- ENTREE de SECOURS -



dimanche 10 mai 2015

Graines à pépins

A vrai dire, ce ne sont pas les semenciers qui sont en cause dans le soi-disant 'monopôle' des graines mais seulement le lobbying qui les entourent et des manifestants 'bêtes à manger du foin' qui cherchent à s'accaparer des semences sous la fausse protection que de dire 'c'est pour votre bien' et, d'autre part, d'en saisir eux-mêmes ce dit-monopole afin de priver des agriculteurs du fruits des recherches. C'est exactement ce qui se passe tous les jours dans de faux forums sur (par exemple) le jardinage où - l'Administrateur du site - parle tout seul ou avec seulement un complice sous 50 pseudonymes ! Le but évident est bien-sûr de décourager par tous les moyens les nouveaux acquéreurs de jardins de ville ou de banlieues qui cherchent à développer chez eux le moins cher possible ce qui se trouve aux supermarchés d'à-côté en beaucoup plus cher ! Il en émane donc de faux conseils tous plus salauds orduriers les uns que les autres tandis que d'autres (des faux jardiniers) en vantent et en remercient le site de les avoir si sagement guidés !!
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Qui y a t-il derrière tout çà sinon les supermarchés nazies qui parlent à la fois de faux réchauffement climatique et de ne pas arroser les plantes du jardin car l'eau va bientôt manquer et qu'il faut être 'responsable citoyen' et que 'nos enfants nous maudiront' pour pas dire 'nous assassinerons d'avoir refuser de porter la croix gammée juive ou de n'avoir acheté une coccinelle dessinée par leur chef adoré de la nazional socialiste a.h.'
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Notez que lorsqu'il s'agit de lutter contre quelque chose ils ne s'en prennent pas à telle ou telle semence référencée sous le nom de code ('...') qui serait de ne pouvoir fournir d'explication valide mais plutôt de dénoncer/attaquer LA maison de production (par exemple: Monsanto) pour ses 'découvertes obscures qui pourraient un jour être nuisibles' !! Hahahaha !
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Notez également que ces gens là qui attaquent n'importe qui sans savoir et professent l'abstinence en tout (Hahahaha !) ne sont qu'un nano-groupuscule face à des milliards d'être humains qui comprennent très bien que s'il y a eut (par exemple) un hiver doux dans un pays (par exemple la France) cela ne veut pas dire qu'il y a eu un 'réchauffement de la planète entière' puisqu'en ce même temps, aux USA, (17 fois la superficie de la France), il y avait encore de la neige au sol dans 48 États à la fin Mars 2015 !
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Donc, ils sont loin de se ranger derrière l'idiot-du-village qui n'a même pas su être 'chef d'Etat' durant seulement une minute depuis son élection et, qui se dit être un 'scientifique' à part et au-dessus de celles et ceux qui ont plus d'expérience que lui !!! Hahahaha !
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Notez encore que, dans un pays où les rigoles se marrent, les noyaux se fendent la pêche et les pneus se roulent par terre, il est tout a fait normal que les humains qui en partagent cette atmosphère cherchent à en faire autant !

55 commentaires:

  1. Et si le COP21 déclarait l’énergie nucléaire indispensable pour ne pas griller comme des toasts ?

    le 10 mai 2015
    par jacqueshenry

    Comme je ne lis plus la presse française et que je ne regarde pas non plus la télévision française (ni japonaise d’ailleurs, sauf quand je séjourne à Tokyo chez mon fils et que je regarde à la dérobée des tournois de sumo ou des matchs de base-ball) je me suis posé la question de savoir si ces organes de propagande au service du gouvernement puisqu’ils sont tous peu ou prou subventionnés par l’Etat avec les impôts que paient les contribuables consentants avaient mentionné la déclaration du Congrès International sur l’Avancement des Centrales Nucléaires (ICAPP) qui se tenait à Nice cette dernière semaine. Le résumé tient en une phrase « l’énergie nucléaire constitue une solution clé pour combattre le changement climatique ». Trente neuf sociétés impliquées dans l’énergie nucléaire civile, représentant 50000 scientifiques de 36 pays ont signé cette déclaration qui présente dans le détail leur contribution pour contrecarrer le changement climatique. L’énergie nucléaire ne dégage que très peu de gazcarbonique dans l’atmosphère et il s’agit d’une des solutions pour atténuer le changement climatique. Cette initiative « Nuclear for Climate » a été lancée en été 2014 afin de promouvoir cette énergie avec les autres formes d’énergie peu émettrices de gazcarbonique auprès de l’UNFCCC.

    Qu’est-ce que l’UNFCCC ? C’est aussi une émanation des Nations-Unies (UN Framework Convention on Climate Change) qui promeut et finance les énergies faiblement émettrices de carbone. Outre la SFEN (Société Française de l’Energie Nucléaire, la European Nuclear Society et l’American Nuclear Society, leurs homologues Chinois, Sud-Coréen, Indien, Canadien, Australien, Anglais et Sud-Africain étaient également signataires de cette déclaration. Il a été demandé aux pays participants d’indiquer leur intentions de développement de l’énergie nucléaire. À ce jour seuls les USA et la Chine ont détaillé leurs programmes à venir dans le domaine de l’énergie nucléaire. Le premier novembre prochain l’UNFCCC rédigera un rapport de synthèse qui sera présenté en décembre lors de la COP21 qui se tiendra à Paris sous la présidence plus que probable de Mademoiselle Royal.

    Parlera-t-on de l’énergie nucléaire lors de ce raout mondain largement financé par les contribuables français (il est bon de le rappeler encore une fois) que ces mêmes contribuables vont voir leur facture d’électricité inexorablement augmenter pour financer les moulins à vent et les panneaux solaires Made in PRC et bientôt les batteries d’Elon Musk car qui dit financement et subventions de l’Etat sous-entend naturellement appauvrissement des citoyens. On peut en douter car les sbires de Greenpeace et du WWF (entre autres ONGs), qui sont les principaux instigateurs de ces réunions stériles dont il ne sort jamais rien, sont aussi viscéralement anti-nucléaires. Et tout ce bruit pour finalement rien car ce n’est pas l’homme ni ses activités qui changeront le climat mais la mécanique céleste et l’activité solaire, paramètres auxquels la Terre est soumise depuis des centaines de millions d’années. Le seul bénéfice de toute cette gabegie pourrait être l’isolation thermique des logements pour économiser de l’énergie quand le climat se refroidira comme cela est très précisément prévu par les spécialistes du Soleil.

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2015/05/10/et-si-le-cop21-declarait-lenergie-nucleaire-indispensable-pour-ne-pas-griller-comme-des-toasts/

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    1. Comme le disait et rappelait dernièrement un certain déséquilibré amateur de prostitués, "Ce n'est pas vous qui payez, c'est l'Etat !" Hahahahaha !

      Mais, attention tout-de-même aux 'prédictions' qui 'diraient' qu'il va faire chaud dans les temps qui viennent comme de sous entendre qu'un certain pays pourrait être susceptible de subir prochainement un tremblement de terre 'naturel' (de type 'Fukushima' ?).

      D'où aussi l'idée de rassembler TOUS les americains (320 206 000 hab) sur une surface (de 17 505,24 km²) guère plus grande qu'Hawaii (16 635 km²) pour égaler la performance de Monaco de 18 292 hab./km² !).

      'Prédictions' qui seraient en réalité DES PROGRAMMES établis à l'avance !

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  2. Transition énergétique : warum ?

    Par Michel Gay,
    le 10 mai 2015 dans Énergie

    Les questions en suspens sur la transition énergétique ne manquent pas. Tour d’horizon de ces interrogations qui devraient amener à repenser cette transition.
    Dans la recherche d’une transition énergétique en France pour diminuer notre consommation d’énergies fossiles et nos émissions de gaz à effet de serre, pourquoi («warum ») n’exploite-t-on pas l’expérience de nos voisins allemands qui se sont aussi lancés dans une transition appelée « virage énergétique » (Energiewende) ? Le programme de cette transition allemande prévoit de sortir du nucléaire et de le remplacer par du charbon (essentiellement du lignite, le plus sale des charbons), du gaz, ainsi que par des énergies renouvelables (essentiellement des éoliennes et des panneaux photovoltaïques).

    Pourquoi n’évoque-t-on jamais les problèmes de pollution et les coûts faramineux (bientôt insupportables ?) liés à cette Energiewende ? Estimé, il y a deux ans à 30 milliards d’euros par an sur huit ans, soit 2 000 euros par an et par foyer, le coût total de cette transition énergétique allemande est maintenant revu à 1 200 milliards d’euros !

    Pourquoi ne dit-on pas que l’Allemagne compte installer 24 GW(1) de centrales à gaz et à charbon d’ici 2020 pour compenser l’arrêt du nucléaire ? Elle émet aujourd’hui 9,1 tonnes de gazcarbonique par habitant, à égalité avec la Belgique. En 2020, avec 12 t de gazcarbonique/habitant, elle rejoindra les Pays-Bas, derrière l’Estonie et le Luxembourg.

    Il n’y a pas que l’écologie qui souffre. Les ménages aussi. En 2014, le gouvernement allemand a reconnu que 6,9 millions de ménages vivaient en dessous du seuil de précarité énergétique(2). Ces faits sont largement dus à l’Energiewende. Cette année, les consommateurs allemands devront subventionner l’énergie « verte » du montant astronomique approchant les 30 milliards d’euros, en sus de leur facture d’électricité, au nom de « la répartition des charges des énergies renouvelables ».

    Pourquoi des responsables politiques continuent-ils à prendre l’Allemagne comme modèle dans le domaine énergétique ? Les deux premières compagnies d’électricité d’Allemagne (E.ON et RWE) ne se sont pas remises du brusque arrêt des centrales nucléaires ordonné par Angela Merkel en 2011. Le 11 mars 2015, E.ON a présenté une perte record de 3 milliards d’euros pour 2014. Fin 2014, elle s’est scindée en deux pour pouvoir survivre, isolant ainsi les énergies renouvelables de la production conventionnelle (charbon, gaz, hydraulique). Au total, E.ON, RWE, EnBW et Vattenfall ont supprimé 25 000 emplois ces dernières années(3). Les Allemands sont en train de supprimer des emplois bien réels alors que les emplois « virtuels » prévus ne sont pas là. SMA Solar, numéro un de l’énergie solaire en Allemagne, compte supprimer environ 1 600 emplois, soit le tiers de ses effectifs.

    Pourquoi, à la lumière de ce qui se passe chez nos voisins, laisse-t-on dire que le développement des énergies renouvelables serait source de centaines de milliers d’emplois dans notre pays ?

    Pourquoi dissimule-t-on que, sur les quatre milliards d’euros de déficit d’Areva, 570 millions proviennent d’études et de développement des sources d’énergies renouvelables ?

    Pourquoi ne souligne-t-on pas que les sources d’énergie intermittentes (éoliennes et photovoltaïque) nécessitent d’autres sources d’appoint qui prennent le relais en cas d’absence de vent ou de soleil ? Ces sources sont principalement le gaz et le charbon. Plus la part de ces énergies intermittentes va augmenter dans notre « mix » énergétique, et plus nos rejets de gazcarbonique vont croître.

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  3. Pourquoi exprime-t-on toujours la puissance de ces sources d’énergies renouvelables en valeurs de « puissance installée » et non de kWh produits ? Leur rendement étant faible, cela permet de « hausser » artificiellement la valeur de la fourniture potentielle d’énergie : 9 120 MW(4) en 2014 pour près de 6 000 éoliennes par exemple, donnent un potentiel de production d’électricité d’environ 80 TWh sur une année (8 760 heures) alors que la production réelle n’est que de 18 TWh (de manière variable non pilotée), soit 22% de « facteur de charge », constant depuis des années.

    Pourquoi cache-t-on que la justification principale de l’installation de telles sources d’énergie intermittentes et à faible rendement tient dans les subventions dont bénéficient les exploitants contre toute légitimité économique ?

    Ainsi, les éoliennes installées en France ont rapporté plus de 1,5 milliard d’euros aux constructeurs de machines, payés par le consommateur et contribuable. En 2015, la facture pourrait se situer autour de 2,5 milliards d’euros uniquement pour les éoliennes en France. Idem pour le photovoltaïque qui perçoit l’essentiel des subventions : le « facteur de charge » en 2014 est de 12%, et il ne changera guère sauf découverte miraculeuse toujours attendue. Cette manne prélevée de façon discrète sur nos factures d’électricité ne bénéficie même pas aux industries de notre pays ! Ces éoliennes et ces panneaux photovoltaïques sont fabriqués à l’étranger.

    La France et sept autres pays européens(5) (ne comprenant pas l’Allemagne…) ont appelé à une plus grande souplesse des aides publiques accordées à la filière nucléaire dans une lettre ouverte adressée à la Commission européenne. Cette coalition estime que la filière devrait bénéficier de subventions européennes pour la recherche, l’innovation et le financement de nouveaux projets, au même titre que les énergies renouvelables. Ces pays expriment leur souhait de voir l’énergie nucléaire reconsidérée par l’Europe et reconnue enfin comme une énergie décarbonée indispensable à la lutte contre le changement climatique.

    Pourquoi les médias tentent-ils de nous faire croire que le nucléaire est fini et que l’avenir est d’imiter les Allemands ? En réalité, 436 réacteurs nucléaires sont en activité dans le monde (380 GW) et il n’y en a jamais eu autant en construction (82 réacteurs en 2014 pour 100 GW, dont 42 en Chine). La France ne devrait-elle pas rester dans cette dynamique industrielle ?

    Pourquoi évoque-t-on si peu l’étude de la revue scientifique Environmental Science & Technology (2 avril 2013) qui affirme que l’utilisation de l’énergie nucléaire a permis de sauver 1,84 million de vies de 1971 à 2009. En se fondant sur les scénarios de l’Agence Internationale de l’Énergie Atomique (AIEA), les scientifiques estiment qu’il y aurait entre quatre et sept millions de morts supplémentaires en 40 ans (2010-2050) si l’énergie actuellement produite par le nucléaire était compensée par du charbon. Dans le cas où toute cette énergie serait produite par du gaz naturel, les décès évités iraient de 420 000 à 680 000. La source d’énergie actuellement la plus exploitée au monde reste le charbon sous ses diverses formes.

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  4. Pourquoi ne souligne-t-on pas plus que la France est l’un des meilleurs élèves au monde, et donc en Europe, pour les rejets de gazcarbonique avec 5,7 t de gazcarbonique/habitant ? Seuls deux pays comparables en Europe font légèrement mieux que nous : la Suisse et la Suède dont les sources d’énergie électrogène sont l’hydraulique… et le nucléaire.

