- ENTREE de SECOURS -



mercredi 7 octobre 2015

La Roumanie exige que Volkswagen lui paye le manque à gagner sur une taxe environnementale

par Mylène Vandecasteele
07 oct. 2015
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La ministre roumaine de l’Environnement, Gratiela Gavrilescu, exige que Volkswagen paye le manque à gagner d’une taxe environnementale que les automobilistes payent en Roumanie en fonction des émissions de gazcarbonique, rapporte Euractiv.
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Comme Volkswagen a équipé ses véhicules diesel d’un logiciel qui minorait les émissions de gazcarbonique au moment des tests, les mesures des rejets polluants pour les modèles de voitures en question ont été sous-évaluées. Cela implique que les détenteurs de ces voitures ont payé une taxe inférieure à celle qu’ils auraient dû payer compte tenu du niveau d’émissions réel de leur voiture, et c’est cette différence que la ministre veut réclamer au constructeur automobile.
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"Les Roumains n’auront pas à payer cette taxe additionnelle. Cette tâche reviendra à ceux qui ont trompé la bonne foi des propriétaires de voitures", a-t-elle dit.
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On ignore le nombre de voitures équipées avec ce logiciel de fraude en Roumanie, mais l’on sait que près de 56.000 voitures diesel achetées neuves sont des modèles produits par le constructeur ou ses filiales, c’est à dire Audi, Skoda et Seat, susceptibles d'être dotées de ce logiciel. "Nous allons bientôt savoir si ces moteurs étaient aux normes européennes Euro 4. Peut-être aurons-nous la surprise de découvrir qu’ils étaient même Euro 3", a dit la ministre.
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Selon certains calculs, la somme correspondante pourrait atteindre un milliard d’euros, et la ministre a assuré que la Roumanie réclamerait cette somme au constructeur, quel que soit son montant.
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21 commentaires:

  1. Comme il est tout à fait normal de faire payer les pollueurs et donc de se faire indemniser par l'escroc, il serait bon d'étendre la loi outre frontière où l'allemagne - avec ces centrale électrique à charbon-bien-noir-qui-tue tue tout le monde ! devrait indemniser les millions de personnes dans le monde qui respire la mort plutôt que de lza vapeur d'eau des centrales nucléaire !

    http://huemaurice5.blogspot.fr/2015/05/16-porte-containers-polluent-plus-que.html

    L'Allemagne pollue plus que la Chine !

    http://huemaurice5.blogspot.fr/2014/11/pollution-et-pollution.html

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  2. Loi sur le Renseignement : bientôt tous coupables ?

    Aurélien Véron
    Valeurs Actuelles
    mar., 01 sept. 2015 04:04 UTC

    C'est désormais inéluctable. La Loi relative au Renseignement permettant une surveillance massive des Français, va entrer en vigueur. Un texte gravement attentatoire aux libertés publiques, mais qui ne renforcera pas notre sécurité pour autant. Un croisement fou entre Big Brother et une ligne Maginot électronique.

    Après le feu vert sidérant, fin juillet, donné par le Conseil Constitutionnel, les prochaines semaines verront la signature des décrets d'application d'une loi qui met la France au ban des démocraties occidentales, en matière d'État de droit, sans réduire vraiment la menace terroriste. Gauche et droite ont gravement failli dans cette affaire, avec 438 députés sur 577 prêts à faire bon marché de nos vies privées, seulement de peur de passer pour trop laxistes après les attentats de Charlie Hebdo.

    -- Commentaire : Et c'est bien le plus terrible : il n'existe en effet plus personne, dans ce pays, qui sorte du lot pour oser se positionner ouvertement contre un consensus, quel qu'il soit. Démagogie et bien-pensance, de beaux rejetons de la forme la plus aboutie et la plus efficace de la censure : l'auto-censure.--

    Qu'on ne s'y trompe pas, ladite loi s'avèrera fort peu efficace face aux djihadistes. Pour la bonne raison que la difficulté n'est généralement pas tant de les repérer au sein d'une foule immense que de rassembler des éléments suffisamment à charge pour permettre à temps l'arrestation des suspects. Merah, Koulibali, les frères Kouachi et le tireur du Thalys étaient fichés et ont été pour la plupart surveillés. Ce qui ne les a pas empêchés de passer à l'acte.

    -- Commentaire : On devrait plutôt dire qu'on ne les a pas empêché de passer à l'acte... --

    Une lutte anti-terroriste efficace devrait passer par une collaboration harmonieuse entre juges et policiers, que la Loi renseignement brise précisément en mettant la justice hors-jeu, comme le souligne le juge antiterroriste Marc Tredivic. Une mise hors-jeu qui réduit à peu de choses, la séparation des pouvoirs en France, dont on sait pourtant depuis Montesquieu qu'elle est la clé de voûte de tout État de droit et de la lutte contre l'arbitraire.

    (suite en dessous:)

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  3. En outre, le dispositif le plus important et controversé de la loi, l'analyse des métadonnées - qui entre en contact avec quoi ou qui, quand et où ? - grâce à l'installation chez les opérateurs de télécoms des fameuses « boîtes noires » dotées d'un algorithme censé repérer les comportements suspects, ne pourra être efficace qu'en analysant l'intégralité des flux téléphoniques et internet. Ce dispositif repèrera forcément un nombre énorme de « faux positifs ». Des citoyens innocents, ou inoffensifs espionnés au motif qu'ils ont été en contact sur les réseaux sociaux ou par téléphone avec un site ou un individu présumé dangereux. D'autant plus que la loi assume clairement une démarche de prévention du terrorisme très en amont, c'est-à-dire, le repérage de suspects dès leurs premiers signes de radicalisation.

    -- Commentaire : C'est aussi une manière supplémentaire d'habituer les gens à trouver normal qu'on les considère comme étant coupable et suspect en toute chose. --

    Ce qui saturera inévitablement les capacités d'analyse et de surveillance de nos services. Rappelons qu'il faut 15 fonctionnaires pour suivre quelqu'un jour et nuit. Tous les spécialistes du renseignement savent que le piège est de se submerger soi-même d'un volume excessif d'informations impossibles à traiter. Il est préférable de concentrer nos moyens, nécessairement limités, sur la surveillance des personnes déjà fichées et leur emprisonnement dès que des éléments à charge ont été rassemblés, par exemple.

    Les tueurs, eux, échapperont vraisemblablement au dispositif prévu par la Loi Renseignement. Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, n'a pu citer qu'un seul exemple où ils seraient repérés, s'ils visitent un site de diffusion de vidéos de décapitation d'otages. Comme si ceux qui préparaient des attentats n'avaient pas pour instruction d'éviter ce genre d'imprudences ! Le patron du renseignement militaire, Christophe Gomart, a d'ailleurs reconnu devant l'Assemblée nationale que les djihadistes avaient acquis la capacité d'opérer sur Internet « sans être détectés », en utilisant notamment le web dit « profond » ou des techniques de cryptage. Les Américains, pourtant peu enclins au laxisme depuis le 11 septembre 2001, reviennent eux même du « tout électronique » instauré par le Patriot Act. Après les révélations d'Edward Snowden sur l'étendue du programme de surveillance de la NSA, cette dernière n'a pu, pour se justifier, citer que trois cas d'attentats évités grâce à ce programme. Dont deux après infiltration des réseaux par des agents doubles, à l'ancienne ! Bref, l'algorithme de la loi Renseignement présenté comme un outil magique est précisément cela : de la magie, c'est-à-dire une défaite de l'intelligence.

