- ENTREE de SECOURS -



dimanche 7 décembre 2014

Vladimir Poutine Discours à l'Assemblée fédérale de Russie, le 4 décembre 2014

34 commentaires:

  1. Qui est le gagnant dans l’arrêt du gazoduc South Stream ? Qui est le perdant ? A vous de voir !


    6 décembre 2014
    The French Saker

    Préambule
    Le Saker a écrit ce billet d’humeur à propos de l’arrêt du projet de gazoduc South Stream avant Pepe Escobar et Alexander Mercouris, auteurs des deux articles que nous avons déjà publiés sur le sujet. En fait, nous avons publié les trois articles dans l’ordre inverse de leur écriture originelle. Cela n’enlève rien cependant à leur intérêt, car chacun aborde la question selon un angle qui lui est propre (d’ailleurs il n’est pas impossible que nous en publions un quatrième, tellement le sujet nous paraît important). Pour mémoire, les deux articles en question sont : En dynamitant le gazoduc South Stream, l’Union européenne fait pivoter encore davantage la Russie et la Turquie vers l’Eurasie (Escobar) et La Russie vient de porter un coup dévastateur à l’avenir énergétique de l’Union européenne (Mercouris).

    Le Saker francophone

    —————————–

    Je ne vais pas me lancer dans un article long et analytique, je suis sûr que quelqu’un s’en chargera d’ici les prochaines 24 heures. Mais voici ce que j’ai à dire : les ukrainiens ont tenté de faire chanter la Russie au sujet du gaz, et c’est ce qui a lancé les projets North Stream et South Stream. Les bulgares ont décidé de s’aplatir devant les eurobureaucrates, et c’est ce qui a entrainé le contrat du jour avec la Turquie. Pour un volume de 63 milliards de mètres cubes. Ce qui correspond au volume maximal qu’aurait pu déplacer le South Stream. Mais il s’agit du résultat à court terme…

    - voir graphique sur site -

    Évolution des réserves en or de la Banque centrale russe entre mi 2006 et mi 2014 (millions d’onces Troy [1])

    Le résultat à long terme est le suivant : la Russie est en train de créer un réseau de distribution de gaz unifié, qui sera capable d’envoyer du gaz, de n’importe quel point de la Russie vers n’importe quel point de ses frontières.

    Quand à la Turquie, ce membre loyal de l’Otan et allié des États-Unis, elle a été extrêmement heureuse de trahir l’Union européenne, qui lui a refusé son adhésion depuis des décennies. La Turquie n’a pas seulement signé un contrat avec Gazprom, elle a également accepté que ce soit la Russie qui construise l’ensemble de son industrie nucléaire. La Russie et la Turquie se sont également mis d’accord pour encourager leurs échanges commerciaux et touristiques. La politique est la politique, mais les affaires sont les affaires. Rien de personnel, mais l’oncle Sam peut aller se faire… vous voyez le tableau !

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  2. Et quand à ces paumés d’Européens, ils semblent complètement abasourdis. C’est particulièrement le cas de ces imbéciles de politiciens serbes et bulgares, qui se retrouvent dans la position des dindons de la farce, et qui auront beaucoup de choses à expliquer à leurs citoyens.

    À cause de l’interruption du commerce avec la Russie, l’économie allemande souffre et Merkel se trouve dans une position très inconfortable. Tout comme Hollande qui doit expliquer pourquoi la France se retrouve avec d’énormes pertes dans la débâcle du Mistral.

    De mon point de vue, non seulement la Russie n’a rien perdu, mais elle a atteint deux objectifs cruciaux : 1/ elle a placé la Turquie de son côté (ce qui n’est pas sans importance concernant les problèmes du futur de l’Iran et de la Syrie), 2/ elle a créé une situation, à l’intérieur de laquelle les sanctions de l’Union européenne ne font du mal qu’à l’Union européenne. Je ne peux concevoir que l’on présente cela comme une défaite russe.

    Pour ce qui est des méchants vieux USA, ils sont trop occupés à saboter leur propre industrie du gaz et à fragiliser l’Arabie saoudite, en gardant le prix du pétrole à un bas niveau. De quelle stratégie à long terme peut-on parler ? Est-ce durable ?

    Au final, alors que l’Empire continue à parler de sanctions, la Russie est occupée à acheter de l’or. Beaucoup d’or.

    Peut-être vous demandez-vous ce que fait Kiev ? Elle réduit de moitié sa consommation de gaz (en laissant une grande partie de sa population sans chauffage, ni eau chaude) et elle vole les retraites des habitants du Donbass. Mais Kiev n’a pas à s’en faire, la Lituanie a promis de l’aider.

    Êtes-vous toujours persuadés que la Russie a perdu cette manche ?

    Le Saker
    Traduit par Etienne pour vineyardsaker.fr

    PS. Le vrai marché du gaz russe ne sera pas une économie européenne décrépie, mais le méga-marché de la Chine, affamée et en pleine croissance. La Russie vend également ses missiles haut de gamme S400 à la chine, ce qui représente un vrai cauchemar pour les USA et Taïwan. Et tout cela implique d’immenses quantités d’argent, d’énormes projets et une alliance stratégique profonde pour les prochaines décades.

    Note
    [1] L’once troy (symbole ozt, troy ounce en anglais) est une unité de mesure de masse, traditionnellement utilisée dans les pays anglo-saxons pour les métaux précieux comme l’or ou l’argent, ou pour les pierres précieuses. Une once troy vaut exactement 31,1034768 grammes. (Wikipédia, français)

    http://www.vineyardsaker.fr/2014/12/06/qui-est-le-gagnant-dans-larret-du-gazoduc-south-stream-qui-est-le-perdant-vous-de-voir/#more-8465

    RépondreSupprimer
  3. 50 000 tonnes de charbon de Russie arrivent en Ukraine


    06 Décembre, 2014 21:43


    Le ministère ukrainien de l'Energie a annoncé que des centaines de wagons remplis de charbon de Russie, qui avaient eu lieu à la frontière de l'Ukraine à l'est depuis la semaine dernière, ont maintenant commencé à entrer dans le pays.

    "Les livraisons de charbon à la centrale thermique ont été repris. Wagons avec environ 50 000 tonnes de charbon ont déjà été envoyés aux unités de centrales thermiques pour répondre aux besoins du système de puissance. Ce charbon avait été bloqué à la frontière avec la Russie pendant plusieurs jours," a écrit dans un post Facebook un représentant représentant du ministère ukrainien de l'Energie, Elena Mishchenko,.

    Le charbon nouvellement arrivé est prévu pour aider à soulager la crise de montage énergétique de l'Ukraine, qui a subi un autre coup après un accord pour importer du charbon d'Afrique du Sud est effondré plus tôt cette semaine.

    "Une fois que nous pouvons résoudre le problème de l'approvisionnement en charbon, nous pouvons parvenir à un prix plus bas pour la production d'électricité," dit Vladimir Demchyshyn, ministre de l'Énergie de l'Ukraine a déclaré, lors d'une conférence de presse cette semaine. "Nous avons des centrales, mais nous ne pouvons pas les utiliser à leur pleine capacité, sauf si nous avons assez de carburant pour les faire fonctionner ».

    La pénurie énergétique de l'Ukraine a été provoquée quand la Russie a coupé la fourniture de gaz naturel du pays en Juin à la suite de l'encours de $ 5,3 milliards la dette de l'Ukraine à géant russe de gaz appartenant à l'Etat, Gazprom. Pendant ce temps, les hostilités dans la région du Donbass déchirée par la guerre ont interrompu la production de charbon et d'approvisionnement aux centrales électriques du pays, aggravant encore la crise.

    Le charbon sud-africain beaucoup Ukraine a été mise sur pour aider le pays à travers les prochains mois d'hiver, est tombé à travers lorsque la tête d'un cabinet d'énergie de l'état ukrainien impliqué dans la négociation de l'accord a été détenu sur des soupçons de détournement de fonds. Dans une autre tentative pour conjurer la crise, l'importateur de gaz du pays, Naftogaz a conclu un accord avec Gazprom pour la livraison de 1 milliard de mètres cubes de gaz russe en Décembre que l'Ukraine se prépare pour un hiver froid.

    Actuellement, le pays est confronté à des coupures d'électricité de masse. Le ministère de l'Energie a imposé des limites sur la consommation entre 8 et 11 heures du matin et entre 4 et 8 heures du soir.

    Le vendredi, le Cabinet des Ministres de l'Ukraine a décidé d'étendre les mesures d'urgence pour le marché intérieur de l'électricité jusqu'en Janvier, c'est la troisième fois qu'une telle prolongation a été accordée au cours des six derniers mois.

    http://rt.com/business/212171-russian-coal-enters-ukraine/

    RépondreSupprimer
  4. Les gros dommages collatéraux de la guerre des prix du pétrole contre Poutine



    Pierre Jovanovic
    jeu., 04 déc. 2014 10:18 CET

    Wouaa... Le prix du brut ne cessant de baisser, cela entraîne aussi une baisse phénoménale des recettes dans les comptes de tous les pays producteurs de pétrole. Cette baisse est orchestrée par les Etats-Unis pour coincer Poutine (avec la complicité des pays consommateurs - plus le prix du brut baisse, plus cela affaiblit le rouble et les réserves FX de la Russie). Mais les dégâts collatéraux et les morts commencent à être visibles : le hedge funds BHAA, 37 milliards en gestion, vient de se faire massacrer et il a été obligé de... jeter l'éponge de son département matières premières : « Brevan Howard Asset Management plans to close its commodity hedge fund following recent poor performance ... The fund, managed by Stephane Nicolas, has $630 million in assets. It lost 4,2% last year and is down 4,3% this year to the end of October » nous disent, très surpris, Bloomberg ici et le Wall Street Journal ici.

    - voir graphique sur site -

    Mais il n'y pas que cela. Le mot est qu'en Arabie Saoudite, les milliers de princes se tirent dessus à boulets rouges, voyant leur SMIC (en millions) baisser radicalement. Deux camps s'affrontent, ceux alliés aux US et ceux qui sont pour l'indépendance. Et cela ne se passe pas très bien. Toujours est-il que Blommberg comme le WSJ notent que la baisse du brut a entraîné des appels de marge massifs, et qu'en ce moment même le sang gicle sur les murs car personne n'avait prévu une telle descente aux enfers des cotations... Il faut payer les swaps et les appels de marge, alors que la situation est particulièrement difficile. La pression sur les marchés est terrible.

    De son côté, Poutine joue à fond la carte de l'or et continue à en acheter afin de donner une assise solide à sa monnaie. Mais le véritable enjeu est celui-ci : qui de la Russie ou des Etats-Unis tombera (financièrement) le premier ? Qui tiendra le plus longtemps ?

    En effet regardez bien cette carte de l'endettement que j'ai vue passer sur tweeter. Elle vous dit tout, qui est sain et qui ne l'est pas, et force est de constater que les plus malades ne sont pas ceux que les médias pointent du doigt...