    Pourquoi quasiment aucune publicité n’est faite par nos médias sur les excellentes performances énergétiques de notre pays ?

    En mars 2015, la France vient de se placer au troisième rang des meilleurs systèmes énergétiques mondiaux selon le « Global energy architecture performance index 2015 ». Sans surprise, c’est le poids du nucléaire dans le mix énergétique français qui explique le bon classement de l’Hexagone. Notre pays se situe même au deuxième rang mondial sur le critère de développement durable, derrière la Suède. Les énergies décarbonées représentent 51% de l’énergie primaire utilisée en France, dont 42% liées au nucléaire. Ce taux monte à 90% pour la seule production d’électricité. En 2014, celle-ci provient à 75% du nucléaire, à 11,8% de l’hydraulique, à 2,8% de l’éolien et à 0,7% du solaire photovoltaïque.

    Pourquoi faudrait-il cacher l’apport positif de l’énergie nucléaire aussi bien sur le plan économique qu’écologique ?

    Pourquoi les politiques de tous bords font les yeux doux aux « Verts » alors qu’ils n’ont obtenu que 2% des voix aux dernières élections présidentielles et départementales ? Près des deux tiers des Français (63%) ont une mauvaise opinion des écologistes(6). Les Français ne les trouvent ni « courageux » (54%), ni « sympathiques » (50% contre 46%), ni « proches des préoccupations des Français » (68%), ni « compétents » (64%), ni « crédibles » (68%).

    Pourquoi, enfin, n’a-t-on pas suffisamment entendu l’appel suivant(7) de plusieurs anciens ministres, dont Robert Badinter, Jean Pierre Chevènement, Alain Juppé et Michel Rocard ?

    « Nous appelons solennellement les médias et les femmes et hommes politiques à exiger que les débats publics vraiment ouverts et contradictoires puissent avoir lieu sans être entravés par des minorités bruyantes et, parfois provocantes, voire violentes. Il est indispensable que les scientifiques et ingénieurs puissent s’exprimer et être écoutés dans leur rôle d’expertise. L’existence même de la démocratie est menacée si elle n’est plus capable d’entendre des expertises, même contraires à la pensée dominante. »

    Face à l’obscurantisme manœuvrier de quelques écologistes antinucléaires nourris d’idéologie, face à la couardise de certains élus plus soucieux de leur réélection à court terme que de l’intérêt général de la France, il ne reste que l’information du plus grand nombre sur la réalité car, en démocratie, le nombre est une qualité reconnue par les « politiques ».

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    1) GW = GigaWatt = un milliard de watts. Une centrale nucléaire moyenne représente une puissance de 1 GW. ?

    2) Seuil déterminé par un taux d’effort des dépenses en énergie supérieur à 10% des revenus d’un ménage. ?

    3) Cité dans la revue Challenges n°414, p. 41 ?

    4) Source : RTE ?

    5) Royaume-Uni, Roumanie, Pologne, République Tchèque, Lituanie, Slovénie et Slovaquie. ?

    6) Sondage Odoxa. Enquête réalisée auprès d’un échantillon de 1055 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, interrogé par Internet les 2 et 3 avril 2015. Méthode des quotas. ?

    7) Libération du 14 octobre 2013. ?

    http://www.contrepoints.org/2015/05/10/207365-transition-energetique-warum

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  5. La douche : 65 % des Français ne sont plus sensibles aux termes "République" et "valeurs républicaines"

    Sondage exclusif Ifop pour Atlantico. De Manuel Valls à Nicolas Sarkozy, les valeurs républicaines ont rarement été autant invoquées en si peu de temps. A force d'entendre les élites politiques prononcer les mots qui se rattachent à cette notion, une majorité de Français montre des signes de lassitude.

    Publié le 10 Mai 2015

    La première partie de cet article est consacrée au commentaire des résultats du sondage par Jérôme Fourquet, directeur du département opinion de l'Ifop. Vient ensuite l'analyse du politologue Vincent Tournier.

    - voir tableau sur site -

    Atlantico : Dans la première question du sondage, la récurrence des termes "République" et "valeurs républicaines" dans le discours politique actuel est interrogée. Il s’agit de savoir si ces termes touchent encore les Français, or on dirait qu’aujourd’hui leur répétition est un peu usée. Qu’en est-il ?

    Jérôme Fourquet : Effectivement, on a constaté depuis un moment maintenant que le terme de « République », et les valeurs qui lui sont associées, était régulièrement invoqué et utilisé dans le vocabulaire politique. On pense à Manuel Valls, qui à un moment en a fait sa marque de fabrique quand il était place Bauveau et depuis qu’il est Premier ministre, et, plus récemment, à Nicolas Sarkozy qui est allé jusqu’à souhaiter que son parti s’appelle « Les Républicains ». Dans ce cadre-là, il était utile de voir si les Français étaient toujours sensibles à cette terminologie-là, ou si, au contraire, elle était un peu éculée et galvaudée. La question est d’autant plus légitime que la récurrence de ce terme s’est trouvée encore renforcée ces derniers mois suite aux attentats de janvier, avec la fameuse « marche républicaine » et la défense de ces valeurs, avec un consensus républicain contre le terrorisme et pour défendre les valeurs fondamentales, dont la liberté d’expression. On est vraiment dans une séquence où l’on emploie fréquemment ce terme, or force est de constater que pour deux tiers des Français (65%) ces termes ne parlent plus vraiment car ils ont été trop utilisés et ont perdu de leur force et de leur signification. Il n’y a qu’un tiers des Français, même si on peut se dire que ce n’est pas si mal finalement, qui se déclare encore sensibles à ces termes quand les politique les emploient, et qui possède une fibre républicaine très développée.

    - voir tableau sur site -

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  6. Quand on regarde comment cela se décline politiquement, on voit qu’il y a certes des différences, mais que la sensibilité ou l’insensibilité à la thématique républicaine n’est pas fortement structurée par le clivage gauche-droite. Si on prend les sympathisants socialistes, 47% disent que ça ne les touche plus vraiment, contre 53% qui y sont encore sensibles. A l’UMP on a la proportion inverse avec 53% d’insensibles contre 47%. On est sur des différences assez faibles (6 points), bien qu’on bascule d’un côté ou de l’autre de la majorité, avec donc une dimension symbolique importante. Cela veut dire que dans les deux grandes familles politiques aujourd’hui, il y a environ une personne sur deux qui est assez peu sensible à l’usage de ces termes par les politique, et inversement une autre moitié qui garde toujours la fibre républicaine bien chevillée au corps. C’est intéressant parce que l’UMP comme le PS emploient ces termes, or chacun dans leur camp ne touche que la moitié des sympathisants.

    On s’aperçoit ensuite que la moindre sensibilité, du fait du recours à ce terme, est plus forte aux extrêmes : 57% d’insensibilité au Front de gauche, donc 10 points de plus qu’au PS, et 70% au Front national : là on est sur un vrai écart. Au FN, cela peut s’expliquer par le fait que dans cet électorat, quand on entend parler de « République », c’est souvent pour dénigrer ou disqualifier le parti dont on se sent proche, avec par exemple le fameux « front républicain » qui est régulièrement mis en pratique contre le FN dans les élections, ou bien la non-invitation de Marine Le Pen à la « marche républicaine du 11 janvier » car elle est considérée comme hors du cercle républicain. On pourrait multiplier les exemples, notamment avec les déclarations de Valls, du déni de brevet de républicanisme accordé au Front. Cela peut expliquer pourquoi une large majorité d’électeurs frontistes, quand ils entendent ce terme, se montrent insensibles.

    On voit que, hormis pour le Front de gauche et le Front national, les choses ne sont pas vraiment tranchées politiquement. Y a-t-il donc d’autres clivages qui peuvent expliquer cela ? Sur l’âge de la personne interrogée, on voit que ce n’est pas très net, il y a un peu plus de personnes âgées que de très jeunes qui se montrent sensibles, mais sinon dans les tranches d’âges intermédiaires c’est très équilibré, il n’y a donc pas de logique claire. En revanche, il y en a une un peu plus manifeste en termes de catégorie socio-professionnelle : 49% des cadres et professions libérales se disent sensibles à cette thématique, contre seulement 29% des ouvriers et des employés. On retrouve ce que nous avons analysé dans notre livre intitulé « Janvier 2015, le catalyseur », c’est-à-dire que beaucoup de gens des milieux populaires n’ont pas défilé car ils ne sont pas sentis « Charlie », car la série de valeurs présentées comme attaquées ne leur parlaient forcément, contrairement à d’autres CSP. Il y a un clivage qui marche très bien et qui est lié au précédent, c’est celui du diplôme. Si on fait la moyenne d’éducation inférieure au bac jusqu’au bac, on est à 70% de gens qui disent que ça ne les touche plus vraiment, à bac +2 on est à 63%, et dans le supérieur 56%. On voit quand même que plus on est diplômé, plus on est sensible à cette thématique, et inversement. Néanmoins, une fois qu’on a vu ce clivage, il y a quand même un tiers des personnes qui ont un niveau d’éducation inférieur au bac qui y sont sensibles, et inversement 56% des diplômés du supérieur qui se montrent insensibles. Il y a donc une gradation, mais on n'est jamais à 90% contre 10% non plus. En termes de diplôme, comme en termes de CSP ou de proximité partisane, la fibre républicaine est quelque chose d’assez transversal, elle est un peu conditionné par ces éléments mais pas tant que ça.

    - voir tableau sur site -

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  7. Dans les débats politiques contemporains, on observe souvent une tension entre deux concepts : d’un côté la République et son universalisme, et de l’autre les problématiques d’identité nationale. Lorsqu’on demande aux Français laquelle de ces deux idées est la plus importante pour eux, ils sont assez partagés. Faut-il y voir une scission nette dans la société française ?

    Jérôme Fourquet : La deuxième question était « quel terme vous touche d’avantage quand il est employé par les politiques ? ». On voit donc que c’est très clivé, il n’y en a pas un qui l’emporte clairement sur l’autre, avec une avance pour l’identité nationale avec 38%, contre 33% pour la République. Mais, élément non-négligeable, 29% ne se reconnaît ni dans l’un ni dans l’autre, ce qui fait du monde, et qui va à l’encontre de cette opposition binaire. Donc cela illustre également la crise du politique, certaines personnes en ont ras-le-bol que la République soit mise à toutes les sauces, et se tournent vers l’identité nationale, et au-delà de ça, d’autres ne sont même plus raccrochées par l’évocation d’un des deux concepts.

    Ici, on a un clivage qui est beaucoup plus marqué politiquement. Plus on va vers la droite, plus on a tendance à privilégier l’identité nationale. On culmine à 64% au Front national, et à 47% à l’UMP. Cependant, là aussi, un bon quart de l’électorat de gauche se dit plus sensible à l’identité nationale qu’à la République, ce qui n’est pas rien. Si on se concentre uniquement sur l’UMP, désormais appelée « Les Républicains », on voit pourtant que ce qui fait le plus recette est l’identité nationale, avec 47% contre 37%. Il y a ici quelque chose d’intéressant, c’est que Nicolas Sarkozy est sans doute conscient de cette forte attente identitaire qu’il a ressentie dans son électorat, mais que pour pouvoir parle d’identité nationale il doit se distinguer de Marine Le Pen, pour ne pas lui être associé, et doit pouvoir parler d’identité au nom de la République. D’où le choix du nom du parti. Dans son interview au Figaro, Sarkozy annonçait les thématiques futures en disant que la République a « trop reculé » : cela ne veut pas dire qu’elle a trop reculé face aux inégalités sociales, ou à d’autres éléments comme l’inégalité hommes-femmes, mais qu’elle a reculé face au communautarisme, la manifestation de signes d’appartenance religieuse dans l’espace public. Il parle de la République, mais pour, in fine, aller sur le terrain de l’identité nationale, et cela correspond à une attente qui est majoritaire dans son électorat, bien que celui-ci ne soit pas homogène. Il y a davantage de gens sur ce créneau-là que sur d’autres.

    Là aussi, on a un beau dégradé dans les diplômes, et moins on est diplômé plus on est sensible à la question de l’identité nationale. Et plus on l’est, plus on souhaite parler de la « République ». Pour ce qui est de l’âge ou du genre, la différence n’est pas très marquée. Par contre, concernant les CSP, on voit que les cadres et les professions intermédiaires sont les seuls qui souhaitent qu’on leur parle plus de République que d’identité nationale, alors que la bascule devient très majoritairement pour l’identité nationale dans les milieux populaires. C’est intéressant, et cela renvoie encore une fois à notre dernier livre mais aussi à celui d’Emmanuel Todd, car ceux qui ont défilé au nom de la République sont les classes moyennes et classes moyennes-supérieures se disant sensibles à la République, contrairement aux classes populaires se disant sensibles à l’identité nationale, qui ont assez peu manifesté.

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  8. - voir tableau sur site -

    Ces thématiques de valeurs républicaines, de République, étaient vraiment mises en avant dans les années passées. Aujourd’hui, est-on face à un recul irréversible ?

    Jérôme Fourquet : Tant que le discours politique n’est pas régénéré et tourne à vide, c’est une hypothèse qu’on peut faire. En même temps, les évènements de janvier ont un peu régénéré ce sentiment-là. Mais on voit bien que les classes moyennes et supérieures y sont majoritairement plus sensibles, alors que le prisme dominant dans les milieux populaires est celui de l’identité nationale.

    Questions à Vincent Tournier :

    65% des Français affirment ne plus être touchés par les termes "République" et "valeurs républicaines" lorsqu'ils sont employés par les politiques, car ils jugent que ces derniers les ont trop "usés" à force. Doit-on en déduire que ces mots n'ont plus de résonance dans la société ? Qu'ils ne sont plus qu'une coquille vide et que l'idéal issu de 1789 s'est dilué ?

    Vincent Tournier : Ce résultat s’explique d’abord par le manque de crédibilité de la parole politique. Les électeurs sont devenus très méfiants. Il faut donc s’attendre à ce qu’ils soient encore plus sceptiques lorsque les responsables politiques font appel aux grands principes.

