- ENTREE de SECOURS -



mercredi 30 mars 2016

Du jour

25 commentaires:

  1. La voici ! La moto automotrice

    30 mars 2016

    Yamaha cherche à créer une moto autonome en utilisant les connaissances de la Silicon Valley et fait sa troisième tentative d’entrée dans le monde des quatre-roues. Selon son CEO, Hiroyuki Yanagi, il faudra une décennie pour adapter la technologie aux deux-roues.

    Yamaha a commencé avec $20 millions d’investissements dans la Silicon Valley, au travers d’une société traquant les technologies pour véhicules autonomes, robots et drones. En février, elle a investi $2 millions dans la startup Veniam, pour profiter de ses connaissances en matière de véhicules connectés et rester « en tête de la course ».

    Mais Yanagi n’envisage pas une moto totalement autonome. Le but est d’ « assister le conducteur » et d’augmenter la sécurité. Le R1, un système d’assistance fonctionnant via des senseurs et une technologie de contrôle des dérapages, freinages, etc., est actuellement l’avancée la plus importante de Yamaha.

    Une nouvelle voiture

    Des centaines de sociétés japonaises se sont installées dans la Silicon Valley. Toyota a consacré $1 milliard à son institut et Recruit Holding a monté un laboratoire d’intelligence artificielle. Les Japonais ne sont pas habitués à investir dans les startups et ont engagés plusieurs professionnels américains pour déterminer les cibles d’investissements, explique Yanagi.

    Yamaha travaille aussi au lancement européen d’un véhicule à quatre roues et deux sièges, prévu pour 2019. Un projet plus lent et coûteux que prévu. Les capacités d’investissement de Yamaha sont d’ailleurs mises en doute, car le cours actuel du Yen affaiblit la demande de motos des pays émergents .

    http://site où la publicité empêche volontairement l'accès à l'information

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    1. Plutôt marrant, non ? Après 'la voiture autonome' destinée à livrer des bombes terroristes SANS kamikaze ! (comme les drones). Voici 'la moto' qui elle se faufile mieux dans les bouchon et peut éventuellement circuler à fond sur les trottoirs et livrer les 'pizzas' à domicile !

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  2. Le capitaine Barril, ancien commandant du GIGN, accuse la CIA et le MI6 dans l'assassinat de Litvinenko


    Russia Insider
    mer., 30 mar. 2016 17:12 UTC
    Traduction Avic - Réseau International


    Un ancien fonctionnaire français qui a occupé des postes importants dans la sécurité intérieure et le contre-terrorisme vient de faire une déclaration spectaculaire en annonçant qu'il détient des documents prouvant qu'Alexandre Litvinenko, l'espion russe qui est mort d'un empoisonnement au polonium, a été tué par les services spéciaux américains et britanniques.

    Dans une longue interview qui sera publiée bientôt, il va plus loin, en disant que l'assassinat de Litvinenko était une opération des services spéciaux conçue pour diffamer la Russie et Vladimir Poutine, à laquelle le fameux oligarque russe Boris Berezovsky a participé, et a été tué lui-même par le MI6 quand il est devenu gênant. Il dit même qu'il connaît le nom de code de l'opération: « Beluga ».

    Oped News, lundi 27 Mars :Opération Beluga: Un complot anglo-américain pour discréditer Poutine et déstabiliser la Fédération de Russie

    Le célèbre expert en sécurité français Paul Barril vient de lâcher une bombe : l'existence de l'Opération Beluga, une opération secrète du système de renseignement occidental destinée à saper la Russie et ses dirigeants.

    Est-ce la cause d'une grande partie de la rhétorique de menaces, devenue maintenant réciproque, entre les Etats-Unis et la Russie ?

    Barril a révélé l'Opération Beluga dans une récente interview avec l'homme d'affaires suisse Pascal Najadi au sujet de la mort d'Alexander Litvinenko en 2006. Litvinenko était connu comme un ancien espion dont beaucoup (en Occident : NDT) croient qu'il a été assassiné avec du polonium radioactif sur les ordres de Vladimir Poutine.

    Najadi dit que l'entrevue parle de la révélation selon laquelle Litvinenko aurait été effectivement tué par « un Italien qui aurait administré le mortel polonium 210 « . Encore plus étonnant, il affirme que l'opération a été réalisée sous les auspices des États-Unis et au Royaume-Uni.

    Dans mes livres, The Phony Litvinenko Murder et Litvinenko Murder Case Solved, j'ai écrit au sujet d'une connexion italienne. Mais je ne peux pas confirmer que Barril parle de la même personne.

    Les allégations de Barril devraient être prises au sérieux. C'est un personnage de renom du renseignement français, connu en France comme le « Superflic ». Aux yeux du public français, il est une sorte de combinaison d'Eliot Ness, James Bond, et William Bratton. Pendant de nombreuses années, il a été le commandant en second du GIGN, la légendaire unité d'élite française des forces spéciales, placé en tête du classement » de badass » des forces spéciales dans le monde, et a occupé d'autres postes de haut rang dans la sécurité intérieure en France.

    (suite en dessous:)

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  3. Depuis qu'il a quitté les services gouvernementaux, il s'est occupé de questions de sécurité comme entrepreneur privé pour les chefs d'Etat du Moyen-Orient, en Amérique latine et en Afrique. Il a été au centre de plusieurs controverses au fil des ans, et est un auteur très connu. Il ne fait aucun doute qu'il a accès à des renseignements au niveau de l'Etat qui lui donnerait une certaine perspective de cette affaire.

    Dans l'interview, Barril affirme que Berezovsky a travaillé en étroite collaboration avec le MI6 et la CIA pour discréditer la Russie et Poutine, et que des sommes importantes de ces organismes sont passées par les mains de Berezovsky à destination de personnes participant à ces efforts. Barril dit Litvinenko a été l'un des porteurs de valises de Berezovsky, pour porter les fonds aux destinataire.

    Extrait de l'interview:
    «La Russie n'a rien à voir avec (l'assassinat de Litvinenko). L'affaire a été fabriquée depuis le début. Le Polonium a été choisi comme poison parce que, en raison de sa production en Russie, il impliquerait la Russie. L'objectif de l'ensemble de l'opération était de discréditer le président Poutine et le FSB. Cela a été fait parce que la Russie bloque les intérêts américains dans le monde entier, en particulier en Syrie. Ce fut une tentative d'affaiblir l'emprise de Poutine sur le pouvoir, de déstabiliser la Russie « .
    Dans l'interview, Barril mentionne celui qui s'affiche ouvertement comme l'ennemi de Poutine, le financier William Browder, comme étant en étroite collaboration avec Berezovsky dans les efforts de discréditation. Il affirme aussi qu'il est sûr que Berezovsky a été assassiné par ses commanditaires des services secrets après que ceux-ci aient réalisé qu'il se comportait de façon erratique et qu'il fallait le réduire au silence avant qu'il n'aille tout balancer.

    Enfin, il dit qu'il mettra ses preuves à la disposition d'une enquête publique sur l'affaire si elle est menée par une personne crédible. Il suggère Carla del Ponte comme un bon choix pour le faire, parce qu'il est convaincu qu'elle n'est pas sous le contrôle de la CIA.

