels mais ceux qui a défié le statu quo, à savoir celles exprimant les sentiments anti-gouvernementaux tels que Martin Luther King Jr. et John Lennon. Il continue à ce jour, quoique sous autres formes.

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  17. Le FBI est devenu un maître dans l'art de la provocation policière.

    Dans le sillage du 9/11 attaques terroristes, le FBI n'a pas seulement visé des personnes vulnérables, mais a aussi eux attirés dans terreur faux parcelles tout en équipant effectivement avec l'organisation, argent, armes et motivation pour réaliser les parcelles — provocation — et puis les emprisonnant pour leur soi-disant terroristes traçant. C'est ce que le FBI qualifie "penché vers l'avant — préventive — poursuites. »

    Des agents du FBI sont parmi les plus célèbres malfaiteurs de la nation.

    En plus de créer certains crimes afin d'ensuite "résoudre", le que FBI donne aussi certains informateurs permission d'enfreindre la loi, "allant de l'achat et la vente de drogues illégales à la corruption de fonctionnaires et le traçage des vols à main armée," en échange de leur coopération sur d'autres fronts. USA Today estime des agents ont autorisé les criminels de se livrer à des crimes jusqu'à 15 par jour. Certains de ces informateurs sont se faire payer des sommes astronomiques: un garçon particulièrement peu recommandables, plus tard arrêté pour avoir tenté d'écraser un policier, a été effectivement payé $ 85 000 pour son aide portant le piège d'un régime de provocation policière.

    Les pouvoirs du FBI, élargis après 9/11, ont donné à ses agents blanc-seing accès à l'information personnelle des américains.

    Lettres de sécurité nationale, une des nombreuses puissances illicites autorisées par la USA Patriot Act, l'Agence permet le FBI secrètement exiger que les banques, les compagnies de téléphone et d'autres entreprises leur fournissent des renseignements sur les clients et ne divulgue pas les demandes. Une vérification interne de l'Agence a constaté que la pratique du FBI de délivrer des dizaines de milliers de NSL chaque année des informations sensibles telles que le téléphone et les dossiers financiers, souvent dans les cas non urgents, est criblée de violations généralisées.

    Capacités d'espionnage du FBI sont sur un pied d'égalité avec la NSA.

    Technologie de surveillance du FBI jouit d'une collection envahissante d'outils d'espionnage allant de Stingray dispositifs qui permettent de suivre l'emplacement des téléphones cellulaires aux dispositifs de balistes qui permettre aux agents d'espionner les appels téléphoniques. Dans un cas, le FBI en fait réussi à reprogrammer à distance sans fil carte d'internet un "suspect" afin qu'il enverrait des "données de localisation cellulaire en temps réel-site de Verizon, qui a transmis les données au FBI".

    Pouvoirs de piratage du FBI ont obtenu carrément détournés.

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  18. Des agents du FBI ont non seulement la possibilité de pirater n'importe quel ordinateur, n'importe où dans le monde, mais ils peuvent également contrôler cet ordinateur et toutes ses informations stockées, Télécharger son contenu numérique, activer sa caméra ou microphone ou désactiver et même contrôler les autres ordinateurs de son réseau. Compte tenu de l'étendue des pouvoirs de l'Agence, la confrontation entre Apple et le FBI , au cours de la vie privée des clients semble être plus spectacle que la substance.

    James Comey, actuel directeur du FBI, sait assez pour dire toute la droite choses au sujet de la nécessité de respecter la Constitution, tout son organisme régulièrement ignore. Comey fait valoir que les pouvoirs du gouvernement ne devrait pas être limitées, surtout quand il s'agit d'effectuer la surveillance des citoyens américains. Comey continue à faire pression le Congrès et la maison blanche pour obliger les compagnies de technologie tels que Apple et Google pour continuer à fournir au gouvernement avec accès porte dérobée à des téléphones cellulaires des américains.

    Portée du FBI est plus invasive que jamais.

    C'est en grande partie en raison de ressources presque illimitées de l'Agence (son budget minimum seul exercice 2015 était $ 8,3 milliards), vaste arsenal du gouvernement de la technologie, l'interdépendance des agences de renseignement gouvernementales et partage par le biais de centres de fusion de l'information — agences de renseignement de collecte de données répartis dans tout le pays qui surveillent constamment les communications (y compris ceux des citoyens américains), allant des recherches web et de l'activité sur internet pour les messages texte , appels téléphoniques et des courriels.