    - voir carte de la dette publique des pays européens en pourcentage du PIB (2013) sur site -

    PS : Notre lecteur Mr Grigoletto a vu que la multinationale BASF et ainsi que 3 grandes banques, Goldman Sachs, HSBC et la Standard Bank sud-africaine ont tous été mis en examen pour manipulation des cours du Palladium et du Platine. Nooon, on y croit pas... Tous les cours sont manipulés à leur profit, mais malgré cela, certaines de ces banques flirtent avec la faillite, lire ici Reuters. Le vol du peuple, il n'y a que cela de vrai finalement.

    http://fr.sott.net/article/24111-Les-gros-dommages-collateraux-de-la-guerre-des-prix-du-petrole-contre-Poutine

    RépondreSupprimer
  5. La Chine dépasse les Etats-Unis pour devenir la plus grande économie du monde

    le 6 décembre 2014 FoxNews.com

    Pour la première fois depuis des décennies, aux États-Unis n'est plus la plus grande économie du monde, et la Chine est devenue le numéro un, affirme le Fonds monétaire International.

    The IMF a récemment publié les derniers chiffres pour l'économie mondiale, affirmant que la Chine produira $ 17,6 billions en termes de biens et services--comparées à $ 17,4 billions pour les États-Unis

    Il y a seulement 14 ans aux États-Unis produit presque trois fois plus que les chinois, Dow Jones MarketWatch signalé.

    Mais chaque pays rapporte ses données dans sa propre monnaie, selon le site Internet du FMI. Pour comparer les données, les statistiques de chaque pays doivent être convertis en une monnaie commune. Mais il y a plusieurs façons de gérer cette conversion et chacun peut se traduire par des réponses très différentes.

    Une autre mesure de la force de l'économie est sa « parité de pouvoir d'achat » ou PPP — le taux auquel la monnaie d'un pays devra être converti en celui d'un autre pays pour acheter la même quantité de biens et de services dans chaque pays.

    La Chine compte aujourd'hui 16,5 % de l'économie mondiale lorsqu'elle est mesurée en dollars constants PPP, contre 16,3 % pour les États-Unis

    Les prix ne sont pas les mêmes dans chaque pays, suggère de Business Insider. La même chemise vous coûtera moins à Shanghai que dans San Francisco, donc en comparant les pays sans tenir compte de ces facteurs n'est pas toujours fiable.

    Si le citoyen chinois moyen gagne beaucoup moins que l'américain moyen, il suffit de convertir un salaire chinois en dollars sous-estime combien de pouvoir d'achat que personne et c'est pourquoi ce pays, pourraient avoir.

    Si le FMI mesure les deux PIB en termes de marché-échange et termes de PPA. Sur la base du pouvoir d'achat, Chine est dès maintenant les dépassements aux États-Unis et devient la plus grande économie du monde.

    Chroniqueur de MarketWatch Brett Arends suggère que si vous regardez les taux de change internationaux, l'économie américaine est encore plus grand que prétendument par près de 70 pour cent de la Chine. Mais, ajoute de Arends, bien que ces mesures sont couramment citées, ils peuvent aussi être peu fiables.

    Experts ont prédit l'économie chinoise surpasseraient de l'Amérique des années et de sagesse populaire récente prévoit le changement cette année.

    L'économie chinoise peut maintenant le plus grand du monde, mais ce n'est pas toujours le plus riche. PIB par habitant est encore moins d'un quart des niveaux américains, le Financial Times a signalé.

    http://www.foxnews.com/world/2014/12/06/china-surpasses-us-to-become-largest-world-economy/

    RépondreSupprimer
  6. Les 10 plus importantes différences entre Mac et PC


    Lisa Eadicicco
    4 décembre 2014, 17:37


    Mac et PC ont été enfermés dans une bataille épique pour de nombreuses années.

    PC étaient autrefois le go-to ordinateur parce que les développeurs utilisés pour écrire les meilleures applications pour de Windows en premier.

    Mais au cours des dernières années, cela a changé. Maintenant, ce est presque impossible de trouver une application sur Windows qui ne est pas aussi sur Mac.

    Maintenant que Windows 8 est disponible depuis environ deux ans, Apple et les plateformes de Microsoft semblent encore plus différent que jamais.

    Nous avons réuni quelques-unes des principales différences entre Mac et PC pour vous aider.

    Ce est une mise à jour d'un article écrit à l'origine par Kevin Smith.

    Apple lui-même fier de la conception.

    Apple a passe des années à travailler sur la façon dont ses produits look. L'entreprise est tout au sujet des détails, même les internes de ses ordinateurs sont magnifiquement construits.

    la conception de PC dépend de la compagnie de les faire, mais ils ne sont généralement pas aussi attrayant que Mac. Cependant, nous avons vu quelques belles imitateurs comme ce portable Dell à partir de 2012 .

    Macs sont généralement plus chers.

    En moyenne, les Mac ont tendance à être nettement plus chers que leurs homologues PC. Bien qu'il existe des haut de gamme PC Windows qui coûtent environ le même que un MacBook Air (ou plus), il n'y a pas vraiment d'options budgétaires Super bon marché comme il ya avec les ordinateurs Windows.

    Vous pouvez obtenir un ordinateur portable de Windows pour aussi pas cher que 200 $ , ce qui est une fraction de ce que vous auriez à payer pour un Mac.

    Windows est mieux pour les joueurs PC de hardcore.

    GodsMoon via flickrEn raison de la façon dont les machines Windows sont hautement personnalisables, les joueurs ont tendance à les préférer. Vous pouvez booster les performances de votre ordinateur avec une meilleure carte graphique ou ajouter plus de mémoire pour gérer les jeux gourmands en énergie.

    Mac peuvent généralement pas rivaliser sur le côté du jeu, sauf si vous êtes prêt à dépenser une énorme somme d'argent.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  7. Vous obtenez un meilleur soutien à la clientèle avec un Mac.

    Par lynxman sur FlickrLorsque votre Mac casse, vous pouvez réserver un rendez-vous et le prendre à votre Apple Store local. Là, un spécialiste peut vous aider avec votre Mac. Si le problème peut être résolu en une session, il y a habituellement pas de frais.

    Microsoft a quelques points de vente, mais pas presque autant que Apple fait. Vous auriez probablement appeler le fabricant de votre ordinateur portable directement pour obtenir un soutien à la clientèle ou rendez-vous sur votre Best Buy local. Il n'y a aucune option Genius Bar, comme il en existe pour les propriétaires de Mac.

    Mac ont tendance à être plus sûr contre les logiciels malveillants et les virus.

    Nortonsociété de sécurité AVG écrit que depuis il ya encore moins de Mac que les ordinateurs Windows que là-bas, la plate-forme d'Apple est encore un peu plus sécurisé. Mais cela ne durera pas trop longtemps, la société écrit, et nous avons vu la preuve de ce qu'un nombre croissant de virus sont apparus sur les ordinateurs Mac au cours des dernières années.

    Apple dit aussi que ce est ajouté de nouveaux types de fonctionnalités de cryptage et de sécurité dans OS X Yosemite pour garder votre ordinateur à l'abri.

    Et, depuis Mac exploitation le système d'Apple est construit sur Unix, ce est un peu plus sûrs par défaut que Windows, rapporte Macworld.

    Les deux systèmes d'exploitation ressemblent tout à fait différente.

    8.1 de Windows et le système d'exploitation Mac OS X d'Apple sont complètement différentes les unes des autres. Par défaut, Windows dispose d'une interface carrelée qui vous permet d'explorer les nouvelles, vos photos, vos contacts, ou naviguez sur le Windows Store parmi d'autres options. Vous pouvez afficher vos applications en faisant défiler vers la gauche et la droite, ou glisser vers le bas.

    Mac OS X a un look plus propre, moins occupé. Au niveau le plus élémentaire, vous avez un ordinateur de bureau, un dock pour accéder à l'ensemble de vos applications préférées, et une barre des tâches en haut de l'écran.

    PC ont une plus grande variété de matériel à choisir.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  8. Il existe de nombreux fabricants de PC différents, donnant aux clients beaucoup d'options différentes et marques à choisir.

    Microsoft rend simplement le logiciel, mais des entreprises comme HP, Acer, Lenovo, Dell, et bien d'autres font le matériel. Cette offre la variété et les caractéristiques qui peut se adapter le budget ou la préférence de chacun.

    Apple fait le matériel et le logiciel, donc vous avez seulement une poignée d'options si vous voulez acheter un Mac.

    Si vous voulez vraiment technique, il est possible de construire votre propre "Hackintosh," ou d'un PC traditionnel qui exécute le système d'exploitation d'Apple. Voici un mini guide si vous voulez apprendre comment le faire .

    Certains ordinateurs Windows sont livrés avec des écrans tactiles.

    Avec de nombreux ordinateurs Windows, vous avez la possibilité de commander une version avec un écran tactile depuis l'interface de Windows 8.1 est plus touch-friendly. Cette option ne existe pas actuellement pour le Mac.

    Windows se exécute sur des tablettes, trop - et pas seulement les ordinateurs portables et de bureau.

    Windows 8.1 est disponible sur les appareils de toutes tailles de géant tout-en-un des ordinateurs pour les ordinateurs portables à petits comprimés de 8 pouces. OS X ne est disponible que pour les ordinateurs portables, ordinateurs de bureau d'Apple, et tout-en-un des ordinateurs.

    Habituez-vous à différents raccourcis clavier si vous avez l'intention de passer.

    Si vous êtes prêt à faire le changement de sitôt, se habituer aux différents raccourcis clavier peut être l'un des obstacles les plus difficiles à surmonter. Même en prenant une capture d'écran est différent sur Windows versus Mac.

    Avec Windows 8.1, vous pouvez appuyer sur la touche Windows et la touche d'impression d'écran de prendre une capture d'écran, mais vous aurez besoin d'utiliser un autre programme comme Paint faire toute culture. Sur un Mac, vous pouvez maintenir la commande, Shift, et quatre touches de prendre une capture d'écran qui vous permet de cultures tout ce que vous voulez de votre écran actuel.

    BONUS: Vous voulez le meilleur des deux mondes? Mac peut exécuter Windows!

    Mac ont la capacité d'exécuter Windows, soit par une machine virtuelle ou directement sur le système. Chaque Mac dispose d'un programme intégré appelé Boot Camp qui permet d'installer Windows sur votre machine. Si vous voulez, vous pouvez diviser l'espace sur votre disque dur entre Windows et Mac OS X de sorte que vous aurez deux systèmes d'exploitation sur le même ordinateur.

    http://www.businessinsider.com/differences-between-macs-and-pcs-2014-12?op=1

    RépondreSupprimer
  9. Ils ont eu tout faux: nouvelles données montrent comment Dems peut reconquérir l'Amérique


    Mercredi 3 décembre 2014 21:30 0100


    Il s'avère que les conservateurs sont de se faire écraser dans les débats de la valeur de la famille. Voici cinq autres conclusions que la gauche devrait savoir

    Pour tout il y a une saison et est le temps pour l'élection dissection maintenant. Comment concilier un électorat qui a augmenté le salaire minimum partout possible et a opté pour les républicains qui professent de ne pas y croire ? Et que faisons-nous de la - même pour l'Amérique - pathétiquement faible taux de participation ?