    Les allégations de Barril ne manqueront pas de soulever d'autres questions autour de l'assassinat de Litvinenko en 2006, qui a à nouveau fait la une des journaux en Janvier 2016, quand une enquête publique menée au Royaume-Uni dans cette affaire n'a pas réussi à rendre un verdict concluant.

    Le cas date d'il y a 10 ans, mais suscite toujours un très large intérêt du public en raison des ingrédients de mort mystérieuse sur fond d'espionnage : barbouzerie d'espions - contre-espions, empoisonnements radioactifs, accusations (qui ont été définitivement démystifiées) selon lesquelles Poutine lui-même aurait «probablement» ordonné l'assassinat, discothèques minables, un oligarque en disgrâce qui finit mort mystérieusement dans sa salle de bains, veuves éplorées mises en vedette, d'absurdes « show » de procès politisés, grandes postures de politiciens, et bien plus encore.

    Un auteur accompli dans le domaine des assassinats mystérieux aurait du mal à écrire quelque chose d'aussi surréaliste.

    http://fr.sott.net/article/27978-Le-capitaine-Barril-ancien-commandant-du-GIGN-accuse-la-CIA-et-le-MI6-dans-l-assassinat-de-Litvinenko

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  4. Trois signes du terrorisme international

    Manlio Dinucci
    Mondialisation Canada
    mer., 30 mar. 2016 15:32 UTC

    « L'ennemi obscur qui se cache dans les angles sombres de la terre » (comme l'avait défini en 2001 le président Bush) continue à broyer des victimes, les dernières à Bruxelles. C'est le terrorisme, un « ennemi différent de celui affronté jusqu'à présent », qu'on révéla en mondovision le 11 septembre avec l'image apocalyptique des Tours qui s'écroulaient. Pour l'éliminer, ce que Bush identifia comme « la colossale lutte du Bien contre le Mal » est encore en cours. Mais chaque fois qu'on coupe une tête de l'Hydre de la terreur, d'autres se forment.

    Que devons-nous faire ? Avant tout ne pas croire ce qu'on nous a raconté pendant presque quinze années. A commencer par la version officielle du 11 septembre, écroulée sous le poids des preuves technico-scientifiques, que Washington, n'arrivant pas à réfuter, liquide comme du « complotisme ».

    Les plus grandes attaques terroristes en Occident ont trois signes particuliers.
    Premièrement, la ponctualité.
    L'attaque du 11 septembre arrive au moment où les USA ont déjà décidé (comme le rapportait le New York Times le 31 août 2001) de déplacer en Asie le centre focal de leur stratégie pour contrecarrer le rapprochement entre Russie et Chine : moins d'un mois après, le 7 octobre 2001, sous prétexte de faire la chasse à Oussama Ben Laden commanditaire du 11 septembre, les USA commencent la guerre en Afghanistan, première d'une nouvelle escalade guerrière. L'attaque terroriste à Bruxelles survient quand les USA et l'Otan se préparent à occuper la Libye, sous le prétexte d'éliminer le groupe État Islamique (EI ou Daech) qui menace l'Europe.
    Deuxièmement, l'effet terreur :
    le massacre, dont les images défilent de façon récurrente devant nos yeux, crée une vaste opinion publique favorable à l'intervention armée pour éliminer la menace. Des massacres terroristes bien pires, comme à Damas il y a deux mois, passent par contre quasiment inaperçus.
    Troisièmement, la signature :
    paradoxalement « l'ennemi obscur » signe toujours les attaques terroristes. En 2001, quand New York est encore enveloppée par la fumée des Tours écroulées, sont diffusées photos et biographies des 19 auteurs des détournements membres d'al-Qaïda, plusieurs se trouvant déjà connus du FBI et de la CIA. Pareil à Bruxelles en 2016 : avant d'identifier toutes les victimes, on identifie les auteurs de l'attentat déjà connus par les services secrets.

    -- Commentaire : Malgré la répétition vertigineuse de ces" 3 signes" qui marquent de leur empreinte tous ces attentats aux scénarios si redondants qu'ils en donnent la nausée, les discours politiques et médiatiques, sempiternellement identiques, sont encore une fois gobés par la population qui continue de croire ce qu'elle entend et ce qu'elle voit. Comme un sortilège qui l'empêcherait de prendre conscience des invraisemblances débitées par les proclamations officielles, la voilà prête à retomber dans le même piège, choquée, apeurée, incapable de tirer les leçons du passé. --

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  5. Est-il possible que les services secrets, à commencer par la tentaculaire « communauté de renseignement » étasunienne formée de 17 organisations fédérales avec des agents dans le monde entier, soient tellement inefficients ? Ou est-ce au contraire les rouages de la stratégie de la terreur qui sont très efficients ? La main d'oeuvre ne manque pas : c'est celle des mouvements terroristes de marque islamiste, armés et entraînés par la CIA et financés par l'Arabie Saoudite, pour démolir l'Etat libyen et fragmenter celui de la Syrie avec le soutien de la Turquie et de 5 mille « foreign fighters » [combattants étrangers] européens qui ont afflué en Syrie avec la complicité de leurs gouvernements.

    Dans ce grand bassin on peut recruter aussi bien le commando suicide, persuadé de s'immoler pour une cause sainte, que le professionnel de la guerre ou le petit délinquant qui va être « suicidé » au cours de l'action, en faisant retrouver sa carte d'identité (comme dans l'attaque de Charlie Hebdo) ou en faisant exploser la charge avant qu'il ne se soit éloigné. On peut aussi faciliter la formation de cellules terroristes, qui alimentent de façon autonome la stratégie de la terreur en créant un climat d'état de siège, comme aujourd'hui dans les pays européens de l'Otan, qui justifie de nouvelles guerres sous commandement USA.

    Ou bien on peut recourir au faux, comme les « preuves » sur les armes de destruction massive irakiennes montrées par Colin Powell au Conseil de sécurité de l'Onu le 5 février 2003. Preuves qui se sont avérées fausses ensuite, fabriquées par la Cia pour justifier la « guerre préventive » contre l'Irak.

    -- Commentaire : Lire aussi:
    - Attentats de Bruxelles : pourquoi on n'a pas « fait le lien »
    - Histoire : le terrorisme des opérations sous fausse bannière
    - 11 signes pour reconnaître une opération sous fausse bannière --

    http://fr.sott.net/article/27979-Trois-signes-du-terrorisme-international

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    1. Ce qui m'a toujours fait marrer c'est (pour celles & ceux qui s'en souviennent), le 11 Septembre 2001, il y a eu un accident d'avion (car, au premier accident on ne parlait pas encore et ne pouvait pas parler d'attentat). Accident d'avion contre une tour. Bon, disons que si un train chute du haut d'un pont dans une vallée avec 3000 personnes à bord, çà va faire 30 secondes d'actualité et puis on passe au sport. Mais là... l'antenne est conservée !... Conservée durant des heures ! Cà alors ! Où l'on voit, l'on revoit, l'on re-revoit l'avion qui frappe une tour ! Pourquoi conserver l'antenne ?... Tout simplement parce que ils attendaient un second avion qui devait arriver ! (et aussi un troisième mais qui n'a pas frappé la tour n°7 qui s'est écroulé quand même !). Et, ce reportage était diffusé sur TOUTES les chaînes ! TOUTES ! Cà alors, plutôt bizarre, non pour un accident !

