- ENTREE de SECOURS -



mardi 4 août 2015

Comment reconnaît-on un vrai site d'un faux ou un blog de particulier d'un blog de troll-de-Bruxelles ?

Il y a un grand nombre de blogs/sites qui parlent/affichent une politique ouvertement anti-gouvernementale et qui va jusqu'à traiter tel ou tel chef d'Etat de noms d'oiseaux voire de faire des montages photos les associant au lit avec des animaux (!). Là, bien-sûr on les a reconnu, ce sont des blogs/sites tenus par des flics qui sont là pour attirer le chaland et poursuivre le premier qui poste un commentaire "Bravo ! Bien parlé !" etc.
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Autre thème autre temps, celui de la découverte de nano-particules d'aluminium dans le pistil des fleurs et - faire la corélation avec la mortalité des abeilles et la maladie d'Alzheimer dont elles sont atteintes - le miel où la quantité est astronomique !
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Seulement le miel ?! D'où viennent ces particules ?
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S'il a été reconnu qu'il y avait une surabondance de nano-particules d'aluminium (hors proximité de mines d'aluminium à ciel ouvert), c'est qu'il y en a forcément dans TOUTES les autres fleurs, fruits, graines, feuilles et, dans toutes les bestioles qui en consomment !
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Nano-particules venues/répandues par chemtrails.
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Un chemtrail n'est pas un contrail. Un contrail est un trait naturel de vapeur d'eau qui suit l'avion et s'efface derrière lui à 1 kilomètre environ en quelques secondes; tandis que le chemtrail (traits chimique) est un long trait de plusieurs centaines de kilomètres qui persiste parfois plus d'une heure dans le ciel en s'épaississant puis, disparaissant en descendant. (Une nano-particule est 1 milliardième de mètre, 1 millionième de centimètre et 1 millième de millimètre).
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Donc, la question très importante après cette révélation de la mort des abeilles par la maladie d'Alzheimer est: Pourquoi TOUS les médias ne se sont pas emparé de cette affaire scandaleuse ainsi que certains blogs qui se disent être de 'particuliers' ?
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C'est là aussi que l'on reconnaît le vrai du faux chez ceux qui soutiennent la 'science' des hommes politique et, la vérité qui dérange quand je publie (entr'autres mille):
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et bien d'autres sur le pétrole abiotique, les voitures électrique et la vraie-fausse pollution, l'EMP, Gakona et la Technologie Scalaire, etc, etc !
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82 commentaires:

  1. L’écologie régressive


    Par Michel Gay,
    le 4 août 2015 dans Environnement

    Une logique de pouvoir qui ne dit pas son nom se cache derrière les prétextes écologiques.

    Un groupe de 18 scientifiques anglo-saxons a publié cette année un « manifeste éco-moderniste » (« An ecomodernism manifesto ») qui présente une vision équilibrée du triangle homme – technique – environnement. La technique y est réhabilitée sans être idolâtrée, ni diabolisée.

    Ce document prend le contre-pied de l’écologie politique intégriste actuelle, et il défend une rationalité qui englobe le nucléaire. L’expression «éco-modernisme» correspond à une manière intéressante de décrire l’évolution du système industriel. Ce courant de pensée semble malheureusement peu représenté en Europe, mais il pourrait avoir un certain succès s’il était mieux défendu, car il correspond bien à la position de nombreux européens depuis longtemps.

    En Suisse, par exemple, certains professeurs sont préoccupés par un courant de pensée qui devient dominant à l’Université de Lausanne (UNIL) : en résumé, le monde serait « foutu » et le salut ne viendrait plus des technologies, mais des changements de comportement (sobriété, abstinence, austérité,…). Dans cette université, à l’automne 2015, un cours sera entièrement consacré à la critique de la technologie dans un nouveau « Master en durabilité ». Ce genre d’approche est même encouragé par le rectorat de l’Université de Lausanne, en particulier le « vice-recteur à la durabilité » (B. Frund).

    Dans le domaine des sciences humaines et sociales en Europe, une forme d’homogénéité de positions catastrophistes, anti-science et anti-technologie se met en place. Ce qui semblait critique et subversif dans les années 1970 est devenu le dogme ! Les « élites » impliquées dans ces travaux possèdent une connaissance très approximative (voire une ignorance complète) des enjeux sous l’angle des sciences naturelles et de l’ingénieur. Ils partent de préjugés et de positions dogmatiques. Leurs analyses et leurs prises de position (qui se réclament du reste souvent de la rigueur scientifique…) plaisent aux médias grands publics.

    De plus, une logique de pouvoir qui ne dit pas son nom se cache derrière les prétextes écologiques. Il s’agit en fait de mettre fin (plus ou moins radicalement en s’attaquant à leurs symboles) au système industriel capitaliste et technologique. Un militant de la transition énergétique résume cette volonté :

    « Le capitalisme néolibéral qui domine aujourd’hui la planète, sa société techno-scientiste illimitée, productiviste et consumériste, font que la transition énergétique est indispensable pour que la planète soit vivable. Les centrales nucléaires, emblématiques de la civilisation dite ‘progressiste’, sont en soi à éliminer. Elles procèdent de ces valeurs de domination, de maîtrise, d’exploitation, de prédation de la matière et du vivant (valeur de la ‘modernité’) qui sont l’essence du capitalisme. Un changement de civilisation s’impose aujourd’hui. »

    (suite en dessous:)

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  2. Persuadés qu’ils n’ont rien à craindre, ces apprentis sorciers « verts » se voient en élite de cette nouvelle humanité que l’effondrement du capitalisme libéral, qu’ils espèrent, fera forcément émerger sur la planète entière (cela ne vous rappelle pas « quelque chose » ?…). Leurs considérations oiseuses et leur rhétorique à base de clichés, d’expressions percutantes apprises par cœur, sans arguments concrets et sans références chiffrées, impressionnent et noient efficacement le citoyen.

    Ces milieux «intellectuels», ou pseudo-intellectuels, rêvent d’exercer un pouvoir sur les esprits (notamment la nouvelle génération), en recourant à une stratégie vieille comme le monde, parfois utilisée par certaines religions, et bien connue des pouvoirs dictatoriaux : la peur… Ainsi, Ségolène Royal, ministre de l’Écologie déclare sereinement le 22 juillet 2015 dans son discours devant l’Assemblée nationale : « En matière climatique, la peur commence à être là. Mais la peur ne suffira pas. Nous devons trouver d’autres ressorts que la peur pour gagner la bataille de l’action ».
    Les gens compétents en sciences et en technologies sont pris dans leur univers (souvent passionnant) et ne se préoccupent ni des discours politiques, ni des médias. Ils ne s’aperçoivent pas que la perception par les politiques, et par la société en général, est en train d’évoluer en leur défaveur… Il y a parfois une certaine naïveté dans les milieux scientifiques. À cet égard, l’excellente réplique au journal Le Monde du Professeur Jean-Claude Arthus le 20 juillet 2015 en est un réjouissant contre-exemple.

    Si la civilisation tient à s’épargner une régression obscurantiste comme elle en a déjà connu à plusieurs reprises de son Histoire, il devient nécessaire de se donner les moyens de convaincre nos semblables que la pérennité, sinon le salut, de l’actuelle condition humaine repose aussi sur la science et sur la technologie. Ces dernières peuvent permettre de concilier les besoins croissants de l’Humanité et les prélèvements naturels qu’ils occasionnent.

    C’est par l’accroissement des rendements quantitatifs et qualitatifs favorisé par la science et par la technologie que l’Humanité parviendra à préserver dans la durée la plupart des biotopes planétaires… et à améliorer ses conditions de vie.

    http://www.contrepoints.org/2015/08/04/216700-lecologie-regressive

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    1. (...) En Suisse, par exemple, certains professeurs sont préoccupés par un courant de pensée qui devient dominant à l’Université de Lausanne (UNIL) : en résumé, le monde serait « foutu » et le salut ne viendrait plus des technologies, mais des changements de comportement (sobriété, abstinence, austérité,…). (...)

      En matière de faux-culs ont ne fait pas mieux !

      'sobriété, abstinence, austérité' ! Hahahaha ! Parlez plutôt de çà aux ministres et chefs d'Etats milliardaires et vous aurez la réponse !

      'le salut ne viendrait plus des technologies,' !!! Bien-sûr là, ce sont encore des ânes qui ne connaissent rien à la technologie et qui se disent maître en sciences !

      Remarquez qu'à chaque fois ce sont des MONOLOGUES (merdiatiques) et non des dialogues démocratique qui appellent les opinions à venir du peuple.

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  3. Ils s'écrasent : Apple, Twitter, huile, produits, Stocks grecs, magasins chinois


    Par Michael Snyder,
    le 3 août 2015


    Le mois d'août bien sûr a commencé avec un bang. Stocks de Tech sont brisés, huile se bloque, biens industriels sont brisés, les stocks grecs se sont écrasé au moment où la bourse grecque a rouvert pour négoce et actions chinoises continuent à se bloquer. À ce stade nous n'avons vu un large crash de stocks américains encore, mais il est important de noter que le Dow Jones est déjà baisse de plus de 700 points, après avoir culminé en mai. S'il continue à glisser comme il a ces derniers jours, il ne sera pas trop long avant que nous atteindrons officiellement le territoire de la « correction ». Il y a quelques jours j'ai décrit août comme un "mois crucial", et jusqu'à présent qui s'avère en effet être le cas.

    Une véritable crise financière n'a pas encore éclaté, mais nous sommes sur la bonne voie. Dans cet article, je veux regarder quelques-uns des « accidents » qui arrivent déjà...

    Apple

    Il s'agit davantage d'une "correction" à un « crash », mais il est très remarquable parce que ça se passe à l'un des plus importants stocks US de tous. Le prix du stock d'Apple a déjà franchi la mobile de 200 jours moyens, et à ce moment il est en baisse de près de 11 pour cent par rapport au pic...

    Actions d'Apple sont en baisse de 10,9 % depuis leur point culminant en un an, qui place le stock carrément dans ce qui est considéré comme une correction. La définition officieuse d'une correction est un 10 % ou plus grande chute d'un récent sommet. Actions d'Apple a atteint un sommet de 52 semaines (et tous les temps) sur 134,54 $ le 28 avril.
    Twitter

    Si vous voulez voir un vrai crash, il suffit de regarder ce qui se passe sur Twitter. Le stock a été vers le bas près de 6 % lundi et dans l'ensemble qu'il a tombé de 58 % depuis le début de l'année dernière. Le prix du stock de Twitter, n'a jamais été plus bas qu'il est dès maintenantet beaucoup d'investisseurs est très inquiets sur ce qui vient après...

    Twitter actions hit un niveau record lundi, fermeture de près de 6 % à 29,27 $.

    C'est 58 % au-dessous de leur point culminant en janvier 2014.

    Actions ont atteint leur point le plus bas étant donné que la société est devenue publique en novembre 2014, alourdi par des commentaires négatifs sur la croissance des cadres de l'entreprise qui a secoué les investisseurs. Ses bas précédent était 30,50 $ en mai 2014, inquiétudes sur le ralentissement de la croissance de l'utilisateur a commencé à prendre un péage.
    Bien sûr, il y a des entreprises de technologie qui sont en bien pire état que celle de Twitter. Par exemple, il suffit de considérer ce qui se passe à Yelp. Actions de Yelp récemment chuté de 25 % en une seule journée, et ils sont en baisse sur 70 % l'an dernier.

    (suite en dessous:)

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  4. Grèce

    Le gouvernement grec était très désireux de rouvrir leurs marchés boursiers cette semaine.

    Peut-être qu'ils devraient avoir attendu plus longtemps.

    Lundi, nous avons assisté au plus grand stock bain de sang dans l'histoire grecque. Ce qui suit provient de Reuters...

    Marché boursier de la Grèce fermé avec de lourdes pertes lundi après un arrêt de cinq semaines, provoqué par les craintes que le pays était sur le point d'être déchargée de la zone euro.

    Actions de la Banque ont chuté de 30 % avant perte limites coups de pied pour arrêter les investisseurs vendent plus. Le principal indice boursier Athènes . ATG se terminant en baisse de 16,2 %, récupérant un peu après plongeant de près de 23 % à l'air libre.

    C'était le pire jour performance depuis au moins 1985 quand moderne relevés, notamment une chute de 15 % quand Wall Street s'est écrasé en 1987.
    Porto Rico

    Choses continuent également à démêler pour « La Grèce de l'Amérique ». Lundi, un territoire du commonwealth des États-Unis fait défaut sur la dette pour la première fois...

    Banque de développement pour le gouvernement de Porto Rico a annoncé lundi qu'il n'a pu faire un paiement partiel sur son service Public Finance Corporation (PFC) de la dette due au cours du week-end.

    En réponse au défaut de paiement du service complet, que Moody's dit qu'il considère la situation par défaut.

    "En raison du manque de fonds votés pour cet exercice n'a pas l'intégralité du paiement PFC aujourd'hui (le premier jour ouvrable après la date butoir de samedi)," le Président GDB Melba Acosta-Febo a déclaré dans un communiqué. Il s'agissait d'une décision qui reflète les vives préoccupations de liquidité du Commonwealth en combinaison avec le solde des obligations envers nos créanciers et sont maintenues les obligations tout aussi importantes pour le peuple de Porto Rico pour s'assurer les services essentiels qu'ils méritent."
    La Chine

    Comme j'ai indiqué l'autre jour, l'Indice Composite de Shanghai a diminué de 13,4 p. 100 au cours du mois de juillet. C'était le pire mois pour les stocks en Chine depuis octobre 2009.

    Lundi, les stocks chinois ont diminué encore 1.11 pour cent. Depuis la clôture à 5,166.35 le 12 juin, l'Indice Composite de Shanghai a diminué abruptement. J'écris ceci, il est assis à juste 3622.86.

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  5. Huile

    Dans les mois qui ont précédé la crise financière de 2008, le prix du pétrole s'est dur écrasé.

    Maintenant, il se produit à nouveau.

    En juillet, le prix du pétrole ont chuté de 21 %. C'était la pire baisse mensuelle que nous avons vu depuis octobre 2008.

    Et lundi, a continué l'écrasement de l'huile. Ce qui suit provient de Business Insider...

    Lundi à New York, West Texas Intermediate (WTI) brut a chuté de plus de 4 % et a glissé au-dessous de 45 $ le baril, un niveau, il n'a pas touché depuis mars.

    Pétrole brut de Brent, la référence internationale qui rejoint WTI dans un marché baissier, la semaine dernière, a chuté de plus de 4 %, inférieur à 50 $ le baril pour la première fois depuis janvier.

    Produits de base

    Ces dernières semaines, j'ai écrit encore et encore sur les biens industriels. Voilà encore une autre similitude frappante à la dernière crise financière. En 2008, ils ont commencé à se briser avant que les stocks ont fait et maintenant il se passe encore une fois...

    Nous voyons l'indice Bloomberg produits désormais à un minimum de 13 ans. Le cuivre est en baisse de 28 % pour l'année, l'étain est en baisse de 30 %et nickel est en baisse de 44 %.
    Il s'agit d'un gigantesque drapeau rouge qui indique que nous sommes plongé dans un cycle déflationniste. Quand l'activité économique mondiale se ralentit, fait la demande de produits industriels. Je ne comprends pas pourquoi plus de gens ne peuvent pas voir cela.

    J'ai ont été mise en garde qu'une récession déflationniste venait pendant très longtemps, et donc avoir d'autres. Par exemple, il suffit de considérer l'extrait d'un récent article de Nicole Foss...

    Notre thème récurrent ici à la terre automatique depuis sa création a été que nous sommes confrontés à une très puissante dépression déflationniste, la suite de l'éclatement d'une bulle financière épique. Nous avons assisté à nos trois décennies d'expansion et de l'inflation est tout simplement une supernova monétaire, et cette période a été l'aboutissement juste d'une beaucoup plus grande tendance à la hausse remontant à plusieurs décennies au moins. Nous avons vécu une hyper-expansion du crédit pour le livre des Records, avec une génération sans précédent demandes excédentaires de richesse réelle sous-jacente. Ce faisant, nous avons créé le départ financier plus important de la réalité dans l'histoire humaine.

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  6. Bulles ne sont pas nouvelles – l'humanité a connu périodiquement va complètement nouveau à l'antiquité – mais la nouveauté de celui-ci, en dehors de son ampleur, est sa survenue à un moment où nous ont atteint ou qui atteignent les limites tant à l'échelle mondiale. Le repli, que nous sommes sur le point de découvrir que cette bulle éclate est également configuré pour être sans précédent, étant donné que l'échelle d'un buste est prévisible proportionnelle à l'ampleur des excès durant le boom qui le précède. Nous avons construit un système économique incroyablement complex, mais malgré son apparence robuste, il est trop étendu, cassantes et fragiles après des décennies d'alimenter son expansion continue en se nourrissant de sa propre substance.
    Choses continuent à s'aligner en mode manuel pour une crise financière majeure au cours de l'automne et l'hiver.

    J'espère que vous êtes prêt pour ce qui vient après.

    http://theeconomiccollapseblog.com/archives/crashing-apple-twitter-oil-commodities-greek-stocks-chinese-stocks

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    1. (...) En juillet, le prix du pétrole ont chuté de 21 %. (...) !!!?
      Pas à la pompe !

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  7. Fuites de Snowden confirment l'existence d'ECHELON


    3 août 2015 21:48


    Edward Snowden confirment l'existence d'ECHELON, un réseau de surveillance secrète espionner les communications par satellite. Mis en place par les États-Unis et le Royaume-Uni dans les années 1960, ECHELON a été le précurseur du mouvement mondial d'aujourd'hui.

    Tendances

    Fuites de la NSA

    Les révélations font triompher les travaux du britannique journaliste d'investigation Duncan Campbell, qui a écrit tout d'abord sur l'existence d'ECHELON en 1988 et continue à écrire sur le programme pour les prochaines 27 années.

    Bulletins de la NSA cité par intercepter le confirment que le programme a été mis en place en 1966, tout juste un an après la première communication des satellites ont été lancés en orbite terrestre. Le chalut a été baptisée glaçage et consistait en deux sous-programmes. Tandis que transitoire ciblait les communications par satellite de l'Union soviétique, signaux satellites occidentaux devaient être récoltées par ECHELON. Finalement, toute surveillance satellite fut fusionnée à FORNSAT, un programme global exposé par les révélations de Snowden.

    qChien de garde a signalé sans relâche sur la surveillance de masse depuis 40 ans, en dépit des raids & arrête http://t.co/2bZh7lwyvLpic.twitter.com/OULtOniVdP
    — L' ordonnée à l'origine (@the_intercept) 3 août 2015Q

    Écris à l'intercepter, Campbell a expliqué comment il a trébuché sur l'existence d'ECHELON lors d'un voyage de 1987 aux États-Unis. Un gestionnaire de systèmes informatiques nommé Margaret Newsham, anciennement employé par Lockheed Martin un contrat de la NSA, lui raconta l'existence d'un régime de surveillance colossale, exploité par la NSA et le siège de Communications du gouvernement du Royaume-Uni ou GCHQ.

    Newsham avait été affecté à une équipe de la NSA à Menwith Hill, une installation dans le Yorkshire, en Angleterre, qui a été l'une des bases pour les opérations d'ECHELON. Quand elle a été invitée à écouter sur un appel téléphonique direct et reconnu une voix du sénateur américain Strom Thurmond, elle comprit que la NSA avait traversé une ligne.

    "Les lois constitutionnelles avaient été rompues" Newsham dit Campbell.

    Les documents Newsham partagé avec Campbell a montré comment ECHELON, également appelé projet P415, intercepté des connexions satellite et triée des appels téléphoniques, télex, télégraphe et signaux d'ordinateur. La conception du programme ont démontré que le ciblage hauts politiciens américains n'était pas un accident, dit-elle. C'est le grand frère : surveillance électronique automatisée, globale écoute sur tout le monde.

    (suite en dessous:)

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  8. « Son immensité presque défie l'entendement » Newsham dit. "Il est important que la vérité de sortir. Je ne crois pas nous devrions mettre en place avec étant commandés par Big Brother."
    Campbell puis tendu la main à ses sources dans la communauté du renseignement UK, réception de la confirmation qu'il existait en effet ECHELON. Selon une source GCHQ, la NSA construit des installations au Royaume-Uni afin d'éviter les lois d'Etats-Unis et payé pour les bases, en vertu d'un accord secret.

    qSystème ECHELON a confirmé dans les nouveaux documents de Snowden dehors aujourd'hui. Son seul pris 27 ans ! http://t.co/mgmoRE2aCR pic.twitter.com/hGV68WlAQU
    — Duncan Campbell (@dcampbell_iptv) 3 août 2015Q

    Les premiers récepteurs ECHELON ont été mis en place à Bude, en Cornouailles, pour la surveillance des signaux transmis par les satellites Intelsat au-dessus de l'Atlantique. Un anticorps secondaire site à Yakima, près de Seattle dans le Nord-Ouest, nous, est devenu opérationnel en 1974 et intercepté des communications au-dessus du Pacifique. Les deux stations ont été gérées depuis le siège de la NSA, l'utilisation des réseaux de communication appelées STARBURST et face à l'océan, explique Campbell.

    Malgré les dénégations répétées de l'existence d'ECHELON par GCHQ et NSA, le Parlement européen a lancé une enquête en 1999. NSA internes rapports contenus dans l'Archive de Snowden montrent fonctionnaires NSA comparant aux chercheurs européens de porcs se vautrer dans la poussière. Rapport final du Parlement européen a recommandé des mesures visant à freiner surveillance de masse. Elle a été adoptée le 5 septembre 2001.

    Pendant des décennies, NSA et le GCHQ, a rejeté les personnes qui ont exprimé des préoccupations concernant le programme comme théoricien de la conspiration. Selon Dan Froomkin, cependant, de l'intercepter « la seule véritable complot, il s'avère, était une conspiration du silence parmi les gouvernements qui ont profité du programme. »

    En juin 2013, entrepreneur NSA Edward Snowden a décidé de siffler sur la surveillance de l'Agence de masse des américains, une archive de documents remise au journaliste Glenn Greenwald. Lorsque le gouvernement américain a révoqué son passeport, lui échouage à l'aéroport de Moscou, Snowden demandé l'asile en Russie, où il vit depuis.

    Les États-Unis gouvernement continue d'insister pour que Snowden a volé des informations classifiées, et que sa décision de "dangereuse" avait "des conséquences graves" pour la sécurité des Etats-Unis.

    http://www.rt.com/usa/311489-snowden-files-confirm-echelon/

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    1. Cela prouve bien que cette affaire est celle de la '5è colonne', qui mine et détruit toutes les idées gouvernementales qui ne sont les leurs. Ainsi, ces 'hommes de l'ombre' constituent un Etat dans l'Etat et s'appelle aussi FBI ou CIA comme NSA et est aux commandes du 'Gakona II' restructuré l'été dernier alors qu'ils avaient dit qu'ils étaient en train de le détruire !!!

      Ressemblance avec les plombiers de Walmart ?

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  9. Obama désigne la plus grande menace pour l'avenir de l'humanité

    14:09 04.08.2015

    Le changement climatique est la plus grande menace pour l'avenir de l'humanité, selon le président américain, Barack Obama.