    -- Commentaire : On impose l'illusion de l'omnipotente efficacité de la technologie pour justifier aussi l'application des lois. Une fois celles-ci passées, on a bel et bien l'autorisation de tout faire. --

    Si le gain de la loi est illusoire en matière de sécurité, en revanche, la perte en termes de respect de la vie privée et de libertés est avérée. Car la lutte contre le terrorisme ne constitue qu'un prétexte à une surveillance généralisée. Elle n'est que l'un des sept domaines, vastes et vagues, cités par la Loi Renseignement, tels que « les intérêts industriels et scientifiques du pays » (on pourra être fiché pour avoir téléphoné à quelqu'un soupçonné de vouloir pirater un brevet ?) ou « les atteintes à la forme républicaine des institutions » (mettra-t-on des militants royalistes sur écoute ?).

    (suite en dessous:)

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  4. Et pour quels motifs l'algorithme pourrait-il vous repérer ? Mystère. Du fait, précisément, que ses critères seront tenus secrets (car s'ils étaient publics, les djihadistes adopteraient leur comportement en conséquence) les citoyens ne pourront pas savoir quels comportements sont considérés comme louches. Vous pourrez demain être soupçonné pour des motifs classés secret défense... Bienvenue chez Orwell.

    [...] Êtes-vous si sûr qu'aucun chef du gouvernement ne sera jamais tenté de « déraper » ? Cette ébauche d'État policier manquera en effet cruellement de garde-fous, malgré les promesses lénifiantes du gouvernement.
    La Loi Renseignement concentre entre les mains du Premier ministre des pouvoirs exorbitants, sans équivalent dans une démocratie moderne. Il pourra ne pas tenir compte de l'avis de l'autorité administrative et non judiciaire, la CNCTR chargée d'examiner ses demandes de surveillance. Cette commission ne comptera qu'un seul expert du monde numérique, sur les épaules duquel pèsera quasiment toute la responsabilité de déterminer ce qu'il faudrait humblement objecter au chef du gouvernement. Certes, la CNCTR aura le droit de saisir le Conseil d'État, qui pourra condamner l'État en cas de surveillance abusive d'un citoyen... des mois ou des années plus tard [...].
    Que faire désormais ? Au sein du centre-droit ou de la droite, le Parti Libéral Démocrate est la seule formation à s'opposer sans réserve à cette loi scélérate. Il lancera un recours auprès de la Cour européenne des droits de l'Homme et appelle les citoyens épris de liberté et attentifs à leurs droits à en faire autant. L'abrogation des articles les plus clairement liberticides de cette loi sera aussi une question sur laquelle les Libéraux seront vigilants lors de la prochaine présidentielle.

    Car nous gagnerons face aux terroristes en faisant preuve de résilience, et non en abandonnant nos principes dans l'affolement. Pour abject ou déstabilisant psychologiquement qu'il soit, le terrorisme est responsable depuis trois ans de moins de 1% des homicides dans notre pays. Sous les bombardements des Nazis, les Britanniques s'en sont tenus à la devise « Keep calm and carry on ». Et comme l'énonçait Benjamin Franklin, une des figures américaines des Lumières au 18ème siècle, les peuples prêts à sacrifier un peu de leur liberté pour un peu de sécurité finissent par « n'avoir ni l'un ni l'autre ».
    -- Commentaire : La résilience, très à la mode, ça marche, oui, quand nous avons affaire à des gens normaux. Le psychopathe, ça le fait bien rigoler de voir qu'il peut aussi se servir de cette résilience pour renforcer et nourrir ses mauvaises influences ; rester à la place qui est la sienne. C'est d'ailleurs ce que nous montre parfaitement l'intervention Russe en Syrie : les terroristes ne sont pas le vrai problème. Le vrai problème, révélé au grand jour par l'incursion de la Russie, ce sont les personnes qui fabriquent ce terrorisme, ou l'instrumentalisent, pour le laisser grandir, s'en servir, pour, au hasard : prendre ce qui n'est pas à soi, tuer ceux qui nous gênent, effrayer une population, contraindre cette même population à accepter, dans sa vie quotidienne, ce qu'elle n'aurait jamais accepté en temps normal.

    Il n'y a pas de résilience possible avec la clique psychopathique des dirigeants. Juste un démasquage en bonne et due forme pour les rendre inopérants.--

    http://fr.sott.net/article/26557-Loi-sur-le-Renseignement-bientot-tous-coupables

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    1. La mise en place de la 'NSA' n'a JAMAIS été pour traquer des 'terroristes' (qu'ils fabriquent et arment euc-mêmes) mais seulement et uniquement pour écouter ce que les gens disent, vendent é achètent. De façon à intervenir sur les marchés et d'empêcher la concurrence ou que soit respecté les délais de livraison.

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  5. Big Brother : ce que cache la lutte contre la fraude à la TVA

    H16free
    mer., 07 oct. 2015 11:38 UTC

    On le sait : en matière d'informatique, l'État a toujours su déployer les technologies les plus affûtées et a toujours mis un point d'honneur à faire produire les logiciels et les matériels les plus pratiques, au point que, régulièrement, Apple est accusé de l'avoir honteusement plagié. Avec les exemples qui s'accumulent dans le palmarès flamboyant des réussites de la gestion étatisée du domaine numérique (Bull, plan Calcul, Cloud à la française), c'est sans surprise qu'on apprend dernièrement sa volonté d'investir le créneau spécifique des logiciels comptables.

    Et pour que la réussite, qu'on pressent déjà mémorable, soit absolument incontestable, il ne fallait pas lésiner sur les moyens, matériels et financiers bien sûr, mais aussi humains : là où une entreprise traditionnelle aurait jeté, sans hésiter, un ou deux gladiateurs sévèrement armés dans l'arène médiatique, le gouvernement a lui aussi choisi du lourd, du costaud, et tape dans son stock d'éléphants puisque ce sont Michel Sapin et Christian Eckert qui se coltinent le service commercial en avant-vente du nouveau produit phare de la Maison Bercy™.

    On les retrouve en effet à faire la retape pour le Nouveau Logiciel Propre De Bercy Contre La Fraude À La TVA, logiciel qui garantira au Trésor Public que les petites manipulations comptables visant à cacher l'une ou l'autre opération n'auront enfin plus cours. En pratique, il s'agira simplement d'un logiciel traditionnel, mais certifié par Bercy, et garantissant donc à l'honnête commerçant détenteur de ce programme que toutes les opérations sont bien enregistrées comme il faut, et, par voie de conséquence, qu'il a bien déclaré l'intégralité des recettes à l'ogre fiscal aux services fiscaux.

