- ENTREE de SECOURS -



samedi 20 février 2016

La mortalité des abeilles : un lointain souvenir ?

le 20 février 2016 par jacqueshenry
J’ai écrit dans ce blog plusieurs billets sur les malheurs des abeilles depuis le 16 janvier 2013 et l’inquiétante mortalité des colonies. Vous pouvez retrouver tous ces billets en effectuant une recherche avec l’onglet situé en haut et à droite de la page. Le dernier en date relate les « zombees » parasitées par une minuscule mouche qui pond un oeuf dans l’abdomen de l’abeille avec un ovipositeur spécialisé. L’une des conclusions qu’on pouvait entrevoir de la volumineuse presse scientifique au sujet du mal des colonies d’abeilles est qu’il s’agit d’un phénomène multifactoriel, les pesticides n’étant que l’un de ces facteurs. Depuis deux ans les néonicotinoïdes, accusés de décimer les ruchers, ont été interdits en Europe et aux dernières nouvelles il n’y a pas eu d’amélioration notable de l’état sanitaire des ruches. Devant ces observations déroutantes certaines personnes ont eu l’audace d’incriminer le changement du climat comme une des causes de la mortalité des abeilles.
.
Mais que se passe-t-il aux USA ? Sans qu’aucune restriction n’ait été imposée au sujet de l’utilisation de pesticides, en particulier les néonicotinoïdes, depuis 2006 le nombre de ruches n’a cessé d’augmenter, passant d’un plus bas de 2,4 millions à maintenant 2,7 millions de ruches dûment répertoriées. On est encore loin des 3,7 millions de la fin des années 80 mais la tendance est au repeuplement. C’est un peu un pavé dans la mare des alarmistes qui revendiquent haut et fort un monde sans produits chimiques et un retour à la nature primordiale telle qu’en rêvait Rousseau, pas le douanier mais l’exécrable pseudo-philosophe dont l’idéologie est encore encensée par les néo-écologistes. Et ce pavé a été lancé par le Washington Post non pas hier matin mais le 23 juillet dernier. Naturellement l’information a été soigneusement occultée, en particulier en Europe, sur ordre des gouvernements et de la Commission Européenne pourris de l’intérieur par les mouvements écologistes.
Capture d’écran 2016-02-19 à 10.46.09.png
Certes le Washington Post n’a pas pour réputation d’abonder dans le sens des mouvements écologistes, mais cet article relate des faits incontestables. Ces mouvements écolos clament que chaque année 30 % des ruchers disparaissent. À ce rythme-là il y a belle lurette qu’il n’y aurait plus une seule abeille tant en Amérique du Nord qu’en Europe ou encore en Chine. Comme on peut le constater ce n’est pas le cas. Aux USA, les producteurs, par exemple d’amandes ou de pommes, payent les apiculteurs pour qu’ils viennent entreposer leurs ruches au moment de la floraison près des vergers. Comme cette sorte de transaction commerciale est répertoriée auprès de l’USDA, on peut suivre presque en temps réel le mouvement des ruches sur tout le territoire américain. D’autre part, compte tenu de l’impact de la pollinisation par les abeilles sur la production agricole, tout a été organisé pour optimiser la production d’essaims et de reines : n’importe quel apiculteur peut trouver sur le marché un essaim avec une reine pour la somme de 100 dollars. Les abeilles sont contrôlées sur le plan sanitaire et l’apiculteur a l’obligation de déclarer aux autorités sanitaires compétentes toute maladie apparaissant dans ses ruches.
.
Depuis 2006 le prix du miel a doublé comme a également doublé le prix de la pollinisation. C’est un business incontournable quand on le met en face de ce que cette pollinisation rapporte au secteur agricole : 15 milliards de dollars par an !
.
Qu’en est-il dans les autres pays, en particulier en Europe ? J’espère que mes lecteurs m’apporteront quelques éléments de réponse …
Source et illustrations : The Washington Post du 23 juillet 2015. Les abeilles : de parfaites capitalistes, industrieuses, efficaces, obsédées dans leur recherche du succès
.