    "Il n'existe pas de plus grande menace pour notre avenir et pour les générations futures que le changement climatique", a déclaré le président américain lors d'un discours prononcé à la Maison Blanche. "Si nous ne faisons pas tout correctement, nous ne pourrons inverser la situation", a-t-il ajouté.

    Réchauffement climatique: Londres et Pékin pourraient disparaître sous les eaux
    M. Obama a fait remarquer que les Etats-Unis étaient capables d'agir. Il a souligné que dans le contexte de croissance économique, son pays a diminué ses rejets dans l'atmosphère davantage que d'autres. Pourtant, selon le dirigeant américain, "la science nous impose de faire plus".

    Le discours d'Obama était consacré à la rédaction définitive du Plan américain pour une énergie propre ("America's clean power plan"). Le plan rassemble une série de normes et de réglementations qui imposeront pour la première fois aux centrales électriques de réduire d'ici 2030 leurs émissions de gazcarbonique de 32% par rapport au niveau de 2005.

    http://fr.sputniknews.com/international/20150804/1017361623.html

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    1. Précision: Les 'centrales électrique' à charbon, gaz, pétrole, malgré qu'elles soient désignés ne... seront pas supprimés !! au profit des centrales électrique nucléaire qui elles ne rejettent que de la vapeur d'eau !

      "Il n'existe pas de plus grande menace pour notre avenir et pour les générations futures que le changement climatique"

      Voilà une phrase qui en dit long sur le niveau de culture d'un chef d'Etat !! Car, plutôt que d'écouter les scientifiques (qui disent le contraire), il se titre, se couronne et se désigne comme étant Compère-la-Science' !! Hahahaha ! Science qui bien-sûr n'existait pas avant lui ! et sera foutu dès son départ de la Pennsylvania Ave. en Janvier 2017 !

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  10. Adresse du Président Bachar al-Assad au peuple syrien

    Discours du 26 juillet 2015 devant les Organisations populaires, les Syndicats professionnels et les Chambres de métiers

    Le 1er août 2015 – Source Comité Valmy
    Transcription et traduction par Mouna Alno-Nakhal du texte intégral

    Mesdames et Messieurs,

    Je vous souhaite la bienvenue en tant que représentant des composantes populaires, professionnelles et syndicales de la société syrienne, et vous exprime toute ma gratitude pour votre travail et vos loyaux efforts dans chacun de vos secteurs, soutenant vos collègues et vos frères, contribuant à renforcer l’esprit de patriotisme et de résistance face à ce que traverse notre pays.
    Nous voici réunis alors que, malgré sa complexité, la situation est devenue limpide, que les esprits sont clairs, que nombre de masques et de terminologies fallacieuses sont tombés, et que les mensonges dont ils ont voulu convaincre le monde ne tiennent plus, au point que les prétextes auxquels ils s’accrochent et les propos qu’ils tiennent pour justifier les agressions contre la Syrie ne font que confirmer des évidences.

    De nous interroger sur leurs prétextes serait une perte de temps et d’énergie, mieux vaut nous concentrer sur ce qui pourrait attendre la Syrie, maintenant que les évènements s’accélèrent et que l’opération de destruction systématique menée par les organisations terroristes atteint des niveaux sans précédent.
    Ce qui révèle la mentalité criminelle des responsables qui dirigent les États soutenant ces terroristes et, en même temps, signifie l’échec de toutes leurs tentatives pour précipiter le peuple syrien dans le bourbier des illusions qu’ils lui ont servies, afin qu’il les adopte et contribue à la chute de sa patrie. Le peuple n’étant pas tombé dans leurs pièges, ils sont passés à un degré supérieur de sauvagerie visant à le mettre face à l’un des deux choix : accepter ce qui est dicté ou se laisser assassiner et détruire.

    Une escalade dans la sauvagerie qui traduit leur désespoir devant leur impuissance à briser sa résistance face à une guerre sans précédent dans l’histoire moderne ; une résistance qui contrarie leur plan et qui menace leur avenir politique, surtout depuis que le terrorisme a frappé des innocents dans leurs pays respectifs et que les justifications qu’ils ont avancées pour tromper leur opinion publique et en user comme couverture de leur agression contre notre pays et notre peuple ne tiennent plus la route ; une opinion publique à qui ils ont longtemps raconté qu’ils soutenaient des révolutionnaires appelant à la liberté et à la démocratie en Syrie, qui découvre qu’ils soutiennent des terroristes et qui en paient le prix.

    Et, alors que ces dernières années c’était notre région qui était censée exporter le terrorisme au monde et à l’Occident, aujourd’hui c’est l’Occident qui est devenu son incubateur et son exportateur vers notre région. Ceci, en plus de tous les autres incubateurs déjà présents au Moyen-Orient, notamment dans les pays du Golfe, et des pays entrés plus récemment en scène, tels la Tunisie et la Libye, depuis les événements de 2010-2011 ; tous ces incubateurs ayant commencé à interagir et à exporter le terrorisme partout ailleurs.

    (suite en dessous:)

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  11. Pourtant, nous leur avons expliqué à maintes reprises, avant et pendant l’agression contre la Syrie, que le terrorisme ne connaît pas de frontières et ne recule pas devant les déclarations et les dénonciations. Nous les avons prévenus qu’on ne peut l’arrêter par des guerres ni l’éliminer par des avions, comme procède leur coalition d’aujourd’hui.

    Le terrorisme est une pensée malade, une doctrine pervertie, une pratique déviante qui est née et qui a grandi dans un environnement d’ignorance et d’arriération, auxquelles se sont ajoutés le mépris du droit des peuples et les privations. Ce n’est un secret pour personne que le colonialisme a jeté les bases de tous ces facteurs réunis, les a enracinés, et continue à y contribuer. Comment est-il possible que celui qui a semé les graines du terrorisme veuille le combattre ?

    Celui qui veut combattre le terrorisme doit appliquer des politiques rationnelles, fondées sur la justice et le respect de la volonté des peuples de décider de leur avenir, de gérer leurs affaires et de récupérer leurs droits ; fondées sur la diffusion de la connaissance et la lutte contre l’ignorance, sur l’optimisation de l’économie, l’éducation de la société et son développement.

    Quant à la guerre militaire contre le terrorisme, elle est telle la cautérisation, le dernier des remèdes. Et si jamais elle devient inévitable pour la défense de la patrie, elle ne peut, en aucun cas, remplacer les politiques visant à cerner et à éradiquer les facteurs favorisant sa naissance et son développement, ni se contenter de lui limer les ongles, comme ils font, car ils repousseront plus durs et plus meurtriers. Mais, ils n’avaient pas prévu qu’il frapperait au cœur du continent européen, et plus précisément à l’Ouest, car leur courte vue leur a fait croire qu’ils resteront à distance de ses étincelles volant d’un endroit à un autre, brûlant des pays entiers de notre monde arabe et du Moyen-Orient fondamentalement déstabilisés.

    Ce qui n’implique pas qu’ils en aient tiré les leçons, car leur comportement face à ce phénomène est toujours aussi hypocrite. Il s’agit de terrorisme quand il les frappe, mais de révolution, de liberté, de démocratie et de droits humains, quand il nous frappe. Ses auteurs sont des terroristes chez eux, mais des révolutionnaires et des opposants modérés chez nous. Ils emplissent le monde de leurs cris quand ils sont piqués par une étincelle, mais adoptent le silence des tombes quand nous brûlons de son feu.

    Les évolutions positives récentes sur la scène internationale sont réelles, du fait d’une lecture différente de la situation et des allégations mensongères répandues sur la Syrie. Néanmoins, en Occident, ces évolutions ne sont pas fiables car suscitées par l’inquiétude depuis que le terrorisme l’a frappé, l’inquiétude de le voir s’étendre à partir du Moyen-Orient ou, plus précisément, à partie de l’arrière cour de l’Europe.

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  12. L’Occident est inquiet et perdu, parce que nos frères parmi les Bédouins leur ont prescrit une recette toute simple : «Un peu de terrorisme que nous contrôlons, un peu d’États renversés, le tout avec quelques gouttes de chaos que nous supporterons, plus quelques nouveaux visages pour remplacer les dirigeants, et le plat est servi. Vous avez-là une cordiale invitation pour avaler les patries» ; mais voilà que les choses sont allées dans une direction totalement différente.

    Je répète qu’ils n’en ont pas tiré la leçon, pas plus qu’ils n’ont réagi au nom de valeurs morales. C’est pourquoi je dis que ces évolutions ne sont pas fiables et que tant qu’ils auront deux poids deux mesures, nous considérerons que ces évolutions sont temporaires. Ils sont susceptibles de revenir vers leurs politiques colonisatrices, à n’importe quel moment où ils régleront leurs problèmes électoraux en rapport avec le terrorisme.

    Maintenant, s’ils se mettaient à déclarer que les révolutionnaires qu’ils ont soutenus ne sont que des terroristes et que leur prétendue opposition syrienne est un ramassis de petits agents qui n’ont rien à voir avec la quête de la liberté ; ou à l’inverse, s’ils permettaient aux opposants de leurs pays de prendre les armes, de tuer et de détruire, en continuant à les ranger dans l’opposition nationale, s’ils acceptaient que leur opposition travaille pour l’étranger ; s’ils toléraient que des États étrangers décident de leur système de gouvernement et de leur dirigeant, nous croirons que leurs normes sont devenues fixes et impartiales. Nous croirons que l’Europe occidentale ou que l’Occident a changé. Alors, nous accepterons les vieilles recettes qu’ils ont toujours utilisées pour justifier toutes leurs agressions et ingérences dans les affaires des États sous de nobles prétextes, tels les droits de l’homme, la liberté, la démocratie.
    Le comble de l’hypocrisie est qu’ils prétendent combattre le monstre qu’ils ont créé mais qu’ils ne peuvent plus contrôler, alors que leur objectif est seulement de le dompter. Leurs campagnes militaires, politiques et médiatiques, ne sont destinées qu’à jeter de la poudre aux yeux et n’ont abouti qu’à développer le terrorisme au lieu de l’éliminer. C’est une réalité confirmée par les faits, non le résultat de mon analyse. Le territoire du terrorisme s’est élargi, ses ressources matérielles et ses effectifs ont augmenté.

    Par conséquent, pouvons-nous en attendre une coopération honnête avec notre combat contre le terrorisme ? Il s’agit d’États historiquement colonialistes. Est-il possible pour des colonisateurs dont l’Histoire s’est écrite sur des pages d’occupations, de meurtres, de destructions, de terrorisme brûlant les peuples et les asservissant, de soutien à des organisations terrorists dissimulées sous couverture religieuse comme les Frères Hypocrites puis al-Qaïda et ses sœurs, de combattre le terrorisme? C’est impossible, parce que le colonialisme a pour synonymes : terrorisme, amoralité et inhumanité.

    C’est parce que cette image était claire dans notre esprit que, depuis les premiers jours de la crise, nous n’avons compté que sur nous-mêmes en n’espérant rien de bon que de la part des vrais amis du peuple syrien. Des amis dotés de principes et de morale, qui veulent la stabilité dans leur région, en Syrie et dans le monde, qui respectent le droit international et la volonté des peuples, et qui considèrent que les relations internationales en ce monde doivent se construire sur un pied d’égalité et non sur des rapports de maîtres à esclaves.

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  13. Les nations du BRICS, avec d’autres nations, ont adopté une attitude équitable à notre égard et ont contribué à révéler au monde la vérité sur la situation en Syrie.

    L’Iran a offert son soutien économique, militaire et politique, et a contribué à renforcer la résistance et l’immunité de notre peuple, partant du principe qu’il ne s’agissait pas du combat d’un État, d’un groupe d’États, d’un gouvernement ou d’un président, comme ils ont voulu le présenter, mais du combat de tout un axe représentatif d’une approche commune de l’indépendance, de la dignité et des intérêts des peuples.

    La Russie a agi de même. Avec la Chine, elle a formé une soupape qui a empêché que le Conseil de sécurité ne se transforme en un instrument de menaces pour les peuples et une plate-forme de lancement d’agressions contre les États, en particulier contre la Syrie. Elle a lancé nombre d’initiatives constructives visant à couper la route aux appels à la guerre et a orienté le cours des événements vers un dialogue entre les Syriens.

    Face à cela, notre approche a été et demeure de prendre en considération toutes les initiatives, sans exception, même celles dont nous savions, par avance et avec certitude, que les intentions sous-jacentes étaient malveillantes. Ceci, parce que nous avons toujours eu la ferme conviction que la moindre chance susceptible d’arrêter l’effusion de sang devait être saisie sans hésitation ; le sang des Syriens dépassant toute autre considération et l’arrêt de la guerre étant la première de nos priorités. Et aussi, parce que nous voulions couper la route aux sceptiques et aux dupes convaincus que la crise était liée à des questions de réformes politiques, notamment aux adeptes du si, ceux qui pensent : «S’ils avaient fait ceci, nous n’en serions pas là…».

    C’est donc dès les premiers jours de la crise que nous avons décidé de tenir compte de toutes les initiatives pour prouver à ceux-là que la crise n’était pas liée à la politique, mais plutôt au soutien du terrorisme. Et c’est pourquoi nous sommes allés à Genève et à Moscou pour participer à un dialogue censé réunir toutes les composantes syriennes et aboutir à un consensus ; le consensus étant supposé être le but recherché par tous.

    Dès que le dialogue a commencé, les Syriens ont posé des questions logiques, liées les une aux autres :

    • Quelle est la relation entre le politique et le terrorisme ?

    • Quelle est la relation entre les personnalités étiquetées opposition externe et le terrorisme? Je précise qu’externe ne signifie pas que cette opposition soit entièrement basée à l’étranger, mais qu’elle est en liaison avec l’étranger, bénéficiant de son soutien politique et de son soutien matériel, se répartissant entre la Syrie et l’étranger.

    • Quelle est la relation entre l’opposition externe et les terroristes sur le terrain, étant donné que les terroristes ont, dès le début, refusé de la reconnaître et de traiter avec elle ?

    • Pourquoi dialoguez-vous avec des individus qui n’ont aucune influence sur les terroristes et qui ne représentent personne, certains étant à peine représentatifs d’eux-mêmes ou pas du tout ?

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  14. Bref, une série de questions qui reviennent à une seule : comment ce dialogue peut-il mener à arrêter le terrorisme en Syrie ? C’est la question qui obsède chaque citoyen syrien.

    En théorie, il n’y a aucun lien entre dialogue, action politique et terrorisme. L’action politique vise à faire évoluer le système politique dans le sens de la prospérité, de l’urbanisation et du renforcement de l’immunité de la nation à l’intérieur et à l’extérieur du pays, alors que le terrorisme tue, détruit et fragilise.

    Mais en pratique, ce lien est très solide du fait que ladite opposition externe est fortement liée aux terroristes sous l’égide d’un seul maître. C’est lui qui finance, gère, coordonne et tire toutes les ficelles. C’est lui qui ordonne aux terroristes de monter le rythme de leurs violences et aux opposants externes de crier plus fort, pour augmenter la pression politique.

    Les deux parties sont donc les membres d’un même corps, chacun assurant ses fonctions dictées par un même cerveau ; le but du maître étant l’exploitation des deux voies, la voie des terroristes et la voie politique, pour pousser les Syriens à accepter de transformer la Syrie en État suiviste qui s’inclinerait devant son diktat politique ; faute de quoi, il continuera à soutenir le terrorisme et la destruction du pays.

    Le terrorisme est donc le véritable outil, tandis que la voie politique est un outil secondaire de précaution. Le premier dirige le second. En d’autres termes : si la voie politique permet au maître d’atteindre ses objectifs c’est tout bénéfice ; sinon, c’est au terrorisme de les atteindre.
    Qu’est-ce que cela signifie ? Cela signifie qu’aussi longtemps que les maîtres tiennent, à la fois, le terrorisme et une partie des participants au dialogue de ladite opposition externe en liaison avec eux, ils seront capables de contrecarrer la voie politique, qu’ils désignent par solution politique et que nous préférons qualifier de processus politique. Autrement dit, cela signifie que leur solution politique est construite sur des mots creux et vides de tout sens.

    Naturellement, les médias étrangers vont maintenant profiter de mes paroles pour dire que «le président syrien déclare refuser une solution politique et s’accroche à une solution militaire». Des paroles toutes aussi creuses qui ne nous intéressent pas pour le moment.
    (Applaudissements.)

    Malgré le fait que nous sachions que notre problème est fondamentalement lié au terrorisme, nous restons favorables à tout dialogue politique, aussi mince serait son influence. J’ajoute que dire solution politique c’est manquer de précision, car la solution relève essentiellement de trois axes : l’axe politique, l’axe sécuritaire et l’axe militaire.

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  15. Nous sommes donc pour le processus politique et nous le soutenons, mais le soutenir est une chose et lui permettre de nous duper est autre chose. Et tant qu’ils utiliseront la terreur pour le manipuler, il restera inefficace.

    Par conséquent, si nous voulons un dialogue pur de tout chantage entre Syriens, nous devons obligatoirement frapper et bannir le terrorisme. Nous savons tous que le maître des terroristes et de ladite opposition externe ne le fera pas ; car s’il frappait sérieusement le terrorisme, il perdrait la capacité de contrôler le cours des choses.

    De plus, croire que le dialogue deviendrait purement inter-syrien si le maître frappait le terrorisme est du domaine de la théorie, étant donné que l’opposition externe est en liaison avec l’étranger et qu’elle participe à ce dialogue.

    Le dialogue, tel qu’il est mené, fait que nous nous retrouvons devant trois types de participants :

    • le premier est patriote,
    • le deuxième est agent de l’Occident,
    • le troisième est opportuniste : un groupe de personnes sans aucune affiliation politique qui a trouvé dans la voie politique l’occasion de servir des intérêts personnels, même aux dépens de sa patrie.

    Ces deux derniers types, les agents de l’Occident et les opportunistes, sont donc capables de frapper n’importe quel consensus auquel nous pourrions parvenir en tant qu’État syrien dans nos dialogues avec des personnalités patriotes. C’est ce qui est arrivé à Moscou 1 et à Moscou 2.

    Certains disent : «L’État syrien ne prend pas d’initiatives.» En d’autres termes, s’il en avait pris, les choses iraient pour le mieux car désormais tout a changé : les terroristes veulent se repentir et l’Occident verse des larmes sur le peuple syrien, le problème est que nos responsables syriens n’innovent pas en matière de solutions et d initiatives. Il y a dans ce raisonnement quelque chose de naïf, mais c’est en tout cas le raisonnement de certains opposants externes qui souhaiteraient, pour le moins, faire porter au gouvernement syrien la responsabilité de l’échec du dialogue, au cas où la voie politique tracée par le maître n’atteint pas les objectifs souhaités.

    Concernant les initiatives que le gouvernement syrien n’aurait pas prises, moi je dis : celui qui n’a pas vu toutes celles que nous avons concrétisées, comme notre première initiative politique de 2013 ayant décrété l’amnistie pour les personnes compromises mais non coupables de certains crimes, dont 20 000 personnes et plus ont pu bénéficier ; celui qui n’a pas vu les réconciliations, les ajustements, les modifications des lois et de la Constitution, etc. ne verra pas demain ce qu’il n’a pas vu hier. En revanche, celui qui a vu pourra constater leurs effets plus ou moins positifs à l’intérieur de nos frontières.

    Quant à ceux qui disent : «Lançons des initiatives, si nous ne gagnons pas, nous n’aurons rien perdu», je réponds que c’est faux, car les initiatives de l’État ne sont pas des articles de presse, mais des actions sur le terrain. De telles actions poussent en avant ou font reculer. Et lorsqu’elles sont sans effets, elles sont sans valeur. Pourquoi procéderions-nous ainsi en sachant que d’un point de vue pratique, toute initiative qui ne fait pas avancer vers le mieux compliquera la solution et non l’inverse ?

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  16. Il ne s’agit pas d’un évènement auquel nous devrions absolument participer, d’une opération boursière où nous pourrions perdre à défaut d’être les premiers à saisir notre chance, d’une scène sur laquelle les artistes – certains sont présents parmi nous – doivent absolument monter de temps à autre, faute de quoi ils courent le risque d’être oubliés du public. Il s’agit d’un véritable travail sur le terrain. Il s’agit de politique.

    D’autant plus que toute initiative en direction des forces hostiles et de leurs agents n’aura aucun effet positif, pour la simple raison que la seule initiative qu’ils accepteront est celle qui offrirait toute la patrie à leurs maîtres, celle qui transformerait le peuple syrien en esclave exécutant les ordres des grands comme ils le font. C’est ce qu’ils n’obtiendront jamais quels que soient leurs rêves.
    (Applaudissements.)

    Quant aux propos concernant les concessions de l’État syrien continuellement accusé de radicalisme, de rigidité, d’intransigeance et d’irréalisme, il existe un principe en droit – certains spécialistes du droit sont aussi présents parmi nous – si simple et si évident qu’il n’a pas besoin de spécialistes en la matière. Il stipule que personne n’a le droit de renoncer à ce qu’il ne possède pas à moins de disposer d’une procuration de son propriétaire. Or, l’État syrien ne dispose pas d’une procuration du peuple syrien l’autorisant à renoncer à ses droits nationaux.
    (Applaudissements.)

    Le peuple syrien est le seul ayant droit en la matière. S’il avait voulu une telle renonciation, il n’aurait pas résisté pendant quatre années et n’aurait pas continué à en payer tout le prix.

    Pour résumer tout ce qui précède : toute proposition politique qui ne serait pas essentiellement fondée sur l’éradication du terrorisme n’a aucun sens et aucune chance de voir le jour.

    C’est pourquoi, tant que la situation politique n’évoluera pas du fait d’un travail sérieux, nous n’avons pas d’autre choix que de continuer notre combat contre le terrorisme. Il n’y a pas d’autre choix. Comme je l’ai dit, nous sommes pour le processus politique, mais la réalité à laquelle nous sommes confrontés fait que la seule solution passe par ce combat. Car il n’y a ni politique, ni économie, ni culture, ni sécurité, ni valeurs morales, là où sévit le terrorisme.

    Ces vérités étant bien comprises, la situation sur le terrain reste au centre des préoccupations permanentes de tous les citoyens et il est, aujourd’hui, de mon devoir de répondre à nombre de questions soulevées dernièrement à ce sujet :

    • Nous n’avons pas cherché la guerre. C’est lorsqu’elle s’est imposée à nous que nos forces armées se sont dressées contre les terroristes en tous lieux. Depuis, les batailles passent par des hauts et des bas ; ce qui est généralement le cas dans tous les combats.

    • Le type de guerre à laquelle nous sommes confrontés aujourd’hui fait que les forces armées ne peuvent pas se déployer dans chaque partie du territoire syrien. Ce qui permet aux terroristes de pénétrer dans les zones qu’ils déstabilisent jusqu’à ce que l’armée syrienne les libère ; ce va-et-vient étant permanent depuis le début des événements.

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  17. • Récemment, en conséquence de la robuste résistance de la Syrie, peuple et armée, les États terroristes sont passés à un niveau supérieur de soutien aux terroristes, logistiquement, militairement, financièrement, avec un supplément d’armes et d’effectifs. Parfois, ils sont intervenus directement pour les soutenir, comme cela est arrivé à Idlib avec les Turcs ; ce qui s’est soldé par le fait que certaines régions qui étaient contrôlées par l’État sont passées sous le contrôle des terroristes.