    Aujourd'hui, le FBI emploie plus de 35 000 personnes et exploite plus de 56 bureaux dans les grandes villes à travers les États-Unis, ainsi que 400 agences résidents dans les petites villes et plus de 50 bureaux internationaux. En plus de leur « campus de données, » qui abrite des ensembles de plus de 96 millions d'empreintes digitales de partout aux États-Unis et ailleurs, le FBI, selon Le Washington Post, "construit également un vaste dépôt contrôlé par les personnes qui travaillent dans un caveau très secrète au quatrième étage du FBI J. Edgar Hoover Building à Washington. Celui-ci enregistre les profils de dizaines de milliers d'américains et de résidents légaux qui ne sont pas accusés d'aucun crime. Ce qu'ils ont fait est semblent agir étrangement à un shérif de la ville, un agent de la circulation ou même un voisin. »

    S'il y a un mot pour décrire les tactiques secrètes du FBI, c'est effrayant.

    Base de données biométrique de la de l'Agence a pris des proportions massives, le plus grandes du monde, qui englobe tout, des traces de doigts, paume, visage et iris scans à l' ADNet est plus partagé entre les organismes d'application de loi fédéraux, provinciaux et locaux dans le but de cibler des criminels potentiels longs avant qu'ils jamais de commettre un crime.

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  19. C'est ce qu'on appelle avant le crime.

    Si elle se battaient à peu près les « méchants », ce serait une chose. Mais comme le montrent claires les documents innombrables, le FBI n'a aucun scrupule à utiliser ses pouvoirs étendus afin de faire chanter les politiciens, espionner de célébrités et hauts fonctionnaireset intimider les dissidents de tous bords.

    C'est une vieille tactique, utilisée efficacement par les anciens régimes autoritaires.

    En fait, comme l'historien que Robert Gellately documente, l'Etat policier Nazi a été à plusieurs reprises vanté comme un modèle pour les autres nations à suivre, si bien que Hoover a effectivement envoyé un de ses hommes de droite, Edmund Patrick Coffey, à Berlin en janvier 1938, à l'invitation de la police secrète de l'Allemagne. Comme Gellately a noté, « [A] près de cinq années de la dictature d'Hitler, la police nazie avait gagné le sceau du FBI. »

    En effet, tellement impressionné était le FBI avec l'ordre Nazi que, comme le New York Times a révélé, dans les décennies suivant la seconde guerre mondiale, le FBI, ainsi que d'autres organismes gouvernementaux, agressivement recruté au moins un millier Nazis, dont certains des hommes de main plus élevés d'Hitler, les a amenés en Amérique, embauchés sur comme espions et d'informateurs et ensuite lancé une campagne massive de cover-up pour s'assurer que leur vrai identités et liens avec machine Holocauste Hitler resterait inconnus. Par ailleurs, tous ceux qui ont osé siffler sur traverses Nazi illicites du FBI se retrouva épié, intimidés, harcelés et étiqueté une menace pour la sécurité nationale.

    Donc non seulement les contribuables américains paient garder les ex-nazis à la solde du gouvernement depuis des décennies, mais nous avons été soumis à la même tactique utilisée par le troisième Reich : surveillance, la police militarisée, overcriminalization et une mentalité de gouvernement qui se considère comme opérant en dehors des limites de la Loi.

    C'est comment la liberté tombe, et l'arrivée au pouvoir de tyrans.

    Les similitudes entre l'état de police américain et les anciens régimes totalitaires tels que l'Allemagne nazie se développent plus prononcés avec chaque jour qui passe.

    Police secrète. Tribunaux secrets. Organismes du gouvernement secret. Surveillance. Intimidation. Harcèlement. Torture. Brutalité. Corruption généralisée. Provocation policière. Endoctrinement. Ce sont les maîtres mots de chaque régime autoritaire de l'Empire romain vers l'Amérique moderne.

    Pourtant, c'est la police secrète — chargé de faire taire les dissidents, assurer le respect et maintenir un climat de peur — qui sonner le glas de la liberté à toutes les époques.

    http://www.thedailysheeple.com/americas-gestapo-the-fbis-reign-of-terror_032016

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    1. Parallèlement à une police d'Etat reconnue comme faisant partie d'une République est soucieuse d'en appliquer les lois, existe une police secrète qui elle a tous les droits et est protégée en silence et n'hésite pas à même montrer sa carte et être aussi l'ambassadrice de la dictature au pouvoir choisie pour corrompre (éliminer) celles oui ceux qui se diraient 'juges' en tribunal indépendant !! comme celles ou ceux qui seraient élus pour ... défendre la République à l'Assemblée nationale ou au Sénat !!