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  6. Chavez a-t-il été empoisonné par son garde du corps lié à la CIA ?

    Nil Nikandrov
    Strategic Culture
    lun., 14 mar. 2016 17:00 UTC
    Traduit par Poolan Devi, vérifié par Wayan, relu par Diane pour le Saker Francophone.


    La journaliste Eva Golinger (États-Unis - Venezuela) s'est interrogée à plusieurs reprises sur les circonstances suspectes entourant la mort du président vénézuélien Hugo Chávez. Le site aporrea.org cite sa déclaration: «Tout ce que Washington cherchait à atteindre au cours de l'administration de Hugo Chávez est aujourd'hui en train d'être réalisé en son absence. La maladie cancéreuse dont Chávez a souffert était inhabituellement agressive et suspecte, et chaque jour apporte plus de preuves qu'il est possible que Chávez ait été assassiné.»

    Les premiers signes de cancer ont été trouvés chez Chávez en mai 2011. En juin, il a subi deux interventions chirurgicales dans un centre spécialisé à La Havane. Ses chirurgiens cubains ont trouvé et enlevé une tumeur maligne qui avait métastasé avec une persistance sinistre, en dépit de toutes les mesures préventives. De nouvelles opérations ont été nécessaires. Cet homme athlétique, qui était plein de force et physiquement robuste, est décédé le 5 mars 2013 à l'âge de 58 ans.

    En s'étendant sur ce sujet, Eva Golinger écrit, «Il suffit de savoir qu'un homme qui avait été, depuis plusieurs années, l'un de ses plus proches collaborateurs, qui était souvent seul avec lui et lui a apporté sa nourriture, du café et de l'eau, est maintenant un témoin protégé aux États-Unis. Bientôt les actions secrètes de Leamsy Salazar et sa collaboration étroite avec les agences de renseignement à Washington seront dévoilées ».

    Le nom du garde du corps en chef de Hugo Chávez a rarement été mentionné dans les médias alors que le président était en vie. En raison de la nature de son travail, Leamsy Villafaña Salazar évitait la publicité, n'a pas aimé être photographié, et a essayé de rester dans l'ombre. Chávez le considérait comme un officier bolivarien fiable, incorruptible, et professionnel. Ce fut précisément de cette façon que le président l'a décrit dans une émission de télévision sur le coup d'État pro-américain tenté en avril 2002. Des conspirateurs avaient réussi à renverser Chávez pendant trois jours, mais avec le soutien du peuple et de l'armée, il est retourné triomphalement au palais présidentiel Miraflores.

    Depuis le toit de son palais, il a été accueilli par les militaires, parmi lesquels Salazar était facilement visible, agitant victorieusement le drapeau vénézuélien. Cette image est devenue le symbole de la victoire sur la contre-révolution.

    Curieusement, on connaît peu Salazar, et surtout à partir de sources américaines plutôt fermées. Il est né en 1974 dans une grande famille vivant à Petare, un quartier de taudis dans la capitale vénézuélienne. Après le lycée, il est entré dans l'académie navale, diplômé en 1998. Il était un étudiant médiocre, terminant 27e de sa classe de 55. Néanmoins, en 1999 Salazar a été choisi pour être faire partie de la garde d'honneur présidentielle Tito Rincón Bravo, le ministre vénézuélien de la Défense et le père de la première femme de Leamsy, a joué un rôle important dans cette nomination. Salazar est devenu un assistant personnel de Chávez. Ce travail comportait une charge de travail très intense, en raison du rythme effréné de la vie du président.

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  7. Après les événements de 2002, Salazar a été inopinément affecté à une base navale dans les provinces - à Punto Fijo (État de Falcón) - mais en 2006, Chávez a ordonné le retour de Salazar à ses anciennes fonctions de sécurité.

    Après la mort de Chávez, Salazar a assuré la sécurité pour le président de l'Assemblée nationale, Diosdado Cabello. Mais des bizarreries dans le comportement de Salazar ont mis Cabello mal à l'aise. A cette époque, le débat faisait rage sur les causes de la mort de Chávez et les personnes qui pourraient avoir été impliqués, et ainsi Cabello a finalement demandé au ministre de la Défense de transférer Salazar à un autre poste. À un certain moment au cours de cette période, Salazar s'est marié une fois de plus. Sa nouvelle épouse était Anabel Linares Leal, diplômée de l'académie militaire, qui avait reçu son épée d'officier des mains même du président Chávez. Pendant un certain temps Anabel a travaillé aux comptes financiers des forces armées vénézuéliennes à Banco Bicentenario, ce qui signifie qu'elle a eu accès à des informations secrètes sur les achats d'armes à l'étranger. Les jeunes mariés ont demandé l'autorisation de se rendre en République dominicaine pour leur lune de miel. Cette autorisation a été accordée et le couple a directement rejoint Saint-Domingue, mais de là, il a pris un avion pour l'Espagne. Un avion spécial appartenant à la Drug Enforcement Administration (DEA) (lutte contre la drogue) a ramené Salazar et sa famille d'Espagne aux États-Unis.

    Voici comment Emili J. Blasco, un correspondant à Washington pour le journal espagnol ABC qui a souvent servi de porte-parole à la propagande des services de renseignement des États-Unis, a décrit l'évasion de Salazar. Il a affirmé que, en Espagne, les Américains avaient soumis les Salazar à de longs interrogatoires afin de déterminer les «véritables objectifs de leur rupture avec le régime».

    Les histoires sur Salazar dans les médias internationaux, qui étaient semblables dans le ton et provenaient manifestement de la même source, soulignent que, quand Chávez était vivant, Salazar avait été un «bolivarien engagé», mais que, après sa mort, Salazar avait décidé de rompre avec le régime. Par conséquent, Salazar avait tenu des négociations secrètes avec la DEA pendant 13 mois, non seulement pour organiser son évasion, mais aussi pour obtenir certaines promesses concernant sa propre sécurité, ainsi que celle de sa femme et de ses enfants. Mais la CIA n'est pas mentionnée, seulement la DEA. La raison en est claire - la CIA est une agence d'espionnage, et tout indicateur de possibles liens secrets de longue date avec ce «bureau de tueurs à gages» était quelque chose que les protecteurs de Salazar ont essayé d'éviter, sachant que le SEBIN (Servicio Bolivariano de Inteligencia Nacional de Venezuela), agence de contre-espionnage du Venezuela, allait enquêter sur l'histoire de son implication dans l'assassinat de Chávez.