    • Le tout a créé une sorte de frustration chez le citoyen syrien, d’autant plus que la propagande ennemie a vendu ce tout comme l’effondrement de l’État syrien : «L’État syrien s’écroule ! L’Armée syrienne s’écroule ! La guerre écrit ses derniers chapitres en faveur des terroristes !…»

    • Parallèlement, alors que l’Armée arabe syrienne gagnait des batailles dans d’autres régions, la propagande ennemie disait : «Non, ceux qui remportent les batailles sont des armées venues de l’étranger pour aider l’Armée arabe syrienne affaiblie par la fatigue et la frustration.» Et bien sûr que disant cela, les médias voulaient parler de l’Iran.

    • Pour être clair à ce sujet : du point de vue des combats sur le terrain, l’Iran fraternel nous a offert son expertise militaire et rien d’autre. Quant à nos fidèles frères de la Résistance libanaise, ils se sont battus à nos côtés, nous offrant le maximum de leurs possibilités, jusqu’à mêler le sang de leurs martyrs à celui des nôtres. Leur rôle a été important, car leur contribution d’une grande efficacité a conduit à des exploits dans plus d’un endroit. Leur expérience et leurs compétences, notoirement reconnues, sont très utiles dans le type de guerre que nous menons, et nous leur sommes reconnaissants pour leur courage, leur force et leur solidarité.
    • Ceci étant dit, nous savons tous qu’aucune force d’appui ne peut remplacer la force principale, et qu’aucune force amie ne peut venir défendre notre patrie à notre place.

    • Quant à la frustration ressentie après le retrait de nos forces armées dans certaines régions, elle n’a rien enlevé à la confiance dans les compétences de notre Armée, témoin en est l’augmentation du nombre d’engagés volontaires entre avril et mai, une période des plus difficiles.

    Concernant les priorités, je me propose de répondre plus en détails aux questions suivantes :

    • Sommes-nous entrain d’abandonner certaines régions ?
    • Pourquoi perdons-nous d’autres régions ?
    • Pourquoi l’Armée ne vient-elle pas dans des régions où elle est attendue ?

    De par la Constitution et par principe, chaque pouce de la Syrie est cher et précieux et il n’est pas question d’en céder le contrôle à qui que ce soit. Dans le même ordre d’idée, il n’y a aucune distinction entre les régions, quelle que soit leur géographie ou leur démographie. Mais la guerre a ses conditions, ses stratégies et ses priorités ; lesquelles peuvent varier selon les circonstances.

    Les décisions du Haut commandement sont dictées par les réalités sur le terrain et les priorités, lesquelles priorités ont été imposées par le type de guerre que nous vivons. Une guerre sur des dizaines de fronts dans toutes les directions et sur toutes les régions, sans exception, face à un ennemi soutenu par les États les plus puissants et les plus riches qui lui accordent un approvisionnement illimité en armes, en argent et en combattants. Dans ces conditions, croire que nous pouvions gagner toutes les batailles est irréaliste ; ce qui était évident depuis le début, abstraction faite de la récente escalade. D’où deux priorités essentielles parmi d’autres.

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  18. • La première priorité est la sauvegarde des zones importantes du fait que leur perte entrainerait l’écroulement de toutes les autres, leur choix dépendant de critères politiques, économiques et de service public, tout en tenant compte de l’équilibre entre importance militaire et importance civile. Ce n’est que quand la balance penche en faveur des terroristes que l’importance militaire l’emporte. Il peut s’agir d’une ville, d’une plaine, d’une montagne ou d’une colline, dont la chute n’aura pas autant d’échos dans la presse ou parmi les citoyens, alors que nous sommes déterminés à y tenir, coûte que coûte, pour conserver le reste. Parfois nous devons diriger, voire concentrer, nos troupes au niveau de ces zones importantes en nous retirant de certaines régions.

    • La deuxième priorité est la vie des soldats, nos héroïques combattants dont le retour est attendu par leurs parents, leurs femmes, leurs enfants, leurs frères et sœurs. Autant ils sont empressés de combattre au risque de se sacrifier, autant nous tenons à ce qu’ils vivent, remplissent leurs missions et reviennent sains et saufs vers leurs familles.
    (Applaudissements.)

    N’importe quel lieu de notre terre syrienne est certes cher à nos cœurs, mais la vie des citoyens et des soldats est plus chère encore ; car une terre peut être récupérée, ce qui n’est pas le cas d’une vie perdue.
    (Applaudissements.)

    Comme nous l’avons toujours dit, nous allons à la bataille pour vaincre et non pour le martyr. Nous, nous voulons la victoire, c’est le destin qui décide du martyr et là nous ne pouvons rien.

    Concernant les réalités sur le terrain, le soldat syrien a prouvé son courage, sa compétence, son habileté et sa grande force ; autant de qualités reconnues par le monde entier, les amis et les ennemis. C’est indiscutable. Mais à la disparité naturelle entre les personnes, correspond parfois une disparité des résultats obtenus par les unités combattantes, dans un même contexte. Des erreurs au niveau de l’action militaire arrivent parfois. La plus petite de ces erreurs peut conduire à une série d’échecs très coûteux. C’est dans la nature des choses, ce qui n’a pas empêché l’action militaire d’obtenir des résultats radicalement efficaces.

    En plus de cette disparité, intervient la différence géographique des zones de combat ; la défense d’une ville, d’une banlieue, d’une plaine ou d’une colline créant des situations différentes, auxquelles s’ajoute un facteur déterminant, qui est l’environnement humain.

    D’une manière générale, cet environnement est favorable à l’État, même dans certaines régions contrôlées par les terroristes. C’est la façon de soutenir nos Forces armées dans les points chauds qui varie d’une région à une autre. Certaines fournissent un soutien moral, et c’est l’essentiel. D’autres régions fournissent un soutien financier, se chargent de la cantine, fournissent des renseignements ; chacune à sa manière et selon ses moyens. Et d’autres vont plus loin encore, en prenant les armes et en s’engageant dans les combats aux côtés de l’Armée et des Forces armées. Ce dernier type de soutien a été très important pour conclure les combats plus rapidement et avec un minimum de pertes.

    Certains diront que cela fait partie du devoir de l’Armée. C’est vrai. Mais cela n’interdit pas que chacun défende sa maison, son quartier, son village ou sa ville. Il n’est pas justifiable que l’armée pénètre certaines régions pour découvrir que les jeunes gens ont quitté et les ont abandonnées. Ce n’est pas acceptable.

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  19. Ce qui nous amène à la troisième question : «Où est l’Armée ?». Une question posée parfois sous forme de reproche, parfois sous forme de prière. C’est un sujet sensible auquel je répondrai, comme d’habitude, en toute transparence ; bien que, là aussi, les médias ennemis vont l’exploiter pour leurs gros titres. Mais nous n’avons pas de problèmes pour en discuter entre nous, entre Syriens.

    En situation de paix, les effectifs de l’Armée sont limités à un niveau suffisant pour repousser une attaque surprise. En situation de guerre, l’État doit compléter ces effectifs, principalement par le rappel des réservistes et le recrutement des volontaires, auxquels s’ajoutent tous les moyens civils de l’État mis à la disposition du Commandement général de l’Armée et des Forces armées ; s’ajoutent aussi, selon la loi de Mobilisation générale, les moyens du secteur privé utiles aux combats.

    Qu’est-ce que cela signifie ? Cela signifie que la guerre n’est pas seulement l’affaire des Forces armées, c’est une guerre de la patrie et c’est une guerre de l’ensemble de la société. C’est en gardant cela à l’esprit que nous serons encore plus prêts pour affronter les plus dures, les plus complexes, et les plus étendues des batailles sur tous les fronts.

    Nous savons tous que le facteur humain est décisif et que la prévision des effectifs d’une mobilisation générale à 100% revient à des chiffres sur papier, car en situation de paix et, encore plus, en situation de guerre, il y a un nombre non négligeable de désertions motivées essentiellement par la peur. Or, le pourcentage réel des effectifs réellement mobilisés sur le terrain influe sur la programmation et le déroulement des combats. Plus il baisse, plus il devient difficile de mener des opérations simultanées et en profondeur sur plusieurs fronts à la fois. D’où des pertes plus ou moins importantes parmi les civils.

    Cette image de la guerre, que je viens de vous exposer, nous amène à une autre question simple et évidente : «Face à tous ces États riches et puissants, et aux terroristes qu’ils soutiennent sans limites, nos Forces armées sont-elles capables de s’acquitter de leurs tâches de manière exemplaire et de protéger la patrie ?»

    Question à laquelle je réponds sans exagération et sur des bases théoriques, pratiques, réalistes : «Oui, certainement, elles sont capables !»
    (Applaudissements.)

    Oui, elles sont capables et confortablement! Mais il existe des lois qui gèrent l’univers comme, par exemple, celles qui font que «rien ne vient du néant et rien n’y retourne» ou que «rien ne se met en mouvement sans énergie». Ainsi, l’énergie d’une armée est celle de son énergie humaine. Ce qui implique que si nous voulons que notre Armée donne le meilleur de ce qu’elle possède, nous devons lui offrir le maximum de ce que nous possédons.

    Or, tout le nécessaire a été mis à sa disposition, mais il y a un manque en énergie humaine, pour toutes les raisons que je viens d’évoquer. Ce qui ne veut pas dire que je donne une image noircie de la situation ; laquelle, soit-dit en passant, sera là aussi saisie par les médias hostiles qui se précipiteront pour dire : «Le président syrien déclare que les Syriens ne s’engagent plus, confirmant l’effondrement de l’Armée et de l’État.» Non, les Syriens s’engagent et, comme je l’ai déjà dit, le recrutement a sensiblement augmenté ces derniers temps.
    Ce que je dis est que ce manque en énergie humaine, dans les circonstances que l’on sait, fait que le facteur temps est à prendre en considération. Bien qu’il ne soit pas décisif pour l’issue de la guerre, il devient important devant les souffrances des citoyens d’une ville comme Alep qu’ils tentent de mettre à genoux…
    (Applaudissements.)

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  20. Qu’ils tentent de mettre à genoux par des attaques directes et par des missiles criminels, par la soif et par la faim. Important devant Deir el-Zor qu’ils assiègent pour qu’elle se rende sous la pression de la famine. Important devant Nebel et Al-Zahra et nombre d’autres villes et régions où la forte densité de la population oblige l’État et les Forces armées à travailler plus vite encore.

    Oui, les Syriens s’engagent et les Forces armées accomplissent des exploits qui dépassent largement toutes les normes théoriques vu les circonstances, parce qu’elles en ont la volonté. Nous aimerions en faire profiter toutes les régions où il y a un manque de combattants, un manque qui nous contraint parfois à déplacer des unités occupées ailleurs.

    Il n’empêche que l’Armée est présente à Alep et présente à Deir el-Zor où elle démontre une résistance extraordinaire, mais face au facteur temps, sur lequel j’insiste, nous devons faire en sorte que la mobilisation augmente. D’où le décret d’amnistie d’hier…
    (Applaudissements.)

    Ce n’est pas moi qu’il faut applaudir et je vais vous expliquer pourquoi. Ce décret accordant une amnistie générale aux déserteurs n’a pas été promulgué de ma propre initiative ou de celle de l’État. Ce sont quelques centaines d’entre eux qui se sont adressés, par courrier, au Haut commandement pour faire savoir qu’ils souhaitaient intégrer l’Armée mais craignaient les mesures punitives. Je pense qu’ils ne sont pas les seuls à vouloir s’engager et que des milliers les suivront.

    C’est là une initiative qui confirme que les Syriens soutiennent l’Armée. Reste à la société, aux familles et à tous les gouvernorats de leur clarifier leur situation. Par conséquent, je répète qu’il n’y a pas d’effondrement au niveau du recrutement et que nous résisterons jusqu’à la victoire.
    (Applaudissements.)

    Nous réaffirmons, Mesdames et Messieurs, que la patrie n’appartient pas à celui qui l’habite, porte son passeport ou sa nationalité. La patrie appartient à celui qui la défend.
    (Applaudissements.)

    Le peuple qui ne défend pas sa patrie n’a pas de patrie et ne mérite pas d’en avoir.
    (Applaudissements.)

    Par conséquent, tous les problèmes que nous rencontrons et que je viens d’exposer et d’expliquer ne sont pas liés à la planification ; autrement dit, la guerre à laquelle nous faisons face apprendrait même à des non-militaires comment agir en commandants compétents. Nous n’avons donc pas un problème de planification.

    Nous n’avons pas, non plus, un problème de fatigue. Dans l’un de mes précédents entretiens j’ai dit, en effet, qu’il était normal que l’Armée ressente la fatigue. Évidemment, les médias hostiles se sont emparés de cette phrase pour en faire tout un problème : «Le président a dit que l’Armée était fatiguée.» Or, toute compétition physique ou intellectuelle fatigue et peut même exténuer. L’être humain gagne et réussit par sa peine non en toute quiétude, et il est normal que l’État, l’Armée, et toute notre société éprouvent de la fatigue en ces circonstances. Mais la fatigue est une chose et la défaite est autre chose. Défaite et défaitisme ne font pas partie du dictionnaire de l’Armée arabe syrienne.
    (Applaudissements.)

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  21. Si j’ai autant détaillé la situation sur le terrain, bien que tous aient compris la nature de cette guerre et des combats que nous devons mener, c’est parce que plus nous serons capables d’éviter de nous laisser abattre par la propagande, plus nous pourrons offrir à nos Forces armées ce qu’elles attendent de nous.

    Une propagande et une guerre psychologique qui s’ajoutent à la guerre militaire pour que nos ennemis véhiculent et impriment dans nos esprits l’idée d’une Syrie divisée en plusieurs entités géographiques réparties entre partisans et opposants, entre confessions et ethnies. Une idée qu’ils vendent en termes de guerre civile et sectaire sans cesse répétés dans chacun de leur entretien public, chacune de leur déclaration, chacun de leur article de presse concernant la Syrie. L’objectif étant de créer chez nous le sentiment que nous ne pouvons pas échapper à cette réalité qui serait la nôtre, qu’il n’y a plus aucun espoir pour que la Syrie redevienne ce qu’elle a été, et qu’il ne nous reste plus qu’à obéir à leurs diktats.

    En fait, malgré la complexité de la situation, la réalité est différente, car la partition ne pourra se faire que si le peuple l’accepte ou la souhaite et que ses différentes composantes ne veulent plus vivre ensemble. Est-ce le cas ?

    Les Syriens ne fuient-ils pas les régions contrôlées par les terroristes, quelle que soit leur confession et quelle que soit leur origine ethnique ? Ces citoyens ne rejoignent-ils pas les régions contrôlées par l’État pour revivre aussi harmonieusement qu’auparavant ? Certains diront que j’exagère et que nous sommes supposés avoir été entraînés vers la partition confessionnelle. Ce n’est pas vrai, car nombre de ceux qui n’avaient pas conscience de la dangerosité du vocabulaire et du sentiment confessionnels les rejettent parce qu’ils ont bien compris leur instrumentalisation pour nous diviser. Ajoutez à cela que n’avons pas entendu dire que les Syriens se déplaçaient dans le sens inverse, et qu’ils vivaient dans une quelconque harmonie dans les régions contrôlées par les terroristes. Tout le monde connaît ces vérités, notamment qu’en Syrie il n’y a que deux camps : celui des Syriens d’un côté, celui des terroristes de l’autre.
    (Applaudissements.)

    Cela suffit. Nous en avons assez de ces discours sectaires qui font croire que nous sommes au stade d’accepter le démembrement de la patrie et de nous partager ses morceaux. Celui qui veut évaluer la situation en Syrie doit cesser de se baser sur des cartes géographiques et militaires, avec courte vue et superficialité. Alors il comprendra qu’il n’y a qu’une Syrie…
    (Applaudissements.)

    Alors il comprendra que la part de chaque Syrien est toute la Syrie. La Syrie unie, riche de toutes ses couleurs et fière de toutes ses composantes. C’est cela la réalité du peuple dont je parle, tout le reste n’est que verbiage et littérature. C’est l’une des raisons qui expliquent la continuité de l’État.

    Leur propagande n’est qu’illusion. Il ne peut y avoir d’effondrement de la société quand l’État reste debout, car l’État est le reflet du peuple, non l’inverse. Nous Syriens, nous devons continuer à user de notre terminologie patriote, loin de toutes leurs entités virtuelles et de leurs identités partielles qui visent à transformer la patrie unique en entités et sociétés sectaires, malades du confessionnalisme et de l’ethnicisme. Nous devons éviter de répéter leur vocabulaire, surtout au niveau de nos médias, lesquels pensent parfois bien faire pour paraître rationnels et réalistes. Ils oublient que les mots construisent notre réalité, qu’en ce monde tout commence par le langage, et que si nous adoptions des termes étrangers à notre culture, nous ne tarderions pas à constater les divisions parmi nous.
    (Applaudissements.)

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  22. Mesdames et Messieurs,

    Il est incontestable que la situation que je viens de décrire a eu des répercussions négatives sur notre secteur économique et qu’en plus du sentiment d’insécurité, les nécessités de la vie quotidienne sont devenues une source d’angoisse pour toutes les familles syriennes, surtout pour les familles à bas revenus. Notre économie a reculé ainsi que les ressources de l’État nécessaires à sa relance. Conséquences des actions terroristes ayant abouti à la destruction d’une partie importante de nos infrastructures, à des coupures des voies de communications terrestres, de l’eau, et de l’électricité, et à la pénurie en carburants ; ce qui a mené à la rupture des artères de la vie dans certaines régions. À tout cela il faut ajouter la guerre menée contre nous à partir de l’étranger, par le blocus et les attaques sur notre monnaie, pour nous faire céder.

    En dépit de ces très dures conditions, les institutions de l’État continuent à travailler, même s’il s’agit d’un travail a minima pour certains secteurs. Nous sommes en guerre et en période de guerre, la vie s’arrête. Il n’empêche qu’après quatre années et plus, et malgré les dégâts subis au niveau des services essentiels – en l’occurrence, je crois qu’aujourd’hui beaucoup de citoyens ne pourront pas écouter ce discours, faute d’électricité ; mais quand nous faisons de notre mieux, il n’est pas rare que nous la rétablissions dès que possible – il y a les soldats inconnus que vous représentez ici, qui travaillent jour et nuit, parfois dans des conditions approchant celles des soldats sur les divers fronts, pour nous offrir le nécessaire à la vie : eau, nourriture, vêtements, logement, médecine, éducation, etc.

    Mais cela ne signifie pas que certaines de nos institutions sont incapables de se retrouver en meilleure position, ni que nous sommes très loin de pouvoir nous en sortir. Au contraire. Nous voulons et nous pouvons, reste à agir avec une bonne organisation et de la créativité pour aller vers le mieux, même graduellement.

    Dans mon discours d’investiture, j’avais dit que, pour nous, le secteur prometteur était celui de la construction. Quelques mois après, en automne dernier, la loi 66 était publiée pour lui ouvrir les grandes portes. En fait, concernant la première zone de Kafarsouseh à Damas, les organigrammes et la répartition des terrains entre les propriétaires sont achevés et la construction des infrastructures est commencée ; les études concernant la zone de Daraya sont en cours ; à Homs, les organigrammes des zones Baba Amr, Al-soultaniya, et Jobar sont achevés. Nous pouvons donc dire que ce deuxième projet est lancé même si nous n’en sommes qu’aux premières étapes.

    Ce secteur de la construction est certes important, mais ce n’est pas le seul malgré la crise et les conditions défavorables à l’investissement. Quelques exemples : le nombre d’usines a augmenté dans les régions sécurisées des rifs de Damas et de Homs, et j’insiste sur les termes régions sécurisées, les usines des zones contrôlées par les terroristes ayant été détruites ou pillées. Des usines en cours de construction avant la crise ont repris les travaux, qui sont maintenant achevés. Plus important encore, certains ont commencé à investir après le début de la crise ; ce qui, en l’occurrence, témoigne de leur confiance en la patrie, de leur patriotisme, et peut-être d’un défi au terrorisme.

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  23. Quant aux secteurs industriels fortement endommagés par la guerre, comme le secteur de la volaille, des denrées alimentaires, des vêtements et de la pharmacie, des dispositions ont été prises pour les restaurer. Le mois dernier, le gouvernement a approuvé la création d’organes spécialisés en soutien à la production locale des petites et moyennes entreprises, grâce à des prêts d’exploitation. Une expérience réussie fut celle du microcrédit, lancée par le secteur privé avec l’appui et la participation de l’État. En moins de deux années, elle a permis de créer des dizaines de milliers d’emplois. Cette expérience a été élargie à l’Administration locale dans plus d’une province pour porter assistance aux blessés avec handicap permanent. Elle devrait s’élargir plus tard pour inclure des personnes handicapées à un moindre degré et les familles des martyrs.

    Ce sont là quelques exemples qui témoignent de la détermination des Syriens et qui confirment que la voie est ouverte devant nous pour améliorer notre situation économique et nos conditions de vie.

    Pour résumer : maintenant que j’ai expliqué la situation sur le terrain, le citoyen demandera : «Que comprendre de ce discours ? Y a-t-il un espoir ou pas ?» Je réponds :

    • En économie, toutes les portes sont ouvertes. L’année 2012 fut la pire, non pas en raison de la crise, mais parce que beaucoup de Syriens pensaient qu’ils devaient reporter leurs projets jusqu’à ce que les conditions redeviennent favorables. Ce n’est que quand ils ont découvert que ce sera long, qu’ils ont décidé de s’adapter aux circonstances, et la production a redémarré. Cette année les exportations ont été relativement bonnes ; bonnes par rapport aux circonstances, non par rapport aux années d’avant la crise. Mais lorsque nous recommençons à produire et à exporter et que certains secteurs bougent, cela signifie que nous pouvons et que c’est à nous de trouver les moyens et les modalités de collaboration entre les deux secteurs, public et privé. Nous pouvons donc espérer et être optimistes. Restera à résoudre les problèmes du secteur primaire comme, par exemple, l’électricité et les carburants, ce que nous réussissons par intermittence.

    • Concernant le versant militaire, je pense avoir clairement expliqué qu’il a un espoir, moyennant certaines initiatives de la part de la société pour le renforcer.

    • Quant au versant politique, je n’ai vraiment aucun élément qui me permette de vous dire qu’il y a un espoir et vous tromper. Entre Syriens on ne peut dire que la vérité, même si face à des diplomates et aux médias on peut tenir un langage différent. Nous ne sommes pas le seul facteur influent sur la politique, ni nos amis russes, iraniens, chinois ou nos autres amis des pays du BRICS. Il y a d’autres pays… Jusqu’à cet instant précis je ne peux rien vous avancer sur ce sujet. En tout cas, tous les sujets tournent autour de l’axe militaire qui influera sur la situation interne et modifiera les équilibres externes.
    (Applaudissements.)

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  24. Mes Frères et mes sœurs,

    Nous sommes à une étape décisive qui n’admet pas de solution médiane et où l’hésitation équivaut au défaitisme, à la lâcheté et à la trahison. Nous ne renoncerons pas à nos droits, ni ne braderons un pouce de notre terre. Nous ne serons pas des esclaves, mais des maîtres indépendants, maîtres de notre pays, de nos ressources et de nos droits.
    (Applaudissements.)