    Un tiers des Américains luttent pour joindre les deux bouts. C'est 106 millions de personnes qui, souvent, ne savent pas comment ils vont payer le loyer, la garde d'enfants ou la retraite. Même dans notre hargneux Amérique, c'est un grand groupe ayant des intérêts communs - des salaires décents, les heures de travail fiables, abordables et enfant des soins de santé, et les moyens pour permettre à une deux dernières habitable de décennies.

    Jamais l'esprit les 99 %, pourquoi ne voyons-nous pas le fond de 33 % se levant ? Ce sont eux avec la plus forte hache à moudre avec nos politiques économiques actuelles. Nous savons qu'il y a des principaux obstacles structurels et économiques à les organiser et votants, mais y at-il d'autres raisons pour lesquelles ils sont assis sur le banc de touche politiques ?

    Nous avons récemment terminé une enquête pour comprendre pourquoi et ce qu'il faut faire à ce sujet. Nous voulions savoir s'il y a de nouvelles et meilleures façons de décrire la pauvreté, ses origines et les correctifs qui pourraient obliger les gens à remettre en question le statu quo économique. Nous avons cherché langue non filtrée par les personnes les plus touchées et tout concentrés sur des cadres qui se déplacent les gens à l'action plutôt que de simplement répondre milieu pâteux où ils sont.

    Grâce à l'analyse des séries de discours actuel (de la parole dimanche matin montre Honey Boo Boo), des séances avec des personnes vivant en dessous du seuil de pauvreté écoute, entretiens avec des défenseurs de la justice sociale et une enquête de plus de 1700 Américains, voici ce que nous avons trouvé.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  10. Les pauvres ne s'identifient comme «pauvres»

    C'est pas des nouvelles que même les gens qui vivent en dessous du seuil de pauvreté fédéral ne s'identifient pas comme tels. Mais nous avons été surpris par l'ampleur de leur éloignement de cette étiquette ainsi que du terme «pauvreté». Parmi les participants qui vivent au niveau ou en dessous de 200% du seuil de pauvreté fédéral, les termes "travailleurs pauvres" "classe ouvrière" et " piège de la pauvreté "reçu des cotes médiocres.

    Cela contribue à expliquer pourquoi le soutien aux politiques qui traitent de la pauvreté en Amérique ont affaibli au fil du temps: les personnes qui bénéficieraient le plus d'eux sont en grande partie pas dans la lutte. Et sans leurs voix authentiques, nous nous bornons à des conversations sur "ces" gens plutôt que d'entendre de ceux pris au piège sans emploi ou dans des emplois qui ne paient pas les factures.

    Mouvements pour le pouvoir politique n'ont jamais été construits sur la victimisation ou faux stéréotypes; ils sont construits par les plus directement lorsqu'il est fait debout pour ce qui est juste.

    De noms de verbes

    La façon de surmonter notre impasse actuelle est de parler à des gens expériences vécues, plutôt que d'apposer des étiquettes ne veut porter. C'est difficile pour les mouvements sociaux élevés dans la politique d'identité. Noms comme «femmes», «étranges», «sans papiers» sont beaucoup plus faciles à se organiser autour. Mais dans la cause de la justice économique, nous avons à s'accrocher à des verbes. Nos meilleurs descripteurs de dépistage, en particulier parmi les répondants à faible revenu, évoquent la vie quotidienne des gens et de s'assurer que ces "du mal à joindre les deux bouts» ou «vivant sur le bord" sont actifs au centre de leur propre histoire.

    Donner des noms, proposer des solutions

    Contrairement aux idées reçues, nous avons une ouverture de construire un soutien massif pour un agenda progressiste pour éradiquer la pauvreté. Voici pourquoi: le nombre d'entre nous qui croient que vous pouvez travailler dur en Amérique et encore jamais aller de l'avant est à un niveau record; dans notre étude ce sentiment a obtenu un 7,6 sur une échelle de dix points parmi nos échantillon total. Dans le même temps, la colère des gens devant les pitreries avides de PDG et actionnaires est à un plus haut historique. Avec une moyenne de 8,2, aucune déclaration testé plus fortement que "recevoir les bonus des PDG qui sont trop élevés, et les gens ne sont pas payés assez pour le travail qu'ils font." Même les républicains de notre échantillon ont donné une cote moyenne de 7.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  11. Néanmoins, les Américains, en particulier ceux à faibles niveaux de revenu, sont sceptiques que quelque chose peut être fait à propos de la «pauvreté» et profondément méfiance toute institution comme un agent de changement. Là encore, contribue à expliquer la faible participation historique.

    Notre recherche suggère une solution potentielle à la partie de messagerie de ce défi. Nous devons cesser de personnifiant l'économie en utilisant un langage comme «malsain» ou Imprégner l'économie avec l'agence suggère ce est quelque chose que nous devons supporter comme "récupération." - Une source primaire du désespoir qui engendre l'apathie. Il prête également accréditer la laissez faire vaudou nos adversaires redémarrer en continu dans un emballage frais.

    Les gens au pouvoir causent nos problèmes économiques - et les gens peuvent les résoudre. PDG et les politiciens font des règles qui empêchent les Américains bloquées dans des emplois qui ne paient pas ce qu'il faut pour élever une famille. Nous devons faire clairement où nos problèmes proviennent pour que nos correctifs à leur donner un sens. Notre problème ne est pas de convaincre la plupart des Américains nos solutions sont à droite; C'est à eux de convaincre que nos solutions sont possibles.

    C'est progressif à embrasser «liberté» et «famille»

    Nous devons remettre en question nos croyances sur ce que nous pouvons et ne pouvons pas dire. Pendant trop longtemps, l'extrême droite a mobilisé la base en utilisant des mots câlins comme «famille» pour masquer pour leur anti-femme, programme anti-LGBT. Progressistes alors évitent de ces termes, craignant qu'ils évoquent un hétérosexuel famille blanche, nucléaire, à l'exclusion des autres.

    En vérité, les conservateurs sont écrasés en valeurs centrées débats. L'égalité de mariage est en train de gagner précisément parce que les personnes LGBT ont fait le débat sur l'engagement et de la famille. Lorsque nous avons cessé de parler des «droits» et commencé à parler «amour», le vent a tourné. Le mouvement des droits des immigrants a fait des progrès incroyables parce que nous pivoté à la langue de garder les familles ensemble et la liberté de poursuivre la vie, à la liberté et le bonheur.

    Famille vient en premier, notre message haut-tests, a recueilli une moyenne de 71 sur 100 chez les Américains persuadés d'accepter et 78 avec notre base. En revanche, le meilleur message de l'opposition a marqué 65 avec persuadables et 76 avec leur base. Cela ne devrait pas nous surprendre. Si vous demandez Américains (et nous ne avons) pourquoi ils travaillent et ce qu'ils cherchent, vous entendrez une liste de blanchisserie des idéaux progressistes liées à la famille: retraite sûre pour les parents, un avenir meilleur pour les enfants, mettre le dîner sur la table et être à la maison dans le temps pour le manger.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  12. Alors que la «famille» testé le plus fortement, nous avons également constaté nos messages progressistes font mieux quand nous nous appuyons sur des valeurs qui incluent la communauté et de la liberté.

    Personnes qui luttent sont les agents de leurs propres histoires

    Dans notre politique, l'économie se rarement discuté à travers les yeux de lutte Américains parce que les vainqueurs sont ceux qui détiennent les stylos. Les riches se jetent comme Horatio Alger, vantant leurs réussites individuelles. Les gens qui sont pauvres sont soit omis ou présentés comme des récits édifiants.

    Si nous voulons construire un mouvement, nous avons besoin de jeter des millions de familles qui luttent dans des situations intenables que nos héros. Leurs histoires montrent comment le nombre peut gagner contre de l'argent. Et sérieux changement ne viendra que si nous construisons un mouvement de personnes pauvres qui vivent tous les jours avec les réalités intestin déchirants d'être payé moins que ce qu'il en coûte pour vivre.

    Mais quand nous disons à ces histoires de lutte économique, nous ne pouvons pas entraîner des préjudices ou des privations. Nous devons parler à la vérité de la résilience et de l'ingéniosité des gens dans le face à des obstacles presque impossible. Si nous voulons convaincre le milieu que les personnes vivant à ou près du seuil de pauvreté sont piégés par des emplois qui ne paient pas assez, ils doivent d'abord comprendre que ces gens sont des acteurs - pas seulement agi sur.

    Aliéner l'opposition n'est pas seulement acceptable - elle est nécessaire

    Trop souvent, les politiciens et les défenseurs cherchent messages qui sauront plaire à la plupart des gens, peu importe où ils tombent sur le spectre idéologique. En conséquence, nous nous retrouvons avec un langage qui, au mieux, n'excite pas et inspirer les gens que nous voulons prendre des mesures et, au pire, les déresponsabilise pure et simple.

    Nous avons pris une approche différente, ne pas se contorsionner pour plaire à l'autre côté. Ils sont notre opposition à la raison; ils sont en désaccord avec notre analyse du problème et notre solution souhaitée. Mieux encore, s'avère les messages qui aliènent nos adversaires, lancez notre base.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  13. Certains des moments les plus fascinants de la recherche viennent de regarder où l'opposition compose bas au cours de divers messages. Des expressions comme «tous les parents de travail devrait être assez payé pour régler leurs enfants hors pour un avenir brillant» et «un peu cupides truquées le jeu en leur faveur, maintenant trop nombreux emplois ne paient pas assez pour nos besoins et encore moins permettre à nos rêves" envoyer environ 17 pour cent des Américains boulonnage. Et pour eux, nous disons: bon débarras. C'est le débat que nous voulons avoir - d'autant plus que le reste de l'échantillon qui représente la grande majorité des Américains - embrasser activement notre point de vue ici.

    Ces résultats sont frais, car nous avons utilisé de nouvelles méthodes. Typiquement, si vous voulez entendre ce que les gens à faible revenu pensent, vous les mettez dans un groupe de discussion et de voir comment ils réagissent à la langue pré-fab avec l'économie et la classe moyenne au centre. Nous avons écouté d'abord et formulé mots de gagner les personnes les plus touchées. Ils ne parle pas de ce qui va faire croître l'économie; ils parlent ce qui doit leur enfant, maman ou un voisin.

    Sans surprise, ces messages ont battu haut la main l'entreprise que la messagerie Beltway habitude. Il peut sembler assez évident, mais à Washington DC il convient de répéter: La meilleure façon de comprendre comment parler aux gens est d'écouter honnêtement eux.