    Mais il faut aussi tenir compte du fait que, au fil du temps, le terme de République a perdu de sa substance. Que signifie-t-il aujourd’hui ? Qui est en mesure de dire aujourd’hui à quoi correspondent les valeurs républicaines ? Les notions sont assez floues. Cela tient notamment au fait qu’il n’y a plus de conflit sur la nature républicaine des institutions. La République est devenue une notion consensuelle : tout le monde ou presque est républicain, que ce soit à gauche ou à droite. Il n’en a pas toujours été ainsi : autrefois, la République polarisait les clivages. Mais trois moments ont permis à la République de l’emporter : le ralliement des catholiques à la fin du XIXème siècle, l’Union sacrée de 1914-1918 et le discrédit du régime de Vichy. La Vème République a achevé cette évolution en instaurant une « monarchie républicaine », ce qui a eu pour effet de rendre définitivement obsolètes les prétentions du courant monarchiste. D’une certaine façon, la République est victime de son succès. La contrepartie de ce succès, c’est que la notion n’a plus beaucoup de sens. Elle fait désormais partie du décor, du patrimoine culturel. C’est une référence que l’on mobilise rituellement dans les discours. Cela dit, le fait que celle-ci se retrouve aujourd’hui de nouveau dans le débat politique, avec notamment le changement de nom à l’UMP, n’est pas sans signification.

    Aujourd'hui il n'y a plus une thématique globale que peuvent utiliser les politiques pour toucher tous les Français. En effet un tiers se dit sensible à la thématique républicaine, un tiers à celle de l'identité, le dernier tiers ne sait pas. Doit-on voir ici la totale dévaluation du langage des politiques ou bien la disparition pure et simple d'une idée capable de mobiliser le pays entier ?

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  9. Vincent Tournier : La question du sondage n’est pas très claire. Elle demande si les responsables politiques « touchent davantage » lorsqu’ils parlent de l’identité nationale ou de la République. Que signifie « toucher davantage » ? Je remarque d’ailleurs que 29% des personnes interrogées n’ont pas donné de réponse, ce qui est le signe que cette question n’est pas bien formulée.

    Il y a quand même un résultat intéressant : les sympathisants de droite se disent plus sensibles à l’identité nationale, tandis que les sympathisants de gauche réagissent plus volontiers à la République. Cela semble indiquer que les anciens clivages n’ont pas totalement disparu : la dimension identitaire est plus présente à droite, alors que la gauche privilégie plus facilement les principes ou les valeurs. On voit aussi qu’il y a toujours un vieux fond anti-républicain chez les sympathisants du Front National qui continue de le différencier des autres électorats.

    Néanmoins, je suis frappé par la proportion importante de sympathisants de gauche qui se disent sensibles à l’identité nationale : 28% au Front de gauche et 27% au Parti socialiste. C’est loin d’être négligeable, surtout après les polémiques sur le « ministère de l’identité nationale » créé par Nicolas Sarkozy au début de son quinquennat. Cet intitulé avait fait l’objet d’un puissant rejet de la part des intellectuels et des journalistes de gauche. On pouvait donc s’attendre à ce que cette formule constitue un repoussoir. Or, ce n’est pas le cas. Faut-il en conclure que l’on assiste à un regain d’intérêt pour l’identité nationale, dans un contexte de crainte face à la mondialisation ? Il faut être prudent car la nation reste peu valorisée dans l’opinion publique. Néanmoins, le dernier sondage IPSOS sur les fractures françaises indique que la volonté de protéger la France face à la mondialisation l’emporte sur le désir d’ouvrir davantage le pays avec un rapport 60/40.

    Doit-on voir dans ces évolutions de la perception de la thématique républicaine par les Français le résultat de certaines manœuvres entreprises par les partis politiques ? Ou bien un processus plus large ?

    Vincent Tournier : La question est : pourquoi Nicolas Sarkozy décide-t-il d’appeler son parti « Les Républicains » ? Il y a certainement une part de communication dans ce changement. Toutefois, la mise en avant de la thématique républicaine renvoie à une logique plus profonde. Ce que l’on voit se dessiner depuis quelques années, c’est un basculement de la laïcité de la gauche vers la droite. Rappelons par exemple que c’est la droite qui a adopté la loi de 2004 sur le voile à l’école, ou celle de 2010 sur la burqa, alors que la gauche a refusé de légiférer en 1989 et qu’elle s’est abstenue sur la burqa en 2010. Cette évolution se poursuit aujourd’hui parce que la gauche est gênée par la laïcité. On ne compte plus les tribunes et les ouvrages qui essaient d’expliquer que la laïcité constitue un problème parce qu’elle ne permet pas d’assurer la pleine reconnaissance du culte musulman. Certains vont même soutenir que la laïcité est une forme de racisme, comme le fait Emmanuel Todd dans son dernier livre.

    Du coup, la laïcité se trouve en déshérence idéologique, alors même qu’elle est plébiscitée par l’opinion publique puisque, d’après le sondage IPSOS cité précédemment, 74% des Français jugent que la laïcité est en danger.

    (suite en dessous:)

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  10. Faiblement défendue par les intellectuels, hormis ceux qui sont considérés comme des « néo-réac », la laïcité peut donc aisément être récupérée par la droite, voire par le Front National. Certes, la droite gouvernementale n’est pas très à l’aise avec la laïcité parce que celle-ci ne fait pas partie de son logiciel politique. Il y a d’ailleurs des tiraillements, par exemple lorsque Benoist Apparu, un proche d’Alain Juppé, dénonce un « totalitarisme laïcard ». Mais le pari de Nicolas Sarkozy est que, en jouant cette carte de la République et de la laïcité, il va pouvoir récupérer une partie des électeurs frontistes. Cette stratégie va sans doute faire fuir une partie des électeurs centristes, mais il sera toujours possible de les faire revenir avec un programme libéral sur le plan économique.

    Naturellement, cette tentative de captation de l’héritage républicain fait hurler la gauche. L’appellation « Les Républicains » a été violemment dénoncée par des personnalités comme Jean-Louis Bianco, l’actuel président de l’Observatoire de la laïcité, qui a annoncé qu’il allait engager une procédure judiciaire. C’est assez ironique quand on se rappelle que celui-ci est à la tête d’une institution qui a eu pour mission d’enterrer les propositions jugées trop laïques de l’ex-Haut conseil à l’intégration, notamment l’interdiction du voile à l’université. Dès sa nomination à la tête de l’Observatoire de la laïcité, Jean-Louis Bianco s’était d’ailleurs empressé de déclarer « La France n’a pas de problème avec sa laïcité » (Le Monde, 26 juin 2013). En somme, la gauche se plaint d’être doublée par la droite, alors qu’elle a elle-même déserté le terrain de la laïcité. Mais cela se comprend : il existe à gauche un pôle laïque encore très vivace, par exemple chez les Radicaux de gauche, qui reproche au Parti socialiste de renoncer à ses valeurs. La stratégie de Nicolas Sarkozy gêne la gauche parce qu’il la place face à ses propres contradictions. En somme, il fait coup double : d’un côté il peut espérer capter l’électorat frontiste, de l’autre il sème la zizanie au sein de la gauche.

    http://www.atlantico.fr/decryptage/sondage-65-francais-ne-sont-plus-sensibles-aux-termes-republique-et-valeurs-republicaines-jerome-fourquet-vincent-tournier-2134825.html

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    1. Notez que, quand on voit (tous) avec quelle merde est associé la République (depuis qu'elle existe), qui ne s'appelle plus 'démocratie' depuis belle lurette mais plutôt dictature/mensonges/escroqueries/ruine/guerres à l'étranger, s'il était proposé le mot 'Liberté' ou 'Libertaire' c'est 100% des interviewvés qui répondraient 'OUI'.

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  11. Trevor Loudon: Obama faux certificat de naissance; Grande escroquerie du 21e siècle -

    - voir clip :

    https://www.youtube.com/watch?v=t70DvoQ2bRE&feature=youtu.be

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  12. Ex-NSA bod de sécurité fanboi: Apple Mac sont grandes ouvertes aux malwares
    "J'adore les produits Apple, je souhaite juste qu'ils soient en sécurité »

    7 mai 2015 à 11:58,
    John Leyden

    Un ancien employé de la NSA se tourna chercheur en sécurité prévient que contournant les outils de sécurité X typiques OS est trivial.

    Patrick Wardle, un ancien employé de la NSA et la NASA stagiaire qui dirige maintenant la recherche au sein du cabinet de renseignement de sécurité crowd-sourced SynAck, a constaté que la technologie défensive Gatekeeper d'Apple peut être contourné en permettant code non signé à exécuter. L'utilitaire d'Apple Gatekeeper est pré-installé dans Mac OS X et PC utilisé pour vérifier le code. L'outil est conçu de telle sorte que par défaut il ne permettra code signé pour courir ou, en fonction des paramètres que seuls les paquets du Mac App Store.

    Intégrés dans les mécanismes d'Apple - Gatekeeper, XProtect anti-malware, sandboxing et les exigences de signature de code noyau - sont "facile de se déplacer" et "trivialement exploitable", selon M. Wardle.

    Wardle a dit qu'il a travaillé en étroite collaboration avec les équipes internes de sécurité d'Apple les décrivant comme "sensibles" tout en notant l'entreprise plus large de l'électronique de consommation devait encore adopter une culture où «la sécurité globale est cuit dans leurs systèmes de X OS» dès le début. En revanche pour OS X , iOS a la sécurité solide cuit dans, selon Wardle.

    Une prime de bug d'Apple - le long des lignes de dispositifs mis en place par Google, Microsoft et bien d'autres - serait bénéfique, selon Wardle dont la firme SynAck aurait tout à gagner d'un tel système. "Produits Google ont eux-mêmes, deviennent plus sûr en raison des primes de bugs," dit M. Wardle. "Leur introduction semble être une évidence."

    Au cours de ses recherches Wardle également trouvé un moyen de contourner correction récente d'Apple pour le "rootpipe« vulnérabilité d'élévation de privilèges dans OS X. Wardle également codé sa propre malware pour voir si une variété de tiers anti-malware pourrait le détecter . Ils ont tous échoué.

    El Reg rattrapé Wardle, après une tournée bien accueilli la présentation de sa recherche qui l'a emmené à infiltrer à Miami et la conférence RSA à San Francisco le mois dernier. Il a expliqué qu'il espérait que son discours de Infiltration, intitulé Rédaction Bad @ ss OS X Malware ( pdf ), serait encourager les défenseurs Mac pour leur jeu.

    "L'état de OS X malware est amateur, même de base," Wardle dit El Reg . "Il repose sur des mécanismes de persistance trivialement détectables et généralement ce sont les utilisateurs qui infectent via astuces d'ingénierie sociale comme l'offre« libres [mais infectés] copies de PhotoShop '. "

    Malwares Mac restent mesurables dans les centaines ou des milliers. Mac de bureau développeurs antivirus peuvent détecter la plupart des méchants là-bas, même si elles restent mal préparés pour le type des Etats-nations avancées des logiciels malveillants pourraient être en mesure de mettre sur pied, selon Wardle.

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  13. "[AV anti-virus] développeurs semblent se reposer sur leurs lauriers", a expliqué M. Wardle. "Par exemple, anti-virus Windows offre heuristique et analyse comportementale de l'exécution, mais Mac ne peut pas."

    Jusqu'à récemment, tous les logiciels de sécurité Mac téléchargés sur des connexions HTTP non chiffrées, se fondant sur Garekeeper pour la vérification de code. Parce que Wardle a découvert un moyen de contourner Gatekeeper, cela ouvre la porte à l'homme-dans-le-moyenne ou d'autres attaques.

    "Plus les attaquants de pointe, tels que les États-nations, seraient en mesure de voir un téléchargement en cours avant d'injecter du code dans les téléchargements légitimes", a expliqué M. Wardle.

    Apple pourrait tiens à verrouiller Mac et «imposer plus de contrôle de code tiers" mais cela est plus difficile d'imposer sur les systèmes de bureau que sur les smartphones et tablettes sous iOS, selon Wardle.

    Interrogé pour savoir si il craignait que sa recherche pourrait être de donner méchants idées qu'ils avaient pas pensé d'eux-mêmes, Wardle justifié son travail.

    "Adversaires avancées sont probablement déjà faire ces choses», at-il dit, ajoutant à titre d'exemple l'Rootpipe zero-day vulnérabilité d'exécution privilégiée [CVE-2015-1130) qui - une fois divulguée publiquement - a ensuite été trouvé dans OS X malware qui a précédé la vulnérabilité soit rapporté à Apple.

    Depuis Wardle abord publié ses recherches certains fournisseurs ont opté pour plus de téléchargements (https) des connexions sécurisées.

    "I love produits Mac. J'ai un iPhone et iPad et je veux qu'ils soient en sécurité," a t-il dit, ajoutant qu'il avait publié un ensemble d'outils logiciels gratuits pour sécuriser Mac, disponible à objective-see.com .

    Un autre problème est que le bureau OS d'Apple permet des applications non signées localement à courir. Une fois que les pirates ont compromis une machine qu'ils peuvent prendre un binaire signé et ajouter leur propre code avant de re-signer.

    "OS X ne détecte pas qu'une application qui sert à être signé est plus signé," et permet encore à courir, Wardle expliqué.

    OS X est également vulnérable aux attaques dynamiques bibliothèque de détournement, par abuser de fonctionnalités sans-papiers de chargeur dynamique de OS X. Cette nouvelle classe d'attaques - semblables à beaucoup plus établies attaques de détournement de DLL dans Windows - donne un autre moyen pirates pour attaquer Mac.

    La recherche de Wardle a également couvert l'utilisation possible de cryptés Mac binaires malveillants et des techniques de furtivité rootkit-like, comme expliqué beaucoup plus en profondeur dans les diapositives de sa présentation RSAC ici ( pdf ). ®

    http://www.theregister.co.uk/2015/05/07/mac_malware

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  14. Ne vous attendez pas surveillance de NSA pour mettre fin de sitôt

    par Jon Dougherty
    8 mai 2015

    • Si les pouvoirs qui se veulent la surveillance de continuer, elle va continuer parce que la justification légale et constitutionnelle priorité restent intacts

    Jeudi Cour d'appel fédérale a statué que la NSA s gros collection de téléphone et l'Internet américains communications en fait n'est pas autorisée par la USA Patriot Act controversées, comme les administrations actuelles et antérieures ont fait valoir.

    Tel que rapporté par le Wall Street Journal :

    La décision augmente considérablement la pression sur le Congrès pour apporter des changements significatifs — ou à la fin pure et simple — le programme de surveillance. Les juges ne s'est prononcé contre le programme de téléphone, mais vivement critiqué bon nombre des théories juridiques sur lesquels le gouvernement américain a construit sur ses capacités de surveillance depuis les attentats terroristes de 2001.