    Le monde est en train de changer peu à peu. Les États qui tiennent à leurs droits ne peuvent que vaincre. Le meilleur exemple en est l’accord obtenu par l’Iran, notre frère, après tant de patience et de peine, mais avec détermination et volonté. Tel est le chemin des États libres qui refusent l’esclavage et la soumission, qui donnent la priorité à leur peuple et avancent.

    À ce stade, je parlerai de cet accord sans aborder les analyses faites par le monde entier avant et après sa signature. Ce qui m’intéresse est le chemin parcouru et comment l’Iran est arrivé à cette victoire, que nous l’aimions ou pas, que nous l’admirions ou pas, que nous l’approuvions ou pas.

    Ce pays frère a obtenu une grande victoire, alors qu’il a été assiégé durant plus de trente-cinq ans et a été confronté à une guerre injuste de huit années où toutes sortes d’armes ont été utilisées, y compris les armes chimiques, avec le consentement de l’Occident, et où la pus grande partie de son infrastructure a été détruite. Malgré cela, il a pu réaliser des avancées scientifiques qui l’ont classé au premier rang dans le monde musulman et parmi les vingt premières nations du monde.

    L’Iran a traversé nombre de périodes critiques que nous laisserons de côté, pour nous arrêter aux élections présidentielles de 2009. Cette première épreuve dudit Printemps arabe appliqué à l’Iran. Modèle qui n’a pas été prévu pour les États arabes, car en frappant l’Iran, tout aurait été réglé. Ils ont commencé en usant de la même terminologie, des mêmes méthodes, ont lancé des canaux par satellites en langue persane, ont mis à profit les réseaux sociaux diffusant les mêmes mensonges. Ceci au point qu’un fonctionnaire européen, en visite en Syrie à la fin de cette période, m’a dit : «Vous devriez rester loin de l’Iran parce que ce n’est plus qu’une question de quelques mois.» Autrement dit, ce qu’ils disent sur la Syrie, ils l’avaient déjà dit sur l’Iran. Je lui avais répondu : « Peut-être reviendrez-vous dans cette région pour découvrir que vous aviez tort.» Je ne me rappelle pas de son nom, c’est l’un de ces fonctionnaires imbéciles, mais je me rappelle encore de son comportement pendant son séjour ici.
    (Applaudissements.)

    Si l’Iran a dépassé tous ces complots et s’il a obtenu cette victoire, parmi d’autres, c’est parce qu’il est resté uni. C’est l’unité du peuple iranien qui a permis cet accord et a donné à l’Iran le droit au nucléaire. Sur ce sujet, certains opposants iraniens qui avaient fui l’Iran depuis l’époque du Shah se sont rangés du côté de leur patrie, considérant qu’il s’agissait d’une question nationale ; même certains médias de l’opposition d’aujourd’hui ont pris le parti de l’État iranien. Ils ont distingué les querelles politiques des causes nationales.

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  25. C’est là un message à nos chers opposants externes en liaison avec l’étranger, qui ont commencé à pleurnicher dès l’échec de leur projet de frappes sur la Syrie en 2013. Depuis, ils n’ont cessé de hausser le ton jusqu’à atteindre un sommet dramatique ces derniers temps : des pleurs, des cris, des reproches, des blâmes, contre leurs maîtres en Occident qui ne leur auraient pas accordé ce dont ils ont besoin pour libérer le peuple syrien. À l’époque des turbulences en Iran, nous n’avons jamais entendu parler d’opposants iraniens ayant appelé à frapper leur pays pour libérer le peuple iranien.

    L’opposition syrienne liée à l’étranger pleure parce que ses maîtres ne lui ont rien donné, alors qu’elle leur a tout donné, et même plus qu’ils n’ont demandé. S’ils ne vous ont pas tout donné, c’est peut-être parce qu’il y a des règles ? Vous êtes des vassaux et le vassal est un esclave à qui on ne donne pas, mais que le maître exploite. Ils vous méprisent. Les responsables européens nous l’ont dit…
    (Applaudissements.)

    Ils vous méprisent encore plus que le peuple syrien vous méprise. Pourquoi? Parce qu’en Syrie, nous sommes au courant de votre clientélisme…
    (Applaudissements.)

    Alors que vos maîtres savent tout de vous. C’est pourquoi, ils vous utiliseront comme un bout de papier avant de vous jeter à la poubelle. Le peuple syrien vous a jetés depuis longtemps dans la poubelle de l’Histoire.
    (Applaudissements.)

    Nous payons le prix fort, parce que le plan est énorme et que c’est une guerre d’existence. Nous serons ou nous ne serons pas. Il est vrai que l’ingérence extérieure a été le facteur fondamental qui a allumé le feu ; mais aujourd’hui, la plupart d’entre nous sont conscients que le facteur interne est le plus important pour l’éteindre.

    Avoir conscience de ce qui se passe réellement est nécessaire, mais nous ne serons pas capables de sauver la Syrie de ce qui se trame contre elle tant que chaque Syrien ne sentira pas que cette bataille est sienne et qu’il est le premier concerné par sa patrie, sa ville, son village et sa maison, tout comme il est le premier concerné par l’unité de ce pays et la pérennité de son vivre ensemble. Alors, il n’y aura plus aucun émigré qui quitte son pays au lieu de le défendre, ni aucun spectateur solidaire de son pays qui se contente de paroles.

    La victoire de la Syrie dans cette guerre ne signifiera pas uniquement la défaite du terrorisme, mais aussi que la région retrouvera sa stabilité. L’holocauste arrive à travers leur projet de partition et ses guerres. Si nous voulons épargner nos enfants et les protéger, nous devons gagner nos batailles et notre guerre. Alors, nous leur remettrons un héritage dont ils seront fiers à l’avenir et ils seront de véritables maîtres en leur patrie.

    Notre choix est clair depuis le premier jour : posséder la volonté et la confiance en la victoire ; non une victoire de certains Syriens sur d’autres, mais une victoire pour tous les Syriens ; une victoire sur ce qui a été planifié contre eux. C’est d’ailleurs cette conscience des réalités qui a incité nombre de ceux qui dirigeaient leurs armes contre l’État à rejoindre leurs frères au sein de l’Armée et des Forces armées, allant jusqu’à sacrifier leur vie dans différentes régions du pays : un même sang, un même ennemi, un même destin.

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  26. Ici, j’invite tous ceux qui hésitent par peur, par doute, ou qui rêvent de ce qui ne se réalisera pas, à rejoindre ceux qui les ont précédés et à diriger ensemble leur arme contre le véritable ennemi, l’ennemi commun et le plus dangereux d’entre tous : le terrorisme.

    Quant aux promesses de l’étranger à ceux qui continuent à en vivre, elles resteront de simples illusions aussi longtemps que les héros de l’Armée et des Forces armées se battront dans les plus sombres circonstances, se sacrifieront et veilleront pour que les Syriens puissent dormir et que vive la Syrie.
    (Applaudissements.)

    À eux et à tous les Comités de Défense populaire, toutes nos salutations et notre admiration, notre respect et notre estime. Nous nous inclinons devant vos sacrifices et nous nous levons fièrement en hommage à votre générosité. L’Histoire témoignera du terrorisme que la Syrie aura vécu et vous écrirez le chapitre de sa défense, de sa purification et de son salut. Nos salutations à vos familles et à vos proches qui vous ont élevés dans l’amour de la patrie jusqu’à vous sacrifier pour qu’elle vive.

    À toutes les familles des martyrs, nos meilleures salutations avec nos salutations particulièrement distinguées à toutes celles qui ont perdu plus d’un martyr.
    (Applaudissements.)

    C’est en vous que nous puisons notre résistance et c’est de vous que nous avons appris la persévérance, le don de soi et le sens de la patrie. Vous êtes la véritable élite et, quoi que nous fassions, nous ne vous rendrons jamais ce que nous vous devons.

    Quant à nos héros blessés, vous êtes l’Histoire vivante de la Syrie, ses témoins et sa mémoire. Vous êtes la véritable école qui enseignera aux générations futures comment sacrifier une partie de son corps pour que vive un corps plus grand que tous les autres : la Syrie.

    À ceux qui nous ont été enlevés et à leurs parents, nous disons que nous ne nous épargnerons aucun effort pour enquêter sur leur sort, les retrouver et les libérer par des opérations militaires ou des échanges.

    Nous n’oublions pas notre frère l’Iran, que nous remercions pour tout le soutien accordé à la Syrie et qui continue.
    (Applaudissements.)

    Comme nous n’oublions pas notre amie la Russie, et la Chine loyale, pour toute l’aide qu’elles nous ont apportée à plusieurs niveaux, notamment au niveau des organisations internationales.
    (Applaudissements.)

    Et merci du fond du cœur à la Résistance libanaise qui nous a rendu fidélité pour fidélité, sang pour sang.
    (Applaudissements.)

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  27. Je salue chaque Syrien qui a résisté malgré ses souffrances et ses blessures et qui est resté patient en dépit des sanctions, du blocus et du manque de moyens.

    Je salue chaque Syrien qui est resté accroché à sa terre malgré les tentations l’incitant à partir et à émigrer. Il a défié le terrorisme et les canons de la mort, exprimant de la plus formidable des façons ce que signifie l’appartenance à une terre et à des racines, demeurant sur son territoire pour que la Syrie demeure.

    Notre patrie est notre juste droit. La protéger est notre juste devoir. Dieu est avec la justice.

    Dr Bachar al-Assad
    Président de la République arabe syrienne
    Damas, le 26/07/2015

    http://lesakerfrancophone.net/adresse-du-president-bachar-al-assad-au-peuple-syrien/

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  28. (...) Nous réaffirmons, Mesdames et Messieurs, que la patrie n’appartient pas à celui qui l’habite, porte son passeport ou sa nationalité. La patrie appartient à celui qui la défend.(...)

    Voilà bien une phrase qui peut être reprise par bien des pays qui accueillent des étrangers qui cherchent à y introduire leurs lois étrangères qu'ils ont eux-mêmes fuit !

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  29. L’Ukraine, un État béni qui a misérablement échoué [2/2]

    Par Rostislav Ichtchenko
    le 22 mai 2015 – Source vineyardsaker.de
    Première partie

    La marionnette qui négocie avec le marionnettiste

    A cette époque, en Ukraine, le bloc oligarchique-nationaliste croyait que la Russie devait être exploitée comme la source de tous les avantages économiques possibles, mais que la politique devait être alignée sur l’Occident. En 2010, l’équipe de la Révolution orange de Maidan s’était totalement discréditée et n’avait plus aucun soutien public sérieux. Plus encore, l’équipe avait démontré son impuissance à déclencher un conflit aigu avec la Russie (comme en Géorgie), qui aurait immobilisé ses ressources du côté de l’Ukraine et l’aurait donc empêchée de s’immiscer dans les questions mondiales.

    Pour cette raison, les États-Unis ne se sont pas opposés au choix de Ianoukovitch comme président en 2010. Washington savait que M. Ianoukovitch allait essayer de revenir à une politique dans le style de Koutchma, qui s’orientait dans de nombreuses directions et prévoyait de financer son intégration dans l’UE par l’utilisation des ressources russes. Au début des années 2000, une telle politique n’était plus acceptable pour les États-Unis, ce qui a déclenché le putsch de 2004. En ce temps-là, Washington n’avait plus besoin d’allié (aussi fidèle et dépendant soit-il), mais d’exécutants de décisions déjà prises. Mais en 2010, la situation avait changé : l’affaiblissement général de leur position géopolitique ainsi que les problèmes croissants de l’économie américaine ont contraint les États-Unis à soutenir l’approche ukrainienne sous plusieurs aspects. Les États-Unis n’avaient plus d’argent pour soutenir leurs alliés. Maintenant, on attendait des vassaux muets qu’ils financent la politique américaine de leurs propres deniers.

    En 2010, Ianoukovitch était le seul candidat à la présidence acceptable pour les États-Unis. L’équipe de Iouchtchenko (qui incluait les actuels héros Iatseniouk et Porochenko) était totalement discréditée et il faudrait du temps pour améliorer son image. Timochenko avait acquis la réputation d’être imprévisible et d’avoir tendance à tricher constamment avec ses partenaires. La seule saleté que les États-Unis pourraient lui balancer (en collaboration avec Lazarenko) avait déjà été utilisée dans les médias ukrainiens, avec peu d’effet.

    Ianoukovitch, cependant, n’était pas seulement sous le contrôle des agents américains (le groupe Lewotschkin-Firtash) mais voulait sérieusement intégrer l’Ukraine dans l’UE par la signature d’un Accord d’association. De façon manifeste, Viktor Feodoriwitch Ianoukovitch avait décidé de prouver à tous ceux qui l’avaient déposé en 2004 qu’il était le seul qui pouvait unifier l’Ukraine en réconciliant l’Orient et l’Occident. En fait, cela signifiait le reniement de ses promesses électorales et le début de la politique pro-occidentale.

    Il était prévu que Ianoukovitch signe l’Accord d’association, ce qui détruirait l’industrie ukrainienne et le discréditerait entièrement en rejetant les conséquences négatives sur sa personne, puis lui ferait perdre l’élection contre le protégé américain en 2015. Pour assurer la réalisation de ce scénario (au cas où Ianoukovitch refuserait de s’en aller pacifiquement), un autre Maïdan avait été préparé pour 2015.

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  30. Ianoukovitch était assez naïf pour croire que s’il parvenait à offrir toute l’Ukraine à l’Occident, il pourrait être réélu en 2015. Avec cet objectif, lui et ses proches ont soutenu et financé activement des organisations nazies (et pas seulement Svoboda [Liberté, NdT], mais aussi les Patriotes ukrainiens, l’UIA [Armée insurrectionnelle ukrainienne, NdT], l’OUN [Organisation des nationalistes ukrainiens, NdT] et d’autres). La colère contre le fascisme devait permettre à M. Ianoukovitch de gagner les voix antifascistes du sud-est. Pour les nationalistes modérés et les partisans de l’Europe, l’Accord d’association signé avec l’UE devait servir d’incitation. Enfin, pour s’assurer de la loyauté de la majorité de la population, en particulier ceux qui ne se souciaient que de leur bien-être économique, il était prévu d’obtenir un prêt d’un montant de 15 à 20 milliards de dollars de l’UE sous couvert de coopération, ce qui d’après les calculs d’Azarov devait suffire pour maintenir le niveau de vie jusqu’aux élections de 2015 ou même l’améliorer.

    Le plan de M. Ianoukovitch était parfaitement logique. L’UE qui pouvait mettre la main sur l’Ukraine – un gain se chiffrant en milliards – ne devait pour cela débourser que 20 milliards. Ianoukovitch et Azarov pensaient que si la Grèce pouvait recevoir 200 milliards de Bruxelles, cette dernière pourrait bien trouver 20 milliards pour l’Ukraine.

    Cependant les États-Unis, et là résidait le problème, ne voulaient pas que Ianoukovitch reste au pouvoir ; il représentait les intérêts de l’industrie nationale, lesquels seraient tôt ou tard entrés en collision avec les valeurs européennes abstraites, mais non rentables. Il devait être remplacé par une équipe de prédateurs complètement apprivoisés et les entreprises nationales ukrainiennes devaient disparaître pour être remplacées par des sociétés européennes.

    Maïdan en guise de Clef d’or

    A l’issue d’une opération de cinq années, les États-Unis auraient établi en Ukraine, au début de 2015, un régime russophobe complètement apprivoisé et légitimé. L’UE aurait obtenu une zone de libre-échange avec l’Ukraine qui, d’abord, lui aurait fourni un marché de 45 millions de consommateurs ukrainiens après la disparition de l’industrie ukrainienne (avec un pouvoir d’achat allant en diminuant mais pouvant être conservé encore pour un temps), mais ensuite, plus important encore, grâce à la zone de libre-échange au sein de la CEI, qui lui aurait permis d’accéder aux marchés de tous les pays de la CEI, en particulier de la Russie. Cela aurait réduit les pertes des Européens induites par l’accord de libre-échange, le TTIP, prévu entre les États-Unis et l’UE, qui était au détriment de l’UE. L’Europe espérait compenser les pertes liées à l’accord de libre-échange avec les États-Unis aux frais de la Russie et de la CEI.

    De toute évidence, les États-Unis ne se préoccupaient pas de la compensation des pertes financières et économiques européennes, mais de leurs propres intérêts géopolitiques. Plus important encore, l’accord de libre-échange faisait office de cheval de Troie des États-Unis directement dans la CEI et rendait l’Union douanière inopérante en refusant tous les plans d’intégration de la Russie en Eurasie. D’un seul coup, les États-Unis auraient rétabli leur domination politique et économique sur le monde et le rival le plus dangereux de l’Amérique – la Russie – aurait dû payer pour cela.

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  31. C’était un plan assez élégant et je peux imaginer comment les politiciens de Washington sont devenus fous quand ce butor de Ianoukovitch a finalement réalisé qu’il n’obtiendrait jamais les milliards européens pour soutenir la stabilité sociale, et tout à coup, à peine trois mois avant la signature de l’accord, a reporté l’événement. Ianoukovitch a pensé qu’il pouvait agir, obtenir de l’argent et ensuite signer. Pour obtenir les grâces de l’UE, il est allé à Moscou, selon une ancienne tradition ukrainienne, où les milliards promis l’attendaient dans de bien meilleures conditions. Poutine a entrepris au dernier moment de jouer la carte ukrainienne qui lui était offerte, ce qui fait que les décisions ont été prises plus rapidement et les gros sous ont été délivrés plus aisément.

    Contrairement à M. Ianoukovitch, les gens à Washington savaient très bien quelle était la fenêtre de tir. Tous les éléments en relation – de la signature de l’accord d’association en passant par le Maidan en 2015 et jusqu’à l’accord de libre-échange entre l’UE et les USA – faisaient partie d’un complexe rigide et coordonné dans le temps. Si une seule brique était retirée, toute la construction s’effondrait. Le résultat de tout cela est que Ianoukovitch a eu son Maïdan à la fin de 2013.

    Qui a déclenché la guerre civile ?

    Cependant, ce ne sont pas tant les États-Unis que nous devons remercier, que Levotchkine. Lui et Firtach avaient protégé leurs entreprises en prévision de l’Accord d’association, qui avait été établi sous le regard vigilant du chef de cabinet du Président de l’Ukraine – lequel était précisément Levotchkine.

    Par conséquent, si l’économie du pays se dégradait, comme prévu, après la signature, la plupart des oligarques s’appauvriraient, tandis que le groupe Firtach-Levotchkine s’enrichirait. Le refus de signer l’Accord d’association aurait signifié la fin du bien-être financier et politique de ce groupe.

    Levotchkine, dont les activités étaient depuis longtemps en phase avec l’ambassade des États-Unis et qui était impliqué dans les préparatifs du Maïdan, a décidé d’utiliser ce mécanisme pour faire pression sur M. Ianoukovitch et le forcer à signer l’Accord d’association. Il a lancé le Maïdan étudiant, et a ensuite œuvré, voyant que cela n’impressionnait pas Ianoukovitch, pour la provocation, afin que les étudiants soient molestés, après quoi le Maïdan a cessé d’être pacifique.

    À partir de là, Ianoukovitch n’avait que deux à trois semaines pour résoudre le problème de Maïdan avant que son pouvoir ne commence à se désagréger de l’intérieur, que ses ministres et ses généraux fidèles ne commencent à négocier un changement de régime avec l’opposition, et que l’Occident n’intervienne activement. Ianoukovitch, qui surestimait la force de sa position et sous-estimait la signification de Maïdan, avait entrepris de longues négociations avec l’opposition et avait tenté, par des concessions temporaires, de faire disparaître le Maïdan. Une fois sa faiblesse devenue évidente et l’Occident entré en jeu, le régime était condamné.

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  32. Ianoukovitch, qui avait appris du Maïdan précédent, était prêt à se défendre. Il voulait maintenir le Maïdan derrière de simples barricades de police. L’idée était la suivante : s’ils ne s’en vont pas dans six mois, alors ce sera dans un an ; tôt ou tard, ils abandonneront. Puis il est devenu évident que les policiers ukrainiens, contrairement à l’armée, étaient professionnels et bien formés, et un Maïdan pacifique n‘aurait aucune chance de renverser le gouvernement. Seul un coup d’État militaire aurait cette chance.

    Dès le moment où l’opposition ukrainienne et les États-Unis ont choisi la voie du coup d’État militaire et que l’UE a approuvé cette décision, le sort de l’Ukraine était scellé. Si jusque là, malgré des décennies d’une guerre civile froide entre la Russie et la Galicie ukrainienne, un règlement pacifique, basé sur une solution de compromis au conflit interne, était encore possible, l’effondrement du pays était maintenant inévitable avec l’embrasement de la guerre civile. Le problème était que les militants néo-nazis devaient jouer un rôle clé dans le coup d’État puisque l’opposition n’avait pas d’autre force organisée. Cependant, lorsque ces militants ont reçu des armes (pour être en mesure d’effectuer le coup) et que la réaction appropriée des défenseurs de la loi a été empêchée, ces militants sont devenus de fait les héros du pays.

    Les services de police légitimes, trahis par les politiciens, se sont rapidement désintégrés ; les vrais professionnels sont partis, les néo-nazis sont arrivés, et les opportunistes prêts à servir n’importe quel pouvoir sont restés. Les nazis se sont retrouvés dans une position favorable, non seulement pour augmenter leur nombre et les livraisons d’armes rapidement, mais aussi afin de mettre en place un contrôle efficace sur les services de police.

    Tout cela était une menace claire et immédiate pour la population russe de l’Ukraine. Elle était moins organisée, ne comptait que peu ou pas d’unités militaires, n‘avait presque pas d’armes, mais dans les conditions de la terreur nazie imminente, ces problèmes ont été résolus rapidement. Vingt-cinq millions d’antifascistes ne pouvaient pas fuir l’Ukraine. Ils ne pouvaient pas non plus accepter la victoire du deuxième Maïdan comme ils avaient accepté le premier. Le premier Maïdan avait piétiné leur choix, la Constitution et la loi, le deuxième menaçait leur vie.

    Dans une confrontation militaire entre deux parties à peu près égales de l’Ukraine, l’une soutenue par les États-Unis et l’autre par la Russie, la victoire d’une partie était difficile et la guerre pouvait être sans fin. Cela aurait pu facilement se développer et Moscou se serait retrouvé piégé pour de nombreuses années dans le conflit ukrainien ; mais au moment du coup d’État, les ressources économiques internes qui soutiennent le fonctionnement de l’État ukrainien étaient presque épuisées. Pour tirer l’Ukraine de la crise, il fallait des prêts de plusieurs milliards ainsi que des projets d’investissement à long terme et des marchés adaptés aux produits ukrainiens. La Russie était prête à offrir tout cela à Ianoukovitch, mais n’avait pas l’intention d’offrir quoi que ce soit aux nazis (et ne le pouvait pas, même si elle l’avait voulu).