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  8. Maintenant, le couple est aux États-Unis, vivant sous protection fédérale, et ils donnent des témoignages sur un large éventail de questions, mais surtout sur la participation des différentes figures du régime bolivien dans le trafic de drogue, y compris les chefs militaires. Il faut garder à l'esprit que, bien avant que Salazar ne réalise son évasion, les agences de renseignement américaines avaient commencé à planter de fausses informations dans les médias sur l'existence d'un soi-disant Cartel des soleils (Cartel de los Soles), qui aurait été dirigé par Diosdado Cabello et un groupe de généraux vénézuéliens ayant des liens avec lui. Cabello a été compromis, en tant que mesure préventive, parce que les agences de renseignement américaines l'ont vu comme le successeur le plus probable de Chávez, mais ayant des opinions plus radicales anti-américaines. Immédiatement après son évasion, Salazar a été recruté dans cette campagne de dénigrement contre Cabello. Certains des renseignements obtenus à partir de Salazar (ou plutôt de ses gestionnaires dans la CIA et la DEA) ont été utilisés par Emili J. Blasco dans son livre Bumeran Chávez, qui a été publié simultanément à Washington et à Madrid en Avril 2015.

    En particulier, Salazar a raconté comment il avait accompagné Diosdado Cabello dans une excursion au cours de laquelle il avait été témoin de la «participation directe» du chef du parlement (!) dans la répartition, tard le soir, de la drogue dans des vedettes rapide dans la péninsule de Paraguana, État de Falcón. À qui ces drogues étaient destinées et pourquoi cela a été fait si près des îles d'Aruba et de Curaçao, où le Pentagone a des postes de surveillance, ainsi que des stations de la CIA et des bureaux de la DEA, Salazar ne l'a pas expliqué. Basé sur le commentaire de Blasco, on peut conclure que les bateaux se dirigeaient vers Cuba! De plus, Salazar a affirmé que tout en accompagnant Cabello, il a également eu l'occasion de voir ses «coffres secrets blindés remplis de monnaie américaine», avec des «montagnes sur montagnes de billets, du sol au plafond». C'est à cela que la cachette d'un seigneur de la drogue ressemble dans un film de Hollywood. Selon le récit de Salazar - ou plutôt, l'histoire de couverture que les services de renseignement américains rêvaient pour lui - les problèmes rencontrés par l'un des gardes qui a refusé de prendre part aux trafic de drogue ont été la goutte faisant déborder le vase, ce qui a suscité la décision de Salazar de fuir : «Ils menaçaient d'exterminer physiquement l'homme ».

    Les médias pro-américains font tout leur possible pour dissimuler les questions qui se posent inévitablement sur la participation de Salazar dans les préparatifs de l'assassinat de Chávez. Ils prétendent qu'il ne peut y avoir aucun doute sur Salazar : il a honorablement servi le régime et idolâtré Chávez jusqu'à ce qu'il réalise que ceux immédiatement au-dessus de lui étaient mêlés au trafic de drogue. Toutefois, l'enquête menée par SEBIN soulève des doutes quant à «l'attitude impeccable» de Salazar. Même sa mère a admis que le travail de Leamsy dans la garde présidentielle pesait lourdement sur lui. Mais il n'était pas pressé de se séparer de Chávez, parce que le premier employeur de Salazar était quelqu'un d'autre, et ces gens ont insisté pour qu'il s'acquitte strictement de ses fonctions.

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  9. De récentes révélations médiatiques au sujet des liens entre le Cartel des soleils du Venezuela et le cartel de Sinaloa ont démontré l'imagination et la verve avec laquelle les agences de renseignement américaines fabriquent des affaires, avec l'intention de compromettre leur ennemi. Prétendument, Chapo Guzmán était lui-même au Venezuela en août et septembre 2015, afin de discuter des projets communs. Il a été fait mention de ses voyages pour business dans le pays en 2009 et 2010 et de la nature chaleureuse de ses relations avec le général Hugo Carvajal, un proche collaborateur de Diosdado Cabello. C'est le même Carvajal que la DEA a essayé d'enlever sur l'île d'Aruba durant l'été 2014 - en dépit de son passeport diplomatique - et de l'embarquer pour les États-Unis comme trafiquant de drogue. Les fonctionnaires de l'île ont empêché que cela se produise, et le général retourna au Venezuela, où il fut accueilli par le président Maduro, Diosdado Cabello, et d'autres leaders bolivariens comme un héros. Il serait naïf de penser que la chasse de la DEA pour Carvajal soit terminée. Il est toujours sur leur wanted liste en raison de preuves fabriquées par des agents américains. Cette liste comprend également les noms d'autres personnes que la DEA a identifiées comme les meneurs du Cartel des soleils.

    Les déclarations de Salazar sont fortement en désaccord avec l'image de l'honorable patriote qu'il avait déjà cultivé. Tout à fait révélatrices sont les allégations de Salazar que Chávez est mort non pas en mars 2013, mais en décembre 2012. Apparemment toute la famille de Chávez a pris part à cette ruse, ainsi que les membres du gouvernement bolivarien, les dirigeants de Cuba, et le contre-espionnage cubain. Cela a été fait afin de préserver la continuité de l'autorité du gouvernement de servir les intérêts des factions de Maduro. Ainsi, chaque décret et résolution signée par le président après Décembre peuvent être déclarés frauduleux, et illégal le gouvernement Maduro.

    Pendant ce temps, le brouhaha des rapports des dirigeants vénézuéliens avec les affaires de drogues se fait plus fort. Le plan conçu par le renseignement américain est tout à fait évident : distraire le grand public du fait que Salazar soit le candidat le plus susceptible d'avoir tué Chávez. Les médias bolivariens appellent Salazar «Juda». Les agences officielles (et non officielles) au Venezuela recueillent des preuves de ses activités criminelles, ses réunions clandestines avec des représentants de la CIA et de la DEA, et la possibilité qu'il ait donné l'information aux Américains des itinéraires de voyage du président et des individus qu'il avait prévu de rencontrer, ainsi que des données biologiques de Chávez.

    Les Américains font de leur mieux pour empêcher ce travail. A Madrid, par exemple, la station de la CIA a fabriqué une crise entourant le personnel vénézuélien de l'attaché du Bureau de la Défense, les accusant d'espionnage au profit des membres de l'opposition. Mais bien sûr, la vraie question est tout à fait différente - la menace de révélations sordides au sujet de l'assassinat de Chávez. À l'heure actuelle, il est difficile de dire exactement qui va révéler toute la vérité. Cela pourrait finir par être un idéaliste comme Snowden - quelqu'un qui considère que lyncher un homme politique comme cela est inacceptable. Il y a espoir qu'une incitation matérielle puisse se révéler efficace : les dirigeants du Venezuela ont décidé d'offrir une récompense financière pour toute information spécifique sur les personnes qui ont coordonné et exécuté l'assassinat de Hugo Chávez.

    http://fr.sott.net/article/27977-Chavez-at-il-ete-empoisonne-par-son-garde-du-corps-lie-a-la-CIA

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  10. Présentation, « The Company qui a soudoyé le monde »

    Soumis par Tyler Durden le 30/03/2016 21:01 -0400

    Cela ne viendra pas exactement comme une surprise : l'industrie pétrolière mondiale est corrompu.

    Nous parlons, après tout, de la marchandise plus financiarisée dans l'histoire du monde, et jusqu'à il ya quelques années, elle a été contrôlée par un cartel constitué entièrement des Nations Unies dirigés par les caricatures et les stéréotypes que le public occidental est généralement considéré comme une sorte de mal nécessaire dans un monde qui tourne autour de combustibles fossiles.