    Les Obama et Bush White Houses ont utilisé le Patriot Act, en partie, à l'Agence d'espionnage supérieur de la nation avec la collection de presque chaque appel téléphonique fait aux États-Unis et ensuite entrer ces informations dans une base de données pour rechercher des contacts possibles entre les terroristes potentiels de tâche. Le programme de la NSA rassemble les métadonnées concernant des dossiers dont les nombres sont appelés, à quelle heure ils sont appelés, et combien de temps les appelle enfin, mais pas le contenu réel des conversations.

    Mais les deux administrations ont aussi justifié la collecte des données sous l'Article 2 d'un Président, pouvoirs Sect. II, commandant en chef des forces armées. Plus sur cela dans un instant.

    Tout d'abord, l'objet à portée de main – programme de la NSA et la Cour au pouvoir.

    Américains appris en décembre 2005 par le New York Times, que W. Président, George Bush, peu après les attaques du 11 septembre, a rendu une ordonnance secrète multitâche de la NSA à espionner des appels téléphoniques des américains, y compris ceux qui a pris naissance aux États-Unis (avant, la NSA portait principalement sur les communications étrangères , par son mandat fondateur) – et, surtout, sans un mandat de perquisition de la très secrète Foreign Intelligence Surveillance Act Cour (FISA).

    Une grande partie du programme est resté intacte, même après que qu'il a été révélé dans les bulletins de nouvelles, bien qu'en 2006, l'administration Bush, cherchant à donner un programme plus fermes juridiques d'égalité, il est placé sous l'autorité de la Cour de la FISA. Cependant, comme nous avons appris en 2013 d'ancien entrepreneur NSA Edward Snowden, programme de collecte de données de l'Agence est devenu très envahissant.

    Qu'une formation de trois juges fédérale à New York gouverneraient maintenant que les programmes sont illégaux en vertu des dispositions du quatrième amendement est importante pour deux raisons.

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  15. D'une part, les tribunaux fédéraux ont historiquement été retenues pour le Congrès et l'exécutif sur les questions relatives à la sécurité nationale. Juges, comme la plupart de membres du Congrès, ne veulent pas être considéré comme responsable de la lutte contre le pouvoir du gouvernement de protéger la nation. En outre, la plupart des juges fédéraux ne se croient en tant qu'experts de la sécurité nationale (et en général plus ne sont pas – même ceux choisis pour siéger pour un mandat unique de sept ans à la Cour FISA). En effet, un tribunal fédéral avait déjà jugé le programme de collecte de données constitutionnel.

    D'autre part, la décision intervient à un moment précaire dans l'histoire de la Patriot Act : ce sont des dispositions plus controversées, ceux énoncés dans les art. 215 – l'article cité par le Bush et Obama les administrations comme leur donnant le pouvoir de mener les programmes de surveillance – doivent être renouvelées. Si le Congrès n'agit pas, alors ces dispositions expirera le 1 juin.

    Si le Congrès agit pour modifier art. 215, alors il est probablement que l'espèce simplement meurt sur la vigne. Si le Congrès n'effectue pas ces modifications et renouvelle la Loi comme-est, puis le courant sera probablement trouver son chemin à la Cour suprême des États-Unis, comme les programmes de surveillance continuent.

    Si que se passe-t-il et que la Cour suprême se prononce le programme de collecte de données généralisée inconstitutionnel, elle ne pourrait toujours pas finir.

    Pourquoi ?

    D'une part, c'est parce que la Constitution n'a jamais été claire sur les limites du pouvoir présidentiel en temps de guerre, comme a été débattue par les chercheurs principaux et les législateurs. Abraham Lincoln fut le premier à prouver que .

    Mais rappelons aussi, que la « guerre contre le terrorisme, » qui a commencé avec le 2001 autorisation de recours à la Force militaire reste en vigueur ; que la législation n'a pas été abrogéeet c'est la loi qui a été utilisé à plusieurs reprises par les administrations Bush et Obama comme justification du programme de Surveillance du Président.

    Congrès peut choisir en vue de réviser controversé Sect. 215 du Patriot Act comme une concession à la pression du public et de la décision de la Cour fédérale actuelle (bien que des témoignages affirment que la législation, la Loi de la liberté USA, remplacement prétendue renouvelle vraiment juste surveillance généralisée) ; ou, si non, la Cour suprême peut éventuellement abattre il comme une violation du quatrième amendement.

    Mais sans un coucher de soleil ou de l'abrogation de l'AUMF, ou une éventuelle décision de justice concernant guerre des pouvoirs d'un Président, ne vous attendez pas des programmes de surveillance intérieure de la NSA s'en aller n'importe quand bientôt.

    Le point est, si les pouvoirs qui se veulent la surveillance de continuer, il continuera parce que supplémentaires réclamés justification légale (et, éventuellement, priorité constitutionnelle) restera intacte par l'intermédiaire de l'AUMF – et qu'acte législatif est pas considérée par le pouvoir judiciaire et probablement pas à jamais être.

    Jon E. Dougherty est le rédacteur en chef de droits absolus. Sa biographie est ici:

    http://absoluterights.com/dont-expect-nsa-surveillance-to-end-anytime-soon/

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  16. Nouvelle recette chimique pour stocker l'énergie solaire, relâchez-la sous forme de chaleur, comme pour la création de vapeur

    Anthony Watts
    8 mai 2015
    De la Faculté des sciences – Université de Copenhague
    Étudiant de chimie avancée de récolte de soleil

    (via Eurekalert) Le soleil est une énorme source d'énergie. Dans juste planète d'une heure que terre est frappée par le soleil tellement que l'humanité pourrait couvrir ses besoins énergétiques pendant une année entière, si seulement nous savions comment le récolter et le conserver. Mais entreposer le soleil n'est pas négligeable. Maintenant, l'étudiant au département de chimie, Université de Copenhague a étudié son chemin à une percée qui pourrait s'avérer cruciale pour les technologies essayant de capturer l'énergie du soleil et en l'enregistrant pour un jour de pluie.

    Anders Bo Skov a récemment commencé à étudier pour sa maîtrise en chimie à l'Université de Copenhague. Avec son superviseur, Mogens Brøndsted Nielsen, il publie le livre "Vers Solar Energy Storage dans le photochromique Dihydroazulene-Vinylheptafulvene système" dans le journal «chimie – A European Journal».

    Professeur Brøndsted est chargé de « Centre pour l'Exploitation de l'énergie solaire" à l'Université de Copenhague. Ici son équipe tente de développer des molécules capables de récolte et tenant des quantités substantielles d'énergie solaire, stocker des quantités importantes de temps et relâchez-le sur demande. Malheureusement une année de recherche leur avait montré quelque chose qui prenait la forme d'une loi pénible de la nature. La capacité des molécules de contenir l'énergie semble améliorer, la capacité de le conserver au fil du temps est passée ; et vice versa.

    Le groupe travaille avec des molécules, connus comme le système de Dihydroazulene-Vinylheptafulvene. Mettre très simplement ce magasins énergie en changeant de forme, mais chaque fois que le groupe Brøndsted a réussi à la conception améliorée des molécules, les molécules perdu une partie de leur capacité à maintenir leur forme « stockage de l'énergie », dit le professeur Brøndsted.

    "Peu importe ce que nous avons fait pour l'empêcher, les molécules modifieraient leur forme arrière et libéreraient l'énergie accumulée après seulement une heure ou deux. Anders fut qu'il a réussi à doubler la densité d'énergie dans une molécule qui peut contenir sa forme pour une centaine d'années. Notre seul problème maintenant est comment nous obtenons à la libération de l'énergie à nouveau. La molécule ne semble pas vouloir changer sa forme retour encore une fois", sourit Mogens Brøndsted.

    Au cours de son baccalauréat en études Anders Bo Skov ont quatre mois pour améliorer la molécule instable de Brøndsted pour son projet de baccalauréat. Et il l'a fait dans l'entaille du temps. Chimie ressemble beaucoup à la cuisson. Aucun pain n'est susceptible de sortir du four, si, par exemple, la farine disparaît alors que la pâte se révèle. En utilisant cette analogie, "Pain" de Skov a persisté en disparaissant entre ses mains. Les molécules qu'il travaillait avec qui sont instable.

    "Ma 'recette' chimique a exigé quatre étapes de synthèse afin de travailler. Les trois premiers étaient un morceau de gâteau. Je les avais travail dans un mois. Obtention de la dernière étape dans l'ordre m'a fallu trois mois", raconte Skov.

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  17. Quelle que soit la méthode, lorsque vous stockez énergie il y a une limite théorique à la densité d'énergie... Et puis, il y a réalité. En théorie un kilogramme des molécules droite pourrait stocker un Mégajoule d'énergie si elles étaient parfaitement conçues. Avec cette quantité d'énergie, vous pouvez chauffer trois litres d'eau de la température ambiante jusqu'à ébullition.

    Un kilo de molécules de Skov peut bouillir seulement 75 centilitres, mais il fait cela en trois minutes. Cela signifie que ses molécules pourraient faire bouillir 15 litres d'eau par heure et Skov ainsi que son superviseur sont convaincus que c'est juste le début.

    « Réalisations Anders constitue une avancée importante. Il est vrai que nous n'avons pas une bonne méthode pour libérer de l'énergie à la demande, et nous devrions augmenter la densité d'énergie plus loin encore. « Mais maintenant, nous savons quel chemin prendre pour réussir », dit un professeur visiblement enthousiaste, Mogens Brøndsted. Skov est trop excité : surtout parce que ses molécules sont durables sur des niveaux plus que juste une évidente. Non seulement ils ne récoltent les énergie solaire durable. Ils sont également totalement non-toxique, il se rapporte.

    "Quand il s'agit de stocker l'énergie solaire vient de notre plus grande compétition de batteries lithium-ion et lithium est un métal toxique. Ma molécule libère ni gazcarbonique, ni tout autre produit chimique des composés tout en travaillant. C'est « La lumière du soleil en-power out ». Et quand la molécule porte un jour il se dégrade à un colorant qui est également présent dans les fleurs de camomille", explique l'élève de maîtres.

    Malgré toutes les frustrations dans la rubrique moyens, Skov est devenue tellement excitée au sujet de son projet de baccalauréat qui il l'a apporté avec lui dans le programme de son maître. Étudiants en Master normalement vont commencer le programme en suivant des cours pendant un an, avant d'aborder la recherche de leur thèse. Skov en revanche juste resté dans le laboratoire après son projet de baccalauréat. Il est affilié avec le centre d'Exploitation de l'énergie solaire afin de poursuivre ses idées pour peaufiner la molécule soleil-catcher. Maintenant, il veut à la libération de l'énergie à la demande. Et l'étudiant 25 ans déborde d'idées pour la construction d'une telle molécule conforme.

    http://wattsupwiththat.com/2015/05/08/new-chemical-recipe-to-store-solar-energy-release-it-as-heat-such-as-for-creating-steam/

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  18. Ce qui en Californie pourrait apprendre d'Australie comment faire face à la sécheresse

    Maxwell Tani
    8 mai 2015, 21:59

    La Californie fait face à une des sécheresses des plus mauvaises. Alors que les législateurs de l'état ont du mal à trouver des solutions à long terme à la pénurie d'eau, certains experts affirment qu'un pays est déjà un modèle parfait pour la Californie à suivre : l'Australie.

    Gouverneur de Californie Jerry Brown a récemment annoncé les premier mandataire de l'état de l'eau des restrictions, exigeant que les personnes et entreprises à l'échelle de légèrement en arrière son utilisation.

    Mais les petites mesures suffiront probablement pas à étancher la soif de l'État. Californie utilise environ 38 milliards de gallons d'eau par jour, et s'est avéré que c'est terrible à la réalisation des objectifs de l'eau. L'État a annoncé ce mois-ci qu'il avait à nouveau échoué à atteindre ses objectifs de restriction volontaire de l'eau.

    Heureusement pour les californiens, il y a un modèle à travers le Pacifique qui peut-être avoir certaines réponses à la pénurie d'eau de Golden State.

    Bien avant la crise de la sécheresse actuelle de la Californie, Australie face à sa propre sécheresse invalidante. La « sécheresse du Millénaire », qui a duré de 1995 à 2009, a menacé de dévaster l'économie australienne et modifier de manière significative mode du pays de vie.

    Mais grâce à une série de réformes radicales, l'Australie a réussi à conjurer une crise dévastatrice. Au cours de la sécheresse de 15 ans, l'Australie a considérablement modifié son infrastructure afin de conserver l'eau.

    Le pays dépensé des milliards de recibler son infrastructure afin de conserver et de stocker l'eau. Selon l'Énergie Collective, l'Australie a réparé ses réservoirs pour empêcher l'eau de s'évaporer et fuit et les données d'arrosage utilisées pour surveiller le sol pour voir où l'eau pourrait être réduit. L'Australie a mise en œuvre de programmes de réutiliser l'eau, avec des villes comme Melbourne, créant des installations que recyclé de ruissellement et des eaux usées.

    La plupart des californiens ont entendu parler de maintenant qu'ils doivent cesser d'arroser leurs pelouses pour économiser l'eau pendant la sécheresse. Mais il y a des petites étapes à suivre, aussi, de prendre des douches plus courtes et moins linge sauter à l'eau aux tables des restaurants.

    Le pays a également promulgué et appliqué des normes plus strictes d'utilisation de l'eau. Après l'interdiction de législateurs personnel arrosage des pelouses, régulateurs utilisés images satellites pour identifier les briseurs de règle et d'appliquer des amendes. Comme le note de Bloomberg, régulateurs gardé étroites onglets sur l'utilisation agricole, punir les fermes qui galvaudé.

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  19. Le pays travaille à changer la culture de la consommation d'eau, même à mettre en œuvre certains doux humiliation pour encourager les particuliers à conserver. Le gouvernement a publié des rapports sur la quantité quotidienne d'eau utilisée par chaque personne pour aider les Australiens se rendent compte de leur impact individuel. Par conséquent, son utilisation a diminué 40 % par personne et par jour, rapporte le Guardian.

    Il y a quelques différences que certaines réformes australiens seraient difficile à mettre en œuvre en Californie. Bloomberg fait remarquer que séparation de laissez-faire de l'Australie des droits de l'eau et les terres communes et certaines entreprises, au commerce de l'eau sur un marché de cap-et-commerce-style. Ceci permis personnes à acheter et vendre des actions de leur affectation à l'eau, empêchant les paramètres régionaux qu'assis plus près à une source d'eau des rivières de pompage et les puits pétroliers sans conséquence.