    (suite en dessous:)

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  33. Afin d’éviter une telle évolution du conflit vers le pire scénario, il faut une force externe qui soit prête à prendre la responsabilité de désarmer les belligérants et à assurer un soutien financier et économique pour permettre à l’Ukraine de reconstruire son économie. Actuellement, il n’y a pas de volontaires pour cette entreprise de bienfaisance. Quand on considère la situation politique en Ukraine (une société scindée, pleine de haine et armée jusqu’aux dents) ainsi que les conditions économiques, le bienfaiteur courrait le risque de prendre sur ses épaules la charge de l’Ukraine.

    L’incapacité de l’élite ukrainienne, sa croyance irrationnelle dans la volonté de l’Occident de résoudre les problèmes de l’Ukraine à ses propres frais, met l’État dans une situation où une dissolution rapide est le développement logique de la situation actuelle. En revanche, une conservation et une restauration de l’État ukrainien, même sur une surface réduite, semble être moins probable voire improbable. Pour que cette option puisse se réaliser, il faudrait un miracle qui change tous les facteurs en cause. Si on croit aux miracles, cela semble possible, mais du point de vue de l’analyse politique, cette probabilité est si faible qu’elle ne mérite même pas d’être examinée plus avant.

    L’impossibilité de s’opposer à la guerre

    Le dernier argument est peut-être le plus désagréable pour les citoyens d’Ukraine qui croient encore qu’un renouveau de leur pays est possible. Le pays pourrait être sauvé si au moins l’un des acteurs mondiaux était intéressé à une prolongation de son existence. Bien sûr, si on écoute les diplomates et hommes d’État, on pourrait croire que le monde entier n’a d’autre désir que la renaissance de l’Ukraine et la restauration de son intégrité territoriale. Mais nous savons que les diplomates utilisent leur langue pour cacher leurs pensées et la position réelle d’un État n’est jamais ouvertement exprimée (sinon il n’y aurait pas besoin de services de renseignement et de contre-espionnage). Nous ne pouvons reconnaître les véritables objectifs et les intentions d’un État qu’à ses actes.

    Tout d’abord, une armée a été construite dans le Donbass d’août à décembre 2014 pour remplacer les différents groupes de la milice. Cette armée bien formée et bien équipée surpasse nettement le niveau des forces utilisées pour la défense du réduit des régions de Donetsk et de Lougansk, qui sont actuellement défendues par les forces armées de la Novorussie. Nous pourrions évidemment croire que les miliciens ont trouvé armes, unités d’artillerie lourde automotrices, lanceurs de missiles et autres belles choses dans la steppe de Donetsk. Ils n’avaient pas remarqué toutes ces choses entre avril et août, puis tout à coup – une récolte miraculeuse, comme des champignons après la pluie. On pourrait de la même façon croire que les milliers de formateurs (des sous-officiers jusqu’aux majors de quartier général) qui sont nécessaires pour créer une structure militaire efficace, sont juste venus de différents pays parce qu’ils avaient obéi à leur cœur (ce qui n’arrive pas dans ce monde). Il est même possible de croire que les armes ont été trouvées par hasard et que les instructeurs sont venus non seulement en nombre requis, mais en sus avec la spécialisation nécessaire. Les pièces de rechange, les munitions en quantité adéquate pour des combats intenses devaient encore être livrées par quelqu’un.

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  34. La limite inférieure de la taille estimée des forces armées de Novorussie est de 35 000 hommes (environ trois divisions au cours de la période de la Grande Guerre patriotique en 1941-44). Pour mener des opérations militaires régulières (et fournir à la population civile au moins le minimum vital nécessaire), il faut des centaines de tonnes de ravitaillement par jour. Par comparaison, la 6e Armée de Von Paulus à Stalingrad au début de l’encerclement, selon les calculs du commandement allemand, avait besoin de 600 tonnes de fournitures quotidiennes, juste pour maintenir l’aptitude au combat. Von Paulus pensait que le minimum était de 800 tonnes. Au moment de l’encerclement, Von Paulus commandait jusqu’à 240 000 soldats (il est probable que 30 000 Roumains n’aient pas été comptés par le commandement allemand).

    Cela signifie, comme le disent aussi toujours les patriotes alarmistes, qu’en Novorussie une armée a été créée en un temps très court, qui dépasse largement les exigences de la défense des zones contrôlées. Une telle armée n’a pas pu être organisée sans l’aide de la Russie. La Russie n’a manifestement pas tendance à dépenser de l’argent et des ressources (qui ne sont pas illimitées) sans de bonnes raisons, fondées. Quand une armée est formée pour attaquer, cela signifie qu’elle va attaquer.

    Deuxièmement, quand la Russie et les médias russes modérés répètent à chaque occasion à quel point Porochenko est fiable, et comment il pourrait à tout moment mettre en place une Ukraine fédérale, libérée des nazis, il semble, si on tient compte de la situation actuelle en Ukraine, où le néo-nazi et collègue au pouvoir accuse régulièrement de trahison, que Petr Alekseïevitch Porochenko est conduit à l’abattoir, pendant que la Russie fournit de bonne grâce des motifs de coup d’État à ses adversaires.

    Troisièmement, si l’OSCE, l’UE et les satellites des États-Unis échouent tous à voir des soldats russes en Ukraine autres que les convois humanitaires qui traversent la frontière (ce qui a déclenché à plusieurs reprises des crises d’hystérie à Kiev), c’est parce qu’ils ne veulent rien voir. Finalement, les Américains ou les Européens voient quand ils veulent certifier quelque chose, même des choses qui ne sont pas là, comme les armes de destruction massive en Irak, un référendum au Kosovo ou une faute russe dans la catastrophe de l’avion malaisien à Donetsk. En d’autres termes, sachant que l’armée organisée en Novorussie est beaucoup plus forte que celle de l’armée ukrainienne, battue en août, et que cette armée lancera tôt ou tard une offensive, l’UE et les États-Unis font semblant d’ignorer que la Russie arme une des parties au conflit. Qui plus est, nos partenaires occidentaux, en décidant de fournir une aide militaire à l’Ukraine (y compris en armes), offrent à Moscou la possibilité de rendre légale sa participation en armant, de son côté, la Novorussie.

    Quatrièmement, les États-Unis poussent Kiev à l’escalade du conflit armé en sachant pertinemment que toute offensive plus ou moins sérieuse de Kiev sera utilisée par la Novorussie pour infliger une nouvelle défaite désastreuse à l’armée ukrainienne. Washington comprend aussi que la prochaine catastrophe est susceptible d’être la dernière – même si le nombre de milices novorusses ne suffit pas à occuper l’ensemble du territoire de l’Ukraine, un putsch à Kiev et l’anarchie qui en découlerait, à part dans les zones contrôlées par la milice de Novorussie, seraient inévitables. En tout cas, il n’y aurait plus d’Ukraine (ni unie ni divisée).

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  35. En d’autres termes, tout le monde se prépare à la guerre, en pleine connaissance du résultat de cette guerre. Les manœuvres des vrais acteurs du conflit, qui se trouvent derrière les dirigeants à Kiev, à Donetsk et à Lougansk, visent à rendre les adversaires responsables de la reprise des combats, de son escalade inévitable et de sa brutalité croissante. Oui, Moscou et Bruxelles n’ont pas besoin de la guerre en Ukraine. Oui, il serait souhaitable de trouver une solution pacifique. Mais comme Washington insiste pour combattre et que Kiev n’a pas d’autre choix que de se battre, même si le début de la deuxième phase de la guerre civile ukrainienne pourrait être retardée, l’armée de Novorussie pourrait être préparée au point qu’une intervention officielle de l’armée russe pourrait être évitée, mais que la guerre ne pourrait pas être empêchée.

    Londres et Paris voulaient en 1939 que l’URSS combatte l’Allemagne. Staline voulait retarder le début de la guerre au moins jusqu’en mai 1942 (à ce moment la mise à niveau de l’armée soviétique devrait être achevée). La guerre a commencé en 1941. De toute évidence, Poutine serait heureux de repousser le conflit en 2017. A ce moment, il aurait une bonne chance d’obtenir le contrôle de l’Ukraine sans escalade et sans autres pertes. Il est tout aussi évident que les États-Unis auraient préféré voir la Russie commencer le combat en avril ou mai 2014. Il semble que la Russie a réussi à éviter de participer directement au conflit, mais au prix d’une guerre civile en Ukraine en 2015 (de Lvov à Kharkov et de Kiev à Odessa).

    Le retour de l’Empire

    La dernière question qui peut, peut-être, nous intéresser est : que va-t-il arriver à la suite de la guerre avec l’Ukraine? Rien. Il n’y aura plus d’Ukraine. Le simple fait que, jusqu’ici aucune structure gouvernementale adéquate n’ait encore été créée en RPD et en RPL avec l’aide de Moscou suggère que ces républiques ne sont pas nécessaires. La Novorussie reste un terme géographique et historique, mais n’est pas une réalité politique. L’armée était nécessaire – elle a été organisée – tandis que les structures gouvernementales ne sont pas nécessaires, et elles n’ont pas évolué. Cela signifie que la Novorussie n’est pas prévue. Les patriotes alarmistes en tirent la conclusion que la Novorussie trahirait Kiev. Mais Kiev est, comme nous l’avons indiqué ci-dessus, une trahison en soi, et l’auto-dissolution du régime est tout simplement une question de temps et pas de principe ; et nous parlons d’une brève période, donc à qui la Novorussie devrait-elle être livrée ?

    Elle ne sera livrée à personne, et personne ne le fera. Pourquoi la Russie aurait-elle besoin d’une nouvelle Ukraine sous couvert de la Novorussie? La Russie n’a pas besoin d’un État tampon entre l’Union eurasienne et l’UE. Il serait seulement un obstacle. De toute façon la Russie a déjà des frontières avec les pays de l’Otan (Norvège, Estonie, Lettonie). La Russie a besoin de l’ensemble de l’Ukraine, ou de la quasi-totalité de l’Ukraine. Il est maintenant évident non seulement pour Moscou, mais aussi pour Bruxelles, que cette zone est incapable de développement indépendant et seulement une source de problème. Par conséquent, la Novorussie est possible en tant que région fédérale, mais pas en tant qu’État indépendant. Le monde n’a plus d’argent pour l’indépendance, que ce soit pour l’Ukraine ou pour la Novorussie – c’est aussi simple que cela.

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  36. Il est temps que l’Empire revienne à ses frontières naturelles (au moins dans le sud-ouest).

    Traduit par Hiéronymus, relu par Diane et jj pour le Saker francophone

    http://lesakerfrancophone.net/lukraine-un-etat-beni-qui-a-miserablement-echoue-22-2/

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  37. La sécurité intérieure au ralenti sur 2008 EMP menace: "le dysfonctionnement du gouvernement l'empêche... de nous protéger"

    Mac Slavo
    3 août 2015
    SHTFplan.com

    La menace potentielle d'une impulsion électromagnétique (EMP) a officiellement retenu l'attention des politiciens à Washington, qui sont l'utiliser comme un sujet de débat en voiture sur les éventuelles menaces militaires et révisions d'infrastructure.

    La catastrophe qui pourrait provenir d'un PGE serait écrasante et dévastatrice à l'infrastructure qui dépendent de plusieurs centaines de millions, mais la sécurité intérieure a absolument rien fait pour durcir la grille ou de prendre des précautions de base, puisqu'il a été averti dans un rapport de 2008. Selon le Washington Beacon gratuit :

    The Department of Homeland Security n'a pas abordé une seule recommandation d'un rapport d'Infrastructures nationales essentielles de 2008 afin d'évaluer la menace d'attaques de l'impulsion électromagnétique (EMP) et des tempêtes solaires...

    « Nous avons permis ce dysfonctionnement du gouvernement pour nous empêcher de faire de même dans les choses les plus élémentaires pour nous protéger, » a déclaré le président Ron Johnson (r, wisc.) …
    […]
    "Je souligne qu'un événement-une fois par siècle pourrait se produire la semaine prochaine. Il a une probabilité de 10 % au cours des dix prochaines années, un temps dans lequel nous peut et doit prendre des mesures pour réduire et éliminer essentiellement son impact sur le système d'alimentation en vrac des États-Unis, » a dit le Dr Richard Garwin d'IBM Thomas J. Watson Research Center.

    Vous pouvez lire le rapport d'Infrastructures critiques 2008 : rapport de la Commission d'évaluer la menace pour les États-Unis d'impulsion électromagnétique (EMP) attaque ici au format PDF.

    Selon les experts, le minimum pour protéger la puissance américaine, grilles de EMP impliquerait pas plus de quelques centaines postes de transformation qui pourraient être durcis "une estimée de 100 000 $ par station" – une somme dérisoire par rapport à d'autres coûts technologiques nés par Homeland Security, application de la Loi et des organismes militaires. Bien sûr, IBM a tout à gagner de nouvelles infrastructures de réseau, comme bon nombre d'entreprises « smart grid » partage plans communs avec propositions résilientes EMP, qui favorisent refonte de la grille de vieillissement conçue à l'époque de Tesla et Edison.

    Mais menaces EMP ont pertinence à nouveau avec l'Iran comme un statut et un problème de bouton chaud comme le pire cauchemar pour certains milieux.

    L'accent renouvelé sur l'Iran au milieu des négociations controversées de la maison blanche d'Obama ont avancées nouvelles vagues de crainte sur l'Iran gagne un nuke... et l'utiliser pour déclencher un holocauste EMP rapport aux États-Unis.

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  38. Le scénario n'est pas impossible et constitue une menace réelle, mais elle a peu à voir avec l'Iran comme un acteur hostile. Néanmoins, votre propagande quotidienne war hawk a été tissage il dans le récit. Le journaliste quotidien écrit:

    Selon Dr. Forstchen, une bombe nucléaire en Iran susceptible de compromettre la sécurité d'Israël et d'Amérique. Un scénario encore plus grave serait pour l'Iran de faire exploser une bombe EMP dans l'air au-dessus d'Israël ou l'Amérique avec une bombe nucléaire, d'un cargo porte-conteneurs.

    Les experts qui sont « très alarmé et peur » à ce sujet, notamment James Woolsey, un ancien directeur de la CIA ; Major Ed Dames, ancien instructeur en chef pour la visualisation à distance au Pentagone ; et le Dr William Forstchen, expert en histoire militaire. Un nombre croissant d'experts civils et militaires est en garde contre une attaque potentielle de la bombe EMP ; alors que nos médias d'information et le gouvernement reste muets.

    Experts affirment que l'explosion d'une seule attaque durerait seulement un millionième de seconde, mais pourraient potentiellement tuer neuf sur dix des américains dans les 12 mois, depuis une grande bombe EMP détruirait notre réseau électrique américain et l'électronique...

    Cette menace est très présent à l'esprit de ceux qui ont aidé à écrire, ou qui ont soutenu la bouclier Loi maison introduit pour les scénarios EMP :

    Vous risquez l'impulsion électromagnétique d'une détonation nucléaire de haute altitude, à plus de 100 kilomètres au-dessus du sol, lancé par une ogive nucléaire ou par satellite. Les résultats d'une épreuve de EMP sont radicalement différentes de celle d'un événement solaire et les factures a présenté à la maison des représentants, tels que l'Infrastructure sécurisée de haute tension pour l'électricité de Lethal dommages ou adresse bouclier Act (H.R. 2417) de ce problème.

    "Tout simplement trouver un moyen de durcir une grille qui sera, par la Commission de l'EMP, toujours probablement descendre... parce qu'il n'y a aucune protection nulle part ailleurs, ne semble pas la meilleure mise au point de notre temps et d'énergie. Nous voulons se concentre sur [la] scénario de récupération pour la faible probabilité, événements à fort impact comme un PGE, où l'on voit aussi distinctement différents comme un GMD,"Bridgette Bourge, fonctionnaire auprès de la National Rural Electric Cooperative Association, a déclaré dans son témoignage. (source)

    Avec tous ceux qui ont tout à gagner de destruction, chaos et le désespoir, la porte est également ouverte pour des attaques intentionnelles sous fausse bannière, l'erreur humaine et simple malchance.

    Let's espoir que nous avons une tête commencer avant le SHTF et comme toujours, Gardez vos preps EMP-prêt comme le meilleur que vous pouvez gérer.

    http://www.shtfplan.com/headline-news/homeland-security-idle-on-2008-emp-threat-govt-dysfunction-preventing-protecting-ourselves_08032015

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    1. C'est pourquoi il est encore bon de conserver chez soi des véhicule qui démarrent à la seule manivelle ! Véhicules dépourvus donc de gadgets électronique auquels seul un petit drone d'amateur peut mettre à distance hors d'état de fonctionner !

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  39. Une seule banque de la zone euro figure dans la liste des 20 banques les plus solides du monde


    par Audrey Duperron
    04 août 2015

    Une seule banque commerciale de la zone euro figure dans le classement Bloomberg des 20 banques les plus solides du monde. Il s’agit de l'OP Financial Group, une banque finlandaise, qui revendique la huitième place. Comme l’année dernière, c’est la banque Hang Seng Bank de Hong Kong, qui occupe a première marche du podium. Cette banque est une filiale de la Banque HSBC, elle-même mal en point, puisqu’elle a supprimé pas moins de 87 000 emplois depuis 2011. Mais Hang Seng Bank a une stratégie radicalement différente de sa maison-mère : elle fonctionne localement et se limite aux activités de banque commerciale et de détail. Plus de la moitié des personnes âgées de plus de 18 ans à Hong Kong y détiennent un compte dans l'une de ses 240 succursales à Hong Kong.

    Les banques asiatiques profitent bien de la richesse croissante à Hong Kong et en Chine: 5 d’entre elles occupent le top 10 et six figurent dans le top 20.

    L’Europe ne compte que six banques parmi les vingt premières places, principalement grâce aux pays scandinaves. Ce sont surtout les banques suédoises qui se distinguent, car depuis 2011, des normes plus strictes en matière de fonds propres ont été introduites dans ce pays. Par exemple, la banque suédoise SEB avait un ratio Tier 1 Capital de 19,5% à la fin de l’année 2014. Par comparaison, celui de la Deutsche Bank, la plus grande banque en Allemagne, n’atteint même pas 10%.

    Le ratio de capital Tier 1 (un ratio qui indique la proportion de capitaux tampons qui pourraient absorber les pertes), comparé aux actifs pondérés par leur risque, joue un rôle crucial dans la façon dont Bloomberg a établi son classement et pèse 40% de l’ensemble de la note attribuée aux banques. Suivent ensuite les actifs non performants (qui comptent pour 20% de la note), qui sont des prêts à risque accru de défaut de paiement, les réserves financières pour absorber les actifs non performants (20%), le ratio de comparaison des dépôts aux prêts (15%), et le ratio d'efficacité (5 %), qui compare les coûts et les recettes.

    Top 20 des banques les plus solides du monde
    (Source: Bloomberg Markets)

    20.6 Credit Suisse Group (Suisse)
    20.90 NorinChukin Bank (Japon)
    23 Oversea-Chinese Banking (Singapour)
    23.40 National Commercial Bank (Arabie Saoudite)
    24.70 Desjardins Group (Canada)
    25.1 Capital One Financial (USA)
    27.90 Qatar National Bank (Qatar)
    29.40 OP Financial Group (Finlande)
    30.90 DBS Group Holdings (Singapour)
    31 United Overseas Bank (Singapour)
    31.90 BOC Hong Kong Holdings (Hong Kong)
    36.7 SEB (Suède)
    37 Swedbank (Suède)
    38.1 Citigroup (USA)
    38.2 BB&T (USA)
    39 UBS (Suisse)
    39 National Bank of Abu Dhabi (EAU)
    39.1 Canadian Imeprial Bank of Commerce (Canada)
    39.7 Svenska Handelsbanken (Suède)
    40.90 Credit Suisse Group (Suisse)

    Source: Bloomberg Get the data

    http://www.express.be/business/fr/economy/une-seule-banque-de-la-zone-euro-figure-dans-la-liste-des-20-banques-les-plus-solides-du-monde/214896.htm

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  40. Non, ce n'est pas le graphique de la bourse grecque...

    par Audrey Duperron
    03 août 2015

    Les marchés financiers ont été saisis par l’effondrement du marché boursier grec qui a perdu plus de 16% à la clôture ce lundi, suite à sa réouverture après cinq semaines d'inactivité.

    Certains titres vedette, comme ceux de la Banque Nationale de Grèce, ou de la Piraeus Bank, ont perdu près de 30%. On s’attendait à ce désastre ; mais la société d’enquêtes de conjoncture Markit donne une meilleure idée de la débâcle de l'économie réelle et de la situation actuelle du pays.

    Markit recueille des données économiques (chômage, commandes, livraisons, inventaires) de divers secteurs pour calculer son PMI (Purchasing Managers Index). Cette combinaison de chiffres indique les intentions de commandes des responsables des achats de grandes entreprises des différents secteurs de l’économie dans un pays donné.

    Un indice Markit supérieur à 50 témoigne théoriquement d’une croissance économique; lorsque le chiffre est inférieur à 50, cela signifie que l'économie se contracte. Pour ce mois de juillet, l'indice PMI de la Grèce s’est établi à… 30,2.

    - voir sur site -

    Le graphique ci-dessus se passe de tout commentaire. L’écnomie paie le lourd tribut des contrôles de capitaux, qui ont complètement paralysé l'importation de biens, et de l'incertitude depuis les élections de janvier.

    Selon Markit, il s’agit de la plus forte baisse de l'indice PMI de l'histoire grecque.

    http://www.express.be/business/fr/economy/non-ce-nest-pas-le-graphique-de-la-bourse-grecque/214881.htm

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  41. C'est prouvé: certaines personnes apprécient plus leur BMW (ou leur paire de Nike) que leurs amis...

    par Mylène Vandecasteele
    03 août 2015

    Une nouvelle étude démontre une nouvelle fois à quel point les marques pénètrent dans notre vie privée, et même la sphère de nos relations interpersonnelles. Elle suggère en effet que certaines personnes apprécient plus leurs marques favorites que leurs amis proches, rapporte Ozy.com.

    Le Dr. Tobias Langner, un professeur de marketing l’Université de Wuppertal, en Allemagne, et son équipe, ont soumis une série de photos aux participants de leur étude. Certaines de ces photos étaient des portraits de leur conjoint, d’autres, celles d’amis proches, ou d’une marque qu’ils avaient indiqué apprécier (comme BMW ou Adidas, par exemple). Les sujets devaient dire ce qu’ils en pensaient, et pendant cette évaluation, les chercheurs mesuraient la valeur de cette réponse sur une échelle de notation visuelle, ainsi que le degré de moiteur de leur peau, pour déterminer le degré d’émotion que ces photos suscitaient en eux.

    Ils ont conclu que les émotions que nous ressentons quand nous interagissons avec nos marques favorites sont aussi intenses que les émotions que nous inspirent nos amis proches. "'Certaines personnes éprouvent plus de chaleur pour leurs marques favorites que pour leurs amis proches', écrivent-ils. En revanche, et peut-être de façon rassurante, lorsqu’il s’agissait des photos de leur conjoint, les sujets manifestaient plus d’affection que pour leur marque préférée.

    Les détracteurs de cette étude notent qu’elle se base sur un échantillon de petite taille, que les sujets ont été choisis pour leur goût pour les marques, et que les conclusions de l’étude se rapportent surtout aux évaluations des photos qui leur ont été montrées, plutôt que sur la mesure de leur réaction physiologique.

    http://www.express.be/business/fr/marketing/cest-prouve-certaines-personnes-apprecient-plus-leur-bmw-ou-leur-paire-de-nike-que-leurs-amis/214877.htm

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    Réponses

    1. (...) les chercheurs mesuraient la valeur de cette réponse sur une échelle de notation visuelle, ainsi que le degré de moiteur de leur peau, (...)