    Plus récemment, nous avons vu comment le pétrole finance le terrorisme et comment les prix du pétrole brut sont manipulées par les monarchies du Golfe pour garantir « des prestations accessoires diplomatiques » dans la quête sans fin pour perpétuer l'hégémonie sunnite dans la péninsule arabique.

    En bref, le prix du sang et l'argent du pétrole sont des concepts synonymes et à la fin de la journée, tout conflit géopolitique, qui ne peut s'expliquer par le sectarisme, tribalisme ou certains autre rift culturel ancien, très probablement s'explique par un différend sur l'énergie.

    Compte tenu de ce qui précède, nous n'étions pas du tout choqués d'apprendre qu'un jusqu'ici obscue firme basée à Monaco a fait une mise à mort en perfectionnant l'art de la corruption de marché de l'huile et la corruption. Mais même si l'histoire n'est pas surprenante, c'est quand même intriguant et dans cet esprit, nous présentons ci-dessous des extraits de «la compagnie la Bribed le monde, « un ouvrage collaboratif Huff Post et Fairfax Media.

    * * *

    Depuis le Huffington Post

    Une fuite massive de documents confidentiels a exposé pour la première fois la véritable ampleur de la corruption au sein de l'industrie pétrolière, impliquant des dizaines d'entreprises leaders, les bureaucrates et les politiciens dans un sophistiqué web mondial de la corruption et de la greffe.

    Après une enquête de six mois sur deux continents, Fairfax Media et The Huffington Post peuvent révéler que des milliards de dollars de contrats du gouvernement ont été attribués comme le résultat direct des pots-de-vin versés au nom d'entreprises dont icône britannique Rolls-Royce, US géant Halliburton, Australie Holdings Leighton et lourds coréens Samsung et Hyundai.

    Les centres de l'enquête sur une société de Monaco, appelée Unaoil, dirigée par le clan de Ahsani jet-set. Suite à une annonce codée dans un journal Français, une série de réunions clandestines et les appels téléphoniques de minuit a conduit à nos reporters obtenir des centaines de milliers d'e-mails fuites de l'Ahsanis et des documents.

    La mine d'or révèle comment ils se côtoient avec la royauté, partie dans le style, moquent des organismes de lutte contre la corruption et exploitent un réseau secret de fixateurs et intermédiaires tout au long de pétrole au monde, produisant des Nations Unies.

    (suite en dessous:)

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  11. Les fichiers fuites exposent que corrompre deux ministres du pétrole irakien, un fixateur liés au dictateur syrien Bachar al-Assad, hauts fonctionnaires du régime de Kadhafi de la Libye, les chiffres de pétrole iranien, fonctionnaires puissants Émirats Arabes Unis et un opérateur koweïtien, connu comme « le gros fromage ».

    C'est la société de Monaco qui presque parfaite de l'art de la corruption.

    Il s'appelle Unaoil et il est géré par les membres de la famille Ahsani - Monaco millionnaires qui se côtoient avec les princes, cheikhs et foule d'élite d'affaires de l'Europe et l'Amérique. À la tête est le patriarche de la famille Ata Ahsani et ses deux fils fringants, Cyrus et Saman.

    Les organismes de bienfaisance soutiennent les arts et les enfants, et Ahsani membres de la famille siègent sur le Conseil des ONG avec les ex-politiciens et milliardaires. Il y a dix ans, une feuille de calcul a montré qu'ils avaient des liquidités, des actions et des biens d'une valeur de 190 millions d'euros. Ils sont membres de l'élite mondiale.

    Des banquiers à New York et à Londres ont facilité Unaoil le blanchiment d'argent, tandis que les Ahsanis ont bâti une entreprise de placement de matériels importants au centre de Londres. Depuis 2007, Unaoil a été certifié par l'Agence anticorruption Trace International. En soi, cela soulève de sérieuses questions quant à la valeur de ces accréditations internationales.

    Mais pour les entreprises occidentales confrontées à des questions en vertu de lois de corruption étrangère dans leur propre juridiction, Unaoil semble être un homme moyen, bonne réputation et discret, donnant énumérés entreprises dite « déni plausible ».

    Irak
    Après que la coalition nous a conduit a remporté la deuxième guerre du Golfe, il est allé à la garde du ministère du pétrole - laissant sans défense pour être pillée de ses trésors du Musée de Bagdad.
    Mais ils n'ont pas épargné l'industrie pétrolière des voleurs. Le Unaoil dossiers révèlent que les sociétés Western, de concert avec la nouvelle élite de l'Irak, eux-mêmes ont commencé une campagne soutenue de pillage.

    Unaoil payé au moins $ 25 millions de pots de vin via des intermédiaires pour obtenir le soutien des représentants du puissants - tout en se plaignant à l'interne qu'ils étaient "trous du cul et gourmand".

    Entre 2004 et 2012, Unaoil influencé par corruption un Bottin mondain de l'industrie pétrolière du pays : le vice-premier ministre irakien a transformé l'enseignement ministre Hussain al-Shahristani ; Ministre du pétrole Abdul Kareem Luaibi (qui fut remplacé en 2014) ; le directeur général de la South Oil Company, Dhia Jaffar al-Mousawi, qui, en 2015, est devenu un sous-ministre ; et huile top officiel Oday al-Quraishi.

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  12. Iran

    Tout fonctionne et progresse sur les connexions, les relations avec talent spécial". Ainsi écrivait un fixateur iranien, fait partie du réseau remarquable de Unaoil d'initiés dédiés à payer et empoché des pots de vin. Après l'assouplissement récent des sanctions des Nations Unies, américains et européens, ce réseau est devenu encore plus précieux.

    En 2006, cette Unaoil du dispositif s'est plaint dans les courriels qu'un des clients de la société, UK Cabinet Weir Pumps (maintenant détenue par US ferme SPX), lui devait des centaines de milliers de dollars qu'il avait promis d'utiliser en partie pour fronde à d'autres personnes en Iran.

    « [Il] est la fin du nouvel an iranien, attentes élevées, que je suis à court de trésorerie et environ 5 millions de livres d'affaires avec Weir [est] en danger... Parce que je ne peux pas remplir mes obligations à mon équipe de Supporters. »

    Si l'argent n'était pas venir, a-t-il averti, Weir Pumps risquait de « fondre comme un morceau de glace, jour après jour ».

    ".. .plus moitié 1 million de dollars de mes honoraires de consultants... J'ai déjà dépenser pour la promotion de leurs activités en Iran."

    Partie d'un ensemble distinct de mémos fuites depuis 2006, a déclaré Qu'unaoil paierait "10 k/mois » pour garantir la prise en charge de l'administrateur délégué d'une société présidée par un haut rang responsable iranien, appartenant à une entité du gouvernement iranien et supervisé par un Conseil avec"influence politique".

    Libye

    En 2004, quand l'Occident a commencé à lever les sanctions contre la Libye et le régime du Colonel Gaddafi a commencé à traiter avec des sociétés étrangères, Unaoil est prête.