    Propriétaire des Spa pour enlever Lando Ferrenback, droit et travailleur, Juan Alexander enlever un spa dans une résidence dans laquelle le propriétaire a jugé « un gaspillage d'eau, » à Garden Grove en Californie, le mercredi 6 mai 2015. Les législateurs de Californie sont déjà à la recherche des réponses à ce modèle. En 2014, l'Etat a envoyé une délégation de régulateurs d'eau Etat à choisir les solutions qui pourraient être mises en œuvre dans l'État.

    Mais la Californie a encore un long chemin à parcourir. Même si les récents décrets du gouverneur mis en place les premières règles de conservation obligatoire de l'eau de l'Amérique, l'État n'a pas encore commencé le processus d'adopter des solutions à long terme. L'État n'est pas encore recueillir beaucoup de données en dehors de l'utilisation de l'échelle de la ville, et application de la Loi de la surexploitation de l'eau est pratiquement inexistante.

    http://uk.businessinsider.com/what-california-could-learn-from-australia-about-drought-2015-5

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    1. Les australiens n'ont rien inventé et, les californiens ne s'en sortiront qu'en fermant les rivières qui vont se perdre en océan et, en dessalant l'eau de mer avec les moyens simple de la récupération de buées sur les vitres au soleil quand l'eau en dessous s'évapore et, les centrales électrique qui en produisent également.

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  20. Bactéries créé un OGM 8 000 ans que nous mangeons encore

    Ellie Kincaid
    8 mai 2015, 18:42

    Si l'idée de manger du génétiquement modifié fait de cette nourriture que vous grincez des dents car il semble contre nature, détrompez-vous.

    Des bactéries ont modifié les gènes des plantes sur leur propre longue avant que les humains aient compris comment le faire, et nous sommes toujours profiter des fruits (et légumes) de leur travail aujourd'hui.

    Il s'avère que la patate douce, le légume-racine orange bien-aimé mangé sur Thanksgiving, a été fréquemment nourrissait l'ADN inséré dans son génome de bactéries longs avant que les humains ont commencé en croissance pour la nourriture il y a environ 8 000 ans.

    Une équipe de chercheurs a analysé les génomes de centaines de variétés de patate douce domestique et trouvé qu'ils avaient des morceaux d'ADN d'un microbe couramment utilisés en génie génétique végétale.

    Les scientifiques, dirigé par Jan Kreuze du Centre International de pomme de terre au Pérou, publié leurs résultats dans l'édition du 5 mai de la procédure de la National Academy of Sciences.

    Un tronçon de l'ADN, le code qui, jumelée à une espèce de bactérie Agrobacterium — était présent dans toutes les variétés de pomme de terre douce cultivée 291 étudiées, mais pas en plantes sauvages apparentées. Cela rend les scientifiques pense que le peu d'ADN contient un gène qui a donné la patate douce, un homme de caractère trouvé souhaitable et sélectionné pour quand la domestication de la plante.

    Si tel est le cas, la modification génétique de la patate douce peut très bien être la raison pourquoi nous pouvons manger (et aimer) il. Contrairement à véritables pommes de terre, qui sont des tubercules qui viennent de la tige de la plante, la patate douce est en fait la racine de la plante. Ces peu ligneuse et fibreuse de la plante probablement nécessaires certaines génétique TLC pour devenir un aliment de base de Thanksgiving comestible et délicieux.

    « Nous pensons que les gènes de bactéries aident les plantes à produire deux hormones qui changent la racine et de faire quelque chose de comestible, » virologue Jan Kreuze dit blog de chèvres et la soude de NPR. « Nous avons besoin de prouver que, mais en ce moment, nous ne pouvons pas trouver des patates douces sans ces gènes. »

    Peu importe la raison, les gènes de bactéries collés autour, la façon dont ils sont arrivés là en premier lieu n'est pas trop mystérieuse pour planter des généticiens.

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  21. « Je ne pense pas que c'est tout ce que surprenant, » Greg Jaffe, l'expert de l'OGM au Centre pour la Science dans l'intérêt Public à Washington, a dit de chèvres et la soude. « Quiconque est familier avec le génie génétique ne serait pas surpris que les Agrobacterium [bactéries] inséré certaines ADN dans certaines cultures. »

    C'est parce que Agrobacterium est une bactérie qui infecte les plantes en quelque sorte comme un virus. Le microbe insère un peu de son ADN dans le génome d'une plante, un processus appelé transfert horizontal de gènes, les chercheurs expliquent dans PNAS. L'insertion de l'ADN de Agrobacterium provoque des racines de la plante de croître comme un fou ou de se transformer en tumeurs, une maladie appelée maladie de la Galle du collet.

    Les scientifiques pensent qu'un transfert horizontal de gènes antique qui s'est passé entre Agrobacterium et l'usine de patates douces de tous aujourd'hui sont les descendants des.

    Donc même si nous n'avons pas connue jusqu'à présent, nous avons mangé des aliments génétiquement modifiés pour des milliers d'années, et il n'a pas tué nous encore.

    http://uk.businessinsider.com/bacteria-made-natural-gmo-sweet-potato-2015-5

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    1. (...) Donc même si nous n'avons pas connue jusqu'à présent, nous avons mangé des aliments génétiquement modifiés pour des milliers d'années, et il n'a pas tué nous encore. (...) Hahaha ! Tout un article pour dire... çà ??!

      Il est certain que les 'OGM' ont toujours existé et ont construit la totalité de tout ce qui nous entoure. Et c'est donc aujourd'hui qu'il y ait encore des personnes ou des produits, des entreprises qui parlent de... 'non-OGM' !! et sont des escroqueries. Mais, tout un lobbying y est derrière !

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  22. La situation dégénère - Grèce est maintenant retraits taxateur trésorerie

    Soumis par séculier investisseurs sur 10/05/2015 08:05 -0400

    La saga (ou le drame, si vous voulez) en Grèce se poursuivent et même si le pays était en mesure de faire un paiement d'intérêts de 200 M EUR au FMI plus tôt cette semaine, les marchés ne devraient pas être trop optimiste l'instant où ce paiement est inférieur à 5% du montant total en espèces, il doit payer dans les 4-5 prochaines semaines.

    En effet, la Grèce a seulement 3 jours à gauche pour trouver 750M EUR à répondre à l'exigence d'un paiement en principal au FMI qui est dû mardi prochain, et nous considérons qu'il est tout à fait impossible pour le pays de répondre à cette demande sans trouver des sources additionnelles de générer trésorerie provenant.

    Il y a peu de doute que le 200M d'euros a été principalement financé par la demande radicale de laquelle Athènes a ordonné les organismes publics pour câbler la majorité de leurs ressources de trésorerie au gouvernement central à Athènes. Ce fut une indication très claire du trésor grec a été exécuté sur les fumées comme il ne pouvait pas se permettre de payer les salaires des employés du gouvernement donc il y a peu d'espoir, le pays sera en mesure de rembourser le 750M EUR au FMI la semaine prochaine, sans parvenir à un nouvel accord de renflouement avec ses prêteurs.

    La population de la Grèce est compréhensible et devient nerveuse que les négociations entre le gouvernement grec et la Banque centrale européenne, le FMI et l'Union européenne sont toujours en cours. Premier ministre Tsipras déjà dû retirer son ministre des Finances Varoufakis de la table de négociation, comme il a été méprisé par l'autre côté. En outre, Varoufakis prend aussi beaucoup de chaleur à l'intérieur de son propre pays après avoir révélé comment riche, il est vraiment. Alors que la population grecque est très clairement souffre, Varoufakis pensé qu'il était une bonne idée de montrer le magazine français Paris Match comment riche, il est vraiment.

    Les banques en Grèce se sentent une fois de plus beaucoup de pression alors que des milliers de personnes ont commencé à retirer de l'argent. La Banque centrale européenne a une fois de plus à intervenir en augmentant la liquidité aide d'urgence aux banques grecques car il a dû relever le plafond par un autre 2B EUR . Les banques sont encore à essayer de prétendre qu'il n'y a pas de banque terme en cours, mais toutes les autres preuves suggèrent le contraire qui se passe.

    Le gouvernement grec propose maintenant d'instaurer une taxe sur les retraits à partir de distributeurs automatiques de billets dans le pays et vise à sensibiliser 180M d'euros en frais supplémentaires dus à cette mesure. Ceci est clairement destiné à contenir la banque terme courant «soft» ce qui se passe dans le pays. En outre, tous les transferts de fil de plus de 1.000 EUR seront également assujetties à la taxe.

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  23. Avec cette idée, la Grèce est effectivement l'introduction d'un contrôle des capitaux dans le pays, et il ne serait évidemment pas le faire si la situation n'a pas exigé des mesures drastiques à prendre. Le temps est compté, et Athènes a seulement quelques jours à gauche dans ses négociations. Quelqu'un aura à ramper à travers le sable pour faire de cette histoire a une fin heureuse (jusqu'à ce qu'il commence tout recommencer dans quelques mois)

    http://www.zerohedge.com/news/2015-05-10/situation-escalates-%E2%80%93-greece-now-taxing-cash-withdrawals

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    1. Après l'instauration de taxe aux retraits vont-ils passer par la condamnation/prison à ceux qui osent vouloir retirer leur argent ? Et pourquoi ne pas pièger les distributeurs aussi ?

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  24. TAFTA : un futur labyrinthe bureaucratique

    Corporate Europe
    lun., 20 avr. 2015 03:37 UTC
    Corrections : Sott

    Selon une nouvelle « fuite » de la proposition de la Commission Européenne pour les négociations du partenariat de commerce et d'investissement transatlantique entre l'UE et les États-Unis (TTIP), les initiatives législatives des États membres de l'UE devront être examinées minutieusement pour leurs impacts potentiels sur les intérêts des entreprises privées.

    La proposition fait partie de plans plus larges de "coopération réglementaire". Les groupes de la société civile ont déjà dénoncé des versions précédentes de ce plan, le jugeant être un outil destiné à tuer dans l'œuf ou saper en amont les réglementations d'intérêt public. Selon les mêmes personnes, les nouveaux éléments détaillés dans cette nouvelle fuite aggravent le problème.

    Les groupes de la société civile ont qualifié les plans d'"échanges réglementaires" d'affront à la démocratie parlementaire. "C'est une insulte aux citoyens, aux politiciens élus et à la démocratie elle-même", dénonce Max Bank de Lobby Control.

    La proposition d'"échanges réglementaires" forcera les lois rédigées par des politiciens élus démocratiquement à passer par un processus de criblage (notation) très lourd. Ce processus aura lieu dans les 78 États, pas seulement à Bruxelles et à Washington DC. Les lois seront évaluées selon leur compatibilité avec les intérêts économiques des grandes entreprises. La responsabilité de ce criblage reviendra à l'Organe de Coopération Réglementaire, un conclave permanent et non-démocratique de technocrates Européens et Américains.
    "La Commission et les autorités américaines pourront exercer des pressions excessives sur les gouvernements et les politiques à travers cette mesure car ces acteurs puissants seront parachutés dans les procédures législatives nationales. Les deux vont également certainement partager le même programme politique : soutenir les intérêts des multinationales," a dit Kenneth Haar de Corporate Europe Observatory.

    "La proposition de la Commission introduit un système qui met en danger chaque nouvelle réglementation protégeant l'environnement, la santé et les travailleurs aux niveaux Européen et des États Membres. Cela crée un labyrinthe bureaucratique pour les régulateurs, payé par les contribuables, qui réduira la volonté politique d'adopter des lois dans l'intérêt général," dit Paul de Clerck des Amis de la Terre Europe.

    Le criblage prévu dans les "échanges sur les réglementations" pourrait avoir lieu avant qu'une proposition de loi soit formellement mise sur le bureau des députés et ce jusqu'à ce qu'elle soit adoptée, et ce également sur les lois existantes, donnant des opportunités continuelles pour diminuer ou retarder les actes réglementaires. Les articles 9 et 11 montrent comment cela fonctionnera.

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  25. "Ce qui est certainement le plus effrayant est l'application potentielle de ce dispositif aux réglementations existantes - ce qui ne paralysera pas seulement les lois futures mais constitue également un retour en arrière," s'inquiète David Azoulay du Centre pour le Droit International pour l'Environnement (CIEL).

    "Non seulement cela va créer un processus outrageusement lourd pour l'examen des lois futures, mais toute loi d'intérêt général existante qui ne conviendrait pas aux intérêts commerciaux, et ce des deux côtés de l'Atlantique, sera soumise au même processus de mise en conformité aux intérêts des entreprises."

    http://fr.sott.net/article/25549-TAFTA-un-futur-labyrinthe-bureaucratique

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    1. Après que des gros cons de 'chefs d'Etats' se soient fait passer pour des 'scientifiques' !! auxquels les pairs devront désormais 'la mettre en veilleuse', voilà t'y pas qu'ils se surmontent d'un cran au-dessus du supérieur d'en haut pour... juger les juges qui jugent !

      Hahahaha ! Après tout, puisque dieu n'existe pas autant prendre sa place, non ? Hahaha !

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  26. «Résilience» est le nouveau noir


    Soumis par Tyler Durden sur 10/05/2015 22:05 -0400

    Via The Automatic Terre le blog de Raul Ilargi Meijer ,


    Ceci est un autre essai de notre ami le Dr Nelson Lebo III en Nouvelle-Zélande. Nelson est un expert certifié en tout à voir avec la résilience, notamment comment construire une maison et une communauté conçue pour résister aux catastrophes, qu'elles soient naturelles ou artificielles, un tremblement de terre ou Baltimore. Conscient qu'il peut frotter quelques personnes mal Ainsi, il explique ici pourquoi il a changé de voir ce qu'il fait dans le contexte de la durabilité, à celle de la résilience. Il ya quelque chose de profondément sombre dans ce changement, mais il est pas mal du tout .

    Nelson Lebo III: Le développement durable est donc 2007. Ce sont les jours grisants avant la crise financière mondiale, avant de $ 2-plus / litre essence ici en Nouvelle-Zélande, avant le Sommet de Copenhague sur le climat a échoué, avant que les tremblements de terre à Christchurch, avant l'accord de partenariat transpacifique (TPP) ... la liste continue.

    Depuis 2008, les conversations éclairées sur l'économie, l'environnement et l'énergie sont passés de la «durabilité» de la «résilience». Il y a sans doute plusieurs raisons à ce changement, mais je vais me concentrer sur seulement deux: tendances indéniables et une perte de la foi Permettez-moi de vous expliquer.