      Puuuuuutaing ! 'le degré de moiteur de leur peau' !!! Ils présentent une paire de pompes et demandent si vous désirez coucher avec !

      Chercher pas c'est du belge !

      Signé: Dutrou !

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  42. Bienvenue sur les autoroutes françaises... où vous payerez tout le double du prix habituel

    04 août 2015

    Si vous pensez que vous payez bien plus cher dans les stations-services des autoroutes françaises pour les articles que vous pourriez acheter par rapport à leur prix en supermarché, une étude menée par le site français Caradisiac vous donne raison. Elle s’est penchée sur les prix de huit produits en station-service, qui ont été comparés à leur prix au supermarché local.

    La conclusion ne laisse aucun doute: vous allez payer cher votre pause le long des autoroutes françaises, puisque vous payerez une moyenne de plus de plus du double (+ 122%) de ce que vous auriez dépensé au supermarché pour le même panier. Les produits dont les différences de prix constatées ont été les plus importantes ont été la bouteille d'eau (+ 321%), le sandwich au jambon (+ 195%) et le paquet de chewing-gums (+ 138%).

    Le premier produit que vous veniez chercher à la station-service, le carburant, est quant à lui plus cher d’environ 10% plus cher qu'ailleurs dans le pays.

    Caradisiac a contacté Total, Shell, Esso, Leclerc et Carrefour pour leur demander pourquoi ces produits sont vendus si cher. Aucune de ces firmes n’a souhaité répondre.

    http://www.express.be/business/fr/conso/bienvenue-sur-les-autoroutes-franaises-ou-vous-payerez-tout-le-double-du-prix-habituel/214887.htm

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  43. Louis Farrakhan demande instamment à la communauté noire à « Se lever et tuer ceux qui nous tuent »

    Soumis par Tyler Durden le 04/08/2015 11:20-0400


    Alors que les États-Unis a eu sa part de violence mortelle sociale l'an dernier, une grande partie de la fente le long le long des lignes raciales, elle a heureusement évité une véritable guerre raciale. Cependant, ces dernières semaines, il y a eu une augmentation inquiétante dans les appels vers encore plus de violence et encore plus de morts, qui cherchent à atteindre exactement cela : un américain saisi dans une guerre raciale.

    Plus tard cet appel à la violence a été filmé quelques jours auparavant, lorsque le 30 juillet lors d'un discours prononcé à Mt. Zion Baptist Church à Miami, chef de la Nation of Islam Louis Farrakhan nommé pour les noirs américains de « rise up » et « tuer ceux qui nous tuent » si le gouvernement fédéral ne parvient pas à « intervenir dans nos affaires. »

    Suit un extrait de son sermon troublante :

    Je suis à la recherche pour 10 000 au milieu des millions, 10 000 hommes intrépides qui disent que la mort est plus douce que la vie continue sous la tyrannie.

    La mort est plus douce que pour continuer à vivre et à enterrer nos enfants alors que les gens blancs donnent les hamburgers tueuses.

    La mort est plus douce que nous regardent mutuellement l'abattage à la joie d'un ennemi vieux de 400 an.

    Le Coran enseigne persécution est pire que l'abattage. Puis il dit : représailles est prescrite en matière des tués.

    Représailles est une prescription de Dieu pour calmer les respirations de ceux dont les enfants ont été tués. Donc si le gouvernement fédéral ne va pas intervenir dans nos affaires, puis nous devons soulever et tuer ceux qui nous tuent. Les traquer et de tuer et de leur faire ressentir la douleur de la mort qui nous nous sentons."

    D'enregistrement ci-dessous :

    Vidéo de l'extrait a été publié sur la page Facebook de Farrakhan lundi avec le hashtag "#JusticeOrElse." Jusqu'à présent, il y n'a eu aucune condamnation de cette criée à la violence par quiconque dans les médias traditionnels.

    Le Blaze ajoute que Farrakhan est prévue le mois prochain à Washington, lors d'une manifestation organisée pour commémorer le 20e anniversaire de sa marche de l'homme 1995 millions.

    http://www.zerohedge.com/news/2015-08-04/louis-farrakhan-urges-black-community-rise-and-kill-those-who-kill-us

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    1. Ne sont-ce pas là les premiers pas programmés de 'Jade Helm' ?

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  44. Le plus grand exercice d’entraînement multi-États jamais mené par le Commandement des opérations spéciales de l’armée est prévu pour le 15 juillet dans 7 États

    Le plus grand exercice d’entraînement multi-États jamais mené par le Commandement des opérations spéciales de l’armée est prévu pour le 15 juillet dans 7 États

    La présence accrue et inhabituelle de véhicules militaires (blindés, transporteurs de munitions et d’armes, etc.) dans plusieurs autres États que ceux visés par l’opération Jade Helm (voir les articles précédents) laisse croire que ces exercices seront menés sur un bien plus vaste territoire en vue d’un vaste scénario…

    Ces huit semaines d’exercice, dont le nom de code est Jade Helm-15, impliqueront au moins 1200 soldats, des avions et de l’équipement de l’Armée, de la Marine, de l’Armée de l’Air et des Marine Corps. Les sept États dans lesquels auront lieu les exercices sont: l’Utah, l’Arizona, le Nouveau-Mexique, le Texas, la Louisiane, le Mississippi et la Floride.

    Les exercices « reposent sur de la formation en dehors d’installations militaires pour exposer les Forces d’opérations spéciales de l’armée à des conditions inconnues, » a dit un responsable.

    Les responsables disent qu’il ne s’agit pas d’un scénario de loi martiale comme certains le croient. Ils ont aussi démenti le lien entre Jade Helm et les récents exercices de l’OTAN.

    http://www.nouvelordremondial.cc/2015/07/07/le-plus-grand-exercice-dentrainement-multi-etats-jamais-mene-par-le-commandement-des-operations-speciales-de-larmee-est-prevu-pour-le-15-juillet-dans-7-etats/

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  45. Trois "survivalistes" ont été arrêtés et poursuivis en justice parce qu'ils se préparaient à la loi martiale

    mardi 4 août 2015

    * Lors de la crise d'octobre en 1970 au Québec, la "loi des mesures de guerre" (loi martiale) a été décrétée par le gouvernement fédéral. Les autorités policières fédérales et provinciales avaient déjà dans la mire des centaines personnes et des dossiers d'enquête avaient été préparés concernant de prétendus militants et sympathisants du Front de Libération du Québec (FLQ). Lorsque la loi martiale a été déclarée, des centaines d'arrestations ont eu lieu: des mères et des pères de famille ont été arrachés à leurs enfants sous prétexte qu'ils supportaient la cause des "terroristes du FLQ". Certains n'avaient aucune affiliation politique proche du FLQ, mais suffisait qu'ils soient impliqués dans le mouvement ouvrier ou qu'ils soient favorables à l'idée de faire du Québec un pays pour être arrêtés. Toute cette histoire a été montée de toute pièce pour donner une bonne leçon historique aux Québécois: jamais une quelconque force politique ne réussira à faire du Québec un pays!

    Trois hommes de Caroline du Nord qui se préparaient à l'instauration de la loi martiale aux États-Unis ont été arrêtés par les autorités fédérales ce samedi après un mois d'enquête. Selon les informations émises par les médias, les "survivalistes" ont été accusés de possession d'armes, de munitions et d'engins explosifs artisanaux. Les autorités ont déclaré qu'elles ont trouvé des radios portatifs, des casques de kevlar, des gilets pare-balles et des masques en vue d'une résistance armée.

    Outre les accusations de possession d'armes illégales, les hommes pourraient être poursuivis pour avoir perpétré un complot contre le gouvernement fédéral, peine passible de cinq ans de prison.

    Les trois hommes restent incarcérés jusqu'à leur audience prévue jeudi.

    Source:
    http://abcnews.go.com/US/wireStory/feds-charge-men-accused-prepping-martial-law-32859196

    http://conscience-du-peuple.blogspot.fr/2015/08/trois-survivalistes-ont-ete-arretes-et.html

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    1. Ils osaient se préparer à se défendre plutôt qu'à se faire enculer !
      Mais où va-t-on ??!!

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  46. ALERTE TOTALE : LES ÉLITES ÉVACUENT MAINTENANT

    Rappel : Actualité incroyable! Un chef de gouvernement émet une alerte apocalyptique pour les Etats-Unis d’Amérique et les Élites se planquent sous terre ! (Vidéos)

    ——–

    Les élites financières nous disent implicitement qu’un effondrement économique est à l’horizon.

    De la crise de l’euro avec la Grèce, à la soudaine popularité croissante de l’or, les écrits sur l’ardoise présentent une catastrophe économique inévitable.

    Le gouverneur du Texas Greg Abbott a récemment indiqué qu’il ne faisait pas confiance aux papiers de la Réserve Fédérale et a demandé à ce que 1 milliard de dollar soit rapatriés au Texas.

    Des pays comme la Chine et l’Allemagne ont fait des décisions similaires, avec la Banque Centrale Allemande, ou Bundesbank, qui a plus tôt cette année dit qu’elle avait pour objectif de rapatrier 300 tonnes d’or des réserves de la Fed à New York en 2020.

    Rien qu’aujourd’hui, le PDG britannique Ian Spreadbury qui détient des milliards en investissement a révélé a ses clients qu’un « risque systémique » plane sur les marchés, et a dit qu’il conseillait à leurs clients de « conserver du cash physique » à cause de sa volatilité.

    Tout cela, combiné avec le fait que des milliardaires achètent des bunkers partout dans le monde, en Nouvelle Zélande, Chili… Et qu’ils ont des comptes en banque à l’étranger, nous dépeint un tableau du futur économique mondial catastrophique, à moins que l’humanité ne se réveille et ne force des changements.

    http://www.nouvelordremondial.cc/2015/06/21/alerte-totale-les-elites-evacuent-maintenant/

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  47. Mais où est donc passé l’or de l’Allemagne ?

    par redacbzhinfo
    04/08/2014 – 07H00

    Berlin (Breizh-info.com) – Pendant la guerre froide, l’Allemagne qui craignait une éventuelle invasion de son territoire par l’armée soviétique avait choisi de mettre à l’abri l’essentiel de sa réserve dans des pays alliés jugés plus sûrs. Cette réserve qui est aujourd’hui de 3391 tonnes d’or et qui vaut environ 100 milliards d’euros est stockée pour 45% aux Etats-Unis, 13% en Grande-Bretagne et 11% en France ; le reste étant à Francfort dans les coffres de la Bundesbank.

    A la fin de 2012, une polémique a vu le jour en Allemagne concernant cet or à l’initiative de divers groupes et personnalités qui ont exigé son retour immédiat à Francfort. Pour y mettre un terme, Angela Merkel avait donc demandé le rapatriement immédiat de l’or stocké en France, ce qui lui fut accordé, et aux Etats-Unis. Les Américains s’opposèrent totalement à cette demande et proposèrent un plan de rapatriement partiel (portant sur 270 tonnes seulement) s’étalant jusqu’en 2020 ; cette contre-proposition était pour le moins surprenante.

    Depuis le début de 2013, les Américains ont usé de toute leur force de persuasion pour amener la Chancelière à infléchir sa position jusqu’à ce qu’au mois de juin 2014, Angela Merkel ait pris la décision, pour ne pas froisser ses pressants interlocuteurs américains, de ne pas rapatrier l’or stocké aux Etats-Unis sous prétexte que le transport et les assurances seraient trop coûteux, d’une part, et qu’il était parfaitement en sécurité à New-York, d’autre part.

    Il est possible de tirer deux conclusions de ces péripéties :

    – l’or allemand n’est sans doute plus présent dans les coffres de la Federal Reserve (sinon, ses dirigeants n’auraient pas tergiversé et l’auraient rendu comme l’a fait la France), ce qui peut signifier que les réserves d’or américaines sont au plus bas comme le laissent penser certaines rumeurs mettant en cause l’authenticité des réserves de Fort-Knox (selon William Kaye, gestionnaire de hedge fund à Honk-Kong, l’or de la Fed et celui de l’Allemagne sont désormais en Chine).

    – en se couchant devant les Américains, Angela Merkel a montré qu’elle est totalement inféodée aux Etats-Unis comme l’a écrit très récemment Paul Craig Roberts qui fut sous secrétaire au Trésor dans l’administration Reagan.

    http://www.breizh-info.com/14941/actualite-economique/donc-passe-lor-lallemagne/

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  48. Il s'agit de votre « nouvelle économie »: Ces 10 Startups sont évalués à $ 156 milliards à $ 4 milliards de recettes

    Soumis par Tyler Durden le 04/08/2015 10:37-0400


    S'il fallait résumer la « nouvelle économie », qui soi-disant cette fois est différente que la dernière fois que les Etats-Unis ont eu une "nouvelle économie", dans un seul tableau, ce serait celle suivante qui répertorie les 10 plus grands "licornes", et les démarrages d'une valeur plus de $ 1 milliard, une liste dirigée par Uber (dont la semaine dernière a signalé sa dernière évaluation record de $ 51 milliards à partir de $ 17 milliards il y a exactement un an) et continue avec des noms qui sont plus un truc de marketing qu'un modèle d'affaires réelles.

    Quelques observations rapides : les dix premières entreprises de valeur plus élevées ont une valorisation privée combinée de $ 156 milliards, sur à peu près $ 4 milliards de chiffre d'affaires et emploient un énorme 19,5 mille personnes.

    En d'autres termes, ratio prix/ventes historique combiné de l'univers est x 39 et chaque employé est d'une valeur d'environ $ 8 000 000.

    Voici en espérant que ces privé prix aux entreprises perfection aura besoin pour justifier leurs valorisations ridicules... tout comme la Fed se prépare à la hausse des taux et conduire à ce que beaucoup savent, mais ne veut pas admettre, la croissance absolument astronomique sera une récession dans quelques années (si on n'a pas déjà démarré).

    http://www.zerohedge.com/news/2015-08-04/new-economy-these-10-startups-are-valued-156-billion-4-billion-revenue

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  49. L'inflation Nation : Collège manuel prix Soar 1000 % depuis 1977

    Soumis par Tyler Durden le 04/08/2015 20:40-0400


    Vous vous demandez pourquoi le taux d'abandon du Collège est si élevé ? Une des raisons pourraient être qu'un superbe 65 % des étudiants évitent l'achat de manuels scolaires en raison du coût.

    Comme NBCNews rapports, prix pour manuels ont augmenté de plus de trois fois le taux d'inflation de janvier 1977 à juin 2015, une hausse de 1 041 % - éclipsant les données de l'IPC officielles du gouvernement. Tout comme les soins de santé subventionnés a « activé » dramatique prend sa source dans les coûts des médicaments pour l'éducation subventionnée a suscité l'hyperinflation-esque de prix dans des manuels de collège

    Étudiants comme NBCNews rapports, frapper à la librairie du Collège cet automne obtiendrez une dure leçon en économie, avant ils ont craqué ouvrir leur premier chapitre. Manuel prix flambent. Certains experts disent que c'est parce qu'elles sont vendues comme drogues.

    Selon la revue des données du Bureau of Labor Statistics (BLS) de NBC, prix manuels ont augmenté de plus de trois fois le taux d'inflation de janvier 1977 à juin 2015, une augmentation de 1 041 p.

    Ils ont été en mesure de maintenir l'augmentation des prix car les étudiants sont « consommateurs captifs. » Ils doivent acheter quelque livres elles sont affectées," , a déclaré Nicole Allen, un porte-parole de la Scholarly Publishing and Academic Resources Coalition.

    C'est en quelque sorte, similaire à un modèle de vente pharmaceutique où les éditeurs passent leur temps courtiser les décideurs à adopter leur produit. Dans ce cas, c'est les professeurs au lieu de médecins.

    "Professeurs ne sont pas sensibles au prix et ils ont ensuite assignent et étudiants ont rien à dire," a dit Ariel Diaz, CEO de l'infini, un éditeur de manuels libre et peu coûteux.

    - voir graphique sur site -

    Mais si certains élèves paient un pourcentage de 1 041 littéral plus aujourd'hui qu'ils l'étaient en 1977 n'est pas la question, a déclaré Mark Perry, professeur d'économie à l'Université du Michigan qui a suivi l'augmentation du prix de manuels scolaires pour les années.

    Manuel de collège prix augmentent bien plus que la capacité des parents à payer pour eux," dit-il. À l'extrémité, un spécialisé manuel de chimie sur les coûts de son campus de 400 $ à la librairie du campus.

    Comment manuel montante prix miroirs hausse des coûts de médicaments...

    http://www.zerohedge.com/news/2015-08-04/inflation-nation-college-textbook-prices-soar-1000-1977

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  50. Une réflexion claire sur le prix de l'or

    Soumis par Tyler Durden le 04/08/2015 20:30-0400
    Soumis par Simon Black via souverain homme blog,

    Le 2 avril 2001, le prix de l'or a fermé le marché séance à 255,30 $ de bourse.

    Et c'est le prix le plus bas qui or a vu depuis.

    Exprimés en dollars américains, or a fermé l'année civile 2001 plus élevée qu'en 2000. Puis il fait la même chose à nouveau en 2002. Et à nouveau en 2003.

    En effet, après avoir atteint son minimum en avril 2001, or fermé supérieur pour douze consécutives ans – quelque chose qui n'avait jamais arrivé avant dans n'importe quel marché financier à une ressource.

    Puis vint une correction ; le prix ont commencé à tomber, et or est maintenant sur la bonne voie pour 2015 pour sa troisième année d'affilée.

    Ce qui est incroyable c'est que, malgré son histoire de gains, et 5 000 ans de tradition derrière elle, or devient rapidement un des atouts plus largement méprisés.

    Mais avant de nous prononcer morts et écrire l'éloge or final, cependant, nous allons étudier ce qui suit :

    1) rien ne va monter (ou descendre) dans une ligne droite. Après 12 saisons consécutives de gains sans précédent avec n'importe quelle classe d'actifs, il n'est pas rare d'avoir une correction significative.

    (Imaginez la gravité la correction des stocks sera...)

    Et comme tous les estacades frénétiques qui aller au-delà des niveaux soutenables, corrections également dépassent juste valeur.

    Cette correction dans le marché de l'or pourrait facilement durer plusieurs années, avec des prix potentiellement bien inférieur à 1 000 $.

    Mais ensuite, nous avons pu voir aussi bien une autre vague massive complètement passé $ 2 000 et au-delà.

    C'est la nature de ces marchés – était très volage (et très manipulé).

    Même sur une période de quelques années, le marché peut montrer tout autant maturité comme une cantine de collège, complete avec gossip pubescente et concours de popularité inepte.

    Mais c'est plutôt myope à perdre totalement confiance en une immobilisation qui a une expérience professionnelle de 5 000 ans à cause de quelques années vers le bas.

    2) le prix de l'or perdu près de 5 % après que le gouvernement chinois a annoncé récemment qu'ils possédaient 1 658 tonnes d'or.

    Ce montant était inférieur à ce que de nombreux investisseurs et les analystes s'attendaient, et le prix de l'or a chuté en conséquence.

    Ma question - depuis quand quelqu'un commencent à croire les rapports officiels du gouvernement chinois ?

    Au sérieux. Les chinois ont tout intérêt à sous-estimer leurs réserves d'or.

    (suite en dessous:)

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  51. Ils savent que cela va pousser le prix de l'or est inférieur, qui est exactement ce qu'ils veulent.

    La Chine est assis sur des billions de dollars en réserves dès maintenant, une partie dont ils essayent rapidement de tourner hors de dollars américains.

    Il est donc clairement bénéfique pour le gouvernement chinois s'ils peuvent vendre des dollars alors qu'ils sont forts et acheter de l'or alors que c'est pas cher.

    Et si ils peuvent pousser or à devenir moins cher, même mieux pour eux.

    3) n'oubliez pas pourquoi vous êtes propriétaire d'or dans un premier temps.

    L'or est une valeur stockée à très long terme. Nonobstant quelques ans, or a maintenu son pouvoir d'achat des milliers d'années.

    Monnaies de papier vont et viennent. Ils identifient dévalorisés, réévalués et éteint au total.

    Combien seriez-vous capable d'acheter aujourd'hui avec papier monnaie émise par la dynastie des Tang du VIIe siècle ? Rien. Il n'existe plus.

    Ou une livre sterling de 1817 ? Très peu de choses. Il est aujourd'hui à peine les changement de poche.

    Encore l'or sauvegarde de ce même livre sterling de 1817 est d'une valeur de plus de 250 $ aujourd'hui (165 livres).

    Même dans l'histoire moderne, l'or sauvegarde un seul dollar US de 1971 est une valeur nettement supérieure à la monnaie de papier qui a été imprimée il y a 44 ans.

    Mais plus important encore, au-delà d'être une réserve à long terme de valeur, l'or est une haie— une forme de monnaie qui agit comme une police d'assurance contre un système financier dangereusement endettée.

    Combien vont vos dollars et euros acheter en cas de calamité financière réelle ? Ou s'il y a une panne de défaut ou de la Banque centrale d'importants du gouvernement ?

    Quoi qu'il arrive dans le système financier – il s'effondre sous son propre poids, ou cryptofinance technologie révolutionne la façon dont nous faisons affaires – or garantit que vous êtes protégé.

    4) résister à l'envie d'or de la valeur en papier-monnaie. Nous avons tous cette tendance – nous investir dans quelque chose et puis nous espérons qu'il monte en valeur.

    Mais c'est une erreur d'or. C'est une chose difficile pour certaines personnes à faire, mais essayez de vous arrêter de penser à l'or en ce qui concerne son prix de papier.

    (Il est également important de se rappeler qu'il y a un énorme manque de concordance entre le « prix du livre » d'or et prix de l'or physique.)

    (suite en dessous:)

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  52. N'oubliez pas, l'or n'est pas un investissement ; Il y a beaucoup de meilleures options là-bas si vous cherchez une grande spéculation.

    Si la notion de négociation une pile de papier-monnaie pour l'or, seulement au commerce de l'or pour une pile taller de papier-monnaie manque le point entièrement.

    5) Cela dit, si vous le trouvez trop difficile de le faire, et vous vous surprenez constamment actualiser le prix de l'or et la vérification de votre portefeuille, vous pourriez posséder trop.

    Écoutez votre instinct ; Si vous vous sentez toujours frénétique sur les fluctuations quotidiennes sur le marché, Allégez votre charge.

    N'aime pas tout ce qui ne t'aime pas retour. Rester rationnel. Posséder suffisamment d'or que, en cas de crise, vous vous sentirez confortable que vous avez assez "économies réelles'... mais ne possèdent pas autant que vous êtes constamment inquiétant au sujet du prix du papier.

    http://www.zerohedge.com/news/2015-08-04/some-clear-thinking-about-price-gold

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    1. D'abord, le 'marche' n'a peut-être JAMAIS existé ! Car toutes les transactions ne sont pas répercutées sur les tendances et donc, le prix de l'or est fixé 'à la tête du client' selon les besoins.