    Chose intéressante, la possession d'un logiciel certifié n'est pas une nouvelle option dont se munirait le commerçant pour montrer qu'il suit bien les recommandations officielles du gouvernement et des administrations pour mieux s'insérer dans un vivrensemble moelleux et sans risque, mais c'est bel et bien une obligation à laquelle il ne pourra bientôt plus échapper. En effet, le projet de budget 2016, adopté en Conseil des ministres le premier octobre, prévoit notamment d'obliger tous les commerçants à s'équiper d'un logiciel certifié conforme, et ce d'ici le premier janvier 2018.

    Vous l'avez deviné : ce pays croule sous les effets d'une liberté débridée dans laquelle le renard, bien trop libre, s'attaque à toutes les poules libres du poulailler social-démocrate, et il est entendu qu'un peu de régulations et d'obligations va remettre le renard dans le poulailler, histoire de le calmer un peu, et libérer les poules comme de bien entendu. Partant de là, quoi de mieux pour favoriser la bonne liberté que de contraindre les commerçants (qui sont, par défauts, de malhonnêtes bidouilleurs de TVA) à se munir d'un logiciel entièrement conçu pour les empêcher de contourner la loi ?

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  6. -- Commentaire : L'image du renard de la poule et du poulailler, galvaudée, est tout à fait pertinente : nous sommes vraiment en présence, ici, de la proie, nous, et de son prédateur, l'État, imbattable quand il s'agit de transformer le citoyen lambda en citoyen condamnable. Qui donc ne se sent pas coupable, de fait, quand il est arrêté par un flic à une intersection ? Qui donc ne se sent pas coupable, de fait, quand il a un rendez-vous à Pôle-Emploi ? Ou bien avec son banquier ? --

    C'est bien l'État, en partie, qui est coupable, oui, et qui nourrit, par sa suspicion et son obsession du contrôle, ce dont il voudrait se protéger.


    D'autant que les bons arguments ne manquent pas. Un logiciel tamponné par Bercy, certifié™ même, c'est l'assurance que la fraude va disparaître de la même façon que l'apparition des contrôles douaniers a fait disparaître les trafics divers, que le tamponnage des cigarettes a largement rendu impossible les cigarettes de contrebande et qu'en général, les interdictions et les contrôles ont fini par dissuader les méchants et les vilains d'être ou bien méchants, ou bien vilains ou (puissance des réglementations) d'être les deux à la fois. C'est magique.

    Malheureusement, il est assez difficile de ne pas voir ce qui se cache derrière ces nouvelles obligations et cette nouvelle traque de plus en plus fine des transactions commerciales de tous sur le territoire français. Encore une fois, en utilisant habilement l'EGHIRM, l'Échelle Gouvernementale d'Horreur Incitative à la Règlementation Musclée, nos dirigeants vont parvenir à ajouter quelques barreaux à nos cellules, sous les applaudissements d'une majorité des détenus.

    Pour rappel, cette EGHIRM dispose de six grands niveaux qui permettent de fournir un argument efficace pour justifier l'introduction de l'une ou l'autre loi, l'un ou l'autre règlement ou l'une ou l'autre technologie qui visera à restreindre notre liberté pour notre bien. Ainsi l'introduction prochaine d'une batterie de nouveaux moyens techniques pour lutter contre les fous du volant se situe au niveau le plus élevé de l'échelle, celle qui consiste à lutter âprement contre les abominables contempteurs du vivrensemble. Les dernières inventions de Bercy en matière de fraude à la TVA, sujet de ce billet, se situent quelques crans plus bas, au niveau de la lutte contre la fraude fiscale, le travail au noir et toutes les malversations qu'une certaine catégorie de population trop libre peut envisager de pratiquer sans trop se faire pincer. Et plus la population visée par les mesures est étroite, plus flous et larges seront les moyens mis en œuvre.

    Bien évidemment, de façon tout à fait indépendante du but recherché, l'idée est, à chaque fois, pour chaque barreau de cette Échelle, de coincer un peu plus le récalcitrant, l'égoïste, l'individualiste, bref, celui qui arrive, d'une façon ou d'une autre, à être indépendant de l'État. Dans ce cadre, les nouveaux « logiciels certifiés™ » de la maison Bercy n'ont qu'un but : en prétextant de lutter contre la fraude, l'État lutte contre le cash, le liquide, c'est-à-dire les transactions d'un individu responsable vers un autre individu responsable, sans passer par lui, qui se place comme un intermédiaire indispensable pour pouvoir prélever sa dîme et continuer à vivre.

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  7. -- Commentaire : Et oui, décidément, les liquidités, ça devient une priorité ces temps-ci :

    - La guerre au cash est déclarée
    - L'immoralité d'une société sans argent liquide
    - Suppression de l'argent liquide : une étape vers l'économie totalitaire
    - Les gouvernements en guerre contre l'argent liquide
    - Guerre au cash : abolir, asservir
    - Suppression de l'argent liquide : bientôt le cas de l'Allemagne ?
    - Économie : bientôt les taux négatifs pour une société sans cash --

    La lutte contre la fraude à la TVA ne cache rien d'autre qu'une nouvelle manœuvre (encore une, comme le fait remarque le dernier édito de Baptiste Créteur) pour déposséder un peu plus les individus d'un moyen de paiement libre de toute vérification étatique, libre de sa sanction et de sa ponction. Comme les précédentes actions des gouvernements dans leur lutte contre le cash, cette nouvelle « relique barbare » permettant de s'affranchir de son encombrante tutelle, vous verrez que cette mesure passera comme une lettre à la poste, pour chacun des motifs possibles et imaginables (retrouvable sur l'échelle ci-dessus).
    Un beau matin cependant, l'échange direct d'un individu à un autre sera, officiellement, banni : chaque transaction devra être électronique, visée par une autorité administrative compétente et correctement imposée... Ce jour-là, l'État pourra, unilatéralement, choisir qui peut commercer ou non, qui peut échanger ou non, et, ultimement, qui peut vivre et qui peut mourir. Perspective croustillante, n'est-ce pas ?

    -- Commentaire : France ou pas France, le lieu importe peu : ce qui est valable dans un pays l'est pour le reste du monde ; TVA, impôts, code du travail, toutes les législations tendent vers un seul but : l'asservissement. C'est une guerre totale, dont nous sommes l'objet, qui se déroule sous nos yeux. Insidieusement, tout s'est mis en place : les psychopathes sont au bon endroit, les lois sont devenues incontournables, les dépendances quotidiennes, parfaites.--

    http://fr.sott.net/article/26556-Big-Brother-ce-que-cache-la-lutte-contre-la-fraude-a-la-TVA

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  8. Voici ce qui arrive quand on permet à l'Arabie Saoudite de participer au Conseil des Droits de l'Homme des Nations Unies

    par Aude Ottevanger
    06 oct. 2015

    Une fuite de documents montre que l'Arabie Saoudite a passé un accord douteux avec le Royaume-Uni afin d'obtenir un siège au Conseil des Droits Humains des Nations Unies (HRC), en dépit de ses résultats désastreux en matière de respect des droits humains – même si l'on peut dire la même chose d'autres membres du HRC.
    Bien pire encore, elle aurait fait pression sur le conseil pour qu'il annule son projet d'enquête sur les abus commis dans le cadre de la guerre civile au Yémen, où une coalition menée par l'Arabie Saoudite est accusée de bombarder de façon indiscriminée les territoires tenus par les rebelles Houthis. Selon l'ONG Médecins Sans Frontières, les forces saoudiennes auraient bombardé un mariage près de la ville portuaire de Mokha, tuant au moins 130 civils, pour la plupart des femmes et des enfants.