    Depuis 2008, la plupart des tendances préexistantes dans l'inégalité des revenus, des événements météorologiques extrêmes et la volatilité des prix de l'énergie ont intensifié le haut. La durabilité consiste à stopper et à inverser ces tendances, mais il n'y a pratiquement pas de preuve de ce type de progrès, et en fait la données montrent le contraire.

    Beaucoup de données quantitatives existe pour les sept dernières années à documenter ces tendances accélérées, le plus évident est le fossé qui se creuse sans cesse entre tous les riches et les pauvres reste. La deuxième vague de commentaires sur les émeutes de Baltimore (après la superficialité des médias grand public) a été de l'absence de l'activité économique et la possibilité dans la plupart des quartiers en grande partie afro-américains.

    Les tensions ont été mijotent pendant des années (décennies) et l'activité de la police trop zélés semble avoir été tout simplement été l'étincelle. Cela ne devrait pas une surprise pour quiconque a lu The Spirit Level, ou toute recherche similaire sur la corrélation entre inégalité de la richesse et des problèmes sociaux.

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  27. Vous ne pouvez pousser les gens jusqu'à ce qu'ils craquent avant. Pour les résidents de quartiers défavorisés de Baltimore les inégalités sont évidentes. Les gens ne sont pas stupides. Nous pouvons voir l'écriture sur le mur, et de savoir pour l'essentiel que le gouvernement à tous les niveaux n'a pas pris des mesures importantes pour adopter la durabilité que ce soit économique, environnemental ou social. Pour moi, il semble que nous menons sur les fumées de la dette sur les trois: plus étendu financièrement sur presque tous les niveaux; plus étendu sur les émissions de carbone (et poster pic pétrolier); et un baril de poudre de troubles sociaux en attente d'un point de basculement.

    Ce qui me amène à mon deuxième point: une perte de la foi.

    Pour la plupart de ma vie d'adulte, je l'ai frappé le tambour pour la durabilité. Je ne le fais plus. La durabilité est une question d'équilibre volontairement trois facteurs: les besoins humains, la santé environnementale et la viabilité économique. Mon observation est que cela a été un mouvement échoué et que la conversation a naturellement changé à la résilience.

    Ces observations ne viennent pas par hasard. Je travaille à temps plein dans la durabilité / domaine de l'environnement / de résilience pendant vingt-cinq ans et je avoir un doctorat en sciences et la durabilité de l'éducation.

    Dennis Meadows, un scientifique bien connu qui a été de documenter les tendances non durables pour les plus de 40 ans, met de cette façon:

    Le problème qui se pose à nos sociétés est que nous avons des industries et des politiques qui étaient appropriées à un certain moment développés, mais maintenant commencer à réduire le bien-être humain, comme par exemple l'industrie du pétrole et la voiture. Leur pouvoir politique et financier est si grande et ils peuvent empêcher le changement. Il est mon espoir qu'ils réussiront. Cela signifie que nous allons évoluer à travers la crise, non pas par changement proactif.

    Ceci est la même citation que Ilargi récemment souligné ici, à La Terre automatique . Il est clair qu'il a résonné avec moi.

    Cela ne veut pas dire que nous ne pouvons pas et ne devrait pas être proactif. Il est plus sur l'endroit où nous dirigeons nos «proactions.« Être proactif sur la résilience des moyens de protéger soi-même, sa famille et la communauté de l'une des tendances qui nous rendent vulnérables économiquement, socialement et écologiquement, ainsi que pour des chocs soudains dans le système.

    Le récent tremblement de terre au Népal est un autre rappel de l'importance cruciale de la résilience. Avant qu'il était Christchurch et Fukushima. Dans le sillage des tremblements de terre nous entendons souvent parler d'un manque de nourriture et d'eau dans la zone affectée, avec des perturbations de l'approvisionnement énergétique dans la région élargie. Au Népal ont conduit à ces importants troubles sociaux.

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  28. Que ce soit Katmandou cours du dernier mois ou de la Nouvelle-Orléans après l'ouragan Katrina, nous savons que nous ne pouvons pas compter sur "le gouvernement" pour une aide importante dans le sillage immédiat des catastrophes naturelles. Dans le même esprit, nous ne pouvons pas compter sur les gouvernements pour nous protéger des catastrophes non naturelles telles que le PPT et TTIP.

    Que ce soit un tremblement de terre ou potentiel de la prochaine méga-tempête et des inondations, plus prêt (c.-à-élastique) nous sommes le mieux nous serons passer à travers. Même la hausse des prix de l'énergie et les effets probables de la TPP va siphonner l'argent de notre ville et exacerber les problèmes sociaux dans nos collectivités.

    Dans la plupart des cas, les mêmes stratégies qui contribuent à la résilience contribuent également à un mode de vie plus «durable». Mais là où la plupart des gens la durabilité est largement abstraite et cérébrale, la résilience est plus tangible. Voilà peut-être pourquoi de plus en plus de gens gravitent vers elle.

    La résilience est le nouveau noir.

    Une maison élastique est celui qui protège la santé et la richesse de ses occupants. Dans cette perspective, la maison aurait une isolation adéquate, curtaining bon, appareils Energy Star, les ampoules économes en énergie, et d'un chauffage efficace. En investissant dans ces choses que nous protégeons la santé de notre famille ainsi que l'évolutivité de nos factures d'électricité. Advienne que pourra, nous sommes susceptibles de résister à la tempête.

    Au-delà des étapes ci-dessus, un ménage résiliente recueille également l'eau de pluie, pousse une partie de sa propre nourriture, et possède des systèmes de back-up pour la cuisson et le chauffage. Quand nous avons fait jusqu'à une villa abandonnée dans Castlecliff, Whanganui, nous avons inclus un réservoir d'eau de pluie de 1000 litres, trois sources de chaleur indépendantes, sept façons différentes de cuisiner (ok, je me suis un peu emporté), et une propriété débordant de fruits frais et vege. Ceux-ci sont venus sur le dessus d'un chaud et sec, la maison et une facture d'électricité de 27 $ par mois. (Nous avons fait tout cela pour environ la moitié du coût d'une maison moyenne dans la ville.)

    Une perte de puissance et de l'eau pour deux ou trois jours ne serait guère perceptible. Un doublement du prix de l'électricité ou vege frais serait un écho sur le radar. Pendant l'enregistrement semaine froid en 2011, notre maison a été chauffé par le soleil gratuitement.

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  29. La durabilité peut être chaud et floue, mais la résilience descend aux choses sérieuses.

    Avant toute chose, je suis profondément pratique et conservatrice. Les questions que je pose sont: ça marche ?; est-il abordable ?; puis-je réparer moi-même ?; et, surtout, est-il reproductible ? Au cours de la dernière décennie, je l'ai développé des propriétés hautement élastiques en Amérique du Nord et la Nouvelle-Zélande. Toutes ces propriétés ont été partagée comme exemples de holistique, permaculture régénérative et de la gestion. Nous avons partagé notre expérience localement en utilisant ouvertes homes, ateliers et visites de propriété, ainsi que le monde entier grâce à l'Internet.

    Lorsque la proverbiale sh * t frappe le ventilateur, qui toutes les tendances nous disent qui va arriver, je sais que je l'ai fait de mon mieux pour aider ma famille et de la communauté traverser la tempête que ce soit un typhon, un tremblement de terre, la hausse des prix de l'énergie, ou la TPP.

    http://www.zerohedge.com/news/2015-05-10/resilience-new-black

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    1. (...) l'environnement et l'énergie sont passés de la «durabilité» de la «résilience». (...)

      Jugez de l'exploit ! De passer de durabilité, qui est durable mais qui ne certifie en rien l'éternité ! 'Cà dure ce que çà dure'; à résilience où les fonctions premières sont retrouvées !!! Voila ce que je qualifierai d'exploit ! car c'est là un aveu incontestable que tout ce recycle ! TOUT !
      Ainsi, pareillement au modèle de l'eau polluée 'à mort' depuis des milliards d'années et... qui ose ressortir toute propre aux sources !! Cà alors ! Mais à quoi peuvent bien servir les 'stations d'épuration' ?? A RIEN ! C'est de la merde ! C'est un gouffre comme les autres où les citoyens sont pris pour des cons ! (essayez de boire ce qui sort d'une 'station d'épuration' !!!)
      Tout se recycle même l'air ! Rappelez-vous bien que les volcans crachent des pollutions toxiques mortelles depuis des millions d'années. Où sont les morts de la 'pollution' ? Où ?
      Pareillement que le gazcarbonique se dissout dans l'eau ou se change en oxygène par la respiration des plantes et des arbres (depuis des milliards d'années ! Cà alors !), ce qui est appelé plus tard 'gaz d'échappement' aux sorties des tuyaux à l'arrière des voitures se... retransformeraient... en pétrole ! D'où le pétrole éternel (?) qui serait supposable.

      C'est aussi pourquoi les scientifiques (les vrais) sont interdits sur les plateaux-télés !

      PS: Par contre, pour le fric, là il n'y a pas résilience !

      http://huemaurice5.blogspot.fr/2014/08/ou-est-la-pollution.html

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  30. Paul Craig Roberts: La désinformation économique Maintient Financial Markets Up


    Soumis par Tyler Durden sur 10/05/2015 19:45 -0400

    Soumis par Paul Craig Roberts ,


    Emplois/paie, le rapport de vendredi est plus de même. Le Bureau of Labor Statistics affirme que 223 000 nouveaux emplois ont été créés en Avril. Nous acceptons la demande et de voir où sont les emplois.

    • entrepreneurs du commerce de spécialité sont crédités de 41 000 emplois répartis de façon égale entre résidentiel et non résidentiel. Je crois que ce sont des maisons et d'immeubles de réparation et le remodelage.

    • Le reste des emplois, 182 000, sont dans les services domestiques.

    • Malgré les fermetures de magasins et de la faiblesse des ventes de détail, 12.000 personnes ont été embauchées dans le commerce de détail.

    • Malgré la première croissance négative du PIB du trimestre, 62 000 personnes ont été embauchées dans les services professionnels et d'affaires, dont 67% sont dans les services administratifs et des déchets.

    • Soins de santé et assistance sociale ont représenté 55 600 emplois dont les services ambulatoires de soins de santé, les hôpitaux et l'assistance sociale représentaient 85% des emplois.

    • Les serveuses et les barmen représentent 26 000 emplois, et le gouvernement travaillent 10.000 nouveaux travailleurs.

    • Il n'y a pas d'emplois dans le secteur manufacturier.

    • L'exploitation minière, le bois, le pétrole et l'extraction de gaz perdu des emplois.

    • Services d'aide temporaire (16 100 emplois) offerts 3,7 fois plus d'emplois que le droit, l'architecture comptable, et de l'ingénierie combinées (4500 emplois).

    Comme je l'ai souligné un certain nombre d'années, selon les rapports des emplois salariés, le teint de la population active des États-Unis est celle d'un pays du tiers monde. La plupart des emplois créés sont faiblement rémunérés, les services domestiques.

    Les haute productivité, des emplois de haute valeur ajoutée bien rémunérés ont été délocalisés et donné aux étrangers qui travaillent pour moins cher. Ce fait, plus de la réduction des taux d'imposition marginaux, est la raison de la montée des inégalités dans la répartition des revenus et de la richesse.

    Délocalisation des emplois de la classe moyenne augmente les profits des entreprises et, par conséquent, les revenus des sociétés propriétaires (actionnaires) et les cadres. Mais elle réduit les revenus de la majorité de la population qui sont contraints soit en emploi ou au chômage à temps partiel faiblement rémunérés.

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  31. Le déclin extraordinaire dans le taux de participation au marché du travail indique possibilités rétrécissement de la population active américaine. Aucun économiste ne devrait jamais avoir accepté l'affirmation selon laquelle l'économie était dans la récupération tandis que la participation de la population active était en baisse.

    Le déclin officiellement documenté dans le taux de participation au marché du travail jette un doute supplémentaire sur les augmentations réclamées en emplois salariés. Si les emplois sont de plus en plus, le taux de participation au marché du travail ne devrait pas être en déclin.

    Après avoir examiné les détails réels du rapport sur l'emploi de la paie, qui sont rarement, voire jamais rapporté dans les médias financiers, regardons ce que les autres ne sont pas signalés dans les médias.

    Organismes statistiques économiques du gouvernement sont sous pression pour ne pas déstabiliserait les marchés financiers. Par conséquent, les rapports initiaux, qui sont toujours les rapports phares, sont aussi proches que possible de la "prévision de consensus», préparé par les économistes dans le secteur financier, dont les emplois sont à maintenir une bonne ambiance pour les instruments financiers.

    Cette pratique se traduit par des estimations optimistes avancés et les premières estimations. La vraie déclaration vient plus tard dans les révisions. Par exemple, aujourd'hui, le titre était 223.000 nouveaux emplois, la reprise sur la bonne voie, du marché boursier vers le haut. Ce qui n'a pas rapporté par les médias est que (Mars) emplois salariés à la croissance du mois précédent a été réduit à 85 000 emplois, sensiblement en dessous de la croissance de la population.

    La même chose se produit avec la déclaration de la croissance du PIB. Le PIB du premier trimestre estimation avancé a été maintenu en territoire positif avec 0,2% -deux dixièmes de un pour cent de croissance. Lorsque les révisions arriver, que nous connaissons déjà sera une croissance négative du PIB en raison de la moyenne des échanges, ils ne recevront pas la même attention.

    Il ya beaucoup de problèmes supplémentaires avec le reportage économique. Je l'ai écrit sur ??un certain nombre d'entre eux dans les rapports précédents. Ici, je vais vous donner un exemple de plus. Selon les emplois salariés rapport extraction de pétrole et de gaz a perdu 3300 emplois en Avril. Ce faible nombre est incompatible avec ce que nous savons à propos des licenciements des opérations de fracturation. Selon Challenger Gray, une entreprise privée qui permet de suivre les suppressions d'emplois annoncées par les entreprises, en Avril 20 675 emplois ont été perdus en raison de la baisse des prix du pétrole. Voilà plus de six fois la perte rapportée par le rapport sur l'emploi de la paie.

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  32. Rapports Challenger gris que pendant les quatre premiers mois de cette année, les sociétés ont annoncé 201 796 suppressions d'emplois. De toute évidence, les entreprises ne créent pas de nouveaux emplois. Voilà pourquoi le BLS semble serveuses, barmen, des entrepreneurs en rénovation, le gouvernement et les services sociaux pour la croissance de l'emploi.