    Nous avons un choix. Nous pouvons continuer à déplorer résultats des élections et le manque apparent de circonscription active pour rendre l'Amérique moins ploutocratique ou nous pouvons apprendre des données dures et réorienter nos efforts le long des lignes que nous connaissons activera notre base, de persuader les Américains dans le milieu, et appeler ceux qui profité de nous plonger dans la récession et se battre pour garder serrant les dépouilles.

    http://www.salon.com/2014/12/03/they_got_it_all_wrong_new_data_shows_how_dems_can_win_back_america/

    RépondreSupprimer
  14. Vol MH-17 : agonie d'un mensonge


    Giulietto Chiesa
    Megachip
    ven., 05 déc. 2014 06:09 CET
    Traduction : ilfattoquotidiano.fr

    Nous attendons toujours les informations sur le Boeing MH-17 abattu en juillet dernier. La valse des mensonges sur le vol MH-17 abattu en Ukraine devient chaque jour davantage la métaphore de la fin des illusions démocratiques du monde occidental. Mais il s'agit aussi et surtout de la manifestation tragique du désastre intellectuel et moral dans lequel sont tombées les hordes de « semeurs de peste » qui continuent à les défendre. Pour rester cohérents, ces gens ont dû mentir effrontément. Et aujourd'hui, face à l'émergence de la vérité, ils sont obligés de les répéter, tout désorientés, voire de les amplifier en inventant des variantes plus ou moins fantaisistes et de moins en moins crédibles, se contredisant à loisir, sans s'apercevoir du ridicule dans lequel ils sont tombés. Ou alors, et c'est l'attitude simple et peu compromettante, ils se taisent et évitent d'évoquer les bribes de vérité qui passent pourtant à leur portée.

    Voilà le visage du journalisme servile de notre époque. Mais il y aura bien pire, et dans un futur proche, car ces semeurs de peste qui se font passer pour des journalistes sont prêts pour les prochaines délations répugnantes auxquelles ils seront contraints par les patrons qui les paient, même s'il est vrai que le journalisme occidental n'était pratiquement jamais, de toute son histoire, tombé aussi bas.

    J'ai eu l'occasion récemment d'écouter, dans les somptueuses salles du Parlement européen, un politologue anglo-saxon - c'était début décembre, soit 4 mois et demi après l'assassinat collectif de 298 personnes innocentes - exiger de la Russie d'une voix tonitruante, non seulement des excuses pour avoir abattu le Boeing malaisien, mais aussi une indemnisation pour les familles de victimes. Le type - qui n'avait pas de qualificatif assez dur pour Poutine, ne savait rien - le pauvre - de ce qui s'était passé pendant ces 4 mois. Il ne savait pas ce que, par respect et par décence - devrait savoir une personne dont le métier est de s'occuper de politique, de journalisme, qui mène des analyses lues par des gouvernants (ceux qui prennent des décisions), et qui devrait donc avoir le sens de la responsabilité de celui qui, par profession, contribue à la vie de la société et au bien commun.

    Je ne dirai pas son nom ici, non pas que je veuille protéger sa personne, mais simplement parce qu'il fait partie de ces innombrables pauvres bougres habitués à répéter automatiquement ce qui leur est servi par les médias dominants. C'est simplement l'un des multiples anneaux de la grande chaine de la stupidité - de second niveau celle-là - qui maintient en place le chapiteau entourant la Grande Fabrique des Rêves et des Mensonges.[...]

    Voilà : cette longue introduction pour commenter maintenant la dernière information sur les enquêtes officielles totalement inexistantes de ces derniers mois censées rechercher les responsabilités dans le crash du Boeing malaisien le 17 juillet dernier. La nouvelle provient du quotidien malaisien en ligne, et nous apprend que la Malaysie a finalement été « acceptée comme membre à part entière du groupe en charge de mener l'enquête criminelle. » Autrement dit, le pays propriétaire de l'avion abattu, et qui a vu la mort de 44 de ses concitoyens, a dû attendre quatre mois avant de pouvoir participer et contrôler le déroulement des investigations.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  15. Nous savons (depuis le 8 août, et nous avons été les premiers et les seuls d'ailleurs à le publier avec Megachip et PandoraTV.it) que le groupe est constitué de quatre pays : Hollande, Belgique, Australie et Ukraine. Impossible de savoir qui a décidé de la composition de ce groupe, ni quels critères ont amené à cette « étrange » sélection, qui ne cadre avec aucune considération logique ou juridique. Par exemple, elle ne correspond pas au principe des « pays les plus touchés en termes du nombre de victimes ». En effet, si l'Australie et la Hollande ont eu de nombreuses victimes, l'Ukraine n'en a déploré aucune, et la Belgique en a seulement eu quatre, autant que l'Allemagne qui ne fait pourtant pas partie du groupe.

    Nous savons (et nous l'avons répété maintes fois, dans le silence absolu des médias occidentaux) que le gouvernement de Kuala Lumpur a demandé à plusieurs reprises à être incluse dans l'enquête, mais n'a pas obtenu de réponse, jusqu'à hier. Nous constatons que la présence de l'Ukraine dans ce groupe a des pour (l'avion a été abattu dans l'espace aérien ukrainien, et donc ce pays a beaucoup d'informations à donner), et des contre, car les circonstances de cette tragédie font de l'Ukraine (et plus précisément des responsables de certains services et ministères) l'un des principaux suspects, et qu'elle est elle-même objet de l'enquête. De plus, il est avéré qu'au cours de ces derniers mois l'Ukraine n'a pas fourni à la commission d'enquête les enregistrements des conversations entre les contrôleurs aériens ukrainiens et l'équipage du Boeing. Un fait extrêmement grave, qui peut légitimement être défini comme une volonté délibérée d'entraver l'enquête.

    Mais nous avons également rapporté l'information (de source ukrainienne officielle) que les « quatre pays de l'Apocalypse » ont établi un droit de véto (denial) sur la base duquel n'importe lequel des quatre membres peut interdire la publication de documents de l'enquête. Une disposition qui surpasse toutes les précédentes en matière de bizarrerie, mais qui étale sous nos yeux le véritable aveu, à savoir qu'en faisant ainsi, il est permis à l'Ukraine de cacher ses éventuelles responsabilités dans l'incident. Et que l'Australie, la Belgique et la Hollande se sont attribuées le rôle de chien de garde pour empêcher l'émergence d'une quelconque responsabilité occidentale, par exemple celle de l'OTAN.

    Nous avons - tout comme des dizaines de sites Internet - enregistré le fait (et là il ne s'agit pas d'une bizarrerie) que les États-Unis disposent d'une grande quantité d'informations sur ce qui s'est passé, mais que pendant ces quatre mois ils se sont bien gardés de les fournir. Un de leurs satellites de surveillance survolait la zone à ce moment précis, et photographiait chaque centimètre carré, mais ils n'ont pas divulgué ces images. Deux avions-AWACS interceptaient toutes les communications radio et radar pendant ces minutes critiques et dans cette zone précise (comme révélé par le gouvernement allemand), mais les seules informations qui ont filtré sont de toute évidence fausses (l'avion aurait été abattu par un missile Buk de fabrication soviétique), et ont été diffusées par les services secrets allemands, avec trois mois de retard.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  16. Il ressort de tout cela que les seuls à fournir des informations précieuses (peut-être en gardent-ils sous le coude, mais celles-ci sont importantes) sont les services secrets russes, qui ont communiqué trois jours après la tragédie, révélant plusieurs faits dont un décisif : au moins un autre avion, certainement ukrainien, volait à proximité du Boeing. Un fait confirmé par de nombreux témoins au sol, qui ont tous affirmé avoir vu le 2e avion (certains en ont même vu deux) près du Boeing et juste après qu'il eut été abattu. Les grands médias occidentaux ont totalement ignoré cette conférence de presse des militaires russes. Et la BBC, qui avait diffusé un reportage sur la zone du crash avec des témoins qui confirmaient la version russe, a promptement retiré le documentaire et, semble-t-il, l'a effacé de ses archives Web. Autant d'éléments qui montrent l'étendue et les ramifications des systèmes de contrôle [médiatiques] et de diversion mis en œuvre par les services secrets occidentaux pour empêcher l'apparition d'informations gênantes sur cet événement.

    Entre temps, les boites noires qui avaient été retrouvées en parfait état de fonctionnement par les rebelles filo-Russes du Donbass (même si tous les journaux avaient annoncé par avance que les « Russes » les auraient cachées, ou détruites, pour ne pas révéler au monde leur responsabilité) les ont consignées aux observateurs de l'OSCE sous les yeux des caméras ; les boites noires ont ensuite été confiées à l'ICAO à Londres, mais on ne sait toujours pas avec précision qui les a analysées et quel est leur véritable contenu.

    Les seules informations fournies à ce jour par le fameux « groupe des quatre pays enquêteurs », à travers une déclaration de son porte-parole hollandais - nous disent deux choses : la première est que le Boeing a été abattu. Extraordinaire conclusion, après 3 mois d'enquête ! La seconde est que l'on ne saura rien de plus précis pendant au moins un an. Les Hollandais ont cependant commencé à montrer quelques signes de faiblesse, en reconnaissant avoir des choses à dire, mais ne pas pouvoir les rendre publiques de peur de « saper la confiance réciproque » des gouvernements. Une affirmation particulièrement étrange, et d'une certaine façon, révélatrice de l'existence de pressions aussi puissantes qu'inavouables, subies par les enquêteurs pour leur interdire l'établissement de la vérité.

    Dans l'intervalle, et dès les premiers instants qui ont suivi le crash du Boeing, a commencé l'infatigable œuvre de désinformation et de mensonge de la part de tous les principaux médias occidentaux. Une opération sous faux drapeau (False Flag) aux contours désormais classiques depuis le 11 septembre 2001, et qui a consisté à pointer du doigt un coupable fictif, et à répéter de manière obsessionnelle l'accusation sans jamais apporter la moindre preuve ou le moindre fait crédible, et en ignorant royalement tous les éléments contraires. Cette opération a atteint son but : pour la plupart des gens, le responsable de la tragédie du Boeing abattu reste la Russie, c'est-à-dire Poutine en personne. Le « missile » était de fabrication russe ; ce sont donc les Russes, c'est-à-dire Poutine, qui l'ont donné aux rebelles du Donbass. Tout est clair : les Russes sont les méchants et les assassins dans cette affaire. Est-ce d'ailleurs une coïncidence si les sanctions contre la Russie ont été imposées dans les jours qui ont immédiatement suivi celui du crash du Boeing ?

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  17. Tout cela alors que les photographies du cockpit montrent de toute évidence que l'avion a été mitraillé par un canon comme celui équipant les Sukhoi 25 de l'aviation militaire ukrainienne. Et alors que les télévisions russes (évidemment informées par les services secrets russes) ont publié le nom du pilote ukrainien qui a appuyé sur la gâchette, et le numéro de matricule du Sukhoi 25 qui a mené cette mission, et nous ont appris que ce pilote avait été envoyé à l'abri aux Émirats arabes unis après le massacre.