17 commentaires:


  1. http://huemaurice5.blogspot.fr/2015/06/abeilles-atteintes-dalzheimer-la.html

    http://huemaurice5.blogspot.fr/2015/06/pas-plus-loin-que-le-bout-de-leur-nez.html

    http://huemaurice5.blogspot.fr/2015/06/analyses-deau-de-pluie-tres.html

    https://www.youtube.com/watch?v=4TFlLhhARhc

    RépondreSupprimer
  2. Pourquoi il ne faut pas jeter votre carte d’embarquement n’importe où

    Reeva Verlinden
    19 février 2016

    Lorsque nous prenons l’avion, il est obligatoire de posséder une carte d’embarquement pour entrer dans l’aéronef. Au moment de l’embarquement, nous sommes soigneux avec ce précieux document.

    Mais une fois à bord, beaucoup d’entre nous ne s’en soucient plus du tout, et s’en débarrassent, parfois, en laissant leur carte d’embarquement dans l’avion, ou dans notre chambre d’hôtel. Certains le mettent à la poubelle.

    Mais cette façon imprudente d’agir peut nous attirer des problèmes, indique « Krebs in Security ». En effet, des informations personnelles sont encodées sur notre carte d’embarquement (notre nom, notre adresse, nos informations bancaires, notre adresse email et notre numéro de téléphone), et il est très facile pour quiconque possédant un appareil capable de lecture du code-barres de les déchiffrer. Cet appareil peut être un smartphone muni de l’app adéquate.

    http://site où la publicité empêche la lecture d'informations

    RépondreSupprimer
  3. "Sans moteurs russes, les fusées américaines resteront clouées au sol"

    11:37 20.02.2016

    Malgré l'interdiction d'acheter des propulseurs de fusées russes RD-180, les Etats-Unis reconnaissent ne pas avoir d’alternative. De ce fait, les fusées américaines risquent de rester au sol.

    Le Pentagone compte persuader le Congrès américain de ne pas renoncer immédiatement à acheter des moteurs de fusées russes de type RD-180. Dans le cas contraire, les fusées américaines seront condamnées à rester au sol, a annoncé Samuel Greaves, lieutenant-général des forces américaines aérospatiales et chef du Centre des systèmes de missiles des forces spatiales des Etats-Unis, lors d'une rencontre avec les représentants de l'industrie aérospatial russe.

    M.Greaves a rappelé qu'initialement, Washington comptait renoncer aux propulseurs russes d'ici 2019, date à laquelle les militaires américains prévoient mettre en service "au moins deux systèmes de lancement compétitifs" capables de placer en orbite leurs satellites.

    Selon Samuel Greaves, les moteurs américains existants ne conviennent pas aux fusées mises à la disposition de l'armée. Pour les employer, il serait nécessaire de modifier la totalité de l'engin spatial.

    "Dans le cas le plus extrême, nous serons contraints de changer de moteurs. Il faudra voir quel est leur compatibilité non seulement avec le premier étage de la fusée, mais aussi avec le deuxième. C'est possible, mais nous ne conseillons pas cette variante au Congrès et espérons le persuader au cours de cette année de ne pas renoncer aux RD-180", a annoncé M.Greaves.
    "Si nous ne sommes pas autorisés à employer RD-180, les fusées resteront au sol", a-t-il reconnu.

    Malgré les tensions entre Moscou et Washington et la fureur du sénateur américain John McCain, un des auteurs de l'initiative demandant de renoncer aux moteurs-fusées russes, United Launch Alliance et la société russe NPO Energomach, spécialisée dans la conception et la construction de moteurs-fusées à ergols liquides, ont conclu en 2015 un accord supplémentaire à un contrat déjà existant sur la livraison de propulseurs.

    Le Pentagone s'équipe avec des moteurs-fusées russesLes moteurs-fusées RD-180 sont fabriqués par la société Energomach W.P. Glouchko située dans la région de Moscou. Ces propulseurs sont utilisés pour le lanceur américain Atlas V fabriqué par la société américaine United Launch Alliance.