    Selon le New-York Times, la Hollande a procédé au retrait d'une ébauche de résolution, qui réclamait l'envoi d'enquêteurs au Yémen pour y mener une enquête, et pour demander aux belligérants d'autoriser les livraisons de vivres et de matériel d'assistance, en raison de la très forte opposition de l'Arabie Saoudite.

    Philippe Dam, Vice-directeur de l'ONG Human Rights Watch, a déclaré au Times qu'il s'agissait d'une "opportunité perdue" pour le HRC, et une "grande victoire pour l'Arabie Saoudite, la protégeant d'une enquête sur les violations des lois de guerre, qui continueront probablement à être commises au Yémen".

    L'Arabie Saoudite soutient le président exilé du Yémen Abd Rabo Mansour Hadi, et a instauré un blocus des ports du pays, qui empêche l'approvisionnement des rebelles Houthis mais aussi celui des civils qui en ont pourtant cruellement besoin.

    http://www.express.be/joker/fr/platdujour/voici-ce-qui-arrive-quand-on-permet-a-larabie-saoudite-de-participer-au-conseil-des-droits-de-lhomme-des-nations-unies/216086.htm

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  9. Il sera désormais plus difficile de devenir citoyen danois

    par Audrey Duperron
    06 oct. 2015

    Le Danemark fait tout ce qu’il peut pour dissuader les migrants de le choisir comme pays d’accueil. Après avoir réduit de moitié les indemnités réservées aux demandeurs d’asile le 1er juillet dernier, il a fait de la publicité dans les journaux libanais pour informer du renforcement de la législation en vigueur concernant l’accueil des réfugiés. Et aujourd'hui, il s’apprête à passer une loi pour durcir les critères d’obtention de la nationalité danoise, rapporte Politico.

    “Acquérir la nationalité danoise est quelque chose d’exceptionnel, et de ce fait, il est légitime que nous placions la barre plus haut pour les personnes qui souhaitent se qualifier de citoyen danois”, a déclaré la ministre de l’Intérieur, Inger Stojberg.

    Le niveau de maîtrise de la langue danoise a été ainsi relevé; de plus, les candidats à la naturalisation devront prouver qu’ils ont été capables de s’assumer financièrement pendant au moins 4 ans et demi sur les 5 dernières années (jusqu’à présent, ils devaient avoir été autonomes financièrement pendant au moins 2 ½ ans sur les 5 dernières années). De plus, ils devront être capables de répondre à au moins 80% des questions sur les questions d’actualité concernant le pays, alors qu’auparavant, une bonne réponse à 73% des questions suffisait.

    “Trop de gens se sont vus accorder la nationalité danoise, alors qu’ils ne parlent pas le danois”, a déploré Astrid Krag, du parti des Sociaux-Démocrates.

    Les nouvelles règles entreront en vigueur à partir du 15 octobre prochain.

    http://www.express.be/business/fr/economy/il-sera-desormais-plus-difficile-de-devenir-citoyen-danois/216081.htm

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  10. Aucun traité de « Libre-échange » plus : Il est temps pour véritable libre-échange

    Soumis par Tyler Durden le 07/10/2015 20:30 -0400
    Soumis par Ferghane Azihari via le Mises Institute,

    Il est erroné de croire que les commerçants libres ont été historiquement en faveur des accords de libre échange entre les gouvernements. Paradoxalement, l'inverse est vrai. Curieusement, beaucoup de défenseurs de laissez-faire tombe dans le piège de gouvernement-fait en soutenant des traités de « libre-échange ». Cependant, comme Vilfredo Pareto a dit dans l'article « Traités de commerce du Nouveau Dictionnaire d'Economie Politique » (1901) :

    Si nous acceptons le libre échange, des traités de commerce n'ont aucune raison d'exister comme un but. Il n'y a pas besoin de les faire car ce qu'ils sont censés en difficulté n'existent plus, chaque nation laisser aller et venir librement n'importe quelle marchandise à ses frontières. Ce fut la doctrine de J.B. Say et de toute l'école économique Français jusqu'à Michel Chevalier. C'est le modèle exact que Léon Say récemment adopté. Il était aussi la doctrine de l'école économique anglaise jusque Cobden. Cobden, en prenant la responsabilité du traité de 1860 entre la France et l'Angleterre, se rapproche de la relance de la politique odieuse des traités de réciprocité et failli oublier la théorie de l'économie politique pour lequel il avait été, dans la première partie de sa vie, le défenseur intransigeant.

    En 1859, l'économiste libéral Français Michel Chevalier est allé pour voir Richard Cobden à proposer un traité de libre-échange entre la France et l'Angleterre. Bien sûr, ce traité, adopté en 1860, fut un succès temporaire pour les libre-échangistes. Ce qui est moins connu, cependant, est que dans un premier temps, Cobden, conformément au principe de libre-échange, a refusé de négocier ou de signer un traité de « libre-échange ». Son argument était que le libre-échange soit unilatérale, qu'elle se compose pas dans les traités, mais en toute liberté dans le commerce international, quelle que soit la provenance des produits.

    Chevalier a finalement réussi à obtenir un soutien de Cobden. Mais Cobden était intrigué par le complet secret entourant les négociations et, dans une lettre à Lord Palmerston, il a attribué ce secret pour le « manque de courage » du gouvernement Français. De même, aujourd'hui, le manque de transparence concernant les négociations de libre-échange est problématique, et il est souvent difficile de savoir quel sera le contenu d'un traité.

    Aujourd'hui, alors que certains de ces traités sont en cours de négociation, il y a déjà des exemples d'accords similaires appliquées. On pourrait se référer à l'accord général sur les tarifs douaniers et le commerce (GATT), l'accord général sur le commerce des Services (AGCS), l'accord sur les Aspects des droits de propriété intellectuelle qui touchent au commerce (ADPIC) ou plusieurs accords régionaux comme l'accord de libre-échange nord-américain (ALENA) ou l'espace économique européen (EEE).

    (suite en dessous:)

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  11. Mais pourquoi les gouvernements protectionnistes qui passent leur temps à entraver des marchés en donnant aux monopoles et autres sortes de privilèges au niveau national, l'ouverture des marchés au niveau international ? Le fait que les gouvernements négocient au nom du libre-échange devrait se méfier pour n'importe quel libertaire ou vrai défenseur du libre-échange.