    En 2011, son réseau d'initiés corrompus inclus fonctionnaires et hommes de front en mesure d'influencer les relations d'un grand nombre d'huile plus importante de la Libye et les agences de gaz.

    Fin 2008, une canadienne de forage ferme, Canuck achèvements, dit Unaoil c'était "curieux de savoir... quel type de bakchich est nécessaire pour présenter à ces hommes afin d'obtenir le travail" en Libye.

    Parmi les initiés corrompus de Unaoil était le fonctionnaire libyen puissant, Mustafa Zarti, un confident pour le régime de Kadhafi. Les fichiers de Unaoil décrivent Lucie comme "bons amis du Président Ghadafi [sic] fils de la Libye et ont beaucoup d'influence en matière de lobbying les emplois en Libye". Unaoil a accepté de verser secrètement Lucie des millions de dollars. En retour qu'il userait de son influence pour les clients de l'avantage Unaoil.

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  13. "MZ [Lucie] siège au Conseil de LFIC [Comité des investissements étrangers libyen]... qui contrôle... Fonds pétrolier (6 milliards$)... Il voit son rôle comme nous l'exécution et lui fixant les problèmes que nous rencontrons. MZ a accepté d'apporter tout son pétrole et gaz de travail pour nous, » un septembre 2006 Unaoil mémo dit.

    Des clients multinationaux de Unaoil en Libye comprenaient Ranhill géant malaisien, conglomérat coréen ISU et espagnol d'entreprises Tecnicas Reunidas.

    La Syrie et l'Yémen

    En Syrie, Unaoil s'est tourné vers un intermédiaire proches du régime du président syrien Bachar al-Assad.

    En 2008 et 2009, Unaoil a promis l'homme qui a aidé son client britannique Petrofac victoire contrats de compagnies de pétrole pour le régime Assad 2,75 millions d'euros. « Strictement confidentiels » mails de 2008 montrent cet intermédiaire a promis de payer d'autres pour remporter ces contrats.

    Mais quand il n'était pas payé à temps, il s'est plaint que les retards causaient des problèmes avec les « amis » en Syrie.

    "Il devient très désagréable [sic] pour moi ne pas produire comme prévu", écrivait-il à Unaoil en décembre 2009.

    Petrofac est censé être au courant de la participation de Unaoil dans ses rapports syriens et en réponse aux questions, dit il « aspire à des normes élevées de comportement éthique ».

    Au Yémen, Unaoil a payé des millions à a. compte Suisse appartenant à fixateur et homme d'affaires Haitham Alaini, le fils de l'ex-premier ministre yéménite. En retour, Alaini utilisé ses contacts au Yémen pour aider Unaoil.

    http://www.zerohedge.com/news/2016-03-30/presenting-company-bribed-world

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  14. Les Etats-Unis et la Chine s'effondrent dans le piège de Thucydide

    Soumis par Tyler Durden le 30/03/2016 18:30 -0400
    Soumis par Simon Black via SovereignMan blog

    Dans son histoire de la guerre du Péloponnèse, ancien historien grec Thucydide nous a raconté l'histoire d'une puissance régionale dominante (Sparte) qui se sont sentis menacée par la montée d'une compétence concurrente (Athènes).

    Sparte se sent alors menacé, en effet, tous les coups, qu'ils ont fait pour maintenir la hausse athénienne en échec finalement dégénéré de la lutte pour le pouvoir dans un all out War

    Les scientifiques politiques modernes appellent cela le piège de Thucydide.

    L'idée est que, quand, par crainte, une puissance dominante prend certaine mesures pour garder son concurrent aux abois, ces actions finalement conduisent à la guerre entre les deux.

    Il y a beaucoup d'inquiétude que les Etats-Unis et la Chine vont tomber dans le piège de Thucydide.

    C'est certainement une préoccupation valable. Les deux sont des superpuissances nucléaires avec certains des plus grands militaires dans le monde.

    Mais en 2016, modern warfare n'est sur les chars et les porte-avions plus. Modern warfare est insurgé, cyber et financier.

    En fait, si vous regardez l'état du système financier et l'affrontement tactique entre les Etats-Unis et la Chine, il est clair que les deux sont déjà dans un piège de Thucydide.

    Cette lutte pour le pouvoir mène à une guerre financière aux proportions nucléaire ; et comme avec n'importe quelle guerre, il y aura beaucoup de victimes.

    Un peu plus ces derniers mois, nous avons vu de nombreux échanges de tirs entre les deux nations.

    - Le gouvernement américain revendique une compétence juridique sur la Bank of China, une des plus grandes banques sur le continent.
    - La Chine a lancé la Banque d'investissement Infrastructure asiatique, une banque supranationales conçue pour rivaliser avec le FMI, dominée par l'Occident.
    - Les Etats-Unis sur la liste noire une des plus grandes compagnies de telecom de la Chine, interdisant à toute société américaine de commercer avec la de Chine ZTE.
    - La Chine a rapidement étendu son réseau mondial de paiement, UnionPay pour devenir un concurrent direct avec les systèmes occidentaux comme Maestro, Visa et Mastercard.

    Et n'oubliez pas que la Chine pourrait déclencher son option nucléaire à tout moment – dumping sa vaste piscine billion + de dette du gouvernement américain, qui pourrait provoquer une crise majeure pour le dollar américain.

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  15. C'est un peu triste, parce que presque toutes les actions du gouvernement américain seulement s'aggrave le conflit plus loin... et les chinois avec impatience emboîteront le pas.

    Voilà comment commence la troisième guerre mondiale. Et il sera financier.

    Ecoutez podcast d'aujourd'hui et découvrez comment ce conflit va se dérouler... et comment faire pour ne pas se retrouver comme des dommages collatéraux.
    (cliquez sur l'image pour le lien vers le podcast sur site:)

    http://www.zerohedge.com/news/2016-03-30/us-china-are-collapsing-thucydides-trap

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    1. (...) Et n'oubliez pas que la Chine pourrait déclencher son option nucléaire à tout moment (...) ??! HAHAHAHAHA !

      Le nucléaire est obsolète depuis plus de 40 ans et est remplacé par le scalaire.

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  16. Attention le président Obama : Un tiers des ménages américains ne peuvent plus payer nourriture, location et transport

    Soumis par Tyler Durden le 30/03/2016 14:38 -0400

    Alors que la Fed a longtemps mis l'accent sur le volet recettes de la déclaration de revenu du ménage (qui malheureusement a été n'augmente pas presque assez rapide pour stimuler l'inflation bénigne sous forme de salaires nominaux s'élevant à clip préféré de la Fed de 3,5 % ou supérieur), on a largement ignoré les aspects de ladite clôture de l'exercice a été le côté frais : après tout, pour n'importe quel argent pour subsister et sauvé , revenu doit dépasser les dépenses. Toutefois, selon une nouvelle étude de Pew frappante tandis que les dépenses des ménages sont revenue aux niveaux d'avant la récession (le ménage moyen dépensait $ 36 800 en 2014) des revenus n'ont pas.