    Les télés russes publient également le nom de l'aiguilleur du ciel, une femme, qui suivait les évolutions des appareils depuis Kiev, et qui est partie en vacances le 18 juillet, on ne sait pas où, et qui n'est pas revenue travailler depuis. De bien longues vacances, n'est-ce pas. Pourtant il ne semble pas que les enquêteurs des « quatre pays de l'Apocalypse » aient cherché à rappeler ces deux personnes de leurs « vacances » pour les interroger.

    Une fable extraordinaire, mais qui n'a pas de fin joyeuse. Mises à part quelques petites brèches ici ou là. L'information sur l'entrée de la Malaysie dans le groupe des pays enquêteurs fait partie de ces brèches. Le bureau du procureur hollandais, par une lettre datée du 28 novembre 2014, a informé le ministère de la Justice de Kuala Lumpur, Tan Sri Abdul Gani Patail, que la Malaysie pouvait donc entrer dans le Saint des Saints de l'enquête. Jusqu'à quel point elle en sera membre à part entière et de plein droit, dans ce contexte, nous le verrons bien. On peut facilement imaginer les pressions et les chantages qui ne manqueront pas de s'exercer sur le gouvernement malaisien pour qu'il se conforme à la position choisie par l'Occident. Et on peut facilement deviner quelle partie du dossier sera soustraite à la curiosité des enquêteurs malaisiens. Mais on peut gager également que les seuls accusés à ce jour devant l'ensemble de l'opinion publique occidentale, à savoir les Russes, ne laisseront pas tomber et continueront à se défendre. Ils ont les moyens de le faire. Et il faudra bien observer comment ils réagiront.

    http://fr.sott.net/article/24118-Vol-MH-17-agonie-d-un-mensonge

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Dans la mesure où les photos de l'appareil abattu montrent bien que des balles ont été tirées à l'horizontale sur l'avion malaysien, il ne fait plus de doûte que ces trous ne peuvent avoir été fait depuis le sol à la verticale (à moins que l'avion de ligne vole sur le côté !! avec 298 personnes à bord ! comme les manèges de la foire ! Hahaha !). Ainsi, doit se conclure l'enquête comme quoi l'avion malaysien a été abattu par un autre avion volant à même altitude. Mais... de cette preuve irréfutable: les Etats-Unis n'en veulent point !!!

      Devinez pourquoi !

      Supprimer
  18. La France fait un geste envers la Russie, Poutine y est sensible


    7 décembre 2014
    The French Saker

    La presse a rapporté les conditions dans lesquelles s’est déroulée la rencontre, dite impromptue, mais préparée depuis déjà quelques jours, entre François Hollande et Vladimir Poutine, à Moscou, hier 6 décembre 2014. Ceux qui, comme moi, regrettaient le fait que la France se soit laissé entraîner par sa faiblesse atlantiste dans une quasi-guerre froide avec la Russie, ont repris quelque espoir à cette nouvelle.

    La modération du ton des deux présidents, leurs sourires réciproques pourraient laisser augurer que la diplomatie française retrouve à cette occasion un peu d’autonomie. Pour notre pays, plus encore que pour les autres États de l’Union européenne, la possibilité de coopérations stratégiques avec la Russie est essentielle, tant sur le plan économique que culturel.

    François Hollande aurait-il commencé à le comprendre ?

    Il ne faut pas être trop optimiste. Les pressions pour ramener la France dans le rang, tant au sein de l’Union que de l’OTAN, vont se déchaîner. Il est à craindre que, dès demain, l’on s’en aperçoive. Ces pressions viendront nécessairement de la diplomatie américaine, mais aussi sans doute d’Angela Merkel, saisie depuis quelques semaines d’une passion anti-russe que rien ne justifierait, sauf des causes qui lui seraient personnelles [1]. Se présentant mardi pour prendre le tète de l’Union chrétienne-démocrate (CDU), Angela Merkel suscite de plus en plus de critiques de la part du patronat allemand, qui lui reproche sa rigueur vis-à-vis de Moscou. L’attitude plus ouverte de François Hollande ne fera qu’accentuer ces critiques.

    Cela explique-t-il cela ? C’est-à-dire le ton peu diplomatique par lequel la Chancelière a reproché à la France, ce dimanche, son incapacité à se réformer [2] ?

    L’affaire du Mistral sera évidemment symbolique de l’évolution des rapports entre la France et la Russie. N’anticipons pas ce qui va se passer, mais reprenons un peu d’espoir.

    Cependant il y aurait bien d’autres dossiers sur lesquels la reprise d’une coopération avec Vladimir Poutine pourrait aussi se révéler symbolique d’une évolution en profondeur des relations entre la France et la Russie. Nous pensons notamment à la relance du projet de gazoduc South Stream [3]. Contrairement à l’Allemagne, la France n’est pas assoiffée de gaz. Pour autant, de bonnes coopérations entre les géants énergétiques français et leurs homologues russes seraient indispensables pour les deux parties.

    Quid cependant des sanctions décidées par Washington à l’égard de Moscou, qui pénalisent autant la France, sinon plus, que la Russie ?

    Rêvons un peu. Pourquoi, sur fond de Grand-père Gel, le père Noël russe (Ded Moroz, alias), ne pas décider en grande cérémonie d’honorer les commandes russes de dindes et d’oies de Noël ? Tout l’édifice imposé par les ânes et éléphants d’outre-Atlantique s’effondrerait.

    Quoi qu’il en soit, l’impromptu de Moscou montre à ceux connaissant mal les subtilités du jeu diplomatique qu’il ne faut jamais jurer de rien en ce domaine. Des situations apparemment bloquées peuvent se débloquer d’un coup. Malheureusement, l’inverse est toujours tout autant possible.

    Jean-Paul Baquiast
    Notes
    [1] Merkel, jeune et innocent(e)… (vineyardsaker, français, 02-12-2014)
    [2] Angela Merkel met en garde la France et ses réformes « insuffisantes » (lefigaro.fr, français, 07-12-2014)
    [3] Qui est le gagnant dans l’arrêt du gazoduc South Stream ? Qui est le perdant ? A vous de voir ! (vineyardsaker, français, 06-12-2014)

    http://www.vineyardsaker.fr/2014/12/07/la-france-fait-un-geste-envers-la-russie-poutine-y-est-sensible/#more-8536

    RépondreSupprimer
  19. La guerre est en cours, elle se fait par les médias et la propagande triomphe


    8 décembre 2014
    The French Saker

    Pourquoi tant de journalistes ont-ils succombé à la propagande ? Pourquoi la censure et les distorsions sont-elles des pratiques courantes ? Pourquoi la BBC se fait-elle la voix d’un pouvoir rapace ? Pourquoi le New York Times et le Washington Post trompent-ils leurs lecteurs ? Pourquoi n’enseigne-t-on pas aux jeunes journalistes à analyser l’agenda médiatique et à contester les hautes prétentions et les basses intentions de cette fausse objectivité ? Et pourquoi ne leur enseigne-t-on pas que l’essence de ce qu’on appelle les médias de masse (dominants) n’est pas l’information, mais le pouvoir ?

    La propagande de la télé insuffle des cellules dormantes parmi nous

    Ces questions sont urgentes. Le monde fait face à un risque majeur de guerre, peut-être nucléaire (avec des USA déterminés à isoler et à provoquer la Russie et finalement, la Chine). Cette vérité se voit inversée et travestie par les journalistes, dont ceux-là mêmes qui firent la promotion des mensonges qui menèrent au bain de sang irakien de 2003.

    Les temps dans lesquels nous vivons sont si dangereux, et l’opinion publique le perçoit de manière si distordue que la propagande n’est plus, comme Edward Bernays l’appelait, un gouvernement invisible. C’est le gouvernement. Elle règne directement sans craindre la contradiction et son principal objectif c’est de nous conquérir : notre vision du monde, notre capacité à séparer la vérité des mensonges.

    L’âge de l’information est en réalité un âge des médias, des médias qui censurent, qui diabolisent, qui châtient, qui font diversion : une chaine de montage surréaliste de clichés d’obéissance et d’hypothèses erronées.

    Cette capacité à forger une nouvelle réalité se construit depuis longtemps. Il y a 45 ans, un livre intitulé The Greening of America (le verdissement de l’Amérique) fit sensation. Sur la couverture, on pouvait lire ces mots : « Une révolution arrive. Elle ne ressemblera pas à celles du passé. Elle émergera de l’individu ».

    J’étais correspondant aux USA à l’époque et je me souviens de l’accession instantanée au rang de gourou de son auteur, un jeune universitaire de Yale, Charles Reich. Son message c’était que la divulgation de la vérité et l’action politique avaient échoué, et que seules la culture et l’introspection pourraient changer le monde.

    En quelques années, propulsé par les forces du profit, le culte du moi avait tout fait sauf améliorer notre propension à agir ensemble, notre sens de la justice sociale et de l’internationalisme. Les classes, les genres et les races s’étaient séparés. Le personnel c’était les politiques, et le message, c’était le médium.

    À la suite de la guerre froide, la fabrication de nouvelles menaces vint compléter la désorientation politique de ceux qui, 20 ans plus tôt, auraient constitué une opposition véhémente.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  20. En 2003, j’ai filmé une interview à Washington avec Charles Lewis, célèbre journaliste d’investigation US. Nous avons discuté de l’invasion de l’Irak, survenue quelques mois auparavant. Je lui ai demandé : « Et si les médias les plus libres du monde avaient sérieusement contesté les affirmations de George Bush et de Donald Rumsfeld, en investiguant, au lieu de se faire les porte-paroles d’une propagande grossière ? ».

    Il me répondit que si nous autres journalistes avions fait notre devoir, « il y a de grandes chances que nous n’ayons jamais envahi l’Irak ».

    C’est un aveu terrible, et que bien d’autres journalistes de renom, à qui j’ai posé la question, partagent. Dan Rather, anciennement de CBS, me répondit la même chose. David Rose du journal The Observer, ainsi que des journalistes et producteurs de haut rang de la BBC, qui souhaitaient garder l’anonymat, me répondirent aussi la même chose.

    En d’autres termes, si les journalistes avaient fait leur travail, avaient remis en question et décortiqué la propagande au lieu de l’amplifier, des centaines de milliers d’hommes, de femmes et d’enfants seraient encore vivant aujourd’hui. Et des millions n’auraient pas eu à fuir leurs domiciles. La guerre sectaire entre sunnites et chiites aurait pu ne pas commencer, et le tristement célèbre État islamique n’existerait peut-être pas.

    Aujourd’hui encore, malgré les millions de manifestants, la majorité du public des pays occidentaux n’a aucune idée de l’ampleur des crimes commis par nos gouvernements en Irak. Encore moins savent que, dans les 12 années précédant l’invasion, les gouvernements des USA et du Royaume-Uni ont déclenché un véritable holocauste en empêchant la population civile d’Irak d’accéder aux minimums vitaux.