    Les accords intergouvernementaux à accroître la capacité de gouvernement
    Murray Rothbard s'oppose à l'ALENA et a montré que ce que les Orwellians appelaient un accord de "libre-échange" était en réalité un moyen de cartellisation et d'accroître le contrôle du gouvernement sur l'économie. Plusieurs indices nous amènent à la conclusion que les politiques protectionnistes cachent souvent derrière des accords de libre-échange, pour comme dit Rothbard, « véritable libre-échange ne nécessite pas un traité ».

    Le premier indice est l'intergouvernemental et top-down approche. Intergouvernementalisme n'est rien d'autre qu'une utilisation de gouvernements de processus de mutualiser leurs souverainetés respectives afin d'achever les tâches qu'ils ne sont pas en mesure d'accomplir seul. Etats-Nations sont des entités qui rarement abandonnent le pouvoir. Quand ils finaliser des accords, c'est de renforcer leur pouvoir, de ne pas l'affaiblir. Au contraire, le libre-échange nécessite un déclin du pouvoir de réglementation des gouvernements.

    En outre, libre-échange ne nécessite pas la coopération interétatique. Au contraire, le libre-échange peut être et doit être fait unilatéralement. Comme la liberté d'expression n'a pas la coopération internationale, la liberté de commercer avec les étrangers n'a pas besoin les gouvernements et les traités. De même, notre gouvernement ne devrait pas voler leur population corporatiste et politiques protectionnistes juste parce que d'autres le font. Quiconque croit au libre-échange ne craint pas l'unilatéralisme. Le simple fait que les bureaucrates et les politiciens ne conçoivent pas de l'économie internationale en dehors d'un cadre juridique réglé par des accords intergouvernementaux suffit à montrer la méfiance qu'ils expriment vers la liberté individuelle. Cela renforce la conviction que ces accords sont déterminés par les préoccupations de mercantiliste plutôt que véritable libre-échange buts.

    Contrôle réglementaire qui s'étend au-delà de vos propres frontières
    Le deuxième indice concerne les intenses conflits entre gouvernements sur ces accords se caractérisés par un haut degré de technicité. L'histoire montre que le multilatéralisme mène vers l'impasse. L'échec du cycle de Doha est la cause de la prolifération des initiatives bilatérales et régionales. Les relations controversées entre gouvernements viennent de la volonté de certains États de dicter leurs règles aux producteurs d'autres pays à travers un processus d'harmonisation internationale. Mais il s'agit de l'exact opposé du libre-échange. Comme nous le montre la théorie économique, échange et la division du travail ne repose pas sur l'égalité et l'harmonisation, mais plutôt sur les différences et les inégalités. En outre, la technicité et le secret qui entoure les accords de libre échange favorisent le mercantilisme et le protectionnisme dans la mesure où les règlements techniques sont utilisées pour favoriser les producteurs qui sont politiquement bien reliés.

    (suite en dessous:)

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  12. Le Trans Pacific Partnership (PPT) est une bonne illustration de ce rapport de force. Il fut d'abord un accord entre quatre pays (Brunei, Nouvelle-Zélande, Singapour et le Chili.) qui a essayé de résister à l'influence commerciale de certains voisins, en particulier la Chine. Les États-Unis vint et convaincu plusieurs pays (Australie, Malaisie, Pérou, Vietnam, Canada, Mexique et Japon) à se joindre aux négociations. Nous allons également remarquer que la plupart des pays invités est déjà liée par des accords régionaux ou bilatéraux avec les États-Unis. La Chine reste exclue du processus. Ce disque gouvernemental vers l'hégémonie réglementaire est évidemment tout le contraire du libre-échange. En effet, libre-échange suppose de laisser les consommateurs paisiblement choisir quels produits ils veulent promouvoir plutôt que de déterminer ce qui est disponible par la contrainte bureaucratique.

    Consolidation des monopoles
    Le troisième indice concerne la vigueur avec laquelle les gouvernements ont essayé sur plusieurs décennies d'imposer au niveau international, un cadre juridique plus contraignant pour ce qu'on appelle "propriété intellectuelle". Les premières initiatives apparaissent en 1883 et 1886 avec la Convention de Paris pour la Protection de la propriété industrielle et la Convention de Berne pour la Protection des œuvres littéraires et artistiques. Modifié plusieurs fois au cours du XXe siècle, les initiatives embrassent, respectivement, 176 et 168 États. Ces conventions sont placées sous l'égide de l'Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI), une bureaucratie internationale qui rejoint le système des Nations Unies en 1974. Un tournant s'est produit en 1994 avec la signature de l' accord sur les Aspects des droits de propriété intellectuelle qui touchent au commerce (ADPIC) administré par l'Organisation mondiale du commerce (OMC). Elle est maintenant incorporée comme une partie essentielle de l'administration du commerce international et de bénéficier de mécanismes de sanction de l'OMC.

    En 2012, nous avons enduré une nouvelle tentative par nos gouvernements pour réduire notre liberté pour créer et partager des œuvres de l'esprit avec l' Anti-Counterfeiting Trade Agreement (ACTA). Et, si nous regardons les mandats de négociation de ces accords commerciaux, nous pouvons voir qu'elles comprennent toutes un chapitre sur le renforcement des droits de « propriété intellectuelle ». La propriété intellectuelle est devenue un concept clé de l'économie internationale. Mais cela ne doit pas occulter son illégitimité.

    Tant que Vilfredo Pareto a fait remarquer, « Du point de vue de la protectionnistes, traités de commerce sont... ce qui est plus important pour l'avenir économique du pays. » Chaque fois qu'un nouveau traité de « libre-échange » est adopté, ce qui est vu est l'affaiblissement des barrières tarifaires, mais ce qui n'est pas considéré est la prolifération sournoise et l'harmonisation des barrières non-tarifaires entravant la libre entreprise et la création de monopoles à l'échelle internationale au détriment du consommateur. Il est temps pour véritable libre-échange.

    http://www.zerohedge.com/news/2015-10-07/no-more-free-trade-treaties-its-time-genuine-free-trade

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  13. Au Japon, la sécurité quotidienne c’est l’affaire de tous.

    le 7 octobre 2015
    par jacqueshenry

    Dans les trains et les métros de Tokyo, vers deux heures de l’après-midi, il y des multitudes d’enfants qui rentrent par eux-mêmes de l’école, souvent en uniforme, avec des chapeaux de couleurs variées et toujours le même sac à dos calqué sur le modèle qu’utilisaient les fantassins hollandais, ce n’est pas une blague. Beaucoup de ces gamins parfois bruyants quand ils sont en groupe osent regarder les adultes dans les yeux, ce qui ne se fait pas au Japon parce le regard est une extériorisation de l’âme et regarder un inconnu dans les yeux est un manque de respect caractérisé. Certains enfants ont une sorte de beeper à la bretelle de leur sac, mais c’est réservé semble-t-il à certaines écoles privées bon chic bon genre. Tous n’ont pas de téléphone portable mais ils ont tous une carte d’identification en bandoulière au cas où … Au cas où quoi ? Il ne leur arrive jamais rien car ils se sentent en sécurité. Il n’y a pourtant personne ni dans les trains ni dans les gares ni dans la rue dédiés pour assurer leur sécurité. À quoi bon pourrait-on dire puisque Tokyo est la ville la plus sûre du monde. Les parents qui savent qu’ils peuvent compter sur l’esprit communautaire des habitants et conscients de la sécurité dans la ville n’hésitent pas à envoyer leurs enfants faire quelques courses afin, dès l’âge de trois ou quatre ans, de les habituer à une certaine autonomie. Ce film datant d’une vingtaine d’années sous-titré en anglais illustre cette sorte de coutume qui est unique au Japon : https://youtu.be/e5k5XTZy0rA .