    Plus précisément, alors que le revenu médian avait chuté de 13 % des niveaux de 2004 durant la prochaine décennie, les dépenses avaient augmenté de près de 14 %. Mais personne n'a été plus touché que le tiers des ménages dont l'étude se définit comme « faible revenu ». Pew constate que tous les ménages étaient moins mou dans leurs budgets en 2014 qu'en 2004, ménages à faible revenu s'écoulèrent dans le rouge plus $ 2 300.

    En d'autres termes, environ un tiers des ménages américains n'étaient plus en mesure de couvrir les nécessités de base - nourriture, logement et transports - dont le revenu moyen.

    Selon Pew, les ménages ont dépensé plus en 2014 qu'en 1996, après ajustement pour l'inflation ; Cela vaut si les chiffres sont basés sur (moyens) les moyennes ou médianes. La scie ménage typique, ses dépenses augmenter de plus de 25 %, de $ 29 400 en 1996 pour $ 36 800 en 2014. Dépenses moyennes ont augmenté de 27 pour cent depuis 1996, passant de $ 43 200 à $ 54 800.

    Le problème est que revenus n'ont pas suivi : de 2004 à 2008, revenu médian des ménages a augmenté de seulement 1,5 %, alors que les dépenses médians a augmenté d'environ 11 %. Durant cette période, le ratio de dépenses d'exploitation (le pourcentage du budget d'un ménage utilisé pour les dépenses) ont bondi de 9 %. La reprise a commencé, les dépenses des ménages médians usagés aux niveaux d'avant la crise, mais le revenu médian des ménages a continué à se contracter. En 2014, revenu médian avait chuté de 13 % de niveaux de 2004, tandis que les dépenses avaient augmenté de près de 14 pour cent. Cette modification du rapport de dépenses d'exploitation dans les années qui ont suivi la crise financière est une indication claire du pourquoi et comment les ménages se sentent financièrement tendues.

    Pire encore, comme le montre le tableau ci-dessous, en 2004, les ménages typiques au bas avaient $ 1 500 du revenu restant après frais. En 2014, ce chiffre avait décru par $ 3 800, plaçant $ 2 300 dans le rouge. Notes comme Pew, "le manque de souplesse financière menace la sécurité financière des ménages à faible revenu à court terme et leur mobilité économique à long terme", comme nous aimerions ajouter, ce qui les rend efficaces pupilles de l'État à être manipulé par des politiciens démagogue avec des promesses de documents à distribuer gratuites.

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  17. Mais peut-être le pire de tout est que les ménages américains typiques dans le centre de l'aire de répartition du revenu, aka Amérique du vrai de la bourgeoisie, ont vu leurs revenus après sa rencontre avec toutes les dépenses (alias restes savings) plongent de 17 000 $ en termes réels, il y a une dizaine d'années à un montant dérisoire de 6 000 $ à compter de 2014, un plongeon de 65 % !

    Quelle était la raison de cette forte baisse en un revenu résiduel et saut en frais ? Selon Erin Currier, directeur de projet chez Pew Charitable Trusts, "au fil du temps, [groupes à faible revenu] passent constamment sur plus de transports et du logement sur beaucoup plus. »

    Cependant, le plus grand coupable s'envolent de loin, les frais de location: "locataires inférieurs de revenu consacrent près de la moitié de leur revenu au loyer, tandis que les groupes de revenu supérieur consacrent environ 15 % sur le loyer. La disparité montre vraiment que les familles à faible revenu n'ont beaucoup de mou dans leurs budgets pour améliorer la mobilité des investissements comme épargne et bâtiment de richesse. »

    Ce qui est particulièrement remarquable est le saut substantiel des dépenses médianes en 2014 juste. C'était surtout à cause d'une étrange flambée des loyers :

    Pour une famille de quatre (deux salariés et deux enfants), tandis que revenu médian des ménages a augmenté par environ 10 000 $ entre 1996 et 2014, les dépenses annuelles également a augmenté d'environ le même montant, en grande partie grâce à l'augmentation des dépenses pour les besoins de base : logement, nourriture et transports. Même si la variation absolue en recettes et dépenses était semblable, cette famille avait moins mou dans son budget en 2014 qu'en 1996, que son ratio de dépenses d'exploitation ont augmenté de 71 pour cent à 75 pour cent.

    La raison de sans précédent demandant des loyers a été largement couverte ici avant ; Voici prendre Pew :

    Depuis le début de la crise du logement en 2007, le taux d'accession à la propriété ont diminué chez les ménages dans les niveaux de revenu moyen et supérieur. Ces baisses ont affecté le marché de la location, comme les anciens propriétaires sont devenus locataires, conduisant à des taux de vacance de location à des niveaux historiquement bas inférieur à 7 %. L'offre réduite de biens locatifs ont augmenté le coût de location du logement considérablement ; en 2014, locataires à chaque échelon de l'échelle de revenu a consacré une part plus élevée de leur revenu sur le logement qu'ils avaient dans n'importe quelle année depuis 2004. Bien que les locataires et les propriétaires ont dépensé davantage pour le logement en 2014, des différences notables dans la proportion des ressources du ménage va abriter étaient visibles à travers les groupes de revenuavec faible revenu locataire ménages passer près de la moitié de leur revenu avant impôt sur le loyer.

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  18. Ceci, ainsi que notre précédent rapport que plus en plus les ménages américains ne peuvent pas se permettre d'acheter une maison, devrait mettre fin à toute spéculation si ceux qui soulignent la détérioration chronique de l'économie pour tout le monde, pas seulement les 1 % qui vraiment s'en sortent mieux que jamais, sont "colportage fiction. »

    Conclusion de Pew confirme exactement cela.

    Le montant de mou que familles avaient diminué, dans leurs budgets, pour tous les groupes de revenu entre 2004 et 2014. Cela signifie que les ménages avaient un revenu moins de consacrer aux investissements de l'enrichissement, tels que les économies à court et à long terme, d'éducation et d'assurance-vie. En 2004, le ménage typique dans la partie inférieure avait troisième un peu moins de $ 1 500 laissés après comptabilisation des dépenses annuels. Tout juste 10 ans plus tard, ce montant était tombé à négatif 2 300 dollars, une baisse de $ 3 800. Ces ménages ont pu utiliser des économies, obtenir de l'aide de la famille et les amis, ou crédit permet de financer les dépenses de ménages annuels réguliers. Ménage typique au milieu troisième vu sa chute mou de 17 000 $ en 2004 à 6 000 $ en 2014. À noter, car le revenu est calculé avant les taxes, certaines familles auront eu encore moins mou dans leurs budgets qu'implique ce chiffre.

    Une dernière remarque : dans le paragraphe ci-dessus, remplacez « mou » par « économies » pour une description précise de ce qui se passe.

    Source : Pew Trusts

    http://www.zerohedge.com/news/2016-03-30/attention-president-obama-one-third-us-households-can-no-longer-afford-food-rent-and

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  19. Nous devenons une Nation d'escrocs argentés ?