    Le 3 juin, le Pentagone a lancé un concours pour la création d'un équivalent américain des RD-180. Pour le moment, les Etats-Unis ne peuvent renoncer à l'achat de moteurs de fusées russes sans risquer de menacer leurs propres programmes spatiaux

    http://fr.sputniknews.com/international/20160220/1021940497/rd-180-moteurs-russe-fusee-americaine.html

    RépondreSupprimer
  4. Des Italiens demandent aux touristes de ne pas venir

    Reeva Verlinden
    19 février 2016


    La plupart des lieux touristiques essaient d’attirer les touristes, mais les officiels de la pittoresque Cinque Terre, en Italie, cherchent à les dissuader de venir, rapporte le Times.

    Les autorités responsables du parc de Cinque Terre, qui comprend les villages aux couleurs pastel, les vignobles et les sentiers abrupts de la côte du nord-ouest, disent que le nombre de visiteurs doit être réduit d’un million et annoncent qu’un système de quota sera introduit cet été.

    Les autorités reconnaissent qu’il s’agit d’une décision excentrique, mais Vittorio Alessandro, le président du parc national, explique que les arrivées doivent être rationalisées, sans quoi les villages vont perdre leurs habitants d’origine. Cinque Terre est un ensemble de villages de pêcheurs datant du moyen-âge, reliés entre eux par d’étroits sentiers côtiers circulant sur les falaises. M. Alessandro signale que les sentiers risquent d’être envahis par une masse de touristes et que leur nombre doit être réduit, de 2,5 millions à 1,5 million par an.

    Des pointeuses

    Patrizio Scarpellini, directeur-général du parc, dit que les touristes doivent comprendre qu’ils ne peuvent pas visiter les cinq villages en un jour. Des pointeuses ont été placées au début de certains sentiers pour compter le nombre de personnes qui les empruntent.

    Emanuele Moggia, maire de Monterosso, craint que les restrictions n’aient des conséquences négatives : « Nous devons être attentifs à ce que cela ne cause pas de sérieux dommages à l’industrie touristique », dit-il.

    http://site où la publicité empêche la lecture d'informations

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. À quand cette idée appliquée aux frontières de l'Europe demandant un zéro immigré ?

      Supprimer
  5. Selon Europol, 5 000 combattants de Daesh circuleraient librement en Europe

    20 févr. 2016, 16:25

    Le directeur d'Europol, Rob Wainwright, tire la sonnette d'alarme. Dans une interview accordée à un quotidien régional allemand, il estime que 5 000 djihadistes se déplaceraient sans difficultés majeures sur le Vieux Continent.

    «L'Europe est actuellement confrontée à la menace terroriste la plus élevée depuis 10 ans», a confié le directeur d'Europol au journal Neue Osnabrucker Zeitung. Une réalité qui pousse Rob Wainwright à évoquer la possibilité d'attaques terroristes sur le Vieux Continent qui engendreraient «des pertes massives parmi la populations civile».

    Si à l'instar de l'ancien ministre britannique de la Défense, Liam Fox, certains hommes politiques affirment l’existence d'une corrélation entre la menace terroriste et l'afflux massif de migrants, Rob Wainwright ne partage pas cette analyse. «Il n'y a pas d'indications concrètes que des terroristes s'infiltrent parmi les réfugiés entrant en Europe afin de pas être détectés», assure-t-il. Pour autant, le service national allemand de renseignement avait confirmé qu'au cours du mois de février, il avait reçu plus de 100 alertes, faisant état de infiltrations de terroristes parmi des réfugiés arrivés en Europe.

    Même tonalité du côté du FBI, dont le directeur, James Comey, avait annoncé à la commission du Sénat américain que des terroristes de Daesh avaient réussi à se procurer une machine pouvant éditer des passeports syriens dans les but d'en fournir aux terroristes. Les terroristes se seraient emparés de cet appareil au cours d'une attaque menée contre le ville de Deir ez-Zor, en Syrie. Une information sensible qui avait ébranlé les autorités américaines, inquiète de voir l'organisation terroriste en mesure de fabriquer des documents d'identité en grande quantité.