    Les trains sont toujours à l’heure et quand un enfant sait lire, disons dès l’âge de 5 ans, il peut prendre le train ou le métro tout seul car tout est parfaitement bien indiqué et les annonces sonores sont également explicites, par exemple à quelle station de train il faut changer si on se trouve dans une rame « rapide » ou « rapide spéciale » pour pouvoir se rendre à une station desservie uniquement par des trains « locaux ». De plus dans pratiquement tous les trains et métros il y a des écrans au dessus de chaque porte qui indiquent précisément quel temps il faudra pour arriver à telle station avec les éventuelles correspondances possibles. Un enfant de sept ans ne peut pas se perdre dans l’immense tissu de trains et de métros de Tokyo et de sa mégalopole. Et si par un fait extraordinaire il se perdait, alors immédiatement un adulte prendrait soin de lui ou encore mieux l’un ou l’autre des employés qui se trouvent dans les gares, sur les quais, près des portes d’accès ou dans les couloirs. Un enfant en perdition est également tout de suite repéré à l’aide des multiples caméras de surveillance.

    C’est cette impression réelle de sécurité qui fait que les enfants sont très rapidement indépendants à Tokyo comme dans la plupart des grandes villes japonaises. Mais est-ce vraiment ce sentiment de sécurité qui autorise les parents à lâcher dans la nature leur enfant ? Pas vraiment ! Il s’agit en fait d’un fait de société unique au Japon : inculquer aux enfants un degré d’indépendance dès leur plus jeune âge en les impliquant progressivement dans des tâches communautaires dès les premières années du kinder-garten afin qu’ils ressentent eux-mêmes qu’ils font aussi partie de la communauté, qu’ils appartiennent au groupe et qu’ils peuvent compter sur la solidarité de ce groupe. Chaque membre du groupe, en réalité l’ensemble de la population, sait qu’il peut compter sur les autres en cas de besoin. À l’école les enfants s’acquittent de certains devoirs comme par exemple servir les plats à la cantine, s’occuper de la propreté des toilettes ou de l’état de la pelouse dans la cour de l’école. Parfois les enfants sont sollicités pour aller faire du jardinage dans un petit jardin public :

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  14. … dans ce même but, s’intégrer à la communauté, en suivant les conseils d’un senior, un bénévole à la retraite, qui leur apprend à éliminer les mauvaises herbes et nettoyer soigneusement une petite parcelle d’un petit parc d’agrément où ces mêmes enfants ont par ailleurs l’habitude de venir jouer, ici Benteike Koen, Suginami-ku (Tokyo). Difficile d’imaginer un tel processus d’intégration dans des villes comme Paris, Londres ou New-York. D’ailleurs quelle mère de famille oserait laisser son enfant de 8 ans prendre le métro tout seul dans ces villes ? C’est en laissant les enfants prendre les transports en commun seuls (au Japon) qu’ils se sentent responsabilisés et qu’ils font partie à part entière de la communauté. Au Japon, la sécurité dans les trains ou dans la rue c’est l’affaire de tous, c’est une question de culture du respect de soi et des autres …

    Note : Pour l’anecdote, à Tokyo, dans certains trains provenant de la lointaine banlieue et complètement bondés aux heures de pointe il existe des voitures réservées aux femmes. En effet, beaucoup de femmes (office-ladies) se sont plaintes auprès de la direction de la JR (Japan Rail) ou d’autres compagnies ferroviaires privées de mains par trop baladeuses. Il est vrai qu’aux heures de pointe on ne peut même plus se tenir aux poignées et aux barres et les mains d’hommes même bien intentionnés peuvent être ressenties par les femmes comme baladeuses, j’en ai moi-même fait l’expérience, ne sachant pas comment éviter que l’une de mes mains se retrouve malencontreusement en contact avec le postérieur d’une jeune femme serrée contre moi involontairement.

    Billet inspiré d’un article paru dans The Atlantic, illustration : photo personnelle.

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2015/10/07/au-japon-la-securite-quotidienne-cest-laffaire-de-tous/

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  15. Temps de planification centrale monétaire fin


    Soumis par Tyler Durden le 07/10/2015 21:30 -0400
    Soumis par Richard Ebeling via a EpicTimes.com,

    Il n'y a aucune façon de décrire la politique actuelle de la réserve fédérale autre que monétaire confusion et détournement. En un mot, Janet Yellen et les autres membres du Conseil des gouverneurs de la Fed ne sais pas quoi faire. Soulèvent-ils certains taux d'intérêt sur lesquels ils exercent une certaine influence directe ? Faire ils garder à leurs niveaux actuels de rock bottom, car ils ont pour les six dernières années?

    D'une part, le gouvernement a mesuré le chômage niveaux ont chuté de leur sommet de plus de 10 pour cent à la profondeur de la récession récente à 5,1 % en septembre 2015.

    Cependant, il y a une mesure alternative du chômage aussi calculé par l'US Bureau of Labor Statistics. Il comprend non seulement les actuellement au chômage et la recherche de travail au cours des quatre semaines précédentes, mais aussi « décourager les travailleurs » qui ont cessé à la recherche d'emplois qui seraient intéressés à travailler si ils ont trouvé un emploi convenable ; et ceux qui sont à temps partiel qui préférerait être employés à temps plein. Si ces deux groupes supplémentaires sont inclus, le taux de chômage aux États-Unis est de 10 %, le double du niveau « officielle » global du chômage l'administration vante comme un signe « positif » de reprise de l'économie.

    En revanche, l'inflation mesurée par l'indice des prix des prix semble s'élever à peine. Selon le Bureau of Labor Statistics, hausse des prix en août 2015 était.02 % supérieure à douze mois plus tôt.

    Encore une fois, cependant, lorsque les prix alimentaires et énergétiques sont soustraits de l'indice des prix à quitter ce que les statisticiens du gouvernement appellent l'inflation "de base", prix au mois d'août étaient 1,8 pour cent de plus qu'un an auparavant. Certainement pas une « galop » inflation, mais pas le presque zéro prix taux d'inflation du nombre de highline suggère, particulièrement étant donné que les prix alimentaires ont augmenté de 1,6 % au cours de l'année ; le « glisser » sur l'inflation des prix mesurée était dû à une baisse de 15 % dans le prix de l'énergie par rapport aux douze mois plus tôt.