    Soumis par Tyler Durden le 30/03/2016 14:24 -0400
    Soumis par Bill Bonner de Bonner & Partners (annoté par intérim-Pater Tenebrarum de Man.com),

    Un effet salutaire
    « Ike et Dick Sure à, cliquez sur » était un slogan électoral passionnant. Leurs opposants démocratiques, Adlai Stevenson et Estes Kefauver, eu leur jingle campagne chic, aussi: "Adlai et Estes... Ils sont les Bestes. »

    Certes, les hommes derrière ces slogans avaient leurs appétits privés et les perversions. Mais ils ont gardé leur à eux-mêmes. La campagne électorale présidentielle de 1956 était une affaire terne.

    Google "Épouse de Adlai Stevenson" et vous obtiendrez seulement les renseignements biographiques strict. Mais Google « Melania Trump » ou « Heidi Cruz »... oh la la ! Juste être sûr, qu'il n'y a pas d'enfants autour.

    Miroir, miroir sur le mur, qui est le plus beau de tous ? La réalité électorale de TV est ici !

    C'est tout ça à l'air libre maintenant. Il s'agit de l'élection plus divertissante dans l'histoire des Etats-Unis... et le premier épisode de la réalité la démocratie, dans lequel l'objectif – ou l'effet – seulement apparent est à monter les cotes.

    Quand nous étions au lycée, le professeur nous a dit que « tout le monde dans cette salle de classe pourrait grandir pour être président. » Nous avons regardé autour de la salle avec crainte et d'appréhension. Mais maintenant il semble comme si elle avait raison.

    Mais cette élection devrait avoir un effet très salutaire sur le public : personne ne sera jamais reprendre une élection sérieusement.

    Escrocs argentée
    Le dimanche de Pâques, nous avons rencontré un homme intelligent qui a avoué avoir voté pour Donald Trump dans la primaire de Floride. Bien sûr, nous voulions savoir : ce qu'il pensait ? Pour en savoir plus à ce sujet dans un instant...

    Un titre dans le papier d'hier nous a secoué de l'élection. "Retraités de dur-vers le haut du Japon se tournent vers la criminalité", commence le titre dans le Financial Times.

    Un gang de récidivistes âgés dans une prison japonaise. Nous nous excusons pour utiliser un type de mot grêle ici.

    Après des années de QE (quantitative easing), ZIRP (politique de taux d'intérêt zéro), INEP (politique de taux d'intérêt négatif) et Abenomics (premier ministre japonais Shinz ? Axés sur la relance économiques politiques Abe) – c'est à dire, tous les écarts-types des banques centrales modernes – les personnes âgées japonaises doivent maintenant briser la Loi... pour obtenir « gratuit logement et derrière les barreaux. »

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  20. Est ce qui arrive aux États-Unis ? « Oui, » est la réponse sécuritaire. Le Japon a été qui nous attend lors de ce voyage ensemble. Son marché boursier s'est écrasé en 1989. Cela conduit à une grande récession, dont les autorités s'est battues comme l'armée impériale, la défense d'Okinawa. Les décideurs japonais a inventé QE... et depuis 26 ans, ils ont eu lieu des taux d'intérêt proche de zéro.

    Les taux d'intérêt japonais et le Nikkei – l'ancien sont maintenant égale ou inférieure à zéro, les restes de ce dernier environ 60 % au-dessous de son tous les temps fait plus de 26 ans – cliquez pour agrandir.

    Shinz ? Abe est devenu premier ministre spécifiquement à la fin de marasme quart-siècle-long du Japon. Il a échoué. Les « trois flèches » de sa plate-forme Abenomics – relance budgétaire, assouplissement monétaire et la réforme structurelle – semblent avoir conduit les défenseurs encore plus à terre.

    Choix difficiles
    Maintenant, il devrait, être évident pour tout le monde que William McChesney Martin a eu raison. Comme le neuvième président de l'Assemblée des gouverneurs de la réserve fédérale, il était l'homme de service pendant le cycle de l'élection de 1956.

    Et il était l'homme responsable de la « normalisation » des taux d'intérêt, après les temps de guerre de la Fed traiter avec le Conseil du Trésor pour aider à financer le déficit avec des taux très faibles. Certains craignaient que cela déclencherait une catastrophe économique. Mais Martin a vu clairement que ses homologues du XXIe siècle préfère aller aveugles que voir :

    "Sous les choix difficiles qui nous reste en temps de guerre, nous avons dû dicter même certains des moindres détails de notre vie économique, mais ce chemisage du détroit de l'économie est tout à fait incompatible avec les institutions démocratiques et un système d'entreprise privée...

    Dans un marché libre, le taux peuvent aller vers le bas, ainsi que vers le haut et ainsi effectuer leur propre fonction dans le mécanisme des prix. Taux d'argent dicté breed prix dictés tout dans tous les domaines."

    Il a ensuite décrit les conséquences de ce qui allait devenir la dictature de l'argent de Bernanke-Yellen :

    [N] ous n'aurait aucune sauvegarde fiable contre l'érosion de nos économies, nos pensions, nos polices d'assurance vie – la capitale sur laquelle reposent les institutions du secteur privé...

    Jusqu'à présent, M. Bernanke et Mme Yellen semblent avoir la question sous contrôle. Nous ne voyons aucun érosion de la valeur de nos actifs financiers. Au lieu de cela, actions et obligations ont augmenté dans le prix.

    Mais les compagnies derrière eux sont maintenant incrustées de balanes copinage comme un vieux bateau. Le bateau ralentit... et rides plus faible et plus faible dans l'eau. Réel du capital formation décline... productivité éviers... salaires stagnent...

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  21. Et puis, vous avez des gens qui reçoivent les plus pauvres, pas plus riche... et escrocs argentée... désespérée d'être derrière les barreaux, où ils trouvent des lits chauds et vieux amis. M. Martin, qui a vécu jusqu'à l'âge de 91 ans et est décédé en 1998, il aurait compris.

    Le génie de Trump
    Mais revenons à notre ami intelligent, exprimer son vote aux primaires pour Trump :

    "Je le connais bien. Il est un de mes amis,"il a commencé.

    « Beaucoup des choses qu'il dit vous ne pouvez pas prendre littéralement, » répondit-il en contre-interrogatoire.

    « Comme ce mur. Il ne va pas construire un mur. Les Mexicains ne vont pas payer pour cela. Mais c'est une belle image. C'est celle qui colle dans votre esprit.
    Pardonnez nous pour coller les images dans votre esprit...

    "Vous êtes perdu lorsque vous parlez de politiques commerciales et d'exportez des déficits. Personnes ne sais pas ce que vous parlez. Et ils vous prennent pour un autre Hillary Clinton ou certains autres initiés de la rocade. Bla, bla, bla... du pareil au même.

    "Mais le mur est une image forte. Elle annonce que Trump est différente. Et il veut protéger le peuple américain. C'est tout ce qu'il est censé faire. Il n'est pas destiné à être compris littéralement.

    "C'est pourquoi Donald Trump est un génie. Il est capable de communiquer de manière différente. L'image de mur dit aux gens ce qu'ils veulent vraiment savoir, sans se perdre dans les détails.

    "Il va faire les choses différemment. Et c'est pourquoi les copains et l'état de profonde ont tellement peur de lui. »

    http://www.zerohedge.com/news/2016-03-30/are-we-becoming-nation-silver-haired-crooks

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