    Sur les lieux des attentats de Paris du 13 novembre 2015, deux passeports syriens avaient été retrouvé par les enquêteurs près des corps de deux kamikazes. L'un deux, identifié sous le nom de M. Al- Mahmod était arrivé en Europe via l’île grecque de Leros, où il a bénéficié de l'aide humanitaire.

    https://francais.rt.com/international/16004-interpol-terroristes-daesh-circulent-librement-europe

    RépondreSupprimer
  6. Iles Fidji : cyclone ravageur avec des vents allant jusqu'à 315km/h

    L'Express
    sam., 20 fév. 2016 04:58 UTC

    Un couvre-feu a été décrété sur l'archipel des Fidji, depuis l'arrivée vendredi du cyclone de force 5 Winston. Il s'est abattu sur l'océan Pacifique avec des vents allant jusqu'à 315km/h.

    Winston est le premier cyclone de force 5 à s'abattre sur l'archipel des Fidji. Selon le centre météorologique local, il a débarqué vendredi dans l'océan Pacifique avec des vents de 220 km/h en moyenne et des rafales allant jusqu'à 315 km/h. Des toits de maisons et des arbres ont été arrachés, selon les médias sur place.

    Le directeur de la gestion des catastrophes, Akapusi Tuifagalele, a précisé au site Fijilive que 758 centres d'évacuation avaient été préparés, dans cet archipel mélanésien de quelque 900 000 habitants. L'état de catastrophe naturelle a d'ores et déjà été déclaré.

    Selon la chaîne météo, le cyclone s'est abattu sur le nord-ouest des Fidji vendredi vers 20 h, heure locale et devrait encore sévir jusqu'à jeudi matin, en effectuant une boucle et en s'estompant progressivement vers le sud est de l'archipel.

    La peur d'une catastrophe humanitaire

    Un couvre feu a été annoncé par le Premier ministre, qui estime que toute sortie pendant le cyclone serait trop dangereuse. "Ne laissez personne sortir pendant la tempête, a déclaré Voreqe Bainimarama, Le risque d'être touché par des débris volants est très grand". "Nous devons être solidaires et nous entraider. Soyez sur le qui-vive et préparés", a-t-il ajouté.

    L'inquiétude d'une catastrophe humanitaire est palpable également chez Iris Low-McKenzie, présidente de l'organisation Save the Children Fiji :
    "Cette méga tempête peut potentiellement provoquer des dégâts catastrophiques dans cet archipel fréquenté par des centaines de milliers de touristes chaque année". "La trajectoire du cyclone laisse penser qu'il va balayer l'aéroport international à Nadi, ce qui, s'il fait d'importants dégâts, compliquera d'autant l'arrivée d'aide humanitaire", s'est-elle inquiétée.
    De nombreux vols internationaux ont été annulés depuis vendredi aux Fidji, notamment ceux des compagnies Fiji Airways, Virgin Australia et Jetstar et le Bureau de la coordination des affaires humanitaires de l'ONU (Ocha) a annoncé être prêt à apporter de l'aide si nécessaire, mettant en garde contre les inondations que pourrait provoquer le cyclone Winston.

    En mars 2015, un cyclone d'une extrême violence s'était abattu sur l'île du Vanuatu, dans l'Océan Pacifique, laissant le pays dans une désorganisation totale. En 2013, le typhon Haiyan, le plus puissant depuis plus d'un siècle, avait détruit de nombreuses habitations et infrastructures des Philippines.

    -- Commentaire : Vous pouvez consulter le résumé Sott du mois dernier :
    Résumé SOTT - Janvier 2016 - Météorites, conditions météorologiques extrêmes et changements terrestres --

    http://fr.sott.net/article/27726-Iles-Fidji-cyclone-ravageur-avec-des-vents-allant-jusqu-a-315km-h

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Le côté lamentable dans cette histoire 'des 3 petits cochons' est que, dans ces pays situés en zone cyclonique il y ait encore des maisons de pailles, de bois et peu en pierres !

      Si je prend l'exemple de le Louisiane ou de toute la côte du Golfe du Mexique comme celui de l'arc antillais, il y a des maison en bois avec des terrasses couvertes de tôles où le vent s'engouffre dessous et arrache/soulève la construction de Mr Bricolo !