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  20. Comment le faire de stupide, tu dois être de laisser cela se produire ?

    Soumis par Tyler Durden le 28/03/2016 09:50 -0400
    Soumis par John Rubino via DollarCollapse.com,

    L'Europe est le berceau de la civilisation occidentale et la source de la plupart des tendances et des corps de connaissances qui définissent la modernité. L'européen moyen parle plusieurs langues et parfois moins d'un pour les américains. En bref, ils sont un peuple bien scolarisé avec grande sagesse accumulée.

    Alors, comment pouvons-nous expliquer cela: après la seconde guerre mondiale la plupart des pays européens configurent des systèmes de droit généreux y compris les pensions de l'État conçues pour offrir une retraite digne pour les citoyens qui avaient travaillé durs et payés des taxes et obéit à des règles pour une durée de vie. Mais ils ne dérange pas de mettre quoi que ce soit côté pour l'inévitable — et mathématiquement prévisible — retraite de la génération du baby-boom immense. Voici un extrait d'un récent article du Wall Street Journal décrivant le problème :

    L'Europe visages Pension Predicament
    Pensions financées par l'État sont au cœur du modèle d'aide sociale de l'Europe, isolant les gens de l'extrême pauvreté dans la vieillesse. Plupart des pays européens ont mis de côté presque rien à payer ces avantages, il suffit de leur financement chaque année sur les recettes fiscales. Maintenant, pays européens font face à un tsunami démographique, sous la forme d'un décalage croissant entre le faible taux de natalité et de la longévité élevée, dont peu sont prêts.

    La population de l'Europe des retraités, déjà le plus grandes du monde, continue de croître. Regardant européens 65 ou plus vieux qui ne fonctionnent pas, il y a 42 % des travailleurs, et ce chiffre passera à 65 % en 2060, dit Agence de données de l'Union européenne. Par comparaison, les Etats-Unis ont 24 périodes chômées personnes de 65 ans ou plus par 100 travailleurs.

    "Les gouvernements européens occidentaux sont proche de la faillite à cause de la bombe à retardement pension", a déclaré Roy Stockell, responsable de la gestion chez Ernst & Young. "Nous avons tellement de baby-boomers se déplaçant à la retraite [avec] l'espoir que le gouvernement accordera".

    Le resserrement démographique assouplir par l'afflux de plus de 1 million de migrants dans l'année écoulée. Si bon nombre d'entre eux finissent par rejoindre la population active, le résultat pourrait être revenu fiscal supplémentaire pour maintenir à flot le modèle de pension. Avant migrants bénéficient du même droit au travail, elles nécessitent toutefois, logement, nourriture, éducation et soins médicaux. Leur arrivée aura des effets sur les finances publiques que les fonctionnaires n'ont commencé à évaluer.

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  21. Une incohérence de plus en plus

    Le resserrement de la pension ne suit pas les lignes de bataille familiers de la crise de la zone euro, les fosses de l'Europe plus prospère au Nord contre un Sud profondément endetté, des dépenses plus élevées. Certains gouvernements face aux défis démographiques les plus difficiles, comme l'Autriche et la Slovénie, ont été parmi les plus critiques de la Grèce.

    Les Allemands, dans le même temps, "font la promotion financière règles en Espagne et autres pays, mais nous sommes adoucir le règlement général des pensions" à la maison, a déclaré Christoph Müller, un universitaire allemand, qui conseille l'UE sur les statistiques des pensions. Il a fait d'une modification récente, permettant à certains travailleurs à toucher des prestations de deux ans à l'avance, à 63. Un porte-parole du ministère du travail allemand qui a appelé « une mesure très limitée ».

    Régimes de retraite d'état de l'Europe sont multiplient avec des dispositions particulières. En Allemagne, les employés du gouvernement ne font aucune cotisation de pension. Au Royaume-Uni, les retraités obtenir un paiement supplémentaire d'hiver pour le chauffage. En France, les travailleurs manuels ou ceux qui travaillent de nuit, comme les boulangers, peuvent commencer leurs prestations au début sans pénalité.