      Deuxièmement, l'or n'est pas un investissement ou placement sûr car, compte tenu que son prix n'est pas le reflet du marché il peut donc demain s'afficher à un prix plancher (donc le votre = zéro valeur) et n'être pas achetable en tant que métal puisque de métal: il n'y en a plus et il n'y a que du papier ! (pour 'remplacer' ! Hahahaha !)

      Troisièmement, l'or a toujours représenté une somme de chose, un groupement de valeur, un concentré de richesse qui est facilement... confiscable !

      Quatrièmement, l'erreur la plus grossière a été que son prix ne soit pas le reflet du marché, ainsi, de l'or s'est vendu de tout temps, mais, imaginez que le prix de l'or soit libéré ! et soit donc le reflet réel du marché ! le prix de l'or serait si haut que PERSONNE n'oserait sortir dehors avec une bague au doigt (ou même en cuivre ou plastique doré !!), ou boucles d'oreilles, bracelets, colliers, etc, car: les agressions - comme les attaques à domicile - seraient tellement quotidiennes que ce serait des milliers de morts qui joncheraient les rues ou pouriraient dans des maisons !

      L'or, est la plus grande escroquerie de tous les temps ! Qui vous dit que tel ou tel pays a tant de tonnes d'or chez lui ? Qui ? Les 'huissiers-assermentés-escrocs-premier-choix' ? Hahahaha !

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  53. Fonctionnaires TEPCO à être jugé pour participation à Fukushima Meltdown

    Soumis par Tyler Durden le 04/08/2015 19:10-0400
    Soumis par Andy Tully via OilPrice.com,

    Comité judiciaire des citoyens japonais a annulé les procureurs du gouvernement et contraints à traduire en justice sous l'inculpation de négligence criminelle pour leur incapacité à empêcher la catastrophe nucléaire de 2011 à la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi trois anciens cadres de la Tokyo Electric Power Co. (TEPCO). Mais il semble peu probable que les défendeurs peuvent être déclaré coupable.

    La décision du Comité de 22 citoyens anonymes, a été atteint le 17 juillet mais pas annoncé avant le 31 juillet. Ne pas d'inculper les anciens cadres, il annule deux décisions antérieures par les procureurs de Tokyo. Les défendeurs sont Tsunehisa Katsumata, 75 ans, Président de Tokyo Electric Power Co. au moment de la crise, ainsi que Sakae Muto, 65 ans, Ichiro Takekuro, 69 ans, qui étaient des vice présidents de l'utilitaire.

    Décisions par les procureurs en septembre 2013 et en janvier 2015, a déclaré qu'ils n'avaient pas suffisamment de preuves pour porter des accusations criminelles contre les trois hommes. En réponse, Comité des citoyens ont voté deux fois pour dfaites acte d'accusation les anciens cadres, emporter sur les décisions des procureurs.

    Comités de ces citoyens est devenu un puissant caractéristiques du système judiciaire du Japon après la seconde guerre mondiale afin de lutter contre les abus du gouvernement du pouvoir. Leurs membres sont choisis par tirage au sort et les identités des panélistes sont tenues secrètes. Alors qu'ils sont puissants, ces comités sont rarement utilisées.

    Le Comité a conclu que les trois prévenus n'avait pas pris les mesures nécessaires pour renforcer la centrale de Fukushima Daiichi, située sur la côte Pacifique du Japon et donc vulnérable aux dommages graves si elle ont été frappé par un tsunami dans la région sujette aux tremblements de terre.

    Cette crainte a été réalisée en mars 2011, quand un tsunami du Pacifique a claqué au Japon, causant des destructions massives, y compris ces lourds dégâts à trois des quatre réacteurs de Fukushima Daichi qui ont fondu et ont commencé une fuite de rayonnement. L'accident a forcé l'évacuation de dizaines de milliers de personnes depuis les environs de la centrale.

    La décision était la bonne nouvelle pour les survivants des victimes de la catastrophe. « Nous avions renoncé à l'espoir qu'il y aurait un procès criminel, » a déclaré Ruiko Muto, qui dirige le nucléaire Fukushima catastrophe demandeurs Group, qui représente environ 15 000 personnes, y compris les résidents déplacés par l'accident et leurs partisans. « Nous avons finalement obtenu ce jour. »

    Mais la victoire peut être purement symbolique car la plupart des observateurs juridiques disent qu'il est peu probable que les rigueurs qui affronteront les défendeurs seront poursuivront au-delà de témoigner en public au procès. Il est également peu probable, qu'aucun d'entre eux sera reconnu coupable d'une accusation criminelle parce que les procureurs japonais, avec des taux de condamnation de 99 pour cent, rarement portent des accusations à moins d'être quasiment certains qu'ils peuvent gagner les cas.

    (suite en dessous:)

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  54. Cas imposés par les comités judiciaires de citoyens sont généralement ceux où les procureurs ont conclus n'ont pas suffisamment de preuves pour faire condamner. Un ancien procureur, Nobuo Gohara, dit le New York Times que la quasi-totalité de ces cas mettre fin à des acquittements.

    Par exemple, dans le cas TEPCO, Gohara dit que les procureurs doivent maintenant prouver que les accusés étaient coupables de contrôle criminel de la centrale de Fukushima Daiichi en omettant de prédire l'énorme tsunami qui a provoqué la catastrophe et de négliger de protéger les installations suffisamment.

    En outre, Gohara a dit, il sera extrêmement difficile pour les procureurs de prouver que les effondrements dans trois des réacteurs de la centrale même tué personne. Plusieurs personnes sont mortes tandis que la zone avait été évacuée en 2011, mais la plupart était des personnes âgées qui étaient trop faibles pour être déplacé pendant le chaos du moment. Mais il a souligné que nul jusqu'ici est mort d'un empoisonnement de rayonnement.

    « C'est un cas très inhabituel », a déclaré Gohara. « Les obstacles à la déclaration de culpabilité sont élevés. »

    http://www.zerohedge.com/news/2015-08-04/tepco-officials-be-tried-role-fukushima-meltdown

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    1. (...) Décisions par les procureurs en septembre 2013 et en janvier 2015, a déclaré qu'ils n'avaient pas suffisamment de preuves pour porter des accusations criminelles contre les trois hommes. (...) !!!

      Hahahaha ! 'pas suffisamment de preuves' !! Mettre des tuyaux en PVC dehors non protégés ni montés sur verins ont fait que des gravats sont tombé sur eux et ont empéché l'eau pompée d'arriver aux réacteurs ! Donc: les réacteur se sont asséché et donc ont surchauffé et explosé !

      Faut vraiment être le roi des cons pour ne pas comprendre çà ! Mais... comme TOUTES les centrales nucléaire du monde sont du même modèle... c'est l'omerta qui dirige/juge et relaxe ! Hahahaha !

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  55. 8 Experts financiers qui mettent en garde qu'une crise financière majeure est imminente



    Par Michael Snyder,
    le 4 août 2015


    Y aura-t-il un effondrement financier aux Etats-Unis avant la fin de 2015 ? Un nombre croissant d'experts financiers respectés mettent en garde maintenant que nous sommes au bord d'une nouvelle grande crise économique. Bien sûr cela ne signifie pas que cela se produira. Experts ont été mal avant. Mais sans aucun doute, les drapeaux rouges sautent vers le haut dans tous les sens et les choses font la queue en mode manuel pour une nouvelle crise financière. J'écris cet article, les stocks américains ont diminué de quatre jours d'affilée, le Dow Jones est en baisse de plus de 750 points par rapport au pic du marché en mai et un sur chaque cinq actions américaines est déjà dans un marché baissier. Je m'attends à être extrêmement chaotique des prochains mois, et je suis loin d'être seul. Voici 8 experts financiers qui mettent en garde qu'une crise financière majeure est imminente...

    #1 Lors d'une récente entrevue, Doug Casey a déclaré que nous nous dirigeons vers "une catastrophe d'ampleur historique"...

    "Avec ces gouvernements stupides impression billions et des trillions de nouvelles unités de la devise," dit l'investisseur Doug Casey, "il s'accumule à une catastrophe d'ampleur historique".

    Doug Casey, un investisseur énormément de succès qui est à la tête de l'outfit Casey Research, prévoit pessimistes pour l'économie mondiale.

    « Je ne garde importants capitaux dans les banques, » dit-il à raison magazine rédacteur en chef Matt Welch. « La plupart des banques dans le monde est en faillite ».

    #2 Bill Fleckenstein met en garde que les marchés américains pourrait être dirigé par la catastrophe dans les mois à venir...

    Le vendeur court indiqué Bill Fleckenstein, qui avait correctement prédit la crise financière en 2007, dit qu'il se rapproche à l'ouverture d'un fonds axés sur le court pour la première fois depuis 2009. En attendant, Fleckenstein dit que la totalité du marché pourrait être la position de calamité dans les mois à venir.

    "Le marché est particulièrement sujette aux crash" Fleckenstein déclaré "Fast Money » de CNBC cette semaine. "Je pense que le marché est très fragile en raison de l'à haute fréquence, ETF, beaucoup d'investisseurs de l'élan. je ne pense pas qu'il va être tout porte dérobée indolore. "

    #3 Richard Russell croit que l'ours marché c'est-à-dire venir « va déchirer le système économique actuel »...

    De mon point de vue, c'est la période plus étrange que j'ai traversé depuis les années 1940. Les industriels sont en baisse plus rapidement que les Transports. Si cela continue, à un certain moment que les industriels vont toucher les Transports. Quand cela arrive, je crois sera signalé un marché baissier, comme les industriels et les Transports accélèrent à la baisse.

    Je m'attends à une brève période de hausse des prix qui s'appuiera dans le public amateur de détail. Cette brève pause sera suivie d'un marché historique d'ours qui va déchirer le système économique actuel.

    #4 Larry Edelson est « 100 % confiant » qu'une crise financière mondiale sera déclenchée "dans les prochains mois"...

    "Le 7 octobre 2015, le premier supercycle économique depuis 1929 va déclencher une crise financière mondiale aux proportions épiques. Il apportera de l'Europe, le Japon et les Etats-Unis à genoux, lui envoyer près de 1 milliard d'humains sur un roller-coaster ride grâce à l'enfer pour les cinq prochaines années. A ride comme aucune génération n'a jamais vu. Je suis 100 % confiant il frappera dans les mois à venir. »

    (suite en dessous:)

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  56. #5 John Hussman met en garde que des conditions de marché tels que nous observons maintenant seulement arrivé à quelques moments-clés tout au long de notre histoire...

    Il s'agit en tout état de cause, pas le temps d'être sur le pilote automatique. De regarder les données et vous vous rendrez compte que nos préoccupations actuelles ne sont pas hyperbole ou exagération. Nous n'avons tout simplement pas observé les conditions de marché que nous observons aujourd'hui, sauf dans un petit nombre d'instances dans le marché de l'histoire et ils ont généralement terminé assez mal (voir Lorsque vous ' t Look Back sur ce Moment historique et Tous leurs oeufs dans le panier de Janet pour une discussion plus étendue des conditions actuelles). À mon avis, c'est l'un des moments plus importants dans une génération d'examiner la totalité de votre exposition au risque, la mesure à laquelle vous croyez des preuves historiques sont instructif, votre tolérance pour perte, votre confort ou d'inconfort avec absent dehors sur des éventuels rassemblements même dans un marché surévalué méchamment et votre horizon de placement vrai.

    #6 Au cours d'une récente apparition sur CNBC, Marc Faber a suggéré que les stocks américains pourraient bientôt chuter jusqu'à 40 pour cent...

    Le marché boursier américain pourrait tomber « facilement » de 20 % à 40 %, suivi de près contrarian Marc Faber, a déclaré mercredi, citant une multitude de facteurs, y compris la liste croissante des sociétés de négoce en dessous de leur moyenne mobile de 200 jours.

    Ces derniers jours, "il y avait [aussi] plus en baisse que de faire progresser les stocks, et la liste des 12 mois nouveau plancher était très élevée vendredi," l'éditeur de The Gloom, Boom & Doom rapport dit de CNBC "Squawk Box".

    « Cela vous montre beaucoup d'actions sont déjà en baisse. »

    #7 Dans un précédent article, j'ai noté que Henry Blodget de Business Insider suggère que les stocks américains pourraient bientôt diminuer jusqu'à 50 %...

    Comme les lecteurs réguliers savent, ~ 21 mois j'ai été soucier à haute voix nous le cours des actions. Plus précisément, j'ai suggéré qu'une baisse de 30 % à 50 % ne serait pas une surprise.

    Je n'ai pas prédit un krach. Mais je l'ai dit clairement que, selon moi, les stocks livrera des retours qui sont bien en dessous de moyenne pour les sept à dix prochaines années. Et je ne serai certainement pas surpris de voir les stocks. Alors ne dis pas que personne ne vous averti !

    #8 Egon von Greyerz est encore plus baissier. Il a récemment déclaré roi World News que nous nous dirigeons vers "la destruction richesse historique plus jamais"...

    Eric, il y a maintenant plus problématiques dans le monde, plutôt qu'une situation stable. Aucun des principaux pays de l'Ouest ne peut rembourser ses dettes. Il en va de même pour le Japon et la plupart des marchés émergents. L'Europe est une expérience ratée pour le socialisme et le déficit budgétaire. La Chine est une énorme bulle, en termes de marchés boursiers, les marchés de biens et système bancaire de l'ombre. Le Japon est également un cas désespéré et les États-Unis est le pays le plus endetté dans le monde et a vécu au-dessus de ses moyens depuis plus de 50 ans.

    (suite en dessous:)

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  57. Alors nous verrons la dette de $ 200 billions de jumeaux et implosions dérivés $ 1,5 Billiards. Qui conduira à la destruction de richesse historique plus jamais en stock mondial, avec des marchés obligataires et de la propriété diminue au moins 75 – 95 pour cent. Commerce mondial se contractera également considérablement et nous verrons des difficultés énormes à travers le monde.
    Ainsi ont-ils raison ?

    Nous le saurons bientôt.

    Et bien sûr, ils ne sont pas les seuls avec un mauvais pressentiment de ce qui est en avance. Une enquête récente de Wall Street Journal/NBC News révèle que 65 pour cent de tous les américains croient que le pays est actuellement sur la mauvaise voie.

    En outre, l'indice de confiance économique de Gallup plongé juste au niveau le plus bas que nous avons vu jusqu'en 2015...

    Confiance des américains dans l'économie américaine a chuté fortement, en juillet à son plus bas niveau en 2015, selon une nouvelle qualification nous indice de confiance économique publiée par Gallup mardi.

    "L'indice de confiance économique de Gallup a baissé à une moyenne de — 12 juillet de — 8 en juin. C'est la plus faible moyenne mensuelle depuis octobre dernier et est un écart perceptible par rapport à la moyenne de + 3 en janvier,", a indiqué la compagnie de sondage.

    Gallup a déclaré que « déstabilisé économique » conditions, y compris le tumulte sur les marchés chinois et l'incertitude en Europe au cours d'une partie de la dette grecque, ainsi que la volatilité des marchés boursiers américains sont des facteurs à l'origine plus faible confiance dans l'économie américaine.
    Ces « mauvais sentiments » sont reflètent également dans les données économiques difficiles. Les dépenses des consommateurs américains a baissé pendant trois mois d'affilée, et commandes usine US ont déchu depuis huit mois d'affilée.

    Les numéros sont criant que nous nous dirigeons vers une autre récession majeure.

    Mais serait-ce possible que ce soit juste une autre fausse alerte ?

    Serait-il possible que les optimistes aveugles ont raison et que tout s'arrangera très bien en quelque sorte ?

    S'il vous plaît n'hésitez pas à rejoindre la discussion en postant un commentaire ci-dessous...

    http://theeconomiccollapseblog.com/archives/8-financial-experts-that-are-warning-that-a-great-financial-crisis-is-imminent

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  58. France : la réalité radioactive alpine

    Anthony PITON
    D'ici
    dim., 02 août 2015 04:58 UTC

    La polémique resurgit cycliquement depuis 30 ans après la catastrophe de Tchernobyl : la commission de recherche et d'information indépendantes sur la radioactivité (CRIRAD) a rendu publique une étude portant sur la radioactivité des Alpes. L'association dit ainsi avoir prélevé dans certains échantillons de terre montagneuse une radioactivité dépassant les 100.000 becquerels par kilo, soit des valeurs apparentées à des déchets nucléaires. André Paris dénonce le problème depuis 28 ans. Selon ce spécialiste de ces questions, ces mesures en disent long sur l'importance de la contamination qu'ont connue les Alpes du Sud en 1986.

    - voir clip sur site:

    http://fr.sott.net/article/26131-France-la-realite-radioactive-alpine

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    1. De par leurs reliefs, les montagnes constituent des haies contre la saleté, les poussières volantes et, cette pollution est donc arrêtée par ces élévations. Donc, les particules radioactives n'échappent pas à cette règle élémentaire de s'arrêter où on leur dit !

      Ne vous fiez donc pas à l'effet trompeur du manque d'oxygène en altitude et cette saveur de résine de pins qui flotte dans l'air ! Hahahaha !

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  59. La fin prochaine de la malbouffe industrielle ?

    le 4 août 2015
    par jacqueshenry

    La FDA américaine a finalement admis que les « trans-fat » ou acides gras « trans » apparaissant lors de l’hydrogénation des graisses végétales pour fabriquer par exemple de la margarine qui ne rancit pas sont mauvaises pour la santé. Dans trois ans ces produits industriels contre nature seront définitivement interdits, du moins sur le territoire américain. L’Europe traine encore les pieds car les écologistes dont le rôle devrait pourtant être de se pencher sur ce grave problème s’occupent plus de politique et d’autres sornettes que de la santé des consommateurs. L’EFSA (European Food Safety Authority) publie des documents, certes, mais il semble que la santé des consommateurs ne soit pas sa préoccupation première. Ce sont les OGMs et l’étiquetage des denrées alimentaires qui préoccupe ces fonctionnaires qui au final ne servent pas à grand-chose. On est d’ailleurs étonné de l’inertie de cette administration comprenant une multitude de comités et de « task-forces » dédiées à des problèmes secondaires alors que les vrais sujets sont mis de côté. Et ce n’est pas un hasard car comme la plupart des institutions européennes l’EFSA est soumise au lobbying incessant des géants du secteur agroalimentaire. Aller obliger par une directive administrative un producteur industriel de beurre de cacahuète à ne plus commercialiser que le produit non hydrogéné, il répondra que c’est impossible car en 48 heures son produit sentira tellement mauvais qu’il sera devenu immangeable et il rétorquera au législateur que c’est pour cette raison que le beurre de cacahuète est hydrogéné, peu importe la santé du consommateur.

    L’industrie agro-alimentaire entre les mains de gigantesques multinationales a fait en sorte que le consommateur soit satisfait par un produit quel qu’il soit comme les doughnuts par exemple. Si cette pâtisserie était fabriquée avec des graisses non hydrogénées, beurre ou graisses animales, il faudrait la vendre le jour de sa fabrication or c’est tout simplement impossible ! Des milliers d’aliments industriels préparés avec des acides gras « trans » peuvent séjourner plusieurs jours sur les linéaires des supermarchés et effectuer un retour en arrière pour préserver la santé des consommateurs semble irréaliste tant les habitudes des industriels mais aussi des consommateurs ont rendu ces produits irremplaçables … et il y en a des milliers !

    Et il n’y a pas que les acides gras trans, le cas du sirop de maïs enrichi en fructose est presque caricatural car ce produit est infiniment moins coûteux que le sucre de betterave ou de canne et à l’abri de la fluctuation des cours de ces deux cultures car le maïs est la première céréale en volume produite dans le monde. La production industrielle à grande échelle de sirop de maïs consiste à effectuer des traitements enzymatiques du sucre après hydrolyse acide de l’amidon et il existe deux qualités de sirop, le grade 42 et le grade 55 correspondant aux pourcentages de fructose effectivement présent dans le mélange. Les raisons justifiant cette production industrielle contre nature sont de deux ordres : manipuler un sucre liquide plutôt que cristallisé est plus simple industriellement et le pouvoir sucrant du mélange est 1,5 fois plus élevé que celui du sucre de canne ou de betterave. Or comme pour les acides gras trans qui sont l’une des causes premières d’inflammations en particulier des artères, le fructose est un puissant perturbateur de la régulation de la glycémie, d’une part, et du métabolisme des graisses d’autre part car le fructose ne peut être avantageusement métabolisé que pour la synthèse d’acides gras.

    (suite en dessous:)

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  60. On est devant un cocktail mortel quand une préparation industrielle contient ces deux vrais poisons que constituent les acides gras « trans » et le sirop de maïs pour la plus grande satisfaction des papilles gustatives mais pas du tout pour la santé de l’organisme. L’émergence industrielle des huiles hydrogénées fut favorisée par une campagne publicitaire à la limite de l’honnêteté qui prétendait que les acides gras insaturés étaient nocifs pour les artères, or l’effet des acides gras trans est exactement le contraire de celui dont on incriminait les acides gras insaturés : augmentation des triglycérides et du « mauvais » cholestérol dans le sang ! Il aura fallu exactement 12 ans pour que la FDA et l’EFSA lancent une alerte qui ne sera effectivement respectée qu’en 2018. Combien de personnes sont mortes d’accidents coronariens depuis la fin des années 50 et l’apparition des premières margarines, substituts bon marché du beurre ? C’est une bonne question à laquelle personne n’osera répondre.

    Ce que l’on peut dire de cette histoire est que la science louvoie et oscille entre ce qui semble être deux extrêmes : tout est bon ou tout est mauvais. La science bio-médicale n’est pas une discipline figée mais elle évolue avec la sophistication des moyens modernes d’investigation. La nutrition est devenue une discipline scientifique à part entière et il est donc nécessaire de faire évoluer les (mauvaises) habitudes prises par le consommateur sous l’impulsion implacable du marketing organisé par les industriels de la malbouffe. Le corps médical insiste sur le fait que pour préserver sa santé il faut varier la nourriture et se nourrir modérément mais aussi et surtout revenir à une nourriture plus saine qu’on prépare à la maison avec des ingrédients traditionnels. Bon appétit !

    - voir graphique sur site -

    Note : depuis le début des années 2000 la consommation de sirop de maïs a légèrement diminué aux USA et celle de sucre de table (betterave ou canne) augmenté. Pour ce qui concerne les sirops de maïs (HFCS) cette diminution n’est pas un effet direct des régulations de la FDA mais une utilisation du maïs pour produire de l’éthanol qui est incorporé à raison de 10 % dans de nombreux véhicules automobiles selon les régulations mises en place :

    Source : Science News

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2015/08/04/la-fin-prochaine-de-la-malbouffe-industrielle/

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  61. A Paris, ce n'est plus le propriétaire, mais la ville qui décide du montant des loyers des maisons

    par Mylène Vandecasteele
    05 août 2015

    La loi Alur, une loi qui stipule que les loyers des propriétés en location à Paris et dans d’autres grandes villes françaises sont désormais plafonnés en fonction des loyers moyens constatés sur le secteur sur lequel elles se trouvent, vient d’entrer en vigueur le 1er Août.

    La mesure vise à favoriser l’accès au logement dans les zones où le marché locatif connait un fort déséquilibre, tout en endiguant l’irrésistible ascension des loyers dans ces villes. Selon les organismes officiels, les loyers ont augmenté de 42% au cours des 10 dernières années à Paris.