    Aucun compromis entre l'emploi et l'Inflation

    Si nous regardons ce taux de chômage alternatif de 10 pour cent en conjonction avec le taux d'inflation de prix « de base » de 1,8 pour cent, ce que nous voyons est une forme modérée de ce qui dans les années 1970 a été appelé « stagflation »: taux de chômage élevé avec une inflation croissante.

    La réserve fédérale pourrait tenter de pousser vers le haut les taux d'intérêt directeurs, qu'il a plus directement une influence, en particulier le taux des fonds fédéraux au cours de laquelle banques prêtent les uns aux autres pendant la nuit, mais avec le risque de menacer l'investissement et immobilier emprunt qu'elle a tenté de « stimuler » à travers près de taux d'intérêt zéro.

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  16. Ou la réserve fédérale pourrait continuer à maintenir les taux d'intérêt bas par une poursuite de leur modéré « quantitative easing » de la politique monétaire, mais avec le risque que la hausse des prix (cependant mesurée) peut commencer à augmenter plus rapidement qu'elle ne possède, créant le danger de la hausse des prix au-dessus de leur objectif déclaré niveau de 2 % par an.

    (Il devrait garder à l'esprit que même les taux de cible « modeste » de la réserve fédérale de deux pour cent d'inflation annuel de prix entraînerait encore une baisse près de 50 pour cent dans la valeur de chaque dollar dans nos poches dans environ 20 ans.)

    Quoi qu'il en soit, la vieille notion keynésienne que vous pouvez réduire le chômage en acceptant un taux plus élevé de l'inflation des prix et vice versa, montre elle-même d'être aussi illusoires que lorsqu'il était premier vanté dans les années 1960 comme le compromis politique macroéconomique mécanique entre chômage et prix inflation connue comme la courbe de Phillips.

    La Banque centrale européenne, est par ailleurs, dans son propre dilemme. Chômage officiel de toute l'Union européenne continue à planer au-dessus de 10 % suite à une baisse de prix modeste plus récemment mesurée, en dépit de cette version de la Banque centrale de « quantitative easing » de presque $ 70 milliards de nouveaux billets-création par mois depuis le début de 2015.

    La Fed provoque des estacades et bustes

    Le seul résultat de ces années d'expansion monétaire et de la manipulation des taux d'intérêt est la distorsion et l'instabilité économique. Les indices de marché financier sensiblement tournoyer verticalement apparemment chaque jour basé sur une lecture nuancée tentative des dernières déclarations publiques par l'un des gouverneurs de la réserve fédérale concernant des changements de politique de taux d'intérêt.

    Le château de cartes, construit sur les années d'artificiellement bas ou des taux d'intérêt zéro en ce qui concerne les investissements entrepris avec billions de dollars d'argent bon marché, ainsi que des hypothèques résidentielles à manipulé les frais d'intérêt, accrocher dans la balance à nouveau comme dans précédents cycles de surchauffe.

    Chaque fois que les booms transformer en bustes, les banquiers centraux insistent qu'ils ont eu rien à faire avec elle. Il a été en raison de le "exubérance irrationnelle" des marchés financiers ou les banquiers de colporteur qui dupe les gens à prendre des prêts qu'ils ne pouvaient pas vraiment se permettre, ou événements internationaux hors contrôle une banque centrale nationale, ou tout simplement, enfin, "malchance" avec ce qui se passe de façon imprévisible, même sous l'oeil vigilant de la Banque centrale "experts".

    Le fait est que les cycles de surchauffe qui ont frappé des sociétés industrielles modernes pour bien plus d'un siècle, y compris la grande dépression des années 1930 et cette dernière « grande récession », comme il a été surnommé, n'ont pas « vient de se passer » ou été le résultat de faiblesses inhérentes et inévitables dans un marché économique ou capitalistes des marchés financiers.

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  17. Les estacades et les bustes du cycle économique sont le résultat du système très Banque centrale qui les décideurs gouvernementaux et les banquiers centraux insistent qu'ils sont là soit éviter ou de limiter dans son amplitude et sa durée.

    Comme je l'explique dans mon nouveau, récent livre, monétaire de planification centrale et de l'État, publié par la Fondation avenir de liberté, Banque centrale souffre des mêmes insuffisances politiques et économiques comme toutes les autres formes de planification centrale.

    Pillage de l'imprimerie monétaire

    Tout d'abord, plaçant le contrôle du système monétaire entre les mains du gouvernement ou un organisme créé par gouvernement tels que l'US Federal Reserve System ouvre la porte à la tentation de la violence politique sous de nombreuses formes. D'une part, la tentation existe pour la presse monétaire permet de créer de l'argent qui couvre les frais des déficits du gouvernement et fournit les taux d'intérêt artificiellement bas pour manipuler les coûts de financement du gouvernement accumulé des dettes.

    En revanche, une banque centrale peut également être utilisée pour « stimuler » l'emploi et la production au service des politiques menant à une élection, pour donner l'impression que les dirigeants politiques ont la baguette magique de « créer des emplois » et mieux des niveaux de vie – ce qui est parfois dénommé la « conjoncture politique ».

    Il permet également de se plier aux groupes d'intérêts spéciaux voulant sources des taux inférieurs au marché d'intérêt pour les prêts, ainsi que les institutions bancaires eux-mêmes qui ont accès au crédit créé fourni par la Banque centrale avec laquelle ils gagnent des revenus d'intérêts qui autrement n'aurait pas été là.

    Gouvernement complet ou près de contrôle monopolistique des ressources, des actifs ou institution (par exemple, une banque centrale) historiquement a toujours apporté dans son sillage pillage et un privilège pour certains aux dépens d'autrui qui n'aurait pas été possible dans un contexte de marché plus ouvert et compétitif.

    Monétaire de planification centrale et de la conjoncture

    Toutefois, même si ceux qui surveillent et gèrent les banques centrales ont été aussi « pure » et bienveillant comme anges seulement désireux de faire le bien pour l'humanité sans arrière-pensées égoïstes ou les tentations, le système bancaire et monétaire reste constamment risquerait de souffrir des mêmes cycles d'expansion et de ralentissement que nous voyons dans notre monde aujourd'hui.

    C'est parce que la Banque centrale est une forme de planification centrale et manifeste comme tel, les mêmes faiblesses et impossibilités comme tous les systèmes économiques planifiées. Taux d'intérêt sont des prix de marché généré qui visent à coordonner les décisions des épargnants avec ceux d'investisseurs potentiels, en intégrant les deux côtés du marché prêt équilibre.