      Supprimer
  7. Stocker des données pour quelques milliards d'années

    Alexis Piraina
    Numerama
    sam., 20 fév. 2016 05:38 UTC

    Des chercheurs de l'Université de Southampton ont mis au point un procédé pour enregistrer jusqu'à 360 To de données sur un disque en verre de la taille d'une pièce de monnaie. Les données stockées sur ce support pourraient être accessibles pendant 13,8 milliards d'années.

    La préservation et la transmission des connaissances est une problématique qui a préoccupé l'humain depuis la nuit des temps. La création humaine est fragile, elle s'altère avec le temps et sa survie est soumise aux aléas des guerres et des catastrophes naturelles.

    Récemment, le conflit en Syrie a conduit à la destruction d'une partie incroyable du patrimoine mondial, mais l'humanité a connu des pertes massives à toutes les époques. Lors du séisme de 1755 à Lisbonne, plus de 70 000 volumes de la bibliothèque royale furent perdus à jamais, ainsi que des centaines de peintures majeures. Aujourd'hui, la conservation des œuvres d'art demande de nombreux efforts aux institutions, mais c'est une course perdue d'avance dans la mesure ou le temps aura forcément raison des supports physiques.

    La numérisation des œuvres est une solution pour faire face à l'altération ; cependant, les supports numériques ne sont pas épargnés par les affres du temps. Ils sont sujets aux griffes et, exposées à l'humidité et à la chaleur, les données finissent par être corrompues. Mais des chercheurs de l'Université de Southampton, en collaboration avec l'université technique d'Eindhoven ont mis au point un procédé de stockage qui aurait une durée de vie virtuellement illimitée.
    Une capacité colossale et une durée de vie quasiment illimitée

    En encodant l'information au sein de nanostructures contenues dans du verre, les chercheurs ont réussi à stocker 360 To sur un disque pas plus gros qu'une pièce de monnaie. À titre de comparaison, c'est 3 000 fois plus qu'un Blu-ray qui peut stocker jusqu'à 128 Go de données — de quoi ravir tous les adeptes de téléchargement légal.

    Mais en plus de proposer un stockage colossal, le support de stockage conçu par les chercheurs devrait toujours être accessible dans 13,8 milliards d'années ; à condition d'être conservé à une température inférieure à 190 degrés. On ne sera cependant pas là pour vérifier si leurs estimations étaient correctes.

    Un cristal de mémoire

    « C'est très excitant de savoir que nous avons créé une technologie capable de préserver les documents et les informations afin de pouvoir les transmettre aux générations futures » s'enthousiasme le professeur Peter Kazanky dans un communiqué de l'université, avant de rajouter que « cette technologie a le potentiel de sécuriser les dernières traces de notre civilisation : tout ce que nous avons appris ne sera pas perdu ».

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  8. Pour réaliser cette prouesse, les chercheurs ont utilisé un laser femtoseconde afin d'enregistrer et de récupérer des informations stockées sur le support en cinq dimensions. Les variations dans l'orientation, la taille et la position du laser sur les axes x, y et z, changent la manière dont se réfléchit la lumière sur le support. Ces modifications peuvent être interprétées pour obtenir des informations.

    Comparé au cristal mémoire utilisé dans Superman, cette nouvelle technologie a déjà été utilisée pour créer des copies éternelles de la Bible du roi Jacques, le traité Opticks d'Isaac Newton et La Déclaration Universelle des Droits de l'Homme.

    http://fr.sott.net/article/27727-Stocker-des-donnees-pour-quelques-milliards-d-annees

    RépondreSupprimer
    Réponses

    1. Plutôt 'bizarre' que ces chercheurs de 'la grande découverte' n'aient pris soin de préciser quel pourrait être le sort d'un tel enregistrement après passage à ... l'EMP ! HAHAHAHA !

      Car même à 10 km sous terre ou sous l'eau ou enfermé comme des graines au pôle Nord, l'orsqu'arrive l'Impulsion ElectroMagnétique... plus RIEN ne reste !