    Désormais, la capitale française a été découpée en 80 quartiers, et pour chacun d’entre eux, un prix de référence a été déterminé en se fondant sur l'emplacement de l'immeuble locatif, de son âge, du nombre de pièces, et du type de location (meublée ou non). Les loyers de référence se répartissent ainsi dans un éventail compris entre 22 euros et 31 euros par mètre carré. Une prime de 20% peut être appliquée sur ces loyers de référence lorsque le logement en question comporte des fonctionnalités spéciales (un portier, une terrasse avec une vue agréable, etc.).

    Paris n’est pas la seule ville européenne où l’on applique des restrictions de location plus égalitaires. Berlin a elle aussi adopté un encadrement des loyers depuis le 1er juin, et Amsterdam envisage la mesure.

    http://www.express.be/business/fr/economy/a-paris-ce-nest-plus-le-proprietaire-mais-la-ville-qui-decide-du-montant-des-loyers/214918.htm

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  62. Europe contre Etats-Unis: pourquoi l'Europe ne parvient-elle pas à endiguer le chômage de longue durée ?

    par Audrey Duperron
    04 août 2015

    Les chiffres du chômage dans la zone euro, publiés le 31 juillet dernier, sont plutôt positifs : ils montrent que le taux de chômage moyen a reculé, s’établissant à 11,1%, alors qu’il atteignait 12,1% en avril 2013.

    Mais les chiffres du chômage de longue durée (c’est-à-dire d’une durée supérieure à 12 mois) ne sont pas aussi glorieux. Plus de la moitié des 19 millions de chômeurs de l’UE sont sans emploi depuis plus d’un an. Et plus de 15% n’ont même pas occupé un emploi au cours des 4 dernières années. Comment expliquer la persistance de ce chômage de longue durée, alors qu’aux Etats-Unis, il s’est réduit avec la relance de l’économie, et ne représente plus que 20% du total des actifs privés d’emploi ?

    The Economist apporte 4 réponses pour expliquer les différences entre les deux régions dans ce domaine :

    La mobilité géographique : Près de 30% des Américains habitent dans un Etat qui n’est pas celui de leur naissance, alors que seulement 2,8% des Européens se sont établis dans un autre pays de l’UE. Les barrières du langage, les différences culturelles, mais aussi le manque d’équivalence entre les formations entravent la recherche d’opportunités dans une autre nation européenne.

    Les allocations de chômage généreuses : Elles ont tendance à fixer les chômeurs à leur lieu de résidence et à les dissuader de trouver un emploi rapidement. Dans la plupart des Etats américains, les chômeurs perçoivent des indemnités de chômage pendant une période qui n’excède pas 6 mois, alors que dans les pays de la zone euro, ces allocations sont souvent versées pendant plus d’un an.

    Le plus grand nombre d’opportunités de travail aux Etats-Unis : selon l’Organisation du Travail, entre 2008 et 2012, un Européen sans emploi avait une probabilité de 7% de retrouver un travail le mois suivant, alors que pour un Américain, cette probabilité était de 12%.

    L’abandon du marché du travail de milliers de chômeurs américains : C’est l’une des causes de la baisse du taux de chômage aux Etats-Unis. En Europe, c’est le contraire : de plus en plus d’inactifs entrent sur le marché du travail, poussant les chiffres du chômage à la hausse.

    Le chômage de long terme est un problème très grave, d’abord parce qu’il s’alimente lui-même. Plus une personne demeure longtemps au chômage, et moins elle est employable. De plus, plus généralement, le taux de chômage est associé à une baisse du taux de fécondité, et de l’espérance de vie.

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  63. Toutefois, les pays européens sont diversement affectés ; ainsi, l’Allemagne et le Danemark sont parvenus à maintenir au minimum leurs taux de chômage grâce à des programmes de formation, à une réglementation plus flexible du marché du travail, et à leurs efforts dans le domaine de l’éducation. Les pays du Sud de l’Europe, en proie à de graves crises économiques, et de ce fait plus durement affectés par le problème du chômage de longue durée, devraient en prendre bonne note.

    http://www.express.be/business/fr/economy/europe-contre-etats-unis-pourquoi-leurope-ne-parvient-elle-pas-a-endiguer-le-chomage-de-longue-duree/214906.htm

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    1. L'on ne peut comparer les Etats-Unis avec ceux d'Europe pour la simple raison qu'une entreprise peut être enregistrée dans la journée aux USA et dans le mois en Europe et, pire, les cotisations patronales, charges, impôts ont de quoi décourager quiconque cherche un emploi en Europe !

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  64. Le plan d'Obama de tuer des emplois de charbon va coûter $ 2,5 trillions, pour seulement une réduction de 0,1% des émissions de gazcarbonique, et cool du monde par zéro degré


    4 août 2015


    Bienvenue dans l'univers de la fée-terre où nous essayons de contrôler la météo avec nos sources de production d'électricité.

    Nouveau plan d'Obama pour arrêter les tempêtes et la marée pourrait faire aux États-Unis des pauvres par autant que $ 2,5 billions de dollars, mais ne fera pas une différence dans le climat mondial même si il est réalisée (en quelque sorte) et même si la très immature, trop politisé science est "droit" (malgré les preuves). Le plan est pour les Etats-Unis de couper dans l'ensemble électrique émissions de centrale électrique de 32 % d'ici 2030, par rapport aux niveaux de 2005.

    Cet objectif « ambitieux » est purement symbolique. Voici pourquoi. Centrales électriques font 37 % des émissions américaines, qui sont sur un cinquième des émissions humaines mondiales, 4 % des émissions totales de gazcarbonique à l'échelle mondiale. Donc une réduction de 32 % dans les émissions américaines d'électrique se traduira par une coupe de 0,1 % dans le total des émissions mondiales de gazcarbonique (au mieux) *. Si le plan Obama/EPA est « réussi » et si le GIEC sont justes, Paul Knappenberger et Pat Michaels estiment nouveau plan refroidira le monde par un non mesurable 0,02 ° C d'ici 2100 de que Obama.

    Le cas théorique, le meilleur (fantasy) coût

    « L'administration Obama dire il coûterait $ 8,4 milliards par an d'ici 2030, mais a fait valoir que les factures d'électricité réduiraient parce que les gens consomment moins d'électricité et dépendent plus de sources peu coûteux comme le vent et l'énergie solaire. » — AP

    Éolienne et solaires sont les sources « low cost » seulement si nous supposons une percée de paradigme imprévues dans la technologie se produit et se déploie à l'horizon 2030, ou nous entraver la puissance de charbon avec lourdes exigences réalisables d'irréaliste et inutiles comme le piégeage du carbone. Dans le premier cas nous ne devons législation gouvernementale, parce que si cela arrive tout le monde se veut « low cost » solaire et vent. Pour l'instant, éolienne et solaire sont deux haut coûtent de sources électriques et coûtent élevé à la réduction des émissions de carbone trop. Doublement inutile, me direz-vous. En Australie carbone, réduction des émissions par le biais de l'énergie éolienne coûte 50 $-100 $ une tonne, sept fois plus que les autres méthodes. (Seulement quelqu'un qui n'aime pas vraiment l'environnement utiliserait éolienne et solaire. Où tout cet argent va ?)

    NERA Economic consulting estime le prix de l'électricité américaine augmentera de 12 -17 %. La Fondation du patrimoine estime que hausse d'énergie coûts aura un effet de large de l'économie et les Etats-Unis vont perdre $ 2,5 billions en PIB. Choisir cher électricité comme une forme de contrôle du climat global coûtera plus de 1 million d'emplois. [2]

    Actuellement le vent et l'énergie solaire fournit 4,4 % et 0,4 % (respectivement) d'électricité aux États-Unis, comparée à 39 % du charbon. [1]

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  65. Le nouveau plan Obama rend éolienne et solaire plus compétitif en clopinant du charbon. Le plan paralyse effectivement les nouvelles centrales au charbon en les rendant « non rentable ». Si au charbon nouvelle plantes doivent utiliser le piégeage du carbone ou « séquestration », qu'ils n'obtiendront pas encore dans la phase de planification. Carbon capture générateurs de charbon coût 60 % de plus pour construire et ensuite perdre 40 % de l'énergie produite par l'usine de farcir un gaz utile volumineux engrais dans le sol.

    32 % d'énergies renouvelables est un territoire inexploré dans une économie majeure (non nucléaires)

    La situation juridique

    Évidemment la bataille va frapper les tribunaux, emploient beaucoup d'avocats et prendre des années pour résoudre.

    POURSUITES JUDICIAIRES ABONDENT

    Menaces de poursuites judiciaires a commencé d'arriver quelques minutes d'Obama dévoile son plan. Au Texas, Kentucky, Kansas, Indiana et du Wisconsin, pour n'en nommer que quelques-uns, hauts fonctionnaires dit qu'ils combattraient vigoureusement la règle, à l'instar de producteurs d'énergie comme Murray Energy Corp., une compagnie minière.

    Dans l'état de la Virginie occidentale du charbon-lourds, le procureur général Patrick Morrisey prédit que 20 à 25 Etats rejoindraient sa poursuite contre le gouvernement.

    Morrisey « leur fondement juridique est très, très fragile, » dit de l'administration Obama.

    Morrisey fait écho à d'autres critiques en affirmant que Obama a dépassé son autorité en obligeant les étapes par État comme utilisation d'énergies renouvelables et réduit la demande d'énergie. Dit-il en vertu de la Loi sur l'assainissement de l'Air, le gouvernement peut seulement nécessitent des étapes d'une centrale électrique.

    Dans un autre indicateur de la stratégie juridique susceptible, Morrisey cité 10e Amendement de la Constitution qui protège les États contre une intrusion indue par Washington.

    PASSAGE DE TÉMOIN

    Une autre clée menace viendrait du successeur de Obama. En raison de la longue chronologie – États ont 7 ans pour commencer à se conformer, le prochain Président aura suffisamment de temps pour démêler les règles si il ou elle choisit de le faire. Cela signifie que des pierres angulaires de l'héritage présidentiel de Obama repose dans les mains de quelqu'un d'autre.

    Il n'y a plus sur la question juridique du plan de climat de Obama ici. Comme c'est le cas dans toute démocratie malade, il n'est pas sur les dispositions légales, ou de la constitution, autant que les juges ont été nommés par quel type d'homme politique. Qui dirige vraiment le pays ?

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  66. Q: où est la Cour d'appel susceptible de se pencher ?

    A: le sort du règlement repose grandement sur lequel aléatoirement assigné trois juges entend le cas. Jusqu'à récemment, la Cour avait une majorité de juges nommés républicain. Mais Obama a nommé quatre de ses propres candidats ces dernières années et personnes nommées démocratiques sont généralement considérées comme plus favorables à l'action par les organismes gouvernementaux.

    Q: une fois que les recours judiciaires règles, la partie perdante cherchera presque certainement un examen de la Cour suprême. La Haute Cour est susceptible de porter l'affaire ?

    R: les neuf juges de la Cour suprême ont manifesté un intérêt considérable dans le règlement de l'administration Obama air pollution, audition de trois cas au cours des deux dernières années.

    Les décisions ont été mitigées. En avril 2014, la Cour a confirmé un règlement limitant la pollution de l'air à travers les lignes de l'État. En juin 2014, il en grande partie confirmé la capacité du gouvernement à réglementer les émissions de gaz à effet de serre des principaux services publics mais exempter certaines installations que l'Agence a voulu réglementer. Puis, le mois dernier, la Cour a statué contre l'EPA pour sans tenir compte des coûts de conformité lorsqu'il s'installe à limiter les émissions de mercure et autres polluants atmosphériques dangereux, principalement des centrales électriques au charbon.

    Q: quelle est l'issue probable ?

    R: l'industrie avocats disent que la Haute Cour est devenue de plus en plus sceptique de l'élaboration de règles à grande échelle de l'Agence. L'EPA est "à l'extérieur de la barrière" proposition pourrait soulever sourcils parmi les conservateurs de la Cour, qui ont déjà préoccupés par le gouvernement à l'aide de la Loi sur l'assainissement de l'Air comme un outil pour lutter contre le changement climatique.

    Si les gens font ces plans gushingly inepte. Mais il y a une industrie de 1,5 billions de dollars qui dépend de l'ineptie.

    Refroidir à seulement un centième degré,
    Coûte aux Etats-Unis une taxe bizarre,
    Quant à la production d'énergie,
    Avec la réduction de la houillère,
    Du décret de règlement de Obama.

    – Rauiri


    * La réduction de 0,1 % du gazcarbonique mondial est une purement théorique « estimation plus élevée possible ». L'effet US sera moindre si l'Inde ou la Chine produit plus de CO2 (ils prévoient aussi).

    RÉFÉRENCES
    [1 ^] U.S. Energy Information Administration, liste de FAQ: ce qui est production d'électricité aux États-Unis par source d'énergie?

    [2 ^] Nicolas Loris, la Fondation du patrimoine, fiche d'information, 7 juillet 2015. Les nombreux problèmes de la EPA Clean Power Plan et règlements climat.

    http://joannenova.com.au/2015/08/obamas-2-5-trillion-plan-to-kill-jobs-coal-make-a-0-1-reduction-in-co2-and-cool-world-by-zero-degrees/#more-43762

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  67. Comment les globules blancs limitent la régénération musculaire

    5 août 2015

    En supprimant la protéine CD163 de souris, les scientifiques de l'Emory University School of Medicine pourraient stimuler réparation musculaire et la récupération du sang qui coule après une lésion ischémique (dommages causés par la restriction de la circulation sanguine).

    — Les résultats pointent vers une cible pour des traitements potentiels afin d'améliorer la régénération des muscles. La dégradation musculaire se produit en réponse à des blessures ou l'inactivité — au cours de l'immobilisation dans le plâtre, par exemple — et dans plusieurs maladies comme le diabète et le cancer.

    Les résultats sont prévues pour la publication en ligne par Nature Communications le 5 août.

    CD163 était connue des chercheurs, surtout comme une molécule impliquée dans nettoyage hémoglobine excédentaire de l'organisme, mais son rôle dans la régulation de réparation musculaire n'était pas, dit l'auteur principal Aloke Finn, MD, professeur adjoint de médecine (division de la cardiologie) à Emory University School of Medicine.

    Souris dépourvues de CD163 a montré l'augmentation du débit sanguin et de réparer les muscles, par rapport aux témoins, après une blessure provenant d'une restriction du débit sanguin dans une jambe. Examinant les souris dépourvues de CD163, Finn et ses collègues ont été surpris de constater que les vaisseaux sanguins et des fibres musculaires a aussi augmenté considérablement (environ 10 pour cent) dans les jambes pas blessés.

    « Nous avons été surpris », explique Finn. « Pourquoi voulez-vous quelque chose que nous avons fait, qui a causé une blessure à une jambe, aide le tissu dans l'autre jambe régénérer lorsqu'il n'a pas été blessé en premier lieu ? »

    Potentiellement, les chercheurs pourraient tenter d'obtenir l'effet de la suppression des CD163 chez l'être humain en donnant aux patients un anticorps contre CD163, mais plus de recherches sont nécessaires pour savoir comment cela pourrait fonctionner. CD163 niveaux ont été trouvés à augmenter chez l'humain de vieillissement dans plusieurs études.

    Finn et ses collègues ont trouvé que les macrophages, qui sont un type de globules blancs, semblent sortir une forme soluble de CD163 en réponse à une lésion. Dans le sang, CD163 absorbe et neutralise une autre protéine appelée TWEAK, qui stimule les cellules musculaires se multiplier.

    En absence de CD163, TWEAK peut avoir un plus grand effet et apparemment peut stimuler la croissance musculaire éloigné de l'endroit de la blessure. Lorque injectés à des souris normales, TWEAK n'a pas d'effet sur la croissance musculaire, peut-être à cause de la circulation CD163.

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  68. Les scientifiques qui étudient les cellules musculaires ont été intéressés par TWEAK depuis plusieurs années, mais certaines études ont suggéré que TWEAK régule négativement la régénération du muscle - observe le contraire de l'équipe de quel Finn. Pour prouver que le TWEAK était nécessaire pour la réparation supplémentaire vue chez les souris manquant CD163, les chercheurs de Emory ont montré que si ils ont injecté un anticorps contre TWEAK, ainsi désolidarisé du sang, il a éliminé l'activité de réparation supplémentaire.

    "Je pense que nos résultats montrent un mécanisme spécifique par lequel la régénération musculaire a lieu. TWEAK peut être un facteur pro-régénératrice, » Finn dit, "mais ses effets doivent être transitoire et limitée".

    TWEAK est considérée comme la transmission de signaux inflammatoires parce qu'il active un régulateur maître d'inflammation appelée NF-kB. Alors que l'inflammation chronique est mauvaise pour la croissance musculaire, chez les souris manquant CD163, les signaux venant de TWEAK accrue sont utiles pour la régénération.

    « Une lésion ischémique est une situation dans laquelle TWEAK peut stimuler les cellules progénitrices musculaires à proliférer », explique Finn. « Mais si vous avez beaucoup de TWEAK tout le temps, les cellules musculaires ne sais pas quand il est temps de différencier et de maturité. »

    TWEAK a également été montré pour être connecté à des accidents vasculaires cérébraux et la régénération du foie. Finn, affirme que son équipe étudie actuellement les effets de CD163 sur l'athérosclérose.

    http://medicalxpress.com/news/2015-08-white-blood-cells-limit-muscle.html

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  69. Pourquoi nous devrions tous nous soucier de la cybercriminalité


    5 août 2015
    par Mihai Lazarescu, la Conversation



    Dans le monde d'aujourd'hui, la réalité est que tous les individus et organismes reliés à l'internet sont vulnérables aux attaques cybernétiques. Le nombre, le type et la sophistication des attaques continue de croître, comme le rapport de menace publié le mois dernier par le Centre de sécurité de Cyber australien (ACSC) souligne.

    Il n'est pas seulement de grandes organisations qui vivent sous la menace. Même les individus ou les organisations qui ne croient pas qu'ils ont beaucoup à offrir les pirates peuvent être ciblées. Donc même si vous pensez que vous êtes une petite cible, vous pourriez être encore en péril.

    Illusion de confiance

    Groupes et individus malveillants prospèrent sur la collecte d'informations pouvant servir à améliorer leurs stratégies d'attaque. Les pirates sont de plus en plus axée sur les attaques de spear-phishing , qui sont adaptés à des individus, et un peu de renseignements à votre sujet peut être utile.

    Clé pour le pirate est la question de confiance. L'information recueillie est utilisée pour créer un profil de la cible dans le but d'avoir suffisamment de données qui permet au pirate de semblent dignes de confiance pour vous.

    Dans la plupart des cas, le pirate va tenter d'usurper l'identité d'une entité qui est approuvée par vous. Plus d'informations, le pirate a sur vous, plus il est probable, ils seront en mesure de maintenir l'illusion assez longtemps pour atteindre leurs objectifs.

    Les effets d'une attaque réussie varient considérablement, en grande partie fonction de la motivation de l'intrus.

    Pour la plupart d'entre nous, l'usurpation d'identité est susceptible de causer le plus de dégâts parce qu'elle est mal influe sur notre capacité à aller sur notre vie quotidienne normale. Notre cote de crédit est gravement compromise, par exemple. Pour aggraver les choses, le processus d'examen les dégâts causés par une attaque peut être coûteux, chronophages et émotionnellement épuisante.

    Dans d'autres cas, les dommages pourraient prendre la forme d'informations confidentielles, telles que des enregistrements de l'histoire de la médecine, se retrouvent dans les mains des parties malveillants et donc la vous rendre sensibles à différentes sortes de chantage.

    Le site Web de la récente rupture de la Ashley Madison est un exemple typique des renseignements confidentiels concernant des personnes qui pourraient être exploitées par les parties malveillants.

    Votre accès est important pour les pirates

    Mais des informations personnelles spécifiques ne sont pas le seul facteur déterminant derrière les attaques cybernétiques. Souvent, les ressources ou l'accès à d'autres systèmes est l'objectif général.

    Une idée fausse commune tenue par nombreuses personnes et organisations est que si ils n'ont rien de valeur sur leur système, ils ne sont pas susceptibles d'être attaqués. Ou les pirates n'ont rien à gagner en copiant toutes leurs informations.

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  70. La valeur d'informations peut être zéro, mais les ressources sont des denrées précieuses qui peuvent facilement être utilisées de deux façons :

    • pour lancer des attaques plus intensives, répartis sur la cible principale du hacker

    • ils peuvent être « loués » sous la forme de réseaux de zombies aux autres parties.

    Du point de l'autorisation de l'utilisateur, les pirates encore peuvent exploiter les connaissances sur la cible pour tenter d'accéder aux difficiles d'accès des systèmes.

    Nourriture pour la pensée de piratage

    On m'a dit d'un seul cas aux Etats-Unis où les pirates étrangers utilisés les habitudes du personnel d'un organisme gouvernemental (obtenu à partir des frais de crédit) pour lancer une attaque de "trou d'eau".

    Les pirates ont pu facilement compromettre le serveur qui héberge le site Web du restaurant fréquenté par les employés du gouvernement et remplacé les menus PDF originales avec un nouvel ensemble qui avait malware incorporé en eux. Ainsi, lorsque les employés du gouvernement consultaient les menus de leurs machines sûres, ils ont été téléchargement le malware aussi bien.

    Ce sont quelques-unes des façons que pirates peuvent tirer parti des informations recueillies contre les attaques. Malheureusement, le seul facteur limitant est la créativité de l'utilisateur malveillant. Et malheureusement, les pirates sont très créatifs.

    Battre les cyber-attaques

    L'attitude des individus et des organisations doit changer afin d'empêcher les cyber-attaques. Il doit y avoir une compréhension fondamentale que, lorsqu'il est en ligne, tout le monde est un objectif et qu'aucun d'entre nous sont trop petites ou sans importance.

    Il est également essentiel à changer l'attitude de manipulation et de détection d'incident. Seulement, nous pourrons mieux à la partie de défense si nous apprendre de l'expérience précédente, douloureux et coûteux car cela peut être. La raison pour laquelle que nous connaissons certaines des attaques mentionnés ci-dessus est parce qu'ils ont été détectés et étudiés.

    La plupart des organisations ne considèrent pas la gestion d'incident comme une composante essentielle de la cyber-défense. Et tant que cela se poursuit, l'amélioration dans les défenses de cyber sera lente.

    Il doit y avoir un effort concerté pour traiter la cybersécurité au sérieux plutôt qu'un exercice d'audit coûteux. La grande majorité des organisations cherche à la cybersécurité comme une tâche d'observation et ainsi faire le minimum possible atteindre cet objectif.

    De l'industrie de carte de paiement Data Security Standards pour les cartes de crédit est un exemple classique. Il est bon qu'il existe une norme, mais ce qui est dommage est que toutes les organisations essayer de faire le minimum possible de passer la norme vérifier plutôt que de réellement améliorer leur sécurité.

    Au lieu de cela la vue devrait être d'utiliser les exigences en matière de cybersécurité comme un moyen d'améliorer la sécurité globale et ainsi éviter les incidents coûteux et préjudiciables à l'avenir.

    http://phys.org/news/2015-08-cyber-crime.html

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