    Jobs délocalisation a ratatiné les possibilités d'emploi pour les Américains. Ces possibilités échaudés sont largement responsables de la stagnation et le déclin des revenus réels médians des familles, pour le taux de participation au marché du travail en baisse, pour la montée des inégalités dans la répartition des revenus et de la richesse, et pour les prêts étudiants que ne peut pas être remboursé des emplois faiblement rémunérés disponibles. Les sociétés de Wall Street et dans la poursuite de profits à court terme ont donné l'économie de suite. Une grande partie de l'ancienne économie américaine appartient maintenant à la Chine et l'Inde. Les dirigeants d'entreprise et les actionnaires se sont enrichis au large de cette give-away.

    http://www.zerohedge.com/news/2015-05-10/paul-craig-roberts-economic-disinformation-keeps-financial-markets

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    1. Même Paul Craig Roberts s'y met à éviter (comme la peste ?) de parler de Pouvoir d'achat ! Mais qu'ont ces mots pour faire si peur aux 'économistes' ?? Et pourquoi disent-ils qu'il y a des pays où les gens vivent avec 1 ou 2 €$£ par jour comme si c'était une infirmité a faire pleurer sans dire d'une part pourquoi les gens ne meurent pourtant pas de vivre avec 1 ou 2 €$£ par jour ! et, d'autre part, se gardent-ils de parler du prix du pain qui ne vaut 'là-bas' que 5 centimes ce qui rendraient les comptes que ces pauvres gens vivent en réalité avec 15 ou 25 €$£ par jour !

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  33. La question la plus imminente et Paramount pour les Américains aujourd'hui !


    Soumis par Tyler Durden sur 10/05/2015 16:50 -0400

    Soumis par Thad Beversdorf via FirstRebuttal.com ,



    Tout à fait légitimement, il semble y avoir une quantité croissante de débats autour de la Trans-Pacific Partnership (TPP). Ah oui «libre échange». Si je devais un nickel pour chaque fois que je suis entré dans un débat de libre-échange, je serais un homme très riche. Ceci est un de ces grands sujets pour lesquels les deux parties peuvent faire une très forte cas d'école et ainsi tout le monde marche loin de la sensation de discussion qu'ils ont gagné. Voilà pourquoi il est un tel débat populaire parmi les universitaires. Mais cette discussion de libre-échange particulier doit aborder non pas tant l'affaire elle-même, mais le processus de livraison. Permettez-moi de vous expliquer.

    La chose au sujet du libre-échange est qu'il n'a vraiment rien à voir avec le libre-échange. Il est une manœuvre réglementaire pure et simple. Nous savons que les champions du libre-échange sont des sociétés parce qu'ils sont les profiteurs de la réaffectation de fonds de roulement hors des environnements réglementaires américaines lourdes et dans des environnements émergents beaucoup plus légères du marché réglementaires. Ceci est tout à fait une distinction doit être faite.

    Qu'est-ce que les partisans du libre-échange font valoir est qu'il permet la libre circulation du commerce à des régions ayant des avantages concurrentiels et de mettre ainsi le capital à utiliser les moyens les plus efficaces (si elles ne le font pas, qui est l'argument qu'ils devraient utiliser). Toutefois, les marchés de la dure réalité est émergents ont rarement des avantages compétitifs dans tout royaume sur les nations industrielles développées. Par exemple, les travailleurs chinois sont moins productifs que les travailleurs américains et ainsi de l'avantage de coût de la main-d'œuvre est pas due à une productivité plus élevée en Chine, mais pour beaucoup la réglementation des salaires plus douces.

    Le résultat est que les Américains sont en train de perdre sur les emplois du secteur de la fabrication critiques, qui est l'endroit où la classe moyenne américaine a été construit. Les champions du libre-échange feront valoir que parce que nous avons plus d'un avantage concurrentiel dans ce type de travail que nous devrions recycler les travailleurs dans les zones nous avons encore cet avantage. Mais encore une fois, cela n'a rien à voir avec un avantage concurrentiel. Il est un argument commode parce qu'il semble logique si les faits sont vrais. Mais le fait que nous ne disposons pas d'un avantage concurrentiel dans le secteur manufacturier est tout simplement pas vrai. Ce que nous avons, ce sont de grands bouleversements dans la réglementation. Pour le meilleur ou pour le pire, la réglementation américaine exige des sociétés de fournir un niveau beaucoup plus élevé de la rémunération globale des employés de maison que la réglementation fait pour les salariés étrangers. Et les accords de libre-échange prévoient très clairement un mécanisme par lequel les sociétés américaines peuvent échanger réglementation américaine à-dire coûteuse lourd pour la réglementation étrangère très léger.

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  34. Voilà un débat assez standard du commerce de style libre, mais le débat actuel sur le PPT est plus sur la légalité de la demande de l'exécutif à accélérer cet accord de libre-échange caché derrière un mur du secret, à savoir les détails sont classés. Je suis vraiment à une perte sur celui-ci. Si vous lisez mon travail régulièrement, vous êtes familier avec mon angoisse sur l'apathie américaine à l'égard de nos droits constitutionnels. Chaque semaine, une autre série de droits constitutionnels sont créative et tranquillement retiré. Cela a été en cours depuis des décennies, mais à un rythme extraordinaire au cours des 15 dernières années.

    Le fait que les Américains ont été si prêts à se séparer de leurs droits constitutionnels garantis a vraiment encouragé nos pouvoirs législatif et exécutif branches du gouvernement pour aller à passage intégral contre la Constitution. Nous leur permettons de nous espionnent, à nous emprisonner sans procès et maintenant retirez nous tout du processus législatif. Donc, en effet, nous ne sommes plus une démocratie auto-régie en aucune manière, la forme ou la forme. Quelqu'un quelque part me expliquer pourquoi cette proposition est fausse. Et s'il vous plaît ne pas aller sur la route de bien nous votons pour un représentant et qui est la façon dont nous imposons notre volonté sur le processus législatif. Sauf que pour tout ce qui dumbshit, drunkass moron, il a travaillé sur la nuit dernière à la barre parce que cela ne répond pas à la norme du débat nécessaire ici monsieur.

    En bref, nous avons encore un autre exemple du manque de respect flagrant et le mépris pour le processus même qui définit notre nation comme une démocratie auto-gouvernés. Chaque fois que nous permettons le président ou le législateur de contourner la volonté du peuple, sans poursuivre eux, nous plaçons un autre ensemble de des chaînes autour du cou. Cette nation a emprisonné des millions d'hommes et de femmes pour fumer de la marijuana, une activité qui sera légal dans tous les 50 états à un certain point dans un proche avenir. Dans le même temps, nous avons pas poursuivi un président, décideur ou législateur pour avoir enfreint les lois constitutionnelles qui ont maintenant abouti à des décès injustifiés de dizaines de milliers de soldats américains et des civils innocents et la destruction incommensurable du système très nous a promis par ceux qui créé cette fois grande nation.

    Qui est lourd trucs lourds. Pourtant, pour une raison que nous pensons apparemment beaucoup plus menacée par un gars de fumer un joint dans sa maison que nous par les hommes les plus puissants dans le monde rendu tacitement notre Constitution un tigre de papier.

    Est-ce que nous ne nous soucions pas ? Est-ce que nous ne voyons pas ? Est-ce que nous sommes masochistes ? Qu'y at-il de nous qui nous rend si apathiques aux atrocités commises contre nos droits constitutionnels ? Ils sont là pour notre protection et ainsi, à nous, le peuple, ils sont actifs qui nécessitent un entretien, mais nous les laissons être détruits par les éléments politiques. Je suis vraiment à une perte sur celui-ci. Il semble aller dans le visage de l'instinct de base pour la survie auto.

    (suite en dessous:)

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  35. Maintenant, je reçois que les villes intérieures sont soutenus par des sorties de main du gouvernement et donc ils seront réticents à tanguer le bateau. Bien qui est de moins en moins le cas est pas. Mais je veux dire, même parmi bien versé, bien éduqués et très intéressés Américains il semble y avoir très peu de préoccupation, à en juger par la réaction, sur le fait que nos droits constitutionnels sont assez flagrante à ce stade, être pris loin de nous. Pourquoi est-ce que ne crée pas plus d'une réponse agitée ??

    Ceci est la discussion, tel est le débat qui doit se produire au cours TPP. Les sociétés seront toujours pousser pour des profits plus élevés, que nous connaissons, mais pourquoi notre gouvernement ne se sentent suffisamment en confiance pour nier ouvertement nos droits constitutionnels si ouvertement en Amérique maintenant ? Voilà avec certitude, la question la plus imminente et primordiale nous avons besoin de travailler en tant que une société libre aujourd'hui ou bientôt nous auront pas le droit de discuter de telles choses.

    http://www.zerohedge.com/news/2015-05-10/most-imminent-and-paramount-question-americans-today

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    1. Pour les 'élections', le 'problème' a 'toujours' été de choisir entre un con et un con. D'où le chef de l'Etat qui ne correspond nullement à AUCUN citoyen du pays ! alors qui s'en dit être le 'représentant' !!

      Ce qu'il faut comprendre est que: les citoyens deviennent tous (peu à peu) internautes et, sont donc appelés à être plus intelligents qu'avant aux vues des informations qu'ils découvrent et donc, si les citoyens sont donc aujourd'hui aptes à comprendre (ce qui leur est fourré dans le cul ?) il est donc nécessaire de faire/pondre/imaginer des textes 'de lois' les plus complexes des complexes !!

      C'est-à-dire qu'aux termes de "Nul n'est censé ignorer la loi" (Hahahaha !) correspond aujourd'hui : "Nul n'est censé comprendre la loi" !

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  36. Quels sont les pays les plus paranoïaques ?

    Soumis par Tyler Durden sur 10/05/2015 18:01 -0400


    Ils disent qu'il est pas de la paranoïa si elles sont vraiment là pour vous attraper.

    Après la première de 2013 révélations par Edward Snowden que la NSA était en effet hors d'obtenir pratiquement tous ainsi que la décision américaine, de l'appel fédérale de la semaine dernière de la cour que l'espionnage et la collecte de la quasi-totalité des enregistrements téléphoniques américains de masse de la NSA n'a pas été autorisé par le Patriot Act et a donc été illégale, pour les Américains, il a été confirmé que était pas de la paranoïa, mais rien d'autre que le gouvernement était hors de les obtenir tous.

    En tant que tel, nous trouvons un peu étrange que dans le tableau suivant montrant sentiment global vers la paranoïa, mesurée par les réponses si d'autres sont là pour profiter de vous ou, au contraire, d'autres essaient d'être justes, les Etats-Unis se classe presque en plein milieu, avec les répondants dans les pays tels que le Japon, l'Argentine, la Turquie et même en Allemagne rang plus «paranoïaque» que les Américains (compensée par de telles utopies socialistes que la Suède et la Norvège, où l'altruisme semble régner; la présence de la Chine dans ce groupe est quelque peu discutable) .

    - voir tableau sur site -

    Puis à nouveau. compte tenu de l'enquête a été initialement menée en 2011 par l'organisation de l'enquête Valeurs mondiale, en quelque sorte, nous doutons de la US classerait tout aussi netural maintenant comme il l'a fait il y a 4 ans.
    Source: John Nelson

    http://www.zerohedge.com/news/2015-05-10/which-countries-are-most-paranoid

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    1. Ce qui m'a toujours amusé dans les 'sondages' (fait dans les couloirs du Palais présidentiel !!) est qu'à la question (par exemple): "Dans quel pays au monde les gens sont les plus heureux ?" bizarrement (Hahahaha !) le pays qui a pondu cette imbécilité est classé dans les 5 premiers ! Cà alors ! Comment ce fait-ce ? Idem pour 'la cote de popularité du président' (Hahahahaha !) voisination du 50/50% ou juste ce qu'il faut pour donner raison au peuple l'espace d'un jour parce que le lendemain, le sondage va changer ! Hahahaha !

      Avec tableau d'explicatiomètre, siouplait !

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  37. L'âge moyen du travailleur au salaire Minimum en Amérique est 36


    Par Michael Snyder,
    le 10 mai 2015


    Saviez-vous que 89 % de tous les travailleurs au salaire minimum aux Etats-Unis ne sont pas des adolescents ? À ce stade, l'âge moyen du travailleur au salaire minimum dans ce pays est de 36, et 56 % d'entre eux sont des femmes. Des millions et des millions d'américains travaillent aussi dur que possible (qui signifie souvent deux ou trois emplois), et pourtant malgré tous leurs efforts ils se trouvent toujours embourbée dans la pauvreté. Une des grandes raisons pour cela est que nous avons créé deux classes de travailleurs aux États-Unis. « Les travailleurs à temps plein » ont droit à un tableau des avantages et des protections par la loi qui « travailleurs à temps partiel » ne reçoivent pas. Et grâce à des incitations perverses contenues dans Obamacare et autres lois ridicules, nous avons des employeurs motivés à passer autant de travailleurs de la catégorie « temps plein » à la catégorie « temps partiel » que possible. Il peut être difficile à croire, mais bon pour seulement 44 % des adultes américains sont employés pour 30 heures ou plus chaque semaine. Mais pour obtenir n'importe quel genre d'emploi du tout est un véritable défi dans de nombreuses régions du pays aujourd'hui. En lisant cet article, il y a plus de 100 millions américains en âge de travailler qui ne travaillent pas dans n'importe quelle capacité. Et selon John Williams de shadowstats.com, si le gouvernement fédéral utilisait en fait les numéros honnêtes le taux de chômage serait assis à 23 %. C'est pas un « emploi recouvrement » – c'est une crise nationale.

    L'infographie ci-dessous provient de L'Economic Policy Institute. Certes, je ne partage pas avec beaucoup de choses qui signifie l'Economic Policy Institute, mais je pense que ces chiffres reflètent exactement ce que « l'Amérique à temps partiel » ressemble aujourd'hui...

    - voir graphique sur site -

    Alors, quelle est la solution à ce problème ?

    La plupart des démocrates croient que l'augmentation du salaire minimum arrangera cela. Mais comme Zero Hedge a souligné, il n'est pas tout à fait aussi simple que cela...