      Supprimer
  9. Voilà ce qui arrive à l'or, lorsque les citoyens perdent confiance dans la monnaie Fiat

    Soumis par Tyler Durden le 20/02/2016 21:35 -0500

    Il apparaît, tout d'abord lentement et maintenant rapidement, le monde se rend compte qu' Alan Greenspan avait raison après tout: « l'or est une monnaie. Il est encore, de toute évidence, une monnaie de premier ministre. Aucune monnaie de fiat, dont le dollar, ne peut l'égaler."
    Comme Nick Laird expose, or prix sont s'enfuir dans les pays les plus faibles d'abord...

    - voir photo sur site:

    http://www.zerohedge.com/news/2016-02-20/what-happens-gold-when-citizens-lose-faith-fiat-currency

    RépondreSupprimer
    Réponses

    1. Pareillement au vendeur de voiture qui ne vous dira pas que sa caisse est pourrie ou qu'elle est toute neuve mais truffée d'explosifs dont l'explosion (panne) est déclenchée maintenant par satellite comme autre gadgets fourrés dans tous LES APPAREILS électrique/électronique, l'or est aussi une merde à vendre enrobée de papier doré !

      Ainsi, le pauvre con qui croit en la sécurité ira chercher son or en banques (hahahaha !) sera d'abord déçu de ne recevoir qu'un bout de papier "Bon pour" écrit dessus ! HAHAHAHA ! Car, de l'or physique: il n'y en a plus. Et, y en aurait-il, ne serait touchable que dans 10 ou 20 ou 50 ans comme en ont fait l'expérience les allemands à NY n 2013 où ils 'retrouveront leur or' en 2020 !!! HAHAHAHA !

      Pire encore, comme l'or physique ne s'achète pas comme une salade au marché du coin, encore lui faudra t-il prouver où il habite, comment il s'appelle et tout et tout pour que, le jour de 'la grande confiscation', des agents viennent chez lui le récupérer ! HAHAHAHA !

      Supprimer
  10. Morales: « il n'est pas le pouvoir d'Evo, c'est le pouvoir du peuple » Comme il cherche à changer la constitution de la Bolivie pour lui permettre d'exécuter pour un quatrième mandat, Evo Morales rumine sur la façon dont son pays a changé mais doit encore son leadership



    Samedi 20 février 2016 12.23 EST


    Il y a entre la célébration des 10 ans au pouvoir et fait campagne pour neuf ans plus, Président de la Bolivie, Evo Morales, permet un moment de fierté, comme il le rappelle son récent discours marathon au Congrès.

    "Il est cinq heures, 47 minutes sans interruption – mon record. J'ai vu que c'était aussi un enregistrement sur Fidel Castro,"dit-il, savourant manifestement la comparaison avec une de ses idoles politiques.

    L'affirmation – lors d'un entretien avec l'Observateur – est, au mieux en partie vrai. Adresse anniversaire de Morales chronométré en avance sur discours de Castro à l'Assemblée générale de l'ONU en 1960, mais il était encore loin d'oraison public plus longue de la cubaine de strongman (un monologue de sept heures, 10 minutes en 1986).

    Mais plus que la précision du détail, ce qui révélait était le désir de correspondre à la résistance politique des principales figures de gauche de l'Amérique latine. Morales s'attache à étendre sa puissance restante. Lors d'un référendum de ce dimanche, il espère obtenir l'approbation d'une révision constitutionnelle qui pourrait lui permettre d'exécuter pour un quatrième mandat et reste en fonction jusqu'en 2025.

    Bien que les critiques condamnent cela comme un signe d'autoritarisme rampant, Morales – qui a remporté des mandats écrasante dans chacune de ses précédentes victoires de trois élections – fait valoir que la continuité est nécessaire pour pousser vers l'avant avec un projet visant à redistribuer la richesse des industries pétrolière et gazière nationalisées, de consolider les droits des peuples autochtones et d'améliorer le prestige croissant d'un pays qui a été pendant longtemps un des plus pauvres et les plus faibles dans la région.

    C'est une réclamation contentieuse, mais ce n'est rien de nouveau pour le cultivateur de coca ancien, qui est né dans une cabane au toit de chaume sur l'Altiplano, mais est maintenant le Président de servir plus longtemps dans l'histoire de son pays.