    Voici les mots d’un Britannique de haut rang responsable des sanctions en Irak dans les années 90, un siège médiéval qui entraina la mort d’un demi-million d’enfants de moins de 5 ans, selon l’UNICEF. Le nom de cet officiel est Carne Ross. Au ministère des Affaires étrangères à Londres, on l’appelait Mr. Irak. Aujourd’hui, c’est un lanceur d’alertes qui nous explique comment les gouvernements mentent et comment les journalistes propagent délibérément ces mensonges. « Nous donnions aux journalistes des informations partielles et formatées par les services de renseignement », m’a-t-il dit, « ou alors nous les excluions ».

    Le dénonciateur principal de cette terrible époque de silence fut Denis Halliday. Alors Secrétaire général adjoint de l’Organisation des Nations-Unies et n° 1 de L’ONU en Irak, Halliday démissionna plutôt que d’appliquer des directives qu’il décrivait comme génocidaire. Il estime que les sanctions tuèrent plus d’un million d’Irakiens.

    Ce qui arriva ensuite à Halliday est très instructif. Il a été évacué. Ou diffamé. Lors de l’émission Newsnight de la BBC, le présentateur Jeremy Paxman lui hurla dessus : « N’êtes-vous qu’un défenseur de Saddam Hussein ? » Le Guardian a récemment décrit cette scène comme l’un des passages les plus mémorables de Paxman. La semaine dernière, Paxman a signé un contrat de 1 million de livres [=1,267 million d’€] avec un éditeur.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  21. Chuuuut ! Rappelle-toi : ce n’est pas de la censure, c’est le silence de la liberté ! Ne pose pas de questions, contente-toi d’obéir

    Les larbins de la censure ont bien fait leur travail. Voyons le résultat. En 2013, un sondage ComRes indiquait qu’une grande majorité du public britannique pensait que le total des morts de l’Irak était inférieur à 10 000 (une minuscule fraction de la vérité). Une trainée de sang qui s’étend de l’Irak à Londres a été soigneusement nettoyée.

    Rupert Murdoch est considéré comme le parrain de cette mafia médiatique, et personne ne devrait douter du pouvoir combiné de ses journaux (au nombre de 127, avec un tirage global de 40 millions de copies, et son réseau de télévision Fox). Mais l’influence de l’empire Murdoch n’est pas plus importante que ce qu’elle reflète de l’ensemble des médias.

    La propagande la plus efficace ne provient pas du Sun ou de Fox News, mais se camoufle sous un halo libéral. Quand le New York Times publia les affirmations selon lesquelles Saddam Hussein possédait des armes de destructions massives, ses fausses preuves furent acceptées, parce qu’il ne s’agissait pas de Fox News. Il s’agissait du New York Times.

    La même chose est vraie du Washington Post et du Guardian, qui ont tous deux joué un rôle crucial dans le conditionnement de leurs lecteurs à accepter une nouvelle et dangereuse guerre froide. Ces trois journaux libéraux ont fait passer les évènements en Ukraine pour des agissements malveillants de la part de la Russie (quand, en réalité, le coup d’État fasciste en Ukraine était le travail des USA, avec le soutien de l’Allemagne et de l’Otan).

    L’inversion de la réalité est si perverse que l’encerclement militaire et l’intimidation de la Russie par Washington ne sont même pas contestés. Ça n’est même pas une information, c’est passé sous silence et masqué par une campagne de dénigrement et de peur du genre de celles avec lesquelles j’ai grandi, pendant la Première Guerre froide.

    Une fois de plus, un empire démoniaque souhaiterait nous envahir, dirigé par un autre Staline, ou, encore plus pervers, par un nouvel Hitler. Donnez un nom au diable, et foncez.

    L’occultation de la vérité sur l’Ukraine est l’un des blackouts médiatiques les plus complets dont je puisse me souvenir. Les nombreuses installations militaires occidentales dans le Caucase et en Europe de l’Est depuis la Seconde Guerre mondiale sont occultées. L’aide secrète apportée par Washington au régime de Kiev et à ses brigades néonazies coupables de crimes de guerre contre la population de l’est de l’Ukraine est occultée. Des preuves qui contredisent la propagande selon laquelle la Russie serait coupable d’avoir abattu un avion de la Malaysian Airlines sont occultées.

    Et encore une fois, les censeurs sont les médias censés être libéraux. Ne citant aucun fait, aucune preuve, un journaliste a identifié un leader prorusse en Ukraine comme étant l’homme qui abattit l’avion. Cet homme, écrivit-il, était surnommé Le Démon. C’était un homme effrayant qui avait fait peur au journaliste. Voilà la preuve.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  22. Ils sont nombreux dans les médias occidentaux à avoir travaillé d’arrache-pied pour faire passer les Ukrainiens d’ethnie russe pour des étrangers dans leur propre pays, mais jamais comme des Ukrainiens cherchant à faire de l’Ukraine une fédération, ni comme des citoyens ukrainiens résistant à un coup d’État fomenté de l’étranger contre le gouvernement élu de leur pays.

    Ce que le président russe a à dire n’est d’aucune importance : il n’est qu’un Grand Méchant dont on peut se moquer en toute impunité. Un général US de l’Otan, tout droit sorti de Dr Folamour (le général Breedlove), proclame régulièrement que la Russie s’apprête à déclencher une invasion, sans l’ombre d’une preuve. Son incarnation du général Jack D. Ripper imaginé par Stanley Kubrick est proche de la perfection.

    40 000 Ruskoffs seraient en train de se rassembler à la frontière, selon Breedlove. C’était suffisant pour le New York Times, le Washington Post, et l’Observer (ce dernier s’étant précédemment illustré avec les mensonges et les fabrications qui permirent à Tony Blair d’envahir l’Irak, comme son ancien reporter David l’a révélé).

    On y retrouve presque la joie d’une réunion de classe. Ceux qui battent les tambours de guerre au Washington Post sont les mêmes qui déclaraient que l’existence des armes de destruction massive de Saddam était un fait incontestable.

    « Si vous vous demandez », a écrit Robert Parry, « comment le monde pourrait entrer dans une troisième guerre mondiale (comme il le fit dans la Première Guerre mondiale il y a un siècle), il vous suffit de jeter un œil à la folie qui s’est emparée de la structure politico-médiatique US à propos de l’Ukraine ou un scénario en blanc et noir s’est rapidement imposé et s’est avéré imperméable aux faits et à la raison ».

    Les trois phrases-clé de la Novlangue de 1984 : « La guerre, c’est la paix ; l’ignorance, c’est la force ; la liberté, c’est l’esclavage »

    Parry, le journaliste qui révéla L’affaire Iran-Contra, est l’un des seuls à investiguer le rôle clé des médias dans ce jeu de la poule mouillée (jeu à somme nulle), comme l’appelle le ministre russe des Affaires étrangères. Mais est-ce un jeu ? Alors que j’écris, le congrès des USA vote la résolution 758 qui, pour résumer, dit « préparons-nous à la guerre contre la Russie ».

    Au XIXe siècle, l’écrivain Alexandre Herzen décrivait le libéralisme laïque comme « la religion finale, bien que son église ne soit pas de l’autre monde, mais de celui-ci ». Aujourd’hui, ce droit divin est bien plus violent et dangereux que tout ce que produit le monde musulman, bien que son plus grand triomphe soit peut-être l’illusion d’une information libre et ouverte.

    Aux informations, on s’arrange pour que des pays entiers disparaissent des écrans. L’Arabie saoudite, source d’extrémisme et de terreur soutenue par l’Occident, n’y passe jamais, sauf lorsqu’elle abaisse le prix du pétrole. Le Yémen a subi douze années d’attaques de drones US. Qui le sait ? Qui s’en soucie ?

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  23. En 2009, l’Université de l’Ouest de l’Angleterre (à Bristol) publia les résultats d’une étude sur dix ans de la couverture médiatique du Venezuela par la BBC. Des 304 reportages diffusés, trois seulement faisaient mention d’une des mesures positives mises en place par le gouvernement d’Hugo Chavez. Le plus important programme d’alphabétisation de l’histoire de l’humanité ne fut évoqué qu’en passant.

    En Europe et aux USA, des millions de lecteurs et de téléspectateurs ne savent presque rien des changements remarquables et dynamiques mis en place en Amérique latine, dont beaucoup ont été inspirés par Hugo Chavez. Tout comme la BBC, les reportages du New York Times, du Washington Post, du Guardian, et du reste des respectables médias occidentaux étaient criants de mauvaise foi. On se moquait de Chavez jusque sur son lit de mort. Comment explique-t-on cela dans les écoles de journalisme ?

    Pourquoi des millions de Britanniques sont-ils persuadés qu’un châtiment collectif appelé austérité est nécessaire ?

    Le krach économique de 2008 a mis à nu un système pourri. Pendant quelques instants les banques ont été dénoncées comme des escrocs ayant des obligations vis-à-vis du public qu’elles avaient arnaqué.

    Mais en quelques mois (mis à part quelques piques lancées contre les bonus excessifs de patrons) le message a changé. Les photos signalétiques des banquiers coupables s’évanouirent des tabloïds et ce qu’on a appelé l’austérité est devenu le fardeau de millions de gens ordinaires. A-t-on déjà vu tour de passe-passe aussi culotté ?

    Aujourd’hui, bien des fondements de la vie civilisée en Angleterre se voient démantelés afin de rembourser une dette frauduleuse (la dette des escrocs). Les coupes budgétaires dues à l’Austérité s’élèvent apparemment à 83 milliards de livres [=105 milliards de €]. Ce qui équivaut quasiment au montant de l’évasion fiscale des banques et des entreprises comme Amazon et la News UK de Murdoch. De plus, les banques escrocs se voient subventionnées annuellement à hauteur de 100 millions de livres [= 127 milliards de €] en assurances gratuites et en garanties (un montant qui pourrait financer entièrement le Service de santé publique national).

    La crise économique est pure propagande. Des mesures extrêmes sont maintenant la règle au Royaume-Uni, aux USA, dans la plus grande partie de l’Europe, au Canada et en Australie. Qui ose se lever au nom de la majorité ? Qui raconte leur histoire ? Qui remet les pendules à l’heure ? N’est-ce pas là le rôle des journalistes ?

    En 1977, Carl Bernstein, devenu célèbre grâce au Watergate, révéla que plus de 400 journalistes et dirigeants médiatiques travaillaient pour la CIA. Parmi eux des journalistes du New York Times, de Time et des réseaux de télévision. En 1991, Richard Norton Taylor du Guardian révéla quelque chose de similaire dans ce pays.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  24. Rien de tout ça n’est nécessaire aujourd’hui. Je ne pense pas que quiconque paye le Washington Post et d’autres médias pour accuser Edward Snowden de soutenir le terrorisme. Je ne pense pas que quiconque paie ceux qui diffament régulièrement Julian Assange (bien qu’il y ait de nombreuses autres formes de récompense).