    Dans toute l'Europe, le taux de natalité a diminué de 40 % depuis les années 1960 à environ 1,5 enfant par femme, selon les Nations Unies. Pendant ce temps, l'espérance de vie ont augmenté à peu près 80 de 69.

    En 2012, le gouvernement polonais a lancé une série de changements dans son plan national de retraite principale pour la rendre plus abordable. L'un était une augmentation progressive de l'âge de recevoir des prestations. Il atteindra 67 en 2040, marquant une augmentation de 12 ans pour les femmes et sept hommes. Les changements signifie que le régime de retraite principal est maintenant financièrement viable, a déclaré Jacek Rostowski, un ancien ministre des finances et architecte de la révision.

    Toutefois, le parti qui a adopté les modifications perd une élection en octobre, et une promesse centrale de la partie gagnante est de défaire les. Récemment, Président de la Pologne a présenté un projet de loi d'inverser certaines mesures. « Il faut prendre soin des gens, de leur dignité, pas de finances, », a déclaré Krzysztof Jurgiel, ministre de l'agriculture dans le gouvernement actuel de droit & le parti de la Justice.

    Il en découle que l'Allemagne, Italie, Espagne, France et al sont fonctionnellement faillite, apparemment (étonnamment) par choix. Ils ont vu l'avalanche des décennies auparavant et au lieu d'obtenir de la route à venir ou renforcer leurs chalets, simplement assis là je regarde la neige rouler vers le bas de la montagne. Il va arriver sous peu, et ils sont encore à débattre de ce qui — au contraire — faire à ce sujet.

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  22. En fait la seule chose qui peut être raisonnablement décrite comme la préparation est la décision d'augmenter l'immigration. Cela aurait pu fonctionner si l'Europe avait choisi des immigrants plus compatibles, mais c'est un sujet pour une autre colonne. Pour l'instant, concentrons-nous sur incroyablement stupide choix numéro un, qui est d'offrir des prestations avec aucun mécanisme de financement autres que les recettes fiscales futures. Si une compagnie d'assurance ou un régime de retraite entreprise fait quelque chose comme que ses dirigeants seraient emmenés menottes aux poignets, juste titre, puisque l'essence de ces entités de paiement différé est un compte qui commence petit et atteint une taille suffisante alors que ses bénéficiaires commencent en avoir besoin.

    Donc ce qu'ont les européens ne sont pas réellement pensions, mais une forme de fraude électorale, conçu pour permettre à toute une génération de politiciens pour offrir de l'argent aux électeurs sans conséquence.

    Bientôt, tout un continent sera laissé d'autre choix que de dévaluer sa monnaie pour masquer l'ampleur de sa mauvaise gestion. Le calcul fonctionne comme ceci : dévaluer l'euro de 50 % tout en augmentant les paiements de pension de 20 %, interrompant ainsi la charge réelle considérablement — tout en prenant le crédit au profit du nominal augmente au moment des élections. Il pourrait fonctionner, selon le niveau d'électeur crédulité affichée jusqu'à présent

    Voici maintenant là que ça devient vraiment intéressant. Les États-Unis « fonds d'affectation spéciale » qui ont été créés afin de garantir la sécurité sociale et Medicare sont pleins de bons du Trésor, les intérêts sur lesquels sont payés de — vous l'avez deviné — impôts prélevés chaque année sur les citoyens américains. La seule vraie différence entre les modèles de fonds d'affectation spéciale d'US et européen par répartition est donc que le premier est plus honnête.

    C'est pourquoi bugs d'or et d'autres personnes de son argent sont si certain que les métaux précieux sera bientôt beaucoup plus précieuses. Les numéros de pension sont catastrophiques partout et le calcul qui était autrefois simplement inévitable est maintenant imminent. L'Europe est un peu plus long sur le plan démographique et donc pourrait avoir à dévaluer sa monnaie tout d'abord, mais $ 80 billions en passif non capitalisé de l'assurance-maladie ne peut être niée. Nous allons suivre le long de peu de temps.

    http://www.zerohedge.com/news/2016-03-28/how-stupid-do-you-have-be-let-happen

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    1. Explication du problème est l'escroquerie. Escroquerie sur des personnes ayant cotisé et qui n'ont RIEN ou presque rien à la retraite parce que l'Etat a volé l'argent au profit des immigrés qui - eux n'ayant JAMAIS cotisé - se retrouvent avec des pensions confortables à faire venir en courant tous les étrangers du monde !

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