    Héros à la population de majorité indigène Aymara, ouvertement critique des États-Unis, ami (e) aux entreprises de l'industrie minière mondiale et cuisante déception aux écologistes, Morales faisait partie d'une « vague rose » des dirigeants de gauche qui a pris le pouvoir dans les années 1990 et début des années 2000.

    Il est aussi l'espoir de prouver l'un de ses plus grands survivants. Alors que la maladie, de scandale et de récession ont pris leur péage sur alliés au Venezuela, l'Argentine et le Brésil, Morales reste extrêmement populaire. Mais la campagne référendaire s'avère son combat plus difficiles encore. Au milieu de révélations sur sa vie personnelle (il a admis secrètement paternité d'un enfant avec un jeune amant qui est maintenant dans une position influente à une société chinoise avec des contrats lucratifs boliviennes) et les allégations de corruption entre associés, beaucoup d'électeurs est clairement mal à l'aise sur ce qui lui permet de rester trop longtemps au pouvoir. Des sondages récents indiquent que le oui et pas de camps sont coude à coude.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  11. Morales a déjà bénéficié d'une finesse juridique qui lui a permis de lancer une troisième fois malgré la limite actuelle de deux mandats. Cette contradiction apparente a été approuvée par la Cour électorale sympathique, qui a jugé que son premier mandat avait commencé avant l'entrée en vigueur de la constitution en vigueur.

    Prenant la parole dans le palais présidentiel à La Paz, revendications Morales son dernier coup de rester au pouvoir est une réponse à la pression populaire. « Avant que j'ai promis d'arrêter, mais maintenant les communautés m'obligeait à modifier la constitution,"dit-il. "Je dois répondre au peuple. Il n'est pas la puissance de l'Evo, c'est le pouvoir du peuple."

    Selon Morales, la continuité du gouvernement était la clé pour le développement national et de résister aux interférences provenant des États-Unis, la Grande-Bretagne et autres anciens pays impériales et puissances capitalistes.

    "C'est notre expérience. Ici nous n'avons jamais eu stabilité politique... Il y avait toujours des coup après coup. Afin de nous dominer d'à l'étranger, ils nous a divisés politiquement afin qu'ils pourraient prendre nos ressources naturelles. »

    Il conteste les accusations que les prolongations de son mandat au bureau sont un pas vers la dictature. "Quand nous nous sommes battus pour la démocratie profonde – la démocratie participative, la démocratie non seulement représentative – [critiques] dirais que nous étions guérilleros, terroristes. Ils ont même m'a appelé le Ben Laden des Cordillère des Andes,"dit-il. "Ce n'est pas juste que je veux [une révision de la constitution]. L'Assemblée du Congrès a approuvé. Maintenant il prendra au peuple. Si ce n'est pas la démocratie, ce qui est ?"

    A 56 ans, le Président ne montre aucun signe de ralentissement. Sa journée de travail commence à 05:00, fonctionne jusqu'à tard dans la nuit et comprend généralement un ou deux voyages dans les provinces pour répondre aux mouvements sociaux ainsi que le match de football occasionnels. Il dit qu'il garde ses batteries chargées avec les plans d'action nationaux contre les avions et hélicoptères, mais dort en moyenne que trois ou quatre heures.

    « C'est tous les jours. Il n'y a aucun samedi ou dimanche. "Pas de vacances, dit-il. « Je vous dire, que ce contact permanent avec les gens nous permet de ne pas perdre le pouvoir. »

    Dix années au pouvoir ont eu un effet mixte sur la société et l'environnement de la Bolivie. L'expansion rapide de l'exploitation de gaz, exploitation minière et la production de soja entre 2006 et 2014 propulse la croissance économique moyenne annuelle de 5,1 % – les plus élevés en Amérique du Sud. Le revenu par habitant a triplé, ont élargi les programmes sociaux et l'inflation est tombée ainsi que la pauvreté et les inégalités.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  12. Mais la propagation des industries extractives a consterné les défenseurs de l'environnement. Nouvelles mines, exploités par nous, canadiens, européens et chinois de plus en plus de firmes, s'ouvrent d'élevé sur l'Altiplano jusqu'au bassin de l'Amazone.