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  18. Revenus prendre une décision à consacrer une partie de leur revenu gagné sur les biens de consommation souhaitées et d'enregistrer une partie de ces revenus pour les demandes prévues et possibles et utilise à l'avenir. Les ressources réelles enregistrées partie de leur revenus représentent en termes de puissance sur le marché d'achat de garantie est transférée aux emprunteurs capables et intéressés ; ils utilisent que sauvé la partie du revenu de l'argent d'autrui pour entrer dans le marché et la demande et l'achat de ressources, matières premières, biens d'équipement (machines, outils et équipements) et les services du travail à entreprendre orientée vers l'avenir et des projets d'investissement de temps de divers types et longueurs qui enfantera des marchandises pour être achetés et vendus à l'avenir.

    Taux d'intérêt, servir en d'autres termes, la tige d'équilibrage pour garder afin de coordonner l'utilisation des ressources limitées dans la société entre la production de biens de consommation plus près à l'heure actuelle et les investissements qui enfantera des biens de consommation plus à l'avenir. C'est l'équilibre entre production de ressources utilisations et des marchandises à travers le temps.

    Hubris de banquier central par rapport à des marchés concurrentiels

    Il n'y a aucun moyen de savoir quels sont les taux d'intérêt coordination « corrects » pour les différents types de prêts avec des investissements en ce qui concerne les décisions des gens de consommer et de mettre les parties de leurs revenus autres que pour permettre la libres et concurrentiels des marchés financiers à découvrir au travers de l'interaction de l'offre et la demande quel devrait être le « équilibre » ou l'équilibrage de marché des taux d'intérêt des périodes différentes.

    C'est, bien sûr, pas différente de celle dans le cas de tout autre bien ou service qui peut être offerts sur le marché. Aucun planificateur central ne peut remplacer le marché concurrentiel et son système de tarification libre pour intégrer et coordonner l'ensemble des connaissances complexes et circonstances des multitudes de millions de fournisseurs et demandeurs dans un monde en constante évolution.

    Et, même, c'est le cisaillement arrogance et naïf orgueil pour les planificateurs centraux de croire qu'ils font ou jamais peuvent avoir la connaissance, la sagesse et la capacité à déterminer correctement ce que devrait être la quantité de monnaie dans l'économie, la valeur de ce que l'argent ou achat alimentation devrait être sur les marchandises et services sur le marché, ou quel taux d'intérêt qui assurerait coordonnée équilibre entre épargne et investissements.

    Liberté monétaire et bancaire concurrentiel privé

    C'est pourquoi en est temps de repenser et de contester la présomption d'une nécessité et un résultat supérieur de l'institution of central banking, aux États-Unis ou partout ailleurs dans le monde.

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  19. Au XXe siècle, un groupe d'économistes connus comme membres ou sympathisants avec le « école autrichienne d'économie » a contesté le raisonnement et la logique derrière la Banque centrale. Parmi ces éminents économistes autrichiens étaient Ludwig von Mises et Hayek.

    Bien que les économistes autrichiens ont parfois divergé dans leurs accents et leurs arguments sur le fonctionnement pratique d'un système de banque libre privé et concurrentiel, il y a une prémisse partagée par chacun d'entre eux : un système bancaire et monétaire complètement axée sur le marché serait bien supérieur à l'historiques et actuelles des formes institutionnelles de la Banque centrale.

    L'argent est peut-être la plus centrale et essentielle, économique bon sur le marché, puisque c'est le moyen d'échange généralement utilisé pour faciliter toutes les opérations conclues par les acheteurs et les vendeurs. Il rend plus lisse et plus efficace de l'échange de biens et de services dans l'ensemble de l'économie.

    Monétaire et bancaire est trop Important pour laisser aux banques centrales

    Mais précisément à cause de son rôle central et sa signification dans une économie de marché complexe et en constante évolution, la fourniture et le contrôle de l'argent est trop important pour laisser entre les mains des hommes politiques ou leurs représentants de la Banque centrale.

    Ils sont soit trop ouverte aux tentations des objectifs politiques à court terme dans leur maîtrise de l'imprimerie monétaire ; ou qu'ils souffrent de ce que Hayek a appelé un « semblant de connaissances » en supposant qu'ils peuvent toujours en savoir plus ou mieux que les connaissances cumulées de tous les participants de la concurrence du marché tel que manifesté dans les prix et les taux d'intérêt qui émergent à travers l'interaction de l'offre et la demande.

    Historiquement, les marchés, c'est-à-dire nous tous dans nos rôles en tant que consommateurs et productions, déterminé quels produits ont été plus utiles comme média d'échange pour les différents types et tailles de transactions. L'argent n'a pas été et ne sont pas nécessairement une création ou une créature de l'État a été le plus souvent de produits de base tels que l'or et l'argent.

    Services bancaires comme la procédure institutionnelle et des processus afin de faciliter et de coordonner les décisions des épargnants et des investisseurs est née de la découverte du marché des occasions profitables dans la fourniture de services d'intermédiaire afin de minimiser les coûts des prêteurs et des emprunteurs directement la recherche sur les partenaires commerciaux pour l'échange des ressources et des biens à travers le temps.

    Création de la monnaie comme outil de pillage

    Gouvernements et leurs Banque centrale créations usurpés axée sur le marché monétaire et bancaire systèmes à servir aux fins de pillage des rois, des princes, des parlements et des groupes d'intérêts spéciaux qui ont tous voulaient tenir la main magique de l'imprimerie monétaire.

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  20. Imprimer vers le haut de l'argent (ou ses substituts numériques et les substituts dans des temps plus modernes) et vous pouvez avoir accès à tout le dur labeur des autres qui ont investi dans la fabrication et en mettant sur le marché tous les produits et services que vous désirez sans avoir à entreprendre l'effort réciproque et les travaux à faire, un service ou un bien réel du commerce pour gagner de l'argent afin d'acheter honnêtement ce que vous voulez chez eux. Certains sont tellement impolis mentionner ces méfaits monétaire comme "fraude" et de "détournement".

    Ajouté à cela plus « base » de monopolisation de gouvernement de l'imprimerie monétaire, a été, au cours des cent dernières années, l'arrogance et l'orgueil des ingénieurs sociaux, élites bureaucratiques de « experts » et les décideurs « à vocation sociale », qui suppose de savoir comment gérer les micro et macro-gérer mieux que de laisser les gens à gérer leur propre vie à travers une interaction Pacifique avec les autres dans le marché concurrentiel de la société.

    Leur héritage du siècle-long dans l'arène des monétaires et bancaires a été les estacades et les bustes du cycle conjoncturel. Les ingénieurs sociaux monétaires ont porté des chapeaux différents à des moments différents, se faisant appeler keynésiens, monétaristes, nouveau classique ou théories des anticipations rationnelles, ou après et les nouveaux keynésiens – mais ils restent des variations sur le même thème théorique et idéologique: des planificateurs centraux monétaires imposant leurs notions de marché escomptés par cooptation le fonctionnement d'un système concurrentiel réel et efficace axée sur le marché de banque libre à l'aide de marché choisis d'échange.

    Le moment est venu de mettre fin au règne tragique et perturbateur de planification centrale monétaire.

    http://www.zerohedge.com/news/2015-10-07/time-end-monetary-central-planning

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