    Il est évident pour moi que la raison principale pour laquelle Assange est autant diffamé, jalousé et décrié, c’est que Wikileaks ait démoli la façade d’une élite politique corrompue soutenue par des journalistes. En annonçant une ère de révélations extraordinaire, Assange s’est fait des ennemis en exposant et en humiliant les chiens de garde médiatiques, dont ceux qui reprirent et publièrent ses scoops. Il devint non seulement une cible, mais aussi une poule aux œufs d’or.

    Des livres furent publiés, des contrats de cinéma hollywoodiens furent signés et des carrières lancées sur le dos de Wikileaks et de son fondateur. Des gens ont gagné de l’argent, beaucoup d’argent, alors que Wikileaks luttait pour sa survie.

    Rien de tout ça ne fut mentionné à Stockholm le 1er décembre, quand le rédacteur en chef du Guardian, Alan Rusbridger, partagea avec Edward Snowden le Right Livelihood Award, communément appelé prix Nobel alternatif. Ce qui fut choquant à propos de cet événement, c’est que Wikileaks et Assange furent totalement ignorés. Ils n’existaient pas. Ils étaient déshumanisés. Personne ne dit mot au nom du pionnier des lanceurs d’alertes sur Internet qui offrit au Guardian l’un des plus importants scoops de son histoire. De plus, c’était Assange et l’équipe de Wikileaks qui avaient efficacement (et brillamment) porté secours à Edward Snowden à Hong Kong et l’avaient conduit en lieu sûr. Pas un mot.

    Ce qui rendait cette censure par omission si ironique, poignante et honteuse, c’est que cette cérémonie se déroulait au parlement suédois (dont le lâche silence sur l’affaire Assange s’était associé à l’échec grotesque de la justice à Stockholm).

    « Quand la vérité se voit remplacée par le silence », disait le dissident soviétique Evtouchenko, « le silence devient un mensonge ».

    C’est ce genre de silence que nous, les journalistes, nous devons de briser. Nous devons nous regarder dans le miroir. Nous devons demander des comptes à un système médiatique irresponsable qui sert le pouvoir et à une psychose qui menace de déclencher une guerre mondiale.

    Au XVIIIe siècle, Edmund Burke décrivait le rôle de la presse comme un quatrième pouvoir tenant en respect les puissants. Cela a-t-il un jour été vrai ? Ça ne l’est certainement pas aujourd’hui. Ce dont nous avons besoin, c’est d’un cinquième pouvoir : un journalisme qui surveille, déconstruise, s’oppose à la propagande et enseigne aux jeunes à devenir des agents du peuple, pas du pouvoir. Nous avons besoin de ce que les Russes ont appelé perestroïka (une insurrection du savoir subjugué). J’appellerais ça du vrai journalisme.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  25. Il y a 100 ans commençait la Première Guerre mondiale. Les reporters à l’époque étaient récompensés et anoblis pour leur collusion et leur silence. Au summum du massacre, le Premier ministre britannique David Lloyd George confia au rédacteur en chef du Guardian de Manchester, CP Scott : « Si les gens connaissaient la vérité, la guerre serait arrêtée dès demain, mais bien évidemment, ils ne savent pas et ne peuvent pas savoir ».

    Il est temps qu’ils sachent.

    John Pilger
    Traduit par Nicolas Casaux, illustré par Fausto Giudice pour Tlaxcala

    Intervention au Symposium Logan « Construire une alliance contre le secret, la surveillance et la censure », organisé par le Centre pour le journalisme d’investigation, Londres, 5-7 décembre 2014
    Source : War by media and the triumph of propaganda (johnpilger.com, anglais, 05-12-2014)

    http://www.vineyardsaker.fr/2014/12/08/la-guerre-est-en-cours-elle-se-fait-par-les-medias-et-la-propagande-triomphe/

    RépondreSupprimer
    Réponses

    1. Parmi ces millions d'exemples de désinformations journalistiques il y a aussi ceux du 11 Mars 2011 à Fukushima où j'ai pu prouver que ce qui était arrivé au Japon peut arriver de partout dans le monde, que les centrales électriques soient construite par General Electric, Toshiba-Mitshubishi ou Areva ! Parce que l'accident dû au défaut d'alimentation des réacteurs en eau venait des conduites extérieures (tuyaux en PVC !) courant sur le sol qui n'était ni protégées des gravats reçus lors du raz-de-marée, ni montées sur vérins pour accuser les chocs des tremblements de terre !

      Ce qui a fait que, les tuyaux cassés n'ont pu alimenter les réacteurs qui se sont desséchés intérieurement et provoqué l'explosion d'hydrogène fatale à les déchapeauter a tour de rôle.

      Si à cela ont y ajoute le 11 Septembre 2001... on en sort pas !

      Supprimer
  26. Congrès américain: Clique de criminels ou des lâches ?


    07.12.2014


    Elle est maintenant tout à fait évident à tous, sauf peut-être dans un twit politiquement myope, dirigés par son caractère véritable, inculte, que le seul représentant la Chambre des représentants n'est pour lui-même et les lobbies qui tirent les ficelles des ses membres. Un style de cinquième-monde de la gouvernance ; une clique de criminels, ou lâches incapables de défendre leur électorat ?

    Article récent de Ron Paul « Reckless Congrès déclare guerre sur la Russie », se référant à la décision par le Congrès pour passer de 758 h. res., selon ses propres termes « 16 pages de la propagande de guerre », affirme qu'il s'agit de « un des pires morceaux de législation jamais ». Inutile de dire, c'est un tas prévisible de non-sens russophobe concocté par une poignée de neocons se plier aux caprices des lobbies qui tirent les ficelles. C'est également une résolution qui soutient l'activité criminelle contrevenant à chaque fibre du droit international.

    Ce qui est encore plus révoltant, c'est que les projet de loi n'a obtenu que dix voix contre, ce qui signifie que soit toute la maison est en Cabriole avec politiques criminelles ou bien de ses membres sont des lâches sniveling qui n'ont pas le courage et la colonne vertébrale pour défendre les principes qu'ils ont été élus pour représenter. La Chambre des représentants représente autre chose que les intérêts de ses membres ? Et si c'est le cas, alors pourquoi le peuple américain ne supporte pas vers le haut et être compté pour une fois ? Ont-ils pas aucun principe non plus, ou ne leur système démocratique merveilleusement leur nie les outils nécessaires pour faire une différence et avoir leur mot à dire ?

    Examinant le document, il reproche la Russie pour l'invasion de l'Ukraine (paragraphe 3), accuse les forces soutenues par russe pour la destruction en vol d'avions de passagers MH 17 (paragraphe 14) et exige que les forces russes se retirent d'Ukraine (paragraphe 13) puis condamne la Russie pour avoir vendu des armes à la Syrie (paragraphe 16) avant d'aller à accuser la Russie d'avoir envahi la Géorgie en 2008 (paragraphe 22) et discussion d'approbation pour les États-Unis à fournir du matériel de combat en Ukraine.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  27. En bref, la résolution est une étude dans l'hypocrisie et contrevient au droit international, qui interdit la participation d'un pays dans les affaires intérieures d'une nation souveraine, à moins qu'il y ont fait leurs preuves activités directement de représenter une menace pour ce pays. Tel n'était pas le cas en Irak, ce ne fut pas le cas en Libye, tel n'était pas le cas en Syrie, où les activités des États-Unis et ses alliés ont conduit à la création d'une menace de sécurité sérieux.

    Examen de la question, en vertu de la Constitution ukrainienne, les préceptes pour l'enlèvement du Président cause un processus de mise en accusation fondé sur une accusation formelle, accusant le Président d'un crime de l'Ukraine, soutenue par le premier ministre sortant, cette résolution soutenue à son tour par les juges de la Cour constitutionnelle et ensuite le processus soutenu par un vote à la majorité des trois quarts au Parlement. Lorsque le premier ministre Mykola Azarov a démissionné le 28 janvier 2014, il a été remplacé par Sergiy Arbuzov. Quand le Putsch placé Arseniy Yatsenyuk comme premier ministre et terminé les pouvoirs des juges de la Cour suprême, convoquer un Parlement sans beaucoup d'entre les membres du parti des régions et en utilisant le système de vote multiples (députés votant au nom des membres absents, mis hors la loi par le Président Yanukovich) il a été essentiellement se refusant aucune base légale pour agir et garantissant que toutes ses actions serait illégal. La marche à suivre d'action aurait été l'opposition Pacifique jusqu'aux élections. N'oublions pas que le Président Yanukovich a été élu avec 49 % des suffrages, dans une libre et élection juste et démocratique.

    En l'occurrence, le président Viktor Yanukovich a été supprimé sur les « circonstances d'extrême urgence », qui n'était pas un précepte juridique de destitution. Contraints de démissionner par une insurrection armée est dénuée de sens et sans fondations n'a que ce soit en vertu de toute loi internationale, régionale ou nationale. Le seul développement qui avait tout support juridique a été l'accord sur le règlement de la crise en Ukraine, signé entre le Président Yanukovich et l'Opposition le 21 février 2014, dans lesquelles il a été convenu d'apporter avant l'élection de 2015 à décembre 2014.

    Par conséquent, toute activité concernant ou découlant de la crise de l'Ukraine en 2014 doit commencer avec le principe que le Putsch était illégal et par conséquent le gouvernement légitime de l'Ukraine a été supprimé. C'est le cas, l'organisme doté de pouvoirs pour faire respecter la loi dans la République de Crimée fut le Parlement de cette République, qui avait été un territoire russe pour plus longtemps que le USA a été une nation, jusqu'au 19 février 1954, quand le Soviet suprême de l'URSS a décidé de transférer la Crimée de la République socialiste fédérative soviétique de Russie à la République socialiste soviétique d'Ukraine. Pas étonnant que ses habitants ont voté revenir Retour Accueil lors du référendum libre et équitable, surtout après le Putsch de gouvernement à Kiev avait commencé à délivrer des édits contre les Russes au milieu d'appels pour l'abattage des russes et des Juifs dans les rues, qui se pressaient avec les armées fascistes et les voyous.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  28. Sans surprise, après les massacres de fasciste à Odessa, Mariupol et Donetsk, où russophone civils ont été assassinés massivement par les fascistes soutenant le nouveau gouvernement de Putsch à Kiev, les hommes et les femmes de l'Ukraine au sud-est ont pris les armes pour se protéger et déclaré qu'ils ne voulaient rien à voir avec les nouvelles forces pro-occidentales qui prétend gouverner le pays.

    En ce qui concerne les accusations contre la Russie, où est la preuve que la Russie est impliquée directement ? Où sont les photographies par satellite ? Si les membres du Congrès connaissaient la région de Donbass et son peuple, ils verraient clairement que les Ukrainiens du sud-est ont besoin d'une intervention militaire russe pour rien, et en tout cas si la Russie participait, Kiev aurait été prise dans les deux jours.

    Quant à la destruction en vol du vol MH 17, comment pouvez Congrès faire toute accusation lors de l'enquête officielle n'a encore été conclu et lorsqu'il y a beaucoup de preuves qui pointe vers un avion militaire ukrainien il abattu, pensant que c'était le plan du président Poutine ? Congrès est irresponsable, ou il est rempli de menteurs éhontés ?