    Morales est inconditionnel. Les critiques de son bilan environnemental sont, suggère-t-il, partie d'un complot occidental pour ralentir le développement économique de la Bolivie et sa redistribution des richesses par le biais de la nationalisation des ressources.

    "Certaines ONG et fondations – pas tous – que l'on pas n'importe quoi, ne pas pour construire des routes, non ne pas à construire des barrages hydroélectriques et de ne pas tirer profit des ressources naturelles. D'où viennent ces organisations ? Ils sont financés par le système capitaliste – de pays d'Europe et d'Amérique du Nord. Ils tentent aussi de nous rendre aux aidants des forêts. C'est leur politique. Mais lorsque les compagnies transnationales exploitent nos forêts, ces ONG n'étaient pas ici. "

    De même, Morales est dédaigneux sur les réserves du pays, revendiquant des aires protégées ont été créées sur ordre des Etats-Unis. L'an dernier, il ouvrait les parcs nationaux de sociétés pétrolières et gazières et a promis d'aller de l'avant avec des plans pour construire une route à travers le parc national de Tipnis et un barrage hydroélectrique dans le parc national de Madidi – la dernière déception pour ceux qui espéraient premier président indigène de la Bolivie serait champion Pachamama (Terre mère).

    Morales admet l'exploitation des ressources « évidemment provoque des problèmes dans certaines régions », mais il dit que c'est une étape nécessaire vers la réduction de la pauvreté et pour atteindre un niveau où l'économie peut se diversifier dans des secteurs plus propres et plus grande valeur. Contrairement à dans le passé, prétend-il, la plupart des gains financiers de l'exploitation des ressources restent dans le pays et être partagée par la population.

    Il est question de fierté. "La Bolivie est très importante maintenant. Après que être en dernière position social, politique et économiques champs, ce pays est un modèle maintenant, » dit-il. « Alors je dis que les pays qui veulent soutenir ce sont la bienvenue, même la Grande-Bretagne s'il est intéressé. »

    Si le patriotisme et l'effet feelgood de l'estacade de ressources vont suffire à convaincre les électeurs que le garçon de l'Altiplano devrait recevoir une quatrième fissure à la présidence ne sera pas connue jusqu'à dimanche. Mais quel que soit le résultat, Morales est susceptible de visage fois plus sévères que la baisse de la demande chinoise pousse vers le bas les prix mondiaux des matières premières et le Mont allégations de corruption.

    Le Président dit qu'il est conscient des défis qui viennent. C'est peut-être pourquoi il a passé si longtemps vantant les acquis du passé 10 ans qu'au moins un soldat de sa garde d'honneur s'est évanoui de la chaleur en attendant son discours à la fin.

    N'importe, le Président de la plus grande longévité dans l'histoire de la Bolivie semble déterminé à montrer qu'il a l'endurance nécessaire pour aller sur et sur. Tout ce dont il a besoin maintenant c'est le mandat.

    http://www.theguardian.com/world/2016/feb/20/evo-morales-bolivian-president-fourth-term-referendum

    RépondreSupprimer
    Réponses

    1. Rendez-vous compte qu'il existe encore des pays où le peuple a le droit de s'exprimer ! Si-si ! Cà existe encore ! Et, pas de vote machines où elles sont truquées mais du vote PAPIER que tout le monde peut voir, compter et recompter !

      Comme il en a été du chef de file des chefs d'Etat adorés par son peuple, Kadhafi est demeuré au pouvoir depuis 1969 et, Evo Morales soumet un... référendum pour allonger son mandat. Quoi de plus républicain ? Quoi de plus démocrates et juste que de faire appel au peuple plutôt que de copier les dictature où les référendum sont interdits ou détruits comme il en a été pour l'Europe que PERSONNE ne voulait !

      Mais, comme il en est pour Maduro au Venezuela qui est un second Hugo Chavez, TOUS les venezuéliens sont des CHAVEZ-MADURO, TOUS ! alors, remplacer l'un par l'autre ne changera rien au pouvoir du peuple qui est le seul à décider en ces pays libres.

      Supprimer