    Semaine dernière, nous avons constaté que les législateurs démocratiques aux États-Unis font pression pour que ce qu'ils appellent "$12 par 20" qui, comme son nom l'indique, est un effort pour augmenter le salaire minimum à 12 $/ heure au cours des cinq prochaines années. Républicains font valoir que si les démocrates obtient leur souhait et le plancher de rémunération ont été augmentés de près de 70 %, elle ferait plus de mal que de bien pour les américains à faible revenu comme le nombre d'emplois qui seraient perdus à la suite les employeurs ravalement face à des frais de main-d'oeuvre considérablement plus élevés compenserait le bénéfice qui revient aux travailleurs qui ont la chance de garder leur emploi.

    Oui, augmentation du salaire minimum pourrait rendre la vie meilleure pour nombreux travailleurs au salaire minimum en Amérique. Mais un grand nombre d'entre eux perdraient leur emploi aussi complètement, et beaucoup de petites entreprises serait profondément souffrir financièrement.

    (suite en dessous:)

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  38. Idéalement, ce que nous serions ravis de voir arriver est pour les États-Unis économie produire tant de bons emplois, que les seules personnes qui sont à la recherche d'emplois à temps partiel d'entrée de gamme serait adolescents, personnes juste commençant dans la main d'oeuvre, etc.. Quand j'étais ADO, je me souviens de marcher dans un McDonald et se faire embaucher sur place parce qu'ils ont un besoin urgent de travailleurs. Malheureusement, ces journées sont longues, disparu depuis longtemps.

    Depuis les dernières décennies, des millions d'emplois américains bien rémunérés ont été envoyées à l'étranger, et des millions d'autres ont été perdues à l'avancement de la technologie. Et comme je parlais l'autre jour, Barack Obama est trahir profondément les travailleurs américains en travaillant sur un traité économique mondial qui détruirait des millions plus des emplois bien rémunérés.

    Grâce à la folie de nos politiciens, il y a maintenant une concurrence intense même pour les emplois à salaire minimum à ce stade.

    Nous continuons à entendre sur une « reprise de l'emploi », mais c'est un mensonge de géant. Posté ci-dessous est un diagramme de l'emploi civil à proportion de la population. Comme vous pouvez le voir, le pourcentage de la population d'âge actif qui est effectivement employé est beaucoup, beaucoup plus faible que l'habitude d'être...

    - voir graphique sur site -

    Ces derniers mois, nous avons vu le ratio emploi-population déplacer légèrement supérieur. Mais peut il être appelé « une reprise de l'emploi » ? Bien sûr que non. Nous sommes encore beaucoup, beaucoup au-dessous du niveau que nous étions à juste avant la dernière récession et maintenant la prochaine récession est à peu près à nos portes.

    Pendant ce temps, la qualité de notre travail continue à diminuer que plus d'américains sont poussés en « travail à temps partiel » avec chaque année qui passe.

    Depuis février 2008, la taille de la population américaine a augmenté de 16,8 millions de personnes. Mais pendant ce même temps trame, le nombre d'emplois à plein temps dans ce pays a en fait diminué.

    Et à ce stade, la majorité des travailleurs américains ne font tout simplement pas assez d'argent pour soutenir une famille de classe moyenne. Les numéros suivants du revenu proviennent directement de La Sécu...

    (suite en dessous:)

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  39. - 39 % des travailleurs américains font moins de $ 20 000 par an.

    - 52 % des travailleurs américains font moins de $ 30 000 par an.

    - 63 % des travailleurs américains font moins de $ 40 000 par an.

    - 72 % des travailleurs américains font moins de $ 50 000 par an.

    Vous commencez à voir pourquoi je suis viré donc vers le haut sur tout cela ?

    Nous avons développé une culture d'entreprise dans ce pays qui ne se soucie pas aux travailleurs. Dans les écoles de commerce dans toute l'Amérique, les futurs cadres sont enseignées qu'une société n'a qu'un seul but – pour maximiser la richesse pour les actionnaires. Prendre soin de ceux qui font partie de votre équipe est considérée comme un élément secondaire au mieux.

    Que les sociétés ont obtenu le plus grandes, ils ont montré la préoccupation de moins en moins pour ceux qui travaillent pour eux. Ces jours-ci, employés sont généralement considérées comme « chers passifs » qui doivent être ignorés au moment où leur utilité est venu à son terme. Et nouvelles des licenciements sont souvent récompensés par Wall Street par une montée subite dans les cours des actions des sociétés qui les licenciements.

    Dans l'ancien temps, plus d'entreprises en Amérique ont été appartenant à la famille et employés étaient souvent considérés comme presque « partie de la famille ». Malheureusement, ces journées ont disparu pour toujours.

    Maintenant, les employés sont traités comme écume par beaucoup de grandes compagnies, et si ils n'aiment pas comment ils sont traités, ils sont dit qu'ils peuvent laisser. Par exemple, il suffit de considérer ce qui se passait à une entreprise de sécurité vers le bas en Floride...

    Jose Molero a travaillé comme inspecteur de site pour la société, qui assure la sécurité des quartiers et des entreprises partout au pays, depuis plus d'un an.

    Molero dit quand il est allé aux gardes de le Kensington Golf et Country Club, il a trouvé des pagaies en bois sur un bureau, certains avec des noms de personnel sur eux et l'autre lecture "pour la discipline du personnel."

    Il y avait aussi ce qu'on appelle un « mur de la honte, » où le maître d'oeuvre fait remarquer et affiche des rapports qui contiennent des erreurs grammaticales, dit-il.
    Lorsque Molero se sont plaints de ces choses à son gérant de district, il a été dit que si quiconque a été offensé « peut-être qu'ils ne devraient pas travailler ici »...

    Molero contacté son directeur des opérations, qui lui a dit de parler avec le gérant de district. Il dit que le gérant de district lui a envoyé une réponse par courriel qui dit, « si ça fait mal leurs sentiments alors peut-être qu'ils ne devraient pas travailler ici. »
    Vous avez une histoire d'horreur semblable à partager ?

    (suite en dessous:)

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  40. La plupart d'entre nous faire.

    L'économie américaine est absolument dominé par des sociétés froides et sans cœur qui ne souhaitent pas écouter le petit gars. Si ils pouvaient trouver un moyen de le faire, beaucoup d'entre eux seraient exploitée sans employé de bas niveau du tout. Et comme la technologie continue à avancer, ils remplaceront comme beaucoup d'entre nous, qu'ils le peuvent avec des ordinateurs, des drones, des machines et des robots.

    Je vais être honnête avec vous – l'avenir des travailleurs en Amérique est vraiment sombre. La compétition pour tous les travaux qui ne peut pas être envoyé à l'étranger ou remplacée par la technologie va devenir encore plus chauffé. Cela signifie que la classe moyenne va devenir encore plus petit, le nombre d'américains dépendants du gouvernement va continuer à exploser et la disparité entre les riches et les pauvres va devenir encore plus grand.

    Alors, quelle est la solution à ce gâchis géant ? S'il vous plaît n'hésitez pas à nous dire ce que vous pensez en postant un commentaire ci-dessous...

    http://theeconomiccollapseblog.com/archives/the-average-age-of-a-minimum-wage-worker-in-america-is-36

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  41. NSA « invité » Allemagne BND pour espionner Siemens sur présumée de liens avec intel russe

    10 mai 2015 16:27


    La NSA aurait cherché l'aide de l'Agence de renseignement de l'Allemagne à espionner la munichoise Siemens sur la présumée de l'entreprise avec le renseignement russe, Bild am Sonntag journal a révélé. Siemens a nié tout lien avec la Russie.

    La révélation provenait d'une source de renseignement US inconnue parlant Bild allemand am Sonntag, et est le dernier rapport dans un scandale d'espionnage impliquant un écart grandissant dans la confiance entre les américains et les allemands.

    Selon le rapport, la NSA avait demandé à l'Agence intelligency de l'Allemagne, le BND, espionner sur la société de défense européen Airbus et Siemens. Pour ce dernier, les États-Unis a expliqué sa demande en alléguant qu'elle avait un partenariat de contrat avec une Agence de renseignement russe. La NSA a supposément soupçonnés que Siemens munichoise fourni des technologies de la communication pour les Communications spéciales et le Service d'Information de la Russie.

    Dans ses observations distinctes à Bild am Sonntag et Reuters, Siemens a rejeté tout partenariat avec intelligence russe.

    Il dit aussi « pas au courant de tous les faits dans la zone de responsabilité de la société » qui justifierait de tel un examen approfondi de ses travaux, porte-parole de Siemens a déclaré au journal allemand.

    On ne sait pas si le BND a satisfait la demande de la NSA, le rapport dit. Le BND n'était pas disponible pour commenter, dit Reuters.

    Bild am révélation de Sonntag vient peu de temps après que les médias allemands ont rapporté que le BND s'est arrêté le partage des données de surveillance d'internet avec la NSA le 4 mai. Il aurait exigé que les États-Unis espion premier fichier de l'Agence une demande officielle, expliquant la nécessité pour les données sur internet de poste d'écoute de Bad Aibling de l'Allemagne en Bavière, où travaillent 120 employés BND et quelques techniciens de la NSA.

    Aux États-Unis, toutefois, refusé de se conformer à la demande, disant : il a été donné à bref délai.

    Selon les médias allemands, le BND a décidé de limiter sa coopération avec la NSA pour remodeler les relations futures avec l'Agence américaine.
    Relations entre les services de sécurité américains et allemands s'est détériorées en 2013 quand Edward Snowden, un ancien collaborateur de la NSA, exposés aux États-Unis espionnage surveillance de l'Agence allemande de représentants du gouvernement, y compris sur la chancelière Angela Merkel.

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  42. Presque deux ans plus tard, le scandale semble être loin d'être résolus, comme plus de révélations sortent de la wooodwork.

    En avril, Der Spiegel a rapporté que la NSA avait envoyé le BND milliers de ce que l'on appelle « sélecteurs », qui comprenait des IP adresses, emails et numéros de téléphone, au cours des 10 ans. Le BND téléchargé les sélecteurs de la NSA dans leur système de surveillance et utilisés pour espionner des cibles, parmi lesquels se trouvaient des responsables politiques européens, y compris les autorités Français et les entreprises européennes comme le consortium aéronautique européen Airbus, Eurocopter, European Aeronautic Defence et Space Company (EADS).

    Le 4 mai, la chancelière Angela Merkel, qui supervise le BND, tenté de défendre ses activités d'espionnage, disant qu'elle coopérera pleinement avec une enquête parlementaire sur les révélations.

    Elle a déclaré qu'elle fournirait « tous les détails » nécessaires.

    Merkel, dans le même temps, a déclaré qu'il était impératif que les deux agences de poursuivre la coopération dans la lutte contre le terrorisme international, mais a réitéré qu'il était inacceptable d'espionner des nations amies.

    http://rt.com/news/257329-nsa-germany-siemens-spy/

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  43. La production de pétrole et de gaz aux USA cause des séismes majeurs

    10:24 10.05.2015

    Le Service géologique des États-Unis a présenté le premier rapport officiel sur l'impact de l'exploitation du pétrole et du gaz sur l'activité sismique.

    Les scientifiques ont identifié 17 zones dangereuses dans huit États et ont déclaré que les tremblements de terre technogènes de ce genre pouvaient atteindre une magnitude 7 sur l'échelle de Richter — un niveau suffisant pour faire s'effondrer des bâtiments, affirme le rapport cité par l'édition Science News.

    Bientôt la fin du boom pétrolier pour les USA?Les géologues savent depuis longtemps que l'injection d'un fluide dans les puits de forage souterrains peut augmenter la pression dans les pores de la roche profonde — c'est le dernier coup décisif porté aux fractures. Cependant, la forte croissance du nombre de petits tremblements de terre dans les États centraux des USA ces dernières années a attiré une attention particulière sur ce phénomène. La croissance de l'activité sismique coïncidait en effet avec le début du recours aux nouvelles méthodes d'extraction du pétrole et du gaz.

    La fracturation hydraulique est en première ligne: un fluide est injecté à grande pression dans les puits souterrains, ce qui fait remonter le gaz ou le pétrole vers la surface. Cependant, ce n'est pas la fracturation elle-même qui cause des séismes (cette opération prend quelques heures, quelques jours tout au plus), mais l'injection d'eaux usées dans les aquifères où se trouvent les fractures les plus larges et dangereuses.

    Les zones "rouges" sur la carte (par exemple le centre de l'Oklahoma) se rapprochent déjà du niveau de risque sismique d'États comme la Californie, épicentre des séismes naturels à l'Ouest du pays. Jusqu'à présent, le séisme artificiel le plus destructeur aux États-Unis avait atteint une magnitude 5,6 — son épicentre se trouvait dans la ville de Prague dans l'Oklahoma et plusieurs dizaines de bâtiments s'étaient alors effondrés.

    Mais les géophysiciens affirment que l'industrie pétrolière et gazière et capable de pire. "Il y a des fractures assez grandes pour provoquer des séismes de magnitude 7. Nous n'excluons pas cette possibilité", note le coauteur du rapport Justin Rubinstein.

    Russie: le pétrole de schiste moins rentable que le pétrole difficilement extractibleNormalement, les cartes de risques sismiques sont établies par le Service géologique des États-Unis pour une période de 50 ans. C'est aussi l'"espérance de vie" moyenne des bâtiments. Or, l'intensité des séismes technogènes dépend de facteurs très instables: quand des puits pour les eaux usées sont forés dans de nouvelles régions, quand la baisse des prix du pétrole contraint à suspendre l'extraction, quand les gouvernements des États modifient les lois régissant l'industrie du pétrole et du gaz…

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  44. Pour cette raison, la nouvelle carte tient compte de la probabilité des tremblements de terre en une année. Elle sera donc mise à jour à la fin de 2015 mais apporte déjà des avantages pratiques: par exemple, les autorités peuvent décider quels ponts de l'État doit rénover en priorité.

    Ces derniers temps, les chercheurs et les officiels ont commencé à prendre plus au sérieux la menace des séismes technogènes. Ainsi, en avril 2015, le Service géologique de l'Oklahoma a reconnu que la croissance récente des secousses souterraines n'était pas due à des causes naturelles mais aux injections d'eaux usées dans les couches géologiques.

    Contenu réalisé à partir d'informations émanant de sources ouvertes

    http://fr.sputniknews.com/international/20150510/1016017851.html

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    1. Houlala ! Attention à l'amalgame ! (je ne sais pas d'où il sort d'ailleurs) mais, il ne faut pas confondre le gaz de shiste qui lui n'a PAS DE PRESSION avec le pétrole qui LUI EN A ! (pareillement aux sources d'eaux claires qui ne vont pas provoquer de tremblement de terre ! Hahahaha !).

      Donc: ce 'rapport' n'émane pas de source scientifique.

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