    En ce qui concerne la Syrie, au moins les armes de la Russie va dans la lutte contre l'Etat islamique, tandis que l'américain se dirige vers l'armement il. Russie ne pas partie de terroristes pour détruire la Libye, le pays avec le plus haut indice de développement humain en Afrique, le USA ont fait. Russie n'attaque pas l'Irak, déploiement de matériel militaire contre les structures civiles violant chaque norme et le précepte selon le droit international. Le USA ont fait. Comme pour dire que Russie attaqué la Géorgie, un non-sens. Russie mis en scène une réponse très mesurée à un acte meurtrier de provocation, quand la Géorgie ont attaqué et tué des citoyens russes.

    Donc pour conclure, Congrès est apparemment soit une bande de criminels, donnant le feu vert à une intervention plus dans les affaires intérieures d'un État souverain, ou bien semble être coincé plein de sniveling lâches à ventre jaune, coups de pied du pilier à la poste, trop peur de se lever et de représenter les intérêts du peuple qui les ont élus. Les lobbies dire saut, les membres demandent à quelle hauteur.

    Et c'est l'organisme qui représente les États-Unis ? J'entends les pères fondateurs, retourner dans leur tombe ?


    Timothy Bancroft-Hinchey
    Pravda.Ru
    (timothy.hinchey@gmail.com)



    * Timothy Bancroft-Hinchey a travaillé comme correspondant, journaliste, rédacteur en chef adjoint, rédacteur en chef, rédacteur en chef, directeur, chef de projet, directeur exécutif, partenaire et propriétaire des imprimés et en ligne quotidiennes, hebdomadaires, mensuels et annuels publications et médias groupes imprimés et distribués en Angola, Brésil, Cap-Vert, East Timor, Guinée-Bissau, Portugal, Mozambique et São Tomé et Isles de Principe ; la publication du ministère des affaires étrangères russe dialogue et le ministère étranger cubaine les Publications officielles. Il a passé les deux dernières décennies dans des projets humanitaires, de relier les collectivités, de travail de document et catalogue de disparition des langues, des cultures, des traditions, service au réseau des communautés LGBT aidant à mettre en place des abris pour les victimes violentées ou effrayés et comme partenaire média avec ONU-femmes, travaillant pour favoriser le projet ONU femmes pour lutter contre la violence sexiste et de s'efforcer de mettre fin au sexisme, le racisme et l'homophobie. Il est également un média partenaire de Humane Society International, luttant pour les droits des animaux.

    http://english.pravda.ru/opinion/columnists/07-12-2014/129235-us_congress-0/

    RépondreSupprimer
  29. Nouvelle loi rendrait contribuables potentiellement responsable des milliards en pertes de dérivés


    Par Michael Snyder,
    le 7 décembre 2014


    Si la bulle de dérivés dollar quadrillions implose, qui devrait être coincé avec le projet de loi ? Eh bien, si les banques « too big to fail » ont leur manière il sera vous et moi. À l'heure actuelle, des lobbyistes pour les grandes banques de Wall Street poussent vraiment difficiles d'inclure une disposition extrêmement insidieuse dans un projet de loi qui permettrait de maintenir le gouvernement fédéral financé au-delà de la prochaine délai le 11 décembre. Cette disposition permettrait à ces grandes banques aux dérivés du commerce par l'intermédiaire de ses filiales qui sont assurés par le gouvernement fédéral par la FDIC. Ce que cela signifie, c'est que les grandes banques serait en mesure de poursuivre leurs négoce sans avoir à vous soucier de l'inconvénient des dérivés incroyablement téméraires. S'ils gagnent sur leurs Paris, les grandes banques garderait tous les bénéfices. S'ils perdent sur leurs Paris, le gouvernement fédéral serait venu et les renflouer d'utiliser l'argent des contribuables. En d'autres termes, il serait essentiellement une proposition « têtes que je gagne, tails qu'you lose ».

    Imaginez le scénario suivant. Je vais à Las Vegas et placer un pari de millions de dollars sur qui va gagner le Superbowl cette année. Si je me trompe pas, j'ai garder tous les gains. Si je perds, la loi fédérale exige que vous pour me sortir du pétrin et me donner les millions de dollars que je viens de perdre.

    Est-ce qui sonne juste ?

    Bien sûr que non ! En fait, c'est la folie totale. Mais grâce à leur influence au Congrès, c'est exactement ce que les grandes banques de Wall Street tentent d'arracher. Et selon le Huffington Post, il n'y a de très bonnes chances que cette disposition sera dans la facture finale qui sera bientôt votée...

    Selon de multiples sources démocratiques, banques poussent durs d'inclure une disposition controversée dans le financement de législation qui garderait le fonctionnement du gouvernement après le 11 décembre. Meilleurs négociateurs dans la maison prennent au sérieux la fourniture de produits dérivés et peuvent inclure dans le projet de loi final, selon les sources.
    Malheureusement, la plupart des américains ne comprennent pas comment fonctionnent les produits dérivés et il n'y a très peu l'indignation du public.

    Mais la vérité est que les gens doivent marcher dans les rues au cours de cette. Si cette disposition devienne Loi, le peuple américain pourrait être sur le crochet pour pertes absolument énormes...

    Les avantages de la Banque ne sont pas un poste budgétaire traditionnel. Ils permettraient à des institutions financières au commerce de certains produits financiers dérivés de filiales qui sont assurés par la Federal Deposit Insurance Corp — mettant potentiellement les contribuables sur le crochet pour les pertes occasionnées par les contrats risqués.
    Ce n'est pas la première fois, ces banques ont tenté de tirer un coup de tel. Comme Michael Krieger de Liberty Blitzkrieg a détaillé, lobbyistes Banque essayé de faire une chose semblable l'an dernier...

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  30. Cinq ans après le coup de Wall Street de 2008, il semble que la Chambre des représentants américaine est aussi acheté et payé pour que jamais. Nous avons entendu parler de la législation de Citigroup fabriqué actuellement Poussée par le Congrès en mai dernier quand Mother Jones a signalé à ce sujet. Heureusement, ils ont inclus l'image suivante dans leur article :

    Sans surprise, le principal bailleur de fonds du projet de loi est tristement célèbre Wall Street laquais Jim Himes (D -CN), un ancien employé de Goldman Sachs, qui a découvert les avantages de lobbyiste peut être tout aussi lucratif une carrière dans les services financiers. La dernière fois que M. Himes fait une apparition sur ces pages a été en mars 2013 dans ma pièce : Congrès se déplace à Wall Street de DÉRÉGLEMENTER.
    Heureusement, il a été arrêté au Sénat à ce moment-là.

    Mais c'est la chose avec les lobbyistes de la Banque. Ils sont comme les Terminators-ils jamais, jamais, jamais abandonnent.

    Et ils ont maintenant plus d'un sens d'urgence puis jamais, parce que nous entrons dans une période de temps lorsque les grandes banques peuvent commencer à perdre des quantités énormes d'argent sur les marchés dérivés.

    Par exemple, le plongeant rapidement prix du pétrole pourrait signifier potentiellement gigantesques pertes pour les grandes banques. Nombreux producteurs d'huile de schiste grand enfermés dans leurs profits pour 2015 et 2016 par le biais de contrats sur produits dérivés lorsque le prix du pétrole était supérieur à 100 $ le baril. J'écris ceci, le prix du pétrole est jusqu'à 65 dollars le baril, et beaucoup d'analystes s'attendent qu'il aille beaucoup plus faible.

    Alors devinez qui est sur l'autre extrémité d'un grand nombre de ces métiers ?

    Les grandes banques.

    Leurs modèles informatiques jamais prévu que le prix du pétrole chuterait de plus de 40 dollars en moins de six mois. Une perte de 40, 50 ou même 60 dollars le baril serait catastrophique.

    Pas étonnant qu'ils veulent des lois qui les protégera.

    Et des instruments dérivés sont juste une partie de l'histoire. Au cours des deux dernières décennies, Wall Street a été transformée en le plus grand casino de l'histoire du monde. À ce stade, les montants d'argent que ces banques « too big to fail » sont potentiellement sur le crochet pour sont absolument hallucinante.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  31. Comme vous lisez ceci, il y a cinq banques de Wall Street, qui ont chacun plus de 40 billions dollars en exposition à des produits dérivés. Les numéros suivants viennent trimestriel plus récent de l'OCC rapport (voir tableau 2)...

    JPMorgan Chase

    Actif total: $2,520,336,000,000 (environ 2,5 billions de dollars)

    L'exposition totale aux dérivés: $68,326,075,000,000 (plus de 68 billions de dollars)

    Citibank

    Actif total: $1,909,715,000,000 (un peu plus de 1,9 billions de dollars)

    L'exposition totale aux dérivés: $61,753,462,000,000 (plus de 61 billions de dollars)

    Goldman Sachs

    Actif total: $860,008,000,000 (moins de 1 billion de dollars)

    L'exposition totale aux dérivés: $57,695,156,000,000 (plus de 57 billions de dollars)

    Bank Of America

    Actif total: $2,172,001,000,000 (un peu plus de 2,1 billions de dollars)

    L'exposition totale aux dérivés: $55,472,434,000,000 (plus de 55 billions de dollars)

    Morgan Stanley

    Actif total: $826,568,000,000 (moins de 1 billion de dollars)

    L'exposition totale aux dérivés: $44,134,518,000,000 (plus de 44 billions de dollars)

    Ceux qui suivent mon site régulièrement noteront que l'exposition de produits dérivés pour les quatre premières banques a augmenté considérablement depuis que j'ai écrit dernière sur ce il y a quelques mois.

    Vous voulez être sur le crochet pour tout cela ?

    N'oubliez pas que la dette publique américaine est seulement environ 18 billions de dollars à ce stade.

    Alors pourquoi dans le monde serait nous voulons garantir les pertes qui pourraient être beaucoup plus grandes que notre dette nationale toute ?

    Seul un fou complète et total garantirait financièrement ces Paris incroyablement téméraires.

    Veuillez contacter vos représentants au Congrès et leur dire que vous n'avez pas envie d'être sur le crochet pour les pertes de produits dérivés des grandes banques de Wall Street.

    Lorsque cette bulle dérivés enfin implose et ces grandes banques descendent (et ils seront inévitablement), nous ne voulons pas tirer vers le bas le reste d'entre nous avec eux.

    http://theeconomiccollapseblog.com/archives/new-law-make-taxpayers-potentially-liable-trillions-derivatives-losses

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Cà, c'est la cerise sur le gâteau !

      Pareillement que s'il est dénoncé qu'il n'y a pas une once d'or en soute le gouvernement aura tôt fait de mettre la main sur 'tout l'or du monde' en faisant la razzia chez les particuliers jusqu'au ordis qui - parce qu'ils en contiennent - seront saisis/arrachés/volés/emportés par la police qui est là pour vous protéger de la proximité néfaste de ce métal maléfique.

      Supprimer